AURORE BOREALE — SAINT-PIERRE-QUIBERON, BENNECOURT (56, 78) 13.03.1989
Résumé
Observations par plusieurs témoins dans les Yvelines et le Morbihan d'un phénomène lumineux important dans les nuages : observations d'une aurore boréale.
Description
Le GEIPAN continue à publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens classés à l'époque en cas de type « B » et qui font aujourd'hui l'objet d'un réexamen, dans le seul but d'être plus pertinent dans les conclusions. Grâce à de nouveaux moyens techniques (logiciels) et à l'expérience d'enquête acquise depuis toutes ces dernières années, ce réexamen aboutit quelquefois à de nouvelles remarques voire à un changement de classification explicité dans une note d'enquête. Ce cas d'observation (précédemment nommé Bonnières-Sur-Seine (78) 13.03.1989) fait partie de cas classés « B » en 1989 par le SEPRA "phénomène naturel spectaculaire de propagation lumineuse".
Le 13 mars 1989, entre 22h30 et 23h28, plusieurs témoins, dans le Morbihan (56) et dans les Yvelines (78), observent un phénomène lumineux de grande ampleur dans les couches de nuages. Les couleurs observées sont très variées, jaune, vert, et rouge. Les gendarmeries qui ont mené les enquêtes rapprocheront ce phénomène de l'éruption solaire qui a eu lieu à la même époque et qui a été relatée par les médias.
Le phénomène décrit présente beaucoup de caractéristiques communes (durée d'observation, taille, couleur) avec un phénomène astronomique parfaitement connu : une aurore boréale. De plus, une aurore boréale a effectivement été observée exceptionnellement en France le 13 mars 1989 (voir les notes d'enquête).
Il est parfaitement normal que les témoins n'aient pas reconnu de suite une aurore boréale, car ce phénomène astronomique est rarement observé depuis la France métropolitaine (occurrence d'environ une tous les dix ans).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'étrangeté faible est classé comme PAN A, observation d'une aurore boréale.
Le 13 mars 1989, entre 22h30 et 23h28, plusieurs témoins, dans le Morbihan (56) et dans les Yvelines (78), observent un phénomène lumineux de grande ampleur dans les couches de nuages. Les couleurs observées sont très variées, jaune, vert, et rouge. Les gendarmeries qui ont mené les enquêtes rapprocheront ce phénomène de l'éruption solaire qui a eu lieu à la même époque et qui a été relatée par les médias.
Le phénomène décrit présente beaucoup de caractéristiques communes (durée d'observation, taille, couleur) avec un phénomène astronomique parfaitement connu : une aurore boréale. De plus, une aurore boréale a effectivement été observée exceptionnellement en France le 13 mars 1989 (voir les notes d'enquête).
Il est parfaitement normal que les témoins n'aient pas reconnu de suite une aurore boréale, car ce phénomène astronomique est rarement observé depuis la France métropolitaine (occurrence d'environ une tous les dix ans).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'étrangeté faible est classé comme PAN A, observation d'une aurore boréale.