CHATENAY-MALABRY (92) 19.08.2012
Summary
Observation de points lumineux dans le ciel en déplacement : observation probable d’avion.
Description
Le dimanche 19 août 2012 à 20h30 un témoin est intrigué par les déplacements de deux points lumineux dans le ciel.
Compte tenu des éléments objectifs recueillis lors de l'enquête, à savoir que le comportement initial des PANs s’apparente à celui d’avions observés se déplaçant dans l’axe de vision du témoin, que la couleur et la luminosité des PANs s’apparentent à celle des feux d’atterrissage des avions de ligne et que la zone survolée est fréquemment empruntée par toutes sortes d’aéronefs civils et militaires, et se trouve être à proximité d’aéroports, le témoin a probablement observé un avion.
En revanche, le comportement final du premier PAN, en « angle droit » est, dans le cadre d’une observation au zénith, a priori incompatible avec celui de tels aéronefs, mais c’est une illusion de perception fréquente sur tous les points lumineux en mouvement qui s’éteignent dans la nuit.
Au moment auquel a été faite l’enquête, le GEIPAN n’a plus pu accéder aux données aéronautiques permettant de vérifier formellement cette hypothèse.
Ce cas est classé « B » : observation probable d’un avion.
Compte tenu des éléments objectifs recueillis lors de l'enquête, à savoir que le comportement initial des PANs s’apparente à celui d’avions observés se déplaçant dans l’axe de vision du témoin, que la couleur et la luminosité des PANs s’apparentent à celle des feux d’atterrissage des avions de ligne et que la zone survolée est fréquemment empruntée par toutes sortes d’aéronefs civils et militaires, et se trouve être à proximité d’aéroports, le témoin a probablement observé un avion.
En revanche, le comportement final du premier PAN, en « angle droit » est, dans le cadre d’une observation au zénith, a priori incompatible avec celui de tels aéronefs, mais c’est une illusion de perception fréquente sur tous les points lumineux en mouvement qui s’éteignent dans la nuit.
Au moment auquel a été faite l’enquête, le GEIPAN n’a plus pu accéder aux données aéronautiques permettant de vérifier formellement cette hypothèse.
Ce cas est classé « B » : observation probable d’un avion.