[AERO-RYR2BB] BOUGUENAIS (44) 04.12.2021
Résumé
Observation d'un PAN lors d'un vol en approche d'un aéroport et manœuvre d'évitement : manque d'informations.
Description
Le GEIPAN a reçoit un signalement sous forme d'un AIR SAFETY REPORT (rapport d'incident), renseigné par l'équipage du vol RYANAIR RYR2BB vol FR4603 LONDRES-NANTES. Le pilote rapporte avoir été confronté à la présence d'un trafic conflictuel à 6000 pieds alors qu'il était en approche de l'aéroport de NANTES (AÉROPORT NANTES ATLANTIQUE, LFRS-NTE).
Le pilote a été obligé de réaliser une manœuvre d'évitement. Il a accéléré sa descente pour éviter toute collision. Lorsque l'avion est passé sous le PAN, ce dernier est estimé à une distance de 300 à 400 pieds au-dessus de l'avion.
Le PAN n'apparaît pas au TCAS (instrument de bord d'avion destiné à éviter les collisions en vol entre aéronefs) ni sur le radar de l'aéroport. Aucun autre trafic n'a été rencontré lors de l'atterrissage.
Le pilote évoque la possibilité d'un drone.
La gendarmerie des transports aériens BGTA NANTES-ATLANTIQUE a enquêté pensant l'hypothèse d'un drone probable.
Le dossier manque d'informations. Aucun élément ne confirme la présence d'un drone.
Le GEIPAN, s'appuyant sur l'enquête de gendarmerie, n'a pas mené d'enquête spécifique.
Le GEIPAN classe ce cas en catégorie "C" : manque d'informations.
Le pilote a été obligé de réaliser une manœuvre d'évitement. Il a accéléré sa descente pour éviter toute collision. Lorsque l'avion est passé sous le PAN, ce dernier est estimé à une distance de 300 à 400 pieds au-dessus de l'avion.
Le PAN n'apparaît pas au TCAS (instrument de bord d'avion destiné à éviter les collisions en vol entre aéronefs) ni sur le radar de l'aéroport. Aucun autre trafic n'a été rencontré lors de l'atterrissage.
Le pilote évoque la possibilité d'un drone.
La gendarmerie des transports aériens BGTA NANTES-ATLANTIQUE a enquêté pensant l'hypothèse d'un drone probable.
Le dossier manque d'informations. Aucun élément ne confirme la présence d'un drone.
Le GEIPAN, s'appuyant sur l'enquête de gendarmerie, n'a pas mené d'enquête spécifique.
Le GEIPAN classe ce cas en catégorie "C" : manque d'informations.