Date de publication
11 décembre 2015

Poursuite de la publication des cas de 1954

Le GEIPAN poursuit petit à petit son travail de publication de cas anciens (voir actualité d’Avril 2015), grâce à l’aide précieuse d’un expert du GEIPAN (expert depuis 1977).

Poursuite de la publication des cas de 1954


Le GEIPAN poursuit petit à petit son travail de publication de cas anciens (voir actualité d’Avril 2015), grâce à l’aide précieuse d’un expert du GEIPAN (expert depuis 1977).

Après un travail opiniâtre et méticuleux, nous avons le plaisir de publier la quasi-totalité des cas anciens de l’année 1954, particulièrement fertile.


Il faut savoir que durant l’année 1954 et particulièrement  en octobre, la presse nationale et régionale a publié un grand nombre d’articles relatant des observations de (le journal RADAR ayant lancé une récompense pour la personne qui apporterait une photo d’ ). Ceci a marqué la population et a suscité un grand nombre de rapports d’observations de phénomènes qui apparaissent après enquête comme banals (Lune, étoiles, avions, bolide…). 
Néanmoins l’année 1954 ayant été une année emblématique à ce propos il fallait que les cas de cette année-là apparaissent enfin.

Vous pourrez découvrir dans ces cas :

  • des rapports d’origine militaire, de source très fiable, particulièrement précis et bien documentés.
  • certains documents inédits relatifs à des cas d’observation célèbres dans le monde ufologique.

Ces cas n’avaient jamais été enquêtés et publiés et ne sont donc pas des reprises de cas.
Il reste à publier des cas dits NATIONAUX dans lesquels sont regroupés plusieurs témoignages répartis sur le territoire national,  qui sont a priori des observations de rentrées atmosphériques ou bolides. 

Malgré le délai très important, ces mini-enquêtes ont permis d’une part de trouver des explications tout à fait satisfaisantes à certaines observations, donc classées en A ou B, et aussi de mettre en avant certains cas réellement étranges et inexpliqués à ce jour, classées en catégorie D1.
Nombre de ces cas restent bien sûr en catégorie C faute d’information suffisante.