CHATEL-MONTAGNE (03) --.08.1998

Résumé
Témoignage récent d'une observation ancienne du passage à basse altitude d'un cylindre sombre avec des hublots lumineux : manque d'informations fiables.
Description
Témoignage récent (2014) d'une observation ancienne (été 1998 - la date du jour n'est pas donnée : nous datons arbitrairement au 01).
En juillet ou en août 1998, un jeune garçon, joue en compagnie d’un autre dans une propriété située en pleine campagne près de CHATEL-MONTAGNE (Allier). Leur attention est attirée par un objet de forme allongée, de couleur grise, avec des hublots (nombre indéterminé) laissant passer une lumière intérieure blanche. L’objet apparait à la droite du chalet se situant devant eux et passe de leur droite vers leur gauche dans le ciel dégagé.
Le témoin principal décrit l’objet comme étant un « cylindre» qu’il estime d’une taille approchant les 50 m de long d’aspect « comme dur » et d’une couleur sombre « cuivre » (Pantone n° ON. 00.36 ou ON.00.45). L’objet qui se déplaçe silencieusement, semble frôler la cime des arbres proches puis il disparait un peu plus loin, derrière les arbres d’une colline.
L’observation a duré entre 30 secondes à une minute. Les enfants courent prévenir les adultes qui dînent à l’extérieur en tournant le dos au phénomène et à sa trajectoire. Aucun adulte n'a pu confirmer leur observation. Un seul témoignage est recueilli.
L’étrangeté vécue par le témoin résultait d’un « objet cylindrique avec des hublots laissant passer des lumières blanches ».
Il s’agit d’un témoignage récent (2014) d’une observation ancienne (1998). Le témoin avait alors 12 ans. Il n’est pas en mesure aujourd’hui de déterminer la date précise du jour et mois de l’observation (il indique le mois d'août sur le questionnaire mais indiquera le mois de juillet comme possible à l'enquêteur). Dans ces conditions, malgré une rencontre avec le témoin, le champ d’enquête reste très limité. L’hypothèse d’un ballon solaire (type Piff gadget) est possible du fait de la forme, du déplacement silencieux et répond à l’essentiel de l’étrangeté. Mais il est impossible de vérifier la cohérence du sens de déplacement avec le vent. (voir le compte rendu d'enquête).
En conclusion, le cas admet une possible explication, qui compte tenu du peu d’information, ne peut être infirmée ou confirmée.
En conséquence, le GEIPAN classe en C : manque d’informations fiables.