BOGNY-SUR-MEUSE (08) 09.01.1994
Summary
Observations nocturnes et successives d'un phénomène silencieux de forme variées (rectangulaire, losange et ovoïde) avec des lumières de couleurs (blanche, rouge, orangée) : manque d'information.
Description
Le GEIPAN continue à publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens classés à l'époque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un réexamen, dans le seul but d'être plus pertinent dans les conclusions. Grâce à de nouveaux moyens techniques (logiciels) et à l'expérience d'enquête acquise depuis toutes ces dernières années, ce réexamen aboutit quelquefois à de nouvelles remarques voire à un changement de classification.
Ce cas d'observation précédemment classé D et nommé CHARLEVILLE-MEZIERES (08) 09.01.1994 fait partie d'un ensemble de cas réexaminés récemment.
Le 09 janvier 1994 vers 19h45 la passagère avant droit (T1) d'un véhicule observe un phénomène lumineux dans le ciel qui l'intrigue. A plusieurs reprises et à des endroits différents, le témoin observe une forme rectangulaire puis en losange et enfin ovoïde avec des lumières de différentes couleurs. Aucun bruit particulier n'est entendu. Le témoin prend soudain peur car la forme semble avancer vers elle. Le témoin se rend à la gendarmerie et le conducteur (T2), qui n'a pu faire toutes les mêmes observations que sa passagère, confirme oralement les dires de cette dernière. Aucun autre témoignage, aucune autre information ne seront recueillis lors de l’enquête de gendarmerie.
Malgré une enquête des gendarmes, il manque de nombreux éléments de base nécessaires à toute analyse de ce type (voir le compte-rendu d'enquête).
Pour chacune des phases :
- l’azimut ou un repère directionnel auquel se trouvait le PAN ;
- l’élévation sur l’horizon ;
- la durée d’observation ;
- les dimensions angulaires du PAN.
Nous avons un deuxième témoin T2 qui dit « confirmer les dires de T1 » mais en même temps indique qu’il n’a vu le PAN qu’au point n°3 et jamais ensuite, sans faire, ni signer aucune déposition. On ne sait donc pas si la vision du PAN vu au point 3 recoupe celle de T1.
Le fait que T1 n’ait pas fait partager à T2 sa deuxième observation en point n°5, et que T2 n’ait pas témoigné nuit aussi à la consistance de l’ensemble déjà amplement entachée de manque de précision. La consistance (niveau et fiabilité de l’information) du témoignage est trop faible pour construire une hypothèse et pour formuler une quelconque conclusion.
Dans ce contexte le caractère étrange et non explicable qui avait pu prévaloir lors de la première enquête ne peut être retenu.
En conséquence le GEIPAN classe le cas en C : manque d’informations fiables.
Ce cas d'observation précédemment classé D et nommé CHARLEVILLE-MEZIERES (08) 09.01.1994 fait partie d'un ensemble de cas réexaminés récemment.
Le 09 janvier 1994 vers 19h45 la passagère avant droit (T1) d'un véhicule observe un phénomène lumineux dans le ciel qui l'intrigue. A plusieurs reprises et à des endroits différents, le témoin observe une forme rectangulaire puis en losange et enfin ovoïde avec des lumières de différentes couleurs. Aucun bruit particulier n'est entendu. Le témoin prend soudain peur car la forme semble avancer vers elle. Le témoin se rend à la gendarmerie et le conducteur (T2), qui n'a pu faire toutes les mêmes observations que sa passagère, confirme oralement les dires de cette dernière. Aucun autre témoignage, aucune autre information ne seront recueillis lors de l’enquête de gendarmerie.
Malgré une enquête des gendarmes, il manque de nombreux éléments de base nécessaires à toute analyse de ce type (voir le compte-rendu d'enquête).
Pour chacune des phases :
- l’azimut ou un repère directionnel auquel se trouvait le PAN ;
- l’élévation sur l’horizon ;
- la durée d’observation ;
- les dimensions angulaires du PAN.
Nous avons un deuxième témoin T2 qui dit « confirmer les dires de T1 » mais en même temps indique qu’il n’a vu le PAN qu’au point n°3 et jamais ensuite, sans faire, ni signer aucune déposition. On ne sait donc pas si la vision du PAN vu au point 3 recoupe celle de T1.
Le fait que T1 n’ait pas fait partager à T2 sa deuxième observation en point n°5, et que T2 n’ait pas témoigné nuit aussi à la consistance de l’ensemble déjà amplement entachée de manque de précision. La consistance (niveau et fiabilité de l’information) du témoignage est trop faible pour construire une hypothèse et pour formuler une quelconque conclusion.
Dans ce contexte le caractère étrange et non explicable qui avait pu prévaloir lors de la première enquête ne peut être retenu.
En conséquence le GEIPAN classe le cas en C : manque d’informations fiables.