SAINT-PRIX (03) 31.01.2016
Résumé
Observation d'une barre lumineuse blanche stationnaire dans le ciel et disparaissant dans les nuages : manque d'informations.
Description
Le dimanche 31 janvier 2016 vers 18h45 un témoin observe dans le ciel un ensemble de lumières blanches évoquant des lumières halogènes et formant une barre immobile. Aucun bruit n'est entendu. Le phénomène disparait rapidement derrière un nuage. Aucun autre témoignage n'est recueilli pour ce jour là. Le témoin faisant des recherches découvre qu'un objet similaire a été vu à Vichy en 2012.
Certains points donnent de l'étrangeté à ce témoignage : la forme (barre lumineuse blanche de 5° de large), la forte hauteur d’élévation (70°), l'immobilité angulaire et les nuages pouvant passer au devant. Astres, avions, ballons, et lanternes semblent exclus, resterait éventuellement un hélicoptère de chantier porteur d'une poutre ou d'une rampe éclairée ? La gendarmerie signale des travaux de surveillance de lignes EDF par hélicoptère lors des jours ou semaines précédentes mais jamais le dimanche.
Le témoin n’étant pas allé témoigner à la gendarmerie comme demandé par le GEIPAN et n'ayant pas donné suite aux deux demandes de rencontre avec l’enquêteur GEIPAN, il n’est pas possible de mieux comprendre ce témoignage et de le traiter.
En conséquence le GEIPAN classe le cas en C : pas de réponse témoin, manque d'information fiable.
Certains points donnent de l'étrangeté à ce témoignage : la forme (barre lumineuse blanche de 5° de large), la forte hauteur d’élévation (70°), l'immobilité angulaire et les nuages pouvant passer au devant. Astres, avions, ballons, et lanternes semblent exclus, resterait éventuellement un hélicoptère de chantier porteur d'une poutre ou d'une rampe éclairée ? La gendarmerie signale des travaux de surveillance de lignes EDF par hélicoptère lors des jours ou semaines précédentes mais jamais le dimanche.
Le témoin n’étant pas allé témoigner à la gendarmerie comme demandé par le GEIPAN et n'ayant pas donné suite aux deux demandes de rencontre avec l’enquêteur GEIPAN, il n’est pas possible de mieux comprendre ce témoignage et de le traiter.
En conséquence le GEIPAN classe le cas en C : pas de réponse témoin, manque d'information fiable.