[D17] de MONTPELLIER (34) vers SAINT-MATHIEU-DE-TREVIERS (34) 28.06.1998
Résumé
Observation par un automobiliste en panne d'un objet flottant à ras du sol et décollant à la verticale avec trois "êtres" à l'intérieur : manque d'informations fiables.
Description
Le GEIPAN continue à publier l'ensemble de ses archives sur son site: www.cnes-geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens classés à l'époque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un réexamen, dans le seul but d'être plus pertinent dans les conclusions. Grâce à de nouveaux moyens techniques (logiciels) et à l'expérience d'enquête acquise depuis toutes ces dernières années, ce réexamen aboutit quelquefois à de nouvelles remarques voire à un changement de classification.
Ce cas d'observation précédemment classé D fait partie d'un ensemble de cas réexaminés récemment.
Dans la nuit du 27 au 28 juin 1998 vers une heure du matin, un automobiliste est soudain victime d'une panne totale de son véhicule (arrêt moteur, phares, radio). Il se gare sur le bas côté et aperçoit alors une lueur verte devant son véhicule. Le témoin descend et s'approche mais se sent comme paralysé. Il observe alors un objet conique stationnaire flottant au-dessus du sol et un être qui se dirige vers l'intérieur de l'objet doté de trois sièges dont deux sont occupés. L'objet décolle ensuite rapidement à la verticale. Le témoin reprenant son calme progressivement reprend son véhicule. Le lendemain, le témoin s'aperçoit qu'il a un trou de mémoire important concernant ce qu'il avait fait en partie la veille au soir. Il retourne sur les lieux accompagné mais aucune trace n'est visible. Un seul témoignage est enregistré. La gendarmerie sur place n'a retrouvé aucune trace ou aucun indice.
Le présent témoignage est d'une extrême étrangeté :
- engin conique sans ailes, flottant hors sol et décollant à la verticale ;
- petits hommes à tête ovale et quatre doigts entrant dans l'engin par une passerelle avant le décollage.
Le cas a alors été classé D. Au regard de la méthodologie actuelle du GEIPAN (voir La méthodologie de classification du GEIPAN), ce classement n'est pas correct.
En effet, la consistance du témoignage n'est pas suffisante pour valider un caractère inexpliqué ou inexplicable. En terme d'information, il aurait fallu ici un deuxième témoin indépendant et/ou des traces indiscutables (photos ou trace au sol). La fiabilité est aussi en cause puisque le témoin ne se souvient pas de ce qu'il a fait les 4 heures précédant cette observation, on peut donc se demander si cette observation n'est pas le fruit d'un autre type d’altération du souvenir.
En conséquence le GEIPAN classe le cas C : témoignage inexploitable.
Ce cas d'observation précédemment classé D fait partie d'un ensemble de cas réexaminés récemment.
Dans la nuit du 27 au 28 juin 1998 vers une heure du matin, un automobiliste est soudain victime d'une panne totale de son véhicule (arrêt moteur, phares, radio). Il se gare sur le bas côté et aperçoit alors une lueur verte devant son véhicule. Le témoin descend et s'approche mais se sent comme paralysé. Il observe alors un objet conique stationnaire flottant au-dessus du sol et un être qui se dirige vers l'intérieur de l'objet doté de trois sièges dont deux sont occupés. L'objet décolle ensuite rapidement à la verticale. Le témoin reprenant son calme progressivement reprend son véhicule. Le lendemain, le témoin s'aperçoit qu'il a un trou de mémoire important concernant ce qu'il avait fait en partie la veille au soir. Il retourne sur les lieux accompagné mais aucune trace n'est visible. Un seul témoignage est enregistré. La gendarmerie sur place n'a retrouvé aucune trace ou aucun indice.
Le présent témoignage est d'une extrême étrangeté :
- engin conique sans ailes, flottant hors sol et décollant à la verticale ;
- petits hommes à tête ovale et quatre doigts entrant dans l'engin par une passerelle avant le décollage.
Le cas a alors été classé D. Au regard de la méthodologie actuelle du GEIPAN (voir La méthodologie de classification du GEIPAN), ce classement n'est pas correct.
En effet, la consistance du témoignage n'est pas suffisante pour valider un caractère inexpliqué ou inexplicable. En terme d'information, il aurait fallu ici un deuxième témoin indépendant et/ou des traces indiscutables (photos ou trace au sol). La fiabilité est aussi en cause puisque le témoin ne se souvient pas de ce qu'il a fait les 4 heures précédant cette observation, on peut donc se demander si cette observation n'est pas le fruit d'un autre type d’altération du souvenir.
En conséquence le GEIPAN classe le cas C : témoignage inexploitable.