REMUZAT (26) 05.07.2012
Résumé
Observation de deux lumières blanches suivies à distances par trois avions de "chasse" : probable confusion avec les feux de navigation d'avions de chasse.
Description
Le 5 juillet 2012 à 22h22 un témoin (T1) et son épouse dans leur salon entendent le bruit du passage d'avion à réaction. Le T1 se rend à l'extérieur de son habitation. Il est surpris par la présence dans le ciel de deux lumières blanches suivies à distances par trois avions de "chasse" volant à base altitude. Les PANs sont perdus de vue masqués par le paysage. D'autres témoignages sont recueillis sur le passage des avions (voir le compte rendu d'enquête). Un témoin (T3) fera une déposition en gendarmerie.
Compte tenu des éléments recueillis dans le rapport d'enquête ci joint, la seule hypothèse envisagée est la confusion avec les feux de position arrière d'avions de chasse augmentée par les mauvaises conditions d'observation et éventuellement de plusieurs passages des mêmes avions, dont les deux premiers n'auraient pas encore allumés leurs feux d'atterrissage.
Ce témoignage est de très bonne qualité (concis, très précis, neutre, et rédigé très vite après l’observation), et de bonne consistance car, bien que venant d’un témoin unique et sans photo, nous avons pu nous appuyer sur un second témoignage déposé auprès de la Gendarmerie pour étudier l'hypothèse.
L’observation est finalement peu étrange car les PANs sont, après enquête, facilement caractérisables.
L'étrangeté était au premier abord surtout créée par le fait que le témoin n°1 n'avait pas observé les premiers avions lors de leur phase initiale d'approche, leur feux d'atterrissage étant possiblement éteints et les conditions d'observation étant défavorables.
Le GEIPAN classe ce cas en « B » comme confusion probable avec les feux de navigation d'avions de chasse.
Compte tenu des éléments recueillis dans le rapport d'enquête ci joint, la seule hypothèse envisagée est la confusion avec les feux de position arrière d'avions de chasse augmentée par les mauvaises conditions d'observation et éventuellement de plusieurs passages des mêmes avions, dont les deux premiers n'auraient pas encore allumés leurs feux d'atterrissage.
Ce témoignage est de très bonne qualité (concis, très précis, neutre, et rédigé très vite après l’observation), et de bonne consistance car, bien que venant d’un témoin unique et sans photo, nous avons pu nous appuyer sur un second témoignage déposé auprès de la Gendarmerie pour étudier l'hypothèse.
L’observation est finalement peu étrange car les PANs sont, après enquête, facilement caractérisables.
L'étrangeté était au premier abord surtout créée par le fait que le témoin n°1 n'avait pas observé les premiers avions lors de leur phase initiale d'approche, leur feux d'atterrissage étant possiblement éteints et les conditions d'observation étant défavorables.
Le GEIPAN classe ce cas en « B » comme confusion probable avec les feux de navigation d'avions de chasse.