TALAUDIERE (LA) (42) 01.04.2023
Summary
Observation d'un objet sombre volant silencieusement dans le ciel : cas non identifiable par manque de données.
Description
Le 1er avril 2023, vers 11h, le témoin, revenant à pied d'une grande surface située à La Talaudière (42), observe un objet dans le ciel, de forme "d'aile-delta", avec une partie avant et une partie arrière carrées. Le PAN se déplace lentement et silencieusement, oscillant légèrement, à une altitude constante et suivant une trajectoire linéaire du sud-ouest vers le nord-est. L'observation dure entre 3 et 4 minutes.
La consistance* du cas est moyenne, puisqu’il n’y a qu’un seul témoin et que le PAN n’apparait pas sur la photographie.
*selon les critères du GEIPAN, la consistance est la quantité d’informations considérées comme fiables et objectivées, recueillies pour un témoignage.
La description du PAN peut correspondre à un objet léger porté par le vent, puisque sa trajectoire apparente est cohérente avec le sens du vent. Toutefois la durée d’observation relativement longue sur une distance angulaire de déplacement de 40° est peu compatible avec cette hypothèse, sauf à imaginer un objet de grande taille et plus éloigné.Cependant, aucune autre observation n’a été recueillie par le GEIPAN, et aucune trace supplémentaire n’a été retrouvée malgré la présence d’une zone urbanisée.
Une autre hypothèse envisagée est celle d'un drone, évoquée par le témoin lui-même, mais rejetée en raison de l'absence de bruit et de la visibilité des hélices. Notons cependant que le bruit a pu être couvert par le bruit de la circulation routière de la route nationale située à proximité et que les hélices d’un drone ne sont pas visibles en vol en raison de leur rotation rapide.
Bien que le survol de la commune par des drones soit interdit, l’enquête a cherché à déterminer si un drone avait quand même pu survoler la zone au moment de l’observation, sans succès.
Malheureusement, la photographie transmise par le témoin étant inexploitable, elle ne permet pas de préciser la nature du PAN. Les investigations n’ont pas permis de privilégier d’hypothèse explicative.
Le cas est classé "C", cas non identifiable par manque de données.
La consistance* du cas est moyenne, puisqu’il n’y a qu’un seul témoin et que le PAN n’apparait pas sur la photographie.
*selon les critères du GEIPAN, la consistance est la quantité d’informations considérées comme fiables et objectivées, recueillies pour un témoignage.
La description du PAN peut correspondre à un objet léger porté par le vent, puisque sa trajectoire apparente est cohérente avec le sens du vent. Toutefois la durée d’observation relativement longue sur une distance angulaire de déplacement de 40° est peu compatible avec cette hypothèse, sauf à imaginer un objet de grande taille et plus éloigné.Cependant, aucune autre observation n’a été recueillie par le GEIPAN, et aucune trace supplémentaire n’a été retrouvée malgré la présence d’une zone urbanisée.
Une autre hypothèse envisagée est celle d'un drone, évoquée par le témoin lui-même, mais rejetée en raison de l'absence de bruit et de la visibilité des hélices. Notons cependant que le bruit a pu être couvert par le bruit de la circulation routière de la route nationale située à proximité et que les hélices d’un drone ne sont pas visibles en vol en raison de leur rotation rapide.
Bien que le survol de la commune par des drones soit interdit, l’enquête a cherché à déterminer si un drone avait quand même pu survoler la zone au moment de l’observation, sans succès.
Malheureusement, la photographie transmise par le témoin étant inexploitable, elle ne permet pas de préciser la nature du PAN. Les investigations n’ont pas permis de privilégier d’hypothèse explicative.
Le cas est classé "C", cas non identifiable par manque de données.