RAZES (87) 23.09.2013
Résumé
Trois observations successives du déplacement de formes avec des lumières de couleur non clignotantes : manque d'information.
Description
Une automobiliste est intriguée par trois observations successives faites le 23 septembre vers 20h30. A la sortie de l'autoroute A20 le témoin décrit une grosse forme triangulaire avec trois lumières (rouge, jaune et bleue) à chaque extrémité. Un peu plus loin elle observe une autre forme similaire plus éloignée. Et enfin au détour d'un virage elle apercevra une masse lumineuse "patatoidale" qui vole bas et lentement et autour de laquelle se trouve de petits triangles. Aucun autre témoignage ne sera recueilli.
Ce cas repose sur 3 observations d’un témoin isolé, durant un trajet d’une dizaine de kilomètres en voiture. Le stress du témoin augmente visiblement durant son récit. Les 2e et 3e observations peuvent donc avoir été influencées par l’observation du premier PAN qui a fortement impressionné le témoin.
Ces trois observations peuvent toutes faire l’objet d’hypothèses d’explications plausibles, mais aucune d’entre elles n’a pu être prouvée (voir le compte rendu d'enquête). L’étrangeté de ce cas peut donc être estimée à 0.5. La consistance du récit est faible : l’observatrice est isolée au moment de son récit, même si elle croise d’autres véhicules qui ne paraissent pas surpris par le PAN, ce qui étonne d’ailleurs le témoin. Elle a été très émue par ces observations lors de l’entretien, ce qui a pu perturber la précision du récit. D’autre part, certaines incohérences du récit (présence de la Lune) affaiblissent la consistance du PAN, évaluée à 0.5.
En conclusion, à partir de ces éléments le GEIPAN classe ce cas en catégorie C, par manque d’informations vérifiables et de recoupements.
Ce cas repose sur 3 observations d’un témoin isolé, durant un trajet d’une dizaine de kilomètres en voiture. Le stress du témoin augmente visiblement durant son récit. Les 2e et 3e observations peuvent donc avoir été influencées par l’observation du premier PAN qui a fortement impressionné le témoin.
Ces trois observations peuvent toutes faire l’objet d’hypothèses d’explications plausibles, mais aucune d’entre elles n’a pu être prouvée (voir le compte rendu d'enquête). L’étrangeté de ce cas peut donc être estimée à 0.5. La consistance du récit est faible : l’observatrice est isolée au moment de son récit, même si elle croise d’autres véhicules qui ne paraissent pas surpris par le PAN, ce qui étonne d’ailleurs le témoin. Elle a été très émue par ces observations lors de l’entretien, ce qui a pu perturber la précision du récit. D’autre part, certaines incohérences du récit (présence de la Lune) affaiblissent la consistance du PAN, évaluée à 0.5.
En conclusion, à partir de ces éléments le GEIPAN classe ce cas en catégorie C, par manque d’informations vérifiables et de recoupements.