BAROCHES (LES) (54) 03.02.2019
Résumé
Observation des évolutions rapides dans le ciel nuageux d'une masse grise : observation très fortement probable d'une nuée d'oiseaux en vol.
Description
Le 03 février 2019 en fin de matinée, un témoin en balade à travers champ observe une masse grise ressemblant à un petit nuage sous la couverture nuageuse. Ce « petit nuage » avance très vite malgré le faible vent. Ce qui interpelle le témoin c'est que brusquement le PAN change d’altitude jusqu'à disparaître dans les nuages puis effectue des évolutions avant de disparaître sur une trajectoire descendante. A l’œil nu, cela laisse une trace ressemblant à de la pluie qui tombe au loin pendant environ 3 secondes avant de disparaître. Le témoin aura eu le temps de filmer avec son téléphone portable. Un seul témoignage sera recueilli.
L’observation présente plusieurs étrangetés apparentes : changement de forme finale, trajectoire non linéaire, entrée dans les nuages, plongée vers le sol, silence. Toutefois, la forme du PAN, son aspect sombre, sa trajectoire et sa plongée finale vers le sol évoquent fortement l’hypothèse explicative d’une nuée d’oiseaux en vol, qui confirme tous les aspects de l’observation (voir le compte rendu d'enquête).
Le passage de quelques secondes du PAN dans les nuages n’a rien d’exceptionnel, dans la mesure où le plafond bas des nuages était de l’ordre de 500 mètres seulement au-dessus du sol.
Il est donc très vraisemblable qu’une nuée d’oiseaux (en particulier des étourneaux) soit passée juste sous les nuages, avant de plonger vers le sol à la vue d’une source de nourriture ou de repos.
Le GEIPAN classe ce cas en «A», comme observation très fortement probable d’une nuée d’oiseaux en vol.
L’observation présente plusieurs étrangetés apparentes : changement de forme finale, trajectoire non linéaire, entrée dans les nuages, plongée vers le sol, silence. Toutefois, la forme du PAN, son aspect sombre, sa trajectoire et sa plongée finale vers le sol évoquent fortement l’hypothèse explicative d’une nuée d’oiseaux en vol, qui confirme tous les aspects de l’observation (voir le compte rendu d'enquête).
Le passage de quelques secondes du PAN dans les nuages n’a rien d’exceptionnel, dans la mesure où le plafond bas des nuages était de l’ordre de 500 mètres seulement au-dessus du sol.
Il est donc très vraisemblable qu’une nuée d’oiseaux (en particulier des étourneaux) soit passée juste sous les nuages, avant de plonger vers le sol à la vue d’une source de nourriture ou de repos.
Le GEIPAN classe ce cas en «A», comme observation très fortement probable d’une nuée d’oiseaux en vol.