id_cas;cas_nom_dossier;cas_zone_nom;cas_zone_code;cas_zone_type;cas_AAAA;cas_MM;cas_JJ;cas_resume;cas_resume_web;cas_public;cas_temoignages_nb;cas_temoins_nb;cas_temoins_nb_approx;cas_nb_PAN;cas_nb_PAN_approx;cas_MinCercleInscrit_Lat;cas_MinCercleInscrit_Lng;cas_MinCercleInscrit_Err;cas_date_maj;cas_etrangete;cas_etrangete_err;cas_etrangete_calc;cas_etrangete_calc_err;cas_fiabilite;cas_fiabilite_err;cas_fiabilite_calc;cas_qte_information;cas_qte_information_calc;cas_consistance;cas_consistance_calc;cas_consistance_calc_err;cas_classification;cas_classification_calc;cas_numEtude
2;"MARIGOT (LE) (972) --.--.1937";Martinique;972;"(D) D�partement";1937;--;--;"T�moignage r�cent (11/09/1979) d'une observation ancienne faite en 1937 dans l'Est de la Martinique (le t�moin ne se souvient plus de la date du jour et mois ; le premier janvier est une date donn�e arbitrairement.).
Le t�moin rapporte avoir vu � 18h le passage Ouest-Est d'un globe bien �clair� par le soleil couchant progressant lentement. Le t�moin d�crit le ph�nom�ne comme ayant un diam�tre sup�rieur � la Lune. Le ph�nom�ne disparait progressivement � l'horizon. L'observation a dur� pr�s d'une minute.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli. Le GEIPAN classe de cas en C : manque de pr�cisions.";"Observation du d�placement d'un globe �clair� par le soleil couchant ; disparition � l'horizon : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2015-12-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1937-01-01656
3;"[AERO MIL] ORANGE (84) 15.06.1951";Vaucluse;84;"(D) D�partement";1951;06;15;"Le 15 juin 1951 � 11h30 deux pilotes d�collent de la base a�rienne d'Orange-Caritat. Un des pilotes est surpris de voir un engin d'apparence circulaire ou sph�rique argent� et tr�s brillant dans le ciel. Il informe son chef de patrouille qui l'aper�oit � son tour. L'engin est stationnaire et situ�, d'apr�s un des pilotes, dans le sud du massif du Pelvoux (massif des Ecrins) � la m�me altitude que les sommets du Pelvoux et que son avion (10 000pieds). Les deux avions poursuivent cet engin qui leur semble grossir. L'engin se d�place ensuite sur une trajectoire l�g�rement montante en prenant une forme oblongue. L'observation simultan�e durera environ 6 minutes avant que l'engin ne disparaisse sous la forme d'un point � l'horizon.
L'enqu�te de l'�poque men�e par le commandant de la base confirme la cr�dibilit� des observations.
On note que certaines descriptions dans ces t�moignages font penser � un ballon stratosph�rique observ� de loin. N�anmoins du fait que l'un des pilotes signale un �loignement rapide de l'objet quant il tente de s'en rapproocher, ne convient pas � cette hypoth�se. Le GEIPAN classe ce cas en D1 : ph�nom�ne �trange non identifi�.";"Observations par deux pilotes en vol d'un ph�nom�ne tr�s brillant stationnaire puis en d�placement dans le ciel ; poursuite avant disparition � l'horizon : ph�nom�ne �trange non identifi�.";O;2;2;;;;;;;2017-01-16;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;1951-06-00002
4;"BIARRITZ (64) --.08.1951";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";1951;08;--;"T�moignage r�cent (20/03/1975) d'une observation ancienne (le t�moin ne se souvient pas de la date du jour exacte ; le cas est dat� arbitrairement du 01/08/1951).
En aout 1951 vers minuit un t�moin � Biarritz au bord d'une falaise est surpris par le passage le long de la c�te d'une masse volante ayant la forme de deux assiettes � soupe accol�es portant sur son pourtour des zones en forme de hublots d'o� �mane une fluorescence verd�tre. La trajectoire donn�e par le t�moin est N-S puis E-O. L'objet est vu durant 10 � 15 secondes. Effray� le t�moin se jette au sol entrainant sa femme qui verra �galement la masse se d�placer. Aucun bruit n'est entendu. Les t�moins se rel�vent mais l'objet a disparu. Un seul t�moignage est recueilli.
Certains aspects du t�moignage font penser � une observation de bolide : la dur�e d'observation du ph�nom�ne, l'impression de proximit�, la fluorescence verd�tre. N�anmoins certains autres d�tails ne conviennent pas pour cette hypoth�se (masse volante, changement de direction). La m�connaissance de la date pr�cise, l'unicit� du t�moignage et le d�lai important entre l'�v�nement et le r�cit rendent ce t�moignage peu consistant. Le GEIPAN classe ce cas en C par manque d'information essentielle et de recoupement.";"OBSERVATION DU D�PLACEMENT SILENCIEUX AVEC CHANGEMENT DE DIRECTION D'UNE MASSE DE LA FORME DE DEUX ASSIETTES ACCOLL�ES AVEC DES ZONES VERT FLUORESCENT SUR LE POURTOUR, D�PLACEMENT RAPIDE : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2016-12-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1951-08-00003
5;"PORT-GENTIL (GA.8) 01.06.1952";Ardennes;8;"(D) D�partement";1952;06;01;"Le 1er juin 1952 � 2h40 du matin, deux personnes d'un �quipage d'un navire au mouillage en rade de Port-Gentil (Gabon), observent un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Dans un premier temps le second capitaine voit tr�s distinctement un objet venant de l'int�rieur des terres qui stoppe, vire sur la droite et reprend sa route initiale ceci � deux reprises (le deuxi�me virage ayant eu lieu � la verticale du navire). Il t�l�phone au commandant qui regarde alors avec des jumelles et qui voit durant trois minutes une lueur circulaire orange extr�mement lumineuse et phosphorescente. Celle-ci se d�place � tr�s grande vitesse suivant une trajectoire sensiblement rectiligne. Le commandant perd de vue le ph�nom�ne.
Le commandant rapporte cette observation. Un croquis est r�alis� (auteur inconnu).Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Les hypoth�ses de bolide (m�t�ore) ou de tir de missile ont �t� �mises mais non consolid�es. Le GEIPAN classe ce cas D1 : ph�nom�ne �trange et non identifi�.";"Observations du passage d'un ph�nom�ne lumineux avec changement de trajectoire : ph�nom�ne �trange et non identifi�.";O;2;;;;;;;;2015-03-27;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;1952-06-00004
6;"CRECY-EN-PONTHIEU (80) 21.09.1952";Somme;80;"(D) D�partement";1952;09;21;"T�moignage r�cent (21/11/2010) d'une observation ancienne (21/09/1952).
Le t�moin, alors enfant, rentre de vacances dans la voiture de ses parents, lorsqu'ils sont arr�t�s par un autre automobiliste au bord d'une route. Tout proche, un engin circulaire de couleur gris m�tallis� stationne au-dessus d'un champ � environ 15m d'altitude. L'engin d�marre subitement, puis redescend � sa position initiale et repart vers les nuages.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Ce cas ancien d'une observation tr�s �trange a �t� soumis au Geipan en 2010. Le r�cit ne correspond � aucune des m�prises classiques. Une enqu�te serait bien difficile ; Comme ce cas fait partie du d�but de la vague d'OVNIs des ann�es 50, le GEIPAN le publie tel quel sans enqu�te, afin qu'il puisse �ventuellement �tre rapproch� d'autres observations semblables.
Ce cas issu d'un t�moin unique, relat� 58 ans apr�s les faits, est class� ""C"" par manque d'informations.";"Observation d'un engin circulaire de couleur gris m�tallis� stationnant au-dessus d'un champ : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1952-09-08193
7;"LIMOGES (87) 11.04.1953";Haute-Vienne;87;"(D) D�partement";1953;04;11;"Le 11 avril 1953 � 21h10 trois t�moins d'un entrep�t de l'arm�e de l'air observent le d�placement silencieux E-O d'un gros point rouge-orang�. Le capitaine d�crit un ph�nom�ne faisant un aller retour sur 45� de la voute c�leste en 6 minutes selon une ligne bris�e irr�guli�re formant des angles de 15� selon l'axe de d�placement. Le virage de 180� s'est fait �galement par changements de caps successifs. Les changements de caps s'effectuent toutes les secondes. Les deux autres t�moins ont suivi le ph�nom�ne deux � trois minutes. Le ph�nom�ne a finalement �t� perdu de vue. Un seul t�moignage sera recueilli.
Ce ph�nom�ne n'�voque aucune des m�prises connues. Le GEIPAN classe ce cas en D1: ph�nom�ne �trange non identifi�.";"Observations de l'aller-retour d'un ph�nom�ne lumineux rouge-orang� dans le ciel : ph�nom�ne non identifi� �trange.";O;2;1;;1;;;;;2017-01-16;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;1953-04-00005
8;"VELIZY-VILLACOUBLAY (78) 03.11.1953";Yvelines;78;"(D) D�partement";1953;11;03;"Le 3 novembre 1953 � 19h14 (TU soit 20h14 locale) la presse rapporte plusieurs t�moignages d'observations d'une sph�re lumineuse blanche dans le ciel. Ce ph�nom�ne est stationnaire dans le NE du ciel peu nuageux. Un controleur rapportera son observation sur le cahier de service de la tour le 3 novembre 1953. Il fera une d�position le 20 novembre 1953 indiquant que deux autres militaires avaient �galement fait la m�me observation.
Une carte du ciel montre Jupiter au NE avec une forte magnitude (-2,22) et une �l�vation de 3,6�. Le GEIPAN classe ce cas en A : m�prise astronomique avec la plan�te Jupiter.";"Observation d'une sph�re lumineuse blanche dans le NE du ciel : m�prise astronomique avec la plan�te Jupiter.";O;2;;;;;;;;2015-09-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;A;C;1953-11-00006
9;"MERS-EL-KEBIR (DZ.31) --.08.1954";Autre;00;"(D) D�partement";1954;08;--;"Un t�moin rapporte en 2012 une observation faite en juillet ou ao�t 1954 vers 20h (voir questionnaire) � Sainte-Clotilde (commune de Mers-el-K�bir) pr�s d'Oran (Alg�rie) ; le t�moin, � l'�poque, avait 15 ans. Il situe par la suite son observation un jour de semaine entre le 24 et 27 ao�t.
A Saint-Clotilde, un jour en fin de journ�e, des personnes attabl�es sont soudain surprises de voir tomber du ciel un disque orange-feu, tr�s lumineux. Il suit une trajectoire descendante vers la mer mais s'arr�te en plein ciel et reste immobile au-dessus de l'horizon. Le disque repart ensuite � grande vitesse dans une trajectoire ascendante � 45� vers l'Est avant de disparaitre. L'observation aura dur� environ deux minutes.
Un seul t�moignage sera recueilli sur ce ph�nom�ne. Cependant un article du Provencal du 27 ao�t 1954 relate une observation de bolide vu depuis Plan-de-Cuques (13) le 22 a�ut 1954 � 20h. L'hypoth�se d'observation de bolide peut expliquer une grande partie de l'observation d�crite dans ce cas.
Cependant, �tant donn� les nombreuses incertitudes sur ce cas : date pr�cise inconnue, souvenir ancien donc potentiellement alt�r�, deuxi�me partie de l'observation explicable seulement par une cause physiologique non v�rifiable, le GEIPAN classe ce cas � C � observation non exploitable, par manque d'informations fiables.";"Observation de la chute d'un disque lumineux orange : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-03-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1954-08-08234
10;"TANGER (MA.01) 05.09.1954";Autre;MA.01;"(D) D�partement";1954;09;05;"Le dimanche 05 septembre 1954 � 17h15 un couple et leur fille situ�s � proximit� du poste hertzien des P.T.T pr�s du cap Spartel (Maroc) observent la pr�sence tr�s haut dans le ciel d'une tache noire circulaire ayant approximativement des dimensions d'un avion. Un des t�moins rapporte que durant 10 minutes il a pu suivre, en direction du Sud, les �volutions de ce ph�nom�ne sombre. Aucune lueur, aucune fum�e ou �tincelles ne sont remarqu�es. Aucun bruit n'est entendu. Les �volutions sont ponctu�es par des arr�ts brusques. Le ph�nom�ne disparait vers l'Ouest en piquant vers la mer jusqu'� disparition � l'horizon. Un seul t�moignage est recueilli avec carte et sch�ma.
L'hypoth�se d'un avion provenant de la base a�rienne de Rabat-Sal� (base de la 8eme escadre de chasse sur avions Vampire) et effectuant des acrobaties a�riennes est possible. Les points fixes pourraient correspondre au moment o� le t�moin voit l'avion de face. Cependant le manque d'information concernant la taille angulaire de l'objet ainsi que sa disparition au-dessus de la mer vers l'horizon ne permet pas de consolider totalement cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas en C par manque d'information.";"Observation des d�placements d'une t�che sombre dans le ciel ; changements brusques de direction et disparition au-dessus de la mer � l'horizon : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2015-11-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1954-09-00007
11;"[CD47] DE HARPONVILLE (80) VERS CONTAY (80) 07.09.1954";Somme;80;"(D) D�partement";1954;09;07;"Le 7 septembre 1954 vers 7h30 deux t�moins se rendent � leur travail en bicyclette sur le chemin communal 47 entre Harponville (80) et Contay (80). Le temps est clair et sans brouillard. Ils observent au sol dans un champ � 200m de la route, une forme circulaire affect�e d'un mouvement oscillatoire. Les deux t�moins d�crivent un cylindre de couleur sombre � la surface sup�rieure l�g�rement bomb�e et avec une ouverture sur le tour.
Intrigu�s, les t�moins s'approchent � une centaine de m�tres et voit l'objet se lever sans bruit en oblique sur une quinzaine de m�tres puis � la verticale. Pendant l'ascension les t�moins remarquent de la fum�e gris bleue s'�chappant d'un tuyau. L'observation a dur� entre 4 et 5 minutes avant que le ph�nom�ne ne disparaisse dans le ciel. Les t�moins apeur�s partent imm�diatement � la gendarmerie.
Le m�me jour, l'enqu�te ne constate aucune trace au sol dans le champ. Un des t�moin ayant d�j� vu des h�licopt�res, il affirme qu'il ne s'agit pas d'un tel appareil. Aucun autre t�moignage n'est recueilli. La cr�dibilit� des t�moins n'est pas mise en cause.
Le GEIPAN classe ce cas en D1 : ph�nom�ne non identifi� �trange.";"Observations d'un objet circulaire au sol avec un mouvement d'oscillation. D�collage silencieux en oblique puis vertical en laissant �chapper une fum�e ; aucune trace au sol : ph�nom�ne non identifi� �trange.";O;4;;;;;;;;2015-11-23;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;1954-09-00008
13;"FIGEAC (46) 27.09.1954";Lot;46;"(D) D�partement";1954;09;27;"Le 27 septembre 1954 vers 8h40 trois enfants (10 ans, 8,5 ans et 5 ans) se rendent � l'�cole sur la RN 13 � l'Est de Ceint-D'eau (Figeac (26)) croisent un personnage de petite taille qui tire un coup de feu ce qui effaye les enfants. Les deux plus grands ont remarqu� auparavant une sorte de caisse dans le pr� bordant la route. Les deux enfants indiquent que la caisse s'est envol�e rapidement : l'ain�e � midi, la cadette vers 8h40.
La gendarmerie est pr�venue par l'instituteur. Les enfants sont entendus par les gendarmes le lendemain matin. Aucune trace au sol n'est relev�e par la gendarmerie. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Le GEIPAN classe ce cas C par manque d'information, informations contradictoires et manque de recoupements.";"Observations par des enfants d'un personnage de petite taille et d'une ""caisse volante"" : manque d'information et de recoupements.";O;6;;;;;;;;2015-11-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1954-09-00010
3952;"WIMEREUX (62) 02.10.1954";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1954;10;02;"Le 2 octobre 1954 un t�moin s'appr�te � photographier un dolmen vers 16 h par temps ensoleill� lorsqu'il aper�oit un objet de forme elliptique de couleur claire en d�placement SO-NE. Il prend deux photos et envoie les n�gatifs au journal � Radar �. La gendarmerie apprend l'�v�nement par la presse et ne rencontre le t�moin que le 15 octobre. Les tirages n'ont �t� joints qu'� la premi�re exp�dition du rapport (pas de photos jointes aux copies du rapport disponibles au GEIPAN).
Une br�ve enqu�te sur ce cas a �t� men�e par le GEPAN en fin des ann�es 70. Elle conclut que les photos n'auraient pas �t� publi�s dans le magazine � Radar � et que la recherche du t�moin (�g� d'environ 58 ans � l'�poque) sont rest�es vaines.
L'observation ne dure que quelques secondes, le temps de prendre deux photos coup sur coup. Le ph�nom�ne disparait avant que le t�moin ait le temps de modifier le r�glage de son appareil photo. La description trop succincte et l'absence de photos ne permettent pas d'analyser cette observation ; le GEIPAN classe ce cas en C.";"Observation rapide du d�placement SO-NE d'un objet elliptique tr�s clair dans le ciel : manque d'information";O;;;;;;;;;2015-11-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1954-10-09216
3945;"OYE-PLAGE (62) 27.10.1954";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1954;10;27;"Le 27 octobre 1954 vers 23h15 un t�moin marchant dans la rue (R.N. 40) aper�oit � une dizaine de m�tres devant lui une lueur opalescente. Il s'agit d'un � engin � en forme de cigare dont l'avant semble plus large que l'arri�re de 8 m de long et 0,80-1 m de diam�tre sans hublot ou porte. Il se d�place sans bruit � environ 30 km/h � une hauteur de 20 m au-dessus de la route dont il suit les sinuosit�s. Il d�gage une lumi�re blanc jaun�tre limit� aux contours de l'appareil et n'�clairant pas le toit des maisons qu'il survole. Il dispara�t dans une courbe de la chauss�e, r�apparait plus loin puis oblique brusquement sur sa gauche (vers le Sud-Ouest) � l'entr�e de la commune de Marck � 5 km. Il appara�t alors immobile en forme de sph�re d'un rayonnement plus intense et plus jaune. Le t�moin rentre chez lui, pr�pare son repas, observe encore l'objet au m�me endroit mais apr�s son repas l'objet a disparu. Malgr� les efforts du t�moin pour qu'une autre personne constate le ph�nom�ne, il sera le seul � faire cette observation.
Cette observation est d'une consistance moyenne avec un seul t�moin a priori de bonne foi. Ce qu'il d�crit n'est pas tr�s �trange puisque ne s'agit que d'un point lumineux observ� d'assez loin. Les d�placements de l'objet ne sont constat�s que lorsque le t�moin se d�place : arriv� � son domicile, il percevra l'objet immobile. Plusieurs hypoth�ses sont envisageables :
- une lumi�re tr�s �loign�e et basse sur l'horizon qui de ce fait parait suivre les d�placements du t�moin ; une v�rification astronomique indique seulement la plan�te Mars dans le direction d'observation du t�moin mais elle se couche � 23h. On peut aussi envisager une lumi�re du port de Calais.
- un phare d'h�licopt�re aurait pu rendre le m�me effet.
Le GEIPAN classe ce cas en C par manque de recoupements.";"Observation du d�placement silencieux et des �volutions d'un cigare blanc-jaun�tre : manque de recoupements.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1954-10-09244
4698;"PLOEMEUR (56) 02.09.2017";Morbihan;56;"(D) D�partement";2017;09;02;"Le 02 septembre 2017 � 22h30 un t�moin observe durant 1 � 2 minutes le passage silencieux au-dessus de Ploemeur et Lorient d'une vingtaine de lumi�res de couleur blanch�tre. Le t�moin appelle un voisin avec son t�l�phone portable. Les lumi�res sont perdues de vue rapidement car cach�es par les arbres d'un bois � proximit� du domicile du t�moin. Un seul questionnaire est recueilli.
Le t�moin a tr�s probablement vu un vol de lanternes tha�landaises, tout dans son t�moignage refl�te la multitude de t�moignages enregistr�s au GEIPAN pour des l�chers de lanternes suppos�s comme av�r�s :
- le t�moin dit ""Ils �taient silencieux. Une lumi�re scintillait sous chaque appareil, et l'�clairait. Par contre aucun feu de navigation ou feu � �clats, n'�tait visible."", ce qui est bien l'aspect typique d'une lanterne ;
- l'ensemble se d�pla�ait dans le sens du vent qui est bien de SSO vers NNE, voir mesure faite � 4km de l� (Infoclimat).
;
- on est une nuit de week-end, � ciel d�gag�, propice � des �v�nements festifs.
Le t�moin r�fute cette explication du GEIPAN car :
- c'est trop gros : il est usuel qu'un t�moin appr�cie mal la distance d'un objet qui lui est inconnu, et par cela il �value mal la taille de l'objet, ainsi que la vitesse. Il �tait plus pr�s qu'il le pense ;
- il n'y avait pas de vent : le t�moin est au pas de porte de sa maison, ce qui est un lieu non id�al pour appr�cier le vent et encore moins s'agissant du vent � 100 ou 200m d'altitude (celle des lanternes) ;
- le t�moin est fortement impressionn� et semble ne pas croire � une explication aussi simple. Il est fr�quent que les t�moins soient impressionn�s, voir par exemple ce t�moignage (CHATEAUFORT (78) 10.07.2011). C'est aussi parce que beaucoup savent reconna�tre les lanternes qu'aucun autre t�moin ne s'est fait conna�tre cette nuit l�. Notre t�moin pense le contraire et se dit que des lanternes auraient forcement d�clench� d'autres t�moignages.
Le t�moin a ""v�cu un moment unique"", on le comprend mais le plus probable est qu'il s'agissait de lanternes.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage silencieux d'une vingtaine de lumi�res dans le ciel nocturne d�gag� : observation probable de lanternes tha�landaises.";O;;1;;20;;;;;2018-06-18;;;0.25;0.00;;;0.70;;0.65;;0.50;0.00;B;B;2017-09-50529
4422;"PONCEY-SUR-L'IGNON (21) 04.10.1954";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";1954;10;02;"Les 02 et 04 octobre 1954 plusieurs personnes de la commune de Poncey-sur-l'Ignon (21) vont �tre t�moins de ph�nom�nes qui les intriguent. Le PV fait �tat des deux s�ries d'�v�nements distincts dans un m�me secteur trait�s ici chronologiquement.
Le premier �v�nement a lieu le 02 octobre 1954 � Poncey-sur l'Ignon. A 19h40, une cultivatrice (T6) qui vient de traire les vaches, remarque d'abord dans le ciel ""un engin lumineux"" ""se rapportant � tout ce que l'on voit dans la presse ces jours-ci"". Le t�moin rapporte qu'elle a vu � comme un rayon de lune � qui ""�clairait la cour"". Elle pense qu'il s'agit de la Lune mais d�couvre que celle-ci a une forme bizarre. En fixant son attention, le t�moin observe alors un cylindre vertical dont elle estime la hauteur � 1,5m et le diam�tre � 80cm. Il est lumineux sur toute sa surface, de couleur orange avec un reflet vert autour et se d�place debout � faible hauteur et plut�t pr�s des b�timents. Convaincue qu'il ne s'agit pas de la Lune mais d'un ""engin"" inconnu, elle avertit son mari, son fils et une voisine (T7). Ces derniers ont le temps de voir la lumi�re venant du Nord dispara�tre vers le Sud. La voisine (T7) d�crit une boule lumineuse comme un ballon de football plus orang�e qu'une ampoule �lectrique et se d�pla�ant silencieusement.
Une confusion avec la Lune, peut �tre partiellement cach�e par des nuages en mouvement, ne peut pas �tre exclue en d�pit des d�n�gations du t�moin. La Lune se trouve en effet tr�s bas sur l'horizon (6�) au Sud-Ouest (azimut 220�). Dans son t�moignage, le t�moin T6 ne pr�cise pas exactement son emplacement et la direction d'observation (""dans le ciel""); de plus elle n'indique pas avoir vu � la fois la Lune et ""l'engin"". Les t�moins d�crivent un mouvement d'�loignement � faible vitesse � vers le Sud � mais la description de la disparition est trop impr�cise. Toutefois, le ph�nom�ne pr�sente des similitudes avec d'autres r�cits deux jours plus tard dans la m�me commune (voir ci-dessous). Ce premier cas est class� C par manque d'information.
La seconde s�rie d'�v�nements a lieu le 04 octobre 1954 au Val d'Ignon au lieu-dit 'l'usine d'amiante"" � 1km au sud du village de Poncey-sur-l'Ignon (21). Ce lieu-dit est compos� d'un groupe de b�timents dont une partie sert d'habitation � trois familles d'ouvriers. Il est entour� au Nord, � l'Est et � l'Ouest par des pr�s et au Sud par un �tang.
Vers 19h30, alors qu'elle ferme les volets de sa chambre, une jeune femme (T1) voit en direction du Nord, au-dessus d'un prunier situ� dans la cour, une lumi�re assez forte de couleur jaun�tre, en forme de champignon, semble-t-il, ovale � la partie sup�rieure et ronde � la partie inf�rieure, se pr�sentant comme un globe transparent �clair� de l'int�rieur. Elle estime sa hauteur � une quinzaine de m�tres, sa distance � 50 m et compare sa taille � celle d'une cuisini�re. Aucun bruit particulier n'est entendu. Elle ne la regarde que quelques instants et ne peut pr�ciser son �tat de mouvement. Prise de panique, elle prend son enfant et va chercher refuge chez une voisine (T2) qui est seule avec sa fille (T3). Aucun autre t�moin n'observera ce ph�nom�ne.
Vers 20h30, le gendre (T4) et le fils (T8) de la voisine arrivent et trouvent les trois femmes apeur�es. Ensemble ils vont dans le pr� contigu � la cour � l'endroit dans la direction d'observation du ph�nom�ne par le T1. Ils constatent la pr�sence d'une zone approximativement rectangulaire (1,50 x 0,50-0,70 m) creus�e dans le sol (sur 5 cm) avec de la terre bris�e aux deux extr�mit�s et les mottes de terre et d'herbe r�pandues alentour dans un cercle d'environ 4 m de rayon. Les mottes de tailles in�gales (en g�n�ral 30 x 20 cm sauf deux de 60 cm) sont retourn�es herbe vers le bas. Deux t�moins (T2 et T4) rapportent la pr�sence de nombreux vers blancs vivants pr�sents au milieu des traces.
Vers 20h45, le second fils de la voisine (18 ans) (T5), revenant de son travail au village voisin distant de 1,5 km, aper�oit bri�vement dans le ciel, un � engin � en forme de cigare sans aile, enti�rement lumineux, de couleur � transparente � avec des reflets vert et orange qui traverse le ciel tr�s rapidement en direction Nord-Sud. Apeur� par cette vision, il rentre rapidement chez ses parents. Aucun autre t�moin observera ce ph�nom�ne.
Les gendarmes sont pr�venus le 05 octobre � 19h30 et constatent les traces au sol le soir m�me. Ils proc�dent � l'enqu�te et constituent le dossier photographique le 06 octobre 1954. Ils examinent la possibilit� d'une farce du gendre et du fils de la voisine (d'autant qu'en rentrant le 04 au soir ces derniers avaient l'intention de faire une farce � propos d'une soucoupe volante !) mais, apr�s v�rification de leur emploi du temps, les gendarmes rejettent cette hypoth�se. D'apr�s le T4 qui habite le quartier aucun b�tail n'est en p�ture dans le pr� et il n'a vu personne r�der dans cet endroit la veille.
Un examen rapide des faits sugg�re quatre hypoth�ses pour cette deuxi�me observation : pour le ph�nom�ne lumineux la lune ou un phare de v�hicule sur la colline voisine, et pour les traces au sol un fouissement de terre par des sangliers � la recherche de vers ou un canular.
La Lune est effectivement assez basse sur l'horizon (�l�vation 16�). Toutefois, elle se trouve au Sud (azimut 197�). Or le PV pr�cise que l'observation s'est faite vers le Nord. Une reconstitution pr�cise des lieux fond�e sur des photographies (voir carte de reconstitution) confirment qu'il ne s'agit pas l� d'une erreur et que la fen�tre d'o� le t�moin a fait sa br�ve observation donne bien au Nord. L'hypoth�se Lune tombe.
Le phare d'un v�hicule sur la route D26 ou dans le virage de la D103 aurait pu �tre visible depuis l'emplacement du t�moin vers le Nord (voir carte IGN 1963 ou l'on constate que le couvert v�g�tal est peu dense). Mais cette hypoth�se ne peut �tre confirm�e par m�connaissance du lieu tr�s pr�cis de l'observation et de la direction pr�cise du ph�nom�ne. Un enqu�teur priv� s'est rendu sur les lieux en ao�t 2015 pour tenter de pr�ciser la topographie de l'observation : les lieux ont peu chang� mais les habitants de 1954 n'habitent plus sur place ou sont d�c�d�s. Le GEIPAN a tent� de joindre par t�l�phone et courrier une des t�moins mais sans succ�s.
Concernant les traces au sol, l'hypoth�se des sangliers ne para�t pas en accord avec les descriptions faites de l'excavation : bords relativement nets, mottes d�pos�es hors de l'excavation et plut�t r�guli�res en taille et en position (retourn�e), vers blancs non consomm�s (les sangliers ont pu �tre d�rang�s). Les photographies des traces faites par la gendarmerie seront prises deux jours apr�s l'observation. De plus, ces traces ont �t� pi�tin�es par les t�moins. Cette hypoth�se reste acceptable mais non confirm�e.
L'hypoth�se d'un canular mont� par d'autres personnes ne peut pas �tre totalement exclue.
Le ph�nom�ne lumineux peut-il �tre consid�r� comme la cause de la trace ? Les donn�es disponibles ne fournissent aucune preuve directe d'un lien de cause � effet. On doit se contenter de la corr�lation de direction d'observation des deux ph�nom�nes (lumi�re et traces au sol) et corr�lation relative de temps dans un intervalle d'une heure.
Une interrogation du m�me ordre vaut pour les observations de 19h30 et 20h45 (T5) mais avec une association moins forte : distance de 1-1,5 km environ entre les t�moins (le lieu exact de l'observation de 20h45 n'est pas pr�cis�) et s�paration d'une 1h environ. La concordance des descriptions (lumi�re jaun�tre ou orange, impression de transparence) reste limit�e.
Il y a �galement une certaine ressemblance des observations des 02 et 04 octobre : m�me commune, m�me heure de la journ�e, m�me lumi�re (� orange avec reflets verts �, � reflets verts et oranges �), m�me taille apparente (� cuisini�re �, 1,8 x 0,8m, trace 1,50 x 0,60m).
En r�sum� le cas d'observation du 04 octobre 1954 rapporte trois �v�nements : deux observations distinctes, courtes, par � chaque fois un seul t�moin, d'un ph�nom�ne lumineux lointain. Puis, des traces au sol. Ces trois �v�nements ne sont pas associ�s forc�ment entre eux. Pour chacun de ces �v�nements il existe des hypoth�ses fragiles qui ne peuvent �tre confirm�es. Globalement la consistance de ce cas est moyenne car elle ne contient pas d'�l�ments v�rifiables. Son �tranget� serait forte si on pouvait corr�ler de fa�on certaine les traces au sol et les ph�nom�nes lumineux.
Le GEIPAN classe par cons�quent ce cas C par manque d'information : les �l�ments v�rifiables sont trop faibles par rapport � l'�tranget� suppos�e du cas.
Remarques : il faut savoir que durant l'ann�e 1954 et particuli�rement en octobre, la presse nationale et locale a publi� un grand nombre d'articles relatant des cas d'observation suppos�s d'OVNI. Ce ph�nom�ne de grande ampleur a marqu� la population et suscit� de nombreux rapports d'observations de ph�nom�nes qui se sont finalement av�r�s tr�s banals (�toiles, plan�tes, avions, bolides). Dans ce proc�s-verbal de gendarmerie, les diff�rents t�moins font tr�s souvent r�f�rence � ce qu'ils ont lu r�cemment dans la presse notamment pour d�crire le ph�nom�ne.";"Observation de plusieurs ph�nom�nes en deux jours sur une m�me commune : manque d'information.";O;;;;;;;;;2018-07-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1954-10-09227
4495;"MONTREVEL (38) 10.09.2017";Is�re;38;"(D) D�partement";2017;09;10;"Le 10 septembre 2017 entre 21h45 et 22h le t�moin, qui s'occupe de son enfant, a son attention attir�e par le passage rapide d'une lumi�re vive. L'objet est d�crit comme ayant une forme ronde, en feu, de couleur jaune-orange qui tombe sans bruit. Le t�moin se d�place rapidement vers la fen�tre mais la lumi�re a disparu. Pensant que l'objet est peut �tre tomb� dans les environs proches du domicile, le t�moin fait des recherches le lendemain matin mais celles-ci sont infructueuses.
Le t�moin relate le passage durant 1 � 2 secondes d'une lumi�re assez �blouissante qu'elle observe de sa fen�tre avec l'impression que cette forme ronde est en feu. Cette description rejoint les nombreux t�moignages (au moins 25) relatant le passage d'un bolide (rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de) le 10 septembre � 19h29 TU (soit 21h 29, heure locale fran�aise) visible de la Meurthe-et-Moselle aux Bouches-du-Rh�ne, en passant par les Pyr�n�es-Orientales, l'Is�re et la Suisse. Il semble �galement que le m�t�oro�de se soit fragment� en de multiples morceaux � la toute fin de sa trajectoire lumineuse (plus de d�tail sur le lien du site : REFORME.
Ce bolide a aussi �t� d�tect� par 14 cam�ras du r�seau FRIPON.
L'heure indiqu�e par le t�moin ne correspond pas tout � fait au passage du bolide mais l'indication fournie de l'horaire n'est pas tr�s pr�cise puisque le t�moin situe son observation entre 21h45 et 22h en signalant que son radio-r�veil est la bonne heure, mais elle n'a pas forc�ment regard� son r�veil juste au moment de l'observation ce qui pourrait expliquer le d�calage avec les t�moignages du bolide.
L'estimation d'altitude (4m de hauteur) est faite de fa�on intuitive. Comme le ph�nom�ne est tr�s brillant, le t�moin l'a interpr�t� comme tr�s proche, mais sans rep�re objectif. Les ph�nom�nes de bolides, per�us souvent comme tr�s proches par les t�moins, se produisent en fait de 100 � 50 km d'altitude, et sont donc visibles du sol sur une zone d'environ 200 km de diam�tre.
Malgr� le d�calage avec le cr�neau horaire donn� par le t�moin, l'aspect et la trajectoire d�crits laissent gu�re de doute sur la correspondance avec ce bolide amplement observ� par ailleurs.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation tr�s probable d'un bolide.";"Tr�s courte observation du passage rapide d'une lumi�re de couleur dans le ciel avec une trajectoire descendante : observation tr�s probable d'un bolide.";O;;1;;1;;;;;2018-10-11;;;0.20;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;A;A;2017-09-50434
4496;"[B.VENUS] (COTES-D'ARMOR) (22) 31.12.1994";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1994;12;31;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� PLERIN (22) 29.12.1994 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Ce cas �tait constitu� de diff�rentes observations faites entre le 28 et le 31 d�cembre 1994 en soir�e ou en d�but de journ�e dans les Cotes-d'Armor : 4 t�moins (T1, T2,T3,T4) rapportent en gendarmerie leurs observations qui seront toutes consign�es dans le m�me proc�s-verbal. La note d'enqu�te ci-jointe d�taille toutes les observations et tous les ph�nom�nes observ�s.
L'ensemble des observations est peu consistant avec des descriptions peu pr�cises.
Le r�examen conduit � distinguer 3 ph�nom�nes distincts :
- PAN 1 observ� par T1 et T2 le 29 d�cembre 1994 entre 19h00 et 19h30.
- PAN 2,3,4 vus par T3 les 29, 30 et le 31 d�cembre entre 6H et 6H45 (avec T4 le 31 d�cembre).
- PAN 5 vu par T3 et T4 le 31 d�cembre et PAN 6 par T4 le 28 d�cembre.
Le PAN1 pr�sente toutes les caract�ristiques de l'observation d'un orage. Les lueurs composant le PAN sont en effet compar�es � un ou des �clairs : � on aurait dit comme des explosions mais � des kilom�tres l'une de l'autre et toujours une � la fois �, � il y avait dans le ciel des esp�ces d'�clairs �, � ces �clairs �taient plats et tr�s longs. Je ne peux vous dire la taille de ces �clairs �, � on aurait dit comme des flashs mais beaucoup plus gros �, � un nouvel �clair est apparu �, � lorsque je vous dit avoir vu des �clairs, il y en un seul qui semblait se d�placer �.
L'hypoth�se de la m�prise avec un orage est renforc�e par le fait que le PAN est vu vers la mer. Cette direction est d'ailleurs confirm�e par les t�moins : � j'ai roul� un petit moment vers la mer �, � j'ai encore vu une vive lumi�re bleue, immense, en direction de BINIC peut-�tre au-dessus de la mer �. Or, la pr�sence d'un orage en mer, visible depuis la c�te, est av�r�e par l'enqu�te de gendarmerie en d�but de soir�e du 29 d�cembre 1994, c'est-�-dire � un horaire coh�rent avec celui de l'observation.
En cons�quence, le GEIPAN conclut pour le PAN 1 : B observation probable d'un orage.
Les PAN n�2, 3 et 4 pr�sentent des caract�ristiques tr�s similaires. Ce sont des lumi�res blanches vives, aux m�mes horaires trois jours cons�cutifs, observ�es sur de longues dur�es (plus de 40 minutes pour les PAN n�3 et 4), sans mouvement et dans la m�me direction d'un jour sur l'autre. Ces donn�es sont tout � fait caract�ristiques d'une m�prise astronomique. Une reconstitution montre la pr�sence de plan�te V�nus (tr�s forte magnitude -4,24), en direction SE (~130�) et � une dizaine de degr�s de hauteur dans le ciel.
L'hypoth�se d'une m�prise avec V�nus est renforc�e par le fait que les PAN sont vus selon une hauteur angulaire faible, au travers d'une fen�tre (celle de la cuisine de T3 et T4) orient�e en SE.
En cons�quence, GEIPAN conclut pour les PAN 2,3 et 4 : B observation probable de V�nus.
Les descriptions des PAN n�5 et 6, sont trop impr�cises (faible dur�e, peu d'information) et trop peu consistantes (non coh�rence des t�moignages) pour pouvoir �tre exploit�es : on peut ainsi imaginer des confusions avec des lueurs quelconques : phares de voiture, lueurs urbaines, dans un contexte �motionnel charg� par les observations pr�c�dentes.
En cons�quence, le GEIPAN conclut pour les PAN 5 et 6 : C Manque d'informations fiables.";"T�moignages multiples (entre le 29 et le 31/12/1994) de longues observations matinales (par T3 et T4 du PV) d'un ph�nom�ne lumineux � basse altitude dans le Sud-Est : observations probables de V�nus.";O;;;;;;;;;2017-12-11;;;0.25;0.00;;;0.60;;0.65;;0.50;0.00;B;B;1994-12-09754
17;"CREPY-EN-VALOIS (60) 06.10.1954";Oise;60;"(D) D�partement";1954;10;06;"Le 6 octobre 1954 vers 20h plusieurs membres d'une famille observent depuis chez eux et durant environ 40 minutes un disque lumineux de couleur rouge orange d'un diam�tre apparent de la moiti� de la pleine Lune supportant une esp�ce de nacelle. L'intensit� lumineuse est variable et s'allume et s'�teint alternativement. L'objet semble se trouver au dessus de Senlis et se d�place lentement vers la droite.
Le geipan a re�u une fiche de renseignement succincte provenant de la gendarmerie. Un seul t�moignage est recueilli
A l'heure de l'observation le soleil est couch� depuis une demi heure ; il illumine encore les objets � haute altitude comme les avions ou les ballons scientifiques. La forme d�crite par les t�moins et la direction d'observation vers l'Ouest vont dans ce sens. Le GEIPAN classe ce cas B : probable observation d'un ballon scientifique.";"Observation d'un disque lumineux se d�pla�ant tr�s lentement : probable observation d'un ballon scientifique.";O;1;;;;;;;;2016-07-11;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1954-10-00014
18;"LACROIX-SAINT-OUEN (60) 07.10.1954";Oise;60;"(D) D�partement";1954;10;07;"Le 7 octobre 1954 � 9h deux personnes aper�oivent � la verticale du clocher de l'�glise un engin de forme ovale couleur aluminium tr�s brillant. L'engin se d�place SE-NO. La dur�e d'observation est d'une minute.
Cette observation fait l'objet d'une fiche de renseignement succincte par la gendarmerie nationale.
Ce type d'observation peut avoir diverses origines (reflet de soleil sur un avion, ballon, bolide). Le GEIPAN classe ce cas C par manque d'information.";"Observations du d�placement d'un engin de forme ovale couleur aluminium tr�s brillant dans le ciel : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2015-12-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1954-10-00015
19;"LACROIX-SAINT-OUEN (60) 08.10.1954";Oise;60;"(D) D�partement";1954;10;08;"Le 8 octobre 1954 � 23h30 quatre t�moins observent un engin lumineux en forme de cercle dans le ciel. Le ph�nom�ne se d�place E-O. L'observation dure quelques secondes.
Cette observation fait l'objet d'une fiche de renseignement succincte par la gendarmerie nationale.
Ce type d'observation peut avoir diverses origines (reflet de soleil sur un avion, ballon, bolide). Le GEIPAN classe ce cas en C par manque de renseignement.";"Observation d'un engin lumineux en forme de cercle dans le ciel. Le ph�nom�ne se d�place E-O : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2015-11-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1954-10-00016
20;"CROTOY (LE) (80) 09.10.1954";Somme;80;"(D) D�partement";1954;10;09;"Le 9 octobre 1954 vers 20h trois agriculteurs observent durant 45 min dans le ciel un disque orange en forme d'assiette retourn�e. Il disparait en direction du NO.
L'observation est rapport�e succinctement dans un message de renseignement de la gendarmerie nationale.
La dur�e de l'observation et la forme d�crite font penser � certaines m�prises avec la Lune. Celle-ci est bien pr�sente dans le ciel mais au SE et � presque 30� d'�l�vation ce qui ne correspond absolument pas au contexte de l'observation. Le GEIPAN classe ce cas C par manque d'information.";"Longues observations d'un disque orange en forme d'assiette retourn�e ; disparition au NO : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2015-11-24;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1954-10-00017
21;"(DEP) SOMME (80) 14.10.1954";Somme;80;"(D) D�partement";1954;10;14;"Le 14 octobre 1954 vers 17h quatre t�moins aper�oivent en direction du SO et � une hauteur de 40m un appareil sph�rique se d�placant sans bruit mais � tr�s grande vitesse. L'objet a les couleurs de l'arc en ciel.
Le GEIPAN a re�u une fiche succincte de renseignement sans le t�moignage des t�moins. La description d'un objet sph�rique � tr�s grande vitesse et multicolore fait penser � un bolide.
Ce cas trop succinct est class� C par manque d'information.";"Observations d'un ph�nom�ne lumineux au couleur de l'arc-en-ciel : manque d'information.";O;2;;;;;;;;2015-11-24;;;0.75;0.25;;;;;;;0.53;0.25;C;C;1954-10-09218
4256;"SAINT-AMBROIX (30) 18.01.2017";Gard;30;"(D) D�partement";2017;01;18;"Le 18 janvier 2017 vers 10h10 un t�moin observe durant 15 secondes depuis sa fen�tre deux sillons intermittents de fum�e grise dans le ciel d�gag�. Le t�moin est intrigu� par ces traces inhabituelles qui ne ressemblent pas aux classiques train�es d'avion. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation est assez peu �trange. Le t�moin n'apporte pas d'�l�ments forts pour rejeter sa propre hypoth�se d'avion (train�es intermittentes, absence de bruit).
Les train�es intermittentes sont assez caract�ristiques d'appareils militaires.
L'absence de bruit constat�e peut s'expliquer de diff�rentes mani�res. Les appareils pouvaient voler � haute altitude et sans �tre en post-combustion (cas classique engendrant un bruit important). De plus, l'�ventuel bruit des appareils a pu �tre couvert par les bruits ext�rieurs de la ville de Saint-Ambroix. Bien que le t�moin ait d�clar� qu'il n'y avait aucun bruit ext�rieur lors de l'observation, on peut toutefois noter que l'observation se d�roule au cur m�me d'une ville de plus de 3000 habitants, avec un axe important de circulation situ� � proximit� du lieu d'observation, � savoir la D904, qui est une ancienne route nationale. De plus, l'observation a lieu en semaine, un mercredi matin.
L'hypoth�se d'une m�prise avec un bolide diurne fragment� et laissant des train�es r�manentes est exclue, puisque d'une part les deux train�es de fum�e sont trop �cart�es l'une de l'autre, et que d'autre part des acc�l�rations ont �t� constat�es par le t�moin. De plus, ce genre de ph�nom�ne astronomique est g�n�ralement vu par de nombreux t�moins.
Les acc�l�rations rappellent quant � elles deux avions en manuvre.
Bien que le PAN n'ait pas �t� identifi� formellement, la description fournie par le t�moin laisse peu de doutes sur la m�prise. La consultation trop tardive des radars militaires n'a pas permis de valider ou non cette hypoth�se.
Le cas est class� B : probable observation de train�es d'avions militaires.";"Observation de deux sillons particuliers de fum�e dans le ciel : probable observation de train�es d'avions militaires.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.40;0.00;;;;;;;0.50;0.00;B;B;2017-01-09620
4257;"CONFLANS-SAINTE-HONORINE (78) 29.11.2016";Yvelines;78;"(D) D�partement";2016;11;29;"Le 29 novembre 2016 vers minuit vingt une personne se l�ve et reste intrigu�e par ce qu'elle voit au travers de la fen�tre de sa salle de bain. Le t�moin aper�oit une lumi�re scintillante qui s'agrandit et se r�tr�cit ainsi qu'un objet hexagonal de couleurs vari�es qui scintille positionn� au-dessus du champ du voisin. L'observation dure une vingtaine de minutes durant lesquelles quelques photos et vid�os sont prises. Le t�moin apeur� r�veille son mari puis retourne se coucher.
Le traitement de la vid�o, en permettant de situer les lumi�res sur les briques de verres de la salle de bain, permet, sans le moindre doute de constater que les lumi�res observ�es par le t�moin �taient dues � la d�formation d'une source de lumi�re par des briques de verre ondul�es (voir le compte-rendu d'enqu�te).
La source de lumi�re n'a pas �t� identifi�e. Mais ce n'est pas n�cessaire puisque l'�tranget� est expliqu�e et ne vient pas de la lumi�re elle-m�me.
Le GEIPAN classe ce cas A : observation d'un reflet d'une lumi�re ext�rieure.";"Longue observation de nuit d'un ph�nom�ne lumineux au travers d'une fen�tre : observation d'un reflet d'une lumi�re ext�rieure.
";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.10;0.00;;;0.80;;0.90;;0.70;0.00;A;A;2016-11-09622
4269;"BEAUVOISIN (26) 06.02.2017";Dr�me;26;"(D) D�partement";2017;02;06;"Le 06 f�vrier 2017 vers 20h45 une automobiliste constate dans le ciel une lumi�re tr�s intense. Arriv�e � son domicile, le t�moin continue de voir cette lumi�re, statique. Elle l'observe aux jumelles. L'observation dure 45 minutes puis le t�moin part chez des amis. Le lendemain soir vers 19h45, le t�moin fait de nouveau une observation du m�me ph�nom�ne situ� un peu plus haut dans le ciel que la premi�re fois. Un seul t�moignage est recueilli.
La description de cette observation est caract�ristique d'une observation d'un astre :
- la dur�e d'observation est longue (45mn) et le PAN �volue pas ou peu dans le ciel ;
- le PAN se pr�sente deux soirs de suite et sous un aspect et une position suffisamment identiques pour que le t�moin le signale comme le m�me ph�nom�ne : � j'ai remarqu� dans le ciel le m�me objet tr�s lumineux observ� hier �.
Cette observation s'av�re �tre une m�prise avec la plan�te V�nus qui est bien pr�sente, mais pas en Nord Ouest comme dit le t�moin, mais en Ouest l�ger Sud Ouest. L'analyse de la photographie du t�moin donnant la position du PAN par rapport au relief permet de pr�ciser cette position et par l� la correspondance avec la position de V�nus. Par ailleurs, l'indication du t�moin quant � la position du PAN le lendemain une heure plus t�t est �galement conforme � la position de V�nus (plus haut et plus au sud). Ceci est reconstitu� dans le document joint.
V�nus est brillante plus que les �toiles. Les couleurs peuvent �tre vari�es et changeantes en raison des effets atmosph�riques car V�nus est souvent pr�s de l'horizon et donc vu sous une forte �paisseur atmosph�rique.
Ce cas est class� A : observation de la plan�te V�nus.";"Longue observation en voiture et au domicile d'une lumi�re tr�s lumineuse et statique dans le ciel nocturne : observation de la plan�te V�nus.";O;;1;;1;;;;;2018-10-11;;;0.05;0.00;;;0.70;;0.80;;0.55;0.00;A;A;2017-02-50346
27;"[C244] DE ANDRES (62) VERS GUINES (62) 21.10.1954";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1954;10;21;"Le 21 octobre 1954 � 19h30 deux gendarmes observent durant au plus 15 secondes une tra�n�e lumineuse tr�s brillante qui traverse silencieusement le ciel � grande vitesse en direction Nord-Sud. Dans la nuit sombre avec ciel d�gag� et �toiles visibles, cette tra�n�e a la forme d'un c�ne avec la pointe en avant et la base prolong�e par de nombreuses �tincelles. Sa trajectoire est horizontale.
Bien que les t�moins excluent (� tort) un m�t�ore � en raison de l'importance de ses dimensions et de l'horizontalit� de sa trajectoire � c'est probablement ce qu'ils ont vu.
Le GEIPAN classe ce cas B : probable observation du passage d'un bolide provoqu� par la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oroide naturel qui se fragmente.";"Observatoins du passage silencieux N-S d'une train�e lumineuse dans le ciel : probable observation du passage d'un bolide.";O;3;;;;;;;;2015-11-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1954-10-00024
28;"MAILLY-LE-CAMP (10) 27.10.1954";Aube;10;"(D) D�partement";1954;10;27;"Le mercredi 27 octobre 1954 au camp de Mailly (commune de Mailly-le-Camp) deux personnes dont un colonel observent vers 17h45 un segment tr�s brillant se d�tachant sur le fond bleu-vert du ciel pur ""l�g�rement au Nord par rapport au soleil couchant"" (2 � 3 minutes apr�s le coucher du soleil). L'objet est situ� � une hauteur angulaire de 45� � 20�, il est d�crit comme immobile durant 10 � 15 secondes pour une dur�e totale d'observation de 25 � 30 secondes. Ce segment semblable � du m�tal brillant est inclin� de 30� par rapport � la verticale puis devient brusquement ponctuel sur place durant 3 secondes avant de disparaitre. Sa dimension est entre le tiers et la moiti� du diam�tre de la Lune soit de 10' � 15'.
Seul le t�moignage du colonel est recueilli dans un compte rendu d'observation et certaines explications du rapport manuscrit sont illisibles. Le t�moin pense qu'il a probablement vu un avion en virage �clair� par en dessous par le soleil couchant.
Ce type d'observation fr�quent de nos jours du fait de l'intense trafic a�rien est observable tous les soirs par ciel clair peu apr�s le coucher du soleil. Le GEIPAN classe ce cas B : probable observation d'un avion �clair� par le soleil couchant.";"Observations des �volutions dans le ciel d'un segment brillant : probable observation d'un avion �clair� par le soleil couchant.";O;9;;;;;;;;2015-11-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1954-10-09243
29;"LONG (80) 31.10.1954";Somme;80;"(D) D�partement";1954;10;31;"Le 31 octobre 1954, vers 20 h, un agriculteur (T1) et son employ� (T2) en tracteur observent, en arrivant dans un herbage, � une vingtaine de m�tre du chemin suivi, un ph�nom�ne lumineux qui les effaye. Le T1 d�crit ""engin lumineux qui tournait � quelques m�tres du sol"". Le T2 d�crit ""une boule de feu qui tournoyait � 4m du sol environ"" avec ""des rayons de diverses couleurs vives qui l'encadraient"". Le T1 �teint les lumi�res du tracteur et les t�moins voient l'objet s'�l�ver en oblique � allure � normale � vers le Sud, traverser la vall�e de la rivi�re La Somme. Lorsque les t�moins rallument les phares, l'objet apparait de nouveau, tournoie � nouveau et part vers le Sud-Ouest. Aucune trace au sol n'est vue par les t�moins choqu�s de leur observation. Le lendemain l'agriculteur racontera � l'adjoint au maire que l'objet avait une ""forme circulaire d'un diam�tre d'une table ronde ordinaire"" et avait eu l'impression d'avoir entendu ""le m�me bourdonnement qu'un essai d'abeille quittant sa ruche"". Les couleurs vues �taient orange, le centre de couleur bleu l'obligeant � fermer les yeux un instant et la partie sup�rieure plus vive.
La gendarmerie apprendra par la presse cette observation et entendra verbalement les t�moins puis prendra leur d�positions le 4 novembre. Les gendarmes seront conduits sur le lieu de l'observation, mais ils ne rel�veront aucune trace dans l'herbe.
L'enqu�te de gendarmerie permettra �galement de trouver deux autres t�moins : un commer�ant � Long (T3) ayant observ� le m�me jour et la m�me heure ""une boule de couleur orange"" d�gageant ""des lueurs de couleurs diverses semblables aux lueurs de la soudure �lectrique � l'arc"", ""d'un m�tre de diam�tre"" et se d�pla�ant vers le SO ""assez rapidement"". Un charcutier (T4) rapportera aux gendarmes avoir vu au-dessus des arbres bordant la Somme ""un engin de forme cylindrique"" ayant en s'�loignant vers le SO ""une forme allong�e voir ovale"" et ""d�gageant plusieurs lueurs de couleur orange"". Quelques instants plus tard ces deux personnes verront arriver les deux premiers t�moins � la figure d�compos�e � par la peur.
ce cas d'observation avec deux groupes de deux t�moins � deux endroits diff�rents de la commune est de tr�s bonne consistance. Il n'y a pas de doute sur l'existence du ph�nom�ne.
Plusieurs aspects du ph�nom�ne font penser � de la foudre globulaire : aspect tournoyant, multicolore et aveuglant, bruit d'essaim d'abeilles. N�anmoins nous manquons d'information pour confirmer cette hypoth�se (m�t�o ressentie par les t�moins, relev�s m�t�o de l'�poque).
Le GEIPAN classe ce cas C par manque d'information m�t�orologique.";"Observations proches des �volutions d'un ph�nom�ne lumineux de couleur : manque d'informations.";O;4;;;;;;;;2016-02-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1954-10-00026
43;"TEMARA (MA.01) 20.11.1954";Ain;01;"(D) D�partement";1954;11;20;"Le 20 novembre 1954 entre minuit 30 et 3h30 plusieurs personnes vont apercevoir un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Un seul t�moignage est recueilli. Le t�moin d�crit un PAN se d�pla�ant verticalement en zig zag � partir du SSE dans un ciel sans nuage. Le Pan est tant�t brillant tant�t sombre avec un halo.
Cette longue observation d'un gros point lumineux dans le ciel fait d'abord penser � un ph�nom�ne astronomique : on constate la pr�sence de l'�toile Sirius au SE � minuit trente se d�pla�ant ensuite vers le Sud. Le halo constat� peut �tre la cons�quence d'un voile astmosph�rique issu du sable du desert. Les d�placements en zig-zag peuvent �tre caus�s par l'illusion autocin�tique (une illusion de perception fr�quente lorsqu'on observe un point lumineux dans l'obscurit�).
La direction d'observation n'est pas d�crite assez pr�cis�ment pour que l'on puisse confirmer cette hypoth�se ( azimut estim� grossi�rement au SSE sans �volution dans le temps, �l�vation exprim�e en m�tres au lieu d'�tre estim�e en degr�s. Faute d'information pr�cise concernant la position dans le ciel, le GEIPAN classe ce cas C : manque d'information.";"Tr�s longue observation d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : manque de pr�cisions et d'informations.";O;2;;;;;;;;2015-11-24;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1954-11-00030
46;"SAINT-SIMON (02) 19.01.1955";Aisne;02;"(D) D�partement";1955;01;19;"Le 19 janvier 1955 vers 22h10 trois personnes observent le passage d'un ph�nom�ne lumineux du NE au SO. Ils d�crivent un disque lumineux blanc suivi d'une longue train�e de couleur orange. Aucun bruit n'est entendu durant les 5 secondes d'observation.
L'enqu�te de gendarmerie n'a pas permis de retrouver d'autres t�moins du ph�nom�ne mis � part une personne qui aurait vu quelque chose mais qui ne peut donner une pr�cision sur le jour.
Le GEIPAN classe ce cas en B : probable observation d'un bolide c'est-�-dire la rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oroide.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : probable observation du passage d'un m�t�oroide.";O;3;;;;;;;;2015-04-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;B;C;1955-01-00033
47;"REMIREMONT (88) --.--.1955";Vosges;88;"(D) D�partement";1955;--;--;"Un t�moin rapporte par mail en janvier 2009 trois observations de PAN. Malheureusement il ne se souvient plus de la date exacte (les deux premiers dans les ann�es 1955/1960 � Remiremont (88) et dans la banlieue Nancy (54) et la troisi�me en 1975 en Guadeloupe).
La date du premier janvier 1955 est donn�e arbitrairement pour la premi�re observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux. Le t�moin rapporte avoir vu un dimanche soir vers 17h ou 18h un objet lumineux circulaire de 50 m de diam�tre environ � 400 ou 500m de la route et � 50m du sol.
Malgr� notre demande de pr�cisions concernant chaque observation, aucun questionnaire ne nous a �t� retourn�. Le GEIPAN classe ces observations en C : manque d'informations.";"Observations successives de ph�nom�nes lumineux entre 1955 et 1975 : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2015-03-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;C;B;1955-01-01950
48;"GIVET (08) 20.05.1955";Ardennes;08;"(D) D�partement";1955;05;20;"Le 20 mai 1955 � 2h30 du matin deux gendarmes observent le passage SE-NO d'un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue et disparait en quelques secondes. Ce ph�nom�ne a la forme d'un obus et il est suivi d'une train�e lumineuse et multicolore. Un rapport de gendarmerie est �tablit.
Le GEIPAN classe ce cas en B : probable observation d'un bolide c'est-�-dire la rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de.";"Observations du passage SE-NO d'un ph�nom�ne lumineux suivi d'une train�e multicolore : probable observation du passage d'un m�t�oroide.";O;2;;;;;;;;2015-04-03;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1955-05-00034
49;"CAVAILLON (84) 05.06.1955";Vaucluse;84;"(D) D�partement";1955;06;05;"Le 5 juin 1955 � 20h55 trois t�moins � Cavaillon observent 20 secondes en direction de l'Ouest du massif du Luberon un rectangle lumineux rouge-feu dans le ciel. D'abord stationnaire, le ph�nom�ne se d�placement ensuite tr�s rapidement en changeant de forme (demi lune puis boule) en direction de l'Est. Il r�tr�cit puis disparait.
La v�rification astronomique �limine la Lune. L'hypoth�se avion est abandonn�e. Le GEIPAN classe ce cas C par manque d'information et de recoupement.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux rouge feu fixe puis en d�placement de forme changeante : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2015-04-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1955-06-00035
50;"(DPT) SEINE-MARITIME (76) 08.04.1956";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1956;04;08;"Le 8 avril 1956 vers 23h40-23h45 trois t�moins sur la commune de La Londe (76) observent dans la nuit claire et sans Lune en direction de l'Ouest une boule rouge. Le ph�nom�ne semble stationnaire pendant plusieurs minutes puis semble se d�placer lors des d�placements des t�moins. Le ph�nom�ne disparait derri�re les arbres. L'observation aura dur� une vingtaine de minutes.
La gendarmerie recueillera trois autres t�moignages pour la m�me date et � 23h30-23h45 : ces t�moins en voiture � Elbeuf (76) d�crivent une forme ronde de couleur rouge en mouvement. L'observation sera tr�s courte (de 4 � 5 secondes) en direction d'Orival (76).
Les indications disponibles ne confirment pas que les deux groupes ont vu le m�me ph�nom�ne.
La v�rification astronomique indique pour le premier goupe V�nus proche de l'horizon � environ 45� au nord de la direction d'observation, et pour le second groupe qui regarde vers le Nord aucun astre particulier n'est visible.
Ce cas n'est pas tr�s �trange et les informations sont trop impr�cises : le GEIPAN classe ce cas C.";"Observations par deux groupes de t�moins de deux ph�nom�nes de forme ronde et rouge dans le ciel : manque d'information.";O;11;;;;;;;;2017-10-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1956-04-00036
51;"PARIS (75) 15.11.1956";Paris;75;"(D) D�partement";1956;11;15;"Le 15 novembre 1956 � 19h05 � Paris, un pilote observe depuis le sol une boule de couleur rouge vif se d�placant NO vers SE dans le ciel clair. Une seconde boule s'en d�tache et suit une trajectoire parabolique dirig�e vers le bas durant une seconde. Aucune train�e n'est remarqu�e. Les deux boules s'�teignent brusquement et simultan�ment.
Un seul t�moignage � l'�poque est recueilli.
Le GEIPAN classe ce cas en B : probable observation du passage d'un bolide provoqu� par la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oroide naturel qui se fragmente.";"Observation du passage NE-SW d'une boule rouge dans le ciel et fragmentation : probable observation du passage d'un bolide.";O;2;;;;;;;;2015-03-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1956-11-00037
52;"HADJOUT (DZ.42) 03.01.1957";"Grand Est";GES;"(R) R�gion";1957;01;03;"Le 3 janvier 1957 � 20h22 (TU) trois t�moins en vol au sud de Marengo (aujourd'hui Hadjout, Alg�rie) observent durant 15 secondes un objet lumineux avec une train�e verte puis rouge qui traverse le ciel selon une trajectoire r�guli�re descendante du SO au NE. Un seul t�moignage recueilli.
Le GEIPAN classe ce cas B : probable passage d'un m�t�oroide.";"Observations en vol du passage SO au NE d'un objet lumineux avec une train�e : probable passage d'un m�t�oroide.";O;2;;;;;;;;2015-03-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1957-01-00038
54;"(DPT) ARDENNES (08) 30.10.1957";Ardennes;08;"(D) D�partement";1957;10;30;"Entre le 30 octobre 1957 � 23h30 et le 31 octobre 1957 � 1h30 deux ph�nom�nes distincts sont observ�s par plusieurs groupes de t�moins dans les Ardennes (08).
Le premier groupe observe depuis Louvergny � 23h40 en direction de l'Ouest un disque rouge de grand diam�tre stationnaire et qui semble se s�parer en deux parties � 23h50 avant de disparaitre. La v�rification astronomique donne la Lune � l'azimut 245�et une �l�vation � 30� apparaissant comme un demi-disque inclin�. Les descriptions donn�es correspondent mal avec la Lune (�l�vation et forme).
Le m�me jour un deuxi�me groupe sur la RN46 entre Pauvres et Mazagran observent un objet de petites dimensions avec des reflets verts se dirigeant rapidement approximativement du SE vers le NO. L'observation a dur� quelques dizaines de secondes. La description des t�moins fait penser au passage d'un bolide (chute de m�t�orite).
Dans la m�me soir�e un troisi�me groupe situ� � 100m du passage � niveau de Novy-Chevri�res observe � 23h50 en direction de cette bourgade le passage dans le ciel nuageux d'un objet lumineux rouge dans le ciel couvert (voir carte). Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. Malgr� les incertitudes sur les directions d'observation, il est possible que ces t�moins aient fait une m�prise de la Lune situ�e exactement dans cette direction (Lune devant laquelle des nuages auraient pu se d�placer). Cependant cette hypoth�se est peu compatible avec le mouvement de l'objet tel que rapport� par les t�moins.
Toujours le 30 octobre � 23h50 � Ambly-Fleury, un quatri�me groupe observera le passage d'une lueur rouge dans le ciel dans la m�me direction d'observation que ce troisi�me groupe. Il pourrait aussi s'agir ici de l'observation temporaire de la Lune dans une trou�e de nuages.
Le Geipan classe ces cas en C par manque d'information et de recoupement : il pourrait s'agir d'une m�prise de la Lune et d'un passage d'un bolide mais les �l�ments ne sont pas assez pr�cis pour confirmer ces hypoth�ses.";"Observations multiples de ph�nom�nes lumineux dans le ciel ardennais : manque d'information.";O;2;;;;;;;;2015-04-01;;;0.38;0.13;;;;;;;0.46;0.31;C;B;1957-10-00040
55;"[AERO CTL] COGNAC (16) 17.12.1957";Charente;16;"(D) D�partement";1957;12;17;"Le 17 d�cembre 1957 quatre militaires sur la base a�rienne de Cognac constatent l'apparition d'un �cho radar � 15h01 (TU) d'un objet se d�placant depuis 40km et disparaissant � 16km dans les �chos fixes. Le temps total d'observation sur le radar est de 30 secondes ce qui correspond � une vitesse de 2 880km/h.
Le m�me jour mais � 15h45 (TU) un autre �cho radar est remarqu� � 37km et disparait � 25km. Le temps total d'observation dure 15 secondes ce qui correspond � une vitesse de 2 880km/h �galement.
Un rapport illustr� de croquis est r�dig� par deux t�moins.
LE GEIPAN classe ce cas C par manque d'information (pas d'observation visuelle).";"Observations d'�chos radar sur scope : manque d'information.";O;2;;;;;;;;2015-04-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1957-12-00041
56;"TOMBOUCTOU (ML.06) 20.03.1953";Autre;ML.06;"(D) D�partement";1953;03;20;"Le 20 mars 1959 � environ 20h15 deux t�moins � Tombouctou (Mali) observent un point fixe lumineux orange bas sur l'horizon. Le point fixe semble se d�placer assez lentement du NE- au SO sans train�e. Le point s'�loigne et diminue de grosseur et d'intensit� avant de disparaitre compl�tement. Un seul t�moignage est recueilli.
Une v�rification astronomique ne monte aucun astre dans la direction indiqu�e. De plus l'objet est en mouvement apparent. Le ph�nom�ne tel qu'il est d�crit pourrait correspondre � un avion dans le lointain vu de face phare allum�. Le GEIPAN classe ce cas C par manque d'information et de recoupement.
";"Observation d'un point fixe lumineux orang� dans le ciel puis d�placement et disparition par baisse d'intensit� : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2015-04-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1959-03-00042
57;"SALI (DZ.01) 14.09.1959";Ain;01;"(D) D�partement";1959;09;14;"Le 14 septembre 1959 � 5h10-15 du matin trois t�moins au sud de Sali (Alg�rie) sont intrigu�s par les �volutions d'un corps lumineux de couleur orange dans le ciel. A 5h30 l'objet s'immobilise. Durant 40 minutes ils constatent que le corps d�rive lentement vers le NE en changeant fr�quemment d'aspect et de couleur (rouge � une extr�mit�). L'observation se fait aux jumelles. Aucune train�e et aucun bruit n'ont �t� constat�s. L'observation durera environ une heure au total.
Un seul t�moignage est recueilli avec deux sch�mas (�volution de l'objet et changement de formes). Une autre observation est not�e sur le rapport. Il est d�crit pour le 12 septembre 1959 � 19h l'observation d'un ph�nom�ne de couleur orange et d'un diam�tre apparent d'une �toile situ� � tr�s haute altitude et se d�pla�ant � grande vitesse de 180� � 360� en 30 secondes environ. Aucun son particulier n'est remarqu�. Un seul t�moignage est recueilli.
Pour la premi�re observation, du fait de la dur�e de l'observation, du d�placement lent et de l'heure proche du lever du soleil, le GEIPAN classe le cas en B : probable observation d'un ballon �clair� par le soleil levant. Les directions d'observation et de d�placement manquent de pr�cisions.
Pour l'observation du 12 septembre �galement rapport�e dans le t�moignage, le GEIPAN propose l'hypoth�se du passage d'un m�t�oroide (courte observation du d�placement � grande vitesse d'un ph�nom�ne lumineux orang� de forme allong�e � tr�s haute altitude).";"Observation des �volutions de d�placement et de forme d'un objet lumineux orang� dans le ciel : probable observation d'un ballon.";O;2;;;;;;;;2017-10-16;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1959-09-00043
58;"DAKAR (SN.DK) 24.11.1959";Autre;SN.DK;"(D) D�partement";1959;11;24;"Le 24 novembre 1959 aux alentours de 20h20 un t�moin � bord d'un bateau au port de commerce de Dakar (S�n�gal) observe le d�placement d'un ph�nom�ne lumineux compos� de points lumineux et entour� d'un halo. Ce ph�nom�ne est situ� au SO et � 15� de hauteur environ. La vitesse du ph�nom�ne augmente puis sa trajectoire devient descendante. Le halo s'assombrit de plus en plus et le ph�nom�ne disparait. L'observation a dur� 5 minutes.
Dans le rapport �tablit par le t�moin, celui-ci indique 4 bateaux dans des lieux d'observation diff�rents pour le m�me ph�nom�ne sensiblement � la m�me heure.
Un seul t�moignage est recueilli. La description du ph�nom�ne pourrait faire penser � un avion dans le lointain vu de face phare allum�. Le GEIPAN classe ce cas en C par manque d'information.";"Observations mulitples d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : manque d'information.";O;2;;;;;;;;2015-04-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1959-11-00044
59;"WISSOUS (91) --.--.1960";Essonne;91;"(D) D�partement";1960;--;--;"T�moignage r�cent d'une observation ancienne : le t�moin parle d'une observation faite autour de 1960 sans plus de pr�cisions (la date donn�e ici est une date arbitraire de jour et mois ).
En fin d'apr�s midi, deux personnes sont sur le perron d'une maison. L'orage menace, le ciel est gris sombre. En regardant vers le N-E, ils voient une ""goutte de feu ventrue blanche"" descendre � la verticale depuis les nuages orageux. L'observation de cette ""goutte"" pointe �ffil�e vers le haut dure une � trois secondes : le ph�nom�ne disparait derri�re un rideau d'arbres. Aucun bruit, et aucun feu au sol n'ont suivi.
Le cas a �t� soumis � un expert de l'�tude de la foudre. L'expert confirme que ce type d'observation n'est pas rare : il arrive qu'une ou des sph�res lumineuses descendent (comme la chute lente d'une fus�e de d�tresse) de la base du cumulonimbus lors d'un temps fortement pr�-orageux. G�n�ralement, la jonction de la sph�re avec le sol ou une structure donne suite � un coup de foudre isol�, presque toujours en situation d'orage sec. Le ph�nom�ne fait partie des multiples facettes de la foudre en boule.
Ce cas est class� ""B"" observation probable de foudre en boule.";"Observation par temps pr�-orageux, du d�placement d'une goutte de feu ventrue descendant d'un nuage : probable observation de la foudre en boule.";O;1;;;;;;;;2013-02-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1960-07-08172
61;"PIERREFORT (15) --.--.1960";Cantal;15;"(D) D�partement";1960;04;--;"T�moignage r�cent (14 mai 2008) d'une observation ancienne : vers 7h30 un matin de 1960 (mars, avril ou mai), deux �coliers observent depuis la route un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue. Au bout de quelques minutes il dispara�t � l'horizon. Aucun compl�ment d'information n'a �t� produit par les t�moins. Le manque de pr�cisions et la date ancienne de l'observation rendent toute enqu�te difficile voir impossible.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux.";O;2;;;;;;;;2010-04-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1960-04-02014
65;"LONDE (LA) (76) 13.11.1960";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1960;11;13;"Le samedi 5 novembre 1960 vers 20h30 deux personnes constatent la pr�sence de lueurs verte-orange-et rouge semblant provenir d'un engin qui se d�place lentement dans le ciel. Quelques jours plus tard, le 13 novembre vers 2h45 un des t�moins est intrigu� par une clart� de couleur verte donnant dans sa chambre. R�veillant sa compagne, celle-ci constate effectivement le clignotement de lumi�res de couleur verte-orange et rouge puis se rendort. Le t�moin se dirige alors sur le pas de sa porte et constate la pr�sence � 150 m�tres, d'un engin circulaire de plusieurs m�tres de diam�tre qui atterrit sur une voie ferr�e d�saffect�e proche de l'habitation. L'engin, silencieux, pos� sur un tr�pied, �met des lumi�res oranges et vertes. L'observation durera une vingtaine de minutes avant que l'engin d�colle silencieusement et disparaisse en direction du SO en �mettant alternativement des feux verts. Intrigu�, le t�moin rapportera son observation au reporter d'un journal r�gional.
Aucune trace ne sera retrouv�e sur les lieux lors de l'enqu�te de gendarmerie. Les enqu�teurs auditionneront plusieurs habitants et entre autres, deux employ�s SNCF de permanence cette nuit-l� aux passages � niveaux du secteur concern� : rien de particulier n'a �t� remarqu� par ces cheminots ce soir l�.
Lors de l'enqu�te, la cr�dibilit� du t�moin principal, bien connu des autorit�s, est fortement contest�e par l'ensemble des personnes interrog�es et des repr�sentants des autorit�s locales. Aucun autre t�moignage sur cette observation ne viendra corroborer les dires du t�moin.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" comme probablement un canular.";"Observation de l'atterrissage puis du d�collage silencieux d'un engin circulaire sur une voie ferr�e d�saffect�e : probablement un canular.";O;2;;;;;;;;2017-02-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1960-11-00048
67;"PREMESQUES (59) 11.11.1963";Nord;59;"(D) D�partement";1963;11;11;"Observation faite en novembre 1963 par trois t�moins et rapport�e au GEIPAN en avril 2008.
Le 11 novembre 1963 vers 15h ou 16h un p�re et ses deux fils (de 18 et 13 ans) se promenent sur un chemin de campagne et observent un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue. Une boule lumineuse orang�e est stationnaire en-dessous de nuages sombres durant plus d'une minute. En rotation par la suite, elle oscille de droite � gauche durant quelques secondes avant de dispara�tre � tr�s grande vitesse dans les nuages selon une trajectoire rectiligne incurv�e vers le haut. Aucun bruit, aucune train�e ne sont remarqu�s.
Aucun autre t�moignage concernant ce ph�nom�ne ne sera rapport�.
La restitution des faits sera faite progressivement entre 2003 et 2007 par un des t�moin (l'�tudiant de 18 ans).
L'hypoth�se de l'observation du d�placement de la foudre en boule (plasma) a �t� r�fut�e, car d'une part le t�moin ne confirme pas la pr�sence d'orage lors de la promenade familiale et d'autre part il existe des diff�rences des caract�ristiques entre le ph�nom�ne observ� le 11 novembre 1963 et celles connues de la foudre en boule.
Le GEIPAN classe ce cas en D1 : ph�nom�ne inexpliqu�, moyennement consistant (t�moignage unique, ancien et ph�nom�ne lointain) mais avec un caract�re d'�tranget� marqu�.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux stationnaire sous des nuages sombres puis du d�placement rapide vers les nuages. Aucun bruit, aucune train�e : ph�nom�ne inexpliqu�, moyennement consistant.";O;1;2;;;;;;;2015-06-25;;;0.63;0.13;;;;;;;0.75;0.00;D1;D1;1963-11-01791
68;"BOURGET-DU-LAC (LE) (73) --.02.1964";Savoie;73;"(D) D�partement";1964;02;--;"Une personne rapporte qu'en 1964, il a �t� t�moin d'un ph�nom�ne particulier. Rentrant � la base �cole du Bourget vers 2h30 du matin un dimanche d�but mars, il s'�tonnera d'apercevoir r�guli�rement une faible lueur de courte dur�e � environ 200 ou 300 m de lui. Se rapprochant du grillage du terrain militaire, il voit 5 silhouettes �voluant pr�s d'un engin pos� au sol. La partie haute de l'objet, �clair�e par la lueur, est arrondie. Les silhouettes font des allers-retours de l'int�rieur de l'objet � son environnement imm�diat. Brusquement la lueur s'�teint et dans un silence total l'objet s'�l�ve d'un m�tre ou deux du sol et reste stationnaire durant une � deux secondes. Le t�moin d�crit alors l'objet comme ayant une forme ronde ou ovale, le dessous plat, le dessus bossel� au centre et sur les cot�s. Ses dimensions sont de 8 � 10 m de diam�tre et sa hauteur de 2,50m � 3 m. Cet objet s'�l�ve verticalement sans transition � tr�s grande vitesse vers le sud. Aucun bruit n'est entendu et une sorte de train�e verticale br�ve appara�t ainsi que deux autres traces dans le ciel. Le lendemain le t�moin se rendra sur les lieux de son observation et bien que s�par� d'une dizaine de m�tres du lieu exact par le grillage de la base militaire, il constatera un l�ger tassement de l'herbe et de quelques arbustes. Il d�cidera de ne parler � personne de cette observation pour laquelle nous manquons d'informations confirm�es. Ces faits, a priori tr�s �tranges, rapport�s tr�s tardivement (juin 2007) par un t�moin unique sont inv�rifiables et aucune analyse s�rieuse ne peut �tre men�e.";"Observation de silhouettes et d�collage d'un objet.";O;1;1;;1;;;;;2018-08-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1964-03-01780
70;"VALENSOLE (04) 01.07.1965";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1965;07;01;"Le 1er juillet 1965 � 5h45, un agriculteur dans son champ de lavande entend un sifflement qui l'intrigue. Il se d�place pour constater qu'un engin sombre et mat qui lui est inconnu est pos� sur le sol. Il observe durant 4 � 5 minutes la pr�sence de deux personnages qui remontent tr�s vite dans l'appareil. Ce dernier d�colle et part en oblique avant de disparaitre rapidement en direction de Manosque. Une dizaine de minutes plus tard, l'agriculteur d�couvre des traces au sol � l'emplacement de l'engin : ces traces ont la forme d'une �toile avec un trou cylindrique au milieu dans une terre d�tremp�e. Il revient le soir vers 20h30 avec sa fille et constate alors que la terre est devenue ""dure comme du ciment"".
Le lendemain matin, 2 juillet, il parle de cette affaire et tr�s vite beaucoup de curieux se d�placent pour voir les traces qui seront pi�tin�es. Vers 19h30 la gendarmerie locale apprend par la rumeur publique cet �v�nement.
Le t�moin sera entendu une premi�re fois le 2 juillet 1965 � 20h par la brigade locale (voir le pv 445). Vers 22h le t�moin accompagnera les gendarmes sur les lieux. Il sera de nouveau entendu de 23h15 � 23h30 pour un compl�ment d'information.
Un proc�s-verbal de constations sur le lieu d'observation et sur les traces au sol sera �tablit le 3 juillet par une autre brigade (voir le pv 105) avec prises de mesure, photographies.
Le t�moin rapportera un compl�ment d'information tr�s d�taill� le 18 ao�t 1965 (voir le pv 145).
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. Aucun autre indice ne sera trouv� autour du lieu de l'observation par la gendarmerie.
A l'�poque de cette observation, le GEPAN, cr�� en 1977, n'existait pas ; les responsables successifs du GEPAN/SEPRA/GEIPAN se sont bien s�r tous int�ress�s � cette affaire, ont re�u ou collectionn� des documents � son sujet, sans toutefois publier d'enqu�te approfondie ; une enqu�te GEPAN aurait probablement �t� peu fructueuse du fait du d�lai depuis l'�v�nement, et apr�s les travaux d'investigation d�j� faits par la Gendarmerie et par plusieurs enqu�teurs, dont Pierre Gu�rin et Jacques Vall�e. Vue son �tranget�, ce cas est class� � D �.";"Observation d'un engin inconnu et rencontre rapproch�e ; traces au sol : ph�nom�ne non identifi�.";O;1;;;;;;;;2015-06-26;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1965-07-00050
71;"DE MOUSTIERS-SAINTE-MARIE (04) vers MANOSQUE (04) --.07.1965";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1965;07;--;"T�moignage r�cent (17 aout 2009) d'une observation ancienne faite au d�but du mois de juillet 1965 ( la date du jour n'est pas pr�cis�e par le t�moin ; une date arbitraire est donn�e pour le 1er juillet 1965; le t�moin ne pr�cise pas �galement le lieu exact de l'observation).
Par un mail succinct, un t�moin rapporte une observation faite depuis un v�hicule sur une route ind�termin�e entre Moustiers-Sainte-Marie ( 04) et Manosque (04) : sur les alentours de 19h ou 19h30, lors d'un voyage dans les gorges du Verdon et en traversant un champ de lavande le t�moin alors ag� de 14 ans et son fr�re ag� de 4 ans aper�oivent depuis l'arri�re de la voiture une ""grosse assiette renvers�e dans un champ"" et ""des enfants sortant de cette assiette"". Aucune autre information n'est recueillie et aucun autre t�moignage ne sera rapport�.
Ce cas � premi�re vue �trange, est trop peu document� pour une enqu�te (pas de lieu ni date pr�cise). Les �l�ments compl�mentaires demand�s par le Geipan n'ont pas �t� fournis.
Ce cas est class� ""C"" enqu�te impossible. On remarque toutefois que la position de la Lune � son lever au Sud-Est le 11 juillet pourra�t �tre une cause de m�prise. Ceci n'explique �videmment pas les petits �tres (enfants?) observ�s.";"T�moignage tr�s succinct et r�cent (2009) d'une observation ancienne (d�but juillet 1965) ; observation depuis un v�hicule ""d'enfants"" sortant d'un objet en forme d'assiette retourn�e dans un champs de lavande : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1965-07-02381
72;"BLOIS (41) 23.07.1965";Loir-et-Cher;41;"(D) D�partement";1965;07;23;"D�claration r�cente d'une observation ancienne faite le 23 juillet 1965 vers 18h. Un objet d'apparence m�talique en forme de triangle est immobile dans le ciel et r�fl�chit fortement la lumi�re du soleil.
Ce cas d'observation par de multiples t�moins d'un objet lumineux fixe dans le ciel du soir a toutes les caract�ristiques d'un ballon sonde stratosph�rique t�tra�drique.
L'aspect lumineux et m�tallique est caract�ristique, l'immobilit� apparente n'est pas rare, leur tr�s haute altitude (jusqu'� 40km) rend les d�placements apparemment tr�s lents, et les vents � cette altitude sont tr�s variables. Le calcul d'altitude fait par le t�moin est pertinent ; il est bien coh�rent avec cette hypoth�se de ballon sonde qui a r�fl�chi la lumi�re du soleil jusque 40 mn apr�s le coucher du soleil.
On note ce soir l� la pr�sence �vidente de la plan�te V�nus, qui �tait �clatante � l'ouest peu apr�s le coucher du soleil. Il est �tonnant que les t�moins ne la mentionne pas ; mais elle �tait bien plus � l'Ouest et plus basse que le ph�nom�ne observ�.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de ballon stratosph�rique.";"Observation d'un objet immobile et brillant en forme de triangle dans le ciel : probable observation d'un ballon scientifique.";O;1;;;;;;;;2013-08-08;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1965-07-02569
74;"BEAUVAIS (60) --.08.1965";Oise;60;"(D) D�partement";1965;08;--;"T�moignage succinct et r�cent (28 a�ut 2009) d'une observation ancienne.
Au cours de l'ann�e 1965 ou 1966, probablement en Ao�t (le t�moin reste impr�cis sur la date), des personnes observent plusieurs matins de suite, une boule d'�clat m�tallique stationnaire situ�e � l'Est dans le ciel � proximit� d'une chemin�e en d�molition. Aucun bruit ne sera entendu durant les observations de ce ph�nom�ne qui finira par dispara�tre.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observations successives de la pr�sence d'une boule dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2012-10-16;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1965-08-02422
83;"MORTEMART (87) 19.03.1967";Haute-Vienne;87;"(D) D�partement";1967;03;19;"T�moignage r�cent d'une observation ancienne pour laquelle le t�moin n'avait pu dans son questionnaire donner la date exacte. Apr�s une conversation t�l�phonique avec le t�moin, ce dernier confirme la date du 19 mars 1967 et que les manifestations lumineuses rapport�es sur Radio Limoges se sont pass�es dans les environs de La Chapelle-Taillefert dans la Creuse.
Le 19 mars 1967 vers 23h un automobiliste � la sortie du bourg de Mortemart (Haute-Vienne) est intrigu� par un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Il s'arr�te pour observer durant 10 minutes en direction du SE un objet lumineux en d�placement silencieux. Le Pan fait des arr�ts successifs et l'intensit� lumineuse varie durant l'observation ce qui ne permet pas au t�moin de d�finir avec certitude une forme discoidale. L'objet fini par disparaitre � l'horizon. Aucun bruit particulier n'est entendu. Reprenant sa route, quelques minutes plus tard, l'automobiliste est de nouveau intrigu� par le passage � basse altitude derri�re sa voiture d'une lueur rouge�tre. Il observe quelques kilom�tres plus loin en pleine campagne un d�me �clair� de l'int�rieur : l'automobiliste s'arr�te et constate que ce Pan semble poser sur le sol � une vingtaine de m�tres de la route. Malgr� l'insistance de leur fils et parce qu'impressionn�s, le t�moin et sa femme reprennent leur chemin pour rentrer chez eux au plus vite. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Cette observation a eu lieu le soir du r�f�rendum initialis� par le G�n�ral de Gaulle.
Ce t�moignage d'un ph�nom�ne lointain �trange ne correspond � aucune des m�prises classiques. Comme il a �t� re�u longtemps apr�s l'observation, et que le t�moin est unique, le GEIPAN le classe comme cas peu consistant, malgr� la bonne qualit� du t�moignage.
Si d'autres t�moignages semblables se rapprochaient de celui-ci, ce cas pourrait prendre de la consistance. Le t�moin nous a indiqu� par t�l�phone qu'il y aurait peut �tre pu avoir d'autres t�moignages semblables pr�s de Gu�ret.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" en attente d'autres t�moignages.";"T�moignage r�cent d'une observation ancienne : multiples observations de ph�nom�nes lumineux par un automobiliste sur son trajet de nuit : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.80;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;C;C;1967-03-08365
108;"NANTES (44) 08.10.1969";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1969;10;08;"Un t�moin rapporte en 2010 une observation ancienne faite � l'aide d'une lunette terrestre admiral 1000 (zoom15X-60X) pr�t�e par un ami. Deux autres personnes pr�sentes ont, � l'�poque, observ� le ph�nom�ne.
Le mercredi 8 octobre 1969 � 7h10, trois personnes ont le regard attir� par un point lumineux dans le ciel. Le t�moin observe alors, � travers la lunette, un objet qui se d�place lentement du Nord au Sud dans un mouvement de va-et-vient. Il d�crit un disque accompagn� de deux satellites tournant autour de l'�l�ment principal. L'observation dure une vingtaine de minutes. Le t�moin cesse quelques instants son observation mais ne voit plus rien � son retour.
Aucun autre t�moignage concernant un ph�nom�ne vu en octobre 1969 dans la r�gion ou les r�gions limitrophes, ne sera recueilli au GEIPAN.
L'observation d'un point lumineux dans le ciel du matin est en soi un ph�nom�ne banal : ce peut �tre dans ce cas Sirius ou un ballon sonde. La disparition de l'objet est aussi banale : la luminosit� du ciel augmentant au lever du soleil a rendu l'objet invisible.
L'observation � la lunette telle que d�crite par le t�moin avec enthousiasme est plus �trange (satellites orbitant autour de l'objet) ; toutefois, les lunettes avec zoom sont reconnues pour �tre tr�s sensibles aux aberrations optiques (flare qui provoque des images fant�mes) ; le t�moin affirme que cette lunette �tait de bonne qualit� sans d�faut marqu� puisqu'il a pu voir pr�c�demment les satellites de Jupiter. L'anciennet� et l'unicit� du t�moignage, l'incapacit� � v�rifier la qualit� de cette lunette ne permettent pas de se prononcer clairement sur ce t�moignage : classement ""C"".";"Observation d'un point lumineux au lever du soleil avec une lunette.";O;1;;;;;;;;2011-11-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1969-10-02635
112;"FORT-DE-FRANCE (972) --.--.1970";Martinique;972;"(D) D�partement";1970;--;--;"Vers 22 h depuis la terrasse de son domicile, deux personnes observent dans le ciel l'arriv�e de la Caravelle venant de la Guadeloupe. Leur attention va �tre attir�e par un ph�nom�ne lumineux blanc qui semble dans un premier temps suivre l'avion. A tr�s grande vitesse cette boule de lumi�re d�passe l'avion sur une trajectoire rectiligne et dispara�t � l'Ouest. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation qui est de courte dur�e (3 � 5 secondes). Ce fait est rapport� plusieurs ann�es plus tard et le t�moin pr�cise que son observation a pu se faire entre la deuxi�me moiti� de 1969 et avant juillet 1970 (nous le datons donc au 1er janvier 1970). Aucun autre t�moignage de ce type en Martinique et dans cette p�riode n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Boule de lumi�re blanche semblant suivre et d�passer un avion.";O;1;;;;;;;;2010-03-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1970-01-01778
120;"(DPT) LANDES (40) --.07.1970";Landes;40;"(D) D�partement";1970;07;--;"Un t�moin rapporte qu'au mois de juillet dans les ann�es 1970 � 1973 (ses souvenirs quand � la date d'observation sont impr�cis, nous la datons donc au 01/07/1970) vers 21h il a pu voir arriver � 300 ou 400m d'altitude un a�ronef de la forme d'une soucoupe de couleur blanche ou aluminium. Il mesurait entre 6 � 8 m de diam�tre ; il avan�ait tr�s lentement en ligne bris�e de droite � gauche. Un faisceau de lumi�re arrivait de deux puissants projecteurs plac�s � l'avant. Appelant des membres de sa famille ils ont pu voir l'a�ronef dispara�tre � tr�s grande vitesse, sans bruit et dans un mouvement ascendant de 45�. Un deuxi�me a�ronef est alors apparu : de la forme d'un cigare blanc ou aluminium d'une trentaine de m�tres et arrivant sans bruit, il �tait � la m�me altitude que le premier. Un trentaine de hublots permettait de voir une lumi�re douce et tamis�e � l'int�rieur. Il se d�pla�ait en ligne droite tr�s lentement et a disparu cach� par la cime des arbres. Les deux a�ronefs venaient du N-NO et allaient vers le S-SE. Le t�moin fait �tat d'un article presse sur des lumi�res apparues le soir en question � l'a�roport de Bordeaux. Ce t�moignage tr�s ancien donne des pr�cisions surprenantes n�anmoins nous manquons d'informations et il est trop ancien pour pouvoir enqu�ter.";"Observation du d�placement d'a�ronefs inconnus.";O;1;;;;;;;;2010-03-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1970-01-01784
128;"NEUVES-MAISONS (54) 02.11.1971";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";1971;11;02;"Le 02 novembre 1971 aux alentours de 19h10 et 19h40, le t�moin (alors �g� de 6 ans et demi) rentre chez ses parents apr�s un entra�nement sportif. Il est alert� par un camarade de la pr�sence d'un objet dans le ciel. Intrigu� le t�moin observe un objet circulaire de la forme d'une ""soucoupe"" avec deux rang�es de hublots. Cet objet semble tourner sur lui-m�me en se d�pla�ant � faible altitude sans faire de bruit. L'objet est � la verticale de la rue que le t�moin doit emprunter pour rentrer chez lui. Mais arriv� � un carrefour l'enfant quitte le PAN des yeux : le PAN continue sa route en ligne droite. Arriv� chez lui, malheureusement l'enfant ne reverra plus l'objet dans le ciel. Un seul t�moignage sera recueilli (voir le compte rendu d'enqu�te).
L'hypoth�se d'un ballon perdu correspondrait en grande partie (trajectoire rectiligne, silence, altitude peu �lev�e, dur�e de l'observation...) mais ne peut �tre valid�e les recherches n'ayant pas permis de trouver un ballon pr�sentant les caract�ristiques d�crites par le t�moin (hublots, couleur, taille...). Le changement de couleur not� en fin d'observation est �galement un �l�ment affaiblissant cette hypoth�se.
Le t�moignage, riche en d�tails est surprenant au vu du jeune �ge du t�moin. Un seul des deux t�moins connus a t�moign� aupr�s du GEIPAN et a �t� entendu.
La consistance est ici entach�e par le grand d�lai apr�s l'observation (45 ans) pouvant alt�rer le souvenir et aussi par l'enregistrement d'un seul des deux t�moins.
La consistance est trop faible pour valider le caract�re �trange et inexpliqu� de l'observation. Il n'est par exemple pas possible de v�rifier certaines informations importantes et il n'est pas possible d'�carter avec des indices forts la piste d'un possible ballon d'enfant perdu.
En cons�quence le GEIPAN classe en le cas en C : t�moignage tardif inexploitable par manque d'informations fiables";"T�moignage r�cent (2013) d'une observation ancienne (1971). Observation durant une minute environ du passage rectiligne et silencieux d'un objet circulaire avec deux rang�es de ""hublots"" tournant sur lui-m�me : manque d'informations.";O;;1;;1;;;;;2018-10-17;;;0.65;0.00;;;;;;;0.40;0.00;C;C;1971-11-08602
138;"HAUTEVILLE-LOMPNES (01) 13.12.1972";Ain;01;"(D) D�partement";1972;12;13;"Un t�moin rapporte en juin 2009, deux observations anciennes.
Le 13 d�cembre 1972 � 23h45 environ, deux personnes en voiture sont surprises de voir un objet rond et lumineux apparaitre dans le ciel au-dessus de Hauteville. Le ph�nom�ne de couleur blanc-jaune bleu�tre se d�place selon une trajectoire rectiligne et � tr�s grande vitesse dans une direction Sud-Nord. Il disparait derri�re l'horizon. Aucun bruit particulier ne sera entendu par les t�moins durant la courte observation.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Ce cas est moyennement �trange par sa vitesse et sa luminosit� de type ""phosphorescente"", mais la consistance du t�moignage et l'absence de recoupements ne permet pas de conclure.
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.
La deuxi�me observation dans la nuit du 23 au 24 aout 1985 d'un flash lumineux en b�teau correspond probablement � un bolide, qui m�nerait � un classement B pour cette seule observation.";"Observation du d�placement rapide d'un objet lumineux de couleur blanc, jaune, bleu�tre : manque d'information";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1972-12-02331
140;"NOUMEA (988) --.--.1973";Nouvelle-Cal�donie;988;"(D) D�partement";1973;--;--;"Un soir de 1973 vers 23h un enfant avec ses parents observent des lumi�res multicolores au-dessus de la baie de Magenta � Noum�a. Ces lumi�res sont stationnaires au-dessus de la mer. Pensant � un mouvement d'avion, les t�moins sont tr�s �tonn�s en passant devant l'a�rodrome de constater que celui-ci est compl�tement ferm�. Apr�s enqu�te le lendemain, aucun mouvement d'avion ou d'h�licopt�re n'a �t� fait sur l'ensemble de l'ile. Le t�moin parle d'autres personnes ayant fait des observations semblables cette nuit l� mais aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observations de 5 lueurs multicolores au-dessus de la mer.";O;1;;;;;;;;2010-03-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1973-01-01765
141;"CARCES (83) --.--.1973";Var;83;"(D) D�partement";1973;--;--;"Un t�moin rapporte en 2008 une observation faite entre 1973 et 1976 sans pr�cision de date et mois. La date donn�e ici est arbitraire.
Le t�moin, marchant seul au bord d'une route de campagne, aper�oit dans un renfoncement d'un terrain, un appareil de couleur blanche stationnaire � quelques m�tres du sol. Aucun bruit de moteur n'est entendu. Se rapprochant de l'appareil, le t�moin voit des flashes puis un �clairage intense autour de l'appareil qui d�colle avec bruit et prend de l'altitude rapidement. L'endroit o� �tait stationn� l'engin est br�l�, noir mais sans feu.
Ce cas ancien, tr�s �trange, n'a �t� soumis au GEIPAN qu'en 2008, suite � une �mission de t�l�vision. En mars 2012, un expert du Geipan a longuement t�l�phon� au t�moin. Comme la date pr�cise de l'observation n'est pas connue, que le t�moin refuse de donner les noms de son entourage au courant de l'observation � l'�poque, une enqu�te s�rieuse est impossible. On peut aussi �mettre des r�serves sur la pr�cision de la m�moire sur des faits datant de plus de 35 ans.
Devant ces incertitudes, le GEIPAN classe ce cas ""C"" : enqu�te impossible. Le GEIPAN note toutefois que le lieu d'observation n'est qu'� 10 km du camp de Canjuers, le plus grand champ de tir d'Europe occidentale, qui accueillait d�j� � cette �poque de nombreux engins militaires de toute sorte.";"Observation d'un engin blanc stationnaire au-dessus d'un champ et s'�levant rapidement dans le ciel : manque d'information";O;1;;;;;;;;2012-11-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1973-01-02356
207;"CONCARNEAU (29) --.--.1974";Finist�re;29;"(D) D�partement";1974;--;--;"T�moignage r�cent (le 14 mai 2008) d'une observation ancienne. En mai ou juin 1974 ou 1975 un t�moin observe, depuis son appartement situ� au 5eme �tage, trois points lumineux fixes � une altitude d'environ 200 � 300 m�tres. Apr�s plusieurs minutes et sans bruit, ces points lumineux se rapprochent de la c�te puis s'�loignent vers le Sud. Aucun autre t�moignage et aucune autre pr�cision n'ont �t� recueillis sur ce ph�nom�ne.";"Observation de trois points lumineux dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2010-04-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1974-05-02510
245;"SAINT-GILLES (30) 13.10.1974";Gard;30;"(D) D�partement";1974;10;13;"Le 10 octobre 1974 � 17h 55 une surveillante de coll�ge est avertie par les �l�ves d'un ph�nom�ne particulier dans le ciel. Sortant � l'ext�rieur de l'�tablissement, le t�moin aper�oit une boule de couleur argent�e ainsi que deux autres petites boules. Celles-ci semblent �tre r�li�es � la premi�re par un fil. Le t�moin d�cide d'avertir son mari et perd de vue l'ensemble. Le lendemain on lui rapportera que les deux petites boules sont remont�es dans la plus importante avant de repartir � vive allure. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de donn�es.";"observation d'une boule dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2010-04-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1974-10-01768
253;"SOUGE-LE-GANELON (72) 02.11.1974";Sarthe;72;"(D) D�partement";1974;11;02;"T�moignage r�cent (2008) d'une observation ancienne.
Le samedi 2 novembre 1974 vers 20h30 un automobiliste et sa passag�re sont surpris par le d�placement lent et silencieux d'un objet en forme de tube, noir avec trois zones de couleur rouge tr�s fonc� : deux se trouvaient aux extr�mit�s et une au milieu. Le t�moin sort de son v�hicules et voit l'engin s'�l�ver � la verticale pour se d�placer ensuite tr�s lentement au-dessus de la route puis des arbres avant de disparaitre. L'observation � dur� plusieurs minutes avant que les t�moins apeur�s ne reprennent la route. Un seul t�moignage est recueilli sur ce ph�nom�ne.
Ce cas d'observation de 1974 n'a �t� signal� au GEIPAN qu'en 2008, et par cons�quent trait� avec peu de priorit�.
Cette observation nocturne d'un tube ""noir comme du velours"" limit� par 3 disques lumineux doit �tre d'abord analys�e avec les outils de la psychologie de la perception (illusion dite de contour ou de forme) : il est tr�s fr�quent qu'un observateur d'un ensemble de points lumineux se d�pla�ant ensemble reconstitue mentalement un volume limit� par ces points lumineux. Dans ce cas, si la pr�sence des 3 disques lumineux (nomm�s hublots par le t�moin) ne fait pas de doute, l'existence du tube ne doit pas �tre consid�r�e comme certaine.
De ce fait, le ph�nom�ne devient un ensemble de 3 disques lumineux se d�pla�ant lentement ensemble, ce qui peut correspondre � des objets lumineux port�s par le vent, comme des lanternes tha�landaises, tr�s courantes de nos jours (2016), mais tr�s peu r�pandues en France � cette �poque. On note que l'observation a eu lieu un samedi soir � 20h30, propice � des �v�nements festifs. C'est aussi le jour des morts ; certaines personnes honorent symboliquement leurs d�funts par le l�cher de lanternes tha�landaises.
Bien que cette hypoth�se soit plausible, le GEIPAN ne peut la retenir, d'une part en l'absence de bulletin m�t�o permettant de corr�ler le d�placement des lumi�res avec le vent local, d'autre part car les lanternes tha�landaises n'�taient utilis�es � l'�poque que par les asiatiques ou par les touristes revenant de Tha�lande.
Faute de pouvoir faire ces v�rifications, ou de trouver d'autres recoupements, le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie C par manque d'information.";"T�moignage r�cent d'une observation ancienne. Observation du d�placement silencieux d'un ""tube"" noir avec trois zones de couleur rouge (deux aux extr�mit�s et une au centre) : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-09-09;;;0.40;0.00;;;0.80;;0.70;;0.56;0.00;C;B;1974-11-02018
258;"MONTPELLIER (34) 19.01.1975";H�rault;34;"(D) D�partement";1975;01;19;"La presse relatant une observation du d�placement d'un objet inconnu faite par plusieurs personnes le 19 janvier 1975 � 18h45, la gendarmerie recherche des t�moins. Deux personnes seulement souhaiteront t�moigner mais uniquement sous couvert de l'anonymat.
L'objet a donn� l'impression de tourner sur lui-m�me et de s'�loigner lentement vers l'horizon dans une trajectoire descendante avant de remonter rapidement et de dispara�tre.
Une autre observation du ph�nom�ne sera faite le 20 janvier 1975 � la m�me heure.
Malgr� la coh�rence des t�moignages, ce cas est class� C par manque d'informations pr�cises.";"Observation d'un objet tournant sur lui-m�me en se d�pla�ant.";O;2;;;;;;;;2011-11-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1975-01-00204
261;"SAINT-JEAN-D'ANGELY (17) 15.02.1975";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";1975;02;--;"En septembre 1975 deux personnes rapportent une observation faite le 15 f�vrier 1975 vers 18h : un engin lumineux et circulaire (d'un m�tre de diam�tre) se d�place sans bruit � faible hauteur dans le ciel. Il se d�place d'Est en Ouest et dispara�t derri�re des arbres.
Aucun autre t�moignage et aucune pr�cision ne seront recueillis sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du d�placement silencieux d'un objet circulaire et lumineux au-dessus des arbres.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1975-02-00207
262;"NATIONAL (975) 17.02.1975";France;FR;"(N) National";1975;02;17;"Le 17 f�vrier 1975 entre 19h20 et 19h50 plusieurs t�moins dans diff�rents d�partements fran�ais constatent dans le ciel la pr�sence inhabituelle d'un ou deux points importants et particuli�rement lumineux. Aucun bruit n'est entendu durant les longues observations faites par les t�moins.
Ces t�moins ont fait une observation astronomique de la conjonction des plan�tes V�nus et Jupiter particuli�rement visible en cette p�riode de l'ann�e.";"Observations astronomiques d'une conjonction V�nus-Jupiter.";O;5;;;;;;;;2012-03-07;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1975-02-00208
263;"CASTELNAU-DE-MONTMIRAL (81) 18.02.1975";Tarn;81;"(D) D�partement";1975;02;18;"Le 18 f�vrier 1975 vers minuit vingt, un t�moin circulant sur un chemin vicinal est apeur� par un objet sph�rique lumineux qui se d�place verticalement et oscille silencieusement dans le paysage. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
La v�rification astronomique indique que la Lune est proche de son coucher � l'Ouest-Nord-Ouest (azimuth 290), en forme de demi-lune (Premier quartier). Le PV contient une copie du cadastre qui ne semble pas �tre orient� avec le Nord en haut ; la version actuelle du cadastre disponible par Geoportail (IGN) ne donne pas la m�me orientation ; avec la r�f�rence actuelle, le t�moin observe aussi le ph�nom�ne � l'Ouest-Nord-Ouest avec un azimuth proche de 287 (voir carte ci-jointe), c'est-�-dire la direction de la Lune : une confusion avec la Lune, peut-�tre partiellement masqu�e pour appara�tre � peu pr�s sph�rique, est envisageable.
La mauvaise estimation de distance et de taille est tr�s fr�quente dans les observations de PAN, surtout pour les astres visibles proches de l'horizon. N�anmoins, avec cette hypoth�se, il est difficile d'expliquer les mouvements de va-et vient du ph�nom�ne d�crits par le t�moin ; on peut � la rigueur envisager que des nuages bas aient pu masquer partiellement le demi-disque lunaire.
Comme le t�moin ne mentionne pas la Lune alors qu'elle �tait dans la direction de son observation, il est fort probable qu'elle a jou� un r�le dans l'observation.
En conclusion, faute de pouvoir affiner avec le t�moin les d�placements apparents du ph�nom�ne, et de v�rifier les conditions atmosph�riques locales, le GEIPAN classe ce cas ""C"" comme ph�nom�ne non identifiable faute de donn�es pr�cises.";"Observation de d�placements verticaux d'un ph�nom�ne lumineux : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-06-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1975-02-00209
264;"VERNOUX-EN-VIVARAIS (07) 25.02.1975";Ard�che;07;"(D) D�partement";1975;02;25;"Deux t�moins observent, plusieurs soirs de suite et dans un ciel d�gag�, un ph�nom�ne scintillant de forme circulaire. Certaines observations sont faites avec une lunette.
Une v�rification astronomique permet de constater qu'� partir du 17 f�vrier 1975 une conjonction Jupiter-V�nus pouvait �tre observ�e. Ces astres s'�loignaient progressivement l'un de l'autre. La scintillation produit le reste de l'effet observ� � la lunette : mouvement apparents, changements de couleurs etc
Ces t�moins ont fait une m�prise astronomique : le cas est class� A.";"Observations successives d'un ph�nom�ne scintillant : m�prise astronomique.";O;2;;;;;;;;2013-06-03;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1975-02-00210
319;"JEUMONT (59) 26.09.1975";Nord;59;"(D) D�partement";1975;09;26;"Suite � un article de presse, la gendarmerie enqu�te le 1er octobre 1975 sur l'observation par plusieurs t�moins d'un grand ph�nom�ne orang� aper�u au loin dans le ciel des communes de Elesnes-Assevent-Boussois et Vieux-Reng le vendredi 26 septembre 1975.
L'enqu�te de gendarmerie retrouvera deux personnes aux t�moignages contradictoires. Les photographies prises par un des t�moins et adress�es � la presse se r�v�leront n�gatives.
Ces personnes ont probablement observ� un ph�nom�ne li� � la r�gion m�tallurgique de Charleroi en Belgique qui se trouve sur la trajectoire indiqu�e par les t�moins.
Ce cas est class� B.";"Observations d'un ph�nom�ne lumineux orang� dans le ciel en direction de la Belgique.";O;3;;;;;;;;2012-12-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1975-09-00262
338;"SAINS-RICHAUMONT (02) 01.01.1976";Aisne;02;"(D) D�partement";1976;01;01;"Le 1 janvier 1976 vers 19h45 plusieurs personnes dans un transport en commun observent le passage dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux.
Dans la nuit noire, une forme circulaire baign�e dans une vive lueur traverse rapidement le ciel selon une trajectoire NE-SO. Aucun bruit n'est entendu lors du passage rapide de ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'information.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux.";O;3;;;;;;;;2010-11-15;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-01-00278
339;"DOMENE (38) --.01.1976";Is�re;38;"(D) D�partement";1976;01;05;"Suite � un article paru dans la presse locale (non pr�sent dans les archives GEIPAN), plusieurs personnes t�moignent en gendarmerie de leurs observations faites courant janvier 1976 (la date du 5 est indiqu�e pour la premi�re observation.
Chaque t�moin a observ� � des jours, heures et lieux diff�rents, un ph�nom�ne ou objet lumineux particulier. Un des t�moins dit avoir vu un homme sortir d'un engin pos� au sol et s'avancer vers lui. Effray�, le t�moin s'enfuira.il dit avoir fait le lendemain la m�me rencontre.
La gendarmerie ne constatera aucune trace ou indice sur les lieux confirmant ou infirmant les d�clarations succinctes des t�moins.";"Divers t�moignages d'observations d'objets lumineux suite � un article de presse: manque d'information.";O;5;;;;;;;;2017-02-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-01-00279
340;"SAINT-PIERRE (974) 09.01.1976";"La R�union";974;"(D) D�partement";1976;01;09;"Le 9 janvier 1976 � 7h 50 un automobiliste et sa femme observent les �volutions d'un objet brillant dans le ciel. Cet objet, de la forme d'un ballon avec le sommet tronqu�, se d�place lentement et horizontalement selon une trajectoire mer-montagne en suivant les d�nivellations du sol. Il disparaitra dans le paysage.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. D'apr�s la description donn�e, ces t�moins ont probablement observ� le d�placement d'un ballon au lever du soleil.";"Probable observation du d�placement d'un ballon.";O;1;;;;;;;;2010-11-16;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-01-00280
341;"GRIMAUD (83) 10.01.1976";Var;83;"(D) D�partement";1976;01;10;"Le 10 janvier 1976 ente 7h50 et 8h50 deux personnes observent un objet sph�rique tr�s lumineux au-dessus de l'horizon. Les t�moins constatent que cet objet reste stationnaire. Il cessera graduellement d'�tre visible avec le lever du soleil.
La gendarmerie contact�e rapidement ne constatera aucun objet dans le ciel ce matin l� ni le lendemain matin. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
D'apr�s les descriptions recueillies, les t�moins ont probablement observ� un ballon-sonde.";"Probable observation d'un ballon-sonde au lever du jour.";O;2;;;;;;;;2010-11-16;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-01-00281
342;"VALBONNAIS (38) 13.01.1976";Is�re;38;"(D) D�partement";1976;01;13;"Le 13 janvier 1976 vers 23h un t�moin observe aux jumelles le d�placement d'un objet de forme allong�e et de couleur rouge. Aucun bruit n'est entendu et l'objet dispara�t progressivement. Ce t�moin fera la m�me observation le 15 janvier � la m�me heure.
La gendarmerie fera des observations semblables les 17 et 18 janvier entre 22h50 et 23h30 selon une trajectoire SSE-NNO.
Les descriptions recueillies s'apparentent aux descriptions d'observations de passage de satellite mais nous manquons de donn�es pour valider cette hypoth�se.";"Observations du lent passage d'un objet rouge en haute altitude.";O;2;;;;;;;;2011-02-17;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-01-00282
343;"NEUVILLE-SAINT-VAAST (62) 17.01.1976";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1976;01;17;"Le 17 janvier 1976 vers 18h un cultivateur observe au-dessus des bois le passage d'un engin qu'il ne reconna�t pas. Celui-ci se d�place lentement d'Est en Ouest sans qu'aucun bruit ne soit entendu. Durant l'observation qui a dur� une minute, le t�moin constate l'allumage d'un projecteur puissant qui balaye la plaine. Le t�moin partira chercher son fils mais � leur retour l'engin aura disparu.
Malgr� l'enqu�te de gendarmerie, aucun autre t�moignage ou informations ne seront recueillis.";"Observation du lent passage d'un engin inconnu.";O;1;;;;;;;;2010-11-17;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-01-00283
344;"ESPALION (12) 19.01.1976";Aveyron;12;"(D) D�partement";1976;01;19;"Le 19 janvier 1976 vers 21h30 un t�moin sortant de son domicile observe durant 3 minutes un engin en forme de disque de 2,50m de diam�tre et de couleur orang�-phosphorescent. Il semble pos� sur un chemin goudronn� sur une ligne de cr�tes. Le t�moin a vu l'objet se d�placer � faible hauteur dans la vall�e avant de dispara�tre derri�re des b�timents de ferme. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu durant le d�placement de l'objet. Aucune trace particuli�re ne sera relev�e par le t�moin et son fils sur les lieux pr�sum�s de la pr�sence de l'objet.
Deux autres personnes t�moignerons avoir vu une lumi�re particuli�re ce soir l� sur la route mais les t�moignages restent tous tr�s succincts. Le cas est class� C par manque d'information.";"Observation du d�placement d'un objet ciculaire lumineux.";O;2;;;;;;;;2011-01-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-01-00284
345;"CHANTONAY (85) 24.01.1976";Vend�e;85;"(D) D�partement";1976;01;24;"Le 24 janvier 1976 plusieurs personnes dont des gendarmes observent entre 19h40 et 22h 30 un objet lointain lumineux dans le ciel �mettant des lueurs vertes et oranges . Cet objet se d�place sensiblement. Aucun bruit n'est entendu.
Tous ces t�moins ont probablement fait une observation astronomique de l'�toile Sirius, particuli�rement bien visible en cette p�riode de l'ann�e.";"Probable observation de l'�toile Sirius.";O;3;;;;;;;;2011-05-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-01-00285
346;"CHAMBOURG-SUR-INDRE (37) 31.01.1976";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";1976;01;31;"Le 13 janvier 1976 � 17h 50 un t�moin s'�merveille de ce qu'il voit dans le ciel. Une forme lumineuse circulaire vert-�meraude orn�e d'une aur�ole rouge cuivr� passe au-dessus de lui. Sa trajectoire est rectiligne d'Ouest en Est. Aucun bruit n'est entendu. Elle dispara�t tr�s vite cach�e par le paysage puis � l'horizon.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'information.";"Br�ve observation du passage fulgurant d'un objet vert-�meraude dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2010-11-17;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-01-02676
349;"LAUZET-UBAYE (04) 03.02.1976";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1976;02;03;"Le 3 f�vrier 1976 vers 19h30 plusieurs t�moins observent dans le ciel une lueur couleur blanc-argent�. Apr�s s'�tre �lev�e au-dessus de la colline la lueur disparait progressivement sur le versant cach�. Ce ph�nom�ne a �t� pr�c�d� par un bruit similaire � celui fait par un avion supersonique.
La gendarmerie �cartera l'hypoth�se d'un incendie ou de la chute d'un corps, aucune trace au sol n'ayant �t� remarqu�e sur le secteur indiqu�.
Le cas est class� C par manque d'information.";"Observation d'une lueur pr�c�d�e d'un double ""bang"".";O;4;;;;;;;;2011-01-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-02-00286
350;"CHATEAURENARD (13) 05.02.1976";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1976;02;05;"Le 5 f�vrier 1976 � 0h45 deux personnes observent, dans un ensemble lumineux, un engin volant stationnaire. Les t�moins le situe � 25 m�tres de la maison et � 15 m�tres du sol. Deux silhouettes sont aper�ues dans l'appareil qui disparaitra � vitesse lente en direction du S-SE sans qu'aucun bruit ne soit entendu.
Aucun indice n'a �t� trouv� par la gendarmerie dans le secteur indiqu� et aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.";"Observation du vol d'un engin, aucun bruit.";O;2;;;;;;;;2011-02-16;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-02-00287
351;"(DPT) VENDEE (85) 09.02.1976";Vend�e;85;"(D) D�partement";1976;02;08;"Le 9 f�vrier 1976 � 2h05 un automobiliste et ses passagers sont intrigu�s puis apeur�s par la pr�sence d'une masse lumineuse dans le ciel l�g�rement couvert. Leur observation d�bute � la sortie de Lu�on (85). Stationnant ensuite leur v�hicule � la sortie de Beugne-L'Abb� (commune de Magnils-Reigniers (Les) (85)) mais restant � l'int�rieur, les t�moins observent durant 2 � 3 minutes le ph�nom�ne lumineux. Ils d�crivent la forme comme deux assiettes creuses l'une sur l'autre d'une vingtaine de m�tres de diam�tre. D'abord stationnaire � hauteur d'arbre, cette masse prend ensuite lentement de l'altitude. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation. Les t�moins reprennent alors la route en direction des Sables-d'Olonne (85) et peuvent encore visuellement suivre le ph�nom�ne et le voir disparaitre � l'Ouest.
La gendarmerie pr�venue aussit�t ne constatera aucune trace dans la zone indiqu�e. Aucun autre t�moignage concernant l'observation d'un ph�nom�ne particulier � cette heure ne sera recueilli. Aucune perturbation �lectrique sur le r�seau dans le secteur ne sera enregistr�e par E.D.F.
Un autre t�moin rapportera avoir vu, le dimanche 8 f�vrier 1976 � 20h, deux engins silencieux et insolites passer dans le ciel.
Ce cas est consistant (3 t�moins), la description du lieu d'observation et du PAN observ� est pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mis en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme,couleur, taille.. ) avec un ph�nom�ne connu astronomique : la Lune.
De plus, la Lune �tait bien dans la zone de ciel observ�e alors que les t�moins n'en font pas mention.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (fatigue, inqui�tude, peur et croyance au ph�nom�ne OVNI ).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas expliqu� d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise de la Lune.";"Observations d'une masse lumineuse en d�placement : observations astronomiques li�es avec une m�prise de la Lune.";O;4;;;;;;;;2012-03-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1976-02-00288
352;"BILLOM (63) 17.02.1976";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";1976;02;17;"Le 27 f�vrier 1976 ( il y a une impr�cision sur la date exacte dans le PV) vers 20h50, un automobiliste observe quelques secondes et � faible altitude, le d�placement tr�s rapide du Nord au Sud, d'une sph�re rouge tr�s brillante.
Plusieurs personnes du secteur interrog�es, affirmeront n'avoir rien remarqu� de particulier ce soir l�. Ce cas est class� en C par manque d'informations.";"Observation rapide du d�placement d'une sph�re rouge.";O;1;;;;;;;;2011-01-17;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-02-00289
354;"CAPESTERRE-DE-MARIE-GALANTE (971) 24.03.1976";Guadeloupe;971;"(D) D�partement";1976;03;24;"Le 24 mars 1976 le g�rant d'un restaurant avise la gendarmerie que deux sph�res de couleur brillante et d'un diam�tre approximatif d'un m�tre viennent d'�tre d�couvertes sur la plage de la feuill�re (ile de Marie-Galante, Guadeloupe).
La gendarmerieconstate effectivement deux sph�res enterr�es dans le sable � la limite de la vague d�ferlante et partiellement couvertes par les eaux de mer. Elles sont distantes l'une de l'autre de 14 m�tres. Un rev�tement m�tallique l�ger (environ 5 dizi�mes de millim�tre) recouvre les deux sph�res : sur l'une d'elle le rev�tement semble avoir fondu laissant appara�tre un m�tal plus dur et plus r�sistant ne se rayant pas avec la pointe d'un couteau. Le lendemain � 6h30, les objets sont d�gag�s par la gendarmerie et il appara�t qu'il s'agit de deux demi-sph�res appartenant au m�me engin et s'adaptant parfaitement l'une dans l'autre. Une inscription H 476 AC est lisible sur l'une des demi-sph�res.
Ces engins devaient �tre ramen�s � la brigade pour nettoyage et identification �ventuelle. Mais � 10h le m�me jour, le maire de Capesterre de Marie-Galante, malgr� l'interdiction de la gendarmerie, fera enlever ces demi-sph�res pour les exposer sur la place de la mairie.
Ce cas n'est pas une observation de PAN. Il concerne le recueil de deux demi-sph�res m�talliques sur une plage . L'origine de ces demi-sph�res pourraient peut-�tre �tre retrouv�e en utilisant la nomenclature trouv�e � l'int�rieur d'une de ces demi-sph�res.";"Observation de deux demi-sph�res semi-enterr�es sur une plage.";O;1;;;;;;;;2011-01-25;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-03-00291
355;"THUIR (66) 25.03.1976";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";1976;03;25;"Le 25 mars 1976 vers 14h30 un automobiliste et ses passagers observent dans le ciel un engin lumineux se d�pla�ant Est-Ouest. De grandes dimensions et de forme ovale surmont� d'un d�me, il reste dans leur champ de vision durant une minute avant de dispara�tre brusquement.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Ce cas est class� D1 (voir compte rendu d'enqu�te).";"Observation du passage rapide d'un engin volant lumineux de forme ovale surmont� d'un d�me.";O;2;;;;;;;;2012-03-15;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;1976-03-00292
356;"SAINT-DENIS (974) 27.03.1976";"La R�union";974;"(D) D�partement";1976;03;27;"Le 27 mars 1976 entre 6h 30 et 6h 55 un militaire � bord de son v�hicule tombe subitement en panne. Tous les voyants lumineux sont �teints. Son attention est alors attir�e par une t�che de brouillard gris�tre avec un reflet m�tallique. Elle se situe vers la rivi�re � 15 ou 20 m�tres du v�hicule. Passant la t�te par la fen�tre il suit du regard le ph�nom�ne qui s'�l�ve et dispara�t � grande vitesse au-dessus des b�timents dans une direction Sud Sud-Ouest. Tr�s �tonn� par ce qu'il vient de voir, il constate alors que son tableau de bord est allum� et relance facilement le moteur pour repartir.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�no�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un ph�nom�ne sous la forme d'une t�che de brouillard.";O;1;;;;;;;;2011-01-25;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-03-00293
357;"ROANNE (42) 29.03.1976";Loire;42;"(D) D�partement";1976;03;29;"Le 29 mars 1976 � 17h10 un t�moin observe et photographie un objet circulaire de couleur orang� volant dans le ciel. L'objet se d�place lentement, s'immobilise un instant avant de repartir � grande vitesse selon une trajectoire N-S. Aucun bruit n'est entendu lors du d�placement de l'objet.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du d�placement silencieux d'un objet circulaire orang�.";O;1;;;;;;;;2011-01-25;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-03-00294
359;"SAINT-PAUL (974) 01.04.1976";"La R�union";974;"(D) D�partement";1976;04;01;"Le 1er avril 1976 aux environ de 17h20 plusieurs personnes observent dans le ciel une train�e blanche qui semble plonger dans la mer. Ils voient ensuite une masse de fum�e grise qui persiste sur l'eau durant un quart d'heure avant de dispara�tre compl�tement.
D'apr�s l'enqu�te de gendarmerie aucun a�ronef provenant le l'a�roport n'�tait en vol apr�s 17h. Elle ne recueillera aucun objet ou d�bris quelconque sur le littoral.
Il est probable que les t�moins aient assist� � la chute en mer d'un objet mais nous manquons d'informations pour identifier ce dernier.";"Probable observation de la chute d'un objet en mer.";O;4;;;;;;;;2011-01-25;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-04-00296
360;"PONT-SAINTE-MAXENCE (60) 05.04.1976";Oise;60;"(D) D�partement";1976;04;05;"Le 8 avril 1976, la gendarmerie est alert�e par la presse que le 5 avril 1976 vers 21h une personne a observ� un OVNI pr�s d'un terrain de sport. Au lieu pr�cis de l'observation plusieurs traces d'herbes brul�es sont constat�es et la souche calcin�e d'un arbre est retrouv�e.
Lors de sa d�position, le t�moin dit avoir aper�u une lumi�re passant alternativement du blanc au rouge apr�s un jet de fum�e. Il pr�cise les dimensions d'un objet de couleur aluminium qui surplombait le ruisseau. Le t�moin a entendu un l�ger sifflement. L'observation a dur� 5 minutes.
L'enqu�te de gendarmerie d�terminera que les traces ont �t� occasionn�es par des p�tards allum�s par plusieurs personnes. Le t�moin reconna�tra qu'il n'a jamais vu d'engin et que les journalistes lui auraient indiqu� les dimensions de l'objet qu'il a cru apercevoir.";"Explosion de p�tard produisant de la fum�e et des traces au sol.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1976-04-00297
361;"LAROQUE-TIMBAUT (47) 07.04.1976";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";1976;04;07;"Un t�moin rapporte, le 19 juin 1976, ses trois observations de ph�nom�nes lumineux entre avril 1976 et juin 1976.
Le 7 avril 1976 vers 23h30, il remarque un objet lumineux dans le ciel de la forme d'un cigare : ce dernier se pose sur le chemin menant au domicile du t�moin et produit une forte lumi�re dirig�e dans une seule direction.
Au cours du mois de mai 1976, vers la m�me heure et pratiquement au m�me endroit, il remarque deux engins tr�s lumineux dont un semble pos� sur le chemin proche du domicile. R�veillant imm�diatement son fr�re et ses parents, ces personnes observent durant 1h30 environ ces ph�nom�nes lumineux sans pouvoir d�terminer une forme pr�cise. Aucun bruit n'est entendu. Tout disparait brusquement. Un des t�moins retrouvera � l'endroit pr�sum� de l'atterissage des traces sur le goudron de la chauss�e.
Le vendredi 16 juin, toujours � la m�me heure, le t�moin remarque une forte clart� sur un terrain � proximit� de son habitation. Suite � toutes ces observations il d�cide de t�moigner.
Lors de l'enqu�te de gendarmerie, aucune constatation ne pourra �tre faite concernant les deux premi�res observations en raison de la d�claration tardive du t�moin. Pour la trois�me observation, le propri�taire du terrain affirmera avoir allum�, ce soir l�, dans son champ un feu de bois pour faire des grillades.";"Observations successives de ph�nom�nes lumineux.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-04-00298
362;"CRIEL-SUR-MER (76) 15.04.1976";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1976;04;15;"Le 15 avril 1976 entre 21h et 21h30 un t�moin observe, durant environ deux minutes, un ph�nom�ne lumineux orang�. Celui-ci reste stationnaire au-dessus du clocher d'une �glise situ�e � deux kilom�tres. Aucun bruit particulier n'est entendu. Il dispara�t subitement.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux orang� stationnaire. Disparition subite.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-04-00299
363;"EYMET (24) 24.04.1976";Dordogne;24;"(D) D�partement";1976;04;24;"Alert�e par des articles de journaux dans la presse locale, la gendarmerie enqu�te sur un ph�nom�ne particulier observ� par plusieurs personnes.
Le 24 avril 1976 vers 16h un couple dans la campagne remarque le bruit inhabituel d'un fort d�placement d'air suivi de l'apparition � 300m d'eux de deux disques lumineux verts. Ces objets plongent soudain vers le sol tr�s rapidement avant de dispara�tre. Il se produit une violente bourrasque suivie d'une chute de neige.
Le m�me ph�nom�ne se reproduira deux autres fois. Dans les environs d'autres personnes constateront au m�me moment des perturbations sur leurs postes de t�l�vision.
Les renseignements de la brigade locale permettent de penser qu'il s'agit probablement d'un ph�nom�ne �lectromagn�tique provoqu� par un �v�nement m�t�orologique local.";"Probable observation d'un ph�nom�ne �lectromagn�tique d� � un �v�nement climatique.";O;1;;;;;;;;2011-02-01;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-04-00300
366;"MATHA (17) 24.05.1976";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";1976;05;24;"Le 24 mai 1976 deux t�moins observent dans le ciel les aller-retours d'un objet brillant de forme allong�e ne laissant aucune trace dans le ciel. Aucun bruit ne sera entendu durant l'observation qui durera deux ou trois minutes.
Ces t�moins ont probablement observ� les �volutions d'un a�ronef en exercice mais le t�moignage reste tr�s impr�cis.";"Probable observation d'�volutions d'un a�ronef.";O;2;;;;;;;;2011-02-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-05-00303
367;"MIRAMONT-D'ASTARAC (32) 19.05.1976";Gers;32;"(D) D�partement";1976;05;19;"Dans la nuit du 18 au 19 mai 1976 vers 2h du matin un t�moin observe le passage N-E de deux boules coniques et rouges. Aucune trace au sol n'a �t� constat�e aux alentours de la maison du t�moin unique du ph�nom�ne.
Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation du passage de deux boules lumineuses rouges.";O;1;;;;;;;;2011-04-12;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-07-02733
368;"PROVENCY (89) 06.06.1976";Yonne;89;"(D) D�partement";1976;06;06;"Le 6 juin 1976 vers 23h35 un automobiliste observe durant quelques secondes la chute � vitesse constante d'un ph�nom�ne lumineux et son explosion. Aucun bruit n'est entendu. Pensant � un accident d'a�ronef, ce t�moin informe la gendarmerie.
L'enqu�te d�montrera qu'aucun appareil n'a �t� signal� disparu. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne
L'automobiliste a probablement �t� t�moin d'une rentr�e atmosph�rique.";"Probable observation d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2011-02-15;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-06-00304
370;"DIEPPE (76) 18.06.1976";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1976;06;18;"Le 18 juin 1976 vers 21h30 deux personnes observent dans le ciel un engin lumineux qui les intrigue : il est en forme de cigare et d'une grande longueur. Cet engin vole � basse altitude et � une vitesse r�guli�re selon une trajecoire NE-SO. Aucun bruit ne sera entendu.
Un seul t�moignage sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un engin en forme de cigare.";O;1;;;;;;;;2011-02-15;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-06-00306
372;"BISCHWILLER (67) 22.06.1976";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";1976;06;22;"Le 22 juin 1976 vers 22h 15 plusieurs personnes en voiture observent les d�placements rapides et silencieux, tr�s haut dans le ciel, d'une lueur rouge qui les intrigue. Ce ph�nom�ne stationnaire au-dessus du terminal pr�trolier serait pass� ensuite au-dessus de la raffinerie de Herrlisheim-Drusenheim puis serait parti en direction du Rhin vers l'Allemagne. Un des t�moin prendra plusieurs photographies mais la pellicule s'av�rera inexploitable.
Deux employ�s de la raffinerie ont fait savoir qu'ils avaient vu depuis leur domicile un objet brillant dans la direction Est-Nord-Est indiqu�e par le premier t�moin mais aucun des gardiens de service � la raffinerie n'ont aper�u d'objet au-dessus de l'�tablissement.
Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du passage � haute altitude d'une lueur rouge.";O;4;;;;;;;;2011-03-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-06-00308
374;"JONCY (71) 25.06.1976";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";1976;06;25;"Un t�moin rapporte ses observations successives de nuit de ph�nom�nes lumineux accompagn�s de bruit de moteur.
L'enqu�te de gendarmerie concluera au passage d'un v�hicule � proximit� de la ferme du t�moin.";"Observations successives de ph�nom�nes lumineux correspondant aux phares d'un v�hicule.";O;6;;;;;;;;2011-03-03;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1976-06-00310
375;"PONT-DU-CASSE (47) 06.06.1976";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";1976;06;06;"Le 6 juin 1976 entre 5h40 et 7h20 un t�moin observe le d�placement � haute altitude d'un objet lumineux ovoide. L'objet semble compos� de deux parties lumineuses de grosseurs in�gales mais comme reli�es entre elles. Il se d�place lentement suivant une direction Est-Ouest.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Cette personne a probablement �t� t�moin du passage d'un ballon stratosph�rique.";"Probable observation d'un ballon stratosph�rique et de sa chaine de vol.";O;1;;;;;;;;2011-02-15;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-06-02710
376;"CHOLET (49) 02.07.1976";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";1976;07;02;"Le 2 juillet 1976 vers 22h15 un couple observe quelques secondes et � une distance de 500m, le passage Ouest-Nord-Est de trois boules lumineuses. Elles disparaissent rapidement � l'horizon.
Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'information.";"Observation du passage de trois boules lumineuses.";O;2;;;;;;;;2011-03-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-07-00311
378;"AVALLON (89) 07.07.1976";Yonne;89;"(D) D�partement";1976;07;07;"Un t�moin et son petit fils observent vers 19h20 et durant une minute le passage N-S d'un objet sph�rique brillant de couleur verte.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du passage d'une boule lumineuse verte.";O;1;;;;;;;;2011-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-07-00313
380;"ENTREVAUX (04) 09.07.1976";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1976;07;09;"Le 9 juillet 1976 un garde chasse est averti par un berger de la pr�sence de traces au sol que ce dernier a constat� le 25 juin 1976.
Le 26 juillet 1976,l'enqu�te de gendarmerie confirmera la pr�sence de traces circulaires dans la zone d�termin�e mais l'origine de ces traces anciennes ne pourra �tre d�finie.";"Observation en montagne de traces au sol circulaires.";O;2;;;;;;;;2011-04-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-07-00315
381;"EPINAL (88) 10.07.1976";Vosges;88;"(D) D�partement";1976;07;10;"Le 10 juillet 1976 vers 4h30 un automobiliste constate la pr�sence � faible hauteur au-dessus de la route d'un engin qui le pr�c�de et qu'il ne reconna�t pas.
Le t�moin d�crit un objet d'une longueur de 4 � 5 m�tres et d'un diam�tre de 1 m�tre environ. De couleur rouge brillant il porte une bande noire sur toute sa longueur. La partie sup�rieure semble surmont�e d'une cabine avec une lumi�re clignotante. L'automobiliste s'arr�te pour regarder l'appareil qui semble faire marche arri�re comme pour venir vers le t�moin. Ce dernier apeur� reprend imm�diatement sa route.
Aucune autre information ne sera recueillie par la gendarmerie.";"Observation d'un engin volant suivant la route.";O;1;;;;;;;;2011-04-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-07-00316
382;"SAINT-GEOIRE-EN-VALDAINE (38) 11.07.1976";Is�re;38;"(D) D�partement";1976;07;11;"Le 11 juillet 1976 vers 22h05 deux personnes constatent la pr�sence d'un ph�nom�ne lumineux immobile de forme circulaire et de couleur rouge vif. L'observation lointaine ( 2km environ) ne permet pas de distinguer des d�tails. Pendant que l'un des t�moin cherche ses jumelles le ph�nom�ne se d�place vers l'Ouest puis dispara�t.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueillli.
L'enqu�te de gendarmerie qui s'est rendue sur les lieux avec les t�moins a det�rmin� la pr�sence d' un chemin de terre long de 50m qui rejoint � l'Ouest un chemin vicinal non class� et inconnu des t�moins.
L'hypoth�se du passage d'un v�hicule est envisag�e. Mais compte tenu de la distance d'observation et du peu d'�l�ments de d�tails donn�s, aucun �l�ment ne permet d''indentifier le ph�nom�ne.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux manque d'informations.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-07-00317
383;"VOID-VACON (55) 13.07.1976";Meuse;55;"(D) D�partement";1976;07;13;"Le 13 juillet 1976 � 5h45, deux t�moins finissant leur travail de nuit dans une carri�re observent soudainement dans le ciel l'apparition d'une sph�re blanche stationnaire qui grossit progressivement. L'observation dure 4 � 5 secondes puis le ph�nom�ne dispara�t. Aucun bruit n'est entendu.
D'apr�s l'enqu�te de gendarmerie, les observateurs se trouvaient dans l'endroit le plus �lev� de la r�gion et ils avaient un champ de vision tr�s �tendu. Le temps �tait ensoleill� et il n'y avait pas de nuages. Le ph�nom�ne se trouvait � la verticale de la c�te de Vaucouleurs � une distance d'environ 8km.
A cette date et � cette heure, il est probable que ces personnes aient �t� t�moin d'un ph�nom�ne de r�flexion du soleil � peine lev�.";"Probable observation d'un ph�nom�ne de r�fexion du soleil levant.";O;2;;;;;;;;2011-04-05;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-07-00318
384;"REVIN (08) 15.07.1976";Ardennes;08;"(D) D�partement";1976;07;15;"Le 15 juillet 1976 vers minuit, plusieurs personnes observent les �volutions d'un ph�nom�ne lumineux de plusieurs couleurs sur le mont ""Malgr� Tout"" o� est install� un relais T.V.. La vitesse d'�volution du ph�nom�ne est rapide mais aucun bruit n'est entendu durant les 20 mintutes d'observation.
Malgr� une enqu�te de gendarmerie et des observations faites aux jumelles par des t�moins, nous manquons d'informations et de pr�cisions sur ce ph�nom�ne observ�.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux � la verticale d'un relais de TV.";O;4;;;;;;;;2011-04-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-07-00319
385;"COLOMBES (92) 16.07.1976";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";1976;07;16;"Dans la nuit du 16 juillet 1976 un t�moin aper�oit � 4h30 depuis une fen�tre de son domicile le passage d'un ph�nom�ne lumineux sans qu'il puisse clairement voir de forme et entendre de bruit particulier. Il d�finit son observation comme tout d'abord un point lumineux s'approchant et devenant une rampe de lumi�res pour enfin et vu de l'arri�re constater deux points lumineux de couleur verte et rouge.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueillisur ce ph�nom�ne qui est probablement une observation d'un a�ronef.";"Probable observation du passage d'un a�ronef.";O;1;;;;;;;;2011-04-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-07-00320
386;"CHATEAUNEUF-VAL-DE-BARGIS (58) 19.07.1976";Ni�vre;58;"(D) D�partement";1976;07;19;"Le 19 juillet 1976 vers 3h du matin un automobiliste observe quelques secondes un objet stationnaire de couleur verte et de luminosit� intense. La distance d'observation est approximativement entre 300 et 400 m�tres. La forme de l'objet lui fait penser � un chapeau melon. Aucun bruit particulier n'est entendu par le t�moin lorsqu'� l'arri�re de l'objet une couleur rouge�tre appara�t et qu'il disparait rapidement vers le N-E.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un ph�nom�ne stationnaire lumineux vert et disparition vers le N-E.";O;1;;;;;;;;2011-04-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-07-00321
388;"CONDOM (32) 23.07.1976";Gers;32;"(D) D�partement";1976;07;23;"Trois personne d'un m�me secteur vont observer un ph�nom�ne lumineux dans la nuit du 23 eu 24 juillet 1976 aux alentours de minuit. Une vive lumi�re blanche et bleut�e se d�place sans bruit particulier � basse altitude. Elle disparaitra en direction du Sud-Est.
L'enqu�te de gendarmerie notamment aupr�s d'un t�moin agriculteur ne permettra pas de retrouver une trace et indice laissant supposer le passage � basse altitude d'un appareil ou objet quelconque. La v�g�tation sur la zone de passage indiqu�e par le t�moin principal est rest�e intacte et aucune anomalie provenant d'une source de chaleur ou d'un d�placement d'air ne sera constat�e.
Les descriptions restent insuffisantes et ce ph�nom�ne est class� C par manque d'information.";"Observations du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux.";O;3;;;;;;;;2011-04-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-07-00323
390;"LAROQUE-TIMBAUT (47) 29.07.1976";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";1976;07;26;"Entre le 26 juillet et le 29 juillet 1976 � des heures diff�rentes plusieurs t�moins observent des ph�nom�nes lumieux et �lectriques qui les intigue. Un des t�moins obsservera le passage rapide d'une boule verte clignotante dans le ciel et laissant une train�e rouge.des perturbations sur la r�ception TV et un incendie de compteur �lectrique sont constat�s ces jours l�.
L'enqu�te de gendarmerie rapportera plusieurs t�moignages d'observations diff�rentes.
Ce cas est class� C par manque de coh�rence et d'information des t�moignages";"Observations de diff�rents ph�nom�nes lumineux.";O;3;;;;;;;;2011-04-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-07-00325
391;"CHIRENS (38) 30.07.1976";Is�re;38;"(D) D�partement";1976;07;30;"Le 30 juillet 1976 vers 14h51 un t�moin est intrigu� par un objet sph�rique et de couleur m�tallique qui est stationnaire dans le ciel. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation qui dure 3 minutes avant que l'objet ne disparaisse vers l'Est.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet sph�rique en vol stationnaire puis disparition vers l'Est.";O;1;;;;;;;;2011-04-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-07-00326
395;"ANGLEMONT (88) 03.08.1976";Vosges;88;"(D) D�partement";1976;08;03;"Le 03 aout 1976 vers 11h45 un agriculteur constate dans le ciel le lent d�placement d'un appareil de forme cylindrique et de couleur aluminium qui brille constamment. L'observation dure 30 minutes avant que l'objet ne disparaisse � l'horizon.
Lors de l'enqu�te de voisinage, plusieurs personnes ont reconnu dans la description faite de l'objet, un ballon publicitaire pour un fabricant de pneumatiques vu plusieurs fois dans la m�me journ�e.";"Observation d'un ballon publicitaire.";O;1;;;;;;;;2018-11-09;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1976-08-00329
401;"SAINT-GENIES-DES-MOURGUES (34) 23.08.1976";H�rault;34;"(D) D�partement";1976;08;23;"Le 23 aout 1976 vers 23h 30 un cyclomotoriste constate dans le ciel la pr�sence d'un objet rouge vif lumineux qui se d�place en direction du S-O. Arriv� � son domicile et intrigu� par un bruit de moteur �lectrique tr�s aigu, il sort de chez lui et voit � environ 15 m le passage en direction du N-O d'un objet lumineux de forme ovoide avec des lumi�res blanches et rouges.Le t�moin constate que l'objet, apr�s avoir parcouru 80m, se stabilise puis s'�l�ve rapidement � une vitesse tr�s importante avant de dispara�tre .
Lors de l'enqu�te de gendarmerie aucun autre t�moignage de ce ph�nom�ne ce soir l� ne sera rapport�. Cependant le t�moin d�clare que finissant tardivement son travail , il a plusieurs fois �t� t�moin de d�placements de sources lumineuses. De plus a presse locale fait �tat d' observations diverses en juin et ao�t 1976 qui pourrait s'apparenter � ce ph�nom�ne.
L'observation pr�sente un faible degr� d'�tranget�. Une forte proportion des caract�ristiques d�crites par le t�moin correspondent � celles de ph�nom�nes connus : ici un h�licopt�re. L'observation est explicable et l'interpr�tation propos�e est simplement vraisemblable. Le cas est peu �trange et ne m�rite pas une enqu�te approfondie ( identifier le vol d'h�licopt�re impliqu� serait d'ailleurs difficile pour un cas aussi ancien ). Le t�moignage est unique et la consistance du cas est faible. Du fait de la forte ressemblance avec l'aspect d'un h�licopt�re, le cas est class� � B � observation probable d'un h�licopt�re.";"Probable observation du passage d'un a�ronef de type h�licopt�re.";O;1;;;;;;;;2012-04-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-08-00335
402;"FORBACH (57) 27.08.1976";Moselle;57;"(D) D�partement";1976;08;27;"Le 27 aout 1976 vers 21h16 un t�moin astronome amateur remarque encore une fois dans le ciel nuageux un objet qui l'intrigue. Il fait constater � une autre personne le passage d'un appareil circulaire diffusant � l'arri�re une lumi�re sensiblement orang�e.
Lors de l'enqu�te le t�moin fournit un descriptif pr�cis , un sh�ma de l'objet observ� et la trajectoire.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. Il est probable que ce t�moin ait fait successivement des observaions d'un a�ronef.";"Probable observations du passage d'un a�ronef.";O;1;;;;;;;;2011-04-13;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-08-00336
403;"PLANES (66) 28.08.1976";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";1976;08;28;"Le 28 a�ut 1976 vers 4h30 un t�moin observe dans le ciel couvert le passage d'un ph�nom�ne lumineux. Une boule rouge vif en son centre passe rapidement et silencieusement au-dessus de lui et dispara�t cach�e par le paysage. Le chien qui accompagne le t�moin est effray�. Cette personne voit par la suite une lueur blanche en forme de demi cercle et immobile derri�re un rideau d'arbres dans la direction de disparition du ph�nom�ne.
Aucune trace ne sera trouv�e sur les lieux et aucun autre t�moignage ne sera rapport� sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2011-04-13;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-08-00337
406;"TARBES (65) 05.09.1976";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";1976;09;05;"Le 5 septembre 1976 vers 7h22 une personne observe depuis le 15eme �tage de son immeuble un ph�nom�ne lumineux dans le ciel qui l'intrigue. Durant une dizaine de minutes le t�moin observera en direction du Sud-Est la pr�sence au-dessus des collines de Sarrouilles (65) d'une ligne lumineuse rouge avant que celle-ci ne disparaisse vers l'Est.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
L'enqu�te de gendarmerie fera appara�tre que l'observation faite le 5 septembre est probablement en relation directe avec le passage d'un ballon sonde rest� en l'air apr�s le largage de son chargement dans un champ � Soues. Les vents �taient nuls le 4 et 5 septembre 1976 et les deux communes sont sensiblement situ�es dans la m�me direction au Sud-est de Tarbes.";"Probable observation d'un ballon sonde.";O;1;;;;;;;;2011-05-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-09-00338
409;"MAGNE (86) 10.09.1976";Vienne;86;"(D) D�partement";1976;09;10;"Le 10 septembre 1976 � 23h15 un t�moin observe le passage NO-E d'un appareil de forme ronde et de la grosseur d'un h�licopt�re qui �met sucessivement et rapidement trois couleurs jaune, vert et rouge. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation qui dure 45 secondes. La personne t�moignera tardivement � la gendarmerie.
Aucun autre t�moignage ne sera recueuilli malgr� un article paru dans la presse � ce sujet. Le t�moin a probablement fait une observation du passage d'un a�ronef.";"Probable observation d'un a�ronef.";O;1;;;;;;;;2011-05-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-09-00341
410;"SAINT-VERAND (38) 12.09.1976";Is�re;38;"(D) D�partement";1976;09;12;"Le 12 septembre 1976 vers 22h50 une famille observe un ph�nom�ne lumineux � proximit� de leur domicile. Sur le pas de la porte, un des t�moin sent une chaleur intense autour de son domicile et son attention est attir�e par une forme elliptique d'un blanc incandescent avec un halo lumineux. Ce ph�nom�ne qui se trouve derri�re des arbres dure environ deux minutes et descend vers le sol. Il disparait brusquement. Quelques instants auparavant une perturbation avait �t� constat�e sur l'�cran de t�l�vision et un animal avait �t� brusquement effray�.
Le lendemain la gendarmerie ne constatera aucune trace au sol dans le secteur de l'observation. Un voisin t�moignera avoir entendu vers 23h comme un coup de tonnerre et constat� une panne de lumi�re quelques minutes mais il n'a rien vu du ph�nom�ne.
Ce cas d'observation a longtemps �t� class� C par manque d'information. Il a �t� soumis derni�rement � un expert des ph�nom�nes de foudre. Les conditions atmosph�riques au moment de l'observation, la description du comportement du ph�nom�ne sont compatibles avec l'hypoth�se d'une manisfestation de l'�lectricit� atmosph�rique appel�e foudre en boule ou foudre globulaire.
Ce cas est class� B : observation probable d'un ph�nom�ne de foudre globulaire.
";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux et sensation de chaleur intense par temps orageux. Brusque disparition. Observation probable d'un ph�nom�ne de foudre globulaire.";O;3;;;;;;;;2015-06-15;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-09-00342
412;"HAUTE-GARONNE (31) 17.09.1976";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1976;09;17;"Le 17 septembre 1976 entre 20h15 et 20h30 plusieurs personnes observent le d�placement silencieux d'un ph�nom�ne lumineux de forme sph�rique. Certains t�moins constatent des changements de couleurs .
L'enqu�te de gendarmerie d�terminera rapidement qu'il s'agit du passage d'un ballon stratosph�rique du Centre National d'Etudes Spatiales l�ch� � Air-Sur-Adour (40) pour �ffectuer des mesures � haute altitude. Les changements de couleurs sont produits par le ph�nom�ne de diffraction de la lumi�re du soleil couchan alors que les mouvements atmosph�riques provoquent des d�formations optiques des contours de l'objet.";"Observation du passage d'un ballon stratosph�rique du CNES.";O;3;;;;;;;;2011-05-03;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1976-09-00344
416;"CHATEAU-GONTIER (53) 05.10.1976";Mayenne;53;"(D) D�partement";1976;09;30;"Le 5 et 6 octobre 1976 entre 6h30 et 6h40 deux t�moins observent la pr�sence d'un point lumineux dans le ciel qui les intrigue. Un objet lumineux de forme ovale de couleur rouge feu parait stationnaire au Nord lors le la premi�re observation et en lent d�placement E-O lors de la deuxi�me observation. La pr�sence de cet objet dure moins d'une minute avant que le ph�nom�ne ne disparaissent soudainement.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous avons peu d'informations.";"Observations successives d'un ph�nom�ne lumineux.";O;3;;;;;;;;2011-05-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.46;0.31;C;B;1976-10-00348
418;"MONTIGNY-LES-METZ (57) 07.10.1976";Moselle;57;"(D) D�partement";1976;10;07;"Le 7 octobre 1976 plusieurs adolescents observent quelques secondes aux alentours de 19h, le passage rapide d'un objet au-dessus des maisons du quartier. L'objet est d�crit ayant la forme d'un cigare de couleur rouge et passant sans bruit selon une trajectoire SE-NO.
Aucun adulte ne sera t�moin de ce ph�nom�ne qui sera relay� dans la presse locale sur l'insistance d'un des parents.
Ces enfants ont probablement fait une observation du passage d'un a�ronef, le trafic a�rien �tant important dans ce secteur situ� � proximit� de l' a�roport de Metz.";"Probable observation du passage d'un a�ronef.";O;4;;;;;;;;2011-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-10-00350
419;"ALLEVARD (38) 10.10.1976";Is�re;38;"(D) D�partement";1976;10;10;"Le 10 octobre 1976 entre 17h et 17h30 des personnes observent plusieurs fois un objet brillant de la forme d'un cigare portant en son centre un rond de couleur fonc�. Cet objet se d�place sans bruit.
aucun autre t�moignage ne sera rapport�. Ces t�moins ont probablement fait une observation d'un a�ronef de type dirigeable utilis� pour faire de la publicit�.";"Probable observation du passage d'un dirigeable.";O;1;;;;;;;;2011-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-10-00351
420;"VENON (38) 15.10.1976";Is�re;38;"(D) D�partement";1976;10;15;"Un t�moin rapporte succinctement avoir observ� le 15 octobre 1976 vers 17h55 le d�placement d'un objet lumineux dans le ciel selon une trajectoire S-N. Il est apparu ensuite ayant la forme d'un cigare de grande taille et se d�placant toujours sans bruit. L'objet a disparu en prenant la direction du NE.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'information.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2011-05-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-10-00352
421;"LOCMINE (56) 19.10.1976";Morbihan;56;"(D) D�partement";1976;10;18;"Le 19 octobre 1976 vers 23h40 une famille en voiture constate dans le ciel le d�placement d'un objet particulier dot� de faisceaux lumineux � chaque extr�mit�. Cet objet �met des lumi�res vers le sol puis s'�l�ve apr�s avoir �teint ses faisceaux et disparait vers l'Est. Une personne dont l'habitation est situ�e dans la vall�e o� s'est d�roul�e l'observation a constat� des perturbations sur son poste de t�l�vision vers 23h30 mais n'a fait aucune observation directe.
Aucune information permettant de valider une hypoth�se n'a �t� recueillie aupr�s des diff�rents services constact�s (M�t�o, service radar, EDF, stations d'�puration et d'�quarissage situ�es � proximit� et fonctionnant nuit et jour).";"Observation d'un engin �mettant des lumi�res vers le sol.";O;5;;;;;;;;2011-05-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-10-00353
422;"GONDRECOURT-LE-CH�TEAU (55) 21.10.1976";Meuse;55;"(D) D�partement";1976;10;21;"Le 21 octobre 1976 entre 18h30 et 18h45 trois personnes situ�es � deux endroits diff�rents, observent le lent d�placement SE-NO d'une boule lumineuse de forte intensit� et de couleur rouge-orang�. L'observation dure 45 secondes avant que le ph�nom�ne ne disparaisse brusquement. Un deuxi�me ph�nom�ne identique au premier et semblant suivre la m�me trajectoire est vu quelques minutes plus tard.
Ce ph�nom�ne est class� en C par manque d'informations.";"Observation du d�placement de deux ph�nom�nes lumineux.";O;3;;;;;;;;2011-05-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-10-00354
423;"BOUZONVILLE (57) 24.10.1976";Moselle;57;"(D) D�partement";1976;10;22;"Entre le 20 et le 26 octobre 1976 en soir�e, plusieurs personnes situ�es dans le m�me secteur g�ographique font des observations de lumi�res multicolores semblant provenir d'un engin que personne n'identifie. Les t�moins seront effray�s par ces lumi�res et cet engin stationaire ou en d�placement et qui �met un bruit sourd.
Ce ph�nom�ne qui est class� C par manque d'informations.";"Observations successives de lumi�res provenant d'un a�ronef.";O;5;;;;;;;;2011-05-17;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-10-00355
424;"CHATEL-GUYON (63) 29.10.1976";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";1976;10;29;"Dans la nuit du 28 au 29 octobre 1976 entre 4h et 4h45 du matin plusieurs personnes d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Un objet stationnaire de forme circulaire �met une lumi�re blanche tr�s intense. Peu de pr�cisisons sont donn�es sur l'altitude possible de l'objet.
Ces personnes ont probablement fait une observation astronomique.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux.";O;4;;;;;;;;2011-05-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-10-00356
428;"CASSIS-CARNOUX (13) 04.11.1976";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1976;11;04;"Le 4 novembre 1976 vers 21h45 plusieurs t�moins observent le passage lent et silencieux d'une forme triangulaire suivant la direction Marseille -La Ciotat. L'objet est de dimensions l�g�rement plus importante qu'un avion de ligne et �met une lumi�re rouge � l'avant et une lueur blanche � l'arri�re.
Au cours de plusieurs services de nuit, la gendarmerie a constat�, entre 21h30 et 22h environ, le passage d'un avion de ligne d'assez fort tonnage empruntant le m�me itin�raire que l'objet observ�.
Les t�moins ont probablement observ� le passage d'un a�ronef.";"Probable observation du passage d'un a�ronef.";O;4;;;;;;;;2011-05-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-11-00358
429;"RIVES (38) 05.11.1976";Auvergne-Rh�ne-Alpes;ARA;"(R) R�gion";1976;11;05;"Le 5 novembre 1976 � 17h et � 20h08 des personnes observent le passage d'une lueur blanche intense dans le ciel. Ce ph�nom�ne, de forme circulaire, se d�place rapidement selon une trajectoire N-E. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation qui dure quelques secondes.
Trop peu de pr�cisions ont �t� donn�es pour valider une hypoth�se particuli�re. Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux.";O;2;;;;;;;;2011-05-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-11-00359
430;"BLIGNY (10) 11.11.1976";Aube;10;"(D) D�partement";1976;11;11;"Les 11, 12 et 20 novembre 1977 entre 17h30 et 18h45 un t�moin observe la pr�sence d'un objet insolite dans le ciel qui l'intrigue. De forme triangulaire et de couleurs vari�es, l'objet est soit statique soit en mouvement.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. Aucune observation ne sera faite pas la gendarmerie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'information.";"Observations p�riodiques de la pr�sence d'un objet insolite dans le ciel par un seul t�moin.";O;1;;;;;;;;2011-05-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-11-00360
431;"LOULAY (17) 20.11.1976";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";1976;11;20;"Le 20 novembre 1976 vers 19h30 des personnes observent dans le ciel un objet de forme ronde et lumineux qui les intrigue. Cet objet semble tourner sur lui-m�me et une lueur est visible par intermitence. Il �met des rayons vifs jaune-orang�s. L'observation dure un bon quart d'heure avant que l'objet ne disparaisse dans une trajectoire descendante.
Aucun autre t�moignage plus pr�cis ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet lumineux dans le ciel.";O;3;;;;;;;;2011-05-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-11-00361
432;"MONTMEDY (55) 21.11.1976";Meuse;55;"(D) D�partement";1976;11;21;"Le 21 novembre 1976 � 20h55 une personne constate une trait rouge dans le ciel puis sa disparition. Elle voit ensuite, avec un autre t�moin, le d�placement d'un point lumineux blanc dans une trajectoire courbe et descendante.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du d�placement d'un point lumineux dans le ciel.";O;2;;;;;;;;2011-05-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-11-00362
435;"COMMERCY (55) 20.11.1976";Meuse;55;"(D) D�partement";1976;11;20;"Les 20 et 21 novembre 1976 vers 17h30 plusieurs personnes observent le lent d�placement de deux points lumineux dans le ciel. Ils sont de forme arrondie. Aucun bruit n''est entendu durant les observations.
Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observations du lent d�placement de deux points lumineux dans le ciel.";O;2;;;;;;;;2011-05-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-11-02762
436;"SAINT-GEOIRS (38) 25.11.1976";Is�re;38;"(D) D�partement";1976;11;25;"Le 25 novembre 1976 vers 7h10 un cultivateur � la chasse observe au loin durant quelques secondes une lueur rouge qu'il prend pour un feu de chemin�e.
Dominant le paysage, il voit ensuite arriver vers lui une lumi�re scintillante qui se d�place selon une trajectoire E-O. Arriv� � dix ou quinze m�tres du chasseur, ce ph�nom�ne change de direction et le t�moin constate alors qu'il est en pr�sence d'un objet de forme allong�e de deux m�tres de long environ. L'objet cylindrique est immobile � 10 m�tres du sol et une lueur intermitente rouge se propage tout autour de l'objet. Il se d�place ensuite sans bruit en direction du Sud, s'immobilise puis repart et dispara�t cach� par le paysage.
Suite � l'enqu�te de gendarmerie, aucun autre t�moignage ne sera recueilli et aucune trace ne sera retrouv�e dans la zone de passage indiqu�e par le t�moin.
Il est difficile de mener une enqu�te � post�riori sur un cas aussi ancien. L'hypoth�se de l'observation d'un a�ronef n'est pas retenue.
Ce cas inexpliqu� est peu consistant (un t�moin unique). L'observation pr�sente un fort degr� d'�tranget� (observation proche mais courte 8 � 10 sec).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas inexpliqu� peu consistant avec un fort caract�re d'�tranget� est class� comme PAN D1.";"Observation rapproch�e du d�placement d'un objetcylindrique volant � 10m du sol avec changement de direction.";O;1;;;;;;;;2012-04-12;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;1976-11-02763
438;"ALLY (43) 01.12.1976";Haute-Loire;43;"(D) D�partement";1976;12;01;"Le 1er d�cembre 1976 plusieurs t�moins observent la pr�sence au-dessus de la ligne d'horizon d'un objet lumineux et stationnaire . L'observation durera 15 minutes avant que l'objet ne disparaisse. Aucun bruit particulier ne sera entendu.
Rapidement sur le lieux ,aucune observation ne sera faite par la gendarmerie et aucune trace particuli�re au sol ne sera d�couverte dans le secteur ce soir l�.
L'enqu�te de gendarmerie d�terminera la pr�sence plusieurs soirs de suite et dans la direction indiqu�e par tous les t�moins d'un ph�nom�ne lumineux disparaissant derri�re la ligne d'horizon.
Toutes ces personnes ont fait l'observation astronomique de V�nus.";"Observations astronomiques de V�nus.";O;4;;;;;;;;2011-09-01;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1976-12-00365
439;"SAINTE-MAXIME (83) 07.12.1976";Var;83;"(D) D�partement";1976;12;07;"Le 7 d�cembre 1976 vers 17h45 un chauffeur de bus et plusieurs �coliers aper�oivent � deux reprises dans le ciel le d�placement d'un ph�nom�ne sph�rique lumineux. L'objet de forte clart� au-dessus de la mer se dirige lentement en direction de la terre avant de disparaitre.
Une des hypoth�ses envisag�es est celle de l'observation d'un objet astronomique. Mais aucune autre information plus pr�cise ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'information.";"Observations du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2011-09-12;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-12-00366
440;"MEYRONNES (04) 08.12.1976";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1976;12;08;"Les nuits du 8 et 9 d�cembre 1976 autour de 23h des militaires observent quelques secondes dans le ciel la pr�sence de plusieurs objets volants, de forme ronde, qu'il ne reconnaissent pas. Ils se d�placent du SE vers le NO lentement et silencieusement.
A une dizaine de kilom�tres de distance un peloton cynophile constatera que ces m�me nuits leurs chiens au nombre de 10 ont hurl� � la mort inhabituellement.
Un autre t�moignage sera recueilli sur une observation faite 6 semaines auparavant : un t�moin a aper�u au pied des cr�tes une lumi�re rouge s'�levant dans le ciel avant de disparaitre derri�re un sommet.
Une surveillance sera �tablie du 12 au 30 d�cembre suite � la d�position des militaires mais aucune autre observation ne sera rapport�e.
";"Observation de la pr�sence et du lent d�placement d'objets volant dans la vall�e. Aucun bruit entendu. Manque d'informations.";O;5;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-12-00367
441;"SAINT-TROPEZ (83) 09.12.1976";Var;83;"(D) D�partement";1976;12;09;"Le 9 d�cembre 1976 un couple en promenade constate la pr�sence d'une lueur brillante et blanche stationnaire dans le ciel. Ils sont fort �tonn�es des variations d'intensit� lumineuse puis de son d�placement rapide et sans bruit vers le Sud-Est.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'information.";"Observation de la pr�sence d'une lueur importante dans le ciel puis de son d�placement � grande vitesse.";O;1;;;;;;;;2011-09-13;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-12-00368
442;"VALBONNE (06) 10.12.1976";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";1976;12;10;"Le 10 d�cembre 1976 � 22h10 un t�moin observe le passage E-NO d'un point lumineux se d�placant silencieusement � la vitesse �quivalente � celle d'une �toile filante. De forme ovoide et de couleur argent�e, le ph�nom�ne ne laisse aucune train�e lumineuse. Visible durant quelques secondes, il disparaitra cach� par le paysage.
Le 11 d�cembre � 1 heure du matin un militaire observera durant 3 � 4 minutes le passage N-S d'un objet ovoide � haute altitude laissant une train�e lumineuse.
Il est fortement probable que ces t�moins aient assist� � des rentr�es atmosph�riques.";"Observations du passage de ph�nom�nes lumineux.";O;1;;;;;;;;2011-09-13;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-12-00369
443;"AJACCIO (2A) 14.12.1976";Corse-du-Sud;2A;"(D) D�partement";1976;12;14;"Le Mardi 14 d�cembre 1976 entre 1h15 et 1h27 du matin un automobiliste constate une lueur inhabituelle au-dessus de l'a�roport. Une boule d'un blanc intense se d�place lat�ralement et lentement suivie par une seconde. Elles s'immobiliseront dans un premier temps avant de s'�lever rapidement et de dispara�tre.
L'enqu�te de gendarmerie d�terminera que cette personne a �t� t�moin du l�cher d'un ballon sonde : toutes ses remarques d�crivant parfaitement les manuvres du ballon.";"Observation d'un ballon sonde.";O;1;;;;;;;;2011-09-13;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1976-12-00370
445;"RENNES-SUR-LOUE (25) 18.12.1976";Doubs;25;"(D) D�partement";1976;12;18;"Le 18 d�cembre 1976 � 5h du matin, un t�moin constate par la fen�tre de sa chambre une lueur de couleur rouge et une masse sombre se d�pla�ant dans le sens N-S � basse altitude.
Aucun bruit n'est entendu durant l'observation dans ce matin l�g�rement brumeux.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur cette observation pour laquellle nous manquons de d'informations.";"Observation d'une lueur rouge et du passage d'une masse sombre.";O;1;;;;;;;;2011-09-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-12-00372
446;"PAJAY (38) 21.12.1976";Is�re;38;"(D) D�partement";1976;12;21;"Un t�moin rapporte une observation faite le 21 d�cembre 1976 entre 22h30 et 23h45 : le t�moin observe avec des jumelles un ph�nom�ne lumineux de plusieurs couleurs. Deux autres personnes observeront �galement le ph�nom�ne qui semble stationnaire.
Ces personnes ont probablement fait une observation astronomique de Sirius parfaitement visible en cette p�riode de l'ann�e. Les couleurs remarqu�es par le t�moin principal sont probablement la cons�quence d'une part du scintillement de l'�toile � cause des perturbations atmosph�riques et d'autre part des aberrations chromatiques inh�rantes aux jumelles grand public (ces aberrations provoquent des irisations autour des points tr�s lumineux).";"Probables observations astronomique de Sirius.";O;3;;;;;;;;2011-10-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-12-00373
447;"COURTINE (LA) (23) 23.12.1976";Creuse;23;"(D) D�partement";1976;12;23;"Le 23 d�cembre 1976 vers 2h20 un militaire en poste de surveillance a son attention attir�e par le passage � basse altitude d'un objet de forme ronde et �clair� par plusieurs lampes �mettant une lumi�re vive rouge. Une autre lampe rouge tourne � son sommet � la fa�on d'un gyrophare. L'engin se d�place lentement et �met un sifflement continu d'intensit� moyenne. Il dispara�t cach� par un autre batiment. L'observatio aura dur� 30 secondes.
Aucun autre t�moin direct de l'observation se fera conna�tre.
Ce militaire a probablement fait une observation du passage d'un a�ronef de type h�licopt�re.";"Probable observation d'un a�ronef de type h�licopt�re.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1976-12-00374
448;"LA BACHELLERIE (24) 24.12.1976";Dordogne;24;"(D) D�partement";1976;12;24;"Le 24 d�cembre 1976 vers 19h15 deux t�moins constatent dans le ciel les apparitions succesives de lueurs brillantes. Aucun bruit n'est entendu durant le d�placement de ces sept lueurs au total.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de pr�cisions.";"Observation de sept objets volants lumineux. Certains se d�placent en oscillant avant de dispara�tre.";O;2;;;;;;;;2011-10-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-12-00375
449;"SAINT-AMOUR (39) 26.12.1976";Jura;39;"(D) D�partement";1976;12;26;"Le 26 d�cembre 1976 vers 20h15 deux t�moins observent plusieurs minutes des lumi�res rouges et jaunes p�le venant de l'Ouest. L'ensemble d�crit des arabesques en se dirigeant lentement vers l'Est. Ce ph�nom�ne s'est produit au dessus du Mont Fevrier non loin de la station hertzienne. Les t�moins ont �galement vu une boule rouge monter de la ligne � haute tension pour aller � la rencontre de l'ensemble lumineux et dispara�tre.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli et l'agent de la station hertzienne � Cuisseaux n'a rien remarqu�.
Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation du d�placement silencieux et en arabesques de lumi�res de couleur.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1976-12-00376
452;"CHATEAUDOUBLE (26) 01.01.1977";Dr�me;26;"(D) D�partement";1977;01;01;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� CHABEUIL (26) 01.01.1977 a fait l'objet d'une premi�re revisite en 2011 dans laquelle une carte du ciel jointe indiquait la pr�sence de V�nus dans le secteur du ciel observ�. La nouvelle conclusion insiste sur les �l�ments qui ont particip� � l'�tranget� du cas � l'�poque et confirme l'observation astronomique.
Le 01 janvier 1977 entre 19h30 et 19h45 deux personnes circulent en voiture sur un chemin communal dans le quartier de la Serre � Valence (26). Lors de leur aller-retour sur cette route, ils sont intrigu�s par la pr�sence d'un ph�nom�ne lumineux blanc de tr�s forte intensit� � basse altitude. Stationnaire en direction du Sud, le PAN de forme large s'�l�ve ensuite rapidement pour dispara�tre toujours en direction du Sud. Aucun bruit n'est entendu durant la longue observation. Un troisi�me t�moin retrouv� par les gendarmes lors de l'enqu�te rapporte n'avoir rien constat� de particulier ce soir l� et dans son champ mais d�crit une observation d'un PAN faite un an auparavant.
L'observation est bien document�e gr�ce aux photos et reconstitutions des gendarmes. Par contre, il y a des incoh�rences dans les descriptions de formes ou mouvement du PAN.
La quasi- stationnarit� du PAN sur une dur�e importante (deux observations d'au moins 10mn s�par�es par au moins 15mn) font penser � l'observation d'un astre. Concernant l'aspect, certains points de t�moignages traduisant un mouvement ou une forme large ont pu para�tre �tranges et conduire � �carter cette hypoth�se lors de la premi�re enqu�te il y 40 ans. Mais l'exp�rience acquise par le GEIPAN permet d'expliquer ces perceptions.
La variation d'intensit� lumineuse, caus�e par l'�volution du voile atmosph�rique devant l'astre est logiquement interpr�t�e par le t�moin comme une variation (dite radiale) en distance (dans sa direction) d'un PAN qui serait � intensit� constante et selon des vitesses souvent qualifi�es de fulgurantes, en particulier lors de la fuite et de la disparition finale.
- le t�moin T1 dit ""� l'instant l'objet se d�pla�a � une vitesse vertigineuse vers le sud"" ;
- le t�moin T2 dit ""Au bout d'une minute environ, cet engin a commenc� � s'�lever et � diminuer en grosseur. Cette manuvre a dur� environ cinq secondes et � ce moment-l� la boule de feu est partie vers le sud comme une �toile filante. Je pr�cise que ceci s'est pass� tr�s rapidement.""... "" je dois ajouter que lorsque l'engin s'est envol�, j'ai eu l'impression que notre automobile partait en marche arri�re"".
Notons que la direction Sud de d�placement est la m�me que celle que les t�moins attribuent � la direction du PAN, ce qui va dans le sens d'une perception de d�placement radial. Seul T1 d�crit un mouvement qui pourrait laisser penser � une trajectoire non radiale avec une �volution en position dans le ciel, il dit ""se d�pla�a � une vitesse vertigineuse vers le sud en d�crivant une courbe au d�part de 45� environ"".
T2 Indique une notion de taille plus importante que celle d'un astre avec des formes et des rayons projet�s. Cela se produit �galement lors de l'observation av�r�e d'astres tr�s brillants comme V�nus ou Sirius pas loin de l'horizon, l'�l�ment le plus courant (attest� ici aussi) �tant constitu� par les couleurs variables et clignotements.On note que l'observation est faite en pr�sence ou � proximit� de nappes de brouillards qui ont pour effet d'accentuer les effets dispersifs de l'atmosph�re sur les lumi�res issues de l'astre. Notons enfin que T1 ne distingue aucun effet de forme au-del� d'un point lumineux large et globalement rond et que les deux t�moins font souvent r�f�rence � une �toile pour signaler le PAN.
Le doute n'est gu�re permis quand on constate (voir reconstitution ci-jointe r�alis�e � partir des photos de gendarmerie) que V�nus est exactement (� un ou deux degr�s pr�s) dans la direction du PAN (234� et non plein sud comme pens� par les t�moins). V�nus a bien une trajectoire descendante jusqu'� �tre � quelques degr�s du haut de la colline en fin de l'observation. La forte luminosit� avec dispersion des rayons du fait du brouillard a pu faire penser que le PAN est pos� sur la colline, du moins pour T2 car T1 a toujours situ� le PAN au dessus du sol.
La disparition finale du PAN r�sulte du passage d'un brouillard ou nuage plus �pais. Les perceptions d'intelligence du PAN (d�part) en r�action � la pr�sence des t�moins signal�e par les phares sont de pur hasard, d'ailleurs T2 pr�cise que la ""r�action"" du PAN a pris deux minutes (""J'ai l'impression que les lumi�res de notre voiture ont �t� g�nantes car deux minutes apr�s l'appel de phare, l'engin est parti"").
V�nus est exactement dans la direction du PAN. Les �carts t�moign�s par rapport � l'aspect standard d'une �toile sont conformes � ceux enregistr�s lors de nombreuses observations av�r�es de V�nus ou Sirius pr�s de l'horizon et ce qui ne le serait pas (mouvement non radial) n'est not� que par un t�moin (T1) et pas par l'autre.
En conclusion le GEIPAN classe le cas en A : observation de V�nus.
";"Longues observations d'un objet lumineux stationnaire � basse altitude ; disparition rapide et silencieuse : observations de V�nus.";O;3;3;;1;;;;;2018-06-04;;;0.05;0.00;;;0.60;;0.90;;0.55;0.00;A;A;1977-01-00377
453;"VILLEBOIS-LAVALETTE (16) 05.01.1977";Charente;16;"(D) D�partement";1977;01;05;"Le 5 janvier 1977 vers 18h30 deux personnes en voiture observent un ph�nom�ne lumineux rouge-orang� qui les intrigue. Celui-ci semble provenir d'une masse qui se d�place SE-NO sans qu'aucun bruit particulier ne soit entendu. L'observation durera une dizaine de minutes durant lesquels des �tincelles sont remarqu�es. Le ph�nom�ne diminuera progresssivement et lentement avant de s'�teinte compl�tement. A plusieurs reprises des personnes circulant sur la route emprunt�e par ces automobilistes, ont remarqu� des �tincelles provenant d'une ligne �lectrique orient�e SE-NO. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du d�placement silencieux d'un ph�nom�ne lumineux.";O;2;;;;;;;;2010-08-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-01-00378
454;"MESNIL-LE-ROI (LE) (78) 08.01.1977";Yvelines;78;"(D) D�partement";1977;01;08;"Le 8 janvier 1977 � 20h50 un t�moin observe une lumi�re intense provenant d'un objet qu'elle ne voit pas. Aucun bruit n'est entendu durant la courte observation. L'objet a disparu dans une trajectoire descendante derri�re les maisons en direction de la for�t domaniale. Aucune trace et aucun autre t�moignage n'ont pu apporter d'autres informations concernant ce ph�nom�ne.";"Observation d'un objet �metant une forte lumi�re.";O;1;;;;;;;;2010-08-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-01-00379
455;"NATIONAL (975) 10.01.1977";France;FR;"(N) National";1977;01;10;"Le 10 janvier 1977 � partir de 20h45 plusieurs personnes sur diff�rents d�partements observent dans le ciel des ph�nom�nes lumineux qu'ils ne s'expliquent pas. Tous d�crivent les d�placements silencieux et rapides d'objets lumineux rouge�tres.
Les gendarmes appel�s imm�diatement ne constateront pas ces ph�nom�nes pour lesquels nous manquons d'informations.";"Observations du passage de ph�nom�nes lumineux.";O;4;;;;;;;;2011-06-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-01-00380
457;"BAZOGE (LA) (72) 14.01.1977";Sarthe;72;"(D) D�partement";1977;01;14;"Le 14 janvier 1977 vers 18h 40 deux personnes observent un objet lumineux sph�rique qui les intigue. Cet objet se d�place d'abord dans le sens S-N puis E-O. Les gendarmes constateront en direction de l'Ouest le lent d�placement d'un objet lumineux de forme circulaire et d'un diam�tre sup�rieur � une �toile. Il sera visible jusqu'� 21h30. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation des d�placements d'un objet lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-08-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-01-00382
458;"VAUCOULEURS (55) 16.01.1977";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";1977;01;16;"Le 16 janvier 1977 � 20h15 un automobiliste et sa passag�re observent les d�placements d'une boule lumineuse de couleur orange et d'un diam�tre d'environ 15 cm. Elle se situe � environ 2000 m�tres d'altitude. Aucune train�e et aucun bruit ne seront visibles durant l'observation. L'objet s'�teint progressivement � trois reprises avant de se rallumer rapidement. L'objet a disparu tr�s rapidement.";"Observation du d�placement d'une boule lumineuse.";O;2;;;;;;;;2010-08-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-01-00383
459;"PORTE-PUYMORENS (66) 17.01.1977";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";1977;01;17;"Une automobiliste observe et photographie le 17 janvier 1977 vers 17h un ph�nom�ne m�t�orologique particulier. Un nuage de forme oval se d�place imperceptiblement sans le sens Nord-Sud. Deux autres t�moins ont fait la m�me observation. D'apr�s la photo jointe au proc�s verbal, ces personnes ont vu un nuage lenticulaire.";"Observation d'un nuage lenticulaire.";O;1;;;;;;;;2010-08-04;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1977-01-00384
460;"ISSOUDUN (36) 23.01.1977";Indre;36;"(D) D�partement";1977;01;23;"Le 23 janvier 1977 vers 1h45 un t�moin observe au loin une lumi�re orange qui semble venir dans sa direction. R�veillant d'autres personnes, ces t�moins vont apercevoir des boules lumineuses tr�s rapproch�es les unes des autres et de la taille d'une ballon de football. Un des objets retient leur attention �tant constitu� diff�remment des autres : il est de forme rectangulaire et plus �troit � l'arri�re avec des ouvertures �clair�es. Ces objets se d�placent sans aucun bruit. L'hypoth�se de l'observation de l'�volution d'un avion de transport (pr�sence d'un a�rodrome militaire � Ch�teauroux) n'a pu �tre confirm�e par manque d'informations.";"Observation du d�placement d'objets lumineux.";O;2;;;;;;;;2010-08-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-01-00385
461;"SAINT-BENOIT (974) 24.01.1977";"La R�union";974;"(D) D�partement";1977;01;24;"Le 24 janvier 1977 � 6h 17 trois personnes voient une colonne de vapeur ou de fum�e venant du ciel. Une tache d'�cume est visible � la surface indiquant la chute d'un objet dans l'oc�an � environ 4km du rivage et � environ 8 � 10 km du lieu de l'observation. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne et le point de chute s'averant difficile � d�terminer, aucune recherche n'a �t� entreprise.";"Observation d'un objet chutant dans l'oc�an.";O;3;;;;;;;;2010-08-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-01-00386
462;"VEROSVRES (71) 27.01.1977";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";1977;01;27;"Dans le soir�e du 27 janvier 1977 � partir de 20h30 deux automobilistes observent le lent d�placement d'un ph�nom�ne lumineux. Une boule de la grosseur d'un ballon de football �met une lumi�re blanche de forte intensit� et se d�place silencieusement tout en oscillant sur son axe. Aucune distance ni vitesse de d�placement n'a pu �tre pr�cis�e par le t�moin principal qui observera le d�placement d'un second point lumineux. Le t�moin quittera les lieux � 21h45 apr�s disparition totale du ph�nom�ne. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du lent d�placement d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-08-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-01-00387
465;"TOULOUSE (31) 26.01.1977";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1977;01;26;"Le dernier mercredi de janvier 1977, un t�moin observe depuis le 1er �tage d'une habitation, un objet volant dans le ciel � 500 m d'altitude. Cet objet de la forme d'un ballon de rugby est imposant et ressemble � un dirigeable. Il se d�place � une vitesse de 100 � 150 km/h contre le vent. Sa couleur est gris mat m�tallique. Aucun bruit n'est entendu par le t�moin. Ce t�moignage tr�s tardif (09/07/2007) ne permet pas de faire une enqu�te s�rieuse qui pourrait valider ou non certaines hypoth�ses telles que le passage d'un ballon.";"Observation d'une forme genre dirigeable.";O;1;;;;;;;;2010-03-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-01-01861
467;"SAINT-MARCELLIN (38) 02.02.1977";Is�re;38;"(D) D�partement";1977;02;02;"Le 2 f�vrier 1977 aux environs de 20h45 un t�moin observe durant trois minutes environ un ph�nom�ne lumineux aux jumelles. Il d�crit une forme circulaire en deux parties : brillante et jaune pour la partie sup�rieure et avec une flamme rouge vif sur la partie inf�rieure. Le ph�nom�ne semble ensuite pivoter sur lui-m�me pour prendre une forme ovale sans que les couleurs ne changent d'intensit�. Le t�moin retournera � ses occupations avant que le ph�nom�ne disparaisse. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-08-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-02-00391
468;"REIMS (51) 05.02.1977";Marne;51;"(D) D�partement";1977;02;05;"Ce cas d'observation class� ""C"" par le GEPAN fait aujourd'hui partie d'un r�examen (voir le document Notes d'enqu�te).
Le 5 f�vrier 1977 entre 21h et 21h30 deux personnes � Reims (51) observent en direction de l'Ouest une boule lumineux semblant immobile dans le ciel. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation de ce ph�nom�ne qui aura compl�tement disparu vers 21h45.
Ce cas est peu consistant (deux t�moins, mais avec des t�moignages succincts), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la plan�te V�nus. De plus, V�nus �tait bien pr�sente sur la zone du ciel observ�e, avec une luminosit� particuli�rement remarquable.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (fatigue, observation de nuit).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� � A �, observation li�e avec une m�prise avec V�nus.";"Observations d'un ph�nom�ne lumineux immobile et silencieux en direction de l'Ouest : observations astronomiques de V�nus.";O;2;;;;;;;;2014-09-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1977-02-00392
470;"LEDIGNAN (30) 09.02.1977";Gard;30;"(D) D�partement";1977;02;09;"Le 9 f�vrier 1977 vers 18h50 plusieurs personnes constatent la pr�sence dans le ciel d'une lueur �trange en direction du Sud-Est � ras la ligne de cr�te de la montagne. Tout d'abord immobile, cette lueur de forme sph�rique s'est ensuite progressivement �lev�e en changeant de couleur et a disparu brusquement. Appel�s par t�l�phone, les gendarmes depuis leur brigade ne constateront ni lueur anormale ni bruit sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du d�placement d'une forme sph�rique lumineuse.";O;5;;;;;;;;2010-08-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-02-00394
471;"ALBI (81) 10.02.1977";Tarn;81;"(D) D�partement";1977;02;10;"Le 10 f�vrier 1977 vers 5h58 deux personnes observent depuis leur domicile le d�placement silencieux d'une sph�re lumineuse clignotante. La sph�re dispara�t rapidement vers le Nord-Nord-Ouest cach�e par le paysage urbain. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.";"Observation du d�placement silencieux d'une sph�re lumineuse.";O;2;;;;;;;;2010-08-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-02-00395
476;"BELLEVILLE-SUR-SAONE (71) 18.03.1977";Rh�ne;69;"(D) D�partement";1977;03;19;"Les 18,19 et 20 mars 1977 plusieurs personnes dont des gendarmes observent � partir de 20h30 la pr�sence d'une �trange lueur dans le ciel. Celle-ci se d�place lentement et semble par moment grossir ou diminuer. La couleur peut varier du blanc au jaune orang�. La lueur dispara�t vers 21h. L'hypoth�se d'une observation astronomique n'a pu �tre confirm�e par manque d'informations.";"Observations p�riodiques d'une lueur. D�placement lent.";O;2;;;;;;;;2010-08-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-03-00399
481;"COS (09) 02.04.1977";Ari�ge;09;"(D) D�partement";1977;04;02;"Le 2 avril 1977 entre 19h15 et 19h30 plusieurs personnes dans un v�hicule remarquent dans le ciel un nuage lumineux qui les intrigue. Les t�moins aper�oivent ensuite une lueur de forme allong�e qui se d�tache lentement du nuage dans une trajectoire rectiligne . Aucun bruit particulier n'est entendu par les t�moins qui se sont arr�t�es sur le bas-c�t�. La lueur dispara�tra dans une masse nuageuse. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-08-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-04-00402
482;"ANGERS (49) 29.04.1977";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";1977;04;29;"Le 29 avril 1977 � 21h15 et � 22h15 deux personnes observent le lent d�placement d'un engin en forme de cigare. Cet engin �met des lumi�res de diff�rentes couleurs et se d�place parall�lement � la Maine. Malgr� une observation de 10 minutes, les t�moignages restent succincts. Un troisi�me t�moin retrouv� par la gendarmerie, fera �tat d'une observation de trois minutes ce m�me jour vers 21h d�crivant le d�placement NE-SO d'une boule rouge avec une ""queue"" qui finira par ""s'�teindre"" L'hypoth�se de la rentr�e atmosph�rique n'a pas �t� confirm�e par manque d'informations.";"Observations d'un engin sombre en forme de cigare �mettant une lumi�re blanche.";O;3;;;;;;;;2010-08-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-04-00404
483;"CAGNES-SUR-MER (06) 30.04.1977";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";1977;04;30;"Le 30 avril 1977 entre 23h et 23h25 des t�moins aper�oivent une lueur et entendent un bruit de cr�pitement ou de sifflement. La gendarmerie sera avertie tardivement des ces faits et ne pourra trouver aucune trace ou indice sur les lieux. Les t�moignages divergent sur beaucoup de donn�es et les faits n'ont pu �tre d�termin�s avec pr�cisions.";"Observations d'une lueur accompagn�e de bruit.";O;3;;;;;;;;2017-02-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-04-00405
485;"LAROCHE-PRES-FEYT (19) 11.05.1977";Corr�ze;19;"(D) D�partement";1977;05;11;"Le 11 mai 1977 vers 23h20 une personne remarque la pr�sence de deux �normes boules lumineuses situ�es � l'Est de sa maison. A 50m�tres du sol, elles sont immobiles et �clairent fortement le sol. AU bout d'une minute et avant la disparition compl�te du ph�nom�ne, le t�moin entendra un bruit de pales d'h�licopt�re et verra une lumi�re jaune tr�s intense �clairer le secteur. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation de deux boules oranges �mettant de la lumi�re.";O;1;;;;;;;;2010-08-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-05-00406
486;"CHATEAURENARD (45) 13.05.1977";Loiret;45;"(D) D�partement";1977;05;13;"Le 13 mai 1977 vers 21h 30 plusieurs t�moins observent les d�placements de plusieurs points lumineux. Ils �voluent en changeant de couleurs � une grande distance que les t�moins ne peuvent �valuer plus pr�cis�ment. Les enchainements des d�placements vont se poursuivre jusqu'� 22h20, heure de la brusque disparition du ph�nom�ne.";"Observations d'un ballet d'un ph�nom�ne lumineux.";O;2;;;;;;;;2010-08-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-05-00407
488;"COUX (07) 28.05.1977";Ard�che;07;"(D) D�partement";1977;05;28;"Le 28 mai 1977 � partir de 3h du matin une �tudiante fait trois observations d'un ph�nom�ne lumineux qui l'intrigue . Une boule de couleur jaune se d�place lentement avant de dispara�tre. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation. Un autre t�moin viendra sur les lieux de l'observation le lendemain entre 2h et 4h du matin. A la verticale de l'endroit d'observation indiqu� par le premier t�moin, il constatera la pr�sence de la Lune. L'�tudiante a probablement fait une observation astronomique de la Lune.";"Probable observation astronomique de la Lune.";O;1;;;;;;;;2010-08-11;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1977-05-00409
489;"VITTEAUX (21) 30.05.1977";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";1977;05;30;"Le 30 mai 1977 � 3h30 deux personnes en voiture observent une boule lumineuse de couleur rouge-orang� au-dessus de l'agglom�ration de vitteaux. Cette boule se situe � basse altitude et se d�place lentement dans le sens Sud-Nord. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation qui dure 5 � 6 minutes.
Ce cas ancien a fait l'objet d'un r��xamen. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te.
Ce cas est consistant (deux t�moins, dont une fonctionnaire de police), la description du PAN observ� est tr�s pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la Lune au coucher. De plus, la Lune �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e alors que les t�moins n'en font pas mention. Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (fatigue, conduite de nuit, Lune vue par intermittence � travers les nuages).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise avec la Lune.";"Observation de la pr�sence d'une boule lumineuse rouge-orange dans le ciel : observation astronomique avec m�prise Lune.";O;2;;;;;;;;2013-11-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1977-05-00410
490;"BARCELONNETTE (04) 11.05.1977";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1977;05;11;"Le 11 mai 1977 entre 22h05 et 22h 25 plusieurs personnes constatent la pr�sence dans le ciel de deux objets �voluant sans bruit et �mettant une vive lueur rouge par intermitence. Les t�moins remarquent �galement que ces objets �mettent une lueur blanche en direction du sol. L'enqu�te de gendarmerie d�terminera que deux appareils ""PUMA-SA/330"" de la base �cole du Cannet-des-Maures (83) ont effectu� un vol de nuit se livrant � des exercices (dont des �clairages au sol) dans le secteur d'habitation des t�moins.";"Observations d'un vol de nuit d'h�licopt�res.";O;1;;;;;;;;2010-08-11;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1977-05-02608
491;"MEYLAN (38) 04.06.1977";Is�re;38;"(D) D�partement";1977;06;04;"Le 4 juin 1977 vers 11h un t�moin et son fils observent un point de petite dimensions de couleur sombre se d�tachant dans le ciel clair. Ce point est immobile et durant l'observation des �clairs de plusieurs couleurs sont remarqu�s. Aucun bruit ne sera entendu. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un point immobile sombre.";O;1;;;;;;;;2010-08-12;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-06-00411
492;"SAINT-CLAUDE (39) 13.06.1977";Jura;39;"(D) D�partement";1977;06;13;"Le 13 juin 1977 vers 0h 05 des automobilistes constatent que la route s'�claire comme en plein jour pendant 4 � 5 secondes et ils voient une boule suivie d'une train�e qui se d�place d'Ouest en Est. Cette boule �met comme des cr�pitements. Elle dispara�t rapidement cach�e par le paysage. D'autres t�moins dans les environs entendront une d�flagration ou verront un �clair. La gendarmerie n'a relev�e aucune trace de chute sur le secteur. Ces personnes ont probablement �t� t�moins d'une rentr�e atmosph�rique.";"Probable rentr�e atmosph�rique.";O;4;;;;;;;;2010-08-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1977-06-00412
493;"SAINT-POL-SUR-TERNOISE (62) 25.06.1977";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1977;06;25;"Le 25 juin 1977 � 2h 05 les gendarmes sont pr�venus de la pr�sence de ph�nom�nes lumineux anormaux dans le ciel. Les t�moins font �tat d'�volutions de deux faisceaux lumineux entre 1h05 et 2h05. Ces faisceaux se d�placent dans le ciel �clairant l'espace en tournant sur eux-m�mes. La lumi�re apparait toutes les 15 � 20 secondes. Sur les lieux � 2h30, les gendarmes ne constateront aucun ph�nom�ne..";"Observations d'un ph�nom�ne lumineux.";O;3;;;;;;;;2010-08-12;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-06-00413
494;"NOISY-LE-ROI (78) 02.07.1977";Yvelines;78;"(D) D�partement";1977;07;02;"La gendarmerie fait �tat de courriers relatant l'observation d'un ph�nom�ne lumineux observ� le 2 juilllet 1977 par deux personnes. Un couple a observ� entre 19h30 et 20h20 les �volutions de deux lumi�res jaune -orang� d'abord immobiles puis se d�pla�ant dans le ciel. Une des deux lumi�re dispara�tra instantan�ment et les t�moins quitteront leur poste d'observation avant la disparition de la deuxi�me lumi�re. Les t�moins ne r�pondront jamais � la convocation de la gendarmerie et aucun autre t�moignagne ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-08-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-07-00414
495;"URMATT (67) 19.07.1977";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";1977;07;19;"Le 19 juillet 1977 vers 23h un chasseur dans la f�ret observe dans le ciel une boule lumineuse de plusieurs couleurs qui se d�place. Continuant son chemin vers la lis�re il aper�oit, au m�me endroit que la boule lumineuse qui a disparu, des disques de couleur p�le de la grosseur d'une assiette. Le chasseur d�concert� se rend jusqu'� un chalet pour trouver une autre personne pouvant confirmer ce qu'il voit. Un autre t�moin confirmera aux gendarmes avoir vu aux jumelles trois disques lumineux immobiles dans le ciel. Vers minuit plus aucun objet n'�tait visible dans le ciel. Aucun autre t�moignage pouvant apporter un compl�ment d'information n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'une boule et de disques lumineux.";O;2;;;;;;;;2010-08-18;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-07-00415
496;"[D670] de SAINT-ANDRE-DE-CUBZAC (33) vers LIBOURNE (33) 20.07.1977";Gironde;33;"(D) D�partement";1977;07;20;"Une personne t�moigne par lettre que le 20 juillet 1977 vers une heure du matin � bord de sa voiture, elle et sa fille ont pu observer durant quelques secondes un engin de la forme d'une soucoupe. Entour�e d'un halo l�g�rement jaune, l'engin se d�placait lentement dans le ciel en tournant sur lui-m�me et semblait descendre vers la voiture. Mais reprenant de l'altitude, l'engin a disparu en direction de Bordeaux. Plusieurs personnes seront entendues mais aucun autre t�moignage ne sera recueilli pour confirmer ou infirmer les dires de ce t�moin.";"Observation d'un engin en forme de soucoupe.";O;1;;;;;;;;2010-08-18;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-07-00416
498;"ARBRESLE (69) 27.07.1977";Rh�ne;69;"(D) D�partement";1977;07;27;"Le 27 juillet 1977 � 3h55 des personnes d'une m�me famille observent durant une � deux minutes trois engins stationnant sous le plafond nuageux. Ils d�crivent les engins comme ayant une forme pyramidale �vas�� avec la partie sup�rieure arrondie. Ils �mettent une lumi�re blanche et de couleur d'intensit� variable. Ils disparaissent silencieusement et en quelques secondes vers 4h pour r�appara�tre vers 4h20. Ils disparaissent ensuite d�finitivement dans les nuages. Aucune constatation n'a pu �tre faite par la gendarmerie et aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.";"Observations de trois engins immobiles et brillants.";O;3;;;;;;;;2010-08-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-07-00418
499;"LOUVIERS (27) 06.08.1977";Eure;27;"(D) D�partement";1977;08;06;"Le 6 aout 1977 � 1h 30 du matin deux personnes observent � l'ext�rieur de leur domicile un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue. Une lueur de forte intensit� jaune-orang�e se d�place lentement, s'immobilise et les t�moins aper�oivent un court instant deux petites lueurs rouges avant que la lueur ne continue son trajet. Durant les trois minutes d'observation aucun bruit n'est entendu.
Le 13 ao�t 1977 � la m�me heure un des t�moins observera toujours depuis son domicile un objet ovo�de pos� dans un champ de l'autre c�t� de la rivi�re qui borde sa propri�t�. L'objet lumineux est stationn� au sol et aucun bruit n'est entendu durant la dizaine de minutes d'observation.
Aucune trace ou changement particuli�rs ne seront remarqu�s par le propri�taire du champ � l'endroit suppos� du stationnement de l'objet.
La gendarmerie constatera trois trous peu profonds sans pouvoir d�terminer avec exactitude l'origine de ces trous difformes. Des �chantillons de terre seront pr�lev�s. La recherche de radioactivit� sera n�gative ainsi que les v�rifications demand�es aupr�s des services de m�t�orologie, g�nie et station radar proche.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux.";O;3;;;;;;;;2010-08-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-08-00419
500;"SAINT-BONNET-EN-CHAMPSAUR (05) 07.08.1977";Hautes-Alpes;05;"(D) D�partement";1977;08;07;"La gendarmerie est alert�e d'une observation rapport�e dans la presse locale.
Le 7 ao�t 1977 vers 1h 30 du matin, plusieurs personnnes observent un point lumineux au sommet d'une colline puis ils voient appara�tre progressivement un grand triangle de couleur orange vif. Vu en totalit� l'objet a la forme d'un c�ne et semble avancer vers eux. Pris de peur les t�moins partent en voiture. Le ph�nom�ne dispara�tra cach� par une haie d'arbres Revenus sur les lieux un peu plus tard avec d'autres personnes, ils n'ont plus rien observ�.
Sur les lieux indiqu�s par les t�moins, aucune trace au sol n'a �t� constat�e par la gendarmerie et aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli aupr�s de la population locale.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux orange et triangulaire : manque d'informations";O;3;;;;;;;;2016-10-25;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-08-00420
501;"ERSTEIN (67) 11.08.1977";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";1977;08;11;"Suite � un article dans la presse locale indiquant qu'un t�moin aurait aper�u dans le ciel un objet volant non identifi�, la gendarmerie proc�de � la recherche d'autres t�moins �ventuels. Deux t�moins retrouv�s affirment avoir observ� le 11 ao�t 1977 vers 22h30 un objet tr�s brillant et immobile dans le ciel. Observ� aux jumelles, l'objet a des sph�res �mettant une lumi�re jaune � sa base et une sorte de gyrophare rouge qui clignote. Il se d�place ensuite lentement sans qu'aucun bruit ne soit entendu avant de dispara�tre. Ces t�moins ont probablement observ� le passage d'un a�ronef de type h�licopt�re.";"Probable observation d'un a�ronef.";O;2;;;;;;;;2010-08-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1977-08-00421
502;"LILAS (LES) (93) 12.08.1977";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";1977;08;12;"Le 12 ao�t 1977 vers 23h un t�moin observe dans le ciel une forme allong�e peu �paisse,immobile et tr�s lumineuse. Ce ph�nom�ne dispara�t � tr�s grande vitesse en direction du Sud-Ouest au bout de quelques secondes. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux. Disparition � tr�s grande vitesse.";O;1;;;;;;;;2010-08-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-08-00422
503;"CHAUSSIN (39) 15.08.1977";Jura;39;"(D) D�partement";1977;08;15;"Suite � un article dans la presse locale, deux t�moins sont entendus sur leur observation du 15 ao�t 1977 vers 0h05 d'un objet lumineux en forme de boule venant du Sud-Ouest. Il se d�place lentement � faible altitude, s'arr�te quelques secondes et part vers le Nord-Est � une vitesse plus �lev�e. Aucun bruit ne sera entendu durant l'observation de plusieurs minutes. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du d�placement d'une sph�re lumineuse.";O;2;;;;;;;;2010-08-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-08-00423
504;"NANCY (54) 26.08.1977";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";1977;08;26;"Le 26 ao�t 1977 vers 20h15 plusieurs personnes observent entre deux arbres un objet lumineux immobile et silencieux. Le ph�nom�ne sera observ� aux jumelles avant de dispara�tre brusquement.";"Observations d'un objet lumineux stationnaire et silencieux.";O;3;;;;;;;;2010-08-25;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-08-00425
506;"POUZAUGES (85) --.--.1977";Vend�e;85;"(D) D�partement";1977;--;--;"T�moignage r�cent (12/07/2009) d'une observation ancienne : durant l'�t� 1977 (le t�moin ne se souvient plus de la date exacte entre juin et ao�t 1977), des personnes ont observ� de nuit un objet lumineux dans le ciel. D'abord stationnaire, il s'est ensuite d�plac� � des vitesses irrr�guli�res en changeant de direction. Puis il a disparu � grande vitesse vers l'Ouest. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne. Toute enqu�te aujourd'hui est difficile voir impossible sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation de d�placements particuliers d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-04-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-08-02483
508;"MACHILLY (74) 01.09.1977";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";1977;09;01;"D'apr�s un courrier re�u par la gendarmerie, un t�moin en vacances aurait vu le 1er septembre 1977 � 20h15 les d�placements de trois objets de la forme d'un uf l�g�rement applati. De couleur brillante, ils �mettaient des rayons lumineux. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur le secteur d'observation, secteur par ailleurs r�guli�rement survol� par des avions provenant de deux a�rodromes � proximit�. Le t�moin a probablement fait une observation d'a�ronef.";"Probable observation d'un a�ronef.";O;1;;;;;;;;2017-02-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1977-09-00427
509;"TOUR-DE-SALVAGNY (LA) (69) 04.09.1977";Rh�ne;69;"(D) D�partement";1977;09;04;"Le 4 septembre 1977 vers 23h deux personnes observent dans le ciel un ph�nom�ne inhabituel. Une boule blanche tr�s lumineuse se d�place � vive allure. Elle dispara�t de la vue des t�moins en s'�loignant. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation qui a dur� quelques secondes. Aucune constatation n'a pu �tre faite par la gendarmerie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du passsage d'un objet lumineux. Aucun bruit.";O;1;;;;;;;;2010-08-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-09-00428
512;"ISLE-SUR-SEREIN (89) 13.09.1977";Yonne;89;"(D) D�partement";1977;09;13;"Suite � un article de presse relatant l'observation par trois t�moins d'un ""OVNI"", une enqu�te est ouverte. La gendarmerie retrouve un t�moin qui affirme que le 13 septembre 1977 vers 21h30, elle a observ� le d�placement N-S d'une lueur rouge�tre. Aucun bruit n'a �t� entendu durant l'observation. Aucune tra�n�e sur le passage n'a �t� observ�e. Le deuxi�me t�moin reste introuvable. Un troisi�me t�moin sera entendu mais d�clarera avoir observ� un objet ovale blanc et lumineux dans les nuages le 07 septembre 1977 vers 07 heure du matin. Aucun autre t�moignage concernant le ph�nom�ne du 13 septembre ne sera recueilli.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux.";O;2;;;;;;;;2010-09-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-09-00431
514;"MALAUCENE (84) 18.09.1977";Vaucluse;84;"(D) D�partement";1977;08;--;"Le 18 septembre 1977 entre 22h30 et 22h35 deux t�moins observent le passage NNE-SSO d'un ph�nom�ne lumineux de couleur orange-feu . Les t�moins ont le temps de voir une forme rectangulaire qui dispara�t rapidement derri�re une colline. Un troisi�me t�moin indiquera que ce jour l� il n'a rien constat� mais que trois semaines auparavant il a vu une lumi�re importante derri�re une autre colline.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli et aucune trace ne sera d�couverte dans les secteurs pr�sum�s de la disparition de ces ph�nom�nes pour lesquels nous manquons d'informations.";"Observations de ph�nom�nes lumineux.";O;3;;;;;;;;2013-04-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-09-00433
515;"ISTRES (13) 23.09.1977";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1977;09;23;"Le 23 septembre 1977 vers minuit, une personne promenant son chien aper�oit durant une minute dans le ciel deux engins de forme circulaire. Le dessous est blanc lumineux et de dessus plus fonc�. Les engins se dirigent dans le sens NO-SE sans aucun bruit. Ils amorceront un virage avant de prendre de l'altitude � grande vitesse et de dispara�tre.
Aucun �cho impr�vu ne sera capt� au cours de la nuit � la tour de contr�le de la base a�rienne d'Istres. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.";"Observation du passage de deux engins.";O;1;;;;;;;;2011-04-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-09-00434
516;"YONNE (89) 30.09.1977";Yonne;89;"(D) D�partement";1977;09;26;"Dans la soir�e du 30 septembre 1977 de nombreuses personnes observent dans le ciel la pr�sence d'objets �voluant tr�s lentement � haute altitude et �mettant des lumi�res clignotantes de couleurs. Les faits se sont produits au-dessus de la ville de Sens et dans la r�gion de Brienon-sur-Armancon dans l'Yonne.
Il est probable que le ph�nom�ne observ� soit un important trafic de circulation a�rienne g�n�rale inhabituelle dans la r�gion et d� � l'activation du circuit d'attente de Sens.";"Probable observations d'a�ronefs en circuit attente d'att�rissage.";O;28;;;;;;;;2010-09-27;;;0.37;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1977-09-00435
518;"CONFLANS-SAINTE-HONORINE (78) 05.09.1977";Yvelines;78;"(D) D�partement";1977;09;05;"Le 5 septembre 1977 entre 22h30 et 23h15, trois personnes observent durant plusieurs minutes un ph�nom�ne insolite dans le ciel. Tous les t�moins d�crivent les �volutions d'une boule lumineuse rouge-orang� qui, selon les t�moins, reste immobile ou se d�place de droite � gauche et de haut en bas avant de prendre une trajectoire descendante et de dispara�tre.
Aucune trace au sol n'a �t� retrouv�e dans le secteur. Ce ph�nom�ne semble avoir suivi une trajectoire NE-O.
Trop peu de pr�cisions ont �t� donn�es pour valider une hypoth�se particuli�re. Ce cas est class� C par manque d'information.";"Observations d'un ph�nom�ne rouge-orang� dans le ciel.";O;3;;;;;;;;2011-05-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-09-02761
519;"SARTHE (72) 02.10.1977";Sarthe;72;"(D) D�partement";1977;10;02;"Le 2 octobre 1977 entre 21h 50 et 22h des automobilistes dans deux secteurs diff�rents du d�partements de la Sarthe observent dans le ciel un ph�nom�ne lumineux qu'ils ne s'expliquent pas. L'objet est de forme ronde, l�g�rement applati sur le dessus. Il est de couleur orang�.
Ce cas a �t� initialement class� � C � par le SEPRA par manque d'information, puis r�-analys� en 2013 par un internaute qui a propos� une explication au GEIPAN, explication qui a �t� valid�e.
Ce cas d'observation est un cas typique de � boule suiveuse � : effet constat� lorsque les t�moins voient un point ou disque lumineux qui semble les accompagner pendant qu'ils se d�placent : en fait, cet objet tr�s lointain est toujours dans la m�me direction g�ographique, et c'est g�n�ralement un astre. Le t�moignage est tr�s consistant avec deux groupes de t�moins ind�pendants qui ont d�pos� leur t�moignage en gendarmerie. Le ph�nom�ne observ� est peu �trange, car fortement ressemblant � la lune
Le GEIPAN classe ce cas � A � : observation de la Lune.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux orang� semblant suivre les automobilistes : observation astronomique de la Lune.";O;4;;;;;;;;2014-09-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1977-10-00436
521;"ESTANG (32) 08.10.1977";Gers;32;"(D) D�partement";1977;03;--;"Le 8 octobre 1977 � minuit et demi un automobiliste et sa passag�re sont surpris par un objet lumineux qui semble survoler leur v�hicule et qui se pose dans un champ en bordure de route. L'engin de forme arrondie est muni de deux tuy�res crachant des flammes illuminant tout l'horizon. Les t�moins restent tr�s choqu�s par leur observation.
Suite � l'enqu�te de gendarmerie, les t�moins reconna�tront avoir �t� tromp�s par deux torch�res allum�es et projetant, par instants et selon l'orientation du vent, de hautes flammmes vers le ciel. Ces torch�res font partie d'une station de gaz et sont situ�es sur la cr�te d'un champs, lieu approximatif de l'observation faite par les deux t�moins.";"Observation d'un objet brillant indentifi� : effet d'optique d� � deux torch�res allum�es.";O;3;;;;;;;;2011-05-18;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1977-10-00438
522;"SAINT-PORCHAIRE (17) 09.10.1977";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";1977;10;09;"Le 9 octobre 1977 � partir de 20h30 et jusqu'� 23h30 plusieurs personnes dont des gendarmes observent les �volutions d'un ph�nom�ne lumineux de couleurs vari�es non-conforme aux �toiles. Un autre ph�nom�ne lumineux sera observ� toujours le m�me jour vers 21h par un t�moin. Celui-ci relate une observation au sol de deux jets lumineux intens�ment blancs et sym�triques. Une troisi�me observation le 12 octobre 1977 � 19h45 sera rapport�e : un t�moin observera deux secondes un ph�nom�ne illuminant tout son environnement et constitu� de jets lumineux de couleurs comme un soleil de feu d'artifice. L'enqu�te de gendarmerie ne fait pas de rapprochement entre les observations pour lesquelles nous manquons d'informations.";"Observations de ph�nom�nes lumineux.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-10-00439
523;"SAINT-AUBIN-DE-MEDOC (33) 12.10.1977";Gironde;33;"(D) D�partement";1977;10;12;"Le 12 octobre 1977 � 5h 45 un automobiliste observe dans le ciel un objet entour� d'un halo orang� anim� de vibrations ou d'oscillations.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne par la gendarmerie ou l'observatoire de Floirac (33). Bien que le t�moignage soit tr�s succinct, cette personne a probablement observ� au travers d'un nuage le soleil levant (lev� ce jour � 5h20).";"Probable observation d'un effet d'optique li� au soleil levant.";O;1;;;;;;;;2010-10-14;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1977-10-00440
526;"CHAMPS-SUR-TARENTAINE-MARCHAL (15) 18.10.1977";Cantal;15;"(D) D�partement";1977;10;18;"Le 18 octobre 1977 � 0h24 un t�moin observe durant 4 minutes un point lumineux dans le ciel qui se rapproche, effectue une large courbe en perdant de l'altitude et semble s'immobiliser au-dessus d'une colline. Le t�moin raconte qu'il voit alors la masse sombre d'un engin avec un hublot circulaire �m�ttant une lumi�re vive bleue et orange. Au bout de dix secondes, il disparaitra instantan�ment.
Malgr� l'enqu�te de gendarmerie, aucun autre t�moignage ne sera recueilli.";"Observation du d�placement d'un engin inconnu.";O;1;;;;;;;;2011-05-18;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-10-00443
528;"WASSY (52) 21.10.1977";Haute-Marne;52;"(D) D�partement";1977;10;21;"Le 21 octobre 1977 vers 18h30 un t�moin observe durant quelques secondes le passage d'un ph�nom�ne lumineux. Une boule de couleur jaune et clignotante se d�place sur une trajectoire Ouest-Est. Aucune train�e et aucun bruit ne seront constat�s.
L'enqu�te de gendarmerie ne recueillera aucun autre t�moignage sur ce ph�nom�ne. Un temps particuli�rement orageux et avec de nombreux �clairs s�vira sur toute la r�gion ce jour l�.";"Observation du passage d'une boule lumineuse clignotante.";O;1;;;;;;;;2010-10-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-10-00445
529;"GUISE (02) 24.10.1977";Aisne;02;"(D) D�partement";1977;10;24;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � C � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � C � r�examin�s (voir le document Notes d'enqu�te).
Le 24 octobre 1977 entre 17h15 et 18h00 (les heures varient selon les t�moins), trois habitants de GUISE (02) observent � l'horizon la pr�sence d'une boule de couleur rouge ou feu de laquelle se dispersent des flamm�ches. L'observation dure de cinq � dix minutes au bout desquelles le PAN dispara�t progressivement � l'horizon.
Les t�moins d�posent en gendarmerie les 25 et 27 octobre. En patrouille plusieurs jours de suite, les gendarmes ne constateront aucun fait anormal et ne recueilleront aucun autre t�moignage. Le cas a fait l'objet d'un article de presse paru dans le journal L'Union le 26 octobre 1977 (voir le document Notes d'enqu�te).
Ce cas est consistant (trois t�moins), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : le Soleil au coucher. En effet, le Soleil �tait effectivement en train de se coucher dans l'axe que les t�moins indiquent.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (�tonnement).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise avec le Soleil au coucher.";"Observations d'un ph�nom�ne lumineux rouge � l'horizon : m�prise avec le Soleil au coucher.";O;3;;;;;;;;2015-11-24;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1977-10-00446
530;"KOUROU (973) 27.10.1977";Guyane;973;"(D) D�partement";1977;10;27;"Le 27 octobre 1977 vers 6h deux personnes aper�oivent quelques secondes dans le ciel une boule de feu rouge suivie d'une longue train�e rouge et orang�e. Ce ph�nom�ne se d�place d'Est en Ouest � tr�s grande vitesse et dispara�t brusquement dans le ciel. Aucun bruit n'est entendu.
Ces t�moins ont probablement observ� une rentr�e atmosph�rique.";"Probable observation d'une rentr�e atmosph�rique.";O;2;;;;;;;;2010-10-20;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1977-10-00447
531;"BRETEUIL-SUR-ITON (27) 28.10.1977";Eure;27;"(D) D�partement";1977;10;28;"La gendarmerie est inform�e par voie de presse que diff�rentes personnes ont observ� plusieurs fois de suite un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Les descriptions des t�moins varient quant � la description m�me du ph�nom�ne (boule ou lueur, de la couleur (blanche et rouge) clignotante ou non, se d�pla�ant ou stationnaire.
Les services de surveillance a�rienne de la base 105 � Evreux-Fauville n'ont remarqu� aucun ph�nom�ne particulier dans le ciel le 28 octobre 1977. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli par la gendarmerie sur ce ph�nom�ne. Ces personnes ont probablement fait une observation astronomique.";"Probable observation astronomique.";O;5;;;;;;;;2010-10-20;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1977-10-00448
533;"CONDE-SUR-ESCAUT (59) 02.10.1977";Nord;59;"(D) D�partement";1977;10;02;"Le 2 octobre 1977 en fin de journ�e une agricultrice dans un champs est survol�e un tr�s court instant par un objet sph�rique lumineux. D'autres personnes observeront une lueur inhabituelle � l'extr�mit� du champs o� se situait la cultivatrice. La gendarmerie pr�venue trois jours plutard ne constatera aucune trace au sol dans la zone indiqu�e par les t�moins et aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli pouvant apporter davantage de pr�cisions.";"Observation du passage d'une boule lumineuse. Lueur au sol.";O;4;;;;;;;;2010-09-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-10-02653
534;"SAINT-MARS-D'OUTILLE (72) 08.10.1977";Sarthe;72;"(D) D�partement";1977;10;08;"Le 8 octobre 1977 entre minuit trente et une heure du matin, une personne en cyclomoteur observe le passage d'un engin qu'il ne reconna�t pas. Il a une base plate surmont�e d'une forme arrondie ; l'engin est enti�rement illumin� � sa base par des feux jaunes entourant un feu rouge plus gros au centre. Le t�moin effray� relate qu'il sera suivi pendant trois kilom�tres jusqu'� son domicile. L'engin s'immobilisera ensuite au-dessus de sa maison avant de repartir � tr�s grande vitesse.
La description des lumi�res laisse � penser que ce t�moin a probablement observ� le passage d'un a�ronef de type h�licopt�re.";"Probable observation d'un a�ronef.";O;1;;;;;;;;2010-10-13;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1977-10-02656
535;"CASSIS (13) 09.10.1977";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1977;10;09;"Le 09 octobre 1977 vers 19h15 deux militaires en faction observent dans le ciel les �volutions d'un objet de forme ovale qui se d�place N-S. L'objet monte et descend � faible allure laissant une train�e phosphorescente derri�re lui. Aucun bruit ne sera entendu durant l'observation qui dure entre 5 et 7 minutes.
Quelques ann�es auparavant une observation similaire avait �t� rapport�e : � l'�poque il s'agissait de ballons-sonde lanc�s depuis la base a�rienne d'Istres (13).
";"Observation du passage d'un objet lumineux avec train�e phosphorescente.";O;2;;;;;;;;2010-11-25;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-10-02657
536;"KOUROU (973) 16.10.1977";Guyane;973;"(D) D�partement";1977;10;16;"Le 16 octobre 1977 � 6 h un t�moin observe depuis son balcon le d�placement de gauche � droite d'un objet brillant. Prenant rapidement de l'altitude il dispara�t dans le ciel. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du d�placement d'un objet brillant dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2010-10-15;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-10-02660
537;"BENQUET (40) 16.10.1977";Landes;40;"(D) D�partement";1977;10;16;"Le 16 octobre 1977 vers 3h30 un automobiliste et sa passag�re observent le passage O-E d'un objet circulaire de couleur. Le d�placement se fait � haute altitude et � grande vitesse. La trajectoire est curviligne et l'objet a disparu derri�re la v�g�tation. Aucun signe de parasitage n'est remarqu� dans le v�hicule.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.";"Observation du passage d'un objet circulaire : trajectoire curviligne.";O;1;;;;;;;;2010-10-15;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-10-02661
538;"BETHENY (51) 21.10.1977";Marne;51;"(D) D�partement";1977;10;21;"Le 21 octobre 1977 vers 17h15 deux t�moins observent le passage d'un objet de forme allong� dans le ciel. Lumineux et de plusieurs couleurs, l'objet se d�place en laissant derri�re lui une lueur qui s'att�nue. Il dispara�t rapidement cach� par le paysage.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du passage d'un objet de forme allong�e.";O;2;;;;;;;;2010-10-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-10-02665
539;"BOURAIL (988) 21.10.1977";Nouvelle-Cal�donie;988;"(D) D�partement";1977;10;21;"Le 21 octobre 1977 vers 18h30 deux personnes observent le d�placement horizontal vers l'Est d'un ph�nom�ne lumineux de forme arrondie. Le ph�nom�ne dispara�t rapidement dans la masse nuageuse. Aucun bruit n'a �t� entendu.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"D�placement rapide d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel.";O;2;;;;;;;;2010-10-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-10-02666
543;"SAINT-SEBASTIEN-DE-MORSENT (27) 04.11.1977";Eure;27;"(D) D�partement";1977;11;04;"Un t�moin raconte avoir observ� le 4 novembre 1977 vers 18h15 le passage SO-NE d'une boule lumineuse.
Aucun ph�nom�ne de ce genre ne sera observ� par la station m�t�orologique et radar de la B.A 105 � Evreux. La presse r�gionale fera �tat de l'observation par deux autres personnes de ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'information.";"Observation du passage d'une boule lumineuse.";O;1;;;;;;;;2010-10-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-11-00452
544;"CHENOVE (21) 10.11.1977";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";1977;11;10;"Le 10 novembre 1977 � 7h15 deux personnes depuis leur domicile constatent dans le ciel un point lumineux immobile qui les intrigue. Vers 7h 35 l'objet se met en mouvement et les t�moins observent alors un objet de couleur gris�tre, de forme oblongue parfaitement lisse suivi d'un pan�che s'effa�ant rapidement. La vitesse de l'objet s'acc�l�re et l'objet dispara�t rapidement derri�re une colline vers 7h40. Aucun bruit n'est entendu durant toute l'observation.
Aucune observation particuli�re ne sera faite � la tour de contr�le de la base a�rienne et � la station m�t�o de Dijon-Longvic o� les conditions de visibilit� au moment donn� �taient assez m�diocres.
Ces t�moins ont probablement observ� le passage d'un ballon sonde m�t�o �clair� par le soleil couchant.";"Probable observation d'un ballon m�t�o.";O;2;;;;;;;;2010-10-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1977-11-00454
546;"LES ANDELYS (27) 15.11.1977";Eure;27;"(D) D�partement";1977;11;15;"Le 15 novembre 1977 vers 6h45 un t�moin en cyclomoteur aper�oit tout � coup dans le ciel un engin de forme allong�e se d�pla�ant rapidement vers le NO. Quelques instants plus tard, le t�moin constate l'�clatement de l'engin en une gerbe d'�tincelles retombant vers le sol et laissant appara�tre une boule de plusieurs couleurs qui poursuit la m�me direction avant de dispara�tre compl�tement. Aucun bruit particulier ne sera entendu durant l'observation. Un autre t�moin � la m�me heure apercevra un ph�nom�ne lumineux suivi d'une longue train�e de plusieurs couleurs.
La gendarmerie ne trouvera aucune trace au sol dans le secteur concern�. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne. Ces t�moins ont probablement assist� � une rentr�e atmosph�rique.";"Probables observations d'une rentr�e atmosph�rique.";O;2;;;;;;;;2010-10-28;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1977-11-00455
548;"NANCY (54) 24.11.1977";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";1977;11;24;"Le 24 novembre 1977 � 7h20 un t�moin observe le passage d'un objet de forme ovale de la grosseur d'un ballon de rugby. Il �met une lumi�re brillante et se d�place selon une trajectoire Est-Nord avant de faire demi tour, de revenir en sens contraire sur la m�me distance pour dispara�tre cach� par le paysage urbain. L'observation a dur� environ trente secondes sans qu'aucun bruit particulier ne soit entendu.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du passage d'un objet ovale. Changement de direction.";O;1;;;;;;;;2010-11-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-11-00457
549;"SAINTE-CEROTTE (72) 26.11.1977";Sarthe;72;"(D) D�partement";1977;11;26;"Le 26 novembre 1977 vers 18h30 un automobiliste et sa passag�re observent un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue. Tout au long de leur trajet, le ph�nom�ne sera aper�u changeant de forme mais gardant sa couleur rouge-orang�. Il ne semble pas se d�placer.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de pr�cisions.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux.";O;2;;;;;;;;2016-10-25;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-11-00458
550;"COSNES-ET-ROMAIN (54) 30.11.1977";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";1977;11;30;"Le 30 novembre 1977 vers 17h35 un automobiliste aper�oit plusieurs fois sur son trajet un ph�nom�ne lumineux. Celui-ci est compos� de deux boules blanches tr�s lumineuses entre lesquelles de nombreux points lumineux semble d�limiter un appareil. Il se d�place � diff�rentes altitudes et change de direction sans qu'aucun bruit particulier ne soit entendu. Aucun clignotement n'est remarqu� sur les lumi�res. Aucune interf�rence sur la radio et sur le v�hicule n'est constat�e par le t�moin qui perdra de vue le ph�nom�ne.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.";"Observation d'un objet d�limit� par des lumi�res.";O;1;;;;;;;;2010-11-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-11-00459
551;"PARIS (75) 04.11.1977";Paris;75;"(D) D�partement";1977;11;04;"Le 4 novembre 1977 un t�moin dans un bus observe tr�s rapidement le d�placement sans changement d'altitude d'un objet ovo�de. L'objet dispara�t rapidement cach� par le paysage urbain.
Aucun renseignement ne sera recueilli aupr�s de l'observatoire de Paris sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'information.";"Observation du passage d'un objet lumineux blanc.";O;1;;;;;;;;2010-10-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-11-02667
552;"KOUROU (973) 10.11.1977";Guyane;973;"(D) D�partement";1977;11;10;"Le 10 novembre 1977 vers 19h des t�moins dans un restaurant de Kourou observent durant un quart d'heure un objet lumineux effectuant des figures g�om�triques dans le ciel. Il dispara�t en descendant en spirale.
Aucun mouvement d'avion et aucun lancement de ballon ou fus�e sonde n'ont �t� signal�s pour ce jour.
Un t�moin se pr�sentera � la brigade le 11 novembre 1977 pour signaler que la veille, � l'heure des faits pr�-cit�s, il a vu atterrir, sur le parking d'un hotel de la ville, un cerf-volant muni d'une pile. Malgr� les recherches entreprises, le propri�taire du cerf-volant n'a pas �t� retrouv�.";"Observation d'un cerf-volant.";O;3;;;;;;;;2010-10-27;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1977-11-02668
554;"MONTMORILLON (86) 19.11.1977";Vienne;86;"(D) D�partement";1977;11;19;"Le 19 novembre 1977 vers 1h05 un automobiliste et sa passag�re aper�oivent une boule de couleur rouge-orang�e qui se d�place et se rapproche. Le conducteur s'arr�te et le ph�nom�ne reste immobile dans une prairie � 1m�tre 50 du sol et � une trentaine de m�tres de la voiture. Aucun bruit n'est entendu. Le conducteur effray� d�cide de reprendre sa route et de changer d'itin�raire mais il rencontrera plusieurs fois le ph�nom�ne au cours de son p�riple. Le ph�nom�ne a �t� vu durant un quart d'heure et sur neuf kilom�tres par les automobilistes avant de dispara�tre
Aucune trace ou indice n'ont �t� retrouv�s dans les diff�rents lieux o� a �t� observ� le ph�nom�ne. Aucun ph�nom�ne particulier n'a �t� constat� par le responsable de l'observatoire de Floirac. Aucune manuvre militaire n'a �t� faite cette nuit l�.
Aucune intervention de quelque nature que ce soit n'a �t� faite sur la ligne � haute tension et les transformateurs situ�s � proximit� des routes emprunt�es par le conducteur. N�anmoins il est probable que la manisfestation observ�e puisse �tre attribu�e � un ph�nom�ne �lectrique �tant donn� qu'elle a �t� vue progressant toujours � proximit� de mat�riels conduisant et transformant de l'�lectricit�.";"Probable observation d'un ph�nom�ne �lectrique.";O;2;;;;;;;;2017-12-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1977-11-02670
556;"SAINT-CLAUDE (39) 07.12.1977";Jura;39;"(D) D�partement";1977;12;04;"Le 7 d�cembre 1977 vers 18h45 plusieurs personnes observent le passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Il se d�place d'Ouest en Est sans qu'aucun bruit particulier ne soit entendu. Le ph�nom�ne appara�t comme une forme allong�e �mettant une lumi�re blanche. Puis sur sa trajectoire cette forme fait place � un point lumineux rouge qui s'estompe progressivement et dispara�t.
Au cours de l'enqu�te, la gendarmerie ne trouvera aucune trace au sol du passage du ph�nom�ne. Un t�moin rapportera avoir vu �galement le 4 d�cembre vers 22h15 le passage d'une boule de couleur orange dans le ciel. Si ces t�moignages s'apparentent aux descriptions d'observations de rentr�es atmosph�riques, les informations concernant ces ph�nom�nes restent trop impr�cises pour valider cette hyphoth�se.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux.";O;4;;;;;;;;2010-11-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-12-00461
558;"NATIONAL (975) 13.12.1977";Occitanie;OCC;"(R) R�gion";1977;12;13;"Le 13 d�cembre 1977 entre 19h et 19h30 plusieurs t�moins dans diff�rentes r�gions de France ont observ� le rapide passage Est-Ouest dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux de forme circulaire suivi d'une train�e. La plupart de ces observations ont dur� quelques secondes et aucun bruit particulier n'a �t� entendu.
Au vu des descriptions donn�es, ces personnes ont probablement �t� t�moins d'une rentr�e atmosph�rique.";"Probables observations d'une rentr�e atmosph�rique.";O;9;;;;;;;;2011-06-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1977-12-00463
560;"CARQUEFOU (44) 17.12.1977";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1977;12;17;"Le 17 d�cembre 1977 vers minuit plusieurs personnes d'une m�me famille observent quelques secondes sur le pas de la porte de leur domicile le passage d'un ph�nom�ne lumineux. Une boule de couleur jaune-orang� qui se d�place du N-E vers le Sud � tr�s grande vistesse. Elle laisse derri�re elle une clart� qui illumine la nuit.
Ces personnes ont vraissemblablement �t� t�moins d'une rentr�e atmosph�rique.";"Probable observations d'une rentr�e atmosph�rique.";O;4;;;;;;;;2010-11-08;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1977-12-00465
561;"SAINTE-CEROTTE (72) 18.12.1977";Sarthe;72;"(D) D�partement";1977;12;18;"Le 18 d�cembre 1977 vers une heure vingt du matin, une dizaine de personnes dans un hameau de la commune de Sainte-C�rotte (72) observent un ph�nom�ne rouge-orang� dans le ciel. Les t�moins ne peuvent �valuer la distance � laquelle se trouve le ph�nom�ne et ne s'accordent pas sur sa forme. Mais tous ont remarqu� les mouvements (descente et ascension) de l'objet et sa disparition progressive en direction de l'Ouest. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu durant les observations de ce ph�nom�ne et aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli par la gendarmerie.
Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � C � par le GEPAN sous le nom de SAINT-CALAIS (72) 18.12.1977. Il a fait l'objet r�cemment d'un r�examen (voir le document Notes d'enqu�te).
Ce cas est consistant (une dizaine de t�moins), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute. Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la Lune au coucher. De plus, la Lune �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e alors que les t�moins n'en font pas mention.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (fatigue, observation de nuit, mauvaise interpr�tation de la position de la Lune).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� moyenne est class� en ""A"", observation li�e � une m�prise avec la Lune.";"Observations multiples d'un ph�nom�ne rouge-orang� dans le ciel et disparition � l'Ouest : m�prise avec la Lune au coucher.";O;7;;;;;;;;2014-09-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1977-12-00466
563;"POUANCE (49) 20.12.1977";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";1977;12;20;"Des observations p�riodiques d'un objet lumineux sont rapport�es. Celles-ci ont eu lieu les 19 d�cembre vers 22h et 20 d�cembre � 4h du matin et vers 22h. Les t�moins ont observ� longuement � chaque fois un objet lumineux qui �metait alternativement des lumi�res vertes, oranges puis rouges. L'objet se d�placait en faisant des arr�ts marqu�s.
Lors de l'enqu�te de gendarmerie des interf�rences TV ont �t� remarqu�es aux heures d'observations de l'objet en d�but de nuit. L'hypoth�se de l'observatin d'un satellite de communication a �t� �voqu�e mais non valid�e par manque d'informations.";"Observations p�riodiques d'un objet lumineux : manque d'informations.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1977-12-00468
565;"BEAUMETTES (84) 31.12.1977";Vaucluse;84;"(D) D�partement";1977;12;31;"Le 31 d�cembre 1977 apr�s 19h plusieurs personnes observent dans le ciel un ph�nom�ne lumineux orang� qui les intrigue.
Une personne ayant appris par son voisinage ces faits relat�s dans la presse viendra t�moigner en gendarmerie.Il affirme �tre � l'origine du tir d'un feu d'artifice compos� de deux fus�es �clairantes et de 4 fus�es chinoises le 31 d�cembre entre 19h et 19h30 pour c�l�brer la fin de l'ann�e.
Un autre t�moignage sera recueilli sur une observation le 31 d�cembre 1977 aux environs de 17h. Un automobiliste apercevra dans le ciel un objet immobile dans le ciel rapidement perdu de vue. Ce t�moignage reste succinct et aucun autre t�moignage sur ce ph�nom�ne ne pourra apporter un compl�ment d'information.";"Observations de lueurs de feu d'artifice.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1977-12-00470
567;"[D109] DE CHEMILLA (39) VERS SAINT-JULIEN-SUR-SURAN (39) 19.12.1977";Jura;39;"(D) D�partement";1977;12;19;"Le 19 d�cembre 1977 vers 2 heures du matin, un automobiliste observe, tout en circulant sur la D109, un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Le PAN (ph�nom�ne a�rospatial non identifi�) en forme de boule dont la partie sup�rieure est plane, �met une lueur blanch�tre et semble stationnaire au-dessus d'une vall�e. Le t�moin d�cide d'aller dans cette direction et constate que le PAN se d�place � une allure mod�r� en direction de l'Ouest. Il suivra le PAN une trentaine de minutes sans jamais le rattraper. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli par la gendarmerie sur ce ph�nom�ne.
Ce cas d'observation anciennement nomm� Arinthod (39) du nom de la gendarmerie fait partie des cas class� ""C"" par manque d'informations et qui sont aujourd'hui r�examin�s (voir le document Notes d'enqu�te).
Ce cas est assez consistant (un t�moin, accompagn� d'un chien qui r�agit � la pr�sence du PAN), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� du t�moin n'ont jamais �t� mises en doute. Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la Lune au coucher. De plus, la Lune �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e alors que le t�moin n'en fait pas mention.Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (fatigue, conduite de nuit).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� moyenne est class� en ""A"" : observation li�e avec une m�prise avec la Lune gibbeuse.";"Observation dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux en forme de boule dont la partie sup�rieure est plane : m�prise Lune gibbeuse.";O;1;;;;;;;;2014-09-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1977-12-02675
568;"HURE (33) 01.01.1978";Gironde;33;"(D) D�partement";1978;01;01;"Le 1er janvier 1978 vers 17h15 un agriculteur observe au Sud-Ouest dans le ciel une lueur de couleur orange clignotante. Celle-ci se d�place lentement en direction du SUD. L'observation a dur� deux minutes. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet se d�pla�ant lentement .";O;1;;;;;;;;2008-10-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-01-00471
571;"GUEBLING (57) 07.01.1978";Moselle;57;"(D) D�partement";1978;01;07;"Le 7 janvier 1978 vers 4h 50 un t�moin circulant � cyclomoteur aper�oit trois lumi�res tr�s vives au ras du sol. Une de ces lumi�res tr�s puissante se d�tache du groupe pour se rapprocher du t�moin et le suivre jusqu'� l'entr�e du village voisin avant de dispara�tre. Aucun bruit n'a �t� entendu. Aucun vol d'h�licopt�re n'a �t� effectu� dans ce secteur cette nuit l�. Ce ph�nom�ne n'a pas �t� identifi�.";"Observation de lueur vive semblant suivre le t�moin.";O;1;;;;;;;;2008-10-01;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1978-01-00474
573;"GUIPEL (35) 13.01.1978";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";1978;01;13;"Ce cas d'observation a fait l'objet d'un nouvel examen (voir le document Notes d'enqu�te).
Le 13 janvier 1978 vers 17h40 une automobiliste puis son mari observent le lent d�placement d'un ph�nom�ne lumineux de forme rectangulaire et de couleur rouge orang� dans le ciel ; la pr�sence d'un halo sur les grands cot�s du rectangle est remarqu�e. Aucun bruit particulier n'est entendu durant les phases d'observation. Aucune trace au sol ne sera retrouv�e et aucun autre t�moignage ne sera recueilli par la gendarmerie sur ce ph�nom�ne.
Ce cas est consistant (deux t�moins), la description du PAN observ� est pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un ph�nom�ne lumineux li� au Soleil : une colonne solaire. De plus, le Soleil venait � peine de se coucher sous l'horizon directement dans l'axe indiqu� par les t�moins. La saison hivernale et la pr�sence de quelques nuages ont favoris� l'observation d'une colonne solaire.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (�tonnement, observation d'un ph�nom�ne lumineux rare).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise avec une colonne solaire.";"Observations du lent d�placement d'un ph�nom�ne lumineux de forme rectangulaire et de couleur rouge orang� dans le ciel ; pr�sence d'un halo sur les grands cot�s du rectangle : observation d'une colonne solaire.";O;2;2;;1;;;;;2015-08-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1978-01-00476
574;"DOL DE BRETAGNE(35) 1978";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1978;01;14;"Le 14 janvier 1978 entre 5h57 et 6h45 plusieurs personnes observent quelques secondes d'importantes lueurs rouges orang�es �clairant tous les environs. Deux boules lumineuses orange et bleue seront vues par un automobiliste 500m devant son v�hicule. Nous manquons d'informations plus pr�cises sur ce ph�nom�ne.";"Observation de lueurs rouges orang�es.";O;5;;;;;;;;2008-11-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-01-00477
575;"DRANCY (93) 1978";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";1978;01;16;"Le 16 janvier 1978 vers 18h 10 deux t�moins observent durant une minute un ph�nom�ne circulaire lumineux phosphorescent blanc-jaune. Il se d�place � tr�s grande vitesse du Nord au Sud selon une trajectoire rectiligne. Lors du d�placement ils constatent que l'objet a une forme cylindrique avec un feu rouge puis qu'une couleur verte lumineuse est visible � l'avant de l'objet. Aucun bruit n'a �t� entendu lors du d�placement mais le ph�nom�ne laisse une train�e lumineuse. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux.";O;2;;;;;;;;2008-10-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-01-00478
576;"NOUZONVILLE (08) 1978";Ardennes;08;"(D) D�partement";1978;01;25;"Le 25 janvier 1978 vers 18h 30 sept enfants jouant dans la rue observent le passsage d'un engin orange de forme ovale. Des lumi�res rouges et blanches plac�es alternativement clignotent � la base de l'engin. Venant du Sud, il suit une courbe pour aller en direction de l'Ouest � la m�me altitude que les avions de tourisme. Les avis des enfants divergent sur le bruit entendu lors du passage de l'engin. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce passage d'un probable a�ronef.";"Probable observation d'un a�ronef.";O;6;;;;;;;;2008-10-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-01-00479
577;"SAINT-CIERS-D'ABZAC (33) 27.01.1978";Gironde;33;"(D) D�partement";1978;01;27;"Ce cas d'observation fait partie des cas publi�s pr�c�demment en � D � sous le nom de GUITRES (33) 27.01.1978. Suite � la remarque d'un correspondant, le GEIPAN a consult� ses archives et a retrouv� sur ce cas un rapport d'enqu�te du GEPAN concluant � une classification en � A �.
Le 27 janvier 1978, vers 17h45, un couple (T1 et T2) habitant SAINT-CIERS-D'ABZAC (33) observe � travers les vitres de leur maison un objet �trange dans le ciel. Le PAN, de forme plate et ovale et de couleur rouge p�le, semble faire du surplace en direction de la commune de GUITRES (33). Apr�s 4 ou 5 minutes d'observation, le PAN acc�l�re puis dispara�t dans le ciel.
La gendarmerie m�nera une enqu�te sur place ainsi que dans les communes voisines entre le 29 janvier et le 3 f�vrier 1978. Le GEPAN mandatera ensuite deux enqu�teurs du CNES qui viendront sur place le 12 avril et concluront dans un premier temps � une classification � D � (inexpliqu�), classification qui restera malheureusement dans la base de donn�es du GEIPAN jusqu'au pr�sent document.
Le responsable du GEPAN de l'�poque compl�tera ensuite le rapport par sa propre conclusion en cat�gorie � A � ; ce rapport compl�mentaire fait figure de le�on d'ufologie scientifique !
Ce cas est tr�s consistant (trois t�moins, dont un ind�pendant des deux autres), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute. Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, couleur) avec la plan�te Mars, tr�s proche de l'axe indiqu�.
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� moyenne est class� comme PAN A, observation li�e � une m�prise avec la plan�te Mars.";"Observation d'un objet lumineux de forme plate et ovale de couleur rouge p�le ; disparition soudaine : observation li�e � une m�prise avec la plan�te Mars.";O;2;;;;;;;;2016-09-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1978-01-00480
579;"GORDES (84) 15.01.1978";Vaucluse;84;"(D) D�partement";1978;01;15;"T�moignage r�cent (2011) d'une observation ancienne faite le 15 janvier 1978 entre18h45 et 19h10. Les t�moins en voiture sur la D177 entre Venasque et Gordes vont faire plusieurs observations successives de ph�nom�nes lumineux silencieux qu'ils ne s'expliquent pas et seront tr�s impressionn�s par ce qu'ils ont vu.
La premi�re observation correspond � la plan�te Jupiter, plein Est (voir carte astro).
Le t�moignage correspond ensuite aux caract�ristiques des lanternes tha�landaises : points lumineux en groupe, �voluant dans le sens du vent (de Sud ouest), et durant quelques minutes. On notera toutefois que le t�moin indique des lumi�res blanches et rouges : m�me les lanternes blanches �mettent plut�t une lumi�re jaune-orang�e. (Tr�s utilis�es en Tha�lande pour les f�tes depuis des si�cles, ces lanternes sont tr�s r�pandues en France depuis les ann�es 2000, mais �taient rares � cette �poque en France, utilis�es par les asiatiques et les touristes revenant d'Asie.) Il n'a pas �t� v�rifi� que le d�placement des lanternes �tait coh�rent avec le vent (archives indisponibles sur le web).
Les autres observations restent �tranges, mais peuvent �tre des confusions avec la Lune (demi lune plein sud), des v�hicules sur la route, suite � l'�motion de la deuxi�me observation. Mais ceci n'explique pas tout.
Ce cas est class� ""C"" : manque d'informations pour conclure, mais une des observations correspond � des lanternes tha�landaises .";"Observations de plusieurs ph�nom�nes lumineux silencieux dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2018-07-16;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-01-08159
583;"[RENTREE ATMOSPHERIQUE] (NAT) FRANCE (FR) 21.02.1978";France;FR;"(N) National";1978;02;21;"Le 21 f�vrier 1978 entre 20h45 et 21h de nombreux t�moins situ�s dans diff�rents d�partements fran�ais observent quelques secondes le d�placement rapide dans le ciel de lueurs aux couleurs vari�es. La majorit� des t�moins d�crit un objet de forme plut�t sph�rique de la grosseur d'un ballon de football suivi d'une longue train�e lumineuse de couleur verte puis rouge-orang�. Beaucoup de t�moins indiquent un d�placement vers l'Ouest et une disparition � l'horizon ou instantan�e.78 t�moignages sont rapport�s.
Le tableau r�capitulatif des lieux et heures d'observation (joint dans les �l�ments d'enqu�te) frappe par l'�tendue g�ographique et la correspondance en heure. Ceci est en faveur d'un ph�nom�ne unique produit � haute altitude (> 50 km) et conf�rant une visibilit� sur une grande �tendue. C'est l� une caract�ristique clef du ph�nom�ne bien connu de rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de. Ceci est confort� par une autre caract�ristique clef qui est la lueur allong�e et la faible dur�e. Une dur�e plus longue aurait pu conduire � consid�rer aussi l'hypoth�se voisine portant sur la rentr�e atmosph�rique d'un engin spatial.
De nos jours de nombreux sites enregistrent les donn�es r�colt�es au sol (le plus souvent par des cam�ras automatiques) lors de ces rentr�es, de sorte que les t�moignages vers le GEIPAN sont solutionn�s sans enqu�te particuli�re. L'exemple de 2016 avec plus de 20 enregistrements (joint dans le compl�ment d'analyse IMO) illustre l'analogie avec cet ancien cas du 21 f�vrier 1978 � 21H.
On trouve dans le compl�ment d'analyse un floril�ge de descriptions de t�moins qui d�gage bien l'impression de d�placement rapide avec forme conique ou allong�e.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observations d'une rentr�e de m�t�oro�de.
";"Multiples observations en France du passage rapide d'un ph�nom�ne lumineux de couleur : observations d'une rentr�e de m�t�oro�de.";O;53;;;;;;;;2018-03-09;0.10;;0.10;0.00;;;;;;0.90;0.87;0.02;A;A;1978-02-00487
585;"ETRECHY (91) 1978";Essonne;91;"(D) D�partement";1978;02;19;"Le 19 f�vrier 1978 vers 4h 30 deux t�moins observent une lueur qui se d�place en suivant la ligne SNCF. Cette lueur de couleur rouge et bleue se d�place tr�s rapidement avant de dispara�tre. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'une lueur suivant la ligne SNCF.";O;2;;;;;;;;2008-10-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-02-00486
588;"POYA (988) 1978";Nouvelle-Cal�donie;988;"(D) D�partement";1978;02;14;"Le 14 f�vrier 2008 et non le 23 f�vrier comme le d�clareront en premier lieu des t�moins, vers 16h plusieurs personnes observent dans le ciel le passage rapide d'un objet ovale et brillant avec une trajecoite rectiligne. Aucun bruit et aucune train�e ne sont remarqu�s. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�om�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet de forme ovale , d�placement rapide rectiligne";O;4;;;;;;;;2008-10-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-02-00489
589;"BEAUVOIR SUR NIORT (79) 1978";Deux-S�vres;79;"(D) D�partement";1978;02;26;"Le 26 f�vrier 1978 vers 2h 30 du matin plusieurs personnes ont observ� une forme argent�e et brillante dans le ciel. Les t�moins parlent d'explosion lumineuse. Ce ph�nom�ne a disparu instantan�ment.aucune bruit n'a �t� entendu. Des partrouilles de gendarmerie ont cette nuit l� observ� des �clairs provenant de lointains orages. Ces t�moins ont probablement observ� un ph�nom�ne lumineux venant de ce passage orageux.";"Observation de lueurs br�ves. Probablement orage";O;5;;;;;;;;2008-10-03;;;0.38;0.13;;;;;;;0.58;0.34;B;B;1978-02-00490
590;"CHABEUIL (26) 28.02.1978";Dr�me;26;"(D) D�partement";1978;02;28;"Le 28 f�vrier 1978 entre 19h 30 et19h 40 une automobiliste et son fils aper�oivent un objet tr�s lumineux orang� se d�pla�ant � vive allure dans le ciel du Nord au Sud. L'observation a dur� trois minutes durant laquelle aucun bruit particulier n'a �t� entendu. L'objet s'est stabilis� puis est reparti lentement en direction du Sud avant de dispara�tre instantan�ment.
Aucune trace n'a �t� d�couverte sur les lieux. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation du d�placement et de la disparition sans bruit d'un objet lumineux.";O;2;;;;;;;;2011-09-12;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1978-02-00491
592;"SAUMUR (49) 1978";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";1978;03;01;"Le 1er mars 1978 deux t�mopins dans leur v�hicule aper�oivent dans le ciel vers 18h 30 un objet lumineuxse d�pla�ant lentement dans le sens S-N. L'observation dure 7 � 8 minutes. L'objet est long et volumineux ; il est principalement de couleur rouge. Aucun bruit particulier n'est entendu. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet en forme de cigare rouge-feu";O;2;;;;;;;;2008-10-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-03-00492
593;"PHALSBOURG (57) 1978";Moselle;57;"(D) D�partement";1978;03;07;"Le 7 mars 1978 vers 19h 15 deux t�moins sur leur terrasse observent deux points rouges superpos�s en direction du S-SE. L'observation dure deux minutes puis les points s'�teignent subitement. Apr�s quelques secondes un point de la m�me grosseur �m�tant une lueur blanche appara�t et se dirige � grande vitesse vers le N-E. L'observation a dur� une minute. Un autre t�moin fera une d�position concernant une observation de point limineux circulant dans le ciel mais l'heure ne correspond pas � la premi�re observation. Aucune autre t�moignage n'a �t� recueilli concernant ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation de points lumineux, haut dans le ciel.";O;3;;;;;;;;2008-10-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-03-00493
594;"BENNECOURT (78) 08.03.1978";Yvelines;78;"(D) D�partement";1978;03;08;"Le GEIPAN continue de publier l'ensemble de ses archives sur son site public : www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� C par manque d'information et nomm� BONNIERES SUR SEINE (78) 1978 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 08 mars 1978 � 6h45 une automobiliste aper�oit des lueurs de couleurs vari�es � travers bois provenant d'un champ. Arriv�e au niveau du champ elle voit un objet gris-bleu m�tallis� tr�s brillant de la forme d'un gros bol retourn�. Immobile et silencieux, il �met des lumi�res clignotantes sur sa base. Prenant peur le t�moin quitte les lieux au bout d'une minute mais revient � midi avec des coll�gues de travail : une empreinte circulaire au sol � cet endroit est constat�e. Avertie par la rumeur publique le lendemain, la gendarmerie contacte le t�moin et se rend sur place. Aucune trace particuli�re hormis celle d'un tracteur n'est constat�e. Selon les dires du t�moin, beaucoup de curieux auraient pi�tin� l'endroit.
Nota pr�alable concernant un cas o� les t�moignages et/ou traces portent sur un ph�nom�ne explicitement d�crit ou per�u au sol :
- en absence de mise en �vidence que le ph�nom�ne au sol ne peut �tre venu et/ou reparti que par les airs, la recherche d'explication d�passe les seules comp�tences du GEIPAN et une conclusion GEIPAN ne saurait �tre formul�e que si la preuve ou quasi preuve est �tablie, sinon le GEIPAN se doit de conclure C : Inexploitable car d�passe ses seules comp�tences.
- dans le cas contraire, l'absence de t�moignages ou traces de phases ou le ph�nom�ne est hors du sol peut conduire le GEIPAN � ne pas pouvoir conclure faute d'information fiable (classement C classique GEIPAN).
Nous sommes ici dans le premier cas de figure, puisque rien ne permet d'exclure que le ph�nom�ne soit arriv� ou reparti par le sol. L'examen des traces dans le champ ne prouve rien dans un sens comme dans l'autre.
En cons�quence GEIPAN classe C : Inexploitable car d�passe les seules comp�tences du GEIPAN.
L'analyse que le GEIPAN peut mener dans les limites de ses comp�tences et exp�rience est la suivante :
- ce qui est d�crit visuellement est d'�tranget� mod�r�e.
- la description visuelle est compatible de la pr�sence d'un v�hicule avec feux dans un champ pr�s de la route avant le lever du jour, l'observation de nuit et le caract�re improbable d'un v�hicule � ce moment-l� ont pu favoriser une m�prise.
- l'�tranget� v�cue en temps r�el par le t�moin para�t limit�e car il s'est certes arr�t� (qu'une minute) mais il n'a pas attendu l'�volution du ph�nom�ne. Il est certes revenu sur les lieux, peut �tre aussi pouss� par la r�action des coll�gues � son hypoth�se de soucoupe.
Par contre, la pr�sence d'un v�hicule � ce moment-l� est �tonnante et constitue l'essentiel de l'�tranget�. Elle pourrait �tre li�e � une activit� illicite, bien s�r non v�rifiable, comme le braconnage par exemple.
L'observation se caract�rise avant tout par une faible consistance tant au niveau de l'information que de la de fiabilit� :
- le t�moignage principal comme ceux secondaires des coll�gues ne sont pas spontan�s mais � la demande de la gendarmerie ;
- l'�volution ou disparition du ph�nom�ne n'est pas observ�e ;
- les traces rondes ou suspectes ne sont pas constat�es par la gendarmerie ;
- l'�tranget� pour le t�moin a pu cro�tre par la perception de traces non usuelles, l'emballement collectif (coll�gues, journalistes) et impacter certains aspects de sa d�position faite ensuite ;
- le t�moignage des coll�gues non spontan�, concernant les traces � description minimale et quasi-identique, ouvre une possibilit� (non v�rifiable) de concertation ou influence pr�alable.
";"Observation de lumi�res de couleurs vari�es provenant d'un objet immobile dans un champ de la forme d'un ""gros bol renvers�"" gris bleu m�tallis� et tr�s brillant : inexploitable car d�passe les seules comp�tences du GEIPAN.";O;3;3;;1;;;;;2018-11-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-03-00494
598;"CHATENOIS (88) 1978";Vosges;88;"(D) D�partement";1978;03;14;"Le 14 mars 1978 vers19h 30 plusieurs personnes observent dans le ciel un objet lumineux de forme particuli�re. Deux boules blanches luminescentes sont reli�es entre elles par une barre rouge-orang�. L'objet stationnaire pendant un moment se d�place pour changer brusquement de direction. Les lumi�res sont toujours fixes et aucun changement d'intensit� n'est remarqu�. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet lumineux avec changement de trajectoire.";O;3;;;;;;;;2008-10-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-03-00498
599;"SAINT-MAIXENT L'ECOLE (79) 1978";Deux-S�vres;79;"(D) D�partement";1978;03;16;"Le 16 mars vers 22h des t�moins aper�oivent dans le ciel un objet de forme ovale qui scintille dans le ciel en �mettant des couleurs rouge-orange. Venant du N-E il se dirige vers de le S-O � faible altitude et sans bruit. L'objet a disparu cach� par le paysage.";"Observation d'un objet de forme ovale, d�placement horizontal , pas de bruit.";O;4;;;;;;;;2008-10-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-03-00499
600;"ARRAS (62) 17.03.1978";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1978;03;17;"Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � C � en 2008 par le GEIPAN. Il a fait l'objet d'un nouvel examen (voir le document : notes d'enqu�te). Le 17 mars 1978 un t�moin observe vers 1h 30 du matin un objet lumineux rond se d�pla�ant lentement dans le sens S-NO. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation de10 minutes � l'il nu puis aux jumelles. L'objet descend lentement sur l'horizon.
L'enqu�te de gendarmerie ne permettra pas d'apporter de nouveaux �l�ments concernant ce ph�nom�ne. Ce cas est consistant, la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� du t�moin n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, luminosit�) avec un ph�nom�ne astronomique parfaitement connu : la Lune au coucher. De plus, la Lune �tait bien pr�sente sur la zone du ciel observ�e alors que le t�moin n'en fait pas mention. Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (fatigue, �tonnement). Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A : observation li�e � une m�prise de la Lune au coucher observ�e avec une couverture nuageuse partielle.";"Observation du lent d�placement d'un objet rond et lumineux dans le ciel : observation astronomique de la Lune � son couch�.";O;1;;;;;;;;2013-06-26;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1978-03-00500
601;"AGEN (47) 24.03.1978";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";1978;03;24;"Le 24 mars 1978 vers 22h un t�moin observe depuis son habitation une �blouissante lumi�re rouge �carlate. Elle aper�oit alors un objet de forme rectangulaire baign� dans cette lumi�re. A l'int�rieur de l'objet le t�moin distingue deux cercles jaunes pouvant �tre des hublots. Cet objet se d�place horizontalement puis dispara�t brutalement laissant une l�g�re lueur rose � l'arri�re. Aucun autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'un objet de forme rectangulaire �mettant une lumi�re �blouissante, disparition soudaine.";O;1;;;;;;;;2008-10-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-03-00501
606;"LE VAUDREUIL (27) 02.04.1978";Eure;27;"(D) D�partement";1978;04;02;"Le 2 avril 1978 vers 23h 35 un automobiliste et sa passag�re aper�oivent une lueur tr�s forte de couleur jaune-orange . Elle appara�t presque au niveau du sol de la colline. Apr�s avoir arr�t� son v�hicule, le t�moin observera une demi-sph�re de grandes dimensions l'autre partie �tant cach�e par des arbres. Elle se d�place du Nord au Sud sans qu'aucun bruit ne soit entendu. L'observation durera en tout 50 minutes environ avant que l'objet ne disparaisse sous l'affaiblissement de sa luminosit�. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation � plusieurs reprises d'une sph�re de grandes dimensions.";O;2;;;;;;;;2011-01-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-04-00504
607;"VAUDREUIL (LE) (27) 05.04.1978";Eure;27;"(D) D�partement";1978;04;05;"Le 4 avril 1978 vers 2h 45 un gardien d'usine observe au dessus d'une for�t domaniale et par cinq fois une boule de couleur blanche � haute altitude dans le ciel. Cette boule de dimensions variables se d�place tr�s vite. La boule a progressivement disparu dans le ciel. Aucun autre t�moignage et aucune autre information n'ont �t� recueillis sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'une boule blanche dans le ciel. D�placements rapides.";O;1;;;;;;;;2010-07-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-04-00505
614;"FONTVIEILLE (13) 26.04.1978";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1978;04;26;"Le 27 avril 1978 vers 22 h un automobiliste observe trois points lumineux clignotants de couleur rouge � 100 m du sol. Ne distingant au d�part aucune forme pr�cise d'o� ces lumi�res pourraient provenir, le t�moin constate que celles-ci se d�placent lentement d' Est en Ouest. Un l�ger bourdonnement est entendu par le t�moin. Durant l'observation, un des points lumineux descendra plus pr�s du sol et l'inspectera avec ce qui semble �tre un projecteur. Les deux autres points lumineux resteront stationnaires. Le t�moin pourra alors voir une coupole �clair�e de diff�rentes couleurs. La Presse locale fera �tat d'autres t�moignages sur ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"observation du d�placement de trois points lumineux rouges et clignotant.";O;1;;;;;;;;2008-10-31;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1978-04-00512
616;"CAEN (14) 1978";Marne;51;"(D) D�partement";1978;04;29;"Le 29 avril 1978 en d�placement dans la r�gion de Verdun, un automobiliste et ses passagers aper�oivent vers 2h 30 une lueur blanche dans le ciel qui les intrigue. Un ph�nom�ne lumineux triangulaire de grandes dimensions et de couleur rouge-orang� appara�t alors, immobile dans le ciel. Arr�tant leur v�hicule, aucun bruit ne sera entendu durant l'observation. Une lumi�re blanche se dirige ensuite en direction des t�moins effray�s qui reprennent leur v�hicule et poursuivent leur chemin. Aucun autre t�moignage concernant ce ph�nom�ne ne sera recueilli.";"OBSERVATION DE LUMIERES �TRANGES DANS LE CIEL LORS D'UN VOYAGE.";O;2;;;;;;;;2008-10-31;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-04-00514
617;"SAINT-SAUVEUR (89) 30.04.1978";Bourgogne-Franche-Comt�;BFC;"(R) R�gion";1978;04;30;"Le 30 avril 1978 vers 21h30 plusieurs t�moins vont apercevoir le passage de trois boule de feu. Celles-ci dispara�tront derri�re la ligne d'horizon en �mettant une clart� rouge. Aucun bruit n'a �t� entendu. Aucune trace au sol dans le secteur consid�r� n'a �t� retrouv�e sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"observation par dif�rents t�moins de la descente de trois boule de feu. Disparition derri�re la ligne d'horizon.";O;4;;;;;;;;2009-09-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-04-00515
618;"FONTENAY LE COMTE (44) 1978";Vend�e;85;"(D) D�partement";1978;04;29;"Le 29 avril 1978 vers 23h 30 plusieurs personnes observent une lueur orang�e tr�s longue et d'intensit� variable. Cette lueur semble se d�placer d'Est en Ouest � faible hauteur. Aucune trace sur les lieux de l'apparition ne sera relev�e.";"Observation d'une grande lueur � l'horizon.";O;3;;;;;;;;2008-10-31;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-04-01878
619;"FAUVILLE (27) 23.04.1978";Eure;27;"(D) D�partement";1978;04;23;"Le dimanche 23 avril 1978 entre 20h35 TU et 20h51 TU, suite � un appel t�l�phonique, un officier de permanence op�rationnelle sur la base a�rienne 105 d'Evreux (27) observe un point lumineux de couleur rouge � une hauteur comprise entre 10� et 15� : sa position est estim�e dans le 300 de la base d'Evreux. Le personnel de la vigie observe �galement le ph�nom�ne dont l'intensit� lumineuse d�croit. L'officier sollicite l'aide du radar qui rel�ve � 20h44 TU un �cho dans le 300 de la station � une distance de 18 nautiques et un d�placement vers le 330 � une vitesse estim�e de 30 � 40 nuds. 20h51 TU marque la fin des observations visuelles et l'arr�t du radar.
L'officier r�dige son rapport le lendemain 24 avril 1978. Le rapport d'observation radar indique la date du 24 comme date d'observation mais cette erreur semble d�e � une erreur de frappe, ce qui permet � priori de valider la simultan�it� de l'observation visuelle et de la trace radar dont nous n'avons pas malheureusement l'enregistrement et dont il faut noter la tr�s faible intensit� (1/5) mais d'une dur�e longue (7 minutes).
Un seul t�moignage est recueilli. L'enqu�te GEPAN rejette les hypoth�ses h�licopt�re et ballon.
Il est �tonnant que la plan�te V�nus tr�s visible ce soir-l� dans une position proche (azimut 296� � 299�et �l�vation � 4� � 1,5�) n'ait pas �t� mentionn�e par l'officier. N�anmoins comme la position du PAN est notablement diff�rente (azimut de 300� � 330� et �l�vation 10� � 15�) la m�prise avec V�nus parait extr�mement peu probable.
La mesure radar d'intensit� faible et non confirm�e par l'autre radar de Cinq-Mars-La-Pile doit �tre consid�r�e avec circonspection. On ne peut pas exclure un faux �cho (par exemple r�flexion secondaire).
Le GEIPAN classe ce cas en D1 : le ph�nom�ne est moyennement �trange, lointain mais le t�moignage est d'une bonne consistance.";"Observation d'un point rouge dans le ciel en d�placement et faible �cho radar de 7 minutes : ph�nom�ne non identifi� moyennement �trange.";O;2;;;;;;;;2015-09-29;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;1978-04-01879
622;"GONESSE (95) 05.05.1978";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";1978;05;05;"Le 5 mai 1978 entre 22h 45 et 23h15 trois personnes observent le passage d'un engin � environ 50 m�tres au-dessus d'elles. Aucun bruit n'est entendu alors que l'engin est de taille importante. Des lumi�res de couleur diff�rentes sont remarqu�es sur l'engin. A l'heure indiqu�e par les t�moins, l'enqu�te de gendarmerie permettra d'�tablir des passages silencieux d'a�ronefs attendant leur autorisation d'atterrir � l'a�roport Charles de Gaule. Ces personnes ont probablement �t� t�moins de passages similaires d'a�ronefs.";"Probable observation du passage d'a�ronefs.";O;2;;;;;;;;2009-09-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-05-00516
623;"BEAUFORT EN VALLEE (49) 06.05.1978";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";1978;05;06;"Le 6 mai 1978 vers 22h 50 plusieurs personnes observent un objet lumineux immobile dans le ciel durant plusieurs minutes. De forme sph�rique et de couleur orang�e, il a une intensit� lumineuse irr�guli�re. Il disparait en se d�placant sans bruit dans une trajectoire Sud Nord-Ouest. Ces personnes ont probablement �t� t�moins du passage d'un satellite.";"Probable observation du passage d'un satellite.";O;3;;;;;;;;2009-09-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-05-00517
624;"AIGUILLES (05) 16.05.1978";Hautes-Alpes;05;"(D) D�partement";1978;05;16;"Le 16 mai 1978 � 21h15 deux personnes aper�oivent dans le ciel un objet de forme sph�rique qui se d�place tr�s rapidement dans une direction Nord Nord-Ouest. Cet objet est d'une luminosit� tr�s intense. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne. Ces t�moins ont probablement fait une observation du passage � haute altitude d'un a�ronef �clair� par le soleil.";"Probable observation du passage d'un a�ronef.";O;1;;;;;;;;2009-09-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-05-00518
625;"[N165] de LANDEVANT (56) vers AURAY (56) 22.05.1978";Morbihan;56;"(D) D�partement";1978;05;22;"Le 22 mai 1978 vers 0h15 un automobiliste et ses passagers aper�oivent une boule tr�s lumineuse de couleur blanche argent�e dans le ciel. Les t�moins racontent qu'un rayon lumineux parti de cette boule percutera leur v�hicule � l'arri�re gauche. Aucune trace sur le v�hicule ne sera retrouv�e. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'une boule et d'un rayon lumineux.";O;1;;;;;;;;2009-09-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-05-00519
626;"VIBRAYE (72) 26.05.1978";Sarthe;72;"(D) D�partement";1978;05;26;"Le 26 mai 1978 entre 2h et 2h15 un t�moin observe depuis son domicile, les diff�rents d�placements de plusieurs lueurs de couleurs vari�es au-dessus de son village. Ces lueurs cessent d�s qu'un v�hicule traverse la localit�. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de pr�cisions.";"Observation de plusieurs lueurs de couleurs vari�es.";O;1;;;;;;;;2009-09-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-05-00520
627;"BAGNERES-DE-BIGORRE (65) 28.05.1978";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";1978;05;28;"Le 28 mai 1978 vers 9h un t�moin observe en direction du soleil levant un ensemble de halos de couleurs diff�rentes d'o� semblent partir des rayons lumineux. L'observation durera entre 6 � 10 minutes puis le ph�nom�ne disparaitra. Aucun autre t�moignage de ce ph�nom�ne n'a �t� recueilli. Cette personne a probablement observ� un nuage lenticulaire.";"Probable observation d'un nuage lenticulaire.";O;1;;;;;;;;2009-09-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-05-00521
628;"OUEGOA (988) 05.05.1978";Nouvelle-Cal�donie;988;"(D) D�partement";1978;05;05;"Le 5 mai 1978 vers 19h30 trois personnes observent une lueur rouge au-dessus d'une �le. Cette lueur se d�place lentement vers le sud puis change brusquement de cap our aller vers le Nord-Ouest. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation que dure plus de 4 minutes. Les gendarmes observeront durant une minute le m�me ph�nom�ne le 12 mai. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations pr�cises.";"Observation d'une lueur rouge se d�pla�ant lentement. Changement brusque de cap.";O;3;;;;;;;;2009-09-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-05-01887
629;"PLEMET (22) 04.06.1978";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1978;06;04;"Le 4 juin 1978 entre 20h et 22h de nombreuses personnes observent le passage d'un objet de forme sph�rique et tr�s lumineux. Cet objet avance en oscillant d'Est en Ouest. Une masse plus sombre se distingue parfois sous l'objet. Toutes ces personnes ont probablement �t� t�moin du passage d'un ballon sonde fortement �clair� par le soleil ainsi que la sonde m�t�orologique plac�e sous le ballon. Les centres m�t�orologiques de Rennes ou de Guipavas lan�ent fr�quemment ce type d'objet dans la r�gion.";"Probable observation d'un ballon sonde.";O;8;;;;;;;;2009-09-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-06-00522
630;"PORT VILA (988) 07.06.1978";Ile-de-France;IDF;"(R) R�gion";1978;06;07;"Le 7 juin 1978 entre 19h30 et 20h, trois p�cheurs � bord d'un bateau observent durant plusieurs minutes un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue. Une lumi�re blanche se d�place lentement en longeant la c�te puis vient dans leur direction. Arriv�e � leur hauteur, les t�moins racontent avoir vu un engin avec des flammes de couleur sortant � l'arri�re sans aucun bruit. Effectuant un changement brutal de direction pour repartir vers la c�te, il a disparu soudainement laissant les t�moins tr�s impressionn�s. D'autres t�moins ont fait une observation ce m�me soir mais d'apr�s la description donn�e � la gendarmerie, il s'agit probablement de l'observation d'une �toile filante. L'enqu�te a d�termin� que pour l'observation faite par les p�cheurs, il ne pouvait s'agir ni d'un avion ou d'un bateau, ni d'un ballon sonde ou de lumi�res de signalisation. Ce cas malgr� une enqu�te pouss�e reste non identifi�.";"Observation du d�placement d'un PAN.";O;4;;;;;;;;2009-09-10;;;0.66;0.22;;;;;;;0.74;0.26;D;D1;1978-06-00523
631;"NATIONAL (975) 15.06.1978";France;FR;"(N) National";1978;06;15;"Le 15 ao�t 1978 entre 21h et 21h10 plusieurs t�moins situ�s dans les d�partements du Gard et de l' Ard�che observent le passage SO-NE d'un ph�nom�ne lumineux rouge�tre. Les t�moins d�crivent une boule incandescante suivi d'une train�e. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation.
Ces personnes ont �t� t�moins d'une probable rentr�e atmosph�rique.";"Probables observations d'une rentr�e atmosph�rique.";O;5;;;;;;;;2011-06-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-06-00524
632;"GUJAN-MESTRAS (33) 19.06.1978";Gironde;33;"(D) D�partement";1978;06;18;"Le 19 juin 1978 entre 23h et 0h45 plusieurs personnes entendent unbruit sourd et fort puis observent un objet lumineux au-dessus de l'agglom�ration. De couleur orang�, l'objet est de forme ovale. Des disfonctionnements sur le r�seau d'�clairage �lectrique de la rue sont constat�s au fur et � mesure de la pr�sence de l'objet. Celui-ci disparaitra progressivement de la vue des t�moins en prenant de l'altitude. De plus, des automobilistes sur la RN113 en direction de Bordeaux et � hauteur de La R�ole observent �galement un ph�nom�ne lumineux se d�pla�ant lentement dans le ciel orageux. L'enqu�te de gendarmerie et du GEPAN n'a pu �tablir clairement une corr�lation entre ces deux observations par manque de pr�cisions et d'informations. Les t�moins ont probablement fait une observation d'un ph�nom�ne m�t�orologique en rapport avec le temps orageux mena�ant le secteur.";"Probable observation d'un ph�nom�ne m�t�orologique.";O;5;;;;;;;;2014-02-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-06-00525
633;"TAVAUX (39) 07.06.1978";Jura;39;"(D) D�partement";1978;06;07;"Le 7 juin 1978 vers 20h55 un automobiliste et sa passag�re observent dans le lointain ( environ 5km) un point lumineux qui les intrigue. A 21h15 un disque lumineux de couleur orange oscillant commence sa lente ascension � la verticale et dispara�t dans les nuages. Seule, une train�e color�e reste visible. Suite � la la parution dans la presse de cette observation, une personne t�moigne avoir vu � la m�me date et entre 21h30 et 21h45 un ph�nom�ne lumineux jaune orang� de forme circulaire dans le ciel. Ces observations restent inexpliqu�es par manque de pr�cisions.";"observations de ph�nom�nes lumineux dans le ciel.";O;2;;;;;;;;2009-09-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-06-02391
634;"MONTELIMAR (26) 08.07.1978";Dr�me;26;"(D) D�partement";1978;07;08;"Le 8 juillet 1978 vers 23h40 un t�moin observe le passage N-S d' un objet volant allong�. Situ� environ entre 1000 et 2000 m d'altitude par le t�moin, il est compos� d'un ensemble de quatre boules rouges non rayonnantes. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation de courte dur�e. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce cas pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du passage d'un objet volant.";O;1;;;;;;;;2009-09-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-07-00526
636;"BIERRE-LES-SEMUR (21) 18.07.1978";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";1978;07;18;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archivesur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A,B,C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� PRECY SOUS THIL (21) 18.07.1978 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Vers 4h du matin dans la nuit du 17 au 18 juillet 1978 un campeur observe un ph�nom�ne lumineux stationnaire dans le ciel � faible hauteur. Le t�moin d�crit une boule orang�e ayant la forme d'une soucoupe ou d'une assiette retourn�e. Le t�moin prend trois clich�s photographiques avant la disparition lente puis rapide du ph�nom�ne vers le Sud. Aucun bruit n'a �t� entendu durant l'observation. La gendarmerie n'a recueilli aucun autre t�moignage dans les alentours sur ce ph�nom�ne et le d�veloppement des photographies n'a rien donn�.
La couleur du PAN (feu, donc orange) ainsi que le fait que le PAN soit bas sur l'horizon, vers le Sud-Ouest, est tout � fait caract�ristique d'un astre au coucher (Voir les notes d'enqu�te).
Si on met de c�t� un instant la description de mouvement final vers le sud, on tient une explication solide du PAN. En effet la Lune est pr�sente (v�rification Stellarium) sous un Azimut de 240� qui est pr�cis�ment la direction de Dompierre-en-Morvan (vue par le t�moin depuis Lucenay ~240 �), direction que l'on attribue � la phase initiale du PAN.
L'hypoth�se d'une m�prise avec la Lune serait renforc�e par le fait que sa hauteur angulaire de 2� est parfaitement coh�rente avec une description d'un PAN � faible hauteur et de couleur feu (couleur de la Lune rousse se couchant).
Par ailleurs, il y a des nuages en formation � cette heure-l�. Une partie de Lune au travers de trou�es de nuages peut prendre tout type de forme et donc celle d�crite par le t�moin.
Le mouvement final vers le Sud est tr�s peu document�. Il reste compatible avec la m�prise Lune dans la mesure o� la trou�e de nuages a pu se d�placer vers le Sud ou du moins avoir un d�placement per�u � vers le Sud � lorsqu'observ� depuis un cap de 240�. Or le vent est globalement vers l'Est ce jour-l� (pas d'indication disponible � 4H) et peut effectivement se d�composer pour le t�moin en un d�placement radial de rapprochement depuis le cap 240� (non perceptible pour le t�moin) et un d�placement orthogonal � la vis�e � 240� qui lui est per�u comme allant vers le Sud.
La tr�s grande coh�rence entre la position vraie de la Lune et la position et la description du PAN donne une bonne probabilit� � l'explication Lune et le peu que l'on connaisse de la mobilit� finale du PAN reste compatible de cette explication Lune.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (fatigue, �tonnement).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN B, probable observation li�e avec une m�prise de la Lune.";"Courte observation d'un objet stationnaire lumineux orang� en forme d'assiette retourn�e : probable observation de la Lune.";O;1;;;;;;;;2017-07-28;0.27;;0.27;0.00;0.70;;0.70;0.50;0.50;0.35;0.35;0.00;B;B;1978-07-00528
640;"L'UNION (31) 27.07.1978";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1978;07;27;"Le 27 juillet 1978 vers 23h30 plusieurs t�moins observent une boule de couleur rouge vif d�gageant une lueur tr�s intense. Celle-ci semble tomber du ciel � proximit� de leur habitation. Un des t�moins indique qu'� minuit quarante cinq elle verra de nouveau la boule s'�lever et repartir. Aucune trace de la chute d'un objet n'est retrouv� par les t�moins et la gendarmerie dans le secteur. Aucune autre information sur ce ph�nom�ne ne sera recueillie.";"Observation de la chute d'un objet lumineux.";O;5;;;;;;;;2010-04-16;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-07-00532
641;"MURAT-SUR-VEBRE (81) 30.07.1978";Tarn;81;"(D) D�partement";1978;07;30;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� CASTRES (81) 30.07.1978 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Dans la nuit du 29 au 30 juillet 1978, vers 3h45 du matin, un cyclomotoriste (T1) revenant d'une f�te � CASTANET-LE-HAUT (34) aper�oit une immense lueur orange dans le ciel alors qu'il se trouve au lieu-dit � Le Dev�s �, sur la commune de MURAT-SUR-VEBRE. Le PAN est �galement observ� par un autre t�moin (T2), depuis le m�me lieu. L'observation a dur� cinq minutes, � l'issue desquelles le PAN a disparu � vitesse mod�r�e.
Une patrouille de gendarmerie prend connaissance du cas le 1er ao�t 1978. Les deux t�moins sont aussit�t interrog�s. L'enqu�te men�e sur place n'a pas permis de trouver d'autre t�moin, ni de trace au sol.
La direction indiqu�e par les deux t�moins correspond pr�cis�ment (� un ou deux degr�s pr�s) � celle de la Lune (voir la note d'enqu�te).
La Lune rousse au levant ou au couchant est � l'origine de nombreuses m�prises pour les t�moins (voir annales du GEIPAN sur www.geipan.fr , recherche de cas avec ph�nom�ne Lune). C'est en g�n�ral la pr�sence de nuages devant la Lune qui cr�e la m�prise, ils la masquent suffisamment pour ne pas pouvoir la reconnaitre mais en tout en laissant apparaitre sa lueur par des trou�es pouvant prendre toutes sortes de formes dont certaines �tranges. La forme complexe indiqu�e par le t�moin T1 (disque et coupoles) peut �tre une d'elles.
Les informations m�t�o encore disponibles 40 ans apr�s ne permettent ni de confirmer ni d'infirmer une telle configuration nuageuse.
Les mouvements de balancement du PAN peuvent s'expliquer par une erreur de perception li�e aux mouvements des formes nuageuses devant et autour de la Lune.
Le d�placement final du PAN vers la droite constat� par T1 a n�cessit� une prise de contact avec le t�moin. T1 �voque spontan�ment ce qui lui parait encore le plus �trange : � �a a disparu d'un coup � et � la question vers o� ? Il r�pond � vers l'avant � � au-devant de moi. �. Il se souvient d'une fuite en distance. Quand on lui rappelle son t�moignage de d�placement vers la droite, il r�pond qu'il y en avait un peu mais que c'�tait surtout vers l'avant. T1 a donc �t� victime de l'erreur de perception classique consistant � interpr�ter une �volution de l'intensit� du PAN (ici sa diminution du fait de la fermeture du voile nuageux) en une �volution de distance du PAN, en l'occurrence ici en une fuite en distance. Ce point illustre une fois de plus que les expressions des t�moins ne sont pas � prendre � la lettre car elles contiennent aussi des interpr�tations.
La tr�s grande coh�rence entre la position vraie de la Lune et la position du PAN ne laisse pas de doute sur la m�prise.
Ce cas est consistant (2 t�moins ind�pendants), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute. Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation face au ph�nom�ne non reconnu.
Le GEIPAN classe le cas en A : observation de la Lune rousse.";"Observations par deux t�moins d'un ph�nom�ne lumineux orang� ; disparition progressive : observations de la Lune rousse.";O;2;;;;;;;;2017-11-23;0.10;;0.10;0.00;0.90;;0.90;0.75;0.63;0.68;0.61;0.00;A;A;1978-07-00533
643;"PIERRE-BUFFIERE (87) 22.07.1978";Haute-Vienne;87;"(D) D�partement";1978;07;22;"Le 22 juillet 1978 vers 23h45 plusieurs personnes observent dans le ciel un ph�nom�ne lumieux jaune orang� tr�s vif �m�tant des rayons. Durant 15 minutes un t�moin observera le ph�nom�ne aux jumelles avant que cellui-ci ne disparaisse. En raison de la direction d'observation et de la position de V�nus particuli�rement visible en cette p�riode de l'ann�e, on peut dire que les t�moins ont fait une observation astronomique.";"Observation astronomique de V�nus.";O;3;;;;;;;;2010-04-28;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1978-07-02412
645;"HEROUVILLE (14) 06.08.1978";Calvados;14;"(D) D�partement";1978;08;06;"Le 06 ao�t 1978 deux personnes t�moignent avoir observ� le d�placement lent d'un objet lumineux dans le ciel. D'apr�s les t�moins une lumi�re tr�s brillante de couleur jaune s'est d�plac�e lentement et � une allure r�guli�re durant trois quart d'heure en haute altitude selon une direction Sud-Est Nord-Ouest avant de dispara�tre de la vue des t�moins. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne. Ces personnes ont probablement observ� le d�placement d'un satellite.";"Probable observation d'un satellite.";O;3;;;;;;;;2010-04-28;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-08-00534
647;"SAINT-DIZIER (52) 20.08.1978";Haute-Marne;52;"(D) D�partement";1978;08;20;"Le 20 ao�t 1978 de 22h50 � 23 15 environ, 5 militaires vont observer le passage et le stationnement au-dessus d'un b�timent d'un objet qui les intrigue. Trois points lumineux sont d'abord aper�u venant de l'Est et volent en variant constamment de disposition. Ensuite et durant deux minutes les points se regroupent en un seul de couleur orang� au-dessus d'un b�timent. Enfin, l'objet dispara�t vers le Nord dans une progression entrecoup�e d'arr�ts subits et d'acc�l�rations. Il sera perdu de vue en raison de son �loignement. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation. Les t�moins affirment qu'ils ne peuvent confondre cette lumi�re nocturne observ�e avec une �toile ou un a�ronef connu. Aucune autre observation n'a �t� enregistr�e dans la circonscription cette nuit l�.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux.";O;5;;;;;;;;2010-04-28;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1978-08-00536
649;"MONTPELLIER (34) 31.08.1979";H�rault;34;"(D) D�partement";1979;08;31;"Le 31 ao�t 1978 plusieurs personnes observent trois lueurs dans le ciel vers 21h15. Une premi�re lueur de couleur orang�e sera observ�e une quinzaine de minutes. Par la suite deux autres lueurs argent�es appara�ssent et se d�placent rapidement avant de dispara�tre instantan�ment. Les t�moins d�cident de se d�placer en dehors de la ville et verront de nouveau ces lueurs appara�tre vers 23h. Ils les observeront durant une heure avec des jumelles. Le ph�nom�ne dispara�tra totalement vers minuit 15. Aucun autre signaglement ne sera enregistr� concernant ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation de plusieurs lueurs dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2010-07-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-08-00538
650;"MENTON (06) 01.09.1978";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";1978;09;01;"Le 1 septembre 1978 � 21h05 les trois membres d'une m�me famille observent le passage d'une lueur rouge dans le ciel. Celle-ci se d�place lentement entre le Mont saint-Michel et le Mont Angel. L'observation dure deux � trois minutes. Aucune observation ne sera faite par les gendarmes contact�s aussit�t par t�l�phone. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du d�placement d'une lueur dans le ciel.";O;2;;;;;;;;2010-05-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-09-00539
651;"CHAMONIX (74) 04.09.1978";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";1978;09;04;"Le 4 septembre 1978 vers 22 heures un groupe de personnes constate dans le ciel un objet lumineux qui les intrigue. Cet objet de forme sph�rique et de couleur blanche se d�place � la vitesse d'un avion dans une trajectoire Nord-Sud entre les sommets du secteur. Apr�s plusieurs minutes d'observation, � l'approche d'un avion volant en sens inverse, cet objet monte � la verticale et change de couleur avant de dispara�tre � tr�s grande vitesse dans le ciel. L'enqu�te de gendarmerie n'a pas permis de recueillir d'autres informations. Le bruit entendu et la manoeuvre de d�gagement � l'approche du deuxi�me avion avec allumage des feux r�glementaires d'identification permettent de penser que ces t�moins ont probablement vu des manuvres d'un avion � r�action militaire.";"Probable observation des manuvres d'un avion � r�action.";O;8;;;;;;;;2010-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-09-00540
652;"CHAROLLES (71) 07.09.1978";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";1978;09;07;"Plusieurs soirs de suite vers 21h des personnes observent le passage � tr�s haute altitude et � vitesse constante d'un objet lumineux. Il se d�place dans le sens NE-SO. La r�gularit� de la trajectoire, le temps de visiblit� et la r�p�tition sur deux jours, confirme l'hyphoth�se d'une observation du passage d'un satellite artificiel.";"Observations succesives du passage d'un satellite.";O;6;;;;;;;;2010-05-04;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1978-09-00541
653;"CORBENY (02) 08.09.1978";Aisne;02;"(D) D�partement";1978;09;08;"Le 8 septembre 1978 vers 19h 15 plusieurs personnes entendent un sifflement provenant du ciel puis un bruit important. Un agriculteur constatera par la suite que le toit de sa grange a subit des d�gats et il retrouvera des morceaux de glace blanch�tre plus ou moins gros. Le ciel ce jour l� �tait nuageux. Le diam�tre et le poids total du gla�on n'ont pu �tre d�termin�s car il s'est bris� en plusieurs morceaux. Certains ont �t� pris par des t�moins et les autres ont fondu sur le sol sans laisser de traces particuli�res. Aucun autre fait semblable ne s'est produit dans la r�gion ce jour l�. Ce ph�nom�ne rare est n�anmoins connu en m�t�orologie.";"Chute d'un bloc de glace.";O;5;;;;;;;;2010-05-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1978-09-00542
656;"GLAY (25) 15.09.1978";Doubs;25;"(D) D�partement";1978;09;15;"Le 15 septembre 1978 entre 21h et 22 heures un t�moin dans son jardin observe le passage d'Ouest en Est d'un objet volant lumineux � tr�s haute altitude. L'objet a la forme d'un cigare �clair� par des lumi�res blanches. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du d�placement d'un objet lumineux dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2010-05-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-09-00545
657;"DIJON (21) 17.09.1978";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";1978;09;17;"Le 17 septembre 1978 vers 19h50 plusieurs personnes observent dans le ciel un trait lumineux qui se d�place lentement � une altitude non pr�cis�e. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation. Malgr� l'enqu�te de gendarmerie, les t�moignages succincts concernant ce ph�nom�ne ne nous apportent que peu d'informations. Le cas est class� C.";"Observation du passage d'un trait lumineux dans le ciel.";O;7;;;;;;;;2010-05-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-09-00546
658;"REMIREMONT (88) 24.09.1978";Vosges;88;"(D) D�partement";1978;09;24;"Le 24 septembre 1978 trois personnes vont observer dans le ciel un objet lumineux qui les intrigue. L'objet de couleur argent� ne fait aucun bruit et semble se balancer. Il dispara�t lentement cach� par le paysage. Ces t�moins ont probablement observ� un ballon.";"Observation d'un objet lumineux dans le ciel.";O;3;;;;;;;;2010-05-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-09-00547
659;"SETE (34) 27.09.1978";H�rault;34;"(D) D�partement";1978;09;27;"Le 27 septembre 1978 vers 19 35 un appel t�l�phonique au s�maphore de S�te fait �tat de la pr�sence de deux points lumineux immobiles dans le ciel. Le militaire en poste constate la v�racit� des faits et la pr�sence d'un premier objet de forme cylindrique avec une partie avant conique et brillante et d'un deuxi�me objet en forme de croissant apparaissant et disparaissant. Le chef de poste est contact� et constate �galement la pr�sence de ces deux objets. Les objets disparaitront vers 20h20 derri�re des nuages. Ces personnes ont probablement vu des ballons.";"Observation de deux objet volants lumineux dans le ciel.";O;2;;;;;;;;2010-05-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-09-00548
660;"PARIS (75) 30.09.1978";Paris;75;"(D) D�partement";1978;09;30;"Le 30 septembre 1978 vers 23h30 deux promeneurs observent le passage d'un engin volant tr�s bas qui les intrigue. L'objet est de forme ronde, avec un caisson brillant et des lumi�res rouges et jaunes. Aucun bruit n'est entendu durant les rotations de l'objet au-dessus d'un pont de chemin de fer. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli pour corroborer cette observation pour laquelle nous manquons d'informations.";"Observation d'un engin rond et brillant dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2017-02-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-09-00549
662;"MOUZON (08) 03.10.1978";Ardennes;08;"(D) D�partement";1978;10;03;"Le 3 octobre 1978 vers 2h du matin une personne en cyclomoteur est surpris par une forte lueur au-dessus d'un bois. Le t�moin aper�oit alors un objet en forme de cigare de couleur rouge-orange encercl� d'un vert vif. Cet objet, immobile � 100 m dans le ciel, �blouit le t�moin. Le cyclomoteur s'arr�te de fonctionner. L'objet dispara�tra brusquement accompagn� d'un l�ger bourdonnement. Le cyclomoteur fonctionnera de nouveau pour permettre au t�moin effray� de poursuivre sa route. Une autre personne a t�moign� de la r�cidive du passage de ce genre d'engin dans le secteur sans donner davantage de pr�cisions.";"Observation d'un objet en forme de cigare avec effet sur v�hicule.";O;2;;;;;;;;2010-06-02;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1978-10-00550
664;"LHUIS (01) 06.10.1978";Ain;01;"(D) D�partement";1978;10;06;"Le 6 octobre 1978 deux t�moins observent durant 15 minutes un ph�nom�ne lumineux qu'ils ne s'expliquent pas. Ces personnes d�crivent une lueur anormale rose qui se d�place lentement � environ 7 � 8 m�tres du sol. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. Les gendarmes arriv�s rapidement sur les lieux ne pourront constater le ph�nom�ne qui a disparu. Aucune autre observation de ce ph�nom�ne ne sera rapport�e. La transition bois-champ cultiv� est propice � des ph�nom�nes de turbulences atmosph�riques de nature thermique entrainant une distorsion de l'objet observ� : � l'heure et dans la direction indiqu�es ce soir l�, ces personnes ont probablement observ� ce type de ph�nom�ne en relation avec le coucher de lune alors dans son premier quartier et tr�s basse � l'horizon.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux en relation avec la Lune.";O;2;;;;;;;;2010-06-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-10-00552
666;"NIERGNIES (59) 08.10.1978";Nord;59;"(D) D�partement";1978;10;08;"Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � C � en 2010 par le GEIPAN. Il a fait l'objet d'une nouvelle enq�te (voir le document : notes d'enqu�te).
Le 8 octobre 1978 � 22h20 deux t�moins observent au-dessus des champs face � leur habitation une sph�re lumineuse de couleur feu et stationnaire. Un cercle rouge non complet entoure l'objet. Le ph�nom�ne d'une luminosit� variable dure une dizaine de minutes puis dispara�t progressivement dans la nuit. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation et la disparition du ph�nom�ne. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un ph�nom�ne astronomique parfaitement connu : la Lune au coucher. De plus, la Lune �tait bien pr�sente sur la zone du ciel observ�e alors que le t�moin n'en fait pas mention.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti. Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise avec la Lune au coucher.";"Observation d'une sph�re lumineuse rouge stationnaire dans le ciel : observation de la Lune � son coucher.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1978-10-00554
669;"BROYES (51) 12.10.1978";Marne;51;"(D) D�partement";1978;10;12;"Les 12 et 13 octobre 1978 en fin d'apr�s midi, un automobiliste rapporte avoir observ� des ph�nom�nes lumineux se d�pla�ant dans le ciel. Aucun bruit n'est entendu durant les observations. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ces ph�nom�nes pour lesquels nous manquons d'informations.";"Observations successives de ph�nom�nes lumineux.";O;1;1;;;;;;;2010-07-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-10-00557
670;"NATIONAL (975) 13.10.1978";"Grand Est";GES;"(R) R�gion";1978;10;13;"Le 13 octobre vers 20h deux t�moins sur Troyes et Reims observent le passage d'un objet de forme allong�e. Des lumi�res color�es sont �galement aper�ues.
Un des deux t�moin fera une observation similaire le 18 octobre entre 19h et 20h.
Aucun ph�nom�ne anormal n'a �t� d�tect� au centre de d�tection satellite de l'Aube.
Le service technique de l'a�rodrome de Barberey-Saint-Sulpice informera la gendarmerie qu'aucune observation inhabituelle n'a �t� signal�e pour ces jours l�.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
.Ces t�moins ont probablement observ� le passage d'un a�ronef.";"Observations du passage dans le ciel d'un objet de forme allong�e.";O;2;;;;;;;;2011-06-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-10-00558
671;"LABRUGUIERE (81) 15.10.1978";Tarn;81;"(D) D�partement";1978;10;15;"Le 15 octobre 1978 vers 18h50 plusieurs personnes � bord d'un v�hicule observent deux lumi�res et un feu rouge fixe au-dessus des arbres en bordure de route. Poursuivant leur route ils voient un objet sans en distinguer pr�cis�ment la forme avec plusieurs lumi�res. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation de l'objet qui semble stationnaire � une altitude d'envion 150m. Le temps de se garer pour mieux observer, l'objet a disparu et seul un point lumineux rouge est encore visible quelques instants. L'objet a disparu sans bruit et sans fum�e vers l'Ouest. La passag�re d'une autre automobile t�moignera de l'observation d'un objet volant qui l'a intrigu� ce m�me jour et sur la m�me route entre 18h30 et 18h45. Aucune autre pr�cision ne sera receuillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'information.";"Observation d'un objet en vol stationnaire.";O;6;;;;;;;;2010-06-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-10-00559
672;"CASTELJALOUX (47) 23.10.1978";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";1978;10;23;"Le 23 octobre 1978 vers 20 un t�moin, accompagn� de son chien apeur�, observe durant plusieurs minutes les d�placements d'un objet lumineux projetant une lumi�re de couleur orange. De forme ronde, l'objet scintillant effectuera des changements de vitesse et de directions sans qu'aucun bruit particulier ne soit entendu par le t�moin. Un boule de feu sera aper�ue sortant de l'objet. L'objet dispara�tra soudainement. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli par la gendarmerie pour corroborer toutes les informations donn�es par l'unique t�moin.";"Observation du d�placement d'un objet en forme de disque.";O;1;;;;;;;;2010-07-06;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1978-10-00560
673;"MORNANT (69) 28.10.1978";Rh�ne;69;"(D) D�partement";1978;10;28;"Le 28 octobre 1978 vers 19h10 plusieurs t�moins observent le passage rapide d'Est en Ouest d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Les t�moins d�crivent une boule de feu avec une train�e lumineuse sur une trajectoire horizontale. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. Le ph�nom�ne s'�taint soudainement. Au vu des descriptions, ces personnes ont probablement �t� t�moins d'une rentr�e atmosph�rique.";"Probable observation d'une rentr�e atmosph�rique.";O;3;;;;;;;;2010-06-25;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-10-00561
674;"LORMES (58) 30.10.1978";Ni�vre;58;"(D) D�partement";1978;11;02;"Le 30 octobre 1978 vers 2h30 deux campeuses entendent dans un demi sommeil un sifflement puis observent depuis l'int�rieur de leur tente une lueur rouge durant 15 � 20 secondes. Dans le m�me temps elles ont l'impression que le sol se r�chauffe. Une heure plus tard un nouveau sifflement est entendu par ces campeuses peu habitu�es aux bruits nocturnes de la campagne. Les jeunes filles ne regardent pas � l'ext�rieur de leur tente. Au lever du jour elles constateront un peu plus loin une surface br�l�e sur le sol et pensent qu'un engin a pu stationner � cet endroit. L'enqu�te de gendarmerie ne trouvera aucun autre t�moin ayant entendu ces bruits suspects et vu ces lueurs. Par contre un t�moin affirmera avoir br�l� il y a un an, � cet endroit, du bois provenant du d�broussaillement de la haie et du talus bordant le pr� : deux autres emplacements du m�me type se trouvent d'ailleurs dans le prolongement de la haie. Vers minuit les campeuses ont tent� de faire du feu avec des brindilles humides et du papier toilette : celui-ci se consume pl�tot qu'il ne flambe. Il est probable que dans la nuit sous l'effet d'un coup de vent, ce papier et l'herbe se soient emflamm�s brusquement donnant une lueur pendant 15 � 20 secondes et ayant donn� une sensation de chaleur. Le feu �tait situ� entre la tente et l'emplacement suppos� du stationnement de l'engin.";"Observation de lueurs rouges dans la nuit pr�c�d�es par un sifflement.";O;3;;;;;;;;2010-06-28;;;0.29;0.13;;;;;;;0.61;0.39;B;B;1978-10-00562
675;"NATIONAL (975) 02.11.1978";Auvergne-Rh�ne-Alpes;ARA;"(R) R�gion";1978;11;02;"Le 2 novembre 1978 entre 18h45 et 19h30 plusieurs personnes dans les d�partements de la Loire et de la Haute -Loire observent les d�placements d'un objet lumineux compos� de plusieurs lueurs de couleurs diff�rentes.
Malgr� des divergences dans les t�moignages, tous les t�moins sont intrigu�s par l'absence de bruit provenant de cet objet.
Malgr� l'enqu�te de gendarmerie, trop peu d'informations seront recueillies pour consolider toute hypoth�se.";"Observations du d�placement d'un objet lumineux dans le ciel.";O;9;;;;;;;;2011-06-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-11-00563
676;"MAREUIL-SUR-LAY-DISSAIS (85) 06.11.1978";Vend�e;85;"(D) D�partement";1978;11;06;"Le 6 novembre 1978 vers 7h30 trois personnes observent le lent d�placement d'un objet lumineux qui les intrigue. Aucun bruit ne sera entendu durant l'observation de cet objet de couleur orange. La gendarmerie contact�e dans l'apr�s midi ne pourra faire aucune constatation. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli par la gendarmerie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de pr�cisions.";"Observation du d�placement d'un objet lumineux.";O;3;;;;;;;;2010-07-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-11-00564
677;"NATIONAL (975) 08.11.1978";France;FR;"(N) National";1978;11;08;"Le 8 novembre 1978 au petit matin, plusieurs t�moins situ�s dans des d�partements diff�rents, ont observ� le passage rapide dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux.
D'apr�s les descriptions des t�moins, cet objet �tait suivi d'une train�e color�e dans le ciel et se d�pla�ait selon une trajectoire descendante. Les lieux pr�sum�s de chute de l'objet ont fait l'objet de recherches mais aucune trace au sol n'a �t� d�couverte.
Ces t�moins ont probablement assist� � une rentr�e atmosph�rique.";"Porbables observations d'une rentr�e atmosph�rique.";O;5;;;;;;;;2011-06-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-11-00565
679;"JAVERDAT (87) 14.11.1978";Haute-Vienne;87;"(D) D�partement";1978;11;14;"Le 14 novembre 1978 � 22h 14 un t�moin observe le passage rapide SE-NO d'une boule brillante suivie d'une train�e de couleur feu. Aucun bruit n'a �t� entendu lors de l'observation d'une quinzaine de secondes. Cette personne a �t� t�moin d'une probable rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'une probable rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2010-07-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-11-00567
680;"POINDIMIE (988) 15.11.1978";Nouvelle-Cal�donie;988;"(D) D�partement";1978;11;15;"Le 15 novembre 1978 entre 14h30 et 15h30, plusieurs personnes observent le passage SO-NE d'un objet lumineux qui pourrait �tre tomb� dans le lagon sans pr�cision exact du lieu de la chute. Des plongeurs, envoy�s sp�ciaux du journal local, ont cherch� en vain cet objet.";"Observation d'une probable rentr�e atmosph�rique.";O;5;;;;;;;;2010-07-28;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-11-00568
681;"LA MURE (38) 21.11.1978";Is�re;38;"(D) D�partement";1978;11;18;"Les 18, 19 et 21 novembre 1978 deux personnes vont observer vers le Mont Cimon et � des heures diff�rentes, les d�placements � vitesse variable d'une boule lumineuse de teinte violette. Aucun bruit n'est entendu. Une des observation se fera durant 3 minutes environ avant que le ph�nom�ne ne disparaisse � tr�s grande vitesse.";"Observation des d�placements � vitesse variable d'une boule lumineuse de couleur.";O;2;;;;;;;;2010-07-26;;;0.35;0.00;;;0.90;;0.60;;0.55;0.00;D;B;1978-11-00569
683;"SAINT-JUNIEN (87) 25.11.1978";Haute-Vienne;87;"(D) D�partement";1978;11;25;"Le 25 novembre 1978 entre 15h30 et 15h45 un t�moin est intrigu� depuis son lieu de travail par un objet stationnaire dans le ciel nuageux. Cet objet de forme rectangulaire �met une lumi�re tr�s brillante. Ce t�moin et un coll�gue observeront l'objet se d�pla�ant � tr�s grande vitesse et dans des directions oppos�es � deux reprises. La tour de contr�le de l'a�roport de Limoges-Bellegarde confirmera les vols de deux a�ronefs dans la r�gion entre 15h20 et 16h14. Les informations disponibles sur ces observations lointaines ne permettent pas l'analyse de l'objet observ�.";"Observation de d�placements rapides d'un objet lumineux.";O;2;;;;;;;;2010-07-28;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-11-00571
685;"MAROLLES-LES-SAINT-CALAIS (72) 21.11.1978";Sarthe;72;"(D) D�partement";1978;11;21;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � C � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation (anciennement nomm� Saint-Calais (72) du nom de la gendarmerie) fait partie de cas class�s � C � par le GEPAN.
Le 21 novembre 1978, peu apr�s 6h15 deux personnes observent un ph�nom�ne lumineux circulaire et rouge qui se l�ve � l'horizon. Ce ph�nom�ne se d�place lentement puis d�croit.
La gendarmerie, mandat�e sur le lieux � 8h, concluera � une observation astronomique de V�nus ; ceci ne sera confirm� par le GEIPAN qu'en 2013, du fait du doute sur l'heure pr�cise d'observation car V�nus ne se levait ce jour-l� qu'� 6h29.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux circulaire et rouge qui se l�ve � l'horizon : observation astronomique de V�nus.";O;1;;;;;;;;2013-12-03;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1978-11-02606
687;"PIERREFORT (15) 03.12.1978";Cantal;15;"(D) D�partement";1978;12;03;"Le 3 d�cembre 1978 trois personnes observent entre 5 et 6 heures du matin une forte lumin�re �clairant le sol d'un paturage. Des lu�i�res clignotantes rouge et bleu ont �galement �t� aper�u. La gendarmerie n'a retrouv� aucune trace et aucun objets sur les lieux du ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux.";O;3;;;;;;;;2010-07-28;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-12-00573
689;"SAINT-FONS (69) 06.12.1978";Rh�ne;69;"(D) D�partement";1978;12;06;"Entre le 6 et de 9 d�cembre 1978, un t�moin observe en rentrant de son travail une forme lumineuse qui se d�place tr�s lentement de l'Est vers le Sud. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observations successives d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-07-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-12-00575
690;"COMBS-LA-VILLE (77) 07.12.1978";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";1978;12;07;"Lors d' un vol Rome-Paris, un passager observe un objet allong� brillant et qui se d�place de droite � gauche en- dessous de l'avion. Le pilote int�rrog� � l'arriv�e se souviendra avoir vu � l'heure indiqu�e par le passager un avion brillant dans le soleil couchant et se d�pla�ant de la droite vers la gauche. Cet avion laissait une faible train�e de condensation derri�re lui. Le t�moin a probablement vu cet a�ronef.";"Observation probable d'un a�ronef.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-12-00576
691;"ROUSSILLON (38) 10.12.1978";Auvergne-Rh�ne-Alpes;ARA;"(R) R�gion";1978;12;09;"Le 10 d�cembre 1978 � partir de 6h40 plusieurs t�moins dont des gendarmes observent un ph�nom�ne lumineux particulier � l'Ouest dans le ciel. Ce ph�nom�ne semble anim� d'un mouvement pendulaire et ascencionnel. Il a progressivement diminu� et a disparu vers 9h30. Ces t�moins ont fait une observation de la plan�te V�nus.";"Observation astronomique de Venus.";O;7;;;;;;;;2010-07-29;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1978-12-00577
692;"NATIONAL (975) 11.12.1978";France;FR;"(N) National";1978;12;11;"Le 11 d�cembre 1978 des t�moins sur plusieurs d�partements observent un ph�nom�ne lumineux se d�pla�ant � vive allure dans le ciel sans qu'aucun bruit ne soit entendu. Une train�e est �galement aper�ue. Ce ph�nom�ne dispara�t subitement.
Ces personnes ont probablement observ� une rentr�e atmosph�rique.";"Observations d'une probable rentr�e atmosph�rique.";O;6;;;;;;;;2011-06-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1978-12-00578
693;"MEAUX (77) 19.12.1978";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";1978;12;19;"Le mardi 19 d�cembre 1978 � 8h23 un t�moin sur son balcon observe un ph�nom�ne qu'il ne reconnait pas. Dans le ciel d�gag� en direction du Sud-Est de Meaux, un point lumineux oscille. L'objet disparaitra vers 9h45 cach� par le soleil. Les gendarmes depuis l'appartement feront �galement l'observation d'un point lumineux dans la m�me direction et � environ 35� d'�l�vation. La veille � Paris deux t�moins �taient intrigu�s par la pr�sence dans le ciel d'un objet particuli�rement brillant et une �quipe de police constatait �galement la pr�sence de cet objet dans le ciel.
L'enquete de police parisienne conclura � une observation astronomique. La v�rification astronomique (voir carte celeste) indique clairement V�nus situ�e entre 25� et 30� au S-E � l'heure indiqu�e.
Le GEIPAN classe ce cas en ""A"" : m�prise astronomique avec V�nus.";"Longues observations d'un point lumineux dans le ciel : observations de V�nus.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1978-12-00580
694;"ARAMON (30) 20.12.1978";Gard;30;"(D) D�partement";1978;12;20;"Le 20 d�cembre 1978 vers 22h15 un t�moin aper�oit de longues train�e roses dans le ciel puis deux engins en forme de toupies tournant sur elles m�mes. Durant le d�placement � tr�s garnde vitesse des objets, le t�moin principal n'a entendu aucun bruit. Un autre t�moin appel� sur les lieux ne verra qu'un embrasement du ciel. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du d�placement rapide de deux engins dans le ciel.";O;2;;;;;;;;2010-07-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-12-00581
695;"COURNON (63) 24.12.1978";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";1978;12;24;"Le 24 d�cembre 1978 vers 21h deux t�moins observent un objet lumineux dans le ciel. Ils constatent le d�placement � faible vitesse de l'objet qui �met des couleurs vairi�es. Vers 23h un des t�moins confirme avoir vu de nouveau l'objet qui a encore chang� de place. Aucun autre t�moignage ne viendra compl�ter ces d�positions tr�s succinctes.";"Observation du d�placement d'un objet lumineux.";O;2;;;;;;;;2010-08-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1978-12-00582
696;"VEYRE-MONTON (63) 25.12.1978";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";1978;12;25;"Le 25 d�cembre 1978 vers 16h30 trois personnes observent la chute d'un objet sph�rique ou ovale de plus d'un m�tre de diam�tre, lisse et lumineux. Cette sph�re de plusieurs couleurs prend feu en s'�crasant au sol. L'enqu�te de gendarmerie retrouvera sur le lieux de la chute des traces de terre calcin�e et des morceaux diff�rents (ressort, plaque d'aluminium, ""chatterton"" roul� et br�l�). La nature des d�bris recueillis sur le lieu de la chute permet sans �quivoque de conclure � un engin de fabrication humaine sans qu'il soit possible d'en d�terminer la nature exacte (nacelle, ballon, cerf-volant). Il s'agit probablement d'une exp�rience d'amateur.";"Observation de la chute d'un objet de fabrication humaine.";O;2;;;;;;;;2010-08-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1978-12-00583
697;"ETAMPES (91) 29.12.1978";Essonne;91;"(D) D�partement";1978;12;29;"Le 26 d�cembre 1978 vers 22h45 un t�moin observe les d�placements d'un objet lumineux dans le ciel. Passant dans un nuage, cet objet �met un ph�nom�ne lumineux et monte � vitesse rapide dans le ciel en prenant une couleur rouge. Le t�moin ne verra ensuite qu'un point rouge dispara�tre. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'un objet lumineux avec des changements de direction.";O;1;;;;;;;;2010-08-02;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1978-12-00584
701;"MAULEON LICHARRE (64) 1979";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";1979;01;02;"Dans la nuit du 1er au 2 janvier 1979 deux t�moins observent durant moins de 10 secondes un objet �clair� de lumi�res rouges. Cet objet, qu'ils comparent � un cerf-volant, se d�place rapidement du Nord au Sud sans aucun bruit et � une altitude d'environ 100 m au-dessus de l'aglom�ration. Aucun autre t�moin ne sera retrouv� sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"observation d'un objet lumineux au-dessus d'une agglom�ration.";O;2;;;;;;;;2008-04-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-01-00586
702;"SAVERNE (67) 1979";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";1979;01;03;"Le 3 janvier 1979 deux personnes observent � 6h 50 un objet brillant � basse altitude dans la direction du Sud Sud-Est. Demi sph�rique et accompagn� d'une gerbe d'�tincelles, cet objet se d�placera progressivement et sans bruit pour dispara�tre en direction du Sud. Ces personnes sont probablement fait une observation astronomique de V�nus particuli�rement visible dans le ciel � cette p�riode (magnitude 4,46) d'apr�s la carte du ciel. Un automobiliste circulant vers 19h apercevra ce m�me jour un autre objet volant. Durant 3 � 4 secondes il voit une boule se d�pla�ant silencieusement � tr�s haute altitude et sur une trajectoire Nord-Sud. Cette personne a probablement vu un ballon-sonde mais nous manquons d'informations sur ce dernier objet.";"observations d'objets dans le ciel";O;3;;;;;;;;2008-05-13;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-01-00587
703;"BANNALEC (29) 06.01.1979";Finist�re;29;"(D) D�partement";1979;01;06;"Le 6 janvier 1979 vers 22h une personne fait le tour de son exploitation avec son chien. Soudain celui-ci tr�s effray� se met � gronder et se r�fugie sous un arbre. Le t�moin aper�oit alors � 15 m�tres de haut une forme tr�s brillante et immobile. Un objet de forme circulaire surmont� d'un d�me �met des lumi�res aveuglantes et un l�ger bruit de soufflement. Le t�moin observera l'objet durant 2 minutes depuis un b�timent. Apr�s un mouvement de balancement l'objet disparaitra � tr�s grande vitesse vers l'Ouest � 22h 04. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli et aucune trace au sol n'a �t� observ�e le lendemain. D'apr�s le bruit et le mouvement de balancement constat�s, le t�moin a probablement observ� un h�licopt�re.";"probable observation d'un h�licopt�re";O;1;;;;;;;;2008-06-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-01-00588
704;"NOYANT-LA-GRAVOYERE (49) 02.01.1979";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";1979;01;02;"Le 12 janvier 1979 vers 19h 30, une personne aper�oit dans le ciel un ph�nom�ne lumineux particulier au Nord Nord-Est. Durant 20 minutes le t�moin, muni de jumelles, observe une boule de feu de couleur orange de la grosseur d'un poing. Aucun bruit n'est entendu. Le ph�nom�ne a disparu dans les nuages. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"observation prolong�e d'une boule brillante";O;1;;;;;;;;2008-06-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-01-00589
705;"BRIVE (19) 1979";Corr�ze;19;"(D) D�partement";1979;01;11;"Le 11 janvier 1979 vers 6h 45, un t�moin aper�oit depuis une fen�tre un objet qui l'intrigue. Au-dessus d'une route, un objet ovale se d�place sans faire de bruit. Cet objet comporte dans sa partie inf�rieure six feux fixes de couleur rouge et vert. Au centre un feu jaune �met une lumi�re forte. Cet objet se d�place d'Est en Ouest � une vitesse r�duite. D'apr�s l'enqu�te le t�moin a vu un avion de ligne FBOOM bimoteur qui a atteri � 6h 42 pour red�coller � 6h 59 de l'a�rodrome de Brive tout proche.";"observation d'un avion de ligne";O;4;;;;;;;;2008-05-14;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1979-01-00590
706;"TRELOU-SUR-MARNE (02) 13.01.1979";Aisne;02;"(D) D�partement";1979;01;13;"Le 13 janvier 1979 � 6h 15, un t�moin observe dans la cour de son habitation un ph�nom�ne lumineux qui l'intrigue. Dans le ciel, un objet ayant la forme d'une halt�re est stationnaire. Deux sph�res de couleur jaune p�le et entour�es d'un halo, sont reli�es par une partie de couleur bleue-violette assez vive. Apr�s quelques secondes d'observation, l'objet est parti � grande vitesse et a disparu cach� par les toits des habitations. Aucun autre t�moin de ce ph�nom�ne ce jour l� n'a �t� trouv�. Le 14 janvier une autre personne est t�moin d'un autre ph�nom�ne lumineux diff�rent. Nous manquons d'informations sur ces ph�nom�nes.";"observation d'un ph�nom�ne lumiNeux compos� de deux sph�res.";O;1;;;;;;;;2008-06-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-01-00591
707;"COULONGES-COHAN (02) 14.01.1979";Aisne;02;"(D) D�partement";1979;01;14;"Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � C � en 2008 par le GEIPAN . Il a fait l'objet d'une nouvelle enqu�te. (voir le document : Notes d'enqu�te).
Le 14 janvier 1979 entre 5h 30 et 7h deux t�moins observent, plein Est dans le ciel, un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue. Une sph�re brillante plus grosse que les �toiles se d�place sans bruit et � vitesse lente dans le sens Est-Sud. Le t�moin principal ne donne pas de pr�cisions quand � la hauteur de la sph�re dans le ciel. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Ce cas est consistant, mais la description du PAN observ� est peu pr�cise dans le rapport de gendarmerie. La sinc�rit� et la cr�dibilit� du t�moin n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : V�nus, bien pr�sente sur la zone du ciel observ�e.
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN B, observation probable de la plan�te V�nus, � travers une l�g�re couche de brume ou par un effet de halo.";"Observation d'une sph�re brillante se d�placant lentement : probable observation astronomique de V�nus.";O;1;;;;;;;;2013-06-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-01-00592
709;"MARSEILLE EN BEAUVAISIS (60) 1979";Oise;60;"(D) D�partement";1979;01;19;"Le 19 janvier 1979 vers 18h 30 deux automobilistes remarquent dans le ciel deux feux blancs de forte intensit� ainsi qu'une lueur rouge et orange venant d'un objet qu'ils ne peuvent d�finir. Un d�placement en direction du Sud-Est est constat� alors qu'aucun bruit n'est entendu. Aucun autre t�moignage n'a pu �tre recueilli. Lors de l'enqu�te, il est �tabli que des vols d'entrainements d'un bi-moteur ont eu lieu le 19 janvier entre 17h 30 et 19h. Cet avion poss�de deux puissants projecteurs � l'avant et des demi-tours ont �t� effectu�s au-dessus du secteur concern�.";"observation d'un a�ronef";O;2;;;;;;;;2008-06-09;;;0.25;0.13;;;;;;;0.59;0.41;A;B;1979-01-00594
710;"DOUARNENEZ (29) 1979";Finist�re;29;"(D) D�partement";1979;01;2-;"Entre le 24 et 28 janvier 1979 trois t�moins vont observer des ph�nom�nes particuliers sur un m�me secteur. Le 24 janvier entre 7h et 7h15, un t�moin relate l'observation d'un engin orang� en forme de cigare. Il se d�place lentement selon une trajectoire Nord-Sud et s'�l�ve soudain verticalement pour dispara�tre � tr�s grande vitesse en changeant de couleur. Aucune manuvre militaire de l'a�ro-navale n'a �t� signal�e � cette p�riode de l'ann�e et aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations. Le 28 janvier vers 22h15 deux autres personnes vont apercevoir des ph�nom�nes lumineux. Des lueurs bleues et blanches avec un point rouge (pour un t�moin) apparaissent � intervalles r�guliers. D'apr�s l'enqu�te de gendarmerie, ces lueurs provenaient des feux de signalisation situ�s en haut des m�ts d'un cargo allemand en mouillage dans une baie. Cette observation diff�rente est class�e A.";"Observation d'un engin en forme de cigare et de lueurs.";O;3;;;;;;;;2008-07-01;;;0.13;0.13;;;;;;;0.44;0.41;C;A;1979-01-00595
711;"CHATEAUNEUF-DE-GALAURE (26) 25.01.1979";Dr�me;26;"(D) D�partement";1979;01;25;"Un t�moin fait deux observations distinctes � deux dates diff�rentes : Aux alentours du 25 janvier 1979 vers 22h, ce t�moin, accompagn� d'une autre personne, constate que son v�hicule est �clair� par un phare au-dessus de sa voiture. Prenant le temps de s'arr�ter, il voit un objet de forme triangulaire qui �met des lumi�res de couleurs diff�rentes mais � dominante rouge orang�. Elles sont accompagn�es de deux projecteurs allum�s et tourn�s vers le sol. L'objet avance lentement en �metant un sifflement. Bien que situ� tr�s pr�s du t�moin (5 m�tres), celui-ci ne peut �valuer la grosseur de l'objet qui dispara�t ensuite derri�re une colline. La deuxi�me observation a eu lieu aux alentours du 10 f�vrier 1979 : vers 20h et depuis son appartement, le t�moin dit avoir entendu un ronflement venant de l'ext�rieur. Il observe alors un objet constitu� de deux parties, �m�tant des lumi�res blanches et rouges et qui se d�place dans une direction Nord-Sud. Arriv� au-dessus de l'agglom�ration, l'objet est rejoint par une s�rie d'ojets brillants en mouvements et �metant eux-aussi des lumi�res durant une demi heure. Malgr� le temps important durant lequel ce ph�nom�ne lumineux a eu lieu, aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observations d'un objet de forme triangulaire, progression lente et sifflement.";O;1;;;;;;;;2008-06-18;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-01-00596
712;"VALENCIENNES (59) 26.01.1979";Nord;59;"(D) D�partement";1979;01;26;"Le 26 janvier 1979 � 0h 45 un automobiliste aper�oit � 150m environ devant lui une sph�re lumineuse au ras du sol. Se rapprochant il voit que cette sph�re, d'un diam�tre de 4 � 5 m, est constitu�e de plusieurs panneaux. Des antennes mesurant 1 � 2 m sont visibles ainsi que des petites flammes bleues et blanches. Aucun bruit n'est entendu. Cette sph�re a disparu en s'�loignant vers l'horizon. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de donn�es.";"Observation d'un sph�re lumineuse. Aucun bruit.";O;1;;;;;;;;2008-06-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-01-00597
713;"HOURTIN (33) 29.01.1979";Gironde;33;"(D) D�partement";1979;01;29;"Le 29 janvier 1979 entre 20h 30 et 20h 45 un t�moin observe, suite � un �clair, un point lumineux de couleur orange. Tout d'abord stationnaire, ce point commence une lente descente vers le sol tout en grossissant. Puis il prend une autre direction pour partir � l'horizontale � tr�s grande vitesse et dispara�tre. Aucun bruit n'a �t� entendu durant l'observation qui a dur� environ 2 � 3 minutes. Une hyphoth�se �mise par l'observatoire de Florac, contact� par la gendarmerie pour cette observation, �tait celle d'un ph�nom�ne de ""foudre en boule"" mais nous manquons de donn�es pour valider ou non cette hypoth�se.";"Observation d'un point lumineux � haute altitude, avec changement de direction et vitesse variable.";O;1;;;;;;;;2008-06-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-01-00599
715;"AIX-EN-PROVENCE (13) 11.01.1979";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1979;01;11;"Le 11 janvier 1979 � 16h 35 deux t�moins aper�oivent dans le ciel une quinzaine d'objets volants. Ils semblent mesurer entre 60 et 80 cm. De couleur m�tallis�s, ils tourbillonnent et �mettent des �clats lumineux en r�fl�chissant le soleil couchant. Ils se d�placent lentement sans aucun bruit vers le Sud-Est o� ils dispara�tront. Un l�cher de ballon sonde a eu lieu le m�me jour � 12h et il est probable que les t�moins aient vu des lambeaux de la nacelle ou de l'envelloppe du ballon.";"Probable observation de lambeaux de nacelle ou d'enveloppe de ballon sonde.";O;1;;;;;;;;2008-06-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-01-01845
716;"NEGREPELISSE (82) 1979";Tarn-et-Garonne;82;"(D) D�partement";1979;01;13;"Le 13 janvier 1979 � partir de 20h plusieurs t�moins observent dans le ciel un objet lumineux de diff�rentes couleurs et qui �met des reflets. L'observation durera une trentaine de minutes. L'objet se situe � droite de la Lune sans que l'on ait d'informations sur la distance entre la lune et l'observation. Les t�moins ont probablement fait une observation astronomique qui peut �tre soit Procyon (magnitude 0,40) particuli�rement visible en cette p�riode de l'ann�e, soit Sirius dont les reflets de diff�rentes couleurs sont bien connus et pour ce cas, accentu�s par l'observation aux jumelles. Jupiter est �galement particuli�rement visisble mais � gauche de la lune, ce qui ne correspond pas au t�moignage. Ces t�moins se sont absent�s durant trois heures et � leur retour vers 24h ils ont aper�u le m�me ph�nom�ne lumineux mais plus loin et qui s'�tait d�plac� vers le Sud ce qui correspond au mouvement naturel des �toiles.";"probable observation astronomique";O;4;;;;;;;;2008-07-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-01-01846
717;"SAINT-MANDE (94) 13.01.1979";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";1979;01;13;"Le 13 janvier 1979 entre 6h15 et 8h30 un t�moin observe depuis chez lui un point lumineux qui l'intrigue. Ce point se d�place lentement d'Est en Ouest dans une trajectoire montante. Le t�moin prendra plusieurs clich�s photographiques. Les descriptions donn�es et la carte du ciel de ce jour l� indiquent que ce t�moin a fait une observation astronomique de V�nus particuli�rement visible en cette p�riode de l'ann�e (magnitude -4,41).";"probable observation de V�nus";O;1;;;;;;;;2008-07-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1979-01-01847
719;"BOULAY-MOSELLE (57) 04.02.1979";Moselle;57;"(D) D�partement";1979;02;04;"Le 4 f�vrier 1979 vers 1h15 du matin, un t�moin observe durant 30 secondes depuis son v�hicule un objet lumineux dans le ciel. Cet objet a la forme d'une demi sph�re de couleur orange qui se d�place du Sud-Ouest vers le Nord-Est dans une trajectoire horizontale. L'objet disparait progressivement en diminuant.
Ce cas d'observation a �t� publi� initialement par le GEIPAN en cat�gorie C, par manque d'information.
Un internaute, passionn� d'astronomie, a rep�r� ce cas comme pouvant �tre une m�prise avec la Lune � son coucher ; afin de v�rifier si cette hypoth�se �tait bonne, il est retourn� sur les lieux de l'observation en f�vrier 2015, 36 ans apr�s les faits.
Les orbites terrestres et lunaires sont telles que la p�riode o� la Terre et la Lune se retrouvent dans les m�mes positions relatives par rapport au Soleil correspond � 223 lunaisons, c'est-�-dire 6 585,32 jours : cette p�riode est appel�e Saros) ; elle est utilis�e pour calculer le d�lai entre les �clipses de Lune ou de Soleil. On note que, apr�s cette p�riode qui n'est pas un nombre entier de jours, l'heure solaire n'est donc pas la m�me.
Dans notre cas, entre la date de l'observation et le jour de la reconstitution, il a fallu compter 2 fois cette p�riode de pr�s de 18 ans : la date exacte tombe le 25/2/2015 � 16:36, donc � une heure locale notablement diff�rente de l'heure de l'observation.
Pour choisir la meilleure date de reconstitution, il faut trouver pr�s de cette date les instants o� l'azimut et la hauteur angulaire (�l�vation) de la Lune sont les plus proches de celles de l'observation. Deux dates s'av�rent convenables :
- le 23 f�vrier 2015 � 23h55, avec une Lune � 1,1� de hauteur angulaire et un azimut de 288�, une lunaison de 5 jours et une phase � deux jours du Premier Quartier.
- le 25 f�vrier 2015 � 1h00 (donc la nuit du 24 au 25 f�vrier), avec une Lune � 1,5� de hauteur angulaire et un azimut de 292�, une lunaison de 6 jours et une phase � la veille du Premier Quartier.
Pour comparaison, la position de la Lune lors de l'observation de Boulaysur-Moselle �tait de 1,4� de hauteur angulaire et un azimut de 286� (la reconstitution s'est donc faite avec une position de la Lune parfaitement similaire � 1979), avec une lunaison de 6,7 jours et une phase au Premier Quartier.
Le GEIPAN publie int�gralement le rapport d'observation de cet astronome amateur, rapport tr�s bien document� dont voici la conclusion :
� Le t�moignage de l'�poque correspond en de nombreux points � l'observation r�alis�e lors de la reconstitution : la forme est bien une demi-sph�re de couleur orang�e tirant sur le rouge, son inclinaison est en effet presque � l'horizontale. La dur�e de l'observation pouvait en effet �tre br�ve, la Lune �tant basse et situ�e proche de l'horizon. De plus on peut supposer la pr�sence de nuages pouvant l'occulter � tout moment.
Le lieu d'observation figur� sur le plan joint au proc�s-verbal de gendarmerie pr�sente une particularit� topographique pouvant surprendre le t�moin. En effet ce lieu pr�sente une d�nivellation o� l'on passe d'un point cot� d'altitude 324m � un point cot� d'altitude 340m et cela sur une distance presque rectiligne d'environ 250m � peine. La pente est donc d'environ 6%. Cette configuration du relief peut, par exemple dans le cas d'une conduite d'un v�hicule automobile, donner une illusion de jaillissement des �l�ments situ�s � l'horizon qui jusqu'alors �taient masqu�s par la c�te.
Ces divers �l�ments confortent donc l'hypoth�se d'une confusion due � la Lune vue dans des conditions particuli�res (aspect inhabituel de la Lune au coucher, impression de jaillissement au sommet de la c�te).�
Cette reconstitution tout � fait convaincante permet de classer ce cas en � A � : observation de la Lune � son coucher.
";"Observation d'un objet orang� en forme de demi-sph�re : m�prise Lune � son coucher.";O;1;;;;;;;;2015-03-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;A;C;1979-02-00601
720;"NICE (06) 06.02.1979";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";1979;02;06;"Le 6 f�vrier 1979 � 9h 20 un passant observe dans la ciel un ph�nom�ne lumineux qui l'intrigue. Durant deux minutes, il va apercevoir un objet en forme de soucoupe avec des lignes bleues et jaunes � l'arri�re qui disparaissent. L'objet est ensuite cach� par les immeubles et lorsque le t�moin le retrouve, il constate en son centre une lumi�re plus dense, de forme arrondie. L'objet est immobile dans un halo lumineux et forme un angle de 20� par rapport au sol. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. A cette heure l�, le soleil est tr�s bas sur l'horizon et dans l'axe de l'observation : il s'agit probablement d'un reflet lumineux du soleil � travers les nuages.";"Observation d'un objet immobile et lumineux.";O;1;;;;;;;;2008-07-01;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-02-00602
722;"TREVOUX (01) 1979";Ain;01;"(D) D�partement";1978;12;04;"Le 13 f�vrier 1979 vers 21h 45 un t�moin avec ses enfants observent une boule blanche de grande dimensions qui se d�pla�e dans le ciel � faible altitude dans le sens Ouest-Est. Cet objet rond et tr�s brillant a de nombreuses lumi�res qui scintillent depuis l'int�rieur. Trois lumi�res (jaune, verte et rouge) clignotent sous l'objet. Malgr� une observation de deux � trois minutes, le t�moin ne peut identifier l'objet. Lors de l'enqu�te, d'autres t�moignages sur des observations similaires seront recueillis : depuis d�cembre 1978 le passage d'une boule blanche dans le m�me sens de d�placement a �t� constat�. Des t�moins signalent �galement des baisses de tensions r�guli�res dans le secteur. L'origine ne sera pas d�termin�e. Un autre t�moin d�clarera que le 4 d�cembre 1978 vers 18h elle a aper�u un appareil de forme trap�zo�dale et rectangulaire � sa base. Cet objet faisait du surplace � faible altitude et �tait �clair� par des lumi�res rouges. Le bruit �mis ressemblait � celui d'un h�licopt�re. L'hypoth�se du vol d'un avion de tourisme dans cette vall�e a �t� �mise mais le centre du contr�le a�rien n'a pas constat�, au niveau des radars de surveillance et contr�le, la pr�sence d'un engin aux jours et heures indiqu�s. La pr�sence d'a�rodromes dans la r�gion et la r�p�titivit� des observations laissent � penser qu'un certain nombre d'entre elles correspondent � des a�ronefs. Cependant les informations disponibles ne permettent pas de confirmer cette hypoth�se.";"Observation d'un objet rond et lumineux.Temps d'observation 2 � 3 minutes";O;6;;;;;;;;2008-07-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-02-00604
723;"VENISSIEUX (69) 14.02.1979";Rh�ne;69;"(D) D�partement";1979;02;14;"Le 14 f�vrier 1979 � 21h un t�moin aper�oit dans le ciel une forme ronde de couleur blanche qui change de couleur tout en se d�pla�ant rapidement selon une trajectoire Sud Sud-Est. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de donn�es.";"observation d'une forme ronde changeant de couleur.";O;1;;;;;;;;2008-05-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-02-00605
725;"SAINT-MARCEL (01) 11.03.1979 � LES POISSONS �";Ain;01;"(D) D�partement";1979;03;11;"Dans la nuit du 11 mars 1979 vers 0h 45 plusieurs personnes vont �tre t�moin d'un ph�nom�ne lumineux particulier. Ils vont �tre �blouis par une tr�s vive lumi�re de couleur bleue-verte-mauve qui �clairera durant une minute environ le paysage environnant. Une coupure de courant touche toute la commune.
Un automobiliste pr�cise qu'avec sa femme ils ont vu une masse l�g�rement ovale et immobile � 15 � 20 m du sol. Celle-ci s'est brusquement �teinte pour laisser appara�tre un feu de couleur rouge-orang� de chaque cot� de la masse.
Un pisciculteur r�veill� dans la nuit du 11 mars par un bruit de cr�pitements et une lumi�re intense, constatera le mardi 13 mars la mort de nombreux poissons dans un de ses bassins d'�levage (1800kg au total). Une ligne �l�ctrique de 10 000 volts passe au-dessus du bassin et dans la nuit du 14 au 15 mars un de ces fils c�dera : il �tait d�t�rior� sur 4 � 5 m�tres de long.
Le responsable EDF du secteur n'a pas pu relever l'incident sur la bande de contr�le, la coupure de courant sur la commune ayant �t� trop br�ve (1 min).
Ces personnes ont �t� les t�moins d'un arc �lectrique sur la ligne EDF qui a probablement concouru � la mort des poissons bien que les analyses aient mis en �vidence une infection virale. Nous n'avons aucune information sur la nature pr�cise de cette infection ni sur les cons�quences �ventuelles sur la mortalit� des poissons.";"Observations d'un ph�nom�ne lumineux puissant et coupure de courant : observations et cons�quences sur animaux d'un arc �lectrique sur la ligne EDF";O;6;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1979-03-00607
726;"LE COTEAU (42)";Loire;42;"(D) D�partement";1979;03;15;"Le 15 mars 1979 vers 7h 25 cinq personnes travaillant � la r�fection d'une voie ferr�e aper�oivent un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue. Une lueur orang�e de la grosseur d'un ballon de football traverse lentement le ciel d'Est en Ouest dans une trajectoire descendante. L'observation qui dure environ 30 secondes permet de constater la pr�sence d'une train�e de fum�e blanche. Aucun bruit n'est entendu. L'objet va dispara�tre cach� par le paysage. Ces personnes ont probablement �t� t�moins d'une rentr�e atmosph�rique qui, compte tenu du temps d'observation peut �tre un d�bris spatial.";"Observation d'une lueur orang�e traversant le ciel";O;5;;;;;;;;2008-07-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-03-00608
727;"LANDIVISIAU (29) 1979";Finist�re;29;"(D) D�partement";1979;03;18;"Le 18 mars 1979 vers 21h 15 une automobiliste et sa passag�re aper�oivent un objet sombre de couleur gris fluorescent en forme de fus�e � trois m�tres au-dessus de la voie express. Cet objet silencieux se d�place lentement en direction du Nord. La voiture passe rapidement sous l'objet. Au retour vers 21h 45, la m�me automobiliste verra, � peu pr�s au m�me endroit, une aile plate de 3 m�tres carr� au-dessus de la voie express. Elle d�crit l'objet comme constitu� d'un treillis m�tallique gris de quelques centim�tres d'�paisseur et le tout semblant avoir un mouvement ondulatoire. L'objet survolant la voiture s'est immobilis� � 3 ou 4 m�tres devant son v�hicule. Impressionn�e l'automobiliste acc�l�rera pour passer rapidement sous l'objet sans entendre de bruit particulier ou voir de lumi�res. Aucune source de chaleur ne semble provenir de l'objet. Ces observations n'ont dur� que quelques secondes dans de mauvaises conditions m�t�orologiques ( pluie continue de nuit) et � proximit� de l'a�roport de Brest-Guipavas. Aucune trace ne sera relev�e par la gendarmerie et aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne qui reste non identifi�.";"Observation d'un objet en forme de fus�e";O;2;;;;;;;;2011-09-29;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1979-03-00609
728;"NICE (06) 1979";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";1979;03;19;"Le 19 mars 1979 entre 23h 10 et 23h 15 deux t�moins observent depuis leur villa un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue. Regardant par une f�n�tre ils voient une grosse sph�re de couleur blanc bleu�tre en stationnaire � environ cinquante m�tres du sol. Ce ph�nom�ne sera observ� une trentaine de secondes avant de s'�teindre progressivement. Cette nuit l�, un violent orange s'est abattu sur Nice et des �clairs sillonnaient le ciel. Le t�moin se rendra sur les lieux le 21 mars et apprendra que la foudre est tomb�e sur un pylone le 19 mars vers 23h 10 provoquant une �norme boule lumineuse. Cette personne a probablement �t� t�moin d'un ph�nom�ne �lectrique d� � l'orage.";"observation d'une boule lumineuse. Temps orangeux.";O;2;;;;;;;;2008-06-03;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-03-00610
729;"GARDOUCH (31) 21.03.1979";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1979;03;21;"Le 21 mars 1979 vers 2h du matin, un automobiliste circulant sur la D16 entre Ayguesvives et Gardouch (31), aper�oit un ph�nom�ne lumineux qui prend des formes et des couleurs variables tout au long du trajet et semble suivre le t�moin. Durant les 10 kilom�tres parcourus le PAN semble parfois s'immobiliser et avoir ensuite des acc�l�rations importantes. Arriv� chez lui, le t�moin r�veille son �pouse qui observe �galement le ph�nom�ne. Le t�moin prend des photos avant d'aller se coucher vers 3 h du matin. Aucun bruit particulier ne sera entendu et aucun autre t�moignage ne sera recueilli par la gendarmerie.
L'enqu�te du GEPAN conclut que le t�moin a probablement fait une observation astronomique d'un lever de Lune par temps brumeux (voir le compte rendu d'enqu�te GEPAN). Une v�rification faite en 2008 sur la configuration astronomique au moment de l'observation montre �galement une conjonction entre la Lune, Neptune et Antar�s, ce qui confirme la conclusion de l'enqu�te GEPAN de 1979.
Ce cas est class� A : observation astronomique de la Lune.";"Observation d'un objet lumineux qui semble suivre un automobiliste sur 10 kilom�tres : observation astronomique de la Lune.";O;2;;;;;;;;2016-12-12;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1979-03-00611
730;"CHEF-DU-PONT (50) 22.03.1979";Manche;50;"(D) D�partement";1979;03;22;"Le 22 mars vers 23h un t�moin observe � haute altitude une boule orange de la dimension d'une balle de foot-ball. Celle-ci se d�place horizontalement en faisant un va et vient rapide; elle se d�place ensuite verticalement en �mettant des reflets verts. Le m�me ph�nom�ne se reproduira le lendemain � la m�me place et � la m�me heure. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'une boule effectuant des mouvements de va et vient";O;1;;;;;;;;2008-07-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-03-00612
731;"MURVIEL LES BEZIERS (34) 1979";H�rault;34;"(D) D�partement";1979;02;26;"Entre 21 h30 et 22h 30 le 26 mars 1979 des automobilistes aper�oivent dans le ciel un objet �clair� par trois feux. L'un des feu est de couleur blanche et les deux autres sont des feux clignotants vert et rouge. Cet objet se d�place rapidement en changeant de direction. Un des t�moins indique qu'il a fait cette observation plusieurs fois entre f�vrier et mars. Ces personnes ont probablement fait une observation d'a�ronef de type h�licopt�re.";"probable observation d'a�ronef";O;4;;;;;;;;2008-06-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-03-00613
732;"MORGNY-LA-POMMERAYE (76) 31.03.1979";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1979;03;31;"Le 31 mars 1979 la gendarmerie est contact�e pour constater la pr�sence d'un morceau de glace tomb� sur le parking de la gare. Il n'y a ni victimes ni d�gats malgr� des fragments de glace �parpill�s sur une trentaine de m�tres. Dans un morceau de glace la pr�sence de substances beige et rouge appara�t. Des �chantillons de cette mati�re seront analys�s pour conclure � la pr�sence de graisse d'origine v�g�tale ou animale provenant d'un bloc de glace qui se serait probablement d�tach� d'un a�ronef. Le village est en effet situ� en-dessous d'un couloir a�rien fortement fr�quent� et des conditions climatiques particuli�res peuvent provoquer de tels incidents.";"Observation d'un bloc de glace tomb� pr�s d'une gare.";O;1;;;;;;;;2008-06-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-03-00614
733;"JEUMONT (59) 1979";Nord;59;"(D) D�partement";1979;01;--;"Le 25 mars 1979 entre 21h 55 et 22h 10, un t�moin observe depuis son poste de surveillance de l'usine un ph�nom�ne lumineux dans le ciel qui l'intrigue. Il voit d'abord une clart� d'un blanc laiteux en forme d'arc suivie d'une boule verte avec un point rouge au milieu effectuant diff�rents mouvements. Aucun bruit n'est entendu. Ce t�moin et deux autres pompiers avaient d�j� observ� un ph�nom�ne lumineux en d�but d'ann�e. Aucun autre t�moignage n'a pu �tre recueilli sur le ph�nom�ne du 25 mars pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'une petite boule lumineuse.Aucun bruit.";O;5;;;;;;;;2008-06-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-03-01721
734;"MONTGUYON (17) 1979";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";1979;03;22;"Le 22 mars 1979 vers 21h 25 un automobiliste et son passager aper�oivent une lumi�re �blouissante. Durant 2 � 3 minutes ces t�moins vont pouvoir observer � une distance de 100m un objet en forme de ""tranche d'orange"" avec une lumi�re clignotante sur le cot� gauche ainsi qu'une rang�e de spots de diff�rentes couleurs. Cet objet se d�place ensuite rapidement vers le Sud-Ouest. Un bruit de ronflement lointain a �t� entendu. Des photos ont �t� prises par un des t�moins mais ne seront jamais apport�es � la gendarmerie. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet en forme de ""tranche"" d'orange , lumineux , bruit d'avion.";O;2;;;;;;;;2008-07-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-03-01722
735;"MOTTE-SERVOLEX (LA) (73) 18.03.1979";Savoie;73;"(D) D�partement";1979;03;18;"Le 18 mars 1979 vers 21h 45 un t�moin observe depuis sa cour et durant 5 secondes un ph�nom�ne lumineux qui l'intrigue. Il voit para�tre et dispara�tre dans des nuages deux sph�res oranges d'un diam�tre de 15 cm � bout de bras et qui se d�placent � tr�s grande vitesse d' Ouest en Sud-Est. Ces deux sph�res sont espac�es l'une de l'autre d'environ 50 cm. Aucun bruit n'est entendu. Malgr� un appel � t�moin lanc� par la gendarmerie, aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation de deux objets se d�pla�ant � tr�s grande vitesse.";O;1;;;;;;;;2010-03-15;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-03-01853
736;"BEAUCOURT (90) 02.04.1979";"Territoire de Belfort";90;"(D) D�partement";1979;04;02;"Le 2 avril 1979 vers 20h40 la gendarmerie re�oit des appels t�l�phoniques signalant le survol de la commune par un engin �mettant une lumi�re vive.
Sur place les gendarmes constateront un ph�nom�ne lumineux orang� qui se d�place dans le ciel d�gag� � faible altitude en direction du Nord-Est. Des lumi�res clignotantes rouges et une lumi�re fixe verte �manent de l'engin.
L'enqu�te d�montrera qu'il s'agit du passage d'un a�ronef de type DC.9 qui effectuait des entrainements de vols dans la r�gion entre 20h 30 et 21h 15. Le cas est class� A : observation d'un a�ronef.";"Observation de lueurs vives � haute altitude : observation d'un avion en vol d'entrainement.";O;7;;;;;;;;2013-02-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1979-04-00615
737;"COZES (17) 07.04.1979";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";1979;04;07;"Le 7 avril 1979 vers 6h 15 un automobiliste et sa passag�re sont surpris de voir une lumi�re fluorescente blanche tr�s intense dans un champs; elle �claire le sol dans un rayon de plusieurs m�tres. Celle-ci vient d'une masse sombre aux formes arrondies plus grosse qu'une voiture. Cette observation a dur� quelques secondes avant que la lumi�re ne s'�teigne compl�tement. Ce champs situ� sur une cr�te est bord� d'un chemin communal. Aucune trace au sol n'a �t� retrouv�e. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'une grosse masse sombre projetant une lumi�re intense.";O;1;;;;;;;;2008-06-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-04-00616
738;"CHATEAUGIRON (35) 1979";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";1979;04;15;"Le dimanche 15 avril 1979 vers 22h 45 des t�moins observent dans le ciel un point lumineux qui se d�place. En s'immobilisant, il change de couleur tout en scintillant. Les gendarmes appel�s sur les lieux constateront un point lumineux de la taille d'une �toile qui se d�place lentement vers l'Est. Nous manquons d'information quand � la direction et la hauteur d'observation mais il s'agit vraisemblablement d'une observation astronomique, peut �tre V�ga.";"Observation d'un point lumineux";O;2;;;;;;;;2008-07-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-04-00617
739;"COURTHEZON (84) 1979";Vaucluse;84;"(D) D�partement";1979;04;17;"Plusieurs soirs du mois d'avril 1979 entre 23h et 24h deux personnes observent dans le ciel trois lumi�res clignotantes blanches et rouges dispos�es en triangle. Le 17 avril entre 23h et 23h 30 rentrant chez elles par un chemin de campagne, ces personnes voient une de ces lueurs se diriger rapidement vers le sol : elle semble venir d'un objet circulaire applati d'un diam�tre de deux m�tres environ. Malgr� leur observation qui a dur� plusieurs minutes, les t�moins ne peuvent dire si l'objet, alors � 200m, �tait pos� sur le sol ou en stationnaire au-dessus du sol car il d�gageait une lumi�re tr�s intense. Effray�es elles rentreront chez elles avec des picotements dans les yeux. Aucune trace au sol ou sur l'environnement ne sera trouv�e par la gendarmerie. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observations de trois lueurs dans le ciel et d'un objet circulaire.";O;2;;;;;;;;2008-06-13;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-04-00618
742;"SAINT-GERMAIN-LE-GAILLARD (50) 27.04.1979";Manche;50;"(D) D�partement";1979;04;27;"Le 27 avril 1979 vers 23h 30 un t�moin observe durant 30 secondes le passage d'Ouest en Est d'un engin gigantesque de couleur orange. Il dispara�t brusquement sans laisser de train�e. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nomne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du passage d'un engin de grandes dimensions.";O;1;;;;;;;;2008-09-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-04-01876
746;"SELLIERES (39) 1979";Jura;39;"(D) D�partement";1979;05;08;"Le 08 mai 1979 � 4h40 une automobiliste aper�oit un ph�nom�ne lumineux qui l'intrigue. Une boule lumineuse rouge orang�e avec des ""antennes en tire bouchon"" se d�place et va dispara�tre rapidement vers le Sud-Ouest. L'analyse des gendarmes indique qu'il ne peut pas s'agir de la lune compte tenu d'une v�rification faite le lendemain � la m�me heure et qui montre que la lune se trouvait plus � ""gauche"" du v�hicule que l'observation faite par le t�moin. En fait, l'analyse pr�cise du ciel montre que le 08 mai au moment de l'observation la lune se trouvait bien dans l'axe de l'observation et a disparu � l'heure de l'observation. Il est donc �vident que le t�moin est observ� un coucher de lune assez lumineux. La pr�sence de nuages a probablement provoqu� des reflets ou des rayonnements et la disparition rapide indiqu�e par le t�moin s'explique facilement par le fait qu'elle roulait elle-m�me en voiture. La v�rification faite le 09 mai � la m�me heure n'est pas probante puisque la lune est alors plus � l'Ouest et plus haut sur l'horizon ce qui permet de la reconna�tre sans ambigu�t�.";"Observation d'un coucher de lune.";O;2;;;;;;;;2008-07-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1979-05-00622
747;"VIENNE (38) 14.05.1979";Is�re;38;"(D) D�partement";1979;05;14;"Le 14 mai 1979 vers 13h plusieurs personnes observent un objet brillant dans le ciel d�gag� et sans vent. L'objet est de forme ovale et de couleur argent�e ; il se d�place lentement en oscillant sur une trajectoire Nord Sud et perd progressivement de l'altitude. Semblant tomber derri�re une colline, un des t�moin part � sa recherche et verra l'objet s'�lever rapidement pour dispara�tre. Aucun bruit n'a �t� entendu par les t�moins. Ces personnes ont probablement vu un ballon sans que cette hypoth�se soit formellement prouv�e.";"Observation d'un objet argent� descendant lentement et repartant � la verticale";O;5;;;;;;;;2016-12-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-05-00623
749;"LYON (69) 1979";Is�re;38;"(D) D�partement";1979;05;25;"Le 25 mai 1979 � 1h 10 du matin deux fonctionnaires de police en service aper�oivent dans le ciel un ph�nom�ne lumineux qui se d�place et qui les intrigue. A faible altitude quatre lumi�res de forme ovale et d'un ton blanc-jaune passent progressivement au-dessus d'eux puis prennent une autre direction. Il leur est impossible de dire si les lumi�res appartiennent � un seul objet ou constituent des ph�nom�nes autonomes. Un l�ger ronflement est entendu avant que le ph�nom�ne ne disparaisse en direction du Sud-Est cach� par le paysage. Aucune interf�rence ne sera remarqu�e sur leur �quipement de bord. La description faite par les t�moins et la proximit� de plusieurs a�rodromes ( outre Lyon-Satolas) permet de penser avec une bonne probabilit� que les deux fonctionnaires de police ont �t� t�moins d'un avion en phase d'approche.";"Observation probable d'un avion en phase d'approche.";O;2;;;;;;;;2008-07-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-05-00625
750;"[MER] LAT -1.22, LON -81.12 (EC.M) 26.05.1979";Maritime;EC.M;"(D) D�partement";1979;05;26;"Le 26 mai 1979 � 2h30 locale, deux t�moins en quart sur un cargo observent durant 2 � 3 minutes un groupe de quatre �chos radar juxtapos�s formant un gros �cho aux contours nets observ� sur un radar V 22. La nature de l'�cho ne correspond pas � un brouillage m�t�o ni � une r�flexion multiple des coques. Le batiment fait route dans l'oc�an Pacifique au Nord du Chimborazo, volcan d'Equateur .";"�chos radar non identifi�s";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-05-00626
751;"MERFY (51) 29.05.1979";Marne;51;"(D) D�partement";1979;05;29;"Le 29 mai 1979 vers 23h 30 un automobiliste circulant sur une petite route de campagne est surpris de voir un objet en forme de croissant de lune orange vif venant dans sa direction. Cet objet � faible altitude semble suivre l'automobiliste tout au long de son d�placement vers le Nord-Ouest. Aucun bruit n'est entendu. L'objet sera perdu de vue. Le lendemain, le t�moin retournera au m�me endroit et constatera la pr�sence du m�me objet mais de couleur blanche. Celui-ci disparaitra derri�re les bois en direction du Nord-Ouest. La carte du ciel ce soir l� nous indique la pr�sence � basse altitude et au Nord -Ouest de la Lune avec une magnitude de -8,91 : cette personne a fait une observation astronomique de la Lune. L'impression de mouvement de celle-ci quand on se d�place est bien connu.";"Observation de la lune.";O;1;;;;;;;;2008-07-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1979-05-00627
752;"AVIZE (51) 1979";Marne;51;"(D) D�partement";1979;05;30;"Le 30 mai 1979 deux personnes observent dans le ciel et durant 20 minutes un ph�nom�ne particulier. Un objet de la forme d'un ballon de rugby applati traverse le ciel sans le sens Sud-Est Nord-Ouest. Les t�moins remarquent une train�e orange vif plus ou moins longue � la suite de l'objet qui se situe � environ 500m d'altitude. Un des deux t�moin, �l�ve pilote, ne reconna�t pas l� un a�ronef. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations comme l'heure d'observation.";"Observation d'un objet plat laissant s'�chapper une tra�n�e orange vif.";O;2;;;;;;;;2008-06-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-05-00628
753;"GENTILLY (94) 1979";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";1979;05;31;"Le 31 mai 1979 � 0h 40 deux personnes vont observer un ph�nom�ne lumineux au plein Ouest dans le ciel. Durant plusieurs minutes, un objet volumineux en forme de croissant et de couleur orang�. Un autre objet est �galement apparu quelques instants. La carte du ciel ce matin l� indique plein Ouest la pr�sence de Jupiter (magnitude -1,49), Pollux (magnitude 0,98) et un coucher de la Lune (magnitude-9,51). Ces personnes ont fait une observation astronomique de cet ensemble.";"Observation d'un coucher de lune avec une conjonction de plan�tes.";O;2;;;;;;;;2008-07-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1979-05-00629
754;"LE CHATELARD (73) 1979";Savoie;73;"(D) D�partement";1979;05;15;"Le 15 mai 1979 entre 14h 15 et 14h 45 plusieurs personnes dans des champs aper�oivent un objet au sol puis s'envolant lentement horizontalement. De forme sph�rique et de couleur m�tallique il se d�place en oscillant tout en suivant les formes du terrain et prend de la vitesse en se d�pla�ant verticalement. Certains t�moins pourront le voir durant 30 minutes environ avant qu'il ne disparaisse progressivement. Aucune information sur un �ventuel l�ch� de ballon sonde dans le secteur n'a �t� recueillie mais d'apr�s les descriptions donn�es, ces personnes ont probablement vu un ballon.";"Observation d'un objet de couleur m�tal se d�pla�ant � environ 20 m�tres du sol.";O;5;;;;;;;;2008-06-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-05-01720
756;"ARGILLY (21) 03.06.1979";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";1979;06;03;"Le 3 juin 1979 vers 23h 30 une automobiliste observe dans son r�troviseur une boule lumineuse orang�e qui semble la suivre jusqu'� une agglom�ration o� apeur�e elle klaxonne pour avertir les habitants. Une personne sortira de chez elle mais refusera d'aller voir cette boule. Reprennant sa route, elle verra l'objet jusqu'� chez elle. Le t�moin ressent des effets physiques et le tableau de bord s'�teint. Cet objet ne fait aucun bruit et se situe � basse altitude dans le Nord Nord-Ouest. Elle ne croisera aucun v�hicule et aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne. Malgr� le manque d'informations, la carte du ciel ce soir l� nous indique la pr�sence de Jupiter paticuli�rement visible ( magnitude -1,47 ), de Pollux (magnitude 0,98) et de Capella . L'hypoth�se d'une observation astronomique est probable mais ne peut �tre confirm�e. Le t�moin a subi une frayeur importante qui explique probablement son comportement et les effets ressentis.";"Observation d'une boule lumineuse suivant le t�moin.";O;1;;;;;;;;2008-07-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-06-00630
757;"BOURGNEUF EN RETZ (44) 1979";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1979;06;08;"Le vendredi 8 juin 1979 entre 13h et 13h 05, plusieurs personnes ont vu un ph�nom�ne particulier au-dessus de la baie. Ils ont aper�u en premier une fum�e verticale qui s'est progressivement dissip�e. Quelques minutes plus tard, un objet de forme sph�rique et de couleur rouge feu a travers� le ciel selon une trajectoire rectiligne en direction du Sud-Ouest avec une courbe descendante. D'allure assez lente cet objet �tait suivi d'une fum�e blanche ou gris�tre. Les observations ont dur� quelques secondes sans qu'aucun bruit ne soit entendu. L'enqu�te de gendarmerie aupr�s de la marine a permis de savoir que des essais de fus�es de d�tresse et �clairantes ont �t� r�alis�s. Cependant les informations fournies sont trop impr�cises pour valider cette hypoth�se.";"Observation d'une boule rouge avec fum�e";O;6;;;;;;;;2008-07-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-06-00631
758;"CHALLAIN-LA-POTHERIE (49) 10.06.1979";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";1979;06;10;"Le 10 juin 1979 entre 3h 30 et 4h du matin et apr�s un �pisode orageux, un t�moin aper�oit par une fen�tre , un ph�nom�ne lumineux qui l'intrigue. Il voit dans la direction du Sud-Ouest, une lumi�re puissante qui se trouve au-dessus de l'horizon. Celle-ci se d�place lentement horizontalement avec parfois des allers et retours verticaux. Selon la position de la lumi�re, le t�moin aper�oit des cercles lumineux. Une seconde lumi�re clignotante et venant du Nord apparait passant au-dessus de la premi�re. Elle disparait rapidement dans la direction du Sud. A 4h du matin la lumi�re �tant encore pr�sente, le t�moin est parti se coucher. Aucun bruit n'a �t� entendu et aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation au-dessus de l'horizon du lent d�placement d'un ph�nom�ne lumineux puis d'un autre ph�nom�ne lumineux clignotant avec une trajectoire ascendante : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2016-09-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-06-00632
759;"SOULAINES DHUYS (10) 1979";Aube;10;"(D) D�partement";1979;06;15;"Le 15 juin 1979 vers 23h plusieurs personnes vont apercevoir sur l'horizon une lueur de couleur orange qui les intrigue. Cette lueur dans le Nord-Ouest semble constitu�e de plusieurs points lumineux. L'observation va durer une dizaine de minutes avant que tout ne s'�teigne. Ce soir l� un exercice d'entrainement de tirs sol-air a eu lieu dans le camp militaire voisin situ� au N-O de la position des t�moins entre 23h et 23h 30. Ces personnes ont �t� t�moins des lueurs d�es � ces tirs.";"Observation de lueurs � l'horizon d�es � des tirs militaires.";O;8;;;;;;;;2008-07-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1979-06-00633
760;"[MER] LAT 38.02, LON 17.41 (INT) 21.06.1979";Maritime;INT;"(D) D�partement";1979;06;21;"Le 21 juin 1979 � 22h 25 locale plusieurs marins d'un b�timent de la marine nationale en Mer Ionienne (lat 38�02N et long 17�41E) aper�oivent un ph�nom�ne lumineux � 15� au-dessus de l'horizon. Un point lumineux grossissant se s�pare soudain en trois parties lumineuses dont l'intensit� diminue progressivement. Les couleurs passent du blanc � l'orange pour redevenir blanc. La trajectoire observ�e est S-O Est. Le ph�nom�ne se d�pla�ant � grande vitesse a �t� observ� durant une minute. Ces personnes ont probablement �t� t�moins d'une rentr�e atmosph�rique.";"observation d'un rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2009-08-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-06-00634
761;"SAINT-FLORENT (45) 30.06.1979";Loiret;45;"(D) D�partement";1979;06;30;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � A � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen. Celui-ci n'a pas pour but de diminuer ou augmenter telle ou telle cat�gorie de classement mais d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � A � en 1979 par le GEPAN, sous le nom de COULLONS (45) 10.06.1979.
Le 30 juin 1979 vers 0h30 quatre personnes dans un v�hicule circulent sur la D 54 entre Saint-Florent (45) et Villemurlin (45) (voir la note d'enqu�te). Arriv�s au chemin vers le lieu-dit Pierrefitte, ils aper�oivent au loin un ph�nom�ne de couleur rouge qui semble descendre du ciel au niveau de la route. La forme d�crite varie selon les t�moins (en forme de banane avec les pointes vers le ciel ou en forme de goutte). La voiture arr�t�e, ils observent le PAN : aucun bruit n'est entendu, aucun signal lumineux intermitent sur le PAN ne sont remarqu�s. Les t�moins voient alors le Pan se d�placer lentement. Apeur�s, ils d�cident de faire demi-tour pour repartir vers Coullons afin d'avertir la gendarmerie. Un des t�moins verra le PAN disparaitre derri�re les arbres bordant la route. Re�us par les gendarmes � 0h55 ces derniers partent imm�diatement � l'endroit indiqu� sans les t�moins.
Les premi�res constations la nuit m�me � 1h20 ne permettent pas de trouver de traces. Le lendemain, les gendarmes en compagnie des t�moins retournent sur les lieux pr�sum�s du PAN et d�couvrent un foyer d'un diam�tre de 1,60m. Les cendres sont encore chaudes. Aucune autre trace sur le sol ou dans la v�g�tation et aucun autre t�moignage ne sera recueilli. L'enqu�te d�montrera que l'avant-veille (le 28 juin) des agriculteurs ont allum� un feu de broussailles. Les gendarmes �mettent l'hypoth�se que les t�moins ont certainement aper�u un tourbillon d'escarbilles provenant du feu de broussailles ce qui expliquerait la forme en poire ou goutte du ph�nom�ne ainsi que sa couleur rouge.
Malgr� une concordance de lieux entre la position apparente du lieu du PAN et l'emplacement du foyer du feu de broussaille, l'hypoth�se d'une m�prise avec ce dernier convient mal avec l'observation du PAN. Aujourd'hui l'hypoth�se envisageable d'une m�prise avec la Lune est confort�e non seulement par le fait que la Lune �tait en train de se coucher, ce qui est parfaitement coh�rent avec la couleur rouge du PAN, mais �galement par le fait que son azimut (281�) correspond parfaitement � celui de l'axe de la D54. De plus, l'aspect visuel de la Lune au coucher est parfaitement coh�rent avec celui du PAN tel que d�crit par les t�moins, le croissant lunaire �tant pos� sur l'horizon. Bien que les t�moins ne mentionnent pas la pr�sence de la Lune, elle �tait visible dans l'axe qu'ils indiquent. La parfaite coh�rence entre la position vraie de la Lune, sa localisation et les descriptions fournies par les t�moins ne laisse pas de doute sur la m�prise. Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (fatigue, conduite, peur).
Le GEIPAN classe ce cas A : m�prise avec la Lune au coucher.";"Observations lointaines d'un ph�nom�ne rouge en d�placement lent : m�prise de la Lune au coucher.";O;4;;;;;;;;2015-09-29;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1979-06-00635
762;"SALON DE PROVENCE (13) 1979";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1979;06;30;"Le 30 juin 1979 vers 23h 30 des automobilistes circulent sur une d�partementale lorsqu'ils aper�oivent une lueur lumineuse dans le ciel. Un point lumineux d'abord fixe se d�place progressivement en se rapporchant des t�moins. Deux feux rouge et vert de chaque cot� du point clignotent alternativement. Un bruit de souffle est entendu lors du passage au-dessus des t�moins apeur�s et une forme triangulaire est aper�ue. L'engin s'�loigne rapidement vers le Sud. Ces informations correspondent aux descriptions de nuit de vols d'a�ronefs (bruit, g�om�trie et couleur des feux). Ces t�moins ont probablement observ� le passage d'un avion.";"Observation probable du passage d'un a�ronef.";O;2;;;;;;;;2008-07-02;;;0.25;0.13;;;;;;;0.59;0.41;B;B;1979-07-00636
763;"RUEIL-MALMAISON (92) 03.06.1979";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";1979;06;03;"Le 3 juin 1979 � 17h 45 un t�moin observe durant 7 � 8 minutes un objet �trange qui se d�place du Nord au Sud dans le ciel. Cet objet de forme triangulaire est de couleur rouge. Aucun bruit et aucune train�e n'ont �t� constat�s par le t�moin. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet de forme triangulaire se d�pla�ant lentement";O;1;;;;;;;;2008-06-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-06-01719
765;"FOIX (09) 04.07.1979";Ari�ge;09;"(D) D�partement";1979;07;04;"Ce cas d'observation fait partie des cas class� ""C"" en 2008 par le GEIPAN : il a fait l'objet d'un nouvel examen. (voir le document : Notes d'enqu�te).
Le 4 juillet 1979 � 2h du matin une personne rentrant chez elle aper�oit une grosse masse de couleur rouge orang� de la forme d'un obus. Le t�moin apeur� rentre chez lui et observe le ph�nom�ne durant 2 minutes : aucun bruit n'est entendu. Cette masse disparaitra dans le paysage.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la Lune au coucher. De plus, la Lune �tait bien pr�sente sur la zone du ciel observ�e.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (fatigue, peur). Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise avec la Lune.";"Observation d'une masse rouge orang� dans le ciel : observation astronomique de la Lune � son coucher.";O;1;;;;;;;;2013-06-26;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1979-07-00637
766;"CHOLET (49) 10.07.1979";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";1979;07;10;"Le 10 juillet vers 3h du matin un t�moin observe par sa fen�tre une masse lumineuse qui se d�place en diagonale du Nord vers l'Est. De forme ronde ou ovo�de et de couleur jaune, cet objet sera observ� durant 10 � 15 minutes avant de dispara�tre. Aucun bruit n' a �t� entendu. Cette personne a probablement observ� le passage d'un satellite de type Transit ou Oscar et non Skylab qui n'�tait plus visible en France depuis fin juin.";"Probable observation d'un satellite.";O;1;;;;;;;;2008-06-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-07-00638
767;"FREJUS (83) 13.07.1979";Var;83;"(D) D�partement";1979;07;13;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SAINT-RAPHAEL (83) 1979 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le 13 juillet 1979 � 13h10 deux t�moins (T1 et T2) travaillant � la vigie du mont Vinaigre dans le massif de l'Esterel sur la commune de Fr�jus (83) sont intrigu�s par les �volutions d'un objet sph�rique tr�s lumineux dans le paysage. Lors de leurs d�positions en gendarmerie, un croquis est �tabli et montre les d�placements successifs de cet objet (voir le PV de gendarmerie). Le T2 utilise des jumelles et d�crit un objet qui descend � la verticale d'un nuage, descend de la colline par saccades, passe d'une colline � l'autre, faits des arr�ts, et enfin remonte et dispara�t dans un nuage. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. Les services radars contact�s par la gendarmerie n'ont rien d�tect�.
Les conditions m�t�orologiques au jour et � l'heure de l'observation sont un facteur cl� nous permettant de comprendre et d'expliquer les d�placements complexes du PAN, qui formaient l'essentiel de l'�tranget� du cas.
Ces conditions, � savoir un vent maximal observ� de 34 nuds avec un �coulement de l'air turbulent dans la zone, se sont produites dans une zone au relief accident�. Or, il suffit d'un vent minimal de 10 � 15 nuds pour qu'un ballon plus l�ger que l'air, comme par exemple un mod�le en nylon m�tallis� (souvent nomm� � ballon Mylar �), suive un d�placement irr�gulier horizontalement et verticalement. L'impossibilit� (pour tout t�moin) de percevoir correctement la distance d'un ph�nom�ne inconnu, peut conduire � sur�valuer les distances et donc les vitesses de d�placements � partir des d�placements angulaires (les seuls r�ellement per�us par les yeux), et ainsi � accroitre l'�tranget� du per�u (saut rapide d'une colline � une autre, arr�t intelligent au-dessus de la nationale.)
Ces ballons Mylar, peuvent �tre gonfl�s � l'air mais le plus souvent � l'h�lium et peuvent alors voler entre deux semaines et deux mois, transport�s au gr� des vents locaux.
De tels ballons existent depuis la fin des ann�es 70 et sont souvent de forme circulaire ou ovo�de, parfois agr�ment�s d'un dessin fantaisie.
La visibilit� de ce type de ballon est favoris�e par leur enveloppe alumin�e qui r�fl�chit fortement la lumi�re solaire, leur forme n'�tant vraiment discernable qu'� une plus courte distance.
Par ailleurs, cette forte r�flexion de la lumi�re solaire coupl�e � la distance d'observation ne permet pas de distinguer ni l'�ventuel dessin fantaisie ni l'appendice permettant le gonflage.
En cons�quence GEIPAN classe le cas en B : observation probable d'un ballon Mylar.";"Observations des �volutions silencieuses dans le paysage montagneux de l'Esterel d'un objet sph�rique tr�s lumineux : probable observation d'un ballon Mylar.";O;2;2;;1;;;;;2018-05-29;;;0.40;0.00;;;0.75;;0.75;;0.56;0.00;B;B;1979-07-00639
768;"BEAUVAIS (60)1979";Oise;60;"(D) D�partement";1979;07;14;"Le 14 juillet 1979 entre 21h50 et 21h 55, deux t�moins aper�oivent dans le ciel � une altitude de 100 � 150 m, un objet arondi de la forme d'un chaudron et de couleur inox ou aluminium. Sa trajectoire horizontale est NE-SO et il se d�place en oscillant r�guli�rement et sans bruit. Des reflets apparaissent lors du d�placement. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne. D'apr�s la description et � la date du 14 juillet beaucoup d'objets insolites se d�placent � basse altitude : ces t�moins ont probablement vu le passage d'un cerf volant.";"observation d'un objet insolite de type cerf volant";O;2;;;;;;;;2008-06-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-07-00640
769;"POULIGUEN (LE) (44) 16.07.1979";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1979;07;16;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� LA BAULE (44) 1979 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Deux personnes (T1 et T2) observent, depuis leur domicile, un ph�nom�ne lumineux avec un halo aux couleurs rouge-orang� et jaune dans le ciel nocturne au-dessus de Pornichet. Ce ph�nom�ne de tr�s grande taille est per�u fixe puis se d�pla�ant ensuite en direction de Saint-Nazaire; le halo dispara�t progressivement. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli malgr� des avis pass�s par la gendarmerie dans la presse et sur les ondes.
Les deux t�moins ont tr�s probablement observ� la Lune. La Lune (El 4,6�, Az 90,5) est effectivement pr�sente tr�s basse au-dessus de Pornichet, vu de la pointe de Penchateau.
Toutes les descriptions sont conformes � une m�prise avec la Lune se levant � l'horizon :
- formes : des nuages sont pr�sents cette nuit l�, une pr�sence partielle et variable (trou�e) de nuages devant la Lune, peut la faire appara�tre selon tous types de formes. La mention de halo est �galement conforme � l'effet de diffusion de la lumi�re de la Lune par les brumes et nuages au voisinage de la trou�e. T2 distingue bien une forme centrale plut�t bien d�limit�e (la trou�e) au sein d'un halo.T2 rapporte "" Effectivement, j'ai observ� durant une minute environ, un ovni, ayant la forme d'un d�me, se d�tachant nettement d'un halo de couleur rouge"" ;
- couleurs : selon l'�paisseur de brume ou de nuage, la couleur peut effectivement varier du rouge ou ""jaune violent"" ;
- taille : la Lune avec le halo l'entourant peuvent effectivement correspondre � la largeur de Pornichet vu de la Pointe de Penchateau (3 ou 5 degr�s), comme le mentionne T2.
- perception de d�placement : celle-ci vient en fin d'observation, le PAN �tant d�crit comme fixe jusque l�. T1 mentionne un d�placement vers Saint-Nazaire. Il s'agit de l'illusion classique produite par la diminution de la taille angulaire et/ou de la luminosit� d'un PAN (ici la fermeture progressive de la trou�e nuageuse sur la Lune), le t�moin l'interpr�te tr�s logiquement comme un �loignement en distance. La g�ographie des lieux autorise parfaitement de d�crire un �loignement de distance au-del� de Pornichet, vu de la pointe de Penchateau, comme un d�placement vers Saint-Nazaire.
T2 fait d'ailleurs une description tr�s pr�cise de ce ph�nom�ne de d�placement apparent : ""Lorsque j'ai vu cet ovni se mouvoir, il s'est d�plac� progressivement d'une vitesse assez r�guli�re au d�part, puis plus vite par la suite, mais toujours avec la m�me progression. Il n'a pas disparu d'un coup. J'ai toujours vu ce halo qui diminuait au fur et � mesure que l'ovni s'�loignait"".
Notons l'�tonnement de T2 : ""Ce qui m'a le plus frapp�, c'est que ce halo ne s'est pas r�fl�chi soit sur l'eau, soit dans le ciel"". T2 imagine le PAN au Pornichet, donc juste sur l'autre rive de la baie par rapport au point d'observation. Il est logique de rechercher un effet miroir (r�flexion sp�culaire) sur l'eau � un point milieu entre le PAN et T2. Mais la Lune, comme les nuages diffusant sa lumi�re, sont bien plus loin. La r�flexion sur l'eau, ne peut pas �tre sp�culaire mais uniquement par effet de diffusion, qui est bien moins intense et fonction de la rugosit� de surface de l'eau (hauteur et orientation des vaguelettes) probablement pas assez forte ce soir l�.
En cons�quence le GEIPAN reclasse le cas en A : observation de la Lune rousse.";"Observations par deux t�moins d'un ph�nom�ne lumineux de grande taille aux couleurs rouge-orang� et jaune dans le ciel nocturne : observations de la Lune rousse.";O;2;2;;1;;;;;2018-07-19;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.80;;0.55;0.00;A;A;1979-07-00641
770;"LA GARENNE-COLOMBES (92) 1979";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";1979;07;16;"Dans la nuit du 18 au 19 juilllet 1979, plusieurs habitants d'un m�me quartier entendent entre 21h 30 et 0h 15 des bruits stridents et courts. Ces personnes effray�es voient ensuite des lueurs particuli�res dans le ciel. Ce m�me ph�nom�ne recommencera le soir du 20 juillet. L'enqu�te de gendarmerie permettra d'�tablir que ces ph�nom�nes proviennent de tirs de fus�es sifflantes lanc�es par jeu et sans autorisation depuis le jardin d'un pavillon voisin.";"Tirs de pi�ces d'artifice sans autorisation.";O;8;;;;;;;;2008-07-29;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1979-07-00642
771;"ANNECY (74) 1979";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";1979;07;20;"Le 20 juillet 1979 vers 10h plusieurs personnes observent dans le ciel et durant une vingtaine de minutes une forme brillante particuli�re. Selon l'emplacement des t�moins cet objet ovo�de mesure entre 80cm et 5m de diam�tre et prend une couleur m�tallique ou noire. Il est tout d'abord stationnaire au-dessus d'une maison puis s'�l�ve et s'�loigne progressivement sans aucun bruit. D'apr�s la gendarmerie aucune observation particuli�re n'a �t� d�clar�e depuis les a�rodromes ou bases de la r�gion et aucun vol d'objet publicitaire n'a �t� fait dans cette p�riode. La description de l'objet et de son d�placement par les t�moins restent n�anmoins tr�s proche de celle d'un ballon.";"Observation d'un objet rond, descendant et montant lentement.";O;4;;;;;;;;2008-07-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-07-00643
772;"PRANLES (07) 21.07.1979";Ard�che;07;"(D) D�partement";1979;07;21;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� LES OLLIERES (07) 1979 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 21 juillet 1979 un premier groupe de personnes (T1 et son �pouse) observe de 22h45 � 23h28 la pr�sence d'une ph�nom�ne lumineux de couleurs et stationnaire au sommet d'une ligne de cr�te en direction de la ""Serre de Pieroulet"". Le PAN est d�crit comme un ""phare"" avec une puissante source lumineuse jaune-orange projetant un faisceau bleu tournant r�guli�rement sur 360� et balayant le sol. Durant l'observation de 45 minutes aucun bruit particulier n'est entendu. Le T1 s'appr�te � prendre une photographie lorsque le PAN s'�teint brusquement. Le lendemain ces premiers t�moins apprennent que leurs plus proches voisins (T2 et son �pouse), en fermant les volets vers 23h, ont constat� la pr�sence d'un PAN lumineux dans la m�me direction. T2 et son �pouse ont observ� le PAN une dizaine de minutes avant d'aller se coucher. La Gendarmerie est pr�venue le lendemain par T1. Seuls T1 et T2 ont t�moign�.
Le PAN a �t� particuli�rement bien d�crit par le t�moin principal T1. Son rapport nous a ainsi permis de nous rendre compte que l'apparence et le comportement du PAN �tait tr�s particulier et ne correspondait � aucun ph�nom�ne connu, qu'il soit d'origine naturelle ou artificielle (voir le compte-rendu d'enqu�te).
En effet, la seule hypoth�se pourrait �tre un h�licopt�re (car le PAN est bien stationnaire dans le ciel) utilisant un projecteur, mais dont, de mani�re inexplicable, le faisceau serait bleu, d'une couleur diff�rente de celle de la source, et tournerait sans cesse sans aucun objectif de surveillance ou �clairage.
Le t�moin T1 �tant h�las d�c�d�, il nous a �t� impossible de continuer plus en avant l'enqu�te, qui aurait pu se poursuivre avec par exemple un entretien cognitif ou une reconstitution sur place. Les trois autres t�moins n'ont pas pu �tre retrouv�s mais il est aussi possible, presque 40 ans apr�s les faits, qu'ils soient �galement d�c�d�s.
Le domaine d'expertise scientifique de T1 touche de tr�s pr�s tout ce qui concerne la lumi�re et la couleur, ainsi que l'impact qu'elles ont sur leur environnement. Il se trouve que son observation porte justement sur des ph�nom�nes lumineux et color�s entrant exactement dans son domaine d'expertise. Cette co�ncidence conforte la consistance d�j� factuelle compte-tenu de la pr�cision et compl�tude de la description :
- le t�moin utilise des param�tres descriptifs qu'il maitrise ;
- en termes de fiabilit�, la large reconnaissance dont b�n�ficiait d�j� le t�moin T1 ne permet pas d'imaginer un d�sir particulier de rajouter de l'�tranget� � une observation pour se faire valoir. Au contraire l'attitude des scientifiques reconnus pousse en g�n�ral � la plus grande distance par rapport au PAN. Dans ce contexte, le t�moignage est repr�sentatif d'une r�elle �tranget� v�cue et d'un enjeu de connaissance pour ce scientifique.
T1 n'a pas pris de photographie. Il est a priori possesseur d'appareil photographique, mais on comprend que le t�moin prend son mat�riel au moment o� le PAN dispara�t.
Nous pouvons regretter la qualit� m�diocre du t�moignage de T2, peu d�taill� et l'absence des deux autres t�moignages, ceux des �pouses.
N�anmoins, le t�moignage de T2, outre qu'il place le PAN dans la m�me direction et au m�me moment, confirme celui de T1 sur les points qui font l'essentiel de l'�tranget� : lueur fixe jaune/orange, lumi�re bleue balayant le sol. T2 ne mentionne pas le faisceau et l'�tranget� v�cue parait faible (les t�moins cessent d'observer et vont se coucher).
Dans la m�thodologie actuelle du GEIPAN, le pr�sent niveau d'�tranget� et de consistance imposent de pratiquer une � enqu�te terrain � avec le t�moin pour une reconstitution et un entretien cognitif. Cette derni�re est susceptible d'impacter positivement et n�gativement l'�valuation d'�tranget� comme de la consistance. Mais elle n'est pas possible pour un cas en revisite si longtemps apr�s. Aussi l'�valuation du pr�sent cas est faite selon les crit�res actuels de prise en compte de l'�tranget� et de la consistance (Voir actualit� GEIPAN La m�thodologie de classification du GEIPAN)
comme si l'enqu�te terrain avait �t� faite et avait �t� totalement neutre (aucun apport en plus ou moins), ce qui est quelque fois le cas.
Par contre, afin de marquer cet �cart m�thodologique, la classification se fait sur la base A B C D et non sur l'actuelle A B C D1/D2 qui correspond pour le classement inexpliqu� � une validation plus forte du caract�re inexpliqu�.
Ici le cas est la limite entre un cas inexpliqu� et un cas inexploitable par manque de consistance dans l'�tat de dossier faute d'apport d'une enqu�te GEIPAN men�e sur place.
En cons�quence, le cas est class� D : Ph�nom�ne �trange de consistance moyenne ou forte.";"Observations par deux groupes distincts de t�moins d'un ph�nom�ne lumineux stationnaire de couleur jaune-orange projetant un faisceau bleu tournant r�guli�rement � 360� : ph�nom�ne �trange de consistance moyenne ou forte.";O;2;2;;1;;;;;2019-02-20;;;0.70;0.00;;;0.88;;0.88;;0.77;0.00;D;D1;1979-07-00644
773;"SAINT-LYS (31) 23.07.1979";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1979;07;23;"Le 23 juillet 1979 vers 21h 40 une automobiliste et ses passag�res observent durant plusieures minutes un objet paticulier qui les intrige. Cet objet lumineux et orang� de la forme d'un cigare de deux m�tres de long se d�place rapidement dans le sens Sud-Est Nord-Ouest. Volant � 200 m�tres du sol, il semble tourner sur lui-m�me. Il dispara�t rapidement � l'horizon. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de donn�es.";"Observation d' un objet en forme de cigare tournant sur lui-m�me.";O;1;;;;;;;;2008-07-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-07-00645
774;"COLOMBES (92) 25.07.1979";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";1979;07;25;"Le 25 juillet 1979 vers 21h 30 deux t�moins observent dans le ciel un point lumineux orang� qui se d�place puis semble s'immobiliser. La luminosit� de ce point de petite taille d�cline soudain fortement. Il dispara�t instantan�ment ne laissant qu'une tra�n�e blanche. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un point lumineux orang� avec train�e.";O;1;;;;;;;;2008-07-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-07-00646
775;"HERBLAY (95) 28.07.1979";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";1979;07;28;"Dans la nuit du 27 au 28 juillet 1979 vers minuit, une personne est r�veill�e par une luminosit� particuli�re dans sa chambre. Le t�moin observe alors par la fen�tre une boule lumineuse blanche. Celle-ci se d�place tr�s lentement dans le sens Nord-Ouest Nord-Est sans aucun bruit. Cette boule est plus grosse que la lune. Elle dispara�tra cach�e par les b�timents. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'une boule se d�pla�ant lentement.Aucun bruit";O;1;;;;;;;;2009-10-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-07-00647
776;"SAINT-PIERRE ET MIQUELON ( 989) 1979";Saint-Pierre-et-Miquelon;975;"(D) D�partement";1979;07;16;"Le 16 juillet 1979 vers 21h 40 deux personnes observent un objet lumineux dans le ciel. Cet objet est de forme trap�zo�dale de couleur sombre avec quatre lumi�res � l'avant et un feu rouge � l'arri�re. D'abord stationnaire au-dessus de l'anse du Savoyard, cet objet se d�place lentement vers l'Est. Apr�s une acc�l�ration subite, il s'est �lev� � la verticale dans le ciel avant de dispara�tre. Aucun bruit n'a �t� entendu. Aucun a�ronef n'a d�coll� ou att�ri sur l'ile apr�s 20h et aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation d'un objet changeant de direction et de vitesse";O;2;;;;;;;;2008-07-01;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1979-07-01718
777;"TOULOUSE (31) 14.07.1979";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1979;07;14;"Le 14 juillet 1979 vers 22h 45 un t�moin au milieu de la foule venue regarder le feu d'artifice, aper�oit dans le ciel ( � 45�) le passage d'une lumi�re qui l'intrigue. Il observe durant 8 � 12 secondes cette luminosit� qui traverse le ciel en ligne droite du Sud au Nord � une vitesse constante. Cet objet a la forme d'un disque lumineux avec une petite queue plus floue. Le t�moin constate des variations de couleurs mais aucun bruit venant de l'objet n'est perceptible. Il disparaitra rapidement. Malgr� la foule pr�sente � ce moment l�, aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un disque lumineux traversant le ciel.";O;1;;;;;;;;2011-02-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-07-01862
778;"ARGENTEUIL (95) 13.07.1979";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";1979;07;13;"Le 13 juillet 1979 vers 23h 30 des t�moins aper�oivent dans le ciel un objet qui attire leur attention. Une boule de la grosseur d'un ballon de foot et de couleur rouge orang� se d�place � haute altitude. Durant l'observation, cet objet changera de forme, de couleur et s'immobilisera avant de repartir � tr�s grande vitesse et de dispara�tre dans l'atmosph�re. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"observation d'un objet avec changement de forme, de couleur et trajectoire.";O;1;;;;;;;;2008-06-30;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1979-07-01863
780;"CARENTOIR (56) --.07.1979";Morbihan;56;"(D) D�partement";1979;07;--;"T�moignage r�cent (23/11/2009) d'une observation ancienne : en juillet 1979 (le t�moin ne se souvient pas de la date exacte) deux personnes sont prises de violents maux de t�te apr�s avoir observ� un �clair lumineux sur un mur de leur chambre. Ces maux de t�te disparaissent en m�me temps que le ph�nom�ne lumineux. Regardant par la fen�tre pour d�terminer l'origine de cette lumi�re, ces deux personnes observent plusieurs faisceaux lumineux �clairant la route. Le journal local rapportera par la suite, la pr�sence de zones d'herbes brul�es dans un champ du secteur (aucune pr�cision sur le nom du journal local et la date de parution de l'article). Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur cette observation ancienne pour laquelle toute enqu�te est difficile voir impossible.";"Observation d'un �clair lumineux et maux de t�te.";O;1;;;;;;;;2010-04-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-07-02484
781;"CASTETNAU-CAMBLONG (64) 15.07.1979";Is�re;38;"(D) D�partement";1979;07;15;"Un t�moin rapporte en 2011 une observation ancienne . Il ne se souvient pas de l'ann�e et du mois exacts (entre 1979 et 1980, entre mi-juillet mi-ao�t en fin d'apr�s midi). La date du cas est donn�e arbitrairement.
Observant avec une lunette astronomique le paysage, le t�moin est intrigu� par un objet immobile, de forme triangulaire, de couleur rouille orang� clair. L'objet est rapidement cach� par une brume et un nuage. L'observation aura dur� moins de 30 secondes.
La forme triangulaire de l'objet, son faible d�placement font penser � un ballon t�tra�drique.Certains ballons sondes sont de couleur marron-orang�, le t�moin le d�crit de couleur rouille. Mais les d�tails de la surface de l'objet d�crits par le t�moin correspondent mal � cette hypoth�se. Comme la date pr�cise n'est pas connue, il n'est pas possible de faire des v�rifications de vent ou de lancements de ballons par M�t�o-France ou le CNES. Faute d'informations pr�cises, ce cas est class� ""C""";"Temoignage r�cent d'une observation ancienne. Observation d'un objet triangulaire immobile de couleur rouille. Manque d'informations pr�cises.";O;1;;;;;;;;2013-01-17;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-07-08188
783;"ACHERES (78) 05.08.1979";Yvelines;78;"(D) D�partement";1979;08;05;"Le 5 ao�t 1979 entre 23h et 23h 30 un t�moin et des gendarmes observent dans le ciel des ph�nom�nes lumineux particuliers. Des boules de tailles et couleurs diff�rentes brillent � gauche de la Lune.. Certaines se d�placent par � coups de gauche � droite et parfois � tr�s grande vitesse. Elles disparaitront dans les nuages. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation de 3 boules de taille diff�rente .";O;1;;;;;;;;2012-08-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-08-00649
785;"MIREBEAU (86) 11.08.1979";Vienne;86;"(D) D�partement";1979;08;11;"Le 11 ao�t 1979 vers 21h10 plusieurs personnes observent un ph�nom�ne lumineux particulier. Alors que le soleil se couche, trois anneaux de couleur rouge -orang� sont visibles sur l'horizon en-dessous d'une couverture nuageuse. Ces disques se sont ensuite r�sorb�s en prenant l'allure d'un trait horizontal qui a disparu rapidement vers le Nord dans les nuages. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli dans le secteur. D'apr�s la description des t�moins, il est probable que ce ph�nom�ne soit un effet d'optique d� au soleil couchant se refl�tant sur une couverture nuageuse basse.";"Observation de 3 disques lumineux.";O;1;;;;;;;;2008-07-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-08-00651
788;"BELVEDERE-CAMPOMORO (2A) 22.08.1979";Corse-du-Sud;2A;"(D) D�partement";1979;08;22;"Le 22 ao�t 1979 vers 22h 45 deux t�moins observent un point lumineux qui les intrigue. D'abord fixe entre 100 et 150 m�tres � l'aplomb du golf, il se d�place ensuite vers l'Ouest en baissant d'intensit�. Le t�moin a ensuite observ� le point avec des jumelles et dit avoir vu deux parall�logrammes de couleur jaune. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne. Les diverses formes observ�es pourraient �tre d�es aux aberrations des jumelles, fr�quentes lorsqu'il s'agit de jumelles de qualit� m�diocre et que l'on observe un point lumineux. Il est probable que le ph�nom�ne observ� soit un avion �clair� par le soleil.";"Observation vraisemblable d'un avion �clair� par le soleil";O;1;;;;;;;;2008-07-31;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-08-00654
789;"BONNEUIL-SUR-MARNE (94) 28.08.1979";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";1979;08;28;"Le 28 ao�t 1979 � 20h 45 un t�moin observe aux jumelles le passage d'un avion de ligne. Il va apercevoir � l'arri�re de l'avion et au-dessus une forme tr�s lumineuse et rectangulaire. Aucun autre renseignement n'a �t� apport� sur ce ph�nom�ne par les brigades de gendarmes limitrophes de l'a�roport de d'Orly ou par le chef du centre de contr�le r�gional d'Orly Sud.";"Observation d'un objet tr�s lumineux de forme rectangulaire de la grosseur d'un avion.";O;1;;;;;;;;2008-07-31;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-08-00655
790;"LUS LA CROIX HAUTE (26) 1979";Dr�me;26;"(D) D�partement";1979;08;30;"Le 30 ao�t 1979 un cultivateur se rend dans un champ de seigle et aper�oit un rond br�l� de 10,50 m�tres de diam�tre. Il remarque que l'herbe est plus verte � l'int�rieur du cercle que dans la prairie avoisinante. Aux environs du 20 septembre, ce m�me t�moin d�couvrira que des champignons du type ros�s de pr�s ont pouss� � l'int�rieur et ext�rieur du cercle. Ce ph�nom�ne a d�j� �t� constat� dans les prairies du secteur.";"Observation d'un rond de champignons de 11 m�tres de diam�tre au sol.";O;2;;;;;;;;2008-07-31;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1979-09-00665
791;"ATHIS-MONS (91) 24.08.1979";Essonne;91;"(D) D�partement";1979;08;24;"Temoignage r�cent (20/10/2012) d'une observation ancienne.
Un t�moin rapporte avoir observ� le 24 aout 1979 vers minuit, un engin de couleur argent� stationnaire mais tournant sur lui-m�me silencieusement au-dessus de c�bles �lectriques d'une zone urbaine.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne.
L' analyse fine du t�moignage par un psychologue universitaire laisse appara�tre plusieurs incoh�rences et ne permet pas de consid�rer que les faits relat�s ont �t� int�gralement v�cus, mais qu'il s'agit plus probablement d'un m�lange de faits r�els et d'�l�ments imagin�s ou venant d'autres r�cits. La m�moire a pu confondre ces �l�ments apr�s plus de 30 ans. Il faut aussi savoir que l'adolescence est aussi un �ge propice � la cr�ation de ""faux souvenirs"". Une enqu�te 30 ans apr�s ne ram�nerait pas d'informations s�res.
Ce cas est class� ""C"" par manque d'informations fiables, recoupements ou autres.";"Observation d'un engin de couleur aluminium tournant silencieusement comme une toupie et survolant les lampadaires d'un agglom�ration : manque d'informations fiables.";O;1;;;;;;;;2013-02-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-08-08386
792;"NOIRMOUTIER (85) 1979";Vend�e;85;"(D) D�partement";1979;09;08;"Le 7 septembre 1979 vers 4h 30 deux t�moins observent, durant moins de 5 secondes, une forme ovale de couleur verte avec quatre lumi�res blanches et entour�e d'un cercle noir. Les couleurs sont tr�s vives et phosphorescentes. Cet objet monte tr�s rapidement dans le ciel � 45� en suivant une direction Sud-Nord. Il s'�teint subitement. Aucun autre t�moignage n' �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet oval s�levant vers le ciel .Soudaine disparition.";O;2;;;;;;;;2008-11-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-09-00656
793;"EVRECY (14) 1979";Calvados;14;"(D) D�partement";1979;09;08;"Le 8 septembre 1979 vers 4h 30 deux t�moins observent depuis leur chambre le passage dans le ciel d'un objet circulaire. Il se d�place � grande vitesse en perdant de l'altitude. Un halo lumineux orang� entoure l'objet. Voulant ouvrir la fen�tre, un des t�moins recevra une d�charge �lectrique. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne et la station EDF n'a constat� aucune anomalie sur ses lignes. Ces personnes ont probablement assist� � une rentr�e atmosph�rique. L'�pisode de la d�charge �lectrique re�ue par un des t�moins, m�me si elle s'est pass�e au moment de l'observation, ne peut �tre mise en rapport direct avec le type de ph�nom�ne observ�.";"Probable observation d'une rentr�e atmosph�rique.";O;2;;;;;;;;2008-07-31;;;0.38;0.13;;;;;;;0.46;0.31;B;B;1979-09-00657
794;"LYONS LA FORET (27) 19.09.1979";Eure;27;"(D) D�partement";1979;09;19;"Le 19 septembre 1979 � 22h deux t�moins lors de leur jooging observent dans le ciel une lueur rouge en forme de boule qui scintille comme une �toile. Soudain cette lueur se d�place � une vitesse vertigineuse pour s'approcher des t�moins. Aucun bruit et aucun d�placement d'air et chaleur n'ont �t� remarqu�s. D�crivant une courbe, cette lueur s'immobilise 3 � 4 secondes � 200 m�tres environ des t�moins au-dessus de la lisi�re de la for�t. Une masse sombre appara�t � l'int�rieur de cette lueur. Le ph�nom�ne dispara�t brusquement. Aucun autre t�moignage ou �l�ment ne seront recueillis sur ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation d'une lueur rouge avec approche rapide vers les t�moins.";O;2;;;;;;;;2010-03-30;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1979-09-00659
795;"VOUILLE (86) 1979";Vienne;86;"(D) D�partement";1979;09;20;"Le 20 septembre 1979 vers 23h plusieurs personnes observent un ph�nom�ne lumineux rouge se d�pla�ant rapidement dans le ciel d'Ouest en Est. Un cercle d'un diam�tre de 4 m�tres environ est travers� par deux diagonales rouges �galement. Il clignote et fait grand bruit. L'objet devenu blanc disparait derri�re les collines. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un disque lumineux de 4 m�tres de diam�tre.";O;4;;;;;;;;2009-05-12;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-09-00660
796;"MAUBEUGE (59) 1979";Nord;59;"(D) D�partement";1979;09;23;"Le 23 septembre 1979 vers 6h plusieurs personnes observent dans le ciel un point lumineux se d�pla�ant sans bruit dans la direction Nord-Est. Ce point �met des couleurs vertes et rouges. Quelques instants plus tard, la voiture des t�moins est inond�e d'une lumi�re qui couvre toute la chauss�e. Soudain la lumi�re s'�teint et un des t�moins voit une forme s'�lever � 45� dans le ciel, sans aucun bruit mais laissant derri�re elle une flamme rouge. L'enqu�te sur les lieux n'a r�v�l� aucun indice et aucune autre information n'a �t� recueillie sir ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation d'un objet lumineux. Brusque disparition.";O;3;;;;;;;;2008-08-01;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1979-09-00661
797;"YZEURE (03) 24.09.1979";Allier;03;"(D) D�partement";1979;09;24;"Le 24 septembre 1979 � 7h 42 un t�moin aper�oit tout d'abord dans le ciel une train�e qu'il prend pour celle d'un r�acteur d'avion. Puis il remarque un objet qui reste fixe durant 10 � 15 secondes. De couleur orange, il a la forme d'un disque. Soudain l'objet se d�place � tr�s grande vitesse et prend une couleur blanche �clatante avant de dispara�tre. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet � haute altitude";O;1;;;;;;;;2008-08-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-09-00662
800;"FOUCHERANS (39) --.09.1979";Jura;39;"(D) D�partement";1979;09;--;"Au mois de septembre 1979 vers 18h 30, un t�moin, alors qu'il est seul � l'ext�rieur de sa propri�t�, observe un objet lumineux apparaissant � l'horizon. Cet objet avance tr�s lentement dans la direction Sud-Nord. Pensant � un avion de ligne, le t�moin ne quitte pas des yeux cet objet. Celui-ci va s'arr�ter au-dessus de lui : le t�moin observe alors un objet sph�rique tr�s brillant, de couleur gris m�tallis�. L'objet, apr�s une minute d'arr�t environ, repart mais en sens inverse, atteint l'horizon en quelques secondes et dispara�t d�finitivement. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu durant l'observation. Ce t�moignage tr�s tardif (octobre 2007) et peu document� ne permet pas de faire une enqu�te s�rieuse qui pourrait valider ou non certaines hypoth�ses telles qu'un avion de ligne en virage, un ballon soumis � un cisaillement de vent etc ";"Objet sph�rique lumineux faisant demi tour";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-09-01779
802;"VIEILLE-EGLISE (62) 17.09.1979";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1979;09;17;"Le 17 septembre 1979 vers 7h 45 une personne remarque un point lumineux fixe dans le ciel. De couleur blanche et de forme ovale, ce point unique traverse ensuite rapidement et horizontalement le secteur o� trois avions circulent. L'objet va dispara�tre vers l'Est. Apr�s un appel � t�moins lanc� dans la presse locale, plusieurs personnes se mettront en rapport avec les autorit�s. Elles relatent l'observation ce m�me jour mais sur une plage horaire plus grande, du passage dans le ciel d'un objet particulier. Cependant les descriptions vari�es ne permettent pas d'indentifier pr�cis�ment l'objet.";"observation d'un objet lumineux blanc. D�placement rapide.";O;1;;;;;;;;2008-08-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-09-01865
805;"DONCHERY (08) --.09.1979";Ardennes;08;"(D) D�partement";1979;09;--;"Durant le mois de septembre et jusqu'au 4 octobre 1979 un t�moin et sa femme vont observer dans le ciel des points lumineux qui les intriguent. Ces points sont visibles par temps clair entre 19h et 23h 30. Ils sont de couleur rouge, vert et blanche et clignotent. L'ensemble de ces points forme une boule. Les gendarmes lors de diff�rents services de nuit ne verront aucun fait similaire. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation de points lumineux de couleurs vari�es dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2008-08-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-10-00666
807;"LOUHANS (71) 1979";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";1979;10;09;"Le 9 octobre 1979 vers 23h 30 plusieurs personnes vont apercevoir un objet volant lumineux � faible altitude. Il se d�place en faisant un bruit impressionnant ce qui effraye certains t�moins et des animaux. Ces personnes ont probablement �t� t�moin du passage d'un a�ronef ce que confirme un des t�moin qui reconnaitra les feux arri�res d'un h�licopt�re.";"Probable observation d'un a�ronef.";O;6;;;;;;;;2008-08-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-10-00668
811;"NATIONAL (975) 20.10.1979";"Grand Est";GES;"(R) R�gion";1978;--;--;"Le 20 octobre 1979 plusieurs personnes dans les Vosges et le Haut Rhin vont apercevoir dans le ciel un ph�nom�ne lumineux clignotant irr�guli�rement. L'objet, de forme sph�rique, semble se d�placer en ziz-zag et aucun bruit n'est remarqu�.
Un an auparavant un ph�nom�ne similaire avait �t� constat� par des t�moins.
Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observations du d�placement silencieux d'un objet sph�rique et clignotant dans le ciel.";O;7;;;;;;;;2017-01-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-10-00673
812;"FRESNAY-LE-COMTE (28) 25.10.1979";Eure-et-Loir;28;"(D) D�partement";1979;10;25;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A,B,C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� THIVARS (28) 25.10.1979 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 25 octobre 1979 vers 7h 30 une automobiliste et ses deux passagers circulent sur la D137 en direction de Chartres. Pr�s de l'entr�e de la localit� de Fresnay-le-Comte ils aper�oivent au-dessus d'un bois un objet lumineux qui les intrigue. Cet objet est de couleur rouge non �blouissant mais plut�t phosphorescent (T2). Suivant les t�moins il a la forme d'un trap�ze isoc�le (T1) ou d'un bol (T2). Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation d'une dur�e de 15 � 20 secondes. L'objet s'�l�ve en changeant de forme (rectangulaire puis simple trait) avant de dispara�tre compl�tement. Deux t�moignages seront d�pos�s en gendarmerie.
Les d�tails fournis par les t�moins permettent d'envisager une m�prise avec le Soleil levant, dans la mesure o� le PAN est d�crit comme phosphorescent et qu'il est compar� � un coucher de Soleil : � comme lorsque le soleil est tr�s rouge le soir � (T2), � cette forme avait la couleur du soleil lorsqu'il est rouge et non �blouissant, comme lorsqu'il pleuvra le lendemain � (T1).
Il est v�rifi� que le soleil �tait parfaitement dans la direction de l'observation est en train de se lever.
La pr�sence av�r�e de la couverture nuageuse a tr�s vraisemblablement emp�ch� les t�moins d'identifier le Soleil. Cette m�me couverture nuageuse, avec la pr�sence probable de petites trou�es ou �claircies, le tout en mouvement du fait du vent pr�sent ( > 15Km/h) peut d'ailleurs parfaitement expliquer l'�volution de la forme du PAN ainsi que sa disparition, le Soleil disparaissant peu � peu derri�re un nuage. Il est d'ailleurs � noter que le PAN � diffusait une clart� qui �clairait le bois �, ce qui est coh�rent avec le Soleil.
Les t�moins ne mentionnent � aucun moment avoir vu le Soleil, alors qu'il �tait en train de se lever � l'horizon, exactement dans la direction qu'ils indiquent. La parfaite coh�rence entre la position vraie du Soleil et la localisation et la description du PAN ne laisse pas de doute sur la m�prise.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (conduite, surprise, mauvaises conditions m�t�o).
En cons�quence, ce cas d'�tranget� faible est class� par le GEIPAN comme PAN A : observation li�e avec une m�prise avec le Soleil au lever.";"Observations d'un objet rouge phosphorescent au-dessus d'un bois qui s'�l�ve en changeant de forme avant de disparaitre : m�prise avec le Soleil au lever dans un ciel couvert.";O;2;;;;;;;;2017-12-07;0.20;;0.20;0.00;0.70;;0.70;0.70;0.70;0.50;0.50;0.00;A;A;1979-10-00674
813;"TROYES (10) 10.10.1979";Aube;10;"(D) D�partement";1979;10;10;"Le 10 octobre 1979 vers 7h55 un t�moin observe un objet insolite dans le ciel. De la forme d'un dirigeable, cet objet se d�place � vitesse constante sur une trajectoire horizontale en direction du Nord-Ouest. Aucun bruit provenant de l'objet n'est entendu durant toute l'observation. L'objet disparaitra progressivement dans le ciel. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur cet objet qui s'apparente � un dirigeable ou au Super Guppy (avion cargo rempla�� en 1996 par le Beluga) mais pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet volant de la forme d'un dirigeable.";O;1;;;;;;;;2010-03-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-10-01866
815;"LA REOLE (33) 01.11.1979";Gironde;33;"(D) D�partement";1979;11;01;"Le 1er novembre 1979 vers 18h15 plusieurs t�moins observent un ph�nom�ne lumineux rouge dans le ciel. Selon les t�moins, celui-ci est constitu� d'une � deux boules rouges qui progressent dans le ciel sans �mettre de bruit. Cet objet a une trajectoire Sud-Ouest Nord-Est. Un des t�moins parle d'une train�e de feu � l'arri�re de l'objet. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de donn�es.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux rouge.";O;4;;;;;;;;2010-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-11-00675
818;"(DPT) LOIRET (45) 11.11.1979";Loiret;45;"(D) D�partement";1979;11;11;"Le 1er d�cembre 1979 la gendarmerie apprend par la presse que des habitants d'une m�me localit� ont aper�u le 11 novembre 1979 vers 18h45 des ""engins""ou ""objets"" en d�placement au-dessus de Mareau-Aux-Bois (45). Ces objets sont d�crits ayant une forme ronde, avec un d�me sup�rieur et des lumi�res de couleurs clignotantes. Les t�moignages sont succincts mais multiples (8 t�moins). La gendarmerie trouvera un 9 eme t�moin qui rapportera une observation faite le 25/11/1979 � 21h30 au-dessus de Courcy-Aux-Loges (45).
En raison du laps de temps �coul� entre les faits et la divulgation de ceux-ci aucune constatation n'a pu �tre effectu�e par la gendarmerie.
Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de donn�es.";"Observations du d�placement d'objets volants avec un d�me et des lumi�res de couleurs clignotantes : manque d'information.";O;9;;;;;;;;2017-10-26;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-11-00678
819;"CIRCOURT (88) 14.11.1979";Vosges;88;"(D) D�partement";1979;11;14;"Le 14 novembre 1979 vers 17h42 un t�moin, officier de l'am�e de l'air en cong� observe dans le ciel d�gag� des ph�nom�nes lumineux particuliers dans le ciel. Circulant en voiture, le t�moin et sa passag�re voient soudain deux lumi�res ponctuelles couleur rouge orang�. Assez rapproch�es, ellles se stabilisent � une altitude d'environ 100m au-dessus des bois et s'�teignent l'une apr�s l'autre. Aucun bruit n'est remarqu�. 30 secondes plus tard un double ""bang"" quasi simultan� se produit. Le t�moin pense qu'il s'agit probablement du passage du mur du son par une patrouille � haute altitude. Une minute plus tard deux lumi�res apparaisent � la m�me altitude et distance mais plus au nord que les premi�res. 5 secondes plus tard, ces lumi�res s'�teindront l'une apr�s l'autre. La presse locale rapporte �galement que plusieurs personnes dans le secteur ont �t� t�moins de ce ph�nom�ne. Aucun autre t�moignage ou pr�cision ne seront recueillis par la gendarmerie sur ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation de ph�nom�nes lumineux rouge orang�.";O;1;;;;;;;;2008-08-13;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1979-11-00679
820;"REIMS (51) 15.11.1979";Marne;51;"(D) D�partement";1979;11;15;"Le 15 novembre 1979 vers 7h30 un t�moin et son �pouse aper�oivent depuis leur domicile un objet de couleur blanche et de forme triangulaire. Cet objet lumineux est tout d'abord stationnaire puis se d�place tr�s lentement vers le Sud-Ouest tout en s'�levant. Il dispara�t progressivement dans les airs. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du d�placement d'un objet triangulaire lumineux.";O;1;;;;;;;;2008-08-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-11-00680
821;"HOMECOURT (54) 18.11.1979";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";1979;11;18;"Le 18 novembre 1979 � 3h 20 un t�moin aper�oit depuis son domicile un objet circulaire fluorescent. Flanqu� de deux empennages en forme de queues couleur gris-beige, l'objet se d�place � faible altitude et vitesse et de fa�on rectiligne dans le sens NO-SE. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation qui n'a dur� que quelques secondes. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet fluorescent. Vrombissement";O;1;;;;;;;;2008-08-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-11-00681
823;"CH�TEAUPONSAC (87) 1979";Haute-Vienne;87;"(D) D�partement";1979;11;21;"Le 21 novembre 1979 un t�moin aper�oit � environ 100 m�tres d'elle, un objet muni de plusieurs feux dont trois rouges et un orange repr�sentant un losange inscrit sur le plan vertical. Le feux orange rempla�e alternativement les feux rouges par rotation dans le sens des aiguilles d'une montre. Immobile et ne faisant aucune bruit l'objet stationne dans les airs. Aucune odeur particuli�re ne se d�gage de l'engin qui a ensuite disparu vers le Nord en laissant une fum�e blanch�tre. Des moutons parqu�s � 600 m�tres de l� manifestent un grand affolement. Un deuxi�me t�moignage sera recueilli relatant l'observation de lumi�res rouges rep�sentant un losange. Aucune trace au sol et aucun autre renseignement ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation d'un engin en forme de losange .Comportement anormal sur des ovins.";O;2;;;;;;;;2008-08-22;;;0.58;0.13;;;0.70;;0.70;;0.64;0.11;D;D1;1979-11-00683
825;"CERGY PONTOISE (95) 1979";Provence-Alpes-C�te-d'Azur;;"(R) R�gion";1979;11;26;"Les noms des diff�rents protagonistes ont �t� anonymis�s comme sur les proc�s verbaux. L'histoire qui va suivre a eu un grand retentissement aupr�s des m�dias du fait des principaux protagonistes qui n'ont jamais recherch� la discr�tion, bien au contraire. Les diff�rents �v�nements qui la composent se sont pass�s sur une p�riode de temps relativement longue et dans des lieux assez divers. La quantit� d'informations est donc importante et a fait, entre autres, l'objet de la note technique N�6 GEPAN r�f�renc�e dans les documents du cas. Le 26 novembre 1979 vers 05 heures du matin, le commissariat de police local re�oit un appel t�l�phonique de T3 qui les informe que son ""copain a �t� enlev� par un OVNI"". Une patrouille est imm�diatement d�tourn�e sur les lieux. Sept policiers et gendarmes se retrouvent bient�t sur les lieux avec trois t�moins, T3, T2 et T1, amis du disparu et t�moins de ""l'enl�vement"". Les t�moins expliquent qu'ils se pr�paraient � aller vendre des ""jeans"" sur le march� voisin, quand ils ont observ� une lueur au-dessus de la route. T1 au volant de la voiture s'est dirig� vers la lueur. Celle-ci s'est alors plac�e au-dessus de la voiture, l'enveloppant de brouillard et de petites boules clignotantes. Lorsque le brouillard s'est dissip�, la lueur est partie ""comme un �clair"" dans le ciel. C'est alors que T3 a constat� que T1 n'�tait plus dans la voiture. Devant les autorit�s, les trois t�moins ont des attitudes tr�s diff�rentes, allant de l'indiff�rence jusqu'� une grande surexcitation. D�s les premi�res auditions, des divergences apparaissent dans les t�moignages et les reconstitutions effectu�es conduisent elles aussi � des contradictions sur l'emploi du temps des t�moins la veille et le matin de la disparition, la position de la voiture au moment des faits et la trajectoire de la lueur. La gendarmerie pr�vient le GEPAN d�s le 26 mais la presse est �galement avertie par l'un des t�moin et d�s le 27 et journalistes et enqu�teurs priv�s affluent de toute la r�gion. D�s le 28, radios et journaux relatent l'affaire dans tous ses d�tails, les avis et interpr�tations se multiplient au gr� d'interviews diverses et vari�es. Cependant, aucun �l�ment nouveau n'appara�t avant le trois d�cembre 1979 date � laquelle la m�re de T1 informe la gendarmerie du retour de son fils et que T3 informe une radio sur le retour de son copain. Les gendarmes retrouvent effectivement T1 chez T2 en compagnie de sa famille et d'une journaliste. T1 d�clare s'�tre retrouv� dans un champ de choux pr�s de l'immeuble de T2. Le GEPAN essayera de rassembler le maximum d'informations objectives sur cette affaire tr�s largement m�diatis�e. Il lui sera extr�mement difficile de le faire, les t�moins se d�robant sans cesse d�s qu'il s'agit de r�unir des �l�ments concrets, pr�f�rant la compagnie des journalistes et de certains enqu�teurs priv�s avec lesquels ils �taient beaucoup plus prolixes. Au fur et � mesure des conf�rences de presse et des d�clarations, le discours des t�moins se modifie et il devient rapidement �vident aux yeux des enqu�teurs du GEPAN que les faits rapport�s ne sont pas cr�dibles. Cette hypoth�se est renforc�e par une analyse de sang montrant qu'il est peu probable que le ""disparu T1"" ait fait un s�jour en apesanteur. La d�couverte d'une rang�e de choux dess�ch�s "" par la boule lumineuse"" dans le champs o� est r�apparu T1 relancera l'�moi dans cette petite ville. L'enqu�te montrera vite que ces choux �taient parfaitement normaux et avaient �t� d�laiss�s par leur propri�taire pour servir d'engrais, ce que confirmera d'ailleurs une analyse d'�chantillons pr�lev�s par le GEPAN. Bien que les t�moins aient toujours maintenu leurs t�moignages y compris devant le procureur de la R�publique, le GEPAN consid�re qu'il s'agit l� d'une supercherie dont le d�roulement discr�dite le travail scientifique qu'il essaye de promouvoir.";"""L'enl�vement"" de Cergy-Pontoise.";O;14;;;;;;;;2009-08-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1979-11-00685
829;"FOUSSERET (LE) (31) 29.11.1979";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1979;11;29;"Le 29 novembre 1979 vers 5 heures 30, un t�moin observe une lumi�re scintillante bleue ressemblant � un gyrophare d'ambulance. L'enqu�te de la gendarmerie constatera sur place le ph�nom�ne qui est clairement identifi� comme une arc �lectrique entre deux fils d'une ligne �lectrique.";"Observation d'un arc �lectrique sur une ligne �lectrique a�rienne.";O;1;;;;;;;;2008-06-09;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1979-11-01706
830;"PONT-SAINTE-MAXENCE (60) 27.11.1979";Oise;60;"(D) D�partement";1979;11;27;"Le 27 novembre 1979 vers 16 heures 15, un t�moin observe le passage d'un point lumineux dans le ciel durant 2 minutes environ. Aucune autre information disponible.";"Observation d'un point lumineux";O;1;;;;;;;;2008-06-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-11-01707
831;"TILH (40) 26.11.1979";Landes;40;"(D) D�partement";1979;11;26;"Le 26 novembre vers 6h du matin un agriculteur dans un champs aper�oit � sept ou huit cents m�tres de lui une source lumineuse blanche tr�s vive. Cette lueur a un mouvement vertical de faible amplitude � cinq ou six m�tres du sol. Une zone sombre de forme sph�rique est aper�ue sous cette lumi�re. L'enqu�te sur place ne r�v�lera aucune trace au sol. Aucun vol d'exercice militaire n'a �t� recens� � cette heure le jour de l'observation. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations. Les photographies prises par les gendarmes n'ont pas �t� retrouv�es dans le dossier de gendarmerie.";"Observation d'une source lumineuse. Aucun bruit.";O;1;;;;;;;;2008-08-25;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-11-01708
833;"PORT (LE) (974) 25.11.1979";"La R�union";974;"(D) D�partement";1979;11;25;"Le 25 novembre 1979 vers 0h45 un t�moin dans son jardin observe dans le ciel un ph�nom�ne lumineux particulier. Il voit deux train�es lumineuses de couleur vert p�le se d�placer parall�lement dans une direction N-O S-E. Ces train�es sont pr�c�d�es par des objets dont le d�placement tr�s rapide se fait sans qu'aucun bruit ne soit entendu. Malgr� la pr�sence de nombreuses personnes d�e � une f�te locale, aucun autre t�moignage et aucune autre information ne seront recueillis sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation de ph�nom�nes lumineux se d�pla�ant rapidement.";O;1;;;;;;;;2008-08-25;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-11-01710
840;"PLANCOET (22) 1979";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1979;12;06;"Le 6 d�cembre 1979 entre 21h15 et 21h 30 plusieurs personnes aper�oivent dans le ciel des ph�nom�nes lumineux qui les intriguent. Une masse lumineuse blanche semble se d�placer d' Ouest en Est puis apparaissent 5 sources lumineuses oranges de forme diff�rentes suivant les t�moins (traits ou formes ovales). Elles disparaitront progresssivement vers l'Est en s'�teignant progressivement. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation de lumi�res insolites.";O;4;;;;;;;;2008-08-26;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-12-00694
841;"NEUVY-LE-ROI (37) 07.12.1979";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";1979;12;07;"Ce cas d'observation a fait l'objet d'un r�examen derni�rement (voir le document Notes d'enqu�te).
Le 7 d�cembre 1979 vers 21h 15 plusieurs automobilistes dans le m�me secteur g�ographique aper�oivent dans le ciel un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue. Celui-ci semble se d�placer � basse altitude et sera vu sous diff�rentes formes selon les t�moins (boule, parachute, L majuscule). L'enqu�te ne permet pas de recueillir d'autre information, mis � part des aboiements entendus depuis une ferme des environs.
Ce cas est consistant (plusieurs t�moins ind�pendants), la description du PAN observ� est pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la Lune au lever. De plus, la Lune �tait bien pr�sente sur la zone du ciel observ�e.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers son ressenti (fatigue, conduite de nuit).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� � A �, observations li�es avec une m�prise avec la Lune.";"Observations par des automobilites d'un objet lumineux en direction de l'Est : observations astronomiques de la Lune.";O;3;;;;;;;;2014-09-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1979-12-00695
842;"ARC SUR TILLE (21) 1979";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";1979;12;08;"Le 08 d�cembre 1979 deux t�moins depuis leur domicile aper�oivent � 9h52 un objet de la forme d'un croissant de couleur bleu-marine et blanc sans brillance. Il mesure 4 � 5 m�tres de haut. Aucun bruit et aucune lumi�re particuli�re ne sont remarqu�s. L'objet au ras du sol se balance pr�s d'un bosquet. L'observation a dur� une minute trente secondes � 200 m de l'objet. Il a disparu en s'envolant rapidement vers le Nord. Les t�moins puis les gendarmes ne constateront aucune trace au sol.";"Observation d'un objet de 4 � 5 m�tres de hauteur, oscillant. Pas de bruit.Trajectoire montante.";O;4;;;;;;;;2008-09-03;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1979-12-00696
844;"PARIS (75) 12.12.1979";Paris;75;"(D) D�partement";1979;12;12;"Le 12 d�cembre 1979 un veilleur de nuit observe dans le ciel un objet en forme de soucoupe volante l�g�rement bomb�e au milieur et allant en s'amincissant sur les bords. La couleur de l'objet est orang�. Une train�e de couleur violette et orang�e est visible � l'arri�re de l'objet. Il dispara�t brusquement et � tr�s grande vitesse � l'horizon. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet en forme de soucoupe se d�pla�ant � tr�s grande vitesse";O;1;;;;;;;;2008-08-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-12-00699
845;"VILLEMONTAIS (42) 14.12.1979";Loire;42;"(D) D�partement";1979;12;14;"Le 14 d�cembre 1979 vers 21h 30 un jeune motocycliste aper�oit dans le ciel 6 objets de forme ovale et brillants. Ils se d�placent rapidement en formation trois par trois et disparaissent en direction de l'Ouest. Aucune trace sur l'environnement et aucun autre t�moignage ne seront recueillis sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation de 6 objets , forme ovale , �voluant � grande vitesse";O;1;;;;;;;;2011-01-25;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-12-00700
847;"HAUCOURT-MOULAINE (54) 18.12.1979";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";1979;12;18;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� HERSERANGE (54) 1979 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 18 d�cembre 1979 � partir de 2h14, cinq personnes d'une m�me famille observent durant 15 minutes, 3 disques lumineux (la couleur varie selon les t�moins du blanc au rouge-orang�) � la verticale d'une �cole. Ils s'�teignent et s'allument. Pour certains t�moins, ces disques ont un mouvement ascendant.
Cette observation se caract�rise d'une part par une �tranget� per�ue par les t�moins apparemment forte si l'on en juge par les appellations r�p�t�es d'OVNI et soucoupes et d'autre part par l'extr�me pauvret� des t�moignages.
Il s'agit de trois disques lumineux qui s'�teignent et s'allument (dans une direction passant par la verticale de l'�cole). C'est l'information essentielle (qui tient presque dans une seule phrase) et commune (la phrase est quasiment r�p�t�e) aux 5 d�clarations d'une m�me famille, les parents et les 3 enfants de 13 � 10 ans.
Le peu d'informations compl�mentaires varie selon les t�moins. Le p�re et la m�re (T1 et T2) indiquent (ou ont l'impression pour T2) que les disques montaient dans le ciel. Deux enfants T3 et T5 ne pr�cisent rien du mouvement tandis que T4 ne parle pas non plus du mouvement vertical mais est le seul � avoir vu un des disques quitter les autres. La couleur des disques peut varier aussi entre t�moins, orange, ou blanc, ou non pr�cis�.
On ne sait rien de la position dans le ciel, de la taille angulaire, de l'orientation des disques, du type de contour net ou pr�cis de ces lueurs (ce qui serait un indice sur leur mat�rialit� ou non) etc
Avec ce peu d'�l�ments, il n'est pas possible de rechercher une explication. On pourrait regretter que la Gendarmerie ou le GEIPAN n'aient pas proc�d� � des compl�ments d'interrogation ou � des reconstitutions, il est illusoire de le faire 40 ans apr�s. D'un autre cot�, cette observation se signale par un manque de consistance intrins�que qui n 'encourageait pas � approfondir.
En effet, quand l'�tranget� est forte, les t�moignages sont rarement succincts et encore moins dupliqu�s. Le plus singulier ici, par rapport � la masse de t�moignages GEIPAN, est l'absence d'indication sur les conditions des disparitions des PAN. La m�re et les 3 enfants se sont recouch�s alors que les PAN �taient encore l� ! Tout ceci fait douter de la r�alit� de l'�tranget� per�ue.
On note aussi que T1 (le p�re de famille) a d�j� fait auparavant un grand nombre d'observations de soucoupes. Ces observations et leurs r�p�titions ont pu engendrer chez lui une forte charge �motionnelle qui peut expliquer qu'il ait tenu � r�veiller les autres t�moins, y compris les jeunes enfants, en criant ""aux soucoupes"". Ces autres t�moins peuvent donc avoir �t� plus impressionn�s (m�me si ce n'�tait peut �tre pas la premi�re fois) par le ressenti de T1 que par l'observation elle-m�me, jusqu'� devenir solidaire de ce ressenti. Ce qui expliquerait la r�p�tition des descriptions minimales et que tout le monde se couche en laissant le p�re seul avec l'observation.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C : manque d'informations fiables.";"Observations par une famille durant 15 minutes de 3 disques lumineux clignotant dans le ciel nocturne : manque d'information.";O;5;;;;;;;;2017-12-04;;;0.60;0.00;;;0.50;;0.30;;0.15;0.00;C;C;1979-12-00702
848;"VIGEN (LE) (87) 20.12.1979";Haute-Vienne;87;"(D) D�partement";1979;12;20;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A,B,C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SOLIGNAC (87) 1979 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 20 d�cembre 1979 vers 8h 45, trois personnes observent durant 30 � 40 secondes un ph�nom�ne lumineux et immobile dans le ciel en direction du Sud-Est. Le PAN est d�crit comme une masse rouge orang� tr�s lumineuse de forme rectangulaire, ovale ou circulaire suivant les t�moignages. Les t�moins signalent un temps couvert gris avec un plafond nuageux bas. Le PAN pivote brusquement pour prendre la forme d'un cigare et part en laissant s'�chapper une train�e orang�e virant au blanc. L'objet disparait dans les nuages.
Des �l�ments descriptifs sont faits en relation avec le soleil. � L'objet m'a rappel� un soleil couchant �, � l'objet en question �tait plus gros que le soleil �, � j'ai pens� qu'il s'agissait d'une �clipse � (voir les notes d'enqu�te).
Le Soleil levant est pr�cis�ment dans la direction d'observation et sa faible hauteur angulaire lui conf�rait la couleur dominante du PAN, c'est-�-dire le rouge vif.
La forme variable du PAN, la courte dur�e de l'observation ainsi que le d�part rapide du PAN s'explique par la pr�sence des nuages ayant masqu� le Soleil, visible seulement � travers une trou�e de la couverture nuageuse. Ce point du ph�nom�ne est accr�dit� par des �l�ments de t�moignage en faveur d'un PAN dans un ciel non homog�ne en couverture nuageuse. � cet objet �tait masqu� de moiti� et par intermittence d'un nuage noir �, � l'engin semblait propuls�, il a ensuite disparu dans les nuages �.
La pr�sence de ciel nuageux inhomog�ne, la parfaite coh�rence entre la position vraie du Soleil et la localisation et la description du PAN, l'absence d'observation du soleil en �cart par rapport � l'observation du PAN, constituent un ensemble qui laisse aucun doute sur la m�prise.
Ce cas est bien consistant (trois t�moins ayant d�pos� leur t�moignage en gendarmerie), la description du PAN observ� est assez pr�cise.
La m�prise avec le soleil levant ou couchant n'est pas un cas rare dans les annales du GEIPAN et concerne tout type de t�moin.
Le GEIPAN classe le cas en A : Soleil levant.";"Observations d'un objet stationnaire orang� dans le ciel couvert au Sud-Est puis d�part rapide : m�prise astronomique avec le soleil levant.";O;3;;;;;;;;2017-07-28;0.20;;0.20;0.00;0.70;;0.70;0.80;0.80;0.60;0.60;0.00;A;A;1979-12-00703
854;"SONDERNACH (68) 31.01.1979";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";1979;01;31;"Le 31 d�cembre 1979 (et non janvier comme il est indiqu� dans le PV au paragraphe ""enqu�te"") entre 23h15 et 0h30, deux t�moins observent dans le ciel deux lumi�res particuli�res. Celles-ci semblent parfois reli�es par un ensemble de serpentins tr�s lumineux et de plusieurs couleurs. L'observation n'a pas �t� continuelle et le ph�nom�ne a disparu totalement vers 1h du matin. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de donn�es.";"Observation de 2 sources de lumi�re.";O;2;;;;;;;;2008-10-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-01-00725
855;"METZ (57) 1979";Moselle;57;"(D) D�partement";1979;12;03;"Le 3 d�cembre 1979, vers 16 heures 50, deux t�moins observent un objet de forme triangulaire �mettant deux train�es de fum�e rouge. Au passage au-dessus d'une tour hertzienne, l'objet s'arr�te quelques secondes avant de repartir. Les t�moins l'ont suivi des yeux jusqu'� perte de vue, la fum�e rouge �tant visible jusqu'� la fin de l'observation. Un troisi�me t�moin a observ� au m�me moment un point tr�s brillant sans qu'il soit possible de faire une corr�lation entre les deux observations. L'enqu�te n'a pas permis d'identifier un trafic a�rien correspondant aux observations et celle-ci reste inexpliqu�e.";"Observation d'un objet triangulaire changeant de vitesse et de direction";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1979-12-01703
856;"PITHIVIERS (45) 1979";Loiret;45;"(D) D�partement";1979;12;02;"Le 2 d�cembre 1979 vers 18 heures 30, un couple de t�moins observent 8 engins de la taille d'un avion �mettant un sifflement. Ces objets �mettent des lumi�res clignotantes, rouges, vertes, bleues et jaunes. Ces objets se d�placent lentement et l'observation dure 20 minutes environ. L'enqu�te n'a pas permis d'identifier l'origine de ces ph�nom�nes.";"Observation de 8 engins de la taille d'un avion �mettant un sifflement";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1979-12-01704
857;"[D110] DE BRAUX (04) VERS ANNOT (04) 01.12.1979";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1979;12;01;"Le 1er d�cembre 1979 vers 19 heures 35, un boucher revient de sa journ�e au march� de Braux (04). Il roule en fourgon sur un tron�on sinueux de la D110, lorsqu'il voit soudain surgir sur sa gauche une grosse boule tr�s lumineuse, dont la couleur passe du blanc au rouge puis de l'orange au jaune. Cette boule �met un bruit strident de type bip bip. Le t�moin, tr�s effray�, acc�l�re mais constate que le ph�nom�ne le suit pendant environ 2 km alors que le v�hicule roule � environ 70 - 80 Km/h. Au bout de 2 Km environ, le ph�nom�ne dispara�t brutalement. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli par la gendarmerie.
Ce cas a fait l'objet d'un premier classement ""observation non expliqu� cas D"". Il fait partie des cas fran�ais m�diatis�s de l'�poque (faire recherche OVNI ANNOT).
La pr�sente conclusion r�sulte d'une nouvelle enqu�te, rendue possible d'une part gr�ce aux outils num�riques d'aujourd'hui et d'autre part gr�ce � une reconstitution sur place sur une date en cycle de Saros, c'est � dire sur une date o� la Lune, le Soleil et la Terre reprennent exactement la position du jour de l'observation (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le t�moin ayant signal� la pr�sence de la pleine Lune au d�part de son trajet, il ne la mentionne paradoxalement plus par la suite alors m�me qu'� plusieurs endroits du parcours elle devait appara�tre tr�s lumineuse pr�cis�ment dans la direction d'observation du PAN pr�sum�. Les �l�ments entrevus dans la phase d'analyse pr�alable (� distance avec outils num�riques) ont �t� largement confirm�s par une reconstitution � in situ � men�e dans des conditions optimales de similitude (cycle du Saros et m�t�o similaire) : le t�moin s'est trouv� �tre victime d'une illusion perceptive provoqu�e par l'observation soudaine de la Lune.
En particulier, il s'av�re que chaque endroit o� l'observation de la Lune s'av�re possible correspond pr�cis�ment � l'un des emplacements pour lesquels le t�moin a d�crit aux gendarmes le ph�nom�ne auquel il pense avoir �t� confront�. De fait, la trajectoire pr�sum�e du PAN telle qu'a pu l'imaginer le t�moin apeur� correspond parfaitement � la trajectoire apparente de la Lune en regard des sinuosit�s de la route. L'apparition soudaine ainsi que la disparition de ph�nom�ne sont �galement en accord avec la visibilit� de la Lune pour le conducteur d'un v�hicule empruntant cette route ce jour-l�.
L'effet de surprise est renforc� par un contexte m�diatique tr�s pr�gnant : l'affaire de l'OVNI de Cergy- Pontoise (95) bat son plein, et le jeune homme pr�tendument enlev� par l'OVNI n'a pas encore r�apparu. Ces �l�m�nts ont probablement induit un fort sentiment de peur chez le t�moin qui, plac� dans des conditions d'observation difficiles et un contexte peu rassurant (il �tait seul et loin de toute habitation) n'a pas �t� en mesure d'analyser sereinement la situation � laquelle il se voyait brutalement confront�.
Les descriptions qu'il fait du ph�nom�ne sont classiques et parfaitement comparables avec celles commun�ment recueillies dans les cas similaires de m�prise avec la Lune (m�prise tr�s fr�quente). Les seuls caract�res d'�tranget� qui auraient pu s'opposer quelque peu � ce sc�nario bien connu sont d'une part le bruit pr�tendument per�u durant l'observation et d'autre part le contrecoup physiologique subi dans les jours suivants (occlusion intestinale). Toutefois, aucun �l�ment ne peut �tre avanc� pour �tayer la r�alit� objective du premier. Concernant le second, il s'av�re probablement cons�cutif au stress caus� par l'observation sur un terrain physiologique pr�existant (deux crises ant�rieures similaires).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation de la Lune.";"Observation par un automobiliste d'une boule lumineuse le suivant lors de son trajet sur une route sinueuse ; disparition subite : illusion perceptive provoqu�e par l'observation soudaine de la Lune.";O;1;;;;;;;;2017-07-28;0.10;;0.10;0.00;;;;;;0.50;0.50;0.00;A;A;1979-12-01705
859;"DECIZE (58) 1979";Ni�vre;58;"(D) D�partement";1979;12;05;"Le 5 d�cembre 1979 un t�moin observe vers17h 40 une boule de la grosseur d'une orange avec un reflet orang�. Celle-ci se d�place en tournant sur elle-m�me et en montant et descendant alternativement. Aucun bruit n'a �t� entendu. L'observation a dur� un quart d'heure avant que cette boule ne disparaisse en direction de S-E � tr�s vive allure. Le lendemain � la m�me heure, cette boule a de nouveau �t� visible mais elle a chang� trois fois de taille et a disparu vers l'Ouest. Un seul autre t�moin a vu un ph�nom�ne semblable quelques mois avant.";"observation du d�placement d'une boule avec des reflets orang�s.";O;3;;;;;;;;2008-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1979-12-01871
860;"NANTES (44) 15.12.1979";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1979;12;15;"Le 15 d�cembre 1979 vers 2h du matin, un t�moin observe depuis le troisi�me �tage de son appartement un objet orange phosphorescent dans le ciel. Celui-ci � la forme d'un cigare en position verticale et se d�place sans bruit du Nord au Sud. L'objet disparaitra dans le paysage urbain. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation d'un objet en forme de cigare, phosphorescent.";O;1;;;;;;;;2008-09-04;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1979-12-01872
868;"COMPIEGNE (60)1980";Oise;60;"(D) D�partement";1980;01;01;"Le 1er janvier 1980 plusieurs militaires en poste aper�oivent � trois reprises un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Une petite boule orang�e appara�t subitement et successivement � 23h16, � 23h33 puis � 23h 46. Une lueur intense accompagne cet objet qui se d�place lentement et toujours sur une trajectoire horizontale. A chaque apparition au m�me endroit, les chiens du chenil de la base hurlent � la mort. Aucun bruit et aucune fum�e n'accompagnent le d�placement de cet objet et les militaires sont certains qu'il ne s'agit pas de lumi�re �mise par un avion ou un h�licopt�re. Aucun civil n'a �t� t�moin de ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation p�riodique d'une boule lumineuse se d�pla�ant lentement sur une ligne droite.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1980-01-00709
870;"NEUILLY-EN-THELLE (60) 03.01.1980";Oise;60;"(D) D�partement";1980;01;03;"Le matin du 3 janvier 1980 � 8 h 05 un t�moin fermant ses volets, aper�oit une boule rouge dans le ciel. Cette boule dispara�t derri�re des nuages puis r�appara�t dans le ciel. Elle se d�place de fa�on irr�guli�re et � une allure tr�s rapide. La trajectoire donn�e est Sud-Est Nord-Ouest. Interpellant sa voisine, celle-ci ne verra pas l'objet d�crit. Le t�moin ayant pris des photographies, les gendarmes pourront voir le n�gatif qui montre une tache brune. A ce jour le n�gatif n'a pas �t� retrouv� dans les archives. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne. Le t�moin a probablement fait une observation astronomique de la pleine lune qui, � l'heure indiqu�e, se couchait et �tait �clair�e par le soleil levant donnant � l'astre cette couleur rouge.";"observation probable de la pleine lune rougie par le soleil levant";O;1;;;;;;;;2009-09-16;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-01-00711
871;"OISE (60) 1980";Oise;60;"(D) D�partement";1980;01;05;"Le 5 janvier 1980 � partir de 18h 30 plusieurs t�moins observent un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue. Une sph�re �mettant une lumi�re intense est immobile puis se d�place lentement et sans aucun bruit dans le ciel d�gag�. Les couleurs ainsi que le volume varient selon les t�moins. Pour certains, elle semble anim�e d'un mouvement rotatif sur elle-m�me. Le positionnement des t�moins et leur direction d'observation permet de situer le ph�nom�ne au Sud-Ouest. Le ph�nom�ne dispara�tra vers 19h 30. L'examen de la carte du ciel � cette date et heure montre que les t�moins ont simplement observ� la plan�te V�nus particuli�rement visible et brillante en cette p�riode de l'ann�e ( magnitude - 3,8). L'heure de coucher de V�nus est d'ailleurs 19h30, comme indiqu� par les t�moins.";"Observation de la plan�te V�nus";O;7;;;;;;;;2008-04-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-01-00712
874;"LE CROISIC (44) 1980";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1980;01;12;"Entre le 10 janvier et le 16 janvier 1980 de nombreuses personnes dont les gendarmes vont apercevoir dans le ciel un objet lumineux. Celui -ci de forme circulaire est brillant et scintille. Il se d�place lentement d'Est en Ouest. Des photographies de l'objet seront prises. Petit � petit l'objet perd de sa luminosit� pour devenir orang� et dispara�tre. Toutes ces personnes ont fait une observation astronomique de V�nus particuli�rement visible en cette p�riode de l'ann�e ( magnitude -3,83 le 12/01/1980 � 19h 04 et disparition dans l'oc�an � 20h 30).";"observaiton de V�nus";O;6;;;;;;;;2008-04-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-01-00715
875;"ETAULIERS (33) 13.01.1980";Gironde;33;"(D) D�partement";1980;01;13;"Le 13 janvier 1980 vers 7h 10, un automobiliste de passage dans les Charente-Maritime, aper�oit un engin en forme de soucoupe. Stationnaire, l'objet a un diam�tre d'environ 5 � 6 m�tres et des lumi�res cligotent � ses extr�mit�s. Descendant de son v�hicule, le t�moin, agent des douanes, constate alors que l'engin s'�loigne lentement � environ 30 ou 40 km/h. Ce qui �tonnera le t�moin c'est que durant les 5 minutes d'observation, il n'entendra aucun bruit provenant de cet engin. Le t�moin, press�, fera sa d�position � son arriv�e en Haute-Garonne. Aucun autre t�moin ne se fera conna�tre dans le secteur de l'observation et aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation d'un engin en forme de soucoupe.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1980-01-00716
876;"BERNAVILLE (80) 16.01.1980";Somme;80;"(D) D�partement";1980;01;16;"Le 16 janvier 1980 � 19h, des t�moins aper�oivent dans le ciel un ph�nom�ne lumineux particulier. Il s'agit d'une boule blanche tr�s brillante situ�e au S/O dans le ciel. Au cours de l'observation le ph�nom�ne change de couleurs et d'intensit� lumineuse, de couleur et diminue ou grossit ; des fils semblent descendre de cet objet. Aucun bruit n'a �t� entendu durant tout le temps de l'observation par l'ensemble des t�moins. Le ph�nom�ne s'�loigne rapidement et sera perdu de vue vers 21h. Un des t�moins prendra des photos qui ne montreront rien, le film �tant noir. D'apr�s l'enqu�te de gendarmerie aupr�s de la station m�t�orologique, aucun ballon sonde fran�ais n'a �t� lanc� et signal� dans le secteur. Il est � noter cependant que quelques jours auparavant un ballon sonde �tranger � �t� d�couvert sur une autre commune. D'apr�s la carte du ciel, V�nus �tait � cette p�riode particuli�rement visible ( -3,84 ) et basse sur l'horizon au S/O. Elle dispara�t �galement vers 21h. Ces personnes ont probablement fait une observation astronomique de V�nus.";"Probable observation de V�nus.";O;3;;;;;;;;2012-01-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-01-00717
877;"LOROUX-BOTTEREAU (LE) (44) 20.01.1980";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1980;01;20;" Le 24 janvier 1980 entre 18h 05 et 18h 25 un t�moin affirme avoir assit� � l'arriv�e et au d�part d'un objet volant non identifi�. Au d�but de son observation, il d�crit cet objet comme �tant cylindrique avec deux petits ailerons de couleur sombre sur le cot�. L'objet s'�tant rapproch�, l'engin se stabilise ensuite � 200 m�tres de haut et se trouve alors � environ 300 m�tres � l'Est d'un ch�teau d'eau. Le t�moin s'aper�oit � ce moment que l'objet est de forme ovale, illumin� d'une lumi�re jaune-orange vive, les ailerons ayant disparus. Durant l'observation qui dure 7 minutes, cette personne constatera que son poste radio-t�l�phone gr�sille anormalement et il effectuera plusieurs balayages avec un projecteur portatif. L'objet s'�loigne brusquement en prenant rapidement de la hauteur. Le t�moin apeur� part pr�venir la gendarmerie. Un disfonctionnement du circuit �lectrique du tableau de bord de son v�hicule sera constat�. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation d'un objet volant ovale et lumineux.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1980-01-00718
879;"ANTILLES (971-972) 1980";Outre-Mer;971;"(D) D�partement";1980;01;23;"Les 23 et 24 janvier 1980 en Martinique et en Guadeloupe sont observ�s des ph�nom�nes lumineux particuliers au-dessus de l'oc�an. Depuis divers endroits des �les entre 18h et 19h, des t�moins aper�oivent un � plusieurs objets lumineux suivis ou non de train�es de lumi�res multicolores. Le ciel est d�gag� et selon les t�moins, qui n'ont vu ces ph�nom�nes que quelques secondes, les objets disparaissent rapidement au fur et � mesure de leur avanc�e. D'apr�s les diff�rentes descriptions, l'hypoth�se retenue est celle de probables rentr�es atmosph�riques.";"Probable observations de rentr�es atmosph�riques.";O;18;;;;;;;;2008-04-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-01-00720
880;"FAY-DE-BRETAGNE (44) 27.01.1980";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1980;01;27;"Le 27 janvier 1980 entre 21h 05 et 21h 10 plusieurs t�moins observent dans un ciel d�gag� une boule lumineuse de couleur orang�. Situ�e bas sur l'horizon, celle-ci semble clignoter par moments. L'observation a dur� 10 � 15 minutes pour certains t�moins. Une observation similaire a eu lieu le lendemain.
La v�rification de la carte du ciel montre que ces t�moignages sont probablement li�s � l'observation de V�nus visible dans le OSO avec une magnitude importante de - 3,9 et une disparition � l'horizon vers 21h10.";"Observations probables de la plan�te V�nus.";O;9;;;;;;;;2012-10-17;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-01-00723
882;"RAON-AUX-BOIS (88) 28.01.1980";Vosges;88;"(D) D�partement";1980;01;28;"Le 28 janvier 1980 vers 4 h15, un t�moin circulant en voiture aper�oit � sa droite un objet lumineux. Cet objet sph�rique est stationnaire � environ 40 m�tres du sol et 150m du t�moin. De couleur orang�, il emet une une forte lumi�re dirig�e vers le ciel. Cet objet est lui-m�me compris dans un cercle plus grand et plus �clatant. Le t�moin poursuit sa route et constate que l'objet semble le suivre. Aucun bruit et aucune odeur ne sont remarqu�s par le t�moin qui prend peur. L'objet dispara�tra peu apr�s dans le paysage. Aucun autre t�moin ni aucune autre information n'ont �t� recueillis sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un engin sph�rique suivant le t�moin.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-02-00727
883;"ROUEN (76) 25.01.1980";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1980;01;25;"Le 25 janvier 1980 vers 22 heures, un t�moin ainsi que les gendarmes appel�s sur place observent 2 points lumineux plus brillants que les �toiles. Ces deux points montent lentement dans le ciel au fur et � mesure de la soir�e et sont visibles les jours d'apr�s lorsque le ciel est clair. Il s'agit probablement d'une observation d'astres.";"Observation probable d'astres";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-01-01700
884;"BOURGNEUF-EN-RETZ (44) 05.01.1980";"Pays de la Loire";PDL;"(R) R�gion";1980;01;05;"A partir du 5 janvier 1980 et les jours d'apr�s, de nombreux t�moins ainsi que les gendarmes charg�s d'enqu�ter sur place observent en fin d'apr�s midi une lueur tr�s brillante dans le ciel. La forme semble changer ainsi que les couleurs.
La probabilit� est assez forte pour que l'observation faite soit celle de V�nus.";"Observation d'une lueur de plusieurs couleurs dans le ciel : probable observation de la plan�te V�nus";O;5;;;;;;;;2013-03-20;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-01-01701
885;"CANNES (06) 01.01.1980";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";1980;01;01;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � C � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � C � en 1980 par le GEPAN.
Le 1er janvier 1980 entre 18h 30 et 19h un automobiliste sur l'autoroute A8 dans le sens Est-Ouest observe un point lumineux et fixe vers l'ouest dans le ciel d�gag�. L'observation aux jumelles permet au t�moin de d�crire ce point tr�s brillant comme une boule de ficelle qui laisse entrevoir entre les brins des carr�s noirs. Le t�moin prendra des photographies du ph�nom�ne mais les n�gatifs remis ult�rieurement � la gendarmerie seront transparents et vierges de toute image. Aucun autre t�moignage ne sera receuilli sur ce ph�nom�ne.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la plan�te V�nus. De plus, V�nus �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e alors que le t�moin n'en fait pas mention.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers leur ressenti (�tonnement, conduite de nuit).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e � une m�prise avec V�nus.";"Observation d'un point lumineux immobile dans le ciel : m�prise avec V�nus.";O;1;;;;;;;;2016-09-20;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-01-01752
886;"[A7] de LYON (69) vers AVIGNON (84) --.--.1980";Rh�ne;69;"(D) D�partement";1980;--;--;"En juillet 2008, un t�moin rapporte une observation faite de nuit en 1980 ou 1981 avec deux autres membres de sa famille sur l'axe N-S de l'autoroute Lyon-Avignon. Durant une trentaine de secondes, ils vont observer une boule lumineuse qui se divise ensuite en trois entit�s stationnaires avant de dispara�tre dans le ciel � tr�s grande vitessse. Nos demandes de compl�ments d'informations (notamment sur la date qui est ici donn�e arbitrairement) sont rest�es sans suite � ce jour et nous manquons d'informations et de pr�cisions sur cette observation.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-04-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-01-02288
894;"AMBIERLE (42) 13.02.1980";Loire;42;"(D) D�partement";1980;02;13;"Le 13 f�vrier 1980 vers 5 h 40, un pr�pos� des PTT se rendant � son travail aper�oit dans un ciel d�gag� un ph�nom�ne lumineux qui l'intrigue.
Au-dessus des monts du lyonnais, il observe durant 8 minutes, une lueur en forme de demie lune. Celle-ci est de couleur jaune-orang� et se d�place lentement sur une trajectoire Nord-Sud. Cette lueur s'estompera progressivement. Seul un autre t�moin qui accompagnait la personne a pu voir le ph�nom�ne : cependant il n'a pas fait de d�claration � la gendarmerie.
L'examen de la carte du ciel � cette p�riode montre la lune tr�s peu visible (nouvelle lune le 16) et tr�s basse sur l'horizon, mais dans la direction de l'observation. Le t�moin pr�cise qu'il n'y avait pas de lune : en fait il a probablement observ� la lueur de celle-ci sans la reconna�tre (magnitude -8,9).";"Automobiliste observant une lueur de forme et de grosseur d'une demi-lune : probable observation de la Lune.";O;1;;;;;;;;2015-11-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-02-00733
896;"THILLOT (LE) (88) 15.02.1980";Vosges;88;"(D) D�partement";1980;02;15;"Vers 20h 35 le 15 f�vrier 1980, un t�moin observe en direction du Sud-Ouest une sph�re lumineuse. Celle-ci est situ�e juste au-dessus d'un b�timent. S'appuyant sur un mur pour regarder le ph�nom�ne aux jumelles, le t�moin a pu constater la pr�sence de deux boules. Celles-ci, une rouge et une blanche situ�e au-dessus de la premi�re, bougeaient sans se d�placer. La position des deux boules s'est invers�e et l'ensemble a disparu apr�s avoir d�crit un ""Z"" assez large dans le ciel. L'observation a dur� environ 10 minutes dans un ciel parfaitement d�gag�. Aucun autre t�moin de ce ph�nom�ne, pour lequel nous manquons de donn�es, ne s'est pr�sent� � la gendarmerie. Ce t�moin a probablement fait une observation astronomique de V�nus ( magnitude -4) tr�s basse sur l'horizon et qui dispara�t dans le paysage urbain.";"probable observation de V�nus";O;1;;;;;;;;2008-04-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-02-00735
897;"EVREUX (27) 1980";Eure;27;"(D) D�partement";1980;02;16;"Le 16 f�vrier 1980 entre 01h et 1h 30 du matin, trois militaires en service rapportent avoir observ� un objet volant non identifi�. Cet objet volait au-dessus du village. Selon les t�moins, qui diff�rent sur la forme de l'objet, celui-ci projetait une lumi�re orange intense. Il est rest� immobile durant une minute avant de s'�lever rapidement et de se d�placer par paliers. L'intensit� de la lumi�re a progressivement diminu�e pour ne devenir qu'un point. Aucun autre renseignement n'a �t� recueilli aupr�s des civils du secteur. Aucune veille radar n'ayant �t� effectu�e durant le week-end, la confirmation de la pr�sence d'un a�ronef n'a pu �tre faite. Ce cas est class� C par manque de donn�es.";"Observation d'un objet se d�pla�ant par paliers.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-02-00736
899;"CH�TEAUDUN (28) 1980";Eure-et-Loir;28;"(D) D�partement";1980;02;18;"Le 18 f�vrier 1980 plusieurs personnes observent depuis la cour d'une habitation un ph�nom�ne lumineux particulier entour� d'un halo brumeux. Une boule lumineuse blanch�tre se tient immobile pr�s d'un autre objet ressemblant � un croissant de lune. Cette observation dure plusieurs minutes puis le ph�nom�ne se met � bouger de droite � gauche et de haut en bas durant une vingtaine de minutes. L'objet se d�place ensuite � grande vitesse selon une trajectoire Nord-Ouest. Son volume semble trois fois plus grand que les astres l'environnant et il brille davantage. Il dispara�tra progressivement en s'�loignant. Aucun bruit n'a �t� entendu durant l'observation. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne. Cependant quelques jours plus tard, la presse locale fera �tat de l'observation d'un ""clair de terre"", lumi�re cendr�e qui accompagne la nouvelle lune et qui peut �tre accompagn� d'effets visuels particuliers lorsque s'y ajoutent des perturbations atmosph�riques. L'examen de la carte du ciel permet de privil�gier l'hypoth�se d'une observation astronomique. En effet, la Lune ( magnitude -7,70) est visible jusqu'� 21h 02 puis passe en-dessous de l'horizon. A cette date (la nouvelle lune est le 16), seul un fin croissant est visible. V�nus est situ�e juste au dessus de la lune (magnitude -4,19). Par ailleurs, le ph�nom�ne de clair de Terre (ou lumi�re cendr�e) est visible quand la Terre, la Lune et le Soleil sont presque align�s. Vu de notre plan�te, la Lune pr�sente un tr�s fin croissant, mais la Terre vue depuis notre satellite, est en phase pleine et brille pleinement. C'est le clair de Terre qui fait briller tr�s faiblement la partie non �clair�e de la lune. Apr�s la nouvelle Lune le ph�nom�ne est observable le soir du troisi�me au cinqui�me jour, et avant la nouvelle Lune, ce sera le matin, du cinqui�me au troisi�me jour avant la lunaison suivante. On peut donc dire sans risque que le t�moin principal qui a fait l'observation vers et plut�t avant 21h a vu la lune (avec un clair de terre) et juste au-dessus V�nus. Les gendarmes qui ont fait l'observation � 21h 15 ont aper�u V�nus avant qu'elle ne disparaisse elle aussi sous l'horizon, la Lune ayant d�j� disparu depuis une douzaine de minutes. Il est vrai que les t�moins font �tat de mouvements ""rapides"" et d'un d�placement rapide avant disparition. Il est probable que les t�moins aient ici inconsciemment exag�r� ces mouvements, du fait de la proximit� de l'horizon et peut �tre aussi d'un ph�nom�ne de ""mouvement autocin�tique"" (impression de mouvement lorsqu'on fixe intens�ment quelque chose).";"Observation de la Lune et de V�nus";O;3;;;;;;;;2008-04-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-02-00738
900;"LES SABLES D'OLONNE (85) 24.02.1980";Vend�e;85;"(D) D�partement";1980;02;24;"Le 24 f�vrier 1980 vers 3h 15 un groupe de jeunes gens aper�oit une lueur orang�e � travers les sapins vers la plage. Se d�pla�ant pour avoir une meilleure visibilit�, ils voient alors un tr�s gros objet en direction de l'�le d'yeu qui est au trois-quart sph�rique, de couleur orang� et sans brillance. Cet engin se d�pla�e � la verticale et � une vitesse tr�s lente et constante. L'observation qui a dur� une dizaine de minutes s'est termin�e lorsque l'objet s'est enfonc� lentement dans l'oc�an laissant appara�tre une lueur blanch�tre. Aucun bruit n'a �t� entendu. Vers 3h 05 un gendarme en patrouille aper�oit �galement un objet demi sph�rique, plus gros qu'un quartier de lune, de couleur rouge-orang� sans brillance. Cet objet se d�place lentement et descend verticalement sans changer de forme ou de couleur. Toutes ces personnes ont fait une observation astronomique de la lune se couchant ( � 3h 12 exactement) d'o� la grosseur et la couleur orang�e observ�es. En outre la lune �tait dans son premier quartier, ce qui lui donnait son aspect de demi disque tourn� vers le bas.";"Observation de la lune";O;5;;;;;;;;2012-03-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-02-00740
901;"CUSSEY-SUR-L'OGNON (25) 17.02.1980";Doubs;25;"(D) D�partement";1980;02;17;"Le 17 f�vrier 1980 vers 20 h 45 un t�moin observant le ciel aper�oit un point tr�s lumineux qui l'intrigue. Ce point rond est fixe, plus gros et plus jaune que les autres �toiles. L'observation a dur� plus de 10 minutes sans que le point ne semble bouger. Aucun t�moin ne sera trouv� par la gendarmerie pour apporter d'autres informations. Cependant la presse locale relate que dans le secteur d'autres t�moins ont fait la m�me observation. Apr�s une v�rification sur carte du ciel, nous constatons que dans la direction indiqu�e, V�nus est particuli�rement visible ( magnitude -4,01 ) en cette p�riode de l'ann�e. La hauteur de v�nus sur l'horizon est de 8 � au lieu des 20� indiqu�s par le t�moin. En tenant compte d'une possible marge d'erreur concernant l'indication de la hauteur de l'objet, l'hypoth�se privil�gi�e est une observation de v�nus. De nombreux cas d'observations sont d'ailleurs signal�s durant cette p�riode.";"Observation probable de la plan�te v�nus";O;1;;;;;;;;2009-10-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-03-00749
902;"MELUN (77) 1980";Gard;30;"(D) D�partement";1980;02;17;"Un t�moin relate des observations de boules blanches qu'il aurait aper�u par trois fois depuis le d�but de l'ann�e 1980. A chaque fois ces boules semblaient suivre le v�hicule qui circulait la nuit. Elles pouvaient laisser une train�e blanche lors de leur disparition. En pr�sence de son amie, ils verront ensemble une boule � proximit� d'une maison d'habitation. Le t�moin relate �galement sa rencontre, dans son v�hicule, avec une entit� qui lui aurait dit l'avoir contact� par trois fois et l'aurait averti de l'invasion de la terre. Il d�crit un homme grand et beau avec des yeux bleus et de longs cheveux. Le t�moin parle d'une perte de m�moire d'une demi-heure et c'est dans un �tat de choc que le t�moin est arriv� chez ses parents. Ramen� chez lui, son �tat a �t� constat� le lendemain par un m�decin. Aucun autre t�moin n'a u �tre trouv� et aucune autre information n'a �t� recueillie sur ces ph�nom�nes qui permettraient de cr�dibiliser ce t�moignage.";"observation de boules lumineuses et rencontre du 3 eme type.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-03-00752
903;"VALENTIGNEY (25) 29.02.1980";Doubs;25;"(D) D�partement";1980;02;29;"Le 29 f�vrier 1980 entre 20 heures 30 et 21h 40, deux t�moins observent plusieurs fois un ph�nom�ne lumineux particulier. Un objet form� de plusieurs boules se d�place tr�s haut dans le ciel. Cet objet ressemble ""� une broche"" de plusieurs sph�res de couleur bleut�e et ros�e. La forme g�n�rale observ�e est ovale et sur le c�t� droit, une lumi�re plus importante et clignotante est remarqu�e. Aucun bruit n'est entendu durant les observations. En se d�pla�ant l'objet prend la forme d'une barre lumineuse et dispara�t brusquement. Aucune autre information ne sera receuillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de donn�es.";"Observation de plusieurs points lumineux";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-02-01697
906;"SAINT-PAUL-AUX-BOIS (02) 02.03.1980";Aisne;02;"(D) D�partement";1980;03;02;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � B � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation pr�c�demment class� B et nomm� COUCY LE CH�TEAU (02) 1980 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s (voir la note d'enqu�te).
Le 02 mars 1980 entre 21h45 et 22h00 quatre t�moins � Saint-Paul-Aux-Bois observent en direction de Salency (02) un objet lumineux dont l'intensit� lumineuse et la couleur varient. Pour trois t�moins (T1, T2, T3), l'objet est en d�placement selon une trajectoire descendante. Pour T4 l'objet reste fixe. Les gendarmes appel�s � 21h55 se rendent sur place imm�diatement mais ne constatent rien de particulier � l'Ouest dans le ciel �toil�.
Ce cas est assez consistant (quatre t�moins), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : V�nus au coucher.
De plus, V�nus �tait en train de se coucher � l'horizon dans la direction indiqu�e par les t�moins.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (fatigue, surprise).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise avec V�nus au coucher.
";"Observations d'un objet lumineux de couleur variant d'intensit� � basse altitude dans le ciel nocturne : observations de V�nus au coucher.";O;4;4;;1;;;;;2018-08-20;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-03-00743
908;"SAINT-PORCHAIRE (17) 1980";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";1980;03;03;"Les 3 et 7 mars 1980 plusieurs personnes ont observ� des ph�nom�nes lumineux particuliers et distincts. Le 3 mars � 22h15 une automobiliste et sa fille vont soudainement �tre �blouie par une lumi�re rouge provenant d'une boule qui se d�place en razant l'horizon. Cette boule, de la grosseur d'une ballon de foot, se d�place sans bruit dans le sens Sud-Est Nord-Ouest. Son d�placement semble se faire par palliers et � grande vitesse. Ce ph�nom�ne sera aper�u par d'autres personnes dont les gendarmes qui voient � 22h 25 un gros point lumineux rouge�tre, 5� au-dessus de l'horizon, et qui dispara�tra lentement � 22h 35 dans le Nord-Ouest. Ces gendarmes reviendront le lendemain sur les lieux et observeront aux jumelles un objet lumineux orang� produisant des �clats bleut�s. Celui-ci disparaitra totalement � 22h 45 � l'horizon. Il est � noter qu'� cette p�riode de l'ann�e, V�nus �tait particuli�rement visible ( magnitude -4,10 ) et tr�s basse sur l'horizon ( � -de 5� de l'horizon) et dispara�t totalement vers 22h 38. La vitesse et la descente par palliers indiqu�es par les t�moins est une impression donn�e par le fait que l'astre est tr�s bas et tr�s loin sur l'horizon. Les t�moins ont probablement fait, ce soir l�, une observation astronomique de V�nus. Le 7 mars 1980 vers 22h 10 ces m�mes personnes et d'autres vont �tre t�moins d'un nouveau ph�nom�ne lumineux particulier. Rentrant chez elle et descendant de sa voiture, un t�moin observe une boule lumineuse constitu�e de diff�rents cercles de plusieurs couleurs. Un �clair viendra frapper le sol aux pieds de son enfant. La boule d'un diam�tre estim� entre 20 et 25 cm se d�placera d'Ouest en Nord-Ouest pour dispara�tre totalement. Aucun bruit ne sera entendu et aucune d�charge �l�ctrique ne sera ressentie ; par contre une baisse de tension sur la ligne EDF sera constat� par de nombreuses personnes dans leur habitations ou sur l'�clairage public : il est a noter d'ailleurs qu' un des t�moins parle d'arc �lectrique aper�u entre une ligne �lectrique et le sol. Ces personnes ont probablement �t� t�moins d'un ph�nom�ne �lectrique.";"observations successives de ph�nom�nes lumineux distincts.";O;9;;;;;;;;2008-04-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-03-00745
909;"CORTE (2B) 1980";Haute-Corse;2B;"(D) D�partement";1980;03;03;"Le 03 mars 1980 � partir 20h 45 et durant une demi heure des t�moins aper�oivent au-dessus des cr�tes, une boule lumineuse de la forme d'une assiette. D'apr�s les t�moins, cet objet se situe entre 100 et 200 m�tres du v�hicule. Lors d'un arr�t de la voiture, les t�moins n'entendent aucun bruit et ne sentent aucune odeur particuli�re. Sur une distance approximative de 12 kilom�tres, ces personnes ont l'impression que l'objet les suit car il semble s'arr�ter ou repartir en m�me temps que leur v�hicule. L'objet a brusquement disparu et un autre ph�nom�ne lumineux rouge et conique cette fois est apparu. D�s leur arriv�e chez eux, les t�moins sont partis � la gendarmerie pour faire une d�position. Aucun autre t�moin ou trace du ph�nom�ne n'ont �t� retrouv�s lors de l'enqu�te. D'apr�s la direction du trajet emprunt� par les t�moins entre Favello et Cort� et si l'on tient compte de la route tr�s sinueuse entre ces deux endroits, il est probable que ces personnes aient fait une observation astronomique de V�nus. Particuli�rement visible en cette p�riode de l'ann�e ( magnitude -4,10) et tr�s bas sur l'horizon, cet astre devait appara�tre et dispara�tre en suivant la ligne de cr�tes.";"probable observation de V�nus.";O;4;;;;;;;;2008-04-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-03-00746
911;"SAINT-MENGES (08) 11.03.1980";Ardennes;08;"(D) D�partement";1980;03;11;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation (connu �galement sous le nom de VRIGNES AUX BOIS (08) 1980 a fait l'objet d'une revisite en 2007 et class� C et a �t� repris r�cemment (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Le 11 mars 1980 vers 21h un automobiliste (T1) est alert� par son jeune fils (T2) de la pr�sence dans le ciel d�gag� d'un ph�nom�ne lumineux ""comme une �toile"". Il semble se rapprocher et passer de la grosseur d'une pi�ce de monnaie � celle d'une assiette ce qui effraye les t�moins. Pris de panique, l'automobiliste fait demi-tour et son fils lui indique que le point est devenu rouge. Le moteur du v�hicule cale alors et la lumi�re s'�teint. Le v�hicule fini par red�marrer apr�s plusieurs essais. Le ph�nom�ne passe ensuite au-dessus du v�hicule puis s'�loigne progressivement. Les t�moins effray�s rentrent chez eux. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu. L'automobiliste se pr�sente � 22h30 � la gendarmerie et une enqu�te est men�e sur place d�s 23h40 : aucune trace au sol ou sur la v�g�tation n'est retrouv�e. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Les t�moins ont probablement observ� un a�ronef venant dans leur direction, avec son (ou ses) feu(x) d'atterrissage ou son phare de recherche (h�licopt�re) allum�(s). Ce feu puissant emp�che la perception visuelle de toute autre signalisation lumineuse. Seul le feu de navigation gauche est bri�vement aper�u par T2, soit de fa�on temporaire, soit en fin d'observation, avant que le PAN ne soit perdu de vue.
Aucun bruit n'a �t� per�u, mais ce param�tre n'est pas d�terminant. Il d�pend en effet de nombreux facteurs, tels que la perception auditive propre des t�moins, l'�loignement du ph�nom�ne, les bruits �ventuels pr�sents dans l'habitacle de la voiture Tous ces param�tres �tant inconnus ainsi que la force et de la direction du vent Et surtout, lorsque le t�moin affirme � je n'ai pas entendu le moindre bruit sur le ph�nom�ne � (PV), il ne pr�cise pas si l'observation s'est faite fen�tre du v�hicule ouverte ou ferm�e.
Nous avons d�montr� au fil de l'enqu�te que les conditions de visibilit� dans le v�hicule des t�moins limitent consid�rablement leur champ visuel et que l'observation s'est faite alors que le PAN restait visuellement bas sur l'horizon, y compris une fois le demi-tour effectu�. Il �tait donc probablement encore tr�s �loign� des t�moins lorsque ceux-ci ont effectu� ce demi-tour et ont occasionn�, dans la panique et le stress, un encha�nement d'�v�nements non li�s au ph�nom�ne lui-m�me (calage du moteur, extinction des feux, non-allumage d'une lampe-torche).
Les t�moins sont totalement accapar�s par leur stress et le d�sir de quitter au plus vite le lieu de l'observation, le PAN, toujours dans l'hypoth�se de la confusion avec un a�ronef, se trouvant encore loin des t�moins a � tout le loisir �, en quelque sorte, de disparaitre pour de bon de leur champ de vision, possiblement suite � un virage.
T1 (le conducteur) affirme avoir revu le point rouge du PAN � comme mon fils l'avait dit � devant lui. Nous avons pu montrer que ce point rouge, observ� � cet instant, n'�tait probablement que la plan�te Mars, visible en conjonction avec la plan�te Jupiter, dans la direction d'observation (sud-est), face aux t�moins.
Paniqu� et ne pensant qu'� rentrer chez lui � cet instant, T1 ne s'est pas attard� davantage sur cette observation finale de Mars, qui a probablement �t� tr�s br�ve, ce qui ne lui a pas permis de constater que ce � point rouge � ne bougeait pas et ne pouvait donc pas �tre li� au PAN. La n�cessit� du t�moin d'essayer de se concentrer sur sa conduite, de nuit et sur une route en mauvais �tat, li� � son �tat de stress renforce ce point.
La disparition rapide et progressive de Mars peut tout � fait avoir �t� caus�e par le passage devant la plan�te d'un banc de brume �pais, dont la pr�sence est confirm�e par les donn�es m�t�orologiques. Cette disparition contribue � l'illusion du PAN car la diminution d'intensit� peut �tre interpr�t�e comme l'augmentation de distance du PAN.
Cette confusion finale avec la plan�te Mars rend caduque la seconde partie de la trajectoire du PAN telle que figurant dans les deux sources d'information relatives au cas, apr�s son passage au-dessus du v�hicule des t�moins. Ils ne l'auraient finalement observ� qu'en direction du nord-ouest.
Concernant les ph�nom�nes annexes de calage de moteur et d'extinction simultan�e des feux de la voiture, nous avons montr� qu'une panne provoquant simultan�ment l'arr�t imm�diat et total du moteur et des feux est hautement improbable, de par la conception m�canique et �lectrique du v�hicule du t�moin.
L'hypoth�se que le calage ait �t� provoqu� par une inattention de conduite de T1, dans un �tat de grand stress � cet instant, est plus probable. Il est par ailleurs envisageable que, par r�flexe de peur et de protection inconscient (pour ne pas �tre � rep�r� �), le t�moin ait d�lib�r�ment coup� ses feux pour les rallumer ensuite. La peur du ridicule, en repensant r�trospectivement et � froid � cet �pisode, pourrait expliquer que T1 n'ait pas souhait� le mentionner explicitement devant les enqu�teurs. Ceci reste toutefois tr�s hypoth�tique, aucun �l�ment concret ne venant �tayer cette hypoth�se.
Au vu de l'ensemble de ces points, il semble d�sormais inad�quat de lier les deux �v�nements. Le premier �tant probablement un simple a�ronef observ� dans des conditions particuli�res (de nuit et de face avec un (ou des) feu(x) d'atterrissage ou un phare de recherche allum�(s)) ayant entra�n� un encha�nement en cascade de r�actions de panique des deux t�moins, se trouvant dans un �tat de stress extr�me.
La consistance est moyenne. Il manque des donn�es, angulaires (dimensions apparentes du PAN), testimoniales (fen�tres ouvertes ou ferm�es, position de T2 dans l'habitacle, t�moignage de T2) et photographiques (pas de photos, ni de vid�os du ph�nom�ne). L'absence de ces donn�es ne permet ni d'infirmer, ni d'�tayer fermement une hypoth�se avion qui reste n�anmoins suffisamment probable pour �tre retenue. Le classement D (qui a exist� un temps pour ce cas) est par contre exclu du fait de cette hypoth�se qui en r�duit l'�tranget�.
Le GEIPAN classe en B: observation probable d'un a�ronef.";"Observation dans le ciel nocturne du passage rectiligne (ou l�g�rement courb�e) et silencieux d'un ph�nom�ne lumineux de couleur (blanc puis jaune-orang� ou rouge) qui semble se rapprocher des t�moins en grossissant : observation probable d'un a�ronef.";O;1;1;;1;;;;;2018-07-10;;;0.35;0.00;;;0.60;;0.70;;0.40;0.00;B;B;1980-03-00748
912;"AIX EN PROVENCE (13) 17.03.1980";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1980;03;17;"le 17 mars 1980 � 20h 40, trois personnes observent un objet tr�s lumineux qui se d�place lentement dans le sens Sud-Nord. Cet objet est de forme circulaire. Cette observation n'est pas confirm�e par des gendarmes qui � plusieurs reprises regarderont le ciel dans cette direction. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"OBSERVATION D'UN OBJET LUMINEUX.";O;3;;;;;;;;2012-01-24;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-03-00750
913;"EGUILLE (L') (17) 16.03.1980";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";1980;03;16;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� EGUILLE (L') (17) 16.03.1980 (mais connu �galement sous le nom de ROYAN (17) 1980) fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le 16 mars 1980 vers minuit trente, trois t�moins sont intrigu�s par la pr�sence d'une masse lumineuse de couleur jaune orang� dans le ciel nocturne couvert et bas. Durant 45 minutes, malgr� des all�es et venues (notamment pour pr�venir la gendarmerie), les t�moins vont suivre les d�placements silencieux du ph�nom�ne. Ce dernier dispara�t rapidement entre Marennes et Rochefort (17). Un croquis repr�sentant le d�placement du PAN et le paysage aux alentours est joint au proc�s-verbal, ainsi qu'un plan de situation et qu'une planche photographique annot�e avec la position du PAN. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Seules deux hypoth�ses ont �t� retenues, �tudi�es et exploit�es ; qui sont finalement assez proches l'une de l'autre.
Celle de l'impact sur la basse couche nuageuse du projecteur d'un braconnier (en bateau ou � pieds) p�chant la civelle (les p�cheurs � officiels � ne sortant jamais le dimanche), est plausible au regard de la position privil�gi�e des t�moins, situ�s � proximit� imm�diate et observant dans l'axe de la Seudre, rivi�re o� cette p�che se pratique. Les p�cheurs utilisent de puissants projecteurs qui, braqu�s vers le ciel, peuvent donner cet aspect saisissant de t�che sur la couche nuageuse basse.
La forme, circulaire et d�form�e par la perspective, la � petite queue lumineuse � d�crite par le t�moin 1 ainsi que les estimations de dimensions donn�es par les t�moins sont des caract�ristiques toutes compatibles avec cette hypoth�se.
Cependant, elle est mise en d�faut par quatre facteurs principaux :
la couleur du projecteur, qui est blanche et non jaune orang�e.
la luminosit� du PAN, d�crite comme tr�s forte, voire �blouissante, par les trois t�moins. Le t�moin 1 d�crit par exemple que le paysage alentours �tait illumin� comme en plein jour, ce qui est strictement impossible � produire avec l'impact d'un projecteur sur des nuages, m�me situ�s � basse altitude.
le risque que prendrait un braconnier � laisser ainsi son projecteur orient� vers le ciel, le rendant facilement rep�rable par les autorit�s.
on pourrait �galement se demander pourquoi un braconnier � s'amuserait � ainsi avec son projecteur, en le faisant aller et venir dans le ciel pendant 45 minutes.
L'autre hypoth�se, mettant en jeu un projecteur de discoth�que, est plausible, tout comme pour celle du projecteur d'un braconnier, au regard de l'axe d'observation, en direction d'une zone c�ti�re, de la forme, des dimensions et de la � petite queue lumineuse � d�crite par le t�moin 1.
Les d�placements d�crits par les t�moins ainsi que la couleur jaune orang�e sont �galement compatibles avec l'hypoth�se ainsi que la date, dans la nuit du samedi au dimanche.
Il existe en revanche des donn�es qui invalident cette hypoth�se. Nous retiendrons en particulier :
la luminosit� du PAN, d�crite comme tr�s forte, voire �blouissante, par les trois t�moins. Le t�moin 1 d�crit par exemple que le paysage alentours �tait illumin� comme en plein jour, ce qui n'est pas compatible d'un projecteur sur des nuages, m�me bas.
nous sommes hors-saison et aucun �tablissement pouvant utiliser ce type de projecteur n'est ouvert.
les distances sont trop importantes pour qu'il puisse s'agir d'un projecteur utilis� par un �tablissement c�tier, sauf � imaginer un dispositif local plus proche, mais il est trop tard pour qu'une quelconque v�rification puisse �tre faite sur place.
Il n'y a donc aucune hypoth�se de probabilit� suffisante pour expliquer l'observation. Au niveau de la consistance, bien que tous les t�moins aient �t� entendus en Gendarmerie et que le proc�s-verbal �tabli en cons�quence soit assez complet (cartes et planche photographique), il manque des donn�es importantes telles que des relev�s d'azimuts pour chaque t�moin (seul le t�moin 1 ayant donn� l'information) et d'angles d'�l�vation du PAN.
Dans la m�thodologie actuelle GEIPAN, le pr�sent niveau d'�tranget� et de consistance imposent de pratiquer une � enqu�te terrain � avec le t�moin pour une reconstitution et un entretien cognitif. Cette derni�re est susceptible d'impacter positivement et n�gativement l'�valuation d'�tranget� comme de la consistance. Mais elle n'est pas possible pour un cas en revisite si longtemps apr�s. Aussi l'�valuation du pr�sent cas est faite selon les crit�res actuels de prise en compte de l'�tranget� et de la consistance
(voir actualit� GEIPAN /index.php?id=181&no_cache=1&tx_ttnews[backPid]=211&tx_ttnews[tt_news]=209) comme si l'enqu�te terrain avait �t� faite et avait �t� totalement neutre (aucun apport en plus ou moins), ce qui est quelque fois le cas. Par contre, afin de marquer cet �cart m�thodologique, la classification se fait sur la base ABCD et non sur l'actuelle ABC D1/D2 qui correspond pour le classement inexpliqu� � une validation plus forte du caract�re inexpliqu�.
Ici le cas est la limite entre un cas inexpliqu� et un cas inexploitable par manque de consistance dans l'�tat de dossier faute d'enqu�te GEIPAN men�e sur place.
En cons�quence, le cas est class� D : inexpliqu�.
";"Observation par trois t�moins des �volutions silencieuses d'une masse lumineuse jaune orang� dans le ciel nocturne : ph�nom�ne �trange de consistance moyenne ou forte.";O;3;3;;1;;;;;2018-11-12;;;0.65;0.00;;;0.90;;0.75;;0.68;0.00;D;D1-;1980-03-00751
914;"FONTEVRAUD L'ABBAYE (49) 1980";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";1980;03;25;"Le 25 mars 1980 � partir de 21h50 plusieurs militaires observent durant une heure un ph�nom�ne lumineux particulier. Une boule plus grosse qu'une �toile et de couleur jaun�tre �met des rayons lumineux importants. Elle est observ�e en direction de l'Ouest avec une position un peu au-dessus de l'horizon sans pr�cision angulaire pr�cise. L'examen de la carte du ciel montre � cette heure V�nus en direction de l'ouest � 11� environ au dessus de l'horizon et qui pr�sente une magnitude importante de -4,22. Sirius est �galement tr�s visible avec une magnitude de -1,45 mais les t�moins ont probablement �t� abus�s par l'observation de V�nus.";"Observation probable de la plan�te V�nus";O;9;;;;;;;;2008-04-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;B;C;1980-03-00753
916;"LA SOURCE (45) 1980";Loiret;45;"(D) D�partement";1980;03;27;"Le 27 mars 1980 vers 22h, un automobiliste et sa passag�re aper�oivent dans le ciel une masse sombre de forme triangulaire. A chaque extr�mit�s des lumi�res rouges et blanches clignotantes donnent l'envergure de l'objet : celle-ci atteint d'apr�s le t�moin 50 m�tres. L'engin d'abord stationnaire, se d�place ensuite en s'inclinant lentement et en restant � la fois � 50 m du sol et de la voiture. Reprenant de l'altitude, l'engin s'est ensuite inclin� sur la droite puis a disparu dans le ciel � une vitesse importante. Durant les 4 � 5 minutes d'observation et avec les vitres ferm�es, aucun bruit particulier n'a �t� entendu. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation d'un objet volant de forme triangulaire de 50 m�tres d'envergure, pas de bruit , vitesse variable.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1980-03-00755
918;"SAINT-REMY-DE-PROVENCE (13) 23.03.1980";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1980;03;23;"Le 23 mars 1980 � 22h 20 des personnes alertent la gendarmerie : ils observent des ph�nom�nes lumineux inexpliqu�s �voluant � la base de la tour-relais de t�l�vision hertzienne du ""Mont Caume"". Se rendant imm�diatement sur les lieux et lors de v�rifications men�es les soirs suivants, il s'av�rera que les ph�nom�nes lumineux viennent de projecteurs de signalisation nouvellement install�s au pied de la tour. De plus les gendarmes constateront que d'autres effets lumineux aper�us depuis cet endroit ne sont en fait que les �clairages publics de villages environnants et les phares de v�hicules qui se d�placent. Ces signalisations lumineuses sont � cette �poque noy�es et pertub�es r�guli�rement par de la brume et des conditions climatiques d�favorables.";"Observation de ph�nom�nes lumineux identifi�s comme �tant des projecteurs.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-03-00757
919;"FAY-LE-CLOS (26) 29.03.1980";Dr�me;26;"(D) D�partement";1980;03;29;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions, en mettant � profit de nouveaux moyens techniques (logiciels) et l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es. Ce r�examen aboutit quelquefois � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SAINT-VALLIER (26) 1980 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Lors de trajets, plusieurs personnes dans deux voitures observent le d�placement vers l'Ouest d'un ph�nom�ne lumineux circulaire dans le ciel. Le PAN est d�crit comme une boule tr�s lumineuse de couleur (blanche phosphorescente, orang�e, rouge selon les t�moins) avec des ""reflets verts"" en forme de ""pieds"". Une fois tous arriv�s au m�me endroit, ils continuent leurs observations jusqu'� ce que le PAN disparaisse derri�re les montagnes en direction de le Nord-Ouest. Les observations ont dur� entre 5 et 20 minutes.
Les t�moins ont tr�s probablement observ� VENUS.
La dur�e d'observation, importante, est classique de ce type de confusion avec un astre.
L'observation s'est d�roul�e vers le nord-ouest ou l'ouest et � une faible �l�vation angulaire, ce qui correspond bien � l'emplacement de V�nus aux heures de l'observation, qui �tait situ�e aux environs de 6� d'�l�vation, � l'ouest-nord-ouest.
L'apparence du PAN, principalement d�crit comme �tant blanc, ponctuel et fortement lumineux, correspond parfaitement avec l'hypoth�se. Les variations dans le r�cit de quelques t�moins relativement � cette apparence traduisent le fait que V�nus se trouvait tr�s bas sur l'horizon et �tait sujette aux turbulences atmosph�riques pouvant faire varier de fa�on temporaire et al�atoire sa luminosit� et produire des effets de couleurs brefs (rouge, vert) , mais �galement produire de forts �clats, ce que les t�moins traduiront par des � pieds lumineux �.
La perception de d�placement rapide du PAN s'explique par le d�placement des t�moins en voiture. L'astre non reconnu d�file le long et derri�re l'environnement parcouru par le v�hicule et est per�u comme un PAN suiveur. D'autres d�placements per�us rapides, mais le t�moin �tant � l'arr�t r�sultent de la diminution d'intensit� lumineuse de l'astre (�paisseur de voile atmosph�rique) que le t�moin interpr�te logiquement comme un d�placement en �loignement du PAN. La perception de d�placement lent du PAN correspond bel et bien au coucher de V�nus et sa disparition � celle de V�nus derri�re les montagnes du Forez.
Le seul �l�ment qui pourrait limiter cette hypoth�se serait la pr�sence d'un obstacle nuageux emp�chant ce soir-l� de voir V�nus. N�anmoins, la seule indication disponible �tant celle d'un ciel globalement d�gag� (2/8) � 35 km, vu la forte correspondance avec V�nus, la probabilit� qu'il s'agisse d'un autre ph�nom�ne sur fond de nuages cachant V�nus est tr�s faible.
En conclusion, le GEIPAN classe le cas en A, observation tr�s probable de la plan�te V�nus.";"Longues observations par quatre t�moins en voiture du d�placement d'un ph�nom�ne tr�s lumineux circulaire dans le ciel et disparition vers l'Ouest : observation de V�nus au coucher.";O;4;4;;1;;;;;2018-11-27;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.60;;0.50;0.00;A;A;1980-04-00761
920;"NOGENT-LE-ROTROU (28) 10.03.1980";Eure-et-Loir;28;"(D) D�partement";1980;03;10;"Le 10 mars 1980 � la fin de leur service, les gendarmes de la brigade d'Authon-du-Perche re�oivent un appel de la brigade voisine leur signalant le t�moignage d'un chauffeur de taxi qui a aper�u une lueur �trange sur la route qui va vers Authon. Ils se rendent rapidement sur les lieux mais ne constatent rien de particulier.
De retour chez lui, l'un des gendarmes ainsi que son �pouse continuent de surveiller le ciel et vers 22h15, ils aper�oivent une lumi�re de taille plus importante qu'une �toile, et qui a des mouvements totalement erratiques dans le ciel. Cette lumi�re est en forme de disque orang�.
Le gendarme rappelle ses coll�gues et tous les quatre partent en voiture � la recherche du curieux ph�nom�ne. Apr�s l'avoir suivi et perdu de vue plusieurs fois � cause du relief, ils finissent par descendre de voiture � un carrefour. Ils observent alors une grande forme rectangulaire aux coins arrondis avec des rampes lumineuses blanches qui �clairent le paysage environnant ainsi que la voiture.
L'un des gendarmes ressent une sensation de chaleur ainsi qu'un fort sentiment de crainte qui plus tard l'emp�chera de s'endormir. Les gendarmes rentrent chez eux vers 23h30.
Aucune explication n'a pu �tre trouv�e � cette observation dont les caract�ristiques des mouvements erratiques et tr�s rapides se retrouvent �galement dans d'autres t�moignages d'observation.";"Observation d'une grande forme rectangulaire avec des rampes lumineuses.";O;1;;;;;;;;2011-12-16;;;0.20;0.00;;;0.40;;0.70;;0.30;0.00;D;A;1980-03-01696
921;"GRANDFONTAINE (25) 03.03.1980";Doubs;25;"(D) D�partement";1980;03;03;"Le 3 mars 1980 entre 20 heures 30 et 20 heures 45, un couple circulant en voiture observe une boule orange de la taille du soleil couchant. Un peu plus tard, ils ne voient plus cette boule mais ils constatent la pr�sence de la lune, plus blanche.
Il est probable que les t�moins aient �t� surpris par une apparence singuli�re de la lune en d�but de nuit, �clair�e par le soleil couchant.";"Observation d'une boule orange sur l'horizon : observation probable de la lune";O;1;;;;;;;;2015-11-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-03-01698
922;"OTTMARSHEIM (68) 1980";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";1980;03;04;"Le 4 mars 1980 vers 21 heures 45, de nombreux t�moins signalent avoir observ� un ph�nom�ne lumineux 5 fois plus grand et brillant qu'une �toile. Cette boule est plut�t de couleur rouge orang�e et reste stationnaire dans le ciel. L'enqu�te montrera que les conditions �taient exceptionnellement favorables pour l'observation sous un aspect tr�s particulier de certaines plan�tes comme Mars.";"Observation probable de Mars";O;7;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-03-01699
924;"CONFLANS-SAINTE-HONORINE (78) 02.04.1980";Yvelines;78;"(D) D�partement";1980;04;02;"Le 02 avril 1980 vers 23h 30 des personnes observent dans le ciel une boule lumineuse de la forme d'un ballon de rugby. Cet objet immobile est observ� pendant 20 minutes. Puis il se d�place tr�s lentement et un bruit de brassage d'air que les t�moins d�crivent comme un bruit de ventilateur est entendu. Cette boule s'�loigne plein Ouest. L'observation se poursuivra presque une heure avant d'�tre abandonn�e par les t�moins. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations. L'hypoth�se de l'�volution de nuit d'un h�licopt�re l�ger est coh�rente avec les t�moignages et ne doit pas �tre �cart�e bien qu'elle n'ait pas �t� v�rifi�e.";"Observation d'une boule brillante, immobile avec un bruit de d�placement d'air.";O;4;;;;;;;;2012-08-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-04-00759
925;"SAINT-USUGE (71) 07.04.1980";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";1980;04;07;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site : www.cnes-geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� C et nomm� LOUHANS (71) 1980 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 07 avril 1980 vers 2h du matin, deux personnes (T1 passag�re et T2 conductrice) circulant sur la d�partementale D13 � quelques kilom�tres de Saint-Usuge (71) aper�oivent une lumi�re rouge orang�e � tr�s basse altitude. Cette lumi�re est situ�e approximativement au-dessus de la rivi�re "" la Seille"" et semble se d�placer en suivant le cours d'eau. Sur la D178 au lieu dit ""Varennes"", le PAN est vu comme une boule, se d�pla�ant au ras du sol par bonds successifs. Les t�moins voient ensuite la boule chuter et s'immobiliser sur un c�t� de la route. La conductrice s'arr�te puis prise de panique recule et fait demi-tour. Alors qu'une voiture arrive en sens inverse, les t�moins voient la boule prendre de l'altitude et dispara�tre. Les t�moins se rendent � la gendarmerie. L'observation a dur� 10 minutes environ.
Ce cas est consistant (deux t�moins), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute (voir les notes d'enqu�te).
Le classement initial en C ne para�t pas du tout justifi�.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la Lune au lever.
La Lune �tait effectivement en train de se lever dans l'axe que les t�moins indiquent.
Les perceptions de mouvement du PAN correspondent aux illusions typiques cr��s par un astre :
Le PAN suit les t�moins en mouvement selon une trajectoire parall�le, c'est l'illusion de la boule suiveuse.
- la direction de l'astre est bien s�r fixe en absolu. Quand la voiture du t�moin suit un cap � peu pr�s constant, l'astre est fixe par rapport au v�hicule et d�file le long du paysage. Comme le t�moin ne voit pas l'astre mais un PAN et le consid�re � une distance proche, ce d�filement le long du paysage est per�u comme un d�placement du PAN parall�lement au v�hicule en reproduisant les marches/arr�ts ;
- la perception de d�placement de PAN est introduite par son d�filement (apparent) le long du paysage.
En absence totale de paysage (mer, d�sert), l'illusion ne se produit pas ou peu. Si les rep�res de paysage sont proches, l'astre d�file derri�re eux rapidement, s'ils sont loin, le d�filement et donc la perception de vitesse de d�placement du PAN est moindre. Il suffit qu'il y ait une alternance de rep�res plus ou moins proches dans le paysage pour que le t�moin per�oive des d�placements du PAN en saccades par bond (� se d�pla�ant par bonds �). De m�me, la notion de hauteur du PAN par rapport au paysage situ� dessous est relative, une alternance de hauteurs de paysage (mal reconnu) peut induire une perception d'alternance de hauteur absolue du PAN contribuant aussi � la notion de mouvement par bonds du PAN.
Un autre ph�nom�ne de mouvement de l'astre peut �tre cr�� par sa variation d'intensit� lumineuse, elle-m�me caus�e par l'�volution du voile atmosph�rique devant l'astre (le ciel n'�tant pas totalement d�gag�). Cette variation est logiquement interpr�t�e par le t�moin comme une variation en distance (vers lui ou � l'oppos� de lui) du PAN selon des vitesses souvent qualifi�es de fulgurantes, en particulier lors de la fuite et de la disparition finale. Cette fuite en distance est alors logiquement d�crite comme une fuite dans le ciel ou ""une prise d'altitude"" et le t�moin ne voit et ne d�crit bien s�r aucune variation de position en site ou azimut (en effet ceux de l'astre sont fixes). Ici, le t�moin dit � la boule s'est �lev�e � grande vitesse, en obliquant sur la droite par rapport � notre sens de marche �. Effectivement, auparavant le PAN � suivait � les t�moins et avait une trajectoire parall�le sur leur droite, la fuite finale en distance du PAN est logiquement per�ue comme un �loignement vers la droite du PAN avec donc changement de trajectoire de ce dernier.
Il est � noter l'�tat de stress et de panique dans lequel sont plong�s les t�moins : � prise de panique, ma sur a recul� � (T1).
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (fatigue, conduite de nuit, panique).
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas comme PAN A : observation li�e � une m�prise avec la Lune au lever.
";"Observations nocturnes depuis un v�hicule d'une boule lumineuse se d�pla�ant � ras du sol par bonds successifs : m�prises avec la Lune au lever. ";O;2;2;;1;;;;;2018-10-11;;;0.15;0.00;;;0.80;;0.70;;0.60;0.00;A;A;1980-04-00760
928;"(DPT) BAS-RHIN (67) 11.04.1980";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";1980;04;11;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SOULTZ SOUS FORETS (67) 1980 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Dans la nuit du 11 au 12 avril 1980 entre 23h50 et 0h30 plusieurs t�moins vont observer longuement et depuis diff�rents lieux un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Ce ph�nom�ne, statique ou en d�placement lorsque les personnes se d�placent dans leur v�hicule, intrigue les t�moins.
Les t�moignages rapport�s par les PV de gendarmerie (N�491 et N�307) pr�sentent les caract�ristiques d'une observation d'un astre. Caract�ristiques aujourd'hui bien connues du GEIPAN avec l'accumulation de cas expliqu�s de ce type en particulier au cours des dix derni�res ann�es (voir site www.geipan.fr et recherche de cas avec les ph�nom�nes astres, V�nus, Lune, Soleil ):
- dur�e d'observation longue de plus de 30 minutes, faible hauteur dans le ciel et disparition finale du PAN derri�re le relief local.
- position du PAN stable � l'arr�t du t�moin et mobile d�s lors que le t�moin se d�place avec perception d'�tre suivi par le PAN. Il s'agit de l'illusion de la ""boule suiveuse"". La direction de l'astre est bien s�r fixe en absolu. Quand la voiture suit un cap � peu pr�s constant, l'astre est fixe par rapport au v�hicule et d�file avec le paysage. Comme le t�moin a d�j� au pr�alable �t� surpris par l'aspect du PAN et le consid�re � une distance proche, ce d�filement le long du paysage est compris comme un d�placement du PAN parall�lement au v�hicule en reproduisant la vitesse de ce dernier, ici � gauche des t�moins sur la route de Hoelschloch � Merkwiller. Et bien s�r, arriv� � Merkwiller, le PAN ""contourne l''�glise"" situ�e � gauche de la direction suivie par la voiture et au carrefour, lorsque le v�hicule s'arr�te, le PAN reste au niveau du carrefour.
- non identification par les t�moins d'un astre remarquable car tr�s lumineux pourtant pr�sent dans la direction de l'observation, alors que le ciel est d�crit comme d�gag� et �toil�.
On v�rifie qu'il s'agit effectivement d'un astre � savoir V�nus qui, � 23H50, est tr�s visible (magnitude - 4,4) en azimut 301� et � hauteur 6,2�.
-les rep�rages de vis�es des t�moins T2 et T3 concordent, ils situent le PAN ""au dessus du Liebfrauenberg"" qui est en fait le ch�teau du m�me nom. T1 utilise un rep�re moins pr�cis ("" � proximit� des radars de la base de Drachenbronn"") et T3 mentionne � la fin de sa d�position ces m�mes radars tout en r�p�tant que le PAN �tait au-dessus du Liebfrauenberg (""Je pr�cise que lorsque la boule �tait au - dessus du Liebfrauenberg, dans cette direction, elle se trouvait tr�s pr�s et juste au -dessus des installations radars de la Base A�rienne, � leur gauche."". La formule est confuse, d'autant qu'il y a 20� � 30� d'�cart d'azimut entre les deux rep�res (selon la largeur du domaine attribu�e au ch�teau du Liebfrauenberg). On peut penser que T3 a surtout voulu attirer l'attention sur le fait que des radars militaires n'�taient pas loin de l'OVNI. T4 mentionne ""nous avons pu observer pendant une demi-heure environ l'objet qui se trouvait apparemment en stationnement au-dessus de la base de DRACHENBRONN"". On note que T4 n'est pas originaire des lieux (service militaire) et a pu utiliser la r�f�rence de T1 ou T3 (les t�moins �taient tous ensemble au moins � un moment de l'observation), ce que traduirait le ""apparemment"", mais tout en faisant un raccourci, il parle de la base, qui est en direction NE, et non des radars de la base qui sont en direction Nord Ouest Nord.
- en prenant le rep�rage pr�cis utilis� par T2 et T3 et non infirm� par T1 et T4, � savoir le ch�teau du Liebfrauenberg et comme lieu d'observation le carrefour de Merkwiller ou le lieu-dit Hattenweg, la vis�e correspond � l'azimut de Venus (~300�). On v�rifie que le profil altim�trique dans cette direction (� +/- 5� autour) ne cache pas V�nus, l'obstacle le plus en �l�vation (massif de la for�t de Goersdorf) se trouvant � 4,2 km (de Hattenberg) avec un d�nivel� de 200 m soit � une �l�vation relative de 2,7�. Selon cette estimation, le masquage de V�nus intervient � 0H20 alors que les t�moins le notent � 0H25 ou 0H30, la variation d'�l�vation sur 10 mn est de 1,2�. On est parfaitement dans les marges d'erreur d'appr�ciation ou de connaissance des heures exactes des �l�ments d'observation comme des positions pr�cises des t�moins au moment de ces observations (influe sur l'�valuation des masquages).
Le PV de gendarmerie N�491 note dans sa synth�se d'enqu�te et le dessin associ� que le PAN a fait une fuite finale (apr�s une demi-heure de stabilit� au-dessus du Liebfrauenberg) vers le Nord EST. Ce qui viendrait en contradiction avec l'hypoth�se. Mais T2 et T4 ne mentionnent pas de fuite finale. L'expression utilis�e par T2 ""ce dernier est rest� jusqu'� 0 heure 30 au dessus du Liebfrauenberg, J'ignore quelle direction il a prise par la suite, je n'ai pas fait attention."" laisse penser que T2 avait connaissance de t�moignages de fuite finale mais n'�tait pas en mesure de confirmer. T3 mentionne ""cette boule est partie en laissant une tra�n�e jaune, en direction du Nord"". T3 a pu subir l'illusion classique d'une r�duction finale d'intensit� de l'�toile ( en raison de la couche atmosph�rique) en l'interpr�tant comme un �loignement soudain en distance et il aurait approximer une fuite vers le Nord Est (V�nus est alors � 308�) en fuite vers le Nord comme il approximait d�j� Liebfrauenberg et les radars de la base. T1 indique ""L'objet se tenait immobile � proximit� des radars de la base de DRACHENBRONN, Nous avons observ� ce ph�nom�ne jusque z�ro heure vingt-cinq � laquelle il s'est �loign� � tr�s grande vitesse vers LOBSANN. LOBSANN �tant en NE, cette indication traduirait une nette fuite finale du PAN franchement vers la droite sans possibilit� de l'associer � une fuite en distance comme pour T3. N�anmoins le t�moignage de T1 vient en �cart des autres sur plus d'un point. Dans la phase en voiture (avec T2 et T4), T1 d�crit le PAN ""haut dans le ciel"" alors que T4 et T2 le voient sur la gauche (ou dans une direction fixe �quivalente � la gauche) et alors que T4 mentionne que T1 a signal� aux autres le PAN sur sa gauche. T1 est le seul � d�crire un PAN en ""deux disques reli�s par un trait"". Enfin T1 d�crit une travers�e de route par le PAN, le PAN venant de la droite. Cette sensation d'�volution du PAN par rapport � la route a pu se produire mais pas dans ce sens et pas dans ces proportions. Le cap de la route n'est pas stable, en particulier au niveau du cimeti�re (zone signal�e par T1 comme franchissement de la route par le PAN) , le cap passe de N � NE et donc la direction de V�nus par rapport � la route passe de la gauche ( cap 10H) pour se caler au voisinage du cap de la route (cap 12h) . Ces �l�ments de singularit� et/ou d'exag�ration des sensations de T1 nous conduit � ne pas les retenir.
Les autres �l�ments d'�tranget� apparente, comme les changements de couleur, les impressions de baisse de hauteur du PAN par saccade ou escalier, sont classiques de l'observation de V�nus � faible �l�vation au travers des couches atmosph�riques cr�ant les modifications de couleurs. La premi�re m�prise (non reconnaissance du fait de la lueur et des couleurs) est � l'origine de l'erreur d'appr�ciation de distance et in fine de l'illusion de boule suiveuse. L'ensemble se consolide mutuellement en �tranget�.
La forte coh�rence d'aspect et de position dans le ciel avec V�nus ne laisse aucun doute. Les quelques �l�ments qui s'opposeraient (fuite finale vers l'EST) ne peuvent �tre retenus car ils viennent d'un seul t�moin parmi les 4, en singularit� ou contradiction avec les trois autres.
Enfin aucun des t�moins n'a distingu� V�nus pendant plus de 30 minutes, alors que le ciel est d�gag� et que Venus est dans la direction d'observation et aurait d� �tre un rep�re clef pour situer le PAN.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observations de V�nus.";"Multiples et longues observations en divers lieux d'observation et en roulant d'un ph�nom�ne lumineux de couleur dans le ciel d�gag� ; ""illusion de la boule suiveuse"" : observations de V�nus.";O;4;;;;;;;;2017-11-23;;;0.05;0.00;;;0.60;;0.68;;0.42;0.00;A;A;1980-04-00764
929;"METZ (57) 1980";Moselle;57;"(D) D�partement";1980;04;13;"Le 13 avril 1980 en soir�e, deux personnes observent depuis leur r�sidence des points lumineux dans le ciel. Ils se d�placent rapidement � haute altitude dans une direction Nord-Sud. Ces points �mettent une lumi�re blanche clignotante. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations. Il est cependant probable qu'il s'agissait d'un passage d'avion en haute altitude.";"Observation de points lumineux clignotants, probablement un avion.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-04-00765
930;"PELLERIN (LE) (44) 21.04.1980";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1980;04;21;"Le 21 avril 1980 �11h 55 un t�moin entend un sifflement et est effray� par une gerbe de feu et la chute � quelques m�tres de lui d'un objet venant du Nord- Ouest . Il n'entend aucun bruit d'impact et ne voit aucune fum�e. Ce jardinier d�crit l'objet comme ayant la grosseur d'un seau d' un diam�tre de 20 cm et les couleurs de l'arc en ciel. Les gendarmes appel�s sur place constatent des traces au sol : sur un cercle de 100 m de diam�tre le sol est recouvert d'une poudre blanch�tre et l'herbe est br�l�e. Aucune trace d'impact du type crat�re n'est pr�sente au sol. Le lendemain une pi�ce m�tallique sera retrouv�e. Il n'a pas �t� retrouv� trace des r�sultats d'analyse dans les archives du GEIPAN, ce qui nous conduit � un classement C en attendant d'avoir retrouv� ces pi�ces.";"Observation br�ve de la chute d'un objet : traces au sol.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-04-00766
931;"VEZZANI (2B) 1980";Haute-Corse;2B;"(D) D�partement";1980;04;27;"Le 27 avril 1980 un t�moin observe un ph�nom�ne particulier alors qu'il s'appr�te � rentrer chez lui vers 0h 30. Une boule rouge-orang�e de la grosseur d'un ballon de football s'approche vers lui et s'arr�te � 5 m�tres de la maison. Cet objet brille fortement d'un �clat m�tallique. R�veillant d'autres personnes chez lui , ils vont �galement observer cette boule lumineuse. Effray�s, ils d�cideront de rentrer se coucher. Le lendemain aucune trace suspecte ne sera remarqu�e sur le devant de la porte. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Obsevation d'une boule lumineuse au sol.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-05-00767
932;"LE CHESNAY (78) 1980";Ile-de-France;IDF;"(R) R�gion";1980;04;05;"Le 05 avril 1980 vers 22 heures 45, un t�moin observe une boule lumineuse blanche montant par saccades dans le ciel laissant derri�re elle une train�e blanche. Apr�s avoir mont�, l'objet est parti � l'horizontale � tr�s grande vitesse avant de disparaitre. L'enqu�te n'a pas permis d'identifier le ph�nom�ne observ�.";"Observation de la mont�e vers le ciel d'une boule blanche qui part ensuite � l'horizontale � tr�s grande vitesse.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1980-04-01695
935;"FLIXECOURT (80) 1980";Somme;80;"(D) D�partement";1980;05;08;"Le 8 mai 1980 � 23h 30 des gendarmes sont appel�s sur les lieux de l'apparition d'un ph�nom�ne particulier. Un t�moin, fortement impressionn�, affirme que sa chambre a soudainement �t� �clair�e par une forte lumi�re, qu'il a ressenti dans cette pi�ce la pr�sence d'une forme humano�de et que par la fen�tre lui et sa soeur ont pu voir le d�placement d'un objet lumineux . Les gendarmes n'ont pas recueilli de traces ou d'autres t�moignages dans le secteur confirmant les dires de ces personnes. D'autres t�moins pr�sents � leur domicile dans des pi�ces correctement orient�es auraient du voir le ph�nom�ne compte tenu de l'ampleur d�crite. Ce qui n'a pas �t� le cas. Les chiens de garde des t�moins, d'ordinaire tr�s agressifs la nuit � la moindre lumi�re, n'ont pas boug� lors de ce ph�nom�ne. Enfin, l'enqu�te de la gendarmerie a montr� une certaine fragilit� du t�moin. L'hyphoth�se la plus probable est donc que le t�moin a probablement �t� abus� par des ph�nom�nes lumineux provenant de v�hicules facilement visibles depuis la fen�tre de la chambre alors qu'il se trouvait sans doute dans un �tat de sensibilit� particuli�re aux ph�nom�nes surnaturels.";"Observation d'un engin en forme d'assiette .Impression de pr�sence humaine dans la chambre du t�moin.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-05-00768
936;"BUXY (71) 1980";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";1980;05;08;"Le 8 mai 1980 vers 21h 15, alert�e par son chien apeur� et les chiens du quartier qui aboyaient anormalement, un t�moin voit un objet particulier au-dessus de la maison de ses voisins. Cet objet ressemble � une grosse toupie d'enfant qui tournoie sur elle-m�me tout en se d�pla�ant dans la direction Nord-Sud. L'int�rieur de l'engin est rouge-orang�. Deux autres personnes seront �galement t�moins des faits. Toutes constateront que les images de leur poste de t�l�vision avaient � ce moment disparu pour laisser place � des gr�sillements. Aucun autre t�moignage concernant cette observation ne sera recueilli. Ce ph�nom�ne reste inexpliqu�.";"Observation d'un objet ressemblant � 2 assiettes creuses retourn�es l'une sur l'autre.Effets sur les animaux.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1980-05-00769
937;"VINCENNES (94) 13.05.1980";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";1980;05;13;"Le 13 mai 1980 vers 4h 45, un t�moin, se rendant � pied � son travail, est surpris par l'apparition dans le ciel d'une boule de couleur verte tr�s lumineuse. Elle se d�place selon une trajectoire Sud-Nord et � tr�s basse altitude. Cette boule est suivie d'une gerbe d'�tincelles de couleur jaune. L'observation a dur� moins de 5 secondes et aucun bruit n'a �t� remarqu�. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne. Cette personne a probablement �t� t�moin d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'une probable rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-05-00770
939;"TOULAUD (07) 08.05.1980";Ard�che;07;"(D) D�partement";1980;05;08;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� TOURNON (07) 1980 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 08 mai 1980 vers 22h 30 des militaires, en exercices de tir de nuit, observent un ph�nom�ne particulier au-dessus du terrain d'entra�nement. Leur attention est attir�e par un point �mettant une lumi�re vive blanch�tre. Les t�moins d�crivent un objet � l'Ouest qui se d�place dans leur direction se rapproche et s'�loigne sans bruit. La dur�e d'observation est longue avant que l'objet ne disparaisse � l'Ouest.
Ces t�moignages de militaires de carri�re rapport�s par le PV de gendarmerie pr�sentent les caract�ristiques d'une observation d'un astre. Caract�ristiques aujourd'hui bien connues du GEIPAN avec l'accumulation de cas expliqu�s de ce type en particulier au cours des dix derni�res ann�es (voir site www.geipan.fr et recherche de cas avec les ph�nom�nes astres, venus, lune, soleil) :
- dur�e d'observation longue de plus de 30 minutes, faible hauteur dans le ciel, quasi-stationnarit� ou tr�s faible trajectoire dans le ciel. En effet, aucun des t�moin ne d�crit une �volution angulaire du PAN, alors que l'observation est sur plus de 1h.
- sensation de d�placement avant arri�re du PAN. Le t�moin ayant interpr�t� l'astre comme un objet proche, toute variation d'intensit� lumineuse de l'astre est logiquement interpr�t�e comme un d�placement vers l'avant ou l'arri�re de l'objet qui garderait son intensit� propre constante. T2 dit ""Ce point lumineux devait se trouver � une distance assez grande, au-dessus de la montagne! Ce point s'est rapproch�, jusqu'� devenir de la taille d'un ballon de football, il �tait d'une grande luminosit�. Il s'est arr�t� face � nous, dans la direction des cibles, et sa luminosit� a �clair� sensiblement l'endroit o� nous nous trouvions. Je pr�cise que le ciel o� se trouvait cet objet �tait absolument d�gag� de tout nuage"". T1 dit ""Cet objet est ensuite reparti � une vitesse bien plus vite que celle qu'il �tait venu. Lorsque cet engin est reparti, nous avons continu� notre s�ance de tir. Dix � douze minutes apr�s s'�tre �loign�, cet engin est revenu mais � une distance beaucoup plus �loign�e"".
- non identification par les t�moins d'un astre remarquable car tr�s lumineux pourtant pr�sent dans la direction de l'observation, alors que le ciel est d�crit comme d�gag� et �toil�.
On v�rifie qu'il s'agit effectivement d'un astre � savoir V�nus. La direction de V�nus (�voluant de azimut 290� � azimut 300�) est compatible de l'observation de T1, seul t�moin donnant la direction: ""Ce ph�nom�ne venait de la direction de l'ouest. Il est reparti dans la m�me direction"" (le mouvement Ouest-Est �tant l'illusion de rapprochement-�loignement pr�c�demment d�crite).
La premi�re m�prise, qui entraine l'autre (mouvement avant-arri�re) r�side dans la non reconnaissance de l'astre. V�nus est � l'origine de nombreuses m�prises. Il s'agit de ""l'�toile"" de loin la plus brillante, (ici magnitude -4,5), elle est visible � faible �l�vation dans le ciel (ici de 16� � 11�) et ses rayons traversent une forte �paisseur atmosph�rique, conf�rant des effets variables, de variation d'intensit� lumineuse, de distorsion de couleur, de halo, voire d'oscillation du fait de turbulences dans l'atmosph�re. Ici, le PAN est vu jaune ou blanc, et selon des intensit�s variables. Tous ces effets existent m�me en absence de nuages et peuvent �tre accentu�s (variation d'intensit�, jusqu'� quasi- disparition) par la pr�sence de voiles nuageux sinon invisibles. On v�rifie que V�nus est bien visible compte tenu des montages environnantes : l'obstacle dimensionnant en �l�vation dans la direction de V�nus depuis le champ de tir est le mont de Rosier ou Cerisier � 700 m d'altitude soit une d�nivel�e d'environ 200m depuis le champ de tir � plus de 1,5 km, soit encore un angle de 8�, trop faible pour masquer V�nus.
Les indications des t�moins, s'agissant de la direction du PAN ne sont pas assez pr�cises pour assurer une correspondance exacte avec V�nus. Mais les t�moins assurent l'absence de nuages et ""un temps �toil�"", ils observent � l'Ouest, � hauteur voisine des montagnes et ne remarquent pas V�nus qui est l'�toile ""qui saute aux yeux"" quand on regarde ce secteur de ciel (les autres �toiles ""fortes"" sont Capella et Procyon, beaucoup moins lumineuses, magnitude de 4 points inf�rieures !), alors m�me qu'ils font mention � la taille d'une �toile pour qualifier la taille finale du PAN. Si le PAN aurait �t� autre que V�nus, V�nus aurait �t� utilis�e pour rep�rer le PAN.
Les autres �l�ments d'�tranget� comme "" l'�loignement du PAN"" lorsque les lampes sont orient�es vers lui ou la montre qui le lendemain est en avance sont de pures co�ncidences qui ont ici attir� l'attention des t�moins en raison du climat d'�tranget� d�j� en place.
Les �l�ments ci-dessus ne laissent aucun doute. Le GEIPAN classe le cas en A : observation de V�nus.
Ces t�moignages sont peu pr�cis en terme d'informations. Ils illustrent bien l'�tranget� que peut engendrer un astre, ici V�nus, y compris pour des militaires de carri�re.";"Observations d'un ph�nom�ne lumineux vif blanch�tre � faible altitude ; effet de d�placement avant-arri�re : observation de V�nus.";O;2;;;;;;;;2017-11-28;;;0.10;0.00;;;0.80;;0.50;;0.40;0.00;A;A;1980-05-00772
940;"DUCLAIR (76) 15.05.1980";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1980;05;15;"Le 15 mai 1980 � 0h 30 un t�moin aper�oit un objet de forme ovo�de lumineux qui traverse le ciel en descendant rapidement. De couleur rouge-orang� il est suivi d'une queue. La luminosit� de l'objet �tait bien sup�rieure � celui d'une �toile. L'objet � disparu en se dirigeant vers l'Ouest. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne. Cette personne a probablement �t� t�moin d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation de la rentr�e probable d'un objet dans l'atmosph�re.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-05-00773
941;"ROYE (80) 13.05.1980";Somme;80;"(D) D�partement";1980;05;13;"Le 13 mai 1980 � 0h05, deux gendarmes en patrouille sur l'autoroute A1 aper�oivent un objet lumineux au-dessus du p�age de Roye (80). Intrigu�s, ils continuent leur route jusqu'au parking d'une aire de repos puis contactent par radio leur P.C, o� un autre gendarme confirme la pr�sence de l'objet dans le ciel. L'un des t�moins prend deux photos du PAN, mais le d�veloppement du film s'av�rera n�gatif. Reprennant leur v�hicule en direction du Nord, les gendarmes constatent que le PAN semble suivre la voiture. L 'observation durera pr�s d'une heure.
Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � C � en 1980 par le GEPAN. Il aujourd'hui l'objet d'un r�examen (voir Note s'enqu�te).
Ce cas est consistant (2 t�moins principaux et 2 autres t�moins secondaires), la description du lieu d'observation et du PAN observ� est pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute. Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur...) avec un objet astronomique connu : V�nus au coucher. De plus, V�nus �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e alors que les t�moins n'en font pas mention.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (impression de poursuite, conduite de nuit).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e � une m�prise avec V�nus.";"Observation d'un objet lumineux semblant suivre le v�hicule des t�moins : m�prise astronomique avec V�nus.";O;1;;;;;;;;2013-04-25;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-05-00774
942;"HUNINGUE (68) 26.05.1980";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";1980;05;26;"Le 26 mai 1980 vers 19h deux promeneurs aper�oivent un objet insolite dans le ciel d�gag�. Officier m�canicien naviguant, un des t�moins d�crit un objet d'apparence m�tallique qui sur une base ronde, a la forme, dans sa partie sup�rieure, d'une coupole de couleur argent�e. L'objet en stationnaire � 200 ou 300m du sol semble osciller sur son axe. Sa partie inf�rieure est plus fonc�e et pr�sente par intermitence une luminescence rouge�tre. Durant des 6 mn d'observation, aucun bruit et aucune condensation n'ont �t� remarqu�s. L'objet a disparu dans les nuages en marquant des paliers successifs. A l'a�roport de B�le/Mulhouse un �cho radar a �t� enregistr� mais noy� dans le trafic de la navigation priv�e et g�n�rale et donc peu exploitable. Aucun autre t�moin et aucune autre information n'ont �t� recueillis ni en France ni dans la zone frontali�re Allemande. Ce ph�nom�ne reste inexpliqu�.";"Observation d'un objet en forme de coupole.";O;2;;;;;;;;2017-07-31;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1980-05-00775
943;"CHARLEVILLE-MEZIERES (08) 1980";Ardennes;08;"(D) D�partement";1980;05;26;"Le 26 mai 1980 vers 22h 45 plusieurs t�moins dont des gendarmes vont apercevoir dans le ciel un ph�nom�ne lumineux. Deux objets de couleur rouge et de forme circulaire tombent lentement vers le sol � une vitesse constante. Puis des lueurs rouges apparaissent s'�levant dans les airs avant de dispara�tre. Certains t�moins verront de la fum�e rouge�tre. L'enqu�te d�montrera que des personnes ont, ce soir l� et sans mauvaise intention, lanc� des fus�es de d�tresse pour bateau car celles-ci n'�taient plus aux normes et ne pouvaient plus �tre utilis�es en mer.";"observation de fus�es de d�tresse.";O;5;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-06-00776
944;"PAU (64) 12.07.2017";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2017;07;12;"Le 12 juillet 2017 un t�moin situ� place Cl�menceau � Pau assiste � un spectacle � l'occasion du passage du tour de France. Son attention est attir�e par d'autres personnes regardant vers le ciel nuageux et montrant une direction. Le t�moin observe alors plusieurs formes plates lumineuses qui passent au-dessus du toit de la chambre de commerce avant d'�tre perdus de vue. Le t�moin se d�place sur le boulevard des Pyr�n�es et observera dans le ciel les �volutions d'autres points lumineux (trajectoire en ligne droite et changement de direction). Aucun bruit n'est entendu. Le t�moin prendra plusieurs photos du PAN et prendra des photos de jour pour situer son observation. Un seul t�moignage est recueilli.
Une observation dans le ciel un soir de spectacle (f�te du tour de France) en pleine ville pourrait difficilement �tre �trange sans �tre signal�e par d'autres personnes d'autant qu'il y avait d'autres personnes qui observaient le ph�nom�ne comme l'indique le t�moin. Vu le contexte, le plus probable est que la soir�e festive et peupl�e ait donn� lieu � des l�chers dans le ciel de ballons fantaisie. Le GEIPAN n'engagera pas plus de ressources d'enqu�te sans autre t�moignage d'�tranget�. Le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de ballons fantaisie.";"Observation du d�placement silencieux de points lumineux dans le ciel nocturne ; soir�e festive du tour de France : probable observation de ballons fantaisie.";O;1;;;;;;;;2017-10-23;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.80;;0.70;0.00;B;B;2017-07-09708
945;"VERSAILLES (78) 1980";Yvelines;78;"(D) D�partement";1980;06;06;"Le 06 juin 1980 trois fonctionnaires en patrouille observent � 2h du matin un objet curieux traversant le ciel d'Ouest en Est sur une trajectoire rectiligne et � vive allure. L'objet est de forme arrondie � l'avant et pointu en arri�re et brille comme un n�on. L'observation a dur� 4 secondes avant que l'objet ne disparaisse � l'horizon. Aucun bruit de d�placement ou de chute n'a �t� entendu. Aucune autre information n'a �t� receuillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"observation d'un objet lumineux dans le ciel";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-06-00777
946;"CHANCEAUX-PRES-LOCHES (37) 19.06.1980";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";1980;06;19;"Le 19 juin 1980 � 23h 45 un enfant voit sa chambre s'�clairer et aper�oit par la fen�tre un engin de forme triangulaire. Des lumi�res fixes ou clignotantes �clairent l'objet qui se d�place sans bruit. La base de l'engin est �clair�e de jaune et sur les c�t�s des lumi�res jaunes et rouges dispos�es alternativement clignotent. Un gyrophare rouge s'�claire fortement lorsque les lumi�res des cot�s arrivent au sommet. Effray� l'enfant appelle sa m�re et ils verront ensemble l'engin dispara�tre dans le paysage. Lors de l'observation le ciel �tait nuageux. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet triangulaire se d�pla�ant sans bruit : manque d'information.";O;3;;;;;;;;2017-10-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-06-00778
947;"MEUDON (92) 04.07.1980";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";1980;07;04;"Le 4 juillet 1980 peu avant 22h 30 un t�moin observe dans le ciel un disque tr�s lumineux de couleur orange. Ce disque est accompagn� sur sa droite d'un filet de fum�e. L'ensemble se d�place sans bruit. Apr�s moins d'une minute d'obsevation, le disque a disparu laissant la place � une lumi�re jaune. Aucune autre information n' a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un disque circulaire , d�placement lent et sans bruit";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-07-00779
948;"FONTENAY-LE-FLEURY (78) 21.07.1980";Yvelines;78;"(D) D�partement";1980;07;21;"Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � C � par le GEPAN, sous le nom de SAINT-CYR L'ECOLE (78) 21.07.1980. Il a fait r�cemment l'objet d'un r��xamen (voir le document Notes d'enqu�te).
Le 21 juillet 1980 � 6h 25 un t�moin aper�oit, depuis son appartement au 5eme �tage, une lueur orang�e dans le ciel bien d�gag�. Se d�pla�ant sur son balcon, il distingue alors une demi-sph�re de couleur orange vif. Cet objet reste stationnaire une minute avant de se d�placer de fa�on rectiligne et de dispara�tre. Aucune autre information n'a �t� recueillie par la gendarmerie.
Ce cas est peu consistant (t�moin unique, observation courte), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� du t�moin n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : le Soleil. De plus, celui-ci �tait bien pr�sent sur la zone du ciel observ�e.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (observation du Soleil � travers des nuages).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� � A �, observation li�e avec une m�prise avec le Soleil.";"Observation d'une demi-sph�re orang�e au N-O dans le ciel : observation astronomique du Soleil.";O;1;;;;;;;;2014-09-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-07-00780
949;"LE BLANC (36) 1980";Indre;36;"(D) D�partement";1980;06;--;"Dans la nuit du 25 juillet 1980 vers 2h 45 un t�moin affirme avoir vu � 50 m�tres de son domicile une forme lumineuse de couleur orange et de forme ovale pouvant mesurer 0,80m de haut sur 0,40 m de large. Cette masse lumineuse statique a �t� observ�e durant 40 minutes par le t�moin. Cette lueur a disparu alors que le t�moin �tait rentr� dans sa cuisine. Aucune trace au sol n'a �t� retrouv�e. Une autre personne dira avoir �t� t�moin un mois auparavant de la pr�sence d'une boule lumineuse � 50m du sol et qui se d�pla�ait en suivant son v�hicule. Aucune autre information n'a �t� receuillie sur ces ph�nom�nes pour lesquels nous manquons d'informations.";"Observation d'une forme lumineuse immobile.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-07-00781
950;"ISSOIRE (63) 1980";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";1980;07;24;"Le 24 juillet 1980 deux t�moins rentrant chez eux vers 4h 30 du matin aper�oivent une boule blanche de couleur tr�s vive dans le ciel. Elle �m�t une lumi�re intense �clairant la campagne. Cette boule s'est �lev�e pour prendre la direction du Nord apr�s avoir effectu� une manuvre � angle droit. Elle s'est ensuite immobilis�e et les t�moins ont pu observer ce ph�nom�ne durant une heure malgr� la brillance intense qui leur faisait mal aux yeux. Ils sont partis se coucher mais ont entendu des cr�pitements. Les photographies prises par un des t�moins n'ont pu �tre exploit�es : la pellicule ayant �t� d�clar�e comme ""brul�e"" par le photographe qui a refus� de la d�velopper. Un des t�moin rapporte avoir de nouveau vu cette boule blanche tr�s brillante ce m�me jour un peu plus tard. Aucun autre t�moin dans les environs ne s'est fait conna�tre. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'une boule lumineuse.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-08-00782
952;"TAVERNY (95) 1980";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";1980;08;07;"Le 07 ao�t � 21h 40 puis � 22h 45 plusieurs t�moins vont voir passer au-dessus d'une station hertzienne de la base F.N.S de Taverny un ph�nom�ne lumineux de couleur jaune orang�. A chaque fois il se d�place � tr�s grande vitesse et en prenant de l'altitude. Aucun bruit n'est remarqu�. Sur les lieux, aucune trace sur la v�g�tation ne sera relev�e. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"observations d'un ph�nom�ne lumineux silencieux se d�pla�ant rapidement.";O;4;;;;;;;;2018-08-14;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-08-00784
953;"MULHOUSE (68) 1980";"Grand Est";GES;"(R) R�gion";1980;08;05;"Le 5 ao�t 1980 vers 23h des personnes observent dans le ciel le passage d'un engin d' Est en Ouest. De forme allong�e cet engin �met une lumi�re centrale. Il change soudain de direction pour aller plein Sud puis plein Est. Dans la m�me soir�e d'autres passages de ce type seront constat�s par les t�moins. Le 6 ao�t vers 23h 45 le vol d'un engin se dirigeant vers le Nord -Est est aper�u. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. L'a�roport de B�le/Mulhouse fait �tat de nombreux vols d'avions ce soir l�. Les t�moins ont probablement fait une observation d'un a�ronef.";"Observation vraisemblable d'avions.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-08-00785
954;"COULOMMIERS (77) 1980";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";1980;08;09;"Le 09 ao�t 1980 � 22h18 deux t�moins aper�oivent depuis leur domicile une lueur dans le ciel. Celle-ci se d�pla�e du nord au sud puis change de direction pour aller au Sud-Ouest en faisant une courbe. Elle a une forme circulaire avec un noyau tr�s lumineux. Elle a �galement chang� de couleur passant du blanc-jaun�tre au rouge-voilet. Aucun bruit n'a �t� entendu durant l'observation. Cette lueur s'est brusquement �teinte. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce qui s'apparente � une probable rentr�e atmosph�rique.";"Probable rentr�e atmosph�rique";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-08-00786
955;"NEUFCHATEL EN BRAY (76) 1980";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1980;08;06;"Le 06 ao�t 1980 vers 23h trois personnes aper�oivent un ph�nom�ne lumineux particulier dans le ciel. Durant deux � cinq minutes ils observent deux groupes de 3 lumi�res rouges dont une qui clignote. Ces deux groupes se suivent de fa�on rapproch�e. Un bruit de moteur accompagne l'ensemble qui se d�pla�e � basse altitude et � une allure r�duite. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne. L'enqu�te d�montrera qu'� l'heure de l'observation de nombreux avions empruntent ce couloir a�rien. Cependant ce ph�nom�ne reste inexpliqu� par manque d'informations.";"Observation de deux groupes de trois lumi�res formant un triangle avec bruit de moteur.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-08-00787
956;"BUCHY (76) 14.08.1980";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1980;08;14;"Le 14 ao�t 1980 � 4h 45 du matin des t�moins observent une source lumineuse basse sur l'horizon. �mettant une lumi�re jaune scintillante, se d�pla�ant tr�s lentement, ce ph�nom�ne a �t� observ� plusieurs minutes avant de dispara�tre en diminuant d'intensit� et de volume.
Lors de l'enqu�te de gendarmerie,d'autres t�moins seront retrouv�s : il est probable que ces personnes aient fait une observation astronomique de Mercure particuli�rement visible en cette p�riode de l'ann�e.";"Observations d'une source lumineuse dans le ciel : probable observations astronomique de Mercure";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-08-00788
957;"HONFLEUR (14) 1980";Calvados;14;"(D) D�partement";1980;08;19;"Le 19 ao�t 1980 vers 21h 30 un groupe de jeunes gens observent une masse lumineuse qui se d�place lentement et en se bala�ant dans le ciel. Cet objet de couleur claire a une partie sup�rieure arrondie et lumineuse. Il se situe dans l'altitude des vols des avions de tourisme et se d�place dans le sens Nord-Sud. Soudain l'objet s'embrase et chute brutalement laissant supposer aux t�moins que l'objet s'est �cras� non loin de l� mais sans pouvoir pr�ciser l'endroit. La gendarmerie retrouvera une partie de l'objet accroch� � un arbre. Les d�bris permettront d'affirmer que l'objet est une montgolfi�re en papier de soie et fil de fer construite par un amateur. Le propri�taire de l'objet n'a pas �t� retrouv�.";"Observation d'une petite montgolfi�re prenant feu.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-08-00789
958;"SALINS-LES-THERMES (73) 23.08.1980";Savoie;73;"(D) D�partement";1980;08;23;"le 23 ao�t 1980 vers 9h 30 un t�moin aper�oit depuis son habitation un �clair. Elle fait ensuite une observation qui l'intrigue : un objet volant sph�rique et tr�s brillant se d�place dans le ciel. Se rapprochant d'un massif montagneux, l'objet bascule sur sa tranche devient rouge et va rapidement dispara�tre derri�re le paysage en direction du Nord. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un engin sph�rique.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-08-00790
959;"SAINT-ETIENNE-DE-CUINES (73) 24.08.1980";Savoie;73;"(D) D�partement";1980;08;24;"le 24 ao�t 1980 un t�moin observe � 3h 30 une forme tr�s brillante dans le ciel. La luminosit� intense rendant l'observation difficile, le t�moin a cependant pu voir une forme de parachute l�g�rement rose p�le se d�tacher du dessous de l'objet. Ce parachute n'est rest� apparant que quelques secondes; par contre le t�moin a observ� la boule lumineuse plus de 10 minutes avant de retourner se coucher. A son r�veil, quelques heures plutard, tout avait disparu. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet immobile dans le ciel";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-08-00791
960;"SAINT-MARTIN-DE-CRAU (13) 24.08.1980";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1980;08;24;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SAINT-MARTIN-DE-CRAU (13) 24.08.1980 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le 24 ao�t 1980 vers 20h deux t�moins dans leur jardin sont intrigu�s par la pr�sence d'un objet dans les airs. Les t�moins d�crivent un objet en forme de saladier, de couleur ""aluminium poli"". La partie sup�rieure de l'objet semble osciller et la partie inf�rieur semble fixe. L'objet descend � la verticale puis descend lentement et se dirige vers un champ en traversant la RN113. L'objet prend la direction du Nord sur une trajectoire horizontale et le t�moin le perd de vue. Aucun bruit, aucune fum�e ne sont remarqu�s. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli par la gendarmerie. Lors de l'enqu�te sur place par la gendarmerie aucune constatation particuli�re n'a pu �tre faite, l'objet ne s'�tant jamais pos� au sol.
Le d�placement du PAN conforme au sens du vent peut faire penser � un genre de ballon, plut�t de type Mylar pouvant expliquer l'effet � couleur aluminium poli �. Les ballons mylar existaient d�j� � cette �poque. Mais le descriptif fait par les t�moins et les croquis r�alis�s par les gendarmes (et non par les t�moins) ne permettent pas de voir de quel type de ballon il pourrait s'agir. La forme est en effet relativement complexe, agr�ment�e d'�l�ments originaux.
Afin de se faire une meilleure id�e, confirmer ou infirmer l'hypoth�se de ballon mylar ou autre, nous aurions aim� disposer d'�l�ments plus concrets, qui ne figurent pas dans l'enqu�te des gendarmes, tels que :
- mesures angulaires du PAN.
- dessin fait par les t�moins et non par les gendarmes.
- estimations de hauteurs angulaires en d�but, milieu et fin d'observation.
- relev�s des couleurs � l'aide par exemple d'un �talon Pantone.
Bien qu'une hypoth�se de ballon puisse �tre formul�e, le manque de consistance du t�moignage, malgr� l'enqu�te r�alis�e sur place par les gendarmes, ne permet pas de conclure.
En cons�quence le Geipan classe le cas en en � C � : manque d'informations fiables.";"Observations d'un objet de couleur ""aluminium poli"" qui oscille sur lui-m�me et se d�place : manque d'information.";O;2;;;;;;;;2018-05-29;;;0.40;0.00;;;0.70;;0.50;;0.35;0.00;C;C;1980-08-00792
961;"BAGNERES DE BIGORRE (65) 1980";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";1980;08;25;"Le 25 ao�t 1980 entre 21h 25 et 22h plusieurs t�moins observent dans le ciel un ph�nom�ne lumineux. Une forme circulaire de couleur se d�place sans qu'aucun bruit particulier ne soit entendu. Les t�moins situ�s en ville perdent de vue l'objet qui se trouve cach� par des b�timents. L'observation est tr�s courte mais les t�moins affirment que cet objet �mettait des rayonnements lumineux. L'observatoire du Pic du Midi est contact� mais rien de particulier n'a �t� constat�. Il est probable que les t�moins aient assist� � une rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'une probable rentr�e atmosph�rique";O;5;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-08-00793
962;"OLLIOULES (83) 1980";Var;83;"(D) D�partement";1980;08;29;"Le 29 ao�t 1980 vers 20h50 deux t�moins sur leur terrasse vont observer dans le ciel un ph�nom�ne particulier. Venant de l'Ouest, une boule vue � contre jour de couleur noire, passe � une vitesse importante � l'aplomb de la maison. Les t�moins voient alors sa forme changer et aper�oivent une douzaine de hublots de forme carr�e comme �clair�s de l'int�rieur. Une lumi�re intense apparait brusquement et cet ensemble dispara�t vers l'Est. L'observation totale a dur� 20 � 30 secondes sans qu'aucun bruit ne soit remarqu�. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"OBSERVATION D'UN OBJET CHANGEANT DE FORME.DISPARITION SOUDAINE.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-08-00794
963;"AUVERS (43) 17.08.1980";Haute-Loire;43;"(D) D�partement";1980;08;17;"Le dimanche 17 ao�t 1980 aux alentours de 22h dans une maison foresti�re, deux t�moins sont intrigu�s par un ph�nom�ne tr�s lumineux en direction de l'Ouest. Vu aux jumelles, un objet en forme de grand croissant projette des rayons lumineux intenses. D�cidant d'aller voir ce ph�nom�ne lumineux de plus pr�s, les t�moins prennent un v�hicule et continuent de voir ce croissant qui semble se d�placer rapidement et suivre leur v�hicule. Prenant peur, les t�moins d�cident de faire demi tour et de rentrer. Le ph�nom�ne lumineux apr�s s'�tre immobilis� disparait.
Aucune trace n'a �t� retrouv�e au sol ou sur la v�g�tation et aucun autre t�moin n'a pu donner d'autres informations.
Ce cas ancien class� ""D"" � fait r�cemment l'objet d'un r�examen (voir la Note d'enqu�te).
Ce cas est consistant (2 t�moins), la description du lieu d'observation et du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mis en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur...) avec un objet astronomique connu : la Lune au coucher. De plus, la Lune �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e alors que les t�moins n'en font pas mention.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (fatigue, inqui�tude et peur).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e a une m�prise de la Lune.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux en forme de croissant qui semble suivre les t�moins : m�prise astronomique de la Lune.";O;2;;;;;;;;2016-09-13;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-08-00795
964;"ONGLES (04) 30.08.1980";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1980;08;30;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SAINT-ETIENNE (04) 1980 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 30 ao�t � 13h30 un t�moin en tourn�e est au volant de son v�hicule lorsqu'il aper�oit un �claircissement dans le ciel. Levant les yeux, il voit au-dessus de son v�hicule un ""gigantesque appareil"" de couleur gris-or, mat et de forme rectangulaire. Le t�moin d�crit la pr�sence sur le c�t� gauche de deux rang�es de points noirs ainsi qu'un triangle jaune et rouge � l'avant. Un autre triangle est d�crit sur le c�t� droit. Le PAN semble suivre la voiture lors des ralentissements ou acc�l�rations et changements de direction. Il a plusieurs fois �t� perdu de vue par l'automobiliste. Dans la voiture se trouve la fille du t�moin �g�e de 6 ans : elle donne la m�me description que son p�re et sera la derni�re � voir le PAN au-dessus du village avant qu'il ne disparaisse soudainement dans le ciel ""sans prendre de direction pr�cise"".
D'apr�s les �l�ments disponibles, cette observation est �trange � plus d'un titre (voir le compte-rendu d'enqu�te) :
La taille angulaire apparemment tr�s importante du PAN, les t�moins l'�voquant en ces termes :
- T1 : � gigantesque � ; � immense � ; � il pouvait faire entre � et 1 hectare de superficie. Il se trouvait peut-�tre � 100 ou 150 m�tres du sol � ; � l'appareil masquait le ciel � ;
- T2 : � gros appareil �, T2 , passager arri�re de la voiture, fait aussi un dessin o� le PAN au-dessus de la voiture d�passe de part et d'autre du toit de la voiture.
Il est tr�s �tonnant, si le PAN �tait aussi imposant que le d�crivait les t�moins, qu'aucun autre t�moignage n'ait �t� port� � la connaissance des gendarmes, surtout que l'observation s'est faite de jour, pendant un laps de temps probablement assez long et sur une trajectoire de plusieurs kilom�tres.
Avec les �l�ments disponibles, aucun ph�nom�ne connu, de nature m�t�orologique, astronomique ou a�ronautique ne permet de rendre compte des caract�ristiques du PAN telles que d�crites par les t�moins.
Dans la m�thodologie actuelle du GEIPAN (depuis 2008, voir sur le site La m�thodologie de classification au GEIPAN), pour qu'une observation �trange soit retenue comme telle et class�e inexpliqu�e, il faut que la consistance soit importante, c'est � dire qu'il faut disposer d'un haut niveau d'information et de fiabilit�.
En terme d'information, il y a lieu de regretter l'absence d'une enqu�te plus pouss�e de la part des gendarmes, au-del� de l'interrogation n�cessaire et sans succ�s des habitants du secteur, afin de trouver d'�ventuels autres t�moins.
Nous aurions ainsi aim� pouvoir disposer des informations suivantes :
un croquis du PAN effectu� de fa�on ind�pendante par T1 ;
des photographies des endroits cl�s cit�s par T1, dans le cadre d'une enqu�te reconstituant la trajectoire du v�hicule du t�moin ;
des relev�s de dimensions angulaires du PAN et de ses composantes ;
davantage de pr�cisions sur les disparitions du PAN : � quel instant pr�cis, de quelle mani�re (extinction progressive, soudaine d�part rapide, etc) ;
m�mes remarques sur les r�apparitions du PAN : les t�moins ont-ils r�ellement observ� une r�apparition (de quelle mani�re ?) ou ont-ils port� leur regard sur le PAN, qui �tait d�j� pr�sent ?
concernant le PAN lui-m�me : �tait-il visible sur le fond de ciel bleu ? Sur fond nuageux ? Dans l'affirmative, a-t-il �t�, � un moment ou � un autre, marqu� partiellement ou totalement par des nuages ? L'ensemble du PAN paraissait-il aux t�moins � solide �, ou poss�dait-il des parties moins perceptibles, plus floues, difficiles � distinguer ?
� un moment de son r�cit, T1 affirme que le PAN �tait visible � au-dessus du bois de Villerm� � (situ� sur la droite de la route emprunt�e par les t�moins). Il n'�tait donc � cet instant plus au-dessus du v�hicule. Il en est de m�me pour T2 qui aper�oit bri�vement le PAN � au-dessus du village � au moment o�, une fois arriv�s � domicile, T1 rentre le v�hicule au garage. Il aurait �t� int�ressant d'avoir davantage de pr�cisions sur l'aspect du PAN, sa hauteur sur l'horizon, ses dimensions angulaires, etc � ces moments pr�cis de l'observation.
En terme de fiabilit�, le t�moignage d'un enfant de 6 ans, sans apport d�terminant d'informations par rapport � celui du papa, ne donne pas non plus un surcro�t d�terminant de fiabilit� au t�moignage de son papa, surtout quand on ne conna�t pas les conditions de l'audition de l'enfant (pr�sence ou nom du papa).
Au total, la consistance est insuffisante (surtout en terme d'information) pour donner � cette observation a priori �trange un caract�re inexpliqu�.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C : manque d'information fiable.
";"Observations d'un engin rectangulaire gigantesque survolant et suivant un v�hicule : manque d'information.";O;2;2;;1;;;;;2019-02-04;;;0.75;0.00;;;0.75;;0.40;;0.30;0.00;C;C;1980-09-00796
965;"SAINT-PAUL (974) 17.08.1980";"La R�union";974;"(D) D�partement";1980;08;17;"Le 17 ao�t 1980 � 1h 30 du matin, deux t�moins roulent en voiture sur la nationale 1. Arriv�s au niveau du cap Houssaye, ils aper�oivent quelques secondes trois formes humaines immobiles sur une butte qui surplombe la mer � une quinzaine de m�tres du bord de la chauss�e. Ces formes, �clair�es par les phares, sont d�crites comme ayant une taille de 2 m�tres environ avec une forte corpulence, et sur leurs t�tes des gonflements orange et ovo�des. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu. Le lendemain soir un des t�moins apercevra depuis chez elle et dans la direction du cap Houssaye, une lumi�re bleue tr�s vive sur l'oc�an en direction du lieu de l'observation. Les t�moins n'en parlent � la gendarmerie que le 30 ao�t. D�p�ch�s imm�diatement sur les lieux, aucune trace ne sera recueillie sur le secteur par la gendarmerie.
Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SAINT-GILLES (974) 1980 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le classement initial en D inexpliqu� peut se comprendre par l'opposition d'un t�moin (T2) � l'hypoth�se de plongeurs.
Pour autant les �l�ments rapport�s de formes humaines normales mis � part le caract�re luisant � l'�clairage des phares et les gros yeux orange correspondent bien � cette hypoth�se. La possibilit� de plongeurs en bord de cote en pleine nuit au mois d'aout � la R�union est plausible, m�me en absence apparente de v�hicule gar� sur la route. Nous notons que les t�moins effray�s ne se sont pas arr�t�s pour observer l'�volution de ces formes, pas plus qu'ils n'ont recherch� un v�hicule gar� � proximit�. En l'absence de justification du t�moin pour son objection, c'est l'hypoth�se qu'il reviendrait de retenir.
Mais l'observation de ph�nom�ne au sol en absence de description associ�e de ph�nom�ne observ� dans le ciel ou � l'interface du ciel et de la terre (a�rospatial) ne rel�ve pas des comp�tences du GEIPAN.
Quand bien m�me l'hypoth�se de plongeur soit des plus plausibles, le GEIPAN pr�f�re qualifier le cas d'inexploitable � son niveau.
Le cas est class� C. ";"Observations rapides par un automobiliste et sa passag�re de 3 formes � ressemblance humaine dans les phares du v�hicule : manque d'information.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.10;;0.10;0.00;C;C;1980-09-00797
966;"EPINAY-SOUS-SENART (91) 23.08.1980";Essonne;91;"(D) D�partement";1980;08;23;"Les 23 et 25 ao�t 1980 vers 3 heures 30 du matin, un t�moin observe depuis son domicile, au 4eme �tage, un point lumineux tr�s brillant positionn� au m�me endroit dans le ciel. Le t�moin d�crit ce point comme une �toile immobile qui serait apparue � l'Est. Le 25 ao�t, l'observation se poursuivra pendant environ 2 heures avec des jumelles avant que le ph�nom�ne ne disparaisse en baissant progressivement d'intensit� lumineuse. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli par la gendarmerie.
Ce cas d'observation (sous le nom de BOUSSY-SAINT-ANTOINE (91) 23.08.1980), fait partie de cas class�s � C � par le GEPAN, bien que l'hypoth�se d'une observation de la plan�te V�nus ait �t� jug�e probable � l'�poque. Ce cas a fait r�cemment l'objet d'un r��xamen (voir le document Notes d'enqu�te).
Ce cas est peu consistant (t�moin unique), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� du t�moin n'ont jamais �t� mises en doute. Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la plan�te V�nus, particuli�rement visible au moment de l'observation (magnitude de -4,26). De plus, V�nus �tait bien pr�sente sur la zone du ciel observ�e (l'hypoth�se d'une m�prise avec V�nus avait �t� �voqu�e par le GEPAN).
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (fatigue, observation de nuit).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� � A �, observation li�e avec une m�prise avec V�nus.";"longues observations deux jours de suite d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : observation astronomique de V�nus.";O;1;;;;;;;;2014-09-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-08-01688
967;"CHANAZ (73) 22.08.1980";Savoie;73;"(D) D�partement";1980;08;22;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� CHANAZ (73) 22.08.1980 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 22 ao�t 1980 vers 21 heures 45, un t�moin est attir� � l'ext�rieur de son domicile par une forte lueur. Il observe dans le ciel une gerbe d'�clairs de couleur rouge orang�e de forme ronde avec une queue. Le ph�nom�ne se d�place rapidement et silencieusement sur une trajectoire rectiligne. Aucune odeur n'a �t� d�tect�e. Un seul t�moignage est recueilli le 24 ao�t 1980.
Par son aspect visuel et sa trajectoire, le PAN d�crit est parfaitement compatible d'une rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de ou d'un engin satellitaire (voir le compte-rendu d'enqu�te).
La dur�e d'observation n'est pas d�crite mais peut �tre indirectement estim�e � un minimum de 10 secondes et un maximum d'1 ou 2 minutes. Elle est compatible d'une rentr�e de m�t�oro�de � dur�e longue car faite selon une trajectoire tangentielle � l'atmosph�re (ph�nom�ne rare mais d�j� observ� selon une dur�e pouvant atteindre deux minutes), comme d'une rentr�e d'engin satellis� (ce dernier utilisant toujours une trajectoire tangentielle).
Ce qui r�duit la probabilit� de l'hypoth�se sans pour autant l'invalider, est le fait qu'il n'y ait eu aucun autre t�moignage alors qu'un tel PAN a eu le temps de survoler une grande zone g�ographique, qu'il �tait gros, lumineux et visible pendant au moins 10 secondes, et ce � une heure certes nocturne mais peu tardive en p�riode estivale et de vacance.
La consistance est m�diocre. Elle aurait pu �tre am�lior�e par une enqu�te aupr�s du t�moin pour obtenir un relev� angulaire plus pr�cis en azimut et �l�vation et surtout obtenir une indication de dur�e d'observation bien plus pr�cise que celle que l'enqu�te a pu estimer indirectement. Cette consistance est juste suffisante pour supporter l'hypoth�se de rentr�e atmosph�rique en d�pit de l'�tranget� r�siduelle li�e � la non observation par d'autres t�moins d'une telle rentr�e lumineuse et longue.
En conclusion le GEIPAN classe le cas en B : observation d'une rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de ou d'un engin satellis�.";"Observation du d�placement rapide et silencieux d'une boule rouge-orang�e avec une train�e dans le ciel nocturne : probable observation d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;1;;1;;;;;2018-11-05;;;0.38;0.00;;;0.60;;0.70;;0.42;0.00;B;B-;1980-08-01693
968;"SAINTE-SOLINE (79) 16.08.1980";Deux-S�vres;79;"(D) D�partement";1980;08;16;"Le 16 ao�t 1980 vers 3 heures 30, en rentrant d'un bal populaire, un t�moin observe au-dessus d'un champ un objet en forme de chapeau de champignon. D'un diam�tre de 15 m�tres, il emet une lumi�re rouge assez violente. Le t�moin apr�s s'�tre approch� � environ 400 m�tres � pris peur et s'est enfui. Pendant son trajet, il a pu constater que l'objet survolait le village �mettant toujours de la lumi�re rouge et restant totalement silencieux. Aucune trace au sol ou sur la v�g�tation n'a �t� observ�e. Aucune explication n'a �t� trouv�e � cette observation.";"Observation d'un objet en forme de chapeau de champignon lumineux";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1980-08-01694
972;"SAINT-ROMAIN-EN-GAL (69) 05.09.1980";Rh�ne;69;"(D) D�partement";1980;09;05;"Le 5 septembre dans la nuit, une fillette se l�ve pour refermer la fen�tre de sa chambre ouverte par un coup de vent. Elle aper�oit dehors un objet lumineux dans le ciel � environ 100m de son domicile. Cet objet est demi arrondi, d�gage une lumi�re tr�s vive jaune-orang�e. Il est stationnaire � environ 150m du sol. A plusieurs reprises, l'engin va s'�teindre en laissant une lumi�re allum�e � chaque extr�mit�. L'observation durera environ une demi heure sans que l'objet ne touche le sol puis il s'�teindra d�finitivement. L'enfant ne fera plus aucune observation et aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de donn�es.";"Observation d'un engin �trange � 150 m sur le sol: manque d'informations";O;1;;;;;;;;2015-11-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-09-00798
973;"PLESTIN-LES-GREVES (22) 05.09.1980";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1980;09;05;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� LANNION (22) 1980 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 05 septembre 1980 � 22h45 huit t�moins sont surpris par un ph�nom�ne lumineux au-dessus de l'oc�an. Sur ces huit t�moins, seuls trois ont �t� auditionn�s par la gendarmerie comp�tente le 08 septembre 1980. Lors des auditions, les t�moins (T1 et T2) d�crivent deux boules rouges tr�s lumineuses laissant une train�e dans le ciel. Les passagers du v�hicule (T1 et T2) ont l'impression que ces boules se rapprochent et les suivent. Pris de peur ils trouvent refuge chez un habitant (T3) de PLESTIN-LES-GREVES (22) qui voit �galement une boule tr�s lumineuse rouge � la cime des sapins bordant le cimeti�re. Son observation dure quelques secondes, puis elle fait rentrer tout le monde chez elle pour les rassurer.
L'apparence des PAN telle que d�crite par les t�moins (forme de boules, couleur rouge, forte luminosit�, pr�sence d'une train�e) cadre tout � fait avec l'hypoth�se principale de travail, � savoir une confusion avec deux fus�es de d�tresse type � fus�es parachute � (voir le compte rendu d'enqu�te).
L'observation initiale situe les PAN au-dessus de l'oc�an, dans ou � proximit� de la baie de Saint-Michel-des-Gr�ves, ce qui renforce l'hypoth�se, de telles fus�es �tant lanc�es depuis l'oc�an.
Concernant le comportement des PAN par rapport � l'hypoth�se, l'illusion de � la boule suiveuse �, pour des objets lointains, explique l'impression qu'ont eu les t�moins, en d�placement dans leur v�hicule, que les PAN les suivaient, s'arr�taient lorsqu'ils faisaient de m�me, etc...
L'autre caract�ristique de comportement des PAN est le � grossissement � not� par les t�moins, interpr�t� comme �tant un � rapprochement � de leur v�hicule, ce qui n'est pas n�cessairement le cas. Cela peut tr�s bien s'expliquer par une augmentation de la luminosit� des fus�es, une fois la charge �clairante d�clench�e, les faisant appara�tre artificiellement plus grosses, et donc semblant �tre plus proches.
Le seul �l�ment d'incoh�rence qui persiste avec cette hypoth�se est celui de la dur�e. Bien que les t�moignages relatifs � la position initiale d'observation � Saint-Efflam puissent �tre interpr�t�s de deux fa�ons diff�rentes, toutes deux valables, la dur�e mis par les t�moins � parcourir la distance les s�parant du point initial d'observation au point final (correspondant � la dur�e d'observation, soit entre 60 et 90 secondes) est plus importante que la dur�e de visibilit� des fus�es parachute de d�tresse, ne d�passant jamais 45 secondes.
Diverses hypoth�ses ont �t� �mises pour tenter d'expliquer cette incoh�rence. L'une d'entre elle a particuli�rement retenu notre attention, celle de deux lancers successifs de deux fus�es parachute.
La visibilit� de ces fus�es se faisant une fois l'apog�e atteinte, et �tant lanc�es dans la m�me direction, elles peuvent se trouver visibles, depuis la position des t�moins, au m�me endroit dans le ciel.
Par ailleurs, lors du second lancer, la visibilit� �tant moins bonne (les fus�es �tant observ�es depuis l'arri�re du v�hicule) et la panique gagnant l'habitacle, les t�moins n'ont probablement pas pr�t� attention � la transition entre les deux lancers, l'affolement g�n�ral diminuant leurs capacit�s de discernement.
Malheureusement, nous ne disposons pas de donn�es fiables et pr�cises permettant de consolider l'hypoth�se. Les donn�es testimoniales sont en effet impr�cises, en particulier en ce qui concerne les dur�es d'observations des diff�rentes phases. Nous aurions aim� aussi avoir davantage de pr�cisions concernant d'�ventuelles interruptions d'observation, par l'un ou l'autre des t�moins, tout du long du trajet.
Ces donn�es sont inv�rifiables plus de 35 ans apr�s les faits.
Bien que les incoh�rences li�es � la dur�e d'observation puissent �tre en th�orie expliqu�es, en pratique le manque de donn�es pr�cises emp�che une classification en �B�, confusion possible avec des fus�es de d�tresse de type � fus�es parachute �.
Par cons�quent, la classification appropri�e pour ce cas est � C �, le manque de donn�es ne permettant pas d'�tablir un avis suffisamment solide.
";"Observations multiples au-dessus de l'oc�an de deux boules de forte luminosit� et de couleur rouge avec train�e : manque d'information.";O;3;3;;1;;;;;2018-07-17;;;0.40;0.00;;;0.70;;0.50;;0.35;0.00;C;C;1980-09-00799
975;"MEYLAN (38) 01.09.1980";Is�re;38;"(D) D�partement";1980;09;01;"Le 12 septembre 1980 � 4h28, des gendarmes en patrouille observent un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Durant 1h 30 une boule lumineusse situ�e au N-E se d�place lentement. Cette sph�re est de couleur jaune et pr�sente des variqtions d'intensit�.le temps est tr�s clair, la visibilit� tr�s bonne et sans Lune. Ces personnes ont fait une observation astronomique de V�nus, celle-ci �tant particuli�rement visible ( magnitude 4,15) en cette p�riode de l'ann�e.";"observation de V�nus.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-09-00801
976;"ATHIS-MONS (91) 14.09.1980";Essonne;91;"(D) D�partement";1980;09;14;"Le 14 septembre 1980 � 12h 45 un cont�leur a�rien en service aper�oit un ph�nom�ne particulier. Situ� � sa verticale, un objet de forme cylindrique noir est stationnaire. L'objet qui se trouve � environ 300m du sol fait ensuite une brusque acc�l�ration et dispara�t cap � l'Est. Aucune information permettant une �tude s�rieuse de cette observation n'a �t� recueillie.";"Objet cylindrique noir avec brusque acc�l�ration";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-09-00802
977;"MARTIGUES (13) 1980";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1980;09;15;"Le 15 septembre 1980 entre 19h 40 et 21h 30 plusieurs personnes observent depuis leur domicile un ph�nom�ne lumineux. Un point brillant, plus gros qu'une �toile, change d'intensit� et de couleur avant de dispara�tre au N-O. Ces personnes ont probablement fait une observation astronomique d'Acturus particuli�rement visible ( magnitude 0,15) en cette p�riode de l'ann�e.";"probable observation astronomique d'Acturus.";O;2;;;;;;;;2008-04-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;B;C;1980-09-00803
978;"COURLAY (79) 10.09.1980";Deux-S�vres;79;"(D) D�partement";1980;09;10;"Dans la nuit du 9 au 10 septembre 1980 vers 0h 45, un t�moin sur le pas de sa porte observe un ph�nom�ne lumineux. A 100m sur le chemin menant � son domicile, une lueur �claire le panneau de signalisation. Aucune voiture et aucun bruit n'est entendu et le t�moin aper�oit alors un objet de forme allong�e qui avance par saccades � 1,50m du sol. Cet objet va monter progressivement et il va dispara�tre dans le paysage. Aucune odeur particuli�re n'a �t� remarqu�e. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet de forme allong�e avan�ant par saccades";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-09-00804
979;"PONT-AUDEMER (27) 1980";Eure;27;"(D) D�partement";1980;09;23;"Le 23 septembre 1980 � 04h 15 deux personnes rentrant de leur travail aper�oivent une soucoupe volante qui d�colle derri�re l'�glise du village. En s'�levant rapidement, elle �m�t des rayons lumineux qui �blouissent les t�moins. Cet engin sera vu de nouveau par une des deux personnes au-dessus d'une for�t. Aucun autre t�moignage et aucune trace derri�re l'�glise ne seront recueillis sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'une soucoupe volante.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-09-00805
980;"APT-SAINT-CHRISTOL (84) 1980";Vaucluse;84;"(D) D�partement";1980;09;20;"Dans la nuit du 20 au 21 septembre 1980, de nombreux t�moins, militaires, vont apercevoir, � plusieurs reprises dans la nuit des boules lumineuses se d�placer, avec des trajectoires variables, des disparitions et r�apparitions soudaines. Le ciel �tait tr�s couvert et le temps tr�s orageux. Cette nuit l�, sur les pente du Mt Ventoux voisin se d�roulait une course automobile. Bien que l'enqu�te ne l'ait pas d�montr� on peut envisager s�rieusement l'hypoth�se de reflets dans la nuit et sur les nuages bas des phares des voitures, les trajectoires diverses et les apparitions disparitions successives s'expliquant par la topographie du circuit automobile.";"Observation de lumi�res vari�es provenant probablement d'une course automobile de nuit";O;9;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-09-00806
981;"BETON-BAZOCHES (77) 05.09.1980";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";1980;09;05;"Le 5 septembre 1980 � 6h15 un t�moin observe � 200m dans le ciel un objet de forme circulaire d'un m�tre de diam�tre. De couleur violet un disque �met des faisceaux lumineux. L'observation a dur� 5 minutes avant que le t�moin ne reparte. Aucune manuvre militaire n'a �t� effectu�e sur ce secteur ce jour l�. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un disque plat �mettant des faisceaux lumineux.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-11-00824
984;"MONTAUBAN (82) 06.10.1980";Tarn-et-Garonne;82;"(D) D�partement";1980;10;06;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D (et �galement connu sous le nom de MONTAUBAN (82) 1980) fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 06 octobre 1980 � 6h du matin une automobiliste � l'arr�t aper�oit � basse altitude un objet lumineux �mettant une lumi�re blanche de type n�on. De la forme d'une fus�e, cet engin se d�place en arc de cercle au-dessus des maisons. Apr�s un temps d'arr�t, l'objet part � la verticale et appara�t au t�moin comme une assiette renvers�e. L'objet dispara�t ensuite totalement. Aucun bruit ne sera entendu durant l'observation de quelques secondes. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Le t�moin donne de nombreuses indications inexploitables (taille ou diam�tre d'1m50, distance de 50m environ, vitesse de d�placement comparable � celle d'une trotteuse de montre) en l'absence de rep�res angulaires ou de rep�res connus du paysage.
Si nous excluons de l'analyse ces indications, il ne reste pas grand-chose du t�moignage qui puisse �tre exploit� ; il est ainsi possible de le r�sumer comme suit :
- observation pendant quelques secondes d'un PAN lumineux blanc en forme de � fus�e � se d�pla�ant sans bruit en arc de cercle, puis marquant un temps d'arr�t, repartant verticalement en prenant une forme � d'assiette renvers�e � et disparaissant.
Nous pouvons d�duire par ailleurs du t�moignage que le PAN se trouvait probablement � une faible hauteur angulaire au-dessus de l'horizon : � il se trouvait � hauteur des arbres ou des toits des maisons �.
Bien que les gendarmes se soient d�plac�s, aucune autre information exploitable n'a �t� recueillie.
Il aurait �t� profitable de pr�ciser les points suivants :
- position exacte du t�moin dans sa voiture. Se trouvait-il devant son domicile ou � un autre endroit ?
- azimuts exacts d'apparition et de disparition du PAN ;
- �l�vation de d�part et de fin ;
- taille angulaire du PAN ;
- de quelle mani�re exact le PAN a-t-il disparu ? S'est-il �teint sur place d'un coup, progressivement ? Ou le t�moin a-t-il perdu le PAN de vue ?
Dans l'inconnue au regard des param�tres manquants on ne peut pas exclure un h�licopt�re en �volution � l'horizon, ou un mouvement d'oiseau �clair� car plac� dans le champ d'un projecteur quelconque ou encore un ph�nom�ne bien plus �trange.
Ce manque de donn�es ne permet pas d'aller plus loin dans l'analyse.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en � C � : manques d'informations fiables.";"Observation de quelques secondes d'un PAN lumineux blanc se d�pla�ant en arc de cercle puis � la verticale
en prenant une forme d'assiette renvers�e : manques d'informations fiables. ";O;1;1;;1;;;;;2018-06-06;;;0.40;0.00;;;0.50;;0.40;;0.20;0.00;C;C;1980-10-00808
985;"MONTHERME (08) 11.10.1980";Ardennes;08;"(D) D�partement";1980;10;11;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� MONTHERME (08) 1980 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 12 octobre 1980 une adolescente se pr�sente � la gendarmerie pour rapporter une observation faite la veille au soir depuis son domicile. Elle situe la pr�sence d'un PAN dans un champ � 200 m�tres de son habitation. L'ensemble de la famille est entendu.
Le 11 octobre 1980 vers 23h40, T1 (14 ans) est couch�e dans sa chambre voit par la fen�tre une boule pos�e au sol � 200 m�tres, en forme de soucoupe volante ou de gros cigare au pourtour jaune plus clair que le centre orang�. Apr�s 2 minutes d'observation le PAN s'�l�ve en projetant des lumi�res bleues et avec un bruit de moteur et prend la direction de � La Roche � 7 heures �. 15-20 minutes plus tard il repasse au-dessus de la maison en �clairant le jardin en direction de La Roche.
T2 (sa sur, 15 ans) descend dans la chambre de T1 quand cette derni�re appelle ses parents. T2 voit une grosse boule � forte lumi�re jaune �clairant le jardin et celui du voisin et les � Roches � 7 heures � � 500 m de l�. Le PAN Reste quelques minutes dans le pr� derri�re la maison puis part vers les Roches avec un bruit de voiture. Quelques minutes plus tard il passe au-dessus de la maison en se dirigeant vers les Roches.
Vers 23h30 T3 et T4 (parents) pr�venus par T1, parents voient 10-15 mn � 200-300m un faisceau lumineux de couleur bleue longue port�e rotatif. Un Bruit de d�marrage court est entendu par T3 (mais pas T4, un peu sourd). La boule n'est pas vue par T3-T4 car masqu�e par des arbres.
La gendarmerie ne trouve aucune trace sur les lieux, ni d'observation en rapport dans le voisinage.
Ces t�moignages sont porteurs de r�elle �tranget� uniquement pour ce qui est t�moign� par les enfants T1 et T2 qui disent avoir vu la boule � l'origine des lueurs, au sol comme en l'air au-dessus de la maison. Cela est probablement � l'origine du classement initial du cas en D.
Le pr�sent r�examen note cette forte �tranget� mais aussi le faible niveau de consistance des t�moignages dans la mesure o� rien ne permet de comprendre pourquoi les parents n'ont pas vu la boule au sol ou en l'air.
- pour T1 et T2 le PAN n'est rest� au sol que 2 ou quelques minutes avant de quitter le sol, tandis que T3 et T4 qui ont forc�ment commenc� l'observation apr�s T1 ont pu observer (donc en compagnie de T1) pendant 15 mn des lueurs et faisceaux en rotation et dont l'origine n'�tait pas visible (""cach� par les arbres pour T4) et implicitement ou explicitement (pour T4) au sol ou � proximit�.
- T3 et T4 ont donc arr�t� l'observation sans jamais avoir vu le PAN s'�lever. T3 ne dit pas ce qui constitue sa fin d'observation tandis que pour T4 c'est l'extinction des lumi�res au sol qui l'a conduit � regagner sa chambre.
- pour T1 et T2 le bruit de d�marrage est associ� � l'�l�vation et d�but du vol du PAN. Pour T3, le bruit est associ� au d�but de son observation de lueurs qui ne sont jamais �lev�es et T4 (qui n'a pas entendu le bruit mais se dit un peu sourd) a compris que le bruit �tait venu plus tard une fois avoir regagner sa chambre.
- il convient d'exclure la possibilit� que le PAN soit d�j� parti au moment o� les parents (T3 et T4) sont arriv�s et que ces derniers se soient concentr�s sur des lumi�res r�siduelles au sol. En effet T1 et T2 ne parlent pas des lueurs r�siduelles au sol et auraient attir� l'attention des parents sur l'�tranget� dans le ciel et les parents l'auraient alors vu comme T1 et T2 repasser au-dessus de la maison.
- Il est curieux que les parents T3 et T4 d�crivent des lueurs vues (au sol) sans faire r�f�rence dans leur d�position au t�moignage de PAN volant vu par leurs enfants, ne serait-ce que pour situer s�quentiellement les observations ou rapporter l'�motion et dires de leurs enfants. Il y a une forme de distance des parents par rapport aux t�moignages des enfants. Ils en restent strictement � ce qu'il ont vu.
- on note aussi que le t�moignage a �t� initi� par l'enfant T1 en gendarmerie. La gendarmerie a ensuite demand� la d�position des autres t�moins. T4 (le p�re) a refus� une premi�re convocation en Gendarmerie.
Il y a trop d'incoh�rences entre les t�moignages pour pouvoir valider l'�tranget� principale de l'observation constitu�e par ces lueurs ou boules ou cigares qui s'envolent et survolent les lieux.
Le plus probable est qu'il y eu effectivement des lueurs au sol pour une raison inconnue. L'observation de lueur volante est des plus suspectes.
En cons�quence GEIPAN classe le cas en C comme manque d'informations.
";"Observation nocturne par une famille d'un ph�nom�ne lumineux de couleur au sol puis en passage au-dessus de leur domicile : manque d'informations. ";O;4;4;;;;;;;2018-04-25;;;0.70;0.00;;;0.50;;0.60;;0.30;0.00;C;C;1980-10-00809
988;"REIMS (51) 22.10.1980";Marne;51;"(D) D�partement";1980;10;22;"Le 22 octobre 1980 � 18h15 une personne aper�oit depuis son domicile une s�rie de flashes lumineux dans le ciel. Ces lueurs se d�placent rapidement et apparaissent de couleur blanche ou rouge. L'observation a dur� environ 4 minutes. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un flash lumineux toutes les secondes pendant 4 minutes : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-10-00812
989;"BOURGES (18) 26.10.1980";Cher;18;"(D) D�partement";1980;10;26;"Le 26 octobre 1980 vers 10h 35 un t�moin, pilote amateur, aper�oit depuis sa propri�t� plusieurs �clats lumineux dans le ciel lui faisant penser au gyrophare d'un a�ronef. Il voit ensuite une flamme tr�s lumineuse suivie d'une fum�e noire. Aucun bruit n'est entendu. Pensant � un accident d'avion, il pr�vient la tour de contr�le la plus proche. Lors de l'enqu�te de gendarmerie aucun a�ronef en difficult� n'a �t� signal� dans le secteur et aucun tir de fus�e ne sera relev� dans les environs. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce t�moignage pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'�clats lumineux dans le ciel suivis d'une flamme et de fum�e.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-10-00813
994;"WATTRELOS (59) 1980";Nord;59;"(D) D�partement";1980;10;05;"Le 05 octobre 1980 entre 19h 25 et 20h plusieurs t�moins observent le d�placement � basse altitude d'un objet qui les intrigue. De forme circulaire ou rectangulaire selon les t�moins, celui-ci �met des lumi�res. Il se d�place tr�s lentement et sans aucun bruit en faisant des allers et retours. Des t�moins vont observer cet objet plus d'un quart d'heure dans le ciel.Il dispara�tra en direction de la Belgique. Lors de l'enqu�te, il a �t� constat� que ce soir l�, qu'un avion belge, �clair� de fa�on particuli�re sur les ailes et le fuselage, trainait une publicit� lumineuse.";"probable observation d'un a�ronef trainant une publicit� lumineuse";O;7;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-11-00818
995;"COUERON (44) 30.10.1980";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1980;10;30;"Plusieurs soirs de suite entre le 30 octobre et le 1novembre 1980 un t�moin observe deux points fixes lumineux dans le ciel. Cette personne fait une observation astronomique de V�nus (magnitude -3,91) et de Jupiter (magnitude -1,31) particuli�rement visibles en cette p�riode de l'ann�e.";"observation de V�nus et Jupiter";O;1;;;;;;;;2017-02-23;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-11-00820
996;"LE LOROUX-BOTTEREAU (44) 1980";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1980;10;31;"Le 31 octobre 1980 rentrant de son travail un automobiliste aper�oit trois points lumineux � basse altitude dans le ciel. La direction approximative de son observation est N/E (� gauche du v�hicule par rapport au trajet). Il aura l'impression que ces points le suivent lors de ses d�placements ou s'arr�tent en m�me temps que lui. Aucun bruit n'est entendu. A son domicile sa femme fera la m�me observation jusqu'� 7h 30, heure de son d�part au travail. Lors de l'enqu�te d'autres t�moins de ce m�me ph�nom�ne se feront conna�tre. L'examen du ciel cette nuit l� montre une conjonction V�nus, Jupiter et Saturne particuli�rement visible dans le ciel vers l'Est et tr�s bas sur l'horizon jusqu'au lever du jour. Les t�moins ont probablement observ� ce ph�nom�ne.";"pProbable observation d'une conjonction astrale";O;4;;;;;;;;2008-04-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-12-00834
997;"SAINT-SYMPHORIEN D'OZON (69) 1980";Rh�ne;69;"(D) D�partement";1980;10;17;"Le 17 octobre 1980, � 23 heures 15, plusieurs t�moins voient arriver deux phares puissants � une altitude d'environ 200 m�tres. Lorsque les phares virent � gauche, les t�moins observent un engin sombre ""en forme de coquille st jacques"" avec deux feux rouges fixes sur les c�t�s. L'engin �met un bruit sourd. Il est tr�s probable que les t�moins ont vu un a�ronef non identifi� qui peut �tre un ballon dirigeable.";"Observation d'un engin en forme de ""coquille st jacques""";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1980-10-01686
998;"NOGENT-SUR-MARNE (94) 31.10.1980";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";1980;10;31;"Le 31 octobre 1980 vers 6 heures 45, un t�moin � bord d'un train observe deux points lumineux qui semblent suivre la marche du train. Aucun autre renseignement ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.";"Observation de deux points lumineux depuis un train";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-10-01687
4242;"NIMES (30) 17.12.2016";Gard;30;"(D) D�partement";2016;12;17;"Le samedi 17 d�cembre 2016 vers 20h45 trois personnes sur un parking observent une trentaine de points lumineux de couleur blanche (dont un orang�) se d�pla�ant silencieusement dans le ciel voil�. Une vid�o est faite. Un seul t�moignage est recueilli. Le t�moin ne souhaite pas que la vid�o soit publi�e.
Il s'agit tr�s probablement d'une observation d'un l�cher de lanternes thailandaises. L'aspect visuel sur la vid�o est conforme.
Le sens du vent � N�mes ce soir l� (pris sur le relev� Infoclimat) est de Nord vers Sud : il est conforme au d�placement des PANs (la cam�ra observe globalement vers l'Est et voit passer les PAN de gauche � droite).
Les objections que formule le t�moin par rapport � cette hypoth�se sont la disparit� des trajectoires entre PANs et le fait que certains peuvent en rejoindre d'autres. N�anmoins la vid�o permet de constater que les PANs se succ�dent bien selon un sens identique de gauche vers droite, mais les conditions urbaines peuvent cr�er des irr�gularit�s locales de vent avec des courants plus rapides que d'autres. Enfin la vid�o montre quelques points fixes moins lumineux qui sont probablement des �toiles car la n�bulosit� ce soir l� d'apr�s le relev� M�t�ocielM�t�ociel est faible (1/8) et certaines �toiles sont visibles � faible �l�vation, en particulier en secteur Est (Procyon, Betelgeuse, Rigel). Sur la vid�o, les points lumineux mobiles qui d�passent des points fixes moins lumineux ou moins nets sont probablement des lanternes passant devant des �toiles.
L'autre objection ou �tranget� signal�e de panache ou halo autour des points lumineux quand la cam�ra zoome sont sans signification et le pur fruit des aberrations optiques ou vid�o.
On note que cela se passe un soir de weekend, toujours plus propices aux �v�nements festifs de l�chers de lanternes.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de lanternes thailandaises.";"Observation du passage silencieux d'une trentaine de points lumineux blancs et un point orang� dans le ciel nocturne voil� : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-10-23;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.80;;0.50;0.00;B;B;2016-12-09615
4227;"BAYONNE (64) 28.12.1978";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";1978;12;28;"T�moignage r�cent 2016 d'une observation ancienne (date incertaine).
Le 28 d�cembre 1978 entre 21h et 22h heure trois personnes observent durant 20 � 30 minutes un point lumineux qui se d�place dans le ciel sur une trajectoire irr�guli�re et anguleuse. Des changements de direction sont per�us et semblent al�atoires. Les t�moins quittent la terrasse alors que le PAN �volue toujours. Un seul t�moignage est recueilli.
La description peut correspondre � un avion (civil ou non) faisant effectivement une trajectoire non usuelle mais que l'on ne peut exclure (nous n'avons pas les moyens d'enqu�ter sur les trafics a�ronautiques si anciens) mais aussi � un satellite. En effet le GEIPAN a l'exp�rience d'�tranget�s caus�es par des satellites dont la trajectoire ne serait pas rectiligne.
L'�tranget� est due soit � des effets de perception (voir l'article sur l'effet autocin�tique ) pour les zigzags, soit � la co�ncidence d'une trajectoire en fin d'�clairement solaire avec une autre trajectoire en d�but d'�clairement donnant l'impression d'un seul satellite avec fort changement de trajectoire.
L'anciennet� de l'observation, l'absence d'outils et base de donn�es remontant � cette �poque emp�chent de conclure dans le cas pr�sent.
En cons�quence le GEIPAN classe en C : manque d'information.";"T�moignage r�cent d'une observation ancienne des �volutions particuli�res d'un point lumineux dans le ciel : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.35;0.00;;;0.50;;0.50;;0.25;0.00;C;C;1978-12-09607
3985;"SAINT-MAURICE (94) 14.09.2014";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2014;09;14;"Dans la nuit du 13 au 14 septembre 2014 entre minuit et minuit trente, plusieurs points lumineux ronds de couleur jaune sont observ�s dans le ciel dans le ciel du Val de Marne (94) entre les communes de Champigny-sur-Marne (94) et Cr�teil (94). En provenance du NE, ces objets naviguent de mani�re lin�aire lentement et sans buit par vagues successives. Leur nombre est estim� � une quarantaine de points. Deux t�moignages d'observation sont recueillis.
Ce cas d'observation est remarquable pour plusieurs aspects :
-D'une part, comme les t�moins ont signal� le cas � la Gendarmerie des transports a�riens, particuli�rement attentive en ce moment aux petits objets volant � basse altitude (drones en particulier), ce cas d'observation a �t� trait� directement par cet organisme avec un soin tout particulier.
-L'enqu�te a permis d'�tablir parfaitement l'origine du ph�nom�ne : 35 lanternes tha� l�ch�es pour f�ter un PACS.
-Ce l�cher de lanternes avait fait l'objet d'une demande d'autorisation aupr�s de la pr�fecture, autorisation accord�e.
Le GEIPAN, au vu de l'enqu�te de gendarmerie, classe donc ce cas parfaitement identifi� en cat�gorie A : observation de lanternes tha�landaises.";"Observation du lent et silencieux d�placement de grappes de points lumineux de couleur jaune dans le ciel nocturne : observation de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2016-02-24;;;0.10;0.00;;;0.93;;0.93;;0.86;0.00;A;A;2014-09-09201
3986;"EVRY (91) 24.12.2015";Essonne;91;"(D) D�partement";2015;12;24;"Le 24 d�cembre 2015 � 18h10 trois personnes observent durant 45 secondes depuis un appartement au 10eme �tage, le passage silencieux d'un objet lumineux aux couleurs changeantes (vert, bleu, orange). L'objet disparait derri�re l'immeuble en passant au-dessus des t�moins. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation d'un objet multicolore volant � basse altitude un soir de f�te �voque un ""plus l�ger que l'air"" port� par le vent.
Le relev� M�t�ociel d'Orly indique un vent de Sud-Ouest, compatible avec le d�placement de l'objet (voir le relev� M�t�ociel).
Les couleurs multiples et changeantes orientent vers un ballon lumineux � LED d'un mod�le semblable � ceux d�crits ici. Ce type de ballons festifs se r�pand de plus en plus.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de ballon festif � LED.";"Observation du passage silencieux d'un objet lumineux aux couleurs changeantes dans le ciel : observation probable de ballon festif � LED.";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;A;2015-12-09391
1005;"CASTRES (81) 15.11.1980";Tarn;81;"(D) D�partement";1980;11;15;"Le 15 novembre 1980 un automobiliste aper�oit derri�re des arbres sur une colline un ph�nom�ne particulier. Un objet en forme de disque s'�l�ve en zigzagant dans le ciel. D'un blanc �tincelant, cet objet se d�place � grande vitesse. Deux faisceaux lumineux �clairent soudain le v�hicule du t�moin qui prend peur. L'objet dispara�t rapidement pour ne former qu'un point. Aucune trace sur le v�hicule n'est constat�e. Sur le lieu pr�sum� du d�collage aucun indice sur le sol n'est relev�. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet en forme de disque .D�placement tr�s rapide.";O;1;;;;;;;;2008-04-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-11-00825
1008;"RIEZ (04) 1980";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1980;11;28;"Le 28 novembre 1980 entre 6h 45 et 7h du matin deux t�moins aper�oivent sur l'horizon un objet circulaire orang� qui traverse le ciel tr�s rapidement. Leurs observations ne durent que quelques secondes. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de donn�es.";"Observation quelques secondes d'un objet rond � l'horizon.";O;2;;;;;;;;2008-04-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-11-00831
1010;"ALBI (81) 24.11.1980";Tarn;81;"(D) D�partement";1980;11;24;"Le 24 novembre 1980 vers 22h 20 un automobiliste aper�oit dans le ciel d�gag� un point lumineux blanch�tre durant une seconde. Il se d�place d'Ouest en Est selon une trajectoire rectiligne et se situe entre 30� et 60� au-dessus de l'horizon. Il dispara�t instantan�ment. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu durant l'observation. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du d�placement rectiligne d'un point lumineux.";O;1;;;;;;;;2013-12-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-11-01774
1012;"DONZERE (26) 1980";Dr�me;26;"(D) D�partement";1980;12;03;"Le 03 d�cembre 1980 vers 23h un automobiliste aper�oit � 150 m devant lui, un objet circulaire de grandes dimensions. De couleur vert fluorescent il est stationnaire � 10m au-dessus de la chauss�e. S'arr�tant pour observer l'objet celui-ci se d�place sans bruit et s'approche lentement du v�hicule du t�moin. Apeur�, l'automobiliste reprend sa route, passe sous l'engin qui le suivra sur un kilom�tre environ. Arriv� � un croisement, l'automobiliste constate que l'engin part � grande vitesse dans le sens oppos�. Il dispara�tra alors rapidement. Son observation aura dur� 3 � 4 minutes. Lors de l'enqu�te, un autre t�moin dira avoir aper�u une lueur bleue ce soir l� mais son t�moignage reste tr�s succinct. Malgr� un appel � t�moin et une enqu�te sur les lieux, aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation rapproch�e d'un engin en forme d'assiette .Peur, aucun bruit.";O;2;;;;;;;;2008-12-05;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1980-12-00833
1015;"PUJOLS (33) 09.12.1980";Gironde;33;"(D) D�partement";1980;12;09;"Plusieurs jours de suite, un t�moin observe entre 6h 30 et 8h 30 une lueur orang�e qui appara�t � l'Est. Le 12 d�cembre 1980 la brigade de gendarmerie d�cide d'observer le ph�nom�ne lumineux. Effectivement une lueur s'�l�ve progressivement et � faible allure dans le ciel. Par l'observation prolong�e, un effet d'optique met en mouvement le ph�nom�ne qui change de couleur avec le lever du jouret qui continue son ascension. Les gendarmes pensent � une �toile particuli�re. La carte du ciel ces jours l� indique l'apparition progressive de V�nus � l'Est qui s'�l�ve puis dispara�t avec le lever du jour.";"observation astronomique de V�nus";O;1;;;;;;;;2010-09-07;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-12-00837
1017;"RENTREE ATMOSPHERIQUE (975) 11.11.1980";France;FR;"(N) National";1980;11;11;"Le 11 novembre 1980 vers 18h30 une centaine de personnes sur tout le Sud-Est de la France et en Corse observent le passage d'un puissant ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Beaucoup de t�moignages sont enregistr�s en gendarmerie. Des centaines de t�moins en Italie (voir le tableau des cas italiens) et en Espagne (Catalogne) signaleront �galement ce ph�nom�ne extr�mement spectaculaire. La presse relatera �galement le ph�nom�ne (voir les articles de Nice Matin).
A la r�ception d'un nouveau t�moignage d'une observation faite ce jour-l� (voir BONNIEUX (84)), le GEIPAN a r�-�tudi� ce cas afin de pouvoir le publier. Un tableau unique rassemble les �l�ments essentiels des multiples observations (voir le compte rendu d'enqu�te et le tableau des t�moignages fran�ais).
Les multiples t�moins d�crivent un ph�nom�ne lumineux tr�s puissant ayant travers� le ciel en moins d'une minute (pour la plupart) se dirigeant vers le Sud ou Sud-Ouest.
On peut constater une grande variabilit� dans les �l�ments d�crits, autant sur la couleur du ph�nom�ne (vert, rouge, jaune, violet, blanc, ros�, bleut� ) que sur la forme (boule, cigare, soucoupe, triangle et m�me parall�l�pip�de), la distance estim�e (30m � 2 km), sur la direction de d�placement (majorit� de Nord vers Sud, ou Est vers Ouest, voir l'inverse pour certains t�moins) et sur la dur�e d'observation (majoritairement inf�rieure � 1 mn, quelques cas de plus de 2mn).
L'exp�rience montre qu'une telle variabilit� est fr�quente pour toutes les observations massives ; il faut aussi bien prendre en compte le fait que tous les t�moins, �loign�s les uns des autres, n'ont pas vu le ph�nom�ne sous le m�me angle, et sur une m�me dur�e : ceci induit une variabilit� tout � fait explicable dans les r�cits des t�moins (voir le compte rendu d'enqu�te). N�anmoins, la simultan�it� du ph�nom�ne, et quelques caract�ristiques communes comme la fragmentation en 3 �l�ments laissent peu de doute sur l'unicit� de l'origine du ph�nom�ne.
Dans ce genre de cas, c'est la multiplicit� des t�moins au m�me instant et leur �loignement g�ographique important qui prouve que le ph�nom�ne �tait tr�s puissant et � haute altitude : l'hypoth�se de rentr�e atmosph�rique devient certaine.
La nature de l'objet rentrant est plus difficile � prouver : dans ce cas, du fait de l'orientation vers le Sud-Ouest du ph�nom�ne, et de sa dur�e inf�rieure � une minute, qui implique une vitesse initiale nettement sup�rieure � 10 km/s, l'hypoth�se de la rentr�e dans l'atmosph�re d'un d�bris de satellite s'efface derri�re l'hypoth�se d'une rentr�e de m�t�oro�de naturel. Les astronomes de Nice (voir l'article ""La lueur dans le ciel azur�en : c'�tait bien une m�t�orite"") et de G�nes ont confirm� cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas A : observation d'une rentr�e atmosph�rique de bolide, provoqu� par un m�t�oro�de naturel.
";"Observation de la rentr�e probable d'une m�t�orite";O;2;;;;;;;;2017-07-27;;;0.13;0.12;;;0.90;;0.95;;0.53;0.47;A;A;1980-11-00821
1018;"SARCELLES (95) 16.12.1980";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";1980;12;16;"Le 16 d�cembre 1980 vers 11h un t�moin aper�oit dans le ciel d�gag� un objet rond qu'il ne peut identifier. Cet objet est surmont� d'une antenne pyramidale ; il est de couleur m�tallique et �blouit le t�moin par moment. Un halo de couleur jaune clair l'enveloppe. Il se dirige vers l'Est en effectuant des mouvements ascendants et descendants. L'observation a dur� 4 minutes avant que l'objet ne disparaisse porgressivement et compl�tement en direction du Sud. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli par la gendarmerie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet volant rond, mouvement montant et descendant.";O;1;;;;;;;;2008-04-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-12-00840
1020;"BONDUES (59) 24.12.1980";Nord;59;"(D) D�partement";1980;12;24;"Le 24 d�cembre 1980 vers 0h 15 un t�moin depuis son domicile aper�oit durant une � deux secondes un ph�nom�ne lumineux de couleur verte. Ce ph�nom�ne semble descendre du ciel et dispara�t dans la montagne. Malgr� une enqu�te aupr�s d'une �quipe de service des pistes active cette nuit l� et des recherches au sol, aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de donn�es.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux vert ; trajectoire descendante.";O;1;;;;;;;;2008-04-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-12-00842
1021;"CHEVREUSE (78) 25.12.1980";Yvelines;78;"(D) D�partement";1980;12;25;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � C � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s �C � auparavant.
Ce cas est assez consistant (trois t�moins, dont seulement deux sont interrog�s), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur, trajectoire) avec une rentr�e atmosph�rique artificielle. De plus, ce cas d'observation s'inscrit dans une observation de masse d'une rentr�e atmosph�rique artificielle (� savoir celle de Cosmos 749 rocket), ayant eu lieu dans le cr�neau horaire et sur la trajectoire indiqu�s.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (�tonnement).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise avec la rentr�e atmosph�rique de Cosmos 749 rocket.";"Observations du d�placement S-N de points lumineux : m�prise avec la rentr�e atmosph�rique de Cosmos 749 rocket.";O;2;;;;;;;;2013-12-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-12-00843
1024;"PETIT-LANDAU (68) 12.12.1980";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";1980;12;12;"Le 12 d�cembre 1980 vers 5h une automobiliste aper�oit dans son r�troviseur une lumi�re orange. A environ 300m dans la for�t, un objet de forme ovale �met des lumi�res clignotantes passant du vert au rouge et au bleu. Le t�moin s'arr�te pour observer. Cette forme mesure environ 5 m de large pour 2 m de haut. Impressionn�e, l'automobiliste repart et voit l'objet dispara�tre � un carrefour. Aucune autre information ou t�moignage ne seront recueillis sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"observation d'un objet de forme ovale";O;1;;;;;;;;2008-04-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1980-12-01773
1026;"VAUCRESSON (92) 1981";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";1981;01;01;"Le 01 janvier 1981 vers 21h 40 deux gardiens de la paix aper�oivent un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue. Entre 100 et 150 m�tres dans le ciel, une lueur jaune-orang�e scintille. Tout en observant la progression de cette lumi�re, ils voient un engin de forme circulaire, tournant sur lui-m�me et qui, � une allure r�guli�re, lente et sans bruit, semble amorcer une descente. L'engin �met diff�rentes lumi�res clignotantes et laisse derri�re lui une courte train�e. L'observation, qui a dur� environ une minute, a cess� lorsque l'objet a �t� cach� par le paysage. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation d'un objet en forme d'assiette";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1981-01-00847
1027;"TRANS-EN-PROVENCE (83) 08.01.1981";Var;83;"(D) D�partement";1981;01;08;"Le 08 janvier 1981, le t�moin est sur la terrasse sup�rieure de sa propri�t� et travaille � la construction d'un petit �difice en ma�onnerie pour prot�ger une pompe. Son attention est soudain attir�e par un sifflement et il voit un engin descendre vers le sol, se poser en contrebas � quelques dizaines de m�tres de lui et repartir apr�s quelques secondes selon une trajectoire verticale avant de dispara�tre � grande vitesse aux yeux du t�moin. Sous l'engin, le t�moin aper�oit des formes circulaires pro�minentes qu'il identifie comme �tant des trappes o� des pieds. L'engin de couleur grise comme du zinc, n'�mettait ni flamme ni fum�e et avait une dimension d'environ 2,5 m sur 1,70 de hauteur, il �tait circulaire, avec sur son diam�tre une bande plus �paisse, les ""pieds"" �tant de la dimension ""d'un seau de ma�on"". L'ensemble de l'observation a dur� de 30 � 40 secondes. Lorsque le t�moin s'approche du lieu d'atterrissage il constate une trace d'environ 2 m�tres de diam�tre sur le sol avec des marques de ""ripages"" en certains points de sa circonf�rence. La Gendarmerie intervient le 09 janvier, auditionne le t�moin, constate la trace sur le sol, et proc�de � des pr�l�vements d'�chantillons de terre sur la trace elle-m�me ainsi que de plants de luzerne sauvage pr�lev�s de fa�on progressive depuis la trace jusqu'� 10 m�tres environ de celle-ci. Le GEPAN est intervenu le 17 f�vrier. Les traces sont encore visibles et une nouvelle s�rie de pr�l�vements de luzerne et de terre est effectu�e. Les analyses de sol ont �t� confi�es � quatre laboratoires diff�rents qui ont effectu� des analyses selon des techniques diff�rentes et apport� chacun un point de vue compl�mentaire. La synth�se de ces analyses permet de mettre en valeur trois r�sultats principaux :
un tassement significatif du sol montrant la pr�sence d'un corps pesant ayant laiss� un l�ger d�p�t de fer et d'oxyde de fer, mais aussi de phosphates et de zinc pouvant venir du frottement sur le sol d'un rev�tement de peinture ;
les r�sidus noir�tres relev�s sur la trace peuvent �tre des r�sidus de combustion, Un �chauffement significatif (mais inf�rieur � 600�) a �galement �t� d�tect�.
Les analyses biochimiques des �chantillons de luzerne ont �t� r�alis�es par un laboratoire de biochimie de l'INRA. Elles ont montr� des d�gradations multiples des plantes corr�l�es avec leur distance � la trace. Les causes de ces d�gradations n'ont pas �t� d�termin�es mais l'hypoth�se d'un champ �lectrique intense peut �tre envisag�e. Les analyses men�es n'ont gu�re permis d'apporter une estimation quantitative du ph�nom�ne, pas plus qu'une preuve de la narration du t�moin, qui reste unique, bien que le comportement de celui-ci ne permette pas de mettre en doute sa cr�dibilit�. Un ph�nom�ne important inhabituel s'est produit ce jour l�, et l'enqu�te n'a pas permis d'en d�terminer l'origine..";"Observation de l'atterrissage et du d�part d'un objet ayant laiss� des traces au sol.";O;1;;;;;;;;2018-07-16;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1981-01-00849
1028;"CALAIS (62) 09.01.1981";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1981;01;09;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� CALAIS (62) 1981 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 09 janvier 1981 vers 9h, trois t�moins au travail dans une maison de retraite observent dans le ciel le d�placement Est-Ouest d'un objet de couleur jaune-rouge et de forme allong�e. Cet objet se d�place � tr�s grande vitesse mais aucun bruit n'est entendu. Durant l'observation qui a dur� 3 � 4 minutes, l'objet est cach� par des nuages. A noter que deux des t�moins ont observ� le m�me ph�nom�ne le jour pr�c�dent.
Il faut savoir que l'ensemble des b�timents a �t� ras� � partir de 2013 et qu'il est donc impossible de savoir dans quel b�timent exact se trouvaient les t�moins (n�anmoins deux positions possibles extr�mes ont �t� consid�r�es dans le compte rendu d'enqu�te).
Le PAN observ� par les t�moins a toutes les caract�ristiques d'une train�e de condensation produite par un avion se d�pla�ant � haute altitude et �clair�e par le soleil levant (voir le compte rendu d'enqu�te) :
- forme en cigare ou ovalis�e semblable � des exemples photographiques de telles train�es.
- couleur � feu � ou rouge/orange/jaune typique de la couleur que prennent de telles train�es lorsqu'elles sont �clair�es par le soleil bas sur l'horizon (au lever ou au coucher).
- d�placement semblable � celui d'un objet tr�s �loign�, � loin en profondeur �, tel que not� par le t�moin 1.
Il est relativement fr�quent, dans des conditions d'�clairage semblables (soleil bas sur l'horizon) et dans des conditions atmosph�riques � haute altitude tr�s stables, que la tra�n�e de condensation d'un avion de ligne produise ce genre d'effets visuels, dont le GEIPAN poss�de aujourd'hui de nombreux t�moignages photos. Les caract�ristiques communes sont que les avions produisant ces tra�n�es de condensation courtes ont �t� photographi�s aux environs de l'aurore ou du cr�puscule, avec un soleil � proximit� de l'horizon, ce qui produit sur les tra�n�es une couleur jaune-orange (qui peut m�me parfois �tre rouge) et donc cette impression de � feu � not�e par un des t�moins.
En 1981, le GEIPAN n'avait pas l'exp�rience, acquise et v�rifi�e aujourd'hui, de ce type de t�moignages cr��s par des train�es d'avion. Ce qui avait conduit � un classement du cas en inexpliqu� � l'�poque.
L'avion lui-m�me peut �tre ou ne pas �tre visible et, lorsqu'il l'est, c'est souvent sous la forme d'un point tr�s lumineux pr�c�dant les tra�n�es de condensation (voir exemples n�7 et 9 de train�es de condensation). La plupart du temps, ce point lumineux n'appara�t que de fa�on fugace, selon la g�om�trie de la surface refl�tant la lumi�re solaire et le d�placement de l'avion par rapport � la position des observateurs. Les t�moins n'ont pas observ� ce ph�nom�ne, mais le PAN n'a �t� visible que par intermittence, masqu� de temps en temps par des nuages.
En ce qui concerne ces tra�n�es, elles peuvent prendre une forme plus ou moins allong�e, en forme de � V �, de fuseau, voire une forme ovalis�e, ce qui correspond bien aux descriptions des t�moins relatives � la forme du PAN (� cigare �, � cercle �, � ovale �).
Lorsque l'avion incrimin� a effectu� un virage, la perspective �tait sans doute plus favorable pour que la s�paration entre les deux tra�n�es de condensation soit davantage visible, ce qui donne l'impression � un des t�moins qu'� cet instant � il paraissait coup� en deux �.
Enfin, le t�moin 1 note la pr�sence de � deux tra�n�es blanches� avant que le PAN ne disparaisse. Cette mention de tra�n�es blanches confirme l'hypoth�se de la confusion avec les tra�n�es de condensation d'un avion.
Il est impossible 37 ans apr�s d'identifier l'avion � l'origine. Mais la vision se faisant � basse hauteur dans le ciel, (c'est effectivement bas sur l'horizon que peuvent se produire ces couleurs ocre de train�es au lever ou au coucher du soleil), l'avion pouvait se trouver sur une plage de 50 � 150 km � l'Est de Calais, ce qui embrasse une possibilit� de trafic d�j� importante en 1981 et laisse une possibilit� raisonnable d'y trouver un avion ayant fait une trajectoire avec un virage plus ou moins accentu�.
La consistance du t�moignage est plut�t faible. Il y a bien trois t�moins mais d�pendants, donnant peu d'�l�ments quantifi�s (aucune donn�e angulaire par exemple). Le qualitatif fourni est suffisamment caract�ristique pour valider l'explication.
En conclusion, le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de train�es d'avion volant � haute altitude, �clair�es par le soleil levant.";"Observations du d�placement silencieux d'un objet de forme allong�e et de couleur ""feu"" � l'aurore : observation probable de train�es d'avion volant � haute altitude, �clair�es par le soleil levant.";O;3;3;;1;;;;;2018-06-06;;;0.35;0.00;;;0.60;;0.70;;0.42;0.00;B;B;1981-01-00850
1029;"VITROLLES (13) 19.01.1981";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1981;01;19;"Le 19 janvier 1981 vers 3h du matin des t�moins entendent un grondement et ressentent des vibrations importantes. Certains voient �galement des lueurs roses dans le ciel au-dessus d'une usine.
Apr�s enqu�te, le ph�nom�ne a �t� identifi� comme provenant de la mise en service d'une nouvelle structure dans une raffinerie sur le secteur indiqu�. Il a notamment �t� expliqu� que les lueurs sur les nuages provenaient d'une nouvelle torch�re allum�e cette nuit l�.";"Observation d'une lueur provenant d'une torch�re d'une raffinerie.";O;5;;;;;;;;2012-01-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1981-01-00852
1030;"PITHIVIERS (45) 24.01.1981";Loiret;45;"(D) D�partement";1981;01;24;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � C � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s �C � en 1981 par le GEPAN.
Le 24 janvier 1981 � 9h 10, alors qu'elle circule � bord de son v�hicule, un t�moin aper�oit malgr� le brouillard, une boule de couleur jaune feu. Celle-ci se d�place dans le sens NO-SE. Situ�e haut dans le ciel, l'objet semble en rotation sur lui-m�me. Cette boule dispara�t dans le paysage.
Ce cas est moyennement consistant (un seul t�moin), la description du PAN observ� est pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� du t�moin n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : le Soleil, vu � travers le brouillard. De plus, le Soleil �tait bien pr�sent dans la zone du ciel observ�e, ainsi que le brouillard.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (�tonnement, conduite � travers le brouillard).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e � une m�prise avec le Soleil vu � travers le brouillard.";"Observation dans le brouillard du d�placement d'une boule lumineuse dans le ciel : m�prise astronomique avec le Soleil.";O;1;;;;;;;;2013-12-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1981-01-00853
1031;"SAINT-RIVOAL (29) 26.01.1981";Finist�re;29;"(D) D�partement";1981;01;26;"Le 26 janvier 1981 vers 23h 15 un cibiste dans sa voiture aper�oit, dans le ciel clair et sans nuages, un �clair durant 3 secondes. Intrigu�, il se penche � sa porti�re et voit alors un point lumineux blanc qui en descendant grossi rapidement. L'observation dure 6 � 7 secondes. La lumi�re �mise devient alors importante puis s'�teint brusquement. Le peu d'informations recueillies dans cette description indiquent n�anmoins l' observation d'une probable rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'un point lumineux se d�pla�ant tr�s rapidement";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1981-01-00854
4729;"PANTIN (93) 30.05.1993 T2";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";1993;05;30;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� PANTIN (93) 30.05.1993 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le 30 mai 1993 � 4h15, un t�moin de retour chez elle apr�s une soir�e, observe depuis son balcon une forme rectangulaire orang�e dans le ciel de PANTIN. La forme � une taille estim�e � 1 m�tre environ et semble stationnaire durant 15 minutes puis se d�place lentement en changeant de direction pour s'�loigner et disparaitre � l'horizon. Le t�moin observe un feu clignotant rouge mais aucun bruit n'est entendu.
Toujours sur son balcon, le m�me t�moin � 4h30, observe une seconde forme, circulaire cette fois et blanche, non �blouissante stationnaire. La taille de ce disque est �galement estim� � environ 1 m�tre. Le t�moin observera ce second ph�nom�ne en continu jusqu'� 6 heures du matin, heure � laquelle le PAN disparait tr�s lentement.
Il y a en fait deux observations de deux PAN distincts :
Dans un premier temps (voir le cas PANTIN (93) 30.05.1993 T1), il s'agit probablement des feux d'atterrissage d'un a�ronef en phase d'approche VFR nuit sur l'un des deux a�roports parisiens situ�s dans l'axe d'observation du t�moin.
Les phares d'atterrissages des a�ronefs peuvent en effet �tre vus de tr�s loin, voir en exemple sur le site du GEIPAN le cas � EZE (06) 16.05.2014 � o� un tel a�ronef a pu �tre observ� � une distance au t�moin d'environ 36 km et l'autre exemple � FONTRAILLES (65) 31.10.2017 � o� les phares de l'avion sont visibles et quasi-immobiles de jour depuis 100 km sur plus de 10 minutes de dur�e.
La distance emp�che au t�moin de distinguer autre chose que ces puissants feux dont la couleur et la luminosit� sont, de nuit, m�lang�s au feu anti-collision rouge situ� sous la carlingue de l'appareil, donnant cette forme de � rectangle orange � not�e par le t�moin.
Le sens de d�placement vers l'est, la faible �l�vation angulaire au-dessus de l'horizon, l'observation d'un feu clignotant rouge apr�s le pivotement de l'a�ronef sur son axe, le positionnant face � la piste, la lenteur du d�placement, ainsi que l'absence de bruit confortent l'hypoth�se.
Dans un second temps, la dur�e de l'observation, le lent d�placement du PAN dans le ciel, sa forme circulaire et de couleur blanche ainsi que sa disparition du fait des nuages pr�sents en nombre cette nuit-l� confortent l'hypoth�se d'une confusion avec la plan�te V�nus, se levant � l'est et se d�pla�ant lentement vers l'est-sud-est tout en gagnant en �l�vation. Le t�moin n'a probablement pas l'habitude d'observer le ciel � cette heure tardive de la nuit et n'est pas familier avec ces ph�nom�nes astronomiques. Il a scrut� le ciel probablement suite � l'attention ou inqui�tude cr��es par la premi�re observation qui est l'observation principale � retenir.
La consistance est moyenne et b�n�ficie surtout du rep�rage aux b�timents, ce qui pallie partiellement l'absence des relev�s de mesures angulaires par les gendarmes lors de leur enqu�te sur place.
Ce cas PANTIN (93) 30.05.1993 T2 est class� A : observation de V�nus.";"Tr�s longue observation d'un objet tr�s lumineux blanc stationnaire dans le ciel et tr�s lente disparition : observation de V�nus.";O;;1;;1;;;;;2018-07-05;;;0.15;0.00;;;;;;;0.42;0.00;A;A;1980-01-50559
1033;"DRY (45) 29.01.1981";Loiret;45;"(D) D�partement";1981;01;29;"En plus du traitement des t�moignages courants, le GEIPAN r�examine des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � D � et publi�s sur son site. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te.
Ce cas d'observation anciennement nomm� CLERY SAINT-ANDRE (45) 1981 fait partie de cas class�s � D � par le GEPAN et r��xamin� r�cemment.
Le 29 janvier 1981, vers 19h15, un t�moin remarque dans le ciel un point tr�s lumineux qu'il ne s'explique pas. Le PAN pr�sente des variations de couleurs ainsi que des petits d�placements. A 19h20, le t�moin appelle la gendarmerie afin de signaler les faits. Deux gendarmes se rendent aussit�t chez le t�moin principal. Ensemble, ils observent le PAN jusqu'� 21h00. A la fin de l'observation, le PAN est toujours visible. Un service nocturne d'une autre brigade signalera par la suite que le PAN �tait � toujours visible � 0h00 et 4h00 �. Des clich�s ont �t� pris par les gendarmes, mais se sont r�v�l�s n�gatifs.
La description des lieux d'observation et du PAN sont pr�cises, ce qui permet d'analyser plus en d�tail ce cas (voir la note d'enqu�te). Il est � noter que les t�moignages du t�moin et des gendarmes sont parfaitement coh�rents entre eux, ce qui montre la r�alit� du ph�nom�ne. Le cas est consistant (trois t�moins, dont deux gendarmes), la description du PAN observ� est assez pr�cise, sauf pour l'�l�vation dans le ciel que l'on peut qualifier de basse par d�duction � partir d'autres indications (par ex �entre l'horizon et la plus basse des �toiles�).
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : Sirius.
En effet Sirius se trouve exactement dans la direction de l'observation principale (de 19H � 21H). Le t�moin principal rejette l'hypoth�se d'une m�prise avec une �toile, car le PAN change de couleur et se d�place de fa�on erratique, mais :
- la hauteur angulaire de Sirius reste faible tout au long de l'observation (20� � 21h00), et peut expliquer les scintillements (effets de la travers�e de l'atmosph�re par les rayons lumineux) selon une palette de couleurs tout � fait coh�rente avec les propos des t�moins.
- l'autre aspect insolite des mouvements (� amplitude limit�e) peut �tre d� au scintillement ou peut r�sulter du ph�nom�ne d'autocin�tique (voir l'article sur l'effet autocin�tique.
La mention de la pr�sence du PAN � 0H puis � 4H est compatible avec l'hypoth�se Sirius. En effet ceci est relev� uniquement par une autre �quipe de gendarmerie qui n'est pas signal�e comme ayant fait l'observation initiale du PAN. Sirius n'est alors plus dans la direction Sud-Est rapport�e pour le PAN. En revanche, il est tr�s probable que cette deuxi�me �quipe ait remarqu� une autre �tranget� dans ciel cr��e par Jupiter en conjonction avec Saturne. Pr�sent effectivement en Sud Est, Jupiter surpasse en luminosit� les autres �toiles et pr�sente ce soir-l� une lueur double du fait de la conjonction. Cette deuxi�me �quipe a pu l�gitimement penser que cette �trange lueur �tait celle du PAN qui lui avait �t� rapport�e en Sud-Est � 21H.
La tr�s grande coh�rence entre l'ensemble des observations et la vision que pouvait donner Sirius le soir de l'observation de 19H � 21H (et celle que pouvait donner la conjonction Jupiter Saturne � 0H et 4H) ne laisse gu�re de doute sur la m�prise avec Sirius pour ce qui est de l'observation principale entre 19H et 21H.
L'�tranget� produite par Sirius est assez classique (scintillement et/ou autocin�tique) et reste � l'origine de beaucoup de m�prises (voir sur site GEIPAN avec mot clef Sirius, voir aussi par exemple le cas Grand-Couronne (76) 17.04.2016).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation de Sirius.";"Observations d'un point lumineux avec des variations de couleurs ainsi que des petits d�placements dans le ciel nocturne : m�prise astronomique de Sirius.";O;1;;;;;;;;2017-07-28;0.10;;0.10;0.00;0.90;;0.90;0.60;0.60;0.60;0.60;0.00;A;A;1981-01-00856
1034;"REIMS (51) 23.01.1981";Marne;51;"(D) D�partement";1981;01;23;"Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � C � par le GEPAN et a fait l'objet d'un r�examen (voir le document Notes d'enqu�te).
. Le 23 janvier 1981 vers 21h un t�moin rentrant de son travail � cyclomoteur est intrigu� par une grosse forme ronde � l'Est dans le ciel. Cette forme �met une lumi�re intense orang�e. D'apr�s le t�moin, elle change de position puis dispara�t brusquement. Durant l'enqu�te aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Ce cas est peu consistant (t�moin unique, observation courte), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� du t�moin n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la Lune � son lever. De plus, la Lune �tait bien pr�sente sur la zone du ciel observ�e.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (fatigue, conduite de nuit sur un sol gel�, pr�sence de brouillard).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� ""A"", observation li�e avec une m�prise avec la Lune.";"Observation d'une lueur de forme ronde � l'Est dans le ciel : observation astronomique de la Lune.";O;1;;;;;;;;2014-09-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1981-01-01741
1035;"PERPIGNAN (66) 15.01.1981";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";1981;01;15;"En mars 2012 le GEIPAN re�oit un questionnaire rapportant une observation faite le 15 janvier 1981 � 5h50 � Perpignan. Ce matin l� juste avant de prendre son travail, un t�moin est intrigu� par le passage Sud-Nord, dans le ciel d�gag�, de trois points lumineux strictement align�s � �quidistance les uns des autres. L'observation dure 3 minutes avant que les points ne disparaissent du champ de vision du t�moin. Un seul t�moignage est recueilli.
Il s'agit d'un t�moignage post�rieur de 35 ans � l'observation. Le cas repr�sente peu d'�tranget�. L'heure, la dur�e, la trajectoire sont compatibles avec des satellites. Ce qui �tonne le t�moin r�sulte d'un effet groupe de satellites, qui peut r�sulter soit d'un essaim de satellites rapproch�s et collaboratifs, soit de satellites totalement distincts �voluant sur des plans d'orbite parall�les. La deuxi�me hypoth�se est la plus probable car les essaims n'existaient pas en 1981 (sauf peut �tre sur des programmes confidentiels US). Cette hypoth�se suppose en principe un �cart angulaire entre objets plus important que dans le cas de l'essaim, mais ceci est difficile � clarifier vu l'anciennet� du t�moignage.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : satellites.";"Observation du d�placement conjoint de trois points lumineux dans le ciel nocturne : observation de satellites.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.50;;0.35;0.00;B;B;1981-01-08219
1038;"TOULON (83) 01.02.1981";Var;83;"(D) D�partement";1981;02;01;"La gendarmerie rapporte une observation faite le 1er f�vrier 1981 � 2h40 du matin par un gardien de nuit. Ce dernier, lors de son service, aper�oit au-dessus de la mer trois grosses boules ros�tres et ternes formant un triangle isoc�le. Aucune lumi�re clignotante n'est aper�ue, aucun bruit n'est entendu lors du d�placement. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Le cas avait �t� class� inexpliqu� lors de sa prise en compte au moment de l'observation en 1981.
Les cas inexpliqu�s sont porteurs d'enjeu potentiel de connaissance scientifique, encore faut-il que le caract�re inexpliqu� reste valid� au cours du temps. Aussi ces cas subissent une revisite. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
.
La pr�sente revisite ne permet pas de conserver ce cas au statut inexpliqu�.
- Nous ne disposons pas du t�moignage �crit et sign� du t�moin qui s'y est refus�. C'est une r�gle de base au GEIPAN depuis de nombreuse ann�es de travailler � partir de t�moignages directs et sign�s. Toute autre situation est un manquement � la consistance du t�moignage sur le plan de sa fiabilit�.
- Le t�moignage est impr�cis (pas de description �crite du t�moin, pas de questions et r�ponses). Les informations de taille, distance et vitesse sont toujours subjectives et peu exploitables. Il aurait fallu connaitre les positions dans le ciel en d�but et fin d'observation et la dur�e de celle-ci.""br""
- Au vu du peu d'�l�ments, rien ne permet d'exclure des ballons de baudruche ou d'enfants �clair�s par les lumi�res de la ville. On est une nuit de weekend propice � une �v�nement festif. Les PAN sont signal�s comme ternes et non �metteurs de lumi�res, ce qui traduit en effet un �clairage en pleine nuit par l'environnement. Le vent est faible et venant du Nord � 01H (voir le siteInfoclimat). Un t�moin qui voit les PAN au-dessus de la mer (et non � sa propre verticale) per�oit avant tout un d�placement lat�ral de gauche vers la droite que les PAN aillent plein Sud port�s par le vent depuis La Valette ou qu'ils aillent de La Valette vers La Seyne-Sur-Mer comme le t�moin l'aurait per�u (report� dans le PV). De plus le vent �tant faible, il peut avoir l�g�rement chang� entre 1H et 2H40.
La faible consistance du t�moignage ne permet pas de valider un caract�re d'�tranget� inexplicable, d'autant moins que le peu dont on dispose serait compatible d'un vol de ballons de baudruche ou d'enfants.
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en C: manque d'informations fiables.";"Observation du d�placement silencieux de 3 grosses boules ros�tres dans le ciel nocturne au-dessus de la mer : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.40;0.00;;;0.20;;0.40;;0.10;0.00;C;C;1981-02-00857
1039;"AULNAY-SOUS-BOIS (93) 09.02.1981";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";1981;02;09;"Le 9 f�vrier 1981 vers 14h 45 un t�moin observe dans le ciel une boule de feu de couleur orang� suivie d'une tra�n�e de fum�e grise. Cette sph�re descend lentement et sans bruit. Elle dispara�t dans le paysage. Une autre boule de m�me type surgit alors. Lors de l'enqu�te il appara�t que le 9 f�vrier vers 14h 30 les pompiers de l'a�roport situ� non loin de l�, ont proc�d� aux lancements de fus�es de d�tresse avec parachute. Ces fus�es montent verticalement � une altitude d'environ 100 � 200m, restent allum�es une minute avant de retomber doucement et de s'�teindre. Le t�moin a probablement aper�u ces fus�es de d�tresse.";"observation probable de fus�es �clairantes";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;B;A;1981-02-00859
1040;"YONNE (89) 26.02.1981";Yonne;89;"(D) D�partement";1981;02;26;"Le 26 f�vrier 1981 vers 18h30 plusieurs t�moins vont apercevoir dans le ciel et durant quelques secondes le passage d'un ph�nom�ne lumineux particulier dans le ciel. Une forme circulaire de couleur orang�e se d�pla�e SO-NE suivie dans son sillage par une train�e lumineuse.
Les descriptions et dessins faits par les personnes indiquent qu'ils ont probablement �t� t�moins d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observations multiples d'une probable rentr�e atmosph�rique.";O;9;;;;;;;;2012-09-13;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1981-03-00860
1041;"SOLER (LE) (66) 23.02.1981";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";1981;02;23;"Le 23 f�vrier 1981, un t�moin sortant de son domicile aper�oit dans le ciel deux grosses boules lumineuses. Durant quelques secondes celles-ci �mettent une lumi�re tr�s intense et aveuglante. Tr�s surpris par le ph�nom�ne, le t�moin voit ces boules se rallumer quelques secondes plus tard au m�me endroit avant de dispara�tre d�finitivement. Le t�moin affirme que depuis cette observation, il a des probl�mes de sant� (�tat constant de fatigue, malaise). Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Deux boules lumineuses fixes";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-03-00863
1042;"CLAMECY (58) 08.03.1981";Ni�vre;58;"(D) D�partement";1981;02;12;"Entre le 12 f�vrier et le 11 mars 1981, plusieurs t�moins aper�oivent de nuit et aux m�mes heures une lumi�re dans le ciel qui leur paraissait particuli�re. Ce point lumineux se d�place � chaque fois tr�s lentement, dans la m�me direction E-SE et semble clignoter.
Une v�rification avec un logiciel d'astronomie nous permet d'affirmer que les t�moins ont probablement vu la conjonction Saturne Jupiter particuli�rement visible en ce d�but d'ann�e.";"Observation de la conjonction Saturne Jupiter.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1981-03-00861
1043;"METZ (57) 30.03.1981";Moselle;57;"(D) D�partement";1981;03;30;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� METZ (57) 30.03.1981 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Il concerne l'observation le 30 mars 1981 entre 11h et 12h par six t�moins ind�pendants d'un PAN survolant certains quartiers de la ville de METZ (57). Les gendarmes pr�venus par l'interm�diaire d'un article de presse paru dans le ""R�publicain Lorrain"" m�nent l'enqu�te sur place d�s le lendemain des faits.
Les donn�es testimoniales exploitables permettent d'envisager s�rieusement une confusion avec un ballon festif multicolore (voir le compte rendu d'enqu�te). On note en particulier que sur six t�moins, quatre t�moins font r�f�rence � un ballon (� sorte de ballon �) et les deux autres � une sph�re. N�anmoins, les contradictions et impr�cisions des t�moignages ne permettent pas d'�tablir un avis suffisamment solide.
On pourra par ailleurs regretter l'absence d'une enqu�te plus pouss�e, faite sur place et en Gendarmerie, avec en particulier le recueil des donn�es angulaires aupr�s des t�moins (dimensions angulaires du PAN, �l�vation sur l'horizon), un positionnement pr�cis des t�moins, des dur�es d'observation pr�cises, une chronologie mieux �tablie, etc...
En absence de ces donn�es, rien ne permet d'infirmer, ni de confirmer cette hypoth�se de ballon festif.
Le GEIPAN classe le cas en � C �, le manque d'information ne permettant pas d'approfondir suffisamment une hypoth�se pourtant plausible.
";"Observations multiples des �volutions d'un objet sph�rique multicolore dans le ciel de Metz : manque d'information.";O;6;6;;1;;;;;2018-07-17;;;0.30;0.00;;;0.58;;0.52;;0.30;0.00;C;B-;1981-03-00864
1044;"BLANC-MESNIL (LE) (93) 28.03.1981";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";1981;03;28;"Le 28 mars 1981 entre 15h et 17h deux personnes aper�oivent un engin qu'ils prennent d'abord pour une boule de feu. La vitesse de l'engin est tr�s �lev�e selon une trajectoire Nord-Ouest Nord -Est. De forme circulaire, la circonf�rence de l'objet est d'environ 3 � 4 m�tres. Aucune autre information n'a �t� recueillie.";"Observation d'un ph�nom�ne se d�pla�ant tr�s rapidement";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-07-00874
1046;"OISSEL (76) 1981";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1981;04;07;"Le 7 avril 1981 vers 20h, des t�moins observent une boule de feu � environ 4000 m�tres d'altitude . Celle-ci est suivie d'une train�e color�e et semble ensuite chuter dans les environs. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. Ces personnes, d'apr�s les descriptions qu'elles font du ph�nom�ne, ont probablement �t� t�moins d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1981-04-00865
1047;"SAINT-QUENTIN (02) 1981";Aisne;02;"(D) D�partement";1981;04;26;"Le 26 avril 1981 vers 22h, plusieurs t�moins observent un �trange ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Une boule lumineuse rouge accompagn�e de quelques flamm�ches se d�place d'Est en Ouest. Le ph�nom�ne a dur� quelques secondes avant de changer de forme pour ressembler � un filet de lumi�re et dispara�tre brusquement. Ces personnes ont probablement �t� t�moins d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1981-04-00866
1048;"BELFORT (90) 04.05.1981";"Territoire de Belfort";90;"(D) D�partement";1981;05;04;"Le 4 mai 1981 entre 20h et 23h de nombreux t�moins dont des militaires aper�oivent dans le ciel des ph�nom�nes lumineux orang�s en direction de la Suisse. Lors de l'enqu�te, il sera �tablit que des manuvres militaires ont bien eu lieu ce soir l� pr�s de la fronti�re Suisse et qu'il s'agit de fus�es �clairantes.";"Observation de fus�es �clairantes probablement lanc�es lors de manuvres militaires.";O;14;;;;;;;;2010-10-14;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1981-05-00867
1049;"SAINT-MACAIRE (33) 1981";Gironde;33;"(D) D�partement";1981;05;10;"Le 10 mai 1981 des t�moins aper�oivent vers 20h30 un ph�nom�ne lumineux particulier. Une boule rouge situ�e haut dans le ciel semble descendre doucement pour se poser. Soudain une lumi�re intense jaillit d'un triangle �clairant toute la zone puis une fum�e blanche est aper�ue vers le sol par les t�moins. Ce ph�nom�ne se reproduit quatre fois de suite � environ 10 minutes d'intervalle. L'enqu�te indique que les t�moins ont sans doute �t� abus�s par des fus�es �clairantes lanc�es le soir des r�sultats du deuxi�me tour des �lections pr�sidentielles.";"Observation vraisemblable de fus�es �clairantes.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1981-05-00868
1050;"TERNAY (41) 22.05.1981";Loir-et-Cher;41;"(D) D�partement";1981;05;22;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� TERNAY (41) 22.05.1981 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (le cas est �galement connu sous le nom MONTOIRE (41) 1980).
Le 23 mai 1981 vers 23h40 quatre membres d'une famille sont en voiture sur le CD4 (commune de TERNAY (41). Ils aper�oivent (difficilement � cause du temps tr�s nuageux) un ph�nom�ne fortement lumineux � basse altitude. Le conducteur s'arr�te intrigu� par le PAN situ� maintenant pr�s d'un bosquet. L'observation, qui dure une quinzaine de minutes, permet aux t�moins de voir un objet de forme ovale, avec des lumi�res de plusieurs couleurs (blanc et bleu-vert) et par instant des lumi�res rouge-orange aux extr�mit�s. L'objet, qui semble �mettre des faisceaux de lumi�re, reste immobile. Aucun bruit n'est entendu. Le PAN dispara�t derri�re le bosquet. Le conducteur reprend sa route pour emprunter la d�partementale 116 en direction de SAINT-MARTIN-DES-BOIS (41) et d�poser deux membres de la famille. Deux des quatre t�moins reviennent ensuite sur les lieux par un autre itin�raire. Arriv�s � hauteur du bosquet, un �pais brouillard enveloppe soudain le bois. Les t�moins font demi-tour. Un dernier coup d'il en direction du bosquet leur permet de constater des petites lumi�res rouge orang� pr�s du sol. Les t�moins quittent les lieux pour rentrer chez eux. L'enqu�te qui aura lieu le lendemain matin ne rel�vera aucune trace sur le sol et dans la v�g�tation environnante.
Nous avons montr� au fil de l'analyse (voir le compte-rendu d'enqu�te) que les t�moins, plac�s dans des conditions d'observation d�favorables (environnement nocturne tr�s sombre), n'ont pas pu identifier un engin agricole, ou plus probablement un engin d'exploitation foresti�re, travaillant de nuit dans un champ ou dans un petit bois situ� � environ 2km de distance de leur position.
Cette distance d'observation, coupl�e � l'impossibilit� de distinguer la s�paration ciel/terre dans ces conditions d�favorables, ont fait penser aux t�moins que le ph�nom�ne non identifi� se trouvait dans le ciel, � basse altitude, alors que nous avons pu d�montrer qu'il pouvait se trouver en fait au sol, dans une zone en pente pr�sentant une �l�vation sup�rieure � celle o� se trouvaient les t�moins.
Nous avons donc explor� deux hypoth�ses, celles de l'engin agricole effectuant des travaux dans les champs et celle de l'engin forestier effectuant des travaux de coupe ou d'entretien de bois, de nuit.
Bien que les deux hypoth�ses permettent de rendre compte de l'aspect du PAN (fortes lumi�res en particulier), la seconde est privil�gi�e car elle en rend mieux compte surtout parce que dans l'axe de l'observation se trouvait un petit bois pour lequel une comparaison de photos a�riennes prises en mai 1978 et en juillet 1981, montre que le bois a �t� coup� entre ces deux dates.
Il y a donc tout lieu de penser que l'exploitation de ce bois �tait d�j� entam�e � la date de l'observation.
Les diverses manuvres de l'engin � l'origine de la confusion ont �t� observ�es en particulier par T1 qui pr�cise : � par instant, une lumi�re se d�gageait de chaque extr�mit�, couleur rouge orang�. De temps � autre, cette lumi�re brillante me semblait clignoter et cette remarque �tait vraisemblablement due aux diff�rentes positions prises par cet objet �.
Au sujet des � clignotements � not�s par plusieurs t�moins, il est probable qu'ils s'agissent d'un effet caus� par les lumi�res de l'engin se trouvant temporairement derri�re des arbres ou des branches d'arbres, lors de ses d�placements.
Le point de rep�re clef de l'observation des t�moins est un petit bosquet, le PAN peut appara�tre comme mobile par rapport � ce bosquet et in fine dispara�tre derri�re. Nous avons montr� qu'il s'agit l� d'une illusion de parallaxe : le bosquet est bien plus proche des t�moins que le PAN, le v�hicule des t�moins change de position donc le PAN para�t se d�placer au regard du bosquet, jusqu'� dispara�tre derri�re.
Le dernier point d'�tranget� apparente li� � la non observation du PAN lorsque T1 et T2 sont venus se placer sur le CD 116 derri�re le bosquet et � la recherche du PAN s'explique avant tout par le fait que les t�moins ont logiquement cherch� derri�re le bosquet sur leur droite et n'ont pas pens� � regarder � l'oppos� � gauche en direction du sud.
Le GEIPAN classe le cas en � B � : observation probable d'un engin forestier effectuant des travaux d'entretien nocturnes dans un petit bois situ� � environ 2km au sud des t�moins.";"Observations par quatre t�moins en voiture d'une masse ovale immobile avec des lumi�res de couleurs � basse altitude : observation probable d'un engin forestier.";O;4;4;;1;;;;;2018-11-06;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.70;;0.60;0.00;B;B;1981-05-00869
1051;"LYON (69) 05.05.1981";Rh�ne;69;"(D) D�partement";1981;05;05;"Le 5 mai 1981 vers 10h un t�moin dit avoir aper�u depuis chez lui une sph�re noire � environ trois kilom�tres de distance. Cet objet de trois m�tres de diam�tre se d�pla�ait lentement lorsqu'il a brusquement disparu. Lors de l'enqu�te, ce t�moin appara�tra peu cr�dible, ce qui permet de douter fortement de la r�alit� de l'observation.";"OBSERVATION D'UN OVNI.";O;1;;;;;;;;2017-02-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1981-06-00870
1052;"QUESSOY (22) 04.05.1981";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1981;05;04;"Le 4 mai 1981 plusieurs t�moins aper�oivent dans le ciel vers 23h plusieurs objets �m�tant des lumi�res blanches intenses par intermitences. Les objets sont � une grande distance et se d�placent du Sud-Est vers le Nord. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation. Un des t�moin a regard� les objets aux jumelles et a pu en faire un croquis. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"observation de plusieurs objets dans le ciel.";O;4;;;;;;;;2017-02-24;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-05-01750
1053;"SAINT-DENIS (974) 07.06.1981";"La R�union";974;"(D) D�partement";1981;06;07;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � C � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � C � en 1981 par le GEPAN.
Le 7 juin 1981 vers 23h deux t�moins observent en direction de la mer un objet lumineux. Au-dessus de cet objet se trouve une �toile en forme de demi-lune qui progressivement se transforme et s'agrandit. L'objet, lui, n'a pas chang� de place et disparait au bout de huit minutes environ.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la Lune au coucher.
De plus, la Lune �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e alors que les t�moins n'en font pas mention.
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise avec la Lune.";"Observation d'un objet lumineux au-dessus de la mer : observation astronomique de la Lune.";O;2;;;;;;;;2013-12-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1981-06-00871
1055;"BARBEZIEUX (16) 12.06.1981";Charente;16;"(D) D�partement";1981;06;12;"Le 12 juin 1981 en fin d'apr�s midi un ouvrier agricole travaillant sur une parcelle plant�e de ma�s aper�oit une zone circulaire d'environ 20 m�tres de diam�tre dans laquelle les plants semblent malades.
Au centre de la zone, quelques plants ont disparu et plus loin les plants sont d�ss�ch�s comme sous l'effet d'une forte chaleur, cette effet diminuant avec la distance au centre du cercle pour dispara�tre � une dizaine de m�tres. Au centre, la terre est craquel�e et une cuvette d'environ 80 cm s'est form�e dans laquelle se trouvent cinq trous de 4 � 5 cm de diam�tre sur 20 cm de profondeur environ, l'ensemble faisant une figure ressemblant � un trap�ze. Une odeur ind�finissable subsiste au centre du cercle.
Des �chantillons de terre et de v�g�tation sont pr�lev�s pour analyse ult�rieure.
Ces analyses ont confirm� que la zone centrale a subi une forte chaleur. En effet, elle pr�sente un taux d'humidit� significativement inf�rieur � celui des �chantillons pr�lev�s plus loin. La temp�rature subie par cette zone est probablement sup�rieure � 100 �C.
Les donn�es m�t�orologiques indiquent que dans la nuit du 8 au 9 juin, un orage violent a s�vi sur la zone avec des pluies importantes.
L'hypoth�se de la foudre est privil�gi�e car elle permet d'expliquer l'effet de souffle que semblent avoir subi les plants de ma�s dans la zone sinistr�e ainsi que l'augmentation de temp�rature au centre de la zone. Les courants induits dans le sol par une d�charge de foudre peuvent �galement expliquer les trous constat�s.";"Observation probable des effets de la foudre dans un champ de ma�s";O;2;;;;;;;;2012-01-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2001-06-01567
1059;"HYERES (83) 16.07.1981";Var;83;"(D) D�partement";1981;07;16;"Le 16 juillet 1981 vers 23h45 plusieurs t�moins sur un bateau vont apercevoir au-dessus de l'�le de Port -Cros un objet volant, plus gros qu'une �toile. Cet objet, qui est d�crit comme ayant la forme d'une torche, est de couleur blanc-vert. Durant l'observation qui a dur� plusieurs secondes, l'objet s'est d�plac� lentement et sur une trajectoire horizontale. Aucune autre information n' a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation pendant quelques secondes d'un objet volant en forme de torche.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-07-00877
1060;"SENS (89) 1981";Yonne;89;"(D) D�partement";1981;07;28;"Le 28 juillet 1981 vers 12h 30 deux personnes sur leur terrasse voient venir dans le ciel un point noir qui en grossissant appara�t comme un cigare. Observ� � la jumelle cet objet change souvent de direction et semble de grande dimensions. Brillant dans la lumi�re du soleil, il dispara�tra en s'�levant plein Ouest. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne qui peut s'apparenter � un passage d'avion mais pour lequel nous manquons totalement d'informations.";"Observation d'un objet en forme de cigare, avec changement de direction.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-07-00878
1061;"PLOERMEL (56) 1981";Morbihan;56;"(D) D�partement";1981;07;27;"Le 27 juillet 1981 vers 23h 30 deux t�moins aper�oivent dans le ciel deux points lumineux. Ils se d�placent parall�lement puis effectuent des changements de trajectoire avant de revenir � leur point de d�part. L'observation qui a dur� environ 10 minutes a permis d'assister � plusieurs allers et venues. Les objets se sont soudain dirig�s rapidement vers l'Ouest pour dispara�tre. Aucun bruit n'a �t� entendu lors de l'observation. Aucun autre t�moignage n'a �t� receuilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation de 2 points lumineux changeant de direction.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-07-00879
1062;"BORGO (2B) 03.08.1981";Haute-Corse;2B;"(D) D�partement";1981;08;03;"le 3 Ao�t 1981 vers 22h 55 un t�moin observe durant environ 40 secondes et � moins de 400m de lui, un objet volant tr�s lentement et proche du sol. A son passage, un halo de lumi�re �claire le paysage. Cet objet est de forme arrondie vers l'avant et �met une flamme importante de plusieurs couleurs. L'objet se d�place sur une trajectoire Est-Ouest avec une l�g�re inclinaison vers le le sol. Craignant qu'il ne percute la montagne, le t�moin s'attend � entendre un bruit d'impact mais rien ne se produira. Lors l'enqu�te aucune autre information ne sera recueillie permettant de donner une explication � cette observation.";"Observation d'un engin volant � basse altitude.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-08-00880
1063;"SAINT-ASTIER ( 24) 1981";Dordogne;24;"(D) D�partement";1981;08;03;"Le 3 ao�t 1981 vers 22h 45 plusieurs personnes ont aper�u un objet zigzagant � tr�s haute altitude. La trajectoire �tait Est-Ouest et il se d�pla�ait � tr�s grande vitesse. L'objet lumineux �mettait des feux clignotant blancs et rouges. Aucun bruit n'a �t� entendu durant l'observation qui a dur� moins de cinq minutes. Aucune explication sur ce ph�nom�ne n'a pu �tre formul�e par manques de donn�es.";"Observation d'un objet zigzagant � haute altitude.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-08-00881
1064;"VACQUERIETTE-ERQUIERES (62) 11.08.1981";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1981;08;11;"Ce cas, anciennement nomm� PARCQ (62) 1981, a fait l'objet d'un r�examen r�cent (voir le document Notes d'enqu�te).
Le 11 Ao�t 1981 vers 1h du matin un agriculteur au volant de son tracteur dans un champ observe des boules de couleurs rouge et blanche qui clignotent dans le ciel. D'abord fixes, ces boules se d�placent lentement du Nord au Sud. Paniqu�, le t�moin rentre chez lui o� il continue d'apercevoir ces lumi�res. L'enqu�te de gendarmerie ne permettra pas de trouver d'autres t�moins ou traces permettant d'expliquer ce ph�nom�ne.
Ce cas est peu consistant (t�moin unique, t�moignage succinct recueilli plusieurs jours apr�s les faits, pas d'enqu�te de terrain), la description du PAN observ� est peu pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� du t�moin n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente quelques caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, couleur) avec la Lune, �ventuellement masqu�e par des nuages. On note que la Lune �tait pr�sente dans le ciel au moment de l'observation, mais n'est pas mentionn�e par le t�moin. Cependant, le t�moignage fourni manque des pr�cisions n�cessaires pour valider formellement cette hypoth�se.
Le ph�nom�ne pr�sente aussi certains aspects de ph�nom�nes lumineux li�s � une activit� orageuse.
La fatigue apr�s une longue journ�e de travail et la panique ressentie par le t�moin ont pu perturber notablement la perception ou les souvenirs du t�moin.
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� moyenne est class� comme PAN C, par manque de donn�es fiables et de recoupements.";"Observation de 3 boules lumineuses blanches et rouges et clignotantes se d�pla�ant silencieusement ensemble : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-08-00882
1065;"MORZINE (74) 05.08.1981";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";1981;08;05;"Le 6 Ao�t 1981 vers 1h du matin une personne prend des photographies du ciel �toil� depuis le parking du col de Joux. Le temps est clair, sans nuages mais au loin quelques �clairs de chaleur surgissent parfois. Son appareil photo est pos� sur un tr�pied et chaque photo est prise avec une dur�e d'exposition d'une minute trente. Lors du d�veloppement le t�moin va s'apercevoir de la pr�sence sur ses photographies d'un ph�nom�ne lumineux qu'il n'a pas vu lors de la prise de vue. Cet objet est situ� dans un halo � gauche de l'�toile Arcturus. Une carte du ciel ce jour l� et � cette heure montre effectivement clairement Acturus dans la constellation du Bouvier. Mais aucune autre information ne permet d'identifier le ph�nom�ne photographi�.";"Observation d'un halo lumineux sur une photographie de ciel la nuit.";O;1;;;;;;;;2008-04-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-08-00883
1067;"ROUBAIX (59) 1981";Nord;59;"(D) D�partement";1981;08;01;"Le 1 Ao�t 1981 vers 20h30 un automobiliste aper�oit plein Ouest une boule de feu rouge qui se scinde en deux. Diminuant progressivement et passant � une couleur plus orang�e, ce ph�nom�ne dispara�tra en se confondant avec la brume. Aucun bruit ne sera entendu durant l'observation. Certains �l�ments d�crivent une probable observation du soleil couchant comme l'indiquent par ailleurs 2 des t�moins.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux de couleur rouge, probablement le soleil couchant.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1981-08-01682
1068;"LA CHAPELLE LA REINE (77) 1981";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";1981;09;22;"Le 22 septembre 1981 � partir de 3h 30 plusieurs t�moins dont des gendarmes ont aper�u des lueurs de couleurs diff�rentes � basse altitude. Le temps �tait pluvieux et orageux, ce qui n'a pas permis aux t�moins de donner une description pr�cise de ces lumi�res ni de leur origine. La lumi�re blanche a �t� rapidement identifi�e comme provenant d'un relais hertzien. Par contre la lumi�re rouge qui apparaissait par intermitence et la lumi�re verte constante n'ont pas �t� clairement identifi�es. Ces lumi�res se d�pla�aient tr�s rapidement et de fa�on d�sordonn�e. Aucun bruit n'a �t� entendu durant toute l'observation. De plus le t�moin principal dit avoir senti tr�s fortement un vent chaud pour lequel nous n'avons aucune autre information.";"Observation de lueurs � basse altitude avec d�placements rapides.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-09-00887
1069;"RIEDISHEIM (68) 22.09.1981";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";1981;09;22;"Le 22 septembre 1981 � 6h 15 un t�moin aper�oit depuis la fen�tre de sa chambre un objet volant qui se d�place selon une trajectoire Nord-Ouest Sud-Est. Durant l'observation qui a dur� une minute, le t�moin a vu un objet de forme elliptique aux contours flous ayant � son niveau sup�rieur une sorte de coupole. L'objet �mettait une lumi�re jaune orang�e. Aucune autre personne dans les environs n'a �t� t�moin de cette apparition pour laquelle nous manquons d'informations.";"observation d'un objet lumineux de forme elliptique.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-09-00888
1070;"BOURG MADAME (66) 1981";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";1981;09;19;"Les 19 septembre, 3 et 27 octobre 1981 des t�moins aper�oivent dans la m�me zone frontali�re franco-espagnole, un objet lumineux qui se d�place dans le ciel entre 23h et 3 h du matin. La direction de cet objet pour les trois observations est Nord-Sud et la couleur rouge est indiqu�e par les trois t�moins. L'enqu�te tr�s compl�te des gendarmes permettra d'�liminer les confusions avec les passages d'a�ronef connus ou un astre mais ne permettra pas d'identifier le ph�nom�ne.";"Observation du passage d'un objet immobile de la forme d'un avion";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1981-10-00889
1071;"LOURDES (65) 1981";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";1981;09;05;"Les 5 et 6 septembre 1981 la brigade de Lourdes est amen�e � prendre les d�positions de personnes ayant aper�u dans le ciel des objets lumineux. Ceux-ci se d�pla�ent � grande vitesse et sans bruit � basse altitude. Les temps d'observations tr�s courts ( 5 secondes) ne permettent pas d'avoir assez d' informations pour �mettre une quelconque hypoth�se sur les ph�nom�nes observ�s.";"observation d'objets se d�pla�ant rapidement.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-11-00894
1072;"PONTVALLAIN (72) 1981";Sarthe;72;"(D) D�partement";1981;09;05;"Le 5 septembre vers 23h quatre personnes aper�oivent un ph�nom�ne lumineux particulier dans un bosquet de pins pr�s de leur habitation. De forme trap�zoidale, cette lueur de forte intensit� sera observ�e durant 10 minutes environ avant de s'�teindre brusquement. Aucun bruit n'a �t� entendu. A 23h 45 la brigade arriv�e sur les lieux ne constatera aucune lueur. L'enqu�te sur place le lendemain trouvera un cercle de 20 � 30 cm de diam�tre de foug�re, toutes couch�es dans le m�me sens. La brigade de gendarmerie en place le lendemain soir au m�me endroit constatera que le ph�nom�ne vient du rayonnement de la lune � travers les pins. Il sera �tablit plus tard que les traces au sol sont d�es � un engin forestier.";"observation d'une lueur trap�zo�dale d�e � la lune.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1981-12-00902
1073;"OLLIOULES (83) 14.10.1981";Var;83;"(D) D�partement";1981;10;14;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 14 octobre 1981 entre 14h 30 et 14h 45 deux t�moins observent durant une minute le d�placement silencieux dans le ciel d'un objet de forme cylindrique. Aucune aile ou aileron n'est remarqu�.
D'�tranget� mod�r�e et de consistance bonne (2 t�moins d�pendants) ce cas s'av�re �tre une m�prise probable avec un avion (voir le compte rendu d'enqu�te).
Plusieurs d�tails dans les t�moignages �voquent fortement l'hypoth�se d'une m�prise avec un avion, notamment l'aspect d'un fuselage sans aile bien connu aujourd'hui du GEIPAN : la g�om�trie t�moin-avion-soleil fait que les rayons du soleil ne sont r�fl�chis que sur la carlingue et non sur les ailes (masqu�e pour l'une et surface de r�flexion limit�e � la tranche pour l'autre). Un couloir a�rien d'approche de l'a�roport de Marseille passe juste au Nord du lieu d'observation, avec une orientation parfaitement coh�rente avec la trajectoire du PAN. L'�tranget� du cas repose essentiellement sur le fait que les t�moins n'ont pas vu d'aile ou d'aileron sur le PAN, et que celui-ci soit estim� proche des t�moins. Or, les t�moins, autre erreur classique lorsqu'on ne reconna�t pas un objet ou ph�nom�ne, n'ont pas pu estimer correctement la distance r�elle qui les s�parait du PAN.
L'hypoth�se d'une m�prise avec un ballon-sonde peut �galement �tre avanc�e d'apr�s les t�moignages, mais il s'av�re que les r�sultats d'un radiosondage local montrent que les vents �taient contraires au sens de d�placement du PAN.
Le cas est class� B, m�prise probable avec un avion. ";"Observations du d�placement d'un objet cylindrique couleur fer-blanc ou aluminium refl�tant les rayons du soleil : m�prise probable avec un avion. ";O;2;2;;1;;;;;2018-08-13;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.80;;0.65;0.00;B;B;1981-10-00890
1074;"SAINT-PIERRE (974) 22.10.1981";"La R�union";974;"(D) D�partement";1981;10;22;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SAINT-PIERRE (974) 1981 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Le 22 octobre 1981 � 8h30 un automobiliste et son passager sont intrigu�s par un ph�nom�ne lumineux blanc, stationnaire � basse altitude qu'ils ne s'expliquent pas. Le PAN en forme de trait avec une forme ronde dessous (T1) ou de rectangle (T2) se situe en direction du soleil levant. Le conducteur arr�te son v�hicule. Il pense ensuite � sortir le th�odolite situ� � l'arri�re du v�hicule pour observer le PAN de plus pr�s mais les deux t�moins se trouvent comme ""paralys�s"" dans la voiture. L'observation de ce ""tube de n�on"" d'apr�s les deux t�moins dure 5 minutes environ avant que le PAN ne disparaisse progressivement d'apr�s T1 ou quasi-instantan�ment selon T2. Malgr� un article paru dans la presse locale, aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Les t�moins ont pu observer une train�e de condensation d'avion dans des conditions atmosph�riques propices avec le soleil assez bas derri�re l'avion et �clairant la train�e. Cette train�e est d'un type particulier avec lambeaux, ici avec un seul lambeau :
- le processus de formation de train�e d'avion et de persistance de cette train�e mettent en jeu plusieurs facteurs atmosph�riques (dont pression, humidit�) qui peuvent varier le long de la trajectoire d'un avion y compris sans changer d'altitude ;
- si tout le long du d�placement, le processus permet la formation et une grande persistance, la train�e sera longue et continue derri�re l'avion, soumise au seul effet du vent qui peut l'�largir et disperser ou la tordre ;
- si tout le long du d�placement, le processus permet la formation mais avec une faible persistance, la train�e sera courte et donnera l'impression de suivre l'avion ;br>
- si les processus de formation et persistance varient le long de la trajectoire, la train�e peut �tre en lambeaux voire limit�e � un seul bout, fixe, persistant comme c'est probablement le cas ici. Le site Contrail Science donne des exemples avec photographies.
La forme ronde et moins lumineuse observ�e sous le trait par T1 est en absence d'indication angulaire compatible d'une dispersion et d'un �largissement local de la train�e. Il n'est pas pr�cis� non plus si la forme ronde est accol�e au trait ou �loign�e. Il peut aussi s'agir d'une n�bulosit� �loign�e du trait dont la forme particuli�rement ronde conduit T1 � l'associer � l'�tranget� du trait alors qu'il n'aurait rien remarqu� sans l'�tranget� premi�re. Cette forme est per�ue par T1 comme plus difficile � distinguer que le trait, il se peut que T2 (qui ne l'a pas vu) n'ait pas la m�me capacit� visuelle ou d'attention que T1, ou n'ait pas associ� une n�bulosit� � l'�tranget� premi�re.
La disparition de la train�e telle que per�ue par T2 para�t trop rapide. Mais l'hypoth�se d'une capacit� visuelle ou d'attention moindre de T2 peut aussi expliquer qu'il n'ait vu que le d�but de la diminution d'intensit� lumineuse, alors que T1 a pu suivre le ph�nom�ne qui � s'est estomp� petit � petit �.
La consistance est m�diocre en information comme en fiabilit� :
- la description manque de pr�cision, notamment en terme de position angulaire dans le ciel, de taille angulaire, de position respective des deux formes vues par T1.
- il y a deux t�moins (non ind�pendant) dont les r�cits se consolident sur certains points et sont discordants pour d'autres. Les �carts de r�cit n'ont donn� lieu � aucune demande de pr�cision pour mieux quantifier le degr� de discordance au-del� des mots.
Le manque d'information et certaines discordances conduisent � faire des hypoth�ses compl�mentaires pour expliquer l'observation par une train�e. De fait, l'hypoth�se � train�e avion � perd en probabilit� mais reste plausible. Au final la consistance s'av�re trop marginale pour valider une telle explication. Ces deux facteurs, existence d'une hypoth�se plausible mais manque de consistance pour la soutenir, s'opposent au maintien en cat�gorie PAN inexpliqu�.
En cons�quence le GEIPAN conclut : manque d'information fiable.
";"Observations d'un ph�nom�ne lumineux ressemblant � un tube n�on et stationnaire en direction du soleil levant : manque d'information.";O;2;2;;1;;;;;2018-11-20;;;0.35;0.00;;;0.60;;0.50;;0.30;0.00;C;B-;1981-10-00891
1076;"CREST (26) 05.10.1981";Dr�me;26;"(D) D�partement";1981;10;05;"Le 5 octobre 1981 entre 9h et 10h une automobiliste et sa passag�re circulent sur une nationale. Elles aper�oivent soudain un objet noir ressemblant un b�ton point� qui traverse lentement la route de gauche � droite juste devant leur voiture. L'observation a dur� deux secondes avant que l'objet ne disparaisse d�finitivement. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de donn�es.";"Observation d'un b�ton traversant la route.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-11-00899
1077;"SAINT-HILAIRE (91) 04.10.1981";Essonne;91;"(D) D�partement";1981;10;04;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SAINT-HILAIRE (91) 04.10.1981 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Il concerne l'observation d'un PAN par un couple d'automobilistes au carrefour dit � la cabane � Pierrot � sur la commune de SAINT-HILAIRE (91) durant la nuit du 03 au 04 octobre 1981 � environ 02h30. Les t�moins sont surpris de voir des flashes au sol puis trois lumi�res rouges toujours au niveau du sol qui semblent venir vers les t�moins. Ces derniers pris de peur quittent les lieux rapidement. Aucun bruit n'a �t� entendu. La Gendarmerie est pr�venue le 09 octobre et se rend sur les lieux sans constater de traces. Un seul t�moignage a �t� enregistr� par la gendarmerie le 03 novembre 1981.
Nota pr�alable concernant un cas o� les t�moignages et traces portent sur un ph�nom�ne explicitement d�crit ou per�u au sol :
- en l'absence de mise en �vidence que le ph�nom�ne au sol ne peut �tre venu et/ou reparti que par les airs, la recherche d'explication d�passe les seules comp�tences du GEIPAN et une conclusion GEIPAN ne saurait �tre formul�e que si la preuve ou quasi preuve est �tablie, sinon le GEIPAN se doit de conclure C : Inexploitable car d�passe les seules comp�tences du GEIPAN.
- dans le cas contraire, l'absence de t�moignages ou traces de phases du ph�nom�ne hors du sol peut conduire le GEIPAN � ne pas pouvoir conclure faute d'information fiable (classement C classique GEIPAN).
Nous sommes ici dans le premier cas de figure, puisque rien ne permet d'exclure que ce ph�nom�ne soit arriv� ou reparti par le sol car l'absence de trace dans le sol ne prouve rien dans un sens comme dans l'autre.
Le cas est donc class� C : Inexploitable car d�passe les seules comp�tences du GEIPAN.
N�anmoins, le GEIPAN livre, sans autre conclusion que ce qui pr�c�de, une analyse selon ses m�thodes de certains aspects du cas (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Les lumi�res bien observ�es comme venant du sol trouvent difficilement une explication en termes de v�hicules :
- la vision successive de feux blancs et feux rouges, ainsi que l'�volution de la configuration des feux peut correspondre aux �volutions des angles de vues ou aux �volutions d'orientation d'un v�hicule ;
- un engin agricole en op�ration pourrait ainsi avoir un �clairage particulier avec un seul phare � l'avant (per�u comme des flashs successifs du fait des variations du pointage) et 3 feux rouges � l'arri�re. Mais une pratique agricole ou autre voulue par le propri�taire ou l'exploitant est peu vraisemblable � 02h30 du matin un dimanche. Toutefois, le propri�taire qui �tait pourtant identifi� n'a pas �t� interrog� ;
- l'incursion d'un ou de tiers sur le terrain ne peut �tre exclue non plus, un contexte de retour de f�te du samedi soir pouvant favoriser des initiatives incongrues ou des accidents. Les �clairages particuliers ne pourraient s'expliquer que par des v�hicules (plusieurs motos ?) ou configurations particuli�res de v�hicules ;
- aucune trace n'�tait visible dans le champ, ce qui n'exclut toutefois pas la pr�sence d'un v�hicule au moment des faits, en particulier si le terrain �tait sec ;
- la perception qu'ont eu les t�moins en fin d'observation de lumi�res se rapprochant d'eux peut correspondre � la r�alit� du d�placement ou correspondre � un ph�nom�ne connu au GEIPAN : les t�moins interpr�tent l'accroissement d'intensit� d'une lumi�re (pouvant �tre ici provoqu�e par un meilleur alignement des feux dans la direction des t�moins) par une avanc�e vers eux de ces lumi�res.
L'hypoth�se v�hicule se heurte � la question de sa vraisemblance en lieu et heure, sans pouvoir �tre exclue.
D'un autre c�t�, la consistance du cas est m�diocre en information et fiabilit� :
- les t�moins n'ont pas fait de d�position spontan�e. C'est la rumeur qui a conduit l'intervention d'un correspondant GEPAN puis l'audition par les gendarmes. Dans ces conditions un t�moin peut se trouver contraint dans ses d�positions par ses descriptions pr�c�dentes faites � la vol�e et par la compr�hension (� �tranget� potentiellement accrue) qui a pu en �tre faite et colport�e ;
- il n'y a qu'un seul t�moignage. La description identique (au point que la gendarmerie ne retienne qu'un seul t�moignage) peut traduire une forte concertation et influence entre t�moins en amont de la convocation par les gendarmes ;
- il n'y aucune description de la disparition du PAN, et aucun relev� de tailles angulaires ;
- le propri�taire du terrain o� est situ� le ph�nom�ne n'a pas �t� interrog�.";"Observations de la pr�sence de lumi�res au sol dans un champ au milieu de la nuit : inexploitable car d�passe les seules comp�tences du GEIPAN.";O;1;1;;0;;;;;2018-11-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-10-01678
1078;"PLAN-D'AUPS-SAINTE-BAUME (83) 09.10.19891";Var;83;"(D) D�partement";1989;10;09;"Le 9 octobre 1981 vers 5h du matin une personne aper�oit depuis son jardin un objet volant de forme cylindrique. Il se trouve � envion 100 m et le t�moin le d�crit comme mesurant 1,50m de diam�tre et d'une hauteur de 30m. Durant l'observation qui a dur� 6 minutes, il a pu voir que l'objet �tait de couleur orang� dans sa partie centrale puis devenait jaune et blanc sur les bords. Au cours de l'enqu�te aucun autre t�moin et aucune trace sur les lieux ne seront trouv�s. Ce ph�nom�ne reste inexpliqu� par manque de donn�es.";"Observation d'un objet cylindrique de plus de 30 m�tres de hauteur.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-10-01680
1079;"ANGOULEME (16) --.10.1981";Charente;16;"(D) D�partement";1981;10;--;"Dans le courant du mois d'octobre 1981, entre 23h et 1h du matin, une personne termine une pellicule photographique en prenant les derniers clich�s depuis l'appartement de ses parents. Il photographie les lumi�res de la ville. Une fois les diapositives d�velopp�es par un laboratoire priv�, il s'aper�oit de la pr�sence d'un point lumineux particulier sur l'une d'elle. Faisant tirer sur papier un agrandissement 13X18, il aper�oit alors un objet �tranger au d�cor naturel et ressemblant � une soucoupe volante. Il d�cide alors de faire une d�position � la gendarmerie et laisse un croquis de la photographie. Aucune autre information ne sera recueillie sur cette observation.";"Observation d'un point lumineux �trange sur une photographie.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-10-01681
1080;"OUVILLE-L'ABBAYE (76) --.10.1981";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1981;10;--;"T�moignage r�cent (sept 2013) d'une observation ancienne (incertitude date jour et mois oct/nov).
Le t�moin relate une observation faite probablement en octobre 1981 � environ 23h et durant 2 � 3 minutes (la date du samedi 17 octobre est donn�e arbitrairement). Le t�moin, ennuy� par une s�rie TV, regarde par la porte-fen�tre et reste surpris de voir passer lentement sur trajectoire rectiligne 5 � 6 points rouges orang�s situ�s sur le pourtout d'un objet sombre. Apr�s 1 � 2 minutes le PAN prend le chemin inverse puis une direction ascendante pour disparaitre de fa�on fulgurante dans le ciel d�gag�. Le t�moin rapporte un changement de couleur (blanc) lors de l'acc�l�ration. Aucun bruit particulier n'est entendu lors de l'observation. Un autre t�moin a assist� � la sc�ne et rapporte par mail en janvier 2014 avoir vu � l'Ouest une guirlande d'ampoules rouges positionn�e en demi cercle. Le PAN disparait puis r�apparait pour partir � tr�s grande vitesse vers le NO dans le ciel. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur le ph�nom�ne.
L'hypoth�se d'une m�prise avec un engin agricole ou de chantier � configuration particuli�re et surprenante (engin de passage et autre que ceux du propri�taire qui est couch�) n'est pas totalement exclue malgr� l'heure tardive (23H en octobre ou novembre). Il s'agissait d'ailleurs de la premi�re hypoth�se du t�moin. Cette hypoth�se se heurterait � la hauteur des lumi�res d�crites (4 ou 5 m dans les arbres), et surtout � la disparition rapide du PAN avec une certaine �l�vation dans le ciel.
L'anciennet� de l'observation et l'incertitude sur la date (octobre ou novembre 1981) rendent impossible l'exploration de cette l'hypoth�se d'engin. Et faute d'autre hypoth�se cette observation reste �trange.
D'un autre c�t�, il s'agit d'un t�moignage r�alis� plus de 30 ans apr�s, donc sujet � impr�cision ou erreur de m�morisation. Le deuxi�me observateur (conjoint) d�crit un ph�nom�ne de m�me nature mais avec beaucoup moins de d�tails. Ce dernier n'a pas souhait� t�moigner (un court mail envoy� � l'enqu�teur). Les observateurs ne sont pas sortis de leur maison pour s'approcher du lieu, per�u � 30 ou 35 m, o� avait �volu� le PAN. Ceci s'est fait le lendemain, signe que l'�tranget� v�cue n'�tait pas tr�s forte, ni m�me trop forte ou effrayante car le t�moin signale � ne pas avoir �t� perturb� outre mesure, m�me si conscient d'assister � quelque chose d'�tonnant �.
Il s'agit donc d'une observation qui reste �trange car sans explication de probabilit� sup�rieure � 20 %. Mais il s'agit aussi d'une observation qui manque de consistance, � savoir d'information et de fiabilit� (30 ans apr�s, pas de date pr�cise, un observateur pr�sent qui ne souhaite pas t�moigner.).
En cons�quence GEIPAN classe en C : manque d'information fiable.";"T�moignage r�cent (2013) d'une observation ancienne (1981). Observation des d�placements silencieux de plusieurs lumi�res rouge orang� d�limitant une masse sombre ; disparition rapide : manque d'information (date incertaine et sans recoupement).";O;;;;;;;;;2017-12-01;;;0.80;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;C;C;1981-10-08550
1081;"MARSEILLE (13) 01.11.1981";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1981;11;01;"Le 1 novembre 1981 vers 11h plusieurs t�moins aper�oivent un objet volant qui se dirige lentement vers la mer. Cet objet de couleur gris est de forme cylindrique et mesure environ 4 m�tres de long. Aucun bruit n'est entendu lors du d�placement de l'engin.
L'enqu�te �tablira qu'il s'agit d'un ballon publicitaire lanc� par des enfants depuis la terrasse du b�timent ""Le Corbusier"" � environ 300 m�tres du lieu de l'observation.";"Observation du vol d'un ballon publicitaire.";O;5;;;;;;;;2012-09-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1981-11-00893
1082;"FERRETTE (68) 1981";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";1981;11;04;"Le 4 novembre 1981 des ouvriers couvreurs observent vers 10h du matin � haute altitude, un objet volant rond, avan�ant lentement. Visible durant une dizaine de minutes les t�moins peuvent voir plusieurs couleurs ou lumi�res qui semblent clignoter ou appara�tre alors que l'engin effectue des rotations sur lui-m�me. Le ciel est d�gag� et permet d'avoir une bonne visibilit�. L'engin dispara�t dans le paysage. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne qui ne peut �tre expliqu� par manque de donn�es.";"Observation d'un objet volant � tr�s haute altitude.";O;5;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-11-00895
1085;"FEIGNIES (59) 06.11.1981";Nord;59;"(D) D�partement";1981;11;06;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� FEIGNIES (59) 06.11.1981 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 06 novembre 1981 vers 19h45 un t�moin aper�oit un ph�nom�ne lumineux tr�s intense derri�re son habitation et ""pr�s d'un poteau �lectrique"" dans un champ. L'observation dure environ une heure, et lorsque la lumi�re s'�teint le t�moin voit alors une forme de cigare en position verticale entour� de couleurs vari�es. Par la suite ces lumi�res s'�teignent pour laisser appara�tre un objet de la forme d'un ballon de rugby de couleur gris m�tal. Durant 4 � 5 secondes, cet objet se balance de gauche � droite puis reprend sa position verticale. Le t�moin constate ensuite dans le ciel un couloir orange ""venant de l'emplacement de cet engin"" ainsi que des traces blanches. Aucun bruit durant l'observation ne sera entendu. Le t�moin rapporte avoir d�j� observ� des ph�nom�nes lumineux pr�s de chez elle la semaine pr�c�dente. La Gendarmerie n'est pr�venue de cette observation que 10 jours plus tard. Aucun autre t�moin pour cette date et cette zone d'observation n'est retrouv�.
L'analyse est reprise � partir :
- du proc�s-verbal (PV) des d�clarations du t�moin ;
- des photos a�riennes et la cartographie de l'�poque et d'aujourd'hui ;
- de l'enqu�te priv�e men�e dans les jours suivants l'observation (revue Lumi�res Dans La Nuit (LDLN) Janvier F�vrier 1984 n�235-236) dont une partie est jointe au PV. Aucun �l�ment de cette enqu�te priv�e n'est utilis� pour appuyer la conclusion qui repose uniquement sur les autres �l�ments. Par contre, les �l�ments de cette enqu�te, qui en apparence s'opposeraient � l'hypoth�se retenue, sont repris pour d�gager les �l�ments strictement imputables au t�moin, des interpr�tations ou conclusions implicitement ou explicitement d�duites de l'enqu�te.
Nous concluons que le t�moin, nouvellement install� (deux mois) et probablement non familier des lieux et des pratiques agricoles locales, a tr�s probablement observ� un ou plusieurs engin(s) agricole(s) effectuant des travaux nocturnes dans les champs adjacents, et plus pr�cis�ment de ramassage de tas de betteraves r�colt�s les jours pr�c�dents et entass�s le long d'un chemin d'exploitation, facile d'acc�s depuis la route situ�e � l'est (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Cette conclusion s'appuie sur les points suivants :
- observations similaires ayant eu lieu les jours pr�c�dents ;
- le travail nocturne li� � la r�colte des betteraves existait probablement d�j� en 1981, des projecteurs �quipant les engins d�di�s ;
- nous sommes en pleine p�riode d'arrachage des betteraves, et des champs de betteraves sont situ�s non loin de la maison du t�moin, dans la direction d'observation ;
- le travail d'arrachage, d�j� probablement entam� sur tout ou partie de parcelles situ�es � proximit� les jours pr�c�dents, s'est achev� peu de temps (10 jours) apr�s l'observation, selon l'enqu�te priv�e ;
- le PAN � semble au sol � selon le t�moin ;
- pr�sence de fortes lumi�res, assimilables aux projecteurs des engins agricoles ;
- les mesures et calculs de distances et de dimensions, quoique n�cessairement impr�cises du fait des mauvaises conditions d'observation, peuvent cadrer avec l'observation de tels engins. La distance pourrait �tre grossi�rement comprise entre environ 250 et 500 m, avec une position du chemin d'exploitation distante d'environ 400/450 m du t�moin, dans l'axe d'observation ;
- observation longue, compatible avec le temps n�cessaire au ramassage des betteraves ;
- forme du PAN impr�cise, changeante, occasionn�e par une illusion perceptive de forme, de nuit ;
- les mouvements de l'engin agricole de ramassage, effectuant des va-et-vient autour des tas de betteraves sont compatibles avec la description du t�moin �voquant un d�placement � l'horizontale, avec des mouvements de va-et-vient ;
- le � couloir de couleur orange � observ� par le t�moin une fois � l'engin parti � rappelle ce qu'il est possible d'observer lorsqu'un projecteur est orient� vers le ciel, dans des conditions atmosph�riques propices (brume, brouillard, humidit�). Il peut s'agir d'un des projecteurs d'�clairage du travail, laiss� un temps allum� (dur�e non pr�cis�e par le t�moin) pour rien (ce que peut expliquer un pointage vers le ciel). C'est une hypoth�se plausible qu'aucun �l�ment ne peut venir confirmer ou infirmer ;
- ces engins agricoles sont bruyants, mais les conditions d'observation (derri�re une vitre, t�l�vision allum�e et distance d'observation) peuvent expliquer que le t�moin n'ait pas per�u de bruit.
Deux aspects de l'observation (issus exclusivement de l'enqu�te priv�e) cadrent en apparence moins bien avec l'hypoth�se :
- l'observation de rais multicolores fins autour du PAN. L'hypoth�se d'un ph�nom�ne de diffraction lumineuse caus� par la pr�sence de bu�e sur la vitre de la porte-fen�tre g�n�r�e par le t�moin a �t� envisag�e, elle peut se produire cependant dans certaines conditions (forte diff�rence de temp�rature, forte humidit� et faible distance t�moin/vitre) dont seule la derni�re n'a pu �tre confirm�e faute de pr�cision sur la distance ;
- l'observation du PAN, dans une phase pr�cise, devant le poteau. La (br�ve) mention dans l'enqu�te priv�e n'a pas directement �t� faite par le t�moin, et le dessin permettant d'appuyer ce type d'information n'a pas non plus �t� r�alis� par le t�moin lui-m�me. Par ailleurs, aucune explication n'est donn�e relativement � ce qui aurait concr�tement permis au t�moin de penser que le PAN passait devant le poteau. Les �l�ments factuels permettant d'�valuer l'affirmation sont manquants : pas de donn�es comparatives sur les teintes PAN/arri�re-plan, pas de donn�es sur la puissance lumineuse des � feux � � cet instant. La mention de sol �clair� par le PAN non visible par le t�moin n'est pas contradictoire avec sa position aux alentours du poteau, mais elle ne l'est pas plus avec sa position plus loin, aux alentours du chemin d'exploitation, donc derri�re le poteau. Par ailleurs, des doutes existent sur la nature du � profilage � du poteau visible par le t�moin : cela peut �tre tout autant par contraste avec l'arri�re-plan du paysage �clair� par la Lune que par contraste avec la luminosit� du PAN.
La consistance est m�diocre, avec une description du PAN et des diverses phases d'observation peu fouill�e. Mais elle est suffisante pour conclure compte-tenu de la bonne probabilit� de l'hypoth�se retenue (faible �tranget� r�sultante).
En cons�quence le GEIPAN classe en A : observation tr�s probable d'un ou de plusieurs engin(s) agricole(s) effectuant des travaux de ramassage de betteraves sur un chemin d'exploitation situ� dans l'axe d'observation.
";"Longue observation de nuit d'un ph�nom�ne tr�s lumineux dans un champ : observation tr�s probable d'un ou de plusieurs engin(s) agricole(s).";O;2;1;;1;;;;;2019-01-23;;;0.20;0.00;;;0.70;;0.50;;0.35;0.00;A;A;1981-11-00898
1086;"GUIPAVAS (29) 22.11.1981";Finist�re;29;"(D) D�partement";1981;11;22;"Le 22 novembre 1981 entre 7h 40 et 8h plusieurs personnes se trouvent sur la route p�riph�rique au terrain d'aviation. Le jour n'est pas totalement lev� mais la visibilit� est bonne. Soudain ils aper�oivent une boule couleur rouge-orange qui reste immobile au-dessus du champ situ� juste avant le terrain d'aviation. Cette boule de la grosseur d'un ballon de foot-ball dispara�t brusquement et semble �tre tomb�e dans le champ ; � aucun moment les t�moins ne per�oivent un bruit particulier. De service ce matin l�, deux gendarmes vont �galement apercevoir vers 8h, une boule lumineuse orang�e qui s'avance sur la piste comme pour un att�rissage alors qu'un avion sur cette m�me piste s'appr�te � d�coller. Au fur et � mesure que la boule descend elle prend une forme plus imposante. Imm�diatement le pompier avertit la tour de contr�le mais l'objet dispara�t instantan�ment. Aucun bruit ne sera entendu par les t�moins et aucune trace dans le champs ou sur la piste ne sera trouv�e. N�anmoins le CRNA signalera un spot visible sur le radar entre 7h50 et 8h 04. Ce ph�nom�ne reste inexpliqu�.";"Observation d'un objet insolite sur un terrain d'aviation. Le CRNA signale l'acquisition d'un spot visible sur le radar � l'heure du ph�nom�ne observ�.";O;8;;;;;;;;2008-06-03;;;0.75;0.25;;;;;;;0.70;0.23;D;D;1981-11-00900
1087;"LHUIS (01) 22.11.1981";Ain;01;"(D) D�partement";1981;11;22;"Le 28 novembre 1981 � 0h 45, deux gendarmes en service, constatent dans le ciel, la pr�sence d'une lumi�re extr�mement brillante. Celle-ci est immobile et semble clignoter. L'observation aux jumelles leur permet de distinguer sur le pourtour de cette lumi�re des �clats lumineux de plusieurs couleurs. Ceux-ci s'allument et s'�teignent de fa�on d�sordonn�e. Les gendarmes ayant une carte celeste, ils situent le point lumineux � gauche de la constellation d'Orion. Cette observation durera plusieurs heures. Apr�s une v�rification sur un logiciel d'astronomie, ces t�moins ont certainement aper�u, cette nuit l�, Sirius, particuli�rement visible dans le ciel en cette p�riode de l'ann�e.";"observation de Sirius";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1981-11-00901
1088;"BOURGOIN-JALLIEU (38) 1981";Is�re;38;"(D) D�partement";1981;11;21;"Le 21 novembre 1981 vers 20h, deux personnes aper�oivent dans le bois situ� en face de leur domicile un ph�nom�ne lumineux particulier qui les intrige. Celui-c, de forme rectangulaire, est de couleur rouge-orang� et reste immobile. Lors de l'observation qui durera pr�s d'une heure, les t�moins pourront voir un halo de couleur verte entourer progressivement le rectangle puis deux projecteurs tr�s puissants �mettre une lumi�re jaune. L'objet s'�l�vera lentement dans les airs suivant un angle de 45� avant de dispara�tre dans le ciel. Aucun bruit ne sera entendu durant l'observation. Le lendemain un des t�moins ira sur place mais ne trouvera aucune trace. Les gendarmes ayant �t� pr�venus 25 jours plus tard, aucune trace sur le sol ou sur l'environnement ne pourra �tre recueillie et aucun autre t�moin de ce ph�nom�ne ne se manifestera pour apporter des informations compl�mentaires.";"observation d'un ph�nom�ne lumineux � l'or�e d'un bois.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-12-00905
1089;"BOURG SAINT-MAURICE (38) 1981";Savoie;73;"(D) D�partement";1981;11;20;"Le 20 novembre 1981 vers 18h plusieurs t�moins observent dans le ciel une boule lumineuse suivie d'une train�e multicolore. Cette boule se d�place � tr�s grande vitesse traversant le ciel dans une direction Sud-Nord. L'observation a dur� 15 � 30 secondes dans un ciel d�gag�. Un des t�moins a entendu un sifflement. Ces personnes ont probablement �t� t�moins d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation de la rentr�e probable d'un objet dans l'atmosph�re";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1981-11-01677
1090;"SAINT-FIACRE (77) 01.11.1981";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";1981;11;01;"Le 1er novembre 1981 plusieurs personnes dans un v�hicule observent � 100 m�tres, un appareil immobile � une trentaine de m�tres au-dessus d'un champ. Roulant au pas les t�moins remarquent que l'engin a une forme h�misph�rique et une couleur fluorescente. En bas � droite, un projecteur dirig� vers le sol �met une lumi�re blanche intermittente. Une sorte de d�gagement de chaleur rend flous les contours de l'engin. Passant de nouveau le long du champ apr�s avoir d�pos� une personne � son domicile, ils constateront la disparition de l'engin. L'enqu�te ne permettra pas de trouver des traces ou d'autres t�moins de ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de donn�es.";"Observation d'un engin tr�s lumineux.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-11-01679
1091;"DRAVEIL (91) 1981";Essonne;91;"(D) D�partement";1981;12;06;"Le 6 d�cembre 1981 vers 20h 35 des t�moins observent dans le ciel un ph�nom�ne lumineux particulier. Tous ont remarqu� un ensemble de formes circulaires lumineuses qui se d�placent � vitesse irr�guli�re sur un p�rim�tre restreint. Aucun bruit n'est entendu et le ph�nom�ne reste visible environ une heure avant de dispara�tre � l'horizon. Nous manquons de donn�es pour avancer toute hypoth�se concernant l'origine de ce ph�nom�ne.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-12-00903
1093;"CAUDAN (56) 21.12.1981";Morbihan;56;"(D) D�partement";1981;12;21;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� LANN-BIHOUE (56) 1981 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 21 d�cembre 1981 aux alentours de 22h 10 une famille observe, durant 10 minutes, dans le ciel en direction du SE, un objet lumineux de forme ronde et de couleur orang�. Le t�moin rapporte que l'objet �volue � tr�s grande vitesse avec des d�placements rectilignes et des changements brutaux de cap � angles vifs. Ce point est entour� d'�clats lumineux de m�me couleur qui apparaissent et disparaissent alternativement durant une dizaine de minutes. Ce ph�nom�ne a ensuite disparu vers le Sud et une seconde lueur � l'Est mais � plus basse altitude a pu �tre vue durant quelques secondes avant de dispara�tre compl�tement. Un seul t�moignage est recueilli.
Concernant le ph�nom�ne principal (observ� sur 10 minutes), les t�moins ont probablement observ� l'�toile Sirius, se trouvant �tre � l'heure de l'observation bas sur l'horizon Sud-Est, et dans la direction de l'observation (voir le compte rendu d'enqu�te).
Des conditions d'observation favorables avec un ciel d�gag�, mais avec quelques passages de nuages bas, ont pu causer cette confusion, l'astre scintillant fortement et pouvant �tre �ventuellement masqu� au bout d'une dizaine de minutes par le passage d'un banc de nuages bas.
La description par le t�moin de la pr�sence d'�clats lumineux est conforme � l'hypoth�se, car � cette �l�vation l'astre scintille de fa�on al�atoire, ses rayons lumineux traversant une couche atmosph�rique plus �paisse davantage sujette aux turbulences atmosph�riques. La description de �mouvements tant en site qu'en gisement, � une tr�s grande vitesse � est �galement conforme � l'hypoth�se et la conforte. En effet, le fait que t�moin �prouve le besoin de mentionner que � ces �volutions avaient une tendance � se d�placer vers le sud � traduit bien que le mouvement angulaire global du PAN sur 10 minutes (temps d'observation) reste faible. On peut conclure qu'il s'agit l� du ph�nom�ne naturel physiologique de micro-mobilit� oculaire (�micro-nystagmus�), mal connu du grand public, qui se produit lorsque l'on fixe des objets, particuli�rement de nuit. Il se traduit par l'impression fausse que des objets ponctuels lumineux sont affect�s de petits mouvements aberrants, tels que des zigzags.
Deux �l�ments nous emp�chent de confirmer fermement cette hypoth�se.
- le t�moin n'indique pas l'�l�vation du PAN dans le ciel, bien que l'on puisse d�duire de sa comparaison avec un avion se posant qu'il s'agit d'une �l�vation faible, compatible avec celle de Sirius.
- la pr�sence de quelques nuages. Un nuage peut avoir fait obstacle � Sirius, tandis qu'en absence certaine de nuages au moins dans la direction, le fait que le t�moin ne remarque pas Sirius au voisinage du PAN constituerait une preuve (de plus ici) que le PAN et Sirius sont confondus.
N�anmoins, au vu de tous les autres �l�ments concordants, l'hypoth�se de Sirius est d'une probabilit� bien sup�rieure � 50% et doit �tre retenue.
Le second ph�nom�ne est beaucoup plus fugace et, contrairement au premier, nous ne disposons que de tr�s peu d'�l�ments permettant d'�tablir et d'�prouver une quelconque hypoth�se.
La consistance du t�moignage est moyenne, avec un unique t�moignage alors que plusieurs t�moins �taient pr�sents, et des donn�es parcellaires et impr�cises pour la premi�re observation, et tr�s insuffisantes pour la seconde.
En cons�quence le GEIPAN classe le premier ph�nom�ne en B : Observation de Sirius.
Le t�moignage sur l'autre ph�nom�ne est inexploitable.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux jaune-orang� scintillant dans le ciel nocturne en direction du SE : observation de Sirius.";O;1;;;;;;;;2017-11-13;;;0.35;0.00;;;0.70;;0.70;;0.45;0.00;B;B;1981-12-00906
1094;"AVIGNON (84) 24.12.1981";Provence-Alpes-C�te-d'Azur;;"(R) R�gion";1981;12;23;"Les 23 et 24 d�cembre 1981 entre 18h 30 et 19h plusieurs personnes ont aper�u dans le ciel nuageux un ph�nom�ne lumineux particulier. De forme circulaire ce ph�nom�ne a plusieurs fois chang� de couleur allant du blanc � l'orange. Ce ph�nom�ne fixe au d�part semble avoir effectu� des d�placements qui expliqueraient le fait qu'il ait �t� aper�u grandissant ou diminuant quelques fois. Des pilotes et contr�leurs a�riens ont �galement remarqu� cette lueur le 24 d�cembre. Malgr� une enqu�te fournie de la gendarmerie aupr�s de diff�rents services et une v�rification avec un logiel d'astronomie, nous manquons d'informations pour affirmer que les t�moins ont observ� V�nus, particuli�rement visible ce soir l�.";"observation d'un disque lumineux changeant de forme et de couleur.";O;2;;;;;;;;2011-12-16;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1981-12-00907
1095;"LATOUR DE FRANCE (66) 1981";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";1981;12;16;"Le 16 d�cembre 1981, une heure apr�s le coucher de soleil plusieurs t�moins font une longue observation d'un point lumineux entour� d'un anneau bleut�. Ce point appara�t parfois avec une train�e color�e. Ses d�placements forment des zigzags. Aucune autre information n' a pu �tre recueilllie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'un point lumineux � tr�s haute altitude.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1982-01-00909
1096;"NICE (06) 19.12.1981";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";1981;12;19;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A,B,C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� NICE (06) 1981 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le samedi 19 d�cembre 1981 entre 10h30 et 10h50 plusieurs t�moins observent entre 50 et 100 objets volants tr�s haut dans le ciel. Ces objets sont pour la plupart de forme ronde blancs et brillants, ils se d�placent dans la direction du Sud-Ouest en une seule formation avec une distance in�gale entre chaque objet. Leur vitesse est lente et ils n'�mettent aucun bruit. Les trois derniers objets ont une forme diff�rente, comme une sorte de tube. Ces derniers changent de couleur passant du blanc � l'orange alternativement. Ces objets disparaissent cach�s par le paysage et les nuages. Deux t�moins d�posent en gendarmerie.
La description du ou des PAN faite par les t�moins rappelle fortement un l�cher group� de ballons (voir les notes d'enqu�te). Il est � noter que l'observation a lieu un samedi matin, dernier jour d'�cole avant les vacances de No�l 1981. A une semaine des f�tes de No�l, l'observation pourrait ainsi s'expliquer par un l�cher massif de ballons avec des lettres �crites par des �l�ves.
L'indication de trajectoire d�crit du NE vers SO parait fiable, car les t�moins indiquent la m�me direction et ont vu passer les PANs pr�s de leur verticale (ce qui favorise l'appr�ciation de direction de d�placement). Cette direction n'est pas exactement celle du vent qui est de Nord vers Sud. Mais on note :
- que le vent est mesur� � l'altitude de la mer alors que les �ventuels ballons �voluent � 6km de l� et � plus de 100 m d'altitude (vu leur petitesse d'aspect) et peut �tre plus haut encore car a priori lanc�s des hauteurs de Nice,
- qu'on est en ville et pr�s des montagnes (facteurs favorisant des variabilit�s locales).
Ce sont autant d'�l�ments pouvant expliquer que le vent au niveau des PAN ait une direction diff�rente de 40� de celle mesur�e � la station de Nice. Notons de plus que le vent mesur� � partir de 12H �tait d'Est vers Ouest et qu'il pouvait donc avoir commenc� � tourner un peu plus t�t � l'altitude des PAN.
Par ailleurs, la lenteur et la dur�e de parcours des objets composant le PAN sont coh�rentes d'un vent faible mesur� de l'ordre de 7km/h.
L'aspect des couleurs et lueurs des PANs varie en fonction des t�moins. T2 retient des couleurs diff�rentes entre PANs � de forme rondes et de diff�rentes couleurs (jaune-vert-rouge-bleu) � ; T1 retient une � couleur blanc brillant donnant un reflet ressemblant � celui d'une lumi�re sur une plaque d'aluminium �. Ces deux descriptions sont compatibles de ballons de couleurs � priori diff�rentes et refl�tant fortement le soleil (la g�om�trie soleil-ballons-t�moins est favorable au reflet).
T1 distingue des PANs diff�rents (� la fin de formation). La forme n'est plus ronde mais celle de tubes, et la couleur de chacun d'eux alterne entre orange et blanc. Cela peut s'expliquer par l'introduction dans ce l�cher, massivement compos� de ballons ronds, de quelques ballons plus complexes, cylindriques, � deux faces et de couleurs diff�rentes. Notons que T2 n'a pas distingu� de PAN diff�rents des autres, outre le fait que � sur l'ensemble il y en avait qui s'allumaient et qui s'�teignaient �. Sur ce dernier point, l'ensemble des deux t�moignages s'explique par une forme de (certains) ballons non sym�triques favorisant le tournoiement et donc la variation de reflet ou de couleur selon la r�alit� des ballons ou selon les particularit�s et pr�cisions de perception des t�moins.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de ballons festifs (baudruches).";"Longues observations du d�placement lent et silencieux d'une centaine d'objets lumineux dans le ciel : observations probables de ballons festifs (baudruches).";O;2;;;;;;;;2017-07-28;0.30;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;0.50;0.50;0.00;B;B;1982-01-00910
1097;"HAYANGE (57) 1982";Moselle;57;"(D) D�partement";1982;01;06;"le 6 janvier 1982 en fin d'apr�s midi, des t�moins aper�oivent un ph�nom�ne lumineux particulier. Un objet �m�tant des lumi�res rouges, blanches et bleues se d�place lentement pour dispara�tre � l'horizon. L'enqu�te met en lumi�re le passage entre 18h et 19h d'un avion de ligne civile avec des feux de navigation ""�clateurs"" de m�me couleurs.";"Observation vraisemblable d'une avion de ligne civile aux feux de navigation ""�clateurs""";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1982-01-00908
1098;"MARTIGUES (13) 12.01.1982";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1982;01;12;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A,B,C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et anciennement nomm� MARTIGUES (13) 1982 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 12 janvier 1982 entre 5h 45 et 6h 15, deux t�moins aper�oivent, depuis les volets entreb�ill�s de leur chambre, une lueur de forte intensit�. L'objet est d�crit comme une boule lumineuse blanche avec un halo vert qui reste immobile et silencieuse. Chaque apparition dure quelques secondes. Le t�moignage d'un troisi�me t�moin est rapport� par le T2 indique une observation faite aux environs de 7 heures du matin.
L'observation des t�moins directs (ayant sign� un PV de gendarmerie) est faite depuis le lit par les volets entre-baill�s de leur chambre. Elle porte sur une lueur fugitive fixe aper�ue plusieurs fois, quelques secondes, entre 5H45 et 6h. Le PV de gendarmerie indique que la fen�tre de la chambre donne sur le pont autoroutier en vis�e Nord-Ouest et � 150 m depuis le lieu d'observation. T2 situe � le PAN ""� une hauteur de 60 m, � proximit� du pont autoroutier. Ce dernier culmine � 45m"". Ces �l�ments indiquent un PAN � faible �l�vation en direction Nord-Ouest. La hauteur du PAN serait de 60m - 25 m (hauteur du 8� �tage) observ� � 150 m, soit autour de 12� d'�l�vation.
Une hypoth�se pourrait �tre l'observation de Capella. Cette �toile �volue vers un azimut de 320� et un site de 15� et se trouve donc dans le secteur Nord-Ouest. Capella peut se pr�senter, en raison des turbulences atmosph�riques � basse �l�vation, avec des couleurs variables compatibles de celles observ�es (blanc et vert). T1 indique qu'il pleuvait. Le ciel pouvait ne pas �tre totalement couvert et laisser apparaitre Capella de mani�re fugitive. Le passage de voile nuageux peut faire varier l'intensit� de l'�toile et donner l'impression de distance plus ou moins proche des t�moins.
Les t�moins signalent n�anmoins une luminosit� forte pour une observation de Capella :
T1 : ""d'une intensit� tr�s forte. J'ai cru � un �clair d'orage ou � un � flash d'usine �.""
T2 : ""le point central tr�s violemment �clair�"", ""un �clairage qui englobait tout le quartier"".
En fait ils font l'observation depuis leur lit par l'entreb�illement des volets (T1 indique ne pas avoir boug� du lit, et T2 avoir observ� avant de se lever, il n'y a plus de PAN lors de l'observation qui suit depuis le balcon). Cette condition d'observation peut avoir accentu� l'impression de surprise et d'intensit� de la lumi�re. Mais cette m�me condition d'observation semble indiquer un champ angulaire d'observation restreint autour de la normale du b�timent, ce qui r�duit la probabilit� de l'hypoth�se Capella, sans n�anmoins l'exclure (comme le montre la reconstitution jointe).
Une autre hypoth�se serait une foudre en boule. Le temps pluvieux, les couleurs et le halo, la dur�e courte font penser � ce type de ph�nom�ne qui peut apparaitre lors d'une ambiance orageuse (jaune+halo vert pale). Voir l'article Aspects, manifestations et classification de la foudre en boule. Ceci expliquerait plus directement (que pour l'hypoth�se Capella) la perception de forte lueur et aussi de boule ou halo (bien que ces derni�res perceptions accompagnent parfois aussi des observations d'astres).
Nous ne disposons pas de la d�claration du 3eme t�moin signal� par T2, mais seulement de ce qui a �t� rapport� dans le PV. Entre 7h et 7H15 il a aper�u une lueur en forme de demi-sph�re blanc-bleut�. Cette lueur tr�s forte et silencieuse a dur� deux secondes. L'observation semble non compatible de Capella du fait de la direction (voir reconstitution), mais l'est d'une foudre en boule. Cette derni�re peut se manifester de mani�re fugitive par temps orageux y compris une heure (7H) plus tard que pour l'observation de T1 et T2.
L'observation est peu �trange car la lueur peut r�sulter d'une �toile ou plus vraisemblablement d'une foudre en boule. Les conditions d'observation tr�s mauvaises, en particulier le champs visuel apriori r�duit (depuis le lit par l'entreb�illement des volets ) n'ont pas permis l'observation correcte de l'apparition, l'�volution et disparition du PAN, �l�ments d�terminants pour approfondir et pour confirmer une des hypoth�ses (surtout pour la foudre en boule). Le troisi�me t�moignage manque aussi de consistance (pr�cision, fiabilit�) du fait de son caract�re indirect.
En conclusion, il s'agit de t�moignages de faible �tranget�, pouvant correspondre �ventuellement � une �toile ou plus vraisemblablement � une manifestation de foudre en boule, mais qu'il n'est pas permis d'exploiter correctement du fait leur faible consistance.
Le GEIPAN classe le cas en C : manque d'informations fiables.
Les observations faites d'autres jours, signal�es par T2 et report�es par le PV sont inexploitables (manque d'information, pas de date pr�cise).";"Observations br�ves et successives d'une tr�s forte lueur blanche immobile et silencieuse ; pr�sence d'un halo : manque d'informations.";O;2;;;;;;;;2017-12-07;0.30;;0.30;0.00;0.70;;0.65;0.40;0.50;0.28;0.33;0.00;C;B-;1982-01-00911
1099;"GERNELLE (08) 17.01.1982";Ardennes;08;"(D) D�partement";1982;01;17;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� CHARLEVILLE-MEZIERES (08) 1982 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 17 janvier 1982 � 1h30, deux t�moins depuis chez eux observent longuement une boule lumineuse orang�e � terre dans un champ et �clairant tout aux alentours. Le ph�nom�ne est d�crit comme s'�levant du sol laissant une sorte de couche gazeuse color�e. Le lendemain, les t�moins se rendent sur le lieu pr�sum� de la pr�sence du PAN mais aucune trace sur le sol gel� et enneig� n'est retrouv�e.
Les �l�ments rapport�s par le PV sont de faible pr�cision, et il n'est pas possible 35 ans plus tard de joindre les t�moins pour enrichir ou pr�ciser ces �l�ments.
N�anmoins, avec l'exp�rience acquise depuis par le GEIPAN, des �l�ments caract�ristiques nous permettent de formuler une hypoth�se tr�s probable pour cette observation, � savoir celle de l'observation de la Lune.
- le PAN est stationnaire sur une dur�e assez longue (ici de l'ordre de 15 minutes).
- la forme d�crite : ""Une �norme boule orang�e, d'une lumi�re intense"".
- la Lune se trouve effectivement dans la direction observ�e par les t�moin et les t�moins ne la remarquent pas.
On n'a pas l'adresse exacte du t�moin, mais il indique que sa fen�tre donne plein EST et la Lune est effectivement pr�sente � 1h30 en azimut 102� (quasiment plein Est) et � faible hauteur (2,3�) ce qui conf�re usuellement une couleur rousse ou orange. La faible hauteur peut laisser penser au t�moin que ""cette boule se trouvait dans les champs � environ 300 m�tres, sur une colline. La lumi�re �tait tellement intense que je ne voyais pas ce qu'il y avait autour. Cette lumi�re �clairait tout le p�t� de maisons. Pour moi, cette boule se trouvait � terre"".
Ce que dit l'autre t�moin, T2 est plus conforme � un PAN qui est sur l'horizon et non sur fond de paysage (le doute �tant permis par les dires de T1) : ""j'ai vu un objet qui se soulevait du sol. Je n'ai pas vu la forme mais j'ai remarqu� comme une couche gazeuse de couleur gris-blanc et au centre une couleur orange qui diminuait progressivement. La couleur grise prenait le dessus. Apr�s ce ph�nom�ne, l'objet est parti. Nous sommes all�s nous coucher.""
Le point de d�part de la m�prise est la non-reconnaissance de la Lune. Cela provient la plupart du temps de la pr�sence de nuages ou brumes qui cachent partiellement la Lune, les d�clarations de T2 ci-dessus ""(comme une couche gazeuse de couleur gris-blanc et au centre une couleur orange qui diminuait progressivement"") indiquent qu'il s'agit tr�s probablement de cela. La couche nuageuse peut laisser appara�tre (de mani�re variable ou non pendant l'observation) la Lune selon un contour de forme quelconque, pour T1 ""au moment o� il s'�loignait j'ai remarqu� qu'il ressemblait � ce que l'on appelle une soucoupe volante) ou de contour flou ou sans contour quand le nuage recouvre mais sans faire �cran � la lueur (pour T1 ""L'objet �tant parti, il restait au sol une sorte de vapeur orang�e, cela pendant quelques minutes"").
Beaucoup de t�moins font part d'un d�placement final du PAN, quelque fois tr�s rapide. Il s'agit de l'illusion de fuite en distance. La r�duction d'intensit� de la Lune du fait d'un recouvrement plus fort par le nuage est interpr�t� ""logiquement"" par le t�moin comme une fuite en distance du PAN (qui aurait une intensit� lumineuse propre constante) et ce d'autant que tr�s souvent la trou�e nuageuse sur la Lune se refermant, la taille angulaire du PAN diminue. Ici, T1 ne donne pas explicitement une indication de d�placement angulaire dans le ciel, T1 dit ""Elle est partie en direction de SEDAN"". Hors vers 1h45 (la dur�e d'observation n'est pas indiqu�e mais on peut supposer que le temps que T2 se l�ve du lit et que ce ph�nom�ne �trange soit un minimum observ�, il s'est bien �coul� 15 minutes) la Lune est � 105� d'azimut, la direction de Sedan est centr�e autour de 128�, il est tout a fait plausible que le t�moin ait qualifi� la fuite en distance (dans la direction Lune) en l'approximant par la direction Sedan, si peu que le t�moin ne connaisse pas parfaitement la direction Sedan (� 20� pr�s ce qui n'est pas une grosse erreur) ou que le t�moin n'ait rien de plus pr�cis pour indiquer � la gendarmerie (de mani�re commode) la direction de la Lune (le seul rep�re g�ographique dans cette direction semble �tre le village de Fleigneux aussi loin des lieux que Sedan). Par ailleurs, T2 n'indique aucune direction de d�placement final. On note aussi que sur 15 minutes la Lune a pris 3� de hauteur, ce qui est compatible de la d�claration de T2, si ce dernier a observ� sur une dur�e suffisante ( ""j'ai vu un objet qui se soulevait du sol"") et 3� vers la droite, ce qui peut avoir induit chez T1 une id�e de d�placement d�j� amorc� vers Sedan dans l'hypoth�se aussi que la dur�e d'observation a �t� suffisante et que T1 ait fait une distinction entre la direction du PAN et celle de Sedan (le plus probable �tant que T1 associe la direction du PAN et celle de Sedan par m�connaissance ou commodit� de rep�re).
Vu tous les �l�ments qui pr�c�dent, l'hypoth�se � retenir est celle de la Lune. Il n'est pas possible de l'affirmer totalement parce que n'ayant pas l'adresse exacte des t�moins, nous ne pouvons pas confirmer l'absence d'obstacle physique entre la position des t�moins et celle de la Lune (bien que sur le plan du relief g�n�ral, au del� des 100 premiers m�tres non v�rifiables, aucun obstacle d� au relief ne soit pr�sent). De m�me bien que le PV indique un ciel d�gag�, il n'est pas permis (pas de donn�es m�t�o disponibles) d'assurer l'absence d'un �cran total nuageux devant la Lune.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observations probable de la Lune rousse .";"Longues observations d'un objet tr�s lumineux orang� plein Est � faible hauteur : observations probables de la Lune rousse.";O;2;;;;;;;;2017-11-28;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;B;B;1982-01-00912
1100;"TRANCRAINVILLE (28) 23.01.1982";"Centre-Val de Loir";;"(R) R�gion";1982;01;17;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� ORLEANS (45) 1982 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 23 janvier 1982 entre 4h35 et 4h55 des gendarmes du peloton autoroutier en patrouille sur l'A10 (sens Paris-Province) aper�oivent dans le ciel une masse claire ind�finie ainsi qu'une zone fortement �clair�e sur le sol. Tout au long de leur trajet d'une trentaine de kilom�tres leurs observations se poursuivent soit en roulant soit � l'arr�t. Aucun bruit particulier n'est entendu notamment durant l'arr�t de la patrouille. Plusieurs fois ils perdent de vue le ph�nom�ne avant de le revoir. En toute fin d'observation la masse claire n'est plus aper�ue mais les t�moins constatent que la lueur subsiste � l'Est sur des bosquets bordant l'autoroute. Une enqu�te sur place a �t� r�alis�e par les gendarmes qui ont contact� la BA123 d'Orl�ans situ�e � 7 km � vol d'oiseau de l'autoroute : aucun avion ou h�licopt�re n'�tait en vol et la station radar de la base �tait � l'arr�t depuis la veille au soir. La soci�t� Cofiroute gestionnaire de l'A10 a �t� contact�e : aucun employ� de cette soci�t� n'a remarqu� le ph�nom�ne. Aucun autre t�moignage d'habitant situ� le long de l'A10 n'a �t� recueilli. Une habitante d'Ingr� (45), t�moin d'un ph�nom�ne le 17 janvier 1982, fera une d�claration � la presse locale le 19 janvier 1982 soit quelques jours avant l'observation des deux gendarmes mais ne se pr�sentera jamais au service de police dont elle d�pend. La presse locale commentera l'�v�nement dans un article le 27 janvier 1982 en rapprochant les trois t�moignages.
Nous avons explor� deux hypoth�ses pouvant expliquer certaines caract�ristiques physiques ou dynamiques du PAN (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Il est �tabli que le ph�nom�ne �tait en mouvement, et non pas statique, puisqu'il �clairait diverses parties du paysage relativement proche (pyl�nes, hangars) sur une distance importante.
On sait que les astres (ici les plan�tes Jupiter, Saturne ou Mars �taient pr�sentes) peuvent cr�er des perceptions de ph�nom�nes lumineux suivant le t�moin d�s lors que ce dernier est lui-m�me en d�placement. Mais on ne voit pas comment l'un de ces astres serait per�u comme une � masse claire � m�me au travers d'un nuage, et produirait des �clairages au sol aussi focalis�s.
L'hypoth�se de la confusion avec un h�licopt�re �quip� d'un puissant projecteur, se trouvant dans ou au-dessus de la couche nuageuse est plus int�ressante. Elle permettrait d'expliquer la perception unique d'une � masse claire �, sans contour bien d�fini et l'absence de perception des feux de navigation ; ainsi que le ph�nom�ne lumineux observ� au sol et �clairant diverses parties du paysage, tout comme le ferait un projecteur d'h�licopt�re balayant la zone tout au long de son d�placement en longeant l'autoroute. Les projecteurs ne visant a priori pas une travers�e des nuages, il faut supposer que la mission de recherche au sol avec projecteur se fait prioritairement au travers des trou�es de nuages, ce qui n'est pas incompatible de la pr�sence d'un obstacle nuage entre les t�moins et l'h�licopt�re, car la couverture nuageuse basse n'�tait pas continue (3/8 octas).
L'absence de bruit per�u et de faisceau visible ne sont pas des arguments d�terminants. Selon les conditions m�t�orologiques (force et direction du vent, puret� de l'air) le bruit peut tr�s bien ne pas �tre per�u d'une part, et un faisceau lumineux ne pas se former si l'air est pur, d'autre part.
La couche nuageuse relativement uniforme (3/8 et 6/8 octas sur deux niveaux) se situait (sauf erreur m�t�o) � des altitudes (1200 et 1500 m) pla�ant l'h�licopt�re � une distance du sol trop forte pour la port�e des projecteurs tels que ceux �quipant les h�licopt�res civils et militaires que l'�poque. De plus, la portion plut�t petite du pyl�ne �clair� montre que l'objet l'�clairant, si situ� � la hauteur des nuages, devait produire un faisceau de mani�re tr�s focalis�e, un peu comme le ferait un laser, ce qui n'�tait pas non plus dans les capacit�s embarqu�es � l'�poque.
La description, en particulier par T1, de l'�clairage du paysage par le ph�nom�ne rappelant celui produit par la � lumi�re noire � ne correspond pas � l'hypoth�se. Une lumi�re utilis�e dans le cadre par exemple de recherches, doit au contraire �tre vive, puissante, et bien �clairer tout le paysage environnant.
Enfin, pourquoi l'h�licopt�re volerait au-dessus des nuages pour une fonction de surveillance avec projecteur (au travers de trou�es nuageuses) ? L'hypoth�se d'un retour de mission en ayant laiss� le projecteur allum� se heurte par ailleurs au fait T1 a eu le temps de voir les d�tails du pyl�ne et a per�u une immobilit� des lueurs.
La probabilit� d'une telle hypoth�se est trop faible pour �tre retenue. Par ailleurs la consistance apparait suffisante pour soutenir un caract�re inexpliqu� en l'�tat.
Dans la m�thodologie actuelle GEIPAN, le pr�sent niveau d'�tranget� et de consistance imposent de pratiquer une � enqu�te terrain � avec le t�moin pour une reconstitution et un entretien cognitif. Cette derni�re est susceptible d'impacter positivement et n�gativement l'�valuation d'�tranget� comme de la consistance. Mais elle n'est pas possible pour un cas en revisite si longtemps apr�s. Aussi l'�valuation du pr�sent cas est faite selon les crit�res actuels de prise en compte de l'�tranget� et de la consistance* comme si l'enqu�te terrain avait �t� faite et avait �t� totalement neutre (aucun apport en plus ou moins), ce qui est quelque fois le cas.
Par contre, afin de marquer cet �cart m�thodologique, la classification se fait sur la base ABCD et non sur l'actuelle ABC D1/D2 qui correspond pour le classement inexpliqu� � une validation plus forte du caract�re inexpliqu�.
Ici le cas est la limite entre un cas inexpliqu� et un cas inexploitable par manque de consistance dans l'�tat de dossier faute d'enqu�te GEIPAN men�e sur place.
En cons�quence, le cas est class� D : inexpliqu�.
*(voir La m�thodologie de classification au GEIPAN).";"Observations d'un ph�nom�ne lumineux mobile �clairant de large zones de paysage sur une distance importante : ph�nom�ne inexpliqu�.";O;3;2;;3;;;;;2018-12-10;;;0.65;0.00;;;0.90;;0.80;;0.75;0.00;D;D1;1982-01-00913
1101;"SAINT-MITRE-LES-REMPARTS (13) 14.01.1982";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1982;01;14;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� MARTIGUES (13) 1982 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 14 janvier 1982 vers 6h40 un automobiliste sur la route de Martigues au niveau de Saint-Mitre-Les-Remparts (13) est intrigu� par un ph�nom�ne lumineux de couleur qui semble le suivre dans ses d�placements et �tre stationnaire lorsque l'automobiliste s'arr�te. Aucun bruit n'est entendu. Un seul t�moignage est recueilli en gendarmerie.
Ce t�moignage rapport� par le PV de gendarmerie pr�sente quelques caract�ristiques typiques d'une observation d'un astre. Caract�ristiques aujourd'hui bien connues du GEIPAN avec l'accumulation de cas expliqu�s de ce type en particulier au cours des dix derni�res ann�es (voir site www.geipan.fr et recherche de cas avec les ph�nom�nes astres, venus, lune, soleil).
L'aspect typique ici est la perception d'�tre suivi par le PAN :
- Position du PAN stable � l'arr�t du t�moin et mobile d�s lors que le t�moin se d�place. La direction de l'astre est bien s�r fixe en absolu. Quand la voiture suit un cap � peu pr�s constant, l'astre est fixe par rapport au v�hicule et d�file avec le paysage. Comme le t�moin a d�j� au pr�alable �t� surpris par l'aspect du PAN et le consid�re � une distance proche, ce d�filement le long du paysage est compris comme un d�placement du PAN parall�lement au v�hicule en reproduisant la vitesse de ce dernier, ici � gauche du t�moins sur la route. Si la voiture change de cap, la direction de l'astre change par rapport au rep�re li� au v�hicule et � la route pouvant conduire le PAN � traverser la route (le cas ici).
Le point de d�part de la m�prise du PAN suiveur est la non reconnaissance de l'astre. Cela est assez fr�quent avec des �toiles lumineuses � basse �l�vation, l'�paisseur atmosph�rique modifie les couleurs, cr�e des scintillations (ou ici ""des feux clignotants"") et des perceptions de lueurs �clat�es voire l�g�rement mouvantes. L'observation au travers d'une vitre ou d'un pare-brise cr�e aussi des �clatements en plusieurs points lumineux et/ou couleurs, quelque soit l'�l�vation de l'�toile.
Le matin de l'observation, plusieurs astres peuvent avoir �t� � l'origine de la m�prise, � faible �l�vation (Capella 12� et azimut 323�) ou � �l�vation plus �lev�e (Jupiter 32� et azimut 165�, V�ga 32� et azimut 6).
L'hypoth�se est plausible mais ne peut �tre consolid�e car l'autre caract�ristique de l'observation est son manque de pr�cision. Les �l�vations et azimut du PAN ne sont pas indiqu�es, ni m�me le lieu pr�cis et le sens de circulation du t�moin.
Si le t�moin circule au niveau de Saint-Mitre-les Remparts vers Istres, donc sur un cap oscillant entre 285� et 360� (selon sa position exacte sur la route), Capella est une hypoth�se, car a effectivement travers� la route de gauche � droite plusieurs fois pour se trouver jusqu'� 40� sur la gauche par rapport � l'axe v�hicule.
Si le t�moin circule dans l'autre sens vers Martigues (plus plausible car est domicili� � Istres et circule pour aller au travail), le cap oscille entre 180� et 105�. Jupiter en cap 165� peut effectivement traverser la route pour se trouver jusqu'� 15� sur la gauche par rapport � l'axe v�hicule.
Les indications,"" tr�s bas sur ma gauche"" dans le t�moignage semblent un peu marqu�es pour pouvoir correspondre � l'une des situations ci-dessus, en particulier la deuxi�me qui pourtant correspond au sens de circulation le plus plausible. N�anmoins, le t�moin n'a pas fait l'objet d'un protocole de questionnaire gendarmerie ou GEIPAN (seulement 10 lignes de relev� libre par la police) pour pr�ciser les positions et directions, il n'est pas exclu que le t�moin ait pu emprunter une autre route que principale pr�sum�e.
Le t�moignage n'est pas suffisamment pr�cis pour valider ou invalider l'hypoth�se Astre.
Il est de toute mani�re peu �trange dans la mesure o�, � cot� de l'hypoth�se astre, il existe aussi celle d'un h�licopt�re. Suffisamment lointain, ce dernier peut �tre non reconnaissable et non entendable et cr�er aussi une perception de boule suiveuse lors du d�placement du t�moin. La faible dur�e de l'observation rend cette hypoth�se possible et l� aussi le t�moignage ne permet ni de valider ni d'invalider.
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en C : manque d'informations fiables.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux de couleur suivant un automobiliste dans son trajet matinal : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2017-11-28;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.40;;0.25;0.00;C;B-;1982-01-00914
1102;"HOMBOURG-HAUT (57) 27.01.1982";Moselle;57;"(D) D�partement";1982;01;27;"Le 27 janvier 1982,vers 19h15 toute une famille en voiture sur la CD 910, commune de Guenviller (57) observe durant deux minutes un objet particulier dans le ciel nuageux. Celui-ci �met une lumi�re et se d�place lentement sans faire de bruit. Il est en forme de demi sph�re.Deux des t�moin reviennent sur les lieux vers 19h 30 mais l'objet a disparu.
Sur la repr�sentation cartographique (voir carte), le trajet des t�moins est en pointill� noir, la direction d'observation en bleu. On constate que la direction d'observation est globalement dans l'axe de la route, un peu � gauche ou � droite, selon les phases de l'observation, ce qui donne un azimut entre 242 et 244�.
Une v�rification astronomique nous indique (pour Nancy, � 19h15) que la Lune est � l'azimut 244, � 4,5� d'�l�vation (voir carte c�leste), et appara�t sous forme d'un fin croissant inclin�.
Comme les t�moins ne mentionnent pas la Lune dans leur observation alors qu'elle �tait exactement dans leur champ de vue, c'est bien la Lune qu'ils ont observ�, tromp�s par la faible �l�vation de l'astre, et par quelques nuages bas qui en ont masqu� une partie lui donnant une forme de cigare ou demi sph�re. Hormis les estimations de la taille de l'objet, le r�cit des t�moins est conforme � cette hypoth�se : forme d'assiette inclin�e, qui passe de la droite � la gauche de la route selon l'avancement et la direction du v�hicule, et qui s'arr�te lorsque le v�hicule s'arr�te. La disparition de l'objet correspond au coucher progressif de la Lune et/ou � un passage nuageux.
Ce cas, apr�s avoir �t� class� ""D"", est class� ""A"" : observation de la Lune � son coucher.";"Observations du d�placement silencieux d'un objet volant illumin� : m�prise astronomique avec la Lune.";O;4;;;;;;;;2013-03-27;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1982-01-00915
1103;"AMIENS (80) 15.02.1982";Somme;80;"(D) D�partement";1982;02;15;"Le 15 f�vrier 1982 vers 7h du matin des t�moins aper�oivent dans le ciel un ph�nom�ne lumineux particulier qui se rapproche. Un t�moin constate que des lumi�res blanches clignotantes �manent de chaque ar�te d'une masse sombre de forme hexagonale. Aucun bruit n'est entendu lors du d�placement de l'objet. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur le ph�nom�ne observ�.";"Observation d'un objet de forme hexagonale. Pas de bruit";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1982-02-00916
1104;"CRAU (LA) (83) 19.02.1982";Var;83;"(D) D�partement";1982;02;19;"Le 19 f�vrier 1982 vers 18h 30, deux t�moins ont observ� un point tr�s lumineux immobile d'une grosseur beaucoup plus importante que l'�toile du berger. A proximit� de ce point, un cylindre �tait �galement immobile. Il semblait �mettre une lumi�re froide non brillante. Aucun bruit n'a �t� entendu durant l'observation qui a dur� environ 4 minutes. Lors du d�placement des t�moins, les objets ont disparu dans le paysage. Aucune autre information n'a �t� recueillie.";"Observation de 2 objets lumineux.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1982-02-00917
1105;"GUENANGE (57) 1982";Moselle;57;"(D) D�partement";1982;02;21;"Le 21 f�vrier 1982 vers 6h15 deux t�moins observent dans le ciel un ph�nom�ne lumineux. Un point rouge brillant se d�place lentement vers le sud. La m�me observation avait �t� faite en janvier 1981 et 1982 par un autre t�moin. La description fait penser � une observation astronomique, hypoth�se qui ne peut �tre v�rifi�e faute d'�l�ments.";"Observation du d�placement lent d'une grosse boule : manque d'information.";O;3;3;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1982-02-00918
1107;"SALINS (77) 27.02.1982";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";1982;02;27;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Dans la soir�e du 27 f�vrier 1982 � 20h15, un t�moin regarde la t�l�vision lorsque subitement il voit � travers la fen�tre de son salon un ph�nom�ne lumineux d�crit comme une grosse boule et des flammes couleur orange. Vingt minutes plus tard, le t�moin constate par la m�me fen�tre, la pr�sence de trois boules � un m�tre du sol et �mettant des lumi�res de couleurs diff�rentes (rouge, vert, orange). Aucun bruit n'est �mis par ce ph�nom�ne. Le t�moin observe ces objets jusqu'� 22h45. Il regarde de nouveau la t�l�vision et ne voit pas le ph�nom�ne dispara�tre. Un seul t�moignage a �t� recueilli. Le t�moin reste choqu� par son observation.
Ce t�moignage se caract�rise par une �tranget� assez forte car il n' y a pas d'hypoth�se solide pouvant expliquer l'aspect et la pr�sence pendant plusieurs heures de 3 ou 4 boules lumineuses, quand bien m�me il y a plus �trange que de simples lueurs fixes.
Il se caract�rise aussi par une faible consistance en terme d'information :
- les gendarmes ont fait un relev� sur place avec photos pour donner la position observ�e des PAN. On peut regretter l'absence de relev�s de taille angulaire des boules, de pr�cision sur le mouvement ou non. Surtout, il n'y a aucune observation par le t�moin de la disparition du ou des ph�nom�nes.
et plus encore en terme de fiabilit� ;
- Il y a une forte incoh�rence dans l'expression de l'�tranget� v�cue par le t�moin. Le t�moin met 20 minutes � aller voir � la fen�tre apr�s avoir �t� alert� par une boule lumineuse dans le ciel (avec des flammes de couleur orang�e). Apr�s avoir remarqu� les 3 boules clignotantes � un m�tre du sol, le t�moin d�clare continuer � observer les objets pendant 2,5 heures mais ne voit pas leur disparition ""car il regardait la t�l�vision"". On peut penser que les sympt�mes per�us suite � cette observation (et que le t�moin a associ� � cette observation) ont pu amplifier une �tranget� (qui �tait per�ue bien plus faible au moment de l'observation) jusqu'� peut-�tre influencer la m�morisation ou le r�cit ;
- la fiabilit� des informations est entach�e en plusieurs points : le t�moin ne mentionne plus la lumi�re initiale dans le ciel avoir observ� � la fen�tre, alors que les gendarmes pr�cisent qu'elle est rest�e au-dessus des 3 autres tout le temps. Le t�moin d�clare ne ""jamais s'�tre int�ress� soit par la lecture ou tout autre m�dia � l'�tude de ce genre de ph�nom�ne"" alors que, outre le fait qu'il sait joindre le GEPAN en moins de quelques heures ouvr�es (le lundi matin pour une observation le samedi soir) � une p�riode sans internet, il affirme le contraire aux gendarmes en ajoutant qu'il a toujours souhait� �tre l� au moment d'une apparition d'OVNI.
La consistance de ce t�moignage et de l'ensemble de ce qui a pu �tre collect� est insuffisant dans l'absolu et, qui plus est, au regard de l'�tranget� qui en r�sulte. Il n'est pas possible de qualifier d'inexpliqu� ou inexplicable une telle observation, qui de fait est inexploitable.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C : manque d'information fiable. ";"Longue observation discontinue de boules lumineuses de couleur dans la nuit : manque d'information fiable. ";O;1;1;;1;;;;;2018-10-17;;;0.70;0.00;;;0.40;;0.60;;0.25;0.00;C;C;1982-03-00920
1108;"SAINT-HERBLAIN (44) 01.02.1982";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1982;02;01;"Le 1er f�vrier 1982 entre 23h 20 et 23h 30 plusieurs astronomes amateurs observent avec leurs jumelles une quinzaine d'objets qui se d�placent dans la direction Sud-Sud-Est sans faire de bruit. De forme l�g�rement allong�e et color�s, ils sont tr�s lumineux. Aucun changement de forme ou de couleur n'est remarqu� durant l'observation. Les informations disponibles ne permettent pas l'analyse du ph�nom�ne.";"Observation d'une quinzaine d'objets ayant une forme allong�e";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1982-03-00922
1109;"BEAUGENCY (45) 1982";Loiret;45;"(D) D�partement";1982;02;09;"Le 9 f�vrier 1982 plusieurs t�moins vont observer vers 6h 40 un ph�nom�ne lumineux. De forme ovo�de, il d�gageait une lumi�re rouge -orang�. Durant les 47 minutes d'observation, cet objet s'est d�plac� faisant des mouvements de va et vient du haut vers le bas. Un des t�moins affirme avoir d�j� observ� ce ph�nom�ne dans le courant des mois de janvier et f�vrier au m�me horaire. La description des t�moins, la r�p�tition de l'observation sur plusieurs jours � la m�me heure fait penser � une observation astronomique sans qu'il soit possible de conforter cette hypoth�se par manque d'�l�ments.";"Observation d'un objet ovoide se d�pla�ant par un mouvement de va et vient du haut vers le bas.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1982-02-01676
1111;"VILLARD-DE-LANS (38) 12.03.1982";Is�re;38;"(D) D�partement";1982;03;12;"Le 12 mars 1982 vers 6h 30, un t�moin observe dans le ciel une tr�s forte lueur. Aux jumelles il aper�oit une boule aux formes irr�guli�res constell�es de points lumineux ; lors de l'observation l'objet change de place et de couleur. Aucune autre information n' a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'une lueur .Objet changeant de place";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1982-03-00923
1112;"VILLE-EN-TARDENOIS (51) 12.03.1982";Marne;51;"(D) D�partement";1982;03;12;"Le 12 mars 1982 vers 20h 30, un t�moin a observ� dans le ciel une boule tr�s lumineuse d'environ 80 cm de diam�tre. De couleur argent, elle �tait suivie d'une train�e orange-clair. Durant tout le temps de l'observation, l'objet n'a pas chang� de couleur et de direction. Cette personne a probablement �t� t�moin d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'une boule lumineuse. Propablement une rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1982-03-00924
1113;"LAUZET-UBAYE (04) 30.03.1982";Hautes-Alpes;05;"(D) D�partement";1982;03;30;"Le 30 mars 1982 plusieurs automobilistes vont apercevoir entre 21h et 22h 15 des objets ayant une forme de cigare. Ceux-ci se d�placent horizontalement sans �mettre de bruit. Ces objets de couleur se d�placent en groupe et certains � tr�s grande vitesse. Les informations disponibles ne permettent pas l'analyse du ph�nom�ne.";"Observation de plusieurs groupes d'objets se d�pla�ant � tr�s grande vitesse";O;3;;;;;;;;2011-01-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1982-03-00925
1114;"THUMERIES (59) 04.04.1982";Nord;59;"(D) D�partement";1982;04;04;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� C et nomm� THUMERIES (59) 04.04.1982 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le 04 avril 1982 vers 22h30, quatre personnes aper�oivent dans le ciel un PAN lumineux de forme ronde et de couleur blanche. D'apr�s T1 le PAN est stationnaire au-dessus de THUMERIES puis se dirige vers le Nord � tr�s grande vitesse. En s'�loignant vers TOURMIGNIES (59) il laisse dans le ciel une ligne rouge qui s'estompe progressivement (T2).
Les �l�ments suivants :
- T1 : � un objet lumineux, de forme ronde, de couleur blanche, tr�s lumineuse �,
- T1 : � stationnaire environ deux minutes �,
- T1 : � trois points rouges en-dessous �,
- T2 : � Il ressemblait � un ballon brillant �. . � Il semblait aur�ol�. On pouvait prendre cela pour une sorte de boule de feu �,
pourraient faire penser � un h�licopt�re ; l'absence de bruit per�u n'�tant pas un �l�ment � opposer d�s lors que la distance est inconnue et que le vent est contraire � la propagation du son vers les t�moins.
Le cas se caract�rise avant tout par son manque de consistance. En effet :
- quatre t�moins ont observ� le ph�nom�ne, mais seuls les t�moignages de deux d'entre eux nous sont parvenus. Un t�moin n'a pas r�pondu � la convocation des gendarmes ;
- ces deux t�moignages sont tr�s succincts et consistent en quelques lignes descriptives ;
- absence d'enqu�te approfondie des gendarmes. Pas de photographies r�alis�es sur place, ni de reconstitution, absence de recherche d'autres t�moins ; etc
- de nombreuses donn�es sont manquantes, telles que les �l�vations angulaires lors des diff�rentes phases d'observation, les dimensions angulaires du PAN, la dur�e totale d'observation
- d'autres donn�es sont impr�cises, comme par exemple la phase d'immobilit� du PAN d�crite par T1 ainsi que la fa�on dont il a disparu. La direction de d�placement du PAN n'est �galement pas claire (vers le nord pour T1, vers le nord-est pour T2) ;
- enfin, certaines donn�es sont mentionn�es par un t�moin, mais pas par l'autre, comme par exemple la pr�sence de trois points rouges sous le PAN, uniquement mentionn�e par T1.
L'observation n'est pas �trange puisque rien n'est incompatible avec l'observation d'un h�licopt�re, mais l'ensemble des t�moignages manque trop de consistance pour pouvoir soutenir cette hypoth�se quand bien m�me rien ne peut l'infirmer.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C : manque d'information fiable.";"T�moignages succincts d'observations du d�placement d'un objet rond tr�s lumineux dans le ciel : manque d'information. ";O;2;2;;1;;;;;2018-11-21;;;0.30;0.00;;;0.50;;0.30;;0.15;0.00;C;C;1982-04-00926
1115;"BEAUVOIS-EN-CAMBRESIS (59) 12.04.1982";Nord;59;"(D) D�partement";1982;04;12;"Vers 6h du matin le 12 avril 1982, plusieurs t�moins affirment avoir vu un un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. De forme ovale et de couleur orang�, un objet vole � tr�s haute altitude mais tr�s lentement. Durant toute l'observation qui a dur� 10 minutes environ, l'objet n'a pas chang� de forme ou de couleur. Sa vitesse reste constante. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'un objet se d�pla�ant lentement � vitesse constante";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1982-04-00927
1116;"GROIX (56) 14.04.1982";Morbihan;56;"(D) D�partement";1982;04;14;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � D � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen. Celui-ci n'a pas pour but de diminuer ou augmenter telle ou telle cat�gorie de classement mais d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te.
Ce cas d'observation anciennement nomm� GROIX (56) 13.04.1982 fait partie de cas class�s � D � par le GEPAN et repris r�cemment.
Sur L'�le de Groix (Morbihan), dans la nuit du 13 au 14 avril 1982 � 2h45 (date la plus probable de l'observation, d'apr�s la gendarmerie), 3 personnes observent un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Se d�pla�ant dans un v�hicule � diff�rents endroits de l'ile, les t�moins ont l'impression que le PAN les suit ou s'arr�te comme eux lors de leurs p�r�grinations. Un des t�moin rentre chez lui et r�veille un quatri�me t�moin qui confirme la pr�sence dans le ciel vers 3h du matin d'un objet fortement lumineux et fixe qu'il ne reconnait pas. L'observation se poursuit dans diff�rents endroits de l'�le jusqu'� 5h du matin pour certains t�moins. Le quatri�me t�moin fera une observation similaire le lendemain.
La gendarmerie pr�venue fortuitement le 20 avril 1982 m�nera une enqu�te sur place quelques jours plus tard, ne trouvant aucun autre t�moin. L'enqu�te ne d�terminera aucune perturbation EDF, aucune observation particuli�re depuis la base a�ronavale de Lann-Bihou�. La cr�dibilit� des t�moins n'est pas mise en cause. Les gendarmes indiquent la phase de la Lune au dernier quartier. Aucune trace au sol et sur l'environnement n'est trouv�e dans les secteurs indiqu�s par les t�moins.
Ce cas est moyennement consistant : il y 4 t�moins, mais avec des contradictions et impr�cisions (en particulier sur la date et sur les vitesses ou sens de d�placement du PAN).
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur...) avec les observations d'un objet astronomique bien connu : la Lune (voir les notes d'enqu�te).
L'aspect du PAN inclut g�n�ralement un demi-cercle, or la gendarmerie indique dans son rapport d'enqu�te que la Lune �tait en dernier quartier. T1 compare le PAN � � une petite plan�te s'�tant rapprocher de la terre �. Le PAN a �t� observ� sur plusieurs heures (3 heures) et a �volu� lentement dans le ciel et selon un mouvement plut�t d�crit de Ouest vers Est (malgr� quelques contradictions entre t�moins)... comme celui de la Lune. De plus, T4 indique avoir vu la nuit suivante dans le m�me secteur de ciel un � objet pr�sentant des formes identiques au pr�c�dent : la Lune �tait effectivement de nouveau l�.
La Lune �tait grosse (phase 0.7), bien pr�sente dans la zone du ciel assez �troite (Est, Sud-Est) d�crite comme celle de pr�sence du PAN alors que les t�moins affirment clairement ne pas avoir reconnu la Lune :
- s'ils affirment ne pas l'avoir reconnu, c'est qu'ils ne l'ont pas vu non plus � c�t� du PAN sinon au moins deux d'entre eux aurait naturellement dit � d'ailleurs on voyait bien la Lune � c�t� du PAN � pour appuyer le fait que ce n'�tait pas la Lune. A c�t� de cela il y au moins un qui dit � Il faisait nuit noire il n'y avait pas de lune. �.
- ils ne pouvaient pas ne pas l'avoir vue sur une dur�e d'observation aussi longue avec un ciel d�crit par ailleurs comme d�gag� et une position de Lune en fin d'observation � 20� d'�l�vation au-dessus de l'oc�an, dans la direction d'observation.
Ce type de m�prise, g�n�ralement caus�e par des nuages ou voiles de nuages couvrant partiellement la Lune, est fr�quent dans les annales du GEIPAN (voir Site GEIPAN avec mot clef Lune).
On retrouve ici en particulier l'illusion de la boule suiveuse (illusion perceptive due au propre d�placement des t�moins), puisque que le PAN semble s'arr�ter quand les t�moins sont stationn�s, et reprendre sa course quand les t�moins red�marrent. Cette perception est g�n�ratrice de forte �motion (avec peut �tre de l'id�e ou hypoth�se d'avoir � faire � une � intelligence �), et ce faisant peut favoriser une perte de pr�cision dans la perception ou la m�morisation.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation de la Lune.";"Longues et multiples observations � l'il nu et aux jumelles d'un objet tr�s lumineux semblant suivre les t�moins dans leurs d�placements : observation de la Lune.";O;4;;;;;;;;2017-07-28;0.10;;0.10;0.00;0.60;;0.60;0.70;0.70;0.40;0.40;0.00;A;A;1982-04-00928
1117;"TARDET (64) 22.04.1982";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";1982;04;20;"Le 21 avril 1982 vers 23h plusieurs cibistes r�partis sur tout un secteur s'interpellent sur un point brillant de fa�on particuli�re. Aux jumelles cet objet appara�t comme triangulaire �mettant une lumi�re intense. A tr�s haute altitude, il fait des zigzags et parfois du sur-place. Aucune train�e n'est aper�ue derri�re l'objet. L'observation pour certains cibistes durera jusqu'� 3h 30 du matin avant que l'objet disparaisse. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation d'un objet de forme triangulaire se d�pla�ant en zig-zag.";O;6;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1982-04-00929
1118;"CIOTAT (LA) (13) 21.04.1982";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1982;04;21;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� CIOTAT (LA) (13) 21.04.1982 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 21 avril 1982 vers 21h, un automobiliste aper�oit au-dessus du golf de LA CIOTAT une formation d'au moins 6 boules lumineuses de couleur blanche en forme de V. Durant 15 secondes il observe ces boules qui semblent fixes. Aucun bruit n'est entendu. Cet ensemble dispara�t instantan�ment. Aucun autre t�moignage n' a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne.
Malgr� l'enqu�te des gendarmes ayant contact� � l'�poque le responsable de la surveillance a�rienne � Salon de Provence � affirmant qu'aucun avion de la base de salon n'�tait en vol au moment des faits � tous les �l�ments convergent vers l'hypoth�se de la confusion avec la Patrouille de France (et en particulier leur puissant phare de nez, seul �l�ment visible sur une grande distance) volant en formation en direction du t�moin pendant quelques instants (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Peut-�tre ce responsable n'�tait pas la bonne personne pour statuer sur l'activit� ou non de la Patrouille de France (il ne r�pondait pas directement � cette question) ou n'avait-il pas l'autorisation de communiquer l'information, m�me aux militaires de la Gendarmerie.
Il est attest� par ailleurs que la Patrouille de France se trouvait � La Ciotat le jour suivant celui o� le t�moin a fait son observation.
La patrouille de France (PAF) contact�e et inform�e des pr�sents �l�ments en faveur de l'hypoth�se comme en d�faveur (avis de la circulation a�rienne lors de l'observation) �value � 60 % la probabilit� de la pr�sence de la PAF en lieu et date, mais ne dispose plus d'archive pour attester.
Outre les �l�ments ci-dessus de vraisemblance en lieu et date, il y a des �l�ments de ressemblance tr�s forts pour cette hypoth�se � Patrouille de France �, en particulier :
- formation en � V � : il existe au moins trois formations possibles de la Patrouille de France prenant l'aspect d'un � V � plus ou moins �labor� ;
- nombre : pr�sence d'au moins 6 boules. Les avions de la Patrouille de France peuvent �tre au nombre de 8 ou 9 maximum, mais peuvent aussi voler parfois en moins grand nombre ;br>
- couleur : lumi�res de couleur blanche. Les feux (ou phares) d'atterrissage sont plac�s sur le nez des Alphajet, en fonction depuis 1981. La couleur est blanche ou blanche-jaun�tre ;
- pas de bruit per�u : Il est tout � fait possible que les avions se soient trouv�s � plusieurs dizaines de kilom�tres de distance, et que l'absence de bruit per�u ne soit d�s lors gu�re �tonnante ;
- trajectoire : PAN immobiles. Observ�s se d�pla�ant en direction du t�moin, ils sembleront effectivement immobiles sur une dur�e d'observation aussi faible que 15 secondes ;
- dur�e : d'observation d'environ 15 secondes et disparition instantan�e. Les avions ont chang� de direction au bout de ce laps de temps. N'�tant visibles que par leur phare de nez qui n'a qu'un angle r�duit de visibilit�, ils sont devenus d�s lors invisibles � l'il nu, par la distance importante qui les s�parent du t�moin.
Les �l�ments de vraisemblance consolid�s par les forts �l�ments de ressemblance nous conduisent � retenir cette hypoth�se comme tr�s probable.
La consistance est plut�t faible mais n�anmoins suffisante au regard de l'hypoth�se retenue. Il manque les donn�es de mesures angulaires, telles que la dimension des PAN, individuellement et pour l'ensemble et la hauteur sur l'horizon. Nous disposons n�anmoins d'un dessin.
En cons�quence le GEIPAN classe en A : observation tr�s probable d'une escadrille d'avions.";"Observation de 6 boules lumineuses disparaissant soudainement.";O;1;1;;;;;;;2018-07-11;;;0.25;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;A;B;1982-04-00930
1119;"SAINT-ALEXANDRE (30) 28.04.1982";Gard;30;"(D) D�partement";1982;04;28;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� PONT SAINT-ESPRIT (30) 1982 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 28 avril 1982 vers 23h 47 un t�moin est surpris par un �clair illuminant la vall�e. Puis il observe un ph�nom�ne lumineux de couleur (vert ext�rieurement et blanc au centre). Le tout se d�place silencieusement et tr�s rapidement � basse altitude en direction de l'Ouest. Le t�moin d�crit un objet rond qui durant toute l'observation ne changera ni de forme ni de couleur. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Le t�moignage laiss� sans explication � l'�poque et r�examin� 35 ans plus tard apparait conforme � de nombreuses descriptions re�ues depuis au GEIPAN et identifi�es comme des rentr�es atmosph�riques de m�t�oro�des ou de d�bris spatial. Les points caract�ristiques ici sont ""�clair illuminant la vall�e"", ""lumi�re tr�s vive, verte ext�rieurement et blanche au centre"".
Il est fr�quent que nous disposions de plusieurs t�moignages, aujourd'hui se sont des cam�ras automatiques qui enregistrent et d�tectent ces rentr�es. Nous ne pouvons donc garantir cette hypoth�se qui n�anmoins est d'une probabilit� sup�rieure � 50% compte tenu de l'aspect d�crit. Il nous manque des �l�ments descriptifs de dur�e qui aideraient � pr�ciser s'il s'agit d'une rentr�e de m�t�oro�de ou de d�bris spatial. Le non recensement concernant le deuxi�me type nous conduit � retenir le premier type qui est le plus fr�quemment observ� et le moins bien recens� (� cette �poque). La forte lueur dans le ciel �clairant la vall�e milite �galement dans ce sens.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation de rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de.
";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux �clairant tout le paysage et du passage silencieux d'un objet rond : probable observation d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.30;0.00;;;;;;;0.60;0.00;B;B;1982-05-00931
1120;"TAMPON (LE) (974) 03.04.1982";"La R�union";974;"(D) D�partement";1982;04;03;"Le 3 avril 1982 plusieurs personnes observent un ph�nom�ne lumineux de couleur qui se d�place tr�s lentement sur un axe Nord-Sud. Selon le directeur de l'observatoire vulcanologique, ce ph�nom�ne est probablement d� � une rentr�e atmosph�rique d'un objet naturel (m�t�orite) ou d'origine humaine (partie d'un engin).";"Observation de la rentr�e probable d'un objet soit naturel ( m�t�orite) soit d'origine humaine ( partie d'un engin)";O;4;;;;;;;;2017-04-11;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1982-04-01675
1121;"SEYSSINET-PARISET (38) 10.05.1982";Is�re;38;"(D) D�partement";1982;05;10;"Le 10 mai 1982, un t�moin observe dans le ciel un objet volant particulier. Durant 45 secondes il a pu voir un panneau rectangulaire scintillant selon son exposition au soleil. Sa trajectoire Nord-Sud �tait constante. Cet objet a disparu dans le paysage. Malgr� les recherches men�es, aucune autre information (trace ou t�moignage) n' a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'un panneau r�fl�chissant.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1982-05-00932
1122;"SUIPPES (51) 16.05.1982";Marne;51;"(D) D�partement";1982;05;16;"Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � D � en 1982 par le GEPAN. Il a fait l'objet d'une nouvelle enqu�te (voir le document : Note d'enqu�te)
Le 16 mai 1982 vers 3h 45 une automobiliste et sa passag�re sont intrigu�es par la pr�sence d'une masse lumineuse dans le ciel d�crite comme une demi-lune, � de couleur orange �. Apr�s �tre rest� immobile au-dessus de la ville de Suippes, le PAN semblera suivre les t�moins en effectuant des bonds horizontaux et ce, jusqu'au village de Somme Suippes. Aucun bruit n'est entendu pendant l'observation. Les deux t�moins perdront le PAN de vue � leur arriv�e, car celui-ci est cach� par le paysage ou par des b�timents. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne par la gendarmerie.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur...) avec un ph�nom�ne connu astronomique : la Lune au lever. De plus, la Lune �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e alors que les t�moins n'en font pas mention, si ce n'est pour dire qu'elles ont d'abord pens� � la Lune (ce qui indique que le PAN ressemble � notre satellite naturel).
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (fatigue et inqui�tude). Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A : m�prise astronomique de la Lune.";"Observation d'un objet de la forme d'une demie lune se d�pla�ant � vitesse variable et semblant suivre les t�moins : observations astronomique de la Lune.";O;2;;;;;;;;2013-06-26;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1982-05-00933
1123;"SAINT-DENIS (974) 16.06.1982";"La R�union";974;"(D) D�partement";1982;06;16;"A 3h du matin le 16 juin 1982 des t�moins aper�oivent dans le ciel un objet de forme sph�rique dans un halo suivi d'un ensemble de points plus petits de couleur jaune orang� formant une train�e lumineuse. Cet ensemble se dirige lentement en ligne droite du Nord-Est au Sud-Est. L'observation dure moins d'une minute et aucun bruit li� � ce ph�nom�ne n'est entendu.
D'apr�s les descriptions du ph�nom�ne ces personnes ont probablement �t� t�moins d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observations du lent passage d'un objet lumineux orang� avec train�e : observations probables d'une rentr�e atmosph�rique";O;2;;;;;;;;2015-11-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1982-06-00934
1124;"NANTES CH�TEAU-BOUGON (44) 1982";"Pays de la Loire";PDL;"(R) R�gion";1982;06;10;"Le 10 juin 1982 plusieurs personnes dont le personnel d'une tour de contr�le d'un a�roport vont apercevoir un point brillant dans le ciel. L'enqu�te montre que des pilotes ont �galement aper�u cet objet brillant et qu'il s'agit probablement d'un ballon stratosph�rique lanc� par le CNES du site de Gap et d�rivant et �voluant � 30 ou 40000 m�tres d'altitude pouss� par les vents de SO apr�s le larguage de sa charge utile.";"Observation probable d'un ballon";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1982-06-00935
1125;"VIEILLE-CHAPELLE (62) --.06.1982";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1982;06;--;"T�moignage r�cent (08/09/2013) d'une observation ancienne sans certitude de date donn�e par le t�moin. La date du 25 juin est donn�e arbitrairement (en tenant compte de quelques indications du t�moin).
Fin juin 1982 plusieurs personnes en soir�e se r�unissent pour regarder dans le ciel �toil� le passage d'un vol habit�. Vers 3h du matin, ills sont �tonn�s d'observer le passage de deux autres objets lumineux inconnus. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
La mission Premier Vol Habit� fran�ais s'est d�roul�e du 25 juin au 2 juillet 1982. L'observation a pu avoir eu lieu le 25 ou 26 juin.
Le scenario d�crit par le t�moin peut �tre d� � la co�ncidence entre les traces apparentes d'autres satellites � des altitudes diff�rentes. L'arriv�e du 3�me objet peut �tre simplement sa sortie de l'ombre de la Terre, qui lui permet d'�tre brutalement illumin� par le soleil.
Les donn�es orbitales des multiples satellites en orbite � cette �poque ne sont pas disponibles. Le GEIPAN n'a pas le moyen de v�rifier cette hypoth�se.
Ce cas est class� C par manque d'information.";"Observation du passage de points lumineux dans le ciel : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1982-06-08557
1126;"THEZE (64) 03.07.1982";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";1982;07;03;"Le 3 juillet 1982 un t�moin aper�oit depuis la fen�tre de sa cuisine une boule orang�e de 20cm de diam�tre qui scintille. Le temps est tr�s orageux et cette boule se situe en avant d'une formation nuageuseuse qui arrive sur le secteur. Lors de l'observation qui a dur� plus d'une minute, cette boule a gard� la m�me trajectoire et se d�pla�ait rapidement. Le ph�nom�ne a disparu brusquement. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'un objet en forme de disque se d�pla�ant tr�s vite";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1982-07-00936
1127;"ETANG-SALE (L') (974) 05.07.1982";"La R�union";974;"(D) D�partement";1982;07;05;"Le 5 juillet 1982 vers 19h30 un ph�nom�ne lumineux particulier est observ� par plusieurs t�moins. Une masse ovo�de orang�e scintille alors qu'un point � intensit� variable semble tourner irr�guli�rement autour de cette masse. celle-ci est beaucoup plus grosse qu'une �toile. Le ph�nom�ne dispara�tra dans une formation nuageuse. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'un point lumineux plus gros qu'une �toile";O;2;;;;;;;;2017-02-24;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1982-07-00937
1129;"MONT-SAINT-AIGNAN (76) 06.08.1982";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1982;08;06;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� MONT-SAINT-AIGNAN (76) 06.08.1982 (mais aussi connu sous le nom de ROUEN-SAPINS (76) 1982) fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Un t�moin � l'angle du CD43 et de la rue des mouettes � MONT-SAINT-AIGNAN (76) observe le 06 ao�t 1982 � 20h05 le d�placement silencieux S-N d'un objet ovo�de gris m�tallique � 20 m�tres du sol. Le soleil refl�te par moment ses rayons. Le t�moin voit sur le c�t� une figure g�om�trique de couleur rouge ressemblant � un ""il"". Le t�moin se tourne en apercevant un autre t�moin d�j� pr�sent mais lorsqu'il regarde de nouveau dans la direction de l'objet, ce dernier a disparu. Le t�moin fait sa d�position en gendarmerie le 11 ao�t sans pouvoir donner une estimation plus correcte des distances. Le 12 ao�t les gendarmes se rendent sur place, aucun autre t�moignage n'est recueilli et aucune trace n'est visible.
Les caract�ristiques physiques (aspect m�tallique refl�tant la lumi�re solaire, forme ovo�de, pr�sence d'un �l�ment fantaisie) et dynamiques (d�placement r�gulier dans le sens du vent) sont tout � fait conformes avec l'hypoth�se de la confusion avec un ballon de nylon m�tallis� type � Mylar � (voir le compte-rendu d'enqu�te).
De tels ballons existaient d�j� en 1982 et �taient souvent de forme circulaire ou ovo�de et agr�ment�s d'un dessin fantaisie pouvant �tre tr�s variable et lui-m�me de forme circulaire. On est un vendredi soir en p�riode estivale, ce qui est favorable � un �v�nement festif ou de recr�ation de ce type.
Il est possible qu'un tel dessin fantaisie soit de couleur dominante rouge et, observ� � distance �clair� par le soleil couchant, paraisse au t�moin avoir l'apparence d'un il rouge lumineux.
Bien que la terminologie employ�e par le t�moin ne soit pas tr�s explicite � ce sujet (� [] je pr�cise qu'� un moment donn� je me suis retourn� pour regarder cette personne, et c'est en regardant de nouveau dans la direction de l'objet que celui-ci a disparu. �), il est possible de supposer que la disparition du PAN s'est produite alors que le t�moin a d�tourn� son regard pour voir l'autre personne qui observait elle-m�me le PAN. On ne sait pas combien de temps le t�moin s'est retourn�, peut �tre suffisamment pour que le t�moin n'est pas su retrouver le PAN dans son champ de vision ou que celui-ci ait disparu.
La consistance est plut�t faible, avec peu d'�l�ments permettant d'infirmer (inconnue sur la dur�e du retournement du t�moin) ou de confirmer fermement une hypoth�se qui en l'�tat est n�anmoins suffisamment probable pour �tre retenue.
Lors de l'observation et de la premi�re enqu�te, le GEIPAN n'avait pas (ou peu) d'exp�rience de m�prises caus�es par des ballons Mylar (voir sur site www.geipan.fr les cas enregistr�s depuis, recherche de cas avec mots clefs ""Mylar"" ou ""ballon"").
Le GEIPAN classe le cas en B :observation probable d'un ballon ""Mylar"".
";"Observation du d�placement rectiligne et silencieux � 20m du sol d'un objet ovo�de, gris m�tallique refl�tant les rayons du soleil avec une brusque disparition : observation d'un ballon de nylon m�tallis� type � Mylar �.";O;1;1;;1;;;;;2018-07-05;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;B;B;1982-08-00939
1130;"SAINT-BENOIT (974) 1982";"La R�union";974;"(D) D�partement";1982;09;04;"Le 4 septembre 1982 des t�moins observent, vers 2h du matin, une masse lumineuse qui est stationnaire au-dessus d'une usine. Ils d�crivent cette masse comme une sorte de triangle avec des lumi�res rouges et or dont l'intensit� varie. Cette masse s'est ensuite d�pla��e lentement et sans bruit puis s'est �loign�e en direction de la mer. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'une masse lumineuse avec changement de direction";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1982-09-00940
1131;"VILLEBON-SUR-YVETTE (91) 06.09.1982";Essonne;91;"(D) D�partement";1982;09;06;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� PALAISEAU (91) 1982 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 06 septembre 1982 � 22h30, un couple sur son balcon au 3i�me �tage, aper�oit un ph�nom�ne lumineux de couleur orang�e et de grande dimension en direction des pistes d'Orly. Les t�moins comparent l'objet � une soucoupe ou � un dirigeable. L'observation dure deux minutes durant lesquelles le ph�nom�ne va progressivement dispara�tre. Aucun bruit ne sera entendu durant l'observation. L'enqu�te de gendarmerie aupr�s de divers services de la surveillance a�rienne ou des casernes de pompiers du secteur ne d�bouche sur aucune information compl�mentaire.
D'�tranget� et de consistance moyenne (2 t�moins d�pendants, pas de photo), ce cas s'av�re �tre une m�prise avec la Lune proche de son lever (voir le compte rendu d'enqu�te).
La description du PAN et les d�tails de l'enqu�te de gendarmerie �voquent fortement une m�prise avec la Lune : PAN ovale de diam�tre important, couleur orange, lumi�re vive, hypoth�se d'un incendie. Les t�moins, bien qu'ayant une excellente vue depuis leur balcon vers l'Est, disent ne pas avoir vu la Lune dans le ciel qualifi� de sans nuage alors qu'elle �tait bien pr�sente dans la direction qu'ils indiquent, � une faible hauteur angulaire pouvant expliquer sa couleur orange. Le fait qu'un avion soit pass� entre le PAN et les t�moins montre que le PAN �tait l�g�rement � droite des pistes de l'a�roport d'Orly, ce qui correspond parfaitement � la position de la Lune. La pr�sence de nuages sur l'horizon Est, non mentionn�e par les t�moins mais d�duite des donn�es m�t�orologiques, explique (pour T2) la disparition du PAN par r�tr�cissement suite � l'�cran progressif d'un nuage comme il explique (pour T1) � un d�part vers l'Est �, car T1 interpr�te le r�tr�cissement comme une fuite en distance qui est bien vers l'Est.
Lors de la premi�re enqu�te le GEIPAN n'avait les m�mes moyens pour appr�cier la pr�sence de nuage et pas encore ce retour d'exp�rience sur les illusions de d�placement que peuvent cr�er les nuages devant la Lune ou un astre.
Le cas est class� A : observation de la Lune.";"Observations nocturnes d'un ph�nom�ne lumineux orang� en forme de soucoupe bas sur l'horizon : m�prises avec la Lune proche de son lever.";O;2;2;;1;;;;;2018-07-25;;;0.11;0.06;;;0.80;;0.70;;0.55;0.00;A;A;1982-09-00941
1134;"ECUEILLE (36) 1982";Indre;36;"(D) D�partement";1982;10;21;"Le 21 octobre 1981 vers 18 heures 45, 3 t�moins ont vu durant quelques secondes le passage une boule tr�s lumineuse qui se d�pla�ait tr�s rapidement. Cette boule blanche au d�part avait une train�e et a vir� au rouge avant de dispara�tre. Cette observation pr�sente toutes les caract�ristiques d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1982-10-00944
1137;"ROUEN (76) 1982";Eure;27;"(D) D�partement";1982;11;19;"Le 19 novembre 1982 dans la soir�e, un automobiliste et son passager vont apercevoir dans le ciel des boules lumineuses. Elles se d�placent � une vitesse variable et sont de couleur rouge. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation de plusieurs boules rouges.Vitesse variable.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1982-11-00951
1142;"SAINT-AMANT ROCHE SAVINE (63) 1983";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";1983;01;12;"Le 12 janvier 1983 � 18h 30 plusieurs t�moins vont apercevoir une boule de couleur jaune qui se d�place silencieusement � tr�s basse altitude. Cette boule est suivie d'un ensemble de petites flamm�ches bleues. L'ensemble se d�sint�gre soudainement, laissant penser aux t�moins qu'il y a eu une chute � proximit� du lieu d'observation. Aussit�t les autorit�s pr�venues, plusieurs ratissages dans les environs vont avoir lieu mais en vain. Il est probable que les t�moins aient observ� une rentr�e atmosph�rique.";"Observation de la chute d'une boule lumineuse.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-01-00954
1143;"BOURGOIN JALLIEU (38) 1983";Is�re;38;"(D) D�partement";1983;01;23;"Le 23 janvier 1983 entre 17h 15 et 17h 30 plusieurs t�moins, ont pu observer un ph�nom�ne gris-noir dans le ciel � une altitude estim�e � 2500 m�tres. L'objet est de forme allong�e ou en forme de ""v"" sans brillance. Il se d�pla�ait horizontalement et sans bruit. L'observation aux jumelles n' a pas permis d'identifier l'objet mais d'apr�s un des t�moins, ancien navigant a�rien, cela ressemblait � une train�e laiss�e par Boeing 747. La forme en V ainsi que la vitesse (500 � 600 Km/h) estim�e par le t�moin ancien naviguant peuvent corroborer l'hypoth�se d'un avion vu de l'arri�re en phase de descente. Il est probable que les t�moins aient �t� victimes d'une m�prise avec un a�ronef, bien que celui-ci n'ait pu �tre identifi�.";"Observation probable durant 10 mn du passage d'un avion";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-01-00956
1145;"BOUCHES DU RHONE (13) 1983";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1983;01;26;"Le 26 janvier 1983 entre 6h 55 et 7h 08 plusieurs t�moins dans les Bouches-du-Rh�ne vont apercevoir une boule lumineuse blanche se d�pla�ant horizontalement. Cette boule est suivie d'une train�e color�e. Les observations entre 4 et 45 secondes permettent aux t�moins de remarquer l'absence totale de bruit et une vitesse tr�s importante. Ce ph�nom�ne va dispara�tre dans le paysage. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne, qui d'apr�s les t�moignages s'apparente � une rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'une boule se d�pla�ant � tr�s grande vitesse.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-01-00959
1146;"CAINE (LA) (14) 28.01.1983";Calvados;14;"(D) D�partement";1983;01;28;"Le 28 janvier 1983 � 0h 10, un automobiliste aper�oit sur sa droite un objet en forme de toupie. Cet engin se trouve � 2 ou 3 m�tres au-dessus du sol et �met des lumi�res rouges et vertes de faible intensit�. Cet objet zigzague avant de s'�lever en spirales tr�s haut dans les airs et de dispara�tre. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'un objet en forme de toupie et zigzaguant";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1983-01-00961
1147;"CERISY LA SALLE (50) 1983";Manche;50;"(D) D�partement";1983;01;29;"Le 29 janvier 1983 deux agriculteurs vont apercevoir un ph�nom�ne lumineux bleut� particulier. Un des t�moins va voir arriver une boule de feu de la grosseur d'un ballon : celle-ci se d�place horizontalement, �met un sifflement puis explose affolant le b�tail. Malgr� des recherches de traces au sol, aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne, dont la description fait penser � une manifestation de la foudre.";"Observation d'une boule de feu.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1983-01-00962
1148;"SAINT-HILAIRE-DE-LUSIGNAN (47) 06.02.1983";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";1983;02;06;"Le 06 f�vrier 1983 vers 1h du matin, un t�moin sur son cyclomoteur croise des voitures et dit avoir �t� brusquement stopp� par un faisceau tr�s lumineux et avoir perdu connaissance. A son r�veil, environ une heure plus tard, il voit un disque tr�s brillant au-dessus de lui s'�loigner en faisant du bruit. La personnalit� du t�moin, probablement sous l'emprise de l'alcool au moment des faits, ne permet pas de prendre ce t�moignage au s�rieux.";"Observation peu cr�dible d'une soucoupe volante.";O;1;;;;;;;;2017-12-01;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-02-00965
1149;"PLOUARZEL (29) 14.03.1983";Finist�re;29;"(D) D�partement";1983;03;14;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SAINT-RENAN (29) 1983 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 14 mars 1983 entre 20h et 22h plusieurs t�moins dans un m�me hameau sur la commune de Plouarzel (29) observent un ph�nom�ne lumineux jaun�tre qui semble stationnaire au-dessus de la pointe d'un monument m�galithique. Le PAN est per�u statique puis en mouvement. Intrigu�s les t�moins d�cident d'aller voir de plus pr�s le ph�nom�ne : ils sont surpris car l'objet semble suivre la route et les automobilistes. Un 5eme t�moin rapportera son observation faite le lendemain 15 mars � 21h alors qu'il circule en voiture en direction de Saint-Renan (29).
Le t�moin T1 est venu vers 21H alerter � leur domicile les t�moins T2, T3, et T4. Ces derniers d�clarent tous que leur premi�re impression en regardant le ph�nom�ne montr� par T1 �tait de voir une grosse �toile et ils ne comprenaient pas l'objet de"" l'excitation"" de T1.
- T2"" Dans un premier temps j'ai pens� � une grosse �toile et j'ai tout d'abord refus� de croire � un OVNI.
- T3 ""Dans un premier temps j'ai donc vu ce point lumineux qui m'est apparu 3 � 4 fois plus gros qu'une �toile et il �mettait une lumi�re brillante et jaun�tre.""
- T4 ""Mes parents, mes fr�res et moi sommes sorti de la maison et Monsieur Q nous a d�sign� une �toile dans le ciel direction Nord-Ouest. Dans un premier temps je n'ai rien trouv� d'anormal.""
L'�toile que T2, T3 et T4 ont cru voir exactement au-dessus du menhir existe bien puisque c'�tait V�nus (272� en azimut et 10� de hauteur) et c'est effectivement un grosse �toile. La r�f�rence au menhir depuis le lieu d'habitation de T2, T3, T4 est tr�s pr�cise et ne laisse aucun doute.
T1 �tait tr�s excit� par son observation pr�alable faite en roulant. Il a �t� victime de l'illusion de la boule suiveuse (illusion perceptive due au propre d�placement des t�moins), puisque que le PAN semble s'arr�ter quand le t�moin est stationn�, et reprendre sa course quand il red�marre. En fait la direction de l'�toile est fixe par rapport � la voiture quand celle-ci ne change pas de cap. Quand la voiture et la route changent de cap la direction de l'�toile fixe pivote par rapport � celle de la route et peut donner l'impression que l'�toile bouge dans le ciel. T1 dit ""il suit une route en effectuant des lignes bris�es."" Cette perception est g�n�ratrice de forte �motion (avec peut �tre l'id�e ou hypoth�se d'avoir � faire � une � intelligence �), et ce faisant peut favoriser une perte de pr�cision dans la perception ou la m�morisation. Les autres observations faites par T1, avant ou apr�s, r�sultent probablement de ce m�me ph�nom�ne.
T1, persuad� du mouvement du PAN, arrive � faire monter en voiture T2, et am�ne naturellement ce dernier � la m�me illusion (illusion favoris�e ici aussi par l'effet d'entrainement ou conditionnement cr�� par T1). T2 dit ""Il m'a sembl� que ce ph�nom�ne pass� d'un c�t� et de l'autre de la route"".
T3 et T4 rest�s dans la cour pendant que T2 et T1 sont en voiture, ont la perception lors du retour de T1 et T2 que le PAN n'a pas boug�, alors que T2 (parent de T3 et T4) est maintenant convaincu du mouvement. Lors d'une deuxi�me exp�rience en v�hicule de T2 et T1, T3 et T4 finissent par voir bouger le PAN, mais tout indique qu'ils ont eux-m�mes boug� dans la cour, parce qu'ils cherchaient � suivre des yeux la trajectoire de la voiture et la r�action du PAN (suppos�e suivre la voiture, pour T4 ""� ce moment, alors que mes parents avaient parcouru une centaine de m�tres, j'ai bien vu le point lumineux descendre dans le ciel"") et surtout T3 indique "" � un moment j'ai �t� masqu� par un hangar et je me suis d�plac� pour suivre la trajectoire de l'engin"".
La r�f�rence � un aspect d'�toile est tr�s pr�sente dans les t�moignages et ce qui s'en �loigne est classique pour V�nus � basse �l�vation et/ou vu au travers d'un pare-brise de voiture (couleur changeante, ovalisation, intensit� changeante et impression induite de distance variable).
Les indications de disparition du PAN (T3 ""il est parti en direction d'Ouessant et je ne l'ai plus revu "", T4 "" il me semble que ce ph�nom�ne est descendu assez bas pr�s de la route."") correspondent parfaitement � la configuration locale du coucher de V�nus.
La m�prise avec Venus ne fait aucun doute. Nous avons ici l'illustration:
- d'une premi�re m�prise classique par illusion de boule suiveuse cr��e par le d�placement du t�moin.
- d'un effet d'entrainement d'autres t�moins dans cette m�me illusion, autres t�moins pourtant bien persuad�s au d�part d'avoir � faire � une �toile.
- de l'influence �motionnelle entre membres d'une m�me famille: T3 et T4 s'approprient l'id�e et par l� la perception du mouvement une fois celles-ci acquises et communiqu�es par leur parent T2.
Le t�moignage de T5 est peu document�. Il s'agit probablement, le lendemain � 21H, de l'observation de ARCTURUS en cap 70� dans la direction suivie par T5; Observation qui serait probablement pass�e inaper�ue de T5 s'il n'avait pas �t� conditionn� par les ""faits relat�s dans la presse sur l'apparition d'un OVNI les 14 et 15 mars dernier"".
Le GEIPAN classe le cas en A : m�prises astronomiques (V�nus et Arcturus).";"Multiples observations de ph�nom�nes lumineux nocturnes ; illusion de ""la boule suiveuse"" : observations de V�nus et Arcturus.";O;5;;;1;;;;;2017-12-07;0.10;;0.10;0.00;0.70;;0.50;0.80;0.60;0.60;0.30;0.00;A;A;1983-03-00968
1150;"AIGREFEUILLE (17) 15.03.1983";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";1983;03;15;"Suite � la d�couverte d'un crat�re d'origine inconnue dans un champs de bl�, une enqu�te est diligent�e entre mars et avril 1983. Apr�s l'abandon de l'hypoth�se d'une explosion souterraine d�e � la pr�sence de munitions de la derni�re guerre mondiale, les enqu�teurs se penchent sur la possibilit� d'un ph�nom�ne naturel. L'enqu�te d�montre que la formation de ce crat�re se situe le 15 mars jour o� il y a eu un orage important avec un violent coup de tonnerre : le crat�re a probablement �t� form� suite � l'impact au sol d'un coup de foudre.";"Observation d'un crat�re de faible profondeur";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-04-00969
1151;"AUNAY SUR ODON (14) 13.04.1983";Calvados;14;"(D) D�partement";1983;04;13;"le 13 avril 1983 entre 22h 45 et 23h 05 deux automobilistes vont apercevoir dans le ciel � tr�s haute altitude une boule tr�s lumineuse. Celle-ci de la grosseur d'une balle de hand-ball est de couleur jaune-verd�tre avec une luminosit� variable. Observ�e aux jumelles, cette boule semble avoir des d�placements verticaux rapides mais ne s'�loigne jamais de plus de 40 � 50 cm de l'emplacement initial o� elle revient toujours. La luminosit� devenant insoutenable, les t�moins ont arr�t� leur observation. L'examen de la carte du ciel le jour de l'observation permet d'identifier V�nus assez bas sur l'horizon ( moins de 5 �) dans la direction 300� qui correspond � l'angle de l'observation. Les t�moins ont donc probablement �t� impressionn�s par une luminosit� importante de la plan�te V�nus.";"Observation probable de la plan�te V�nus";O;2;;;;;;;;2011-12-16;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-04-00970
1152;"SOMMAUTHE (08) 20.04.1983";Ardennes;08;"(D) D�partement";1983;04;20;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� BUZANCY (08) 20.04.1983 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 20 avril 1983 vers 23h, un agriculteur aper�oit � travers une fen�tre d'une �curie une lueur rouge-vif. Intrigu�, il sort et constate que cette luminosit� vient d'une boule dans le ciel � la verticale de Saint-Pierremont. Le t�moin per�oit des d�placements rapides sur un petit intervalle et des rayonnements. Au bout d'un quart d'heure, le t�moin appelle son voisin puis la Gendarmerie. Au bout d'une heure le ph�nom�ne n'est plus qu'un point lumineux qui dispara�t subitement. Deux t�moignages sont recueillis.
Les gendarmes ont particip� � la fin de l'observation, ils ont observ� le PAN indiqu� par les t�moins. Il n'y a gu�re de doute, le PAN alors observ� par les t�moins et les gendarmes est V�nus (Voir les notes d'enqu�te).
La position dans le ciel correspond, et le reste de la description est typique des m�prises avec V�nus telles qu'enregistr�es en grand nombre par le GEIPAN.
La couleur jaune rouge�tre brillant �norm�ment parmi les autres �toiles blanches est parfaitement conforme � l'aspect de V�nus vue � basse �l�vation. La couleur (en g�n�ral variable, T1 d�crit des changements) r�sulte des effets de la forte �paisseur atmosph�rique (basse �l�vation).
Les perceptions de petits mouvements saccad�s ou oscillations d�crites par les t�moins et les gendarmes peuvent �tre caus�es par l'effet atmosph�rique et/ou par une erreur de perception quand on fixe une �toile (voir l'article sur l'effet autocin�tique).
La disparition subite observ�e par les gendarmes vers minuit peut correspondre au d�but de l'obstruction par les arbres (visibles � l'arri�re-plan de la photo prise par les gendarmes pour reconstituer la position du PAN) car V�nus n'a plus que 2� d'�l�vation. Cela peut correspondre aussi � la pr�sence de quelques nuages, l'hypoth�se est tr�s plausible au vue de l'analyse m�t�o et peut expliquer l'indication par T1 de 3 disparitions momentan�es du PAN.
Les autres photos prises par les gendarmes pour reconstituer la position du PAN dans les phases pr�c�dentes de l'observation ne permettent pas cette reconstitution car ne contiennent pas de rep�re ou ne sont pas localis�es (la gendarmerie n'est pas en mesure 35 ans apr�s de fournir cette localisation). N�anmoins, le mouvement g�n�ral du PAN, tel que l'on peut le retenir des t�moignages malgr� les erreurs et incoh�rences dans le PV, est conforme � celui de V�nus. Surtout, aucun des t�moins ne diff�rencie le PAN observ� �galement par les gendarmes en fin d'observation d'un autre PAN qui aurait �t� vu plus t�t, c'est bien le m�me PAN qui seulement � �tait beaucoup plus gros et plus proche � (comme dit T1) au d�but de l'observation, ce qui est �galement conforme s'agissant de V�nus alors, plus haut dans le ciel.
Le t�moignage est entach� de plusieurs incoh�rences dont certaines qui auraient pu aller � l'encontre de la conclusion V�nus. N�anmoins, l'analyse permet de lever ces incoh�rences en identifiant les sources d'erreur et impr�cisions des t�moins ou des gendarmes.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observations de V�nus.";"Longues observations d'une lueur jaune-rouge provenant d'une boule tr�s lumineuse et oscillant dans le ciel nocturne : observations de V�nus.";O;2;;;;;;;;2017-12-19;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.70;;0.60;0.00;A;A;1983-04-00971
1153;"LA VERPILLIERE (38) 1983";Is�re;38;"(D) D�partement";1983;04;25;"Le 25 avril 1983 plusieurs t�moins vont apercevoir dans le ciel entre 8h 15 et 8h 45 un objet de forme ovale. La couleur est claire presque transparente et parfois m�tallique voir argent�e.Cet objet �volue � tr�s faible vitesse d'Ouest en Sud Sud-Ouest. Plusieurs fois il sera masqu� par des nuages dans lesquels il finira par dispara�tre totalement. Les t�moins ont probablement observ� un ballon, type ballon sonde m�t�orologique.";"Observation probable d'un ballon";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-04-00972
1154;"FRELAND (68) 24.04.1983";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";1983;04;24;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. A l'initiative d'un enqu�teur du GEIPAN, le cas pr�c�demment nomm� LAPOUTROIE (68) 24.04.1983 a �t� � nouveau �tudi� en 2013. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans un document (voir Notes d'enqu�te). Le 24 avril 1983 � 22h 20 pr�cise deux t�moins aper�oivent au-dessus d'un massif montagneux un objet lumineux de la grosseur d'une balle de tennis. Lors de l'observation � l'il nu, l'objet semble l�g�rement ovo�de, statique avec parfois de l�g�res oscillations. Il est entour� d'un halo de lumi�re blanche. L'objet descend ensuite par trois paliers successifs ce qui entra�ne un changement de couleur. Une des personnes munie d'une paire de jumelles observe une sph�re plus haute que large avec des veinures tr�s brillantes sur l'objet. Celui-ci dispara�tra dans le paysage lors de sa descente.
La nouvelle enqu�te d�montre que le PAN est exactement � l'emplacement de V�nus. Le ciel �tant d�crit par les t�moins comme �tant �toil� et sans nuages, il n'est pas possible qu'ils n'aient pas mentionn� Venus � cot� du PAN si ce dernier n'�tait pas VENUS. L'enqu�te de Gendarmerie avait rejet� l'hypoth�se d'une possible m�prise astronomique (une mauvaise transmission des informations concernant la position de V�nus au moment de l'observation semble avoir eu lieu entre la Gendarmerie et l'observatoire astronomique contact�).
La cr�dibilit� des t�moins n'est pas en cause et de plus ils ont �t� tromp�s par un ph�nom�ne particulier de perturbation de la perception (voir les notes d'enqu�te.
Ce cas est class� ""A"" : observation astronomique de V�nus.";"Observation d'un objet descendant verticalement par paliers : observation astronomique de V�nus.";O;2;;;;;;;;2013-12-09;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1983-04-00973
1155;"(DPT) PYRENNES-ATLANTIQUES (64) 29.04.1983";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";1983;04;29;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� NAY-BOURDETTES (64) 1983 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 29 avril 1983 vers 23h55 un couple en voiture observent depuis plusieurs endroits un ph�nom�ne lumineux de forme carr� puis ronde et de couleur orange-vif dans le ciel. Les t�moins sont apeur�s car le PAN semble proche et les suivre dans leur d�placement. Ils se r�fugient chez un troisi�me t�moin qui ne remarque rien de particulier � l'ext�rieur.
Les t�moignages rapport�s par le PV de Gendarmerie pr�sentent les caract�ristiques d'une observation d'un astre (voir la reconstitution). Caract�ristiques aujourd'hui bien connues du GEIPAN avec l'accumulation de cas expliqu�s de ce type en particulier au cours des dix derni�res ann�es (voir sur le site www.geipan.fr et recherche de cas avec les ph�nom�nes astres, V�nus, lune, soleil) :
- dur�e d'observation longue de plus de 30 minutes, faible hauteur dans le ciel.
- position du PAN stable � l'arr�t du t�moin et mobile d�s lors que le t�moin se d�place avec perception d'�tre suivi par le PAN. Il s'agit de l'illusion de la ""boule suiveuse"". La direction de l'astre est bien s�r fixe en absolu. Quand la voiture suit un cap � peu pr�s constant, l'astre est fixe par rapport au v�hicule et d�file avec le paysage. Comme le t�moin a d�j� au pr�alable �t� surpris par l'aspect du PAN et le consid�re � une distance proche, ce d�filement le long du paysage est compris comme un d�placement du PAN parall�lement au v�hicule en reproduisant la vitesse de ce dernier, ici 40 km/h au-dessus des maisons. La disparition de l'astre derri�re des obstacles et sa retrouvaille en bout d'une rue peut �tre per�ue comme une intention de ce dernier de se mettre en attente des t�moins : ""L�, je l'ai aper�u au-dessus des �tablissements CANCE. Celui-ci stationnait en l'air et semblait nous attendre. Devant la peur.."".
- sensation de d�placement avant arri�re du PAN. Le t�moin ayant interpr�t� l'astre comme un objet proche et qui plus est mobile, toute variation d'intensit� lumineuse de l'astre est logiquement interpr�t� comme un d�placement vers l'avant ou l'arri�re de l'objet qui garderait son intensit� propre constante. ""On s'est encore arr�t� et c'est en voyant ce ph�nom�ne se diriger vers nous qu'on a fait une marche arri�re pour prendre la fuite"".
On v�rifie qu'il s'agit effectivement d'un astre � savoir la Lune. La direction de la Lune (� 0h20, azimut 128�, �l�vation 6�) se trouve effectivement au-dessus des b�timents CANCE, lesquels font face � la route quand le t�moin circule sur le chemin La Monjoie en quittant Nay : ""cette fois on a emprunt� le chemin Lamonjoie pour essayer de regagner le domicile des parents. L�, je l'ai aper�u au-dessus des �tablissements CANCE. Celui-ci stationnait en l'air et semblait nous attendre. Devant la peur.."".
Le point de d�part de la m�prise, qui entra�ne les autres (boule suiveuse, mouvement avant arri�re) r�side dans la non-reconnaissance de l'astre. La Lune est quasi-pleine (phase 0,92) au lever, elle est rousse de la couleur d�crite pour le PAN mais n'a pas la forme classique de la Lune, ni ronde ni croissant. C'est un fait usuel de la m�prise, la pr�sence de voiles nuageux devant la Lune ne laisse voir cette derni�re qu'au travers de trou�es de nuages dont la forme est quelconque et variable, ici carr�e au d�but (""valise"", ""fen�tre""), elle devient ronde par la suite mais la m�prise est d�j� enclench�e. La m�t�o enregistr�e � Lourdes-Ossun (30 km) cette nuit l� fait �tat de couverture de nuages (Infoclimat) et le PV de gendarmerie mentionne l'appel d'un habitant signalant avoir observ� une lueur derri�re un nuage dans la r�gion de Nay vers 23h cette nuit l�, ce qui au moins atteste que l'�cran nuageux n'�tait pas total et pouvait laisser passer des lueurs de Lune.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A: observations de Lune rousse.";"Observations d'un ph�nom�ne lumineux de forme changeante de couleur orange vif et semblant suivre les t�moins dans leur d�placement : observations de la Lune rousse.";O;3;;;;;;;;2017-11-28;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.60;;0.50;0.00;A;A;1983-04-00974
1156;"VESCOVATO (2B) 1983";Haute-Corse;2B;"(D) D�partement";1983;05;08;"Les 8 et 9 mai 1983, plusieurs t�moins ont aper�u dans le ciel une forme ronde �mettant une lumi�re blanche intense. Ces observations ont eu lieu entre 22h et 3h du matin. Lors d'une observation aux jumelles, un des t�moins dit avoir vu une masse ronde avec des hublots � l'int�rieur. Le brouillard a entre-coup� ces observations mais les t�moins ont cependant vu l'objet se d�placer horizontalement et verticalement. Aucun bruit n'a �t� entendu. La carte du ciel les 8 et 9 mai 1983 aux heures indiqu�es montre la pr�sence de V�nus dans le secteur observ�. Cependant, nous manquons d'�l�ments pour conforter l'hypoth�se d'une observation astronomique.";"Observation d'une forme ronde avec des hublots";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1983-05-00975
1157;"BARREME (04) 09.05.1983";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1983;05;09;"Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � C � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s �C � en 1983 par le GEPAN.
Dans la nuit du 9 mai 1983 entre 22h 30 et 23h 30 plusieurs t�moins observent � l'il nu et aux jumelles un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Cette luminosit� �mane d'une boule qui se d�place lentement et dispara�t plusieurs fois dans le paysage. Vue aux jumelles la forme devient triangulaire et des lumi�res diff�rentes apparaissent.
Sept t�moins seront interrog�s par la gendarmerie. Dans la l�gende de la carte fournie par la gendarmerie, les enqu�teurs ont indiqu� pour la fl�che rouge ""direction prise par le ph�nom�ne"" alors qu'il ne s'agit que de la direction d'observation. Les t�moins indiquent un d�placement soit vers le NO soit vers Saint-Jacques c'est-�-dire vers leur droite en regardant l'objet. Un contact avec l'observatoire Saint-Michel confirme cette nuit-l� le passage d'une com�te. Cependant d'apr�s les astronomes les descriptions des t�moins ne correspondent pas � la description de la com�te.
Ce cas est consistant (sept t�moins), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� du t�moin n'ont jamais �t� mises en doute. Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (longue dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : V�nus. De plus, V�nus �tait exactement � la hauteur angulaire (17,5�) et � l'azimut (290�) d�crit par les t�moins.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (fatigue, surprise, pr�sence d'un relief).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise avec V�nus.";"Longue observation par 7 t�moins d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : m�prise astronomique avec V�nus.";O;7;;;;;;;;2015-09-29;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1983-05-00976
1158;"LABATUT (40) 05.05.1983";Landes;40;"(D) D�partement";1983;05;05;"Dans la nuit du 5 mai 1983 entre 2h et 2h 15 un automobiliste aper�oit une lueur sur la vitre avant droite de son v�hicule : cette lueur bougeant de haut en bas et dans tous les sens intrigue le conducteur qui continue n�anmoins sa route. Tr�s rapidement le t�moin aper�oit de nouveau cette lueur qui fait un arc de cercle puis vient face � lui sur son v�hicule. Pris de peur et dans l'affolement, il cale et stationne sur le bas-c�t� droit de la chauss�e ; le t�moin constate alors que la radio de la voiture est brouill�e et entend un grand craquement. La lumi�re s'�l�ve alors sur la droite et disparait dans la direction de Pau. Le t�moin d�crit un ph�nom�ne lumineux bleut� ovoide de 4 � 5 m�tres de longueur, se d�pla�ant rapidement mais sans bruit et sans train�e.
Bien que lors de la premi�re observation l'automobiliste ait crois� un camionneur qui a probablement vu le ph�nom�ne, un seul t�moignage a �t� recueuilli.
Le t�moin d�crit une nuit claire avec un ciel bien d�gag� et normalement �toil� mais indique �galement qu'il faisait lourd avec un l�ger vent du sud.
Ce cas d'observation class� D dans un premier temps a fait l'objet d'une nouvelle �tude et le t�moignage a �t� envoy� au Laboratoire de recherche sur la foudre dans le Cantal. Les indications donn�es par le t�moin incitent aujourd'hui � formuler l'hypoth�se suivante : cet automobiliste a probablement crois� un ph�nom�ne de foudre globulaire. Le fort craquement entendu par le t�moin est l'une des caract�ristique de la foudre en boule ou d'un traceur d'amor�age. De plus m�me si les dimensions donn�es par le t�moin semblent � premi�re vue exag�r�es, des dimensions de 10 � 15 m�tres de diam�tre ont d�j� �t� observ�es pour ce type de ph�nom�ne.
Ce cas est class� B : probable observation d'un ph�nom�ne de foudre globulaire.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux ovoide se d�pla�ant rapidement et sans bruit : probable observation d'un ph�nom�ne de foudre globulaire.";O;1;;;;;;;;2016-09-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-05-00977
1159;"[B.METEOROIDE] (NAT) FRANCE (FR) 06.06.1983";France;FR;"(N) National";1983;06;06;"Le 6 juin 1983 vers 23h de nombreux t�moins r�partis dans le Sud de la France des Alpes aux Pyr�n�es Orientales ont observ� une lueur en mouvement rapide dans le ciel � la m�me heure (23H00) et sur une dur�e courte (le plus souvent moins de 20 secondes et au maximum de 1 ou 2 minutes). 29 t�moignages sont rapport�s. La forme est souvent d�crite comme allong�e.
Le tableau (joint dans les �l�ments d'enqu�te) r�capitulatif des lieux et heures d'observation frappe par l'�tendue g�ographique et la correspondance en heure. Ceci est en faveur d'un ph�nom�ne unique produit � haute altitude (> 50 km) et conf�rant une visibilit� sur une grande �tendue. C'est l� une caract�ristique clef du ph�nom�ne bien connu de rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oroide. Ceci est confort� par une autre caract�ristique clef qui est la lueur allong�e et la faible dur�e. Une dur�e plus longue aurait pu conduire � consid�rer aussi l'hypoth�se voisine portant sur la rentr�e atmosph�rique d'un engin spatial.
De nos jours de nombreux sites enregistrent les donn�es r�colt�es au sol (le plus souvent par des cam�ras automatiques) lors de ces rentr�es, de sorte que les t�moignages vers le GEIPAN sont solutionn�s sans enqu�te particuli�re. L'exemple de 2016 avec plus de 20 enregistrements (joint dans le compl�ment d'analyse IMO) illustre l'analogie avec cet ancien cas du 6 juin 1983 � 23H.
On trouve dans le compl�ment d'analyse un floril�ge de descriptions de t�moins qui d�gage bien l'impression de d�placement rapide avec forme allong�e.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observations probables de rentr�e de m�t�oro�de.";"Multiples observations sur tout le sud de la France du passage rapide d'un ph�nom�ne lumineux allong� : observations probables d'une rentr�e de m�t�oro�de.";O;29;;;;;;;;2017-11-30;0.25;;0.38;0.13;0.80;;;0.80;;0.60;0.65;0.35;B;B;1983-06-00978
1162;"AVON (77) 15.07.1983";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";1983;07;15;"Durant les nuits du 14 et 15 juillet 1983, plusieurs t�moins vont observer dans le ciel un objet d�gageant une forte luminosit� de couleur blanche et se d�pla�ant lentement d' Ouest en Est. Malgr� une longue observation, la forme et la taillle pr�cises de l'objet n'ont pu �tre d�crites. Les caract�ristiques des diff�rentes observations ainsi que l'analyse astronomique du ciel ces soirs l� confortent l'hypoth�se d'une observation astronomique : les t�moins ont probablement observ� V�nus, particuli�rement visible dans ce secteur � ces dates.";"Observation d'un point lumineux haut dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-07-00985
1163;"BOUSSAY (37) 15.07.1983";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";1983;07;15;"le 15 juillet 1983 vers 21h 30 un t�moin observe depuis sa terrasse un objet de forme arrondie qui se d�place � vive allure dans le ciel. Cette forme de couleur verte et bleue laisse derri�re elle une tr�s longue train�e blanche �tincelante. L'observation qui va durer 4 secondes environ permettra de remarquer une trajectoire r�guli�re et rectiligne. L'objet disparaitra � l'horizon. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne qui a les caract�ristiques d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'un objet se d�pla�ant � tr�s vive allure";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-07-00986
1166;"SOMMERECOURT (52) 17.07.1983";Haute-Marne;52;"(D) D�partement";1983;07;17;"Suite � plusieurs observations de ph�nom�nes lumineux faites de nuit les 15 et 16 juillet 1983, un t�moin d�cide d'aller le 17 juillet vers 21h 30 observer aux jumelles ce qui se passe sur une colline. Plusieurs heures plus tard ses proches le retrouveront chez lui h�b�t�, portant des blessures sur le corps et fortement traumatis�. Il affirme avoir �t� happ� par une boule de feu jaune-orang� puis �tre retomb� quelques kilom�tres plus loin. Son discours incoh�rent et ses blessures inciteront sa famille � l'hospitaliser.
L'enqu�te d�montrera que ces ph�nom�nes lumineux ont pu r�ellement avoir lieu : en effet sur cette colline passe une ligne � haute tension d'EDF o� ont pu se produire des arcs �lectriques. Le t�moin a effectivement pu �tre victime d'un choc �lectrique du fait de la pr�sence de la ligne HT (60 KV) et du temps tr�s orageux mais l'explication de ""l'enl�vement"" semble peu cr�dible.";"Observation d'une boule de lumi�re jaune orang� descendant sur un t�moin ; effets physiques sur t�moin tr�s choqu�.";O;3;;;;;;;;2017-02-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-08-00992
1167;"MILLY LA FORET (91)1983";Essonne;91;"(D) D�partement";1983;07;14;"le 14 juillet 1983 vers 23h 55 un groupe de personnes observent durant 45 secondes le d�placement particulier d'un point lumineux. Celui-ci se d�place sur une trajectoire Nord-Sud par �-coups avec une intensit� lumineuse comparable � celle d'un satellite. Apr�s s'�tre immobilis� plusieurs secondes durant lesquelles l'intensit� lumineuse s'est accrue, il serait reparti rapidement pour dispara�tre � l'horizon. Aucune autre information n'a pu �tre receuillie concernant ce ph�nom�ne.";"observation d'un point haut dans le ciel";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1983-07-01725
1168;"SAINT-PIERRE-DE-CHARTREUSE (38) --.07.1983";Is�re;38;"(D) D�partement";1983;07;--;"Entre le 05 et 25 juillet 1983 vers 06h du matin, deux personnes dans une chambre se r�veillent soudainement avec la sensation d'�tre observ�. Ils d�couvrent au plafond dans un coin de la chambre une boule sph�rique immobile et silencieuse de la taille d'un ballon de hand-ball. La boule �tait de couleur transparente, lumineuse sans �tre �blouissante. La boule traversa rapidement la pi�ce et passa par la fen�tre ouverte.
Ce rapport d'observation r�dig� en octobre 2013, bien que relatant un souvenir ancien (1983), est tr�s pr�cis ; l'analyse du discours ne r�v�le pas d'indice de faux souvenir ni d'affabulation.
D'apr�s l'avis de l'expert du Laboratoire de la foudre, les faits relat�s ressemblent beaucoup � un ph�nom�ne de foudre en boule. Le temps tr�s chaud et lourd indiqu� par le t�moin est coh�rent avec cette hypoth�se.
Toutefois, comme la date pr�cise du ph�nom�ne est inconnue, et qu'il n'y a qu'un t�moignage, le GEIPAN n'a pu trouver d'�l�ment permettant de confirmer cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information pr�cise sur la date. L'hypoth�se d'observation de foudre en boule reste coh�rente avec le r�cit du t�moin.";"Observation tr�s furtive d'une boule lumineuse au plafond d'une chambre avec un d�part brusque par la fen�tre ouverte ; temps orageux : manque de pr�cisions et de recoupements.";O;;;;;;;;;2018-06-13;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1983-07-08593
1173;"SAINT-GRATIEN (95) 11.09.1983";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";1983;09;11;"Entre 2h et 2h 30 le 11 septembre 1983, un t�moin observe au-dessus de son pavillon et des pavillons alentours un ph�nom�ne lumineux particulier. Des faisceaux cylindriques d'un m�tre de diam�tre �clairent fortement les pavillons. Ces 8 bandes fixes de couleur l�g�rement jaune sont espac�es de 3 � 4 m�tres et vont progressivement dispara�tre dans les nuages. Aucune autre information ne sera receuillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation de plusieurs faisceaux lumineux au dessus d'un pavillon.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1983-09-00993
1174;"POLYNESIE (987)1983";"Polyn�sie fran�aise";987;"(D) D�partement";1983;09;26;"Le 26 septembre 1983 entre 18h 48 et 19h, plusieurs t�moins ont pu apercevoir le d�placement de points lumineux de tailles et de couleurs diff�rentes. Ce d�placement en haute altitude et � vitesse rapide s'est fait sans aucun bruit. Durant les observations qui ont dur� de une � plusieurs minutes, ces points lumineux laissaient derri�re eux des train�es de couleurs. Ces descriptions faites par les t�moins permettent de privil�gier l'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique relativement importante.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;9;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-09-00994
1175;"VITRY LE FRANCOIS (51) 1983";"Grand Est";GES;"(R) R�gion";1983;09;24;"Entre le 24 et 29 septembre 1983, plusieurs t�moins ont aper�u dans le ciel un objet de forme circulaire de 50 cm de diam�tre environ �mettant une lumi�re jaun�tre et des rayons de diff�rentes longueurs. Un t�moin, qui a pu faire une observation au t�l�objectif, indique qu'il a remarqu� un noyau sombre entour� d'un cercle lumineux. Il s'agit probablement d'une observation astronomique. Cependant nous manquons d'�l�ments pour conforter cette hypoth�se.";"Observation p�riodique d'un objet lumineux.";O;6;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1983-09-00995
1176;"HAY-LES-ROSES (L') (94) 28.09.1983";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";1983;09;28;"Dans la nuit du 28 septembre 1983 plusieurs t�moins, dont des fonctionnaires de police, vont voir dans le ciel un objet lumineux. Situ� entre 2000 et 2500 m�tres d'altitude et d�rivant vers le sud, l'objet prend une forme ronde ou triangulaire par moment. Aucun pilote et aucune trace radar ne fera mention de cet objet qui n�anmoins sera pris en photos par les t�moins. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur cette observation.";"Pr�sence d'un ph�nom�ne lumineux non identifi� par les radars des a�roports de PARIS.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1983-09-00996
1178;"PAPEETE (987) 1983";"Polyn�sie fran�aise";987;"(D) D�partement";1983;09;26;"Le 26 septembre 1983 vers 18h 50 un grand nombre de t�moins disperc�s sur l'ensemble du territoire de la Polyn�sie Fran�aise ont pu apercevoir un ph�nom�ne lumineux particulier. Un ensemble de 6 � 8 points de tailles diff�rentes et tr�s brillants se sont d�pla��s � tr�s grande vitesse d'Ouest en Est en laissant appara�tre derri�re eux des train�es lumineuses. L'altitude de cet ensemble �tait �valu� � 10 000 m�tres. Aucun bruit li� au d�placement de cet ensemble n'a �t� per�u durant les observations. Ces t�moins ont probablement assist� � une rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'OVNI dans le ciel polyn�sien";O;6;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-10-01000
1179;"BEAUVEZER (04) 25.09.1983";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1983;09;25;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� COLMARS (04) 1983 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 28 septembre 1983 vers 21h30 quatre t�moins sur un balcon aper�oivent au-dessus de la montagne de ""la Femme Couch�e"" des lumi�res de couleur blanche et rouge intenses ""comme des flashs"". Les t�moins remarquent que le PAN semble d'abord immobile puis en d�placement avec des ""zigzags"". Le PAN traverse rapidement une vall�e encaiss�e pour dispara�tre en direction du sommet du ""Chalufy"". La bri�vet� de l'observation ne permet pas aux t�moins de pouvoir d�crire pr�cis�ment la forme de l'objet.
Deux hypoth�ses sont explor�es pour expliquer l'observation des t�moins (voir le compte rendu d'enqu�te).
La premi�re concerne une confusion avec une rentr�e atmosph�rique d'un objet artificiel (satellite, d�bris).
Bien que certains param�tres des t�moignages (bri�vet� de l'observation, lumi�res blanches et rouges clignotantes) puissent faire penser � un tel ph�nom�ne, le fait qu'aucun autre t�moignage n'existe dans une zone urbanis�e susceptible d'avoir �t� travers�e par ce ph�nom�ne rend cette hypoth�se peu cr�dible. Par ailleurs, dans les catalogues qui recensent toutes ces rentr�es atmosph�riques depuis 1958, aucune n'est identifi�e pour le mois de septembre 1983. L'absence de tra�n�e lumineuse est �galement un param�tre allant � l'encontre de l'hypoth�se.
La seconde hypoth�se est relative � une simple confusion avec un avion civil ou militaire, observ� � relativement basse altitude.
Cette hypoth�se r�pond mieux aux donn�es testimoniales (lumi�res blanches et rouges clignotantes en particulier, perception d'un bruit), mais �galement aux donn�es calcul�es mettant en jeu des estimations de hauteurs, de vitesses et de dur�e d'observation.
Il n'est pas forc�ment n�cessaire de consid�rer que les t�moins auraient un peu sous-estim� la dur�e de l'observation. En effet, une combinaison ad�quate des deux facteurs hauteur/vitesse permet de rendre compte correctement de l'observation, qui reste � la fois coh�rente avec la dur�e de l'observation telle que donn�e par les t�moins, et la distance angulaire parcourue par cet avion, dans le cadre g�ographique au champ visuel limit� d'une vall�e encaiss�e. Il convient ainsi de faire le constat que cet avion aurait � la fois probablement vol� plus rapidement et plus bas qu'habituellement dans la zone. Constat d'autant plus valable que c'est probablement cela qui a constitu� l'�tranget� pour les t�moins ne reconnaissant pas un avion.
Bien que nous ayons pu d�montrer que des avions civils, de nos jours, effectuent des vols r�guliers, empruntent des couloirs a�riens et passent par un point SID particulier, tous situ�s � proximit� imm�diate des t�moins et dans la direction observ�e, nous n'avons pas pu d�terminer si ces donn�es �taient d�j� valides en 1983, mais n�anmoins le plus probable est que cela �tait d�j� le cas.
Il en est de m�me pour les cartes de restrictions de vol, en particulier d'altitudes et de hauteurs (zones r�glement�es), qui aujourd'hui indiquent que la zone est utilis�e par des avions militaires, le plus probable est que c'�tait d�j� le cas � l'�poque.
Il n'est pas possible de privil�gier une option entre avion militaire ou civil. Dans les deux cas, il est n�cessaire d'introduire une particularit� tout autant plausible : pour l'avion militaire qui vole en g�n�ral bas, c'est le fait qu'il y ait eu exercice ce jour- l� avec cette direction de vol particuli�re, pour l'avion civil qui passe usuellement par-l�, c'est le fait que l'altitude ait �t� plus basse.
La consistance est correcte, avec une enqu�te des gendarmes assez fouill�e. � noter n�anmoins que des mesures angulaires faites sur place auraient permis de mieux �valuer les hypoth�ses.
Le GEIPAN classe le cas en �B� : observation probable d'un avion civil ou militaire. ";"Observations par 4 t�moins du d�placement d'un objet avec des lumi�res de couleurs clignotantes : observation probable d'un avion civil ou militaire.";O;4;4;;1;;;;;2018-07-26;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.70;;0.55;0.00;B;B;1983-09-01674
1180;"CANET-EN-ROUSSILLON (66) 26.09.1983";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";1983;09;26;"Le 26 septembre 1983 plusieurs personnes observent entre 5h 30 et 6h 30 un objet tr�s lumineux dans le ciel ressemblant � l'il nu � une �toile. Cet objet se d�place lentement et l'observation aux jumelles permet de voir, d'apr�s les t�moins, une couronne jaune entourant un crat�re de couleur gris clair.
Un examen de la carte du ciel au moment de l'observation montre la pr�sence de V�nus � l'endroit indiqu� par le t�moin avec un d�placement strictement conforme � son estimation entre 5h30 et 6h30.";"Observations du lent d�placement d'un point lumineux dans le ciel : observations astronomiques de la plan�te V�nus.";O;2;;;;;;;;2013-06-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1983-09-01726
1182;"SAINT-CHAMOND (42) 1983";Loire;42;"(D) D�partement";1983;10;03;"Le 03 octobre 1983 dans la soir�e, deux t�moins vont apercevoir durant quelques secondes un objet lumineux en forme de cercle. Cet objet se d�pla�ait rapidement en ligne droite dans un axe nord-sud en d�crivant des spirales. Il a disparu brusquement sans laisser de trace. Aucune autre information n'a pu �tre recueuillie sur ce ph�nom�ne.";"Objet se d�pla�ant � grande vitesse en d�crivant des spirales.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1983-10-00999
1184;"AMBERNAC (16) 31.10.1983 � PEUPLIER�";Charente;16;"(D) D�partement";1983;10;31;"Le 31 octobre 1983 vers 18h 45 un t�moin alert� par les aboiements inhabituels de son chien, aper�oit par la f�n�tre dans un brouillard �pais et malgr� la nuit une lumi�re intense ""grande comme une roue de tracteur"" qui �volue lentement et dispara�t tr�s rapidement derri�re un rideau de peupliers situ�s au bord de la riv�re.
Le lendemain matin sur les indications de direction du t�moin, un peuplier de 25 m�tres de haut est retrouv� cass� � une hauteur de 8 m�tres : la partie sup�rieure est retrouv�e au sol parmi la v�g�tation sauvage et la cassure se pr�sente de deux fa�ons distinctes. L'arbre pr�sente une premi�re cassure franche jusqu'au centre du tronc suivie d'une d�chirure du bois sur deux m�tres environ.
Le r�sultat des analyses montre que l'arbre �tait probablement attaqu� de longue date par des champignons qui l'ont progressivement d�grad� sans que l'aspect ext�rieur de l'arbre soit modifi�. Lorsque la d�gradation a atteint le milieu de l'arbre, l'�quilibre de celui-ci a �t� compromis et l'arbre a pu tomber sous l'effet d'une pression minime. Ce ph�nom�ne a �t� renforc� par l'effet des vents dominants qui ont provoqu� un effet de fatigue en g�n�ral du v�g�tal situ� etre 4 et 5 m�tres de hauteur, facilitant ainsi l'apparition de champignons destructeurs. La zone brun�tre et la couche d'�corce cicatricielle trouv�e au niveau de la rupture sont coh�rentes avec cette hypoth�se.
Concernant la lumi�re vive, un des laboratoire consult� propose une explication. Il existe en effet dans la nature de nombreuses esp�ces d'organismes luminescents et parmi eux de nombreux champignons. Ces organismes peuvent �mettre des lumi�res intenses permettant d'�clairer une pi�ces ou de se diriger dans le noir. L'hypoth�se avanc�e est que le tronc de l'arbre, colonis� par ce type d'organismes ait pu au moment de sa rupture mettre au jour ces organismes qui ont provoqu� une lueur importante pendant un certain temps, lueur qu'� pu apercevoir le t�moin sans pouvoir l'interpr�ter.";"Observation d'une sph�re lumineuse et trace d'un peuplier cass� sur le sol : probable ph�nom�ne naturel d� � des parasites et chute d'un arbre.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-11-01002
1186;"NATIONAL (975) 15.11.1983";France;FR;"(N) National";1983;11;15;"Le 15 novembre 1983 entre 5h et 6h du matin, des t�moins situ�s dans plusieurs d�partements (Yonne, Seine et Marne, Paris, Essonne, Seine-Saint-Denis et Pas-de-Calais ) vont observer un ph�nom�ne particulier. Tous verront une masse lumineuse intense et color�e passer � grande vitesse. Aucun bruit n'est remarqu� par les t�moins lors des observations qui durent environ une dizaines de secondes.
Ces personnes ont probablement �t� t�moins d'une rentr�e atmosph�rique.";"Probables observations d'une rentr�e atmosph�rique.";O;13;;;;;;;;2012-01-17;;;0.33;0.13;;;;;;;0.63;0.37;B;B;1983-11-01004
1187;"NATIONAL (975) 17.11.1983";France;FR;"(N) National";1983;11;17;"Le 17 novembre 1983 entre 18h 30 et 19h, des t�moins situ�s dans trois d�partements (Haute-Sa�ne, Moselle et Meurthe et Moselle ) ont vu un ph�nom�ne lumineux traverser le ciel. Une masse de forme ronde et tr�s color�e s'est d�pla��e horizontalement � tr�s grande vitesse et sans aucun bruit.La hauteur estim�e de l'objet �tait de 1000 � 2000 pieds. Si durant les quelques secondes d'observation les t�moins n'ont pas remarqu� de changement de direction, certains ont pu voir une explosion de la masse principale en plusieurs morceaux d'in�gales grosseurs et rouge�tres. Une train�e jaune orang�e �tait �galement visible � l'arri�re de l'objet.
Ces personnes ont �t� probablement t�moins de la rentr�e d'une m�t�orite dans l'atmosph�re.";"Probables observations d'une rentr�e atmosph�rique d'une m�t�orite.";O;32;;;;;;;;2012-01-17;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-11-01006
1188;"MOSELLE (57) 1983";Moselle;57;"(D) D�partement";1983;11;18;"Le 18 novembre 1983 entre 18h et 19 h plusieurs t�moins en Moselle ont aper�u durant quelques secondes un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Une boule, de la grosseur d'un ballon de football et de couleur orang�, a travers� le ciel sans bruit mais en laissant derri�re elle une longue train�e color�e. Il s'agit probablement d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation propable d'une rentr�e atmosph�rique";O;5;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-11-01007
1190;"BRIVE-LA-GAILLARDE (19) 26.11.1983";Corr�ze;19;"(D) D�partement";1983;11;26;"le 26 novembre 1983 vers 9h 10, un automobiliste a aper�u pendant une seconde, un objet de forme ronde d'un diam�tre de 20 � 40 centim�tres. D'une couleur rouge vif et suivi d'une train�e blanche, l'objet tombait verticalement � une vitesse �lev�e. Aucune autre information ou trace n'a pu �tre recueillie sur ce qui est probablement une rentr�e atmosph�rique.";"Observation de la chute d'un objet.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1983-11-01011
1191;"HOMBOURG HAUT (57) 17.11.1983";Moselle;57;"(D) D�partement";1983;11;17;"Le 17 novembre 1998, trois t�moins observent vers 18 heures 30 et durant quelques secondes une boule lumineuse avec une train�e se d�pla�ant tr�s vite selon une trajectoire NO-SE.
Ces personnes ont probablement observ� une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";O;3;;;;;;;;2010-11-25;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1998-11-01520
1194;"SARREGUEMINES (57) 1983";Moselle;57;"(D) D�partement";1983;12;01;"Le 1er d�cembre 1983 vers 22h deux t�moins ont pu observer durant quelques secondes un ph�nom�ne tr�s lumineux. De forme circulaire et de couleur fluorescente, l'objet laissait derri�re lui des train�es de couleur rouge et jaune. Il se d�pla�ait rapidement sans changer de forme et de direction mais semblait perdre de l'altitude. Il a disparu dans le paysage. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'un objet circulaire";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1983-12-01013
1195;"YERRES (91) 08.12.1983";Essonne;91;"(D) D�partement";1983;12;08;"Le 08 d�cembre 1983 � 23h 27, un t�moin entend un sifflement de m�me type que celui �mit par un planeur en vol. Il voit alors durant 5 � 6 secondes un objet de forme sph�rique, de couleur blanc bleu et tr�s lumineux qui se d�place horizontalement. Cet objet est suivi d'une train�e de flammes longues de couleur orange. Il disparaitra dans le paysage. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'un objet sph�rique avec un sifflement.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1983-12-01014
1196;"[A9] DE NIMES (30) VERS MONTPELLIER (34) 05.01.1984 T1";Gard;30;"(D) D�partement";1984;01;05;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� GRAND GALLARGUES (30) 1984 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 05 janvier 1984 vers 02h30, deux t�moins sont en d�placement � bord d'un v�hicule VSL sur l'autoroute A9 en direction de Montpellier (34). Les t�moins remarquent un PAN qui les suit le long de l'autoroute sur une distance d'une vingtaine de kilom�tres. Un second PAN est observ� uniquement par le second t�moin tr�s apeur�. Aucun bruit particulier n'est entendu durant les observations.
Il y a lieu de distinguer deux ph�nom�nes PAN 1 et PAN 2 (voir le compte rendu d'enqu�te).
Les caract�ristiques physiques et le comportement du PAN 1 observ� par les deux t�moins ne correspond � aucun ph�nom�ne connu.
Cependant, en �tudiant un peu plus les t�moignages, on se rend compte que pratiquement l'ensemble des �l�ments des t�moignages, en plus des dessins, divergent sur l'aspect et le comportement du PAN 1 et que leur faiblesse quantitative et qualitative ne permet pas d'effectuer davantage de v�rifications et de recoupements qui pourraient soit expliquer, soit confirmer ou infirmer le caract�re �trange et inexplicable du ph�nom�ne. Cette faiblesse de consistance emp�che de maintenir le cas dans sa classification initiale D.
En cons�quence le GEIPAN classe le PAN 1 en C : manque d'informations fiables.
Concernant le PAN 2 uniquement observ� par T2 (voir le cas [A9] de NIMES (30) vers MONTPELLIER (34) 05.01.1984 T2), il s'agit d'une confusion astronomique, avec l'�toile Ald�baran, observ�e dans une configuration g�ographique temporairement propice. Une partie de l'�tranget� caus�e � T2 r�sulte de l'illusion de la boule suiveuse, cr�e par le propre d�placement du t�moin : le PAN �loign� (ici l'astre) donne l'impression de suivre le d�placement du t�moin en se d�pla�ant par rapport � la route, alors que c'est la route qui �volue relativement � la direction fixe de l'astre.
En cons�quence le GEIPAN classe le PAN 2 en A : observation d'Ald�baran.";"Observations nocturnes depuis un v�hicule d'un premier ph�nom�ne (PAN 1) semblant suivre les t�moins sur une longue distance : manque d'information.";O;2;;;;;;;;2018-10-11;;;0.75;0.00;;;0.60;;0.50;;0.30;0.00;C;C;1984-01-01016
1198;"SAINT-LOUP LAMAIRE (79) 1984";Deux-S�vres;79;"(D) D�partement";1984;02;12;"Le 12 f�vrier 1984, un automobiliste et sa passag�re vont apercevoir durant 3 secondes une forme cylindrique �mettant une lumi�re scintillante. Cet objet, qui d'apr�s les t�moins ressemble � un javelot, traverse le ciel � tr�s grande vitesse et sera perdu de vue avant de toucher la ligne d'horizon. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne, qui par la description des t�moins s'apparente � une rentr�e atmosph�rique.";"Engin en forme de cigare tombant du ciel.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1984-02-01018
1199;"[D211] vers SAINT-MEDARD-EN-JALLES (33) 21.02.1984";Gironde;33;"(D) D�partement";1984;02;21;"Le 21 f�vrier 1984 vers 7 h15 un t�moin en voiture aper�oit trois points lumineux rouges dans le ciel. Sorti de sa voiture et durant une minute, il va observer un triangle form� de trois lumi�res rouges : une lumi�re verte brille au centre de ce triangle. Le ph�nom�ne stationnaire se trouve � environ 200 m�tres d'altitude. Il dispara�tra en s'�loignant lentement. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Ph�nom�ne lumineux dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1984-02-01019
1200;"PLOUGUENAST (29) 1984";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1984;02;05;"Vers 5 heures du matin ce 05 f�vrier 1984, plusieurs personnes ont aper�u dans la nuit noire, un objet rectangulaire �m�ttant une lueur intense bleu clair leur permettant de voir comme en plein jour. Cet objet se d�pla�ait sans bruit du Nord au sud et � tr�s grande vitesse. L'observation a dur� entre 5 et 8 secondes : le ph�nom�ne a disparu � l'horizon. Les descriptions des t�moins permettent d'avancer l'observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;B;C;1984-02-01020
1201;"MOREUIL (80) 1984";Somme;80;"(D) D�partement";1984;02;01;"Apr�s une nuit de travail, un automobiliste voit surgir une boule rouge au-dessus de sa voiture. Un rayon lumineux l'oblige � quitter la route principale. Le t�moin sort de son v�hicule et marche en direction de la boule rouge jusqu'� ce que celle-ci disparaisse. Terrifi�, il rejoint un agriculteur dans le champ qui borde la route. Celui-ci n'a pas vu le ph�nom�ne mais d�clarera, lors de l'enqu�te, qu'� l'endroit de l'observation on peut voir le soleil levant sous forme de boule rouge . L'enqu�te conclue que plusieurs facteurs tels que la fatigue et l'�blouissement par le soleil levant sont � l'origine de l'illusion d'optique, de la peur et du changement de direction du conducteur.";"Boule rouge surgissant devant un automobiliste";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1984-03-01021
4841;"FOA (LA) (988) 02.03.1984";Nouvelle-Cal�donie;988;"(D) D�partement";1984;03;02;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� LA FOA (988) 05.03.1984 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Ce cas concerne l'observation d'un PAN par plusieurs habitants de la commune de LA FOA (988) � des dates diff�rentes (les 2 et 5 et une date de jour inconnue) au mois de mars 1984 (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le 7 mars 1984 la gendarmerie est avis�e que plusieurs personnes d'un quartier de LA FOA en Nouvelle-Cal�donie ont fait des observations � plusieurs reprises de ph�nom�nes lumineux dans le ciel. L'enqu�te de gendarmerie rapporte sur un m�me proc�s-verbal que :
- le 5 mars 1984 entre 04h30 et 6h30 deux t�moins en voiture (T1 et T2) font une tr�s longue observation d'un ph�nom�ne particuli�rement lumineux dans le ciel.
- le 2 mars 1984 vers 20h deux t�moins chez eux (T3 et T4) ont observ� une boule de feu �mettant une lumi�re blanche.
- et � une date dont il ne se souvient pas du jour mais toujours au mois de mars 1984, un autre t�moin (T5) a fait une observation � trois reprises depuis son domicile d'une ""large bande de lumi�re"".
Un tout dernier t�moin (T6) est entendu par la gendarmerie car il est indiqu� dans la d�position de T5. Cependant ce dernier t�moin n'a fait aucune observation.
Les t�moins ou paires de t�moins observent un PAN � des dates et heures diff�rentes, les positions et mouvements des PANs �tant eux m�me diff�rents. Il convient de rechercher une explication propre � chacune des trois observations (T1-T2, T3-T4 et T5) sans induire au d�part qu'il puisse s'agir d'un m�me ph�nom�ne.
Par ailleurs, la gendarmerie est intervenue suite � la rumeur � propos d'habitants ayant vu � plusieurs reprises des formes lumineuses dans le ciel. Aucun t�moin n'a d�clar� spontan�ment son observation. Du fait de cette rumeur et de recoupements approximatifs op�r�s entre t�moins, il est possible que l'�tranget� rapport�e par des t�moins lors des d�positions soit plus forte que celle ressentie au moment de l'observation et que, prises isol�ment, certaines observations auraient pu passer inaper�ues.
Ce qui pr�c�de peut expliquer le caract�re anecdotique ou pour le moins non consistant de la d�position de T5 :
- Le t�moin ne sait plus si c'est la veille ou l'avant-veille (� Il y a un ou deux jours �) ce qui n'est jamais le cas quand l'observation est vraiment �trange.
- L'information disponible est impr�cise (non seulement au niveau de la date) et ne permet aucune analyse pr�cise (� comme une large bande de lumi�re, �clairant le ciel d'une fa�on intense, s'est produite, ce � trois reprises diff�rentes. On aurait dit comme le passage d'un objet tr�s lumineux qui se d�pla�ait de la droite vers la gauche au-dessus des arbres faisant face � mon habitation �).
- Le t�moin poss�de une premi�re explication d'ordre m�t�orologique, ce qui ne supprime pas l'�tranget� per�ue mais en r�duit l'ampleur (� Un temps j'ai pens� que cela annonc� l'arriv�e de mauvais temps, tout en restant choqu� par ce ph�nom�ne. �).
- Dans le contexte ambiant, on ne peut exclure, compte tenu du peu d'informations disponibles, qu'une configuration particuli�re de faisceaux de phares de v�hicules projet�e dans le ciel ait pu produire une premi�re �tranget� limit�e au d�part et accrue r�trospectivement.
L'observation de T5 est d'une consistance (information comme fiabilit�) tr�s faible au vu des �l�ments disponible 35 ans apr�s. Cette observation d'une �tranget� a priori plut�t faible est inexploitable (classement C) par manque d'informations fiables.
A l'oppos�, les t�moignages de T1 et T2 font �tat d'un niveau r�el d'�tranget� per�ue (m�me si celle-ci a pu croitre apr�s l'observation) et poss�dent un bon niveau d'information. Ces deux t�moins ont sans aucun doute fait une m�prise avec V�nus.
- L'aspect d�crit du PAN est conforme : boule lumineuse, couleur blanche et luminosit� forte, traits d�crits sous le PAN assez r�currents des m�prises avec V�nus.
- La longue dur�e de l'observation (2 heures d'apr�s T1) est caract�ristique d'une m�prise astronomique, et la disparition du PAN pendant une demi-heure apr�s le lever du Soleil est caract�ristique de V�nus.
- V�nus �tait dans la direction indiqu�e par les t�moins et aurait d� �tre au voisinage du PAN si ce dernier n'�tait pas V�nus, alors que les t�moins font �tat d'un ciel �toil� et d�gag� et ne mentionnent pas � la proximit� du PAN la plus brillante des �toiles.
Les t�moins notent un d�placement du PAN, ce qui parait incoh�rent avec V�nus.
- Il est � noter que les t�moins �taient en voiture au d�but de l'observation, ce qui a pu provoquer une illusion de mouvement du PAN dans l'environnement et horizon proche alors que c'est cet environnement qui �voluait devant V�nus du fait du profil vallonn� et tournant de la piste emprunt�e par les t�moins.
- La description de T2 pourrait laisser penser � un d�placement du PAN se produisant apr�s un arr�t du v�hicule (� il a arr�t� le v�hicule. C'est alors que le faisceau lumineux a disparu, la boule s'est stabilis�e puis est partie en direction de la montagne de Ouipoin Koind� �). Cette description conforte l'explication pr�c�dente car l'arr�t du v�hicule est suivi par une stabilisation de la boule. La description de d�placement final vers la montagne est �galement compatible de l'hypoth�se. En effet, une diminution d'intensit� de V�nus (variation du voile atmosph�rique) est logiquement interpr�t�e par le t�moin comme une augmentation en distance du PAN dans l'axe de vis�e qui correspond � la direction de la montagne en question.
T2 signale que � le faisceau lumineux a disparu � apr�s que T1 ait fait un code phare avec son v�hicule. Cette conjonction n'est pas signal�e par T1 qui signale seulement � � un certain moment la forme trap�zo�dale s'est �teinte et je ne percevais que la lueur du ballon � alors que c'est lui qui est � priori � la recherche d'une r�action du PAN en actionnant un code-phare. L'arr�t du faisceau r�sulte d'une �volution du voile atmosph�rique tandis que la m�morisation et/ou l'interpr�tation par T2 d'une conjonction ou causalit� avec le phare-code sont � mettre sur le compte de l'�tranget� v�cue, voire accrue � post�riori.
Pour l'observation de T3 et T4 : la description d'une boule lumineuse en d�placement lent peut �voquer l'observation d'un a�ronef ou d'un satellite. Mais rien ne figure dans le relev� d'op�rations a�riennes fait juste apr�s l'observation, ni dans le relev� de passages de satellites que l'on peut faire 35 ans apr�s. L'observation a donc un caract�re �trange. Par contre la consistance est faible.
- En terme d''information, nous ne disposons d'aucune indication de dur�e ou de taille angulaire du PAN.
- On peut douter de la fiabilit� : les deux t�moins T3 et T4 font tous les deux un r�cit minimal sans aucune traduction d'�tranget� v�cue, comme s'il suffisait juste de r�pondre aux questions des gendarmes qui viennent � leur rencontre suite aux d�clarations d'observation qu'ils auraient pu faire dans le voisinage. T2 a en effet rapport� aux gendarmes une observation relat�e par T3. Le court r�cit de T3 et T4 est quasiment identique avec les m�mes expressions et les m�mes mots, comme s'il y avait eu une concertation avant l'audition aupr�s des gendarmes. T3 aurait fait part � T2 de deux observations ant�rieures et similaires � celle de T2, mais ne mentionne pas aux gendarmes la seconde (3 mars � 4H00) et fait une description de la premi�re (2 mars � 19H00) qui a peu d'analogie avec celle de T2 (direction et mouvements tr�s distincts).
La consistance de l'observation de T3 et T4 'apparait pas suffisante pour soutenir l'�tranget� qui s'en d�gage et lui donner un caract�re inexpliqu�.
En cons�quence :
Cas FOA (LA) (988) 05.03.1984 : l'observation de T1 et T2 est class�e A, observation de la plan�te V�nus.
Cas FOA (LA) (988) 02.03.1984 : l'observation de T3 et T4 est class�e C, potentiellement �trange mais non exploitable par manque d'informations fiables.
Cas FOA (LA) (988) --.03.1984 : l'observation de T5 est class�e C, potentiellement peu �trange mais non exploitable par manque d'informations fiables.
";"Observations du d�placement d'une boule de lumi�re blanche � basse altitude et disparition derri�re des arbres : manque d'information.";O;;2;;1;;;;;2018-12-10;;;0.70;0.00;;;0.50;;0.50;;0.25;0.00;C;C;1984-03-50656
1203;"BOULAUR (32) 24.03.1984";Gers;32;"(D) D�partement";1984;03;24;"Le samedi 24 mars 1984 � partir de 5h50 cinq religieuses d'un couvent vont suivre durant 10 minutes les �volutions d'un PAN dans le ciel matinal. Cet objet, de forme ovale, brille dans la nuit en faisant des d�placements tr�s rapides de gauche � droite et de bas en haut. Les t�moins cesseront l'observation pour reprendre leurs activit�s laissant le PAN toujours visible en direction de l'Est.
Ce cas (anciennement nomm� SARAMON (32) fait partie d'un ensemble de cas d'observations qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen (voir le document Notes d'enqu�te).
Ce cas est consistant (cinq t�moins), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec une animation lumineuse de type skytracer. De plus, la date de l'observation (samedi matin) correspond � un jour typique d'utilisation de ce dispositif, et il y avait des nuages pouvant refl�ter un skytracer. Cependant du fait de l'unicit� de l'observation par les m�mes t�moins ou par les voisins et du fait de l'impossibilit� de la v�rification aupr�s des discoth�ques de l'�poque, cette hypoth�se n'a pu �tre v�rifi�e.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que ces derniers font de leur observation � travers leur ressenti (�tonnement, observation de nuit d'un dispositif artificiel nouveau � l'�poque des faits).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� � C �, par manque de recoupements bien que ressemblant � une m�prise avec un skytracer.";"Observations des �volutions d'un objet allong�, tr�s brillant et se d�pla�ant rapidement et silencieusement de droite � gauche et de haut en bas dans le ciel nuageux : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1984-03-01023
1204;"ISERE (38) 27.04.1984";Is�re;38;"(D) D�partement";1984;04;27;"Le 27 avril 1984 des observations faites par plusieurs t�moins ont lieu au-dessus de deux communes de l'Is�re : un objet triangulaire tr�s brillant reste stationnaire et peut �tre observ� entre un quart d'heure et une heure trente cinq. Deux t�moins verront l'�l�vation et la disparition progressive de l'objet apr�s l'apparition d'une fum�e �paisse. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"objet lumineux dans le ciel";O;3;;;;;;;;2010-03-15;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1984-04-01024
1207;"TOURNUS (71) 1984";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";1984;07;29;"Entre le 29 juillet et le 02 ao�t 1984 plusieurs t�moins vont apercevoir dans le ciel des objets brillants comme des �toiles. Ces objets �mettent des clignotements de lumi�res rouges et vertes . Les observations se font la nuit apr�s une journ�e de forte chaleur et par ciel d�gag�. Au fur et � mesure de toutes ces nuits d'observation, les objets ont une position qui varie sensiblement. La carte du ciel montre que la r�gion du ciel observ�e est la constellation de Pers�e qui � cette �poque de l'ann�e est le si�ge de nombreux ph�nom�nes lumineux connus sous le nom de Perseides. Les t�moins ont probablement observ� ce type de ph�nom�ne.";"Observations probables d'�toiles";O;7;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1984-07-01027
1208;"SOLLIERES-SARDIERES (73) 02.08.1984";Savoie;73;"(D) D�partement";1984;08;02;"Le 02 ao�t 1984 � 2h 04 du matin, un t�moin va apercevoir durant 3 secondes un objet de forme cylindrique. L'objet est fixe puis se met en mouvement. L'observation aux jumelles lui permet de voir une rampe de couleur jaune sur l'axe du cylindre et parall�le au sens du d�placement. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne.";"objet observ� aux jumelles.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1984-08-01028
1210;"COULAINES (72) 1984";Sarthe;72;"(D) D�partement";1984;08;31;"Le 31 ao�t 1984 entre 21h et 21h15 deux t�moins aper�oivent une grosse lumi�re blanche immobile en-dessous de la lune. Durant les 10 minutes d'observations qui vont suivre, cette lumi�re s'allonge pour prendre la forme d'un ballon de rugby, vient se placer au-dessus de la lune et prend la forme de deux lumi�res blanches distinctes. Ces lumi�res semblent d'apr�s les t�moins �tre raccord�es entre elles par une masse compacte. Aucun bruit, aucune trace de fum�e n'ont �t� constat�. Le ph�nom�ne va dispara�tre brusquement. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Lumi�re blanche tr�s vive se d�pla�ant dans le ciel";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1984-08-01030
1212;"COUDRAY-SAINT-GERMER (LE) (60) 03.09.1984";Oise;60;"(D) D�partement";1984;09;03;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A,B,C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 3 septembre 1984 vers minuit deux puis trois t�moins dans une voiture sont intrigu�s par la pr�sence d'un ph�nom�ne tr�s lumineux rouge-orang� � basse altitude. Les t�moins rep�rent le PAN � plusieurs endroits sur leur parcours entre les Fontanettes (commune de Saint-Aubin-en-Bay), le Coudray-Saint-Germer et le carrefour de Champignolle (commune de S�rifontaine). Aucun bruit �manant de cet objet n'est entendu durant les observations discontinues. Pris de peur les t�moins rebrousseront chemin. Un des t�moins (T1) avait d�j� fait une observation similaire en voiture avec sa maman (T4) en juillet 1984.
Ce cas est consistant (3 t�moins), la description du lieu d'observation et du PAN observ� est pr�cise (voir les notes d'enqu�te).
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur...) avec un ph�nom�ne connu astronomique : la Lune au coucher.
La longueur de la plage d'observation (une demi-heure ou trois-quart d'heure), ainsi que le fait que le PAN semble suivre les automobilistes (boule suiveuse) �voquent l'observation d'un ph�nom�ne astronomique.
L'aspect d�crit par les t�moins ne laisse aucun doute : objet volumineux et lumineux, bas sur l'horizon au Sud-Ouest, de couleur orange ou rouge. Une pr�cision de t�moin (� Elle �tait toujours ronde mais toutefois, il manquait un morceau � gauche, comme s'il manquait un croissant �) permet m�me de supposer que la Lune �tait alors en phase gibbeuse, entre le Premier Quartier et la Pleine Lune.
On v�rifie la pr�sence de la Lune dans la direction observ�e. Les indications des t�moins sont tr�s pr�cises gr�ce au rep�rage avec l'axe de la route, et cela correspond parfaitement. De m�me, la Lune est bien selon la phase gibbeuse attendue. Enfin les t�moins ne font pas mention de la Lune alors qu'elle �tait bien pr�sente dans les diff�rentes directions observ�es.
La m�prise avec la Lune est fr�quente dans les annales du GEIPAN (voir recherche de cas sur le site www.geipan.fr avec mot clef Lune). Ce qui peut �tre surprenant ici est l'absence � priori de voile nuageux ou de nuages pouvant accentuer la m�prise. La Lune est bien d�crite comme ronde ou presque, il ne s'agit pas ici de ces formes rouges curieuses engendr�es par des trou�es de nuages devant la Lune. On note que les t�moins sont jeunes et c'est peut �tre leur premi�re exp�rience.
Pour autant, cette observation a cr�� une forte �tranget� et un �tat de choc: � j'�tais paniqu�e, j'ai eu tr�s peur �, � j'ai dit � XXX, vite on fait demi-tour �, � j'ai eu vraiment tr�s peur, j'en ai eu les larmes aux yeux � (T1), � je ne me suis pas arr�t�, je pense que c'est par peur �, � tous les trois, nous nous sommes demand�s si nous devions continuer �, � nous nous sommes sauv�s au Coudray �, � Nous �tions pris de panique tous les trois. XXX pleurait dans la voiture car elle avait eu tr�s peur � (T2), � nous ne pouvions plus avancer �, � XXX criait dans la voiture � (T3).
Le GEIPAN classe le cas en A : observation de la Lune.";"Observations � plusieurs reprises sur un parcours en v�hicule de la pr�sence d'un Pan rouge/orang� � basse altitude : observations de la Lune.";O;4;;;1;;;;;2017-08-25;0.10;;0.10;0.00;0.65;;0.65;0.65;0.65;0.53;0.53;0.00;A;A;1984-09-01031
1213;"COMINES (59) 28.09.1984";Nord;59;"(D) D�partement";1984;09;28;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � D � en 1984 par le GEPAN.
Le 28 septembre 1984 entre 20h 30 et 20h50 cinq t�moins aper�oivent dans le ciel le d�placement lent d'une lueur orang�e de la grosseur et de la forme d'un ballon de rugby. Au cours de l'observation cette lueur va se scinder en deux parties ovo�des et �volue de fa�on intrigante pour les t�moins.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la Lune au coucher. De plus, la Lune �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e alors que les t�moins n'en font pas mention.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � � travers leur ressenti (�tonnement, fatigue, observation de nuit).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� moyenne est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise de la Lune.";"Observations d'une lueur orang�e de la forme d'un ballon de rugby : m�prise Lune.";O;5;5;;1;;;;;2013-12-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1984-09-01032
1215;"SAINT-CRICQ-CHALOSSE (40) 02.10.1984";Landes;40;"(D) D�partement";1984;10;02;"Le 2 octobre 1984 entre 23h 30 et 23h 42 un t�moin et sa femme aper�oivent une luminosit� anormale par la fen�tre de leur maison. Cette lumi�re jaune semble provenir d'une rang�e rectiligne de spots. Durant les 12 minutes d'observation un faisceau se distingue davantage et �claire le sol. Un mouvement des spots sera remarqu� sans qu'aucun buit ne soit entendu. Cette luminosit� s'estompera jusqu'� l'extinction compl�te de la lumi�re. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Spots lumineux";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1984-10-01033
1218;"LE LUC (83) 1984";Var;83;"(D) D�partement";1984;10;22;"Le 22 octobre 1984 vers 18h 50 deux automobilistes aper�oivent pr�s d'une voie f�rr�e une lumi�re intense. Celle-ci a la forme d'une boule blanche et un faisceau blanc aux contours nets s'en d�tache. Les fen�tres des voitures �tant ferm�e aucun bruit n'est per�u. L'enqu�te d�montrera qu'il s'agit du projecteur de 600 watts d'un h�licopt�re Puma en phase d'approche pour l'atterrissage dans la base militaire toute proche.";"Faisceau de lumi�re d'un phare d'h�licopt�re";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1984-10-01036
1221;"SAINT-DENIS LES BAINS (974) 1984";"La R�union";974;"(D) D�partement";1984;11;12;"Le 12 novembre 1984 aux alentours de 19h plusieurs t�moins ont aper�u entre 5 � 6 secondes au-dessus du littoral une boule blanche de la grosseur d'un ballon de foot-ball avec une queue rouge vif de 2 m�tres environ. Le d�placement de ce ph�nom�ne �tait lent, sans bruit et � basse altitude selon une trajectoire rectiligne. Ce ph�nom�ne pr�sente les caract�ristiques d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;8;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1984-11-01038
1226;"[AERO MIL] BRIOUDE (43) 20.09.1956";Haute-Loire;43;"(D) D�partement";1956;09;20;"Le 20 septembre 1956 � 15h50 deux pilotes d'une patrouille en vol observent le d�placement d'un objet sph�rique de couleur aluminium. Intrigu�s et dans l'intention de s'en rapprocher, les pilotes prennent de l'altitude et s'aper�oivent qu'il est impossible de le rejoindre. Ils abandonnent la poursuite � 16h10.
Suite � une demande aupr�s du directeur de l'observatoire du Puy-de-D�me � Clermont-Ferrand (63), il s'av�re qu'un ballon translucide de forme approximativement sph�rique avec un l�ger renflement � sa base a �t� observ� tout au long de la journ�e du 20 septembre dans le ciel clermontois. Il a d�riv� constamment � tr�s faible vitesse � 20km d'altitude avant de devenir invisible � 19h05 n'�tant plus �clair� par le soleil. L'observatoire ignore l'origine de l'engin en indiquant que les services m�t�o de la r�gion et eux-m�mes n'ont pas fait de l�cher de ballon.
Le GEIPAN classe ce cas en B : observation d'un ballon stratosph�rique dont l'origine n'a pas �t� trouv�e. L'impression d'�tre suivi par l'objet et l'impossibilit� de s'en rapprocher sont caract�ristiques des illusions de perception lors d'observation d'objet lointain. Dans notre cas, le ballon, tr�s gros �tait � environ 17km des pilotes. Le rapprochement � l'altitude de 32 000pieds (10 000 m�tres) n'a r�duit cette distance qu'� environ 10km ce qui reste important.";"Observations par des pilotes du d�placement d'un objet sph�rique de couleur aluminium : probable observation d'un ballon stratosph�rique.";O;3;;;;;;;;2015-03-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1956-09-09134
1228;"VAL-DE-REUIL (27) 06.01.1985";Eure;27;"(D) D�partement";1985;01;06;"Le 6 janvier 1985 vers 23h un t�moin va observer un ph�nom�ne lumineux particulier. Une dizaine de points de couleurs diff�rentes, bleus, jaunes ou blancs sont au-dessus de la ville � plusieurs endroits. Ils vont dispara�tre petit � petit derri�re des nuages. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'une dizaine de points lumineux dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1985-01-01045
1229;"BEDOIN (84) 14.01.1985";Vaucluse;84;"(D) D�partement";1985;01;02;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� MORMOIRON (84) 1985 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 14 janvier 1985, deux t�moins T1 et T2 observent un ph�nom�ne lumineux particulier. Une sph�re d'environ 3 m�tres de diam�tre dont la couleur passe progressivement du blanc vers l'orang�. Cette sph�re qui devient aveuglante se d�place lentement et sans bruit. Elle semblera suivre le v�hicule avant de disparaitre. Un autre t�moin T3 avait fait auparavant, le 2 janvier, une observation d'une lueur qui elle ne se d�pla�ait pas.
Apr�s enqu�te de gendarmerie et transmission au Geipan, les deux observations sont rest�es associ�es comme un tout sans explication conduisant � un classement D.
Le r�examen du cas conduit � une explication pour chacune des observations (voir les notes d'enqu�te).
Le r�examen conduit � distinguer 2 ph�nom�nes distincts :
- le PAN n�1 : observ� par T1 et T2 le 14 Janvier 1985 apr�s 17H15.
- le PAN n�2 : observ� par T3 le 2 Janvier 1985 apr�s 21H.
PAN n�1 du 14 Janvier :
La description de l'aspect du PAN du 14 janvier est coh�rente avec l'aspect du Soleil proche du coucher (couleur orange) vu � travers une couche nuageuse : le PAN est en effet une sph�re lisse, produisant par moment une lumi�re �blouissante. La position et �volution du PAN correspond aussi.
On v�rifie la pr�sence du Soleil proche de son coucher dans la direction d'observation du PAN.
La perception par les t�moins du d�placement du PAN est parfaitement explicable par le propre d�placement des t�moins. C'est une illusion classique connue du GEIPAN contribuant � l'�tranget� et non reconnaissance d'un astre pour des t�moins en d�placement, illusion dite � de la boule suiveuse �.
La direction de l'astre est bien s�r fixe en absolu. Quand la voiture suit un cap � peu pr�s constant, l'astre est fixe par rapport au v�hicule et d�file avec le paysage. Comme le t�moin a d�j� au pr�alable �t� surpris par l'aspect du PAN et le consid�re � une distance proche (centaines de m�tres dans le pr�sent cas), ce d�filement le long du paysage est compris comme un d�placement du PAN parall�lement au v�hicule en reproduisant la vitesse de ce dernier. Par contre quand le v�hicule fait des lacets la perception de d�placement parall�le au v�hicule n'a plus court et fait place � un PAN qui coupe tout droit.
Le point de d�part de la m�prise � dite de boule suiveuse � semble ici �tre la non reconnaissance du soleil lorsque les t�moins sont � l'arr�t. La raison est due � la pr�sence nuageuse masquant et voilant le soleil, cr�ant ainsi des aspects, intensit�s lumineuses et couleurs rapidement variables (les t�moins notent le d�placement rapide des nuages), ainsi que des disparitions plus ou moins totales et des r�apparitions. La variation d'intensit� lumineuse est classiquement interpr�t�e par un t�moin ne reconnaissant pas le PAN comme une variation en distance, ici aussi source d'�tranget�. On sait aussi que le soleil derri�re des nuages �pars peut cr�er des faisceaux lumineux, autre source �vidente d'�tranget� pour qui ne reconnait pas le soleil.
La parfaite coh�rence entre la position vraie du Soleil et celle du PAN, et � l'effet de boule suiveuse � laissent peu de doute sur l'explication. Seule l'impossibilit� d'affirmer que le ciel �tait suffisamment d�gag� ce soir-l� pour que le soleil soit visible des t�moins nous emp�che de consid�rer cette hypoth�se comme certaine. Elle est n�anmoins de grande probabilit�. On peut noter les t�moins n'�taient pas coutumiers du lieu, ce qui a pu faciliter aussi cette m�prise.
En cons�quence GEIPAN classe le cas en A : M�prise avec le soleil au coucher.
PAN n�2 du 2 Janvier 1985 :
La description de l'aspect du PAN de couleur orange p�le est coh�rente avec l'aspect de Mars. On v�rifie que la position et �volution du PAN correspondent aussi parfaitement � celles de Mars (� quelques degr�s pr�s). L'observation ne devait pas �tre tr�s �trange pour le t�moin et l'est peut �tre devenue plus lorsqu'il a pris connaissance 12 jours plus tard de l'autre observation (14 janvier) relat�e dans des termes bien plus �tranges (et qui plus est par des militaires) et avec laquelle il �tait permis de faire un lien.
En cons�quence GEIPAN classe le cas en A : M�prise avec Mars au coucher.";"Observations � deux dates diff�rentes de ph�nom�nes lumineux de couleur dans le ciel nocturne : m�prises avec le soleil couchant et avec Mars au coucher.";O;3;;;;;;;;2017-12-04;;;0.20;0.00;;;0.83;;0.80;;0.65;0.00;A;A;1985-01-01046
1230;"COSNE D'ALLIER (03) 21.01.1985";Allier;03;"(D) D�partement";1985;01;21;"Dans la soir�e du 21 janvier 1985 entre 23h 30 et 24h des t�moins vont apercevoir des flashes de lumi�re dans une maison en ruine � cot� de chez eux. L'enqu�te d�montrera tr�s vite qu'il s'agit d'un court circuit sur une cl�ture �lectrique. Dans la m�me soir�e entre 20h45 et 21h 15 et dans le m�me secteur un automobiliste et sa femme vont �tre t�moins d'un ph�nom�ne lumineux jaune et de forme triangulaire qui semble m�me les suivre un moment pour dispara�tre brusquement. Aucune des brigades en poste dans le secteur n'a aper�u le ph�nom�ne et aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Etrange ph�nom�ne lumineux observ� � bord d'une voiture.";O;4;;;;;;;;2010-03-15;;;0.13;0.13;;;;;;;0.44;0.41;C;A;1985-01-01047
1231;"(DPT) LOT (46) 24.01.1985";Lot;46;"(D) D�partement";1985;01;24;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SAINT-GERMAIN (46) 1985 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Dans la nuit du 24 janvier 1985, deux t�moins vont �tre surpris par deux �clairs successifs suivis de cliquetis et d'une clart� subite, intense et courte. Au-dessus de leur maison ces t�moins vont apercevoir un objet de la forme et de la grosseur d'un ballon de rugby. Cet objet de couleur laiteuse se d�place alors lentement et silencieusement entour� d'un halo blanch�tre. Trois minutes plus tard environ ces t�moins et d'autres personnes entendront des d�flagrations. Aucune coupure de courant �lectrique ne sera constat�e dans la maison.
La description comporte les caract�ristiques clefs de certains ph�nom�nes de rentr�e de m�t�oro�de :
- Grande lumi�re dans la nuit, �clairant une zone importante.
- lueur ovale, allong�e, avec halo, traversant le ciel.
- d�tonations survenant apr�s coup.
- t�moins multiples sur une zone pouvant �tre �tendue.
Le PV de gendarmerie a r�colt� le t�moignage de personnes situ�es sous le m�me toit ou voisines. Mais l'appel � t�moin de T1 par la presse locale a permis d'enregistrer une dizaine de personnes sur des arrondissements voisins pr�tendant avoir fait des observations analogues au m�me moment (pas d'enregistrement de t�moignages en gendarmerie).
Les aspects du ph�nom�ne sont d�cal�s dans le temps. La lumi�re dans la nuit �clairant tr�s largement le secteur est caus�e par la m�t�orite � un ou plusieurs moments (ici des �clairs suivis d'une dur�e d'�clairement plus longue) particuliers de sa rentr�e dans l'atmosph�re. Ce passage en luminosit� extr�me peut �tre plus ou moins long, la m�t�orite n'�tait alors pas dans le champ de vision des t�moins ou ils n'ont pas eu le temps de d�tecter le foyer origine dans le ciel. Quand elle est rentr�e dans le champ de vision du t�moin, son intensit� lumineuse s'�tait r�duite (T1 dit "" le jour nous a paru tr�s long, mais il n'a pas d� dur� que quelques secondes; imm�diatement apr�s la nuit est revenue tr�s vite, � ce moment-l�, j'ai vu arriver un objet ou une boule de feu blanche,....).
Les d�tonations peuvent se produire avec un d�lai plus ou moins long par rapport aux ph�nom�nes lumineux. En effet ces ph�nom�nes de rentr�e se produisent � haute altitude entre 100 et 20 Km d'altitude, le temps de propagation sonore (� 330 m/s) vers le sol peut cr�er des d�calages de plusieurs minutes.
Il est classique aussi que les t�moins per�oivent le ph�nom�ne tr�s proche dans le ciel.
Le GEIPAN a trait� un nombre important de cas sur les quinze derni�res ann�es et de nos jours de nombreux sites enregistrent les donn�es r�colt�es au sol (par des cam�ras automatiques et/ou par t�moignages) lors de ces rentr�es. Les caract�ristiques de ces ph�nom�nes sont aujourd'hui bien connues du GEIPAN, dans ce qui fait leur r�p�tabilit� comme leur variabilit� et les t�moignages re�us sont solutionn�s sans enqu�te particuli�re. Il devient plus facile aussi de retraiter des cas anciens comme celui-ci, sauf quand les t�moignages sont trop succincts et peuvent laisser un doute. Un exemple de 2016 avec plus de 20 enregistrements le site (Internatonal Meteor Organization) illustre le fonctionnement d'un de ces sites ainsi que l'espacement g�ographique et le nombre des t�moins pouvant observer un tel ph�nom�ne.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation tr�s probable de rentr�e de m�t�oro�de.";"Observations dans un premier temps de deux �clairs, puis du d�placement d'un objet ovale entour� d'un halo : observations tr�s probables de rentr�e de m�t�oro�de.";O;4;;;1;;;;;2017-12-04;0.20;;0.20;0.00;0.60;;0.60;0.60;0.60;0.40;0.40;0.00;A;A;1985-01-01048
1232;"MOIRANS EN MONTAGNE (39) 1985";Jura;39;"(D) D�partement";1985;01;26;"Le 26 janvier 1986, 5 t�moins vont apercevoir depuis des lieux diff�rents, une boule de feu de couleur rouge. Ce ph�nom�ne tr�s lumineux se d�place en provoquant une �paisse fum�e. L'enqu�te de gendarmerie a montr� qu'il s'agit probablement d'une fus�e de d�tresse de marin tir�e pour essai par un habitant.";"Observation probable d'un tir de fus�e de d�tresse";O;5;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1985-01-01049
1233;"PRUSLY-SUR-OURCE (21) 24.01.1985";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";1985;01;24;"Le 24 janvier 1985 un automobiliste et sa femme vont apercevoir un point blanc avec des reflets bleu-vert. Ce point beaucoup plus gros qu'une �toile a une trajectoire rectiligne et ne laisse derri�re lui aucune trace ou train�e. Cette observation a dur� environ 5 secondes avant que l'objet ne disparaisse. Aucune autre information n'a pu �tre receuillie sur ce ph�nom�ne .";"observation d'un point lumineux";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1985-01-01723
1234;"ABONDANCE (74) 22.02.1985";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";1985;01;31;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � C � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s �C � par le SEPRA (Service d'�tudes des Ph�nom�nes de Rentr�es Atmosph�riques). Le 22 f�vrier 1985 vers 19h40 plusieurs t�moins aper�oivent dans le ciel �toil� et clair un ph�nom�ne lumineux particulier en direction de l'Ouest. Le ph�nom�ne est d�crit comme un noyau de couleur vert duquel se d�tachent des fl�ches vertes ; des lumi�res rouges clignotent �galement r�guli�rement du noyau. Le d�placement O-N du ph�nom�ne lumineux est lent et l'observation durera environ 1 heure. Suite � un appel � t�moin lanc� dans la presse locale, un t�moin d'une observation similaire ayant eu lieu le 31 janvier 1985 se manifestera.
Ce cas est consistant (quatre t�moins, dont seulement deux ont pu �tre interrog�), la description du PAN observ� est pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur, trajectoire) avec un objet astronomique parfaitement connu : la plan�te V�nus. De plus, V�nus �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e alors que le t�moin n'en fait pas mention, et �tait particuli�rement brillante.
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise avec V�nus.";"Longue observation du lent passage O-N d'un ph�nom�ne lumineux : m�prise astronomique avec V�nus.";O;3;;;;;;;;2013-12-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1985-01-01050
1236;"UREPEL (64) 02.02.1985";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";1985;02;02;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � D � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te.
Ce cas d'observation anciennement nomm� ALDUDES (64) 1985 fait partie de cas class�s � D � par le GEPAN et r�cemment r�examin�.
Il s'agit en fait de deux observations totalement diff�rentes, celle du 2 f�vrier et celle du 4 f�vrier (voir les notes d'enqu�te).
Le PAN du 2 f�vrier correspond � une observation de l'�toile Arcturus.
- cette �toile vue � l'horizon cr�e r�guli�rement des m�prises par les effets de scintillation, d'�clatement de couleurs, de bouger : effets engendr�s par la travers�e de l'atmosph�re par les rayons lumineux.
- il y a parfaite correspondance dans les directions azimut.
- l'observation est accompagn�e d'un ph�nom�ne plus rare de r�fraction atmosph�rique (mirage sup�rieur) permettant d'expliquer que l'�toile soit vue par-del� l'horizon. Ce ph�nom�ne accentue par ailleurs les effets classiques de m�prise li�s � la travers�e de l'atmosph�re. Il n'est pas possible 32 ans apr�s de confirmer quantitativement cette r�fraction atmosph�rique.
- la m�me observation est relat�e par la presse (un groupe de skieurs de nuit dans la station du Somport, voir PV). La r�p�tition deux soirs de suite d'une observation quasi-identique de PAN par deux groupes de t�moins ind�pendants, avec la m�me co�ncidence (� 1 ou 2 degr�s pr�s) en Azimut avec Arcturus, et avec la m�me nature de vis�e au-del� de l'horizon, permet de valider l'hypoth�se Arcturus et le ph�nom�ne particulier de r�fraction atmosph�rique l'accompagnant.
Le GEIPAN classe ce cas en A : observation de Arcturus.
Le PAN du 4 f�vrier correspond probablement � une observation d'avion.
- l'hypoth�se a �t� rejet�e par les t�moins du fait de l'absence de bruit du PAN. Le vent soufflant du Nord-Ouest agit en sens inverse du sens du bruit et a donc pu l'att�nuer fortement.
- l'observation a �t� faite le 4 fevrier au soir, alors que la presse a publi� le jour m�me un article � OVNI dans le ciel � relatif � l'observation du 2 f�vrier. Il est donc possible que les t�moins du 4 f�vrier soient en situation d'alerte et aient per�u de l'�tranget� dans une observation qui serait rest�e plus banale sans la premi�re observation et sa m�diatisation.
Le GEIPAN classe ce cas en B : Probable observation d'un avion.";"Observations multiples de ph�nom�nes particuliers en mouvement dans le ciel les 2 et 4 f�vrier 1985 : observations du 2 f�vrier : observations de l'�toile Arcturus. Observations du 4 f�vrier : observations probable d'un avion.";O;6;;;;;;;;2017-12-07;0.19;;0.19;0.04;0.85;;0.85;0.80;0.80;0.68;0.68;0.12;A;A;1985-02-01052
1240;"LANNILIS (29) 1985";Finist�re;29;"(D) D�partement";1985;02;13;"Les 13 et 18 f�vrier 1985, plusieurs t�moins vont apercevoir � 21h 30 dans le ciel un ph�nom�ne lumineux silencieux : une boule beaucoup plus importante qu'une �toile se d�place lentement � faible altitude . D'une forme circulaire et de couleur blanche tr�s brillante, cette boule disparaitra tr�s rapidement du champ de vision des t�moins qui auront tout de m�me pris le temps de filmer le ph�nom�ne. L'hyphoth�se concernant l'observation d'une plan�te ou d'une �toile n' a pu �tre valid�e en raison du manque d'informations recueuillies.";"Boule �mettant une lumi�re vive , vingt fois sup�rieure � celle d'une �toile.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1985-02-01056
1241;"TOURCOING (59) 14.02.1985";Nord;59;"(D) D�partement";1985;02;14;"Le 14 f�vrier 1985 vers 22h un t�moin, seul dans son appartement au 3eme �tage, aper�oit une �toile particuli�re blanche et jaune. Soudain une sph�re de couleur verte vient s'adjoindre � l'�toile. Ce ph�nom�ne disparaitra � l'horizon sans �mettre de bruit. Aucune autre information n'a pu �tre receuillie sur ce ph�nom�ne.";"Objet non identifi� se pr�sentant sous la forme d'une �toile � luminosit� blanche et jaune.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1985-02-01057
1243;"OUZOUER SUR LOIRE (45) 1985";Loiret;45;"(D) D�partement";1985;02;17;"Le 17 f�vrier 1985 vers 21h 30 plusieurs t�moins vont apercevoir une tr�s grosse �toile. Celle-ci tr�s brillante va changer progressivement de couleur et disparaitra rapidement � l'horizon. Il s'agissait en fait de l'observation de la plan�te V�nus, particuli�rement visible en cette p�riode de l'ann�e gr�ce � des conditions climatiques particuli�res.";"Grosse �toile confondue avec la plan�te V�nus.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1985-02-01059
1244;"BAIS (53) 1985";Mayenne;53;"(D) D�partement";1985;02;21;"Le 21 f�vrier 1985 vers 22h deux t�moins vont observer un ph�nom�ne lumineux particulier : il s'agit d'une boule lumineuse jaune et tr�s brillante qui change de couleur pour devenir rouge vif. Durant 20 minutes les t�moins observeront un ph�nom�ne stationnaire et silencieux qui dispara�tra progressivement. Le t�moin principal ainsi que plusieurs autres personnes pourront �galement faire cette observation les nuits suivantes. Il s'agit probablement de l'observation d'une �toile particuli�rement bien visible dans le ciel d�gag� de ces nuits d'hiver .";"observation probable d'une �toile.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1985-02-01060
1246;"FALAISE (14) 1985";Calvados;14;"(D) D�partement";1985;02;24;"Le 24 f�vrier 1985 vers 19h 30 plusieurs t�moins dans un m�me secteur ont vu tomber une boule rouge-ros�e : une explosion a �galement �t� entendue. L'enqu�te d�montrera qu'il s'agissait des effets d'une fus�e de d�tresse lanc�e sans intention particuli�re par une personne, les t�moins ayant vu la fum�e rouge - ros� de la fus�e puis le parachute en d�rive avec le vent.";"Chute d'une boule rouge.";O;5;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1985-02-01062
1247;"SAINT-SULPICE-DE-ROYAN (17) 25.02.1985";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";1985;02;25;"Le 25 f�vrier 1985, deux agriculteurs sont occup�s chacun sur une de leurs parcelles lorsqu'un objet tombe dans le champ � moins de 50 m de l'un d'eux, rebondissant plusieurs fois avant de s'immobiliser. L'objet est br�lant et ne peut �tre touch� avant une heure. C'est un cylindre d'environ 50 cm de longueur et d'une quinzaine de cm de diam�tre.
Les premi�res investigations men�es par la base a�rienne de Rochefort ne permet pas d'identifier l'objet qui ne correspond � aucun type de missile fran�ais ou �tranger. Par ailleurs aucune radioactivit� n'est d�tect�e sur l'objet r�cup�r�.
Le GEPAN de son c�t� m�ne une recherche mais aucune activit� militaire ne peut expliquer la chute d'une tel objet.
La recherche s'oriente alors sur les objets spatiaux susceptibles d'�tre rentr�s dans l'atmosph�re ce jour l�. Les r�ponses de la NASA et du NORAD indiquent qu'un morceau de l'�tage propulseur du satellite COSMOS 1629 lanc� le 21 f�vrier r�f�renc� 15.575 est probablement rentr� aux alentours du 25. Cette information conduit le GEPAN � la conclusion provisoire de la rentr�e atmosph�rique d'un morceau de propulseur du 4�me �tage du lancement de COSMOS 1629. L'objet est cependant remis au GEPAN par la base a�rienne en vue d'une analyse approfondie ult�rieure.
Ces expertises approfondies sont lanc�es plus tard et r�alis�es par le Centre de Recherches et d'Etudes d'Arcueil, qui mettent en �vidence des indications et marquages prouvant que l'objet est d'origine allemande et porte les marques du troisi�me Reich. La premi�re conclusion du GEPAN est donc abandonn�e au profit de l'hypoth�se d'un �l�ment propulsif d'origine inconnue abandonn� depuis la derni�re guerre et qui s'est spontan�ment mis � feu. Des expertises compl�mentaires ont permis d'une part d'identifier l'engin comme �tant la partie arri�re d'un engin terre terre ""lanceur de brouillard"" et d'autre part de montrer que le point de d�part de cet engin, dont la mise � feu a pu se produire par effet thermique ou � la suite d'un l�ger choc, peut �tre estim� entre 3300 et 3600 m�tres au Nord Ouest de l'impact ce qui correspond d'ailleurs � une zone de marais ou l'arm�e allemande � la fin de la seconde guerre mondiale a immerg� de nombreuses munitions alors qu'elle se trouvait encercl�e dans la poche de Royan.
Cette enqu�te, qui s'est �tal�e sur pr�s de 5 ans, est un mod�le du genre par son �volution et ses rebondissements successifs.";"Chute d'un objet pr�c�d�e par un sifflement : chute d'une partie d'un engin de guerre allemand (engin terre terre ""lanceur de brouillard"") qui s'est spontan�ment mis � feu.";O;1;;;;;;;;2013-06-24;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1985-02-01063
1249;"PRALOGNAN-LA-VANOISE (73) 01.02.1985";Savoie;73;"(D) D�partement";1985;02;01;"Le 1 f�vrier 1985 vers 18h, plusieurs t�moins vont apercevoir durant 3 secondes une lueur particuli�re. Passant tr�s rapidement au-dessus d'eux, ils voient une boule de couleur verte suivie d'un flux conique allant de la couleur jaune clair au rouge �clatant. Ce ph�nom�ne d'une grande beaut� reste silencieux. Bien que divers �l�ments fassent penser � une rentr�e atmosph�rique, aucune autre information n'a pu �tre receuillie sur ce ph�nom�ne.";"observation d'une boule verte dans le ciel";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1985-02-01724
1250;"MONTPELLIER (34) 06.03.1985";H�rault;34;"(D) D�partement";1985;03;06;"Deux fois courant mars 1985, un t�moin va observer un point particuli�rement lumineux et qui se d�place tr�s lentement mais progressivement dans la voute celeste. L'enqu�te d�montrera qu'il s'agit de la plan�te Venus particul�rement lumineuse et donc visible en cette p�riode de l'ann�e.";"observation d'un ph�nom�ne astronomique.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1985-03-01065
1251;"NANTERRE (92) 08.03.1985";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";1985;03;08;"A partir du 8 mars 1985 et pendant plusieurs jours, un t�moin va apercevoir depuis la fen�tre de son appartement au 14eme �tage, une lueur. Cette lueur ""comme une �toile"" se d�place lentement. Le 18 mars 1985 alors qu'il filmait la lueur, celle-ci semble soudain se diriger vers le t�moin. Celui-ci prend peur et se r�fugie chez des voisins. Apr�s enqu�te, il semble que le t�moin ait aper�u Jupiter particuli�rement visible en cette p�riode de l'ann�e.";"observation probable d'un ph�nom�ne astronomique.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1985-03-01066
1252;"SAINT-SEINE L'ABBAYE (21) 1985";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";1985;03;02;"Le 2 mars 1985 vers 22h, un t�moin et toute sa famille vont apercevoir durant 15 minutes une boule de couleur flamme de 1 m�tre de diam�tre qui laisse des traces de m�me couleur dans son sillage. Cet objet se d�place lentement � une altitude de 800 m environ mais en suivant le relief. Aucun bruit n'est remarqu�. Aucune autre information n'a pu �tre receuillie sur ce ph�nom�ne.";"Boule de couleur flamme se d�pla�ant � une altitude d'environ 800 m�tres en suivant le relief.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1985-03-01673
1253;"GRANDRIEU (48) 1985";Loz�re;48;"(D) D�partement";1985;04;08;"Le 8 avril 1985 plusieurs t�moins aper�oivent un objet en forme d'ogive, de contour irr�gulier et rouge vermillon tombant � pic derri�re une montagne. Craignant qu'il ne s'agisse d'un a�ronef en difficult�, la gendarmerie est imm�diatement inform�e de cette observation et peut constater �galement le ph�nom�ne. L'enqu�te d�montrera qu'il s'agit d'une fus�e de d�tresse marine p�rim�e lanc�e sans intension particuli�re par un habitant d'un hameau voisin.";"Observation d'un objet volumineux de couleur rouge.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1985-04-01067
1254;"SAINT-MALO-DES-TROIS-FONTAINES (56) 25.05.1985";Morbihan;56;"(D) D�partement";1985;05;25;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� LA TRINITE PORHOUET (56) 1985 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Dans la nuit du 25 au 26 mai 1985 entre 23h et 01h30, quatre t�moins vont observer diff�rents ph�nom�nes lumineux. Tout d'abord (phase 1) les t�moins � bord d'un v�hicule sont intrigu�s par de nombreux flashes lumineux de diff�rentes couleurs dans le ciel depuis diff�rents endroits de leur trajet. Puis, de retour dans la propri�t� familiale (phase 2), les t�moins scrutant le ciel �toil� remarquent deux points lumineux qui se d�placent � �gale distance l'un de l'autre � vitesse variable. Ces points disparaissent ensuite cach�s par le paysage. C'est alors (phase 3) que dans une trou�e d'arbres ils voient un objet lumineux rouge de forme rectangulaire sur le sommet d'une colline. Apeur�s les t�moins rentrent � l'int�rieur du domicile et se concertent sans comprendre ce qu'ils ont vu. Ils entendent enfin un bruit sourd (phase 4) et remarque un silence total dans la campagne qui les inqui�te. Ressortant quelques minutes plus tard, ils ne constatent plus rien. Les t�moins se rendent le lendemain � la Gendarmerie. Aucun autre groupe de t�moins concernant ces ph�nom�nes nocturnes ne sera trouv� parmi la population des environs.
On note une s�quence d'observation en 4 phases, chacune ayant conduit � des descriptions de PAN diff�rentes (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Le point de d�part (phase 1) a probablement pour origine des �clairs d'orage (relev�s par la m�t�o � l'Ouest ce soir-l�), que les t�moins n'ont pas su reconna�tre de mani�re s�re (bien que l'hypoth�se ait �t� formul�e) pour des raisons multiples : les t�moins sont non familiers des lieux, les �clairs sont tr�s lointains alors que le ciel local est d�gag� et non orageux, l'�loignement ne permet pas d'entendre le tonnerre.
Les trois phases suivantes font l'objet de descriptions fugaces, peu pr�cises ou contradictoires ne permettant pas d'�tablir une explication de probabilit� suffisante pour �tre retenue. N�anmoins, aucune de ces observations ne para�t �trange, car il existe pour chacune d'elle au moins une explication que le peu d'information disponible ne peut ni confirmer, ni infirme :
- la description des PAN de la phase 2 rappelle celle des feux d'un simple avion qui, dans certaines conditions d'observation et selon le type de feux pr�sents et allum�s, peuvent prendre un aspect un peu particulier ;
- la description du PAN de la phase 3 pourrait correspondre � une perc�e de Lune rousse dans les nuages ;
- la description du bruit en phase 4 (aucune observation visuelle, car les t�moins sont � l'int�rieur) peut correspondre � un grondement de tonnerre.
L'ensemble de l'observation a pu para�tre �trange � l'�poque du fait de son caract�re apparemment complexe et redoubl� d'�tranget� telle qu'au moins per�ue par les t�moins.
L'exp�rience accumul�e depuis au GEIPAN, conduit � penser � un ph�nom�ne d'amor�age. Les t�moins ont pu �tre plac�s par leur premi�re observation dans un climat d'�tranget� (ici probablement amplifi� collectivement puisqu'aucun des t�moins ne semble pouvoir amener de la mod�ration en d�veloppant l'hypoth�se premi�re d'�clairs d'orage) les conduisant par la suite � scruter le ciel et � associer � cette premi�re �tranget� d'autres ph�nom�nes qui seraient peut-�tre pass�s inaper�us sans l'�tranget� premi�re.
Le fait est que les gendarmes ont fait des recherches � aupr�s des villageois et du milieu paysan afin de recouper ses t�moignages � et n'ont rien trouv�, alors que ce samedi soir correspondait � la � foire � au bourg de Josselin (56) et �tait donc propice (et pas seulement pour les t�moins) � de nombreuses sorties nocturnes tard dans la nuit, y compris sur les routes emprunt�es par les t�moins.
La consistance de l'observation est m�diocre. Les donn�es recueillies sont trop peu pr�cises, voire contradictoires, lorsqu'elles ne sont pas totalement absentes. Il manque par exemple les �l�ments essentiels que sont les relev�s angulaires, certaines directions initiales et finales d'observation, des dur�es d'observation, etc
Mais les �l�ments disponibles permettent d'�tablir :
- que l'observation premi�re est probablement caus�e par les �clairs d'un orage.
- et que les autres observations sont peu �tranges, n'auraient probablement pas exist� sans l'�tranget� persistante cr��e par la premi�re observation, et ne peuvent pas �tre expliqu�es en raison du manque d'informations fiables.
En cons�quence le GEIPAN conclut en B (�clairs d'orages) pour le PAN de la phase 1 et C pour le reste des observations.
";"Observations de plusieurs ph�nom�nes lumineux dans le ciel nocturne durant plusieurs phases d'observations : observations d'�clairs d'orage (phase 1) et manque d'information pour le reste des observations.";O;4;4;;;;;;;2019-02-05;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.60;;0.36;0.00;B;B;1985-05-01068
1255;"GAN (64) 05.06.1985";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";1985;06;05;"le 5 juin 1985 vers 22h 50 un t�moin sur le pas de sa porte aper�oit durant 10 secondes un point lumineux blanc. Ce point se d�place dans le ciel � tr�s vive allure, sans bruit et en zig-zag. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne .";"Point lumineux se d�pla�ant � vive allure.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1985-06-01069
1256;"MOUCHY-LE-CHATEL (60) 26.06.1985";Oise;60;"(D) D�partement";1985;06;26;"le 26 juin 1985 un t�moin va observer durant 5 minutes un objet de forme circulaire d'un diam�tre de 1,50 m et d'une hauteur d'environ 1,80 m. Cet objet semble compos� d'apr�s le t�moin d'une mati�re instable de type gazeux. Il est statique � 5 m�tres du sol et ne fait aucun bruit. Un rayonnement incandescent �mane de cet objet qui va se d�mat�rialiser subitement. Le t�moin avait d�j� fait une observation similaire en 1976. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne.";"ph�nom�ne lumineux de forme circulaire";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1985-06-01070
1258;"SAINT-GERMAIN (10) 20.07.1985";Aube;10;"(D) D�partement";1985;07;20;"Le 20 juillet 1985 un t�moin dit avoir vu avec d'autres personnes un ph�nom�ne lumineux particulier au-dessus d'un groupe d'arbres. Vers 22h45, dans un ciel clair et �toil�, une forme ressemblant � une assiette retourn�e et surmont�e d'un d�me �met une lumi�re de couleur blanche et jaune. Cet objet stationnaire dispara�tra progressivement une premi�re fois pour r�appara�tre encore. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation qui va durer 40 minutes. Le t�moin avertira d'abord une station radio le lendemain qui fera le relais aupr�s de la presse locale. L'enqu�te des gendarmes n'a permis de confirmer les dires de la jeune fille sur plusieurs points : l'un des t�moins cit�s n'�tait pas pr�sent, l'autre n'a pas confirm�. D'autre part la situation m�t�orologique du moment ne correspond pas � celle d�crite par le t�moin. Il semble bien que ce t�moignage ne soit pas tr�s cr�dible et rel�ve de l'affabulation d'une adolescente.";"Objet en forme d'assiette retourn�e changeant de direction.";O;2;;;;;;;;2017-02-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1985-07-01072
1259;"PLOERMEL (56) 22.07.1985";Morbihan;56;"(D) D�partement";1985;07;22;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� PLOERMEL (56) 1985 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (voir le compte rendu d'enqu�te).
Dans la nuit du 22 au 23 juillet 1985 � 23h15, un t�moin observe depuis chez lui un ph�nom�ne lumineux particulier. Jusqu'� 3h30 du matin le t�moin et d'autres personnes observeront le ph�nom�ne depuis diff�rents endroits du secteur de Plo�rmel (56). Le ph�nom�ne est d�crit comme �tant de forme ovale �mettant une p�le lumi�re blanche accompagn� d'une source lumineuse tournant autour. Le t�moin d�crit un ph�nom�ne lumineux qui semble balayer le ciel de part et d'autre. Aucun bruit n'est entendu. Le ph�nom�ne dispara�t soudainement. Un seul t�moignage sera recueilli.
Cette observation qui a priori semble hors-normes, semble �tre la concomitance spatiale et temporelle d'un ph�nom�ne inhabituel particulier, se produisant dans un contexte tout aussi inhabituel.
Deux hypoth�ses ont �t� explor�es et sont finalement assez proches, car elles mettent en jeu une observation d'impact de faisceaux lumineux de projecteurs sur une couche nuageuse basse :
- faisceaux issus d'un dispositif de bo�te de nuit (Skytracer).
- faisceaux issus de l'�v�nement � le triomphe de Saint-Cyr dans le camp militaire de Co�tquidan �.
Bien que quelques discordances existent, et en particulier sur les directions du PAN pour les phases d'observation s'�tant d�roul�es depuis la caserne de Gendarmerie, on pourra trouver de nombreuses concordances entre ces hypoth�ses et les caract�ristiques physiques et dynamiques du PAN ainsi qu'avec les conditions d'observation :
- direction globale d'observation vers l'est (sauf depuis point D pour l'hypoth�se skytrackers) ;
- visibilit� telle que fournie par les donn�es M�t�o-France compatible avec les distances d'observation ;
- pr�sence d'une couche nuageuse basse ;
- observation bas sur l'horizon possible car horizons d�gag�s depuis au moins deux points d'observation et compatible avec les distances consid�r�es et l'altitude des nuages ;
- forme principale du PAN ovo�de ;
- pr�sence de � faisceaux � lumineux ;
- d�placement av�r� du PAN, comme un ensemble de projecteurs mobiles ;
- luminosit� faible ;
- couleur blanche ;
D'autres aspects du ph�nom�ne cadrent mal ou moins bien avec l'une ou l'autre, voire les deux hypoth�ses, nous retiendrons en particulier :
- la forme rectangulaire observ�e � gauche de la forme principale dans les phases 2, 3 et 5 ;
- la position du PAN en phase 4 trop au nord telle que d�duite de la reproduction dans � Bretagne-Magazine � du lieu d'observation. Cette reproduction (hors p�rim�tre d'enqu�te GEIPAN) est-elle fid�le ? (Elle aurait inclus des maisons dans le paysage, la conclusion sur la direction d'observation aurait �t� sans discordance). S'agit-il d'un autre ph�nom�ne ?
- l'utilisation de projecteurs pour l'hypoth�se discoth�que peu probable ;
- la date du lundi soir impliquerait que la discoth�que ait �t� ouverte hors du week-end, ce qui ne serait pas exclu en p�riode estivale et que, pour ce qui concerne le"" triomphe"" de Co�tquidan qui se d�roule la nuit d'un samedi au dimanche suivant le 14 juillet, on ait eu � faire � un essai ou r�glage de l'�v�nement ou au moins des projecteurs.
Cependant, la plupart de ces points restent faibles au regard des autres aspects nombreux et concordants rendant les hypoth�ses plausibles, avec une possibilit� sup�rieure pour celle des projecteurs du ""triomphe"" dans le camp militaire de Co�tquidan. En effet, leur existence est av�r�e et ils ont pu �tre utilis�s quelques jours avant (ou apr�s) la c�r�monie du ""triomphe"", pour pr�parer (ou rejouer des anomalies rencontr�es lors de) l'�v�nement. Une telle hypoth�se ne peut pas �tre v�rifi�e 33 ans apr�s, mais rien ne permet de l'exclure ou de la consid�rer comme peu probable.
En cons�quence, une classification en �B� est appropri�e: confusion avec un ensemble de projecteurs donc l'impact des faisceaux se projette sur la couche nuageuse basse.
";"Ph�nom�ne lumineux dans le ciel nocturne observ� longuement et depuis plusieurs endroits ; aucun bruit et disparition subite : confusion avec un ensemble de projecteurs donc l'impact des faisceaux se projette sur la couche nuageuse basse.";O;1;;;;;;;;2018-04-18;;;0.45;0.00;;;0.70;;0.80;;0.55;0.00;B;B;1985-07-01073
1261;"BARRAS (04) 01.08.1985";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1985;08;01;"le 1er ao�t 1985 vers 23h15 un t�moin observe dans le ciel un point fixe, lumineux, l�g�rement rouge�tre comme une �toile. Ce point se d�place alors verticalement au-dessus du village en changeant de couleur et d'intensit� lumineuse pour prendre la forme "" delta"" et se d�placer horizontalement de plus en plus vite. Le t�moin remarque que quelques secondes apr�s son d�placement � la verticale, un bruit sourd se fait entendre et qu'en s'�loignant l'objet redevient un point lumineux. Aucune autre observation n'a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Objet en forme de "" delta"".";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1985-08-01074
1263;"RENTREE ATMOSPHERIQUE (69) 03.09.1985";Rh�ne;69;"(D) D�partement";1985;09;03;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A,B,C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� Lyon (69) 1985 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 3 septembre 1985 quatre t�moins � Lyon (2 t�moins) mais aussi � Villefranche-sur-Sa�ne (2 t�moins) vont �tre surpris par le passage rapide d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel et pour certains par la pr�sence dans l'eau d'un bassin d'une lueur particuli�re.
La description du PAN par les diff�rents t�moins est typique d'une rentr�e de m�t�oroides :
- dur�e d'observation de quelques secondes, grande vitesse de d�placement,
- lueur et halo (""couleur vert fluorescent (un peu comme les feux de Bengale), entour� d'un voile blanc"", ""une boule vert p�le brillante, entour�e d'un halo vert fonc�""),
- conjonction temporelle d'observations quasi identiques par des t�moins �loign�s (ici Villefranche-sur-Sa�ne et Lyon),
- indications de trajectoires coh�rentes.
Pour confirmer cette hypoth�se, il convient d 'expliquer quelques �l�ments singuliers pour cette rentr�e :
- la m�t�orite tombe dans l'eau et fait une lueur depuis l'eau pendant quelques minutes : il y a 3 t�moins du PAN dans le ciel (T2 agent de s�curit� � Lyon, T3 et T4 � Villefranche-sur-Sa�ne). Aucun ne le voit tomber dans l'eau, mais pour le T2 de Lyon, il y a correspondance entre la trajectoire observ�e du PAN dans le ciel et la lueur dans l'eau observ�e par T2 et T1 (T1 chauffeur routier n'a pas vu le PAN dans le ciel). On peut penser que la m�t�orite est effectivement tomb�e dans l'eau. Il ne faut pas attacher de l'importance � l'estimation par T1 et T2 de la grosseur "" 30 m"" de la lueur dans l'eau (une telle taille de m�t�orite aurait caus� un raz-de-mar�e !) car cette estimation porte sur la lueur remont�e � la surface de l'eau et ne peut s'appliquer � la source de la lueur. Le t�moin T1 dit aussi "" j'ai vu une lueur assez grande, de couleur jaune blanch�tre, un peu comme un plongeur qui �claire de l'int�rieur de l'eau."" tandis que T2 estime la taille de la source de la lueur � un ballon de football.
- Les pompiers rel�vent une l�g�re radioactivit� qualifi�e de ""minime"", hors de l'eau et dans l'eau : cet �l�ment n'a pas donn� lieu � plus d'investigations. En absence d'enregistrement de la zone de pr�sence dans le temps et dans l'espace de cette radioactivit� faible, il n'est gu�re permis d'assurer qu'elle soit provoqu�e par la m�t�orite. Elle le serait, que cela n'exclurait aucunement l'hypoth�se m�t�orite.
- T1 a not� cette �tranget� : � l'enseigne du v�hicule de s�curit� clignotait �. Le PV de gendarmerie signale cela comme vu par trois t�moins (T1, T2, et un autre agent de s�curit� coll�gue de T2 cit� dans le PV mais qui n'a pas t�moign�) pendant 4 secondes au moment de la chute. Hors cela n'a �t� formellement rapport� (d�position PV) que par T1 (T2 qui utilisait le v�hicule ne mentionne rien dans sa d�position) et T1 l'a observ� en arrivant sur les lieux apr�s la chute et ne pr�cise pas avoir vu le d�but et la fin de ce clignotement. Il est fr�quent qu'en situation d'alerte ou d'�motion une anomalie de second plan soit d�tect�e voire associ�e � une autre anomalie principale alors que sans cette derni�re et la tension cr��e elle serait peut �tre pass�e inaper�ue ou aurait �t� relativis�e (ici le t�moin, qui n'est pas un agent de s�curit� mais un routier, �tait effectivement en �tat d'alerte car envoy� par le responsable s�curit� sur les lieux o� les agents de s�curit� rapportaient d�j� par radio quelque chose de non identifi�, T1 dit d'ailleurs qu'il s'est tromp� de trajet pour s'y rendre).
En cons�quence, la conformit� avec une rentr�e de m�t�orite �tant av�r�e et les �l�ments singuliers des t�moignages expliqu�s, le GEIPAN classe le cas en B : probable rentr�e de m�t�oroide.";"Observations du passage silencieux d'un objet lumineux dans le ciel ; observation d'une lueur dans un bassin du port E.Herriot � Lyon : probables observations d'une rentr�e de m�t�oride.";O;4;;;1;;;;;2017-12-07;0.30;;0.33;0.00;0.70;;0.70;0.70;0.70;0.50;0.50;0.00;B;B;1985-09-01076
1264;"DOLE (39) 12.09.1985";Jura;39;"(D) D�partement";1985;09;12;"le 12 septembre 1985 vers 18h 45 un t�moin aper�oit un ph�nom�ne lumineux fixe en forme de boumerang. Il va observer cette lumi�re couleur jaune or aux jumelles durant presque une heure avant qu'elle ne disparaisse. Aucun autre t�moignage ou information n'ont pu �tre recueillis sur ce cas.";"Lumi�re fixe et brillante ayant la forme d'un boomerang.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1985-09-01077
1265;"SAINT-PIERRE (974) 1985";"La R�union";974;"(D) D�partement";1985;08;06;"le 13 septembre 1985 vers 15h plusieurs t�moins dont des gendarmes vont apercevoir durant quelques minutes, une masse blanche brillante qui effectue des d�placements sans aucun bruit le long du chemin balis� menant au volcan . Cet objet de la forme d'un boomerang a des mouvements oscillatoires : il prendra soudain de l'altitude et une forme sph�rique avant de dispara�tre sans laisser aucune trace. Apr�s un article paru dans la presse � ce sujet, une personne viendra t�moigner de la m�me observation faite le 6 ao�t 1985 � quelques kilom�tres de l�. Aucune information compl�mentaire n'est vevue confirmer une des hypoth�ses de la gendarmerie locale.";"Objet de forme sph�rique .";O;6;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1985-09-01078
1266;"REVENTIN-VAUGRIS (38) 14.09.1985";Is�re;38;"(D) D�partement";1985;09;14;"Le 14 septembre 1985 � 17h un t�moin observe durant une heure un objet en forme de coupole avec des lumi�res � l'int�rieur. Bien plus tard dans la soir�e et avec des jumelles, l'objet semble �tre suivi d'une incandescence. L'observation sera �galement faite aux jumelles par les gendarmes et le directeur d'un observatoire : malheureusement la brume emp�chera toute observation au t�lescope. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Ph�nom�ne �trange � haute altitude";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1985-09-01079
1267;"MARSEILLE (13) 1985";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1985;09;16;"Entre le 16 et le 18 septembre 1985 plusieurs t�moins ont pu apercevoir dans le ciel un point fixe brillant avec de l�g�res colorations rouges, bleues, jaunes ou vertes. Ces observations sur plusieurs jours et d'une dur�e de 2 heures parfois ont �t� confirm�es par le personnel de l'observatoire des Alpes de Haute-Provence. Il s'agit probablement de l'observation d'une plan�te ou d'une �toile.";"observation probable d'un ph�nom�ne astronomique.";O;7;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1985-09-01080
1268;"BARJAC (07) 1985";Gard;30;"(D) D�partement";1985;10;20;"le 20 septembre 1985 vers 7h 15 deux t�moins apercoivent dans le ciel un objet brillant de forme circulaire et fixe qui ressemble � une �toile. Durant cette observation assez longue, un des t�moins, muni de jumelles, verra l'objet s'aplanir pour prendre une forme de cigare. D'une des extr�mit�s, un point lumineux semble se d�tacher et se d�place � faible vitesse laissant derri�re lui des turbulences brillantes. Deux � trois minutes plus tard, le ph�nom�ne reprend sa forme initiale. Vers 7h 40 les nuages vont d�finitivement masquer le ph�nom�ne. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne .";"Ph�nom�ne �voluant dans le ciel";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1985-09-01081
1269;"CAHORS (46) 1985";Lot;46;"(D) D�partement";1985;10;05;"le 5 octobre 1985 vers 19 h20, un automobiliste et ses passagers vont apercevoir un ph�nom�ne lumineux de dimension importante. Lors du d�placement de ce ph�nom�ne il vont voir une forme triangulaire avec des feux clignotants verts et rouges. Aucun bruit n'est entendu et la vitesse estim�e est de 80 � 100 km/h. Lors de l'enqu�te, il sera �tabli que des vols d'instruction de 25 minutes chacun et sur le m�me secteur ont eu lieu avec un appareil CESSNA type 150. Le pilote qui a plusieurs fois �clair� la cabine de pilotage et allum� le phare d'atterrissage pour ses �l�ves n'a rien observ� d'insolite lors de ces vols. Il est probable que les t�moins aient vu l'avion en question lors d'un des passages sur le secteur.";"observation probable d'un a�ronef.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.31;0.13;;;;;;;0.62;0.38;B;B;1985-10-01082
1270;"DANNEMARIE (68) 1985";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";1985;10;08;"Le 8 octobre 1985 des t�moins vont apercevoir des ph�nom�nes lumineux particuliers. Malgr� le temps orageux et les �clairs pr�sents en ce d�but de soir�e, un des t�moin aper�oit quatre fois de suite deux faisceaux de lumi�re aveuglante : la source lumineuse semble �tre situ�e � 1 km de chez lui, au-dessus d'un groupe d'arbres et plac�s sur un plan rectiligne. Deux autres t�moins vont voir des lumi�res rouges, bleues et blanches appara�tre trois fois de suite. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne";"Deux gros projecteurs diffusant une lumi�re blanche tr�s puissante.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1985-10-01083
1272;"FRESNES (94) 16.11.1985";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";1985;11;16;"le 16 novembre 1985 un t�moin aper�oit depuis son appartement au 4eme �tage un ballet circulaire de 5 disques blancs. Ce ballet semble avoir lieu � 2 km environ et sur un p�rim�tre de 500 m�tres. Les disques vont former un carr� autour d'un disque central. Puis les 4 disques vont rejoindre le disque central qui va grossir et devenir plus brillant. Le balai initial va soudainement reprendre et dispara�tre brusquement. Aucun bruit ne sera entendu. Bien que cette hypoth�se n'ai pas �t� approfondie par les gendarmes, la description du t�moin nous am�ne � privil�gier l'hypoth�se d'un ballet de faisceaux laser de type ""sky rose"".";"Observation probable d'un faisceau de projecteur publicitaire";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1985-11-01085
1273;"VILLERS BOCAGE (80) 1985";Somme;80;"(D) D�partement";1985;12;02;"Dans la soir�e du 2 d�cembre 1985 vers 22 heures plusieurs t�moins ont entendu un bruit sourd important. Sortant de chez eux ils ont pu voir un ensemble de lumi�res sur un engin volant : des lumi�res rouges � l'avant et � l'arri�re de l'objet ainsi que des lumi�res brillantes au milieu. Le passage de cet objet au-dessus du lotissement s'est fait lentement et les lumi�res et l'engin ont disparu progressivement. L'enqu�te �voque la possibilit� du passage d'un avion type ""Transal"" effectuant ce soir l� et � cette heure un vol dont l'itin�raire le faisait passer au-dessus de la commune.";"Engin tr�s bruyantsurvolant un lotissement.";O;3;;;;;;;;2010-03-15;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1985-12-01086
1274;"VANNAIRE (21) 03.01.1986";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";1986;01;03;" Le 3 janvier 1986 � la tomb�e du jour, un couple observe depuis son v�hicule une grosse boule qui descend progressivement et lentement vers l'horizon. De cette boule de couleur orang� s'�chappe de la fum�e noire. Cette observation a dur� entre 2 et 3 minutes sans que l'objet ne change de direction. Aucune autre information n' a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'une grosse boule de feu avec de la fum�e noire.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1986-01-01087
1276;"MAISONNAIS-SUR-TARDOIRE (87) 01.03.1986";Haute-Vienne;87;"(D) D�partement";1986;03;01;"Le 1 mars 1986 vers 19h30 un t�moin entend un bruit particulier de claquement � l'ext�rieur. Il trouvera le capot de sa voiture endommag� par un objet qui est en train de fondre. Ce t�moin d�pose l'objet dans son r�frig�rateur avant d'appeler la gendarmerie.
Cette masse cristalline de couleur bleue a une odeur de d�tergent. Sous la violence de l'impact, des fragments de cet objet se sont �parpill�s dans la cour laissant des traces bleues sur les feuilles des plantes touch�es. Les analyses ont montr� qu'il s'agissait d'effluent de tinette d'a�ronef.";"Chute d'un bloc de glace bleue sur le capot d'une voiture : chute d'un bloc glac� d'�ffluent de tinette d'avion.";O;1;1;;1;;;;;2012-07-25;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1986-03-01088
1278;"SAUSSAY (28) 17.03.1986";Eure-et-Loir;28;"(D) D�partement";1986;03;17;"Le 17 mars 1986 � environ 4h du matin, un t�moin affirme avoir vu un ph�nom�ne lumineux. Il s'agissait d'une sph�re qui projetait une lumi�re. Cette sph�re se d�pla�ait lentement �clairant une surface de 1000 m�tres carr�s. L'observation a dur� 20 secondes environ. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne vu l'heure tr�s matinale.";"Observation d'une sph�re �clairant le sol sur une surface d'environ 1000 M2.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1986-03-01090
1279;"[D929] vers SARRANCOLIN (65) 22.03.1986";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";1986;03;22;"Le 22 mars 1986 vers 6h15 un t�moin au volant de son v�hicule aper�oit durant 7 � 8 secondes un objet de forme sph�rique se d�pla�ant d'est en ouest. Cet objet est de couleur bleu sur sa partie avant et bleu-vert dans la partie qui se r�tr�cie � l'arri�re. Le t�moin estime la longueur de cet objet � 100 m�tres. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur cette observation qui pr�sente toutes les caract�ristiques d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'une forme sph�rique de plus de 100 m�tres.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1986-03-01091
1281;"MULHOUSE (68) 14.04.1986";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";1986;04;14;"Le 15 avril 1986 un t�moin observe durant 30 � 40 secondes depuis sa chambre un objet silencieux ayant la forme d'une aile delta. Aucune information suppl�mentaire n'a permis de faire une analyse s�rieuse concernant cette observation.";"Observation d'une forme en aile delta : manque d'information.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1986-04-01092
1282;"MASSY (91) 1986";Essonne;91;"(D) D�partement";1986;04;17;" Le 17 avril 1986 vers 21h30 un couple observe depuis leur appartement un ph�nom�ne lumineux. Une boule fixe de couleur rouge et de la grosseur d'un lampadaire sera observ�e pendant 1/4 d'heure. Aucune autre information ne sera recuellie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'une boule lumineuse.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1986-04-01093
1284;"CAZALS (82) 28.07.1986";Tarn-et-Garonne;82;"(D) D�partement";1986;07;28;"Le 28 juillet 1986 vers 22h00, deux personnes roulant en direction de Cazals observent dans le ciel d�gag� et durant une dizaine de secondes, trois boules ou disques immobiles et silencieux, de couleur jaune vifs et lumineux. D�cidant de faire demi-tour, les t�moins ne constatent plus rien dans le ciel. Une seule personne t�moignera succinctement.
Ce cas de 1986 a �t� signal� au GEIPAN en 2012. Il n'a pas �t� trouv� d'explication simple � ce ph�nom�ne. Une enqu�te sur ce genre de cas apr�s plus de 25 ans est bien s�r difficile � envisager.
Le GEIPAN ne peut se prononcer : ce cas est class� ""C"" par manque d'information.";"Observation rapide dans le ciel de trois boules ou disques immobiles et silencieux, de couleur jaune vif et lumineux : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1986-07-08173
1287;"NOYON (60) --.08.1986";Oise;60;"(D) D�partement";1986;08;--;"Ce t�moignage r�cent re�u en 2014 d'une observation ancienne (1986) ne mentionne pas de date du jour pr�cise (la date du premier ao�t est donn�e arbitrairement).
Le r�cit de points lumineux traversant le ciel du Nord au Sud en 12 minutes en soir�e �voque nettement le passage de satellites artificiels, comme on pouvait en observer facilement � cette �poque et encore plus de nos jours. Bien s�r la trajectoire en zig zag d�crite par le t�moin ne convient pas � cette hypoth�se, mais l'illusion autocin�tique (cf La perception du mouvement d'un point lumineux dans le ciel) explique cette impression, assez fr�quemment d�crite par des t�moins, dans certaines conditions d'observation. L'impression de fuite � grande vitesse correspond � l'entr�e du satellite dans l'ombre de la Terre.
Comme le t�moin n'a pas donn� de date pr�cise du jour, le GEIPAN n'a pu v�rifier quel satellite avait pu passer � ce moment l�.
Ce cas reste donc en cat�gorie ""C"" par manque de date pr�cise.";"Longue observation de points lumineux traversant le ciel du Nord au Sud ; pas de date du jour : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1986-08-08648
1290;"IVRY SUR SEINE (94) 1986";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";1986;09;06;"Le 26 septembre 1986 vers 21h30 un couple va observer durant 4 minutes environ une boule tr�s lumineuse. Cette boule de la grosseur d'une boule de p�tanque se d�place � la vitesse d'un avion d'est en ouest. Apr�s avoir d�gag� des projections rouge�tres, elle disparaitra brusquement. Malgr� la dur�e d'observation un peu longue, cette observation pr�sente les caract�ristiques d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'un objet lumineux de forme ronde se d�pla�ant � la vitesse d'un avion.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1986-09-01097
1291;"VELIZY-VILLACOUBLAY (78) 15.09.1986";Yvelines;78;"(D) D�partement";1986;09;15;"Le GEIPAN a re�u le 23.02.2008 un mail du t�moin l'informant de son observation d'un PAN le 15.09.1986 depuis la commune de VELIZY-VILLACOUBLAY (78). Se rendant � pied � son travail � 7h30, le t�moin est surpris de voir dans le ciel le d�placement silencieux d'une dizaine de lumi�res vertes identiques en d�placement d'Est en Ouest. Un seul t�moignage est recueilli.
Reprenons les points-cl�s de la description du PAN par le t�moin :
couleur verte.
d�placement horizontal d'Est en Ouest.
absence de bruit.
une dizaine de lumi�res identiques composent le PAN.
d�placement de toutes ces lumi�res de fa�on synchronis�e.
Tous ces points font penser � une observation soit de rentr�e atmosph�rique, soit de bolide fragment� (voir le compte rendu d'enqu�te).
Une recherche dans les bases de donn�es existantes et sur Internet � la date et � l'heure de l'observation n'a rien donn� concernant les deux hypoth�ses.
Cependant, en �largissant la recherche temporellement, nous trouvons d'autres t�moignages d'observations en tous points identiques effectu�es en Allemagne, en France et dans le Benelux, aux alentours de 7h30, mais le 23.09.1986 et non le 15.09.1986. Dans la r�gion parisienne, la presse s'est fait l'�cho de ces observations d�s le lendemain. Le journal � Lib�ration � du 24.09.1986 �voquait par exemple la pr�sence d'une quinzaine de points lumineux observ�s dans la r�gion. Apr�s enqu�te de plusieurs sp�cialistes des rentr�es atmosph�rique et d'astronomes, il s'est av�r� que le ph�nom�ne �tait un bolide fragment�. Toutes ses caract�ristiques concordent avec la description du t�moin : couleur, d�placement horizontal d'Est en Ouest, composition d'une dizaine de fragments...
Le pr�sent t�moignage a �t� fait 22 ans apr�s l'observation. Il y a tout lieu de penser que le t�moin s'est tromp� de date, mais l'heure de 7H30 a bien �t� m�moris�e. Cette erreur est totalement accr�dit�e par le fait que le t�moin mentionne le communiqu� de presse suivant l'observation du 23 septembre. � Il m'a dit que ce matin m�me en se rendant en voiture � son travail il avait entendu � la radio un journaliste qui d�clarait avoir vu quelque chose d'insolite dans le ciel d'Ile de France"".
En conclusion, le t�moin a observ� un bolide fragment� entrant dans l'atmosph�re.
Le GEIPAN classe le cas en A : observation d'un bolide.
";"Observation du d�placement silencieux d'une dizaine de lumi�res vertes dans le ciel : observation d'un bolide.";O;;;;;;;;;2018-03-15;;;0.10;0.25;;;0.80;;0.80;;0.65;0.00;A;A;1986-09-02382
1292;"VILLEMOMBLE (93) 06.10.1986";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";1986;10;06;"Le 6 octobre 1986 vers 19h45 deux t�moins vont observer un objet volant se d�pla�ant � une vitesse tr�s rapide et sans bruit. Cet objet triangulaire se d�place d'est en ouest � une hauteur estim�e � 600 m�tres. Aucune autre information sera recueillie.";"Objet volant � 600 m�tres d'altitude � tr�s grande vitesse.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1986-10-01098
1294;"CACHAN (94) 20.10.1986";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";1986;10;20;" Le 20 octobre 1986 vers 20h un t�moin se promenant dans la rue observe un objet volant de forme rectangulaire. Le devant de l'objet est arrondi avec un feu blanc et l'arri�re se termine en triangle. Sous l'engin m�tallique de couleur grise, le t�moin aper�oit un feu rouge et deux feux verts. Le d�placement est lent, sans bruit et � une altitude de 200 m�tres environ. Aucune autre information ne sera recueillie.";"Objet volant � 200 m�tres d'altitude.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1986-10-01100
1295;"VENDIN-LE-VIEL (62) HENIN-BEAUMONT (62) 12.11.1986";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1986;11;12;"Le 12 novembre 1986 � partir de 2h45, plusieurs personnes � Vendin-Le-Viel (62) et � Henin-Beaumont (62) observent dans le ciel un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue.
Cette observation d'un disque lumineux qui semble suivre les observateurs est d'un type maintenant bien connu des ufologues : une m�prise avec un astre, la Lune dans ce cas-ci.
On note que ce fut la premi�re interpr�tation d'un des t�moins : ""Mon coll�gue me dit : � La lune est bien basse aujourd'hui �."" interpr�tation pertinente, mais qui fut contest� par son coll�gue : ""Alors je lui dis : � Non ce n'est pas la lune �""
Pour v�rifier cette hypoth�se de Lune, il faut s'assurer que la direction d'observation est coh�rente avec la position r�elle de la Lune dans le ciel. La direction indiqu�e par les t�moins est assez mal d�crite dans le rapport d'audition car les t�moins ne disent pas de quelle c�t� de la route ils observent ; on note toutefois un information pr�cise "" Axe de la route de H�nin-Beaumont � Sallaumines"", c'est-�-dire plein Ouest (Azimut 270�). La carte du ciel montre la Lune � 261� � 2h45, � 3�30 d'�l�vation, c'est-�-dire tr�s proche de l'axe d'observation d�crit. On note aussi plus tard dans le t�moignage que les t�moins n'ont pas reconnu la Lune, pourtant bien pr�sente dasn leur champ de vue : ""il faut dire ce qui est : il n'y avait pas de lune,""
Les dessins des t�moins correspondent tout � fait � la Lune, gibbeuse ce soir l�, masqu�e temporairement et partiellement par des nuages. La description de l'�volution du ph�nom�ne qui s'abaisse lentement, en descendant en oblique, est absolument conforme � un coucher de Lune. Le t�moin indique la disparition � 3h07, alors que le coucher de l'astre est � 3h11 (Centre de l'astre � l'horizon, en terrain absolument d�gag�), ce qui est tout � fait coh�rent.
Ce cas typique de m�prise Lune observ�e en voiture est class� ""A"" comme parfaitement identifi�.";"Observations d'un disque lumineux dans le ciel qui semble suivre les observateurs : observations de la Lune.";O;6;;;;;;;;2014-09-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1986-11-01101
1296;"PRE EN PAIL (53) 1986";France;FR;"(N) National";1986;06;--;"Le 07 d�cembre 1986 une personne vient t�moigner sur la pr�sence d'un cercle de terre durcie dans un poulailler. Ce cercle d'un diam�tre de 1,10m est apparu courant juin. Dans une couronne de 0,40 m la terre n'absorbe pas l'eau et la v�g�tation est inexistante ou presque. De plus des picotements se font ressentir lorsque l'on p�n�tre dans le cercle. Deux autres t�moins ayant vu une colonne de lumi�re intense blanche courant juin sont �galement entendus dans le cadre de l'enqu�te. Le ph�nom�ne s'apparente � ce que l'on nomme des ronds de sorci�res vraisemblablement compos� de mycellium emp^chant toute v�g�tation. Cette hypoth�se n'explique pas les picotements ressentis par les t�moins que rien par ailleurs ne permet de confirmer.";"Cercle de terre durcie de couleur marron qui ne prend pas l'eau.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1986-11-01102
1297;"DREUX (28) 1987";Eure-et-Loir;28;"(D) D�partement";1987;01;06;"Le 7 janvier 1988 vers 0h45 plusieurs t�moins ont pu apercevoir dans un ciel parfaitement d�gag�, un ph�nom�ne lumineux. De couleur blanc orang� et ressemblant � un quartier de lune, ce ph�nom�ne a brusquement disparu avec une violente d�flagration suivi d'un point rouge qui s'est �teint. Il est probable qu'il s'agisse d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'une probable rentr�e atmosph�rique";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1987-01-01103
1298;"(DEP) CORSE-DU-SUD (2A) 08.03.1987";"Corse du Sud";2A;"(D) D�partement";1987;03;08;"Dans la nuit du 08 mars 1987, plusieurs t�moins vont entendre vers 20h 40 une d�flagration importante. Un autre t�moin va apercevoir juste avant la d�flagration, un objet ressemblant � une �toile filante de couleur rouge. Cet objet se d�place dans le ciel � grande vitesse. Il s'agit de la rentr�e rentr�e atmosph�rique d'une m�t�orite.";"Observation d'une m�t�orite";O;5;;;;;;;;2010-03-15;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1987-03-01104
1299;"SELONCOURT (25) 12.03.1987";Doubs;25;"(D) D�partement";1987;03;12;"le 12 mars 1987 vesr 6h du matin, un t�moin va apercevoir durant 4 � 5 secondes une boule lumineuse. D'un diam�tre �quivalent � celui de la pleine lune, cette sph�re se d�place sans bruit en laissant derri�re elle une l�g�re train�e incandescante. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'une boule lumineuse 4 � 5 secondes.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1987-03-01105
1300;"LANDSER (68) 09.07.1987";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";1987;07;09;"Le 9 juillet 1987 vers 23h55 un t�moin observe depuis sa fen�tre un objet de forme allong� semblable � un cigare. De cette observation qui n'a dur� que quelques secondes il ressort que cet objet avait une couleur rouge cuivr�, qu'il se d�pla�ait tr�s vite sans laisser de trace. Aucune autre observation de ce ph�nom�ne ne sera rapport�e.";"Observation d'un objet en forme de cigare se d�pla�ant � vive allure.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1987-07-01106
1301;"TOULON SUR ARROUX (71) 1987";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";1987;07;29;"Le 29 juillet 1987 vers 6h 45 deux t�moins en voiture vont apercevoir une masse blanche volumineuse et brillante qui se d�place rapidement au-dessus de la for�t communale. Cette masse a la couleur du m�tal poli et a une longueur approximative de 20 m�tres. Durant les quelques secondes d'observation, aucun bruit et aucune odeur ne sont remarqu�s. Cette masse dispara�tra sous la ligne d'horizon. Aucune explication n'a pu �tre avanc�e.";"Objet se d�pla�ant rapidement au-dessus des arbres .Aucun bruit.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1987-07-01107
1304;"NORT-SUR-ERDRE (44) 07.09.1987 � JOE LE TAXI �";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1987;09;07;"Le soir du 7 septembre 1987, l'ain� de deux enfants d'une famille d'agriculteurs, �g� de 10 ans se couche, �coute une cassette sur son appareil radio cassette, et se sentant fatigu�, arr�te l'appareil et s'endort. Vers 5 heures du matin il est r�veill� par un bruit : l'enfant distingue alors une lumi�re � travers les volets. Il se l�ve, prend son appareil radio cassette et le met en route pour enregistrer le bruit en m�me temps qu'il observe un disque lumineux orange avec une lumi�re clignotante. L'enregistrement dure une vingtaine de secondes et le ph�nom�ne lumineux dispara�t peu apr�s.
Lors de l'intervention du GEPAN, plusieurs reconstitutions sont effectu�es sans qu'aucune ne soit vraiment concluante.
Des pr�l�vements des �chantillons de feuillage des bouleaux o� est apparu la lumi�re, sont effectu�s. Le GEPAN prend �galement en charge la cassette originale aux fins d'expertise.
L'analyse de la cassette s'est attach�e � d�terminer comment le bruit avait �t� enregistr� avant d'essayer de l'identifier. L'expertise, men�e avec un appareil identique � celui utilis� par l'enfant a montr� sans ambiguit� qu' il s'agit d'un enregistrement r�alis� en interne de l'appareil et non via son microphone. Le bruit n'a donc rien � voir avec le ph�nom�ne lumineux observ� mais provient de bruit de r�ception interne, peut �tre en ondes courtes mais dont l'identification ne pr�sente plus aucun int�r�t pour l'enqu�te du GEPAN. Il s'agit donc au mieux d'une mauvaise manipulation, au pire d'une supercherie.
L'analyse biochimique des feuilles de bouleaux a �t� r�alis�e et donne des r�sultats mitig�s, l'un des �chantillons pr�sentant pour certaines de ses caract�ristiques un �cart par rapport aux autres qui pourraient �ventuellement s'expliquer par un stress thermique ou lumineux alors qu'aucune d�t�rioration n'apparait sur le feuillage. Ces r�sultats ne sont pas vraiment probants, les analyses n'�tant pas enti�rement coh�rentes en fonction des param�tres recherch�s.
Le t�moin, pr�-adolescent � l'�poque des faits, a admis plutard qu'il avait imagin� cet �v�nement pour attirer l'attention de ses parents sur lui, � une p�riode difficile de sa vie d'enfant. Par la suite, pris dans l'engrenage des �v�nements, il n'a pas pu faire marche arri�re.
Ce cas class� initialement en cat�gorie D, est reclass� en A : cas d'observation parfaitement expliqu�.";"R�cit d'observation par un enfant d'un disque lumineux orange avec enregistrement d'un bruit.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1987-09-01110
1305;"(DEP) CHER (18) 18.08.1987";Cher;18;"(D) D�partement";1987;08;18;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� NEUVY SUR BARANGEON (18) 1987 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (Voir les notes d'enqu�te).
Le 18 ao�t 1987 vers 22h15 un habitant (T1) de NANCAY (18) et deux habitants (T2 et T3) de VOUZERON (18) observent depuis leur domicile un ph�nom�ne lumineux en direction du Nord-Nord-Ouest dans le ciel. T1 d�crit ""deux lumi�res"" se d�pla�ant conjointement et sans bruit. T2 d�crit le PAN comme �tant une ""lueur vive couleur blanche"" ayant la forme ""d'un cigare lumineux"" et effectuant un virage pour partir en direction de Vierzon. T3 d�crit le PAN comme �tant "" une grosse lueur blanche brillante"" et apr�s avoir bien observ� le PAN il lui semble voir ""deux lueurs brillantes blanches l�g�rement plus petites ainsi qu'une ""lumi�re rouge clignotante"" situ�e sous le PAN. T3 confirme le virage et le d�part en direction de Vierzon.
Bien que les t�moins d�crivent une m�me direction d'apparition du PAN, il n'est pas certain qu'ils aient observ� la m�me chose, car les descriptions de PAN observ�s sont diff�rentes surtout entre T1 d'une part, et T2 et T3 d'autre part.
Les t�moins sont persuad�s d'avoir vu un � OVNI �. Pourtant l'observation pr�sente beaucoup de caract�ristiques d'une m�prise avec un avion de ligne : pr�sence de plusieurs lumi�res, forte luminosit�, virage dans la trajectoire.
Le long d�lai entre l'observation et ce r�examen du cas par le GEIPAN emp�che toute identification formelle de l'�ventuel avion responsable de l'observation. N�anmoins, une reconstitution montre que les vols en partance de Paris en direction de l'Afrique de l'Ouest (exemple : Dakar) survolent r�guli�rement la r�gion o� a eu lieu l'observation. Or, il est � noter que lors de ces survols, les avions atteignent alors leur altitude de croisi�re et entament un virage vers le Sud-Sud-Ouest dans la r�gion de Nan�ay. Ce changement de trajectoire est tr�s coh�rent avec le virage effectu� par le PAN d�crit par les t�moins.
Puisque les avions survolent habituellement le secteur, il a fallu des �l�ments cr�ateurs d'�tranget� par rapport � un avion usuel. Ces �l�ments diff�rent selon les t�moins, m�me entre t�moins (T2 et T3) dont on est certain qu'ils ont vu le m�me PAN. Il semble que ce soit :
- La forte lueur blanche (T2 et T3), unique pour T2, double pour T1, et aussi (mais de mani�re moins distinguable sans que l'on sache si c'est en plus ou non d'une lumi�re unique plus forte) pour T3.
- La forme de cigare lumineux pour T2, forme allong�e pour T3. Rien de tel pour T1.
- L'absence de bruit, dont l'�tranget� viendrait d'une perception de distance limit�e puisque la forme du PAN est distinguable (pour T2 et T3).
Cette dominance de lueur blanche peut r�sulter des phares de l'avion (ou des avions si plusieurs PAN). Il pourrait ainsi s'agir d'avions qui ont leurs phares allum�s soit apr�s d�collage (le plus probable) soit avant atterrissage. T1 a pu voir les deux phares d'un m�me avion. Les phares peuvent �tre allum�s au-dessous de 4000 m ou lors de phases de changement de niveau de vol. Ces avions ne sont peut-�tre pas des avions en phases de croisi�res et ne sont peut-�tre pas des avions de lignes. La pr�sence de phares peut expliquer la perception de forme ou cigare lumineux par la r�flexion sur la carlingue (cas de phares dans les ailes), elle est coh�rente aussi avec les lumi�res rouges clignotantes observ�es par T3, �galement utilis�es au sol et � basse altitude par beaucoup d'a�ronefs. La non perception des feux fixes de navigation vert et rouge peut r�sulter de la pr�sence des phares dont la lueur surpasse les premiers. Cela peut aussi expliquer la non perception des feux � �clats blanc, mais ils ont pu ne pas �tre pr�sents car ces derniers ne sont pas obligatoires pour tous les avions et phases de vol.
L'absence de perception de bruit est usuelle dans les m�prises avec les a�ronefs. On note ici que le vent est transverse � la direction d'observation et ne favorise pas le bruit.
Les �l�ments d'observation plaideraient pour un vol non usuel (dans ce secteur) � basse ou moyenne altitude d'un ou plusieurs avions. Nous n'avons aucun moyen pour valider une telle hypoth�se 30 ans apr�s mais force est de constater que cela est possible et pourrait produire la m�me perception (y compris multiforme) pour les t�moins.
Ces t�moignages et donn�es collect�es manquent de consistance. Aucun relev� a�ronautique n'a �t� fait � l'�poque, nous ne disposons d'aucun relev� de mesures angulaires de position du PAN dans le ciel et la taille angulaire du PAN. Rien n'a �t� entrepris pour comprendre ou valider les diff�rences entre les t�moignages, ni pour d�tecter les possibles influences entre t�moins. (Ils ont parl�s entre eux avant d�position).
Il n'est pas possible apr�s r�examen de qualifier ce cas d'inexpliqu�, puisque :
- d'une part l'hypoth�se avion pourrait l'expliquer moyennant des conditions non usuelles (sans pour autant �tre extr�mes, loin de l�) pour le lieu (moyenne ou basse altitude, un ou deux avions tr�s proches).
- D'autre part le niveau d'�tranget� t�moign� ne peut �tre valid�, la consistance du cas est trop faible.
Aussi, bien que l'hypoth�se avion soit plausible, la faible consistance des t�moignages conduit � classer le cas en C : manque d'information fiable.
";"Observations depuis deux communes par trois t�moins du d�placement silencieux d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel nocturne : manque d'information. ";O;3;;;;;;;;2018-03-26;;;0.45;0.00;;;0.60;;0.60;;0.40;0.00;C;B-;1987-09-01111
1307;"ARRAS (62) 29.09.1987";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1987;09;29;"Le 29 septembre 1987 deux t�moins vont observer durant quelques secondes un ph�nom�ne lumineux. Un point brillant d'un diam�tre plus important que celui d'une �toile filante se d�place rapidement dans un ciel tr�s d�gag�. Apr�s une trajectoire pratiquement rectiligne, ce point blanc va s'�teindre. La description indique qu'il s'agit vraisemblablement d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2009-11-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1987-09-01113
1308;"VERNOUX EN VIVARAIS (07) 1987";Ard�che;07;"(D) D�partement";1987;10;02;" Le 1er octobre 1987 vers 2h du matin, un automobiliste et son fils apercoivent dans la campagne plusieurs lumi�res distantes de plusieurs m�tres. Cette m�me observation se r�p�te lors de trois arr�ts sucessifs. L'enqu�te d�montrera qu'il s'agit des phares et de deux projecteurs de 40 watts d'un camion citerne �quip� sp�cifiquement � l'arri�re pour le ramassage du lait.";"Observation de lumi�res distantes d'une quinzaine de m�tres.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1987-10-01114
1310;"GUEUTTEVILLE-LES-GRES (76) 04.10.1987";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1987;10;04;" Au cours des nuits du 4 au 18 octobre 1987, un t�moin observe dans le ciel un point tr�s lumineux. Suite � un article paru dans la presse r�gionale de nombreux autres t�moins de cette observation se manifestent. Il s'agit probablement de la plan�te Jupiter pr�sentant avec ses satellites une intense et spectaculaire activit� en cette p�riode de l' ann�e.";"PROBABLEMENT ETOILE (POINT LUMINEUX OBSERVABLE SUR UNE LONGUE PERIODE)";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1987-10-01116
1312;"MONTFORT-SUR-MEU (35) 27.11.1987";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";1987;11;25;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� MONTFORT-SUR-MEU (35) 27.11.1987 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 25 novembre 1987 vers 20h20 (T1) et le 27 novembre vers 23h30 (T2, T3, T4, T5), plusieurs t�moins observent longuement un ph�nom�ne lumineux en direction de l'Ouest. Cet objet de couleur rouge vif est en forme de boule ou de banane pour certains t�moins. L'objet parait stationnaire ou en lent d�placement. Aucun bruit n'est per�u.
D'apr�s l'enqu�te de gendarmerie, plusieurs t�moins sont entendus. Aucune trace suspecte n'a �t� relev�e au sol par la gendarmerie dans le secteur concern�. Aucun ballon sonde n'a �t� lanc� dans le cr�neau indiqu� depuis la station m�t�orologique de Rennes Saint-Jacques (35). Aucun vol d'h�licopt�re n'a �t� �ffectu� de nuit dans les jours indiqu�s.
Ce cas est consistant (plusieurs t�moins), la description des PAN observ�s est tr�s pr�cise (voir les notes d'enqu�te). Une hypoth�se est envisag�e : l'observation astronomique.
La longueur du temps d'observation (jusqu'� un quart d'heure environ pour les deux cas), ainsi que le fait que le PAN soit relativement stable ou avance tr�s lentement sont des premiers indicateurs de ce type de m�prise. Le ciel plut�t d�gag� autorise aussi cette hypoth�se.
Mais les autres d�tails fournis par les observations permettent d'�tablir avec certitude l'explication du PAN par une m�prise avec la Lune :
- cette derni�re �tait alors au coucher exactement dans les directions d'observation (la Lune est � 222� pour la premi�re observation et � 245� pour la deuxi�me alors que ces observations se situent toutes deux au voisinage du pyl�ne autour de 235�).
- le d�placement effectif de la Lune (vers l'Ouest et vers le sol) est �galement coh�rent aux descriptions.
- les PAN observ�s les 25 et 27 novembre sont d�crits comme d'un diam�tre apparent important et assez lumineux et (surtout pour le 27 novembre) selon des descriptions tout � fait typiques de la Lune, en phase proche du Premier Quartier, au coucher.
- les couleurs des deux PAN sont parfaitement coh�rentes avec les couleurs arbor�es par la Lune en phase de coucher.
- les cinq t�moins affirment tous que ce qu'ils ont vu n'�tait pas la Lune. Or, aucun d'eux ne mentionne o� se situait la Lune par rapport au PAN, ni m�me s'ils ont effectivement vu la Lune (Par ex T2 dit � Je suis affirmative ce n'�tait pas la lune. Il n'y avait qu'un seul objet �). Ceci, alors que la Lune �tait bien l� dans la direction indiqu�e et non cach�e par les nuages car, au moins le 27 novembre, le ciel �tait signal� comme totalement d�gag� et �toil� par les t�moins (et par la station m�t�o de Rennes).
Pour la premi�re observation (T1 le 25 novembre), la m�prise avec la Lune a probablement �t� favoris�e par la pr�sence de voiles de nuages (ou de nuages �parses), recouvrant par moment partiellement ou totalement la Lune (ce qui est compatible avec les donn�es m�t�o). Il est ainsi permis d'expliquer la forme presque ronde ou ovale (et non pas de demi-lune), la disparition et r�apparition et aussi les mouvements avant arri�re (illusion optique provoqu�e par la variation d'intensit� de la partie de Lune visible selon le recouvrement et/ou la transparence du voile).
Pour le 27 Novembre, T2, T3, T4 et T5 d�crivent bien un objet en forme de croissant, de banane, ou de demi-Lune et selon des couleurs jaunes ou rouges... et pour autant ne reconnaissent pas la Lune dans un ciel par ailleurs d�crit sans nuages.
C'est un �l�ment �tonnant, d'autres �l�ments non rapport�s ont peut-�tre pu tromper les t�moins, peut-�tre y avait-il un minimum de voile nuageux trompeur, la conclusion de m�prise avec la Lune n'en reste pas moins incontournable au vu des nombreux autres �l�ments.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : m�prise avec la Lune au coucher.";"Observations sur deux nuits de la pr�sence d'un ph�nom�ne lumineux � tr�s basse altitude : m�prise avec la Lune au coucher.";O;5;;;1;;;;;2017-12-18;0.10;;0.10;0.00;0.90;;0.88;0.80;0.82;0.70;0.70;0.00;A;A;1987-11-01118
1313;"TOURCOING (59) 08.12.1987";Nord;59;"(D) D�partement";1987;12;08;"Le 8 d�cembre 1987, un t�moin observe depuis sa cuisine un point tr�s brillant stationnaire qui se d�placera lentement au bout de 5 minutes environ.
Le t�moignage contient trop peu d'information pour effectuer une analyse s�rieuse.";"Observation d'un point brillant stationnaire puis se d�pla�ant lentement : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1987-12-01119
1314;"MOUSSAN (11) 12.12.1987";Aude;11;"(D) D�partement";1987;12;12;"Suite � un article paru dans le journal 'l'Ind�pendant"" du 20 d�cembre 1987, la gendarmerie auditionne un t�moin qui dit avoir rencontr� le 12 d�cembre 1987, � l'abri de la pluie dans les ruines d'une maison, un groupe de 6 personnes �tranges avec lesquels il a �chang� quelques mots. Ces personnes rapportent venir d'une autre plan�te et l'un d'entre eux dessine au sol deux signes qu'il traduit pour le t�moin. Ils monteront ensuite sur des engins sans roues ressemblant � des traineaux. Le t�moin entendra un bruit ressemblant � des ultrasons lors du d�part des engins. Le t�moin retourne sur place avec sa fille deux heures apr�s son observation et trouve des traces rondes au sol � la place des pieds des personnages. La gendarmerie lors de l'enqu�te ne trouvera aucune trace au sol et aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Ce cas tr�s �trange mais peu consistant (t�moin unique, absence de traces au sol pourtant all�gu�es) pr�sente quelques d�tails rendant le t�moignage douteux : la plan�te d'origine des extraterrestres (""Earth"") n'�tant qu'une simple traduction en anglais du mot ""Terre"", personnages parlant un fran�ais approximatif, incoh�rence entre la description de sportifs au repos et la taille estim�e � 1m ou 1,5m
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas est class� comme PAN C par manque d'informations fiables.";"Rencontre du 3eme type : manque d'informations fiables.";O;1;;;;;;;;2013-12-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1987-12-01120
1317;"PORT-LA-NOUVELLE (11) 26.01.1988";Aude;11;"(D) D�partement";1988;01;26;"Le 26 janvier 1988 � 21h15 un t�moin observe plusieurs fois un objet imposant, volant � basse altitude, dont la forme lui fait penser � un casque avec deux ailes. Aucun bruit n'est entendu lors des d�placements de l'objet. De l'int�rieur �mane une lumi�re blanche qui devient orang�e.L'objet dispara�tra en s'�loignant rapidement. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation d'un objet en forme de casque , imposant et changeant de direction";O;1;;;;;;;;2010-09-15;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1988-01-01123
1320;"CALAIS (62) 1988";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1988;02;05;" le 4 f�vrier 1988 entre 19h45 et 20h 30 deux t�moins observent une boule de couleur vert se d�pla�ant d'est en ouest lentement. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation d'une boule lumineuse verte se d�pla�ant d'est en ouest";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1988-02-01125
1321;"GIVRY (71) 06.02.1988";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";1988;02;06;"Au cours de la nuit du 6 au 7 f�vrier 1988 deux automobilistes circulant sur la m�me route mais � des heures diff�rentes vont observer un ph�nom�ne lumineux. Une sph�re �met une lumi�re blanche intense et semble se d�placer. Aucun bruit n'est entendu. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation br�ve d'une lumi�re vive, aucun bruit";O;2;;;;;;;;2010-03-15;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1988-02-01126
1325;"VALENSOLE (04) 12.03.1988";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1988;03;12;"Le 22 mars 1988 vers 20h15, un t�moin dans son v�hicule, observe au-dessus d'un �m�teur radio une puis deux boules de dimensions importantes, de couleur rose et fluorescentes. Son observation durera entre cinq et huit minutes. L'enqu�te ne permettra pas de recueillir d'autres informations.";"OBSERVATION DE 2 BOULES AU-DESSUS D'UN �METTEUR RADIO";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1988-03-01130
1326;"LOPERHET (29) 22.09.1988";Finist�re;29;"(D) D�partement";1988;09;22;"Le jeudi 22 septembre 1988 � 03h 15 un t�moin observe pendant dix minutes un point brillant de la grosseur d'une grosse �toile. Ce point se d�place en zig zag et laisse une train�e de couleur vert fluo. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'un point lumineux se d�pla�ant en zig-zag.";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1988-03-01131
1328;"MARINES (95) 1988";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";1988;04;13;" Des t�moins vont observer dans la nuit du 13 au 14 avril 1988 un objet de forme circulaire, gros comme une �toile et tr�s brillant. Cet objet se dilate pour revenir aussit�t � sa taille initiale. Il dispara�tra progressivement � l'horizon. Aucune autre information n'est disponible pour expliquer ce ph�nom�ne.";"Observation d'un objet tr�s lumineux, gros comme une �toile.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1988-04-01133
1329;"NANCY (54) 21.04.1988";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";1988;04;21;"Le 21 avril 1988 � 4 h 54 un t�moin, � peine sorti de son sommeil peupl� de r�ves bizzares, d�clare voir une boule blanche tr�s brillante. Cette boule s'est d�plac�e lentement en changeant de couleur et en diminuant de volume. L'enqu�te des gendarmes a montr� qu'on ne pouvait accorder que peu de cr�dit au t�moignage.";"Observation d'une boule se d�pla�ant lentement";O;1;;;;;;;;2017-02-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1988-04-01134
1330;"JOUARS-PONTCHARTRAIN (78) --.--.198-";Yvelines;78;"(D) D�partement";198-;--;--;"T�moignage en 2008 d'une observation faite dans les ann�es 1988-1990 (le t�moin ne se souvient plus de la date exacte (printemps �t� 1988-1990). La date du 01/04/1988 est donn�e arbitrairement.
Au cours du printemps ou d'un �t� des ann�es 1988-1990 trois personnes arrivant sur leur terrain sont intrigu�s par la pr�sence d'une trace au sol en bordure d'une haie. Cette trace en forme de cercle a une largeur d'une vingtaine de centim�tres vient de l'�crasement de l'herbe. Le cercle ainsi form� a un diam�tre ext�rieur d'� peu pr�s 2 m�tres. Cette trace restera mat�rialis�e plusieurs mois par une croissance diff�rentielle de l'herbe affect�e par rapport au reste du jardin. Un seul t�moignage sera recueilli.
Il s'agit d'un t�moignage non exploitable par le GEIPAN. En effet il ne d�crit pas un PAN ( ph�nom�ne a�rospatial) mais un cercle au sol sans possibilit� de faire un lien avec un PAN car aucun PAN d�crit.
Le GEIPAN classe ce cas en C : manque d'information.";"Pr�sence d'une trace circulaire au sol d'herbe �cras�e ; croissance diff�renci�e de l'herbe affect�e par rapport au reste du jardin : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.00;0.00;;;;;;;0.00;0.00;C;A-;1988-04-02015
1331;"ROCHEFORT SUR MER (17) 1988";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";1988;05;04;" Dans la nuit du 03 au 04 mai 1988 des agents de surveillance d'une base a�ronautique navale aper�oivent dans le ciel une boule de couleur verte ayant une trajectoire rectiligne. Aucune autre information sur ce ph�nom�ne ne sera recueillie.";"Observation d'une grosse boule verte.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1988-05-01135
1332;"HULLUCH (62) 28.06.1988";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1988;06;28;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� WINGLES (62) 28.06.1988 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment. (voir le compte rendu d'enqu�te).
Dans la nuit du 28 juin 1988 un t�moin (T1) et sa femme (T2) observent � partir de 22h20 des apparitions successives de boules lumineuses dans le ciel nuageux. Ces boules se d�placent dans tous les sens rapidement et sans bruit faisant comme des ""voltiges"" ou des ""ballets"". Le T1 verra appara�tre un engin de grande taille de la forme d'une ogive. De cette masse gris�tre sortent 4 rayons lumineux blancs qui clignotent. Stationnaire une trentaine de secondes il disparait brusquement � 02h10. Seuls deux t�moignages sont recueillis.
La description avait pu paraitre �trange lors de la premi�re analyse du cas en 1988. Avec l'exp�rience acquise par le GEIPAN, il y a peu de doute aujourd'hui. La description est conforme � des r�flexions dans le ciel d'un ensemble de projecteurs utilis�s � des fins publicitaires.
Les faisceaux montant des projecteurs sont peu visibles ici, les t�moins voient surtout les impacts sur un �cran de ciel. Le motif form� par ces impacts est typique des capacit�s de balayage et rotation des dispositifs utilis�s :
- Forme circulaire ou en �ogive �, selon la perspective cr��e par l'angle d'observation.
- Mouvements de grande amplitude, en va-et-vient, parfois toujours selon la m�me trajectoire, parfois en effectuant diverses figures, ainsi que des arr�ts.
- Couleur et luminosit� des PANs : une lumi�re blanch�tre n'�blouissant pas.
Dans l'exp�rience GEIPAN, on peut rencontrer diverses configurations : visibilit� des impacts seuls, des faisceaux seuls, des deux � la fois. Ce sont les conditions m�t�orologiques qui d�terminent la visibilit� et la distance de visibilit�, et cela explique le caract�re al�atoire voire fugitif des ph�nom�nes (les projecteurs d'une discoth�que proche peuvent n'�tre que rarement visibles quand une autre ailleurs produit des effets lointains et fr�quents) :
- On v�rifie ici la pr�sence d'une couverture nuageuse basse, pouvant cr�er l'�cran dans le ciel.
- On note aussi que les t�moins observent une pr�sence de faisceaux partiels, juste sous les PANs ou de rayons s'�teignant et s'allumant r�guli�rement, �galement sous les PANs.
On sait que les ann�es 80 voient l'apparition en nombre de ce type de projecteurs, aussi bien dans les discoth�ques qu'� l'occasion de diverses manifestations (f�tes foraines, concerts). La date de l'observation �tant un mardi soir, l'hypoth�se de la discoth�que est plut�t � exclure (sauf pour des essais ?) et il s'agirait donc d'une manifestation ponctuelle, ayant pu se tenir dans Lens (� quelques kilom�tres) ou ses pourtours. Il est difficile, presque 30 ans apr�s, d'enqu�ter plus sur la possibilit� de l'�v�nement.
La pr�sence de l'�v�nement producteur (projecteurs) ne peut pas �tre �tablie mais, dans la mesure o� elle est parfaitement possible, la tr�s forte correspondance d'un aspect visuel qui par ailleurs ne ressemble � rien d'autre (cf compte rendu d'enqu�te ) et la conformit� des conditions de m�t�orologie suffisent pour �tablir l'hypoth�se comme probable.
En cons�quence, le Geipan classe le cas en B : observation probable de lasers ou � skytracer �.";"Observations de ""voltige"" ou ""ballets"" de plusieurs boules lumineuses dans le ciel nuageux : observations probables de lasers ou � skytracer �.";O;2;;;;;;;;2017-11-30;0.35;;0.35;0.00;0.80;;0.80;0.70;0.70;0.55;0.55;0.00;B;B;1988-06-01136
1333;"BROMMAT (12) 18.07.1988";Aveyron;12;"(D) D�partement";1988;07;18;"Le 18 juillet 1988 en soir�e, un t�moin observe bri�vement une intense lumi�re. Une boule bleue de la taille de la pleine lune traverse le ciel � une vitesse tr�s rapide et sans bruit. Il s'agit probablement d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation vraisemblable d'une rentr�e dans l'atmosph�re.";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1988-07-01138
1334;"REVIGNY SUR ORNAIN (55) 1988";Meuse;55;"(D) D�partement";1988;07;30;"Dans la soir�e du 30 au 31 juillet 1988 vers 21h30, des t�moins observent � la jumelle, un objet cylindrique illumin� qui avance lentement vers le soleil. Il dispara�tra derri�re des nuages. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation d'un objet cylindrique � la jumelle";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1988-07-01139
1335;"SAINTE-MAXIME (83) 06.08.1988";Var;83;"(D) D�partement";1988;08;06;" Depuis la terrasse de sa villa de vacances et avec toute sa famille, un t�moin d�clare avoir vu dans la nuit du 06 au 07 a�ut 1988 un objet lumineux de forme longitudinale se d�pla�ant tr�s vite et sans bruit. L'objet dispara�tra sans laisser de traces. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie pour expliquer ce ph�nom�ne.";"OBSERVATION D'UN OBJET SE D�PLA�ANT SANS BRUIT";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1988-08-01140
1336;"MOREZ (39) 11.08.1988";Jura;39;"(D) D�partement";1988;08;11;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� ROUSSES (LES) 11.08.1988 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Il concerne l'observation des d�placements d'un PAN avec des flashes intermittents par deux t�moins, le 11 ao�t 1988 vers 00 heures 50. Militaires stagiaires, ils sont en bivouac au lieu-dit � le chalet de Bonnefoy � dans la for�t dite du � Risoux � sur la commune de MOREZ (39). Les t�moins sont d'abord intrigu�s par la pr�sence de flashes blancs dans le ciel nocturne, puis par la vitesse et la trajectoire particuli�re du PAN tout comme l'absence de bruit. Le PAN, d�crit comme une forme allong�e, dispara�t de leur vue en prenant une trajectoire descendante et en �tant cach� par le paysage. La Gendarmerie alert�e ne recueillera aucun autre t�moignage sur ce ph�nom�ne durant son enqu�te.
Les points d'�tranget� relev�s par les t�moins durant leur observation peuvent tous �tre expliqu�s par une simple confusion avec un avion et ses feux anticollision observ�s dans des conditions particuli�res.
La vitesse du PAN, d�crite comme �tant � sup�rieure � celle d'un Mirage type F1 � par T1, est en r�alit� particuli�rement difficile, voire impossible, � appr�cier de nuit, sans aucun rep�re fixe et sans conna�tre l'altitude de d�placement du PAN, et ce m�me pour un t�moin affirmant � avoir l'habitude de voir �voluer les mirages �.
La perception du bruit est, elle aussi, tr�s d�pendante d'autres facteurs, inconnus dans le cas pr�sent, tels que la distance s�parant les t�moins du PAN, l'environnement sonore, la perception auditive propre des t�moins, la puissance sonore �mise par le PAN et la force et la direction du vent. Il existe dans les archives GEIPAN de nombreux cas av�r�s (dont avec preuve Radar) d'observations d'a�ronefs sans perception de bruit. Aussi, faute de pr�cisions sur ces param�tres, l'absence de perception de bruit n'est pas d�terminante.
T1 affirme par ailleurs que les lumi�res �taient � trop intenses � pour �tre celles d'un avion. Or, nous sommes dans une configuration d'observation particuli�re et inhabituelle pour les t�moins. En effet, ceux-ci se trouvent plac�s dans une situation d'observation nocturne temporaire, en for�t, loin de toute pollution lumineuse et de lumi�res parasites, alors qu'ils r�sident habituellement en agglom�ration. Par ailleurs, se trouvant dehors depuis plusieurs heures, leur vision nocturne � largement eu le temps de s'accoutumer � l'environnement, qui est particuli�rement sombre.
De ce fait, toute lumi�re forte, m�me lointaine, leur appara�tra comme �tant tr�s intense.
Un autre aspect d'�tranget� pour les t�moins, et en particulier pour T1, est l'impression que le PAN se d�place de mani�re � sinuso�dale �. Le fait que T2 affirme que le PAN se d�pla�ait en suivant un � trac� rectiligne � et que � le plan de vol �tait irr�gulier, elle [cette forme] montait et descendait toujours assez rapidement �, nous donne des indices sur ce que T1 a per�u et sur la nature du d�placement r�el du PAN.
L'alternance rapide des feux anticollision plac�s � des endroits distants de l'avion et l'impossibilit� de nuit de percevoir la forme de l'avion peuvent, selon un angle d'observation propice, cr�er une illusion perceptive de d�placement sinuso�dal rapide issu des seules lumi�res, alors que le d�placement est bien entendu rectiligne. Ceci peut �tre constat� sur des vid�os accessibles sur le net.
Le dernier point d'�tranget� relev� par les t�moins concerne l'arr�t apparent, puis la descente � vers le sol � du PAN. Ceci s'explique ais�ment par un gain temporaire d'altitude de l'avion selon un d�placement s'effectuant le long de l'axe d'observation, ce qui produit un effet d'immobilit� apparente. Une fois le palier d'altitude atteint par l'avion, l'angle d'observation diminue de nouveau jusqu'� ce que l'avion disparaisse derri�re les arbres. De plus, la forte luminosit� des feux anticollision de l'avion, perceptible de tr�s loin, accentue l'impression qu'il reste relativement proche ; par cons�quent cette phase finale d'observation est assimil�e par les t�moins comme �tant une � descente �, alors qu'il s'agit en r�alit� d'un �loignement.
La vraisemblance d'un avion en lieu et date, hormis la compatibilit� � l'observation telle qu'�valu�e ci-dessus, est bonne. Il y a 5 a�roports dans un rayon de 120 km du lieu dont 4 internationaux et un militaire. Un avion issu de l'un de ces a�roports n'est pas encore en altitude de croisi�re et peut donc cr�er les illusions expliqu�es avec ses diff�rents feux et ses changements d'altitude.
La consistance est m�diocre. Toutes les donn�es angulaires utiles sont absentes (dimensions du PAN, �l�vation sur l'horizon initiale et finale). Les donn�es temporelles sont impr�cises, voire �galement absentes.
En cons�quence GEIPAN classe le cas en B : observation d'un avion.
";"Observations nocturnes de flashes blancs clignotants semblant provenir d'une forme allong�e en d�placement � haute altitude : observation d'un avion.";O;2;2;;1;;;;;2019-02-11;;;0.25;0.00;;;0.70;;0.50;;0.35;0.00;B;B;1988-08-01141
1337;"MAISONS-ALFORT (94) 13.08.1988";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";1988;08;13;"Le 11 aout 1988, un t�moin observe durant une dizaine de minutes le passage d'un objet blanc qu'il identifie lui-m�me comme �tant probablement un ULM.";"Observation probable d'un ULM";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1988-08-01142
1338;"BRIGNOLES (83) 17.08.1988";Var;83;"(D) D�partement";1988;08;17;"Le 17 ao�t 1988 vers 22 heures 30 plusieurs t�moins observent fugitivement dans le ciel une boule orange suivie d'une lumi�re bleut�e. Les t�moignages diff�rent quelque peu notamment au niveau de la vitesse. Bien que l'objet puisse �galement faire penser � la lune, il s'agit probablement d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1988-08-01143
1339;"NONTRON (24) 09.08.1988";Dordogne;24;"(D) D�partement";1988;08;09;"Le 9 ao�t 1988, vers 22 heures 45, un t�moin observe une lueur verte tr�s vive qui �volue de fa�on tr�s rapide selon une ellipse. Une seconde lueur verte �galement appara�t soudain et finit par se confondre avec la premi�re. Aucun bruit n'est per�u et ce ph�nom�ne est observ� durant une 1/4 d'heure environ. Aucun �l�ment ne permet de le confirmer formellement mais ce ph�nom�ne fait fortement penser aux effets d'un projecteur laser.";"Observation d'une lueur verte tr�s vive tournant rapidement selon une ellipse pendant 15 minutes environ.";O;1;;;;;;;;2008-04-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1988-08-01144
1342;"BOURGOGNE SEPTEMBRE 1988";France;FR;"(N) National";1988;09;04;"Dans la nuit du 4 au 5 septembre 1988, vers 1 heure 15, de nombreux t�moins r�partis dans plusieurs d�partements du centre de la France, essentiellement en Bourgogne, ont observ� une forte lueur jaun�tre ou blanche selon les t�moins de forme ovale avec une grande train�e rouge�tre qui a travers� le ciel rapidement durant quelques secondes. Le ph�nom�ne a �t� particuli�rement important dans l'Yonne o� de nombreux t�moins ont pu l'observer. Suivant leur position g�ographique, les t�moins ont entendu plus ou moins fort le bruit de 4 ou 5 d�flagration au moment de la disparition du ph�nom�ne. Cette d�flagration a �t� particuli�rement bien per�ue dans la Ni�vre et l'Yonne, mais le ph�nom�ne a �t� observ� jusque dans l' Essonne. Le ph�nom�ne est vraisemblablement un rentr�e atmosph�rique de grande ampleur.";"Observation vraisemblable par de nombreux t�moins d'une rentr�e dans l'atmosph�re";O;30;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1988-09-01146
1343;"SELONCOURT (25) 07.09.1988";Doubs;25;"(D) D�partement";1988;09;07;"Le 7 septembre 1988 vers 23 heures, un t�moin observe le passage tr�s rapide d'une boule lumineuse suivie d'une train�e blanche semblant faire des �ticelles. Le ph�nom�ne a travers� le ciel en une fraction de secondes. La description du t�moin am�ne � privil�gier l'observation d'une probable rentr�e atmosph�rique.";"Observation vraisemblable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2010-03-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1988-09-01147
1344;"TOURNAI-SUR-DIVE (61), SAINT-LAMBERT-SUR-DIVE (61) 06.09.1988";Orne;61;"(D) D�partement";1988;09;06;"Ce cas d'observation anciennement connu sous le nom de TRUN (61) 06.09.1988 fait partie des cas class�s � D � par le SEPRA. Il a fait l'objet d'un nouvel examen r�cemment (voir le document Notes d'enqu�te).
A partir du 6 septembre 1988, plusieurs personnes vont observer dans le ciel la pr�sence et le d�placement d'un ph�nom�ne lumineux qui leur est inconnu. Les longues observations successives du 7 et 8 septembre se font entre 22h et 23h.
Ce cas est consistant (quatre t�moins, plusieurs photographies), la description du PAN observ� est pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la plan�te Mars. De plus, Mars �tait visible dans l'axe indiqu� par les t�moins, et �tait alors particuli�rement brillante.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (fatigue, peur, conduite de nuit).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e � une m�prise avec la plan�te Mars.";"Longues et successives observations d'un ph�nom�ne tr�s lumineux dans le ciel : observations de la plan�te Mars.";O;4;4;;;;;;;2016-09-26;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1988-09-01148
1345;"GANNAT (03) 1988";Allier;03;"(D) D�partement";1988;10;06;"Le 6 octobre 1988 vers 21 heures 30, plusieurs t�moins observent au-dessus de la r�gion 3 sources de lumi�re bleut�es se d�pla�ant lentement dans le ciel. Les gendarmes appel�s sur place constatent le ph�nom�ne qui disparait d�finitivement vers 00 heure 30. L'enqu�te se tournera sans succ�s vers un possible vol d'h�licopt�re pour aboutir en fait � un hypermarch� qui faisait des essais de projecteurs laser en vue d'une op�ration publicitaire.";"Observation de projecteur laser d'un hypermarch�";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1988-10-01149
4532;"FONTRAILLES (65) 31.10.2017";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";2017;10;31;"Le 31 octobre 2017 � 18h05 trois t�moins dans un jardin sont �tonn�s de voir plein Est un point lumineux. Les t�moins s'aper�oivent ensuite de la pr�sence de trois points lumineux de couleur blanche qui semblent �tre � chaque extr�mit� d'un objet anthracite. Aucun bruit n'est entendu. Les lumi�res s'�teignent et l'objet dispara�t totalement.
Les t�moins ont observ� un avion qui se trouvait sur une trajectoire longtemps orient�e dans leur direction, ce qui se traduisait par une apparence de quasi-stationnarit� dans le ciel. L'avion avan�ait vers eux, phares allum�s, et produisait une vive lueur � la nuit tombante (18H).
Il ne s'agit pas d'un vol r�gulier, mais d'un vol d'essai d'Airbus. Le lieu d'�volution, l'altitude et la vitesse sont souvent singuliers pour ces vols et ont cr�� la condition d'�tranget� pour les t�moins. L'altitude interm�diaire (4000 m) et le contexte d'essai peut expliquer le vol avec phares allum�s, ces derniers sont tr�s visibles � plus de 100 km.
La reconstitution ci-jointe montre la portion de trajectoire de l'avion longtemps orient�e vers le lieu d'observation. Cette portion de trajectoire est sur une longueur de plus de 60 km, ce qui correspond � une dur�e d'environ dix minutes (pour un avion volant � 200 kt soit 360 Km/h). Les heures et dur�es sont coh�rentes avec les indications des t�moins, compte tenu de l'impr�cision (quelques minutes) des reports de position de l'avion comme des datations des t�moins.
On v�rifie que la direction d'observation du PAN par les t�moins (aux environs de 103� d'Azimut, retrouv�e d'apr�s la photographie faite par T1 qui contient des rep�res sol et la Lune) correspond � celle selon laquelle est vue l'avion.
En d�but d'observation, l'avion est distant de l'ordre de 100 Km et � la fin de la portion align�e l'avion se situe � environ 40 km. Cela correspond pour un avion �voluant � environ 4000 m d'altitude � une hauteur dans le ciel en progression entre 2 et 5�, ce qui peut �tre per�u comme une quasi-stationnarit� par les t�moins. La photo du PAN � c�t� de la Lune en fin d'observation pr�sente une configuration conforme aux positions respectives de l'avion par rapport � la Lune (La Lune est � 18� de hauteur quand l'avion est � 5�).
L'att�nuation de l'intensit� du PAN est provoqu�e par le d�but de changement de cap de l'avion et la perte de l'alignement optimal des phares. L'extinction finale correspond au changement de cap complet, l'avion �tant alors � moins de 30 Km.
Les t�moins font part de points lumineux distincts en triangle en fin d'observation. T1 dit "" la lumi�re s'est �teinte progressivement nous laissant voir qu'il s'agissait de trois lumi�res en triangle"". Les t�moins ont pu distinguer les phares de l'avion (ici A350/900) puisqu'ils sont espac�s de l'ordre de 12,5 m pour les deux sur les ailes et que la capacit� de s�paration de l'il normal est de l'ordre de 1/3500 de radian, soit 8,5 m � 30 km, et 6 m � 20 Km (le report de la trajectoire ne permet pas de savoir pr�cis�ment qu'elle �tait la distance minimale). Dans cette hypoth�se, le troisi�me feu du triangle serait alors celui du phare situ� sur le train avant. En vol d'essai � cette faible altitude et vitesse, il est tout � fait possible que le train soit sorti. Le triangle form� par les 3 phares a pour hauteur 14,5 m et base 12,5m. Lorsque l'avion est � assiette nulle, ce triangle est inclin� vers le bas de 18� car le phare avant est plus bas de 4,5 m. Mais l'avion est vu depuis le sol � une hauteur dans le ciel de 5� donc le triangle est vu selon un angle rasant de 13� pour un avion � assiette nulle. Dans ce cas-l�, le phare central a une distance apparente de 7 m par rapport aux deux lat�raux et peut �tre distingu�. Il est par contre difficile de d�tecter un phare central plus bas que les autres et donc un triangle et ce encore moins en consid�rant que l'avion peut avoir une assiette au cabrage qui viendrait ainsi att�nuer voire annuler l'angle rasant de vision du triangle depuis le sol.
Un autre ph�nom�ne peut expliquer les trois points lumineux. On note qu'ils sont distingu�s lorsque la lumi�re initiale alors unique faiblit. Cette lumi�re est alors celle des phares qui faiblit jusqu'� disparaitre du fait du virage de l'avion. � son altitude de 4000 m, l'avion est encore �clair� directement par le soleil bien que situ� � 2� sous l'horizon local (� 18H05). Lors du changement de cap, l'empennage vertical arri�re et les deux ""winglets"" verticaux de bout d'aile ont pu se trouver en position de miroir du soleil alors qu'auparavant l'avion ne pr�sentait aucune surface plane face au soleil. Il se peut aussi que ce soit l'angle de roulis occasionn� par ce virage qui mette des portions importantes des dessous des deux ailes et de l'empennage arri�re horizontal en situation de miroir.
L'hypoth�se de reflet du soleil explique mieux la capacit� � distinguer trois points lumineux par la grande s�paration (plus de 60 m) entre les points et par la forme d'un triangle. Cette explication a sa vraisemblance, elle ne peut �tre prouv�e ou infirm�e. Cet �l�ment d'inconnue n'est pas en mesure d'invalider ni m�me d'att�nuer l'explication avion qui correspond parfaitement en g�om�trie et heure � la position du PAN observ�.
Nous avons trois t�moins. N�anmoins le t�moignage d'ensemble p�che en consistance sur plusieurs points. Les questionnaires traduisent des possibilit�s d'influence entre t�moins. Il y a des emprunts d'expression et l'utilisation du ""nous"". Surtout, malgr� la demande r�it�r�e du GEIPAN, les t�moins n'ont pas �t� en mesure de fournir les fichiers sources des photographies avec les m�tadonn�es attach�es. Il n'a donc pas �t� permis d'exploiter ces photos pour en particulier retrouver ou analyser pr�cis�ment:
- les moments de prise de vue et d'observation (�l�ment clef pour approfondir l'hypoth�se du reflet du soleil) qui font l'objet de certaines incoh�rences ou diff�rences entre t�moins.
- la position du Pan dans le ciel.
- la structure (ponctuelle ou non) de la lumi�re.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation d'avion.
";"Observations d'un point puis de trois points lumineux dans le ciel et extinction : observation d'un avion en vol.";O;;3;;;;;;;2018-03-01;;;0.10;0.00;;;0.60;;0.60;;0.35;0.00;A;A;2017-10-09772
1347;"PISSOS (40) 1988";Landes;40;"(D) D�partement";1988;10;19;"Le 19 octobre 1988 vers 20 heures 45, un t�moin qui regarde le ciel observe une lueur stationnaire qui dispara�t en se d�pla�ant � grande vitesse apr�s 10 secondes environ. Aucun bruit n'a �t� per�u. Aucune autre information disponible.";"Observation d'un point lumineux qui dispara�t � grande vitesse";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1988-10-01151
1348;"SISTERON (04) 20.10.1988";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1988;10;20;"Le 20 octobre 1988 entre 18 heures 45 et 19 heures, deux t�moins observent le passage tr�s rapide selon une trajectoire verticale d'une boule lumineuse bleu clair avec une train�e compos�e d'�tincelles jaunes orang�es.
L'observation a �t� tr�s br�ve (2 � 3 secondes) et silencieuse.
La description faite par les t�moins conduit � privil�gier l'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique .";O;2;;;;;;;;2012-11-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1988-10-01152
1349;"NUKU-HIVA (987) 22.10.1988";"Polyn�sie fran�aise";987;"(D) D�partement";1988;10;22;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� NUKU HIVA (987) 1988 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 22 octobre 1988 vers 3 heures 30, plusieurs t�moins en Polyn�sie fran�aise observent le passage de boules tr�s lumineuses de couleur blanche ou rouge-orang� selon les t�moignages. Ce ph�nom�ne lumineux a une trajectoire rectiligne dans le ciel et aucun bruit particulier n'est entendu. Quatre t�moignages sont recueillis tardivement. L'enqu�te de gendarmerie note �galement que cette nuit l� deux �quipages des compagnies New Zealand et UTA font �tat d'observations de ph�nom�nes avec notamment de longues train�es de condensation au large des �les Marquises.
Plusieurs boules lumineuses avan�ant ensemble dans le ciel avec des train�es, lueurs d'intensit� diff�rentes, formes ogivales pour certaines: tous ces �l�ments sont caract�ristiques d'une rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oroide avec fragmentation ou d'un engin spatial. L'hypoth�se ""engin"" l'emporte car cela est observ� sur un temps assez long ( > 1 minute) et le d�placement angulaire dans le ciel n'est pas tr�s rapide.
A l'�poque le GEIPAN avait moins d'exp�rience en t�moignages de ce type et l'acc�s � l'information pour retrouver l'engin � l'origine �tait plus difficile.
Aujourd'hui il est possible d'identifier dans les r�pertoires du NORAD (North American Aerospace Defense Command) une liste d'objets ou engins ayant fait une rentr�e ce jour-l� (ils sont plusieurs) et, gr�ce aux orbites finales donn�es par le NORAD et les outils de trac�, de retrouver celui passant dans les conditions g�om�triques conformes � l'observation et donc � l'origine de l'observation.
Comme indiqu� dans la reconstitution ci-jointe, vers 13H45 TU le 22 octobre, soit 4H15 en heure l�gale (les t�moins sont peu pr�cis, ils t�moignent entre 2 et 5 semaines apr�s l'observation et indiquent autour de 4 h du matin), l'objet spatial n�19597, �tage sup�rieur de la fus�e ayant servi � lancer le satellite Raduga 22, passe � proximit� du lieu d'observation dans des conditions g�om�triques conformes � celles observ�es, c'est � dire de NW vers SE, tel que d�crit par T3 et T4 , les deux t�moins les mieux plac�s (au plus pr�s) pour comprendre la trajectoire.
Vu sa localisation, on peut comprendre que T2 n'ait principalement per�u que la composante W vers E de la trajectoire. Par contre la trajectoire correspondant � l'observation de T1 ne correspond pas du tout (erreur de trac� dans le PV ?). Compte tenu des autres t�moignages, et aussi des indications (voir PV) d'�quipages de deux avions de lignes ayant d�crit le m�me ph�nom�ne en survol proche de Nuku-Hiva (avec indication de sens W vers E pour celui qui le mentionne), nous consid�rons que le t�moignage de T1 ne peut �tre oppos� � l'hypoth�se.
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en A : rentr�e atmosph�rique d'un �tage sup�rieur de fus�e.";"Multiples observations du passage de boules lumineuses d'intensit� variable dans le ciel : rentr�e atmosph�rique d'un �tage sup�rieur de fus�e.";O;4;;;;;;;;2017-11-29;;;0.10;0.00;;;0.80;;0.80;;0.65;0.00;A;A;1988-10-01153
1351;"SAINT-MICHEL-DE-VILLADEIX (24) 01.12.1988";Dordogne;24;"(D) D�partement";1988;12;01;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� VERGT (24) 1988 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 1er d�cembre 1988 vers 8h20 un t�moin, accompagn� de son chien, se prom�ne sur la route pr�s de son domicile. Il voit � 60 m�tres une lumi�re intense sup�rieure � celle d'une soudure � l'arc. Le t�moin d�crit une forme ronde de couleur bleu-violet en d�grad� en d�placement rectiligne S-N, silencieux et � tr�s grande vitesse. Durant l'observation de 3 ou 4 secondes le t�moin ressent les effets d'une pression et re�oit une d�charge �lectrique. Le chien s'enfuit en direction du domicile ne r�pondant plus aux ordres de son ma�tre.
Le t�moin a fait deux d�positions � la gendarmerie, une le jour de l'observation, l'autre 10 jours plus tard.
Les �l�ments de la premi�re d�position ainsi que ceux relev�s sur place permettent de formuler l'hypoth�se d'un ph�nom�ne �lectrique car :
- la boule lumineuse est observ�e en proximit� imm�diate du croisement de deux lignes �lectriques et un transformateur.
- la boule �lectrique suit un d�placement align� avec une des lignes �lectriques.
- une baisse de tension soudaine et br�ve a �t� observ�e par les riverains lors de l'heure de l'observation.
- le t�moin a ressenti un effet de pression, et de d�charge �lectrique.
Une boule de lueur r�sulte peut �tre produite par une ionisation de l'air et des mol�cules en sustentation en pr�sence d'un champ �lectrique intense (ici a priori issus d'un dysfonctionnement). (La lueur d'un tube n�on fonctionne avec un gaz ionis� par un champ �lectrique).
Ce genre de ph�nom�ne suiveur de lignes �lectriques a d�j� �t� observ�, en particulier suite � un orage (voir la vid�o).
La premi�re analyse en 1988 n'avait pas fourni d'explication car avait pris en compte la deuxi�me d�claration du t�moin, qui faisait �tat de plusieurs boules, et d'une localisation du ph�nom�ne dans le champ et bien plus loin de la route et du croisement des lignes �lectriques. Nous pr�f�rons aujourd'hui retenir la premi�re d�claration faite le jour m�me alors que la suivante peut avoir �t� influenc�e (y compris � l'insu du t�moin) par les nombreux contacts ou sollicitations du t�moin par les voisins et m�dias. La connaissance depuis de cas de lueurs le long de ligne �lectrique consolide aussi l'hypoth�se.
Le GEIPAN classe le cas en B: observation d'un ph�nom�ne �lectrique et plasma.";"Observation du d�placement rapide d'une boule lumineuse avec effets �lectriques sur le t�moin : observation d'un ph�nom�ne �lectrique et plasma.";O;1;;;;;;;;2017-12-07;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.70;;0.42;0.00;B;B;1988-12-01155
1352;"RUES-DES-VIGNES (LES) (59) 16.12.1988";Nord;59;"(D) D�partement";1988;12;16;"Le 16 d�cembre 1988 dans la r�gion de Cambrai, au coucher du soleil, une �tudiante au volant de sa voiture observe un objet rond et silencieux stabilis� � 20 m�tres environ au-dessus d'un champ avec 4 ou 6 ""grosses lampes"" sur la partie inf�rieure. Par ailleurs, de la lumi�re appara�t dans une maison voisine en principe abandonn�e. L'observation a dur� environ 1 minute car le t�moin n'a pas os� s'arr�ter. Apr�s enqu�te, la lumi�re dans la maison a pu �tre expliqu�e car la ferme �tait en r�alit� utilis�e par les militaires en manuvre mais aucune autre donn�e n'a pu �tre recueillie concernant la forme observ�e qui n'a pu �tre identifi�e.";"Observation par un t�moin unique d'un objet rond et silencieux stabilis� au dessus d'un champ avec plusieurs lumi�res";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1988-12-01156
1353;"MONTDARDIER (30) 18.12.1988";Gard;30;"(D) D�partement";1988;12;18;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � D � en 1988 par le SEPRA et pr�c�demment nomm� LE VIGAN (30).
Dans le nuit du 17 au 18 d�cembre 1988 vers 2 heures 45, quatre t�moins circulant sur la D113 � bord de deux v�hicules observent un objet lumineux form� d'un double rectangle s�par� par un trait noir et semblant barrer la route. Cet objet se trouve � 7 � 8 m�tres du sol dans l'axe de la route et recule au fur et � mesure que les voitures avancent. Le ph�nom�ne est silencieux.
Ce cas est consistant (trois t�moins), la description du PAN observ� est pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute. Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la Lune au coucher. De plus, la Lune �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e alors que les t�moins n'en font pas mention.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � � travers leur ressenti (�tonnement, fatigue, peur, conduite de nuit).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� moyenne est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise avec la Lune.";"Observations par des automobilistes d'un ph�nom�ne lumineux semblant barrer la route : m�prise Lune.";O;3;;;;;;;;2013-12-11;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1988-12-01157
1355;"NATIONAL (975) (ELEMENT DE FUSEE) 21.12.1988";France;FR;"(N) National";1988;12;21;"Le 21 d�cembre 1988 vers 0h50, de tr�s nombreux t�moins r�partis sur le territoire fran�ais selon un axe Nord-Sud observent le passage dans le ciel d'un objet blanc tr�s brillant avec une train�e jaune orang�e. La vitesse du ph�nom�ne est tr�s rapide et aucun bruit n'est entendu. A la fin de la trajectoire l'objet se scinde en plusieurs morceaux.
Le lendemain au sud de Bourges, un agriculteur trouve dans son champ un morceau de t�le d'environ 70 cm de longueur (voir PV N�1189).
Apr�s expertise du morceau r�cup�r�, il s'av�re qu'il s'agit d'un morceau de la tuy�re du lanceur russe Soyouz (voir reconstitution dans les documents ""�l�ments d'enqu�te"").
Cette fus�e avait lanc� le 16 d�cembre 1988 depuis Plesetsk (URSS), le satellite COSMOS 1984 (satellite de reconnaissance optique de type Yantar 4K2, retomb� le 13 f�vrier 1989).";"Observations multiples de la rentr�e atmosph�rique d'un d�bris a�rospatial : morceau de tuy�re du lanceur Soyouz (ayant lanc� le satellite COSMOS 1984) r�cup�r� dans un champ vers Bourges (Fr).";O;32;32;;1;;;;;2018-08-27;;;0.13;0.11;;;;;;;0.53;0.46;A;A;1988-12-01159
1356;"NOISY-LE-SEC (93) --.12.1988";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";1988;12;--;"Une personne nous rapporte une observation ancienne faite fin d�cembre 1988 (la date du cas est donn�e arbitrairement).
Ce t�moignage r�cent (f�vrier 2011) d'une observation ancienne de 1988 n'est pas pr�cis en terme de date (le t�moin ne pr�cise pas le jour, ni l'heure exacte de l'observation). Toute enqu�te est donc impossible.
N�anmoins, les caract�ristiques d�crites pourraient correspondre � l'observation par de nombreux t�moins du cas national du 21.12.1988 de la rentr�e atmosph�rique d'un morceau du r�servoir du satellite Cosmos 1954 (publi� sur le site GEIPAN : NATIONAL (975) 21.12.1988).
En l'absence de de date pr�cise permettant ce rapprochement, le cas est class� en cat�gorie C comme enqu�te impossible.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux avec train�e. Trajectoire rectiligne.";O;1;;;;;;;;2011-06-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1988-12-02714
1357;"SAINT-PHILBERT-DE-GRAND-LIEU (44) 04.12.1988";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1988;12;04;"T�moignage r�cent (05/08/2013) d'une observation ancienne un dimanche de d�cembre 1988 (la date exacte du jour n'est pas pr�cis�e par le t�moin et nous datons le cas du premier dimanche du mois).
Un dimanche matin de d�cembre 1988 vers 0h35, un automobiliste et sa passag�re constatent soudain qu'une lumi�re intense �claire tout le paysage. Le t�moin �teint ses phares et observe une masse sombre d'o� provient la lumi�re et entend un l�ger bourdonnement. La lumi�re disparait progressivement puis rapidement vers l'ouest, le paysage plongeant de nouveau dans la nuit noire.
Ce cas d'observation mentionne une date impr�cise, et le r�cit est peu d�taill�. Le t�moin a �t� tr�s �mu par l'observation, son �pouse �galement et le t�moin affirme qu'elle ne veut pas en parler. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. Le ph�nom�ne observ� (fort �clairage du ciel durant quelques minutes) peut �tre un ph�nom�ne lumineux derri�re les nuages (ex: rentr�e atmosph�rique de d�bris de satellite) ou un �blouissement d� � la fatigue.
Le manque de pr�cision de la date rend toute v�rification impossible. Ce cas moyennement �trange et tr�s peu consistant est class� ""C"" par manque d'informations pr�cises.";"Observation d'une lumi�re tr�s forte et d'une masse sombre : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-12-11;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;C;B;1988-12-08554
1360;"SAINT-MARTIN-DE-BOSCHERVILLE (76) 12.01.1989";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1989;01;12;"Le 12 janvier 1989, une femme au volant de sa voiture observe � 30 m�tres environ au-dessus des marais une forme cylindrique ""�norme"" comportant au sommet une coupole �mettant une lumi�re jaune et une s�rie de hublots luminescents rouges et blancs � sa base. A son passage l'objet s'est �teint et s'est rallum� quelques secondes plus tard beaucoup plus haut dans le ciel. L'observation n'a dur� au total que quelques secondes. Les investigations men�es n'ont pas permis de recueillir d'autres informations ni d'identifier le ph�nom�ne.";"Observation pendant quelques secondes et de nuit d'un objet cylindrique �norme et totalement silencieux � une hauteur d'environ 30m.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1989-01-01162
1361;"SAINT-ANDRE-DE-L'EURE (27) 15.01.1989";Eure;27;"(D) D�partement";1989;01;15;"Le 15 janvier 1989, un peu avant 21 heures, apr�s avoir regard� � la t�l�vision l'�mission m�t�orologique qui indiquait des observations particuli�res possibles de plan�tes, une femme sort en compagnie de ses enfants pour observer le ciel avec des jumelles � fort grossissement. Elle observe un point lumineux brillant qu'elle d�crit comme une forme ovale scintillante et se d�pla�ant avec une forme de ""chenille"" en scintillant. Les gendarmes appel�s sur place ont vu un point lumineux scintillant sans pouvoir d�terminer de forme pr�cise. Il est probable que le t�moin a observ� une plan�te ou une �toile tr�s brillante et que les effets rapport�s soient dus au mouvement des jumelles � fort grossissement.";"Observation d'une forme ovale scintillante dans le ciel. Les gendarmes appel�s sur place ont vu un point lumineux scintillant sans pouvoir d�terminer de forme pr�cise.";O;1;;;;;;;;2010-03-15;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1989-01-01164
1362;"(DPT) CREUSE (23) 27.01.1989";Creuse;23;"(D) D�partement";1989;01;27;"Le 28 janvier 1989 vers 20 heures 30, le groupement de gendarmerie de Gu�ret demande � toutes ses brigades de regarder dans le ciel vers l'Est un ph�nom�ne particulier. Des points tr�s scintillants de couleurs vari�es sont observ�s. Ces observations sont faites plusieurs soirs de suite. Ce ph�nom�ne est d� � un scintillement d'�toiles provoqu� par des conditions m�t�orologiques favorables.";"Observations par plusieurs brigades de gendarmerie de points tr�s lumineux scintillants dans le ciel : observations astronomiques.";O;6;6;;;;;;;2018-08-23;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1989-01-01165
1364;"SUD OUEST 1989";France;FR;"(N) National";1989;02;06;"Le 06 f�vrier 1989 vers 23 heures 20, une dizaine de t�moins ind�pendants et r�partis sur plusieurs d�partements du Sud ouest observent une lumi�re intense qui devient bleut�e avec une train�e et qui dispara�t en une dizaine de secondes. Plusieurs enqu�tes sont men�es par les brigades qui n'ont rien trouv� sur les emplacements pr�sum�s d'une chute d'objet. Ce ph�nom�ne d'une grande ampleur a �t� vu de plusieurs lieux relativement �loign�s dans les d�partements de l'Aveyron, Tarn et Garonne, Haute Garonne,Lot et Garonne et Puy de D�me. Il s'agit vraisemblablement d'une rentr�e atmosph�rique de grande ampleur.";"Observation par une dizaine de t�moins ind�pendants d'une lumi�re intense devenant bleut�e avec une train�e et qui dispara�t en une dizaine de secondes.";O;13;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1989-02-01167
1365;"BALLAISON (74) 07.02.1989";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";1989;02;07;"Le 7 f�vrier 1989 en soir�e, un t�moin observe pendant quelques secondes une dizaine de points lumineux se d�pla�ant tr�s rapidement au dessus du Jura. Il s'agit vraisemblablement d'une rentr�e atmosph�rique, peut �tre li�e � celle observ�e le m�me jour dans le Sud Ouest.";"Observation d'une dizaine de points lumineux au dessus du Jura. Il s'agit vraisemblablement d'une rentr�e atmosph�rique, peut �tre li�e � celle observ�e le m�me jour dans le Sud Ouest.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1989-02-01168
1366;"MAYET (72) 03.03.1989";Sarthe;72;"(D) D�partement";1989;03;03;"Dans la nuit du 2 au 3 mars 1989, deux t�moins sont au volant de leur voiture quand celle-ci s'arr�te et les phares s'�teignent brutalement. Les t�moins observent alors une boule de feu �mettant une lumi�re rouge orang�e intense et qui se d�place d'ouest en est. Apr�s avoir crois� la voiture, celle-ci se remet en marche toute seule. Les t�moins sont tr�s choqu�s de cette m�saventure et se demandent s'ils n'ont pas r�v�. Suite � un article dans la presse locale, une habitante du Mans contacte les t�moins pour leur expliquer qu'elle a �galement vu une boule de feu orang�e dans la nuit du 2 au 3 mars vers 1heure 30 qui a fortement affol� son chien et leur confirme qu'ils n'ont pas r�v�.";"Apparition d'une boule de feu rouge en d�placement ayant pour effet de couper les phares et le moteur de la voiture des t�moins. Un autre t�moin qui a vu ce ph�nom�ne pr�cise que son chien �tait affol� durant la dur�e de l'apparition de la boule de feu";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1989-03-01170
1367;"FIRMI (12) 12.03.1989";Aveyron;12;"(D) D�partement";1989;03;12;"Le 12 mars 1989, vers 19 heures 20, une femme observe le passage en direction du sol d'un objet enflamm� suivi d'une train�e dont la couleur passe du jaune au rouge avant de s'�teindre. Elle a entendu un bruit sourd au moment suppos� de l'impact au sol. A l'endroit indiqu� suppos� de la chute, les gendarmes n'ont rien trouv�. Il s'agit vraisemblablement de la rentr�e atmosph�rique d'une m�t�orite.";"Observation d'un objet enflamm� suivi d'une train�e sur une trajectoire oblique en direction du sol : probable rentr�e atmosph�rique.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1989-03-01171
1368;"AURORE BOREALE (975) 13.03.1989";France;FR;"(N) National";1989;03;13;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � B � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation (pr�c�demment nomm� Bonni�res-Sur-Seine (78) 13.03.1989) fait partie de cas class�s � B � en 1989 par le SEPRA ""ph�nom�ne naturel spectaculaire de propagation lumineuse"".
Le 13 mars 1989, entre 22h30 et 23h28, plusieurs t�moins, dans le Morbihan (56) et dans les Yvelines (78) , observent un ph�nom�ne lumineux de grande ampleur dans les couches de nuages. Les couleurs observ�es sont tr�s vari�es, jaune, vert, rouge. Les gendarmeries qui ont men� les enqu�tes rapprocheront ce ph�nom�ne de l'�ruption solaire qui a eu lieu � la m�me �poque et qui a �t� relat�e par les m�dias.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, taille, couleur) avec un ph�nom�ne astronomique parfaitement connu : une aurore bor�ale. De plus, une aurore bor�ale a effectivement �t� observ�e exceptionnellement en France le 13 mars 1989.
Il est parfaitement normal que les t�moins n'aient pas reconnu de suite une aurore bor�ale, car ce ph�nom�ne astronomique est rarement observ� depuis la France m�tropolitaine (occurrence d'environ une tous les dix ans).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation d'une aurore bor�ale.";"Observations par plusieurs t�moins dans les Yvelines et le Morbihan d'un ph�nom�ne lumineux important dans les nuages : observations nationales d'une aurore bor�ale.";O;2;;;;;;;;2014-01-20;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1989-03-01172
1370;"CHANAC (48) 1989";Loz�re;48;"(D) D�partement";1989;05;08;"Le 8 mai 1989 vers 22h 30, un homme observe une boule de feu tr�s lumineuse traversant rapidement l'atmosph�re. Cette observation est confirm�e par un gendarme qui circulait � la m�me heure � plusieurs kilom�tres de l� et qui a observ� le m�me ph�nom�ne. Il s'agit de l'observation vraisemblable d'une rentr�e dans l'atmosph�re.";"Observation par 2 t�moins ind�pendants d'une boule de feu tr�s lumineuse traversant rapidement l'atmosph�re";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1989-05-01175
1371;"NEUVELLE-LES-LURE (LA) (70) 30.05.1989";Haute-Sa�ne;70;"(D) D�partement";1989;05;30;"Le 30 mai 1989 vers 23 heures 15, trois gardes chasses en ronde de surveillance observent 3 projecteurs �mettant des flashes t�s lumineux � intervalles tr�s rapproch�s. Apr�s une vingtaine de secondes d'immobilit�, ces trois lumi�res partent � la verticale avec une tr�s grande vitesse et en faisant des zig-zags. Apr�s quelques secondes, le ph�nom�ne revient au dessus des t�moins pour s'immobiliser � son point de d�part. Une lumi�re rouge s'allume alors au milieu des trois phares avant de repartir � nouveau en changeant plusieurs fois de direction. Un avion de chasse Jaguar est pass� peu apr�s mais il ne pouvait �tre confondu avec le ph�nom�ne observ� qui est rest� silencieux. Les investigations men�es aupr�s de la base a�rienne proche n'ont pas permis de confirmer le t�moignage des 3 t�moins. Le ph�nom�ne observ� n'a pu �tre identifi�.";"Observation d'un objet se d�pla�ant sans bruit � tr�s grande vitesse avec de brusques changements de direction";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1989-05-01176
1372;"MEAUX (77) 1989";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";1989;06;--;"Le lundi 12 juin 1989 , un agriculteur constate dans un de ses champs de bl� une zone d'environ 25 m�tres sur 3 m�tres sur laquelle le bl� est jauni, couch�, et m�me arrach�. Au centre de la trace il y a un trou de 10 cm sur 20 cm de profondeur ainsi qu'une saign�e dans le sol dans l'axe de la trace. Plusieurs hypoth�ses ont �t� �voqu�es comme la foudre, ou celle plus probable de l'atterrissage ""sauvage"" d'une montgolfi�re, bien qu'� cette �poque et en ce lieu toute activit� a�rienne �tait interdite par arr�t� pr�fectoral du fait du salon du Bourget. Cette derni�re hypoth�se a cependant la faveur du SEPRA";"Observation de bl�s couch�s dans un champ.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1989-06-01177
1373;"LES SABLES D'OLONNE (85) 28.06.1989";Vend�e;85;"(D) D�partement";1989;06;28;"Le 28 juin 1989 vers 0 heure 40, un t�moin observe depuis son domicile un point lumineux qui se d�place rapidement (plus rapidement qu'un avion) � l'horizon selon une trajectoire rectiligne sud-ouest nord-est. Le ph�nom�ne �tait silencieux et a fini par disparaitre en laissant un halo et une train�e de fum�e qui a persist� plusieurs minutes. La m�me observation d'un point de couleur orang�e qui dispara�t en laissant une petit nuage persistant est faite par un autre t�moin � une quinzaine de kilom�tres plus au sud. Compte tenu de l'avis diffus� aux navigateurs par le service oc�anographique de Brest de possibles retomb�es, dans la nuit du 27 au 28 juin, de missiles tir�s depuis le Centre d'Essais des Landes, l'hypoth�se de l'observation de l'un de ces tirs est la plus probable.";"Observation d'un point lumineux se d�pla�ant rapidement � l'horizon selon une trajectoire rectiligne";O;2;;;;;;;;2011-01-11;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1989-06-01178
1375;"� LAC D'OPALE (LE) � ESTAING (65) 18.07.1989";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";1989;07;18;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� LE LAC D'OPALE (65) 1989 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le 18 juillet 1989 vers 16h00, deux t�moins se trouvent au sommet d'un col surplombant le grand lac d'Opale sur la commune d'Estaing (65). Ils aper�oivent alors un PAN qui se d�place lentement du milieu du lac en direction d'un bord du lac. Le PAN poursuit son d�placement au-dessus des cailloux du rivage et d'un n�v� avant de remonter par une zone d'�boulis jusqu'� la cr�te. Les t�moins le perdent de vue dans le ciel d�gag�. Malgr� l'�loignement, les t�moins d�crivent un objet de forme allong�e avec un scintillement rouge et des ""feux blancs"", puis lumineux et brillant au soleil. Aucun bruit particulier n'est entendu durant la longue observation (25 minutes environ). Les t�moins intrigu�s remonteront sur place le lendemain mais aucune trace au sol ne sera remarqu�e (en particulier sur le n�v�). Seuls ces deux t�moignages seront recueillis (PV de gendarmerie et questionnaire).
Le cas est remarquable, tant par l'�tranget� forte qui se d�gage de la description du ph�nom�ne (apparence et attitude) que par la consistance �galement forte, avec deux t�moins (en particulier T1) ayant d�crit leur observation en d�tail, ainsi que deux enqu�tes par la suite, dont une sur place effectu�e par les gendarmes.
L'�tranget� est constitu�e par les caract�ristiques du PAN : de forme allong�e, plut�t petit, lumineux rouge et se d�pla�ant silencieusement pendant 25 minutes au ras de l'eau, des cailloux et d'un n�v�, puis dans l'air, en plein jour dans une zone de montagne plut�t d�sertique. A cela s'ajoutent les d�placements par � �-coups � sur les cailloux et l'observation intermittente de deux lumi�res blanches d�crites par les t�moins comme � des yeux �.
Les quelques hypoth�ses �mises, par les t�moins ou les gendarmes ont, apr�s examen, une fiabilit� nulle � faible au regard de ce qui caract�rise cette �tranget�.
Plusieurs autres hypoth�ses ont �t� �tudi�es dans cette nouvelle enqu�te. Celle du sac � dos du � super trailer � serait acceptable en beaucoup de points mais ne l'est pas au regard de la disparition du PAN dans les airs. Par contre, une analyse approfondie permet de retenir le ballon Mylar comme probable � plus de 50 %.
L'absence de rencontre avec les t�moins (� l'�poque) est regrettable, mais la consistance du t�moignage est suffisante au regard de l'hypoth�se retenue.
En cons�quence Le GEIPAN classe le cas en �B� : observation probable d'un ballon fantaisie Mylar rouge.";"Observations en montagne d'un objet scintillant se d�pla�ant depuis un lac vers une cr�te avant de disparaitre dans le ciel : observations probables d'un ballon fantaisie Mylar rouge.";O;2;2;;1;;;;;2017-12-13;;;0.45;0.00;;;0.70;;0.80;;0.60;0.00;B;B;1989-07-01179
1376;"CONQUET (LE) (29) 19.08.1989";Finist�re;29;"(D) D�partement";1989;08;19;"Le 19 aout 1989 vers 23 heures, un gendarme de retour de service et son �pouse observent au-dessus des b�timents de la brigade une grosse lueur orang�e (quatre fois plus grosse qu'une �toile). Soudain, le ph�nom�ne part brusquement � grande vitesse jusqu'� perte de vue. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur cette observation.";"Observation d'une lueur dans le ciel";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1989-08-01181
1377;"PARIS (75) 05.09.1988";Paris;75;"(D) D�partement";1988;09;05;"Le 5 novembre 1989, un chauffeur de taxi observe durant quelques secondes le passage rapide d'un point lumineux dans le ciel de Paris. Un objet lumineux de forme ronde suivi d'une train�e verd�tre traverse le ciel.
aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
La description du t�moin correspond � l'observation d'une probable rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'une probable rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2011-07-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1989-09-01182
1378;"� LES TUILES � BERTRE (81) 04.09.1989";Tarn;81;"(D) D�partement";1989;09;04;"Le 4 septembre 1989 vers 4 heures 30, un homme souffrant d'insomnie voit � travers sa fen�tre ouverte une forte lueur. Il se l�ve et voit en contrebas dans un champ de luzerne un carr� lumineux de 10 m�tres de c�t� environ . Cette lueur vient d'un objet stationnaire au-dessus du toit de son habitation, objet en forme de toupie � multiples facettes. Apr�s 30 secondes environ, le ph�nom�ne dispara�t brutalement sans aucun bruit ni odeur.
Le t�moin constate le lendemain que les tuiles (de type canal) sont brun�tres � l'endroit o� le ph�nom�ne �tait stationn� et qu'elles se sont d�plac�es cr�ant une goutti�re.
L'entrepreneur qui r�alise la r�paration du toit confirmera que les tuiles ""�taient vrill�es dans le sens des aiguilles d'une montre sur 3 � 5 m�tres de longueur et que le fa�tage �tait affaiss� � l'endroit de l'observation de l'engin.
L'enqu�te du SEPRA n'a pas permis de trouver une explication � cette observation.";"Observation d'un objet tr�s lumineux stationnaire sur un toit.";O;3;1;;1;;;;;2018-08-21;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;1989-09-01666
1380;"[AERO CTL] ROCHELLE (LA) (25) --.10.1989";Doubs;25;"(D) D�partement";1989;10;--;"Le 02 octobre 1989 un rapport �tablit par un agent du contr�le a�rien rend compte d'un appel t�l�phonique d'un t�moin concernant une observation depuis plusieurs jours d'un ph�nom�ne lumineux. Deux points lumineux rouges et verts sont stationnaires au-dessus de l'a�rodrome. Aucune autre information n' a pu �tre recueillie.";"Observation de points lumineux.";O;1;1;;;;;;;2018-08-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1989-10-01185
1382;"SAINT-PRIEST (07) 14.10.1989";Ard�che;07;"(D) D�partement";1989;10;14;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A,B,C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� PRIVAS (07) 1989 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 14 octobre entre 5h40 et 7h30 un couple est intrigu� par un ph�nom�ne lumineux particulier dans le ciel : le t�moin ne reconnait ni une �toile, ni un avion ni une sonde m�t�o. L'objet est d�crit comme �tant ovale, tr�s brillant, de la taille d'une assiette � dessert. Immobile dans un premier temps l'objet semble � un moment pivoter sur lui-m�me. Un second petit objet, accompagn� d'une lueur et se d�tachant du PAN, descend verticalement puis remonte vers le premier objet. L'ensemble disparait en direction du Sud.
L'enqu�te de gendarmerie et un article de presse joint au PV indiquent que deux autres t�moins ont observ� le m�me ph�nom�ne d'une dur�e exceptionnellement longue. Ces autres t�moins n'ont pas fait de d�position en gendarmerie.
La revisite du cas 30 ans apr�s les faits, met en �vidence, une faible consistance du cas. Il est � t�moin unique, avec des donn�es impr�cises, voire contradictoires, sans qu'il y est eu d'enqu�te terrain avec rencontre du t�moin (voir le compte rendu d'enqu�te). Dans ces conditions, il est difficile de conclure de mani�re certaine sur la nature du PAN observ� par le t�moin ce jour-l�.
En effet, bien que la majorit� des �l�ments du t�moignage et d�duits de celui-ci plaident en la faveur d'une simple confusion astronomique (en particulier d'une confusion avec Jupiter), de trop nombreuses donn�es sont manquantes (ex : aucune indication d'�l�vation), impr�cises ou contradictoires (azimut Est ou Ouest, ciel d�gag� ou non).
Une enqu�te de terrain � l'�poque aurait pu permettre d'�claircir certains points, en particulier sur la pr�sence ou non d'un obstacle naturel qui aurait pu expliquer que le t�moin n'ait point remarqu� la pleine Lune et Sirius. En effet le ciel est tr�s probablement d�gag� et ces deux astres sont � ~15� et ~30� d'�l�vation.
L'�l�ment le plus �trange, au regard d'une explication astronomique, est la mention par le t�moin d'un � petit objet accompagn� d'une lueur blanche, se d�tachant du plus gros, puis remontant vers lui �. Cependant, en l'absence de donn�es pr�cises et d'une enqu�te sur place, diverses hypoth�ses explicatives sont envisageables, sans qu'elles puissent �tre confirm�es ou infirm�es. Par exemple :
- La pr�sence probable d'un obstacle cachant la Lune (arbre, nuage) a pu �tre � l'origine de plusieurs trou�es de Lune dans cet obstacle alors que dans le reste de l'observation une seule pr�dominait.
- Nous ne savons pas quelle est l'acuit� visuelle du t�moin, ni s'il aurait pu avoir un probl�me visuel quelconque (lequel ?), li� � la fatigue ou � une observation soutenue trop longue.
- Nous ne savons pas si l'observation s'est faite de mani�re continue ou discontinue. A quel moment le t�moin a-t-il observ� cette phase ? Juste apr�s une coupure dans son observation ? Auquel cas ce � petit objet et la lueur blanche � pourrait concerner un tout autre ph�nom�ne, a�ronautique par exemple, observ� de fa�on concomitante spatialement et temporellement � Jupiter.
La consistance du t�moignage est trop faible pour valider l'explication ou bien le caract�re non explicable du seul �l�ment �trange de l'observation (qui sinon serait class� observation d'astres).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C : le manque de donn�es fiables ne permet pas d'exploiter et traiter ce cas d'observation.";"Longue observation d'un ph�nom�ne lumineux ovale et blanc dans le ciel nocturne ; petit �l�ment se d�tachant et revenant vers le PAN : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2018-11-12;;;0.40;0.00;;;0.50;;0.40;;0.20;0.00;C;C;1989-10-01187
1383;"BENAGUES (09) 26.10.1989";Ari�ge;09;"(D) D�partement";1989;10;26;"Observation durant 3 ou 4 secondes le 26 octobre 1989 par un t�moin du passage rapide d'une boule de feu. Il s'agit vraisemblablement d'une rentr�e dans l'atmosph�re.";"Observation vraisemblable d'une rentr�e dans l'atmosph�re.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1989-10-01189
1384;"PLEUNEUF VAL ANDRE (22) 1989";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1989;10;12;"Le 8 octobre 1989 vers 22h30 un couple observe � travers un velux un point tr�s lumineux pendant quelques instants. Le lendemain ils constatent des herbes et des souches fraichement calcin�es. Apr�s enqu�te il s'av�re que les souches avaient �t� partiellement brul�es volontairement. Quand � la lueur, observ�e �galement par un autre t�moin, il s'agit vraisemblablement de la conjonction des plan�tes Saturne, Jupiter et Uranus avec la lune qui ne pouvait �tre observ�e que dans une direction pr�cise.";"Observation d'un point lumineux puis d'une boule lumineuse";O;2;;;;;;;;2009-12-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1990-10-01219
1385;"CHATEL-DE-NEUVRE (03) 25.10.1989";Allier;03;"(D) D�partement";1989;10;25;"Le 26 octobre 1989 un peu avant 16 heures, observation par un t�moin d'un objet ressemblant � un avion, mais qui dispara�t tr�s rapidement � l'horizon. Les informations donn�es ne permettent aucune analyse.";"Observation d'un objet ressemblant � un avion, disparition soudaine vers l'horizon : manque d'information.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1989-10-01650
1386;"� LE TROU NORMAND � BRIX (50) 27.10.1989";Manche;50;"(D) D�partement";1989;10;26;"Cette enqu�te a �t� r�alis�e par le SEPRA pour expertiser une trace �trange et suspecte de terre br�l�e dans une prairie en Normandie. C'est la brigade locale qui, ne pouvant d�terminer l'origine et la cause de ce ph�nom�ne, a fait appel au SEPRA qui s'est rendu sur place rapidement.
Le 27 octobre 1989, le propri�taire d'un champ d�couvre dans celui-ci une large zone au sol totalement calcin�e. La trace est de forme irr�guli�re et mesure pr�s de 17 m�tres de long sur 4 dans sa partie le plus large. Au niveau de la trace, il n'y a plus aucune v�g�tation, la terre est noire et le sol est spongieux et enfonc� de 10 � 15 cm par rapport au niveau moyen du pr�. Une ligne � haute tension 20 kV longe la parcelle � une cinquantaine de m�tres de la trace. Un t�moin (T2) rapportera � la gendarmerie le comportement �trange de son chien au cours de la nuit du 25 au 26 octobre 1989 vers 2h du matin et la pr�sence d'un large faisceau lumineux au-dessus du champ concern�.
Les pr�l�vements par carottage effectu�s sur la zone montrent que la terre est br�l�e sur 2 � 3 cm de profondeur et la couleur grise des argiles montre que le sol a �t� �lev� � une forte temp�rature. Les �chantillons de terre pr�lev�s dans la zone suspecte pr�sentent une forte odeur de produits p�troliers. Les expertises men�es confirment la pr�sence de k�ros�ne dans les �chantillons.
Ces r�sultats d'analyse sugg�rent l'hypoth�se d'un largage de k�ros�ne effectu� par un avion volant � basse altitude et � faible vitesse. Ce k�ros�ne a pu �tre enflamm� par le passage � travers la ligne � haute tension. En effet, lors de l'enqu�te, il avait �t� remarqu� de fort gr�sillements de la ligne au niveau de la jonction de certains isolateurs. Des �tincelles ont pu se produire qui ont enflamm� le nuage d'hydrocarbure. Cette hypoth�se est confort�e par un t�moin qui a observ� une tr�s grande flamme bleue sur la zone, couleur typique de la combustion d'hydrocarbures.
Ce cas est class� B : trace au sol laiss�e par un incendie.";"D�couverte par un agriculteur d'une grande zone brul�e dans une prairie : probable incendie d'une partie d'un champ par la pr�sence d'hydrocarbures enflamm�s accidentellement. ";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.25;0.13;;;;;;;0.59;0.41;B;B;1989-10-01668
1388;"MIRECOURT (88) 22.11.1989";Vosges;88;"(D) D�partement";1989;11;22;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� MIRECOURT (88) 22.11.1989 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 22 novembre 1989 entre 2 heures et 2 heures 15 du matin, une femme (T1) observe par sa fen�tre le passage rapide sur une trajectoire l�g�rement descendante d'un ph�nom�ne rouge et fortement �clair�. Le t�moin r�veille son mari (T2) qui aper�oit �galement le ph�nom�ne. Le T1 d�crit une forme ressemblant � deux cylindres superpos�s s�par�s par une bande noire, le cylindre du dessous �tant plus long (voir le dessin sur le PV). Le T1 d�crit des gerbes d'�tincelles et des flammes autour de l'objet ainsi qu'une queue d'�tincelles dans un brouillard puis le ph�nom�ne est perdu de vue par T1 cach� par 3 grands sapins pr�s de la maison. Aucun bruit n'est entendu durant la courte observation. Le T1 contacte la gendarmerie et la presse.
Avec l'exp�rience acquise par le GEIPAN de ce type d'observations, sa description par les t�moins ne laisse aujourd'hui aucun doute. Il s'agit d'un ph�nom�ne de rentr�e atmosph�rique (voir le compte-rendu d'enqu�te). Seule la nature exacte de cette rentr�e restait � approfondir. Il n'y a d'autre t�moin (ce qui se comprend � 2h du matin) ce qui ne permet pas de cerner la dur�e r�elle du ph�nom�ne.
D'apr�s la description du PAN, l'hypoth�se d'une rentr�e artificielle est privil�gi�e, et ce d'autant plus que la trajectoire et l'horaire de passage du satellite sovi�tique Cosmos 2047 sont tr�s coh�rents avec ceux du PAN. Bien que l'heure de cette rentr�e est r�f�renc�e au 21 novembre 1989, on sait que cela est fait avec une marge d'erreur de quelques heures, ce qui rend tout � fait possible une rentr�e � la date du 22 novembre 1989 � 1h (TU). La dur�e du ph�nom�ne (20 secondes) est a priori trop courte pour une rentr�e artificielle d'un gros objet artificiel, et plaiderait plus pour l'hypoth�se de l'observation d'une rentr�e naturelle (bolide), mais par contre une dur�e bien plus longue plaide nettement en faveur d'une rentr�e artificielle. Il est �vident que les t�moins n'ont observ� qu'une partie de la dur�e r�elle du ph�nom�ne : le PAN a �t� masqu� par des arbres en fin d'observation, et les t�moins n'ont d�couvert le PAN (� leur fen�tre) que depuis le lit de leur chambre.
Le cas est class� A, m�prise quasi-certaine avec la rentr�e atmosph�rique du satellite Cosmos 2047.";"Observations par deux t�moins du passage rapide et silencieux d'un ph�nom�ne tr�s lumineux rouge entour� et suivi de gerbes d'�tincelles et de flammes : m�prise quasi-certaine avec la rentr�e atmosph�rique du satellite Cosmos 2047.";O;2;2;;1;;;;;2018-06-20;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.80;;0.55;0.00;A;A;1989-11-01191
1389;"HAVRE (LE) (76) 25.11.1989";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1989;11;25;"Le 25 novembre 1989 � 22h10 un homme observe trois points lumineux en forme de triangle. Son �tat d'�nervement interdit toute audition par les gendarmes. Lors de l'audition le 14 d�cembre, le t�moin utilise un article de presse pour faire sa d�position en relatant 5 disques orang�s. Ces informations contradictoires ne permettent aucune analyse.";"Observation de points lumineux en triangle ou de 5 disques orang�s : manque d'information.";O;1;1;;;;;;;2017-02-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1989-11-01192
1391;"DIEPPE (76) --.11.1989";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1989;11;--;"T�moignage r�cent (2 d�cembre 2009) d'une observation ancienne (courant novembre -d�cembre 1989). Un t�moin raconte une observation de moins de 5 secondes d'un objet de forme triangulaire avec les bords arrondis et de couleur gris-noir. Le t�moin a eu le temps de voir trois points lumineux de chaque c�t� et clignotant. L'objet a disparu tr�s rapidement. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne. Toute enqu�te concernant cette observation ancienne et pour laquelle nous manquons d'information est difficile voir impossible.";"Br�ve observation d'un objet de forme triangulaire.";O;1;;;;;;;;2010-04-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1989-11-02475
1393;"MAURIAC (15) 1990";Cantal;15;"(D) D�partement";1990;01;04;"Le 4 janvier 1990 dans la cour d'un coll�ge vers 12h40, une dizaine d'enfants observent une forme ovale (ou cylindrique en fonction des t�moignages) noire, d�crites avec des ' pattes et des ""hublots"". L'objet passe silencieusement � 150 m environ au-dessus du coll�ge. Les professeurs alert�s n'ont rien remarqu�. Le 16 janvier dans une commune voisine un ballon m�t�o lanc� de Bordeaux est d�couvert. La reconstitution de la forme du ballon � partir des d�bris permet d'identifier l'observation � ce ballon, les""pattes"" �tant en fait la partie inf�rieure du r�flecteur radar.";"Observation d'un engin de forme cylindrique survolant un coll�ge , 5 � 6 m�tres de diam�tre et silencieux";O;8;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1990-01-01193
1395;"STRASBOURG (67) --.--.1990 ou 1991";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";1990;--;--;"Un t�moin rapporte qu'en 1990 ou 1991 alors qu'il marchait dans la rue, il a �t� �bloui par un objet passant devant le soleil. Cet objet �tait form� par trois lumi�res intenses qui d�limitaient un triangle �quilat�ral. L'objet se d�pla�ait lentement et n'�mettait aucun bruit. Il �tait d'aspect m�tallique, de couleur gris et pr�sentait des dessins g�om�triques. Il a brusquement disparu a une vitesse ""incroyable"". Ce t�moignage tardif (avril 2008) et peu document� ne nous permet pas de faire une enqu�te serieuse qui pourrait valider ou non certaines hypoth�ses notamment celle du passage d'un a�ronef.";"Observation de 3 lumi�res intenses en triangle.";O;1;;;;;;;;2010-03-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1990-06-01825
1396;"TERNANT (21) --.--.199-";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";199-;--;--;"T�moignage succinct le 27 janvier 2009 d'une observation faite en soir�e au d�but des ann�es 1990 en C�te-d'Or . Aucune pr�cision concernant la date (la date du jour et du mois est donn�e arbitrairement) et le ph�nom�ne observ�. Aucune information compl�mentaire ne sera recueillie malgr� notre demande.";"Observation ancienne d'un PAN : aucune pr�cision.";O;1;;;;;;;;2010-04-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1990-01-02287
1397;"ARS SUR MOSELLE (57) 1990";Moselle;57;"(D) D�partement";1990;02;27;"Le 27 f�vrier 1990 un couple de jeunes gens circulant en voiture observe un objet de la forme d'un ballon de rugby avec trois puissants projecteurs blancs. Cet objet d'environ 2,5 � 3 m�tres de diam�tre vole doucement � tr�s faible altitude et silencieusement. Apr�s avoir suivi cet objet durant une dizaine de minutes, celui-ci a disparu � tr�s grande vitesse. L'enqu�te n'a pas permis d'identifier cet objet � un a�ronef connu ni � aucun autre ph�nom�ne.";"Observation d'un objet rond / ovale silencieux avec 3 puissants projecteurs blancs";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1990-02-01195
1398;"BINIC (22) 22.03.1990";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1990;03;22;"Le 22 mars 1990, trois t�moins ont aper�u s�par�ment et � plusieurs reprises un ph�nom�ne lumineux �trange. L'un des t�moins dit avoir �t� survol� par un disque orang� qui faisait un bruit �trange de bruissement d'air. Effray� il est tomb� de son cyclomoteur. Un autre t�moin a vu � 2 reprises un engin similaire et d'�tranges lueurs derri�re les collines. L'enqu�te n'a pas permis de trouver une explication � ce ph�nom�ne.";"Observation d'un engin volant � basse altitude et d'�tranges lueurs";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1990-03-01196
1399;"BLERE (37) 10.04.1990";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";1990;04;10;"Le 12 avril 1990 � 12 h 17, un t�moin circulant en voiture a �t� ""survol�"" par une ombre en forme de raie (poisson) qui a travers� sa trajectoire. Cette ombre assez sombre a laiss� supposer au t�moin qu'il avait �t� survol� par un objet � basse altitude volant aux environs de 60 � 80 km/h. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation d'une ombre triangulaire volant � 60 ou 80 km/h en forme de poisson (raie)";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1990-04-01197
1400;"MONTMARAULT (03) 1990";Allier;03;"(D) D�partement";1990;04;30;"Le 30 avril 1990 vers 22h30 observation dans la r�gion d'Orl�ans par 3 t�moins ind�pendants d'une lumi�re rouge de la taille apparente de la lune. Le ph�nom�ne circulait en biais vers la terre sans bruit. Un t�moin a indiqu� une excitation particuli�re de ses chiens. Le ph�nom�ne a dur� quelques secondes. La description faite par les t�moins peut faire penser � une rentr�e atmosph�rique mais n'a pu �tre identifi�.";"Observation dans la r�gion d'Orl�ans par 3 t�moins ind�pendants d'une lumi�re rouge de la taille apparente de la lune se d�pla�ant en biais sans bruit.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1990-04-01654
1401;"CALAIS (62) 19.04.1990";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1990;04;19;"Le 19 avril 1990, un t�moin observe depuis chez lui 4 lumi�res clignotantes pendant environ un quart d'heure.";"Observation pendant un quart d'heure d'un objet �mettant des lumi�res clignotantes";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1990-04-01657
1402;"THIANT (59) MAI 1990";Nord;59;"(D) D�partement";1990;05;01;"Le 1er mai 1990 vers 23 heures, un couple de jeunes gens circulent � bord de leur v�hicule. L'homme constate la pr�sence dans le ciel d'un point rouge stationnaire. Il s'arr�te pour l'observer durant une dizaine de minutes durant lesquelles le point reste stationnaire. Alors le point se d�place tr�s rapidement lat�ralement pour s'arr�ter � nouveau. Au bout de deux minutes environ, le point s'est approch� des t�moins qui ont alors constat� 3 feux blancs en forme de triangle isoc�le, le point rouge se tenant au centre. L'ensemble du ph�nom�ne a survol� la voiture et est parti � grande vitesse. Aucun bruit n'a �t� per�u durant toute l'observation. Malgr� les articles parus dans la presse aucun autre t�moin n'a pu �tre trouv� et le ph�nom�ne n'a pu �tre expliqu�.";"Observation des �volutions d'un ph�nom�ne triangulaire avec trois points lumineux blancs et un point rouge";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1990-05-01199
1403;"SIVRY-COURTRY (77) 04.05.1990";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";1990;05;04;"La 4 mai 1990 � 22h30 un femme observe un objet triangulaire silencieux avec des phares puissants qui s'immobilise quelques instants avant de repartir tr�s rapidement. Aucune autre information possible sur ce t�moignage unique.";"Observation d'un objet triangulaire avec des phares tr�s puissants qui s'immobilise une minute, puis repart tr�s rapidement";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1990-05-01201
1404;"RIBECOURT-DRESLINCOURT (60) 1990";Oise;60;"(D) D�partement";1990;05;26;"Le 25 mai 1990, vers 23 heures, plusieurs t�moins sont intrigu�s par 3 projecteurs jaunes tournoyant dans le ciel. Le ph�nom�ne est vu par d'autres t�moins sur plusieurs jours. L'enqu�te montrera sans ambiguit� qu'il s'agit d'un syst�me de projecteurs d'une discoth�que voisine visible � plus de 30 km � la ronde.";"Observation de trois lumi�res jaunes en rotation constante le lond d'un ovale. Projecteurs de discoth�que";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1990-05-01204
1405;"MONTS (37) 26.05.1990";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";1990;05;26;"Le 26 mai 1990 vers 22 heures un t�moin et son �pouse observent un ph�nom�ne sombre prolong� d'une flamme orang�e se d�pla�ant rapidement. La description faite par les t�moins montre qu'il s'agit tr�s vraisemblablement d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rent�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1990-05-01205
1406;"BOU (45) 02.05.1990";Loiret;45;"(D) D�partement";1990;05;02;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� MARDIE (45) 02.05.1990 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Il concerne l'observation par trois t�moins d'un PAN depuis leur jardin, puis depuis la rue devant leur domicile, � BOU (45), le 02.05.1990 � 21 heures. Les t�moins d�crivent le passage silencieux d'une forme ovale voir demi-sph�rique gris-argent� avec la pr�sence sous le PAN d'appendices et qui dispara�t � l'horizon.
Le PAN est d�crit comme �tant de forme ovale (bien que les dessins repr�sentent plut�t une demi-sph�re), de couleur gris/argent�, ayant un aspect � poli �. Les trois t�moins notent �galement la pr�sence sous le PAN de ce qu'ils d�crivent comme des appendices, des tiges ou des � tentacules �, ainsi que des ph�nom�nes de r�flexion lumineuse � sa surface, identifi�s par le t�moin 1 comme sans doute caus� par l'impact des rayons solaires sur cette surface (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le PAN est enfin d�crit comme �tant silencieux et se d�pla�ant � une vitesse constante. Son d�placement s'effectue dans le sens du vent, faible.
Les estimations de dur�e d'observation divergent, allant d'une minute � cinq minutes.
Toutes ces donn�es sont compatibles avec l'hypoth�se d'un ballon fantaisie de type � Mylar � (r�fl�chissant la lumi�re solaire) se d�pla�ant de fa�on rectiligne et r�guli�rement dans le vent, les � appendices � pouvant d�s lors �tre les ficelles permettant de le maintenir en main au sol, ou un �l�ment constitutif du ballon fantaisie (comme par exemple des � pattes � pour un ballon en forme d'animal).
De tels ballons existaient d�j� en 1990. On est ici en zone urbanis�e et encore de jour. C'est plut�t en week-end que se produisent des �v�nements festifs ou r�cr�atifs de ce type. Mais un anniversaire peut �tre aussi f�t� le jour m�me, il y a pu y avoir aussi une animation quelconque ce jour-l� dans le bourg ou un autre situ� plus en amont le long du vent. Le fait de ne rien pouvoir retrouver pr�s de 30 ans apr�s ne peut infirmer cette hypoth�se qui peut donc �tre retenue comme probable compte tenu de la forte conformit� sur les autres points.
Lors de l'observation et de la premi�re enqu�te, le GEIPAN n'avait pas (ou peu) d'exp�rience de m�prises caus�es par des ballons Mylar (voir sur site www.geipan.fr, les cas enregistr�s depuis, recherche de cas avec mots clefs Mylar ou ballon).
La consistance est moyenne, reposant principalement sur la bonne concordance des descriptions et des croquis du PAN r�alis�s par les t�moins ainsi que sur les plans des lieux avec la trajectoire du PAN �tablis par les Gendarmes.
Le GEIPAN classe le cas en � B � : observation probable de ballon Mylar.
";"Observations par 3 t�moins du passage silencieux dans le ciel d'une forme en demi-sph�re gris-argent� avec au-dessous des tiges ou ""tentacules"" : observations probables d'un ballon Mylar.";O;3;3;;1;;;;;2018-07-18;;;0.35;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;B;B;1990-05-01649
1407;"PLEINE-FOUGERES (35) 1990";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";1990;03;--;"Un agriculteur constate dans une de ses pat�res un cercle d'herbes jaunies sur une largeur d'environ 15 � 25 cm. Le cercle fait pr�s de 8m de diam�tre. Ce ph�nom�ne est d�couvert chez 2 propri�taires diff�rents � quelques semaines d'intervalles. Une enqu�te du SEPRA sur les lieux ainsi que des analyses de sol faites par l'�cole sup�rieure d'agronomie de Rennes ont montr� qu'il s'agissait d'une attaque de champignons qui provoque le ph�nom�ne bien connu de ""rond de sorci�re"" celui-ci �tant de grande dimension. Le ph�nom�ne parfaitement identifi� a �t� class� A.";"D�couverte de plusieurs cercles d'herbe s�ch�e dans deux champs";O;3;;;;;;;;2008-04-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1990-05-01651
1410;"[MER] LAT 44.76, LON -4.32 (40) 03.07.1990";Landes;40;"(D) D�partement";1990;07;03;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� [MER] LAT 44.76, LON -4.32 (INT) 03.07.1990 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Ce cas concerne l'observation d'un PAN par un t�moin se trouvant en mer au large des c�tes espagnoles sur son voilier, le 03 juillet 1990 vers 22 heures 30. Le t�moin � la barre observe durant un peu plus de 30 secondes les �volutions d'un objet ovale lumineux avec un feu rouge d'un c�t� et un feu vert-bleu de l'autre. Aucun bruit particulier n'est entendu, aucune perturbation sur le voilier n'est remarqu�e (moteur en fonctionnement et feux de signalisation du bateau). Le t�moin se rend le 20/07/1990 au bureau de la brigade de Gendarmerie.
Le t�moin a tr�s probablement observ� un avion se pr�parant � atterrir de nuit feux d'atterrissage allum�s sur un a�roport espagnol (voir le compte-rendu d'enqu�te).
La pr�sence de feux de couleur rouge, bleu-vert et blanche (ou blanc-jaune) not�e par le t�moin est parfaitement caract�ristique d'une confusion a�ronautique. Les feux rouges et (bleu) verts sont en effet les feux de navigation. Il s'agirait d'ailleurs plut�t d'un avion qu'un h�licopt�re car la lumi�re principale brillante � comme une ampoule � et dessinant un ovale horizontal correspondrait bien � deux feux d'atterrissage d'un avion de ligne, proches l'un de l'autre et align�s horizontalement, tels qu'observ�s � distance.
La distance d'observation doit �tre discut�e en relation avec la visibilit� concomitante de plusieurs types de feux dont la puissance et la port�e sont diff�rentes. Les feux de navigation rouge et vert, ici clairement observ�s par le t�moin, sont d'une port�e bien plus limit�e que celle des phares d'atterrissage, mais �galement des feux anti collisions blanc, dont le clignotement caract�ristique est visible de tr�s loin, mais qui n'ont � aucun moment �t� observ�s par le t�moin.
La r�glementation a�rienne internationale impose que les feux de navigation soient allum�s en toutes circonstances, au contraire des feux anti-collision, qui peuvent �tre �teints dans certaines conditions particuli�res comme la pr�sence de brouillard, d'une pluie tr�s forte, ou lors de la travers�e d'un nuage en vol IMC, risquant de g�ner le pilote par r�flexion de la lumi�re sur les gouttelettes d'eau en suspension.
Il semble logique de privil�gier l'hypoth�se d'un avion se trouvant � quelques kilom�tres du t�moin plut�t qu'� une centaine de kilom�tres qui aurait rendu les feux de navigation totalement invisibles. L'absence des feux anti-collision, serait donc � imputer � des conditions m�t�orologiques propices � leur extinction temporaire, conditions qu'il est impossible de confirmer ou d'infirmer.
Les phares d'atterrissages, bien que semblant avoir �t� allum�s (dans l'hypoth�se de l'atterrissage sur un a�roport espagnol c�tier) bien avant l'atterrissage, peuvent l'�tre dans d'autres circonstances (espace a�rien encombr�, basse altitude de l'avion ou modification du niveau de vol) qui pourraient s'appliquer dans le cas pr�sent.
Ces phares d'atterrissage ont un champ horizontal et vertical limit�, ce qui explique pourquoi le t�moin ne les a pas vus �clairer l'oc�an. Les faisceaux de ces phares peuvent �tre non visibles car cela d�pend de la pr�sence ou non de particules en suspension dans l'atmosph�re entre le t�moin et le PAN.
Les manuvres de cet avion, telles que reconstitu�es � partir des d�clarations du t�moin, sont compatibles avec celles que pourrait effectuer un avion de ligne en approche d'un a�roport (boucles, virages), bien que ces manuvres se seraient d�s lors effectu�es loin des c�tes espagnoles. Il n'est pas possible 30 ans apr�s de disposer d'enregistrement de trafic pouvant consolider ou infirmer une telle hypoth�se d'avion.
Enfin, l'absence de bruit per�u n'est pas d�terminante pour l'hypoth�se puisque le bruit du moteur du bateau (signal� par le t�moin) a pu masquer un �ventuel bruit de moteur d'avion qui par ailleurs a pu �tre aussi att�nu� par un vent contraire � sa propagation.
La consistance est faible, avec peu de donn�es exploitables, mais est suffisante pour valider l'hypoth�se compte-tenu de sa bonne probabilit�.
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en A : observation tr�s probable d'un avion.
";"Observation depuis un voiler des �volutions silencieuses dans le ciel d'un objet ovale lumineux avec un feu rouge d'un c�t� et un feu vert-bleu de l'autre : observation tr�s probable d'un avion.";O;1;1;;1;;;;;2019-02-20;;;0.25;0.00;;;0.50;;0.70;;0.35;0.00;A;B;1990-07-01208
1411;"CAORCHES-SAINT-NICOLAS (27) 06.07.1990";Eure;27;"(D) D�partement";1990;07;06;"Le 11 juillet 1990, le SEPRA est inform� via les m�dias de la d�couverte d'un important crat�re apparu dans un champ.
Le crat�re fait 14 m de diam�tre avec une couronne de terre effrondr�e de 2,5 m environ et un tumulus central de 4,5 m sur 1,5 m de hauteur. A l 'examen des roches et des gros blocs remont�s du sous-sol deux hypoth�ses sont retenues :
La chute d'une grosse m�t�orite
Une explosion en sous-sol
Un tracto pelle est mobilis� pour explorer le crat�re en proc�dant doucement par strates de 50 � 70 cm. L'exploration se poursuit ainsi jusqu'� 7 m�tres de profondeur. Au fur et � mesure des investigations, des fragments de t�le sont retrouv�s � diverses profondeurs. Vingt cinq fragments m�talliques sont ainsi r�cup�r�s ce qui exclut l'hypoth�se de la chute d'une m�t�orite au profit de l'explosion probable en sous-sol d'une bombe datant de la seconde guerre mondiale.
Les fragments ont �t� exp�di�s au laboratoire de l'armement de la DGA dont les conclusions confirment l'hypoth�se envisag�e. La reconstitution de l'engin a permis en effet d'identifier une bombe incendiaire de 250 kg d'origine britannique ou am�ricaine et probablement fabriqu�e en avril 1942.";"Observation d'un crat�re dans un champ , vraisemblablement une bombe de la dern�re guerre qui a explos�.";O;1;;;;;;;;2012-01-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1990-07-01209
1412;"(DEP) PAS-DE-CALAIS (62) 17. 07.1990";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1990;07;17;"Dans la nuit du 17 au 18 juillet 1990, de nombreux t�moins dont une patrouille de gendarmes observent jusqu'� 13 objets se d�pla�ant sans bruit avec des feux clignotants. L'un des t�moins mentionne une forme de cerf volant. IL s'agit tr�s probablement de confusion avec des a�ronefs. Cette observation est � rapprocher avec le d�part le m�me jour du tour de France a�rien des jeunes pilotes.";"Observation d'un objet de la forme d'un losange volant horizontalement avec des lumieres jaunes et rouges et se depla�ant � tres grande vitesse et sans bruit";O;7;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1990-07-01210
1413;"ILE-D'OLONNE (L') (85) --.--.199-";Vend�e;85;"(D) D�partement";199-;--;--;"Le t�moin relate en 2008 un observation faite durant un �t� entre 1990 et 1993 (la date du 01/06/1990 est donn�e arbitrarement).
Un soir, vers 23h, alors qu'il s'appr�tait � faire du camping avec un copain dans son jardin, le t�moin, ag� d'une dizaine d'ann�es, observe depuis l'entr�e de sa tente l'arriv�e dans le ciel d�gag� de trois lumi�res blanches d�limitant une forme triangulaire opaque de grande taille. Le ph�nom�ne se d�place silencieusement et tr�s lentement au-dessus du bourg sur une trajectoire rectiligne. Durant l'observation de courte dur�e le t�moin � l'impression que le triangle principal est form� par un ensemble de triangles d�s � d'autres lumi�res. Le jeune gar�on est effay� et son copain n'a pas le temps de voir le ph�nom�ne. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce t�moignage n'est pas exploitable par le GEIPAN. En effet il s'agit d'une observation faite par un enfant rapport�e 18 ans apr�s les faits sans qu'il soit pr�cis� la date (ni m�me l'ann�e) de l'observation. Le GEIPAN n'est m�me pas en mesure de rechercher dans sa base et faire des rapprochements avec des t�moignages voisins en lieu et/ou date.
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en C : manque d'information.";"Courte observation du passage lent et silencieux d'un ph�nom�ne d�limit� par trois lumi�res blanches dans le ciel nocturne d'�t� : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.50;0.00;;;0.30;;0.60;;0.20;0.00;C;C;1990-07-02028
1414;"VILLERS-SAINT-GENEST (60) --.07.1990";Oise;60;"(D) D�partement";1990;07;--;"Un t�moin rapporte en 2012 une observation faite entre juillet et aout 1990 (la date du 1er juillet 1990 est donn�e arbitrairement, le t�moin ne se souvenant pas exactement de la date du jour). Cette personne relie �galement � cette premi�re observation un �v�nement particulier arriv� en 2005.
Adolescente, le t�moin observe les �toiles avec son fr�re depuis la chambre de la maison familiale vers minuit et demi. Tous les deux constatent qu'un point lumineux se rapproche et qu'un appareil gigantesque, noir et silencieux se stabilise devant la maison. Les enfants entendront des voix et effray�s se cacheront sous un bureau jusqu'au d�part de l'engin. Ils est 2h30 lorsqu'ils sortent de leur cachette, �tonn�s d'�tre rest�s cach�s si longtemps.
Lors d'une nuit en 2005, le t�moin principal ,se r�veillant fort agit�e, se souvient que durant le temps tr�s long o� son fr�re et elle �taient cach�s, elle �tait mont�e � bord de l'engin. Elle s'�tait retrouv�e entour�e de six �tres discutant entre eux � son propos et qu'elle �tait compl�tement terroris�e. Le t�moin s'�tait soudain retrouv�e sous le bureau dans la chambre de la maison.
Le t�moin a relat� une observation de PAN en 1990, puis une rencontre �trange en 2005. Le r�cit des deux cas a �t� fourni pour expertise � un chercheur de l'Universit� de Toulouse, membre d'un laboratoire du CNRS, sp�cialiste des t�moignages oculaires.
Le r�sultat de cette expertise conclut que le d�but de la premi�re observation a �t� r�ellement v�cue par le t�moin (le d�but du t�moignage fait penser � un passage de satellite) ; cependant l'anciennet� de l'observation ainsi que le manque d'informations (la date, l'heure) ne permettent pas d'aboutir � une conclusion nette.
La deuxi�me exp�rience est plus r�cente mais les conclusions mettent en �vidence des indicateurs forts de r�cits non-v�cus, ce qui est appel� � faux souvenir �, c'est-�-dire des souvenirs adopt�s par le t�moin en toute sinc�rit�, mais issus d'une construction involontaire de la part du t�moin. L'apparition des faux souvenirs peut intervenir chez des t�moins ayant v�cus un �tat de stress post-traumatique (dans le cas pr�sent, le t�moin garde un souvenir traumatisant de la premi�re exp�rience avec des r�percussions sur son �tat de sant� (trouble de la m�moire).
Ce cas est class� ""C"" : non exploitable par manque d'informations pr�cises.";"T�moignage r�cent mais impr�cis d'une observation ancienne d'un point lumineux suivi d'un r�cit de rencontre �trange : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-01-24;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1990-07-08305
1415;"LASSAY LES CHATEAUX (53) 1990";Mayenne;53;"(D) D�partement";1990;08;19;"Le 19 aout 1990 vers 22h45 le propri�taire d'une ferme observe au-dessus d'un batiment une forme stationnaire rouge puis une autre verte. Effray� il rentre � la maison. Un feu d'artifice a �t� tir� le m�me jour dans le m�me cr�neau horaire et est peut-�tre � l'origine de l'observation. L'ann�e suivante afin de valider cette hypoth�se, les gendarmes reviennent � la ferme afin de constater les effets du feu d'artifice. Le t�moin n'a pas reconnu les observations de l'ann�e pr�cedente mais il n'�tait pas plac� dans les m�mes conditions (il savait ce qu'il allait voir) et l'hypoth�se du feu d'artifice reste privil�gi�e.";"Observation de ph�nom�nes vert et rouge stationnaires quelques instants au dessus du batiment d'une ferme";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1990-08-01211
1416;"ARZENC-DE-RANDON (48) 23.08.1990";Loz�re;48;"(D) D�partement";1990;08;23;"Le 23 ao�t 1990 vers 23 heures, un t�moin observe pendant 30 � 40 secondes un �clat lumineux tr�s vif cadenc� � 3 secondes environ qui se d�place tr�s rapidement. Aucune autre information disponible sur cette observation.";"Observation d'un �clat lumineux tr�s vifs avec un cadencement de 3 secondes environ";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1990-08-01212
1418;"LONGUENESSE (62) 08.09.1990";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1990;09;08;"Observation durant plusieurs jours et durant plusieurs heures � partir de 21h30 de formes ovoides avec des feux rouges et verts qui se d�placent lentement ou restent stationnaires. Cette observation a �t� faite par plusieurs t�moins ainsi que par une patrouille de la Police Nationale. Le ph�nom�ne n'a pu �tre identifi� bien qu'il puisse faire penser � des lasers d'une discoth�que lilloise. Il peut �galement �tre rapproch� de l'observation du 17 juillet si l'hypoth�se d'un passage d'a�ronefs n'est pas la bonne.";"Observation d'une forme ovoide avec feux rouge et vert avec un d�placement lent ou stationnaire";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;D;C;1990-09-01214
1419;"MOOSCH (68) 19.09.1990";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";1990;09;19;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� THANN (68) 1990 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 19 septembre 1990 vers 21h45 un couple et deux enfants observent les �volutions dans le ciel couvert d'une forme ovo�de de couleur blanche laiteuse. Cette forme effectue au-dessus de la for�t de MOOSCH des d�placements et mouvements giratoires avant de dispara�tre. Une enqu�te de voisinage a permis de trouver 4 autres t�moins ayant vu des ph�nom�nes similaires les 19, 20 et 21 septembre.
Lors de l'observation, le GEIPAN n'avait pas (ou peu) d'exp�rience de ces observations. Les cas accumul�s depuis (faire recherche de cas sur www.geipan.fr avec mot clef skyrose, skytracer, ou laser) permettent d'affirmer que la pr�sente observation est parfaitement conforme � l'hypoth�se d'une tache lumineuse sur le plafond nuageux cr��e par l'utilisation d'un projecteur au sol (voir le compte rendu d'enqu�te) :
- forme �ovo�de �, selon la perspective cr��e par l'angle d'observation ;
- mouvements de va-et-vient et rotatifs ;
- pr�sence d'une couverture nuageuse ;
- couleur blanche ;
- luminosit� et aspect g�n�ral du PAN d�crit par les t�moins comme �tant � opaque �, � laiteux � et � sans �clat � ; lumi�re diffuse n'�clairant pas les environs.
Compte tenu de cette forte conformit�, l'hypoth�se est � retenir malgr� le fait que le jour de l'observation soit un mercredi soir (et non un week-end plus propice � un �v�nement festif) et qu'aucune trace d'une quelconque manifestation locale ou priv�e n'ait �t� trouv�e. En effet, 30 ans apr�s, cette absence de trace n'est pas d�terminante, rien ne permet d'infirmer l'existence d'un tel �v�nement ou bien d'une s�ance de r�glage en semaine (cela n'a dur� que 15 minutes) pour un �v�nement tenu lors d'un week-end qui lui n'aurait pas provoqu� d'�tranget� dans le ciel en raison de conditions m�t�orologiques diff�rentes.
La consistance est correcte, avec une enqu�te r�alis�e sur place par les Gendarmes. On pourra regretter cependant l'absence de relev�s angulaires et de photographies ou de vid�os prises au moment des faits par les t�moins.
En cons�quence le GEIPAN classe en B : observation d'animations lumineuses (laser, skytracer)";"Observations nocturnes, dans le ciel couvert, des �volutions (mouvements de va-et-vient et rotatifs) d'une forme ovo�de de couleur laiteuse : probables observations d'animations lumineuses de laser (skytracer).";O;2;2;;1;;;;;2018-07-18;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;B;B;1990-09-01215
1420;"PRIVAS (07) 1990";Ard�che;07;"(D) D�partement";1990;09;24;"Le 24 septembre 1990 vers 22h15, cinq t�moins sont intrigu�s par 3 boules lumineuses blanc-jaunes � contours flous, comme vues � travers les nuages. Un sixi�me t�moin habitant dans une localit� voisine indique que ces lumi�res �taient le reflet sur les nuages de trois gros projecteurs pos�s au sol.";"Observation de 3 boules lumineuses dans le ciel : reflet de lumi�re sur les nuages.";O;5;5;;1;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1990-09-01216
1421;"THIANT (59) 26.09.1990";Nord;59;"(D) D�partement";1990;09;26;"Le 26 septembre 1990 � 17 heures un femme regarde sa t�l�vision et son attention est attir�e � travers sa fen�tre par une boule lumineuse qui se dirige vers la maison. Elle est effray�e et appelle ses deux voisines qui assisteront au ph�nom�ne. Apr�s une ascension, la boule redescend pour stationner au-dessus d'un arbre. A ce moment, elle devient tr�s lumineuse �claire toute la zone en aveuglant les t�moins. L'ensemble de l'observation a dur� 5 � 6 minutes. Aucune explication n'a pu �tre donn�e � ce ph�nom�ne.";"Observation d'une grosse boule lumineuse pendant 5 � 6 minutes";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1990-09-01217
1425;"NOYAL-SUR-VILAINE (35) 26.10.1990";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";1990;10;26;"Le 26 octobre 1990 en rentrant de son travail, un t�moin au volant de sa voiture observe un objet triangulaire, gros comme un avion, changeant de direction et se d�pla�ant sans bruit. Aucune identification du ph�nom�ne n'a �t� possible.";"Observation d'un objet triangulaire , gros comme un avion , changeant de direction et se d�pla�ant sans bruit";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1990-10-01224
1428;"RENTREE ATMOSPHERIQUE 5 NOVEMBRE 1990";France;FR;"(N) National";1990;11;05;"Il est 20 heures le 5 novembre 1990 lorsque les services de s�curit� du CNES sont submerg�s d'appels en provenance de nombreuses brigades de gendarmerie signalant un �trange ph�nom�ne lumineux ayant travers� une grande partie de la France vers 19 heures.
Durant plus d'une semaine, le SEPRA recevra de nombreux appels de t�moins demandant des explications � propos ""d'un immense triangle lumineux"" qui traversant le ciel. Parmi les t�moins J.P. Haigner�, spationaute au CNES confirmera l'�tranget� du ph�nom�ne. Au centre de lancement de ballons d'Aire-sur-Adour, les techniciens retarderont un lancement pour observer le ph�nom�ne !
Le service du SEPRA est renforc� pour l'occasion, et la recherche d'informations commence aupr�s des autorit�s a�riennes civiles et militaires, des services de m�t�orologie et de la NASA pour une �ventuelle rentr�e atmosph�rique.
La r�ponse de la NASA arrive le 8 novembre en indiquant, pour le 5 novembre, la rentr�e de l'objet ""20925/1990 94C / GORIZONT 21 PLATFORM / USSR"". Les services d'orbitographie du CNES confirment la trajectoire de cette rentr�e qui traversa la France du golfe de Gascogne � l'Alsace. Cette information est fournie aux agences de presse le 9 novembre 1990. A noter qu'un t�moin, membre d'un r�seau d'observation particuli�rement efficace, informait le SEPRA d�s le 6 novembre qu'il s'agissait de la rentr�e 90/94C et qu'il �tait pass� � 103 km au-dessus du golfe de Gascogne pour sortir dans l'est de la France � 83 km d'altitude.
Le survol d'un nuage de d�bris d'un 3eme �tage de fus�e sovi�tique PROTON se passe � une altitude de 100 � 50 km et � une vitesse d�croissante de 7 � 2km/s (25 000 �7 200km/h). Or un t�moin, quel qu'il soit, ne peut pas estimer la distance d'un objet inconnu, a fortiori des points lumineux, de nuit. Cependant son cerveau estime inconsciemment une distance, � partir de l'intensit� lumineuse du ph�nom�ne. (voir l'explication sur l'estimation de taille et de distance d'un ph�nom�ne inconnu.)
Cet ensemble de d�bris en fusion, suivi de tra�n�es, s'�tire dans l'espace sur plusieurs dizaines de kilom�tres selon la forme et la composition des pi�ces m�talliques. Et c'est la puissance lumineuse du ph�nom�ne qui l'a fait para�tre proche aux t�moins.
Cette illusion de proximit� est constat�e � chaque observation de bolide.
Cette illusion de perception, dite illusion de distance, est bien connue des psychologues de la perception visuelle. Tout comme l'illusion de contour ou illusion de forme : dans ce cas lorsqu'un observateur voit un ensemble de points se d�placer ensemble, son cerveau construit un objet virtuel portant ces points. Voir l'article sur la psychologie de la forme.
. Or la majorit� des t�moignages de la rentr�e atmosph�rique du 5 novembre 1990 relatent l'observation d'un engin sombre, muni de multiples lumi�res, volant � basse altitude, de l'O-SO vers le E-NE.
Les t�moignages sont conformes � l'observation d'un nuage de d�bris en fusion issus de la fragmentation du 3 eme �tage de fus�e PROTON rentrant dans l'atmosph�re :
-l'heure d'observation et sa dur�e,
-les multiples points lumineux,
-la direction d'observation: voir la nouvelle simulation de la rentr�e atmosph�rique du 05.11.1990,
-la taille apparente (des t�moins sont surpris de voir que la taille apparente ne varie pas au cours du passage : preuve que l'objet est tr�s lointain).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" comme observation de la rentr�e dans l'atmosph�re du 3�me �tage d'une fus�e PROTON.
Plusieurs t�moins, tr�s choqu�s par leur observation, n'ont pas admis cette explication.";"Observation par des milliers de personnes d'une rentr�e atmosph�rique d'une ampleur exceptionnelle : rentr�e dans l'atmosph�re du 3�me �tage d'une fus�e sovi�tique PROTON.";O;582;;;;;;;;2015-06-15;;;0.13;0.12;;;0.90;;0.80;;0.53;0.47;A;A;1990-11-01225
1429;"SUD-OUEST 06.11.1990";France;FR;"(N) National";1990;11;06;"Le 6 novembre 1990 vers 22h00 plusieurs t�moins dans diff�rents d�partements du Sud-Ouest ont observ� une boule de feu orang�e qui s'est d�sint�gr�e sans bruit.
Sans l'ampleur de la rentr�e atmosph�rique de la veille, il s'agit vraisemblablement l� d'une autre rentr�e atmosph�rique.";"Observations d'une boule de feu qui se d�sint�gre. Probable rentr�e atmosph�rique.";O;8;;;;;;;;2012-01-17;;;0.27;0.13;;;;;;;0.60;0.40;B;B;1990-11-01226
1430;"REGION OUEST 24.11.1990";France;FR;"(N) National";1990;11;24;"Le 24 novembre 1990 dans la r�gion de Nantes plusieurs t�moins observent d'une dizaine de boules lumineuses se d�pla�ant � grande vitesse.
L'enqu�te montrera qu'il s'agissait de rampes laser install�es par EDF � l'occasion des festivit�s du 20�me anniversaire de la centrale de Cordennais. Ces laser �taient visibles � 40 km.";"Observation de boules lumineuses provenant de spots laser";O;10;;;;;;;;2011-06-09;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1990-11-01228
1436;"TAHAA (TAHITI) 1991";"Polyn�sie fran�aise";987;"(D) D�partement";1991;02;03;"Observation par deux t�moins ind�pendants d'une boule de lumi�re intense qui s'est abim�e en mer avec un bruit important comme une explosion. Il s'agit d'une probable rentr�e atmosph�rique sans qu'il soit possible de d�terminer si elle est naturelle ou artificielle.";"Observation d'une probable rentr�e atmosph�rique";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1991-02-01230
1439;"MESLIN (22) 06.03.1991";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1991;03;06;"Le 06 mars 1991 observation par un t�moin d'un point lumineux plus gros qu'une �toile. L'explication d'un laser d'une discoth�que voisine n'a pu �tre retenu car ce jour l� l'�tablissement �tait ferm�. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation d'un point lumineux plus gros qu'une �toile : manque d'information.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1991-03-01232
1441;"FLORANGE (57) 28.03.1991";Moselle;57;"(D) D�partement";1991;03;28;"Observation par un t�moin en voiture de 3 lumi�res dispos�es en triangle dans le ciel. L'observation de ce ph�nom�ne �tait accompagn�e d'un ronflement continu. Aucun autre t�moin ni aucune autre information n'ont pu �tre recueillis.";"Observation de lumi�res dispos�es en triangle dans le ciel : manque d'information.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1991-03-01234
1442;"VIVIEZ (12) --.--.1991";Aveyron;12;"(D) D�partement";1991;--;--;"Observation par un t�moin depuis son domicile d'un point lumineux. Cette observation s'est reproduite plusieurs jours d'affil�e vers 21 heures. Aucune autre information disponible.";"Observation p�riodique d'un point lumineux : manque d'information.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1991-03-01235
1443;"SARRAMEA (988) 19.04.1991";Nouvelle-Cal�donie;988;"(D) D�partement";1991;04;19;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� LA FOA (988) 19.04.1991 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 19 avril 1991 vers 17h-17h30, trois t�moins sont au sommet d'un plateau non bois� au niveau du col d'Amieu sur la commune de SARRAMEA en Nouvelle Cal�donie. Ils observent soudain le passage de deux ph�nom�nes lumineux dans le ciel d�gag�. Malgr� leurs courtes observations (de 2 � 3 secondes pour T1 et T2) � une dizaine de secondes (pour T3), ils d�crivent un ph�nom�ne de forme circulaire (""disques"",""forme ronde"", ""boule""), aux couleurs vari�es (T1 ""argent�"", T2 ""vert fluorescent"" et T3 ""bleu, rose, vert fluorescent) se d�pla�ant silencieusement sur une trajectoire rectiligne Est-Ouest. Les t�moins perdent de vue le ph�nom�ne cach� par des arbres. T1 pense � la d�sagr�gation d'un satellite. L'enqu�te de gendarmerie exclut un vol d'a�ronef.
D'�tranget� faible mais de bonne consistance (3 t�moins, t�moignages assez pr�cis), ce cas s'av�re �tre tr�s probablement une observation d'une rentr�e de m�t�oro�de (voir le compte-rendu d'enqu�te).
La description du PAN fournie par les t�moins est en effet caract�ristique de ce type de ph�nom�ne : d�placement tr�s rapide de 2 objets lumineux, dur�e d'observation de 2 � 3 secondes.
Cette conclusion est bien plus facile aujourd'hui qu'il y a 27 ans. Le GEIPAN a depuis accumul� beaucoup de t�moignages, et de nos jours plusieurs sites enregistrent les t�moignages de rentr�es naturelles de m�t�oro�des. On peut constater que ces rentr�es peuvent �tre observ�es de jour, avec une ou plusieurs lueurs (fragmentation), avec ou sans son. Le cas du 8 avril 2018 enregistr� aux USA est un exemple parmi d'autres de cas similaires � celui de nos t�moins. C'�tait de jour, il y avait plusieurs observateurs, plusieurs lueurs (fragmentation), pas de train�es, pas de son (voir l'exemple sur le site IMO).
La courte dur�e de l'observation ainsi que la trajectoire de l'Est vers l'Ouest va � l'encontre d'une �ventuelle rentr�e de satellite. Ce qui a �galement �t� confirm� par l'absence de rentr�e artificielle enregistr�e pouvant correspondre.
Le cas est class� A : observation tr�s probable d'une rentr�e de m�t�oro�de.
";"Courtes observations du passage rapide et silencieux de 2 disques de couleur tr�s lumineux dans le ciel de la Nouvelle Cal�donie : observations tr�s probables d'une rentr�e de m�t�oro�de.";O;3;3;;1;;;;;2018-06-20;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.80;;0.65;0.00;A;A;1991-04-01236
1447;"MAULE (78) 23.07.1991";Yvelines;78;"(D) D�partement";1991;07;23;"Le 23 juillet vers 11h30, un t�moin observe un ph�nom�ne blanc tr�s lumineux et silencieux de la taille d'un petit avion de tourisme durant 15 secondes environ. Aucune autre information disponible.";"Observation d'un ph�nom�ne tr�s lumineux blanc de la taille d'un petit avion de tourisme";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1991-07-01240
1448;"LISIEUX (14) 04.08.1991";Calvados;14;"(D) D�partement";1991;08;05;"Le 5 ao�t 1991 vers 2h20 deux gendarmes en patrouille observent une sph�re rouge d'environ 80 cm de diam�tre se d�pla�ant tr�s rapidement et sans bruit � une quinzaine de m�tres du sol. La dur�e du ph�nom�ne a �t� tr�s br�ve. Les d�clarations des deux gendarmes sont concordantes et le ph�nom�ne n'a pu �tre identifi�.";"Observation d'une sph�re rouge se d�pla�ant � grande vitesse.";O;2;;;;;;;;2010-03-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1991-08-01241
1449;"SAINT-LARY (32) 06.08.1991";Gers;32;"(D) D�partement";1991;08;06;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � C � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � C � en 1991 par le SEPRA et pr�c�demment nomm� JEGUN (32) du nom de la brigade de gendarmerie.
Le 6 ao�t 1991 � 0h15, la gendarmerie de JEGUN (32) est avis�e par un couple de t�moins habitant � Saint-Lary (32) de la pr�sence d'une lueur particuli�re dans le ciel. Le permanent aper�oit �galement le ph�nom�ne � partir de 0h35 et l'observe minutieusement, � l'aide de jumelles, jusqu'� 1h29.
Ce cas est consistant (trois t�moins, dont un gendarme), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : Capella. De plus, cette �toile pr�sente une couleur parfaitement coh�rente avec celle du PAN.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � � travers leur ressenti (�tonnement, fatigue, observation de nuit).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise avec l'�toile Capella.";"Observation d'un point lumineux changeant de couleur : m�prise astronomique avec l'�toile Capella.";O;1;;;;;;;;2017-03-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1991-08-01242
1450;"GILETTE (06) 16.08.1991";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";1991;08;16;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� C fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 18 ao�t 1991, un ufologue se pr�sente en Gendarmerie pour rapporter une observation dont il a entendu le r�cit la veille. Cette observation a �t� faite par un groupe de 5 enfants (de 7 � 10 ans) � Gilette le 16 ao�t 1991 apr�s 23h. Ces enfants ont observ�, dans le ciel nocturne, une masse lumineuse bleue ovo�de (30 cm � bout de bras) pourvue de trous d'o� sortent des lumi�res bleues moins brillantes, variant d'intensit� et devenant orange. Cette masse est anim�e d'un mouvement pendulaire rapide et reste stationnaire. Apr�s 10 secondes d'observation, un �clair bleu appara�t suivi d'une s�rie d'�clairs. Cette masse s'allume et s'�teint toutes les 5 secondes. Un autre t�moignage d�crit l'objet vu depuis un autre endroit et sous un autre angle sugg�rant qu'il �tait en survol de la vall�e. Les enfants seront entendus en pr�sence de leurs parents par la Gendarmerie mais les t�moignages ne feront pas l'objet de proc�s verbaux d'audition.
Le pr�sent t�moignage est d'une �tranget� importante :
- objet totalement lumineux de couleur bleue pourvu de "" Trous"" dans lesquels des lumi�res bleues vives passent � l'orange. Objet qui s'animait et s'�teignait toutes les 5 secondes ;
- taille de 30 cm, mesur�e � bout de bras (soit 30 m�tres de large si plac� � 70m de distance !) ;
- un mouvement pendulaire ondulatoire, �clairs ne touchant pas le sol, ...
Mais, ce n'est pas un t�moignage, mais une description par un tiers de r�cits d'observation n'ayant fait l'objet d'aucun t�moignage direct � la gendarmerie ou au GEIPAN. La Gendarmerie se contente d'annoncer que les enfants ayant fait l'observation confirment leurs dires tels que report�s. Ce qui est bien diff�rent d'une d�position (et r�ponse � question) faite par chacun d'eux et retranscrite par un gendarme.
De nos jours le GEIPAN ne prend pas en compte les t�moignages indirects. Un t�moignage indirect ne peut pas �tre consistant car l'information est souvent insuffisante et surtout manque de fiabilit�.
En l'occurrence ici, vu l'�tranget� du cas, il aurait fallu une bonne consistance pour qu'il soit exploitable
(voir l'information sur la m�thodologie de classification du GEIPAN.
)
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C : t�moignage inexploitable.";"T�moignages rapport�s d'observations multiples faites par des enfants d'une masse lumineuse bleue avec des lumi�res de couleurs vari�es et �clairs dans le ciel nocturne : manque d'informations fiables.";O;1;5;;1;;;;;2018-10-19;;;0.70;0.00;;;0.30;;0.70;;0.20;0.00;C;C;1991-08-01243
1451;"VIELLE-SOUBIRAN (40) 20.08.1991";Landes;40;"(D) D�partement";1991;08;20;"Le 20/08/1991 vers 5 h 30, deux gendarmes en patrouille observent durant un bref instant une sph�re bleut�e tr�s brillante se d�pla�ant � tr�s grande vitesse et avec une train�e importante d'�tincelles . Aucun autre t�moin n'a pu �tre trouv� mais le ph�nom�ne d�crit s'apparente � une rentr�e atmosph�rique naturelle ou artificielle.";"Observation vraisemblable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1991-08-01244
1452;"SAINT-MARTIN-DE-CRAU (13) --.08.1991";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1991;08;--;"Un t�moin rapporte qu'en 1991 vers la mi-ao�t, elle a pu apercevoir vers 22h 30 un ensemble de points lumineux blancs qui se mouvaient anarchiquement dans le ciel. Ces points tr�s haut dans le ciel, ont soudainement form� un ballet s'organisant en diverses formes g�om�triques. Ceci a dur� environ 5 minutes avant que l'ensemble ne se rassemble en un point pour dispara�tre en laissant une br�ve train�e phosphorescente. Cette personne a probablement �t� t�moin du fonctionnement de courte dur�e d'un projecteur laser de discoth�que qui donne typiquement ce genre de formation dans le ciel. Le t�moin indique d'ailleurs qu'une boite de nuit dans un village voisin dispose de ce type d'outil.";"Probable observation de rayons laser d'un projecteur de discoth�que.";O;1;;;;;;;;2010-03-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1991-01-01777
1453;"VILLY (08) 05.09.1991";Ardennes;08;"(D) D�partement";1991;09;05;"Le 05 septembre 1991 vers 23h30, un t�moin observe le passage � deux reprises et � 15mn d'intervalle de 3 points lumineux en triangle, pointe vers l'arri�re, avec deux points rouges vers l'avant et un point blanc vers l'arri�re suivant le sens du d�placement. La vitesse �tait lente et le d�placement silencieux. Aucun autre �l�ment concernant cette observation.";"Observation du passage de deux points rouges et un blanc en triangle : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1991-09-01245
1454;"CLERMONT-FERRAND (63) 19.09.1991";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";1991;09;19;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � C � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � C � en 1991 par le SEPRA et pr�c�demment nomm� Cournon-d'Auvergne (63) du nom de la brigade de gendarmerie.
Le 19 septembre 1991 � 5h25, la gendarmerie de Cournon d'Auvergne (63) est avis�e par un t�moin domicili� � Clermont-Ferrand (63) de la pr�sence d'un point lumineux dans le ciel. Le gendarme de service r�ussit � observer le PAN. Un deuxi�me t�moin anonyme contacte la gendarmerie � 5h 30 pour signaler la pr�sence du PAN et un troisi�me appel � 5h40 �manant du commissariat de police de Clermont-Ferrand confirme les faits. Le PAN est d�crit comme ayant l'apparence d'une � grosse �toile �, � d�gageant une forte lumi�re blanche �. La taille apparente du PAN �tait tr�s petite, car il est compar� � un � point lumineux �. Son observation aux jumelles n'apporte aucun d�tail.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la plan�te V�nus. De plus, cette plan�te �tait bien pr�sente et de forte magnitude dans la zone du ciel observ�e alors que les t�moins n'en font pas mention.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (�tonnement, fatigue, observation de nuit).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e � une m�prise avec la plan�te V�nus.";"Observations d'une lumi�re intense blanche statique dans le ciel : m�prise avec V�nus.";O;1;;;;;;;;2016-09-20;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1991-09-01246
1455;"CERGY (95) --.09.1991";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";1991;09;--;"T�moignage r�cent (31/07/2009) d'une observation ancienne (septembre 1990 ou 1991, le t�moin ne se souvient plus exactement de la date). Un t�moin raconte avoir observ� au cr�puscule, le lent d�placement d'un objet circulaire de grandes dimensions (entre 20 et 40 m�tres) qui �mettait un grondement r�gulier. Durant 3 � 4 minutes, cette personne a pu voir des lumi�res clignotantes de diverses couleurs sur le pourtour de l'objet. Celui-ci avait une trajectoire rectiligne NE-SO � une altitude comprise entre 100 et 200 m�tres. L'objet a disparu sans changer de trajectoire en se fondant dans le ciel. Le t�moin ira d�poser une main courante � la police du secteur. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne. L'anciennet� de l'observation rend toute enqu�te difficile voir impossible. Suite � un nouveau courrier du t�moin (en date du 14 septembre 2010), celui-ci nous pr�cise la date d'observation qui devient septembre 1991(pas de pr�sision sur le jour) et nous joint des documents sur la trajectoire prise par l'objet ainsi qu'une repr�sentation sh�matis�e qu'il a fait de l'objet observ� (voir courrier t�moin).";"Observation du passage d'un objet rond de grandes dimensions.";O;1;;;;;;;;2010-09-15;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1990-09-02515
1457;"SUD-OUEST 10.10.1991";Occitanie;OCC;"(R) R�gion";1991;10;10;"Le 10/10/1991 vers 21h30 de nombreux t�moins r�partis dans tous les d�partements du Sud-Ouest ont observ� pendant quelques secondes une tr�s vive lueur blanche se d�pla�ant tr�s rapidement avec une train�e importante dans une direction g�n�ralement indiqu�e Nord Sud. Certains t�moins ont �galement entendu une forte explosion accompagnant le ph�nom�ne.
Un article dans le journal local a permis � de nombreux t�moins de se manifester.
Les caract�ristiques de l'observation privil�gie l'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique de grande ampleur, probablement naturelle compte tenu de la direction observ�e.";"Observations par de nombreux t�moins d'une probable rentr�e atmosph�rique de grande ampleur.";O;18;;;;;;;;2012-01-17;;;0.36;0.13;;;;;;;0.64;0.36;B;B;1991-10-01248
1458;"LANTEFONTAINE (54) 20.10.1991";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";1991;10;20;"Ce cas d'observation d�j� publi� sous le nom de BRIEY (54) avec une classification ""B"", probable observation d'un astre, a �t� l'objet d'une nouvelle analyse en 2009.
Entre le 20 et le 24 octobre 1991 entre 6 et 8h, deux t�moins sont intrigu�s par la pr�sence d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Un des t�moins filme avec son camescope les apparitions de ce point tr�s brillant. Les gendarmes constateront �galement la pr�sence d'un point lumineux toujours au m�me endroit dans le ciel.
Lors de la prise de vue avec un zoom maximal, une sph�re avec deux ""encoches"" apparait : ceci se r�v�lera �tre un probl�me li� � l'objectif du camescope.
Suite � une v�rification astronomique, l'enqu�te r�v�lera que ""l'�toile du berger"" �tait bien visible dans ce secteur du ciel aux dates indiqu�es et qu'elle �tait en phase maximum d'�clat avec une magnitude pouvant atteindre -4,46 dans cette p�riode.
Au vu du compl�ment d'enqu�te, le GEIPAN classe ce cas ""A"" comme parfaitement identifi� : observations successives de la plan�te V�nus.";"Observations successives d'un point lumineux dans le ciel : observation de V�nus.";O;2;;;;;;;;2017-02-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1991-10-01250
1461;"SUD-OUEST 28.11.1991";France;FR;"(N) National";1991;11;28;"Le 28 novembre 1991 vers 22h30 au moins 25 t�moins r�partis sur la c�te atlantique et le Sud-Ouest ont vu pendant une dizaine de secondes une boule tr�s lumineuse de couleur verte circulant � grande vitesse sans bruit. Selon certains t�moignages cette boule s'est d�sint�gr�e dans une gerbe d'�tincelles. La direction g�n�rale d�duite des t�moignages semble �tre Sud-Est Nord-Ouest.
Il est tr�s vraisemblable qu'il s'agisse de la rentr�e atmosph�rique d'un d�bris spatial.";"Observations vraisemblables d'une rentr�e atmosph�riques de grande ampleur.";O;26;;;;;;;;2012-01-17;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1991-11-01253
1462;"SUD-OUEST 10.12.1991";Nouvelle-Aquitaine;NAQ;"(R) R�gion";1991;12;10;"Observations le 10 d�cembre 1991 dans la soir�e par des t�moins situ�s dans les Hautes Pyr�n�es et en Gironde d'un ph�nom�ne lumineux dont les caract�ristiques font penser � une rentr�e atmosph�rique.";"Observations vraisemblables d'une rentr�e atmosph�rique.";O;3;;;;;;;;2012-01-17;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1991-12-01255
1465;"VENTEROL (26) 06.02.1992";Dr�me;26;"(D) D�partement";1992;02;06;"Le 10 f�vrier 1992 vers 7h30 un t�moin unique en voiture observe une forme ovale marron et orang�e de la taille d'un h�licopt�re et immobile. L'observation a dur� environ 15 secondes environ. Aucune information n'a pu �tre recueillie permettant de confirmer et d'expliquer cette observation.";"Observation durant une quinzaine de secondes d'une forme ovale marron";O;1;;;;;;;;2013-05-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1992-02-01257
1466;"ARUDY (64) 1992";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";1992;03;01;"Le 01 mars 1992 vers 3h30, un t�moin et une dizaine de ses invit�s ont pu voir une masse lumineuse se d�placer lentement dans le ciel avec une train�e de diverses couleurs. Aucun des invit�s pr�sents n'a �t� auditionn�. Au m�me moment dans le d�partement, d'autres t�moins en voiture ont observ� un ph�nom�ne similaire durant 30 � 40 secondes. Chacun des t�moignages est assez succinct mais la r�union de l'ensemble permet de penser qu'il s'agit d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1992-02-01258
1469;"MONTIVILLIERS (76) 25.04.1992";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1992;04;25;"Le 25 avril 1992 vers 7h30, un t�moin observe 3 points lumineux formant un triangle dans le ciel. L'ensemble semblait former un engin de grande dimension tournant lentement sur lui-m�me. L'observation a dur� une vingtaine de minutes. Aucune autre information n'a �t� recueillie.";"Observation pendant une vingtaine de minutes de 3 points lumineux en triangle : manque d'information.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1992-04-01261
1470;"GUERARD (77) 12.05.1992";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";1992;05;12;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� COULOMMIERS (77) 12.05.1992 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 12 mai 1992 vers 22 heures 30, un t�moin depuis le 1er �tage de son domicile observe ""un spot lumineux jaune"" dans le ciel. Rejoint par un second t�moin (T2), ils observent le PAN qui semble s'allonger et suit lentement une trajectoire montante. Dans une derni�re phase le PAN change de direction en laissant appara�tre derri�re lui une train�e jaune. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. Le PAN s'�loigne progressivement. Ces deux t�moignages sont enregistr�s en gendarmerie qui m�ne une enqu�te (voir PV). Le T1 rapporte en d�but de proc�s verbal d'audition deux autres observations faites ant�rieurement.
Le PAN observ� par les deux t�moins s'apparente � un simple a�ronef, observ� dans une premi�re phase de face, feux d'atterrissage allum�s, semblant immobile ou se d�pla�ant lentement car en direction des t�moins ; puis dans une seconde et troisi�me phase, ayant effectu� un virage tout en gagnant de l'altitude jusqu'� rencontrer une couche atmosph�rique plus propice � la formation d'une tra�n�e de condensation, et semblant se d�placer rapidement en � acc�l�rant brutalement � apr�s son virage, car observ� � pr�sent plus transversalement (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Cette train�e de condensation a m�me commenc� probablement � �tre visible en fin de premi�re phase, comme �tant tr�s courte, mais comme les t�moins n'ont pas pu distinguer l'avion de sa train�e, ils ont dans un premier temps assimil� le tout comme �tant un seul et unique objet � s'allongeant �, pour ensuite, lorsque cette train�e s'allonge davantage apr�s le virage, distinguer les deux.
Cet avion pourrait avoir d�coll� en vol VFRn (vol de nuit) de l'a�roport d'Auxerre-Branches et se diriger vers le nord, face aux t�moins, avant d'effectuer un virage vers le nord-est, vers sa destination finale.
L'apparence du PAN d�crite par les t�moins en phase 1 (� spot lumineux de couleur jaune � brillant d'un � �clat tr�s fort �) est tout � fait compatible avec cette hypoth�se, qu'ils ne rejettent que pour l'absence de bruit per�u. Or, � grande distance et en fonction du vent (porteur ou non), le bruit d'un a�ronef peut tr�s bien ne pas �tre per�u.
Dans la seconde phase, la description faite par les t�moins (� train�e lumineuse tr�s longue de la m�me couleur que lui �) cadre tout � fait avec l'observation d'une tra�n�e de condensation produite par cet avion, se trouvant � cet instant � une altitude propice � la formation d'une telle tra�n�e.
L'observation s'�tant d�roul�e au cr�puscule, nous avons tent� de d�terminer s'il �tait possible que cette tra�n�e soit encore �clair�e par le soleil, se trouvant d�j� � 10� sous l'horizon au moment de l'observation. Malheureusement, trop d'incertitudes sur les donn�es existantes et de variables sensibles aux mesures sont pr�sentes et ne permettent pas de conclure de fa�on certaine sur ce point.
En cons�quence GEIPAN classe le cas en B : observation probable d'un avion.
";"Observations d'un spot lumineux jaune fixe changeant ensuite de forme et se d�pla�ant sur une trajectoire montante ; changement de direction et �loignement : observation d'un avion.";O;2;2;;1;;;;;2018-05-29;;;0.40;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;B;1992-05-01262
1471;"GORDES (84) 1992";Vaucluse;84;"(D) D�partement";1992;05;23;"Le 23 mai 1992 vers minuit 2 t�moins dans 2 v�hicules diff�rents observent durant deux � trois secondes une lumi�re tr�s vive. Le temps �tait orageux mais les t�moins n'ont pas pu assimiler le ph�nom�ne � un �clair.";"Observation d'une lumi�re tr�s vive par temps orageux";O;2;;;;;;;;2011-10-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1992-05-01263
1472;"LES HERBIERS (95) 1992";Vend�e;85;"(D) D�partement";1992;05;26;"Le 26 mai 1992 vers 23 heures un t�moin en compagnie de sa m�re observent une forme triangulaire comprenant des lumi�res jaunes aux sommets. L'objet qui semblait m�tallique se d�pla�ait tr�s rapidement et l'observation n'a dur� que 3 secondes environ.";"Observation da passage d'une forme triangulaire tr�s rapide";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1992-05-01264
1475;"CRIQUETOT L'ESNEVAL (76) 1992";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1992;07;02;"Le 3 juillet 1992 vers 0h30, deux jeunes de 16 ans aper�oivent un objet de couleur rouge en forme de ballon de rugby entour� de flammes. Apr�s �tre rest� stationnaire quelques secondes l'objet a piqu� tr�s rapidement vers le sol. Le lendemain, les jeunes vont sur les lieux pr�sum�s de la chute et constate des bl�s couch�s avec des traces au sol. L'enqu�te a permis d'expliquer les bl�s couch�s et les traces par de fortes intemp�ries (plusieurs champs �taient dans le m�me �tat) mais n'a pas permis de trouver d'autres informations sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'un objet rouge en forme de ballon de rugby";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1992-07-01265
1477;"SAINT-PAUL-LES-MONESTIER (38) --.09.1992";Is�re;38;"(D) D�partement";1992;09;--;"A deux reprises le 14 juillet 1992 vers 2h et d�but septembre vers 23h un t�moin observe pendant environ une minute une lumi�re blanche tr�s forte dont l'intensit� varie lentement.Puis en compagnie de sa fille et durant une minute �galement il observe un ph�nom�ne ovale blanc tr�s lumineux qui se d�place lentement et sans bruit dans le ciel. Aucune autre information n'a pu �tre collect�e.";"Observation d'une intense lumi�re et d'un ph�nom�ne ovale se d�pla�ant lentement";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1992-07-01267
1478;"LEGE-CAP-FERRET (33) --.--.1992";Gironde;33;"(D) D�partement";1992;--;--;"Un t�moin rapporte en avril 2008 une observation ayant eu lieu dans l'�t� 1992. Le t�moin ne se souvenant pas de la date du jour et du mois, le cas est arbitrairement dat� au 1er juillet 1992.
Vers minuit, au lieu dit du Mirador au Cap-Ferret deux personnes observent le passage lent et silencieux et � faible altitude de deux triangles superpos�s et illumin�s aux extr�mit�s par une lumi�re blanche. Le ph�nom�ne s'�teint brusquement.
Ce t�moignage d'une observation �trange ne mentionne pas de date pr�cise d'observation. L'enqu�te est de ce fait impossible.
Ce cas est class� ""C"" par manque de date pr�cise.";"T�moignage r�cent d'une observation ancienne et sans date pr�cise du passage de deux triangles lumineux : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-04-24;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1992-07-02220
1479;"MONTREDON-LABESSONNIE (81) 25.08.1992";Tarn;81;"(D) D�partement";1992;08;25;"Dans la nuit du 24 au 25 ao�t 1992 vers minuit , deux jeunes en cyclomoteur observent au-dessus des arbres une lueur qui les a ""suivi"" jusqu'au domicile de l'un deux. Cette lueur �tait blanch�tre de forme ovale et silencieuse. La m�t�o �tait cl�mente et le ciel clair. Les deux jeunes ont �t� tr�s effray�s, ce qui a motiv� leur d�position mais aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation d'une lueur ovale blanche";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1992-08-01268
1480;"ARGENTAN (61) 03.08.1992";Orne;61;"(D) D�partement";1992;08;03;"Le 3 a�ut 1992 vers 1h du matin un automobiliste aper�oit, au-dessus d'un talus bordant un champ, un halo blanc de brume de forme lenticulaire. Situ� � 10m du v�hicule et � 3m de hauteur cette brume s'estompe et le t�moin aper�oit alors un objet de forme ovale, gris sombre, dont la partie sup�rieure est transparente et laisse voir une forme humaine en position de pilotage et portant une combinaison argent�e et un casque. L'objet n'�met aucun bruit. R�veillant son �pouse install�e sur la banquette arri�re, celle-ci constatera la m�me chose. Soudain des rais lumineux de couleur violet apparaissent � l'avant et au-dessus du v�hicule effrayant les t�moins. Le conducteur d�cide d'acc�l�rer l'allure. Sa femme sera la derni�re � voir un objet en forme de cylindre dispara�tre � tr�s grande vitesse. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'un objet ovale silencieux et d'une forme humaine. Disparition � grande vitesse.";O;1;;;;;;;;2010-03-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1992-08-01787
1482;"SEPTEMES-LES-VALLONS (13) 11.10.1992";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1992;10;11;"Le 11 octobre 1992 entre 21h30 et 22h30 deux t�moins ind�pendants observent une forme blanch�tre ovale qui se d�place lentement au-dessus de Marseille. Les deux t�moins prennent la pr�caution de filmer leur observation. Les enqu�tes des 2 brigades montreront rapidement que les t�moins ont observ� de loin un dirigeable bas� � Marignagne et effectuant des vols promotionnels de nuit. Les donn�es du vol sont parfaitement coh�rentes avec la description des t�moins.";"Observation d'un dirigeable";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1992-10-01270
1483;"FELINES (07) 18.10.1992";Ard�che;07;"(D) D�partement";1992;10;18;"Le 18 octobre vers 22h00, un couple en voiture observe une puis deux lueurs clignotantes stationnaires et � faible altitude. Les lueurs �taient oranges avec une lumi�re blanche et tournaient dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Une forme sombre se situait sous les lueurs. Au bout d'une dizaine de minutes ces lueurs ont fini par partir en se d�pla�ant tr�s lentement. Bien que l'observation �tait silencieuse il est tr�s probable que les t�moin ont vu les feux de 2 h�nicopt�res en vol stationnaire qui se sont ensuite �loign�s.";"Observation probable de deux h�licoptres de nuit";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1992-10-01271
1484;"CIERP-GAUD (31) 21.10.1992";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1992;10;21;"Le 21 octobre 1992 vers 19h un couple en voiture observe un ph�nom�ne tr�s rapide de 2 � 3 secondes form� d'une boule lumineuse suivie d'une train�e et de points incandescents. Malgr� le peu d'informations recueillies, il semble probable que ce couple ait �t� t�moin d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1992-10-01272
1486;"[D23] de SAPOIS (88) vers VAGNEY (88) 12.11.1992";Vosges;88;"(D) D�partement";1992;11;12;"Le 12 novembre 1992 vers 17h, un t�moin circulant en voiture est effray� par une grosse masse rouge clignotante qui s'est approch�e rapidement du t�moin sans bruit. L'observation n'a dur� que quelques secondes mais est pass�e � environ 50 m du v�hicule. Le ph�nom�ne n'a pas pu �tre identifi�.";"Observation d'une masse rouge passant tr�s pr�s d'un v�hicule";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1992-11-01273
1487;"SAINT-DENIS (974) 16.11.1992";"La R�union";974;"(D) D�partement";1992;11;16;"Le 16 novembre 1992 vers 4h30 un t�moin est r�veill� par un fort bruit ressemblant � un r�acteur d'avion avec deux �clairs illuminant sa chambre. Il observe alors une grosse boule lumineuse blanche tr�s vive. Au bout d'une dizaine de secondes une villa proche a alors �t� �clair�e de rouge et avec un nouveau bruit la lumi�re blanche a disparu. Cette villa inhabit�e au moment des faits n'a subi aucun d�g�t. Apr�s la disparition de la lumi�re blanche, un point rouge a persist� au-dessus d'un arbre et un l�ger brouillard a persist� � l'endroit de la boule blanche. Malgr� le bruit �voqu� aucun autre t�moignage n'a pu �tre trouv�. Cependant un voisin, bien que n'ayant rien vu, a constat� vers la m�me heure que ses chiens �taient tr�s apeur�s. Le ph�nom�ne observ� n'a pu �tre identifi�.";"Observation d'une lumi�re blanche intense dans un bruit important";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1992-11-01274
1488;"LAMENTIN (LE) (972) 21.11.1992";Martinique;972;"(D) D�partement";1992;11;21;"Le 21 novembre 1992 vers 18h30 un t�moin en voiture observe une lumi�re verte se d�pla�ant tr�s rapidement. Malgr� l'a�roport proche le t�moin pense qu'il ne peut s'agir d'un a�ronef. Bien que le t�moin se trouvait en compagnie de son conjoint, un seul t�moignage a �t� enregistr�. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation d'une lumi�re verte rapide";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1992-11-01275
1489;"CHATEAU D'OLERON (17) 1992";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";1992;12;09;"Le mercredi 9 d�cembre 1992 vers 21h, un gendarme adjoint au chef de brigade ainsi que son �pouse observent un ph�nom�ne lumineux de grande ampleur avec 5 ou 6 rectangles �clair�s et align�s ainsi que 2 �clairs bleus particuli�rement intenses, � chaque extr�mit� de la rang�e de rectangles. L'observation n'a dur� que quelques secondes. Le conducteur a frein� et le v�hicule qui le suivait a �galement ralenti mais ce second v�hicule n'a pu �tre retrouv�. Le ph�nom�ne n'a pu �tre expliqu�.";"Observation d'une rang�e de rectangles lumineux avec 2 �clairs.";O;2;;;;;;;;2010-03-15;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1992-12-01276
1490;"MOYENMOUTIER (88) --.12.1992";Vosges;88;"(D) D�partement";1992;12;--;"Durant plusieurs nuits autour du 23 d�cembre 1992, un t�moin observe de chez lui avec son �pouse plusieurs points tr�s lumineux et de couleur changeante. Lors d'une observation il pr�cise que de brusques changements de positions sont observ�s. L'enqu�te montrera qu'il s'agissait probablement de confusion avec des �toiles identifi�es comme Ald�baran et Gamma. Les brusques changements de position signal�s n'ont pu �tre confirm�s.";"Observation probable de deux �toiles par ciel d'hiver";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1992-12-01277
1492;"CORCIEUX (88) 1993";Vosges;88;"(D) D�partement";1993;01;15;"Le 15 janvier 1993 plusieurs t�moins observent un objet lumineux tr�s brillant et se d�pla�ant lentement selon une trajectoire rectiligne. L'enqu�te montrera qu'il s'agit vraisemblablement de l'observation de la plan�te V�nus dans des conditions particuli�res.";"Observation vraisemblable de la plan�te v�nus";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1993-01-01279
1495;"VIRY-CHATILLON (91) 23.07.1993";Essonne;91;"(D) D�partement";1993;07;23;"Le 23 janvier 1993, vers 00h20, un t�moin observe depuis sa fen�tre des halos lumineux dans le ciel nuageux. Au nombre de 5, avec une dimension apparente de 1,5m ils tournaient entre eux en conservant la m�me distance les uns avec les autres. La m�re du t�moin a �galement pu observer le ph�nom�ne. Au bout d'un certain temps, l'un des halos est parti tr�s rapidement, les autres continuant � tourner. Le ph�nom�ne est rest� silencieux et a �t� observ� durant 15 minutes environ. L'hypoth�se de projecteurs lointains a �t� privil�gi�e";"Observation de halos lumineux";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1993-01-01672
1496;"TRIMOUILLE (LA) (86) 18.01.1993";Vienne;86;"(D) D�partement";1993;01;18;"Le 18 janvier 1993 vers 19 heures, deux t�moins en voiture observent le passage tr�s rapide (2 � 3 secondes) d'une lumi�re verte. Sur l'avant, le ph�nom�ne �tait tr�s rouge avec des ""jets"" rouges. Aucune autre information n'a �t� recueillie mais l'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique est la plus vraisemblable.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1993-01-01685
1498;"(DPT) BOUCHES-DU-RHONE (13) --.--.1993";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1993;--;--;"En avril 2008, un t�moin rapporte que lors de vacances en Camargue en 1993, il a observ� avec une autre personne un ph�nom�ne lumineux particulier. Arriv� tr�s vite comme une �toile filante ce ph�nom�ne a ralenti puis stopp�, fait plusieurs zigzags pour dispara�tre � la verticale � tr�s grande vitesse.
Nos demandes d'informations compl�mentaires sont rest�es sans r�ponse. Cette observation tr�s ancienne, reste sans indication pr�cise de lieu ni de date (le 01/01 a �t� donn� arbitrairement). Aucune enqu�te n'est possible sur une observation sans grande �tranget� qui fait penser � l'observation d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation du d�placement enzigzags d'un ph�nom�ne lumineux : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2016-12-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-01-02221
1501;"BEAUMONT HAGUE (50) 1993";Manche;50;"(D) D�partement";1993;02;13;"Le 13 f�vrier 1993 vers 19 heures et durant plusieurs jours de suite, plusieurs t�moins signalent la pr�sence d'un point lumineux intense et stationnaire dans le ciel de la taille d'une grosse �toile. L'enqu�te montrera que les t�moins ont sans doute �t� abus�s par la plan�te V�nus.";"Observation probable de la plan�te v�nus";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1993-02-01284
1503;"[A11] de MANS (LE) (72) vers ANGERS (49) 23.02.1993";Sarthe;72;"(D) D�partement";1993;02;23;"Le 23 f�vrier 1993 vers 22 heures, un t�moin pompier volontaire observe en circulant sur l'autoroute une trace tr�s lumineuse dans le ciel semblant se consumer en 4 � 5 secondes. Le ph�nom�ne d�crit est vraisemblablement une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1993-02-01286
1504;"LUSIGNAN (86) 28.02.1993";Vienne;86;"(D) D�partement";1993;02;28;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � D � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te.
Ce cas d'observation anciennement nomm� LUSIGNAN (86) 1993 fait partie de cas class�s �D � par le SEPRA et r�examin� r�cemment.
Le 28 f�vrier 1993 vers 5h30 ou 5h45, une automobiliste circulant sur la D150 entre SAINT-SAUVANT (86) et LUSIGNAN (86) observe sur sa gauche un �clair de lumi�re blanche tr�s puissant et aper�oit un objet en forme de coupole avec trois ronds lumineux. L'observation dure 3 � 4 secondes, le temps pour le t�moin de continuer sa route. Le lendemain soir le t�moin se pr�sente en gendarmerie pour signaler les faits. Peu d'informations ont �t� recueillies sur ce PAN.
L'�l�vation au sol du PAN d�crite par le t�moin est au maximum de 2 m appr�ci�e par lui depuis une distance de 300m, distance valid�e par la cartographie vu la position du bois par rapport � route (voir les notes d'enqu�te). C'est une distance importante pour �valuer une hauteur au sol, par ailleurs le t�moin insiste sur l'intensit� des lumi�res du PAN, il est possible et m�me probable que le rattachement (ou non) de ces lumi�res au sol n'ait pas pu �tre distingu� par le t�moin. Ainsi un �l�ment important d'�tranget� per�ue et d�crite par le t�moin (PAN hors sol) ne peut pas �tre valid�.
De plus, la localisation du PAN faite par la gendarmerie le situe au niveau d'un chemin de terre carrossable.
Au final cette description indique avec une bonne probabilit� la pr�sence d'un ou plusieurs engins � �clairage �lev� (agricole, 4X4 de chasseur..), m�me � cette heure matinale.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause. On note que le t�moin a fait l'observation dans de mauvaises conditions, en conduisant et pour une partie via le r�troviseur, qu'il ne s'est pas arr�t� pour observer plus pr�cis�ment les caract�ristiques du PAN et en particulier son �volution. Ce sont des �l�ments qui attribuent au t�moignage une faible consistance, n�anmoins encore suffisante pour valider l'hypoth�se ci-dessus.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : Lumi�res sol.";"Observation courte d'un �clair de lumi�re blanche et d'un objet en forme de coupole avec 3 ronds lumineux pr�s du sol : observation problable de lumi�res sol pouvant provenir d'un ou plusieurs engins � �clairage �lev� (agricole, 4x4)";O;1;;;;;;;;2017-07-28;0.30;;0.30;0.00;0.60;;0.60;0.60;0.60;0.40;0.40;0.00;B;B;1993-02-01287
1505;"SAINT-PRIVAS (19) 1993";Corr�ze;19;"(D) D�partement";1993;02;01;"Le 01 f�vrier 1993 vers 20 heures ainsi que le lendemain, 3 t�moins observent des ""boules"" stationnaires ou se d�pla�ant plus vite qu'un avion, de couleur variable (verte ou orange). Ces boules sont au nombre de 3 ou 5, de la taille d'une �toile, silencieuses. L'un des t�moins indiquent qu'il a d�j� vu le ph�nom�ne l'ann�e pr�c�dente. La dur�e de l'observation est de quelques minutes. Aucune autre information n'a pu �tre collect�e.";"Observation de plusieurs boules lumineuses de la taille d'une �toile.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-05-01300
1506;"SAINT-GILLES-CROIX-DE-VIE (85) 02.03.1993";Vend�e;85;"(D) D�partement";1993;03;02;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � C � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � C � en 1993 par le SEPRA.
Durant la nuit du 1 au 2 mars 1993 entre 1h15 et 1h20, un t�moin observe depuis sa chambre un ph�nom�ne lumineux qu'il d�crit comme �tant de grandes dimensions et ressemblant � ""2 larmes plac�es t�te b�che"".
Ce cas est consistant (un seul t�moin, mais dont le t�moignage est tr�s bien d�taill�), la description du PAN observ� est tr�s pr�cise.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la Lune, dont la lumi�re filtrait � travers une couverture nuageuse qui l'a cach� partiellement , lui donnant des formes �tranges et variables. De plus, la Lune �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e alors que le t�moin n'en fait pas mention.
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation de la Lune � travers de l�gers nuages.";"Observation d'un objet imposant tr�s lumineux dans le ciel couvert : observation astronomique de la Lune.";O;1;;;;;;;;2013-12-11;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1993-03-01288
1507;"NEYROLLES (LES) (01) 24.03.1993";Ain;01;"(D) D�partement";1993;03;24;"Un t�moin � son poste � la gare de p�age de Sylans sur l'autoroute A 40 (commune de Neyrolles (01)), observe durant une vingtaine de secondes le passage silencieux d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Ce ph�nom�ne suivi d'une train�e avance lentement � basse altitude dans le paysage montagneux. Un article de presse faisant �tat de plusieurs t�moignages a incit� le t�moin � faire une d�position mais aucun autre t�moin n'a pu �tre retrouv�.
Ce cas est moyennement consistant (un seul t�moin), la description du PAN observ� est pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� du t�moin n'ont jamais �t� mises en doute, bien que celui-ci ait tr�s probablement fait une erreur de date concernant son observation (voir le document : notes d'enqu�te). Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, vitesse de d�placement, trajectoire) avec un ph�nom�ne astronomique parfaitement connu : une rentr�e atmosph�rique artificielle. De plus, ce t�moignage peut parfaitement s'inscrire dans l'observation de masse ayant suivi la rentr�e atmosph�rique du 31 mars 1993 (fus�e Cyclone-M).
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (observation de nuit d'un ph�nom�ne astronomique insolite, t�moignage tardif).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e � la rentr�e atmosph�rique artificielle du 31 mars 1993.";"Observation du passage silencieux d'un ph�nom�ne lumineux en forme de train suivi d'une train�e : observation li�e � la rentr�e atmosph�rique artificielle du 31 mars 1993 (fus�e Cyclone-M).";O;1;;;;;;;;2016-09-16;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1993-03-01289
1510;"ROISSARD (38) 01.04.1993";Is�re;38;"(D) D�partement";1993;04;01;"Le 01 avril 1993 vers 22h30 un t�moin rentrant de son travail observe au loin une boule verte tr�s brillante de la grosseur d'un feu tricolore. Le t�moin emprunte un itin�raire pour s'en approcher mais ne trouve rien. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'une sph�re verte immobile.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-04-01293
1511;"AGEN (47) 1993";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";1993;04;08;"Le 8 avril 1993 � 23h45 une patrouille de gendarmes est interpell�e par plusieurs t�moins qui disent voir une grande lueur au-dessus de leur maison. Le ph�nom�ne dure pr�s d'une heure. Apr�s enqu�te le canon laser d'une discoth�que voisine a �t� clairement identifi�.";"Observation de lumi�res provenant du canon laser d'une discoth�que.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1993-04-01295
1512;"GAVRAY (50) 1993";Manche;50;"(D) D�partement";1993;04;25;"A intervalles r�guliers des t�moins voient des lumi�res blanches tournoyant dans le ciel. L'enqu�te montrera sans ambiguit� qu'il s'agit d'un projecteur publicitaire install� sur le toit d'une discoth�que voisine.";"Observation d'un faisceau lumineux provenant d'un projecteur de discoth�que";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1993-04-01297
1515;"[AERO LOC] NORGES-LA-VILLE (21) 16.05.1993";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";1993;05;16;"Le 16 mai 1993 � 19h15, deux passagers d'un ULM observent au loin une sph�re bleut�e qui tourne sur elle-m�me en se d�pla�ant � grande vitesse. La m�t�o et la visibilt� sont excellentes. La sph�re se rapproche rapidement de l'ULM et le croise � grande vitesse. L'observation a dur� 15 � 20 secondes.L'enqu�te aupr�s des autorit�s civiles et militaires n'a pas permis d'identifi� le ph�nom�ne, aucun a�ronef n'ayant pu �tre assimil� dans cette observation qui n'a pas �t� rep�r� par les radars. Ce ph�nom�ne reste inexpliqu�.";"Obsrvation depuis un ULM d'une sph�re se d�pla�ant � grande vitesse";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1993-05-01299
1516;"SAINT-BRANCHS (37) 16.05.1993";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";1993;05;16;"Dans les publications du GEIPAN (www.geipan.fr) figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SAINT-GERMAIN-SUR-VIENNE (37) 16.05.1993 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment. Ce cas est �galement connu sous le nom de CORMERY (37) 1993.
Le 16 mai 1993, entre minuit et une heure du matin, trois personnes dans un v�hicule sont intrigu�es par la vue d'un ph�nom�ne aper�u plusieurs fois lors de leur trajet. Un seul t�moin rapporte son observation : le PAN est d�crit comme une forme bleut�e sans consistance, la plupart du temps devant le v�hicule � hauteur des phares � une distance impossible � d�finir. Le PAN semble se d�placer de droite � gauche dans un mouvement de va et vient continuel toujours � la m�me hauteur. Les t�moins intrigu�s ne s'arr�tent pas et font une observation discontinue sur 4km. Un seul t�moignage sera recueilli.
Les t�moins ont tr�s probablement observ� un laser de discoth�que lors d'une nuit de samedi � dimanche (voir le compte rendu-d'enqu�te).
L'aspect d�crit est typique des autres observations aujourd'hui bien connues du GEIPAN (ce qui n'�tait pas le cas � l'�poque) : forme allong�e, �clair�e par en-dessous d'une lumi�re bleut�e, mouvements de va et vient de gauche � droite, objet sans consistance et de faible �paisseur.
Bien que le t�moin note que le ciel est d�gag� au niveau du lieu d'observation, la pr�sence de nuages pouvant refl�ter un laser est av�r�e vers l'horizon Nord, puisqu'une perturbation centr�e sur la Grande-Bretagne amenait des �clairs d�crits par le t�moin.
En 1993, les lasers de discoth�que �taient certes peu nombreux mais il y en avait d�j�. Il se trouve qu'un cas GEIPAN dans le m�me secteur et nomm� (ILE BOUCHARD (37) 11.12.1993) a fait la preuve qu'un �quipement de discoth�que dit � Sky Rose � avait �t� � l'origine d'observations qui pr�sentaient les m�mes aspects typiques que celle-ci.
D'autres cas d'observation GEIPAN ont mis en �vidence que l'�quipement g�n�rateur pouvait se trouver � plusieurs dizaines de kilom�tres des t�moins et que pour un m�me �quipement les effets en termes d'aspect et distance d'apparition �taient variables (facteurs atmosph�riques) ce qui accro�t bien s�r le potentiel de m�prise.
Aussi m�me s'il n'a pas �t� possible 25 ans apr�s de trouver l'�quipement g�n�rateur (ni m�me bien s�r de prouver son absence) la conformit� d'aspect avec ce que pouvaient g�n�rer les �quipements utilis�s � l'�poque permet de retenir l'hypoth�se comme tr�s probable.
Le cas est class� A : observation tr�s probable d'un laser de discoth�que.
";"Observation lors d'un trajet d'une forme assez allong�e bleut� � hauteur des phares du v�hicule ; mouvement continuel de va et vient :observation tr�s probable d'un laser de discoth�que.";O;1;1;;1;;;;;2018-11-22;;;0.25;0.00;;;0.70;;0.70;;0.42;0.00;A;B;1993-05-01301
1517;"MANS (LE) (72) 17.05.1993";Sarthe;72;"(D) D�partement";1993;05;17;"Le 17 mai 1993 vers 12h15, un t�moin dans son jardin observe au lointain un disque blanc brillant dont la vitesse peut �tre estim�e � 3 ou 4 fois celle d'un avion de ligne. Aucun bruit n'a �t� entendu, le t�moin a suivi le ph�nom�ne aux jumelles durant 2 minutes environ. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur cette observation.";"Observation au loin d'un disque blanc brillant";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-05-01302
1518;"PANTIN (93) 30.05.1993 T1";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";1993;05;30;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� PANTIN (93) 30.05.1993 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Le 30 mai 1993 � 4h15, un t�moin de retour chez elle apr�s une soir�e, observe depuis son balcon une forme rectangulaire orang�e dans le ciel de PANTIN. La forme � une taille estim�e � 1 m�tre environ et semble stationnaire durant 15 minutes puis se d�place lentement en changeant de direction pour s'�loigner et dispara�tre � l'horizon. Le t�moin observe un feu clignotant rouge mais aucun bruit n'est entendu.
Toujours sur son balcon, le m�me t�moin � 4h30, observe une seconde forme, circulaire cette fois et blanche, non �blouissante stationnaire. La taille de ce disque est �galement estim� � environ 1 m�tre. Le t�moin observera ce second ph�nom�ne en continu jusqu'� 6 heures du matin, heure � laquelle le PAN disparait tr�s lentement.
Il y a en fait deux observations de deux PAN distincts.
Dans un premier temps, il s'agit probablement des feux d'atterrissage d'un a�ronef en phase d'approche VFR nuit sur l'un des deux a�roports parisiens situ�s dans l'axe d'observation du t�moin.
Les phares d'atterrissages des a�ronefs peuvent en effet �tre vus de tr�s loin, voir exemple sur le site du GEIPAN le cas � EZE (06) 16.05.2014 � o� un tel a�ronef a pu �tre observ� � une distance au t�moin d'environ 36 km et l'autre exemple � FONTRAILLES (65) 31.10.2017 � o� les phares de l'avion sont visibles et quasi-immobiles de jour depuis 100 km sur plus de 10 minutes de dur�e.
La distance emp�che au t�moin de distinguer autre chose que ces puissants feux dont la couleur et la luminosit� sont, de nuit, m�lang�s au feu anti-collision rouge situ� sous la carlingue de l'appareil, donnant cette forme de � rectangle orange � not�e par le t�moin.
Le sens de d�placement vers l'Est, la faible �l�vation angulaire au-dessus de l'horizon, l'observation d'un feu clignotant rouge apr�s le pivotement de l'a�ronef sur son axe, le positionnant face � la piste, la lenteur du d�placement, ainsi que l'absence de bruit confortent l'hypoth�se.
Dans un second temps (voir le cas PANTIN (93) 30.05.1993 T2), la dur�e de l'observation, le lent d�placement du PAN dans le ciel, sa forme circulaire et sa couleur blanche ainsi que sa disparition du fait des nuages pr�sents en nombre cette nuit-l� confortent l'hypoth�se d'une confusion avec la plan�te V�nus, se levant � l'est et se d�pla�ant lentement vers l'est-sud-est tout en gagnant en �l�vation. Le t�moin n'a probablement pas l'habitude d'observer le ciel � cette heure tardive de la nuit et n'est pas familier avec ces ph�nom�nes astronomiques. Il a scrut� le ciel probablement suite � l'attention ou inqui�tude cr��e par la premi�re observation qui est l'observation principale � retenir.
La consistance est moyenne et b�n�ficie surtout du rep�rage aux b�timents, ce qui pallie partiellement l'absence des relev�s de mesures angulaires par les gendarmes lors de leur enqu�te sur place.
Ce cas PANTIN (93) 30.05.1993 T1 est class� B : probable observation d'un avion.
";"Longue observation d'une forme lumineuse orange rectangulaire stationnaire puis d�placement lent avec changement de direction et disparition � l'horizon : probable observation d'un avion.";O;1;1;;1;;;;;2018-07-05;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;B;B;1993-05-01303
1519;"REHON (54) 31.05.1993";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";1993;05;31;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� HERSERANGE (54) 1993 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Dans la nuit du 30 au 31 mai 1993 vers 2 heures, une famille rentre en voiture d'une f�te familiale. La m�re et son fils observent durant 5 minutes environ 6 � 8 formes ovo�des lumineuses dans le ciel couvert. Ces formes se d�placent par bonds et en cercle sur un espace r�duit ou de droite � gauche en zigzagant au travers des nuages. Deux t�moignages sont recueillis les autres membres de la famille n'ayant pas �t� t�moin du ph�nom�ne.
Les �l�ments des t�moignages issus du proc�s-verbal de Gendarmerie nous permettent de conclure � une confusion avec un ensemble de laser de type � Skytracker � ou � SkyRose � (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le nombre, la forme, la visibilit� et le comportement des PAN permettent de conforter cette hypoth�se. Par ailleurs, le jour d'observation, en fin de semaine, est davantage propice � l'utilisation d'un tel Skytracker, soit par une discoth�que, soit lors d'une soir�e festive priv�e. Les animations de laser aujourd'hui fr�quentes et facilement reconnaissables dans les t�moignages re�us du GEIPAN �taient plus rares en 1993. Il n'est pas possible aujourd'hui de rechercher l'origine de cette animation sur le lieu ou � sa proximit�. N�anmoins, nous disposons d'une observation cette ann�e-l� o� l'enqu�te a permis de retrouver l'animation et met en �vidence que les mat�riels produisant de tels effets �taient vendus aux discoth�ques en France. (voir PV de gendarmerie du cas d'observation ILE BOUCHARD (37) 11.12.1993.
). Le GEIPAN classe le cas en B : observation probable (et non certaine, faute d'avoir pu identifier l'installation ou v�rifier la compatibilit� des conditions m�t�orologiques) de laser ou "" Sky Rose"".";"Observations des �volutions de plusieurs formes ovo�des lumineuses dans le ciel nuageux : observations probables de laser ou "" Sky Rose"".";O;2;;;;;;;;2017-11-28;0.30;;0.30;0.00;0.75;;0.75;0.75;0.75;0.60;0.60;0.00;B;B;1993-05-01304
1521;"FLEURINES (60) 17.06.1993";Oise;60;"(D) D�partement";1993;06;17;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� CREIL (92) 17.06.1993 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 17 juin 1993 vers 4 heures du matin, un t�moin observe, au bas de son immeuble puis en voiture, les mouvements rapides de deux lumi�res blanches dans le ciel et sur le sol. Le PAN d�crit des figures en cercles � tr�s grande vitesse. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation de plus de 15 minutes. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
La description avait pu para�tre plus �trange lors de la premi�re analyse du cas en 1993.
Avec l'exp�rience acquise par le GEIPAN, il n'y a aucun doute aujourd'hui. La description est conforme � des r�flexions de laser dans le ciel avec un ou plusieurs spots allant et venant. Le t�moin mentionne la pr�sence de nuages qui favorisent un effet d'�cran. Les faisceaux montant des lasers sont ici visibles (pas toujours le cas dans l'exp�rience GEIPAN, seuls spots peuvent �tre visibles alors que dans d'autres cas seuls les faisceaux montant sont visibles et sans spot final dans le ciel) et sont interpr�t�s par le t�moin comme des faisceaux descendants �mis par le PAN vers le sol.
En 1993, les usages de Laser �taient bien moins r�pondus qu'aujourd'hui. Mais des essais de laser ont �t� identifi�s (voir PV de gendarmerie) en proximit� et la nuit en question. Cet �l�ment ajout� � la caract�risation bien maitris�e aujourd'hui des effets dans le ciel nous permet de conclure sans h�sitation.
Le t�moignage est typique de l'�motion que peut engendrer un ph�nom�ne inconnu chez un t�moin, surtout quand s'installe l'illusion d'une intelligence du ph�nom�ne qui suivrait le t�moin et n'apparaitrait que lorsque le t�moin est non accompagn� etc..
Le GEIPAN classe le cas en A : laser.";"Observation de lumi�res blanches se d�pla�ant rapidement et d�crivant des figures dans le ciel et au sol : observation d'effets laser.";O;1;;;;;;;;2017-12-07;;;0.05;0.00;;;0.80;;0.70;;0.60;0.00;A;A;1993-06-01305
1522;"MARLY LE ROI (78) 1993";Yvelines;78;"(D) D�partement";1993;06;27;"Le 27 juin 1993 vers 21h30, une famille de t�moins recevant des invit�s observent depuis leur terrasse, un nuage d'une centaine de points lumineux de dimension apparente de 5 m�tres sur 2,5 m�tres, sans forme d�finie. Les points bougent les uns par rapport aux autres mais l'ensemble reste sensiblement stationnaire. Les t�moins observent le ph�nom�ne avec des jumelles. A bout d'un quart d'heure environ l'ensemble dispara�t tr�s rapidement. 3 t�moins ont d�pos� � la brigade de gendarmerie. Le ph�nom�ne observ� est rest� inexpliqu�.";"Observation d'une forme compos�e d'une centaine de points lumineux";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1993-06-01306
1523;"JAUSIERS (04) 1993";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1993;06;29;"Le 29 juin 1993 vers 9 heures, deux t�moins observent une forme circulaire d'un diam�tre de cinq � six m�tres avec 2 tubes qui pendent dessous en forme de V renvers�. L'engin vole � l'horizontale en silence � 600 m du sol environ sans d�gager de fum�e ni train�e. L'engin s'est ensuite braqu� pour monter � la verticale. L'un des t�moins a suivi l'ascension � la jumelle jusqu'� le perdre dans un nuage de cyrrus, ce qui fait estimer l'altitude � 10000m environ. Dans les environs des militaires se trouvaient en manuvre, mais l'officier pr�sent n'a pas observ� le ph�om�ne qui ne semble pas avoir de relation avec les manuvres militaires. Apr�s enqu�te et notamment aupr�s des clubs d'a�ro mod�lisme, le ph�nom�ne n'a pu �tre identifi�.";"Oservation d'une forme circulaire en vol horizontal puis en ascension";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1993-06-01307
1524;"CAVAILLON (84) 02.07.1993";Vaucluse;84;"(D) D�partement";1993;07;02;"Le 2 juillet 1993 vers 22h 45, deux t�moins observent des boules lumineuses blanches formant 2 formes en V. Ces formes sont rest�es quelques secondes stationnaires avant de diparaitre � tr�s grande vitesse. Ces observations sont confirm�es par les conjoints des t�moins.
Aucun bruit n'a �t� per�u, la m�t�o �tait claire et l'observation a dur� une dizaine de secondes. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne.
Ce cas pr�c�demment class� D, a �t� r�examin� : des observations aux caract�ristiques similaires ont �t� enqu�t�es et class�es A en ao�t 2009 comme l'observation du vol de la Patrouille de France : /geipan/actualites/13082009-Des-PAN-en-formation-dans-le-Vaucluse-en-Juillet-2008.html
Ce cas est class� A comme l'observation du passage de la Patrouille de France.";"Observation de 2 formes en V compos�es de boules lumineuses.";O;2;;;;;;;;2011-07-12;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1993-07-01308
1525;"CHINON (37) 1993";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";1993;07;10;"Le 10 juillet 1993 vers 01 heure, un t�moin observe une lumi�re sans forme pr�cise qui tourne dans le sens des aiguilles d'une montre avec un l�ger bourdonnement. Le t�moin intrigu� va chercher son amie qui observe �galement le ph�nom�ne et va � son tour r�veiller sa m�re qui peut �galement l'observer. Deux autes t�moins ont �t� retrouv�s par les gendarmes mais n'ont pas souhait� s'exprimer. Le ph�nom�ne appara�t de fa�on r�currente toutes les 20 minutes environ jusqu'� 2h30 du matin heure � laquelle les t�moins d�cident de se coucher. Le ph�nom�ne n'a pas �t� formellement identifi� mais il est probable qu'il s'agisse de l'observation du rayon laser d'une discoth�que distante d'environ 10 km compte tenu de la couche nuageuse pr�sente ce jour l� et de l'axe de vis�e.";"Observation p�riodique durant 1h30 d'une forme lumineuse blanche tournante. Probable rayon laser de discoth�que";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1993-07-01309
1526;"LAVAZAN (33) 14.07.1993";Gironde;33;"(D) D�partement";1993;07;14;"Dans la nuit du 13 au 14 juillet 1993 vers 1h30 un t�moin observe durant une quinzaine de minutes une forme circulaire blanche qui tourne en se d�doublant. Aucun autre t�moin n'a �t� trouv� mais compte tenu de la date d'observation et des nombreuses festivit�s organis�es � cette occasion, l'observation d'un projecteur ou rayon laser de discoth�que est probable.";"Observation probable d'un projecteur de discoth�que � l'occasion de la f�te nationale";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1993-07-01310
1527;"MAUVEZIN (32) 15.07.1993";Gers;32;"(D) D�partement";1993;07;15;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� MAUVEZIN (32) 1993 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 15 juillet 1993 vers 23 heures, puis le 16 vers 1 heure et 2 heures du matin, trois jeunes campeurs, employ�s saisonniers � Mauvezin (32) observent � 3 reprises des ph�nom�nes lumineux de couleur, se d�pla�ant dans le ciel. Les t�moins per�oivent un bruit sourd lors de certaines observations. L'un des t�moins a tent� de prendre des photos qui se sont r�v�l�es inexploitables.
L''hypoth�se d'une confusion a�ronautique est la plus plausible pour cette s�rie d'observations, qui comporte des caract�ristiques identiques � celles d'avions en approche ou venant de d�coller de l'a�roport de Toulouse Blagnac.
Nous retiendrons en particulier :
- la pr�sence de feux blancs/jaunes puissants, assimilables aux feux d'atterrissage, allum�s dans les conditions d'approche ou de d�collage.
- la pr�sence d'un feu rouge d�crit comme central, assimilable � l'un des feux anti-collision route, situ� sous la carlingue ; bien que le clignotement ne soit pas mentionn� dans les t�moignages.
- la forme d�crite par les t�moins peut �tre tout � fait assimilable � celle d�limit�e par les feux d'atterrissage d'un avion, soit en triangle �quilat�ral lorsque le PAN est observ� d'en-dessous, soit sous une autre forme g�om�trique selon l'angle d'observation.
- le d�placement des PAN, identique au couloir a�rien R17 au cap 304� et reliant Toulouse-Blagnac au point AGN114.8 Ch95X. M�me si cette route n'�tait pas la m�me en 1993 qu'aujourd'hui, la relative proximit� de l'a�roport de Toulouse-Blagnac n'emp�che pas le survol de la zone o� se trouvaient les t�moins ou de la pr�sence � proximit�, d'avions de ligne en approche ou peu apr�s le d�collage.
- la mention de l'existence d'un bruit provenant du PAN dans deux des trois phases, bruit dont l'intensit� et la nature peuvent varier consid�rablement en fonction de l'environnement (m�t�o et en particulier le vent, relief) et de la distance de ce PAN au t�moin.
Le fait que les t�moins soient des �tudiants travailleurs saisonniers domicili�s loin du lieu d'observation et non familiers d'une proximit� avec un couloir a�rien, en tout cas de celui-ci, peut expliquer la m�prise avec des avions et l'absence d'autres t�moignages.
La consistance est moyenne. Bien que tous les t�moins aient �t� entendus en Gendarmerie et que le proc�s-verbal �tabli en cons�quence soit assez complet, il manque des donn�es importantes telles que des relev�s d'azimuts, d'angles d'�l�vation des PAN.
Une enqu�te sur place aurait permis de pr�ciser de nombreux points et �ventuellement de conforter l'hypoth�se, si les vols suspect�s d'�tre � l'origine de la confusion avaient �t� retrouv�s � l'�poque.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observations probables d'avions de ligne.";"Observations � trois reprises du d�placement de ph�nom�nes lumineux de couleurs dans le ciel nocturne : observations probables d'avions de ligne.";O;3;;;;;;;;2017-11-28;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;B;B;1993-07-01311
1528;"BEUVRAIGNES (80) 18.07.1993";Somme;80;"(D) D�partement";1993;07;18;"Dans la nuit du 17 au 18 juillet 1993 entre 00h30 et 02h30, un t�moin observe depuis chez lui un ballet de cercles lumineux blancs tournant � grande vitesse dans le ciel. Au bout d'une heure environ, un troisi�me cercle lumineux est venu se joindre aux deux autres. Le t�moin a cess� d'observer ce ph�nom�ne vers 02h30. Sans que cela soit d�montr� il est fort probable que le ph�nom�ne observ� soit un faisceau de projecteurs ou de rayons laser publicitaires ou de discoth�que.";"Observation de cercles lumineux, provenant probablement de projecteurs ou rayons laser";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1993-07-01312
1529;"LE MAS D'AGENAIS (47) 1993";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";1993;07;21;"Le 21 juillet 1993 vers 0h30, 6 personnes t�moignent de l'observation de nombreuses boules lumineuses tournoyant dans le ciel et balayant l'horizon. Apr�s enqu�te, il s'av�re que l'origine du ph�nom�ne observ� est un projecteur en essai sur le parking d'un dancing voisin. Ce type de projecteur projete 30 faisceaux qui tournent et balaient l'horizon.";"Observation d'un projecteur publicitaire en essai";O;6;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1993-07-01313
1530;"GUIGNEVILLE SUR ESSONNE (91) 1993";Essonne;91;"(D) D�partement";1993;07;03;"Vers le 03 juillet 1993, le propri�taire d'un champ de bl� constate des traces suspectes. Le bl� est couch� dans de grands cercles reli�s par des lignes droites. Apr�s enqu�te un t�moin architecte paysager expliquera qu'il s'agit de dessins qu'il pratique lui-m�me et expliquera la marche � suivre et la m�thode. Il n'est pas l'auteur de ces cercles mais la technique utilis�e est la m�me.";"Observation de cercles de bl�";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1993-07-01314
1531;"LONS LE SAUNIER (39) 1993";Jura;39;"(D) D�partement";1993;07;08;"Le 8 juillet 1993 vers minuit un chauffeur de taxi et son client de retour de la gare observent � travers le pare-brise des points lumineux rouges. Ayant arr�t� la voiture, le chauffeur descend mais les points ont disparu; par contre un bruit important et strident s'�loigne vers le sud. 2 personnes des environs ont indiqu� avoir entendu un bruit strident passer rapidement et les chiens s'affoler sans raison apparente. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation de points lumineux rouges accompagn�s de bruit";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-07-01315
1532;"PALLUAU-SUR-INDRE (36) 25.07.1993";Indre;36;"(D) D�partement";1993;07;25;"Le 25 juillet 1993 un agriculteur en train de moissonner son champ d�couvre un cercle de bl� couch�. Aucune explication formelle n'a �t� trouv�e sur cette constatation bien que l'enqu�te de voisinage permet sans doute de privil�gier l'hypoth�se d'une action humaine, peut-�tre de voisins.";"Cercle de bl�s couch�s dans un champ";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1993-07-01316
1533;"SAINT-ETIENNE DE LUGDARES (07) 1993";Loz�re;48;"(D) D�partement";1993;07;24;"Dans la nuit du 24 au 25 juillet 1993 entre 2h45 et 3h30, 3 t�moins observent un ph�nom�ne lumineux blanc qui se d�place en tournant sur lui-m�me avec de nombreux points lumineux. L'enqu�te montrera rapidement qu'il s'agit d'un projecteur multifacettes d'une discoth�que voisine dont la lumi�re se refl�tant sur le plafond nuageux bas peut s'apercevoir de tr�s loin. Le g�rant de la discoth�que interrog� �galement a pu confirmer cette hypoth�se.";"observation par trois t�moins d'un objet lumineux semblant tourner sur lui-m�me.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1993-08-01317
1534;"MENTON (06) --.10.1993-1996";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";1993;10;--;"Une personne rapporte le 24 avril 2008 une observation faite en �t� entre 1993 et 1997 (le t�moin ne se souvient pas de la date exacte et la date donn�e est arbitraire).
Le t�moin avec 5 autres personnes ont observ� entre 21h et 22h un ph�nom�ne lumineux particulier dans un ciel d�gag�. Des points formant deux triangles isoc�les semblaient tourner autour de l'axe central de chaque triangle. Brusquement ces points ont cess� leur mouvement et les triangles ont pris des directions oppos�es : le premier, se dirigeant vers le Mont Gros, a disparu cach� par le paysage, le second s'est tout d'abord immobilis� au-dessus de la mer avant de reprendre sa rotation et dispara�tre subitement.
Il est tr�s difficile, voire impossible d'enqu�ter sur un t�moignage tardif comme celui-ci (t�moignage le 24/04/2008). Nous avons fr�quemment des observations de triangles volants, certains sont encore inexpliqu�s, mais beaucoup d'autres sont �galement des confusions avec des avions vus sous un angle particulier. Pour ce cas, nous avons trop peu de pr�cisions pour v�rifier aujourd'hui l'hypoth�se des avions.";"Observation de points lumineux formant 2 triangles isoc�les identiques.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-01-01836
1535;"REMILLY (57) 07.08.1993";Moselle;57;"(D) D�partement";1993;08;07;"Le 7 ao�t, � 22h45, un t�moin au volant de sa voiture observe durant une minute environ une grande lumi�re blanche tr�s intense stationnaire. A la disparition de la lumi�re, un sifflement est entendu et une forme noire semble dispara�tre � tr�s grande vitesse. Le lendemain, le t�moin ressentira des douleurs musculaires et revenant sur les lieux il est pris de violents maux de t�te � l'endroit de l'observation. L'enqu�te a montr� qu'il n'y avait pas de trafic a�rien dans la zone et le ph�nom�ne reste inexpliqu�.";"Observation d'une grande lueur et d'un objet noir disparaissant tr�s vite dans un sifflement";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1993-08-01318
1536;"L'HOPITAL (57) 1993";Moselle;57;"(D) D�partement";1993;08;08;"le 08 ao�t 1993 des t�moins aper�oivent vers 22h une lueur de forme sph�rique et de la taille d'une montgolfi�re.l'observation va durer 30 secondes puis l'objet disparaitra rapidement avec un sifflement a�gu. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"OBJET DE LA TAILLE D'UNE MONTGOLFIERE";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-08-01319
1537;"HAYES (57) 12.08.1993";Moselle;57;"(D) D�partement";1993;08;12;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� VIGY (57) 1993 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le 11 ao�t 1993 vers 3h30, un t�moin (T1) au volant de sa voiture observe une lumi�re jaune tr�s �tincelante stationnaire au-dessus d'une ferme puis du ch�teau de Hayes. Le t�moin d�crit une grosse boule lumineuse tournant sur elle-m�me en silence et plus grosse qu'une �toile. La forme d�crite ensuite est celle d'un disque surmont� d'un d�me ou en forme de ""champignon renvers�"". L'intensit� lumineuse baisse progressivement et le PAN semble s'�loigner en direction de Charleville-sous-Bois. De retour chez lui le t�moin demande � sa m�re (T2) d'observer le ph�nom�ne : en montant sur une chaise, elle distingue une lumi�re jaune uniforme, fixe dans le ciel �toil� puis retourne vite se coucher. Le T1 observera le PAN jusqu'� sa disparition compl�te. La dur�e totale de l'observation aura �t� de 20 minutes pour T1.
Les donn�es recoup�es avec la situation g�ographique indiquant une observation en direction du Nord-Est, vont dans le sens d'une confusion avec la plan�te V�nus se levant �galement au Nord-Est (Azimut 58�) :
Correspondance en position :
- la premi�re observation de T1 (� Le Marais � vers � Ferme St L�on �) correspond � l'azimut 62�, la deuxi�me (� Ferme St L�on � vers � Ch�teau de Hayes �) � 56�. La vis�e faite par T2 est moins pr�cise car elle indique la for�t de Charleville-sous-Bois, l'azimut de la zone foresti�re autour de Charleville-sous-bois est comprise entre 38� et 62�.
- le PAN est bas dans le ciel comme V�nus. T2 obtient la visibilit� du PAN au-dessus de la for�t (� j'ai vu une lumi�re tr�s forte dans le ciel juste au-dessus de la for�t de Charleville-sous-Bois �) en montant sur une chaise, c'est-�-dire que le PAN et la for�t sont suffisamment proches angulairement pour se d�gager ensemble au-dessus d'un obstacle proche suite � un faible gain de champ angulaire de visibilit� (monter sur une chaise de 50 cm permet de gagner 0.6� pour un obstacle � 50 m et de 3� pour un obstacle � 10 m).
Visibilit� de V�nus :
- les indications de T2 traduisent, que dans la direction de l'observation, le ciel laissait voir des �toiles.
- on v�rifie qu'il n'y a aucun obstacle sol pour une visibilit� de V�nus malgr� sa basse hauteur dans le ciel (au minimum 3� en d�but d'observation).
Stationnarit� angulaire du PAN :
La stationnarit� du PAN not�e par les deux t�moins (et sur une dur�e de 20 minutes pour T1) conforte �galement l'hypoth�se d'un astre. La mention d'impression de d�placement du PAN en direction de Charleville-sous-bois (soit dans l'axe d'observation) relev�e par le t�moin 1, est subjective et li�e � sa baisse d'intensit� lumineuse, que le t�moin mentionne dans le m�me temps. La variation d'intensit� r�sulte de celle de l'�paisseur atmosph�rique ou de la survenue d'un voile nuageux. Le t�moin qui ne reconna�t pas V�nus interpr�te logiquement la baisse d'intensit� en une fuite en distance du PAN. La disparition du PAN, uniquement observ�e par T1, est per�ue comme l'aboutissement de la r�duction d'intensit� et de l'�loignement.
Aspect :
La forme initiale d�crite par T1, de grosse boule lumineuse jaune est une confusion typique pour V�nus. Cet astre est plus brillant que les �toiles (intensit� forte donnant l'impression de boule lumineuse) et des couleurs sont introduites par la forte �paisseur atmosph�rique, l'astre �tant ici vu � basse hauteur dans le ciel (3�).
La mention d'une forme � allong�e avec un d�me au centre � ou d'un �champignon renvers� � est plus difficilement explicable, mais V�nus �tant tr�s basse sur l'horizon (3�), il est possible que les turbulences atmosph�riques d�forment son image. La survenue d'un voile nuageux peut �tre aussi � l'origine d'une diffusion de la lumi�re de V�nus. On note en effet que pour T1, cette forme (autre que celle initiale de boule) n'est distinguable que dans un deuxi�me temps et que pour T2, qui n'a observ� que ponctuellement et plus tard, la lumi�re �tait � l'int�rieur du PAN (�Cette lumi�re �tait jaune comme la couleur des phares de voiture. Elle �tait uniforme. Ce que je voyais �tait un objet illumin� par lui-m�me�).
Les �l�ments ci-dessus, font �tat d'une tr�s forte co�ncidence avec une observation de V�nus. Seule la description de forme en deuxi�me partie d'observation est un peu plus singuli�re par rapport � la masse de m�prises enregistr�es avec V�nus au GEIPAN. Mais elle n'est pas unique, elle peut trouver une explication et ne peut donc remettre en question le caract�re hautement probable de l'hypoth�se V�nus.
La consistance est moyenne, les deux t�moins ont d�pos� � la Gendarmerie, mais les t�moignages manquent d'�valuations directes et pr�cises (�l�vation, azimut).
On peut noter une certaine incoh�rence dans l'attitude T2 qui note le caract�re �trange (�C'est la premi�re fois que j'observe des ph�nom�nes similaires�), en particulier apr�s une description tr�s pr�cise de la forme, mais qui arr�te l'observation (au bout de 5 ou 7 minutes) avant la disparition du PAN.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observations tr�s probables de V�nus.";"Observations d'un ph�nom�ne jaune �tincelant durant une vingtaine de minutes dans le ciel nocturne : tr�s probables observations de V�nus.";O;2;;;;;;;;2017-12-04;;;0.25;0.00;;;0.65;;0.65;;0.43;0.00;A;B;1993-08-01320
1538;"PONT-DE-BUIS-LES-QUIMERCH (29) 13.08.1993";Finist�re;29;"(D) D�partement";1993;08;13;"Le 13 ao�t 1993, vers 9 heures un t�moin observe de chez lui un objet de forme triangulaire stationnaire. L'observation ne dure que quelques minutes et a disparu lorsque le t�moin revient avec son camescope pour tenter de le filmer. Aucune manifestation a�rienne n'a eu lieu � cet endroit ce jour l� et aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation durant quelques minutes d'une forme triangulaire";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-08-01321
1539;"(DEP) HAUTE-GARONNE (31) 14.08.1993";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1993;08;14;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SAINT-GAUDENS (31) 14.08.1993 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Le samedi 14 ao�t 1993 vers 22h, plusieurs personnes dans deux localit�s diff�rentes observent un ph�nom�ne inhabituel en direction des Pyr�n�es. Trois t�moins rapportent leurs observations en Gendarmerie. Le ph�nom�ne d�crit est un point lumineux circulaire, de couleur rouge et immobile � droite du Mont Valier (pour T1 et T3) et en direction du Cagire (pour T2). Un des t�moins (T3) prend des jumelles et constate � l'int�rieur de la masse 5 points lumineux rouge-orang�. Les observations durent environ 10 minutes puis le point dispara�t en quelques secondes.
Toute la d�claration orale de T2 est parfaitement compatible d'un ph�nom�ne qui serait uniquement au sol. En effet, il est per�u � dans les bois � au d�part et ensuite � s'enfon�ant dans la cha�ne des Pyr�n�es, dans un mouvement horizontal �.
Il convient de se demander si ce n'est pas le cas aussi pour les autres t�moignages auquel cas la recherche de l'explication d�passerait les seules comp�tences du GEIPAN.
- T1 et T3, dont les points d'observation sont proches, situent par leurs dires ou dessins le PAN � hauteur du Mont Valier, l�g�rement sur la droite. Seul T3 mentionne le ciel pour la fin de son observation avec l'expression � le ph�nom�ne �trange a disparu � l'horizontale dans le ciel �. Cela ne signifie pas que le PAN a �t� en plein ciel. Le Mont Valier n'est pas un sommet isol� et se prolonge sur sa droite d'une ligne de cr�te visible selon une hauteur angulaire � peine moins �lev�e, vu du lieu d'observation (Saint-Gaudens). Surtout, il existe en avant plan du mont Valier plusieurs reliefs �galement visibles � m�me hauteur angulaire sur la droite. On note en particulier la barre montagneuse au niveau du Sommet de Cournud�re (1563 m). Les dessins de T1 et T3 peuvent porter sur une des lignes de reliefs successives mais certainement pas sur la ligne d'horizon, que T1 et T3 n'ont peut-�tre pas m�me distingu�e.
- T2 et T3, d�crivent oralement une disparition � l'horizontale (� disparu en s'enfon�ant dans la cha�ne des Pyr�n�es, dans un mouvement horizontal �. Or les dessins de T1 et T2 pris seuls sans connaissance de la mention � � l'horizontal �, pourraient laisser penser � une mont�e en �l�vation dans le ciel. La mention orale � � l'horizontale � ne peut en aucun cas s'appliquer � un PAN qui aurait �t� vu selon une �l�vation angulaire croissante. Il faut donc comprendre que les t�moins T2 et T3 ont voulu dans leurs dessins repr�senter un d�placement horizontal qui comporte principalement une �volution en distance. Cette derni�re ne peut �tre traduite directement dans un dessin � plat, les deux t�moins la repr�sentent donc en perspective par un c�ne avec les tailles de plus en plus r�duites du PAN. Ils ont voulu repr�senter une fuite en distance et non une mont�e en �l�vation. Cette fuite en distance n'est peut-�tre qu'une illusion. En effet, des t�moins percevant une diminution de la lueur d'un PAN, dont il leur est impossible d'appr�cier la distance r�elle, peuvent interpr�ter cela comme une diminution effective de la lumi�re �mise par le PAN qui serait fixe ou comme une fuite en distance d'un PAN dont la lumi�re serait constante. L'exp�rience GEIPAN montre que le contexte d'�tranget� v�cue conduit tr�s souvent le t�moin � interpr�ter en fuite alors que le PAN est av�r� fixe.
Le t�moignage de T1 introduit une forme d'inconsistance plus difficile � pallier. T1 ne d�crit oralement aucun mouvement du PAN y compris lors de sa disparition. Le � basculement vers l'avant � associ� � l'apparition � de trois faisceaux de lumi�res � ne peut �tre compris que comme une perception de changement d'orientation du PAN d�s lors que celui-ci �tait d�j� per�u avec une forme orient�e (� ovo�de �cras� �). Le dessin principal est conforme au r�cit avec un point fixe (pas d'�volution angulaire). Par contre, le dessin secondaire mentionne un � changement de cap � avec une fl�che vers le haut. Dans ce contexte, on peut penser que T1 a aussi voulu exprimer en perspective une fuite en distance, mais l'inconsistance emp�che de conclure.
La recherche de l'explication d�passe donc les seules comp�tences du GEIPAN puisque l'observation, une fois mise de c�t� la part inexploitable du t�moignage de T1, est compatible d'un ph�nom�ne totalement situ� au sol.
Le GEIPAN de l'�poque n'aurait pas d� classer ce cas en D, car rien n'indique qu'il s'agisse d'un Ph�nom�ne A�rospatial.
Malgr� tout le GEIPAN peut donner quelques indices pour rechercher un ph�nom�ne au sol, sans pouvoir pr�tendre circonscrire le domaine de recherche (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Mais cette recherche se heurte au fait que la direction d'observation de T2, telle que signal�e par le Pic de Cagire, ne recoupe pas celles de T1 et T3 signal�es comme �tant � droite du Mont Valier, sauf dans l'hypoth�se o� T2 aurait d�signer le Pic de Cagire comme point de rep�re au lieu du Mont Valier. Rien ne permet de confirmer ou d'infirmer une telle confusion. L'�cart angulaire entre les deux sommets est certes faible (20�) mais, pour un t�moin qui serait familier des lieux, les deux rep�res sont plut�t distincts, m�me de nuit. Une enqu�te plus pouss�e � l'�poque aurait permis d'identifier cet �cart, rechercher des pr�cisions dans les indications des t�moins et lever ou au contraire confirmer cet �cart. � ce stade, cet �cart donne un surcro�t d'�tranget� car la correspondance d'aspect, d'heure et de dur�e militerait pour un ph�nom�ne de m�me nature qui serait donc survenu en deux lieux diff�rents.
Une absence d'explication au terme d'une recherche qui utiliserait aussi toutes les comp�tences de recherche de ph�nom�ne sol (et non pas seulement de ph�nom�ne a�rospatial) cr�erait en retour un niveau d'exigence sur la consistance des t�moignages (niveau d'information et �valuation de sa fiabilit�) qu'il y a peu de chance de satisfaire 25 ans apr�s les faits, conduisant ainsi � de l'inexploitable plut�t qu'� de l'inexpliqu�.
En cons�quence, le cas est class� C : inexploitable car d�passe les seules comp�tences du GEIPAN.";"Observations depuis plusieurs endroits d'un ph�nom�ne lumineux rouge stationnaire en direction des Pyr�n�es ; disparition rapide : inexploitable car d�passe les seules comp�tences du GEIPAN.";O;3;3;;1;;;;;2019-01-08;;;0.50;0.50;;;0.70;;0.50;;0.35;0.00;B;C;1993-08-01322
1540;"VATAN (36) 1993";Indre;36;"(D) D�partement";1993;08;17;"Le 17 ao�t 1993 vers 23 heures, deux t�moins observent deux lumi�res blanches et des feux rouges clignotants qui se d�placent lentement sans bruit audible. L'enqu�te montrera rapidement que ce soir-l� un avion militaire DC 8 venant d'Angleterre cherchait la piste d'atterrissage et a effectu� de larges crochets dans la zone concern�e. Les phares observ�s et les feux correspondent � la signalisation de l'avion.";"Observation de lumi�re blanche provenant d'un avion en phase d'atterrissage";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1993-08-01323
1541;"TOULOUSE (31) 18.08.1993";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1993;08;18;"Le 18 ao�t 1993 vers 2h30, un t�moin observe un ph�nom�ne lumineux elliptique d�limit� par plusieurs sources lumineuses et se d�pla�ant lentement et silencieusement dans le ciel. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation d'une forme ellipitique se d�pla�ant lentement dans le ciel";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-08-01324
1542;"CHATEAUBOURG (07) 19.08.1993";Ard�che;07;"(D) D�partement";1993;08;19;"Le 19 aout 1993 vers 22 heures, un t�moin sur sa terrasse observe un objet lumineux tr�s haut dans le ciel avec trois lumi�res blanches. L'observation dure environ une minute, aucun bruit n'est d�tect� Aucune autre information disponible.";"Observation d'un triangle lumineux";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-08-01325
1543;"VARCES-ALLIERES-ET-RISSET (38) 21.08.1993";Is�re;38;"(D) D�partement";1993;08;21;"le 21 ao�t 1993 vers 15h45, deux t�moins observent des points lumineux de diff�rentes couleurs dans le ciel tr�s clair et �voluant tr�s lentement. L'observation, comme l'a pr�cis� un t�moin �tait vraisemblablement celle de parapentistes en �volution.";"Observation probables de plusieurs parapentes en �volution";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1993-08-01326
1545;"CHATEAU-GONTIER (53) 07.08.1993";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";1993;08;07;"Le 7 aout 1993 vers 5 heures, trois t�moins sortant d'une discoth�que observe un point tr�s lumineux dans le ciel. La forme est impr�cise selon les t�moins (ronde ou triangulaire) mais stationnaire dans le ciel. Le point lumineux palit progressivement avec le lever du jour pour dispara�tre. Les t�moins ont probablement observ� un astre tr�s brillant.";"Observation probable d'un astre";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1993-08-01689
1546;"MONTMIRAT (30) 19.08.1993";Gard;30;"(D) D�partement";1993;08;19;"Le 19 aout 1993 vers 6 heures, les gendarmes re�oivent plusieurs appels faisant �tat d'un bruit tr�s fort et anormal, d'une lueur et d'une d�flagration. L'enqu�te sur le terrain ne donnera rien mais il semble bien qu'il s'agisse du passage d'un avion � basse altitude.";"Passage probable d'un avion � basse altitude.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1993-08-01690
1547;"VILLERS BOCAGE (80) 1993";Somme;80;"(D) D�partement";1993;09;05;"Dans la nuit du 4 au 5 septembre 1993, vers minuit, quatre t�moins dans leur v�hicule observent un point lumineux orange vif plus gros qu'une �toile qui se d�place comme un avion en se rapprochant. L'observation a dur� 2 � 3 minutes durant lesquelles l'objet a brusquement chang� de forme pour devenir un losange tr�s allong� ou une forme de cigare. Aucun bruit n'a �t� per�u. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation d'un point lumineux orang� changeant de forme : manque d'information.";O;5;5;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-09-01328
1548;"BOURGNEUF EN RETZ (44) 1993";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1993;09;11;"Dans la nuit du 11 au 12 septembre 1993 de nombreux t�moins t�moignent de l'observation de nombreux points lumineux formant une forme ind�finie et tournant dans le ciel. L'enqu�te montrera qu'il s'agit vraisemblablement de projecteurs d'une discoth�que voisine.";"Observation vraisemblable de phares de discoh�que";O;6;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1993-09-01329
1549;"TOURNEFEUILLE (31) 27.09.1993";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1993;09;27;"Le 27 septembre 1993, le propri�taire d'un pavillon constate dans son terrain un cercle r�gulier de 8 m�tres de diam�tre environ � la p�riph�rie duquel l'herbe est couch�e r�guli�rement vers l'ext�rieur sur une largeur de 30 cm. Le centre du cercle est occup� par une buse d'arrosage automatique.
Il est � noter qu'un violent orage avait inond� le terrain les jours pr�c�dents et que des perturbations �lectriques ont eu lieu � l'occasion de cet orage, pr�cis�ment sur le fusible qui alimente l'arrosage automatique.
Une analyse rapide du SEPRA conduit � privil�gier l'hypoth�se de l'ouverture intempestive de la buse d'arrosage qui a conduit � un arrosage sans pression pendant un certain temps, ce qui a cr�� le ph�nom�ne constat�.";"Observation d'un cercle d'herbe couch�e dans le jardin d'un pavillon.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1993-09-01330
1550;"PIANA (2A) 1993";Corse-du-Sud;2A;"(D) D�partement";1993;09;27;"Dans la nuit du 27 au 28 septembre 1993 vers minuit un t�moin observe pendant un bref instant une lumi�re intense de forme allong�e qui passe � grande vitesse et sans bruit.
Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation d'une lumi�re allong�e passant � grande vitesse";O;2;;;;;;;;2012-01-18;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-09-01331
1551;"BESSINES-SUR-GARTEMPE (87) 05.10.1993";Haute-Vienne;87;"(D) D�partement";1993;10;05;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� BESSINES SUR GARTEMPE (87) 1993 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 05 octobre 1993 aux environs de 18h20 plusieurs personnes dans un jardin pr�s d'un bois observent l'apparition de lumi�res de couleurs dans une clairi�re. Au bout de quelques instants les t�moins entendent comme un bruit de tonnerre et voient un �clair. Le ph�nom�ne lumineux dans la clairi�re dispara�t.
Le r�examen de ce cas permet d'�tablir les �l�ments suivants :
- les descriptions des t�moins utilisent des termes usuellement associ�s � des �v�nements d'orages : �clairs, tonnerre, d�tonation
- les d�marquages par rapport � une explication orage sont peu convaincants. ""Ce n'�tait pas un orage car .. il n'y aurait pas eu une seule d�tonation "", ""les �clairs allaient dans un sens et la d�tonation ou bruit dans l'autre"".
- l'�l�ment qui a d� para�tre le plus �trange, les lueurs dans le bois, n'a pas donn� lieu � v�rification par les t�moins qu'elles �taient bien issues du bois, car les t�moins ont renonc� � aller voir. Donc il pouvait tr�s bien s'agir d'une succession d'�clairs d'orage vus au travers du bois. En effet, le lieu d'observation (proximit� du jardin potager) se situe sur le flanc Sud d'un d�me (Puy de Sarran), les lueurs sont per�ues au niveau de ""la clairi�re la plus au nord"" qui se trouve pr�s du sommet du Puy de Sarran, les surfaces bois�es sont pour l'essentiel sur les flancs de ce d�me (la d�nivel�e descendante est de 10 par 70 m) si bien que des �clairs issus de l'horizon Nord ou Nord Ouest du d�me (pas d'arbres sur le cot� Est du d�me) peuvent �tre per�us au travers des arbres sans traverser beaucoup d'�paisseur d'arbre (forme en d�me de la couverture bois�e) pour appara�tre � la surface de la clairi�re (cette derni�re est vue d'un t�moin et donc sans obstruction d'arbres). Le fait que les lumi�res soient vues � 4 m de hauteur du sol au niveau de la clairi�re r�duit encore plus l'�paisseur d'arbres travers�e en amont de la clairi�re par le trajet lumineux des �clairs.
- le service m�t�o de Limoges interrog� par courrier par la brigade sur la situation � 18h et sans �l�ment de contexte n'indique rien d'anormal � 18h sans �largir la plage temporelle. Par contre, la r�ponse de la station hertzienne de Sauvagnac fait �tat de forte pluie, d'orages �loign�s et �clairs dans plusieurs directions, et ce � partir de 20h et sans statuer sur la plage 18h30 � 19h00. Cette information est fortement compatible d'une survenue d'alertes orageuses (quelques �clairs et un seul coup de tonnerre) 30 minutes ou une heure plus t�t � 12 km plus au Nord.
- Les t�moins sont des amis, a priori en situation plut�t enjou�e ou anim�e (chacun ayant tout de m�me bu 3 bi�res et un pastis dans l'apr�s-midi avant l'observation (voir PV), on peut penser que cela a pu faciliter la communication voire l'amplification du sentiment d'�tranget�.
- on pourrait s'�tonner que les gendarmes n'aient pas per�u la situation d'orage depuis leurs locaux situ�s � 2 km du lieu d'observation. Les �clairs peuvent avoir �t� masqu�s par le relief du d�me puisque l'hypoth�se est celle d'�clairs lointains au-del� du d�me et de toute fa�on les �clairs ne sont pas toujours per�us dans des locaux. Par contre, le bruit de d�tonation (""comme une explosion ou un coup de tonnerre"") a bien �t� entendu depuis le domicile de T4, mais ce dernier est situ� plus pr�s du jardin (1km) et au nord du d�me, donc plus pr�s de l'origine suppos� du tonnerre et sans aucun potentiel �cran sonore induit par le d�me.
Il n'est pas possible d'affirmer que l'origine des PAN est l'orage, mais l'ensemble des �l�ments donne � cette hypoth�se une probabilit� sup�rieure � 50%. Par ailleurs, la consistance des t�moignages est affaiblie par l'absence totale de relev� angulaire des origines des lueurs, des dur�es des lueurs. L'ensemble des t�moignages est � la limite du non exploitable.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : orage.";"Observations de lumi�res multicolores dans une clairi�re suivies d'und'un grand bruit et d'un �clair violent : orage.";O;4;;;;;;;;2017-12-18;0.40;;0.40;0.00;0.70;;0.70;0.70;0.70;0.50;0.50;0.00;B;B;1993-10-01332
1552;"LE PORTEL (62) 1993";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1993;09;04;"Le 6 octobre 1993 vers 22h30 de nombreux t�moins observent un ph�nom�ne lumineux circulaire compos�s de plusieurs boules lumineuses. L'enqu�te montrera qu'il s'agit d'un man�ge �quip� de projecteurs lasers tournants.";"Observation de lumi�res cr��es par des projecteurs lasers d'une f�te foraine";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1993-10-01333
1553;"FOS-SUR-MER (13) 21.10.1993";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1993;10;21;"Le 21 octobre 1993 vers 21 heures, un agent de s�curit� d'une entreprise observe le passage sur sa cam�ra de contr�le pendant quelques minutes d'un halo de lumi�re avec une demi sph�re tr�s lumineuse. Le ph�nom�ne est pass� lentement dans le champ de la cam�ra avant de dispara�tre derri�re les arbres. Il est possible qu'il s'agisse de l'observation de phares de voiture mais aucun �l�ment n'a pu �tre recueilli �tayant cette hypoth�se.";"Observation du passage d'un halo lumineux sur une cam�ra de surveillance";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-10-01334
1554;"DOUVRIN (62) 30.10.1993";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1993;10;30;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� NOEUX-LES-MINES (62) 30.10.1993 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
A trois reprises, sur un laps de temps d'une quinzaine de jours d�but novembre 1993, les propri�taires (T1 et T2) d'une maison trouvent dans leur jardin des traces d'herbes �cras�es et couch�es : une premi�re ligne sinueuse de 8 m�tres environ sur 40 cm, puis une seconde ligne d'une dizaine de m�tres et enfin un cercle � la jonction des deux lignes. Il font constater ces diff�rentes traces par un voisin (T3). Le T1 pr�cise qu'entre le 8 et le 14 novembre vers une heure du matin elle a aper�u une lumi�re jaun�tre se d�placer � une hauteur de 0,60m du sol. Le T3 constate �galement que ces chiens ont aboy� anormalement une quinzaine de jours vers 01h30 du matin. Le t�moins d�posent leur t�moignages tardivement et la gendarmerie se rend sur place le 17 novembre 1993.
Il s'agit d'une observation de traces au sol sans observation d'un ph�nom�ne a�rospatial.
En effet, l'observation par T2 (et uniquement par T2) d'une "" lumi�re jaun�tre � hauteur de 60 cm qui se promenait vers une heure du matin "" n'est pas associable aux traces. Elle est aper�ue apr�s la d�tection des traces et ne repr�sente rien d'�trange en soit, en particulier la position sur la photo ne permet pas de situer cette lueur au-dessus de la parcelle du t�moin ou bien au sol bien plus loin dans d'autres parcelles. Cette lueur n'aurait probablement pas �t� signal�e si ces traces n'avaient pas d�j� cr�� une inqui�tude chez les t�moins.
Il n'est pas dans la mission du GEIPAN (et donc pas dans son expertise) de rechercher l'explication de traces aux sol en absence de t�moignage de ph�nom�ne a�rospatial concomitant � la d�couverte de ces traces.
En effet, des traces suspectes au sol peuvent avoir un grande vari�t� d'origines non li�s � des PAN. Quelques exemples (sans que l'on pr�tende les rendre �ligibles ici) : champignons, voleurs, animaux sauvages ou pas, amusements ou plaisanterie de voisins.
Le GEIPAN n'aurait pas d� conclure ce cas en PAN D car rien n'indique qu'il s'agisse d'un ph�nom�ne a�rospatial compte-tenu des informations collect�es.
En conclusion, le GEIPAN revisite ce cas en C : inexploitable car d�passe les seules comp�tences du GEIPAN.";"Observations � plusieurs reprises de traces au sol de forme et dimensions diff�rentes : inexploitable car d�passe les seules comp�tences du GEIPAN.";O;3;3;;3;;;;;2018-11-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-10-01663
1555;"ECQUEVILLY (78) 15.11.1993";Yvelines;78;"(D) D�partement";1993;11;15;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� ECQUEVILLY (78) 15.11.1993 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Dans la nuit du 14 au 15 novembre 1993 aux alentours de 04h30, un t�moin est r�veill� par les aboiements de ses chiens. Il se l�ve et constate qu'effectivement ses chiens mais aussi ses chevaux regardent tous dans la m�me direction. Le t�moin se dirige vers une autre pi�ce de la maison et voit par la fen�tre (""� 300 m�tres environ � l'Ouest de son habitation"" d'apr�s la gendarmerie), des lumi�res statiques �clairant le sol. Le t�moin n'entend aucun bruit m�me fen�tre ouverte. Cependant, il constate que les lumi�res se d�placent vers lui. Lorsqu'elles arrivent au-dessus de son domicile, le t�moin aper�oit un cercle lumineux compos� de lumi�res blanches, jaunes et un peu bleut�es, d'intensit�s diff�rentes. Des flashes de lumi�re noire sont �galement aper�us. La dur�e de l'observation est de 20 � 25 secondes. Le t�moin sort de son habitation mais les lumi�res ont disparu. Le t�moin se rend � la gendarmerie le 24 novembre 1993 pour sa d�position puis remettra dans un second temps des croquis de son observation. Aucune trace ne sera retrouv�e, aucun autre t�moignage ne sera recueilli lors de l'enqu�te de gendarmerie. Le GEIPAN a recontact� le t�moin en juillet 2018.
Nous avons montr� au fil de l'analyse (voir le compte-rendu d'enqu�te) que le PAN observ� par le t�moin �tait finalement d'une taille probablement relativement modeste (environ 5� au plus proche). Cette taille modeste contraste avec les croquis effectu�s par le t�moin qui laissaient � penser que le PAN pouvait �tre d'une taille plus importante.
Cependant, cette taille angulaire reste trop importante pour bien cadrer avec la seule hypoth�se quelque peu cr�dible, celle de la confusion avec un h�licopt�re. En effet, cette hypoth�se impliquerait que cet h�licopt�re se soit trouv� proche du t�moin (environ 55m pour un h�licopt�re de type EC145 de l'�poque), et soit donc entendu, dans un contexte de silence nocturne, fen�tre ouverte, alors que le t�moin n'a entendu aucun bruit.
D'autres param�tres testimoniaux emp�chent par ailleurs de valider cette hypoth�se, comme le nombre important de lumi�res observ�es, l'absence de feux de navigation et anti-collision, l'�clairage au sol par une � lumi�re noire �
La consistance est bonne, avec un t�moignage suffisamment d�taill� et une enqu�te sur place effectu�e peu de temps apr�s par les gendarmes. Bien que le t�moin n'ait pas eu le r�flexe de prendre des photos et des vid�os et qu'aucun relev� angulaire n'ait �t� effectu� lors de l'enqu�te par les gendarmes, nous avons n�anmoins pu, gr�ce en particulier aux photographies r�alis�es sur place par les gendarmes, au croquis et au t�moignage du t�moin, bien reconstituer la trajectoire du PAN et se repr�senter son apparence.
Dans la m�thodologie actuelle GEIPAN, le pr�sent niveau d'�tranget� et de consistance imposent de pratiquer une � enqu�te terrain � avec le t�moin pour une reconstitution et un entretien cognitif. Cette derni�re est susceptible d'impacter positivement et n�gativement l'�valuation d'�tranget� comme de la consistance. Mais elle n'est pas possible pour un cas en revisite si longtemps apr�s. Aussi l'�valuation du pr�sent cas est faite selon les crit�res actuels de prise en compte de l'�tranget� et de la consistance (voir dans l'actualit� GEIPAN du 27 avril 2017 La m�thodologie de classification au GEIPAN) comme si l'enqu�te terrain avait �t� faite et avait �t� totalement neutre (aucun apport en plus ou moins), ce qui est quelque fois le cas. Par contre, afin de marquer cet �cart m�thodologique, la classification se fait sur la base A B C D et non sur l'actuelle A B C D1/D2 qui correspond pour le classement inexpliqu� � une validation plus forte du caract�re inexpliqu�.
Ici le cas est la limite entre un cas inexpliqu� et un cas inexploitable par manque de consistance dans l'�tat de dossier faute d'enqu�te GEIPAN men�e sur place.
En cons�quence, le cas est class� D : inexpliqu�. ";"Observation d'un cercle de lumi�res de couleurs et d'intensit� lumineuse vari�es en d�placement silencieux : ph�nom�ne inexpliqu�.";O;1;1;;1;;;;;2018-07-11;;;0.70;0.00;;;0.85;;0.85;;0.75;0.00;D;D1;1993-11-01335
1556;"SAINT-SAUVEUR LE VICOMTE (50) 1993";Manche;50;"(D) D�partement";1993;11;16;"Dans la nuit du 16 au 17 novembre 1993 vers 00h45, un t�moin observe un trait lumineux fixe dans le ciel ""comme un tube au n�on"" autour duquel tourne un certain nombre de points lumineux. Ce ph�nom�ne est accompagn� d'un l�ger bruit faisant penser � un petit avion. Le t�moin r�veille son camarade qui peut �galement constater le ph�nom�ne. Malgr� un article de presse, aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation d'un trait lumineux entour� de points lumineux : manque d'information.";O;2;2;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-11-01336
1557;"BREST HARTELOIRE (29) 1993";Finist�re;29;"(D) D�partement";1993;11;23;"Dans la nuit du 22 au 23 novembre, entre 5h30 et 7 heures, deux t�moins observent � sept reprises � travers leurs volets clos des flash tr�s violents. Aucune autre information n'est disponible.";"Observation de flash violents";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-11-01337
1558;"SAINT-SAUVEUR-DE-MONTAGUT (07) 26.11.1993";Ard�che;07;"(D) D�partement";1993;11;26;"Le 26 novembre entre 7h15 et 8h15, un t�moin observe pendant pr�s d'une heure une boule jaune semblant se consumer. Au bout d'une heure la boule est partie rapidement en laissant derri�re une trace noire. L'enqu�te men�e n'a pas permis d'identifier cette boule comme �tant un a�ronef civil ou militaire, ni un ballon. Le ph�nom�ne reste inexpliqu�.";"Observation d'une boule jaune stationnaire";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;D;B;1993-11-01338
1559;"ILE BOUCHARD (37) 11.12.1993";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";1993;12;11;"Trois membres d'une m�me famille vont �tre t�moins dans la nuit du 10 au 11 d�cembre 1993 de ph�nom�nes lumineux de forme cylindrique apparus dans le ciel entre 01H45 et 3h du matin.
L'enqu�te se tournera vers l'utilisation d'un laser de type sky rose en fonctionnement entre 22h30 et 3h du matin sur le toit d'une discoth�que.";"Observation d'effets lumineux provenant d'un projecteur de discoth�que";O;5;;;;;;;;2012-06-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.55;0.45;A;B;1993-12-01340
1560;"ROQUEMAURE (30) 1993";Gard;30;"(D) D�partement";1993;12;24;"Le 25 d�cembre 1993 vers 00h30 un t�moin en voiture sur l'autoroute observe deux formes circulaires d'un diam�tre estim� de 1 m�tre environ, de couleur rouge flamme au-dessus d'un canal � 4 et 6 m�tres d'altitude environ. Les objets se sont ensuite s�par�s, l'un est parti � grande vitesse, mais le second a continu� d'�voluer � vitesse r�duite et le t�moin a pu le suivre sur l'autoroute o� il roulait � 140 km/h environ. L'objet �tant plus rapide le t�moin l'a perdu de vue. Aucun bruit n'a �t� per�u et la dur�e de l'observation n'a pas �t� pr�cis�e. L'enqu�te a permis de trouver un second t�moin, mais la veille � une heure diff�rente et on ne peut affirmer qu'il s'agisse du m�me ph�nom�ne. Ce ph�nom�ne n'a pu �tre identifi�";"Observation de l'�volution de deux formes circulaires";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.53;0.25;D;C;1993-12-01341
1561;"[A7] DE AVIGNON (84) VERS BOLLENE (84) 11.12.1993";Vaucluse;84;"(D) D�partement";1993;12;11;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� PRIVAS (07) 1993 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 11 d�cembre 1993 vers 20heures 50,une automobiliste est intrigu�e par une tr�s grosse lumi�re qui tourne sur elle-m�me dans le ciel et dispara�t. Un peu plus loin cette lumi�re r�appara�t et les deux passagers du v�hicule observent �galement ce ph�nom�ne. Arriv� sur un parking, le t�moin fait remarquer le PAN � un autre automobiliste. Le t�moin rapporte que durant une vingtaine de minutes cette lumi�re tournera sur elle-m�me et sans bruit. Plusieurs autres lumi�res (entre 6 et 10) sont remarqu�es en-dessous. Le PAN appara�t et dispara�t, avance en tournoyant en tous sens. Un seul t�moin rapporte son observation en Gendarmerie.
La description poss�de les caract�ristiques que l'on peut trouver dans une observation d'animation laser venue du sol et se r�fl�chissant dans l'atmosph�re (gr�ce aux gouttelettes d'humidit� ou � la couche de nuages) :
- motifs dans le ciel avec un ou plusieurs points ou segments lumineux, de une plusieurs couleurs, selon une g�om�trie fixe ou le plus souvent variable.
- rotation, balayage, pivotement des motifs, avec possibilit� de grandes et rapides excursions dans le ciel.
- selon les conditions atmosph�riques, faisceaux montant du sol visibles ou non (le cas ici, quelque fois ce sont seulement les faisceaux montant qui sont visibles sans projeter de motifs dans le ciel).
Les animations de laser aujourd'hui fr�quentes et facilement reconnaissables dans les t�moignages re�us du GEIPAN �taient plus rares en 1993. Il n'est pas possible aujourd'hui de rechercher l'origine de cette animation sur le lieu ou sa proximit� (proximit� d'Avignon). N�anmoins, nous disposons d'une observation cette ann�e l�, par hasard le m�me jour mais dans un lieu tout diff�rent, o� l'enqu�te a permis de retrouver l'animation et met en �vidence que les mat�riels produisant de tels effets �taient vendus aux discoth�ques en France (voir le PV de gendarmerie du cas d'observation ILE BOUCHARD (37) 11.12.1993).
Le GEIPAN classe le cas d'observation en B : probable (et non certaine, faute d'avoir pu identifier l'installation ou v�rifier la compatibilit� des conditions m�t�orologiques) observation de laser ou "" Sky Rose"".";"Observation d'une grosse lumi�re tournoyant sur elle-m�me dans le ciel et avec des mouvements erratiques : probable observation d'un laser.";O;1;;;;;;;;2017-12-07;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.60;;0.45;0.00;B;B;1993-12-01691
1564;"BOGNY-SUR-MEUSE (08) 09.01.1994";Ardennes;08;"(D) D�partement";1994;01;09;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� CHARLEVILLE-MEZIERES (08) 09.01.1994 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 09 janvier 1994 vers 19h45 la passag�re avant droit (T1) d'un v�hicule observe un ph�nom�ne lumineux dans le ciel qui l'intrigue. A plusieurs reprises et � des endroits diff�rents, le t�moin observe une forme rectangulaire puis en losange et enfin ovo�de avec des lumi�res de diff�rentes couleurs. Aucun bruit particulier n'est entendu. Le t�moin prend soudain peur car la forme semble avancer vers elle. Le t�moin se rend � la gendarmerie et le conducteur (T2), qui n'a pu faire toutes les m�mes observations que sa passag�re, confirme oralement les dires de cette derni�re. Aucun autre t�moignage, aucune autre information ne seront recueillis lors de l'enqu�te de gendarmerie.
Malgr� une enqu�te des gendarmes, il manque de nombreux �l�ments de base n�cessaires � toute analyse de ce type (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Pour chacune des phases :
- l'azimut ou un rep�re directionnel auquel se trouvait le PAN ;
- l'�l�vation sur l'horizon ;
- la dur�e d'observation ;
- les dimensions angulaires du PAN.
Nous avons un deuxi�me t�moin T2 qui dit � confirmer les dires de T1 � mais en m�me temps indique qu'il n'a vu le PAN qu'au point n�3 et jamais ensuite, sans faire, ni signer aucune d�position. On ne sait donc pas si la vision du PAN vu au point 3 recoupe celle de T1.
Le fait que T1 n'ait pas fait partager � T2 sa deuxi�me observation en point n�5, et que T2 n'ait pas t�moign� nuit aussi � la consistance de l'ensemble d�j� amplement entach�e de manque de pr�cision.
La consistance (niveau et fiabilit� de l'information) du t�moignage est trop faible pour construire une hypoth�se et pour formuler une quelconque conclusion.
Dans ce contexte le caract�re �trange et non explicable qui avait pu pr�valoir lors de la premi�re enqu�te ne peut �tre retenu.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C : manque d'informations fiables.
";"Observations nocturnes et successives d'un ph�nom�ne silencieux de forme vari�es (rectangulaire, losange et ovo�de) avec des lumi�res de couleurs (blanche, rouge, orang�e) : manque d'information.";O;1;1;;1;;;;;2018-07-12;;;0.50;0.00;;;0.60;;0.50;;0.30;0.00;C;C;1994-01-01343
1565;"HAUTBOURDIN (59) 1994";Nord;59;"(D) D�partement";1994;01;10;"Le 10 janvier 1994 vers 5 heures, un couple observe depuis leur domicile une forme ovale lumineuse qui effectue des va-et- vient en hauteur sans jamais toucher le sol. Un sifflement est �galement per�u. L'enqu�te montrera qu'il s'agit vraisemblablement d'un projecteur laser publicitaire en essai dans une discoth�que des environs. Le ph�nom�ne a d'ailleurs �t� observ� dans plusieurs communes avoisinantes dont les t�moins avaient �t� avertis des essais du projecteur.";"Observation vraisemblable d'un projecteur laser";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1994-01-01344
1566;"� AF3532 � [AERO AFR] COULOMMIERS (77) 28.01.1994";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";1994;01;28;"Le 28 janvier 1994 � 13h14, l'�quipage d'un Airbus A320-11 d'Air France assurant la liaison Nice-Londres, observe un ph�nom�ne qu'il ne s'explique pas.
Survolant la r�gion de Coulommiers en Seine-et-Marne, le chef stewart alors pr�sent dans le poste de pilotage, signale au commandant de bord un ph�nom�ne sur la gauche de l'appareil qui lui fait penser � un ballon m�t�orologique.
Le commandant de bord et la co-pilote d�crivent pour leur part l'observation d'un disque brun ou rouge sombre changeant de forme avant de dispara�tre subitement.
Le commandant rend compte au contr�le a�rien de Reims qui lui pr�cise qu'il n'a aucun trafic a�rien dans le secteur.
Au m�me moment une piste radar non identifi�e est enregistr�e par le radar de Cinq-Mars-la-Pile. Cette trace, enregistr�e pendant 50 secondes croise bien la trajectoire du vol AF3532 mais ne correspond � aucun plan de vol d�pos� et dispara�t simultan�ment � la vue de l'�quipage et des �crans radar.
Trois ans plus tard, alors que le cas est cit� dans la presse, les t�moins rapportent leurs t�moignage en faisant un rapport officiel � la gendarmerie et au SEPRA (Service d'Expertise des Ph�nom�nes rares a�rospatiaux au CNES).
Les enqu�teurs resteront prudents quant � la corr�lation entre la signature radar et le ph�nom�ne. M�me si la signature radar ne correspond pas � l'observation, le ph�nom�ne n'est pas un avion puisqu'alors il y aurait eu une trace radar concordante.
En 2012, une nouvelle v�rification a �t� demand�e � Meteo-France pour �tudier l'hypoth�se de l'observation d'un ballon sonde (voir ci-joint). Un ballon sonde a bien crois� la trajectoire de l'avion, mais une heure avant l'observation. Et � l'heure de l'observation, le ballon, �clat�, devait redescendre tr�s loin au Sud-Est de l'avion.
Ce cas s'av�re donc inexpliqu�, avec des t�moignages coh�rents pour une observation tout � fait �trange. Deux hypoth�ses peuvent � la rigueur �tre encore envisag�es mais impossibles � consolider : un ph�nom�ne encore inconnu d'optique atmosph�rique ou un objet souple (ex : enveloppe de ballon) volant au gr� des vents.
Ce cas est class� D1 : cas inexpliqu� moyennement consistant avec un caract�re d'�tranget� marqu�. Les t�moignages tardifs, l'absence du t�moignage du steward, la trace radar incoh�rente avec l'objet observ� alt�rent la consistance du cas.";"A�ronef croisant un ph�nom�ne confirm� par le contr�le radar. Disparition instantan�e.";O;3;;;;;;;;2012-03-09;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;1994-01-01345
1567;"HUELGOAT (29) 05.02.1994";Finist�re;29;"(D) D�partement";1994;02;05;"Le 5 f�vrier 1994 vers 8 heures, une femme au volant de sa voiture a observ� pendant quelques secondes le passage tr�s rapide d'une boule lumineuse. Cette boule a �galement �t� vue par un autre automobiliste qui l'a annonc� sur la radio CB. Il s'agit vraisemblablement de l'observation d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation vraisemblable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1994-02-01346
1569;"COL DE VENCE (06) 1994";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";1994;03;05;"Le 05 mars 1994, 4 t�moins se rendent au col de Vence pour tenter d'apercevoir des ph�nom�nes a�rospatiaux non identifi�s. Ils observeront effectivement trois points lumineux formant un triangle qui semblait s'approcher d'eux. Le ph�nom�ne est rest� silencieux et a �t� observ� durant 1 minute et demie environ. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation de points lumineux en triangle.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-03-01348
1570;"MESSINCOURT (08) 10.03.1994";Ardennes;08;"(D) D�partement";1994;03;10;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� MESSINCOURT (08) 10.03.1994 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le 10 mars 1994 vers 20h55, deux t�moins observent des lumi�res de couleurs qui d�limite une forme (circulaire et plat pour T1 et triangulaire pour T2) dans le ciel. La trajectoire particuli�re intrigue les t�moins ainsi que l'arriv�e d'un autre PAN. Aucun bruit particulier n'est entendu durant la courte observation discontinue des deux t�moins. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Une seule hypoth�se a lieu d'�tre prise en compte, celle d'un passage d'h�licopt�re.
- Il y a dans les t�moignages deux �l�ments tr�s forts en faveur de l'hypoth�se et concordants entre t�moins : la trajectoire et surtout le triangle de 3 lumi�res de navigation blanc rouge et vert.
- L'absence de d�tection radar peut s'expliquer par une altitude basse (< 200 ou 300 m) non confirm�e mais compatible des autres �l�ments observ�s.
- De m�me l'absence de perception de bruit (per�u par T2, T1 ne se prononce pas) peut �tre �tonnante mais est rencontr�e par le GEIPAN dans quelques cas similaires. On sait aussi que l'attention port�e � une observation visuelle tr�s ""saisissante"" peut masquer la perception sonore qui l'accompagne.
- Les autres �l�ments en d�faveur ne peuvent pas invalider l'hypoth�se car sont � fiabilit� discutable du fait de non confirmation voire non concordance entre t�moins et m�me en les supposant fiables peuvent trouver une explication qui ne r�duit pas la probabilit� de l'hypoth�se en de�� de 50%. Il s'agit du deuxi�me PAN rejoignant le premier vu que par T1, des lumi�res blanches gravitantes (selon T2) ou tournant lentement (selon T1), � l'int�rieur du triangle de navigation (selon T1) ou � l'ext�rieur (selon T2).
- les t�moignages auraient justifi� une enqu�te sur place pour pr�ciser les informations et comprendre les discordances. N�anmoins la consistance est suffisante pour conclure car l'observation est assez longue et d�taill�e, concordante sur les points d�terminants (positifs comme n�gatifs). Des d�tails vus par T1 ne sont pas vu par T2 (ce qui n'est pas une contradiction) et les vraies contradictions (forme et positions des lumi�res blanches) ne sont in fine pas d�terminantes.
En cons�quence le GEIPAN consid�re l'hypoth�se h�licopt�re de probabilit� sup�rieure � 50% : classement B : h�licopt�re.";"Observations courtes du d�placement de lumi�res de couleurs d�limitant une forme dans le ciel : observations probables d'un h�licopt�re.";O;2;;;;;;;;2017-12-19;;;0.40;0.00;;;0.75;;0.70;;0.53;0.00;B;B;1994-03-01349
1571;"TINTRY (71) 16.03.1994";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";1994;03;16;"Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � C � par le SEPRA, sous le nom d'EPINAC (71) 16.03.1994 : il fait aujourd'hui l'objet d'un r�examen (voir le document Notes d'enqu�te).
Le 16 mars 1994, � 20h10 ou 20h30, � TINTRY (71), une personne rentrant chez elle � pied constate l'apparition d'un nuage laiteux face � elle, laissant appara�tre � trois reprises, pendant quelques secondes, un croissant lumineux de couleur orange de grande dimension. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli lors de l'enqu�te de gendarmerie.
Ce cas est peu consistant (t�moin unique), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� du t�moin n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la Lune en croissant, vu au travers une couche nuageuse. De plus, la Lune �tait bien pr�sente sur la zone du ciel observ�e.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (fatigue, observation partielle de la Lune � travers un nuage).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� ""A"", observation li�e � une m�prise avec la Lune.";"Observation dans un nuage de passages d'un croissant lumineux de couleur orange de grande dimension : observation astronomique de la Lune.";O;1;;;;;;;;2014-09-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1994-03-01350
1572;"SAINT-JOSEPH (971) 1994";"La R�union";974;"(D) D�partement";1994;03;17;"Le 17 mars 1994 vers 20h00, un t�moin avertit les gendarmes qu'il observe un lumi�re verte turquoise avec un point rouge tournant � grande vitesse au -dessus de la mer. Les gendarmes font une patrouille durant environ une heure mais n'observeront pas le ph�nom�ne. Durant cette m�me soir�e les �l�ves d'un coll�ge observaient le ciel pour voir le lever de Jupiter mais n'ont rien vu de plus. Le 3 avril le ph�nom�ne se reproduit et l'observation peut �tre effectu�e par plusieurs t�moins Aucun a�ronef n'a �t� identifi� mais les caract�ristiques de l'observation font penser � des reflets li�s � l'utilisation d'un laser.";"Observation vraisemblable d'un faisceau laser";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1994-03-01351
1573;"ALPES HAUTE-PROVENCE (04) 1994";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1994;03;18;"Observation le 18 mars 1994 par plusieurs t�moins du passage rapide d'une boule lumineuse jaune ressemblant ""� une �toile filante"". La description des t�moins conduit � privil�gier l'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1994-03-01352
1574;"PONTET (LE) (84) 18.03.1994";Vaucluse;84;"(D) D�partement";1994;03;18;"Le 18 mars 1994, un t�moin observe durant quelques instants une forme en triangle isoc�le. Aucune autre information disponible.";"Observation d'une forme en triangle isoc�le.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-04-01353
1575;"PLOUBALAY (22) 13.03.1994";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1994;03;13;"Un t�moin transmet au GEIPAN le 5 mars 2009 le r�cit d'une observation de quelques secondes ayant eu lieu le 13 mars 1994. Entre 17h et 17h20 sur une route menant � Ploubalay le t�moin a vu un objet se d�pla�ant tr�s rapidement vers le Nord dans une trajectoire l�g�rement inclin�e. L'objet a disparu dans les nuages. Aucunes informations pr�cises n'ont pu �tre recueillies sur la forme et les dimensions de l'objet vu � haute altitude. L'anciennet� de l'observation et le manque d'informations rendent toute enqu�te difficile voir impossible.";"Observation du d�placement d'un objet dans le ciel. Observation ancienne.";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-03-02208
1576;"CHATEAUFORT (78) 14.04.1994";Yvelines;78;"(D) D�partement";1994;04;14;"Le 14 avril 1994 vers 22 heures puis plus tard dans la nuit, un t�moin observe un point lumineux fixe et clignotant. Au cours de l'observation, ce point se d�pla�e l�g�rement comme les �toiles. Il s'agit vraisemblablement de l'observation d'un astre.";"Observation vraisemblable d'un astre";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1994-04-01354
1577;"SAINT-CLAUDE (39) 1994";Jura;39;"(D) D�partement";1994;05;07;"Le 7 mai 1994 vers 21h30 3 t�moins observent un point lumineux particuli�rement brillant se d�pla�ant tr�s lentement dans le ciel. Cette observation qui a dur� plusieurs dizaines de minutes est vraisemblablement celle d'un v�hicule spatial, l'un des t�moins ayant fait la m�me observation le lendemain.";"Observation vraisemblable d'un v�hicule spatial";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1994-05-01355
1578;"ALLAIRE (56) 1994";Morbihan;56;"(D) D�partement";1994;05;09;"Le 9 mai 1994 vers 4h30, un t�moin qui ne dort pas observe durant quelques minutes un ph�nom�ne lumineux puissant en forme de Y. Apr�s quelques minutes durant lesquelles le ph�nom�ne reste stationnaire, il s'�loigne et dispara�t progressivement Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux enforme de Y";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-05-01356
1579;"LA HAYE PESNEL (50) 1994";Manche;50;"(D) D�partement";1994;05;14;"Le 14 mai 1994 vers 21h20, quatre t�moins suivent, photographient et filment l'�volution d'un objet ovale qui �volue dans le ciel. Dans un champ voisin ainsi que dans le canton voisin on d�couvrira des morceaux de ballons avec des cartes provenant d'un concours de lancement de ballons.Ce concours pour enfants a �t� lanc� depuis l'Angleterre. Le ph�nom�ne observ� est donc vraisemblablement l'un de ces ballons.";"Observation vraisemblable d'un ballon d'enfants";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1994-05-01357
1580;"PELLERIN (LE) (44) 11.06.1994";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1994;06;11;"Le 11 juin 1994 vers 23h45, un t�moin au volant de sa voiture, observe la pr�sence sur le c�t� de la route d'un objet en forme de citron avec un ""cable"" sur le dessus et parsem� de multiples lumi�res. Ayant ralenti autour de 20 km/h l'objet avance sensiblement � la m�me vitesse et lorsque la voiture le rattrape, l'objet se d�double en gardant sa forme et sa taille. L'objet a ensuite acc�l�r�, tourn� vers la droite, pass� par-dessus un bosquet d'arbres avant de partir tr�s rapidement � la verticale. Cette observation d'un ph�nom�ne silencieux, durant plusieurs minutes, n'a pas �t� expliqu�.";"Observation d'un objet en forme de citron accompagnant le v�hicule du t�moin";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1994-06-01358
1581;"RIEZ (04) 22.06.1994";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1994;06;22;"Le 22 juin 194 un t�moin signale avoir vu depuis son v�hicule une sph�re lumineuse qui descend au sol, puis red�colle en se divisant en 3. Le lendemain, les gendarmes sur place trouveront des militaires se servant d'un canon embusqu�s � l'endroit de l'observation. Bien que nous n'ayons aucune autre information, ces manuvres militaires qui avaient lieu dans la r�gion sont suceptibles d'expliquer le ph�nom�ne constat�.";"Observation de sph�re lumineuse";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;B;C;1994-06-01359
1582;"USSY-SUR-MARNE (77) 24.06.1994";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";1994;06;24;"Le 24 juin 1994 vers 2h40, lors d'une patrouille de nuit, l'attention de trois gendarmes est attir�e par des lumi�res au-dessus de l'autoroute. En s'approchant ils constatent que ces lumi�res proviennent d'un objet triangulaire stationnaire a une distance non pr�cis�e du sol. Ayant arr�t� leur vehicule, l'objet s'est approch� doucement pour stationner au-dessus de la voiture des gendarmes. Lorsqu'ils red�marrent, l'objet part � une vitesse vertigineuse pour ne devenir qu'un point dans le ciel. Sans pouvoir pr�ciser l'instant exact, les gendarmes constatent �galement l'arr�t des leurs �quipements de communication � bord du v�hicule. La dur�e de l'observation est de l'ordre de 10 minutes, aucun bruit, ni fum�e n'ont �t� constat�s. Aucune explication n'a pu �tre apport�e � ce ph�nom�ne.";"Observation d'une forme triangulaire stationnaire";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1994-06-01360
1583;"NEUFCHATEL-EN-BRAY (76) 27.06.1994";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1994;06;27;"Le 27 juin 1994 vers 11 heures, un t�moin circulant en voiture observe � une distance estim�e � 8 km deux formes pyramidales sombres, sans feux ni lumi�res et stationnaires. Au d�tour de la route le t�moin perd de vue ces deux ph�nom�nes. Un peu plus loin il retrouve une troisi�me forme triangulaire noire qui vole au-dessus de sa voiture et � la m�me vitesse, environ 80 km/h. En quelques instants l'objet acc�l�re et dispara�t avec un bruit sourd et un chuintement aigu. Le ph�nom�ne constat� par le t�moin reste inexpliqu�.";"Observation de 3 objets triangulaires ou pyramidaux survolant la voiture du t�moin � basse altitude";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1994-06-01361
1584;"LE CAMBOUT (22) 23.06.1994";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1994;06;23;"T�moignage r�cent (le 3 juin 2009) d'une observation ancienne (le 23 juin 1994 vers 23h 23h30). Un t�moin raconte avoir vu durant 5 � 10 minutes depuis une fen�tre de toit, un groupement de 6 lumi�res au-dessus de la for�t. Ces lumi�res �taient d'abord fixes puis se sont mises � tourner sur un axe avant de dispara�tre. Aucun bruit n'a �t� entendu durant l'observation. Le t�moin rapporte qu'un transformateur EDF de la ligne �lectrique qui traverse cette partie de for�t a d� �tre rapidement chang� apr�s cette nuit l�. Aucun autre t�moignage concernant ce ph�nom�ne n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations";"Observation de lumi�res dans la nuit.";O;1;;;;;;;;2010-04-02;;;0.63;0.13;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-06-02122
1585;"MARTIGUES (13) 29.07.1994";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1994;07;29;"Le 29 juillet 1994 vers 3 heures, un t�moin insomniaque observe de sa chambre une forme ronde lumineuse avec des �clats de lumi�re sur son pourtour. L'hypoth�se probable avanc�e apr�s une courte enqu�te est l'observation d'un ballon sonde.";"Observation probable d'un ballon sonde";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1994-07-01362
1586;"JARD-SUR-MER (85) 31.07.1994";Vend�e;85;"(D) D�partement";1994;07;31;"Au matin du 31 juillet 1994 un t�moin remarque dans son jardin des petits crat�res qui se concentrent en quatre points. L'herbe est br�l�e tout autour de ces crat�res qui contiennent des morceaux pierreux. il s'agit probablement d'une chute de m�t�orites.";"observation de petits crat�res contenant des morceaux pierreux.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1994-07-01363
1587;"MARSEILLE (13) 31.07.1994";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1994;07;31;"Deux t�moins rapportent avoir vu, le 31 juillet 1994 vers 1h15, juste au-dessus des collines � l'Est de Marseille, une demi-sph�re rouge grosse comme deux fois la lune devenant jaune en r�tr�cissant. Les t�moins contatent la disparition du ph�nom�ne dans une fine raie de lumi�re. Les t�moins ne s'expliquent ce qu'ils ont vu.
Ce cas a �t� class� ""C"" par manque d'information. En juillet 2012 une reconstitution au m�me lieu et � la m�me heure sera men�e dans le cadre d'un possible cycle du saros (voir explications dans le compte rendu d'enqu�te).
Apr�s une reconstitution tout a fait probante 18 ans apr�s, le GEIPAN classe ce cas ""A"" : m�prise avec la Lune � son lever.";"Observations d'un ph�nom�ne lumineux en forme de demi sph�re et de couleurs variant du rouge au jaune : m�prise avec un lever de Lune.";O;2;;;;;;;;2012-09-07;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1994-07-01716
1588;"ALLAUCH (13) 31.07.1994";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1994;07;31;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications figurent des cas anciens class�s � l'�poque et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelques fois � de nouvelles remarques voir � un changement de classification explicit�e dans un compte rendu d'enqu�te.
Ce cas d'observation pr�c�demment nomm� PLAN DE CUQUES (13) 1994 fait partie des cas class�s "" D "" � l'�poque et r�examin� r�cemment.
Le 31 juillet 1994 vers 14h30 des t�moins observent dans le ciel une forme cylindrique associ�e � deux formes rondes de couleur m�tallique. Un des t�moin aper�oit deux excroissances avec des lumi�res clignotantes. Cet objet se d�place sans bruit, volant dans tous les sens � une altitude assez �lev�e. Deux t�moins rapportent leurs observations en gendarmerie.
De nombreux �l�ments plaident en la faveur d'une confusion avec un ballon fantaisie, ballot� par le vent en altitude (voir le compte rendu d'enqu�te) :
- la direction de d�placement, conforme � celle du vent.
Le t�moin n�1 donne des indications g�ographiques assez pr�cises permettant de reconstituer la trajectoire du PAN, qui se d�pla�ait donc selon un axe globalement sud-nord, tout � fait concordant avec la direction des vents relev�s par la station de Marseille-Observatoire.
- la fa�on dont le PAN se d�place.
Celle-ci est d�crite ainsi par les t�moins : � Il volait assez lentement, et faisait des ronds sur lui-m�me. Il avait l'attitude d'une feuille morte, tout en gardant sa direction � ... � volait rapidement dans tous les sens �... � l'objet qui ne cessait de se balancer �
Cette description est typique d'objets l�ger port�s et ballot�s par un vent faible.
- la description du PAN.
Les t�moins �voquent � une forme cylindrique, d'une grosseur d'environ deux v�hicules, de couleur m�tallique, avec deux sortes d'oreilles sur le c�t�. J'ai �galement remarqu� deux � trucs � ronds, style phares de voiture �... � une forme plus ou moins ronde de couleur m�tallique �... � au-dessus de cet objet [figuraient] deux excroissances d'o� clignotaient des lumi�res �.
La mention d'un � clignotement de lumi�res � et � rapprocher de la mention d'une � couleur m�tallique �. Si l'objet est partiellement constitu� d'une mati�re fortement r�fl�chissante, tel que du Mylar, et d'autres mati�res non r�fl�chissantes, son ballotement dans le vent le faisant tourner dans tous les sens et les rayons du soleil se r�fl�chissant � sa surface de mani�re al�atoire, donneront l'impression aux t�moins d'un � clignotement de lumi�res �.
Il peut donc s'agir d'un ballon fantaisie de plage, �chapp� depuis Cassis et ses environs, qui sont situ�s dans le prolongement de la trajectoire du PAN, vers le Sud, et o� de nombreux endroits se pr�tent aux activit�s de loisir l'�t� (plages, calanques...), en particulier en pleine journ�e, un samedi d'�t�.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli, alors que l'observation est en plein jour, un samedi d'�t�, dans une zone habit�e (village d'Allauch). Ceci plaide aussi en faveur d'une hypoth�se � faible �tranget�, telle que celle, argument�e par ailleurs, du ballon fantaisie.
La consistance des t�moignages est plut�t faible. Bien que nous ayons deux t�moignages, ils sont tr�s succincts et issus de t�moins d�pendants (amis).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : ballon de baudruche.";"Observation de jour du d�placement silencieux d'un objet de forme cylindrique associ�e � deux formes rondes de couleur m�tallique et se d�pla�ant dans tous les sens : probable observation d'un ballon de baudruche.";O;2;;;;;;;;2017-07-28;0.30;;0.30;0.00;0.80;;0.80;0.45;0.45;0.40;0.40;0.00;B;B;1994-07-01717
1589;"VIEFVILLERS (60) --.07.1994";Oise;60;"(D) D�partement";1994;07;--;"Un t�moin rapporte qu'enfant, durant l'�t� 1994 (le t�moin ne se souvient plus du mois et jour exacts ;ils sont donn�s ici arbitrairement), il a observ� les d�placements d'une boule lumineuse. Celle-ci, de couleur rouge orang� avait la taille d'une bille et �tait tr�s proche du t�moin. Elle se d�pla�ait sans faire de bruit. Le t�moin a �t� et reste fortement impressionn�. Par deux fois en 2006 ce m�me t�moin a pu observer le d�placement furtif et plus �loign� de boules lumineuses. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli par la gendarmerie sur des observations du m�me type dans le secteur. Malgr� une enqu�te IPN aupr�s du t�moin, ce t�moignage r�cent d'observations anciennes manque de donn�es.";"Observations du d�placement de boules lumineuses.";O;1;;;;;;;;2010-05-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-07-02310
1590;"CLERMONT-LE-FORT (31) 10.08.1994";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1994;08;10;"Dans la nuit du 9 au 10 ao�t 1994 vers 00h30, un t�moin observe durant quelques secondes une petite sh�re lumineuse qui se d�place tr�s vite dans le ciel. Aucun bruit, aucune train�e n'accompagnent ce ph�nom�ne. Aucune autre information n'a �t� collect�e sur ce ph�nom�ne.";"Observation fugitive d'une petite sph�re lumineuse";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-08-01364
1591;"L'ISLE EN DODON (31) 1994";Gers;32;"(D) D�partement";1994;08;12;"Dans la nuit du 12 au 13 ao�t 1994 entre 1h et 1h30 quatre t�moins d�clarent avoir observ� le long de la route durant environ 14 km une boule blanche tournoyant dans le ciel. L'enqu�te d�montrera rapidement qu'il s'agit de l'observation du projecteur laser type ""skyrose"" utilis� � titre d'essai par une discoth�que distante d'environ 6 km du lieu de l'observation.";"Observation d'un projecteur laser de discoth�que";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1994-08-01365
1592;"FUVEAU (13) 17.08.1994";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1994;08;17;"Le 17 ao�t 1994 vers 00h30 un t�moin observe dans le ciel une forme lumineuse en fer � cheval aux contours non d�finis avec des lumi�res jaune orange et vert. L'observation a �t� tr�s fugitive et a dur� 4 secondes environ. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux en fer � cheval";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-08-01366
1593;"LACANAU (33) 12.08.1994";Gironde;33;"(D) D�partement";1994;08;12;"T�moignage r�cent (23/08/2008) d'une observation ancienne : le 12 Ao�t 1994 � 23h45 un groupe de personnes s'�loigne d'un village en bord de mer. La personne de t�te a soudain son attention attir�e par une masse noire stationnaire au-dessus de lui. Durant 6 secondes il d�couvre une �norme forme triangulaire bord�e sur deux c�t�s de petites lumi�res irr�guli�res en intensit� et en alignement. Deux enfants observeront �galement ce triangle qui dans un silence total pivote alors sur lui-m�me et s'�loigne en direction du S-E pour dispara�tre � l'horizon. Le t�moin a not� tout cela sur un carnet de croquis et joint � son t�moignage une illustration de son observation. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel toute enqu�te aujourd'hui est impossible.";"Observation du passage d'une forme sombre triangulaire.";O;1;;;;;;;;2010-04-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-08-02031
1594;"MOUSTIERS-SAINTE-MARIE (04) 28.08.1994";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";1994;08;28;"T�moignage r�cent (13 octobre 2009) d'une observation ancienne (28 ao�t 1994). Lors d'un pique-nique quatre personnes d'une m�me famille observent un point particulier qui se rapproche. Un immense cylindre de couleur cuivre avec des hublots leur appara�t. Celui-ci reste stationnaire � 10 ou 15 m�tres du sol puis change de direction et de vitesse pour dispara�tre instantan�ment. Aucune photographie de l'engin ou du site n'a �t� prise � l'�poque.
L'anciennet� du cas rend toute enqu�te difficile voir impossible.";"Observation d'un engin en forme de cylindre.";O;1;;;;;;;;2015-03-16;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-08-02432
1596;"SAINT-GERVAIS SUR MARE (34) 1994";H�rault;34;"(D) D�partement";1994;08;26;"Observation fugitive de ph�nom�nes lumineux dans le ciel. Les 2 t�moins d�crivent des ph�nom�nes diff�rents et les jours ne correspondent pas non plus.";"Observation de ph�nom�nes lumineux fugitifs";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-09-01367
1597;"SAINT-VALLIER DE THIEY (06) 1994";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";1994;09;11;"Le 11 septembre 1994 vers 23h30, observation par trois t�moins en voiture du passage fugitif d'une forme lumineuse ovo�de. Ces personnes �taient pr�cis�ment ""� la recherche d'OVNI"". L'un des t�moins est cependant sceptique et pense qu'il s'agit d'une simple illumination par les phares d'un v�hicule. Le vol la m�me nuit de mat�riel dans un chantier voisin peut accr�diter cette th�se mais aucune autre information n'est disponible.";"Observation fugitive d'un ph�nom�ne lumineux ovo�de";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-09-01368
1598;"SORGES (24) 16.09.1994";Dordogne;24;"(D) D�partement";1994;09;16;"Le 16 octobre 1994 vers 22h30 un t�moin aper�oit une lumi�re vive jaune � une distance d'environ 200m. Puis une forme g�om�trique (hexagonale ou octogonale) rouge-orang�e s'�l�ve au-dessus du bois d'o� provenait la lumi�re. Aucun bruit n'est entendu lors de cette observation.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. Aucune trace particuli�re ne sera observ�e dans le secteur de l'observation indiqu� par le t�moin.
Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Obervation d'une lumi�re vive puis d'une forme g�om�trique.Manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-09-01369
1599;"MONTREJEAU (31) 1994";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1994;09;25;"Le 25 septembre 1994 vers 6h10, un t�moin observe depuis sa chambre la retomb�e rapide d'une boule bleue derri�re une carri�re proche. Aucun bruit n'est per�u mais des lueurs bleues montent derri�re la montagne apr�s la chute suppos�e. Le t�moin r�veille sa compagne qui n'observe que les lueurs derri�re la carri�re. Il s'agit vraisemblablement d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1994-09-01370
1601;"SAINT-CIRGUES (43) 09.10.1994";Haute-Loire;43;"(D) D�partement";1994;10;09;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� LAVOUTE-CHILHAC (43) 09.10.1994 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 09 octobre 1994 vers 9h45 un t�moin (T1) en poste lors d'une battue de chasse observe durant 25 � 30 minutes les �volutions silencieuses d'un objet lumineux cylindrique blanc avec des reflets m�talliques argent�s. Le t�moin constate �galement des lumi�res bleues et rouges. Il le suit des yeux jusqu'� perte de vue. Rencontrant son fr�re (T2) par la suite, ce dernier lui raconte que situ� � proximit� de son domicile vers 9h30 il a �galement vu un objet lumineux qui l'a intrigu�. Le T2 d�crit un objet cylindrique pour une partie haute et en demi-cercle pour une partie basse, refl�tant le soleil et se d�pla�ant dans le paysage. Apr�s 30 minutes d'observation ce t�moin d�cide d'arr�ter de suivre l'objet.
Les caract�ristiques physiques (forme mais surtout aspect m�tallique et mention par les t�moins de � reflets argent�s �) et dynamiques (d�placements lents, principalement horizontaux, au ras du sol et dans une cuvette, g�n�r�s par les conditions m�t�orologiques locales en zone de montagne au matin) sont tout � fait conformes avec l'hypoth�se de la confusion avec un ballon de nylon m�tallis� type � Mylar �. Un des t�moins (T2) pense aussi � un ballon (Voir le compte-rendu d'enqu�te).
En d�but d'observation, le soleil n'a pas encore eu le temps de chauffer les parties de l'atmosph�re les plus proches du sol, et en particulier celles situ�es � l'abri, dans les cuvettes. Ainsi, le ballon Mylar est encore soumis aux conditions locales d'ensoleillement, faibles ou inexistantes, et aux tr�s faibles courants locaux, ce qui le fait se � balader � au gr� de ces derniers, en restant au ras du sol. Cet �tat subsiste jusqu'au moment o�, le soleil s'�levant davantage, parvient � r�chauffer l'enveloppe du ballon, dont l'air contenu se dilate. Ceci a pour cons�quence de permettre � ce ballon de devenir plus l�ger que l'air environnant et donc de quitter le sol pour s'�lever lentement et r�guli�rement en altitude, ainsi que le d�crit le t�moin T1, en fin d'observation.
Il est tout � fait plausible que ce ballon se soit d�j� trouv� pr�sent la veille au soir. C'�tait alors un samedi, le ballon a pu �tre lanc� d'un village voisin, la temp�rature baissant lors de la tomb�e de la nuit ayant r�tract� l'air qu'il contient, le faisant descendre jusqu'au sol dans une cuvette, de laquelle il ne sort que le lendemain matin, lorsque les conditions de temp�rature redeviennent favorables.
La consistance du cas est bonne, avec deux t�moignages ind�pendants tr�s pr�cis et une enqu�te des gendarmes sur place, qui ont �tabli un plan de situation.
Lors de l'observation, le GEIPAN n'avait pas ou peu d'exp�rience de cas de ballons. Ce n'est pas le cas depuis (faire recherche sur le site www.geipan avec mot clef ballon ou mylar).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B: observation probable d'un ballon Mylar.";"Longues observations des �volutions silencieuses � faible altitude d'un objet lumineux : observations probable d'un ballon Mylar.";O;2;2;;1;;;;;2018-07-12;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.80;;0.70;0.00;B;B;1994-10-01372
1602;"CERILLY (03) 18.10.1994";Allier;03;"(D) D�partement";1994;10;18;"Le 18 octobre 1994 vers 14 heures un gendarme en permission en train de ramasser des champignons d�couvre au sol un cercle compos�s d'�clats de cailloux ressemblant � du machefer.Les feuilles au contact des cailloux ont pris une teinte soufr�e verte. La nuit tombant, il d�cide de revenir le lendemain mais ne retrouvera pas l'endroit.";"D�couverte de cercles de cailloux au sol";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-10-01373
1603;"HUAHINE (987) 20.10.1994";"Polyn�sie fran�aise";987;"(D) D�partement";1994;10;20;"Le 20 octobre 1994 vers 21h30 un t�moin observe au-dessus de chez lui le passage fugitif de trois boules lumineuses jaun�tres align�es. Aucun bruit n'est entendu Aucune autre information n'est disponible.";"Passage rapide de trois boules lumineuses";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-10-01374
1604;"MONTPONT-EN-BRESSE (71) 25.10.1984";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";1984;10;25;"Le 25 octobre 1994 vers 19h40, un t�moin ainsi que son �pouse observent une boule blanche fixe puis oscillant de droite � gauche r�guli�rement avec des changements de couleur rose et vert. Le ph�nom�ne d�crit est vraisemblablement l'observation d'un projecteur laser publicitaire fr�quemment utilis� par les discoth�ques.";"Observation vraisemblable d'un projecteur de discoth�que";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1994-10-01375
1605;"NATIONAL (975) 28.10.1994";Occitanie;OCC;"(R) R�gion";1994;10;28;"Le 28 octobre 1994 en fin d'apr�s-midi, dans le Gard et l'H�rault des t�moins aper�oivent un ph�nom�ne lumineux stationnaire. Pour certains t�moins �quip�s d'un appareil photo avec un zoom, l'objet a une forme particuli�re donn�e par des points lumineux. Au centre une lumi�re moins vive peut se distinguer. Les t�moins verront ensuite l'objet se scinder en deux. L'observation se termine par la disparition du ph�nom�ne lumineux � tr�s grande vitesse.Aucune photo n'a �t� prise.
Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observations d'un ph�nom�ne lumineux stationnaire dans le ciel puis disparition � grande vitesse.";O;3;;;;;;;;2012-01-17;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-10-01376
1606;"SELESTAT (67) 30.10.1994";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";1994;10;30;"Le 30 octobre 1994 vers 01h45, un couple en voiture observe un cercle lumineux tournant sur lui-m�me et sur la p�riph�rie duquel se trouvent des lumi�res r�guli�rement dispos�es. L'altitude suppos�e du ph�nom�ne est de 5 � 6 m�tres et le ph�nom�ne est stationnaire au-dessus de la voiture. La voiture sort rapidement de la ville mais retrouve le ph�nom�ne devant le v�hicule un peu plus loin : un triangle avec le m�me type de lumi�re sur le pourtour est venu s'ajouter au cercle. Le triangle est �quilat�ral de 10 m�tres de c�t� environ et � une altitude de 10 � 15 m�tres. Le ph�nom�ne a accompagn� le v�hicule qui roulait � 80 km/h environ en s'adaptant � la vitesse et cela sur plusieurs km. Lors d'un changement de direction l'objet a acc�l�r� et s'est �loign�, les t�moins ont alors pr�cis� qu'il avait la forme d'un boomerang. Dans le m�me cr�neau horaire, et sur la m�me route, un autre couple dans une autre voiture d�crit le ph�nom�ne avec une similtude de termes tout � fait surprenante et d�crit les m�mes �volutions par rapport au v�hicule. Ce ph�nom�ne n'a pas pu �tre expliqu�.";"observation d'un ovni semblant suivre les t�moins";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1994-10-01377
1607;"(DPT) NOUVELLE-CALEDONIE (988) 28.10.1994";Nouvelle-Cal�donie;988;"(D) D�partement";1994;10;28;"Le 28 octobre 1994 � 18 heures 57, le pilote d'un avion DORNIER 228 signale, alors qu'il stable � 10000 pieds un trafic non identifi� qu'il d�crit comme une lumi�re intense avec une importante train�e jaune orange �voluant � tr�s grande vitesse pour passer au dessus de l'a�ronef dans une direction Ouest Est. Le copilote confirme le ph�nom�ne m�me si l'�valuation de la dur�e diff�re (12 secondes � 1 minute) Deux autres t�moins au sol signalent �galement le passage d'une lumi�re vive durant une dizaine de secondes. Le trafic a�rien �tait parfaitement connu et ne peut pas expliquer le ph�nom�ne. L'hypoth�se la plus probable est celle d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation depuis un avion et au sol d'une probable rentr�e atmosph�rique.";O;4;;;;;;;;2009-08-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1994-10-01692
1608;"LACAPELLE MARIVAL (46) 1994";Lot;46;"(D) D�partement";1994;11;04;"Le 04 novembre 1994 vers 21h45 et durant une quinzaine de minutes 7 t�moins observent un ensemble de lumi�res blanches tournoyant dans le ciel. Ces lumi�res sont rapidement identifi�es comme �tant un projecteur publicitaire install� sur une discoth�que voisine.";"Observation d'un projecteur publicitaire de discoth�que";O;7;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1994-11-01378
1609;"EAUZE (32) 1994";Gers;32;"(D) D�partement";1994;11;06;"Dans la nuit du 6 au 7 novembre 1994, une jeune fille observe dans le ciel un objet lumineux de forme ronde avec des lumi�res rouges et blanches. Ce ph�nom�ne est accompagn� de bruits sourds et r�p�t�s de fa�on r�guli�re. La grand-m�re est �galement t�moin du ph�nom�ne. La description du ph�nom�ne indique qu'il s'agit probablement d'un phare publicitaire de discoth�que, le bruit sourd �tant probablement la propagation des basses fr�quences de la sonorisation.";"Observation vraisemblable d'un phare de discoth�que";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1994-11-01379
1610;"BOURRIOT-BERGONCE (40) 10.11.1994";Landes;40;"(D) D�partement";1994;11;10;"Une personne t�moigne en 2010 d'une observation faite alors qu'il �tait enfant le 10 novembre 1994 apr�s 20h. Passager arri�re d'un v�hicule circulant sur une route de campagne, il observe en direction de l'Est et � travers les c�mes des arbres d'une for�t, le passage d'une lumi�re verte intense puis d'un point lumineux situ� juste � c�t�. Cet objet change soudain de trajectoire apr�s une importante acc�l�ration et dispara�t en direction du Nord. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
L'observation fait d'abord penser � un ph�nom�ne de type bolide (rentr�e de d�bris spatial ou m�t�oro�de) la couleur vert et la vitesse sont conformes. Ensuite, le changement de direction est tout � fait surprenant : on peut imaginer un deuxi�me bolide ou �toile filante d�marrant fortuitement � la fin du ph�nom�ne pr�c�dent. Etant donn� le type de ph�nom�ne et l'anciennet� du cas, une enqu�te a posteriori n'apporterait pas d'�l�ment nouveau.
Le GEIPAN n'ayant pas d'�l�ment factuel pour confirmer cette hypoth�se hasardeuse, ce cas est class� ""C"" : Ph�nom�ne non identifiable : le GEIPAN n'a pas assez d'�l�ments pour porter un avis solide.";"Observation du d�placement d'une forte lumi�re verte et d'un point lumineux changeant soudainement de trajectoire : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2012-08-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;"1994-11-02570 "
4502;"PLERIN (22) 29.12.1994";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1994;12;29;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� PLERIN (22) 29.12.1994 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Ce cas �tait constitu� de diff�rentes observations faites entre le 28 et le 31 d�cembre 1994 en soir�e ou en d�but de journ�e dans les Cotes-d'Armor : 4 t�moins (T1, T2,T3,T4) rapportent en gendarmerie leurs observations qui seront toutes consign�es dans le m�me proc�s-verbal. La note d'enqu�te ci-jointe d�taille toutes les observations et tous les ph�nom�nes observ�s.
L'ensemble des observations est peu consistant avec des descriptions peu pr�cises.
Le r�examen conduit � distinguer 3 ph�nom�nes distincts :
- PAN 1 observ� par T1 et T2 le 29 d�cembre 1994 entre 19h00 et 19h30.
- PAN 2,3,4 vus par T3 les 29, 30 et le 31 d�cembre entre 6H et 6H45 (avec T4 le 31 d�cembre).
- PAN 5 vu par T3 et T4 le 31 d�cembre et PAN 6 par T4 le 28 d�cembre.
Le PAN1 pr�sente toutes les caract�ristiques de l'observation d'un orage. Les lueurs composant le PAN sont en effet compar�es � un ou des �clairs : � on aurait dit comme des explosions mais � des kilom�tres l'une de l'autre et toujours une � la fois �, � il y avait dans le ciel des esp�ces d'�clairs �, � ces �clairs �taient plats et tr�s longs. Je ne peux vous dire la taille de ces �clairs �, � on aurait dit comme des flashs mais beaucoup plus gros �, � un nouvel �clair est apparu �, � lorsque je vous dit avoir vu des �clairs, il y en un seul qui semblait se d�placer �.
L'hypoth�se de la m�prise avec un orage est renforc�e par le fait que le PAN est vu vers la mer. Cette direction est d'ailleurs confirm�e par les t�moins : � j'ai roul� un petit moment vers la mer �, � j'ai encore vu une vive lumi�re bleue, immense, en direction de BINIC peut-�tre au-dessus de la mer �. Or, la pr�sence d'un orage en mer, visible depuis la c�te, est av�r�e par l'enqu�te de gendarmerie en d�but de soir�e du 29 d�cembre 1994, c'est-�-dire � un horaire coh�rent avec celui de l'observation.
En cons�quence, le GEIPAN conclut pour le PAN 1 : B observation probable d'un orage.
Les PAN n�2, 3 et 4 pr�sentent des caract�ristiques tr�s similaires. Ce sont des lumi�res blanches vives, aux m�mes horaires trois jours cons�cutifs, observ�es sur de longues dur�es (plus de 40 minutes pour les PAN n�3 et 4), sans mouvement et dans la m�me direction d'un jour sur l'autre. Ces donn�es sont tout � fait caract�ristiques d'une m�prise astronomique. Une reconstitution montre la pr�sence de plan�te V�nus (tr�s forte magnitude -4,24), en direction SE (~130�) et � une dizaine de degr�s de hauteur dans le ciel.
L'hypoth�se d'une m�prise avec V�nus est renforc�e par le fait que les PAN sont vus selon une hauteur angulaire faible, au travers d'une fen�tre (celle de la cuisine de T3 et T4) orient�e en SE.
En cons�quence, GEIPAN conclut pour les PAN 2,3 et 4 : B observation probable de V�nus.
Les descriptions des PAN n�5 et 6, sont trop impr�cises (faible dur�e, peu d'information) et trop peu consistantes (non coh�rence des t�moignages) pour pouvoir �tre exploit�es : on peut ainsi imaginer des confusions avec des lueurs quelconques : phares de voiture, lueurs urbaines, dans un contexte �motionnel charg� par les observations pr�c�dentes.
En cons�quence, le GEIPAN conclut pour les PAN 5 et 6 : C Manque d'informations fiables.";"T�moignages multiples d'observations (entre le 28 et le 31/12/1994) ; Plusieurs observations le 29/12 entre 19h et 19h30 (par T1, T2 sur PV) de lumi�res blanche et bleu � basse altitude : observations probables de ph�nom�nes lumineux provenant d'un orage.";O;;;;;;;;;2017-12-11;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;B;B;1994-12-02367
1615;"GUENANGE (57) 12.01.1995";Moselle;57;"(D) D�partement";1995;01;12;"Le 12 janvier 1995, � 22h10, un t�moin observe depuis chez lui un grand ph�nom�ne lumineux semblant sortir du bois. Ce ph�nom�ne a �clair� le bois. Aucun bruit n'a �t� per�u, l'observation a dur� 2 � 3 minutes. Aucune autre information n'est disponible sur cette observation.";"Observation d'une grande lumi�re au dessus d'un bois";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1995-01-01383
1616;"SAINT-MARTIN (971) 06.02.1995";Guadeloupe;971;"(D) D�partement";1995;02;06;"Le 6 f�vrier 1995 � 19h20 un t�moin � pied observe la trajectoire d'un point lumineux qui devient de plus en plus incandescent avant de dispara�tre en se s�parant en deux points rouges. L'observation du t�moin est vraisemblablement celle d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1995-02-01384
1617;"PARIS (75) 22.02.1995";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1995;02;22;"Le 22 f�vrier 1995 vers 6h 20 un t�moin observe un point clignotant tr�s lumineux se d�pla�ant avec une acc�l�ration fulgurante et accompagn�e d'un d�part en chandelle. Aucune autre information n'est disponible.";"Observation d'un point lumineux tr�s brillant avec un d�part en chandelle fulgurant.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1995-02-01385
1618;"LEVERNOIS (21) 22.02.1995";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";1995;02;22;"Dans les publications du GEIPAN, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� BEAUNE (21) 22.02.1995 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 22 f�vrier 1995 apr�s 22h30, trois membres de la m�me famille (deux adultes et une enfant de 12 ans) sont intrigu�s par un PAN au-dessus de leur domicile. Les t�moins qui regardent � travers une lucarne d�crivent un objet comme une �toile, lumineux blanc. Tous les t�moignages ne sont pas unanimes sur le d�placement du PAN. L'observation dure deux � trois minutes.
Les t�moins ont probablement observ� un passage de la station spatiale MIR, visible dans le ciel � la date et � l'heure de l'observation (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Cette conclusion s'appuie sur les points suivants :
- la description par les t�moins de la forme, de la couleur et de la taille du PAN, d�crit comme une grosse �toile blanche et lumineuse, est tout � fait compatible ;
- la vitesse d�crite comme assez lente par T1, correspond bien avec la vitesse apparente de MIR ;
- concernant la direction du d�placement, nous avons pu montrer que la station MIR, pr�sente dans le ciel ce soir-l�, se d�pla�ait bien vers le sud-sud-est. (La mention d'immobilit� par T3 pourrait peut-�tre s'expliquer par la bri�vet� du d�but de son observation, mais surtout, il existe une contradiction entre T3 et les gendarmes qui affirment que T3 a bien vu le PAN se d�placer) ;
- la dur�e d'observation est majoritairement donn�e par les t�moins comme �tant courte, et n'exc�dant en tous les cas pas trois minutes, ce qui correspond parfaitement avec la dur�e du passage de la station MIR. (La mention par T2 d'une dur�e de 15 minutes concerne probablement la phase ultime suivant la disparition du ph�nom�ne, le t�moin ayant continu� � observer peut-�tre dans l'espoir de revoir le PAN) ;
- la mention par T2 du � repositionnement � un peu plus loin du PAN sans observation de mouvement est tout � fait compatible avec ce qu'il est possible d'observer pour certains satellites, donc la luminosit� peut fluctuer de mani�re importante et rapide, jusqu'� donner l'impression d'une extinction suivi d'un � rallumage � plus loin.
La mention d'immobilit� � d'environ 30 secondes � par T2 n�cessite quelques suppositions sp�cifiques pour rester compatible avec l'hypoth�se.
- Surestimation de dur�e ou confusion entre les p�riodes d'extinction et les p�riodes d'allumage du PAN ou confusion avec un objet proche semblable (�toile) pendant les dur�es d'extinction du PAN. La non mention par les autres t�moins de cette immobilit� par s�quences est un �l�ment plaidant pour ce type d'erreur et confusion de T2.
Le caract�re limitatif de ces derni�res explications affecte la probabilit� de l'hypoth�se MIR sans pour autant l'invalider compte-tenu de la force des autres points en faveur.
La consistance de ce cas est m�diocre :
- en termes d'information, il subsiste de nombreuses donn�es tr�s impr�cises voire contradictoires entre les t�moignages. Nous pouvons aussi regretter l'absence de relev�s angulaires (dimension, hauteur sur l'horizon) ainsi que d'une chronologie des faits pour chaque t�moin qui soit pr�cise et d�taill�e ;
- les contradictions portent atteinte � la perception de la fiabilit� des t�moignages, surtout dans un contexte o� le premier t�moin enfant (T3), sensibilis� � la notion d'ovni (par un cours � l'�cole le jour m�me) et recherchant un ovni ce soir-l�, a pu induire chez ses parents (T1 et T2) en les alertant un fort climat d'�tranget� pouvant alt�rer leur sens de l'observation ou leur esprit critique.
Le niveau de consistance reste suffisant pour appuyer l'hypoth�se MIR compte-tenu de la bonne probabilit� que l'on peut donner � cette derni�re. Face � une �tranget� finale plus grande (absence d'hypoth�se ou moindre probabilit� de l'hypoth�se MIR), cette consistance aurait �t� insuffisante pour conclure et le cas aurait �t� class� C (inexploitable) et en aucun cas maintenu en D (inexpliqu�).
Voir La m�thodologie de classification du GEIPAN.
Le cas est class� en � B � : observation probable de la station spatiale MIR.
";"Observation par une famille du d�placement d'une lumi�re blanche vive dans le ciel sur une trajectoire rectiligne : observation probable de la station spatiale Mir.";O;3;3;;;;;;;2018-11-28;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.60;;0.36;0.00;B;B;1995-02-01652
1619;"SAINT-GEORGES-DE-DIDONNE (17) --.03.1995";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";1995;03;--;"Le 15 mas 1995 vers 22h30, un t�moin observe durant quelques secondes une formation de points lumineux se d�pla�ant en ligne droite dans le ciel. Aucune autre information n'est disponible.";"Observation du passage d'une formation de points lumineux dans le ciel";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1995-03-01386
1621;"SAINT-SYLVAIN-D'ANJOU (49) 24.04.1995";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";1995;04;24;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� PELLOUAILLES-LES-VIGNES (49) 24.04.1995 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Ce cas concerne l'observation le 24 avril 1995 vers 21h30 d'un PAN par trois t�moins dans un lieu-dit de la commune de SAINT-SYLVAIN-D'ANJOU (49). Les t�moins sont � l'ext�rieur quand ils remarquent dans un champ non cultiv� la pr�sence d'un PAN. Ils d�crivent une grosse masse de forme ovale, de couleur gris � b�ton �, stationnaire dans un champ entre 10 et 15 m�tres de haut. Aucun bruit n'est entendu notamment lorsque le PAN se d�place et dispara�t � vitesse tr�s rapide en direction du NE. Un point lumineux rouge est aper�u durant l'observation de courte dur�e. Les t�moins se rendent imm�diatement dans le champ sur le lieu pr�sum� de la pr�sence du PAN mais ne constatent rien de particulier. La Gendarmerie contact�e proc�dera � l'audition des t�moins et la presse publiera un article le lendemain de l'observation (article non joint au PV).
L'apparence diffuse du PAN dans une premi�re phase, puis plus nette, compacte et color�e en fin d'observation, ainsi que le comportement constitu� d'une phase d'immobilit� puis d'une phase de d�placement rapide, accr�ditent l'hypoth�se d'une confusion avec l'impact sur la couche nuageuse basse d'un projecteur mobile de discoth�que (voir le compte-rendu d'enqu�te). Cet impact aurait �t� observ� par les t�moins tout d'abord loin de sa source d'origine, puis, le projecteur �tant orient� plus verticalement en fin d'observation, plus loin des t�moins mais plus pr�s de cette source. Ceci explique, lorsque le tir se rapproche de la verticale, la r�duction de taille, la forme moins �cras�e, la luminosit� plus forte, la couleur plus nette (celle de la source).
Ces projecteurs de type � laser � (aussi appel� commun�ment par l'anglicisme � skytracker �) sont tr�s utilis�s � des fins publicitaires, souvent par les discoth�ques dans les ann�es 80 et 90. Le GEIPAN a enregistr� de nombreuses observations issues de m�prises caus�es par ces installations. (voir www.geipan.fr et recherche de cas avec mot clef � laser �). D'ailleurs, dans le proc�s-verbal, les gendarmes rapportent qu'un article de presse publi� le lendemain de l'observation laissant supposer qu'un � essai d'�clairage laser aurait �t� r�alis� par une discoth�que � la m�me heure que l'observation �. Cela n'a pu �tre confirm�, car l'article de presse n'a pas �t� fourni par les gendarmes et le propri�taire de la discoth�que ne s'est jamais pr�sent� chez les gendarmes, malgr� plusieurs convocations.
Les trois t�moins ont mentionn� un point lumineux rouge, plus petit que la forme principale et accompagnant cette derni�re. En 1995, les lasers rouges existaient d�j�, quoiqu'avec une puissance, et donc une port�e, plus limit�es qu'aujourd'hui. Les skytracer de 90 ne sont pas des lasers, mais des projecteurs de lumi�re classique. La technologie laser permet des faisceaux plus fins et plus lumineux. Cela pourrait expliquer la tache (ponctuelle) d'impact d'un laser essay� ce jour-l� et coupl� au projeteur classique. Mais rien ne permet d'�tayer une telle explication. Il y a l� un �l�ment d'�tranget� r�siduelle car cela n'a jamais �t� observ� dans les t�moignages laser du GEIPAN.
La consistance du cas est m�diocre. Il manque des donn�es importantes telles que des relev�s d'angles d'azimuts et �l�vation des PAN, ainsi que de taille angulaire. Les t�moins n'ont pas fourni de croquis du PAN, pourtant demand�s par les gendarmes lors des auditions, ce qui alt�re quelque peu l'�valuation de la fiabilit� des t�moignages.
Une enqu�te sur place, � l'�poque, aurait permis de pr�ciser de nombreux points, outre ceux mentionn�s ci-dessus, et �ventuellement de conforter ou �liminer l'hypoth�se de l'essai en discoth�que, si le g�rant de la discoth�que suspect�e d'�tre � l'origine de la confusion avait pu �tre auditionn� ou visit� � l'�poque.
Nous disposons d'une hypoth�se plausible en raison de l'aspect g�n�ral et d'une explication potentielle quant � la discoth�que d'origine. N�anmoins, le point rouge not� par les t�moins constitue un point singulier pour cette hypoth�se et conf�re un certain niveau d'�tranget� r�siduel. En regard de cela la consistance est m�diocre et trop faible pour valider une hypoth�se avec une telle �tranget� r�sultante, et encore plus faible pour donner un caract�re inexpliqu� si l'hypoth�se ne devait pas �tre retenue du tout. Il n'est pas possible de conclure.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C : manque d'information fiable.
";"Observations d'une masse sombre stationnaire au-dessus d'un champ et de son d�part et de sa disparition rapide dans le ciel : manque d'information.";O;3;3;;1;;;;;2019-02-04;;;0.45;0.00;;;0.60;;0.60;;0.36;0.00;C;C;1995-04-01389
1622;"CONQUES-SUR-ORBIEL (11) 30.04.1995";Aude;11;"(D) D�partement";1995;05;30;"Le 30 avril 1995 vers 3h30, un t�moin ainsi que son �pouse observent une masse lumineuse brillante avec de nombreux points brillants se d�pla�ant dans le ciel.
L'enqu�te montrera rapidement qu'il s'agit vraisemblablement d'un projecteur de discoth�que ""Sky rose"" dont la lumi�re est visible � plusieurs kilom�tres selon la couverture nuageuse et les conditions atmosph�riques.";"Observation probable d'un projecteur de discoth�que";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1995-04-01390
1625;"THORONET (LE) (83) 14.05.1995";Var;83;"(D) D�partement";1995;05;14;"Ce cas d'observation, anciennement nomm� LORGUES (83) 14.05.1995, fait partie de cas class�s � D � par le SEPRA et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen (voir le document Notes d'enqu�te).
Le 14 mai 1995, un t�moin, seul en camping isol�, aper�oit entre les arbres mais proche de lui, un PAN lumineux, en forme d'uf, silencieux et stationnaire � environ 1 m�tre du sol. Le t�moin tente de prendre l'objet en photo mais l'appareil se bloque. Le PAN semble alors changer de volume et se d�placer vers le t�moin qui prend peur et s'enfuit pour appeler la gendarmerie. Il regagnera sa tente en leur pr�sence. Lors de l'enqu�te aucune trace au sol ou dans la v�g�tation ne sera remarqu�e par les gendarmes et aucun autre t�moignage ne sera recueilli. Aucun vol d'appareil militaire n'a eu lieu le soir de l'observation sur la zone concern�e.
Ce cas est peu consistant (t�moin unique et isol�), la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� du t�moin n'ont jamais �t� mises en doute. Cependant, l'impr�cision au niveau des horaires est un s�rieux handicap pour identifier formellement le PAN. Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (direction d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : la Lune.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (panique, fatigue, observation de nuit). Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� � C �, cas non identifiable par manque de donn�es, bien qu'une m�prise avec la Lune soit envisag�e.";"Observation d'un objet tr�s lumineux en forme d'uf, stationnaire et silencieux pr�s du sol : manque d'informations.";O;1;1;;1;;;;;2014-09-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1995-05-01392
1626;"FONTIES-D'AUDE (11) 2-.05.1995";Aude;11;"(D) D�partement";1995;05;2-;"Entre le 25 et le 28 mai 1995 vers 3h30, un couple observe au-dessus de leur maison un gros objet sombre pouvant faire penser � un h�licopt�re. Cet objet est stationnaire sans aucun bruit, ni fum�e, ni train�e. Au bout de quelques minutes, apr�s avoir �clair� cinq � six fois le sol avec des faisceaux lumineux, l'objet est parti � vitesse moyenne. Durant cette observation les chiens du t�moin sont entr�s se terrer dans la maison sans aboyer. Au bout d'une semaine environ, les chiens ont �t� pris de vomissements et de diarrh�es. L'�pouse du t�moin a ressenti des troubles de sant� alors que lui-m�me s'est senti tr�s fatigu�. Le t�moin constate �galement une certaine d�g�nescence de la v�g�tation � l'endroit o� elle a �t� �clair�e par les projecteurs. Il signale �galement l'hospitalisation subite d'un voisin. Effray�, il d�cide d'appeler la S�curit� Civile afin de savoir si un lien peut �tre �tabli entre le ph�nom�ne observ� et les effets constat�s sur lui-m�me, son �pouse, son voisin, ses chiens et ses plantes. L'enqu�te, si elle ne permet pas d'identifier l'objet observ�, ne permettra pas non plus d'�tablir le moindre lien entre l'observation de l'objet et les effets suppos�s. L'�tat de sant� des t�moins peut s'expliquer d'une part par le traitement suivi par l'�pouse du t�moin et d'autre part par les fortes chaleurs . L'hospitalisation du voisin n'est pas surprenante compte tenu de son �ge.De nombreuses plantes situ�es ailleurs que dans la zone suppos�e �tre sous l'influence de l'objet montrent des signes semblables de d�g�n�rescence . Le ph�nom�ne observ� n'en reste pas moins inexpliqu�.";"Observation d'un gros objet au-dessus d'une maison avec des effets suppos�s sur les t�moins, les animaux et les plantes.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1995-05-01393
1627;"VILLENEUVE-SUR-LOT (47) 29.05.1995";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";1995;05;29;"Le 29 mai 1995, vers 1h du matin, un couple dans une voiture observe une forme lumineuse ovo�de dans le ciel. Sous cette forme sortent des faisceaux et les t�moins ont l'impression d'�tre suivis. Malgr� les d�n�gations des t�moins la description du ph�nom�ne observ� fait fortement penser � un projecteur de discoth�que, les gendarmes de cette brigade recevant de nombreux t�moignages d'observation de ce type. Les effets produits par ce type d'appareils sont en effet vari�s en fonction des conditions m�t�orologiques et de la distance � laquelle ils sont observ�s.";"Observation d'une forme lumineuse dans le ciel";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1995-05-01394
1629;"[D996] de MOLOY (21) vers ECHALOT (21) 25.06.1995";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";1995;06;25;"Le 25 juin 1995 des gendarmes en surveillance de nuit observent, vers 23h45, le passage tr�s rapide d'une boule lumineuse tr�s brillante avant de dispara�tre. Les gendarmes ont probablement �t� t�moins d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1995-06-01395
1630;"SAINT-POL SUR TERNOISE (62) 1995";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";1995;07;01;"Dans la nuit du 31 mai au 1er juin 1995, deux t�moins observent des lumi�res, l'un pendant 2 � 3 secondes au volant de sa voiture, l'autre pendant une dizaine de minutes depuis son domicile. Les 2 t�moins indiquent que ces lumi�res se d�pla�ent sans bruit � vitesse �lev�e. Tr�s peu d'informations sur cette observation, ne permettant pas une analyse s�rieuse.";"Observation de plusieurs lumi�res se d�pla�ant rapidement";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1995-07-01396
1631;"VAIRES-SUR-MARNE (77) 24.07.1995";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";1995;07;24;"Le 24 juillet vers 22h30 un t�moin observe le passage d'une boule lumineuse tr�s brillante avec une train�e. L'observation est rest�e totalement silencieuse et a dur� environ 3 secondes. La description faite par le t�moin correspond � une probable rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'une probable rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1995-07-01397
1635;"MOUVAUX (59) 04.09.1995";Nord;59;"(D) D�partement";1995;09;04;"Le 4 septembre 1995 entre 23 heures et 2 heures du matin, un t�moin observe plusieurs points lumineux dans le ciel qui semblent grossir de taille. Le t�moin observe les d�placements de nombreux points lumineux dans le secteur de l'observation. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation de points lumineux dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2009-11-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1995-09-01398
1636;"PERIGUEUX (24) 1995";Dordogne;24;"(D) D�partement";1995;09;12;"Le 12 septembre 1995 vers 06h30, plusieurs t�moins ind�pendants observent un ensemble de lumi�res blanches tournant dans le ciel et semblant parfois suivre les v�hicules des t�moins. Le ph�nom�ne est rest� silencieux et il est observ� durant une dizaine de minutes. Bien que toutes les recherches dans ce sens soient rest�s vaines la description faite par les t�moins concordent avec celles faites en g�n�ral lors de l'observation de projecteurs laser publicitaires. Il est possible qu'� cette heure des essais aient pu �tre faits dans les environs.";"Observation de ph�nom�nes lumineux tournant dans le ciel";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1995-09-01399
1637;"DOMPIERRE LES ORMES (71) 1995";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";1995;09;25;"Le 25 septembre aux environs de 21 heures 2 t�moins observent depuis leur domicile 2 boules rouge-vert se d�pla�ant dans le ciel. L'une des boules se met de temps en temps � tourner autour de l'autre. Le ph�nom�ne est rest� silencieux, le diam�tre estim� de ces boules est de l'ordre de 4 ou 5 m�tres. L'enqu�te a permis de trouver un autre t�moin qui a t�moign� tardivement. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation de deux boules lumineuses rouge vert";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1995-09-01400
1638;"COULANGE SUR YONNE (89) 1995";Yonne;89;"(D) D�partement";1995;10;15;"Le 15 octobre 1995, vers 18h30 deux t�moins situ�s � deux endroits diff�rents observent durant quelques secondes une sph�re lumineuse avec une train�e et semblant chuter. Aucun bruit n'a �t� per�u de ce qui est probablement une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1995-10-01402
1639;"ETABLES-SUR-MER (22) 01.10.1995";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1995;10;01;"Le 1er octobre 1995 vers 2h45 un t�moin dans sa voiture observe un objet de forme cylindrique de couleur aluminium.Durant une minute Il observera une forte lumi�re orang�e venant d'un cylindre d'environ 1 m�tre de diam�tre . Aucun bruit n'a �t� remarqu�. Aucun autre �l�ment n'a pu �tre recueilli.";"Observation d'un cylindre lumineux";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1995-10-01659
1641;"CORGNAC-SUR-L'ISLE (24) 16.11.1995";Dordogne;24;"(D) D�partement";1995;11;16;"Le 16 novembre 1995, vers 17h45, un t�moin observe durant une dur�e fugitive de 2 � 3 secondes, une boule blanche tr�s lumineuse suivie d'un train�e rouge avant de dispara�tre. Cette observation est vraisemblablement celle d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1995-11-01403
1642;"ABBEVILLE (80) 1995";Somme;80;"(D) D�partement";1995;11;18;"Le 18 novembre 1995 vers 19heures, un t�moin observe de grands cercles lumineux tournant dans le ciel. Apr�s enqu�te il s'av�re qu'un garage Opel voisin a utilis� un projecteur laser publicitaire lors d'une campagne promotionnelle. Un essai, r�alis� � la demande des enqu�teurs, a confirm� l'observation signal�e par le t�moin.";"Observation d'un projecteur publicitaire";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1995-11-01404
1643;"TAISSY (51) 25.11.1995";Marne;51;"(D) D�partement";1995;11;25;"Le 25 novembre 1995 vers 20 heures 45 un t�moin circulant sur l'autoroute observe durant une vingtaine de kilom�tres une masse n�buleuse l�g�rement lumineuse au sein de laquelle se distinguent des rectangles align�s.
Aucune autre information n'a pu �tre collect�e. Le cas est class� C par manque d'information.";"Observation d'une masse n�buleuse lumineuse avec des carr�s align�s : manque d'information.";O;3;1;;;;;;;2017-12-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1995-11-01405
1644;"SUCY EN BRIE (94) 1995";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";1995;11;28;"le 28 novembre 1995 deux t�moins observent dans le ciel vers 6h 30 une couronne lumineuse blanche tournant sur elle-m�me en sens horaire. La veille deux policiers municipaux ont fait la m�me observation vers 23h. Le ph�nom�ne est silencieux. Cette couronne vient probablement d'un projecteur laser d'une discoth�que.";"Observation d'une couronne provenant vraisemblablement d'un laser d'une discoth�que";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1995-11-01406
1646;"LATRESNE (33) 28.11.1995";Gironde;33;"(D) D�partement";1995;11;28;"le 28 novembre 1995 vers 5h du matin un t�moin partant � son travail observe 8 sph�res lumineuses orang�es dispos�es en cercle. Ces sph�res se d�placent sans bruit et seront apper�ues par un autre t�moin malgr� l'�pais brouillard qui les entourent. Les deux t�moins pourront observer le ph�nom�ne durant 10 minutes environ avant de quitter les lieux pour aller � leur travail. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Observation de 8 sph�res lumineuses dispos�es en cercle , immobiles";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1995-11-01715
1647;"SAINT-GENIES-BELLEVUE (31) 01.12.1995";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1995;12;01;"Le 1er d�cembre 1995 vers 19h30, un t�moin observe depuis chez lui une boule lumineuse qui descend lentement au- dessus de son toit et qui, apr�s un bref, arr�t repart � vitesse lente. Le t�moignage du t�moin est motiv� par une �mission de radio sur les extra-terrestres demandant � tout t�moin de se manifester. Aucune autre information recueillie.";"Observation d'une boule lumineuse";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1995-12-01408
1650;"MAURON (56) 23.12.1995";Morbihan;56;"(D) D�partement";1995;12;23;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A,B,C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SAINT-GERMAIN EN LAYE (78) 1995 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le samedi 23 d�cembre 1995 vers 2 heures, un t�moin et son ami observent un objet �norme, rond en forme de soucoupe tournant lentement sur lui-m�me et faisant des allers-retours au-dessus d'une maison et qui se stabilise au-dessus d'un champ. Les t�moins observent des lumi�res tout autour. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. Le t�moin pris de peur rentre chez elle, regarde par une fen�tre mais l'objet aura disparu. Un seul t�moignage est recueilli.
Le PAN observ� par le t�moin n'est probablement qu'un laser de discoth�que locale, (aussi appel� par l'anglicisme � sky tracker �) projetant ses faisceaux sur la couche nuageuse basse (pr�sente ce jour-l�) ; voir le compte rendu d'enqu�te.
La description du ph�nom�ne : le t�moin �voque � une forme ronde, �norme �... � pas tr�s haut du sol �... � en-dessous de cet objet, nous pouvions distinguer des lumi�res tout autour, il tournait lentement sur lui-m�me, il faisait des all�es et venues et se trouvait au-dessus d'une maison puis ensuite il s'est rapproch� de moi et s'est stabilis� au-dessus d'un champ�... � il n'�mettait aucun bruit �.
Cette description est caract�ristique de l'apparence et du comportement d'un sky tracker, les lasers pouvant pivoter sur eux-m�mes, tourner de fa�on circulaire, se d�placer en faisant des va-et-vient, s'arr�ter. Les faisceaux laser ne sont pas toujours visibles. Cela d�pend de la teneur, dans l'atmosph�re entre le sol et la base des nuages, de particules en suspension, qui peuvent �tre des gouttelettes d'eau, de la poussi�re, du pollen, des polluants... Aucune information � ce sujet n'est disponible pour la p�riode des faits.
L'emplacement : le t�moin indique une maison situ�e dans un lieu-dit du Nord-Ouest de sa position comme faisant face au ph�nom�ne. Or, dans le prolongement de ce lieu-dit, � quelques degr�s pr�s et un peu plus loin se trouve une discoth�que � l'Arlequin �, susceptible d'avoir utilis� un sky tracker (lesquels existaient d�j� en 1995). L'existence de cette discoth�que est attest�e d�s 1993. L'observation se tient une nuit weekend, quand les discoth�ques sont les plus actives. Les conditions permettant la visualisation des impacts de faisceaux sont assez particuli�res, type d'atmosph�re, de nuages, d'�clairement ambiant. Une m�me discoth�que peut cr�er ses effets � des endroits distincts sur une r�gion de 10 � 20 km autour d'elle.
La base du GEIPAN www. Geipan.fr contient des cas similaires (faire une recherche de cas avec mots clefs Sky-Tracer, laser Sky Rose).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : Sky Rose.";"Observations des �volutions silencieuses d'un objet rond tournant sur lui-m�me et faisant des allers-retours : probable observation d'un sky-rose (animation laser).";O;1;;;;;;;;2017-12-08;0.30;;0.30;0.00;0.60;;0.60;0.60;0.60;0.40;0.40;0.00;B;B;1995-12-01411
1651;"MONTFERRIER-SUR-LEZ (34) 31.12.1995";H�rault;34;"(D) D�partement";1995;12;31;"Le 31 d�cembre 1995 vers 19h40, un t�moin circulant en voiture observe durant 2 � 3 secondes une boule lumineuse verte avec une train�e et se d�placant tr�s rapidement dans le ciel. La description faite par le t�moin indique qu'il s'agit probablement d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'une probable rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2012-07-25;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1995-12-01412
1652;"COUY (18) 09.01.1996";Cher;18;"(D) D�partement";1996;01;09;"Le 9 janvier 1996 vers 20 heures, plusieurs t�moins observent de grands cercles lumineux avec de nombreux points lumineux � l'int�rieur. Ces cercles tournent dans le ciel. L'enqu�te montrera que ce ph�nom�ne est d� � la r�flexion sur les nuages du projecteur d'un casino voisin.";"Observation du projecteur d'un casino";O;6;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1996-01-01667
1653;"[D15] de RESSONS-SUR-MATZ (60) vers THOUROTTE (60) --.--.1996";Oise;60;"(D) D�partement";1996;--;--;"T�moignage r�cent (2 septembre 2009) d'une observation ancienne (en 1996 � plus ou moins 2 ans pr�s, la date du jour et mois donn�e ici sont arbitraires car non indiqu� pr�cis�ment par le t�moin). Vers 19h, un automobiliste observe avec sa fille le d�placement � vitesse constante d'un halo blanc de 80cm sur 40cm. Le t�moin remarque une trajectoire particuli�re faites de segments rectilignes � une vitesse constante et � 1,5m du sol. Se d�pla�ant du Nord au Sud, l'objet effectue un brusque virage vers l'Ouest. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation qui dure une minute environ. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel, vu l'anciennet� toute enqu�te est difficile voir impossible.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux.";O;2;;;;;;;;2010-03-12;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1996-01-02421
1656;"EPERNAY (51) 1996";Marne;51;"(D) D�partement";1996;02;10;"Le 10 f�vrier 1996 vers 20 heures un t�moin, son �pouse et son fils observent un point tr�s brillant dans le ciel dont le diam�tre est nettement sup�rieur � une �toile. Un second point est �galement observ�. Le t�moin a film� son observation mais les informations sont trop minces pour analyser ce ph�nom�ne.";"Observation d'un point brillant dans le ciel";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1996-02-01658
1657;"REUNION (974) 1996";"La R�union";974;"(D) D�partement";1996;03;01;"Le 01 mars 1996, vers 19h30 4 t�moins obervent le d�placement d'un point tr�s brillant dans le ciel avec une train�e blanche faisant ressembler l'ensemble � un ""tube au n�on"". Le ph�nom�ne est silencieux et dure entre 1 et 3 minutes. Selon toute vraisemblance, il s'agit de la rentr�e atmosph�rique d'un m�t�orite ou d'un d�bris spatial.";"Observation vraisemblable d'une rentr�e atmosph�rique";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1996-03-01416
1658;"BIGNICOURT-SUR-MARNE (51) 09.03.1996";Marne;51;"(D) D�partement";1996;03;09;"Le 9 mars 1996 vers 21h20, un pilote priv� observe le d�placement durant 40 minutes d'une ou deux lumi�res blanches ainsi qu'une lumi�re verte et une rouge. Ces lumi�res �taient suivies d'une train�e lumineuse. Le t�moin a imm�diatement averti les gendarmes mais le ph�nom�ne avait disparu lorsqu'ils sont arriv�s vers 22h15. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation de lumi�res blanches en d�placement lent durant 40 mn";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1996-03-01417
1660;"ALLERY (80) 27.03.1996";Somme;80;"(D) D�partement";1996;03;27;"Le 27 mars 1996, un t�moin passionn� d'astronomie constate sur les photographies d'une com�te des traces noires dont il ne s'explique pas l'origine. Les photos sont assez peu exploitables et aucune conclusion ne peut �tre donn�e.";"Observation de traces sur des clich�s astronomiques";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1996-05-01422
1661;"CAISSARGUES (30) 08.04.1996";Gard;30;"(D) D�partement";1996;04;08;"Le 8 avril 1996, un t�moin en voiture observe durant quelques instants une boule de feu avec une train�e qui chutait vers le sol. Le ph�nom�ne �tait silencieux et la boule s'est �teinte subitement en devenant rouge sombre. Le description faite par le t�moin correspond � l'observation d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1996-04-01420
1662;"GAGNY (93) 20.04.1996";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";1996;04;20;"Le 20 avril 1996 vers 22h20 un t�moin observe depuis son appartement un objet volant de forme cylindrique avec au- dessous des lumi�res clignotantes. Le ph�nom�ne �tait silencieux et se d�pla�ait moins vite qu'un avion. Sa trajectoire rectiligne est ensuite devenue ascendante apr�s un demi tour. La dur�e totale de l'observation est de l'ordre de 10 minutes. Aucune autre information n'est disponible sur ce cas.";"Observation d'un objet cylindrique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1996-04-01421
1664;"VERDUN (55) 01.04.1996";Meuse;55;"(D) D�partement";1996;04;01;"Le 1er avril 1995 � 23h40 un t�moin observe en rentrant chez lui un point lumineux � l'horizon qui se d�place tr�s lentement. Cette observation va durer enviro 50 minutes. Le t�moin va filmer le ph�nom�ne qui pr�sente effectivement un point blanc tr�s lumineux. Il y a trop peu d'informations sur ce ph�nom�ne pour en tirer une conclusion.";"Observation d'un point lumineux tr�s brillant au-dessus de l'horizon";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1996-04-01669
1665;"GOURDON (06) 20.05.1996";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";1996;05;20;"Le 20 mai 1996 vers 23 h45, un t�moin est attir� par des aboiements de chiens. Il observe alors durant quelques dizaines de secondes des lueurs oranges qui se d�pla�ent doucement avec deux rampes de feux oranges et bleus. Aucun bruit n'a �t� d�tect�. Aucune autre information disponible.";"Observation de lueurs oranges dans le ciel";O;1;;;;;;;;2011-12-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1996-05-01424
1666;"LEVENS (06) 03.07.1996";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";1996;07;03;"Le 3 juillet 1996 juste avant minuit, un t�moin qui regardait le ciel observe le passage bref (15 s) et � grande vitesse d'un point brillant dans le ciel. Aucune autre information n'est disponible mais la description permet de privil�gier l'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique de faible ampleur.";"Observation du passage rapide d'un point lumineux";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1996-07-01425
1667;"NATIONAL (975) 01.08.1996";France;FR;"(N) National";1996;08;01;"Dans la soir�e du 1er ao�t 1996, de tr�s nombreux t�moins observent le passage tr�s rapide d'une boule blanche tr�s lumineuse avec une train�e jaune et verte. Le ph�nom�ne lumineux dure trente secondes environ. Il est d�crit dans les m�mes termes du Cantal jusqu'en Alsace. Les heures indiqu�es diff�rent un peu mais le ph�nom�ne semble s'�tre produit entre 21h30 et 21h45 avec un d�placement vers le Nord-Ouest.
Ce ph�nom�ne de grande ampleur, vu par de nombreux t�moins dans l'Est de la France est probablement une rentr�e atmosph�rique.";"Probables observations d'une rentr�e atmosph�rique.";O;64;;;;;;;;2017-02-28;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1996-08-01430
1668;"PERI (2A) 1996";Corse-du-Sud;2A;"(D) D�partement";1996;08;08;"Le 9 ao�t 1996, quatre t�moins observent entre 2h30 et 3h30 des lumi�res se d�pla�ant en cercle � grande vitesse. L'enqu�te ainsi que les t�moignages montreront qu'ils s'agit probablement de l'observation des effets d'un projecteur laser utilis� lors d'une f�te dans un village voisin.";"Observation probable d'un projecteur laser publicitaire";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1996-08-01431
1669;"THIL (10) 11.08.1996";Aube;10;"(D) D�partement";1996;08;11;"Le 11 ao�t 1996, entre 00h30 et 01h30 un t�moin et son �pouse observent un ph�nom�ne lumineux circulaire se d�pla�ant lentement de droite � gauche. Les t�moins ont observ� ce ph�nom�ne durant 45 minutes environ et sont all�s se coucher alors que le ph�nom�ne �tait toujours pr�sent. L'enqu�te montrera que la direction de l'observation correspond � celle d'une discoth�que utilisant un projecteur laser publicitaire. Le ph�nom�ne observ� �tait donc sans doute l'effet de ce projecteur sur les nuages.";"Observation probable d'un projecteur de discoth�que";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1996-08-01432
1670;"MARSEILLE (13) 31.08.1996";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1996;08;31;"Le 31 ao�t 1996 vers 22h15, un t�moin observe durant une heure plusieurs points lumineux qu'il n'identifie pas � des �toiles. Aucune autre information n'est disponible.";"Observation de plusieurs points lumineux dans le ciel";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1996-10-01437
1671;"MONT-DORE (63) 07.09.1996";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";1996;09;07;"Dans la nuit du 6 au 7 septembre 1996 un t�moin dans un �tablissement de cure observe vers 2 heures du matin une boule orange descendant lentement du ciel et survolant les arbres. Aucune autre information n'a �t� collect�e sur cette observation.";"Observation d'une boule orang�e survolant les arbres";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1996-09-01433
1672;"NANCRAS (17) 16.09.1996";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";1996;09;16;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� CORME ROYAL (17) 1996 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le 16 septembre 1996 aux alentours de 5 heures, un t�moin en voiture se rend � son travail. Sur son parcours (point d'observation 0), il remarque soudain un point assez volumineux et d'une vive luminosit�. Quelques kilometres plus loin (point d'observation 1), il remarque sur son cot� gauche un engin ovo�de stationnaire avec trois hublots carr�s d�gageant une forte lumi�re orang�e. Le t�moin poursuit sa route et aux abords de Saintes (point d'observation 2), il observe dans le ciel deux formes identiques � sa deuxi�me observation. Un seul t�moignage est recueilli.
La toute premi�re partie de l'observation (point d'observation 0), que le t�moin d�crit ainsi : � j'ai d'abord remarqu� un point assez volumineux dans le ciel, qui d�gageait une vive luminosit�, alors que je circulais en direction de Nancras. J'ai �t� intrigu� par sa forte brillance et par sa grosseur tout � fait inhabituelle �, le t�moin a probablement observ� la plan�te V�nus, se levant � l'est-nord-est, soit face � son sens de d�placement.
Les gendarmes �voquent dans le proc�s-verbal la pr�sence d'un relais hertzien pr�sentant trois lumi�res orange (le t�moin d�crit trois hublots), il existe aussi une autre antenne. Les deux sont visibles depuis le point d'observation 2, mais pas du point d'observation 1, alors que le t�moin semble revoir les m�mes caract�ristiques. Ce ne semble pas pouvoir �tre l'explication. Pour le point d'observation 1, il n'existe aucune hypoth�se explicative.
La description du PAN faite par le t�moin, son apparente immobilit� ne permettent pas d'�mettre une quelconque hypoth�se explicative.
D'un autre c�t�, les donn�es recueillies lors de l'audition du t�moin ne sont pas suffisantes en qualit� et fiabilit�. Une reconstitution sur place, de nuit, aurait permis de faire des mesures d'angles (position et largeur angulaire) d'interroger plus longuement et pr�cis�ment le t�moin et d'instruire plus en avant les hypoth�ses et peut �tre d'en mettre en place d'autres. Plus de 20 ans apr�s, il semble illusoire de relancer une telle enqu�te.
Au regard de la m�thodologie de la classification actuelle A/B/C/D1/D2, (voir les explications sur la m�thodologie de classification au GEIPAN), le pr�sent cas serait d'une �tranget� de niveau D1, mais sa consistance est trop faible pour valider le caract�re inexpliqu� de l'observation.
En cons�quence, le cas est class� en � C � comme manque d'informations fiables.";"Observations successives de ph�nom�nes lumineux lors d'un trajet en voiture au petit matin : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2017-11-23;;;0.60;0.00;;;0.70;;0.60;;0.40;0.00;C;C;1996-09-01434
1675;"ANGERS (49) 30.10.1996";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";1996;10;2-;"Le 20 octobre 2010 le GEIPAN re�oit le t�moignage d'une personne concernant une observation ancienne faite fin octobre 1996 � 21h (le t�moin ne pr�cisant pas la date exacte, la date du 30 octobre est donn�e arbitrairement).
Alors ag� de 11 ans, le t�moin accompagn� de sa m�re et de son petit fr�re est tout d'abord intrigu� par la vue de trois lumi�res stationnaires au-dessus des arbres d'une place � Angers. Le t�moin d�crit ensuite le ph�nom�ne comme un triangle avec un cercle noir au centre qui se d�place et disparait dans une acc�l�ration fulgurante. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation de 20 secondes. Le second t�moin (la m�re) se souvient d'une observation faite � l'automne 1996 vers 20h d'une lumi�re inhabituelle et d'un engin en d�placement qu'elle ne reconnait pas. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
La description de ce cas est trop impr�cise (date incompl�te) et trop ancienne pour que le GEIPAN puisse enqu�ter et a fortiori se prononcer sur ce cas, class� ""C"", par manque d'information.";"Temoignage r�cent d'une observation ancienne de lumi�res formant un triangle stationnaire puis en d�placement � vitesse variable dans le ciel : manque d'informations.";O;2;;;;;;;;2014-01-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1996-10-02832
1676;"MARCHIENNES (59) 1996";Nord;59;"(D) D�partement";1996;11;05;"Le 5 novembre 1996, deux t�moins observent le passage tr�s rapide d'un ph�nom�ne lumineux cylindrique avec une train�e importante. Aucun bruit n'a �t� entendu. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie. Il faut cependant noter que le lieu d'observation est proche de l'a�roport de Lille et que le ph�nom�ne observ� suivait la m�me route que les avions de ligne.";"Observation du passage tr�s rapide d'un objet lumineux avec une train�e importante";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.46;0.31;C;B;1996-11-01438
1678;"CANLY (60) 24.11.1996";Oise;60;"(D) D�partement";1996;11;24;"Le 24 novembre 1996 vers 16 heures, un t�moin observe des points et objets lumineux �voluant dans le ciel. Un autre t�moin contact� par le premier observera le ph�nom�ne en identifiant clairement l'�volution d'avions tr�s fr�quents dans la r�gion. Il s'agit donc d'une m�prise avion.";"Observation de l'�volution d'avions";O;1;;;;;;;;2017-02-28;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1996-12-01440
1679;"ILLKIRCH-GRAFFENSTADEN (67) 22.11.1996";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";1996;11;22;"Le 22 novembre 1996 vers 06 heures, un t�moin observe le passage tr�s rapide d'une boule lumineuse avec une train�e. Le ph�nom�ne d�crit est probablement une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1996-12-01441
1680;"FLAVIN (12) 12.09.1996";Aveyron;12;"(D) D�partement";1996;09;12;"Cas anciennement publi� sous le nom de Pont-De-Salars (12).
Le 12 septembre 1996 vers 20 heures, une m�re et sa fille en voiture � la sortie de Flavin (12) observent un objet qu'elles ne peuvent identifier. L'engin est compos� d'une jupe ovo�de et d'un cylindre surmont� d'un d�me (avec trois lumi�res) rouge vif. Sur le cylindre une lumi�re vert fluorescente tourne comme un gyrophare. L'objet, silencieux, est en sustentation � 4 m�tres du sol environ � une dizaine de m�tres de la route. Sa taille est compar�e � celle de deux voitures environ. L'objet s'�loigne au bout de quelques minutes en direction du Nord ou Nord-Ouest.
Le soir m�me apr�s l'observation un dessin est fait par chacune des t�moins et des notes sont prises. Le lendemain elles sont entendues en gendarmerie. L'observation a �t� estim�e � deux minutes environ. Un dessin assist� par ordinateur est r�alis� par un gendarme d'apr�s les renseignements des t�moins. L'enqu�te sur les lieux ne permettra pas de d�couvrir des traces ou indices. Le soir de l'observation le ciel �tait d�couvert et �toil� et il n'y avait pas de vent. Le traffic a�rien et les radars n'indiqueront aucun fait anormal. Des partouilles de surveillance au cours des jours suivants seront mises en place mais ne r�v�leront rien. Les recherches d'autres t�moignages � proximit� seront n�gatives. Aucun cas semblable ne sera relat� dans la presse �crite et t�l�vis�e.
De l'enqu�te effectu�e par la gendarmerie et de la description du ph�nom�ne par les t�moins, aucune explication coh�rente n'a pu �tre donn�e. Le ph�nom�ne reste inexpliqu�.";"Observations par deux t�moins d'un objet circulaire (jupe surmont�e d'un cylindre) avec des lumi�res de couleurs et un flash vert. Stationnaire pr�s du sol puis en d�placement silencieux ;disparition par �loignement du PAN : ph�nom�ne non identifi�.";O;2;;;;;;;;2016-12-07;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1997-11-01489
1682;"LOUHANS (71) 14.01.1997";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";1997;01;14;"Le 14 janvier 1997 vers 17 heures un t�moin faisant son footing explique avoir rencontr� un �tre ovo�de surmont� d'une t�te triangulaire. Cet �tre aurait fui � son approche en laissant �chapper un objet mou rouge�tre que le t�moin a ramass� et qui aurait dur�i dans sa poche. Le t�moin a pr�sent� ensuite cette pierre comme �tant un ""ftus d'extra terrestre"" L'enqu�te montrera rapidement qu'il s'agit d'une affabulation.";"Observation d'une �tre ovo�de. Canular";O;1;;;;;;;;2017-02-28;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1997-01-01443
1683;"SUD-OUEST 04.02.1997";France;FR;"(N) National";1997;02;04;"Le 4 f�vrier 1997 vers 18h20, une dizaine de t�moins r�partis dans plusieurs d�partement du Sud-Ouest de la France ont observ� durant quelques secondes le passage tr�s rapide d'une boule lumineuse en trajectoire descendante avec une train�e importante. Certains t�moins ont observ� une explosion en plusieurs morceaux de cette boule.
Il s'agit sans doute d'une rentr�e atmosph�rique, probablement celle d'une m�t�orite.";"Probables observations de la chute d'une m�t�orite.";O;11;;;;;;;;2012-01-17;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1997-02-01444
1684;"CHATEAUNEUF-LES-MARTIGUES (13) 13.02.1997";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1997;02;13;"Le 13 f�vrier 1997 un t�moin pilote d'avion et d'h�licopt�re, observe dans le ciel un trait lumineux de couleur ambre qui se d�place lentement. Le d�placement devient ensuite tr�s rapide et en zigzag et un second trait lumineux rejoint le premier. L'ensemble se d�place alors de concert. L'enqu�te n'a pas permis d'identifier le ph�nom�ne � un a�ronef ou � la r�flexion d'un projecteur laser. L'observation reste inexpliqu�e.";"Observation de traits lumineux en �volution";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1997-02-01447
1685;"VOUZIERS (08) 06.02.1997";Ardennes;08;"(D) D�partement";1997;02;06;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � D � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te.
Ce cas d'observation anciennement nomm� VOUZIERS (08) 1997 fait partie de cas class�s �D � par le SEPRA.
Le 19 f�vrier 1997, le journal L'Union publie dans ses colonnes un article relatant l'observation d'un PAN par un habitant de VOUZIERS (08) quelques jours plus t�t. La lecture de cet article interpelle la brigade de gendarmerie locale. Le t�moin est entendu le 21 f�vrier. Il rapporte qu'alors qu'il est au volant de son fourgon il voit de fa�on discontinue dans le le ciel le d�placement d'une boule lumineuse orang� d'Ouest en Est. Fen�tre ouverte aucun bruit n'est entendu. L'enqu�te men�e sur place les jours suivants n'a pas permis de trouver d'autres t�moins ni aucun renseignement concernant l'observation de ce PAN.
Ce cas est peu consistant :
- un seul t�moin, incoh�rences entre les t�moignages faits au journaliste et aux gendarmes.
- manque de pr�cision ou de coh�rence sur les positions dans le ciel du PAN, sur la dur�e, sur la date.
Il est permis (par recoupement) de lever une partie des incoh�rences ou impr�cisions. Ce que l'on arrive � reconstituer de l'observation lui donne beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur, trajectoire) avec un objet astronautique parfaitement connu : la station spatiale Mir. De plus, Mir effectuait bien des passages dans le ciel le soir � la p�riode de l'observation, et ce dans des conditions conformes � ce que l'on peut reconstituer de l'observation.
Mais l'hypoth�se MIR correspondrait � une observation, non pas le 6 f�vrier mais le 5 ou le 7 f�vrier, ce qui resterait coh�rent avec le t�moignage puisque ce dernier laisse un doute sur la date exacte : le t�moin parle dans l'article de presse du � jeudi 6 f�vrier �, alors que dans le PV de gendarmerie, il parle du � mardi 06 f�vrier 1997 �. Le 6 f�vrier 1997 �tait en fait un jeudi. Le 6 f�vrier, la station �tait visible dans les conditions de l'observation mais 45 mn plus tard que l'heure t�moign�e de l'observation. On peut penser que l'erreur du t�moin porterait plut�t sur le jour que sur l'heure, sans toutefois pouvoir exclure l'inverse. On note que le t�moignage a �t� fait 15 jours apr�s l'observation.
Au total, l'observation du PAN pr�sente de nombreuses ressemblances avec la visibilit� de la station Mir � cette p�riode. N�anmoins, les impr�cisions ou incoh�rences du t�moignage (date, direction de d�part du PAN, position exacte du t�moin) emp�chent d'identifier formellement ce cas comme une m�prise avec la station Mir. A l'oppos�, cette m�me inconsistance ne permet pas de donner un caract�re inexpliqu� � cette observation.
Selon que l'on admet ou non l'erreur de date, on peut retenir :
- qu'il s'agit d'une observation de MIR le 6 f�vrier (mais selon une probabilit� � peine sup�rieure � 0,5) et la conclusion serait PAN B observation MIR.
- ou que l'on ne sait pas ce que le t�moin a vu sans que l'on dispose d'�l�ments consistants pour faire une recherche ou accr�diter une observation �trange et la conclusion serait PAN C manque d'information fiable.
Le GEIPAN choisit la deuxi�me option et classe le cas en PAN C : manque d'information fiable.";"Observation du d�placement silencieux d'une boule lumineuse orang�e dans le ciel : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2017-07-11;0.35;;0.35;0.00;0.70;;0.70;0.50;0.50;0.35;0.35;0.00;C;B-;1997-02-01670
1686;"MONTPELLIER (34) 1997";Occitanie;OCC;"(R) R�gion";1997;02;--;"Le 17 mars 1997 vers 8h plusieurs t�moins et des �quipages d'avions observent le passage d'une fus�e de couleur verte dont la trajectoire descendante et les descriptions font penser � une rentr�e atmosph�rique ou la rentr�e d'un d�bris spatial. Le m�me jour mais vers 20 heures 30 un mara�cher observe un ph�nom�ne lumineux compos� de deux lumi�res blanches. Voulant �clairer ce ph�nom�ne avec sa lampe, le t�moin observe alors l'extinction des lumi�res blanches. Celles-ci sont remplac�es par une lumi�re braqu�e sur lui comme pour l'observer. Lorsque cette lumi�re s'�teint, les deux autres se rallument. Puis, s'inclinant sur le cot�, un objet prend un peu d'altitude et part � une vitesse fulgurante. L'ensemble de l'observation a dur� 5 � 7 minutes. Aucun bruit n'est remarqu�. Un autre t�moin signale � la m�me heure le passage relativement lent d'un ph�nom�ne lumineux allong� orang�. Pour cette nouvelle observation aucun des �quipages en vol dans le secteur � cette heure n'a remarqu� quoi que ce soit. Les deux observations ont fait d'objet d'un PV de synth�se commun.Ce second ph�nom�ne reste inexpliqu�.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux avec deux phares blancs";O;5;;;;;;;;2009-02-12;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1997-02-01446
1687;"LUNEL (34) 07.03.1997";H�rault;34;"(D) D�partement";1997;03;07;"Le 7 mars 1997 vers minuit, un t�moin observe une lumi�re vive formant un cercle rouge avec des centaines de projecteurs et se d�pla�ant rapidement. Le ph�nom�ne est rest� silencieux. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation d'une lumi�re vive rouge avec de nombreux points lumineux";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1997-03-01449
1688;"SAINT-VINCENT-DE-PAUL (40) 09.03.1997";Landes;40;"(D) D�partement";1997;03;09;"Le 9 mars 1997 entre 5 heures et 5 heures 30, un t�moin observe un objet zigzagant et de la grosseur d'un petit pois avec une train�e blanche. L'objet se stabilise ensuite. Aucune autre information disponible.";"Observation d'un objet de la taille d'un petit pois zig zaguant dans le ciel avec une train�e";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1997-03-01450
1689;"LANGUEDOC-ROUSSILLON (91) 17.03.1997";Occitanie;OCC;"(R) R�gion";1997;03;17;"Le 17 mars 1997 vers 9 heures plusieurs t�moins, dont un �quipage d'un vol TAT et un pilote en exercice de Mirage 2000 observent le passage tr�s rapide d'un ph�nom�ne lumineux descendant tr�s rapidement. Le ph�nom�ne est �galement observ� par trois t�moins dans les m�mes termes depuis deux villages des Pyr�n�es Orientales La description des t�moins correspond � l'observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;8;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1997-03-01454
1690;"FAY-AUX-LOGES (45) 24.03.1997";Loiret;45;"(D) D�partement";1997;03;24;"Le 24 mars 1997 vers 6 heures 30 un t�moin au volant de sa voiture observe un ph�nom�ne lumineux compos� de plusieurs rang�es superpos�es de feux sur une grande largeur, de l'ordre de 2 ou 300 m�tres. La vitesse du ph�nom�ne n'�tait pas tr�s grande, celui-ci se d�pla�ant sans bruit. L'altiture estim�e �tait de 2000 m�tres environ, le ph�nom�ne se trouvant � 4 kilom�tres environ du t�moin. Aucune explication n'a pu �tre apport�e � cette observation.";"Observation de plusieurs rang�es de lumi�res";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1997-05-01457
1691;"POUANCE (49) 11.03.1997";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";1997;03;11;"Le 11 mars 1997 vers 21h30 deux gendarmes en mission de surveillance observent la chute d'un objet incandescent. L'observation est tr�s br�ve (5 secondes) et silencieuse. La description faite montre qu'il s'agit probablement d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1997-03-01664
1692;"CHAMBERY (73) 10.04.1997";Savoie;73;"(D) D�partement";1997;04;10;"Dans la nuit du 10 au 11 avril 1997 un t�moin est r�veill� par une tr�s vive lueur blanche suivie d'un bruit de feu d'artifice. Se postant � la fen�tre, il constate que le toit de sa voiture, gar�e dans la cour de sa maison est en feu. Le t�moin appelle imm�diatement la police.
Sur place la police et les pompiers vont collecter des �chantillons. Le laboratoire de l'Universit� de Savoie qui examine les �chantillons identifie du basalte et indique qu'il s'agit vraisemblablement d'une m�t�orite.
Un sp�cialiste accouru sur les lieux le lendemain �met de forts doutes sur cette hypoth�se. De plus un responsable du laboratoire de min�ralogie du Mus�um d'histoire naturelle � Paris ayant pu examiner quelques d�bris, �carte �galement l'hypoth�se d'une chute de m�t�orite.
Le SEPRA alert� pourra recueillir trois �chantillons pour analyses aupr�s du Laboratoire de Bio-informatique de Tours (voir le document joint).
D'autres analyses ult�rieures men�es par le laboratoire central du CNRS � Solaize, d�montreront que les �chantillons comportent des composants (sodium, magn�sium, potassium, souffre et carbone) faisant g�n�ralement partie de la composition de fus�es marines ou terrestres (voir d�p�che de l'AFP du 29 avril 1997 adress�e au SEPRA) : ces derni�res analyses �cartent d�finitivement l'hypoth�se de la chute d'une m�t�orite.
Le GEIPAN classe ce cas A : incendie de v�hicule d� � une fus�e terrestre. Le propri�taire du v�hicule partiellement brul� a port� plainte � la police. Cependant la main courante n'a pas �t� adress�e au SEPRA.
Aujourd'hui sans t�moignage direct et sans acc�s au t�moin, le GEIPAN ne m�ne pas l'enqu�te. Nous publions n�anmoins ce cas parce qu'un travail important a �t� r�alis� et a permis d'aboutir. Ce cas indique aussi qu'un acc�s direct au t�moin aurait tr�s probablement permis de mieux canaliser et optimiser les efforts d'enqu�tes.";"Observation d'une tr�s vive lueur blanche dans le ciel accompagn�e d'un bruit de feu d'artifice et d'un incendie partiel d'une voiture : incendie d� � une fus�e terrestre.";O;1;;;;;;;;2017-02-07;;;0.05;0.00;;;0.94;;0.98;;0.92;0.00;A;A;1997-04-01755
1693;"NICE (06) 25.04.1997";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";1997;04;25;"T�moignage r�cent (28/05/2009) d'une observation ancienne ( 25/04/1997).
Un t�moin observe depuis son bureau le d�placement d'un gros point lumineux jaune irris�. L'observation dure 20 � 25 min. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne.
La description de ce point lumineux avan�ant lentement en ligne droite du Sud vers le Nord fait penser � un ballon � haute altitude. M�t�o-France nous rapporte ce jour l� ""Peu de vent et de secteur Sud Ouest"", ce qui n'est pas tout � fait compatible avec l'observation. Si c'est un ballon scientifique, on ne voit pas bien d'o� il pourrait venir (d'Italie � la rigueur?).
Bien que l'observation soit tr�s semblable � celle d'un ballon, le GEIPAN manque d'�l�ments pour conforter cette hypoth�se, ou l'infirmer. Etant donn� l'anciennet� du cas, et sa faible �tranget�, ce cas est class� ""C"" : manque d'informations.";"Observation du passage d'un point lumineux dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2012-08-24;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1997-04-02010
1694;"GAILLAC (81) 12.05.1997";Tarn;81;"(D) D�partement";1997;05;12;"Le 15 ou le 25 mai 1997 (date impr�cise) un t�moin observe pendant quelques secondes des ""traits"" lumineux avec une petite train�e � 2 endroits diff�rents. Aucune autre information disponible.";"Observation de traits lumineux";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1997-05-01660
1695;"MEILLERAYE DE BRETAGNE (44) 1997";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1997;05;03;"Le 3 mai 1997, vers 01 heure 30, un couple rentrant de leur travail observe un point plus lumineux que les �toiles dans le ciel. Ce point s'approchait � vitesse �lev�e et les t�moins ont pu observer une masse lumineuse importante et plut�t ronde qui est pass�e juste au-dessus du lotissement et a disparu vers le sud. Un bruit de d�placement d'air a �t� per�u au moment du passage du ph�nom�ne. La dur�e totale de l'observation est de l'ordre de 5 minutes. Aucune explication n'a pu �tre trouv�e � ce ph�nom�ne.";"Observation du passage rapide d'une forme lumineuse ronde";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;D;C;1997-05-01661
1696;"LILLE (59) 06.06.1997";Nord;59;"(D) D�partement";1997;06;06;"Le 6 juin 1997 vers 23 heures un t�moin dans son jardin observe une boule lumineuse statique d'une taille environ quatre fois inf�rieure � celle de la lune.Au bout de quelques minutes, une seconde boule est arriv�e � tr�s grande vitesse � c�t� de la premi�re et l'ensemble est parti � grande vitesse vers le Nord. Le t�moin a appel� son amie qui a pu observer le d�part des deux boules. La gendarmerie a semble t-il re�u d'autres appels sur ce ph�nom�ne qui n'a pas �t� expliqu�.";"Observation de deux boules lumineuses partant � grande vitesse";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1997-06-01458
1697;"BEZIERS (34) 21.06.1997";H�rault;34;"(D) D�partement";1997;06;21;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � D � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen. Celui-ci n'a pas pour but de diminuer ou augmenter telle ou telle cat�gorie de classement mais d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de ces cas r�examin�s.
Le 23 juin 2007, un habitant de BEZIERS (34) rapporte � la gendarmerie que son fils et sa belle-fille ont observ� longuement un PAN dans la nuit du 21 juin 1997 vers minuit.
Circulant sur la N609 � partir de B�ziers l'automobiliste et sa passag�re ont observ� durant 45 minutes un engin de forme ovo�de plat ; des lumi�res blanches non lumineuses rayonnent de l'appareil. Durant tout le trajet le PAN s'est positionn� au-dessus du v�hicule qu'il s'emblait suivre. D'apr�s la passag�re le PAN apparaissait et disparaissait r�guli�rement. Les t�moins n'ont entendu aucun bruit particulier. Le PAN se trouvait � environ 50 m�tres du sol. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne.
Les investigations men�es par la gendarmerie n'ont pas permis d'identifier un a�ronef pouvant correspondre � cette observation. De plus les deux t�moins directs, r�sidant dans les Alpes de Haute Provence (04), n'ont pu �tre entendus car ils avaient rejoint leur domicile au moment de l'enqu�te.
Dans la mesure o� les deux t�moins n'ont pu �tre entendus, il n'existe pas de t�moignage direct permettant de r�examiner le cas. Celui-ci n'est rapport� que par une tierce personne, qui n'a rien vu. La consistance de ce cas s'av�re donc tr�s faible puisque ce n'est pas un t�moignage direct.
Par cons�quence, dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas est class� comme PAN C, par manque d'information (absence totale de t�moignage direct).";"Tr�s longue observation d'un PAN ovoide et silencieux survolant � basse altitude une voiture ; t�moignage indirect : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2015-11-24;;;0.30;0.00;;;0.10;;0.50;;0.05;0.00;C;C;1997-06-01459
1701;"CHAPELLE-SAINT-FLORENT (LA) (49) 21.07.1997";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";1997;07;21;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� CHOLET (49) 1997 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 21 juillet 1997 entre 22h45 et 23h15, deux t�moins observent durant 3 ou 4 minutes, le passage SO-NE au-dessus de leur maison, d'un engin sombre avec des feux de couleur de part et d'autre et �mettant un bruit sourd.
Nous avons pu montrer au fil de l'analyse que les t�moins ont probablement observ�, dans des conditions difficiles (lors du cr�puscule et/ou de nuit) un petit avion de tourisme, se pr�parant � atterrir, feux d'atterrissage allum�s, apr�s un vol VFR/IMC de nuit, �ventuellement sur l'a�roport d'Ancenis (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le bruit per�u, semblable � celui d'un � petit avion � selon T1, ainsi que la dur�e totale d'observation cadre parfaitement avec l'hypoth�se.
La forme pr�cise de l'avion est difficile � discerner, sur fond de ciel d�j� tr�s sombre (voir la situation astronomique). Les t�moins d�crivent un objet circulaire, allong� dans sa longueur et d�pourvu d'aile, mais il s'agit l� tr�s certainement d'une illusion perceptive classique, le cerveau tentant de reconstituer inconsciemment une forme � solide � au PAN uniquement visible par ses lumi�res.
La disposition des feux, telle que les t�moins la d�crivent, est �galement tout � fait conforme � l'observation d'un a�ronef venant de face, l'observation d�butant alors qu'il se trouve suffisamment bas sur l'horizon pour que la perspective � �crase � la forme triangulaire d�finie par ces trois feux d'atterrissage (un � l'avant et les deux autres plus en arri�re) de fa�on � ce qu'ils apparaissent align�s horizontalement ou quasiment.
Les t�moignages divergent en revanche sur la couleur des feux, d�crits comme �tant blancs par T2 et rouges par T1. Mais T1 n'observe qu'en phase finale qui ne permet de voir les feux d'atterrissage que de travers aux faisceaux et sous une intensit� bien plus faible qui souvent peut �tre per�ue comme rouge�tre tout en conservant une dominante blanche. Une autre divergence est dans le fait qu'au moment o� T1 voit ces lumi�res rouges, T2 lui ne voit plus aucune lumi�re. Une explication, outre le d�faut de m�morisation de l'un des deux t�moins, pourrait �tre que la diff�rence d'acuit� visuelle ne permettant pas � T2 de distinguer (du moins au point de le retenir) ce que T1 voit encore.
Plus difficilement explicable est l'absence de visibilit� des feux anti-collision dans cette phase finale lorsque l'avion passe au-dessus (ou quasiment) des t�moins. Autant en d�but d'observation, ceux-ci peuvent �tre � noy�s � sous la forte luminosit� des feux d'atterrissage, autant, lorsque l'angle d'observation augmente au fur et � mesure de l'avanc�e de l'avion vers les t�moins, les feux anti-collisions devraient �tre visibles, n'�tant plus occult�s par les feux d'atterrissage qui eux sont moins visibles du fait de l'angle d'observation. S'agit-il d'une manuvre d�lib�r�e (et dangereuse) du pilote qui les aurait �teints dans des conditions m�t�orologiques ne s'y pr�tant pas ? La pr�sence attest�e de quelques nuages � 1500 m d'altitude pourrait cependant expliquer cette extinction, probablement temporaire, des feux anti-collision, dans le cadre d'un vol IMC de cet avion. Ceci est toutefois � nuancer tant il semble �tonnant que les t�moins n'aient � aucun moment mentionn� avoir observ� l'avion traverser un nuage, alors que la lune �tait pleine et qu'elle �tait � m�me de pouvoir �clairer ceux-ci, qui auraient d�s lors �t� visibles par contraste sur le fond de ciel sombre.
Ce dernier point ne para�t n�anmoins pas suffisant pour emp�cher de retenir l'hypoth�se, vu qu'il n'est pas sans une explication possible et vu l'importance des autres points en faveur de l'hypoth�se.
La consistance est moyenne. Nous disposons de deux t�moignages, dont l'un particuli�rement d�taill�, mais il manque des donn�es utiles � l'analyse, comme les mesures angulaires (dimensions du PAN, hauteurs sur l'horizon lors des diff�rentes phases, etc.). Surtout il y a des contradictions entre t�moins que l'enqu�te de gendarmerie n'a pas essay� de qualifier et quantifier.
La consistance est � peine � la hauteur de ce qui est n�cessaire pour valider l'hypoth�se avion avec son contenu d'�tranget� r�siduelle (l'hypoth�se avion doit �tre associ�e � des circonstances particuli�res a�ronautiques, atmosph�riques, ou de visibilit�).
Le cas est class� B � la limite du cas inexploitable par manque de consistance (niveau et fiabilit� de l'information).";"Observations du d�placement avec un bruit sourd d'un engin sombre avec feux survolant une maison : observations probables d'un avion.";O;2;2;;1;;;;;2018-07-31;;;0.40;0.00;;;0.70;;0.65;;0.45;0.00;B;B;1997-07-01464
1702;"SABLES-D'OLONNE (LES) (85) 04.07.1997";Vend�e;85;"(D) D�partement";1997;07;04;"Dans la nuit du 03 au 04 juillet 1997 � 4 heures, un t�moin � la barre de son voilier observe une lueur intense qui descend rapidement pendant 2 � 3 secondes, se stabilise quelques instants avant de repartir tr�s vite � l'horizontale pour dispara�tre en 2 ou 3 secondes environ. Le t�moin appelle ses deux co�quipiers qui dormaient pour leur faire part de son observation lorsqu'ils sont t�moins d'un second ph�nom�ne en forme de losange jaune ocre avec des lumi�res sur les sommets. L'objet se d�pla�ait tr�s rapidement � la hauteur des nuages et a disparu au bout de 10 � 15 secondes. Les ph�nom�nes observ�s n'ont pas �t� expliqu�s.";"Observation de deux ph�nom�nes lumineux successifs par l'�quipage d'un voilier";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1997-08-01465
1704;"VILLIERS-LE-MORHIER (28) 04.08.1997";Eure-et-Loir;28;"(D) D�partement";1997;08;04;"Le 4 ao�t 1997 vers 22 heures un t�moin en train de d�ner observe une lumi�re jaune se d�pla�ant au-dessus des arbres. Cette lumi�re formait trois arcs de cercle. Aucune autre information n'est disponible.";"Observation du passage de lumi�re au dessus des arbres";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1997-08-01466
1705;"CHAMALIERES (63) 09.08.1997";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";1997;08;09;"Le 9 ao�t 1997 vers 22h40, un t�moin qui observe le ciel avec son neveu est intrigu� par le passage d'un point lumineux tr�s brillant qui se d�place lentement. La dur�e de l'observation est de l'ordre de 30 � 40 secondes. L'observation est silencieuse. Nous ne disposons que de peu d'informations mais nous pouvons supposer que le t�moin a probablement vu le passage d'un a�ronef ou d'un satellite.";"Observation du passage lent d'un point lumineux";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1997-08-01467
1706;"REUNION (LA) (974) 15.08.1997";"La R�union";974;"(D) D�partement";1997;08;15;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation fait partie de cas class�s � D � et pr�c�demment nomm� SAINT-ANDRE (974) 1997.
Le 15 aout 1997 vers 5h du matin un marchand ambulant (T1) faisant sa tourn�e sur la commune de Saint-Andr� observe un objet lumineux stationnaire � une quarantaine de m�tres du sol. Il constate par la suite que le ph�nom�ne le suit et prend peur. Arriv� � Bras-Panon, il r�veille sa sur (T2) et sa famille et tous constatent la pr�sence du PAN. Depuis cette date, le T2 dit observer r�guli�rement le PAN lorsqu'il fait beau mais beaucoup plus loin.
T1 ne donne pas d'information sur la position du PAN, celle-ci ne peut �tre d�duite que de la d�claration de T2. Le ph�nom�ne d�crit porte des indices forts en faveur d'une observation d'un objet astronomique, en effet :
- pour T1, on note les traits du ""du PAN suiveur"" (illusion perceptive d�e au propre d�placement du t�moin, lorsque l'origine du PAN est tr�s loin, cas d'un astre). En effet, le PAN semble s'arr�ter quand le t�moin est stationn�, et reprendre sa course quand il red�marre. Cette perception est g�n�ratrice de forte �motion (avec peut �tre l'id�e ou hypoth�se d'avoir � faire � une � intelligence �).
- Pour T2, on note que le PAN est plusieurs jours au m�me endroit dans le ciel � la m�me heure.
Ce qui est d�crit, comporte aussi des �tranget�s qui pourraient en apparence s'opposer � l'hypoth�se d'un astre :
T1 per�oit le PAN (au moins au d�part de son observation) selon une forme ""presque comme une tortue"", ""avec des phares"". La perception qu'en a T2 est diff�rente et moins �trange: ""mon fr�re est venu me faire r�veiller vers cinq heures cinq heures trente, et il nous a dit regarde dans le ciel, il y a une grosse lumi�re. Il nous a dit qu'il l'avait vu de pr�s, que cela �tait pass� au-dessus de sa t�te. Il avait tr�s peur lorsqu'il est arriv� � la maison. Mon mari mon fils et moi avons regard� dans la direction qu'il nous montrait, (Salazie) et nous avons observ� tr�s longtemps, une lumi�re tr�s �tincelante, parfois elle se d�pla�ait sur la droite, parfois sur la gauche, la lumi�re parfois �tait tr�s forte et parfois elle faiblissait"". Pour autant, T1 est bien certain que T2 et sa famille observent le PAN puisqu'il dit : ""Je leur ai racont� ce que je venais de voir, et ils sont sortis dehors avec moi accompagn�s de leur fils �g� de dix-sept ans pour observer l'objet. Tous l'ont vu, il ne bougeait pas de place, la forme c'�tait un peu difficile � discerner, mais les deux phares se voyaient tr�s bien. Nous sommes rest�s � l'observer jusqu'� cinq heures cinquante, heure � laquelle je suis parti pour poursuivre ma tourn�e. L'engin n'a jamais boug� de place. Le reste de la famille est rest� � observer jusqu'� la disparition de l'appareil, ils m'ont dit qu'il aurait plong� d'un seul coup derri�re une falaise qui sont nombreuses dans la zone de Salazie.""
Pour T2, ce qui distingue le PAN d'une �toile est ceci "" c'est bien trop gros, en regardant, il y a comme des rayons autour"", plus �ventuellement le fait du d�placement d�crit ci-dessus. Mais T2 pr�cise aussi ceci : ""Depuis cette date, la chose myst�rieuse est toujours l�, lorsqu'il y a beau temps. Vers les dix-huit trente quand la nuit tombe, on voit le ph�nom�ne brillant. Il est toujours au m�me endroit, et on observe des petites lumi�res color�es (rouge, vert, orange) qui semblent quitter la boule ou provenir de cette direction et partir en direction de la mer et apr�s on ne voit plus. On voit cette chose tr�s haut dans le ciel et on ne peut pas distinguer exactement ce que c'est. Lorsque T1 est venu nous r�veiller, on a regard� le ph�nom�ne, il se trouvait � la m�me hauteur que l'on voit les autres jours. Je ne pourrais pas le dessiner, je pense qu'avec des jumelles on aurait plus de chance de mieux voir et de distinguer de quelle nature l'objet est fait"".
Ce que d�crit T2, comme pr�sent tous les jours � 18H30 et disparaissant ensuite, est comme le PAN de 5H (""la chose myst�rieuse est toujours l�"") et donc situ� vers l'Ouest (T2 d�crit le PAN de 5H ""dans la direction de Salazie"" qui est vers l'Ouest en Azimut 250� depuis le lieu de T2). Il s'agit sans �quivoque de V�nus, qui devient effectivement visible � 18H30 bas sur l'horizon pour se coucher ensuite. La m�prise de T2 avec V�nus est assez classique (voir site www.geipan.fr recherche de cas avec mot clef Venus), souvent provoqu�e, comme ici, par la forte luminosit� et les couleurs changeantes (travers�e par les rayons lumineux de l'atmosph�re � basse �l�vation). Le PAN vu par T2 et T1 � 5H le 15 Aout est d�crit par T2 comme pr�sent le soir � 18H30. Et effectivement, � 5H au m�me endroit dans le ciel que V�nus � 18H30, il y a Jupiter (� peine 20� d'�cart entre les deux astres, �l�vation proche vers 20 �) et Jupiter brille plus que toutes les �toiles, presque autant que V�nus (magnitude -2,8 contre magnitude -3,9) et peut pr�senter les m�mes aspects de lueurs changeantes (Voir le document de reconstitution).
Le PAN vu par T1 et T2 � 5H est donc en toute certitude Jupiter.
L'autre �tranget� particuli�re d�crite par T2, de l�gers mouvements du PAN, est un ph�nom�ne de perception bien connu dit d'autocin�tique (voir l'article sur l'effet autocin�tique). L'�tranget� forte d�crite par T1 (tortue avec phares) ne trouve pas d'explication objective d�finitive, sans �tre de nature � remettre en question l'hypoth�se Jupiter vu la co�ncidence des autres �l�ments. T1 indique que lors de l'observation commune avec T2, la forme �tait difficile � discerner mais que ""les deux phares se voyaient tr�s bien"", alors que T2 ne d�crit qu'une lumi�re �tincelante dont la lueur �tait forte ou pouvait faiblir. Il y avait peut-�tre des voiles nuageux, � l'origine pour T2 de la variation de lueur et pour T1 d'une forme floue et variable (peut-�tre moins lors de la premi�re observation) autour de la lueur. La double lueur vue par T1 peut r�sulter d'une aberration optique provoqu�e par les verres de lunettes (on ne sait pas si le t�moin en portait), cette aberration est classiquement provoqu�e par les vitres et pare-brise de v�hicule, ce qui a pu op�rer dans la premi�re phase d'observation et fixer le souvenir aussi dans la deuxi�me phase, s'il ne s'agit pas des lunettes pour les deux phases. La forte peur de T1 (probablement li�e � l'illusion de la boule suiveuse) et d�crite par T2 (""il avait tr�s peur lorsqu'il est arriv� � la maison"") a pu alt�rer la qualit� de perception et activer des m�canismes d'interpr�tation (engin, phares).
Cette observation est int�ressante � plus d'un titre :
- l'�tranget� que peut cr�er l'observation d'un astre tr�s lumineux du fait des ph�nom�nes physiques ou humains qui peuvent se rajouter (�clatement des couleurs par l'atmosph�re, formes suscit�es par un voile nuageux, autocin�tique, illusion de la boule suiveuse,..).
- diff�rences de perceptions et d'�tranget� v�cue selon les t�moins pour une m�me observation.
- possible effet de contamination de l'�tranget�. Il est probable que T2 a trouv� plus �trange ce qui �tait vu tous les soirs � 18H30 apr�s l'alerte cr�e par son fr�re avec le PAN de 5h du matin.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A: observation de Jupiter.";"Observations de longue dur�e d'un ph�nom�ne lumineux semblant suivre un des t�moin sur son trajet en v�hicule : m�prise astronomique de Jupiter.";O;2;;;;;;;;2017-07-28;0.10;;0.10;0.00;0.60;;0.60;0.60;0.60;0.40;0.40;0.00;A;A;1997-08-01468
1707;"LORRAINE AOUT 1997";"Grand Est";GES;"(R) R�gion";1997;08;27;"Le 27 ao�t 1997 vers 4h45 plusieurs t�moins r�partis sur les d�partements de la Lorraine observent le passage tr�s rapide d'une boule verte traversant le ciel avec une train�e jaune orang�e. Le ph�nom�ne, silencieux dure 2 � 3 secondes. Les caract�ristiques de ces t�moignages sont conformes � l'observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1997-08-01469
1708;"FIRMINY (42) 1997";Loire;42;"(D) D�partement";1997;08;30;"Dans la nuit du 29 au 30 ao�t 1997, vers minuit, Plusieurs t�moins sont alert�s par le comportement anormal des animaux de la ferme. En se rendant sur place, ils observent une lueur blanche de forme arrondie, avec un cerceau ext�rieur et l'int�rieur serti de petits cercles lumineux, projetant des faisceaux lumineux en direction du sol. L'ensemble se d�pla�ait en tournant sur lui-m�me. A 2 heures, alors que les t�moins vont se coucher, le ph�nom�ne �tait toujours pr�sent. Bien qu'aucun �l�ment de l'enqu�te ne permet de le valider, il semble bien que cette observation soit le reflet sur les nuages d'un projecteur laser publiciataire pouvant fonctionner dans un rayon de 8 � 10 km.";"Observation de cercles de lumi�res tournant sur eux-m�mes provenant probablement d'un projecteur laser publicitaire";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1997-09-01473
1709;"PARIS (75) 24.08.1997";Paris;75;"(D) D�partement";1997;08;24;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� PARIS (75) 1997 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le dimanche 24 ao�t 1997 � 20h01 un t�moin observe et photographie deux PANS au-dessus de PARIS (75). Il contacte une revue scientifique laquelle lui conseille d'informer la DGAC. Cette derni�re prend attache avec l'�tat-major de la Gendarmerie des transports a�riens, qui prescrit au BGTA de Paris de diligenter une enqu�te. Le 04 septembre 1997, les enqu�teurs de la Gendarmerie se rendent au domicile du t�moin, afin de proc�der � son audition et de visualiser les neuf diapositives qu'il a pu faire faire aupr�s d'un laboratoire priv�. Huit de ces neuf diapositives sont ensuite confi�es successivement au laboratoire photographique central de la Gendarmerie, puis � l'institut de recherche criminelle de la Gendarmerie. Une audition compl�mentaire du t�moin est effectu�e par les gendarmes le 11 octobre 1997 afin de recueillir de plus amples informations. Le t�moin r�alise par ailleurs � ce moment-l� un croquis du PAN qui sera remis aux gendarmes. Enfin, une �tude est r�alis�e par le SEPRA au mois de mai 1998, suivie d'un �change de courriers et de fax entre le t�moin, le SEPRA et la soci�t� Fleximage ; cette derni�re recevant un r�cit d�taill� de l'observation par le t�moin en juin 1998.
Le cas a �t� ensuite class� en D par le SEPRA, du fait de la difficult� alors � d�m�ler et �lucider les diff�rents �l�ments d'�tranget� entre :
1) Ce qui est vu par le t�moin
2) Ce qui est sur les diapositives pr�sent�es aux gendarmes
3) ce qui se retrouve sur un nouveau tirage papier une fois les diapositives nettoy�es des r�sidus de produits de d�veloppement
4) Ce que le t�moin dit du Pan apr�s avoir pris connaissance de ce qui est sur le tirage papier.
Il est maintenant �tabli que :
Point 2) : le PAN vu par le t�moin n'est pas sur les diapositives pr�sent�es par les gendarmes. Ces derniers sont alert�s par un point sur les photos (forme de boomerang) qui s'av�re �tre un r�sidu de produit de d�veloppement.
Point 3) : un tirage papier issu d'une des diapositives nettoy�es contient de mani�re fortuite un artefact (car rien d'�quivalent n'existe sur la diapositive) selon une forme de penta�dre creux.
Point 4) : le tirage papier est pr�sent� au t�moin sans lui r�v�ler la nature artefact de l'objet. Le t�moin appel� � se prononcer sur cet objet ne fait pas le lien avec le PAN observ�. Pourtant par la suite le t�moin fait de nouveaux r�cits de son t�moignage o� le PAN initialement d�crit (et dessin�) comme semblable � � un papier gras emport� par le vent � avec des � angles d�chiquet�s � devient � Sa forme remarquable se d�coupant sur le fond bleu du ciel �tait extraordinaire : cinq c�t�s, un penta�dre �.
On sait donc que le PAN observ� par le t�moin n'est pas sur les diapositives et aussi que le t�moin est par la suite influenc� consciemment ou inconsciemment (ph�nom�ne de faux souvenirs) par ce qu'il a vu sur le tirage papier.
Point 1) : la non pr�sence sur la diapositive ne permet pas de mettre en doute la description initiale du t�moin. Mais aucune information n'est disponible (ou exploitable sans ambigu�t�) concernant les dimensions angulaires, la hauteur angulaire sur l'horizon du PAN. Par exemple � 5000m d'altitude � ne veut rien dire puisqu'un t�moin ne peut pas appr�cier la distance d'un objet inconnu. Les enqu�teurs, lors de leur d�placement chez le t�moin, se sont concentr�s sur le visionnage des diapositives sans mener davantage d'investigations (photographies des lieux de prise de vue, mesures angulaires depuis la fen�tre d'observation). N�anmoins, le peu d'information disponible est compatible avec l'observation d'un objet l�ger (d�bris, papier, ballon) emport� par le vent, car le vent (donn�es m�t�o) souffle dans le sens du d�placement observ� du PAN.
En conclusion, nous avons une s�rie de photographies exploitables, mais dont l'analyse minutieuse ne permet pas de mettre en �vidence la pr�sence d'un quelconque PAN, et nous n'avons pas d'information suffisante pour identifier le PAN d�crit par le t�moin. Pour autant ce qui est d�crit ne traduit pas une grande �tranget� car est compatible d'un objet l�ger emport� par le vent.
En cons�quence le GEIPAN reclasse le cas en �C� : T�moignage inexploitable par manque d'information fiable.
";"Observation de deux objets dans le ciel parisien : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2018-03-01;;;0.30;0.00;;;0.50;;0.50;;0.25;0.00;C;B-;1997-09-01474
1710;"LYON (69) 27.08.1997";Rh�ne;69;"(D) D�partement";1997;08;27;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� LYON (69) 1997 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 27 ao�t 1997, vers 21 heures 45 trois t�moins de retour de leur travail observent l'�volution d'un objet triangulaire (ou plut�t rond selon les t�moignages) qui se d�place silencieusement, � faible altitude et dans le plus grand silence. L'engin est �quip� de deux gros phares. En arrivant au-dessus des t�moins l'un des phares est braqu� quelques instants sur les t�moins. Deux silhouettes � l'int�rieur d'un habitacle vitr� sont aper�ues par un des t�moins.
La gendarmerie re�oit une lettre de T1 cosign�e de T2 et T3, et auditionne les 3 t�moins.
Il ressort du PV que:
- T1: le Pan est au-dessus de la zone d'�volution et de pose des h�licopt�res de l'h�pital. L'�tranget� pour T1 consiste dans le braquage momentan� du projecteur ou phare vers elle au sol, dans l'absence de bruit et dans la non vision de l'h�lice et du syst�me d'�chappement de gaz.
-T2 reprend les deux premiers �l�ments d'�tranget� de T1 mais a vu des lumi�res verte et rouge caract�ristiques des feux de navigation a�rienne.
- T3 ne pr�cise aucune �tranget� particuli�re (""je n'ai pas pr�t� une grande attention � ce ph�nom�ne et j'ai regagn� mon v�hicule"".
Cela se passe sur un lieu de pr�sence et atterrissage d'h�licopt�re. Tout ce qui est d�crit est compatible d'un vol h�licopt�re. Les t�moins sont pourtant a priori familiers des h�licopt�res car ils travaillent � l'h�pital.
L'absence de bruit a amen� le GEIPAN � l'�poque � ne pas retenir cette hypoth�se. Mais on a eu depuis bien d'autre cas o� les t�moins ne per�oivent pas le bruit d'un h�licopt�re � 100 ou 200 m�tres, tellement leur attention perceptive est monopolis�e par le visuel et ou par l'�motion. On sait bien s�r aussi que le bruit d�pend des conditions de vent. Voir sur www.geipan.fr les cas MESSINCOURT (08) 10.03.1994 ou [D417] de MUNSTER (68) vers COLMAR (68) 13.11.2015.
Ce qui a d�clench� l'�tranget� pour les t�moins, surtout pour T1 qui a pu influencer T2 (T3 semble non concern�) en criant � l'ovni, est le braquage du projecteur vers eux. Les h�licopt�res pointent pourtant assez souvent des projecteurs au sol.
Les autres �l�ments d'�tranget� report�e comme la non vision d'h�lices ou de syst�me d'�chappement de gaz ne sont pas � consid�rer vu les conditions nocturnes d'observation. Par contre les lumi�res vertes et rouge et la faible vitesse de d�placement consolident l'hypoth�se h�licopt�re.
L'ensemble des t�moignages est peu consistant. Il semble que T1 ait pu influencer T2 et T3 qui ne traduisent pas de la m�me perception d'�tranget�. C'est peu pr�cis et donne lieu � des incoh�rences (sur les lumi�res par exemple).
L'hypoth�se h�licopt�re ne laisse gu�re de doute, principalement en raison du lieu, des lumi�res verte et rouges, des r�f�rences � cette hypoth�se par les t�moins et de l'explication des ph�nom�nes d�clencheurs d'�tranget� (le projecteur braqu� et l'absence de bruit).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : h�licopt�re.
";"Observation du d�placement silencieux d'un objet volant � basse altitude et braquant un projecteur sur les t�moins : observation d'un h�licopt�re.";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.20;0.00;;;0.50;;0.70;;0.35;0.00;A;A;1997-10-01485
1711;"MAURENS (24) 27.08.1997";Dordogne;24;"(D) D�partement";1997;08;27;"Le 27 ao�t 1997 vers 23 h 00, un t�moin observe six boules lumineuses tournant dans le ciel. Au bout d'un moment cinq des sph�res disparaissent pour laisser place une une grosse sph�re laiteuse (3 fois le soleil couchant) qu'il observera durant une demie heure environ. Le t�moin appelle sa m�re qui observera seulement la grosse sph�re blanche. Bien que l'enqu�te ne l'ai pas d�montr�, l'observation d�crite fait penser aux effets produits sur les nuages par des projecteurs laser publicitaires.";"Observation de sph�res lumineuses tournant dans le ciel : probable effets laser.";O;2;2;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1997-08-01671
1712;"NIORT (79) --.08.1997";Deux-S�vres;79;"(D) D�partement";1997;08;--;"T�moignage r�cent (07/03/2013) d'une observation ancienne dont le t�moin ne se souvient pas du jour exact (une date arbitraire est donn�e). L'observation a eu lieu sur une route entre La Rochelle (17) et Niort (79) � l'entr�e de Niort puis � Echir� (79).
Un samedi soir aux alentours de minuit fin ao�t 1997, un automobiliste et ses passagers sont surpris de voir dans le ciel nuageux une masse blanch�tre ovale autour de laquelle tournoient des formes ovales plus petites. Aucun bruit particulier n'est entendu. L'observation durera plusieurs heures depuis diff�rents endroits notamment depuis le domicile du t�moin qui fera plusieurs photographies avec un appareil jetable. Le t�moin finira par aller se coucher. Toutes les photographies seront noires. Un seul t�moignage est recueilli � ce jour.
Ce cas d'observation de ""soucoupes tournoyantes"" dans un ciel nuageux un samedi soir durant une longue dur�e a toutes les caract�ristiques de skytracers, ces projecteurs utilis�s par les discoth�ques pour se signaler :
- forme assez typique (ensemble de masses ovo�des dispos�es en cercle ou ellipses).
- comportement typique (rotation continue autour d'un point central et d�placement d'ensemble par balayage lent ou rotation totale ou partielle, avec de possibles arr�ts. Un faisceau central autour duquel tournent divers projecteurs plus petits.
- ciel nuageux : support id�al pour les projecteurs qui y dessinent des formes plus ou moins arrondies selon l'angle d'incidence et le relief des nuages.
- et si il y a une absence de brume, ce qui est probable en cette saison d'�t�, les faisceaux montants restent invisibles.
- c'est un samedi soir (jour de fr�quence la plus �lev�e pour les sky tracers) et p�riode de vacances d'�t�, donc plus festive que d'ordinaire.
- la dur�e de plusieurs heures : les dancings allument les sky vers 22h, jusqu'au petit matin.
- les sky tracers �taient tr�s � la mode ces ann�es l�.
- pas de bruit entendu.
- couleur blanch�tre : la plus fr�quente pour les sky.
- grosse taille angulaire de l'ensemble.
- ph�nom�ne visible de plusieurs dizaines de kilom�tres et d�placements des halos sur plusieurs kms. Compatible avec le d�placement des t�moins.
- photographie rat�e : c'est assez normal car le ph�nom�ne est mobile et finalement pas tr�s lumineux ; il aurait fallu un appareil avec un gros objectif et une pellicule tr�s sensible pour pouvoir avoir une bonne image du ph�nom�ne.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation tr�s probable d'un ""skytracer"". L'impr�cision sur la date et l'anciennet� des faits ne permettent pas au GEIPAN de retrouver l'origine pr�cise de ce projecteur.
Voir :animation lumineuse et animation lumineuse";"Observation des �volutions de formes ovales blanch�tres dans le ciel nuageux : probable observation d'une animation lumineuse de skytracer.";O;1;;;;;;;;2014-06-17;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1997-08-08418
1713;"BILLOM (63) 1997";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";1997;09;11;"Le 11 septembre 1997 en soir�e ainsi que le lendemain des t�moins signalent un point lumineux scintillant dans le ciel.Le ph�nom�ne est silencieux, se d�pla�ant tr�s lentement dans le ciel et de la taille d'une �toile. Il produit un halo rouge et scintille de plusieurs couleurs. L'observation dure une heure et demie environ Cette observation est probablement celle de la course d'un astre.";"Observation probable d'un astre";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1997-09-01476
1714;"METZ (57) 07.09.1997";Moselle;57;"(D) D�partement";1997;09;04;"Le 7 septembre 1997, vers 2 heures, un couple qui regarde un feu d'artifice observe un ph�nom�ne lumineux stationnaire sur la droite du feu d'artifice. Simultan�ment dans une autre commune un autre couple fait la m�me observation. L'un des t�moin filme le ph�nom�ne qui semble se tenir tr�s proche � une dizaine de m�tres du sol.
L'enqu�te men�e conjointement par la gendarmerie et le SEPRA montrera sans ambiguit� que le ph�nom�ne observ� �tait la lune dans des conditions particuli�res (ciel nuageux et d�but d'�clipse).";"Observation de la Lune dans des conditions particuli�res";O;5;;;;;;;;2016-09-26;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1997-09-01477
1715;"BOUZONVILLE (57) 13.09.1997";Moselle;57;"(D) D�partement";1997;09;13;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � C � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s �C � en 1997 par le SEPRA.
Le 13 septembre 1997 � 22 heures, un t�moin observe, depuis son balcon, un point lumineux tr�s brillant � c�t� de la lune. Le t�moin filme son observation et constate que le PAN se d�pla�e tr�s vite et semble faire le tour de la Lune. Le t�moin constatera encore la pr�sence de ce ph�nom�ne � 22h30 toujours au m�me endroit. Aucune copie de l'enregistrement vid�o n'a �t� transmis au GEIPAN.
Ce cas est consistant (un seul t�moin, mais PAN film�), la description du PAN observ� est tr�s pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� du t�moin n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur, position) avec un objet astronomique parfaitement connu : la plan�te Jupiter. De plus, Jupiter �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e, � gauche de la Lune, alors que le t�moin n'en fait pas mention. Les d�placements all�gu�s du PAN peuvent parfaitement s'expliquer par les mouvements de la cam�ra.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (�tonnement, observation de nuit, interpr�tation d'une bande vid�o).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e � une m�prise avec la plan�te Jupiter.";"Observation d'un point lumineux � cot� de la Lune : m�prise avec la plan�te Jupiter.";O;1;;;;;;;;2013-12-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1997-09-01478
1716;"BOULOGNE-BILLANCOURT (92) 07.09.1997";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";1997;09;07;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� PARIS (75) 1997 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 7 septembre 1997 � 01 heures 43, un t�moin observe de son balcon une forme triangulaire de grande dimensions avec deux feux bleus et un vert qui avance lentement sur une trajectoire rectiligne. L'observation dure 12 secondes. Aucun bruit n'a �t� per�u mais le t�moin a ressenti des vibrations dans le corps, et lorsqu'il a voulu prendre une photo, son appareil s'est bloqu�. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Le t�moignage fait �tat de nombreuses �tranget�s qui prises telles quelles ont pu conduire le GEIPAN de l'�poque (SEPRA) � classer le cas comme inexpliqu�.
Ce nouvel examen ne permet pas de confirmer cette classification. En effet le t�moignage ne dispose pas d'une consistance suffisante, surtout en termes de fiabilit�, pour valider son caract�re �trange et devient de ce fait inexploitable.
Les �l�ments d'�tranget� (non explicables) sont forts et nombreux mais se pr�sentent avec des diff�rences et incoh�rences fortes selon leur support : le PV d'audition en gendarmerie le lendemain de l'observation, et la publication du t�moin faite 3 mois plus tard et remise par ce dernier � la gendarmerie.
Le t�moin est r�dacteur en chef d'une revue ""Etranget� et myst�res"" et publie son observation dans sa propre revue. On peut noter qu'il a donc un int�r�t pour sa revue � disposer de t�moignages amenant du myst�re. Mais nous nous pla�ons d'abord au niveau des incoh�rences entre les deux formulations de l'observation :
- d�clenchement de l'observation. Dans un cas (PV), le d�clenchement est visuel, le t�moin voit d'abord le triangle, le regarde aux jumelles, � l'appareil photo puis ressent les vibrations dans son corps et sur les baies vitr�es. Dans l'autre (publication) l'�trange d�marre par les vibrations, non des baies vitr�es, mais de nombreuses plantes du balcon avec des pr�cisions sur le synchronisme avec les vibrations dans son corps, puis il voit le triangle dans le ciel. Il est �tonnant que le t�moin ne sache pas exactement par quoi a d�marr� l'�trange comme il est �tonnant que ce qui est a priori le plus �trange (les vibrations autour en absence de bruit) porte sur des �l�ments aussi diff�rents (vitres, v�g�taux). Il est � noter que l'incoh�rence temporelle est d�j� pr�sente entre les deux auditions aupr�s des gendarmes (en gendarmerie et � domicile).
- dur�e: 12 secondes dans un cas et plus de 17 secondes dans l'autre o� il est cit� que cela a �t� mesur� avec un chronom�tre. Pourquoi le chronom�tre est cit� 3 mois plus tard pour produire une information diff�rente ?
- taille angulaire : le PAN est couvert par 3 doigts dans un cas, 4 dans l'autre.
- appareil photo: dans un cas, le t�moin fait part de l'impossibilit� pour l'appareil de fixer l'image et dit seulement (sans traduire aucune �tranget�) qu'il n'a pris aucun clich�. Mais 3 mois plus tard, c'est une v�ritable �tranget� : l'appareil refuse de prendre la photo quand il appuie sur le d�clencheur, m�me apr�s avoir bascul� en focus manuel.
Ce sont l� suffisamment d'�l�ments permettant de remettre en question la fiabilit� d'un t�moignage humain unique et sans trace de photo ou autres, alors qu'un tel niveau d'�tranget� relat� demande (m�thodologie GEIPAN) un tr�s bon niveau de fiabilit� pour pouvoir caract�riser l'observation comme non expliqu�e.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C: t�moignage non exploitable.
Le fait que le t�moin produise son t�moignage dans sa propre revue sur le myst�re et l'�trange, qu'il y fasse �tat de sa conviction sur la r�alit� de l'�trange et sur celle du complot visant � cacher cette r�alit� constitue aussi un �l�ment de plus pour remettre en cause la fiabilit� (bien que les incoh�rences constat�es soient d�j� suffisantes pour conclure sur la fiabilit�). En effet, le t�moignage du t�moin sert son activit� dans sa revue et les positions et convictions port�es par lui ou la revue.
";"Observation du passage tr�s lent d'un tr�s grand objet triangulaire : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.70;0.00;;;0.10;;0.50;;0.10;0.00;C;C;1997-09-01479
1717;"BOURG SAINT-MAURICE-CHAMBERY (73) 1997";Savoie;73;"(D) D�partement";1997;09;23;"Dans la nuit du 23 au 24 septembre 1997, deux t�moins ind�pendants observent le passage d'une lumi�re tr�s vive, de forme ovoide avec train�e. Le ph�nom�ne est tr�s rapide et dispara�t au bout de quelques secondes. Aucun bruit n'est d�tect�. Les caract�ristiques de l'observation conduisent � privil�gier l'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'une rentr�e atmosph�rique";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1997-09-01481
1718;"[D93] de VERCHENY (26) vers PONTAIX (26) 29.09.1997";Dr�me;26;"(D) D�partement";1997;09;29;"Le 29 septembre 1997 vers 12h15, un t�moin en voiture observe durant quelques instants une boule de feu avec train�e de fum�e noire. La description faite par le t�moin conduit � privil�gier l'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1997-09-01483
1719;"SAINT-GERVAIS (30) 09.09.1997";Gard;30;"(D) D�partement";1997;09;09;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et connu �galement sous le nom de BAGNOLS SUR CEZE 1997 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le mardi 09 septembre 1997 � 21h30 le t�moin situ� chemin des Malins � SAINT-GERVAIS (30) aper�oit une boule lumineuse qui s'�l�ve de la colline de Fontesqui�re, marque un temps d'arr�t, varie d'intensit� lumineuse avant de dispara�tre. Le jeudi 11 septembre � 21h30, le m�me t�moin situ� chemin des Abels � SAINT-GERVAIS (30) observe au-dessus du rocher de la Cazelle une boule qui s'�l�ve, marque un temps d'arr�t, prend une trajectoire horizontale vers l'Ouest et dispara�t. Une demi-heure plus tard soit � 22h, le t�moin (qui ne pr�cise pas sa position) observe de nouveau une boule dans les collines de Cristolle. Cette boule s'�l�ve du sol et dispara�t. Le t�moin d�crit pour chaque observation une boule lumineuse orange d'un diam�tre apparent de 8 � 10 centim�tres. Aucun autre t�moignage n'est recueilli. Aucune trace au sol ne sera relev�e. Les conditions atmosph�riques donn�es par la gendarmerie sont tr�s bonnes (nuit tr�s claire et �toil�e avec absence de vent). L'enqu�te de gendarmerie indique que la nuit du 09 septembre a �t� �clair�e par le feu d'artifice de la ville de BAGNOLS-SUR-CEZE cl�turant une f�te votive.
Le t�moin ne fait aucune distinction d'aspect du PAN entre ses trois observations (09 septembre � 22h, 11 septembre 21h30 et 22h).
Il est envisag� 4 hypoth�ses : ballon d'enfant �chapp�, ballon captif �chapp�, lanterne tha�landaise, a�ronefs (voir le compte-rendu d'enqu�te).
C'est la r�trodiffusion des lumi�res sol urbaines qui permettrait d'expliquer le caract�re lumineux de ces ballons. Le caract�re festif de ces ballons, surtout s'agissant d'un ballon captif de plusieurs m�tres de diam�tre n'est compatible qu'avec l'observation du 09 septembre (soir�e de cl�ture de la f�te votive). Cette hypoth�se de ballons ne peut pas convenir pour le 11 septembre, d'autant moins que les zones survol�es sont moins propices � un r�tro�clairage par le sol.
Les hypoth�ses � consid�rer sont donc :
- a�ronef ou lanterne le 11 septembre.
- a�ronef ou lanterne ou ballon enfant ou ballon captif le 09 septembre.
En consid�rant que le t�moin aurait fait part de distinction d'aspect s'ils les avaient per�ues lors des diff�rentes observations, il est estim� que la probabilit� qu'il n'ait not� aucune diff�rence d'aspects entre ces 4 hypoth�ses de nature aussi diff�rente (surtout si le type ballon n'est possible que la premi�re fois) est nulle.
Donc il s'agit de chercher une hypoth�se commune aux observations, entre lanterne et a�ronef.
Notons que si on devait se limiter � l'observation du 09 septembre, l'hypoth�se ballon d'enfant serait �limin�e aussi. La r�trodiffusion des lumi�res sol ne permet pas d'expliquer la perception de boule pour un ballon d'enfant vu d'aussi loin le 09 septembre. Cette difficult� d'explication est moindre pour un ballon captif �chapp� car plus gros, mais sa probabilit� de pr�sence est moindre pour le jour de f�te et bien moindre encore hors f�te.
L'hypoth�se a�ronef ne pourrait correspondre qu'� un avion l�ger ou militaire, ou � un h�licopt�re, pour �tre si bas et si pr�s, mais la lumi�re unique (et orange) n'est pas du tout compatible (non compatibilit� avec trajectoire du PAN, absence de feux anticollision) pour une seule des observations et encore moins pour les trois.
Le l�cher de lanternes tha�landaises para�t, en terme d'aspect et trajectoire, compatible des deux premi�res observations (09 et 11 septembre) et du peu connu de la derni�re du 11 septembre. La r�ticence sur l'hypoth�se porte principalement sur le fait que les lanternes tha�landaises �taient rares en France en 1997 et ne sont devenues populaires qu'� partir de 2005 ou 2007. Mais des touristes les ayant achet�es en voyage estival en Asie ont pu vouloir faire sensation avec, lors de la premi�re f�te se pr�sentant en retour de vacances. Le cot� pr�curseur et sensationnel dans cette pratique festive le 09 septembre aurait alors pu inciter � recommencer d�s le prochain soir favorable (le 11 septembre) pour le plaisir de l'initiateur et de quelques spectateurs d�j� impressionn�s ou all�ch�s par la d�couverte le 09 septembre.
- Au niveau de la consistance, le t�moin est unique mais fait une description assez pr�cise des lieux et trajectoires, sauf pour la troisi�me observation. S'agissant de 3 observations successives, il est � regretter que la gendarmerie n'ait pas fait d�crire explicitement chacune des 3 observations de mani�re � favoriser l'expression d'�ventuelles diff�rences de perception.
L'hypoth�se lanternes peut r�pondre aux descriptions, mais voit sa probabilit� entach�e par l'utilisation encore rare en 1997. La r�p�tition deux jours plus tard et hors soir�e de f�te conduit � un compl�ment d'hypoth�ses, certes envisageables (tentation de reprendre au plus t�t une telle exp�rience aussi novatrice), mais encore r�ductrice de probabilit�. Au final la consistance s'av�re trop marginale pour soutenir une telle hypoth�se quand bien m�me elle reste envisageable. Ces deux facteurs s'opposent aussi au maintien en cat�gorie PAN inexpliqu�.
En cons�quence le GEIPAN classe en C et conclut : manque d'informations fiables.";"Trois observations sur deux jours et dans des directions diff�rentes d'une boule lumineuse orange en d�placement et disparition : manque d'informations fiables. ";O;1;1;;1;;;;;2018-10-30;;;0.45;0.00;;;0.50;;0.70;;0.35;0.00;C;C;1997-09-01655
1720;"BOURTH (27) 10.10.1997";Eure;27;"(D) D�partement";1997;10;10;"Le 10 octobre 199 vers 21 heures 15, un couple observe depuis leur habitation un point lumineux dans le ciel. Apr�s avoir disparu quelques instants le point lumineux (diam�tre visible 3 � 4 mm) descend et grossit en s'approchant de la maison. Les t�moins distinguent alors deux rampes de 8 feux jaunes non �blouissants. Au passage au-dessus de la maison, les t�moins per�oivent un souffle sourd qu'ils ne sont pas en mesure d'identifier comme �tant le bruit d'un avion. L'enqu�te n'a pas permis d'identifier le ph�nom�ne.";"Observation du passage d'un objet lumineux au dessus de la maison des t�moins";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1997-10-01484
1721;"BISSEZEELE (59) 22.10.1997";Nord;59;"(D) D�partement";1997;10;22;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� WORMHOUT (59) 1997 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 22 octobre 1997 vers 8 heures 22, un t�moin, circulant en voiture pour ses visites m�dicales, observe dans le ciel une lueur rectangulaire lumineuse de couleur blanc jaun�tre. Apr�s avoir donn� les soins � une patiente, elles constatent toutes les deux que l'objet est toujours l� et s'est rapproch� de la maison. Le mari de la patiente, sans sortir dehors a �galement aper�u l'objet par la fen�tre.
Le t�moin reprend la route et constate un peu plus loin la pr�sence d'un second objet lumineux mais un peu plus gros. Les deux objets disparaissent � 08h40.
Cette observation a pu paraitre �trange du fait d'objets lumineux statiques et pourtant disparaissant observ�s par plusieurs personnes.
Le r�examen fait apparaitre un manque tr�s fort de consistance dans ces t�moignages :
- Seul T1 est t�moin spontan�. T2 a d�pos� devant les gendarmes rendus � son domicile. T2 dit que son mari a vu de l'int�rieur par la fen�tre mais sans se d�placer quand T1 et T2 �taient dehors pour regarder le PAN.
- Grandes incoh�rences entre t�moins : T1 dit �tre sortie trois fois du domicile de T2 pour regarder le PAN dont deux fois avec T2 (avant et apr�s les soins) quand T2 dit ne pas �tre ressortie apr�s les soins. T1 d�crit un objet rectangulaire sans changer de forme avant d'arriver chez T2 et lors de deux sorties et ensuite en forme de disque lors de la sortie N�3. T2 ne donne aucune indication de forme et ne se positionne qu'en regard des affirmations de T1 faites avant � je ne puis vous dire si c'est un objet ovale ou rectangulaire"". Le mari de T2 est cit� par T2 comme ayant vu l'objet se d�placer dans le ciel alors que T2 ne mentionne rien sur le mouvement et que T1 dit que l'objet �tait statique lors des deux premi�res sorties. T2 dit avoir vu l'objet disparaitre le PAN lors de sa sortie avec T1 alors que T1 ne l'a jamais vu disparaitre (il n'�tait plus l� ,ou plus au m�me endroit et avec la m�me forme, lors de la sortie 3).
- Peu d'information de position dans le ciel. On comprend qu'� 8H25 T1 et T2 observent ensemble le ciel dans la direction a priori EST ou Sud EST car il est mentionn� par T2 ""dans la direction de Esquelbec"" (qui est � 155�) et T1 indique un d�placement du Pan vers SE en phase finale d'observation.
On peut retenir que T2 ne s'associe pas � l'�tranget� per�ue par T1 et coop�re � minima � son t�moignage sous sollicitation des gendarmes.
T1 d�crit un PAN tr�s lumineux de couleur blanc et jaun�tre et T2 un objet qui brillait comme le soleil. � 8h25 le soleil est � l'Est (106�) et l�g�rement sous l'horizon (-1�). Il n'est pas encore visible mais peut vivement �clairer un nuage situ� � l'Est ou en Sud Est et isol� dans le ciel bleu du matin (T1 d�crit le Pan dans un ciel bleu). Cette hypoth�se de nuage peut expliquer la disparition du PAN entre les sorties 2 et 3 de T1 ainsi que la r�apparition (il peut aussi s'agir d'un autre nuage) sous une forme chang�e et en disque plus tard lors de la sortie 3. La perception finale de d�placement du PAN ovale peut �tre issue du propre d�placement en voiture de T1.
On peut �tablir avec une bonne probabilit� que c'est la forme parfaitement rectangulaire et la lueur forte du nuage qui ont tromp� T1. Concernant T2, il peut s'agir de cela comme d'une forme de complicit� minimale � l'�gard de T1. Dans l'�motion, T1 a entrain� T2 et son mari dans ce t�moignage qui n'aurait pas �t� fait spontan�ment. La m�me �motion a ensuite conduit T1 � reproduire sa m�prise avec ce nuage ou un autre � forme diff�rente.
Cet ensemble de t�moignages se situe � la fronti�re entre l'inexploitable du fait de la faible consistance et une explication probable (nuage). On adopte l'explication Nuage du fait de l'absence d'�l�ments pouvant s'y opposer.
Le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de nuage.
";"Observation de 2 objets lumineux dans le ciel matinal : probable observation de nuages.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.60;;0.35;0.00;B;B;1997-10-01486
1722;"CHAMP-DU-BOULT (14) 28.10.1997";Calvados;14;"(D) D�partement";1997;10;28;"Le 28 octobre 1997 des enfants r�cup�rent dans des ronces les restes d'un ballon sonde : une boule faites de deux parties emboitables en aluminium accroch�e � un parachute ainsi que des fragments de baudruche �galement r�cup�r�s aux alentours.";"R�cup�ration d'un ballon sonde.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1997-11-01487
1724;"VILLAMBLARD (24) 13.11.1997";Dordogne;24;"(D) D�partement";1997;11;13;"Le 13 novembre 1997 vers 19 heures 30 un t�moin observe durant quelques secondes un ph�nom�ne lumineux se d�pla�ant vers la terre � grande vitesse. Le ph�nom�ne est silencieux et de couleur orang�e. La description du t�moin laisse � penser que nous sommes en pr�sence d'une rentr�e atmosph�rique qui a d'ailleurs �t� observ�e par d'autres t�moins.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1997-11-01490
1727;"BRIENNE LE CHATEAU (10) 1997";Aube;10;"(D) D�partement";1997;12;11;"Le 11 d�cembre 1997 vers 23 heures, des flash lumineux silencieux sont observ�s par des militaires . Simultan�ment des coupures br�ves de courant sont observ�es. Ces coupures sont confirm�es par EDF du fait d'incident sur la ligne 33 kV desservant le secteur. Compte tenu de la simultan�it� des faits il est probable que les flash observ�s se soient produits sur la ligne 33kV au moment des incidents relev�s sur cette ligne.";"Observation de flash lumineux entrainant des coupures br�ves de courant";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1997-12-01493
1728;"CERGY (95) 1997";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";1997;12;27;"Le 27 d�cembre 1997 vers 7 heures 45 un automobiliste observe la chute � grande vitessse d'un objet en flamme. Le ph�nom�ne est silencieux et tr�s bref, environ 3 secondes. Il est de couleur bleue jaune. Un autre t�moin rapporte �galement la m�me observation. La description faite par les t�moins conduit � retenir l'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1997-12-01494
1729;"CANET (11) 14.12.1997";Aude;11;"(D) D�partement";1997;12;14;"Le 14 d�cembre 1997 vers 17 heures, un t�moin en voiture aper�oit un ph�nom�ne lumineux qu'il ne s'explique pas. Il a la pr�sence d'esprit de filmer le ph�nom�ne qui est probablement d'origine nuageux. Apr�s visionnage de la cassette celle-ci a �t� rendue � son propri�taire qui souhaitait en faire un usage commercial.";"Observation probable d'un ph�nom�ne nuageux";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1997-12-01495
1730;"MONTATAIRE (60) 06.01.1998";Oise;60;"(D) D�partement";1998;01;06;"Le 6 janvier 1998, un astronome amateur observe le ciel et filme avec son t�l�scope un point brillant semblant �voluer dans le ciel, ce que montre l'enregistrement. Aucune autre information disponible.";"Observation instrumentale d'un point lumineux dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1998-01-01496
1731;"SAINT-VIT (25) 1998";Doubs;25;"(D) D�partement";1998;01;17;"Le 17 janvier 1998 trois passagers d'une m�me voiture observent ""une carcasse brillante"" de 20 � 25 m�tres de diam�tre avec des rayures noires et plusieurs points lumineux ou feux jaunes et rouges. Cette observation est rapport�e par un article de presse mais les t�moins ne pourront �tre identifi�s et audit�s. Suite au premier article un quatri�me t�moin se manifeste pour rapporter un ph�nom�ne similaire le 21 janvier 1998 vers 18 heures 30. Alors qu'elle se trouvait � bord de sa voiture elle observe durant une vingtaine de secondes un disque lumineux de deux fois de la taille de la Lune. Ces diff�rents t�moignages sommaires et quelque peu contradictoires ne permettent pas d'analyser s�rieusement les ph�nom�nes observ�s.";"Observation � deux reprises d'objets non identifi�s";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1998-01-01497
1732;"LOUVATANGE (39) 06.02.1998";Jura;39;"(D) D�partement";1998;02;06;"Le 6 f�vrier 1998 vers 16 heures un homme en train de couper du bois observe d'un objet ressemblant � une fus�e se d�pla�ant dans le ciel avec un grondement sourd. Aucune autre information disponible.";"Observation d'un objet en forme de fus�e se d�pla�ant horizontalement.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1998-02-01498
1733;"MONTPELLIER (34) 08.02.1998";H�rault;34;"(D) D�partement";1998;02;08;"Le 08 f�vrier 1998 vers 15 heures, un t�moin rapporte avoir observ� un objet noir dans le ciel. L'enqu�te montrera rapidement que le t�moin a observ� le cerf volant utilis� le m�me jour par un photographe professionnel pour prendre des vues a�riennes. Une d�monstration est faite au t�moin qui confirmera que le cerf volant correspond bien a ce qu'il a observ�.";"Observation d'un objet noir volant dans le ciel : observation d'un cerf volant en vol.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1998-02-01499
1735;"[AERO ---] GRUISSAN (11) 23.04.1998";Aude;11;"(D) D�partement";1998;04;23;"Le 23 avril 1998 � 3 heures 38, le pilote d'un Boeing 727 en route vers Barcelone observe tr�s loin le passage de lumi�res bleues et vertes tr�s rapides qui disparaissent dans une explosion. Il s'agit probablement de la rentr�e atmosph�rique d'un d�bris spatial.";"Rentr�e probable d'un d�bris spatial";O;1;;;;;;;;2010-03-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1998-04-01501
1736;"BELIS (40) --.04.1998";Landes;40;"(D) D�partement";1998;04;--;"T�moignage r�cent (18/10/2013) d'une observation ancienne.
En Avril 1998 (le t�moin ne se souvient plus de la date exacte du jour ; date du jour arbitraire) vers 14h un t�moin devant sa maison de vacance est surprise par une ombre persistante au-desus d'elle. Levant la t�te, elle observe juste au-dessus de la maison un engin de forme ronde et noir qui avance lentement et sans bruit. L'engin se stabilise devant le t�moin � 3 ou 4 m�tres du sol, et le t�moin voit dans un cockpit deux hommes ""assez jeunes l'un derri�re l'autre, casques blancs simples sans visi�re"". L'engin repart au-dessus des arbres en direction de l'Ouest. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Ce t�moignage d'une observation rapproch�e, donc �trange, n'a �t� rapport� au GEIPAN que plus de 15 ans apr�s les faits, ce qui induit un risque notable de faux souvenirs, au moins partiels ; de plus la date pr�cise de l'observation n'est pas connue, emp�chant tout rapprochement avec d'autres cas similaires.
Par manque d'informations pr�cises, le GEIPAN classe ce cas ""C"".";"Observation proche du passage silencieux d'un engin sombre et rond ; pr�sence de deux hommes dans le cockpit : t�moignage r�cent d'une observation ancienne sans date du jour : manque d'information et de recoupements.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1998-04-08584
1737;"SECLIN (59) 18.06.1998";Nord;59;"(D) D�partement";1998;06;18;"Dans la nuit du 17 au 18 juin 1998, une femme dans sa salle de bain aper�oit � travers son v�lux trois lueurs blanches dans le ciel pendant une dizaine de minutes. Elle prend trois clich�s. Les clich�s sont inexploitables. Le ph�nom�ne ne peut �tre analys�.";"Observation de lueurs blanches � travers un velux";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1998-06-01502
1738;"[D17] de MONTPELLIER (34) vers SAINT-MATHIEU-DE-TREVIERS (34) 28.06.1998";H�rault;34;"(D) D�partement";1998;06;28;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site: www.cnes-geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Dans la nuit du 27 au 28 juin 1998 vers une heure du matin, un automobiliste est soudain victime d'une panne totale de son v�hicule (arr�t moteur, phares, radio). Il se gare sur le bas c�t� et aper�oit alors une lueur verte devant son v�hicule. Le t�moin descend et s'approche mais se sent comme paralys�. Il observe alors un objet conique stationnaire flottant au-dessus du sol et un �tre qui se dirige vers l'int�rieur de l'objet dot� de trois si�ges dont deux sont occup�s. L'objet d�colle ensuite rapidement � la verticale. Le t�moin reprenant son calme progressivement reprend son v�hicule. Le lendemain, le t�moin s'aper�oit qu'il a un trou de m�moire important concernant ce qu'il avait fait en partie la veille au soir. Il retourne sur les lieux accompagn� mais aucune trace n'est visible. Un seul t�moignage est enregistr�. La gendarmerie sur place n'a retrouv� aucune trace ou aucun indice.
Le pr�sent t�moignage est d'une extr�me �tranget� :
- engin conique sans ailes, flottant hors sol et d�collant � la verticale ;
- petits hommes � t�te ovale et quatre doigts entrant dans l'engin par une passerelle avant le d�collage.
Le cas a alors �t� class� D. Au regard de la m�thodologie actuelle du GEIPAN (voir La m�thodologie de classification du GEIPAN), ce classement n'est pas correct.
En effet, la consistance du t�moignage n'est pas suffisante pour valider un caract�re inexpliqu� ou inexplicable. En terme d'information, il aurait fallu ici un deuxi�me t�moin ind�pendant et/ou des traces indiscutables (photos ou trace au sol). La fiabilit� est aussi en cause puisque le t�moin ne se souvient pas de ce qu'il a fait les 4 heures pr�c�dant cette observation, on peut donc se demander si cette observation n'est pas le fruit d'un autre type d'alt�ration du souvenir.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas C : t�moignage inexploitable.
";"Observation par un automobiliste en panne d'un objet flottant � ras du sol et d�collant � la verticale avec trois ""�tres"" � l'int�rieur : manque d'informations fiables.";O;1;1;;2;;;;;2018-10-11;;;1.00;0.00;;;0.20;;0.50;;0.10;0.00;C;C;1998-06-01503
1739;"SAINT-MARTIN DES BESACES (14) 1998";Calvados;14;"(D) D�partement";1998;07;19;"Le 19 juillet 1998 vers 23 heures, plusieurs t�moins observent successivement trois lumi�res rouges qui montent dans le ciel avant de retomber doucement. L'un de ces ph�nom�nes aurait provoqu� un incendie. L'enqu�te montrera rapidement qu'il s'agissait de tirs de fus�es de d�tresse p�rim�es effectu�s par un particulier.";"Observation de tirs de fus�es de d�tresse";O;5;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1998-07-01504
1740;"CROISSANVILLE (14) 05.08.1998";Calvados;14;"(D) D�partement";1998;08;05;"Les 5 et 6 ao�t 1998 vers 22h30, une femme observe le passage d'une lumi�re blanche traversant le ciel. L'enqu�te montrera que la station MIR �tait parfaitement visible ces deux jours � l'heure de l'observation. Une exp�rience am�ricaine d'avion sans pilote t�l�guid� par satellite a pu �galement �tre visible le 22 ao�t. Compte tenu des observations faites, l'hypoth�se de l'observation de la station MIR est retenue.";"Observation probable de passages de la station MIR";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1998-08-01505
1741;"ROZERIEULLES (57) 06.08.1998";Moselle;57;"(D) D�partement";1998;08;06;"Le 6 ao�t 1998 vers 22 heures 40, un homme en voiture �coute de la musique et regarde le ciel. Il observe alors une forme lumineuse qui se d�place rapidement dans le sens sud - nord. L'observation dure 15 � 20 secondes. L'enqu�te aupr�s des autorit�s a�riennes met en �vidence le passage d'un avion de ligne ainsi qu'une piste radar non identifi�e � l'heure de l'observation. L'heure de fin de cette piste correspond � celle de l'observation du t�moin. Aucune preuve formelle mais il est probable que l'observation du t�moin soit un a�ronef.";"Observation probable d'un a�ronef";O;1;;;;;;;;2010-05-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1998-08-01506
1742;"ESPERCE (31) 09.08.1998";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1998;08;09;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � C � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s �C � en 1998 par le SEPRA pr�c�demment nomm� Cintegabelle (31) du nom de la brigade de gendarmerie.
Le 9 ao�t 1998 � 22 h10, un couple sur sa terrasse observe le passage, lent, silencieux et en zig-zag d'une sph�re lumineuse argent�e dans le ciel qui s'�teint brusquement. La trajectoire du PAN �tait dirig�e vers la Lune. Un autre t�moin dans une ville distante de plusieurs dizaines de kilom�tres aurait vu ce ph�nom�ne : il n'a pas �t� retrouv�.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur, trajectoire) avec un objet astronautique parfaitement connu : la station spatiale Mir. De plus, Mir �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e alors que les t�moins n'en font pas mention. En fin de trajectoire, Mir est entr�e dans l'ombre de la Terre, marquant sa disparition visuelle, comme indiqu�e par les t�moins.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (�tonnement, fatigue).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise avec la station spatiale Mir.";"Observation du lent passage d'une sph�re lumineuse dans le ciel : observation de la station spatiale Mir.";O;2;;;;;;;;2013-12-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1998-08-01507
1743;"REGION NORD-EST (975) 10.08.1998";"Grand Est";GES;"(R) R�gion";1998;08;10;"Le 10 ao�t 1998 vers minuit de tr�s nombreux t�moins dont un conducteur de train observent dans le ciel une forme triangulaire avec deux feux rouges et un feu blanc tr�s lumineux.
Un t�moin indiquera, au vu des articles de presse, que le ph�nom�ne observ� est un ULM qui est �galement pass� pr�s de son domicile dans le m�me cr�neau horaire.
Le passage d'un Transall � basse altitude dans l'axe des deux lieux d'observations a �galement �t� rapport�.
Il est donc � peu pr�s certain que le ph�nom�ne observ� soit le passage de l'un des deux a�ronefs.";"Observations du passage d'un a�ronef.";O;15;;;;;;;;2011-06-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.53;0.48;A;D1-;1998-08-01508
1744;"MARTRES-SUR-MORGE (63) 11.08.1998";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";1998;08;11;"Dans la nuit du 11 au 12 ao�t 1998 vers 23 heures 30 un t�moin aper�oit le passage de 2 grosses lumi�res blanches suivies d'une lumi�re rouge (formant un triangle). Aucune autre information disponible.";"Observation de deux grosses lumi�res blanches et une lumi�re rouge en triangle";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1998-08-01509
1745;"SAINT-CHAMOND (42) 1998";Loire;42;"(D) D�partement";1998;08;13;"Le 13 ao�t 1998 vers minuit, plusieurs membres d'une famille observent des points lumineux scintillants dans le ciel. Cette observation de 3 points lumineux jaune rouge et vert dans le ciel, correspond � l'�toile ANTARES.";"Observation de points lumineux de couleurs et scintillants dans le ciel nocturne : observation de l'�toile Antar�s.";O;3;3;;1;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1998-08-01511
1746;"FAGNON (08) 14.08.1998";Ardennes;08;"(D) D�partement";1998;08;14;"Le 14 ao�t 1998 � 6 heures, un t�moin observe un point lumineux dans le ciel qu'il filme durant une trentaine de minutes. Aucune autre information disponible.";"Observation d'un point lumineux dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1998-08-01512
1747;"CHENAC-SAINT-SEURIN-D'UZET (17) 16.08.1998";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";1998;08;16;"Le 16 ao�t 1998, deux jeunes gar�ons en vacances dans un camping observent pendant quelques instants trois points lumineux scintillant dans le ciel et se d�pla�ant � vitesse importante. Aucune autre information disponible.";"Observation de trois points lumineux dans le ciel";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1998-08-01513
1748;"[AERO AOM] de CAYENNE (973) vers ORLY (94) 26.08.1998";Guyane;973;"(D) D�partement";1998;08;26;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� [AERO AOM] LAT 27.58, LON -33.35 (INT) 26.08.1998 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 26 ao�t 1998 � 00h32, l'�quipage d'un DC10 observe, durant 10 secondes environ, le passage tr�s rapide de six points lumineux avec un rayonnement visible tr�s intense laissant derri�re une longue train�e lumineuse. La trajectoire est horizontale et rectiligne. Le commandant de bord, seul � t�moigner, a r�dig� un compte-rendu le 28.08.1998, transmis par la suite au SEPRA. Un croquis repr�sentant les PAN a toutefois �t� r�alis� par quatre des cinq t�moins, tous joints au compte-rendu.
Nous pouvons affirmer que l'observation concerne probablement une rentr�e atmosph�rique d'un bolide, fractionn� en procession m�t�oritique (voir le compte rendu d'enqu�te).
La trajectoire horizontale relev�e par les t�moins tend � montrer qu'il pourrait s'agir d'un bolide de type rasant. Cependant, faute de davantage de donn�es permettant d'effectuer des calculs plus pr�cis, nous ne pouvons d�terminer avec certitude si ce bolide a bel et bien travers� l'atmosph�re terrestre ou s'il a rebondi dessus, comme l'a fait le m�t�ore de 1972 aux USA.
La dur�e d'observation, la magnitude et la portion du ciel travers� rapproche ce cas d'un ph�nom�ne de bolide rasant semblable s'�tant produit en octobre 1990.
De mani�re plus g�n�rale, la description des t�moins cadre tr�s bien avec l'hypoth�se : couleur blanche, trajectoire rectiligne, d�placement tr�s rapide, pr�sence de train�es tr�s lumineuses.
On pourra s'�tonner que ce ph�nom�ne v�ritablement rarissime et exceptionnel n'ait pas rencontr� plus d'�cho � l'�poque. Cependant, cette observation fugace (10 secondes) s'�tant d�roul�e en plein milieu de l'oc�an atlantique, loin de toute station de d�tection terrestre et d'observateurs visuels, elle n'a probablement �t� observ�e par personne d'autre.
La consistance est bonne, avec un t�moignage bien d�taill�, en particulier en ce qui concerne la position initiale et finale des PAN et leur description physique (apparence, magnitude).
Il est cependant dommage de ne pas disposer des t�moignages des autres membres d'�quipage. Par ailleurs, aucun enregistrement photo ou vid�o du ph�nom�ne n'a �t� fait (ce qui est fr�quent avec une dur�e aussi faible).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation de m�t�oro�des.";"Observations par du personnel naviguant du passage tr�s rapide de 6 points tr�s lumineux suivis d'une longue train�e lumineuse : observations d'une rentr�e atmosph�rique d'un bolide fractionn� en procession m�t�oritique. ";O;1;1;;6;;;;;2018-07-26;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.80;;0.65;0.00;B;B;1998-08-01514
1749;"JARD-SUR-MER (85) 31.08.1998";Vend�e;85;"(D) D�partement";1998;08;31;"Le 31 ao�t 1998 vers 21 heures 30 deux t�moins observent durant quinze secondes environ trois points lumineux dans le ciel. Aucune autre information n'est disponible.";"Observation de 3 points lumineux dans le ciel";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1998-08-01515
1750;"HONFLEUR (14) --.08.1998";Calvados;14;"(D) D�partement";1998;08;--;"Le t�moin relate en 2013 avoir observ� en ao�t 1998 � 1h30 du matin un ph�nom�ne lumineux, sorte de flash d'une ou deux secondes maximum, se d�clinant dans toutes les couleurs et sur toute la surface du ciel. La sur du t�moin a �galement vu le ph�nom�ne. Un seul t�moignage est rapport�.
Ce t�moignage n'est pas exploitable par le GEIPAN. En effet il s'agit d'une observation rapport�e 15 ans apr�s les faits sans qu'il soit pr�cis� la date du jour de l'observation.
L'observation n'est pas �trange car fait penser � un flash de rentr�e atmosph�rique de m�t�oride, mais il est impossible d'instruire plus dans ce sens.
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en C : manque d'information.";"Observation d'un flash lumineux �clairant toute la surface du ciel dans la nuit : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.30;0.00;;;0.50;;0.50;;0.25;0.00;C;B-;1998-08-08430
1755;"CHATEL-MONTAGNE (03) --.08.1998";Allier;03;"(D) D�partement";1998;08;--;"T�moignage r�cent (2014) d'une observation ancienne (�t� 1998 - la date du jour n'est pas donn�e : nous datons arbitrairement au 01).
En juillet ou en ao�t 1998, un jeune gar�on, joue en compagnie d'un autre dans une propri�t� situ�e en pleine campagne pr�s de CHATEL-MONTAGNE (Allier). Leur attention est attir�e par un objet de forme allong�e, de couleur grise, avec des hublots (nombre ind�termin�) laissant passer une lumi�re int�rieure blanche. L'objet apparait � la droite du chalet se situant devant eux et passe de leur droite vers leur gauche dans le ciel d�gag�.
Le t�moin principal d�crit l'objet comme �tant un � cylindre� qu'il estime d'une taille approchant les 50 m de long d'aspect � comme dur � et d'une couleur sombre � cuivre � (Pantone n� ON. 00.36 ou ON.00.45). L'objet qui se d�pla�e silencieusement, semble fr�ler la cime des arbres proches puis il disparait un peu plus loin, derri�re les arbres d'une colline.
L'observation a dur� entre 30 secondes � une minute. Les enfants courent pr�venir les adultes qui d�nent � l'ext�rieur en tournant le dos au ph�nom�ne et � sa trajectoire. Aucun adulte n'a pu confirmer leur observation. Un seul t�moignage est recueilli.
L'�tranget� v�cue par le t�moin r�sultait d'un � objet cylindrique avec des hublots laissant passer des lumi�res blanches �.
Il s'agit d'un t�moignage r�cent (2014) d'une observation ancienne (1998). Le t�moin avait alors 12 ans. Il n'est pas en mesure aujourd'hui de d�terminer la date pr�cise du jour et mois de l'observation (il indique le mois d'ao�t sur le questionnaire mais indiquera le mois de juillet comme possible � l'enqu�teur). Dans ces conditions, malgr� une rencontre avec le t�moin, le champ d'enqu�te reste tr�s limit�. L'hypoth�se d'un ballon solaire (type Piff gadget) est possible du fait de la forme, du d�placement silencieux et r�pond � l'essentiel de l'�tranget�. Mais il est impossible de v�rifier la coh�rence du sens de d�placement avec le vent. (voir le compte rendu d'enqu�te).
En conclusion, le cas admet une possible explication, qui compte tenu du peu d'information, ne peut �tre infirm�e ou confirm�e.
En cons�quence, le GEIPAN classe en C : manque d'informations fiables.";"T�moignage r�cent d'une observation ancienne du passage � basse altitude d'un cylindre sombre avec des hublots lumineux : manque d'informations fiables.";O;;;;;;;;;2017-01-30;;;0.50;0.00;;;0.50;;0.60;;0.30;0.00;C;C;1998-08-08965
1756;"[AERO PRB] de TOULOUSE (31) vers DIJON (21) 12.09.1998";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";1998;09;12;"Le 12 septembre 1998, vers 21 heures 53, l'�quipage d'un vol en direction de Dijon est crois� assez haut au-dessus de lui par deux points lumineux qui sont identifi�s tout d'abord comme un trafic militaire. Ces points ont toutefois une trajectoire bizarre qui monte et descend et effectue de nombreux zig zags. L'arm�e de l'air de son c�t� confirme qu'aucun trafic militaire n'est pr�sent dans la zone. Par ailleurs aucune d�tection radar n'a �t� constat�e. L'enqu�te n'a pas permis d'indentifier cette observation.";"Observation de deux points lumineux avec trajectoires en zig zag";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1998-08-01510
1757;"MOISSAC (82) 1998";Tarn-et-Garonne;82;"(D) D�partement";1998;09;18;"Dans la soir�e du 18 septembre 1998, deux t�moins aper�oivent dans le ciel un objet de couleur vert vif qui se d�pla�e � vive allure et sans bruit. Il change brusquement de trajectoire et laisse derri�re lui une train�e rouge�tre. Aucune autre information n'a pu �tre recuellie.";"Observation d'un objet de couleur verte avec une train�e rouge�tre.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1998-09-01517
1758;"MARTIGUES (13) 27.09.1998";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1998;09;27;"Le 27 septembre 1998 � 3h un t�moin observe dans le ciel un objet rond et lumineux de couleur jaun�tre. L'objet est � flanc de colline et se d�place tr�s lentement. Au bout de cinq bonnes minutes, l'objet est parti � tr�s grande vitesse avant de dispara�tre. Aucune explication n'a �t� donn�e � ce ph�nom�ne.";"Observation d'un objet lumineux rond stationnaire puis partant � grande vitesse.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1998-09-01518
1759;"HAVRE (LE) (76) 18.09.1998";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";1998;09;18;"le 18 septembre 1998 plusieurs t�moins observent 3 points lumineux align�s ainsi qu'un globe encore plus lumineux entre le 2eme et 3eme point. L'enqu�te d�montrera qu'il s'agit probablement de la plan�te Jupiter et de trois de ses satellites qui resteront tout l'hiver dans une conjoncture favorable � leur observation.";"pr�sence d'un gros point lumineux dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1998-09-01712
1760;"ARTZENHEIM (68) 18.09.1998";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";1998;09;18;"le 18 septembre 1998 plusieurs t�moins vont observer un objet lumineux ovo�de qui semble suivre une trajectoire pr�cise. Des flashes �clairent r�guli�rement l'engin. Un des t�moins pourra filmer cette observation avant que l'engin ne s'�loigne et disparaisse. L'enqu�te d�montrera qu'il s'agit d'un vol de nuit d'un dirigeable de forme Zepplin utilis� � des fins publicitaires.";"observation d'un objet lumineux dans le ciel; en r�alit�, vol de nuit d'un dirigeable pour une op�ration publicitaire.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1998-09-01713
1761;"VOREPPE (38) 06.09.1998";Is�re;38;"(D) D�partement";1998;09;06;"Le 06 septembre 1998 vers 20h des t�moins dans leur jardin aper�oivent un objet circulaire au-dessus d'un arbre d'une propri�t� voisine. Selon les t�moins, cet objet est vu de dimensions et de couleurs diff�rentes. Plusieurs personnes remarquent cependant que l'objet semble dot� de pattes. D'abord stationnaire au-dessus de l'arbre, l'objet de d�place lentement par la suite dans le ciel. Un des t�moins pourra le filmer durant quelques minutes avant qu'il ne disparaisse totalement.
Quelques jours plus tard, une personne alert�e par la presse t�moignera � la gendarmerie de l'envol d'un ballon pour enfant gonfl� � l'h�lium ayant la forme et les couleurs d'une coccinelle avec de grandes pattes. Ce ballon, mal attach� au poignet de son fils, s'est envol� lentement dans le m�me secteur et � l'heure o� les t�moins ont aper�u l'�trange objet.
";"Observation du d�placement d'un ballon gonfl� � l'h�lium en forme de coccinelle.";O;5;;;;;;;;2012-03-07;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1998-09-01754
1762;"MOYEUVRE-GRANDE (57) --.10.1998";Moselle;57;"(D) D�partement";1998;10;--;"T�moignage r�cent (le 22 f�vrier 2010) d'une observation ancienne (en octobre 1998) sans date pr�cise de jour. Une t�moin a film� un ensemble de lumi�res qui se d�pla�aient dans le ciel. Malheureusement le son original, entendu par le t�moin, a �t� remplac� par une musique. Aucun autre t�moignage n'a �t� receuilli sur ce ph�nom�ne � cette date. La video associ�e au t�moignage et le questionnaire ne sont pas pas exploitables et toute enqu�te est impossible. L'observation est class�e C.";"observation du d�placement de lumi�res dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2010-06-15;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1998-10-02532
1763;"BOURG-SAINT-MAURICE (73) 16.11.1998";Savoie;73;"(D) D�partement";1998;11;16;"Le 17 novembre 1998 vers 3 heures 40 un insomniaque observe le ciel et constate le passage tr�s rapide (environ une seconde) d'une boule de feu se d�pla�ant � tr�s grande vitesse. Il est probable qu'il s'agisse d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1998-11-01519
1766;"ROSHEIM (67) 22.12.1998";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";1998;12;22;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� ROSHEIM (67) 22.12.1998 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 22 d�cembre 1998 vers 18h05, un t�moin observe dans le ciel une forme de ""serpent"" lumineux compos� de disques rouges et blancs. Cette forme lumineuse se d�place silencieusement ""en masse"" en formant une boucle dans le ciel. Le t�moin l'observe durant une minute environ. Le t�moin fait sa d�position le 15 janvier 1999 sur les conseils d'un ami. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Il est toujours tr�s important de partir de l'interpr�tation du t�moin et de prendre en compte les objections qu'il peut formuler (voir le compte rendu d'enqu�te).
- il a pens� spontan�ment � des lumi�res de projecteur de discoth�que et l'objection vient ensuite quand il compare avec des photos repr�sentant ces lumi�res : � Lorsque j'ai aper�u cette chose au d�but, j'ai pens� que �a pouvait �tre une lumi�re de bo�te de nuit. Les jours suivants, j'ai vu des photos repr�sentant des rayons de lumi�re �mis par les discoth�ques et ce que j'ai vu le soir du 22 d�cembre 1998 � Rosheim ne correspondait pas du tout � cela. �
- le t�moin termine sa d�claration par � C'est la premi�re fois que j'observais ce genre de ph�nom�ne. Jamais dans ma vie je n'ai vu ce genre de chose dans le ciel, si ce n'est des � lasers � de bo�te de nuit.
L'analyse permet d'�tablir la bonne probabilit� d'une confusion avec des taches d'impact dans le ciel de projecteurs sol de lumi�res (type lasers de discoth�ques) :
- au moment de l'observation, le ph�nom�ne �tait nouveau pour le GEIPAN, mais le grand nombre de t�moignages expliqu�s depuis (voir site www.geipan.fr, recherche de cas avec ph�nom�ne Laser ou Skyrose ) permet d'affirmer que l'aspect et le mouvement tel que celui d�crit par le t�moin sont conformes aux taches d'impacts de ces projecteurs de rayons sur les nuages bas.
- les conditions m�t�o sont compatibles de production de taches sur un �cran de ciel (nuages) sans visibilit� de faisceaux montant. Le t�moin signale un ciel �toil� ce qui reste compatible de pr�sence de nuages dans une grande partie de ce ciel.
- les discoth�ques utilisaient d�j� des projecteurs, le motif et le d�placement des taches dans le ciel �taient r�alisables par la technologie des projecteurs de l'�poque.
- �l�ment clef confortant l'hypoth�se, le t�moin l'a fait lui-m�me, et on peut expliquer ce qui lui fait rejeter cette hypoth�se (et in fine t�moigner) : les premi�res photos disponibles � l'�poque (et internet n'existait pas ou peu) devaient repr�senter les effets de laser dans le ciel dans la version la plus spectaculaire avec faisceaux montant, alors que les faisceaux montant ne sont pas toujours visibles, et c'�tait probablement le cas ce soir-l�.
Bien que le t�moignage soit relativement complet avec une bonne description du PAN et l'existence de relev�s d'azimuts, il est ancien (presque 20 ans) et il semble difficile de trouver des �l�ments permettant de confirmer l'hypoth�se aussi longtemps apr�s. Il manque par ailleurs des relev�s de taille angulaire apparente du PAN ainsi que des estimations de sa hauteur angulaire sur l'horizon. Une enqu�te sur place � l'�poque aurait permis d'approfondir ces points et faire certaines v�rifications relatives � l'existence d'une structure (discoth�que, salle des f�tes, parc) � m�me d'utiliser des projecteurs dans le cadre d'activit�s festives la veille de No�l.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de laser.";"Observation d'une grande forme lumineuse compos�e de disques blanc et rouge en d�placement dans le ciel nocturne : observation probable de laser.";O;1;;;;;;;;2017-11-28;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.80;;0.50;0.00;B;B;1998-12-01522
1767;"MONETAY-SUR-ALLIER (03) 05.12.1998";Allier;03;"(D) D�partement";1998;12;05;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A,B,C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SAINT-POURCAIN SUR SIOULE (03) 1998 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 5 d�cembre 1998 � 19h45, une famille de trois personnes observent dans le ciel couvert, une longue ligne lumineuse horizontale � hauteur de l'horizon Est. Cette ligne semble constitu�e de globes de couleur rouge tr�s vive. Apr�s 30 secondes d'observation, le PAN a un d�placement apparent avant et arri�re avant de dispara�tre subitement. Aucun bruit n'a �t� entendu durant l'observation. Deux t�moignages sont recueillis.
On constate que l'axe de l'observation est celui de l'all�e de la maison. Celle-ci plut�t longue (15 m) et �troite (2,5m ) donne une bonne r�f�rence pour d�terminer l'azimut du PAN soit ~65�. Par ailleurs le dessin du PAN au-dessus de la haie au fond du jardin permet d'estimer l'�l�vation de ce dernier aux environs de 4� en estimant l'observation faite du milieu de l'all�e (comme le dessin semble l'indiquer). Il se trouve que la Lune est pr�cis�ment � cet endroit du ciel (Stellarium) � 19H45 (4� et 66� Est).
La m�prise avec la Lune est classique et peut s'expliquer par la couverture nuageuse (existante ce soir l�) qui cache quasi totalement la Lune sauf par petites trou�es en �volution du fait du vent, trou�es � m�me de reproduire tout type de figures � une ou plusieurs lueurs, en g�n�ral rouges quand la Lune est basse sous l'horizon comme ce soir l�. Ici la Lune devait affleurer la couche nuageuse par en haut ou par en bas car le t�moin voit les lueurs hors de la masse nuageuse.
L'autre �tranget� d�crite est celle d'une progression du PAN en direction des t�moins puis en �loignement. C'est aussi une m�prise classique, les trou�es variant en taille ou en opacit�, les lueurs varient et l'interpr�tation usuelle est d'y voir une �volution de la distance d'une lueur d'intensit� constante.
Le t�moin a pu �tre contact� au t�l�phone. Il a confirm� la position exacte de son observation par rapport � l'all�e et les haies, ainsi que la hauteur des haies � l'�poque. Il a pu s'approprier les m�canismes de m�prise ainsi d�crits et donc les conclusions du GEIPAN.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : lever de Lune.";"Observations d'une barre lumineuse de couleur rouge vif � l'horizon Est ; impression d'avanc� et de recul vers les t�moins : m�prise avec un lever de Lune.";O;2;;;;;;;;2017-07-28;0.10;;0.10;0.00;;;;;;0.70;0.70;0.00;A;A;1998-12-01714
1769;"SUD EST FEVRIER 1999";France;FR;"(N) National";1999;02;01;"Le 1er f�vrier 1999 un peu apr�s 7 heures, une douzaine de t�moins dans deux d�partements du Sud Est observent une boule lumineuse de taille importante avec des �tincelles � l'arri�re qui passe � grande vitesse avant de dispara�tre. Le ph�nom�ne est silencieux et ne dure que quelques secondes. Compte tenu des descriptions faites, il s'agit de l'observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;12;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1999-02-01524
1770;"FRESNAIS (LA) (35) 05.02.1999";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";1999;02;05;"Le 5 f�vrier 1999 deux t�moins observent vers 17 heures 30 deux boules de feu tombant du ciel en oblique. Celles-ci �taient suivies de train�es de fum�e noire. L'observation rapport�e est probablement une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1999-02-01525
1771;"NATIONAL (975) 22.02.1999";Auvergne-Rh�ne-Alpes;ARA;"(R) R�gion";1999;02;22;"Les 22 et 23 f�vrier 1999 vers 19h15 et 19h30, plusieurs t�moins observent un ou deux points lumineux stationnaires dans le ciel. Ces points trois ou quatre fois plus gros qu'une �toile intriguent les personnes.
Le ph�nom�ne observ� �tait la conjonction des plan�tes V�nus et Jupiter, ph�nom�ne naturel annonc� dans les m�dias.";"Observations de la conjonction de V�nus et Jupiter.";O;2;;;;;;;;2012-01-17;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1999-02-01526
1772;"MILLAU (12) 16.03.1999";Aveyron;12;"(D) D�partement";1999;03;16;"Le 16 mars 1999 vers 20 heures, un t�moin observe le passage tr�s rapide de deux ph�nom�nes a�riens constitu�s d'une petite boule orange et d'une boule de flamm�ches. La trajectoire des deux boules est rectiligne mais l'une des deux a sembl� plong� dans la vall�e avant de remonter en altitude. Le ph�nom�ne est rest� parfaitement silencieux et n'a dur� que quelques secondes. La trajectoire de l'un des deux ph�nom�nes �carte � priori l'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique. La proximit� d'installations militaires n'a pas non plus permis d'identifier le ph�nom�ne qui reste inexpliqu�.";"Observation de deux ph�nom�nes a�riens";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1999-03-01528
1774;"NATIONAL (FR) 05.05.1999";France;FR;"(N) National";1999;05;05;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Le cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� (DPT) HAUTES-PYRENEES (65) 05.05.1999 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Son examen a permis de faire le lien avec un autre cas d'observation [AERO LOC] MORTIERS (17) 04.05.1999 (observation depuis un avion) initialement inexploitable (class� C).
Le 05 mai 1999 vers minuit, 9 t�moins situ�s dans diff�rentes communes des Hautes-Pyr�n�es (65) observent dans le ciel nocturne un ph�nom�ne constitu� d'une lueur tr�s lumineuse suivi d'un nuage triangulaire ou conique. Aucun bruit particulier n'est entendu. Durant les observations, dont la dur�e varie, le PAN semble pivoter sur lui-m�me. La lueur disparait et le nuage s'estompe progressivement. Ce ph�nom�ne est �galement rapport� par un pilote (dont l'avion est situ� au sud de Cognac). Le contr�leur a�rien notera �galement que deux autres pilotes rapportent avoir vu le m�me ph�nom�ne .
De tr�s bonne consistance (3 groupes de t�moins ind�pendants dans les Hautes-Pyr�n�es, renseignements assez pr�cis), ce cas s'av�re �tre une m�prise tr�s probable avec un tir de test de missile. Gr�ce � internet l'acc�s aux annales de tirs de missiles est plus ais�e 20 ans apr�s qu'elle ne l'�tait au moment des tirs (voir le compte-rendu d'enqu�te).
La description du PAN rappelle tr�s fortement un tir de missile, et plusieurs des t�moins ont pens� � un lancement de fus�e. Si aucun lancement de fus�e ne correspond effectivement � l'observation, il est � noter que 2 tirs de missiles fran�ais ont eu lieu � la date du 04 mai 1999. Or l'observation du PAN, en heure TU correspond bien � la date du 04 mai 1999.
De nombreux �l�ments sont parfaitement coh�rents avec l'hypoth�se d'une m�prise avec un tir de missile : les directions d'observation indiqu�es par les t�moins pointent vers le Golfe de Gascogne et le large de la Bretagne. De plus, le fait que les 3 groupes de t�moins distant g�ographiquement voient le PAN dans des conditions similaires montre qu'il se situait � haute altitude.
Par ailleurs, l'�quipage d'un avion de ligne (cas [AERO LOC] MORTIERS (17) 04.05.1999 survolant la Charente, a fait le m�me type d'observation au m�me moment.
Tout ceci �tablit l'hypoth�se d'une m�prise avec l'un de ces deux missiles, parfaitement visibles (avec distinction du corps et des gaz �ject�s) dans le ciel de nuit des t�moins car les missiles sont encore dans l'�clairage du soleil du fait de leur haute altitude. On sait qu'il y eu un tir ce jour-l� et que c'est bien � cette heure pr�cise qu'ont eu lieu les tirs suivants. Dans ces conditions le fait que l'on n'ait pas la confirmation de l'heure de tir ce jour-l� n'est pas susceptible de nuire � cette hypoth�se. Il n'est pas raisonnable de lancer une proc�dure (lourde sur le plan formel 20 ans apr�s) de recherche aupr�s des centres d'essais pour une pr�cision horaire du tir du 04 mai 1999.
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En cons�quence le GEIPAN rassemble les deux cas d'observation dans un seul cas qu'il classe en A : observation tr�s probable d'un tir de missile de d�fense M45 ou M4 dans le golfe de Gascogne depuis le large de la Bretagne.
";"Observations multiples dans le ciel nocturne d'une masse lumineuse suivie d'un nuage de forme triangulaire : observations tr�s probables d'un tir de missile de d�fense M45 ou M4 dans le golfe de Gascogne depuis le large de la Bretagne.";O;9;10;;1;;;;;2018-10-11;;;0.25;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;B;1999-05-01530
1775;"SAOU (26) 15.06.1999";Dr�me;26;"(D) D�partement";1999;06;15;"En juin 1999 un pilote de planeur, prend des photos de paysage et constate sur les diapositives des t�ches non identifi�es qu'il n'a pas vu lors de la prise de vue. Il pense qu'il s'agit d'OVNI. Ce type de t�moignage � partir de photos sans corr�lation visuelle est en g�n�ral inexploitable, les t�ches constat�es pouvant �galement �tre des reflets au niveau de l'objectif ou des t�ches provoqu�es lors du processus de d�veloppement.";"Observation de t�ches sur des diapositives.";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1999-06-01531
1776;"SAINT-HILAIRE-LA-PALUD (79) 07.06.1999";Deux-S�vres;79;"(D) D�partement";1999;06;07;"Observations successives faites entre le 7 juin 1999 et fin aout 1999. Le t�moin rapporte en 2008 des observations de d�placements de ph�nom�nes lumineux dans le ciel nocturne. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce t�moignage n'est pas exploitable par le GEIPAN. En effet il s'agit d'une suite d'observations distinctes rapport�e 10 ans apr�s les faits sans qu'il soit pr�cis� les dates pr�cises de chacune d'elles.
De ce fait les observations sont multiples, disparates et impr�cises. Elles ne paraissent pour autant pas incompatibles d'observations de satellites, d'�toiles filantes (surtout au mois d'aout) ou m�me d'astres.
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en C : manque d'information.";"Observations successives durant l'�t� 1999 de diff�rents d�placements de ph�nom�nes lumineux dans le ciel nocturne : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-06-08;;;0.20;0.00;;;0.20;;0.20;;0.10;0.00;C;C;1999-06-02029
1777;"MALVILLE (44) 25.07.1999";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";1999;07;25;"Le 25 juillet � 5 heures 30 deux gendarmes en mission observent depuis leur v�hicule le passage tr�s rapide d'une boule de feu rouge et verte suivie d'une train�e de fum�e. Plusieurs autres t�moins se manifesteront et la presse fera �tat de cette observation qui est tr�s probablement une rentr�e de m�t�orite ou de d�bris spatial.";"Rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2010-03-15;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1999-07-01532
1778;"SAINT-MAUR-DES-FOSSES (94) 01.08.1999";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";1999;08;01;"Le 01 ao�t 1991 � 20h46 un pilote en repos � son domicile fait �tat par t�l�phone d'une observation d'un objet non incandescent comme une lueur orang�e en d�placement rectiligne sur un trajectoire ascendante. Cet objet est entour� d'un halo.
Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur le sujet..";"Observation du d�placement rectiligne et selon une trajectoire ascendante d'une lueur orang�e avec halo : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-11-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1999-08-01533
1779;"BOISSE (LA) (01) 11.08.1999";Ain;01;"(D) D�partement";1999;08;11;"Le 11 ao�t 1999 vers 4 heures 30, un t�moin insomniaque observe un point lumineux tr�s brillant avec deux rayons vert tendre. Ce point semblait danser dans le ciel. Aucune autre information disponible.";"Observation d'un point lumineux dansant dans le ciel";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1999-08-01534
1780;"CHESSY (69) 19.08.1999";Rh�ne;69;"(D) D�partement";1999;08;19;"Le 19 ao�t 1999 � 1 heure, deux gendarmes en poste de surveillance observent dans le ciel un point lumineux tr�s brillant avec trois points lumineux bleu vert et rouge tournant tr�s vite autour. Le ph�nom�ne a de temps � autre un mouvement pendulaire. Aucune autre information sur cette observation d'une dur�e de 20 minutes environ.";"Observation d'un point lumineux pendulaire";O;1;;;;;;;;2009-11-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;C;B;1999-08-01535
1781;"[AERO XLF] SEPVRET (79) 26.08.1999";Deux-S�vres;79;"(D) D�partement";1999;08;26;"Le 26 ao�t 1999 vers 20 heures 10 le pilote d'un vol � destination de Paris CDG observe le passage durant 5 secondes environ d'une boule blanche incandescente en trajectoire descendante � plus de 10 km de l'appareil. Cette observation est probablement celle d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1999-08-01537
1783;"DOLE (39) --.08.1999";Jura;39;"(D) D�partement";1999;08;--;"Cette observation ancienne d'ao�t 1999 (le t�moin ne pr�cise pas la date du jour et h�site entre ao�t 1999 et ao�t 1998) est rapport�e sous forme d'un questionnaite peu d�taill� le 6 f�vrier 2011. Le t�moignage est unique et peu consistant, malgr� apparement une observation faite par un groupe de personnes. Sans date pr�cise (le t�moin ne pr�cise pas la date du jour et h�sitesur l'ann�e) et sans aucune autre corr�lation ou autre t�moignage d�pos�, toute enqu�te est impossible.";"Observation du passage d'un triangle sombre �clair� par trois lumi�res p�riph�riques et une lumi�re centrale.";O;1;;;;;;;;2011-03-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1999-08-02708
1784;"DINAN (22) 07.09.1999";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1999;09;07;"Dans la nuit du 07 au 08 ao�t 1999 entre 23 heures 30 et 1 heure 30, un astronome amateur en train d'observer la galaxie d'Androm�de aper�oit � l'il nu un objet se d�pla�ant � vitesse constante avec une trajectoire Nord Sud. Au bout de quelques instants, la trajectoire a brutalement chang� de direction pour passer Nord Nord-Ouest avant de revenir au Nord. Le ph�nom�ne observ� �tait silencieux, non lumineux de couleur brun marron. Le croquis fait par le t�moin donne une forme en tonneau. L'observation a dur� une minute environ. Une enqu�te minutieuse aupr�s des a�rodromes voisins, ainsi que des autorit�s civiles et militaires n'a pas permis d'associer cette observation � un a�ronef, tant au niveau de l'examen de la circulation a�rienne que de celui des traces radar. Ce ph�nom�ne est rest� inexpliqu�.";"Observation du d�placement d'une forme marron avec brusques changements de direction";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;1999-09-01538
1785;"MARCILLY-SUR-EURE (27) 23.09.1999";Eure;27;"(D) D�partement";1999;09;23;"Les 23, 24 et 25 septembre 1999 vers 6 heures, plusieurs t�moins de deux maisons voisines observent une forte lueur blanche stationnaire qui dispara�t avec le lever du jour. L'observation est �galement faite le soir vers 22h15. Le ph�nom�ne est silencieux et tr�s brillant au point qu'il est difficile de l'observer � la jumelle.
Aucune autre information n'est diponible sur cette observation.";"Observation d'un point lumineux tr�s brillant durant plusieurs jours : manque d'informations.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2000-09-01557
1786;"LAVAU (10) 26.10.1999";Aube;10;"(D) D�partement";1999;10;26;"Le 26 octobre 1999 vers 6 heures 45, un t�moin observe une boule de la taille d'une orange accol�e � une autre boule de la taille d'une noix, stationnaires tr�s loin et tr�s haut dans le ciel. L'observation a dur� 3 � 4 minutes. Aucune autre information n'a �t� collect�e sur cette observation.";"Observation de deux boules lumineuses stationnaires";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1999-10-01539
1787;"SAINT-GENIES-DE-FONTEDIT (34) 11.11.1999";H�rault;34;"(D) D�partement";1999;11;11;"Le 11 novembre 1999, vers 23 heures 30, un t�moin est sur son toit en train de r�gler son antenne de t�l�vision. Il observe une boule de lumi�re de forte intensit�. Le t�moin filme le ph�nom�ne durant quelques minutes. Aucune autre information sur cette observation.";"Observation d'une boule de lumi�re de forte intensit�.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1999-11-01540
1788;"TOURS (37) 14.12.1999";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";1999;12;14;"T�moignage r�cent (05/06/2014) d'une observation ancienne.
Le 14 d�cembre 1990 � 22h30 un t�moin observe 4 points lumineux blancs en ligne : trois d'entre eux forment un triangle pendant que le 4e tourne autour, puis les points se remettent en ligne et filent rapidement direction Est. Le ph�nom�ne se reproduit en mars 2000.
L'observation de points lumineux en formation traversant rapidement le ciel en ligne droite fait penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le GEIPAN n'a pas pu acc�der facilement au relev� m�t�o de ce jour l� (trop ancien pour les sites web), cette hypoth�se n'a pu �tre v�rifi�e. Faute de cette information, le GEIPAN classe ce cas ""C"".";"Observations deux ann�es de suite de points lumineux blancs dans le ciel nocturne : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1999-12-08713
1789;"TALENSAC (35) --.12.1999";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";1999;12;--;"T�moignage r�cent (18/06/2014) d'une observation ancienne dont le t�moin ne se souvient pas de la date du jour.
Un soir d'hiver � une heure du matin, un t�moin fermant son portail est apeur� par la pr�sence d'une grande spirale silencieuse blanc clair qui se d�place. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Ce cas d'observation atypique peut �voquer un ph�nom�ne m�t�orologique exceptionnel. Mais le r�cit est ancien, peu d�taill�, et la date pr�cise inconnue.
Le GEIPAN ne peut traiter ce cas par manque d'informations, il est donc class� ""C"".";"Observation du d�placement silencieux d'une grande spirale de couleur blanc clair : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1999-12-08723
1790;"AERO 2000-01-01541";Yvelines;78;"(D) D�partement";2000;01;--;"Le 7 janvier 2000 vers 19 heures 20 le pilote d'un avion � destination de Casablanca observe � faible distance sous son appareil deux ballons, un bleu et un blanc supportant une charge ressemblant � un r�flecteur radar. Suite � une r�clamation M�t�o-France a indiqu� qu'il ne s'agissait pas de radiosondages m�t�o. L'enqu�te aupr�s des militaires n'a donn� aucune information nouvelle. Si la nature des objets (ballons) ne semblent pas faire de doute, l'origine de ces ballons n'a pu �tre d�termin�e.";"Observation de deux ballons d'origine inconnue";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;;;;;;;;;;;B;;2000-01-01541
1791;"BROYES (51) 10.01.2000";Marne;51;"(D) D�partement";2000;01;10;"Le GEIPAN proc�de � des r�examens de cas anciens dans le but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � un changement de classification.
Le pr�sent r�examen porte sur deux cas d'observation pr�c�demment class�s D et nomm�s BROYES (51) 10.01.2000 et SOMMESOUS (51) le 31.12.1999.
Le 10 janvier 2000 entre 21h et 21h05 heures, un automobiliste sur la D39 � hauteur du ch�teau d'eau de Broyes (51) est soudain totalement �bloui par une lumi�re de tr�s forte intensit� qui s'infiltre dans la voiture par le toit ouvrant. Le moteur et l'autoradio s'arr�tent brutalement mais le contact reste allum�. D'apr�s le t�moin, au bout d'une minute, le ph�nom�ne se dissipe, l'autoradio se remet � fonctionner et il peut red�marrer sa voiture pour rentrer chez lui, terroris�. Suite � un appel t�l�phonique du Centre Op�rationnel de la Gendarmerie, les gendarmes se rendent imm�diatement au domicile du t�moin fortement choqu� puis sur les lieux de l'observation. Ils constatent que le ciel est clair et fortement �toil� (�toiles filantes) et que le trafic a�rien est important et visible (feux � �clats). La temp�rature est hivernale mais sans gel�e. Aucune perturbation de la ligne �lectrique le long de la route n'a �t� constat�e. Par ailleurs � cet endroit, l'�clairage public est inexistant. De source militaire aucun vol n'est signal� ce soir l�. L'enqu�te sur place du SEPRA et la reconstitution en voiture permettra d'�tablir que l'observation a dur� entre 15 et 30 secondes maximum au lieu d'une minute dans la version initiale du t�moin. Lors de l'enqu�te la gendarmerie trouvera un autre t�moin ayant observ� un ph�nom�ne similaire mais quelques jours auparavant.
Le 31 d�cembre 1999 entre 19h30 et 20h, une automobiliste roulant sur la N4 � hauteur de Sommesous (51) est aveugl�e par une lueur blanch�tre de type flash. Aucun bruit n'est entendu. Tous les voyants du tableau de bord s'allument et le moteur de la voiture s'arr�te brusquement mettant la voiture en roue libre. Le moteur se remet en marche de lui-m�me rapidement. Une v�rification par un m�canicien faite � l'initiative du t�moin sur les cosses de batterie n'a rien remont� d'anormal.
Nous avons deux cas d'observation � forte proximit� spatiale (quelques km) et temporelle (10 jours) pr�sentant une apparente forte similitude (voir le compte-rendu d'enqu�te unique pour les deux cas) :
- lumi�re (ou flash) non localis�e per�ue par le conducteur d'une voiture ;
- arr�t du moteur, perturbations sur le tableau de bord.
Le cas BROYES (51) 10.01.2000 est plus �trange dans la mesure o� la lumi�re est aveuglante et rentre dans le v�hicule. Aucune hypoth�se physique ne peut �tre envisag�e tellement la description est �trange. On peut seulement formuler l'hypoth�se d'�tranget� induite ou accentu�e par le t�moin lui-m�me, mais nous n'avons aucun �l�ment pour pond�rer cela :
- le t�moin a regard� � la t�l�vision la s�rie X-files peu de temps avant les faits, au moment o� M6 diffusait la saison 4 qui contient une sc�ne o� un PAN survole un v�hicule et l'�claire d'une lumi�re blanche �blouissante. Le t�moin a pu rencontrer une r�elle �tranget� ce soir-l� et �tre influenc�, consciemment ou inconsciemment, par la science-fiction lors de la m�morisation ou du r�cit des faits ;
- le jeune t�moin, vivant chez ses parents, a pu �tre traumatis� par un �v�nement non li� au PAN et ne pas pouvoir, pour une raison li�e � sa consommation occasionnelle de stup�fiant (d�clar�e par lui-m�me) ou pour une raison toute autre, justifier son �tat � ses parents au retour � son domicile autrement qu'en inventant une exp�rience directement inspir�e de X-File.
Pour le cas de SOMMESOUS (51) le 31.12.1999, les hypoth�ses physiques (m�t�ore, flash photographique ou �clat de feu d'artifice � quelques heures du passage � l'an 2000) ne disposent d'aucun �l�ment permettant de les pond�rer.
La consistance de ces cas d'observation est MAUVAISE.
Cas de BROYES (51) 10.01.2000 :
- en terme d'information, bien qu'une enqu�te ait �t� men�e sur place par la gendarmerie et le SEPRA (GEIPAN de l'�poque) peu de temps apr�s les faits, nous ne disposons que d'un compte-rendu succinct de cette enqu�te. Aucun enregistrement audio, vid�o ou �crit des divers entretiens et reconstitutions ayant eu lieu lors de cette enqu�te ne figure dans le dossier ;
- en terme de fiabilit�, on peut s'interroger sur l'influence �ventuelle de la science-fiction �tant donn� la similitude du r�cit avec une sc�ne de la s�rie X-Files (voir ci-dessus). On peut s'interroger aussi sur l'influence de la consommation occasionnelle de stup�fiant (voir ci-dessus).
Dans le cas de SOMMESOUS (51) le 31.12.1999 :
- en terme d'information : la gendarmerie n'a men� aucune investigation au-del� de l'audition du t�moin car le SEPRA n'a rien demand� ou investigu� et la gendarmerie n'a pas per�u de la part du SEPRA d'int�r�t suffisant pour investiguer de son propre chef;
- en terme de fiabilit� : la d�position n'est pas spontan�e. Le t�moin qui pr�alablement � son audition avait entendu le r�cit du cas de BROYES (51) a pu naturellement �tre impressionn� par ce r�cit et faire un rapprochement avec son exp�rience jusqu'� en accro�tre l'�tranget� et influencer (� son insu) certains aspects de sa d�position.
Seule une v�ritable enqu�te sur place aurait permis :
- d'explorer et peut-�tre valider une des hypoth�ses physiques (voir ci-dessus) propres � ce cas ;
- ou au contraire confirmer un champ suffisamment �tendu de similitude des deux cas pour les consid�rer comme issus d'un m�me ph�nom�ne et � partir de l� en recoupant les informations :
o poser �ventuellement des hypoth�ses pour expliquer ce ph�nom�ne ;
o au minimum augmenter la consistance de cette observation � deux t�moignages.
L'�tranget� des deux cas, bien qu'in�gale, est importante. La consistance est trop faible pour supporter un caract�re inexpliqu� � l'un comme l'autre des cas ou � l'ensemble des deux.
En cons�quence, le GEIPAN classe les deux cas en C : manque d'information fiable.";"Observations � quelques jours d'�cart par deux automobilistes d'une lumi�re vive et dysfonctionnement des v�hicules : manque d'information fiable.";O;2;1;;1;;;;;2018-11-20;;;0.70;0.00;;;0.50;;0.50;;0.25;0.00;C;C;2000-01-01542
1792;"SAINT-ANDRE-DE-CUBZAC (33) 05.02.2000";Gironde;33;"(D) D�partement";2000;02;05;"Dans la nuit du 4 au 5 f�vrier 2000 vers 2 heures du matin, un t�moin circulant en voiture observe un ph�nom�ne lumineux se d�pla�ant lentement pour s'immobiliser au-dessus d'un bois. Le ph�nom�ne �tait silencieux, et se situait d'apr�s le t�moin � environ une distance de 200 m�tres et 150 m�tres d'altitude. L'observation a dur� 30 � 40 secondes environ. Aucune autre information n'a pu �tre collect�e.";"Observation d'une boule lumineuse en d�placement lent";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2000-02-01543
1793;"MINIAC-MORVAN (35) 11.02.2000";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2000;02;11;"Ce cas d'observation fait partie des cas class�s � D � en 2000 par le SEPRA. Il a fait l'objet d'un nouvel examen (voir le document Notes d'enqu�te).
Le 11 f�vrier 2000 � 3 heures 45, un automobiliste en route pour son travail observe soudain � 30 m�tres du sol environ un objet allong� ayant la forme d'un r�acteur d'avion entour� de sorte de flammes jaunes et suivi d'une tr�s importante train�e jaune non �blouissante. L'objet se d�place lentement sur une trajectoire horizontale, sans aucun bruit. Le t�moin s'arr�te et descend de son automobile mais le ph�nom�ne a d�j� disparu : en fait, le t�moin ne l'a aper�u que le temps de le voir passer devant sa voiture.
Lors de l'enqu�te, aucun trafic a�rien n'a �t� identifi� ni aucune perturbation sur les lignes �lectriques proches.
Ce cas est consistant, la description du PAN observ� est assez pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� du t�moin n'ont jamais �t� mises en doute. Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation au travers de son ressenti (conduite de nuit, �tonnement, surprise ne pas voir une forme d'avion).
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur, d�placement...) avec un ph�nom�ne astronomique connu : un bolide.
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN B, probable observation li�e avec un bolide naturel.";"Observation du passage d'un objet entour� de flammes jaunes : probable observation d'un bolide.";O;1;1;;;;;;;2013-06-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2000-02-01544
1794;"GARNACHE (LA) (85) 04.03.2000";Vend�e;85;"(D) D�partement";2000;03;04;"Le 4 mars 2000 vers 23 heures 15, un couple proche de leur maison observe deux fois � 10 minutes d'intervalle le passage d'une forme ronde de couleur blanc jaune se d�pla�ant � 15 ou 20 m�tres de hauteur. En fin de trajectoire, un petit bruit se fait entendre avec une lumi�re verte. Aucun bruit n'a �t� d�tect�. Le ph�nom�ne observ� peut faire penser � un phare tournant mais les informations disponibles ne permettent pas une analyse s�rieuse.";"Observation de deux passage de boules lumineuses � 10 minutes d'intervalle";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2000-03-01545
1796;"CHAMPIGNY-SUR-MARNE (94) 14.05.2000";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2000;05;14;"Le 14 mai 2000 � 20 heures 53, un t�moin observe le passage d'un objet sombre se d�pla�ant � vive allure. Aucun bruit n'a �t� d�tect�, l'altitude a �t� estim�e par le t�moin � 300 m�tres et la distance d'observation � 500 m�tres Aucune autre information collect�e.";"Observation du passage d'un objet sombre � vive allure";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2000-05-01546
1797;"DUPPIGHEIM (67) --.--.2000";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2000;--;--;"T�moignage d'une observation faite au printemps 2000 (sans date de jour, mois, heure : date arbitraire du 01/05/2000) et recueilli en 2008.
Un soir du printemps 2000 un adolescent de 13 ans observe une lumi�re rouge sur le mur du salon qui semble venir de l'ext�rieur. Le t�moin voit ensuite durant quelques secondes derri�re une vitre une forme immobile qui disparait instantan�ment. Un seul t�moignage est recueilli.
Il s'agit d'un t�moignage non exploitable par le GEIPAN. En effet, le t�moin ne d�crit pas un PAN (ph�nom�ne a�rospatial) mais une ou des lueurs au sol, ou sur un mur, sans possibilit� de faire un lien avec un PAN car aucun PAN n'est d�crit. Le tout rapport� 8 ou 9 ans apr�s, sans date pr�cise.
Le GEIPAN classe ce cas en C : manque d'information.";"Observation furtive de nuit d'une forme immobile se refl�tant sur un mur int�rieur ; disparition instantan�e : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.00;0.00;;;;;;;0.00;0.00;C;A-;2000-05-01987
1798;"TOUL (54) 2000";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2000;06;27;"Le 27 juin 2000, vers 23 heures, plusieurs t�moins observent le passage d'objets avec des feux de diff�rentes couleurs volant au-dessus des maisons. Les trajectoires sont diff�rentes suivant le point d'observation. Bien que les t�moins parlent de formes de soucoupes volantes, il est probable que ces observations soient celles de Mirage 2000, en manoeuvre sur la r�gion jusqu'� 2 heures du matin.";"Observation probable de manuvres a�riennes";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2000-07-01547
1799;"SAINT-AFFRIQUE (12) 21.07.2000";Aveyron;12;"(D) D�partement";2000;07;21;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SAINT-AFFRIQUE (12) 2000 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 21 juillet 2000 vers 23 heures 30, un homme et son fils observent le ciel. Ils remarquent soudain, et � l'il nu, cinq lumi�res blanches clignotantes. Les trajectoires de ces lumi�res sont courtes, certaines font demi-tour avant de dispara�tre. L'observation dure 5 minutes. Les lumi�res disparaissent les unes apr�s les autres.
L'observation de lumi�res blanches clignotantes et se d�pla�ant de mani�re lin�aire dans le ciel est significative d'un avion.
Ce qui a alert� ici les t�moins r�sulte des trajectoires avec demi-tour et de l'apparition et disparition soudaine de ces lumi�res.
Il n'en reste pas moins que l'hypoth�se avion, m�me s'il ne peut s'agir d'un avion de ligne, reste possible et la plus probable (avion militaire ou aviation g�n�rale) en association avec la pr�sence de quelques nuages ayant pu cacher les avions. Les donn�es qui auraient permis de confirmer ou infirmer cette hypoth�se n'ont pas �t� (ou n'ont pas pu �tre) collect�es au moment du t�moignage et ne sont pas disponibles aujourd'hui. (Nous disposons seulement des donn�es de M�t�ociel) de Millau � 30 km indiquant un ciel non totalement d�gag� � 16H.
Cette hypoth�se pr�sente l'avantage d'expliquer totalement l'observation tout en faisant partie du possible ou vraisemblable. Le manque de recoupement ne permet pas de la retenir comme explication de l'observation, mais cette m�me possibilit� interdit (au regard de la m�thodologie actuelle du GEIPAN, voir actualit� GEIPAN) de consid�rer cette observation comme �trange et non expliqu�e.
Nous consid�rons cette observation comme faiblement �trange et manquant d'information pour consolider l'hypoth�se avion par ailleurs plausible.
Le GEIPAN classe ce cas en C : manque d'informations fiables.";"Observations de d�placements particuliers de lumi�res blanches clignotantes dans le ciel : manque d'information.";O;2;;;;;;;;2017-11-06;;;0.45;0.00;;;0.80;;0.50;;0.40;0.00;C;B-;2000-07-01548
1800;"MONTCORNET (02) 29.07.2000";Aisne;02;"(D) D�partement";2000;07;29;"Le 29 juillet 2000 vers 00 heure 30, plusieurs t�moins d'une m�me famille observent de grands cercles lumineux dans le ciel tournant comme une toupie. L'enqu�te montrera qu'il s'agit de l'effet lumineux d'un jeu de lumi�re d'une discoth�que se refl�tant sur un nuage.";"Observations de cercles anim�s dans le ciel : observations d'animation de projecteur de discoth�que.";O;4;;;;;;;;2017-02-23;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2000-07-01549
1802;"SAINT-GIERS SUR GIRONDE (33) 2000";Gironde;33;"(D) D�partement";2000;07;31;"Le 31 juillet 2000 vers 1 heure 30, plusieurs t�moins observent durant quelques secondes le passage d'une boule lumineuse qui s'�teint progressivement. Le ph�nom�ne observ� est probablement une rentr�e atmosph�rique, naturelle ou artificielle.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;2;;;;;;;;2009-11-09;;;0.25;0.13;;;;;;;0.59;0.41;B;B;2000-08-01551
1805;"PUSSAY (91) 09.08.2000";Essonne;91;"(D) D�partement";2000;08;09;"Le 15 ao�t 2000 vers 22 heures 30, un t�moin observe un point lumineux tr�s brillant plus gros qu'une �toile. Ce point se d�place tr�s lentement et acc�l�re soudain pour dispara�tre en 2 secondes. Aucune autre information disponible.";"Observation d'un point lumineux : manque d'information.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2000-08-01552
1806;"de HONFLEUR (14) vers BLONVILLE-SUR-MER (14) 20.08.2000";Calvados;14;"(D) D�partement";2000;08;20;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� LILLE (59) 2000 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le dimanche 20 ao�t 2000 � partir de 23 heures 30, un automobiliste observe dans le ciel un objet en mouvement et en forme d'un grand cercle constitu� de ""fen�tres"" lumineuses. Le t�moin suit cet objet sur environ 8 km puis celui-ci dispara�t. Plus loin lorsqu'il s'arr�te, le t�moin observe sur son capot un point rouge qui s'agite en tout sens. Relevant la t�te, il constate � nouveau le m�me ph�nom�ne circulaire stationnaire au-dessus de sa voiture. Au bout de quelques secondes, le ph�nom�ne dispara�t ainsi que le point rouge. Un seul t�moignage est recueilli.
La description avait pu paraitre �trange lors de la premi�re analyse du cas en 2000. Avec l'exp�rience acquise par le GEIPAN, il n'y a gu�re de doute aujourd'hui. La description est conforme � des r�flexions dans le ciel d'un ensemble de projecteurs (aussi appel�s commun�ment par l'anglicisme � skytrackers �) utilis�s � des fins publicitaires (voir le compte rendu d'enqu�te).
Les faisceaux montant des projecteurs ne sont pas visibles ici, seulement les impacts sur un �cran de ciel. Le motif form� par ces impacts est typique des capacit�s de balayage et rotation des dispositifs utilis�s � cette �poque dans les discoth�ques, en t�moignent d'autres observations rapport�es au GEIPAN o� l'enqu�te a permis de retrouver le mat�riel produisant de tels effets (voir le casILE BOUCHARD).
Dans l'exp�rience GEIPAN, on peut rencontrer diverses configurations : visibilit� des impacts seuls, des faisceaux seuls, des deux � la fois. Cela d�pend des conditions m�t�orologiques. On v�rifie ici la pr�sence de nuages pouvant cr�er l'�cran dans le ciel, ainsi que de la pluie r�cente ayant pu nettoyer l'atmosph�re de toute gouttelette d'eau pouvant rendre visible les faisceaux montants (c'est la pr�sence de particules dans l'air qui permet cette visibilit�).
On est un soir de week-end, en �t�, dans une zone de vill�giature (c�te normande : Deauville, Trouville). Cela est propice � l'ouverture des �tablissements nocturnes utilisant de tels projecteurs (discoth�ques...) puisqu'on sait qu'ils �taient d�j� amplement utilis�s � l'�poque.
En ce qui concerne le second PAN, cela ressemble en tout point � l'effet d'un laser rouge portatif actionn� par un plaisantin depuis les maisons ou immeubles aux alentours : c'est plausible, bien que cela soit non v�rifiable. On peut comprendre que le t�moin faisant d�j� face � l'�tranget� du premier ph�nom�ne ait pu lui associer le second. Sans le premier PAN et la mise en �veil, il n'aurait peut-�tre pas remarqu� le deuxi�me ou �t� intrigu� jusqu'� faire un t�moignage.
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas selon le premier PAN. La consistance du t�moignage est faible, manquent en particulier des donn�es de dimensions angulaires et de positions dans le ciel. N�anmoins, la conformit� de l'aspect dans le ciel et des conditions m�t�orologiques permet de conclure en confiance (bien que le projecteur � l'origine n'ait pu �tre identifi�) : observation tr�s probable de skytracer ou lasers.";"Observation des �volutions d'une forme circulaire dans le ciel puis d'un point rouge bougeant sur le capot d'une voiture : observation tr�s probable de skytracer ou lasers.";O;1;;;;;;;;2017-12-04;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.50;;0.35;0.00;A;A;2000-08-01553
1807;"HAVRE (LE) (76) 01.08.2000";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2000;08;01;"Le 1 ao�t 2000 � 1h 20 du matin deux personnes depuis un appartement aper�oivent dans le ciel un objet vert de forme ovoide qui se d�place vers le Sud -Est � tr�s grande vitesse sur une trajectoire rectiligne. L'observation dure 6 secondes avant que l'objet ne se scinde en deux parties et ne soit cach� par le paysage urbain.
Aucun autre t�moignage sur ce ph�no�ne n'a �t� recueilli.
D'apr�s les indications donn�es, ces personnes ont probablement fait une observation d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation du passage S-E d'un ph�nom�ne lumineux vert : probable rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2013-09-03;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2000-08-01776
1808;"SAINT-JULIEN-LE-FAUCON (14) 06.08.2000";Calvados;14;"(D) D�partement";2000;08;06;"T�moignage r�cent (23/10/2009) d'une observation ancienne. Trois personnes ont observ� durant l'�t� 2008 (mais l'ann�e reste incertaine) vers 23h le passage en file indienne et sans bruit de plusieurs points lumineux dans le ciel � haute altitude. De luminosit� variable ces points ont tr�s rapidement travers� le ciel dans une probable direction S-N et avec une trajectoire l�g�rement elliptique. Le ph�nom�ne s'est estomp� � l'horizon. Aucun autre t�moignage concernant ce ph�nom�ne n'a �t� recueilli. En l'absence d'informations pr�cises notamment sur la date et vu l'anciennet� de l'observation, toute enqu�te est difficile voir impossible.";"Observation du passage de points lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-04-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2000-08-02479
1809;"MALLEMORT (13) 2000";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2000;09;10;"Le 10 septembre 2000 vers 10 heures 50, deux t�moins diff�rents observent la chute simultan�e de deux boules lumineuses incandescentes avec une train�e blanche importante. Aucun bruit n'est d�tect� et les objets disparaissent en quelques secondes. Il s'agit probablement de l'observation d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2000-09-01554
1810;"CASTANET-TOLOSAN (31) 01.09.2000";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2000;09;01;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 01 septembre 2000 vers 05 heures 30 (vers 3h 30 UTC), un homme aper�oit fugitivement une forme g�om�trique en points lumineux en forme de triangle. Le PAN dispara�t derri�re un b�timent. Aucun bruit n'est entendu. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'enqu�te de routine que m�ne le GEIPAN d'alors (SEPRA) aupr�s des autorit�s a�riennes montre que le radar de l'a�roport confirme l'enregistrement de 3 pistes de trafic inconnu d�tect�es � 05h40 dans le sud- est toulousain. L'enregistrement, qui n'est pas confirm� par les autorit�s militaires est confi� aux sp�cialistes radar de la DGAC pour expertise. Le r�sultat de l'expertise est formel : ces pistes ne sont pas significatives. Elles proviennent en fait d'une r�ponse parasite provoqu�e par un avion circulant au-del� de la port�e effective du radar. La co�ncidence avec l'observation du t�moin a fait croire un moment � une confirmation de la mat�rialit� de son observation. Il n'en �tait rien. Le GEIPAN avait alors class� comme inexpliqu� l'observation elle m�me.
La revisite de ce cas, 18 ans plus tard, ne trouve rien � reprendre de l'analyse de l'artefact radar. Par contre, le caract�re inexpliqu� de l'observation ne peut plus �tre retenu au regard de la consistance du t�moignage. Ce t�moignage est tr�s impr�cis :
- qu'est ce qui �tait orange, les points lumineux ou toute la forme? D'apr�s le dessin du t�moin on peut penser qu'il ne s'agit que des points lumineux mais alors qu'entend le t�moin par ""forme""? Dans l'exp�rience du GEIPAN, de nombreux t�moins croient voir une forme pleine reliant des points lumineux (et av�r�s isol�s) dans le ciel ;
- combien de temps a dur� l'observation. L'expression ""J'ai eu � peine le temps de l'apercevoir"" peut vouloir dire une fraction de secondes comme 10 secondes. Dans le premier cas, on peut penser � des �toiles filantes ou encore � une rentr�e de m�t�oro�des avec fragmentation, encore faudrait-il disposer de l'espacement angulaire des points (taille du triangle), de la pr�sence ou non de halos. Dans le deuxi�me cas (observation durant 10 secondes), la premi�re hypoth�se (�toiles filantes ou rentr�e atmosph�rique) cela est exclue. Selon la forme des points lumineux, le comportement de la lumi�re, on peut penser � un vol d'oiseaux blancs r�tro�clair�s par les lumi�res urbaines (m�prise d�j� enregistr�e, faire une recherche de cas sur www.geipan.fr avec mot clef ""oiseau"") ;
- on sait seulement que cela allait du Nord au Sud-Ouest ce qui va � l'encontre d'objets port�s par le vent qui lui est d'origine Sud (7km/h).
Il y a trop de questions sans r�ponse pour pouvoir explorer, confirmer, infirmer les hypoth�ses que le GEIPAN a appris � poser (peut �tre pas le cas il y a 18 ans) quand un t�moin voit plusieurs points lumineux en triangle.
En cons�quence GEIPAN classe le cas en C: manque d'informations fiables.";"Observation fugitive du d�placement silencieux d'une forme triangulaire avec des lumi�res : manque d'informations fiables.";O;1;1;;1;;;;;2018-07-05;;;0.30;0.00;;;0.50;;0.30;;0.10;0.00;C;C;2000-09-01555
1811;"BACOUEL (60) 31.09.2000";Oise;60;"(D) D�partement";2000;09;31;"Le 21 septembre 2000 un t�moin de retour de son travail vers 5 heures observe durant 2 heures environ � la jumelle un objet lumineux avec une s�rie de couleurs. L'objet se d�place rapidement avec des mouvements erratiques sans faire de bruit. L'objet dispara�t avec le lever du jour. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur cette observation qui est vraisemblablement celle d'un astre.";"Observation probable d'un astre";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2000-09-01556
1812;"[AERO ARF] BELLEGARDE (45) 08.10.2000";Loiret;45;"(D) D�partement";2000;10;08;"Le 8 octobre 2000 � 17 heures 04 TU, le pilote et le copilote d'un vol � destination de Grenoble en phase de mont�e observent le passage tr�s rapide (quelques dixi�mes de secondes) d'un objet rond � quelques m�tres au-dessus du cockpit. L'�quipage a craint une collision de l'objet avec l'empennage arri�re. Aucun ballon n'a pu �tre identifi�. L'hypoth�se d'un gros oiseau (oie) a �galement �t� �voqu�e mais l'enqu�te n'a pas permis d'identifier cette observation qui a mis en jeu la s�curit� du vol.";"Passage d'une grosse boule grise � quelques m�tres au dessus du cockpit d'un avion de ligne.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;2000-10-01558
1813;"[A.BOLIDE] (NAT) FRANCE (FR) 03.11.2000";C�te-d'or;21;"(D) D�partement";2000;11;03;"Le 3 novembre � 19 heures 25 TU, les �quipages de deux avions de ligne � destination et au d�part de Paris, observent un ph�nom�ne lumineux de couleur verte avec une train�e couleur feu en trajectoire descendante correspondant au passage d'une m�t�orite.";"Observation d'une m�t�orite par deux �quipages de deux avions de ligne.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2000-11-01559
1814;"CAHORS (46) 11.11.2000";Lot;46;"(D) D�partement";2000;11;11;"Le 11 novembre 2000, un t�moin observe un engin en forme de disque avec 3 pieds. Cet engin vole rapidement � basse altitude sans faire de bruit. Une observation similaire est faite par un gendarme qui signale un bruit de moteur. L'enqu�te men�e par la gendarmerie montrera qu'il s'agit du test d'un prototype d'ULM pour filmer les oiseaux et destin� au tournage du film ""Le Peuple migrateur"".";"Oservation d'un ULM destin� au cin�ma";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2000-11-01560
1817;"AMBERT (63) 26.12.2000";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";2000;12;26;"T�moignage r�cent (19 f�vrier 2010) d'une observation ancienne : le 26 ou 27 d�cembre 2000 entre 21h et 22h 30 plusieurs personnes d'une m�me famille observent une sorte de disque tr�s lumineux dans le ciel et constatent des coupures d'�lectricit� et des interf�rences sur la t�l�vision. Aucun bruit particulier n'est entendu lors de l'observation de l'objet qui se d�place et dispara�t instantan�ment. Ce cas ancien, sans date ni heure pr�cises et sans proc�s verbal de gendarmerie� l'�poque, rend toute enqu�te impossible par manque d'informations.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux en forme de disque.";O;1;;;;;;;;2011-12-16;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2000-12-02531
1818;"MACON (71) 02.01.2001";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";2001;01;02;"Le 7 janvier 2001 vers 19 heures, un t�moin observe trois points lumineux dans le ciel. Ces points lumineux sont stationnaires et silencieux puis se d�placent lentement vers la gauche avec deux feux clignotants, rouge et blanc. L'observation dure environ 4 minutes. Aucune autre information disponible (t�moignage direct, pas d'enqu�te de gendarmerie).";"Observation de trois points lumineux";O;1;;;;;;;;2009-11-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2001-01-01561
1819;"[AERO CTR] BIARRITZ (64) 16.01.2001";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2001;01;" 1";"C'est la routine pour Emma dans la tour de contr�le de Biarritz-Parme en ce matin du 16 janvier 2001. Le jour se l�ve et le ciel est clair. Vers 7 heures 45 le t�l�phone sonne. C'est son coll�gue Jos� de la tour de contr�le de San Sebastian Fuentarrabia qui observe un point lumineux fixe au dessus de la mer et qui cherche � savoir si l'observation est confirm�e � Biarritz. Effectivement le ph�nom�ne est d�tect�, bien qu'aucune d�tection radar ne soit constat�e. La lumi�re observ�e scintille et devant ce ph�nom�ne suspect, les deux contr�leurs, qui restent en relation t�l�phonique, appliquent chacun de leur c�t� les proc�dures de s�curit� pr�vues dans ce cas.
Jos�, le contr�leur a�rien espagnol appelle le contr�le a�rien de Madrid qui confirme ne pas avoir de trafic a�rien sur la zone, puis le contr�le a�rien militaire de Bilbao qui fait la m�me r�ponse. Par contre un plot est enregistr� par le contr�le radar de Torrejon. S'agit il du m�me ph�nom�ne ?
De son c�t� Emma m�ne des investigations �quivalentes aupr�s du contr�le a�rien de Bordeaux qui n'a rien observ�, pas plus que les militaires, �galement interrog�s.
Toutes ces informations sont transmises le jour m�me par fax au SEPRA qui � son tour contacte le CCOA de Taverny. Celui-ci n'a rien d�tect� de particulier mais se charge d'avoir une confirmation de la d�tection radar inconnue faite par les militaires de Torrejon. Ceux-ci d�mentent peu apr�s.
Au sein m�me du CNES, une v�rification est lanc�e pour identifier un �ventuel lancement de ballon depuis le centre d'Aire sur Adour. Ici encore, le r�sultat est n�gatif et l'observation garde son myst�re.
D�cision est alors prise d'enqu�ter sur place et le 2 f�vrier 2001. Le responsable du SEPRA interrogent les deux t�moins, � Biarritz et San Sebastian et ils proc�dent � une reconstitution et � des relev�s. Ces relev�s, faits au th�odolite, apportent une information capitale. En effet la direction d'observation du ph�nom�ne est identique vue de Biarritz et de San Sebastian qui sont �loign�s d'environ 40 km. Le ph�nom�ne observ� se situe donc tr�s loin et ne peut �tre expliqu� par un a�ronef.
Ce cas sera class� B par le SEPRA : probable observation astronomique. REEXAMEN DU CAS : Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � B � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s �B � en 2001 par le SEPRA.
Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te.
Ce cas est consistant (deux t�moins, tous deux contr�leurs a�riens), la description du PAN observ� est tr�s pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� des t�moins n'ont jamais �t� mises en doute.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur) avec un objet astronomique parfaitement connu : l'�toile Capella, affect�e d'une scintillation exceptionnelle du fait de conditions atmosph�riques particuli�res.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (�tonnement, observation de nuit, scintillation inhabituelle).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e � une m�prise avec l'�toile Capella.";"Observations simultan�es depuis deux tours de cont�le en France et en Espagne d'un ph�nom�ne lumineux stationnaire dans le ciel : observations astronomiques de Capella.";O;1;;;;;;;;2013-10-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2001-01-01753
1820;"MARLY-LE-ROI (78) 13.03.2001";Yvelines;78;"(D) D�partement";2001;03;13;"Le 13 mars 2001 vers 19 heures 50 un t�moin observe le passage d'un point lumineux tr�s brillant avec une train�e lumineuse. Comme le t�moin l'a d'ailleurs imm�diatement interpr�t�, il s'agit de la rentr�e probable d'un objet dans l'atmosph�re.";"Observation de la rentr�e probable d'un objet dans l'atmosph�re.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2001-03-01562
1821;"DOUAI (59) 2001";Nord;59;"(D) D�partement";2001;03;31;"Dans la nuit du 31 mars au 1er avril 2001 puis la nuit suivante, plusieurs t�moins observent un point lumineux plus gros qu'une �toile. Observ� � la jumelle, des scintillements de couleur apparaissent dans le points lumineux. Le ph�om�ne ne fait par de bruit et reste observ� plusieures heures. Il est probable que ces observations soient celles d'�toiles particuli�rement lumineuses.";"Observation probable d'�toiles";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2001-04-01563
1823;"AERO 2001-04-01564";A�rien;01;"(A) A�rien";2001;04;--;"Le 30 avril 2001 � 5 heures 35, l'�quipage d'un DC 10 � destination de Bordeaux observe le passage durant 3 � 4 secondes d'une lueur verte en trajectoire descendante probablement due � une rentr�e atmosph�rique. Observation faite � une distance estim�e de plus de 10 km.";"Observation d'une probable rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;;;;;;;;;;;B;;2001-04-01564
1825;"AERO 2001-06-01566";Cher;18;"(D) D�partement";2001;06;--;"Le 6 juin 2001 � 16 heures 40 l'�quipage d'un A 300 en vol vers Toulouse observe un ph�nom�ne lumineux rapide incandescent en trajectoire descendante. Compte tenu de la proximit� d'une zone militaire, l'observation a �t� probablement identifi�e comme un leurre largu� par un appareil militaire. Le ph�nom�ne a �galement �t� observ� par l'�quipage d'un autre avion.";"Observation probable d'un leurre largu� par un appareil militaire.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;;;;;;;;;;;B;;2001-06-01566
1826;"GINASSERVIS (83) 21.06.2001";Var;83;"(D) D�partement";2001;06;21;"Le 22 juin 2001 vers 21 heures 30 des t�moins observent un point lumineux tr�s brillant dans le ciel qui se d�place tr�s lentement vers le Nord Nord ouest. Il s'agit vraisemblablement d'une observation astronomique, sans doute la plan�te Mars.";"Observation probable de la plan�te Mars";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2001-06-01568
1827;"FARE-LES-OLIVIERS (LA) (13) 24.06.2001";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2001;06;24;"Le 24 juin 2001 vers 19 heures un t�moin observe un objet cylindrique vertical se d�pla�ant lentement. Le t�moin filme le ph�nom�ne en le suivant en moto pour mieux le voir dans ses d�placements. L'altitude estim�e de l'objet est de 600 m�tres et celui-ci semblait mesurer 15 m�tres de hauteur sur 2,5 m�tres de diam�tre. Il �tait couleur aluminium avec des points brillants comme des phares. Le d�placement �tait lent, estim� � 10 km/h environ. L'enqu�te n'a pas permis d'identifier cette observation.";"Observation d'un objet cylindrique brillant se d�pla�ant lentement";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;2001-06-01569
1829;"PUY-SAINTE-REPARADE (LE) (13) 04.07.2001";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2001;07;04;"Le 4 juillet 2001 vers 22 heures 30 des t�moins observent le passage d'un objet de la taille d'un avion (DC 10) avec une rang�e de lumi�res jaunes volant assez bas avec un bruit sourd. Aucune autre information disponible.";"Observation du passage d'un objet de la taille d'un avion avec un bruit sourd.";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2001-07-01570
1830;"AGDE (34) 12.08.2001";H�rault;34;"(D) D�partement";2001;08;12;"Le 12 ao�t 2001 vers 2 heures 15, un couple observant les �toiles filantes constate le passage de trois points lumineux orang�s durant une dizaine de secondes. Le t�moin, contr�leur a�rien de son �tat estime l'altitude � 10000 pieds et la vitesse � 500 nuds. Aucune autre information disponible.";"Observation du passage de 3 points lumineux";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2001-08-01571
1831;"TOCANE-SAINT-APRE (24) 20.08.2001";Dordogne;24;"(D) D�partement";2001;08;20;"Le 20 ao�t 2001, vers 23 heures 15 un t�moin sur un terrain de camping observe le passage d'un triangle d�limit� par trois points lumineux dans le ciel. Le ph�nom�ne est silencieux et dure quelques minutes. Le fils du t�moin essaiera en vain de le filmer. Aucune autre information disponible.";"Passage d'un triangle d�limit� par trois points lumineux dans le ciel : manque d'information.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2001-08-01572
1832;"VILLIERS-LE-BACLE (91) 07.09.2001";Essonne;91;"(D) D�partement";2001;09;07;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� TOUSSUS LE NOBLE (78) 07.09.2001 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 7 septembre 2001, sur le terrain de football de Villiers-Le-bacle (91), le repr�sentant du pr�fet d�couvre trois cercles d'herbes carbonis�es de 30 � 40 cm environ et formant un triangle isoc�le d'environ 120 m�tres.
L'enqu�te de gendarmerie permettra de d�couvrir du charbon de bois d�vers� dans le foss� voisin et de nombreuses traces de v�hicules du fait de l'occupation r�cente du terrain voisin par des gens du voyage.
Le GEIPAN (� l'�poque c'�tait le SEPRA) avait class� le cas en inexpliqu�.
Le GEIPAN ne traite plus les cas d'observation qui ne comportent pas une phase a�rospatiale, c'est � dire une observation per�ue par le t�moin comme ayant �t� (au moins sur une phase de l'observation) dans le ciel ou � la proximit� imm�diate du ciel et du sol. C'est dans ce domaine a�rospatial que le GEIPAN dispose de comp�tences et outils pour rechercher des explications (de Ph�nom�nes a�rospatiaux). Les traces au sol sont bien s�r exploit�es et pr�cieuses quand elles sont associ�es ou associables � une observation a�rospatiale. Ce n'est absolument pas le cas ici, il n'y a aucun t�moignage de PAN.
En cons�quence, il y a lieu de d�clarer le t�moignage inexploitable par le GEIPAN : classement du cas en C.";"Observation de cercles d'herbe calcin�e sur un terrain de football : aucune observation d'un ph�nom�ne a�rospatial : t�moignage inexploitable.";O;1;;;;;;;;2017-12-07;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.10;;0.10;0.00;C;C;2001-09-01573
1833;"SAINT-LAURENT-DE-LA-SALANQUE (66) 27.09.2001";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2001;09;27;"Dans la nuit du 26 au 27 septembre � 2 heures 14, un t�moin observe durant 7 � 10 secondes le passage rapide d'un grand objet de forme triangulaire. Cet objet, qui semble beaucoup plus grand qu'un avion, se d�place sans bruit et tr�s rapidement, environ 2 � 3 fois plus vite q'un avion � une altitude estim�e de 600 � 700 m�tres. La forme triangulaire �tait sombre, avec une lumi�re phosphorescente � chaque extr�mit�. Aucune explication n'a pu �tre apport�e � ce ph�nom�ne.";"Observation du passage rapide d'une forme triangulaire.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;2001-09-01574
1834;"SAINT-JEAN DE MAURIENNE (73) 2001";Savoie;73;"(D) D�partement";2001;10;07;"Le 7 octobre 2001 vers 19 heures 30, plusieurs t�moins ind�pendants observent le passage tr�s rapide d'une boule de feu verte accompagn�e de points lumineux blancs avec des train�es. Il s'agit probablement de la rentr�e d'un objet dans l'atmosph�re.";"Observation de la rentr�e probable d'un objet dans l'atmosph�re.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2001-10-01575
1835;"SAINT-JORY (31) 21.10.2001";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2001;10;21;"Le 21 octobre 2001 vers 5 heures 40, un t�moin observe durant une dizaine de seconde une lueur en forme de soucoupe et tournant sur elle-m�me. Aucune autre information disponible.";"Observation d'une lueur en forme de soucoupe.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2001-10-01576
1836;"LABRUGUIERE (81) 05.10.2001";Tarn;81;"(D) D�partement";2001;10;05;"Un t�moin rapporte en 2008 une observation faite le 5 octobre 2001 : le t�moin � la chasse observe quelques minutes dans le ciel la pr�sence d'un long tube transparent qui ondule au gr� du vent. Pensant tout d'abord � un effet d'optique, le t�moin intrigu� voit l'objet dispara�tre soudainement.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne
L'objet d�crit fait penser � un ballon tubulaire thermique (solaire). Mais faute d'informations pr�cises, ce cas est class� ""C"".";"Observation d'un long tube transparent stationnaire et disparition soudaine : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2012-08-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2001-10-01807
1837;"VAL DE REUIL (27) 01.12.2001";Eure;27;"(D) D�partement";2001;12;01;"Le 01 d�cembre 2001 vers 23 heures 40, plusieurs t�moins observent durant une quinzaine de secondes le passage de 6 � 12 points tr�s lumineux qui se consument rapidement. Il s'agit probablement d'une rentr�e atmosph�rique.";"Obserbation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;4;;;;;;;;2010-03-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2001-12-01578
1839;"VITRE (35) 22.12.2001";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2001;12;22;"Le 22 d�cembre 2001 vers 2 heures 30 un t�moin en voiture observe une grande forme triangulaire volant lentement et silencieusement. Apr�s avoir arr�t� son v�hicule, le t�moin en descend et constate que le ph�nom�ne est stationnaire une dizaine de secondes au-dessus de lui avant de repartir. Sous l'objet se trouvait des feux tr�s brillants et tr�s mobiles, ""l'avant"" de l'objet semblait �tre en plexiglas. L'enqu�te montrera que la personnalit� du t�moin rend ce t�moignage peu cr�dible.";"Observation d'une grande forme triangulaire avec des phares tr�s lumineux";O;1;;;;;;;;2017-02-28;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2001-12-01580
1840;"MONTELIMAR (26) 19.01.2002";Dr�me;26;"(D) D�partement";2002;01;19;"Le 19 janvier 2002 vers 17 heures 45, un t�moin circulant sur l'autoroute aper�oit durant une seconde environ le passage tr�s rapide d'une masse lumineuse verte qui traverse le ciel avec une train�e lumineuse. Il s'agit probablement de l'observation d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2002-01-01581
1841;"PALAISEAU (91) 02.02.2002";Essonne;91;"(D) D�partement";2002;02;02;"Le 2 f�vrier 2002 vers 19 heures 40, une famille en voiture observe, au-desus d'un domaine forestier, une masse illumin�e en forme de soucoupe. Dans la nuit, cette masse, surmont�e d'un d�me, est de couleur grise avec des lumi�res blanches espac�es sur sa ceinture. Le ph�nom�ne est stationnaire au-dessus des arbres avec un diam�tre estim� par les t�moins � une quinzaine de m�tres. Aucun bruit particulier n'est entendu. Suite au changement d'axe routier, les t�moins perdent de vue l'objet. Le cas � l'�poque est class� D
Suite � un mail r�cent d'un internaute indiquant dans le secteur d'observation un ch�teau d'eau qui aurait pu conduire � l'�poque � une m�prise, le cas est r�ouvert et des compl�ments d'enqu�te sont recherch�s.
D'apr�s la position des t�moins, il est probable qu'il y ait eu m�prise, non pas avec un ch�teau d'eau mais avec le radar secondaire de la D�l�gation G�n�rale de l' Aviation Civile de Paris Sud Palaiseau ,utilis� pour l'a�roport d'Orly, situ� effectivement dans l'axe de l'observation et correspondant aux descriptions donn�es par les t�moins. Ce cas est reclass� en B.";"Observation d'une masse lumineuse en forme de soucoupe";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2002-02-01582
1842;"NAUCELLE (12) 2002";Aveyron;12;"(D) D�partement";2002;02;07;"Le 7 f�vrier 2002 vers 8 heures, plusieurs t�moins ind�pendants observent la chute tr�s rapide d'une boule de feu orang�e. L'observation est tr�s br�ve (1 � 2 secondes) : la boule a une train�e et dispara�t rapidement. D'autres t�moins dans un d�partement voisin signalent �galement l'observation de ce ph�nom�ne qui est probablement une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2002-02-01583
1844;"SAINT-LEGER-SUR-DHEUNE (71) 21.02.2002";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";2002;02;21;"Le 21 f�vrier 2002 vers 20 heures un t�moin en promenade avec son �pouse observe un objet ovale � haute altitude, qui se d�place d'abord lentement puis dispara�t dans une acc�l�ration fulgurante. L'observation a �t� tr�s br�ve, l'�pouse du t�moin n'a rien vu. Aucune autre information disponible sur cette observation.";"Observation fugitive d'une forme lumineuse ovale";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2002-02-01585
1845;"[RENTREE ATMOSPHERIQUE] (NAT) FRANCE (FR) 16.03.2002";Paris;75;"(D) D�partement";2002;03;16;"Le 16 mars 2002, les �quipages de plusieurs avions signalent le passage tr�s rapide d'une lumi�re verte avec une train�e, provenant sans doute d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observations par des pilotes d'un ph�nom�ne lumineux bref mais intense dans le ciel : observations probables d'une rentr�e atmosph�rique.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;;;;;;;;;;;B;;2002-03-01586
1846;"BOURGOGNE (--) 06.04.2002";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";2002;04;06;"Le 6 avril 2002 � 22 heures 45, plusieurs t�moins ind�pandants r�partis dans plusieurs d�partements observent la chute tr�s rapide d'une boule de feu qui ne fait aucun bruit.
Tous les t�moins indiquent que l'observation a eu lieu vers l'est. Ce ph�nom�ne a �galement �t� signal�e par des t�moins en Bavi�re.
L'hypoth�se retenue est celle d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";O;4;;;;;;;;2012-01-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2002-04-01587
1848;"DREUX (28) 02.06.2002";Eure-et-Loir;28;"(D) D�partement";2002;06;02;"Dans la nuit du 2 juin 2002, un automobiliste observe la chute d'un objet incandescent qui se fragmente en plusieurs morceaux. L'observation est br�ve (quelques secondes) et ne donne lieu � aucun bruit. Ph�nom�ne class� comme probable rentr�e atmosph�rique d'un d�bris spatial.";"Observation de la chute d'un objet en plusieurs morceaux";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2002-06-01588
1851;"VAUCLUSE (84) 05.07.2002";Provence-Alpes-C�te-d'Azur;;"(R) R�gion";2002;07;05;"Le 5 juillet 2002 entre 22 heures et 22 heures 30, de nombreux t�moins observent plusieurs lumi�res blanches align�es et se d�pla�ant ensemble. Le ph�nom�ne a �t� observ� dans plusieurs d�partements couvrant le Vaucluse et les Bouches du Rh�ne.
Suivant les t�moignages, les lumi�res �taient au nombre de 6 ou 8, align�es, en cercle ou en forme de 2 triangles, mais tous concordent sur le fait que le d�placement �tait uniforme pour toutes les lumi�res. Selon les cas, l'observation a dur� de quelques minutes � une heure.
Des observations en 2008 aux caract�ristiques similaires ont �t� enqu�t�es et class�es A comme l'observation de vol de la Patrouille de France : /geipan/actualites/13082009-Des-PAN-en-formation-dans-le-Vaucluse-en-Juillet-2008.html
De ce fait ce cas a �t� r�examin� et identifi� comme des observations de la Patrouille de France.";"Observation par de nombreux t�moins de plusieurs lumi�res se d�pla�ant de concert.";O;7;;;;;;;;2011-07-12;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2002-07-01589
1852;"SISTERON (04) --.08.2002";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";2002;08;--;"T�moignage r�cent (13/02/2011) d'une observation ancienne sans pr�cision de la date du jour. Nous datons arbitrairement l'observation au premier ao�t 2002.
Au d�but du mois d'ao�t 2002 vers 20h30, un automobiliste observe dans le ciel le passage d'un objet volant lentement sur une trajectoire rectiligne et dans une direction S-E. L'objet a une forme cylindrique, une couleur marron, se d�place sans aucun bruit en laissant une courte train�e derri�re lui. Il prend alors une photographie argentique. Le t�moin appelle la gendarmerie d�clarant qu'il a vu ""une fus�e"" qui allait du Nord-Ouest au Sud-Est. C'est en retrouvant la photographie quelques ann�es plutard, que le t�moin adressera la questionnaire et deux photographies au GEIPAN .
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne. Le t�moignage tardif de cette observation rend toute enqu�te impossible � ce jour.";"Observation du passage silencieux d'un objet cylindrique marron : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2002-08-02720
1853;"NANTES (44) 02.09.2002";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2002;09;02;"Le 2 septembre vers 22 heures et durant 25 minutes environ, un t�moin observe une s�rie de points lumineux se succ�dant depuis l'horizon jusqu'� un point o� ils ""tombaient"". Un triangle avec des points lumineux a �t� observ� �galement . Aucun bruit n'a �t� entendu. Ph�nom�ne class� C faute d'informations compl�mentaires.";"Observation de points lumineux semblant tomber";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2002-09-01590
1854;"PETITE ILE (974) 2002";"La R�union";974;"(D) D�partement";2002;09;22;"Dant la nuit du 21 au 22 septembre 2002 vers minuit un couple de t�moins est r�veill� par un bruit sourd qui devient insupportable et qui se termine par 3 violentes explosions. L'ensemble du ph�nom�ne a dur� 3 secondes environ. Curieusement leurs enfants n'ont pas �t� r�veill�s et leur voisin n'a rien entendu. Aucune autre information. Cas class� C.";"Bruit sourd qui devient insupportable et qui se termine par 3 violentes explosions : manque d'information.";O;2;2;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2002-09-01591
1855;"CHOMERAC (07) 26.06.2002";Ard�che;07;"(D) D�partement";2002;06;26;"Le 26 septembre 2002 vers 3 heures 30, observation par un t�moin de 3 barres lumineuses verticales ayant des mouvements vari�s. Le t�moin note qu'il a �t� ""appel�"" par ""une voix"" � aller voir le ph�nom�ne. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur ce ph�nom�ne class� C.";"Observation de 3 barres lumineuses verticales ayant des mouvements vari�s";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2002-09-01592
1856;"AERO 2002-09-01593";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2002;09;--;"Le 27 septembre 2002 � 14 heures 48 TU, l'�quipage d'un A 320 effectuant un vol Teneriffe-Bruxelles, observe un objet rond qu'il qualifie lui-m�me de ballon, probablement un ballon m�t�o.";"Observation probable d'un ballon m�t�o";O;1;;;;;;;;2017-11-16;;;;;;;;;;;;;B;;2002-09-01593
1859;"PUISEAUX (45) 08.10.2002";Loiret;45;"(D) D�partement";2002;10;08;"Le 8 octobre 2002 vers 22 heures 20 plusieurs t�moins dans des lieux diff�rents ont fait l'observation d'une lumi�re tr�s vive suivi de la chute d'un objet selon une trajectoire � 45 degr�s. Le ph�nom�ne est class� B et est identifi� comme une probable rentr�e atmosph�rique.";"Chute d'un objet selon une trajectoire � 45 degr�s.Probable rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2002-10-01594
1860;"[AERO LXR] LAT 46.26, LON -3.35 (85) 16.10.2002";Vend�e;85;"(D) D�partement";2002;10;16;"L'�quipage d'un A320 effectuant un vol Lisbonne-Orly observe le 16 octobre 2002 vers 19 hures 30 TU le passage tr�s bref de deux lumi�res tr�s vives au-dessus de leur appareil � une grande distance, estim�e � plus de 35 km. La trajectoire �tait rapide, descendante. L'observation est probablement celle d'une rentr�e atmosph�rique, d'ailleurs identifi�e comme telle par l'�quipage.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2002-10-01595
1861;"ANNECY-LE-VIEUX (74) 20.10.2002";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2002;10;20;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� ANNECY-LE-VIEUX (74) 20.10.2002 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 20 octobre 2002 vers 18h40, un couple observe depuis une terrasse les �volutions silencieuses d'un groupe de 7 � 9 tr�s petits objets sombres ou noirs dans le ciel. Ces derniers sont anim�s de diff�rents mouvements les uns par rapport aux autres. L'observation � l'il nu puis aux jumelles durent une dizaine de minutes. Le d�placement de l'ensemble se fait en direction du NNE � une vitesse estim�e comme �tant tr�s faible et � une altitude constante. Un seul t�moignage est recueilli. les contr�les a�riens du secteur sont contact�s mais aucune activit� particuli�re n'a �t� signal�e.
Nous avons explor� deux hypoth�ses explicatives pour le ph�nom�ne observ� par les t�moins (voir le compte rendu d'enqu�te).
La premi�re concerne une confusion avec un groupe d'oiseaux noirs, �voluant � haute altitude dans un couloir migratoire.
Bien que la situation g�ographique et temporelle des t�moins, situ�s dans un couloir migratoire et r�alisant leur observation fin octobre, en pleine migration, appuient cette hypoth�se, elle reste n�anmoins fragile, en particulier pour deux raisons :
- les donn�es connues et calcul�es altitude des PAN/dur�e d'observation/vitesse ne collent pas avec les caract�ristiques des oiseaux recens�s de passage ce jour-l�;
- et surtout, la trajectoire s'effectue en sens inverse de celle, classique, de la migration.
La seconde hypoth�se, celle d'une confusion avec une grappe de ballons noirs attach�s par des ficelles, cadre en revanche tr�s bien avec les donn�es.
Un faible vent de sud-ouest soufflait le jour de l'observation, dans le m�me sens que le d�placement des PAN, qui s'effectuait tr�s lentement. Les donn�es connues et calcul�es relatives � cette vitesse de d�placement, � l'altitude et � la dur�e d'observation cadrent tr�s bien avec l'hypoth�se. Ainsi, avec une estimation d'altitude de 500 m, nous avons un d�placement angulaire total d'environ 67�, ce qui est plausible au regard de la configuration g�ographique des lieux.
Par ailleurs, les mouvements des individus au sein du groupe (rapprochements, �loignements, � rotations �) s'expliquent par le fait qu'ils sont reli�s entre eux, de fa�on plus ou moins l�che, par des ficelles. Port�s par le vent local, ils se d�placent d'un seul tenant, mais restent toutefois soumis � des petites influences locales les faisant se d�placer de fa�on al�atoire et ind�pendamment les uns des autres, dans la limite de la port�e de la ficelle les reliant.
Cette variante de l�cher de ballon ludique se pratique en effet et produit de tel effets, comme cela est montr� sur cette vid�o o� les cinq ballons changent sans cesse de position relative, tout en restant confin�s dans une zone restreinte, �tant tous reli�s par des ficelles. Le GEIPAN n'avait pas encore assez d'exp�rience de ce type de l�cher de ballons lors de l'observation et de la premi�re enqu�te.
L'observation a lieu un dimanche soir en fin d'apr�s- midi, ce qui est propice � un �v�nement festif ou r�cr�atif de ce type.
La consistance est m�diocre, avec un seul t�moignage recueilli, alors que plusieurs t�moins �taient pr�sents, et des donn�es, en particulier angulaires, sont manquantes. Aucun enregistrement photo ou vid�o n'a par ailleurs �t� effectu�.
Le GEIPAN classe le cas en �B� : observation probable de ballons ludiques.
";"Observation � l'il nu et aux jumelles du d�placement silencieux SSO-NNE d'un groupe d'objets (de 7 � 9) sombres anim�s de mouvements (rotatif, �loignement, rapprochement) les uns par rapport aux autres ainsi que d'un objet identique s�par� : observations de ballons ludiques.";O;1;1;;7;;;;;2018-07-05;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.60;;0.45;0.00;B;B;2002-10-01596
1862;"LEZIGNAN-CORBIERES (11) 29.10.2002";Aude;11;"(D) D�partement";2002;10;29;"Le 29 octobre 2002 vers 19 heures, observation par un t�moin d'un objet en forme de triangle de dimension apparente de 40 � 50 cm avec des feux aux sommets et circulant � vitesse constante selon une trajectoire rectiligne et sans aucun bruit. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur cette information class�e C.";"Observation d'un objet en forme de triangle avec des feux aux sommets";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2002-10-01597
1863;"CAZERES-SUR-L'ADOUR (40) 01.11.2002";Landes;40;"(D) D�partement";2002;11;01;"Le 01 novembre 2002 vers 22 heures, observation par un t�moin d'une boule couleur feu poss�dant plusieurs feux clignotants. Cette boule a fait plusieurs va et vient. Le ph�nom�ne a disparu au bout de 30 secondes environ. Cette observation semble �galement avoir �t� faite par des pilotes. Ph�nom�ne inexpliqu� class� D.";"Observation par un t�moin d'une boule couleur feu poss�dant plusieurs feux clignotants";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;2002-11-01598
1864;"SAINT-JEAN-D'HERANS (38) 08.11.2002";Is�re;38;"(D) D�partement";2002;11;08;"Le 8 novembre 2002 de 23 heures 45 � 00 heure 15, observation par un couple de t�moin d'un ph�nom�ne lumineux constitu� d'une douzaine de points lumineux dispos�s selon un ovale et qui tournaient dans le sens des aiguilles d'une montre. Au centre du ph�nom�ne se trouvaient une demi douzaine de points lumineux fixes. Aucun bruit n'a �t� entendu. Bien que l'enqu�te n'ai pas pu l'�tablir, il est probable, d'apr�s la description qu'ils en font, que les t�moins aient aper�u de tr�s loin les effets d'un projecteur laser publicitaire.";"Observation probable d'un projecteur laser publicitaire";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2002-11-01599
1865;"[D980] vers SAINT-PRIVAT (19) 16.11.2002";Corr�ze;19;"(D) D�partement";2002;11;16;"Le 16 novembre 2002 vers 21 heures, observation par un t�moin d'une lueur ressemblant � une fus�e qui se d�place � vive allure. L'apparition a dur� environ 2 secondes. Cas class� C faute d'informations.";"Observation par un t�moin d'une lueur ressemblant � une fus�e qui se d�pla�ait � vive allure : manque d'information.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2002-11-01600
1868;"ANNECY (74) 03.12.2002";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2002;12;03;"Le 3 d�cembre 2002 � 18 heures, observation par 2 t�moins dans le ciel de 2 points lumineux de forme allong�e se d�pla�ant en ligne droite sans aucun bruit. L'observation a dur� 5 minutes environ.
Les deux points lumineux observ�s par le t�moin correspondent � la station internationale ISS (objet 25544) pr�c�d�e de peu par la navette spatiale STS113 qui s'�tait d�samarr�e de la station la veille, avant de rentrer sur terre le 7/12. (Voir en annexe les traces de ces objets report�es au sol entre 17h55 et 18h05).
Ce cas est class� ""A"" comme ph�nom�ne parfaitement identifi�.";"Observation de 2 points lumineux de forme allong�e se d�pla�ant en ligne droite sans aucun bruit : passage de l' ISS.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2002-12-01601
1869;"GRAVELINES (59) 2002";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2002;12;09;"Le 9 d�cembre 2002 un instructeur pilote priv� avec 2 �l�ves pilotes ont vu lors du d�collage de leur avion, un gros phare qui se dirigeait vers eux puis qui s'est �teint laissant appara�tre une forme sph�rique qui a brusquement chang� de direction. La tour de contr�le n'a rien d�tect�, pas plus que les radars. Ph�nom�ne inexpliqu� class� D.";"Observation par un pilote priv� d'une grosse lueur qui venait dans sa direction et qui a brutalement disparu";O;3;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;2002-12-01602
1870;"HEGENHEIM (68) 30.12.2002";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2002;12;30;"Un t�moin rapporte en juin 2011 une observation faite le 30 d�cembre 2002 : alors qu'il regarde un feu d'artifice, il constate dans le ciel un ph�nom�ne lumineux qu'il ne s'explique pas ; il voit un cercle lumineux blanc stationnaire tournoyant dans un sens puis dans un autre. Un seul t�moignage sera recueilli sur ce ph�nom�ne
Le cas, d�clar� r�cemment (8/06/2011), ne peut donner lieu � une enqu�te.
Aucun autre t�moignage ne peut �tre crois� avec celui-ci. Le cas est donc class� C par manque d'informations.";"Observation d'un cercle lumineux dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2011-06-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2002-12-02768
1871;"SANTO-PIETRO-DI-VENACO (2B) 11.01.2003";Haute-Corse;2B;"(D) D�partement";2003;01;11;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� CORTE (2B) 2003 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le samedi 11 janvier 2003 vers 18h15-18h20 un automobiliste en voiture et son passager sur la RN193 en direction de Corte (2B) sont surpris par le passage rapide et silencieux dans le ciel d'une forte lumi�re de couleur verte avec des �clats blancs. Les t�moins d�crivent une forme circulaire. Durant l'observation de quelques secondes, l'objet se d�place sur une trajectoire Sud-Nord.
La description des t�moins, dans un ciel de nuit d�gag�, est typique d'une observation de rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de :
- dur�e courte de quelques secondes, vitesse angulaire forte ;
- couleurs intenses multiples vert (fluorescent) jaune avec halos.
Ici, les t�moins ne d�crivent pas de train�es mais plut�t une forme ronde. T1 distingue dans ce cercle des d�tails internes divers comme des ouvertures et de feux de positions.T2 ne rel�ve aucun d�tail dans ce cercle lumineux qu'il d�crit aussi � la fin selon un ""trait de lumi�re"". Il n'y a pas de perception de bruit mais les t�moins sont en voiture et un m�t�oro�de est souvent silencieux pour les t�moins.
Depuis 2003, date de l'observation, l'exp�rience GEIPAN en t�moignages de ce type s'est largement accrue, aussi en collaboration avec des sites sp�cialis�s de recueil de t�moignages (IMO, BOAM, FRIPON, REFORME). Compte-tenu des �l�ments descriptifs fr�quemment pr�sents lors de rentr�es de m�t�oro�des av�r�es (car observ�es avec beaucoup de recoupements sur de grandes distances au sol gr�ce aussi aux sites pr�cit�s), il y a forte probabilit� qu'il en soit ainsi pour cette observation.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B: observation probable de rentr�e de m�t�oro�de.";"Observation du passage tr�s rapide et silencieux d'un ph�nom�ne lumineux vert fluorescent dans le ciel : probable observation d'une rentr�e de m�t�oro�de.";O;2;2;;1;;;;;2018-06-07;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;B;B;2003-01-01603
1873;"BUCHELAY (78) 05.02.2003";Yvelines;78;"(D) D�partement";2003;02;05;"Le 5 f�vrier 2003 vers 18 heures 50, observation par un t�moin d'un grand objet triangulaire, avec 9 anneaux de couleur orang�e. La forme �mettait un l�ger bruit d'avion, le temps est nuageux. Apr�s �tre rest� stationnaire quelques secondes, le ph�nom�ne � vir� de 45 degr�s partant en trajectoire ascendante et il a disparu. Ph�nom�ne inexpliqu� class� D.";"Observation d'un grand objet triangulaire, avec 9 anneaux de couleur orang�e";O;1;;;;;;;;2010-01-07;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;2003-02-01604
1874;"BISSEZEELE (59) 14.02.2003";Nord;59;"(D) D�partement";2003;02;14;"Suite au transfert des photographies sur son ordinateur , le t�moin se rend compte que sur l'un des clich�s un triangle appara�t. Faute d'informations pr�ciseS, le ph�nom�ne est class� C.";"Observation de points en triangle lors de l'examen de photographies";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2003-02-01605
1875;"SAINT-ANTONIN-NOBLE-VAL (82) 22.07.2003";Tarn-et-Garonne;82;"(D) D�partement";2003;07;22;"le 22 f�vrier 2003 vers 7 heures 10 un t�moin observe le passage tr�s rapide d'une boule lumineuse rouge orang�e avec une train�e. Le ph�nom�ne qui n'a dur� que quelques secondes est probablement une rentr�e dans l'atmosph�re.";"Observation vraisemblable d'une rentr�e dans l'atmosph�re";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2003-02-01606
1877;"SUD-OUEST 21.03.2003";Nouvelle-Aquitaine;NAQ;"(R) R�gion";2003;03;21;"Le 21 mars 2003 vers 20 heures 15, plusieurs personnes dans l'Aude et dans les Landes sont t�moins de la chute tr�s rapide et silencieuse d'une boule verd�tre.
S'agissant vraisemblablement d'une rentr�e atmosph�rique, l'observation a �t� class�e B.";"Observations vraisemblables d'une rentr�e atmosph�rique.";O;4;;;;;;;;2012-01-17;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2003-03-01608
1878;"LATOUE (31) 22.03.2003";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2003;03;22;"Observations p�riodiques de sources lumineuses, de faisceaux lumineux �clairant la maison du t�moin et de plusieurs ""atterrissages"". Toutes les investigations m�n�es n'ont pas permis de corroborer les dires du t�moin, et aucune trace n'a pu �tre relev�e sur les lieux des atterrissages pr�suppos�s. L'attitude des �ventuels autres t�moins ainsi que de son �pouse fait douter de la cr�dibilit� de ce t�moignage.";"Observation p�riodique de sources lumineuses";O;1;;;;;;;;2017-12-01;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2003-03-01609
1881;"ANGLES (85) 07.04.2003";Vend�e;85;"(D) D�partement";2003;04;07;"Le 7 avril 2003 vers minuit, un t�moin observe le passage bref d'une lumi�re verte de la taille d'une tr�s grosse �toile en chute verticale qui dispara�t avant de toucher le sol. Il s'agit de l'observation vraisemblable d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation vraisemblable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2003-04-01610
1884;"[RENTREE ATMOSPHERIQUE] (NAT) FRANCE (FR) 11.06.2003";A�ro;30;"(A) A�rien";2003;06;11;"Le 11 juin 2003 vers 02 heure 30 les �quipages de plusieurs avions observent durant quelques secondes le passage d'une forte lueur bleue verte qui semble tr�s proche de l'avion pour certains membres de l'�quipage. Cette lueur est probablement due � une rentr�e atmosph�rique.";"Multiples observations par des pilotes d'un ph�nom�ne lumineux intense mais bref : probable rentr�e atmosph�rique.";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;;;;;;;;;;;B;;2003-06-01612
1886;"BELLEGARDE-DU-RAZES (11) 09.08.2003";Aude;11;"(D) D�partement";2003;08;09;"Le 9 ao�t 2003 vers 23 heures, observation par un t�moin et sa famille du passage dans le ciel de lumi�res clignotantes �voquant un gros porteur. Ph�nom�ne class� C faute d'informations suffisantes.";"Observation du passage dans le ciel de lumi�res clignotantes �voquant un gros porteur.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2003-08-01613
1887;"DINARD (35) 19.08.2003";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2003;08;19;"Le 19 ao�t 2003 vers 23 heures 40, observation de 2 points fixes haut dans le ciel, qui se sont ensuite d�plac�s tr�s rapidement et ont disparu au bout de quelques secondes. Les informations sur cette observation sont tr�s pauvres, d'o� le classement en C.";"Observation de 2 points fixes haut dans le ciel , qui se sont ensuite d�placer tr�s rapidement et disparu au bout de quelques secondes.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2003-08-01614
1888;"VOUECOURT (52) 1-.08.2003";Haute-Marne;52;"(D) D�partement";2003;08;01;"T�moignage direct : dans le courant du mois d'aout 2003 ( le t�moin ne se souvient plus du jour exact) vers minuit, cinq personnes regroup�es sur la place du village pour observer les �toiles sont t�moins d'un ph�nom�ne lumineux particulier. Regardant le ciel et observant les �toiles filantes, ils sont ""flash�s"" durant une demi seconde par deux rang�es de trois spots juste au-dessus d'eux. Le flash est de couleur blanche, l'intensit� lumineuse importante et �claire comme en plein jour. Les spots s'�teignent progressivement sur une seconde. Le tout s'est d�roul� sans aucun bruit. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation de flashes de couleur blanche.";O;1;;;;;;;;2012-01-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2003-08-01848
1893;"GOUVERNES (77) 15.09.2003";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2003;09;15;"T�moignage r�cent (03/10/2012) d'une observation ancienne dont la date reste approximative selon le t�moin.
Le 15 septembre 2003 vers 21h30, une personne observe la pr�sence successive dans le ciel de deux objets sombres traingulaires �quip�s plusieurs lumi�res. D'abord stationnaires puis se d�pla�ant rapidement avec des changements de direction, ils disparaissent vers le soleil couchant. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation. Le t�moin illustre son propos avec une photo du cas du Petit-Rechain de 1990 en Belgique, pr�cisant qu'il y avait davantage de luminosit� lors de son observation.
Du fait de la lumi�re variable situ�e au milieu du triangle, ce pourrait �tre une m�prise avec un avion ou h�licopt�re, observ� depuis suffisamment loin pour ne pas �tre entendu.
L'impr�cision sur la date et l'anciennet� de l'observation rendent une enqu�te s�rieuse impossible.
Ce cas est class� ""C"" par manque d'information.";"Observation de la pr�sence et du d�placement silencieux deux deux objets sombres : trajectoire principalement rectiligne mais avec de brusques changements de directions. Manque d'information.";O;1;;;;;;;;2013-02-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2003-09-08336
1894;"[AERO RYR] NUAILLE-D'AUNIS (17) 01.12.2003";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2003;12;01;"Le 3 d�cembre 2003 l'�quipage d'un boeing 737 signale un ph�nom�ne lumineux tr�s bref traversant l'atmosph�re probablement provoqu� par une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2003-12-01616
1895;"GIF-SUR-YVETTE (91) 05.12.2003";Essonne;91;"(D) D�partement";2003;12;05;"T�moignage r�cent (06/2014) d'une observation ancienne.
Le 5 d�cembre 2003 entre 20h et 20h30 un t�moin t�l�phone � un de ses amis face � la fen�tre lorsqu'il observe dans le ciel d�gag� une forme ovale immobile et blanche. Cette forme est tr�s proche de la Lune, d'une taille quasi identique et de la m�me couleur et intensit� que cette derni�re. La lueur disparait rapidement. L'observation a dur� entre 15 et 20 secondes. Un seul t�moignage est recueilli sur ce ph�nom�ne.
D'�tranget� et de consistance faible (observation courte de 20 secondes, t�moin unique, absence de photo, t�moignage tardif, incoh�rence entre la position de la Lune relat�e et position r�elle, conditions atmosph�riques), ce cas est une observation probable d'un ph�nom�ne d'optique atmosph�rique nomm� paras�l�ne (voir les notes d'enqu�te).
Il est �galement � noter que le t�moignage tardif, pr�s de 10 ans apr�s les faits, a certainement entra�n� des erreurs m�morielles (ciel �toil� et position de la Lune).
Ce cas est class� B, observation probable de paras�l�ne.";"Courte observation d'une forme de la m�me taille, intensit�, couleur que la Lune tr�s proche : observation probable de paras�l�ne.";O;;1;;1;;;;;2016-06-20;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.60;;0.36;0.00;B;B;2003-12-08708
1896;"BORDEAUX (33) 04.01.2004";Gironde;33;"(D) D�partement";2004;01;04;"Le 4 janvier 2004 vers 17 heures 45, plusieurs t�moins aper�oivent la chute tr�s rapide d'une grosse boule de feu. Il s'agit probablement d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2009-11-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2004-01-01617
1897;"CHEILLE (37) 08.02.2004";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2004;02;08;"Le 8 f�vrier 2004 un peu avant 19 heures, observation de la chute rapide d'un objet lumineux rouge incandescent. Il s'agit probablement de la chute d'un m�t�orite.";"Observation probable de la chute d'un m�t�orite";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2004-02-01618
1898;"SAINT-GERY (46) 2004";Lot;46;"(D) D�partement";2004;02;14;"Le 14 f�vrier 2004 vers 15 heures, observation par de nombreux t�moins de la chute d'un objet lumineux. Compte tenu des caract�ristiques et de la dur�e de l'observation (quelques secondes), il s'agit probablement de l'observation d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2004-02-01619
1900;"BLAINVILLE SUR L'EAU (54) 2004";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2003;03;03;"Le 3 mars 2004 vers 16 heures, observation par plusieurs t�moins de la chute d'un objet. Celui-ci a provoqu� un impact au sol ressenti par les t�moins et enregistr� par l'Institut de Physique du Globe � Strasbourg. Des manoeuvres a�riennes dans le secteur avec la pr�sence de plusieurs h�licopt�res avaient lieu lors de l'observation . L'observation a �t� class�e B, pouvant s'expliquer par la chute d'un m�t�orite ou un impact au sol li� aux manuvres a�riennes.";"Observation par plusieurs t�moins de la chute qui a provoqu� un impact au sol";O;4;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2004-03-01620
1901;"MARSANEIX (24) 02.04.2004";Dordogne;24;"(D) D�partement";2004;04;02;"Dans la nuit du 2 avril 2004, plusieurs t�moins observent un point lumineux � l'Ouest, tr�s brillant parmi des �toiles. Sur les lieux les gendarmes constatent que le point est situ� � environ 30� de l'horizon et qu'il semble se d�placer tr�s lentement. L'enqu�te de gendarmerie d�montrera que le point observ� est V�nus vue parmi un amas d'�toiles ""les Pl�iades"" souvent confondues avec la Petite Ourse.
Ce ph�nom�ne est rare et se produit tous les huit ans.
Le cas est class� A : observations de V�nus.";"2004. Observations du lent d�placement d'un point tr�s lumineux au milieu d'un amas d'�toiles : observations d'une configuration rare (tous les huit ans) de la plan�te V�nus au milieu de l'amas des Pleiades.";O;1;;;;;;;;2017-12-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2004-04-01621
1906;"BLAISY-BAS (21) 02.05.2004";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";2004;05;02;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� DIJON (21) 2004 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 02 mai 2004 vers 23 heures 30 et le 03 mai vers 20 heures 30, un t�moin et son fils observent tr�s longuement � l'il nu puis aux jumelles et ensuite en prenant une vid�o, un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue. Les t�moins d�crivent la pr�sence dans le ciel de boules lumineuses de couleur bien plus grosses que les �toiles situ�es aux alentours. Ces boules semblent s'�loigner puis se rapprocher avant de dispara�tre rapidement. L'intensit� lumineuse est tr�s importante.
La description comporte des caract�ristiques typiques d'une observation d'un astre :
- la dur�e d'observation est longue (> 15 ou 30mn) et le PAN �volue pas ou peu en position dans le ciel.
- le PAN se pr�sente deux soirs de suite et sous un aspect et une position suffisamment identiques pour que le t�moin le signale comme un m�me ph�nom�ne. (T1: ""Le lendemain soir vers 22 heures 30, j'ai de nouveau film� ce ph�nom�ne"").
L'indication du deuxi�me soir (Lune � l'oppos� de la direction) nous fixe la direction d'observation en NO. Or, en NO pr�domine une �toile bien plus lumineuse que les autres, VENUS.
- T1 dit ""Je me suis mis � la fen�tre et c'est l� que j'ai vu dans le ciel une grosse boule lumineuse qui �tait 10 fois plus grosse qu'une �toile, elle �tait de couleur verte"".
- T2 dit ""mon p�re m'a appel� en me disant viens voir il y a une �toile plus grosse que les autres. J'ai regard� et j'ai vu une grosse �toile jaune et verte "".
Il est clair que, malgr� le bulletin m�t�o faisant �tat de ciel nuageux, les t�moins observent dans cette direction du ciel un ensemble d'�toiles puisque que T2 dit "" Je tiens � pr�ciser que ce soir-l� il y avait plusieurs �toiles mais cette boule �tait plus grosse que les autres"".
Tout ce qui pr�c�de est caract�ristique d'une m�prise avec VENUS qui est effectivement bien plus lumineuse (ou ""grosse"") que les autres �toiles et surtout peut appara�tre selon des couleurs vari�es et changeantes en raison des effets atmosph�riques, lesquels peuvent aussi cr�er des sensations de mouvement (T2 dit ""Ce ph�nom�ne faisait �galement des zigzags de droite � gauche et de haut en bas"").
Les �l�ments d'�tranget� d�crits par les t�moins se r�sument dans un premier temps � la vision d'une �toile particuli�re par son intensit� et sa couleur jaune ou verte.
Ensuite, il y a un net surcro�t d'�tranget� per�ue avec ces autres boules accompagnant la boule principale, cette derni�re faisant aussi des mouvements avant arri�re (T1: ""cette sph�re ressemble � une balle de tennis toujours en mouvement se rapprochant rapidement et en s'�loignant toujours aussi rapidement"", ""des autres boules lumineuses se sont mis en formation au-dessus formant un ""V"" et descendant rapidement au niveau des lumi�res du village. Puis, ces boules sont reparties aussi rapidement."").
Ce soir-l�, V�nus formait, avec Saturne et Mars d'un cot�,et Elnath et Capella de l'autre, un V point� vers le bas sur V�nus (voir le document de reconstitution). L'ensemble descend effectivement (comme d�crit) vers les lumi�res de la ville, car passe (le premier jour) de l'�l�vation 10� � 23h30 pour franchir l'horizon vers la droite � 0h40. T2 dit (�Puis plus tard il y a eu une boule qui est revenue avec une autre plus petite"", cela peut correspondre (voir reconstitution) � Pollux et Castor qui prennent effectivement la place initiale de V�nus. La perception de mouvement avant arri�re pour T1, ou pour T2 de ""partir et revenir� ou encore de ""d�placement rapide vers l'EST"" (c'est � dire en rapprochement vers T2 puisqu'il regarde vers le Nord-Ouest) peuvent correspondre � une illusion optique bien connue du GEIPAN : les variations d'intensit� d'un PAN, ici caus�es par la variation d'opacit� atmosph�rique sont interpr�t�es comme des �volutions en distance du PAN.
On note que ce surcro�t d'�tranget� per�ue (au-del� de l'aspect initial de l'�toile jaune) d�marre par l'observation faite aux jumelles et surtout sur la vid�o. A partir de l�, on ne distingue plus tr�s bien ce qui r�sulte de l'observation � l'il nul et de l'observation via un appareil. Et c'est probablement ce surcro�t d'�tranget� qui a conduit les t�moins � t�moigner et aussi ce qui a pu conduire le GEIPAN � un classement initial en inexpliqu� D. Or, nous savons depuis, par l'exp�rience acquise, que les �tranget�s per�ues sur des vid�os, photos ou jumelles, qui ne sont pas un minimum d�j� pr�sentes � l'il nul, sont dans la tr�s grande majorit� des cas des artefacts issus de ces appareils, artefacts g�n�rateurs de tr�s forte perception d'�tranget�. D'ailleurs, le GEIPAN ne prend plus en compte ces cas de t�moignages.
Le GEIPAN ne dispose pas de la vid�o transmise � la gendarmerie pour proc�der � une confirmation. Le V expliqu� ci-dessus par la configuration astronomique fait 30� d'envergure et correspondrait plut�t � une vision d'il nu, mais il est possible que le V soit bien plus petit et ait �t� per�u uniquement sur la vid�o et soit un pur artefact vid�o li� au zoom (maximum ici). Il se peut aussi que le ou les artefacts vid�o aient cr�� un fort sentiment d'�tranget� amenant ensuite � percevoir �trange � l'il nu une configuration astronomique qui ne l'�tait que moyennement au d�part (grosse �toile jaune ou verte).
Bien que l'on ne sache pas pr�ciser l'origine exacte du surcroit d'�tranget� entre les deux causes plausibles (configuration astronomique ou artefact appareil), il est manifeste que le point de d�part de l'observation est tr�s probablement V�nus et que sans, le recours aux appareils, l'�tranget� en serait rest�e � cette �toile plus grosse que les autres et de couleur jaune.
En cons�quence GEIPAN classe le cas en B: observations probables de V�nus.";"Observations deux nuits de suite � l'il nu puis avec des jumelles et un cam�scope de boules jaunes et vertes brillant intens�ment dans le ciel nocturne et avec des d�placements per�us : probables observations de V�nus.";O;2;;;;;;;;2017-11-28;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.60;;0.45;0.00;B;B;2004-05-01622
1907;"BONNEVILLE-ANNEMASSE (74) 2004";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2004;05;10;"Le 10 mai 2004 vers 21 heures 20, deux t�moins ind�pendants observent le passage tr�s rapide d'une boule lumineuse jaune orang�e. Bien que les deux t�moignages ne soient pas tout � fait coh�rents sur le d�placement (d�placement horizontal pour un t�moin et vertical pour l'autre), il ne fait gu�re de doute sur le fait que les t�moins ont observ� une rentr�e atmosph�rique.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2004-05-01623
1908;"SAINT-MARSAL (66) 14.05.2004";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2004;05;14;"Le 14 mai 2004 � 21h44, un t�moin, astronome amateur, observe quelques minutes dans le ciel, le lent passage SO-NE d'un point tr�s lumineux. Le Pan effectue un deuxi�me passage sur une trajectoire diff�rente mais toujours vers le NE � 23h30. Astronome amateur, le t�moin est intrigu� par ce ph�nom�ne qu'il ne s'explique pas.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli par la gendarmerie et ce cas anciennement nomm� CERET (60) sera class� C par le SEPRA.
Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, un r�examen de ce cas a pu �tre men� (voir le document ""Notes d'enqu�te"").
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur, d�placement...) avec un objet astronautique bien connu : la Station Spatiale Internationale ou ISS qui �tait bien pr�sente sur la trajectoire indiqu�e ainsi qu'aux heures fournies par le t�moin.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation et ceci � cause d'une id�e re�ue, pensant que les satellites ne pouvaient pas �tre visibles au moment de son observation.
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation de passages de l'ISS.";"Observation des d�placements d'un point lumineux intense traversant le ciel en quelques minutes : observation de passages de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2016-11-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2004-05-01624
1909;"LESCAR (64) 2004";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2004;05;20;"Le 20 mai 2004 vers 00h30, observation par un t�moin et son conjoint depuis leur terrasse d'une forme silencieuse se d�pla�ant � tr�s grande vitesse sans aucun bruit. Un faisceau lumineux puissant se trouvait � l'arri�re de la forme, l'avant �tant de couleur verte. La forme a ralenti, le faisceau s'est �teint pour ne laisser que la lumi�re verte avant de dispara�tre compl�tement. L'observation a dur� 3 � 4 minutes. Suite � un article dans la presse un second t�moin, astronome amateur, s'est manifest�. Il a observ� ce ph�nom�ne durant quelques dizaines de secondes et l'a interpr�t� comme �tant une rentr�e atmosph�rique. Le ph�nom�ne a �t� class� B : l'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique ayant �t� retenue.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2004-05-01625
1910;"SAINT-HAON-LE-CHATEL (42) 21.05.2004";Loire;42;"(D) D�partement";2004;05;21;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� SAINT-HAON LE CHATEL (42) 2004 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Deux t�moins font part de leur observation � une association ufologique et � la presse avant d'�tre convoqu�s en gendarmerie. Ils rapportent qu'en rentrant d'une soir�e, le 21 mai 2004 vers 01h30 ou 02h du matin, T1 observe dans le ciel un point lumineux qui clignote et avance en m�me temps. Puis les deux t�moins observent ce point lumineux qui suit des trajectoires vari�es (mont�e, descente). Le PAN se rapproche et les t�moins distinguent alors plusieurs points lumineux de couleurs vari�es, le tout encadrant une masse noire triangulaire. Les t�moins entendent un bruit sourd de moteur. Le ph�nom�ne passe au-dessus d'eux � basse altitude puis s'�loigne en direction des montagnes.
Bien que des donn�es soient absentes (relev�s d'angles, en particulier hauteur sur horizon et dimensions du PAN, et emplacement exact des feux de couleur sur le PAN), et que d'autres semblent contradictoires, des param�tres clef permettent de formuler l'hypoth�se d'une confusion a�ronautique, probablement avec un petit avion de tourisme en vol VFR de nuit (voir le compte rendu d'enqu�te).
Ces param�tres consistent :
- en la pr�sence � proximit� et dans l'axe d'observation de l'a�roport de Roanne, agr�� au vol VFR de nuit.
- dans la direction de d�placement du PAN en direction d'autres a�roports de l'autre c�t� de la montagne.
- dans la perception par les t�moins d'un bruit de moteur semblable � celui d'un avion ou d'un h�licopt�re.
- ainsi que de trois couleurs (rouge, vert, jaune) conformes � la r�glementation a�rienne.
Les �l�ments que l'on pourrait mettre � l'encontre de cette hypoth�se sont :
- Insuffisants pour invalider l'hypoth�se : l'avion peut aussi avoir port� une lumi�re bleue, fait une trajectoire non r�guli�re au d�but ou la perception d'irr�gularit� peut avoir r�sult� d'un ph�nom�ne naturel physiologique de micro-mobilit� oculaire (micro-nystagmus) qui se produit lorsque l'on fixe un point lumineux, particuli�rement de nuit et donne l'impression fausse que des objets ponctuels lumineux sont affect�s de petits mouvements aberrants.
- Et/Ou entach�s de manque de fiabilit� (ex : lumi�re bleue, lumi�res changeantes) en raison premi�rement des conditions d'observation (�motion forte, engendr�e d�s le d�but de l'observation par une hypoth�se extr�me d'un objet en connexion avec les t�moins, voire d'un objet extraterrestre, et pouvant alt�rer la perception ou la m�morisation de certains facteurs observ�s ensuite) et deuxi�mement des conditions de t�moignage (sur convocation de la gendarmerie, apr�s premi�re r�v�lation � un journaliste).
La consistance des t�moignages est faible:
- Manque d'information. Il n'a pas �t� effectu� de relev�s de dimensions angulaires ni pr�cis� les emplacements exacts sur le PAN des feux de couleur observ�s par les t�moins.
-La fiabilit� est entach�e par les conditions (cf. ci-dessus) d'observation ainsi que par les conditions de t�moignage.
N�anmoins, on peut classer le cas en B : observation probable d'un avion.
A la limite d'un cas C : t�moignage inexploitable.";"Observations du d�placement de points lumineux d�limitant une forme triangulaire sombre avec bruit sourd de moteur : probables observations d'un avion.";O;2;;;;;;;;2017-12-04;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.60;;0.40;0.00;B;B;2004-05-01626
1911;"TOURCOING (59) 15.08.2004";Nord;59;"(D) D�partement";2004;08;15;"Dans la nuit du 15 au 16 ao�t 2004 un homme se tenant sur son balcon a aper�u � deux reprises dans un ciel d�gag� des ph�nom�nes lumineux, de couleur dor�e et scintillant qui se d�pla�aient � grande vitesse. Une premi�re fois vers 03h50, les lumi�res se d�pla�aient en triangle, la seconde fois vers 04h20 elles �taient en ligne et sur la m�me trajectoire que pr�c�demment. A noter la proximit� de l'a�roport de Lille Lesquin. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie sur cette observation qui a �t� class�e C.";"Observation de ph�nom�nes lumineux scintillants � grande vitesse.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2004-08-01627
1913;"RENTREE ATMOSPHERIQUE (22) 24.09.2004";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2004;09;24;"Le 24 septembre 2004 vers 7h30, un t�moin dans son jardin a vu ""tomber"" une boule lumineuse suivie d'une train�e bleue.
Plusieurs t�moins ont rapport� ce fait qui a �t� relat� dans la presse locale et identifi� comme �tant une rentr�e atmosph�rique d'un m�t�ore.";"Observations de la chute d'une boule lumineuse dans le ciel : observations probables d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2014-12-16;;;0.38;0.13;;;;;;;0.59;0.41;B;B;2004-09-01629
1915;"LAFRANCAISE (82) 17.09.2004";Tarn-et-Garonne;82;"(D) D�partement";2004;09;17;"Le GEIPAN a re�u en janvier 2012 un questionnaire d'une observation faite le 17 septembre 2004 � 20h15. Ce jour-l� une automobiliste sur la D78 entre Moli�res et Lafran�aise a l'impression de voir une lumi�re puissante dans le ciel mais la travers�e de Lafran�aise interrompt sa vision. A la sortie du village et surplombant la plaine, le t�moin voit soudain un objet stationnaire. Le t�moin s'arr�te dans un virage ; le t�moin d�crit un appareil immobile, rond avec deux puissants phares eux-m�mes bord�s de chaque c�t� de plusieurs lumi�res. Craignant de g�ner la circulation, elle avance avec son v�hicule. L'objet aura disparu lorsqu'elle rel�vera la t�te. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation fait l'objet d'un r�cit �trange: vision d'appareil rond immobile avec des phares, et disparition soudaine.
Mais il s'agit d'un t�moignage fait huit ans apr�s l'observation, le t�moin ne donne aucune explication sur son d�lai � t�moigner d'une observation aussi �trange (le t�moin dit ""J'�tais � la fois sous le choc et totalement boulevers�e car se r�alisait enfin mon d�sir le plus cher : assister � un ph�nom�ne de nature extraterrestre"" ) pourtant le niveau de choc d'observation ne faisait pas obstacle � t�moigner puisque qu'il a "" envisag� d'aller � la gendarmerie le lendemain, mais elle �tait ferm�e"".
Au-del� de l'attitude � t�moigner, le t�moignage contient ses propres incoh�rences: la date est variable (17 septembre au 17 octobre 2004), le t�moin est attir� par un ou deux phares autour desquels il distingue ensuite une rampe de lumi�res, mais les dessins produits ensuite d�crivent des rampes lumineuses sans phare principal. Un dessin repr�sente une soucoupe �norme qui occupe une grande partie du champ de visibilit� face au t�moin mais le t�moin n'a pas vu la disparition. Il �tait certes occup� � red�marrer sa voiture mais il n'est pas fait mention de ce qu'aurait vu le passager au sujet de cette disparition, passager que le t�moin sait pourtant associer � son t�moignage avec l'utilisation du NOUS et est d�crit comme � m�me de tout confirmer.
La consistance du t�moignage n'est pas suffisante pour donner un caract�re inexpliqu� � cette observation dont le r�cit est �trange. Ce t�moignage ancien et diff�r� est inexploitable.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C: manque d'information fiable.
";"T�moignage r�cent d'une observation ancienne. Observation par une automobiliste d'un engin immobile dans le ciel et disparition subite : manque d'information.";O;;;;;;;;;2012-02-06;;;0.80;0.00;;;0.50;;0.50;;0.25;0.00;C;C;2004-09-08183
1916;"GALGON (33) 08.11.2004";Gironde;33;"(D) D�partement";2004;11;08;"Le 8 octobre 2004 vers 21 heures, un t�moin observe la mont�e tr�s rapide d'un point lumineux qui dispara�t dans le ciel. Le ph�nom�ne, silencieux, n'a dur� que 3 secondes environ. Aucune autre information disponible.";"Observation de la mont�e tr�s rapide d'un point lumineux";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2004-10-01630
1917;"[AERO MIL] NANCY (54) 15.10.2004";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2004;10;15;"Le 15 octobre 2004 le leader d'une patrouille de mirage 4 est alert� par un de ses co�quipiers qui signale �tre ""suivi"" par un a�ronef dans les 5 heures. Le leader acquiert �galement le visuel du point qui dispara�t au bout de 15 � 20 secondes. Le leader conclut au passage d'un a�ronef de type chasseur mais aucune trace n'a �t� rep�r�e par les contr�leurs au sol. L'�v�nement reste inexpliqu�.";"Une patrouille de mirage est fugitivement ""suivie"" par un trafic inconnu";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;D;D;2004-10-01631
1918;"CASTELJALOUX (47) 2004";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";2004;10;06;"Le 6 octobre 2004 entre 23h et 23h 30, deux t�moins observent un ph�nom�ne lumineux � 150 m�tres de leur habitation. L'objet est de forme cylindrique, d'une �paisseur de 1m�tre environ et d'une circonf�rence de 1m 50 ; on peut �galement voir des lumi�res de couleur blanche et rouge �blouissantes.L'objet s'�l�ve lentement dans les airs en quittant une propri�t� voisine o� aucune trace de sera d�cel�e. Prenant une trajectoire oblique, l'objet va dispara�tre dans les nuages. Aucune autre information n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne.";"Objet cylindrique d�collant d'une propri�t�.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2004-10-01728
1919;"AIX-EN-PROVENCE (13) 05.10.2004";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2004;10;05;"En 2014 un t�moin rapporte plusieurs moments en octobre 2004 o� se sentant observ� (sur l'autoroute puis chez lui) il fait diff�rentes observations ou constatations.
Le t�moignage manque de consistance, en effet:
- l'observation accumule beaucoup de d�tails alors qu'elle est ancienne et qu'elle s'est faite dans des conditions peu appropri�es, en conduisant � 130K/H et regardant en arri�re; L'hypoth�se d'un reflet des vitres ferm�es n'est d'ailleurs pas totalement exclue bien qu'�voqu�e et rejet�e par le t�moin.
- l'observation se fait dans un contexte �motionnel fort induit par le sentiment d'�tre observ�, sentiment pr�sent avant m�me l'observation, et qui semble conduire � retenir des d�tails ou des comparaisons en relation avec un ""oeil observateur"". Le t�moin relate d'autres situations d'�motions ou �tranget�s li�es � cette sensation d'�tre observ� alors qu'elles ne sont pas relation avec une pr�sence ou observation de PAN.
En cons�quence GEIPAN classe le cas en C: manque d'information fiable.
";"Observations multiples et dans diff�rentes conditions : manque d'information.";O;;;;;;;;;2018-02-28;;;0.10;0.00;;;0.20;;0.50;;0.10;0.00;C;A-;2004-10-08640
1920;"RAHON (39) 23.11.2004";Jura;39;"(D) D�partement";2004;11;23;"Le jeudi 25 novembre 2004, un t�moin au volant de sa voiture a vu un objet de forme triangulaire d'une taille estim�e � une dizaine de m�tres. L'objet �tait stationnaire au-dessus des arbres et comportait 3 lumi�res fixes blanche, rouge et bleue. L'objet s'est ensuite d�plac�, ce qui a provoqu� la fuite du t�moin qui n'a par ailleurs pas entendu de bruit. Le ph�nom�ne a �t� identifi� comme �tant un avion de ligne en basse altitude en phase d'aterrissage et ayant �t� oblig� de faire une boucle avant d'atterrir. Le triangle observ� par le t�moin est selon toute vraisemblance le Boeing 738 vu de 3/4 arri�re.";"Observation d'un Boeing en phase d'aterrissage";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2004-11-01632
1921;"ANNONAY (07) 2004";Ard�che;07;"(D) D�partement";2004;12;01;"le 1er d�cembre 2004 vers 19h 30 un t�moin observe dans le ciel d'une boule blanche fort lumineuse qui descend � tr�s grande vitesse. Avant d'atteindre le sol, cette boule de transforme en un petit point rouge et dispara�t. Un autre t�moin, militaire en repos, observera �galement ce ph�nom�ne qui lui fait penser � une fus�e �clairante. Les t�moins ont probablement observ� une rentr�e atmosph�rique.";"Boule blanche lumineuse de forte intensit� descendant vers le sol.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2004-12-01633
1922;"TALLARD (05) 21.12.2004";Hautes-Alpes;05;"(D) D�partement";2004;12;21;"Le 21 d�cembre 2004 vers 21 heures, un t�moin signale la pr�sence dans le ciel d'un point lumineux scintillant aux couleurs changeantes. Ce point reste stationnaire et silencieux et monte progressivement dans le ciel . L'observation est tr�s probablement celle d'un astre.";"Observation vraisemblable d'un astre.";O;1;;;;;;;;2010-03-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2004-12-01634
1923;"SAINT-GENIEZ (04) 25.12.2004";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";2004;12;25;"Le 25 d�cembre 2004 un t�moin d�couvre sur le parking de sa propri�t� un trou de 15 cm de diam�tre et de 25 cm de profondeur. Malgr� des recherches sur 50 cm de profondeur aucun objet ne sera d�couvert.
Ce trou est vraisemblablement d� � la chute d'une m�t�orite.";"D�couverte d'un trou provoqu� probablement par la chute d'une m�t�orite.";O;1;;;;;;;;2012-11-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2004-12-01635
1925;"MARSEILLE (13) 10.01.2005";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2005;01;10;"Le 10 janvier 2005 vers 23 heures, un t�moin signale au B.R.I.A.de l'a�roport de Marseille le passage au-dessus du village de deux cercles lumineux superpos�s. Aucune autre information disponible.";"Passage au dessus d'un village de deux cercles lumineux superpos�s.";O;1;;;;;;;;2010-03-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2005-01-01636
1926;"ANNECY-LE-VIEUX (74) 17.01.2005";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2005;01;17;"Le 17 janvier vers 22 heures 45, un t�moin sur son balcon observe le passage d'une grande forme ressemblant � un planeur tr�s brillant avec un feu qui semble rouge et un l�g�r bruit de moteur. Il est probable que le t�moin ait observ� le passage d'un a�ronef.";"Observation probable d'un a�ronef";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2005-01-01637
1927;"COURDIMANCHE (95) --.--.2005";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2005;--;--;"En 2005 (le t�moin ne se souvient pas de la date exacte) vers 22h un �tudiant s'appr�te � fermer le V�lux de sa chambre lorsqu'il est surpris de voir passer � grande vitesse un objet lumineux dans le ciel d�gag�. Sa trajectoire est N-O S-E. De forme sph�rique et l�g�rement jaun�tre, cet objet semble �tre � 3000m d'altitude, aucun bruit n'est entendu. Il semble pris dans un halo. L'observation durera moins de 3 secondes. La description de l'objet peut faire penser � une probable rentr�e atmosph�rique mais nous manquons d'informations sur le ph�nom�ne observ�.";"Passage tr�s rapide d'un point lumineux devant une fen�tre.";O;1;;;;;;;;2010-06-11;;;0.75;0.25;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2005-01-01769
1929;"AERO 2005-02-01639";A�rien;01;"(A) A�rien";2005;02;--;"Le 18 f�vrier 2005 vers 22h20 l'�quipage d'un boeing 737 observe le passage tr�s bref d'une lumi�re extr�mement lumineuse en trajectoire descendante, identifi�e comme une probable rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'une probable rentr�e atmosph�rique";O;5;;;;;;;;2007-03-22;;;;;;;;;;;;;B;;2005-02-01639
1930;"EST FEVRIER 2005";"Grand Est";GES;"(R) R�gion";2005;02;18;"Le 18 f�vrier 2005 vers 22 heures 30, deux t�moins dans deux d�partements de l'Est de la France observent le passage tr�s rapide d'une train�e verte ou blanche selon les t�moignages qui a disparu en quelques secondes. Ces personnes ont probablement aper�u une rentr�e atmosph�rique. D'ailleurs, quelques jours plus tard, la presse fera �tat de l'observation par de nombreuses personnes situ�es dans les d�partements du Nord-Est de la France de la chute d'une petite m�t�orite.";"Observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2005-02-01640
1935;"VERNOUILLET (78) 13.06.2005";Yvelines;78;"(D) D�partement";2005;06;13;"Le 13 juin 2005 vers 16 heures 35 un t�moin professeur avec ses �l�ves observe un point lumineux dans le ciel de la taille d'une �toile. Au bout de quelques minutes, ce point semble se scinder en deux et dans les minutes qui suivent, le t�moin observera plusieurs points se d�pla�ant lentement les uns par rapport aux autres comme des avions de ligne � tr�s haute altitude. Le t�moin prendra des photographies � l'aide de son t�l�phone portable mais ne les fournira pas � la gendarmerie. L'hypoth�se retenue est effectivement celle de l'observation des reflets du soleil sur des avions de lignes de passage en haute altitude.";"Observation vraisemblable d'avions de ligne";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2005-06-01644
1936;"AVIGNON (84) 28.06.2005";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2005;06;28;"Dans la nuit du 27 au 28 juin 2005 vers 4 heures 15, un t�moin observe le passage assez lent d'une forme sombre ressemblant � un boomerang sans lumi�re ni feux apparents et totalement silencieux. L'observation a dur� 8 � 10 secondes environ.
5 � 10 minutes apr�s cette observation, le t�moin pr�cise que des nappes de brouillard ainsi qu'une brise assez forte sont apparues.
Aucun autre t�moignage sur ce ph�nom�ne n'a �t� recueilli.
M�me si une confusion avec un a�ronef n'est pas � exclure, aucune autre hyphoth�se n'a pu �tre valid�e par manque d'informations.";"Observation du passage d'une forme en boomerang.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.75;0.25;;;;;;;0.78;0.23;C;D;2005-07-01645
1937;"EPINE (L') (85) 25.06.2005";Vend�e;85;"(D) D�partement";2005;06;25;"Un t�moin apporte aux gendarmes le 29 septembre 2005, des photos de coucher de soleil prises le 23 juin 2005 sur une plage de l'�le de Noirmoutier. Sur l'une d'entre elle, on remarque un ph�nom�ne lumineux.
Les photographies ont �t� prises sur un axe NO-Ouest. Aucune description par le t�moin n'accompagne cette d�position.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"ph�nom�ne lumineux sur une photographie.";O;1;;;;;;;;2011-01-14;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2005-09-01648
1938;"SEUGY (95) 19.06.2005";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2005;06;19;"Le 19 juin 2005 un t�moin observe les �volutions d'un objet de la taille d'un petit avion. Tr�s peu d'informations sur ce cas mais l'hypoth�se de l'observation d'un petit a�ronef n'est pas � �carter.";"Observation des �volutions d'un objet";O;1;;;;;;;;2008-04-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2005-06-01732
1941;"RENNES (35) 11.06.2005";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2005;06;11;"Observation ancienne 2005 rapport�e en 2010. Observation possible d'un avion dans un des couloirs a�riens de l'a�roport de Rennes/St Jacques mais du fait de l'anciennet� de l'observation, toute v�rification d'un �ventuel vol a�rien ou toute enqu�te est impossible. Le cas est class� C par manque d'informations.";"Observation du d�placement silencieux d'une forme longue et de couleur sombre.";O;1;;;;;;;;2010-04-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2005-06-02543
1944;"AERO AF 7705 (001) 07.07.2005";A�rien;01;"(A) A�rien";2005;07;--;"Le 7 juillet 2005 � 14h14 (TU), le commandant de bord du vol AF 7705 en approche de l'a�roport CHarles De Gaule signale le croisement de son avion � moins d'un 1/2 nautique environ avec un objet de couleur gris semblant stationnaire. L'objet ne ressemble absolument pas � un ballon sonde.
Cette rencontre (relat�e par un Airprox) entre un avion de ligne et un objet volant est �trange.
La forme observ�e ne correspond ni � un ballon, qu'il soit scientifique, de loisir ou festif.
Aucun �cho radar n'a �t� signal�. L'analyse locale diligent�e au sol par les autorit�s a�riennes n'ont pas trouv� d'explication.
Il n'est pas pr�cis� si d'autres pilotes ont vu cet objet.
L'hypoth�se envisag�e du ballon �chapp� d'Eurodisney ne correspond a priori pas � la forme ni � la couleur : les ballons sont presque toujours de forme convexe et on imagine les ballons d'Eurodisney plut�t de couleur vive.
Comme il n'est plus possible d'avancer sur cette enqu�te (recherches d'autres observations, enqu�te � Eurodisney) ce cas est class� � C � par manque d'information.";"Croisement entre un avion et un objet gris non reconnu par le commandant de bord.";O;1;;;;;;;;2011-11-08;;;;;;;;;;;;;C;;2005-07-02573
1949;"BLAGNAC (31) 29.09.2005";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2005;09;29;"Le 4 octobre 2005, le GEIPAN est alert� par un gendarme de l'a�roport de Blagnac qui a vu un ph�nom�ne curieux se d�placer en bout d'une piste. Le t�moin d�crit un objet de la forme d'un boomerang et pense � un objet t�l�command� mais ce dernier dispara�t � une vitesse importante, ce qui �tonne le t�moin.
Aucun autre t�moignage n'est recueilli sur ce ph�nom�ne.
La lecture du rapport laisse une impression de grande cr�dibilit� : l'observation est soigneusement d�crite en termes pr�cis et objectifs ; on reconna�t le professionalisme du t�moin.
Les faits relat�s pr�sentent un caract�re d'�tranget� moyen : bien que cet engin n'ait a priori rien eu � faire par ici, ses performances restent compatibles avec elles d'un engin t�l�command� (certes de hautes performances). Le d�placement pendulaire observ� en d�but d'observation a pu �tre face au vent, alors que le d�placement rapide �tait dans sens du vent.
La description fait penser � certains mod�les de dr�nes, tr�s peu r�pandus � cette �poque.
N�anmoins, comme le t�moignage est ancien, il n'est pas possible de v�rifier cette hypoth�se.
Le classement ""C"" est affect� � ce cas, avec l'hypoth�se ""dr�ne"" insuffisamment consolid�e.";"Observation du d�placement d'un objet en forme de boomerang.";O;1;;;;;;;;2011-10-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2005-09-02811
1950;"LUZARCHES (95) 13.10.2005";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2005;10;13;"Le 13 octobre 2005 un t�moin observe une forte lumi�re accompagn�e d'un bruit sourd. Aucune autre information sur cette observation. La confusion avec un engin motoris� est probable mais aucune v�rification n'a pu �tre faite.";"Observation d'une lumi�re avec un bruit sourd.";O;1;1;;1;;;;;2008-04-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2005-10-01734
1952;"LILLEBONNE (76) 05.11.2005";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2005;11;05;"Un astronome amateur rapporte que le 5 novembre 2005 entre 18h41 et 18h 45, il a aper�u deux points tr�s brillants situ�s � 10� � l'Est au-dessus de l'horizon. Ces deux boules blanches avaient la grosseur et la magnitude de Mars (tr�s visible en cette p�riode de l'ann�e). Leur �clat s'est progressivement et rapidement r�duit pour disparaitre compl�tement. Les donn�es disponibles sont contradictoires (ph�mon�mes fixes et se d�pla�ant tr�s rapidement, dur�e d'observation mal d�finie entre 30 s et 5 mn) et ne permettent pas une enqu�te approfondie. Le niveau d'�tranget� est faible (il pourrait s'agir d'une rentr�e atmosph�rique mais les donn�es sur la dur�e peu pr�cises ne permettent pas de le conforter). Aucun �l�ment sur la carte du ciel ne permet d'identifier ce ph�nom�ne qui est class� C.";"Observation de deux points tr�s brillants.";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2005-11-01849
1955;"CHATENAY-MALABRY (92) --.04.2006";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2006;04;--;"T�moignage r�cent d'une observation ancienne : un t�moin observe durant le mois d'avril 2006 � 10 h du matin (la date du jour n'est pas pr�cis�e, la date donn�e ici est arbitraire) le d�placement silencieux et rectiligne d'un objet noir dans le ciel. La vitesse est constante et l'objet dispara�t � l'horizon. Le t�moin compare l'objet � un ""baril de p�trole"" ou � une ""cabine noire""
L'altitude assez basse, la forme noire en tonneau, un d�placement lent qui est peut-�tre au gr� du vent font penser � un ballon thermique (solaire).
Comme la date est inconnue, cette hypoth�se ne peut �tre confort�e.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" : manque d'information.";"Observation du d�placement rectiligne et silencieux d'un objet noir dans le ciel : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2012-10-16;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2006-04-08197
1957;"FONTAINEBLEAU (77) 20.06.2006";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2006;06;20;"Le 20 juin 2006 � 23h30 un t�moin en for�t de Fontainebleau est intrigu� par le passage d'un disque lumineux blanc-cr�me dans le ciel. La trajectoire est rectiligne d'Ouest en Est avec une vitesse r�guli�re. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation de deux � trois minutes.
Ce ph�nom�ne peu �trange de passage dans le ciel d'un point lumineux, selon la direction du vent, fait penser � une lanterne tha�landaise, probablement l�ch�e lors d'une f�te de solstice. La forme ovale, la couleur cr�me (l'observateur est dans la nuit noire, toute lumi�re lui parait blanche) sont coh�rentes avec cette hypoth�se.
Le Geipan classe ce cas ""B"" : observation probable de lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement silencieux d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : probable observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2006-06-02512
1964;"SAINT-JEAN-DE-MONTS (85) 12.08.2006";Vend�e;85;"(D) D�partement";2006;08;12;"T�moignage r�cent ( 04/06/2008) d'une observation ancienne. En ao�t 2006 (peut �tre le 12) lors de ""la nuit des �toiles"" vers 23h 30,un t�moin observe un ph�nom�ne lumineux depuis l'estacade de Saint-Jean-de -Mont. Deux boules de faible intensit� se d�placent au-dessus de l'oc�an � faible altitude. L'observation dure 30 secondes avant que la luminosit� ces boules devienne intense et qu'elles disparaissent en une fraction de seconde. Aucun autre t�moignagge concernant ce ph�nom�ne n'a �t� recueilli. Cette observation s'apparente � celle de lanternes volantes mais nous manquons de pr�cisions et d'informations.";"Observation de deux boules lumineuses au-dessus de l'oc�an.";O;1;;;;;;;;2010-04-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2006-08-02480
1965;"LANDRECIES (59) 26.09.2006";Nord;59;"(D) D�partement";2006;09;26;"Le 26 septembre 2006 � LANDRECIES vers 21 h 30, un t�moin, qui regarde la t�l�vision avec ses enfants, entend soudain un bruit important qui fait trembler la maison et aper�oit une lumi�re � l'exterieur de la maison. Elle sort et voit deux phares qui s'approchent de la maison dans un grondement sourd tr�s important. Deux boules orang�es stationnent quelques secondes au dessus de la maison avant de s'�loigner. Plus loin, les deux boules se s�parent avant de dispara�tre au loin. Durant toute la dur�e de l'observation, le bruit sourd est continu avec un accroissement tr�s important � l'instant de la s�paration.
Le passage du ph�nom�ne est accompagn� d'un gaz irritant les yeux et la gorge. Le conjoint du t�moin, absent lors du passage du ph�nom�ne, rentre une dizaine de minutes plus tard et constate la persistance de l'odeur irritante.
Dans un rayon d'une vingtaine de kilom�tres, d'autres t�moins ont entendu et / ou vu une partie du ph�nom�ne.
Le lendemain les t�moins constatent la pr�sence au sol d'une mati�re blanch�tre, � plusieurs endroits et situ�s sous le passage pr�sum� du ph�nom�ne. Cette substance disparait au soleil. L'analyse des pr�l�vements de cette substance par l'Institut de la Police Scientifique n'a pas d�cel� de traces de k�ros�ne et rien ne permet de relier ces d�p�ts (probablement un ph�nom�ne naturel provoqu� par l'humidit�) au passage du ph�nom�ne observ�.
La conclusion de l'enqu�te montre que les t�moins ont observ� le passage de 2 mirages en manuvre d'approche sur Cambrai dans une configuration qui les obligeaient � voler tr�s bas et tr�s lentement.";"Observation du passage de 2 avions militaires en manuvre";O;1;;;;;;;;2011-05-18;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2006-09-01751
1966;"BAR-SUR-LOUP (06) 01.09.2006";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2006;09;01;"Le 1er septembre 2006, un t�moin prend des photos du tournage d'un film qui se d�roule dans son village. Lors de l'examen des photos, alors qu'il n'a fait aucune observation visuelle, il constate la pr�sence d'une tache inconnue sur l'un des clich�s. Il contacte la gendarmerie des transports a�riens pour faire une d�position.
Une enqu�te minutieuse est men�e par la gendarmerie qui permet d'�carter l'hypoth�se d'un ph�nom�ne m�t�orologique mais met en �vidence une trace radar inconnue compos�e de 3 plots enregistr�s par le radar primaire de Nice sensiblement dans la m�me p�riode que la prise de vue et mettant en �vidence une acc�l�ration fulgurante de l""objet pr�sum�. Cette piste sera �cart�e (voir compte rendu) pour privil�gier, dans un second temps, la piste d'un passage d'un avion commercial r�f�renc� 7637.
Par ailleurs, la soci�t� charg�e de l'entretien de l'horloge du clocher a pr�cis� �tre g�n�e par les pigeons, qui, en se posant sur les aiguilles perturbent le fonctionnement de la pendule. Il y a donc une colonie de pigeons dans le clocher, dont la pr�sence est confirm�e par la photo sur laquelle de nombreux pigeons sont nettement visibles sur la corniche sous l'horloge. L'hypoth�se d'un oiseau passant dans le champ de la photo est donc parfaitement recevable, le flou observ� pouvant �tre provoqu� par le battement d'ailes.
Les �l�ments dont nous disposons ne nous autorisent pas � conclure formellement pour l'une ou l'autre des hypoth�ses, le passage d'un pigeon, malgr� quelques incertitudes semblant �tre l'explication � privil�gier par rapport � celle du passage du vol commercial r�f�renc� 7637.
Quelque soit l'hypoth�se retenue, une explication conventionnelle peut �tre apport�e � ce cas qui doit donc �tre class� � B �.";"Observation d'une tache non identifi�e sur un clich�.";O;2;;;;;;;;2011-12-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2006-09-01762
1967;"BELMONT (67) 10.09.2006";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2006;09;10;"En vidant son appareil photo, un astronome amateur observe sur le dernier clich� une image qui l'intrigue. Lors de la prise de la photographie 10 jours auparavant, il n'a rien vu ou entendu.
Apr�s analyse du clich� envoy�, il est probable qu'il s'agisse d'une graine v�g�tale passant pr�s de l'objectif au moment o� la personne a pris la photographie.";"Image curieuse sur photographie :probablement une graine v�g�tale.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2006-09-01767
1968;"PORT LEUCATE (11) 18.09.2006";Aude;11;"(D) D�partement";2006;09;18;"Le 18 juin 2006 � 22h33 (heure du t�l�phone d'un des t�moin) deux p�cheurs en bord de plage observent un ph�nom�ne particulier. Deux boules lumineuses de couleur jaune orang� et l�g�rement translucides se d�placent � grande vitesse. Ces boules dispara�tront dans la brume en remontant au Nord. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne. L'enqu�te lanc�e tardivement en 2008 n'a pas permis d'obtenir des renseignements probants (comme les traces radar qui ne sont archiv�es que durant deux mois). Les premi�res investigations ont �t� non concluantes.";"Observation du d�placement rapide de deux boules lumineuses.";O;1;;;;;;;;2017-09-14;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2006-09-01799
1969;"BREST (29) 13.09.2006";Finist�re;29;"(D) D�partement";2006;09;13;"Le 13 septembre 2006 � 10h du matin un t�moin observe avec d'autres personnes durant 3 � 4 minutes un ph�nom�ne lumineux stationnaire au-dessus du pont de l'Iroise. Ce ph�nom�ne est circulaire. Il disparaitra selon une trajectoire ascendante dans le ciel. Le t�moignage rapport� reste tr�s succinct. Compte tenu de la r�ponse de la r�gion maritime il y a une forte probabilit� pour que le t�moin ait vu un petit avion (un avion monomoteur blanc civil se trouvait effectivement dans cette zone � l'heure indiqu�e).";"Observation de jour d'un point au-dessus du pont de l'Iroise.";O;1;;;;;;;;2010-04-08;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2006-09-01818
1971;"MORTAGNE-SUR-SEVRE (85) 31.10.2006";Vend�e;85;"(D) D�partement";2006;10;31;"le 31 octobre 2006 un automobiliste aper�oit un ph�nom�ne lumineux particulier derri�re les nuages. Une lumi�re blanche intermittente semble se d�placer lentement. Ce soir l� une guirlande �lectrique plac�e sur un viaduc �tait en activit�. L'enqu�te de gendarmerie �tablit que le t�moin, tromp� par les mauvaises conditions m�t�orologiques, a confondu cette animation lumineuse avec un OVNI.";"animation lumineuse sur un viaduc";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2006-10-01738
1977;"HAVRE (LE) (76) 15.12.2006";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2006;12;15;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� LE HAVRE (76) 2006 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 15 d�cembre 2006 dans l'apr�s-midi plusieurs t�moins en pleine ville observent le passage lent et silencieux de 7 objets de couleur marron � basse altitude dans le ciel. Les objets sont d�crits en forme de ""palets de hockey"" et maintiennent un cap constant dans leur d�placement.
L'hypoth�se d'objets passifs port�s par le vent, tels que des ballons, est plausible et la plus probable pour expliquer la nature des PANs observ�s par les t�moins (voir le compte rendu d'enqu�te).
Les donn�es testimoniales relev�es par les Gendarmes ainsi que leurs calculs ult�rieurs, tels que le sens du d�placement et la vitesse des PAN ainsi que leur maintien d'un cap constant sont coh�rents avec le sens du vent mesur�.
La couleur et surtout la forme (telle que d�crite par T1 et T2, en forme de � palet de hockey �) ne sont pas communes pour des ballons, mais cela ne peut pas invalider l'hypoth�se. Il existe quantit� de mod�les de ballons, ayant des formes et des couleurs tr�s diverses.
Il convient de noter que ces PAN sont vus de jour, depuis une zone urbaine, � basse hauteur dans le ciel (T2 indique qu'ils passaient derri�re des immeubles) et pendant au moins 10 minutes. Il est fort probable que ces PAN aient �t� vus par d'autres personnes sans pour autant �tre per�us comme �tranges, ce qui accr�diterait un peu plus l'hypoth�se de ballon.
La consistance est correcte, avec des t�moins d�taillant assez bien leur observation et des gendarmes proc�dant � l'enregistrement et une carte de situation. On pourrait cependant regretter l'absence de relev�s angulaires de tailles des PAN et de leur d�placement, ce qui aurait facilit� les calculs de dimensions, de distances et de vitesses possibles.
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en B : observation probable d'un ensemble de ballons se d�pla�ant dans le vent.";"Observations du passage lent et silencieux � basse altitude de 7 objets sombres gardant un cap constant : observations probables d'un ensemble de ballons se d�pla�ant dans le sens du vent.";O;3;;;;;;;;2017-12-04;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.70;;0.60;0.00;B;B;2006-12-01740
1979;"MISSON (40) 09.01.2007";Landes;40;"(D) D�partement";2007;01;09;"Le 9 janvier 2007, un t�moin observe le passage de 3 objets faisant de la fum�e. Trop peu d'informations disponibles pour une analyse s�rieuse.";"Passage de 3 objets avec une train�e de fum�e.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2007-01-01736
1981;"CROIX-VALMER (LA) (83) 21.01.2007";Var;83;"(D) D�partement";2007;01;21;"Le 21 janvier 2007 un t�moin lors d'une promenade en d�but d'apr�s-midi prend plusieurs photographies. Lors du d�veloppement le t�moin constate des points noirs qui se reproduisent au centre du soleil. Le t�moin n'a rien vu d'anormal lors de la prise de vue. Suite � une �mission TV en 2008, le t�moin nous adresse le questionnaire et les photos.
Ce cas d'observation est l'exemple type d'une �tranget� issue de la la lecture d'une photo ou vid�o et non per�ue par le t�moin en temps r�el de ses yeux.
Le GEIPAN ne traite plus ces t�moignages car l'exp�rience montre que moyennant un travail parfois cons�quent on arrive � trouver l'explication par des artefacts issus du fonctionnement de l'appareil, ces derniers �tant de type vari�s et rendus plus fr�quents en raison de l'usage d�sormais massif des smartphones.
Certains cas, comme celui-ci sont n�anmoins trait�s et publi�s � titre d'information.
Le pr�sent cas est illustratif d'un ph�nom�ne de soleil noir. Cela se produit quand une cam�ra (ou un appareil photo) est braqu�e sur une sc�ne comportant une source lumineuse tr�s concentr�e telle que le disque du soleil. (Remarque : on ne recommande pas de faire cela avec n'importe quelle cam�ra ou appareil photo num�rique de fa�on prolong�e car l'image du disque du soleil sur un capteur peut causer des dommages irr�parables au capteur ainsi qu'� l'optique). Dans ces conditions, on pourrait s'attendre � ce que l'image r�sultante se trouve uniform�ment satur�e et donc blanche dans l'image du disque du soleil ou tout autre objet brillant de la sc�ne. Toutefois, certains capteurs (plut�t et en g�n�ral de technologie CMOS) exposent en fait ces zones ultra-brillantes comme �tant NOIRES, plut�t que satur�es, comme le montre plus particuli�rement les photo 78 et 82 du t�moin. Le lien Rapport d'expertise IPACO donne une description plus pr�cise du ph�nom�ne technologique.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : artefact photographique.";"Observation � post�riori sur des photographies d'un point noir sans observation directe lors de la prise des photos : artefact photographique.";O;;;;;;;;;2017-10-25;;;0.05;0.00;;;;;;;0.80;0.00;A;A;2007-01-02005
1983;"DOMPAIRE (88) 30.03.2007";Vosges;88;"(D) D�partement";2007;03;30;"Au cours de la nuit du 30 au 31 mars 2007, entre 20 heures et 02 heures du matin pr�s de Dompaire (88), 4 jeunes t�moins observent � plusieurs reprises des lumi�res blanches et rouges dans le ciel orageux et noir. Elles forment un triangle de couleur m�tallique qui se d�place en va et vient et � allure variable avant de passer � environ 15 � 20 m�tres au-dessus de leur v�hicule. Cette observation prend fin vers 2 heures du matin. Les t�moins resteront fortement impressionn�s par cette observation.
Lors de l'enqu�te une analyse du traffic a�rien sur le secteur indique l'atterrissage d'un avion de fret � Epinal � 1h 58 et confirme un entra�nement d'�quipage d'un MD 90 (DC9) de la compagnie suisse Hello AG aux heures d'observation des t�moins : l'avion, en provenance de Zurich a effectu� 30 � Touch and Go � autour de la piste d'Epinal dans l'apr�s midi en d�tectant un probl�me technique puis a repris ces m�mes rotations entre 19H47 et 21H16 ; le d�collage pour un d�part d�finitif vers Zurich ayant eu lieu � 21H45. Ce type d'entra�nement est r�gulier sur les pistes ayant peu de trafic et la compagnie Hello AG est une habitu�e de la piste d'Epinal.
Il est probable que dans l'�tat d'esprit o� se trouvaient les t�moins, le point lumineux observ� vers 2 heures a �t� confondu avec une lumi�re de lampadaire ou de voiture comme cela a �t� plusieurs fois le cas lors de leurs d�placements ainsi qu'ils l'expliquent eux-m�mes.
Il ne fait aucun doute que l'observation faite par le groupe d'amis est celle du DC9 de la compagnie Hello AG en exercices d'entra�nement : les t�moins se sont toujours trouv�s sous la trajectoire de l'avion observ� dans des conditions inhabituelles autour de l'a�roport d'Epinal-Mirecourt.";"Observation du passage d'un a�ronef.";O;4;;;;;;;;2011-07-27;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-03-01763
1984;"PARIS (75) 26.03.2007";Paris;75;"(D) D�partement";2007;03;26;"Le vendredi 29 f�vrier 2008, le GEIPAN re�oit un courriel accompagn� de deux photographies montrant une boule lumineuse, correspondant � une observation d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel faite le soir du 26 mars 2007.
Ce t�moignage est d'une consistance assez faible : le r�cit a �t� fait plusieurs mois apr�s les faits, il est un peu confus, peu fiable bien que certainement sinc�re ; la photo en pose longue est difficile � interpr�ter (il subsiste un doute sur le boug� : d� � l'objet ou � l'appareil photo ?). Le ph�nom�ne observ� n'est pas tr�s �trange : il ne s'agit que d'un point lumineux dont le mouvement est mal caract�ris�, que ce soit par le t�moin, ou par la photo ; le changement de forme est assez �trange mais peut �tre d� � un changement de position.
Devant ces diverses impr�cisions, ce cas est class� � C � par manque d'informations fiables.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel parisien : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2013-04-24;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2007-03-02311
1985;"THIONVILLE (57) 2007";Moselle;57;"(D) D�partement";2007;04;21;"Le samedi 21 avril 2007, une personne quitte ses amis vers 0h 15 pour rentrer chez lui. Alors qu'il traverse le jardin, il aper�oit dans le ciel juste au-dessus de lui, trois points lumineux formant un triangle. Appelant ses amis, tous vont voir ce triangle qui se d�place � grande vitesse sans faire de bruit. Durant l'observation qui dure moins de 10 secondes, ils pourront voir des lumi�res orang�es de faible intensit� � chaque extr�mit� du triangle. L'engin se d�pla�ait d'Ouest en Est. Aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de donn�es.";"Observation durant quelques secondes d'un triangle de trois points lumineux se d�pla�ant � grande vitesse";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2007-04-01748
1986;"LE CROISIC (44) 15.04.2007";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2007;04;15;"Durant plusieurs nuits � partir du 15 avril 2007 dans un camping du Croisic (44), plusieurs t�moins observent un point lumineux dans le ciel. Le ph�nom�ne se pr�sente comme une boule lumineuse de taille importante avec de nombreux changements de couleur vert rouge et bleu observ�s aux jumelles.
Lors de l'enqu�te, les gendarmes constatent par eux m�mes le ph�nom�ne et prennent une s�rie de clich�s ainsi qu'une s�quence vid�o de 13 secondes environ.
L'analyse pr�liminaire a �t� confi�e � un expert astronome qui s'oriente rapidement vers l'hypoth�se d'un ph�nom�ne astronomique, le ciel �tant particuli�rement clair durant cette p�riode et propice � des observations spectaculaires.
Afin de conforter cette hypoth�se, une enqu�te sur le terrain a �t� men� du 11 au 13 juin 2007 : il sera d�montr� que les t�moins ont observ� Sirius, une �toile particul�rement visible en cette p�riode de l'ann�e.
Plusieurs appels au GEIPAN dans la m�me p�riode ont d'ailleurs fait �tat d'�toiles particuli�rement brillantes. L'enqu�te a �galement servi de support au tournage de l'�mission ""Pi�ces � convictions"" du 29 juin sur France 3.";"observation de Sirius";O;4;;;;;;;;2010-12-15;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-04-01749
1987;"CROZON (29) 20.04.2007";Finist�re;29;"(D) D�partement";2007;04;20;"Le 20 avril 2007, un t�moin prend des photos d'une r�gate qui se d�roule dans la rade de Brest. Apr�s coup sur certains clich�s, il constate des taches qu'il ne s'explique pas. En l'absence d'observations visuelles lors de la prise de vue, l'analyse de ce type de photographies est tr�s difficile. De plus les images en elles m�me sont peu informatives et aucun autre t�moignage sur une observation similaire ce m�me jour en ce lieu n'a �t� rapport�e. La rade de Brest �tant connue pour la pr�sence de nombreux oiseaux, il est fort probable que ce t�moin ait photographi� le passage d'oiseaux non remarqu�s lors de la prise de vue.";"Observations de taches sur des photos durant une r�gate";O;1;;;;;;;;2008-06-11;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2007-04-01764
1989;"BOURGES (18) 24.04.2007";Cher;18;"(D) D�partement";2007;04;24;"Un t�moin rapporte en mars 2009 une observation ancienne. Le 24 avril 2007 entre 22h et minuit, un automobiliste sur une route de campagne observe et suit un objet volant � basse altitude et qui l'intrigue.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'objet observ� fait penser � un h�licopt�re en reconnaissance : la vitesse et les d�placements sont compatibles avec ceux d'un h�licopt�re. Le bruit per�u �tait faible, mais le t�moin �tait dans sa voiture.
Toutefois, le GEIPAN n'a pas pu confirmer cette hypoth�se du fait du d�lai entre l'observation et l'enqu�te.
Ce cas est class� ""C"" faute d'�l�ments pour valider l'hypoth�se.";"Observation des d�placements d'un objet volant � basse altitude.";O;1;;;;;;;;2012-02-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2007-04-02228
1990;"COURSEGOULES (06) 12.05.2007";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2007;05;12;"Le 12 mai 2007, deux t�moins faisant des photos au col de Vence ont observ� des taches sur leurs clich�s sans observations visuelles. Ce type de photo est inexploitable et aucune analyse ne peut �tre men�e s�rieusement.";"Taches lumineuses sur photos de nuit : manque d'information.";O;1;1;;1;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2007-05-01735
1991;"BIARRITZ (64) --.--.2007";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2007;--;--;"T�moignage succinct r�cent (28 mars 2010) d'une observation ancienne (la date indiqu�e est arbitraire). Au printemps 2007(d�but mai d'apr�s le t�moin qui ne nous donne pas de date pr�cise) deux personnes sont effray�es par une vision rapide d'une masse importante dans le ciel. Il est 23h30 et le brouillard est important sur la zone pavilonnaire. En regagnant leur voiture dans la rue, deux t�moins observent par deux fois � environ 500 de distance et d'altitude, une �norme forme m�tallique immobile entour�e d'un halo de lumi�re. Aucun bruit ne sera entendu durant les observations tr�s br�ves. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne. Toute enqu�te est impossible par manque d'informations suffisantes .";"Observation rapide d'une forme m�tallique importante dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2012-10-17;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2007-03-02544
1992;"MONEIN (64) 12.06.2007";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2007;06;12;"Le 12 juin 2007 vers 22h 30 deux t�moins chez eux entendent un bruit assourdissant durant 10 minutes mais n'aper�oivent rien par les fen�tres. A 0h 08 pr�cis�ment le m�me grondement se fait entendre et un des t�moins aper�oit durant 5 secondes un objet triangulaire gris avec des lumi�res de couleurs. L'objet vole � tr�s basse altitude dans une direction pr�cise. Il va dispra�tre de la vue du t�moin et le bruit s'estompera progressivement. Plusieurs vols de Transal ont eu lieu dans la nuit du 12 au 13 juin dans ce secteur et les descriptions du t�moin �tayent l'hypoth�se d'une probable observation a�ronautique.";"Observation probable d'un avion de type Transal";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2007-06-01730
1993;"NICE (06) 09.06.2007";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2007;06;09;"Le 09 juin 2007 vers 1 heure 30 du matin, un t�moin observe une lueur tr�s brillante dans le ciel qui l'intrigue. Il filme ce ph�nom�ne durant plusieurs minutes. La gendarmerie de Nice Est ayant �t� tr�s r�ticente pour prendre sa d�position, il contacte directement le GEIPAN. Son t�moignage est donc consign� sur un questionnaire direct et non sur un PV de gendarmerie.
Une recherche avec le logiciel Winstars 2 a rapidement montr� que le t�moin a observ� Jupiter dans des conditions tr�s favorables, qui �taient d'ailleurs rappel�es dans le num�ro de juin du magazine Sciences et Avenir.
Le t�moin lui m�me, qui a men� sa propre analyse est d'ailleurs arriv� � la m�me conclusion. Le ph�nom�ne est donc parfaitement identifi�.";"Observation de Jupiter.";O;1;;;;;;;;2011-07-27;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-06-01747
1994;"ANNEMASSE (74) 30.06.2007";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2007;06;30;"Le 30 juin 2007 en fin de matin�e, un t�moin observe dans le ciel un objet qui l'intrigue. Arriv� chez lui, il filmera l'objet qui est toujours pr�sent.
La vid�o montre clairement que l'objet observ� est un ballon t�tra�drique, du type de ceux utilis�s par la M�t�orologie Nationale ou les scientifiques.";"Observation d'un ballon sonde.";O;1;;;;;;;;2011-09-08;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-06-01793
1995;"NYONS (26) 19.06.2007";Dr�me;26;"(D) D�partement";2007;06;19;"Une personne rapporte son observation faite le 19 juin 2007 � 22h10. Depuis son balcon, le t�moin a son attention attir�e par le passage silenceux N-S d'un ph�nom�ne tr�s lumineux suivi de pr�s par un second au volume beaucoup plus important. L'ensemble se d�place � vitesse constante et dispara�t derri�re une colline dans une trajectoire descendante.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Un passage de la station spatiale ISS accompagn� de la navette qui venait de se s�parer de la station a eu lieu ce jour l� en visibilit� de Nyons.
Le cas est class� A comme l'observation d'un passage ISS et navette.";"Observation du d�placement silencieux d'un ph�nom�ne lumineux tr�s brillant dans le ciel : passage de l'ISS et de la navette.";O;1;;;;;;;;2011-10-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-06-01802
1996;"ROCHE-SUR-FORON (LA) (74) 30.06.2007";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2007;06;30;"Suite � un documentaire vu sur Internet, un t�moignage nous est rapport� en novembre 2008 concernant une observation faite le 30 juin 2007.
Un automobiliste roulant sur l'autoroute A410 en direction d'Annecy, observe � 9h43 un objet en suspension dans les airs. De couleur sombre et � plusieurs faces, l'objet se d�place tr�s lentement en oscillant. Une photographie sera prise tout en roulant et avec un t�l�phone portable : d'apr�s le t�moin elle ne rend pas compte de la couleur et de la forme de l'objet observ�.
En rapprochant cette observation du film d'un autre cas (Annemasse (74) toujours � la m�me date mais en fin de matin�e), le t�moin identifiera de fa�on formelle l'objet qui s'av�re �tre un ballon sonde t�tra�drique utilis� par la M�t�o Nationale ou des scientifiques.";"Observation d'un ballon sonde.";O;1;;;;;;;;2011-09-08;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-06-02009
1999;"SETE (34) 27.07.2007";H�rault;34;"(D) D�partement";2007;07;27;"Le 27 juillet 2007 entre 23h30 et 0h 15, un t�moin assis � la terrasse d'un caf� observe avec curiosit� un point lumineux qui se d�place rapidement et � tr�s haute altitude dans le ciel. Ce point vers le Sud a une trajectoire descendante. Discutant avec son amie, elle reprend son observation mais s'apper�oit que l'objet se trouve dans une direction oppos�e et dans une trajectoire montante.
L'examen de la carte du ciel montre que, ce jour l� vers minuit, la Station Spatiale Internationale disparaissait � l'horizon quelques secondes avant le lever du satellite m�t�orologique NOAA 14 exactement au m�me endroit du ciel dans la direction de l' observation.
Les trajectoires de ces deux satellites sont environ � 90�. L'ISS se levait � cette date du S-SO (204�) � 23h 45 pour se diriger vers le S-E. Le satellite m�t�o NoAA-14 se levait exactement au m�me endroit (204�) � 0h03 pour se diriger � l'inverse vers le S-O.
Il est donc �vident que le t�moin a vu successivement l'ISS puis NOAA 14, ce qui lui donn� l'impression que le point lumineux changeait de direction.";"Observation de deux satellites simultan�ment.";O;1;;;;;;;;2011-07-27;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-07-01766
2000;"SAINT-GERMAIN-EN-LAYE (78) 07.07.2007";Yvelines;78;"(D) D�partement";2007;07;07;"Un t�moin d�couvre apr�s coup sur certaines photos prises lors d'un mariage, des t�ches qu'il ne s'explique pas. Il effectue une d�position � la brigade de St Germain en Laye � qui il confie les photographies.
Ne disposant d'aucune information sur une observation visuelle du ph�nom�ne, l'analyse des trois photos montrent clairement que les points noirs correspondent au passage d'oiseaux dans le cadre des prises de vues.";"Taches sur des photos : passage d'oiseaux.";O;1;;;;;;;;2011-07-27;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-08-01796
2001;"BOURGES (18) 12.07.2007";Cher;18;"(D) D�partement";2007;07;12;"Observation faite par deux t�moins d'un ph�nom�ne a�rien triangulaire vu durant une minute au-dessus de Bourges dans la nuit du 12 au 13 juillet 2007. Les t�moins n'ont pas souhait� faire de d�position rendant toute enqu�te impossible par manque d'informations.";"Observation d'un ph�nom�ne a�rien triangulaire.";O;1;1;;;;;;;2018-04-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2007-07-01830
2004;"[AERO AFR] JAZENEUIL (86) 14.07.2007";Vienne;86;"(D) D�partement";2007;07;14;"Le 14 juillet 2007 � 14h35 TU, le commandant de bord d'un vol AF signale avoir une alerte T-CAS indiquant un trafic tr�s pr�s de l'avion. Sur les �crans, les pilotes voient un plot rouge situ� � 30 milles nautiques (55km) et � 300 pieds (100m) au-dessus de l'appareil. Mais aucun objet ne sera aper�u par les pilotes malgr� une visibilit� exceptionnelle.
Le contr�le a�rien ne d�tectera aucun trafic inconnu sur l'�cran radar.
La pr�-enqu�te men�e par le Bureau Enqu�te Analyse du Bourget pour la DGAC a conclu que le ph�nom�ne observ� �tait d� � de faux �chos.
L'expertise effectu�e pour le GEIPAN souligne un disfonctionnement probable d'un instrument de bord : le syst�me actif d'alerte du trafic et d'�vitement de collision (nom anglais T-CAS)";"Observation d'un plot sur radar de bord : probable faux �chos.";O;2;;;;;;;;2013-08-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2007-07-01839
2005;"SAVIGNE-SUR-LATHAN (37) 29.07.2007";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2007;07;29;"En mai 2008 un t�moin raconte qu'avec plusieurs autres personnes, il a observ� le 29 juillet 2007 vers 20h, le passage dans le ciel d'une boule de couleur sombre parsem�e de t�ches claires irr�guli�res. Cette sph�re avec une protub�rance � l'avant se d�pla�ait de fa�on rectiligne sur une trajectoire Ouest -Sud-Est. Durant l'observation qui a dur� une trentaine de secondes aucun bruit n'a �t� entendu et aucune fum�e remarqu�e. Ces personnes ont probablement vu un ballon n�anmoins aucune hypoth�se ne peut �tre v�rifi�e compte tenu de l'anciennet� de l'observation.";"Probable observation d'un ballon.";O;1;;;;;;;;2010-03-18;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2007-07-01882
2006;"FIGARI (20) 18.07.2007";Corse-du-Sud;2A;"(D) D�partement";2007;07;18;"Le 18 juillet 2007 vers 4h45 du matin un t�moin observe depuis sa terrasse un ph�nom�ne lumineux qui l'intrigue. Une lumi�re se d�place en s'approchant puis change de direction et dispara�t. Aucun bruit n'est entendu par le t�moin durant l'observation.
Les donn�es du lieu d'observation fournies par le t�moin ne permettent pas de d�finir un point pr�cis mais une zone (en fonction des distances aux villages voisins estim�es par le t�moin). L'observation d'une lumi�re grandissante arrivant sur le t�moin correspond bien � un projecteur avant d'avion en approche de l'aeroport de Figari. L'absence de bruit est due � la direction du vent, venant de l'Est Nord-Est, dans le dos du t�moin.";"Probable observation du passage de nuit d'un a�ronef, type avion.";O;1;;;;;;;;2010-10-11;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2007-07-02211
2010;"de REMIREMONT (88) vers DINOZE (88) 06.07.2007";Vosges;88;"(D) D�partement";2007;07;06;"Le 6 juillet 2007 aux environs d'une heure du matin, un automobiliste et sa femme vont �tre t�moins d'un ph�nom�ne lumineux vaporeux de couleur blanc-bleut� et de la forme ""d'un anneau"" ovale, en d�placement silencieux l�g�rement inclin� dans le ciel nuageux. Sur l'ext�rieur de l'anneau, les t�moins voient �galement plusieurs cercles lumineux. Le ph�nom�ne semble suivre le v�hicule, ce qui effraye les t�moins, entre la sortie de Remiremont (88) et Dinoz� (88). Arriv�s � leur domicile, les t�moins continueront d'observer le ph�nom�ne. L'observation discontinue aura dur� 35 minutes environ sur un peu plus de vingt kilom�tres.
L'aspect du PAN d�crit par les t�moins est tr�s proche des images projet�es � la base de nuages par un sky tracer (projecteur laser multi faisceaux).
L'enqu�te a d�montr� (voir le compte rendu d'enqu�te) d'une part que la discoth�que d'Epinal disposait d'un tel mat�riel � l'�poque de l'observation et que d'autre part la visibilit� et le comportement du PAN sont compatibles avec les t�moignages. Ajoutons qu'en 2007, le projecteur laser fonctionnait les jeudis en plus des vendredis et samedis soirs.
En 2015 il est toujours possible d'effectuer la v�rification de l'hypoth�se explicative dans les nuits du jeudi au vendredi, du vendredi au samedi et du samedi au dimanche � partir de 23h par temps nuageux.
C'est notamment gr�ce � la qualit� des souvenirs des t�moins et des notes prises � l'�poque des faits par le t�moin ainsi qu'� la reconstitution minutieuse effectu�e par les enqu�teurs que ce cas peut �tre class� en A : m�prise avec un sky tracer (projecteur laser).";"Observation des d�placements silencieux d'un ph�nom�ne lumineux vaporeux blanc-bleut� dans le ciel nuageux : m�prise avec les projections d'un sky tracer (projecteur laser).";O;;;;;;;;;2015-06-15;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-07-08259
2011;"MONTLOUIS-SUR-LOIRE (37) 13.08.2007";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2007;08;13;"Le 13 ao�t 2007 vers 23h 30 une famille regarde les �toiles depuis leur jardin. Ils vont apercevoir dans le ciel un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue : venant de l'ouest, une boule blanche lumineuse grossit en venant dans leur direction. Changeant progressivement de trajectoire pour se diriger vers l'�toile polaire, la sph�re diminue avant de dispara�tre compl�tement. Une carte du ciel prise aux heures et lieux indiqu�s montre que ces personnes ont �t� t�moins du passage de la Station Spatiale internationale.";"observation du passage de la station spatiale internationale";O;1;;;;;;;;2008-04-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-08-01745
2012;"CHARNY-SUR-MEUSE (55) 15.08.2007";Meuse;55;"(D) D�partement";2007;08;15;"Dans la nuit du 15 ao�t 2007 entre 23h 25 et 23h 45, un t�moin aper�oit un ph�nom�ne particulier dans le ciel d�gag�. Un objet de couleur gris m�tallique fonc� entour� d'un halo orang� et des train�es � l'arri�re traverse le ciel. Durant son observation qui a dur� 6 secondes, l'objet s'est d�plac� de l'Est vers le Nord-Ouest. L'objet a bruquement disparu. Aucun bruit n'a �t� entendu. La description et la dur�e sont conformes � ce que l'on peut voir lors d'une rentr�e atmosph�rique.";"Probable rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2010-03-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2007-08-01783
2013;"MALLEVILLE-SUR-LE-BEC (27) 05.08.2007";Eure;27;"(D) D�partement";2007;08;05;"En visualisant ses photographies sur son ordinateur, une personne d�couvre une image �trange sur l'une de ses photos.
Les photographies ont �t� prises � une distance d'environ 1800m avec un gros zoom 100-300 et un doubleur. Apr�s examen de la s�rie de photos, il appara�t tout � fait �vident qu'il s'agit d'un gros oiseau prenant son envol au moment dela prise de vue.
Les conditions de la prise de vue (�loignement, prise au zoom et positionnement dans une voiture) ont fait que le photographe n'a pas remarqu� le volatile qui n'�tait pas encore parti sur la premi�re photo et qui avait totalement disparu sur la troisi�me.
Ce genre de m�prise est particuli�rement fr�quente et nous sommes amen�s tr�s tr�guli�rement � identifier des oiseaux sur des photos qui n'ont pas �t� remarqu�s par le photographe. Le fait de voir passer un oiseau est tellement banal que le cerveau, qui est concentr� sur la prise de vue, zappe totalement cette information.";"Image curieuse sur une photo sans observation visuelle : oiseau prenant son envol au moment de la prise de vue.";O;1;;;;;;;;2011-07-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2007-08-01790
2014;"GIMONT (32) 18.08.2007";Gers;32;"(D) D�partement";2007;08;18;"Un astronome amateur rapporte son observation du 18 aout 2007 : vers 22h15 alors qu'il observe les �toiles, il remarque � l'il nu un point lumineux qui se d�place d'Est en Ouest � vitesse constante. Apr�s 30 secondes d'observation, il d�cide de faire une vid�o avec son camescope. Il filme d'abord au zoom maximun (x20) puis d�zoome pour mieux suivre le point lumineux.
Le t�moin est intrigu� par ce m�me ph�nom�ne qu'il verra deux autres fois au mois d'ao�t 2007.
Le t�moin observe un point lumineux qui se met en mouvement, il prend sa camera et filme. Les mouvements du ph�nom�ne sur la vid�o du t�moin (tr�s peu exploitable) correspondent au mouvement de la cam�ra, la forme en losange est la forme du diaphragme de la cam�ra. Il peut s'agir d'un avion � destination de Blagnac, vu de face, phares d'atterrissage allum�s, mais le t�moin n'a pas r�pondu aux questions compl�mentaires pos�es pour l'enqu�te.
Apr�s avoir �t� class� ""C"" par manque d'information, ce cas a �t� r�-examin�.
Le 18 aout � 22h15, il y avait un passage de la station spatiale internationale (ISS) visible depuis Gimont.
Le GEIPAN classe maintenant le cas en ""A"" : observation de la station spatiale internationale ISS.";"Observation du d�placement d'un point lumineux : passage de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2012-09-26;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-08-01805
2015;"VIELLE-SAINT-GIRONS (40) 04.08.2007";Landes;40;"(D) D�partement";2007;08;04;"Le 4 ao�t 2007 vers 14h une famille observe les �volutions d'une petite sph�re brillante se d�pla�ant � de vitesses variables et changeant de direction. Le niveau d'�tranget� de l'observation est faible : une forte proportion des caract�ristiques d�crites du ph�nom�ne correspondent � celles de ph�nom�nes connus ( ballon). L'interpr�tation propos�e est vraisemblable pour expliquer l'observation. Bien que provenant d'un t�moignage unique (questionnaire sans proc�s verbal de gendarmerie), la quantit� et la qualit� des informations d�crivant l'observation sont objectives et fiables. Le cas est class� B comme l'observation tr�s probable d'un ballon.";"Probable observation d'un ballon.";O;1;;;;;;;;2010-07-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2007-08-01806
2017;"AIX-EN-PROVENCE (13) 30.08.2007";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2007;08;30;"Le jeudi 30 aout 2007 aux environs de 19h un t�moin, regardant le ciel par la fen�tre, a son attention attir�e par un �clat semblable � celui d'une �toile dans le ciel d�gag�. Il prend son camescope pour filmer. L'intensit� lumineuse diminue et le t�moin voit un petit objet sombre qui devient juste une tache sombre en mouvement. Le t�moin, intrigu�, passe dans une autre pi�ce pour suivre l'objet, zoome avec son camescope et voit 4 points ou carr�s noirs entourant l'�clat lumineux. L'observation a dur� moins de 25 secondes. Un seul t�moignage est recueilli.
Le ph�nom�ne observ� par le t�moin est un point lumineux tr�s brillant, tr�s probablement un reflet du soleil sur un objet volant.
La vid�o du ph�nom�ne produit 4 rectangles noirs entourant le point blanc : ces �l�ments sont nettement des artefacts, c'est � dire des effets parasites du capteur vid�o et de la compression.
L'�tranget� de ce cas se r�duit donc au passage d'un objet volant refl�tant le soleil. Le vent souffle fort ce jour l� (Mistral) de secteur N � NO (Cf M�t�ociel). Comme le d�placement de l'objet est du NE vers SO, il est tr�s peu probable que ce soit un objet port� par le vent.
Par contre, un avion ou h�licopt�re peut avoir jou� le r�le de miroir vis � vis du soleil qui est bas sur l'horizon (plein ouest, � 8�). Le fort vent aura occult� le bruit de l'engin.
L'enqu�te a �t� r�alis� trop tard pour pouvoir confirmer cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information et de recoupements.";"Observation et vid�o du passage d'un �clat lumineux dans le ciel ; trajectoire courbe descendante : manque d'information et de recoupement.";O;;;;;;;;;2016-11-02;;;0.50;0.00;;;0.70;;0.80;;0.56;0.00;C;D1;2007-08-01829
2019;"NANTES (44) 2007";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2007;08;28;"Le 28 ao�t 2007 entre 19h et 19h10 deux personnes observent 3 ou 4 minutes depuis leur terrasse un objet volant particulier. Celui-ci est rond, plat avec un d�me transparent. L'objet s'�l�ve en se balan�ant et se d�place d'Est en Ouest. Le dessous de l'objet parait sombre. Aucun bruit n'a �t� entendu. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne. Apr�s enqu�te, il s'av�re que les t�moins ont probablement vu un cerf-volant de type circoflex.";"Observations d'un objet rond et plat se d�pla�ant d'Est en Ouest.";O;2;;;;;;;;2008-08-13;;;0.25;0.13;;;;;;;0.53;0.48;B;B;2007-08-01851
2021;"ROUBAIX (59) 23.08.2007";Nord;59;"(D) D�partement";2007;08;23;"Un t�moin assis � la terrasse d'un caf� observe le passage lent et silencieux d'un engin de forme sph�rique particuli�re avec des ailerons. Celui-ci se d�place d'Est-Ouest et s'�l�ve � la verticale dans le ciel. Le t�moin ne pourra pas continuer � suivre l'objet qui se retrouve en plein soleil.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'objet d�crit par le t�moin ressemble effectivement, comme l'exprime le t�moin, � un module publicitaire gonflable. Le t�moin indique un vent d'Ouest ressenti au sol, qui est contradictoire avec cette hypoth�se, mais les relev�s meteo de Lille, tr�s proche, indique un vent d'Est, qui serait alors compatible avec le d�placement de l'objet. On peut admettre que le vent ressenti sur la place soit tr�s diff�rent du vent � 100 m d'altitude. La rotation et les mouvements d�sordonn�s de l'objet ne sont pas surprenants pour un objet de cette forme volant au gr� du vent.
Ce cas est class� ""B"" observation probable d'un ballon gonfl� � l'h�lium, probablement �chapp� de son propri�taire.";"Observation du d�placement d'un objet rond avec 4 ailerons : probable observation de ballon gonfl� � l'h�lium.";O;1;1;;1;;;;;2012-08-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2007-08-01952
2024;"CHAMBLEY-BUSSIERES (54) 05.08.2007";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2007;08;05;"Le 5 ao�t 2007 s'est d�roul�e sur l'ancienne base militaire de Chambley-Bussi�re (54) une manifestation tr�s importante de montgolfi�res.Des milliers de personnes assistaient � cet �v�nement et des milliers de photos ont �t� prises. Apr�s la manifestation, l'un des participants a constat� sur l'une de ses photos (190 environ) une tache suspecte ne semblant �tre ni un a�ronef, ni un oiseau, ni un artefact d� � l'appareil. Il a contact� un enqu�teur priv� M. Christian Comtesse, et le GEIPAN n'a �t� averti que par la m�diatisation de cet �v�nement sous le nom de � l'OVNI de Chambley �. Un cas d'observation constitu� d'une seule photographie pr�sentant une anomalie, sans observation visuelle lors de la prise de vue, rend difficile toute enqu�te approfondie : le manque d'informations pr�cises incite � de nombreuses hypoth�ses mais sans possibilit� de les v�rifier et si il n'y a pas au moins deux sources ind�pendantes d'informations le cas d'observation ne pr�sente � priori que peu d'int�r�t. Localement, M. Christian Comtesse, qui avait �t� destinataire d'une seule photo a entrepris d'essayer d'en savoir plus. Il a recueilli de nombreuses autres photos et la m�me tache est pr�sente sur une autre photographie. Dans ce cas pr�cis�ment, l'une des photos recueillie lors de l'enqu�te de Christian Comtesse, est relativement riche en informations (pr�sence de nombreux ballons � des distances vari�es). Elle a servi de support � une �tude de proc�dure d'analyse de photo confi�e � Fran�ois Louange, sp�cialiste en la mati�re. L'�tude compl�te de la photo fait l'objet d'un document annexe (Rapport analyse photo Louange), et le r�sultat est qu'il s'agit d'un objet d'une taille comprise entre 75 cm et 1 m�tre plac� � environ 300 m�tres du photographe. Une hypoth�se plausible est celle d'un ballon d'enfant �chapp�. La t�nacit� de C.Comtesse sera r�compens�e puisqu'il aura finalement, en mars 2008, le t�moignage du pilote d'une des montgolfi�res, t�moin visuel de l'objet. Celui-ci se trouve �tre pr�cis�ment un ballon d'enfant en forme de poisson de 80 cm environ. Le rapport de Christian Comtesse transmis au GEIPAN est publi� en document annexe (Rapport Enqu�te OVNI de Chambley). Ce cas, finalement class� A , est exemplaire � plus d'un titre : -Il d�montre l'int�r�t d'une collaboration entre le GEIPAN et les enqu�teurs locaux, collaboration mise en place aujourd'hui par le GEIPAN avec les Intervenants de Premier Niveau (IPN) : en effet, sans la collaboration de Christian Comtesse, ce cas de photographie sans observation visuelle, n'aurait pas �t� enqu�t� de mani�re approfondie par le GEIPAN et serait donc, peut-�tre, rest� inexpliqu� (et probablement class� C). -Il valide � posteriori la m�thode d'analyse des photographies mise au point par Fran�ois Louange pour le compte du GEIPAN.";"Tache sur photographie sans observation visuelle lors de la prise de vue.";O;1;;;;;;;;2010-04-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-08-02247
2025;"PLOUNEVEZ-QUINTIN (22) --.08.2007";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2007;08;--;"Le 8 ao�t 2008 un t�moin contacte le geipan par t�l�phone pour d�crire une observation ancienne. Apr�s le 15 ao�t 2007 (le t�moin ne se souvient plus de la date exacte) et entre 22h30 et 23h, cette personne a vu se d�placer c�te � c�te en direction du S-E deux sph�res lumineuses de couleur jaune vif. Aucune autre information concernant cette observation n'a pu �tre recueillie.";"Observation de deux sph�res jaunes en d�placement.";O;1;;;;;;;;2010-04-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-08-02271
2027;"ROGNY-LES-SEPT-ECLUSES (89) 02.08.2007";Yonne;89;"(D) D�partement";2007;08;02;"Dans la nuit du 2 ao�t 2007 vers 1h du matin, deux t�moins observent le d�placement d'une boule lumineuse verte. Tournant en spirale dans une trajectoire descendante, le ph�nom�ne dispara�t de leur vue derri�re un hangar. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation du ph�nom�ne. Aucun autre t�moignage n' a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne dans le secteur. L'enqu�te IPN a �t� infructueuse par manque de contact avec le t�moin. Les caract�ristiques de l'observation font penser � un m�t�ore (dur�e = 2 secondes, boule couleur verte) non r�pertori�e, mais toute enqu�te est impossible par manque de contacts et donc d'informations.";"Observation rapide d'une boule lumineuse verte. Aucun bruit.";O;1;;;;;;;;2010-11-24;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2007-08-02575
2028;"SERIGNAN (34) --.08.2007";H�rault;34;"(D) D�partement";2007;08;--;"T�moignage r�cent (le 30/08/2010) d'une observation ancienne (en ao�t 2007, le t�moin ne se souvient pas de la date du jour).
un t�moin rapporte qu'en ao�t 2007 sur une plage, il observe � l'arri�re d'un avion publicitaire, un objet brillant avec des facettes de couleurs tr�s vives. L'objet est stationnaire mais semble trouner sur lui-m�me tr�s lentement. Aucun bruit n'est entendu. L'observation a dur� 2 ou 3 minutes avant que l'objet ne disparaisse.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons de p�cisions et d'informations.";"Observation dans le ciel d'un objet de couleurs tournant sur lui-m�me.";O;1;;;;;;;;2010-10-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2007-08-02630
2029;"RUCH (33) 15.08.2007";Gironde;33;"(D) D�partement";2007;08;15;"T�moignage r�cent (2013) d'une observation ancienne (2007). Le 15 ao�t 2007 � 23h45, un t�moin observe, en roulant � bord de son v�hicule, un grand disque lumineux qu'il prend tout d'abord pour la lune. La vision du ph�nom�ne est masqu�e par le paysage pendant quelques minutes, au bout desquelles le PAN n'est plus visible.
Une v�rification astronomique montre effectivement que la Lune n'est pas visible � cette heure (fin croissant, couch� depuis plus d'une heure). Par contre, on constate que la plan�te Jupiter est tout pr�s de la direction d'observation indiqu�e par le t�moin, et qu'elle est particuli�rement brillante (magnitude -2). Il est toutefois �tonnant qu'elle ait �t� per�ue grosse comme la Lune.
La m�t�o de Meteociel indique un ciel couvert, avec des pluies intermittentes. On peut penser � un effet de diffusion des nuages bas qui ferait un halo autour de Jupiter. (cf un halo en hiver).
Dans un tout autre registre, on peut aussi penser au phare d'un v�hicule agricole sur une cr�te, vu � travers la brume d'apr�s la pluie. Il est bien difficile a posteriori de valider ou non l'une ou l'autre de ces hypoth�ses.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'informations et de recoupements.";"Observation par un automobiliste d'un grand disque lumineux dans le paysage : manque d'informations et de recoupements.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2007-08-08538
2030;"[AERO AFR995] 28.09.2007";A�ro;01;"(A) A�rien";2007;09;28;"Le 28 septembre 2007 � 3h 50 un point lumineux en d�placement est observ� lors d'un vol r�gional. En route inverse � celui-de l'avion, la luminosit� du ph�nom�ne diminuera progressivement.
Trop bas pour �tre un satellite, l'�quipage a probablement �t� t�moin de la chute d'un m�t�ore.";"Probable chute de m�t�ore.";O;1;;;;;;;;2011-10-11;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2007-09-01744
2031;"MOUSSY (51) 26.09.2007";Marne;51;"(D) D�partement";2007;09;26;"Le 26 septembre 2007 � 7h 30 deux personnes sont intrigu�es par un ph�nom�ne lumineux dans le ciel nuageux. En direction du Sud-Est et � 100m de haut environ, une forme ovale �met une lumi�re tr�s dense. Cette forme stationnaire s'�l�ve lentement � la verticale � partir de 9h 15 et dispara�t vers11h. Le 27 septembre 2007 un des t�moin observe de nouveau cette forme. Il sera d�montr� que les t�moins ont fait une observation astronomique de V�nus, particuli�rement visible en cette p�riode de l'ann�e ( magnitude -4,31). Ces r�f�rences astronomiques seront confirm�es par la revue SCIENCES ET VIE du mois de septembre 2007.";"observation astronomique de V�nus.";O;1;;;;;;;;2008-04-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-09-01760
2032;"TATINGHEM (62) 02.09.2007";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2007;09;02;"Un t�moin rapporte l'observation d'une forme �trange sur un photographie sans observation directe lors de la prise de vue.
Ce type de cas de taches constat�es sur une photo alors que rien n'a �t� constat� de visu est devenu tr�s fr�quent avec la multiplication des appareils photo num�riques.
L'origine de la plus grosse t�che est probablement un oiseau ou un insecte pass� ralativement pr�s de l'appareil, d'o� le flou.
La faible tache grise centrale est un l�ger d�faut de l'appareil, probablement visible sur toutes les photos.
Ce cas tr�s peu �trange est class� ""B"" : passage probable d'un oiseau ou insecte dans le champ de vue de l'appareil photo.";"Tache inexpliqu�e sur une photo : probable passage d'oiseau ou d'insecte.";O;1;;;;;;;;2012-03-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2007-09-01795
2034;"REMIREMONT (88) 13.09.2007";Vosges;88;"(D) D�partement";2007;09;13;"Le 13 septembre 2007 entre 5h08 et 5h13, un t�moin observe � l'ext�rieur de son domicile le passage N-S de deux points lumineux (de couleur blanche avec des refl�ts rougeatres) s�par�s l'un de l'autre d'environ deux degr�s. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation.
L'observation d�crite correspond en grande partie � un passage de satellite : trajectoire rectiligne, disparition (extinction) progressive. A cette heure l� et en cette saison, il passe de nombreux satellites sur cette trajectoire. Les 2 objets peuvent �tre le satellite et son lanceur : on note que le 11/09/2007 le lanceur COSMOS 2429 a lanc� le satellite SL-8 R/B sur une orbite quasi polaire (l'heure de passage en visibilit� n'a pu �tre v�rifi�e). La forte luminosit� est toutefois surprenante : ces objets ne devraient pas �tre aussi brillants (magnitude 4). La perception de l'immobilit� 5 secondes au d�but de l'observation n'est pas compatible avec cette hypoth�se, mais peut �tre une erreur de perception.
Malgr� ces incertitudes, ce cas est class� ""B"" : observation probable de satellites, du fait de la faible �tranget� du ph�nom�ne.";"Probable observation du passage de satellites.";O;1;;;;;;;;2012-02-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2007-09-01801
2035;"ARCS (LES) (83) 18.09.2007";Var;83;"(D) D�partement";2007;09;18;"Le 18 septembre 2007 une automobiliste est intrigu�e par le passage d'un objet dans le ciel. Elle t�l�phone � son mari qui pourra �galement voir le d�placement rapide d'une grosse tache blanche ovale dans le ciel.
D'apr�s l'enqu�te de gendarmerie, aucun objet n'est tomb� � terre dans le sectuer indiqu�.
Cette observation est peu �trange : La forme de l'objet, son d�placement selon le vent (Mistral : N � N/O) sont les caract�ristiques d'un ballon, tr�s lumineux en fin de journ�e. On peut penser � un ballon scientifique l�ch� de l'Observatoire de Haute Provence (v�rification non faite). Ce cas est class� ""B"" observation probable d'un ballon scientifique.";"Observations du d�placement d'une t�che blanche se d�pla�ant rapidement dans le ciel : probable observations d'un ballon scientifique.";O;1;;;;;;;;2012-03-14;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2007-09-01804
2038;"LIBOURNE (33) 03.10.2007";Gironde;33;"(D) D�partement";2007;10;03;"Les 2, 3 et 5 octobre 2007 au matin, des personnes trouvent dans leurs pelouses, des cercles de d�p�ts noirs. Apparus durant la nuit leurs diam�tres varient entre 5,80 m et 10 m�tres pour une largeur d'environ 30 cm.
Lors des enqu�tes men�es par la gendarmerie et le GEIPAN des pr�l�vements sont effectu�s. Les analyses de ces �chantillons, confi�s au d�partement mycologie de la facult� de pharmacie de Toulouse, permettront d'identifier une formation exceptionnelle de Myxomyc�tes du genre Badhamia, organismes se rapprochant des champignons, interm�diaires entre le r�gne animal et le r�gne v�g�tal.";"Cercles noirs de plusieurs m�tres de diam�tre de myxomyc�tes.";O;1;;;;;;;;2011-09-09;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-10-01746
2039;"CHATILLON-SUR-CHALARONNE (01) 02.10.2007";Ain;01;"(D) D�partement";2007;10;02;"Le 2 octobre 2007 vers 13h, un t�moin dans son jardin constate dans le ciel un ph�nom�ne particulier : une grande forme en losange de plusieurs couleurs vole silencieusement � faible altitude. Intrigu�, ce t�moin d�cide de suivre le ph�nom�ne en voiture durant 5 � 6 km entre Neuville-les-Dames et Vonnas. Il prend des photographies durant �la poursuite � et rencontre 4 autres t�moins sur le parking d'une entreprise horticole de Vonnas �galement intrigu�s. Le t�moin reprend ensuite la route en direction de M�zeriat mais perd de vue le ph�nom�ne. Suite � un appel � t�moins pass� dans le quotidien Le Progr�s, de nombreuses personnes se manifesteront.
La reconstitution de la trajectoire compatible avec les observations indique une direction de d�placement sud sud-ouest vers nord nord-est, tr�s proche de celle du vent de sud relev� � Lyon. La vitesse moyenne de l'objet durant l'observation (20 km/h) est un peu inf�rieure � la vitesse du vent (22 km/h). Ces deux constatations orientent nettement l'enqu�te vers l'hypoth�se d'un a�rostat plus l�ger que l'air, et donc port� par le vent (voir compte rendu d'enquete).
L'aspect d�crit par les t�moins �voque une grappe de petits ballons festifs en mylar, gonfl�s � l'h�lium. Elle aura pu �chapper � son propri�taire, ou au contraire aura �t� assembl�e pour porter une petite charge. Cette grappe de ballons peut avoir parcouru une grande distance avant l'observation, il est donc bien difficile d'en estimer l'origine.
Ce cas d'observation, avec plusieurs t�moins et des photos, s'av�re donc tr�s consistant, mais finalement peu �trange puisque le d�placement de l'objet est compatible avec le sens et la vitesse du vent.
Suite � l'enqu�te, le GEIPAN classe ce cas � B � : observation probable de ballons festifs gonfl�s � l'h�lium.";"Observations d'une forme importante volant lentement et silencieusement dans le ciel : observations probables de ballons festifs gonfl�s � l'h�lium.";O;7;;;;;;;;2013-10-17;;;0.38;0.13;;;;;;;0.63;0.37;B;B;2007-10-01759
2041;"LILLE (59) 01.10.2007";Nord;59;"(D) D�partement";2007;10;01;"Le 1er octobre 2007 � 7h40, un automobiliste sur l'A27, � 5,5 Km de la fronti�re belge observe vers l'avant de son v�hicule, � 1-2 Km de lui, un PAN de couleur gris fonc�, form� de 2 ailes delta et d'une envergure sup�rieure � 100m. Des lumi�res blanches sont dispos�es sur la tranche arri�re des ailes. Il continue � rouler 1-2 Km, puis se gare sur la bande d'arr�t d'urgence � environ 400 m�tres du PAN. Ce dernier semble stationn� au-dessus d'un champ � une centaine de m�tres de hauteur. Au bout d'une dizaine de secondes le PAN s'incline puis s'�loigne au loin � une vitesse de 30 � 40 Km/h. Bien que le t�moin n'ait pas reconnu un avion, l'enqu�te se tourne en premier lieu vers l'observation d'un a�ronef car dans un axe voisin du rideau d'arbres se trouve l'axe d'approche des avions de l'a�roport de Lille Lesquin. D'ailleurs pendant la reconstitution, un avion en approche a �t� observ�. La taille apparente est du m�me ordre que celle de l'objet observ� par le t�moin mais l'avion se situe beaucoup plus haut au-dessus des arbres que l'objet observ�. La deuxi�me hypoth�se �mise est celle de l'observation du Thalys ou d'une rame TGV sur la ligne Lille-Bruxelles.La ligne TGV est effectivement visible depuis certains endroits de l'autoroute. Cependant cette hypoth�se sera abandonn�e car, depuis l'emplacement du t�moin, la portion de la ligne o� aurait d� se trouver le train au moment de l'observation passe en tranch�e : toute observation est donc impossible m�me � quelques dizaines de m�tres de la voie. A ce point de l'enqu�te et dans l'attente de nouvelles investigations, aucune explication ne peut �tre avanc�e.";"observation de huit lumi�res blanches group�es quatre par quatre";O;1;1;;1;;;;;2012-07-26;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2007-10-01850
2042;"FOS-SUR-MER (13) 02.11.2007";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2007;11;02;"Le 2 octobre 2007 � minuit un t�moin est surpris de voir une lumi�re rouge se d�placer � tr�s grande vitesse et horizontalement dans le ciel. L'observation a dur� quelques secondes sans qu'aucun bruit ne soit entendu.
La description et la dur�e de l'observation confortent l'hypoth�se d'une probable rentr�e atmosph�rique.";"probable observation d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2011-01-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2007-10-01860
2048;"HAYANGE (57) 13.10.2007";Moselle;57;"(D) D�partement";2007;10;13;"Un t�moin contacte le GEIPAN le 31 mars 2009 au sujet d'une observation d'une boule jaune observ�e le dimanche 22 mars 2009 et d'une autre observation similaire le 13 octobre 2009. Ces deux observations ont �t� analys�es ensemble au GEIPAN mais trait�es dans deux dossiers distincts (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le GEIPAN a tent� de reprendre contact avec le t�moin en 2012 mais le num�ro de t�l�phone et le mail donn�s en 2009 s'av�rent inutilisables en 2012.
Hormis les changements de direction, le t�moignage ressemble fortement � l'observation d'une rentr�e atmosph�rique de d�bris de satellite ou de m�t�oro�de, ou de lanterne festive. Nous avons ici une observation d'un niveau d'�tranget� moyen, mais la consistance de l'ensemble ne permet pas une classification D1.
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupement.";"Observations du d�placement de ph�nom�nes lumineux dans le ciel avec changements de direction : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2007-10-02276
2049;"[A10] de JANVRY (91) vers PARIS (75) 27.10.2007";Essonne;91;"(D) D�partement";2007;10;27;"Le 27 octobre 2007 � 23h un automobiliste observe dans le ciel le passage rapide vers le Nord-Est d'un ph�nom�ne lumineux suivi d'une train�e de fum�e persistante. Le temps est clair avec quelques nuages en altitude. L'observation dure entre 1 et 2 secondes. Il en d�duit qu'il peut s'agir d'une m�t�orite. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'impression du t�moin � propos d'une m�t�orite est probablement la bonne.. mais la description est trop sommaire pour pouvoir le confirmer. La description n'a rien de tr�s �trange.
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en C : manque d'information fiable.";"Tr�s courte observation du passage rapide vers le Nord-Est d'un ph�nom�ne lumineux avec train�e : manque d'information fiable.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.20;0.25;;;0.50;;0.30;;0.15;0.00;C;C;2007-10-02481
2050;"ORGELET (39) 01.11.2007";Jura;39;"(D) D�partement";2007;11;01;"Le 1er novembre 2007 en fermant ses volets � 20h 34, un t�moin aper�oit dans le ciel un ph�nom�ne lumieux qui l'intrigue. Durant 2 � 3 secondes il voit un ph�nom�ne ressemblant � une �toile filante ou � une fus�e de feu d'artifice blanc se d�placer � grande vitesse dans le ciel � basse altitude dans le sens NE-NW. Aucune autre information n'a �t� recueillie. Ce t�moin a fait une observation d'une rentr�e atmosph�rique d'une m�t�orite ou d'un d�bris spatial sans qu'il soit possible de l'identifier de fa�on certaine.";"observation d'une rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2008-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2007-11-01775
2052;"LES ESSARTS (85) 26.11.2007";Vend�e;85;"(D) D�partement";2007;11;26;"Le 26 novembre 2007 entre 18 heures 20 et 18 heures 35 un t�moin en voiture avec son fils rentre chez elle. Elle observe dans le ciel d�gag� trois points lumineux jaunes en triangle avec une lumi�re rouge au centre. L'altitude semble basse et le ph�nom�ne est immobile. Un grondement est per�u par les t�moins. La conductrice ralentit pour observer ce ph�nom�ne et son fils ouvre la vitre et penche sa t�te � l'ext�rieur pour mieux voir. Il est alors pris de maux de t�te intenses et d'une crise de nerfs qui provoque une frayeur importante chez la m�re. L'enqu�te a permis d'�tablir pr�cis�ment le positionnement du v�hicule des t�moins � 46�46'39N et 1�13'48O ainsi que la direction de l'observation vers le NNE. L'observation ayant eu lieu � une heure non pr�cis�e entre 18h20 et 18h35 locales, tous les mouvements d'avions sur Nantes et La Roche sur Yon entre 18h00 et 19h00 ont �t� reconstitu�s avec l'aide efficace des services de la DGAC de Nantes. Sept appareils ont �t� identifi�s avec un niveau de vol suffisamment bas pour �tre nettement distingu�s du sol (inf�rieur � FL020). L'enqu�te du GEIPAN permet d'�tablir sans aucun doute que l'observation faite par les t�moins est celle du vol LXPRG de 18h27'16"" (heure locale) en approche de l'a�roport de La Roche sur Yon. L'analyse m�dicale n'ayant rien apport� il faut sans doute rechercher des effets li�s au stress d'une observation non expliqu�e. Le mal de t�te a pu �tre d�clench� par une mauvaise position de l'enfant en sortant sa t�te par la vitre de la voiture en marche, la peur ayant fait le reste ainsi qu'un stress communiqu� par la m�re d�j� inqui�te de savoir son autre plus jeune fils seul � la maison.";"Observation de 3 points lumineux en triangle. Sensation de malaise chez les t�moins";O;1;;;;;;;;2009-02-04;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-11-01803
2053;"OUZOUER-SUR-LOIRE (45) --.11.2007";Loiret;45;"(D) D�partement";2007;11;--;"Un t�moin rapporte qu'en mars 2007 (entre le 22 et le 28 novembre, il ne s'en souvient pas exactement), il a fait une observation particuli�re. Roulant sur une d�partementale entre 20h et 22h, lui et sa passag�re ont vu brusquement au milieu du ciel, un ph�nom�ne lumineux qui semblait ""piquer vers le sol"". L'observation qui a dur� 1 � 2 secondes a permis de distinguer une lumi�re de couleur jaune en forme de goutte qui se d�pla�ait sans bruit. L'objet a disparu rapidement � l'horizon. D'apr�s la description donn�e du ph�nom�ne (trajectoire, dur�e), ces personnes ont �t� t�moins de la rentr�e dans l'atmosph�re d'un bolide. La forme en ""goutte d'eau"" est certainement due � la pr�sence d'une train�e en ""wake"" qui suit l'objet.";"Lumi�re jaune tombant verticalement du ciel :probable observation d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2007-11-01821
2057;"TOULOUSE (31) 11.12.2007";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2007;12;11;"Le 11 d�cembre 2007 vers 20h 40 deux t�moins observent des lueurs dans le ciel toulousain charg� de nuages.
Une des personne t�moigne avoir observ� durant 25 minutes les d�placements rapides de formes l�g�rement ovales, blanches et opaques qui cr�ent diff�rentes figures g�om�triques � travers les nuages. Il a film� son observation durant quelques minutes avec son t�l�phone portable. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu durant l'observation.
Les gendarmes ont visionn� la vid�o prise par ce t�moin et distinguent effectivement quelques mouvements (voir PV).
D'apr�s les descriptions donn�es par le t�moin et apr�s avoir exclu une m�prise astronomique, il est probable que ces personnes aient observ� une animation lumineuse (dur�e importante du ph�nom�ne).
Ce type de t�ches mobiles sur plafond nuageux sont fr�quemment source de m�prise et selon les conditions m�t�orologiques les faisceaux peuvent ne pas �tre visibles. De ce fait il est difficile de localiser ais�ment la position de la source qui peut �tre proche du secteur d'observation ou bien plus lointaine suivant la port�e des projecteurs.";"Observation de d�placements de formes lumineuses � travers les nuages.";O;1;;;;;;;;2011-01-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.53;0.48;B;B;2007-12-01761
2058;"BIARRITZ (64) 09.12.2007";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2007;12;09;"Un photographe amateur d�couvre des objets inattendus sur ses photographies qu'il a prises en rafale lors d'un week-end � Biarritz.
Ce cas est une constatation a posteriori d'objets �tranges sur une photo, alors que rien n'a �t� constat� de visu.
C'est un cas typique de petit objet pass� tr�s pr�s de l'appareil. Dans ce cas, ce sont des embruns qui auront provoqu� des t�ches furtives. On peut penser que des oiseaux sont aussi visibles dans le lointain.";"Taches sur une s�rie de photos prises en rafale : embrums.";O;1;;;;;;;;2012-02-20;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2007-12-01792
2059;"[RENTREE ATMOSPHERIQUE] (NAT) FRANCE (FR) 25.01.2008";Occitanie;OCC;"(R) R�gion";2008;01;25;"Le 25 janvier 2008 vers 18h15 de nombreux t�moins, principalement dans le Sud-Ouest de la France aper�oivent dans le ciel le passage d'un objet lumineux.
L'enqu�te men�e par le GEIPAN n'a pas permis de valider l'hypoth�se de la rentr�e atmosph�rique d'un d�bris spatial et l'hypoth�se retenue est celle de la rentr�e d'une m�t�orite. Plus de 170 t�moignages ont �t� collect�s et ont permis d'�tablir une trajectoire et un point d'impact probable � l'Est d'Albi.
Bien que plusieurs t�moins aient apport� au GEIPAN des pierres trouv�es apr�s cette observation, aucun d�bris de cette m�t�orite n'a �t� retrouv�.";"Observations de la chute pr�sum�e d'une m�t�orite.";O;7;;;;;;;;2011-06-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.68;0.29;B;B;2008-01-01757
2063;"LAQUEUILLE (63) 24.01.2008";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";2008;01;24;"Le 24 janvier 2008 � 1h15 du matin, un t�moin observe � haute altitude une lumi�re blanche qui d�crit dans le ciel d�gag� deux cercles puis disparait. Durant l'observation un fort bruit de grondement est entendu.
La description faite par le t�moin �voque bien s�r un avion. Le d�placement du point lumineux est toutefois surprenant. Mais le t�moin est au bord d'une zone d'entrainement a�rien militaire (voir carte ci jointe, extraite de la ""carte du r�seau tr�s basse altitude d�fense"" RTBA) : un avion militaire peut tout � fait avoir ce comportement en manuvre.
Ce cas est class� ""B"" : probable observation d'avion militaire en manuvre.";"Observation d'une lumi�re blanche effectuant deux cercles et accompagn�e d'un grondement sonore : probable observation du passage d'un avion militaire en exercice.";O;1;;;;;;;;2013-04-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-01-01986
2064;"[A89] de CLERMONT-FERRAND (63) vers BRIVE-LA-GAILLARDE (19) 01.01.2008";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";2008;01;01;"Le 1 janvier 2008 un automobiliste prend depuis l'int�rieur de sa voiture des photos du Puy de D�me avec son t�l�phone portable. Lorsqu'il les regarde un mois plus tard il observe un ph�nom�ne lumineux qu'il ne s'explique pas et adresse au GEIPAN ses photographies. Il s'agit en fait d'un reflet d'une lumi�re int�rieure au v�hicule (plafonnier ou autre).";"ph�nom�ne lumineux orang� sur photographie (TMP).";O;1;;;;;;;;2010-04-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-01-02215
2065;"SAINT-LOUIS (974) 13.01.2008";"La R�union";974;"(D) D�partement";2008;01;13;"Un t�moin rapporte tr�s succinctement par mail des observations successives (entre 2007 et 2008) de d�placements de ph�nom�nes lumineux dans le ciel. Aucune pr�cision sur les diff�rentes observations ne sera ajout�e par le t�moin.";"Observations successives de ph�nom�nes lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-04-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-01-02291
2066;"ROQUE-SAINTE-MARGUERITE (LA) (12) 01.02.2008";Aveyron;12;"(D) D�partement";2008;02;01;"Le 1er f�vrier 2008 vers 18h 30 un t�moin aper�oit dans le ciel d�gag� une train�e blanche � environ 30� au-dessus de l'horizon dans le sens Sud Sud-Est. Quelques secondes plutard il perd de vue cette train�e blanche mais aper�oit de la fum�e qui se dissipe progressivement. La presse locale a fait l'�cho d'observations semblables ce jour l�. Cette personne a probablement observ� une rentr�e atmosph�rique.";"probable rentr�e atmosph�rique";O;1;;;;;;;;2009-11-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-02-01770
2069;"BOGNY-SUR-MEUSE (08) 29.02.2008";Ardennes;08;"(D) D�partement";2008;02;29;"Un t�moin rapporte plusieurs observations de ph�nom�nes lumineux vus depuis son domicile (il indique dans son PV la date du 22 f�vrier 2008 vers 22h ou 23h mais lors de l'entretien avec l'enqu�teur il affinera la date au 29 f�vrier � 21h30).
Le t�moin a donc aper�u � trois reprises en deux ans et en soir�e des ""boules de feu"" de couleur blanche. Celles-ci descendent de la colline jusqu'� un ruisseau. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli. Aucune trace au sol d'incendie n'a �t� retrouv�e.
Apr�s v�rification aupr�s d'un expert sur les ph�nom�nes lumineux atmosph�riques transitoires (foudre, plasmas), il appara�t que tous les param�tres sont coh�rents avec des ph�nom�nes lumineux g�omagn�tiques (""Earth balls ou ""earth lights"") li�s aux failles g�ologiques : pr�sence de ligne �lectrique et de cours d'eau orient� dans le sens d'�coulement des sph�res.
Le GEIPAN classe ce cas � B �, observations tr�s probables de ph�nom�nes lumineux g�omagn�tiques.";"Observations successives du d�placement de boules lumineuses descendant le long d'une colline vers un ruisseau : probables observations de ph�nom�nes lumineux g�omagn�tiques.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.38;0.13;;;;;;;0.53;0.48;B;B;2008-02-01997
2071;"SAINT-ETIENNE-DU-ROUVRAY (76) 13.02.2008";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2008;02;13;"Le 13 f�vrier 2008 vers 1h25, un t�moin se r�veillant en pleine nuit observe depuis chez lui une grosse boule orange se d�pla�ant � tr�s grande vitesse dans le ciel. L'observation dure quelques secondes et le PAN dispara�t aussit�t. Un seul t�moignage est recueilli.
D'�tranget� et de de consistance faibles (t�moin unique, observation de tr�s courte dur�e), ce cas s'av�re �tre une m�prise tr�s probable avec un bolide naturel. L'absence de t�moignages ind�pendants ou d'une capture par un dispositif de type cam�ra all-sky ne permet cependant pas de valider formellement cette hypoth�se.
Ce cas est class� B, m�prise probable avec une rentr�e atmosph�rique naturelle (bolide).";"Observation du passage � tr�s grande vitesse d'une boule orange dans une trajectoire descendante : observation probable d'une rentr�e atmosph�rique naturelle (bolide).";O;1;;;;;;;;2014-11-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-02-01999
2073;"SAINT-DONAT-SUR-L'HERBASSE (26) 07.02.2008";Dr�me;26;"(D) D�partement";2008;02;07;"Le 7 f�vrier 2008 vers 19h10, un t�moin observe dans le ciel ce qu'il d�crit comme un engin spatial avec une lumi�re rouge et blanche. Dans le m�me temps, une �norme boule de feu tombe sur la droite de ce premier PAN, en trajectoire descendante. L'observation dure au total 12 secondes environ. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
D'�tranget� moyenne mais de consistance faible (t�moin unique, t�moignage succinct, contradictions, observation courte), ce cas s'av�re trop incomplet pour pouvoir �tre identifi�. L'observation se compose d'une probable observation de bolide simultan�e avec une possible observation d'a�ronef. Cette derni�re ne peut malheureusement pas �tre v�rifi�e, du fait d'un trop long d�lai de transmission au GEIPAN.
Ce cas est class� C, par manque de donn�es.";"Observation de deux ph�nom�nes particuliers : un engin inconnu stationnaire et une boule de feu : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-02-02063
2075;"TIGNES (73) 18.02.2008";Savoie;73;"(D) D�partement";2008;02;18;"Le 18 f�vrier 2008 � 16h21, un t�moin observe dans le ciel deux objets ronds et blancs au-dessus d'un massif montagneux. Le t�moin prend une photographie. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne (voir le compte rendu d'enqu�te).
Faiblement �trange et de consistance insuffisante, aucune conclusion ne peut �tre donn�e pour ce cas.
Ce cas est class� C faute d'informations et de recoupements.";"Observation du lent et silencieux d�placement de deux objets ronds et blancs dans le ciel : manque d'informations";O;1;;;;;;;;2013-12-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-02-02279
2076;"VIDAUBAN (83) 15.03.2008";Var;83;"(D) D�partement";2008;03;15;"Deux t�moins observent le 15 mars 2008 de 22h20 � 22h30 trois passages silencieux et successifs d'un ph�nom�ne lumineux d�crit comme une ""boule de feu"".
La description du t�moin (boule scintillante), l'espacement entre les observations, le d�placement coh�rent avec la direction dominante du vent (venant de l'Est), l'heure et le jour de la semaine (samedi en soir�e) sont coh�rents avec l'observation de lanternes tha�landaises.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable de 3 lanternes tha�landaises.";"Observation de passages silencieux et successifs d'une ""boule de feu"" : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-08-20;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-03-01789
2077;"PARIS (75) 09.03.2008";Paris;75;"(D) D�partement";2008;03;09;"Le 10 mars 2008 un photographe amateur envoie au GEIPAN un clich� pris depuis sa fen�tre � Paris tir� d'une s�rie de 5 photos de haute qualit� prises en rafale. Sur ce clich� appara�t un objet de forme elliptique, quasiment ronde, sombre sur la partie inf�rieure et claire au-dessus. L'objet est assez net et semble �tre �clair� par le soleil. L'enqu�te a �t� confi�e � M. Jean Marc Gillot, IPN � Paris (voir le compte rendu de L'IPN). La remise dans l'ordre des photos, notamment les photos 4 et 5 montre sans ambigu�t� qu'un pigeon venant de la gauche du t�moin est pass� dans le champ de la photo 4 avant de plonger vers une fen�tre et �tre pris dans le champ de la photo 5. Les clich�s pris sont donc bien ceux d'un pigeon, dont la forme tr�s ronde et l'aspect � m�tallique � ont induit le t�moin en erreur.";"Observation sur une photo d'une tache inexpliqu�e.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-03-01794
2078;"MERVILLE (59) 31.03.2008";Nord;59;"(D) D�partement";2008;03;31;"Le 31 mars 2008 entre 10h20 et 10h30 un groupe de personnes sur un a�rodrome observe un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue : successivement des anneaux lumineux blancs se d�placent dans le ciel. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation.
Un t�moin local affirme que des projecteurs lasers d'animation publicitaires sont utilis�s fr�quemment dans cette zone par des restaurants ou dancings.
Le GEIPAN classe donc ce cas ""B"" : probable animation lumineuse.";"Observation de d�placements d'un groupe d'anneaux lumineux dans le ciel : probable animation lumineuse.";O;1;;;;;;;;2012-04-11;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-03-01811
2079;"CAVAILLON (84) 30.03.2008";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2008;03;30;"Le 30 mars 2008 vers 22h40 un t�moin sur son balcon est intrigu� par la pr�sence de plusieurs points lumineux rouges sur l'horizon. Avant de se d�placer ces points �mettent un flash blanc de forte intensit�. Ils prennent ensuite de l'altitude mais seront rapidement cach�s par un b�timent.
Ce cas d'observation est de consistance beaucoup trop faible pour permettre une conclusion. Comme il ne s'agit que de quelques points lumineux observ�s de loin durant quelques secondes, l'�tranget� est moyenne mais la description bien trop courte pour une �valuation correcte. Une enqu�te longtemps apr�s les faits ne rapporterait que peu d'information.
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Observation du d�placement de plusieurs points lumineux rouges : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2012-12-13;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-03-01814
2081;"SAINT-AFFRIQUE (12) 25.03.2008";Aveyron;12;"(D) D�partement";2008;03;25;"Le 25 mars 2008 � 21h 15 un t�moin observe la chute d'une boule de feu suivie d'une tr�s longue queue. Cet objet de couleur orang�e se d�pla�ait de l'Ouest vers le Nord dans une trajectoire descendante. L'observation a dur� 8 secondes. Cette personne a probablement �t� t�moin d'une rentr�e atmosph�rique.";"Chute d'une boule de feu avec train�e.";O;1;;;;;;;;2010-03-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-03-01819
2082;"PERVENCHERES (61) 29.03.2008";Orne;61;"(D) D�partement";2008;03;29;"Le 29 mars 2008 aux alentours de 21h 30 plusieurs t�moins observent durant 3 secondes un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Une boule tr�s lumineuse de couleur jaune se d�place � grande vitesse du Sud-Ouest au Nord-Est. Les t�moins remarquent une trajectoire non rectiligne et une absence de bruit. Le ph�nom�ne lumineux dispara�t brusquement. D'apr�s la description du ph�nom�ne, ces personnes ont �t� t�moins d'une probable rentr�e atmosph�rique .";"Observation d'une boule lumineuse se d�pla�ant � tr�s grande vitesse.";O;1;;;;;;;;2010-03-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-03-01820
2083;"MARCELLOIS (21) 01.03.2008";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";2008;03;01;"Le 1 mars 2008 vers 23h 50 plusieurs personnes observent quelques secondes un ph�nom�ne lumineux � basse altitude dans le ciel. Un objet circulaire de couleur progresse horizontalement dans une direction Est-Ouest. Cette boule a ensuite pris une trajectoire descendante pour dispara�tre dans un �clat lumineux vu par certains t�moins. Aucune trace au sol n'a �t� retrouv�e. Ces personnes ont �t� t�moins d'une probable rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'une boule bleue (ou orange selon les t�moins) se d�pla�ant rapidement � basse altitude";O;4;;;;;;;;2008-11-03;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-03-01837
2086;"ISSY-LES-MOULINEAUX (92) 29.03.2008";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2008;03;29;"Le 29 mars 2008 aux environs de 19h05 ou 19h10 un t�moin est intrigu� par le passage silencieux dans le ciel de 3 objets circulaires de couleur sombre. Les objets seront vite cach�s par le paysage urbain. L'observation durera 30 secondes environ.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis, � savoir :
- Forme arrondie des objets.
- D�placement des objets dans le m�me axe que celui du vent : Sud vers Nord.
- Taille maximale possible estim�e comprise entre environ 1 m et 3 m.
- Altitude au z�nith maximale possible estim�e comprise entre environ 30 m et 38,5 m.
- Couleur et aspect des objets semblables � ceux d'un ballon transparent.
- Zone de l�cher non d�fini.
- Trois objets observ�s.
- Forte disparit� entre les estimations d'altitude donn�es par le t�moin principal et les calculs effectu�s dans ce rapport.
Nous pouvons conclure que les objets d�crits par le t�moin sont des objets port�s par le vent : des ballons dont la nature et le lieu de l�cher n'ont pu �tre d�finis.
Ce cas est � classer en � B � comme observation probable de ballons, d'origine inconnue.";"Observation du d�placement de trois objets sombres dans une trajectoire Sud-Nord : probable observation du passage de ballons d'origine inconnue.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-03-01957
2091;"PORNICHET (44) 23.04.2008";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2008;04;23;"Un t�moin rapporte qu'en d�couvrant ses photos prises au bord d'une plage le 23 avril 2008 aux environs de 16h 15, elle s'apper�oit de la pr�sence de t�ches qu'elle ne s'explique pas. Il est toujours difficile d'analyser des photos sur lesquelles apparaissent des t�ches inexpliqu�es sans observation visuelle pour les confirmer. N�anmoins dans ce cas, il s'agit probablement d'oiseaux qui sont pass�s rapidement dans le champ de l'appareil photo. C'est particuli�rement �vident sur la premi�re photo sur laquelle on distingue sans peine le corps et les ailes, c'est moins �vident sur la seconde mais par analogie il est fortement probable qu'il s'agisse du m�me ph�nom�ne. Apr�s publication de cette observation sur le site et suite � un message d'un nouveau t�moin, l'objet de la deuxi�me photo est clairement identifi� comme �tant un frisbee (temoin photo2 retouchee100826) �galement visible dans les mains d'un lanceur sur la photo 1 mise � jour (temoin photo1 retouchee100826). Ce cas est donc constitu� de l'observation de deux objets diff�rents (observation probable d'un oiseau sur la photo 1 et d'un frisbee sur la photo 2) : le classement en cas B reste inchang� en rapport avec l'observation probable d'un oiseau sur la photo 1.";"Objets �tranges sur des photos sans observation visuelle.";O;1;;;;;;;;2010-08-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-04-01812
2092;"NANCY (54) 19.04.2008";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2008;04;19;"Le 19 avril 2008 vers 21h20 trois personnes observent dans le ciel le lent d�placement de trois gros points lumineux jaune orange. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation. Les points disparaissent soudainement. Un des t�moin a eu le r�flexe de prendre une photographie : malheureusement la faible qualit� de celle-ci ainsi que l'absence de rep�res permet juste d'illustrer le t�moignage.
Ce t�moignage a toutes les caract�ristiques des lanternes volantes. Mais le t�moin ne donne point de rep�res terrestres ou c�lestes qui permettraient de pr�ciser la direction qu'il estime du Sud Est vers le Nord Est. Cette impr�cision emp�che une conclusion ferme car le vent relev� de l'Est Nord Est ne cadre pas avec la direction d�crite.
Ce cas est class� B comme probable observation de lanternes volantes.";"Observations de trois gros points lumineux de couleur jaune orange se d�pla�ant lentement : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-03-25;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-04-01815
2096;"BAILLY (78) 28.04.2008";Yvelines;78;"(D) D�partement";2008;04;28;"Le 28 avril 2008 vers 4h 10 un t�moin entend un bruit sourd et roulant venant du Nord-Est. Ce bruit se transforme en un bruit de tonnerre qui perdure durant 5 � 6 secondes en passant au-dessus de l'habitation, effayant le t�moin. Ce bruit s'�loigne ensuite vers le Sud-Ouest. Ce jour l�, une activit� orageuse importante a �t� enregistr�e dans la r�gion d'habitation. Le t�moin a entendu un coup de tonnerre d� � un orage violent.";"Constatation d'un bruit important au-dessus d'une habitation : coup de tonnerre.";O;1;;;;;;;;2010-03-30;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-04-01844
2097;"VALLET (44) 29.04.2008";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2008;04;29;"Le 8 mai 2008, le GEIPAN re�oit par mail une courte description de deux observations ayant eu lieu le mardi 29 avril en soir�e par un automobiliste (T1) et sa passag�re (T2) . A l'entr�e du hameau de la Chalousi�re commune de Vallet (44), ils constatent la pr�sence � basse altitude d'un ph�nom�ne lumineux compos� de deux lumi�res. Juste apr�s avoir d�pos� sa coll�gue chez elle, le T1 fera rapidement une deuxi�me observation du lent d�placement � tr�s basse altitude d'une forme �clair�e avec des lumi�res de couleurs. Aucun bruit particulier n'est entendu durant les deux observations. Le T1 rapporte le 8 janvier 2009 ses deux observations dans un questionnaire. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs analys�s, � savoir :
- Objet apparemment immobile, de la m�me fa�on qu'un avion approchant les t�moins sur un axe proche ou identique � leur axe de d�placement,
- Pr�sence de deux ou trois lumi�res puissantes, semblables � celles des feux d'atterrissage des avions,
- Nuit sombre et couverture nuageuse �tag�e sur deux niveaux, ne permettant pas de distinguer clairement les contours de l'avion d'une part et le masquant par moments d'autre part (selon le bulletin sur Nantes de METAR SCT012 et BKN055 pr�sence de nuages �pars (3/8 �4/8) au plafond situ� � 1200 pieds (350m) et ciel tr�s nuageux (5/8 � 7/8) � 5500 pieds (1700m),
Nous pouvons conclure que cette observation ne concerne probablement qu'un ou deux avions en phase d'approche sur l'a�roport de Nantes-Atlantique et feux d'atterrissage allum�s.
Ce cas est � classer en � C� par manque d'informations pr�cises sur l'heure exacte (vers 21h ou 22h), les lieux pr�cis d'observation (notamment pour la deuxi�me observation) et les directions d'observation des t�moins.";"Observations distinctes de deux ph�nom�nes lumineux � basse altitude, aucun bruit : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-12-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-04-01907
2099;"CUERS (83) 27.04.2008";Var;83;"(D) D�partement";2008;04;27;"Le dimanche 27 avril 2008 � 4h17 un t�moin � sa fen�tre est intrigu� par la vue du ballet tr�s rapide d'un ph�nom�ne lumineux de forme circulaire et aplati. L'objet se d�place notamment en formant des cercles. Aucun bruit particulier n'est entendu. Aucun autre t�moignage ne sera recueillisur ce ph�nom�ne.
Compte tenu de la forme de l'objet semblable � celle produite par la projection d'un laser sur une couche de nuages bas, des d�placements de l'objet semblables � ceux produits par le type de laser utilis� couramment par les discoth�ques, de la pr�sence d'une � queue � pouvant �tre assimil�e � la partie terminale du faisceau du laser avant qu'il ne rencontre la base des nuages, de l'azimut d'observation se trouvant �tre le m�me que celui vers lequel se trouve la discoth�que produisant le laser incrimin�, de la date (nuit du samedi au dimanche) concordante avec celle de l'utilisation dudit laser et de la visibilit� du laser depuis le domicile du t�moin (v�rifi�e sur place par la gendarmerie), nous pouvons conclure que l'objet d�crit par le t�moin est certainement un effet du laser de la discoth�que � Le Fashion Room �, utilis� r�guli�rement le samedi soir de 23h � environ 4h du matin et se refl�tant sur la base de nuages bas ou de brouillard locaux, probablement pr�sents ce jour l�.
Ce cas est � classer en � A � comme observation d'une animation lumineuse.";"Observation de d�placements rapides et silencieux d'un objet circulaire plat dans le ciel : observation d'une animation lumineuse d�e � un laser de discoth�que.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-04-01924
2100;"MAUZE-SUR-LE-MIGNON (79) 20.04.2008";Deux-S�vres;79;"(D) D�partement";2008;04;20;"Le 20 ou 27 avril 2008 � 20h44 un automobiliste prend une photographie depuis son v�hicule d'un ph�nom�ne lumineux qui l'intrigue. La photographie parvient au GEIPAN par un t�moin indirect.
La photographie fournie montre un tr�s probable reflet du soleil dans le pare-brise et/ou dans l'objectif de l'appareil photo, ainsi que des gouttes d'eau sur le pare-brise illumin�es par le soleil. Ce type de photo mettant en �vidence des ph�nom�nes de ""flare"" et reflets divers ne pr�sente aucun caract�re d'�tranget�.
Le t�moignage est trop bref, et le t�moin direct ne s'est pas exprim� pour d�crire ce qu'il avait vu de ses propres yeux.
Ce cas est class� ""C"" par manque d'informations : pas de photo originale, pas de t�moignage direct.";"Probable reflet du soleil sur pare-brise de voiture : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-04-02066
2101;"LYON (69) 12.04.2008";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2008;04;12;"Le 12 avril 2008 � 2h48 un t�moin est intrigu� par la pr�sence d'une lumi�re rouge orang�e particuli�re dans le ciel. L'observation dure deux � trois minutes avant que le ph�nom�ne ne disparaisse � l'horizon.
D'�tranget� et de consistance faible (t�moin unique, description du PAN proche de l'aspect de la Lune), ce cas s'av�re �tre une m�prise certaine avec la Lune au coucher, pr�sente directement dans la direction d'observation du PAN.
Ce cas est class� A, m�prise avec la Lune au coucher.";"Observation d'une lumi�re rouge orang� dans le ciel : m�prise avec la Lune au coucher.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-04-02067
2102;"LAGNY-SUR-MARNE (77) 16.04.2008";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2008;04;16;"Le 16 avril 2008 entre 21h45 et 23h un t�moin est intrigu� de voir, entre deux toitures de maisons dans le S-O, un ph�nom�ne lumineux (sous forme de flahes) jaune-orang� qui apparait toutes les deux ou trois minutes dans un p�rim�tre restreint.
D'�tranget� faible et de consistance moyenne (t�moin unique, mais avec un t�moignage bien d�taill� et pr�cis), ce cas s'av�re �tre une m�prise certaine avec des phares de v�hicules se refl�tant sur une antenne d'une maison voisine. Cette explication a d'ailleurs �t� apport�e par le t�moin en personne, suite � une observation similaire ult�rieure.
Ce cas est class� A, m�prise avec des reflets de phares automobiles.";"Observation d'apparitions successives d'un ph�nom�ne lumineux sous forme de flahes : m�prise avec des reflets de phares automobiles sur une antenne TV.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-04-02068
2105;"MAS-D'AGENAIS (LE) (47) 04.04.2008";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";2008;04;04;"Le 4 avril 2008 � 22h28, un automobiliste sur l'aire de repos du Mas d'Agenais est intrigu� par le d�placement particulier d'un objet blanc dans le ciel �toil�. L'objet se d�place selon une trajectoire irr�guli�re. L'observation dure 50 secondes environ avant que l'objet ne disparaisse progressivement.
Compte tenu des �l�ments objectifs collect�s, � savoir la pr�sence dans le ciel de la station spatiale internationale � l'heure exacte de l'observation, puis la position du t�moin et la forte ressemblance de l'objet avec un satellite, d'apr�s le t�moin lui-m�me, nous pouvons conclure que l'objet observ� par le t�moin est tr�s certainement la station spatiale internationale, et que l'impression � d'arr�t � � proximit� d'avions de ligne mentionn� dans le t�moignage est un ph�nom�ne physiologique oculaire naturel (autostase/micronystagmus).
Ce cas est � classer en �A�.";"Observation du d�placement d'un point blanc lumineux dans le ciel affect� d'une trajectoire apparente irr�guli�re : observation du passage de la station spatiale internationale.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-04-02071
2106;"RODEZ (12) 18.04.2008";Aveyron;12;"(D) D�partement";2008;04;18;"Dans la nuit du 17 au 18 avril 2008 � 0h43, un habitant de RODEZ (12) observe depuis chez lui deux lumi�res au-dessus de la ville en direction du SSE. Il les regarde au t�lescope et constate que les lumi�res ""vibrent"". Il prend alors � main lev�e 5 photographies : les trois premi�res espac�es de 15 � 20 secondes et les deux autres apr�s 7 minutes environ. Un seul t�moignage est recueilli.
Plusieurs hypoth�ses sont �tudi�es : a�ronautique, astronomique ou festive (voir les notes d'enqu�te).
D'�tranget� et de consistance faibles (t�moin unique, photos inexploitables), ce cas pr�sente plusieurs caract�ristiques pouvant �voquer plusieurs hypoth�ses explicatives.
Malheureusement, le long d�lai entre l'observation et son traitement, les impr�cisions du t�moignage et l'absence de r�ponse du t�moin aux demandes du GEIPAN emp�chent toute identification formelle du PAN.
Ce cas est class� C, par manque de pr�cisions.";"Observation � l'il nu puis au t�lescope de deux lumi�res au-dessus de la ville ; 5 photographies prises � main lev�e (boug� important) : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.20;0.00;;;0.60;;0.40;;0.24;0.00;C;A-;2008-04-02072
2107;"MONTEGUT-EN-COUSERANS (09) 12.04.2008";Ari�ge;09;"(D) D�partement";2008;04;12;"Le 12 avril 2008 aux environs de 22h deux t�moins sont intrigu�s par un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : une lueur avec une forte scintillation de plusieurs couleurs � dominante bleu et de forme ronde est stationnaire au Sud-Ouest dans le ciel d�gag�. Les t�moins ont le temps d'aller chercher des jumelles pour parfaire l' observation de cette lueur plus grosse et plus brillante qu'une �toile. L'observation durera en tout une dizaine de minutes.
La carte du ciel du jour (voir ci-joint) indique que l'�toile Sirius, la plus brillante du ciel (magnitude -1,44) �tait dans le ciel au Sud Ouest � ce moment-l�, � 18� au-dessus de l'horizon : lorsque cette �toile est visible bas sur l'horizon, elle surprend souvent les t�moins, en particulier les jours o� le ciel est bien clair. Elle aura disparu cach�e derri�re la colline.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de l'�toile Sirius.
Du fait que la direction d'observation n'est pas indiqu�e tr�s pr�cis�ment, il subsiste un l�ger doute sur cette hypoth�se.";"Observations d'un ph�nom�ne lumineux stationnaire avec une forte scintillation : probable observation de Sirius.";O;2;;;;;;;;2013-11-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.28;0.28;B;C;2008-04-02073
2108;"PORNICHET (44) 20.04.2008";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2008;04;20;"Le 20 avril 2008 une passag�re dans une voiture prend en photo des nuages � travers le parebrise. Lors du visionnage des photographies elle remarque une tache qui l'intrigue et qu'elle n'avait pas vu lors de la prise de vue. Il est toujours difficile d'analyser des photos sur lesquelles apparaissent des taches inexpliqu�es sans observation visuelle pour les confirmer. Un d�faut sur le parebrise ou un insecte pourrait �galement expliquer la tache : nous manquons pour ce cas d'informations plus pr�cises.";"Tache sur photographies sans observation visuelle lors de la prise de vue.";O;1;;;;;;;;2010-08-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-04-02074
2111;"[N12] de PLOUIGNEAU (29) vers MORLAIX (29) 25.04.2008";Finist�re;29;"(D) D�partement";2008;04;25;"Le 25 avril 2008 vers 18h30 un automobiliste observe une lueur tr�s brillante vers le N-O. Celle-ci appara�t et dispara�t tout en restant stationnaire. L'automobiliste perd de vue le ph�nom�ne lors de son trajet. Aucun autre t�moignage ne viendra corr�ler le t�moignage succinct de cette observation pour lequel nous manquons d'informations.";"T�moignage succinct de l'observation d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2016-01-12;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-04-02203
2113;"LAVAL (53) --.04.2008";Mayenne;53;"(D) D�partement";2008;04;--;"Dans le courant du mois d'avril 2008 (le t�moin principal ne se souvient plus de la date exacte) deux personnes observent vers 19h45 le d�placement rapide de deux points lumineux blancs. Aucun bruit n'est entendu mais un des t�moin observera un clignotement rouge et vert (sans certitude sur les couleurs) entre les deux points blancs. Aucune autre information ne sera recueillie sur cette observation qui s'apparente � une observation possible d'avion mais pour laquelle nous manquons d'informations pr�cises.";"Observation du d�placement rapide de deux points blancs.";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-04-02282
2114;"SEDAN (08) 25.04.2008";Ardennes;08;"(D) D�partement";2008;04;25;"Le 25 avril 2008 vers 20h30, un t�moin et son �pouse sont intrigu� par le passage d'une source de lumi�re identique � un phare au-dessus de la colline qui fait face � leur terrasse.
L'observation faite par les t�moins peut avoir plusieurs origines :
- la vue de face d'un avion. Le puissant phare d'atterrissage de l'avion, vu dans ce cas � environ 10km, aveugle l'observateur et ne permet pas de voir l'avion. L'avion en descente, dispara�t ensuite derri�re la colline et oblique vers l'Ouest, le faisceau de son phare dispara�t ensuite pour l'observateur. Le faible trafic de l'a�roport, surtout � cette heure-l�, peut expliquer la surprise des observateurs.
- un flash d'un satellite Iridium aurait pu produire le m�me effet de point lumineux dispraissant derri�re la colline.
Ce cas peu �trange est class� ""C"" par manque d'informations pour valider une des deux hypoth�ses.";"Observation du passage d'une lumi�re et disparition derri�re une colline : manque d'information";O;1;;;;;;;;2012-10-12;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-04-02284
2115;"VRONCOURT (54) --.04.2008";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2008;04;--;"T�moignage r�cent (31mai 2010) d'une observation ancienne (date impr�cise, avril mai 2008). Un t�moin rapporte avoir vu durant cinq secondes le d�placement particulier d'un point lumineux qui acc�l�re et effectue un changement de direction avant de dispara�tre. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne. Les �l�ments impr�cis de l'unique t�moignage de cette observation ancienne rendent toute enqu�te impossible.";"Observation du d�placement d'un point lumineux avec acc�l�ration et changement de direction.";O;1;;;;;;;;2010-06-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-04-02574
2117;"ARGENCES (14) 04.05.2008";Calvados;14;"(D) D�partement";2008;05;04;"Le dimanche 4 mai 2008 entre 22h45 et 22h50 deux personnes observent durant quinze secondes depuis leur terrasse le d�placement de trois sources de lumi�re jaune orang�. Aucun bruit n'est entendu. Ces lumi�res se d�placent lentement d'Ouest au Nord avant de dispara�tre subitement. Cette observation fait suite � de nombreuses autres durant la m�me p�riode et dans le grand Ouest. Bon nombre de ces observations sont expliqu�es par des l�chers de lanternes thailandaises.La description faite par les t�moins, le comportement des points lumineux, leur couleur jaune orang� et le jour de l'observation (un dimanche soir) laissent � penser que nous sommes �galement en pr�sence d'un vol de 3 lanternes thailandaises probablement lach�es lors d'une f�te familiale.";"Observation probable de lanternes thailandaises";O;2;;;;;;;;2010-03-15;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-01854
2118;"(DPT) MOSELLE (57) 11.05.2008";Moselle;57;"(D) D�partement";2008;05;11;"Le 11 mai 2008 vers 22h50 deux t�moins observent le passage � grande vitesse dans le ciel d'une masse sombre de forme triangulaire avec des lumi�res fixes et clignotantes blanches, vertes et rouge. Durant l'observation de plusieurs dizaines de secondes un l�ger bruit grave a �t� entendu.
Cette observation ancienne a donn� lieu, en plus du t�moignage principal, � plusieurs t�moignages suite � la parution des faits dans la presse.
Soumis finalement � l'analyse du coll�ge d'experts travaillant avec le GEIPAN, ce cas avec un niveau d'�tranget� faible est class� B comme l'observation probable d'un avion, hypoth�se �voqu�e par un des t�moignages spontan�s.
Ce cas est un cas typique d'inversion/confusion lors de la description des feux d'un avion (m�prise entre feux clignotants et fixes blancs, verts et rouges.)";"Observations du passage rapide d'une masse sombre triangulaire � basse altitude.Probable observation d'un a�ronef.";O;7;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.11;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-01858
2119;"DOMBASLE-SUR-MEURTHE (54) 10.05.2008";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2008;05;10;"Le 10 mai vers 23h un t�moin observe depuis son jardin un objet de couleur rouge dans un ciel d�gag� et �toil�. L'objet se d�place rapidement du Sud vers l'Ouest. Le t�moin rentre chez elle pour prendre son appareil photo. Entre temps l'objet disparait mais le t�moin prend tout de m�me une photographie sur laquelle elle pourra voir le ledemain un objet blanc pr�s d'une �toile. Les informations fournies par le t�moin unique semblant contradictoires et sans grandes pr�cisions (pas de d�position � la gendarmerie et pas de questionnaire d'observation rempli), l'enqu�te restera difficile et les conclusions impossibles � porter.";"Observation du d�placement d'un objet rouge dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2011-02-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-05-01859
2120;"CHAPELLE-SUR-ERDRE (LA) (44) 30.05.2008";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2008;05;30;"Le 30 mai 2008 � 2h du matin, un t�moin observe durant quelques secondes une lumi�re verte dans le ciel. Une boule de lumi�re semble tomber du ciel puis dispara�t brusquement. Aucune autre information n'a �t� recueillie. Cette personne a probablement �t� t�moin de la rentr�e atmosph�rique d'une m�t�orite.";"Probable rentr�e atmosph�rique d'une m�t�orite.";O;1;;;;;;;;2010-03-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-01881
2121;"CESSON-SEVIGNE (35) 17.05.2008";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2008;05;17;"Le 17 mai 2008 entre 22h35 et 23h15 deux personnes observent, � basse altitude dans le ciel nuageux, le ballet de trois boules lumineuses avec fusion et d�multiplication.
Ce cas d'observation est une tr�s probable confusion avec la lumi�re projet�e sur les nuages d'un �clairage de type ""Sky Rose"", � rapprocher de l'observation tr�s semblable faite dans la m�me direction sur la route D101 de Servon sur Vilaine vers Ch�teaugiron la nuit pr�c�dente (voir cas Ch�teaugiron (35) 17.05.2008).
Ce cas est class� B, observation probable de projections de lumi�res (animation commerciale).";"Observation du ballet de boules lumineuses dans le ciel nuageux : probable projections de lumi�res (type sky rose)";O;2;;;;;;;;2013-01-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-01908
2124;"GEMENOS (13) 21.05.2008";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2008;05;21;"Le 12 mai 2008 entre 22h40 et 22h45 un t�moin observe un objet lumineux qui traverse le ciel du Sud au Nord-Est. Cet objet blanc et tr�s lumineux se d�place rapidement en effectuant une courbe dans sa trajectoire. Aucun bruit n'est entendu. Apr�s enqu�te et confirmation par le REseau Fran�ais d'ObseRvation des Meteores (REFORME), ce ph�nom�ne s'av�re �tre un passage de l'ISS (Station Spatiale Internationale) visible � Aubagne entre 22h42 et 22h47 � cette date et qui peut d�sormais �tre particuli�rement lumineuse depuis l'installation des quatre paires de panneaux solaires (sa magnitude pouvant �tre largement n�gative,jusqu'� -4 environ).";"Passage de l'ISS (Station Spatiale Internationale).";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-05-01936
2125;"DECAZEVILLE (12) 21.05.2008";Aveyron;12;"(D) D�partement";2008;05;21;"Le 21 mai 2008 entre 23h30 et minuit vingt, un t�moin observe le d�placement d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Intrigu�, il regarde le ph�nom�ne aux jumelles puis filme son observation.
Du fait que la vid�o laisse peu de doute sur l'objet observ� : un avion se rapprochant, vu de face, tous feux allum�s, et que cette zone est susceptible d'�tre une zone d'entra�nement pour les avions de transport tactique, le GEIPAN classe ce cas � B � observation probable d'avions militaires en exercice.
On notera toutefois que la dur�e de 50 minutes de l'observation n'est pas coh�rente avec la s�quence d�crite par le t�moin : soit le t�moin a vu plus de deux passages d'avions, ce qui reste coh�rent avec l'hypoth�se pos�e, soit il a mal �valu� le temps total de l'observation.";"Observations successives dans le ciel de points lumineux variant de grosseur et d'intensit� : probable observation d'avions militaires en exercice.";O;1;;;;;;;;2013-06-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-01954
2126;"FLEURY (11) 04.05.2008";Aude;11;"(D) D�partement";2008;05;04;"Le 4 mai 2008 vers 4h30 du matin, un t�moin observe durant 10 secondes le d�placement tr�s rapide de deux points lumineux au-dessus de l'horizon. Quelques secondes plutard ces points se s�parent pour virer � leurs oppos�s. Aucun bruit n'a �t� entendu. Aucune autre pr�cision n'a �t� recueillie sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'information.";"Observation du d�placement rapide de deux points lumineux au-dessus de l'horizon.";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-05-01980
2127;"MONTOIR-DE-BRETAGNE (44) 07.05.2008";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2008;05;07;"Le 07 mai 2008 � 1h 30 du matin deux t�moins observent � une altitude et distance qu'ils ne peuvent appr�cier, un objet de forme ronde et de couleur blanche. Cet objet se d�place rapidement d'Est en Ouest dans une trajectoire l�g�rement descendante. Aucun bruit n'est entendu. Un seul des t�moins rapportera son t�moignage.
Ces personnes ont probablement observ� une rentr�e atmosph�rique de m�t�orite.";"Observation du passage E-O d'un ph�nom�ne lumineux : probable rentr�e atmosph�rique.";O;2;;;;;;;;2012-11-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-01982
2128;"OISLY (41) 08.05.2008";Loir-et-Cher;41;"(D) D�partement";2008;05;08;"Le 08 mai 2008 � 4h 30 deux personnes observent dans le ciel le passage d'Ouest en Est d'une boule ovale blanche tr�s brillante. Ce jour l�, on pouvait observer l'ISS avec un lever (au 225) � 4 heures 27 au SO et un coucher au 70 (Est) � 4 heures 37 (source Winstars). L'observation faite d'un point lumineux durant 2 minutes environ d'Ouest en Est � 4 heures 30 correspond bien au passage de l'ISS � son apog�e et tr�s brillante depuis l'ajout de panneaux solaires suppl�mentaires (magnitude -4).";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux. Passage de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-05-01984
2134;"LAVERGNE (46) 01.05.2008";Lot;46;"(D) D�partement";2008;05;01;"Le 1er mai 2008 � 22h15 un jeune adolescent � l'ext�rieur de son domicile entend des voix ""aigues"" et des mots qui lui sont ""inconnus"" avant de voir face � lui un ""objet non identifi� en suspension dans les airs � cinq m�tres du sol"". Le t�moin d�crit l'objet de ""couleur fonc�e"" comme �tant de forme ""pyramidale"", de grandes dimensions et surmont� d'un grand faisceau lumineux. Diff�rentes couleurs sont �galement aper�ues. L'objet reste statique. Le t�moin pense �tre rest� devant cette vision pendant peut �tre 15 ou 20 minutes. Il a ensuite �t� �bloui par un ""gros flash"" et en ouvrant les yeux � nouveau l'objet avait disparu. Le t�moin ressent ensuite de forts maux de t�te qui disparaitront � l'arriv�e de son fr�re. Un autre t�moin rapportera en gendarmerie que le m�me soir, dans le m�me secteur, entre 21h et 22h son chien avait aboy� anormalement alors qu'habituellement il n'aboie qu'en pr�sence de visiteurs.
Cette observation rel�ve d'un haut degr� d'�tranget� puisqu'il s'agit d'une observation rapproch�e d'un ph�nom�ne absolument inconnu, doubl�e d'auditions de sons tout � fait inconnus.
Le t�moin et ses proches ont fait une d�position en gendarmerie. Les gendarmes ont men� une enqu�te tout � fait s�rieusement et n'ont pas trouv� de traces au sol, ni eu de confirmations de vols d'a�ronefs dans la zone � ce moment-l�.
Le GEIPAN a pris contact avec le t�moin par t�l�phone en 2011 pour savoir si le t�moin avait eu du nouveau sur son exp�rience, ou si del� s'�tait reproduit ; mais rien de neuf sur ces sujets.
Ce rapport d'observation n'a aucune des caract�ristiques d'un canular.
Le GEIPAN a recherch� dans la presse locale s'il y avait eu d'autres r�cits semblables dans la r�gion � ce moment l�.
Le GEIPAN a consult� un m�decin qui a mentionn� que, ""dans les migraines de type ophtalmique, des ph�nom�nes visuels (points scintillants, formes g�om�triques) pr�c�dent de violents maux de t�te, ce qui semble �tre le cas de ce jeune homme. La crise survient brutalement, sans facteurs initiateurs. Elle peut �tre impressionnante et tr�s anxiog�ne. ""L'�ge, le sexe, sont en accord avec ce diagnostic"". Cette hypoth�se ne peut �tre confirm�e, mais doit �tre envisag�e.
Comme dans tous les cas d'observation tr�s �tranges par un t�moin unique, il est bien difficile de confirmer la r�alit� du ph�nom�ne observ�, m�me si le t�moin est jug� sinc�re.
Du fait que le r�cit comporte certains �l�ments caract�ristiques d'une hallucination passag�re, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'�l�ments concrets et de recoupements.";"Observation d'un objet pyramidale � cinq m�tres du sol. Voix aigu�s et paroles incompr�hensibles entendues; violents maux de t�te : manque d'information et de recoupements.";O;;;;;;;;;2016-02-22;;;0.90;0.00;;;0.30;;0.80;;0.24;0.00;C;C;2008-05-02083
2135;"AVIGNON (84) 14.05.2008";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2008;05;14;"Le 14 mai 2008 entre 21h30 et 22h30,lors d'une f�te d'anniversaire, trois personnes observent le lent d�placement sur un axe E-O de trois boules lumineuses de couleur jaune-orang�. Aucun bruit n'est entendu. L'observation dure moins d'une minute. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
L'observation du t�moin est caract�ristique d'une observation d'un l�cher de lanternes thailandaises, tant par les couleurs, les formes, le type de trajectoire. La direction g�n�rale Est-Ouest du d�placement est compatible avec le sens du vent mesur� � Avignon � 22H (vent d'Est).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : probable observation de lanternes thailandaises.";"Observation du lent et silencieux d�placement de trois boules lumineuses jaune-orang� dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-12-06;;;0.28;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;B;B;2008-05-02084
2136;"CHATEAUGIRON (35) 17.05.2008";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2008;05;17;"Plusieurs personnes dans un v�hicule observent le 17 mai 2008 aux environs d'1h45 la pr�sence dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux qui les intrigue : deux masses lumineuses de couleur blanche opaque se d�placent dans le ciel. Elles changent de forme, apparaissant puis disparaissant quelques secondes.
La curiosit�, �veill�e par un article r�cent de la presse locale, l'excellente visibilit� et la sophistication croissante des projecteurs d'animation ont surpris les t�moins au point de les pousser � t�moigner, pour ce qui n'est certainement qu'une m�prise avec un projecteur de type Sky Rose.
Un autre t�moin a tr�s probablement vu la m�me chose la nuit suivante (cas Cesson-S�vign� (35) 17.05.2008). Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'animations lumineuses de type Skyrose.";"Observations du d�placement de deux masses blanches opaques dans le ciel : probable observations d'animations lumineuses avec un projecteur type Sky Rose.";O;2;;;;;;;;2013-01-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-02085
2142;"AVIGNON (84) 10.05.2008";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2008;05;10;"Un mail succinct rapporte une observation faite le 10 mai 2008 vers 23h30 � Avignon. Un t�moin aper�oit un flash lumineux dans le ciel clair et sans orage. 10 secondes plus tard le t�moin observe le d�placement d'un objet rond de couleur orang� venant du nord suivi par un autre objet similaire. Les deux objets se dirigent vers le SE avant de disparaitre. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce cas est tr�s peu document� : 3 lignes de mail du t�moin. L'observation du t�moin est caract�ristique d'une observation d'un l�cher de lanternes thailandaises, tant par les couleurs, les formes, le type de trajectoire. Le sens de d�placement per�u par le t�moin du Nord vers Sud EST est compatible du vent mesur� � Avignon ce jour l� (d'origine 40� EST), sachant que le PAN semble passer � l'EST du t�moin sans passer � sa verticale (il regarde par la fen�tre).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B: lanternes thailandaises.";"Observation du passage dans le ciel nocturne de 2 boules orang�es : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-12-06;;;0.25;0.00;;;0.70;;0.45;;0.31;0.00;B;B;2008-05-02094
2143;"BLOIS (41) 11.05.2008";Loir-et-Cher;41;"(D) D�partement";2008;05;11;"Un t�moin rapporte son �tonnement apr�s avoir d�couvert sur des clich�s photographiques des formes particuli�res.
Ce cas sans observation directe lors de la prise de vue pr�sente toutes les caract�ristiques des m�prises � posteriori d'un couple d'insectes pass� tr�s rapidement et tr�s pr�s de l'objectif de l'appareil photo, d'o� un effet de flou alors que tout le reste de l'image est net.
Ce cas est class� B.";"Observation � post�riori de formes particuli�res sur une photographie : probable passage insectes.";O;1;;;;;;;;2013-02-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-02188
2146;"LAITRE-SOUS-AMANCE (54) 31.05.2008";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2008;05;31;"Suite � une information t�l�vis�e sur des lumi�res dans le ciel, un t�moin d�clare avoir vu le 31 mai 2008 entre 22h30 et 23h avec d'autres personnes, une grosse lumi�re blanche suivie d'une plus petite lumi�re rouge qui se d�pla�aient l'une derri�re l'autre, sans bruit avant de dispara�tre.
Ce t�moignage est tr�s peu �trange, et la description trop sommaire pour une �tude s�rieuse. Le t�moin n'a pas r�pondu � notre demande de questionnaire ou de d�p�t de t�moignage en gendarmerie.
Il peut s'agir tout simplement de passages de satellites et/ou de lanternes volantes (tha�), mais le manque de d�tails du t�moignage ne nous permet pas de v�rifier l'une ou l'autre de ces hypoth�ses.
Faute de donn�es pr�cises, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.";"Observation du d�placement, sans bruit d'une grosse lumi�re blanche suivie d'une plus petite lumi�re rouge : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-01-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-05-02191
2151;"BERGERAC (24) 28.05.2008";Dordogne;24;"(D) D�partement";2008;05;28;"Le 28 mai 2008 vers 0h04 un t�moin observe dans le ciel le passage rapide d'un objet lumineux. La trajectoire rectiligne indiqu�e est Nord- Ouest. Ce t�moin a probablement observ� un passage de l'ISS (voir direction et horaires de passage de l'ISS au-dessus de la France � cette date. L'heure donn�e est en GMT + 2 heures (heure d'�t� en France).";"Probable passage de la Station Internationale.";O;1;;;;;;;;2012-01-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-02196
2155;"LANTERNES 03.05.2008";Vend�e;85;"(D) D�partement";2008;05;03;"Dans la nuit du 3 mai 2008 � partir de 22h de nombreux t�moins sur la c�te Atlantique et sur l'�le d'Yeu observent dans le ciel le d�placement de plusieurs boules lumineuses. Aucun bruit particulier n'est entendu durant les diff�rentes observations. Ces observations seront reprises par la presse locale et nationale. Une personne contactera la gendarmerie locale de l'�le d'Yeu pour expliquer qu'il est sans doute � l'origine de ces ph�nom�nes lumineux. A l'occasion d'une f�te priv�e, il a effectivement, ce soir l�, lanc� vers 22h � la pointe du Cantin au N-O de l'�le d'Yeu, des lanternes volantes tha�landaises, sorte de montgolfi�res qui d�rivent au gr�s des vents et courants avant de s'�teindre. Ces cas d'observations ont fait l'objet d'une actualit� sp�cifique sur le site du GEIPAN.";"Observation passage de lanternes thailandaises";O;6;;;;;;;;2011-05-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-05-02202
2156;"SAINT-COULOMB (35) 29.05.2008";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2008;05;29;"T�moignage d'observations successives de ph�nom�nes lumineux dans le ciel et notamment pour le 29 mai 2008, observation du d�placement silencieux d'une boule lumineuse de couleur jaune-blanche.
Le t�moin fait part de deux ph�nom�nes tr�s bien identifiables. Les �toiles qui changent de couleur sont juste des �toiles qui scintillent au gr� des vents d'altitude ; cet effet d�pend des conditions m�t�o du jour, et peut �tre plus ou moins marqu�.
Le PAN visible sous la forme d'une boule lumineuse brillante �tait tr�s probablement l'ISS (station spatiale internationale), qui passait dans le ciel breton � l'heure indiqu�e par le t�moin (voir le document ""passage ISS Calsky""). Le t�moignage a �t� envoy� dans la journ�e du 30 mai, et le t�moin dit ""hier soir"", donc il s'agissait bien de la nuit du 29 au 30 mai 2008.
Etant donn� le manque de pr�cision du t�moignage, cette hypoth�se, bien que tr�s probable, ne peut toutefois �tre confirm�e de fa�on certaine. Ce cas est class� ""B"" : observation probable de la station spatiale internationale ISS.";"Observations successives de ph�nom�nes lumineux dans le ciel : observations astronomiques puis observation du passage de la station spatiale internationale.";O;1;;;;;;;;2013-06-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-02226
2157;"DOMPIERRE-SUR-YON (85) 1-.05.2008";Vend�e;85;"(D) D�partement";2008;05;1-;"Le 20 mai 2008 un t�moin raconte par mail avoir aper�u il y a quelques jours (il ne se souvient plus de la date exacte) une boule lumineuse d'abord stationnaire puis se d�pla�ant en direction du Nord sans faire de bruit. Le t�moignage trop succinct (date pr�cise inconnue) rend toute enqu�te impossible mais l'observation s'apparente � celles de lanternes thailandaises faites dans la r�gion � la m�me p�riode.";"Observation d'une boule lumineuse dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-05-02272
2159;"[D3] de MILIZAC (29) vers BREST (29) 05.05.2008";Finist�re;29;"(D) D�partement";2008;05;05;"Le 5 mai 2008 entre 7h et 7h05 un automobiliste et sa fille observent durant quelques secondes le passage d'une boule lumineuse � haute altitude. Le ph�nom�ne dispara�t rapidement derri�re les nuages. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur le ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du passage d'une boule lumineuse.";O;1;;;;;;;;2015-11-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-05-02289
2160;"GROIX (56) 19.05.2008";Morbihan;56;"(D) D�partement";2008;05;19;"Un t�moin nous transmet une photographie sur laquelle des taches rouges apparaissent. Apr�s analyse de la photographie, il s'av�re que les points rouges sont les reflets des lampadaires � l'int�rieur de l'objectif de l'appareil. Si l'on relie chaque lampadaire � un point rouge, les 3 segments se croisent en un point qui est le point ""miroir"" du ph�nom�ne, lequel point miroir est plac� exactement au centre de la photo qui correspond donc au point focal de l'objectif. Chaque point rouge a une intensit� en rapport avec l'�loignement des lampadaires sur la photo et donc leur intensit� lumineuse varie. Ce ph�nom�ne est assez fr�quent mais cette photo est vraiment un ""cas d'�cole"", probablement d� au fait que les 3 lampadaires sont group�s autour du centre optique de l'objectif.";"Taches rouges sur photographie.";O;1;;;;;;;;2010-04-08;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-05-02297
2161;"CACHAN (94) 27.05.2008";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2008;05;27;"Un t�moin rapporte succinctement par mail des observations r�p�t�es de formes lumineuses bleues plus ou moins rondes dans le ciel nuageux de la r�gion parisienne. Le t�moin envoie des photographies.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
La photographie sugg�re fortement le reflet sur les nuages d'un �clairage venant du sol, ce qui n'est gu�re surprenant : bien que la localisation pr�cise du t�moin et la direction d'observation nous soient inconnues, la r�gion parisienne regorge d'�clairages de monuments, mairies et bien �videment d'�tablissements nocturnes dont les puissants spots se perdent sur le fond nuageux.
Il s'agit l� d'un r�s probable cas de m�prise avec les reflets d'�clairage sur le fond nuageux. La tr�s faible �tranget� de ce cas ne justifie pas d'enqu�te plus approfondie.
Ce cas est class� B, observation probable d'�clairage nocturne sur des nuages.";"Observation successives de formes bleues dans le ciel nuageux : observation probable d'�clairage nocturne sur des nuages.";O;1;;;;;;;;2013-02-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-02303
2162;"RUAUDIN (72) 16.05.2008";Sarthe;72;"(D) D�partement";2008;05;16;"Le 16 mai 2008 vers 23 heures, un t�moin observe derri�re les nuages le d�placement de gauche � droite d'une boule lumineuse.
Ce t�moignage est tr�s peu �trange, et la description trop sommaire pour une �tude s�rieuse. Le t�moin n'a pas r�pondu � notre demande de questionnaire et de d�p�t de t�moignage en gendarmerie. Le peu d'informations fournies laisse la possibilit� de multiples ph�nom�nes tout � fait connus.
Faute de donn�es pr�cises, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.";"Observation du d�placement d'une boule lumineuse derri�re des nuages : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2013-02-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-05-02304
2165;"SAINT-GEORGES-DU-BOIS (49) 06.05.2008";Sarthe;72;"(D) D�partement";2008;05;06;"Dans la nuit du 6 mai 2008 � 23h58, deux personnes observent depuis leur domicile le d�placement vers le Nord d'une boule orang� tr�s lumineuse. Cette boule dispara�t cach�e par le paysage. La pr�sence ou non d'un bruit accompagnant cette boule n'est pas confirm�e. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du d�placement d'une boule orange dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2010-03-25;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-05-02444
2166;"MONTAIGU (85) 01.05.2008";Vend�e;85;"(D) D�partement";2008;05;01;"Apr�s avoir lu un article du 8 mai 2008 concernant des boules lumineuses, une personne raconte avoir observ� dans la nuit du 1er au 2 mai 2008 vers 23h une sorte de losange lumineux en 3D dans le ciel. Se dirigeant vers le Nord sans qu'aucun bruit ne soit entendu, il dispara�tra � l'horizon. Cette personne a probablement observ� le passage d'une lanterne thailandaise.";"Probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2011-02-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-02445
2167;"ARGENTRE-DU-PLESSIS (35) 02.05.2008";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2008;05;02;"Le vendredi 2 mai 2008 vers 23h15 un automobiliste et ses passagers constatent dans le ciel les �volutions rapides d'un ph�nom�ne lumineux blanc dans le ciel. Une forme ovale est aper�ue avec plusieurs points fortement lumineux tournant � l'int�rieur. Une nouvelle observation aura lieu la m�me nuit vers 2h du matin. Aucun bruit ne sera entendu durant les observations.
La famille observera � nouveau le ph�nom�ne le samedi 10 mai 2008 � 2h30 du matin.
Ce cas d'observation est peu �trange : l'hypoth�se d'un projecteur de discoth�que est tout � fait compatible avec l'observation. La direction d'observation indiqu�e (au Nord-Est page 2 puis au Nord page 3) ne permet pas de conclure quant au point d'origine du probable �clairage qui a �t� observ�.
Ce cas est donc class� B : observation probable de projections commerciales, telles qu'utilis�es par les discoth�ques.";"Observations successives des d�placements silencieux de formes lumineuses dans le ciel : probable observations d'une animation par faisceau laser de type Sky rose.";O;1;;;;;;;;2013-03-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-02447
2168;"LACROIX-SUR-MEUSE (55) 04.05.2008";Meuse;55;"(D) D�partement";2008;05;04;"Le 4 mai 2008 vers 22h45 un automobiliste observe durant 5 minutes une dizaine de boules lumineuses orang�es immobiles dans le ciel. Aucun bruit particulier n'est entendu. Malgr� le peu d'information donn� par le t�moin concernant ce ph�nom�ne, il est probable que cette personne ait fait une observation de lanternes volantes. En effet, il y a eu de nombreuses observations de ce type faites entre mai et juillet 2008 dans l'Est de la France.";"Observation probable de lanternes volantes.";O;1;;;;;;;;2010-04-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-02489
2169;"JUIGNE-DES-MOUTIERS (44) 07.05.2008";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2008;05;07;"Le 7 mai 2008 � 22h55, un groupe de 6 lyc�ens observent dans le ciel deux boules lumineuses qui se d�placent silencieusement, semblent ensuite stationnaires pour repartir rapidement dans une trajectoire ascendante.
La repr�sentation cartographique de la sc�ne et le relev� m�t�o (faible vent d'Est � Nantes) font penser � des lanternes tha� qui auraient pu �tre l�ch�es d'une des maisons en lisi�re de for�t � l'Est. On note toutefois que le t�moignage n'est pas compl�tement conforme � cette hypoth�se : boules blanches et bleues, fil lumineux, d�placement pas tout � fait lin�aire.
Etant donn� la faible �tranget� du cas, et son anciennet�, le GEIPAN n'a pas relanc� d'enqu�te sur ce cas.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information, bien que l'hypoth�se de lanterne tha� reste assez probable.";"Observations des d�placements silencieux de deux boules lumineuses dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-05-02507
2172;"THEIX (56) 06.05.2008";Morbihan;56;"(D) D�partement";2008;05;06;"Le 8 mai 2009, le GEIPAN re�oit un mail laconique au sujet d'une observation survenue dans la nuit du lundi 5 au mardi 6 mai 2008 entre 3 et 4 heures du matin. Aucun autre d�tail ne sera transmis.
Le t�moignage direct contient trop peu de d�tails pour faire une analyse correcte. Jupiter est pr�sente au Sud Est (azimut 128 et 3�48"" d'�l�vation) et pourrait �tre source de confusion d'autant que le t�moin ne la mentionne pas.
La perception du d�placement peut �tre d� � l'illusion autocin�tique : voir le lien : la perception du mouvement d'un point lumineux dans le ciel
Ce cas est class� B : probable m�prise avec Jupiter.";"Observation du d�placment E-S d'une boule lumineuse : probable m�prise avec Jupiter.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-08393
2173;"GRAVERIE (LA) (14) 21.05.2008";Calvados;14;"(D) D�partement";2008;05;21;"Un t�moin rapporte succinctement son observation du 21 mai 2008 vers 23h. Depuis son jardin il a observ� le passage lin�aire SO-NE d'un ""petit soleil"" � environ 30� au-dessus de l'horizon. La vitesse �tait constante. Le ph�nom�ne s'est ensuite dirig� vers l'Est avant de disparaitre rapidement.
Ce t�moignage peu �trange fait penser � une lanterne tha� (lanterne volante port�e par le vent),mais il est trop succinct et ne permet pas d'analyse pr�cise � laquelle confronter les hypoth�ses usuelles de m�prises.
Les stations m�t�o entourant le lieu d'observation donnent des vents contraires qui s'expliquent par le passage d'un front visible sur les photos des satellites m�t�o.
En tout �tat de cause, la m�t�o pr�cise du lieu n'est pas connue (plus proche station : Caen � 50 Km au Nord - Est). Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2017-12-18;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-05-08404
2174;"BARBATRE (85) 01.05.2008";Vend�e;85;"(D) D�partement";2008;05;01;"Le 1er mai 2008 entre 23h et 1h du matin, un p�cheur sur une plage observe le lent d�placement d'un point lumineux blanc dans le ciel qui semble venir de l'Ile d'Yeu et se dirige vers l'Est. Le t�moin perdra de vue le point lumineux dans les nuages.
Ce cas d'observation a les caract�ristiques d'une lanterne tha�landaise : d�placement selon le vent (d'Est) d'une boule lumineuse. La date et l'heure sont coh�rentes avec cette hypoth�se : on peut penser � un l�cher depuis un bateau en mer. La d�viation observ�e vers le Nord est probablement un effet de la c�te qui modifie l'�coulement du vent � basse altitude.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'une lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement d'un point lumineux blanc dans le ciel : probable lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-05-08646
4674;"[MER] MINORQUE (ES.CT) 02.03.2018";"MER DES BALEARES";CT;"(D) D�partement";2018;03;02;"Le vendredi 02 mars 2018 � 2h32 un t�moin est sur le balcon d'une cabine de bateau de croisi�re en M�diterran�e. Le ciel est �clair� par la pleine Lune et parsem� de nuages. En voulant prendre des photos souvenirs de ce clair de Lune, le t�moin est surpris et intrigu� par un ph�nom�ne extr�mement brillant et blanc. Le t�moin prend deux photographies juste avant que le PAN ne disparaisse subitement. En rentrant dans sa cabine, cette personne est surprise d'�tre rest�e beaucoup plus longtemps dehors et dans le froid qu'elle ne le pensait. Un seul t�moignage sera recueilli.
Le t�moin a observ� et photographi� Jupiter.
Le PAN d�crit sur la photo est localis� exactement � la position du Jupiter :
- ce PAN se trouve � un peu moins de 90� � gauche de la Lune, puisque la Lune est d�crite en plein b�bord du bateau et que le PAN est d�crit quasiment en plein arri�re (un peu � b�bord comme vu sur la photo) du bateau. Le dessin du t�moin montre aussi ce d�calage de pr�s de 90� entre la Lune et le PAN ;
- gr�ce au logiciel d'analyse IPACO, il est ais� de d�terminer la hauteur sur l'horizon du PAN et �galement de mesurer celle de la Lune. Cette derni�re permet de retrouver l'heure exacte de la photo ;
- on v�rifie qu'en heure et place de l'observation, Jupiter est comme le PAN � une hauteur de 19� sur l'horizon et d�cal� de 85� � gauche de la Lune.
Du fait d'une prise de vue avec une dur�e d'exposition longue (1 seconde), Jupiter appara�t avec un boug� important dessinant des arabesques variables d'un clich� � l'autre. La photo a largement contribu� � l'�tranget� per�ue par le t�moin, bien au-del� de ce qu'il a pu voir de ses yeux. Il consid�re par exemple que les deux photos successives correspondent � des faces diff�rentes du PAN en �volution (il dit ""ce qui se d�termine d'ailleurs tr�s bien sur la 2�me photo prise � 4 secondes d'intervalle et qui montre une autre face tr�s diff�rente"").
Le t�moin parle d'un ""ciel d�gag� avec quelques r�sidus de nuages de temps en temps"", ce qui explique parfaitement que son regard ait �t� attir� par Jupiter, astre fortement brillant ce soir-l�, ainsi que la disparition soudaine du PAN par un nuage venant cacher Jupiter.
Ce t�moignage illustre ce qui arrive pour beaucoup de t�moins, toutes sociologies confondues :
- le niveau d'�tranget� que peut engendrer une �toile et en particulier ici la composante d'�tranget� cr��e par l'appareil photo : ce t�moin en perd sa notion de dur�e (1h40 en r�el occup� par le PAN contre 15mn per�ues), per�oit ""un immense objet volant extr�mement brillant et de forme tr�s surprenante paraissant avoir une taille plus imposante qu'un gros avion"" ;
- le contentement que peut procurer chez un t�moin la sensation ainsi que la chance d'avoir vu et photographier un OVNI ;
- la n�cessit� face � un �trange sinc�rement constat� de trouver une explication au fait d'�tre seul � constater l'�tranget� alors que d'autres personnes �taient en position de le faire. Ici, notre t�moin pense que le personnel de bord du navire a "" tr�s probablement d�cid� de ne plut�t pas �bruiter l'information, malgr� leur int�r�t pour ce ph�nom�ne tr�s certainement TROP �trange, de crainte de d�stabiliser certains passagers ou �quipage, surtout qu'il s'agit d'une croisi�re"".
Le GEIPAN classe le cas en A : observation de Jupiter.";"Observation et prise de photographies depuis un bateau de croisi�re d'un ph�nom�ne extr�mement lumineux blanc dans le ciel nocturne : observation de Jupiter.";O;;1;;1;;;;;2018-06-20;;;0.05;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;A;A;2018-03-50514
4672;"MARSEILLE (13) 31.03.2018";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2018;03;31;"Le 31 mars 2018 entre 21h30 et 21h41 un t�moin depuis son balcon est intrigu� par une boule lumineuse de forte intensit� et aux couleurs vari�es. Le Pan suit une trajectoire descendante et dispara�t lentement derri�re la colline de Notre Dame de La Garde. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a vu V�nus. Il utilise l'expression suivante "" L'analogie la plus descriptive est comme si une �toile tombait lentement du ciel, au ralenti"". Effectivement V�nus, bas sur l'horizon, ""tombe du ciel au ralenti,"" car sur la dur�e de l'observation (10 minutes) V�nus passe de 2� � 0,5�. C'est lent, mais quand c'est observ� au ras de l'horizon le mouvement est clairement perceptible.
V�nus (283� azimut) est bien l�g�rement � gauche de Notre Dame de la Garde (290�) et � droite de Rigel (237�) comme le PAN d�crit par le t�moin. Mais le t�moin exclut V�nus car il est persuad� que V�nus est cach�e par la colline de Notre Dame de la Garde.
Et il se trompe. La reconstitution ci-jointe montre que dans la direction de vis�e V�nus, l'obstacle le plus haut est � environ 60m plus �lev� que la base de l'immeuble du t�moin, soit environ 50m plus haut que le t�moin au 4� �tage. Situ� � 3900 m, ce point correspond � un �l�vation de 0,7 � et donc V�nus � 2� est visible et il est normal qu'au bout de 10 minutes elle soit pass�e sous l'horizon (� 0,5� pour un obstacle � 0,7�).
L'aspect du PAN est parfaitement conforme � V�nus bas sur l'horizon, avec des couleurs changeantes en raison des effets de l'atmosph�re.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas A : V�nus.";"Observation d'une sph�re lumineuse de couleurs vari�es avec trajectoire descendante lente : observation de V�nus.";O;;1;;;;;;;2018-05-23;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.80;;0.60;0.00;A;A;2018-03-50512
4665;"LYON (69) 04.04.2018";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2018;04;04;"Le mercredi 04 avril 2018 � 21h, un t�moin est intrigu� par la pr�sence dans le ciel nocturne d'un PAN tr�s lumineux et fixe. Le t�moin d�crit un objet clignotant, circulaire avec des sortes de longs filaments. Il observe le ph�nom�ne durant 40 minutes, et prend une vid�o. L'objet dispara�t cach� par un nuage. Trois membres de sa famille sont t�moins mais un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moignage est � l'�vidence une observation de V�nus. Le t�moin lui-m�me fait r�f�rence � V�nus. L'intensit� lui semble seulement plus forte et il distingue des filaments autour.
On v�rifie que dans la direction de l'observation donn�e ""vers le quartier Montchat"", soit environ 280�/290� d'azimut on a bien V�nus autour de 280� et de hauteur ~10� (le t�moin indique 10� � 15�). Cette proximit� ne fait aucun doute. Si le PAN n'�tait pas V�nus, celle-ci aurait d� �tre remarqu�e par le t�moin � proximit� du PAN � un moment ou � un autre au cours de cette longue observation o� les nuages dans la direction du PAN sont transitoires (comme le montre le r�cit et la photo).
Il est fr�quent qu'une observation intensive de V�nus donne des impressions de jets de rayons, ici de filaments.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : V�nus.";"Longue observation d'une forme circulaire de couleur blanc intense avec des filaments ; objet fixe dans le ciel nocturne : observation de V�nus.";O;;1;;;;;;;2018-05-24;;;0.05;0.00;;;0.80;;0.90;;0.80;0.00;A;A;2018-04-50508
2189;"CEILLAC (05) 29.06.2008";Hautes-Alpes;05;"(D) D�partement";2008;06;29;"Un t�moin nous envoie une de ses photographies sur laquelle il est �tonn� de constater la pr�sence d'un �l�ment qu'il n'a pas vu lors de la prise de vue.
Cette photo sans observation directe, qui contient une tra�n�e grise suivant un point lumineux, est probablement le r�sultat d'un objet passant rapidement tr�s pr�s de l'objectif. En effet cet objet est tr�s flou.
Il s'agit probablement d'un insecte �clair� un instant par le flash de l'appareil (les donn�es auxiliaires EXIF indiquent que le flash a �t� declench�). Ce cas est class� ""B"" : photographie probable d'un insecte, avec flash.";"El�ment sur photographie sans visuel direct : probable passage d'insecte.";O;1;;;;;;;;2012-08-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-06-02107
2190;"SAINT-SAUVEUR-DE-LANDEMONT (49) 22.06.2008";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";2008;06;22;"Le 22 juin 2008 vers 1h30 deux t�moins observent le d�placement d'une dizaine de lumi�res oranges dans le ciel. Aucun bruit n'est entendu par les t�moins qui filmeront le ph�nom�ne.
D'apr�s la vid�o explicite et suite � l'enqu�te de gendarmerie, le responsable et le lieu du l�cher de lanternes volantes ont �t� retrouv�s.";"Observation de lanternes volantes.";O;2;;;;;;;;2011-07-27;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-06-02109
2198;"TOURNEFEUILLE (31) 23.06.2008";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2008;06;23;"Suite � un article de presse, le GEIPAN d�cide d'enqu�ter sur une observation faite le 23 juin 2008 � 4h52 par un t�moin qui a pris des photographies d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel.
D'apr�s le compte rendu d'enqu�te, il y a de nombreuses incoh�rences dans le t�moignage (conditions de prise de vues, autres t�moins introuvables), et une forte co�ncidence entre le diam�tre de l'objet photographi� et la Lune (Pourtant le GEIPAN n'a pu reproduire cet aspect n�buleux et ses couleurs.)
Les �l�ments sont bien trop fragiles et contestables pour que ce cas puisse �tre consid�r� consistant. Il est class� � C � par manque d'informations fiables.";"Observation et photographies d'un ph�nom�ne lumineux en d�placement dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-09-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-06-02117
2205;"CHALONS EN CHAMPAGNE (51) 0-.06.2008";Marne;51;"(D) D�partement";2008;06;0-;"Observations successives d'une lumi�re qui se d�place et change d'intensit�. Le t�moin, malgr� plusieurs relances ne nous a pas donn� davantages de pr�cisions y compris sur la date (le jour n'est pas pr�cis� dans la correspondance et il est indiqu� ici arbitrairement). Toute enqu�te est impossible.";"Observations successives d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-06-02296
2206;"PARIS (75) 13.06.2008";Paris;75;"(D) D�partement";2008;06;13;"Le 13 juin 2008 � 23h 30 des t�moins observent depuis chez eux le d�placement de ph�nom�nes lumineux. Un film montrera des lumi�res claires se d�pla�ant du NE au NO. D'autres personnes dans la rue apercevront les lumi�res et de nombreux internautes t�moigneront sur diff�rents sites Internet. Le grand nombre d'objets lumineux se d�pla�ant dans la m�me trajectoire et avec une faible luminosit� est probablement d� � un l�cher de lanternes thailandaises lors d'un �v�nement festif. Les responsables et les lieux de lancement de ces ballons lanternes sont tr�s difficiles � trouver et nous incitons les personnes pratiquant ce genre d'activit�s � se manifester aupr�s du GEIPAN.";"Probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2010-08-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-06-02313
2210;"FAMECK (57) 03.06.2008";Moselle;57;"(D) D�partement";2008;06;03;"Le 3 ao�t 2009 un t�moin contacte le GEIPAN � propos d'une observation ancienne faite le 3 juin 2008 � 21h. Depuis le balcon du troisi�me �tage, le t�moin a observ� la pr�sence successive de trois objets de forme comparable � un ballon de rugby et de couleur brun et jaune d�lav�. Les objets se d�pla�aient selon une trajectoire rectiligne dont deux dans le m�me sens. Aucun bruit n'a �t� entendu durant l'observation qui a dur� une dizaine de secondes : le ph�nom�ne est sorti du champ d'observation occult� par des nuages.
Au final, cette observation d'objets ovo�des appara�t d'�tranget� faible � moyenne, avec une hypoth�se assez probable d'observation d'avions per�us avec une forme et luminosit� particuli�re du fait d'une heure proche du coucher du soleil (14 minutes plus tard).
L'enqu�te trop tardive n'ayant pas permis de conforter cette hypoth�se, ce cas est class� en � C � par manque d'information sur les vols d'a�ronefs � ce moment-l�.";"Observation ancienne du passage de trois objets ovoides dans le ciel nuageux : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-12-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-06-02386
2211;"CHELLES (77) --.06.2008";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2008;06;--;"Une personne rapporte, en 2009, ses observations successives depuis son domicile. Il t�moigne de la p�sence et du d�placement de boules de lumi�re vues � proximit� de l'a�roport Charles de Gaule. Le t�moin a film� ses observations entre 23h et minuit dans les permiers jours d'�t�, fin juin 2008 (la date du 21 juin est donn�e arbitrairement).
Les vid�os montrent des points lumineux jaunes-orang�s s'abaissant lentement vers le sol.
Comme le t�moin affirme observer en direction de l'espace a�rien de l'a�roport Charles de Gaulle, ces points sont probablement les feux d'atterrissage des avions � l'approche de cet a�roport. Ces phares sont visibles face � l'avion jusqu'� environ 30 km : de ce fait, d'une part leur couleur peut varier du blanc au jaune orang� selon la distance et les turbulences atmosph�riques, d'autre part on peut observer simultan�ment plusieurs avions dont on ne peut estimer la distance, m�me relative ; avec l'effet de la perspective, ces points peuvent sembler se rapprocher au contact apparent ou s'�loigner.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable d'avions de face, proches de l'atterrissage.
Comme le t�moin ne donne pas de dates pr�cises ni de directions d'observation pr�cises, le GEIPAN n'a pu affiner l'enqu�te.";"Observations successives de d�placements de ph�nom�nes lumineux : probables observations de feux d'aterrissage d'avions vus de face.";O;1;;;;;;;;2013-06-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-06-02469
2212;"ATHIS-MONS (91) 29.08.2008";Essonne;91;"(D) D�partement";2008;08;29;"Le 29 aout 2008 � 22h45 un t�moin regarde par sa fen�tre ferm�e et reste intrigu� par la pr�sence d'une lumi�re blanche semblable � une �toile mais beaucoup plus brillante au Nord-Ouest. L'observation dure environ 6 secondes durant lesquelles le t�moin voit le PAN se d�placer, s'arr�ter puis disparaitre. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Ce t�moignage repr�sente peu d'�tranget�. Les diff�rentes descriptions font d'ailleurs r�f�rence � une �toile.
Le peu d'�tranget� pourrait venir de cette description (""fixe puis l�g�re acc�l�ration puis a nouveau fixe"") mais qui n'est pas coh�rente avec une autre (""Le ph�nom�ne s'est d�plac� lentement vers le Nord puis s'est arr�t� et a disparu""). Par ailleurs la dur�e de l'observation est courte (6 secondes). On note aussi que ce t�moignage est fait pr�s de 18 mois apr�s l'observation.
Au total le GEIPAN consid�re qu'il n'a pas suffisamment d'informations fiables pour conclure sur un tableau o� rien n'exclue une �toile (la proximit� d'un nuage en mouvement peut donner l'impression d'un d�placement avant l'extinction progressive interpr�t�e comme fuite rapide en distance) ou une lanterne thailandaise.
Le GEIPAN classe ce cas en C : manque d'information.";"Courte observation dans le ciel nocturne du d�placement d'une lumi�re blanche : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.30;0.25;;;0.30;;0.30;;0.10;0.00;C;C;2008-08-09390
2214;"PLEVENON (22) 12.05.2008";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2008;05;12;"Le 12 mai 2008 vers 18h une personne prend � deux reprises le Fort Lalatte en photo . En visionnant par la suite ses photographies, une t�che noire appara�t sur une des deux photos sans qu'aucune observation n'ait eu lieu lors de la prise de vue.
De nombreuses hyphoth�ses peuvent expliquer une t�che sur une photographie sans observation directe et sont donc inv�rifiables.";"Tache sur photo sans observation lors de la prise de vue.";O;1;;;;;;;;2010-03-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-05-01883
2215;"BRY-SUR-MARNE (94) 08.07.2008";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2008;07;08;"Un t�moin nous envoie une photographie sur laquelle il voit une t�che. Cette photographie est inexploitable et nous manquons d'informations quant � l'observation en elle-m�me.";"T�che sur une photographie.";O;1;;;;;;;;2010-04-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-07-01885
4686;"TOURDUN (32) 17.04.2018";Gers;32;"(D) D�partement";2018;04;17;"Le 17 avril 2018 � 21h un t�moin est en train de prendre une photo du ciel en pose longue dirig�e au z�nith entre la Grande Ours et le Lion lorsqu'il remarque une trace qu'il prend pour une banale trace d'avion. Au m�me moment, il s'aper�oit que dans son champ vision le sol s'�claire par intermittence pendant deux secondes. Un seul t�moignage est recueilli pour ce ph�nom�ne.
Nous montrons (voir le compte rendu d'enqu�te) que le t�moin a photographi� un Airbus A321 effectuant la liaison r�guli�re Munich Lisbonne lors du vol LH1792/DLH05A.
La reconnaissance gr�ce � un outil de calibration stellaire en ligne, nous a permis en premier lieu d'identifier le champ d'�toiles figurant sur la photographie et travers� par l'avion. En second lieu, une superposition de ce champ avec la zone du ciel correctement orient�e nous a �galement permis de d�finir l'azimut d'observation et l'axe de la trajectoire de cet avion.
Enfin, un recoupement de cette trajectoire avec celles des avions passant au-dessus de la zone d'observation nous a permis d'identifier avec certitude l'avion concern�.
Il est � noter cependant que la s�quence et la synchronisation des feux anti-collisions blancs de bout d'aile de cet avion sont anormales, les Airbus � flashant � habituellement deux fois de mani�re tr�s rapproch�e sur une fr�quence d'un hertz, et non quatre fois ou al�atoirement tel qu'il est possible de le voir sur la photographie. La conformit� d'ensemble conduit � conclure qu'il s'agit l� d'un d�r�glement des feux.
L'�tranget� not�e par le t�moin (� en m�me temps, je me suis aper�u que dans mon champ visuel le sol s'�clairait par intermittence pendant deux secondes �) fait l'objet d'une description diff�rente du t�moin suite � question du GEIPAN � mon �tonnement vint en voyant le d�tail sur la photo. C'est alors que l'impression lumineuse sur le sol m'est devenu conscient �. La deuxi�me version est tr�s probablement la bonne. Le ph�nom�ne (dit d'amor�age) est classique dans l'observation de PAN : une premi�re �tranget� cr�e une situation compr�hensible d'�veil (qui peut aller jusqu'� de la panique) chez le t�moin qui peut le conduire � associer � cette premi�re �tranget� (et donc l'accro�tre) d'autres �tranget�s ou informations qui n'auraient peut-�tre pas m�me �t� per�ues (ou pour le moins qui n'auraient pas inqui�t�) en absence de l'�tranget� initiale. La furtivit� de cet �clairage et la non-perception directe (observation dans le champ visuel et non dans l'axe du regard) sugg�rent d�j� que cela a �t� caus� par une source lumineuse locale ponctuelle : une voiture qui passe et dirige ses phares dans la direction du t�moin, un voisin qui utilise une lampe torche, etc.. Le compl�ment de t�moignage conforte cette explication.
La consistance est faible :
- bien qu'une photographie ait �t� prise, l'original n'a pas �t� fourni. L'enqu�teur a d� reconstituer les donn�es angulaires avec les �l�ments fournis, en l'absence de relev�s pr�cis donn�s par le t�moin (hauteurs angulaires, azimuts, distance angulaire parcourue) ;
- aucune donn�e n'existe en ce qui concerne l'environnement du t�moin (situation pr�cise, pr�sence de lumi�res, de voisins, de routes, etc) qui auraient permis �ventuellement de plus explorer la source de l'�clairage au sol (la fausse deuxi�me �tranget�) ;
- � noter aussi que le t�moin a d�crit dans le t�moignage initial la deuxi�me �tranget� de mani�re diff�rente (et de fait plus �trange) de la conscience r�elle qu'il dit (ensuite) en avoir eu lors de l'observation.
Cette faible consistance n'est n�anmoins pas en mesure d'emp�cher l'explication tellement celle-ci s'impose par les autres �l�ments disponibles.
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en � A � : Observation d'un avion Airbus A321, vol LH1792/DLH05A en route vers Lisbonne. �tranget� per�ue a posteriori � la vue de la photo.";"Trace sur photographie et �clairage furtif par intermittence au sol concomitant � la prise de la photo : observation d'un avion Airbus A321.";O;;1;;1;;;;;2018-10-11;;;0.10;0.00;;;0.40;;0.60;;0.25;0.00;A;A;2018-04-50518
4206;"POMPIGNAN (82) 17.11.2016";Tarn-et-Garonne;82;"(D) D�partement";2016;11;17;"Le jeudi 17 novembre 2016 vers 22h deux personnes sont intrigu�es par la pr�sence dans le ciel nuageux d'une train�e verte. Un des t�moins prend plusieurs photographies. Deux t�moignages sont recueillis.
La train�e verte dans le ciel r�sulte de spots laser issus de l'�v�nement toulousain r�alis� par l'artiste internationale Yvette Mattern. Ce spectacle de laser g�ant install� sur le toit du Quai des Savoirs, sur les all�es Jules-Guesde, s'illumina du 18 au 20 novembre 2016, mais les essais ont d�marr� bien avant.
Le site actu.cotetoulouse fait �tat de t�moins surpris le soir du 16 novembre avec descriptions et des distances g�ographiques � l'�v�nement similaires � celles du t�moin du 17 novembre. Il a �t� v�rifi� aupr�s de l'organisateur que les essais �taient aussi pr�sents d�s le 15 novembre. Ce laser a �t� observ� �galement par un t�moin qui a t�moign� au GEIPAN (cas LAPEYROUSE-FOSSAT (31) 15.11.2016). Le pr�sent t�moignage et les photos jointes pr�sentent un aspect identique du ph�nom�ne avec notamment ce trait lumineux vert.
L'azimut du ph�nom�ne dans le ciel (134�) indiqu� par les t�moins est compatible du tir laser depuis le Quai des savoirs � Toulouse (situ� � 25km � 155�) sachant l'impr�cision d'une boussole de smartphone et le fait que l'impact laser sur les nuages peut �tre � plus de 10 km du lieu de tir.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : laser.";"Longues observations d'une train�e verte dans le ciel nuageux nocturne : observation d'un laser.";O;;;;;;;;;2018-03-19;;;0.05;0.00;;;0.80;;0.90;;0.75;0.00;A;A;2016-11-09587
2230;"RAMBOUILLET (78) 31.07.2008";Yvelines;78;"(D) D�partement";2008;07;31;"Un t�moin rapporte une observation de cinq secondes faite le 31 juillet 2008 � 23h15 dans un jardin priv�. Le t�moin observe 9 points lumineux non clignotant se d�placer silencieusement d'Est en Ouest dans le ciel �toil�. Ces points group�s en trois triangles, d�limitent une formation triangulaire qui prend subitement un mouvement ascentionnel avant de dispraitre.
Aucun autre t�moignage sur ce ph�nom�ne ne sera recueilli.
Le t�moin, qui a nettement vu un ph�nom�ne �trange, a �t� tr�s impressionn� par son observation. Le d�placement des lumi�res n'est pas conforme au sens du vent, ce qui exclut l'hypoth�se des lanternes tha�landaises. Ce cas a �t� soumis aux experts du GEIPAN. Le t�moignage contient peu d'�l�ments concrets, et il n'y a qu'un seul t�moin, ce qui en fait un cas de consistance faible. De ce fait, ce cas est class� ""C"" : observation non exploitable faute d'informations.";"Observation de 9 points lumineux d�limitant des formations triangulaires : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2012-05-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-07-02138
2231;"WAHAGNIES (59) 08.07.2017";Nord;59;"(D) D�partement";2017;07;08;"Le 8 juillet 2017 aux environs de 23h45 un t�moin et son �pouse sont intrigu�s par le d�placement sur une m�me trajectoire de deux disques de couleur orange dans le ciel d�gag�. Plusieurs autres disques de m�me couleur apparaissent. Tous semblent venir de l'Est (Gondecourt) et tous se dirigent vers le Sud-Ouest (Ostricourt). Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. Le t�moin prend cinq photos qui ne sont pas transmises. Un seul t�moignage est recueilli.
La description (couleurs et formes) est conforme � un vol de lanternes tha�landaises. A basse altitude et � la verticale les lanternes peuvent se pr�senter comme des disques.
Le vent ce soir l� d'apr�s Infoclimat �tait de NNE � SS0. Il pouvait donc provoquer cette trajectoire vue du sol (d�crite comme issue de Nord pour aller au SO).
C'est un weekend, qui plus est l'�t� : c'est donc un moment propice � des �v�nements festifs et � des l�chers de lanternes tha�landaises dans le ciel nocturne.
Le GEIPAN classe ce cas en B : lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement de plusieurs disques lumineux orange dans le ciel nocturne sur une m�me trajectoire : probable observation de lanternes tha�landaises.";O;2;;;;;;;;2018-06-14;;;0.30;0.13;;;0.75;;0.60;;0.50;0.00;B;B;2017-07-09702
4439;"COUTEVROULT (77) 20.07.2008";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2008;07;20;"Le dimanche 20 juillet 2008 � 22h12 un automobiliste et sa passag�re observent durant une minute le d�placement d'une forme qui les intrigue. Un objet allong� de couleur gris clair mat et disposant de deux grands empennages effectue une boucle et disparait en direction de l'Ouest. Deux photographies seront prises avec le portable du t�moin.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli et aucun ph�nom�ne a�rien particulier n'a �t� signal� dans cette zone.
La conclusion de l'enqu�te de gendarmerie est cr�dible : avion de ligne d�crivant un virage prononc� afin de se mettre dans l'axe des pistes de l'a�roport international Roissy-Charles de Gaulle.";"Observation du d�placement lent et silencieux d'un objet : observation d'un avion.";O;;;;;;;;;2017-07-27;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-07-02139
2236;"PARIS (75) 30.07.2008";Paris;75;"(D) D�partement";2008;07;30;"Le 30 juillet 2008 vers 22h05 deux personnes depuis leur dappartement au 6eme �tage observent � gauche de la tour Eiffel un objet inhabituel : une masse sombre de forme lenticulaire, d'abord statique puis qui se d�place en direction de l'a�roport Charles De Gaulle, se fonde dans l'horizon avant de disparaitre dans un flash lumineux. Le t�moin filmera son observation une premi�re fois � 22h05 puis � 22h08.
D'�tranget� faible voire moyenne, et de bonne consistance du fait de la vid�o, ce cas d'observation fait clairement penser � un petit ballon l�ch� accidentellement dans le ciel parisien, surtout par son d�placement, tout � fait conforme � un objet port� par le vent.
Bien que le t�moignage ne concorde pas totalement avec cette hypoth�se (flash), ce cas est class� B : observation probable de ballon.";"Observation d'une masse sombre de forme lenticulaire se d�placant dans le ciel : probable observation d'un ballon.";O;2;;;;;;;;2013-01-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.46;0.31;B;B;2008-07-02144
4202;"OUTREAU (62) 31.10.2016";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2016;10;31;"Le lundi 31 octobre 2016 vers 16h30 plusieurs personnes dans une v�randa observent le passage dans le ciel d�gag� de 2 objets ovoides de couleur cr�me ou blanc. Les objets s'�loignent progressivement et sont ensuite cach�s de la vue des t�moins. Un seul t�moignage sera recueilli.
Le t�moin a probablement vu les avions passant dans le couloir a�rien (rentrant sur la France de O vers E) au-dessus de Gravelines � 50 Km de l�. Le d�placement des avions donne l'aspect (description t�moin) de passer au-dessus de Boulogne et Saint-Leonard. A 16 H30, l'�clairage par le soleil est effectivement � l'arri�re du t�moin et pr�sente la particularit� de se r�fl�chir quasi perpendiculairement sur la carlingue de certains avions (effet miroir du soleil du fait de leur propre orientation et cap). Dans cette configuration l'avion se pr�sente sous forme ovo�de sans aile, car l'aile est confondue avec la carlingue. Les avions volent � 10 km d'altitude � une distance de 50 Km et apparaissent ainsi � une �l�vation autour 10� qui semble conforme au relev� de PAN sur la photo du t�moin. Leur vitesse est variable ainsi que leur distance, ceci pouvant ainsi donner l'effet de deux lign�es horizontales parall�les et de vitesse diff�rente. La longueur de l'avion faisant entre 20 et 80 m, on peut avoir des ouvertures angulaires de l'ordre de 1/20 � 1/5 de celle de la Lune pleine, ouverture encore suffisante pour distinguer une forme ovo�de. Notons que le t�moin ne vit pas dans les lieux et a pu �tre surpris alors que cette visibilit� d'avions (m�me fugitive du fait des particularit�s de miroirs avec le soleil) ne surprend pas les habitants et voisins.
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en B: observation probable d'avions.";"Observation du d�placement rectiligne de deux objets ovoides refl�tant la lumi�re du soleil : observation probable d'avions.";O;;;;;;;;;2017-06-07;;;0.27;0.00;;;0.60;;0.60;;0.36;0.00;B;B;2016-10-09582
4203;"[D459] de MARNAY (70) vers BURGILLE (25) 14.11.2016";Haute-Sa�ne;70;"(D) D�partement";2016;11;14;"Le 14 novembre 2016 � 18h14 un automobiliste observe durant 10 secondes environ le d�placement d'une lumi�re blanche dans le ciel. Ayant d�j� vu des �toiles filantes, il reste �tonn� par le fait que celle-ci ne se consume pas et continue son chemin vers l'Ouest. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
La description fournie correspond parfaitement � l'observation d'un petit m�t�ore lent venant de l'Est et traversant le ciel devant le t�moin en direction de l'Ouest ou du Sud-Ouest. Il est fr�quent qu'une �toile filante ne s'accompagne pas d'une tra�n�e lumineuse (ou queue) bien perceptible, notamment quand sa luminosit� est modeste et que la persistance r�tinienne s'en trouve de fait sensiblement amoindrie. Dans ces cas l�, les �ventuelles couleurs et leurs possibles variations sont souvent difficile � percevoir.
Au moment de l'observation le radian de l'essaim des Taurides (Taurides Sud puis Taurides Nord) (constellation du Taureau), assez proche de l'�toile Ald�baran, se situe � son lever, juste � l'horizon Est-Nord-Est (azimut 70�/N). Les �toiles filantes issues de cet essaim (associ� � la com�te 2P/Encke) sont lentes (~29km/s) ce qui rend la dur�e d'observation d'une dizaine de secondes fort possible donc coh�rente avec le t�moignage. Cet essaim fournit peu d'�toiles filantes (<5/h) mais s'�tale du 10/09 au 10/12, l'observation se situant deux jours seulement avec le maximum (12/11 pour les Taurides Nord), donc en p�riode favorable. Il semblerait que cet essaim puisse aussi produire des bolides (boules de feu) de mani�re p�riodique.
De par ses caract�ristiques descriptives, temporelles et spatiales, l'observation recueillie correspond donc tr�s probablement � celle d'un m�t�ore de cet essaim.
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en A : �toile filante.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux blanc dans le ciel : observation d'une �toile filante.
";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.25;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;A;B;2016-11-09585
4204;"NOISY-LE-SEC (93) 07.11.2016";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";2016;11;07;"Le 07 novembre 2016 � minuit 35 un t�moin depuis sa chambre observe le passage dans le ciel d'un ph�nom�ne tr�s lumineux de couleur (""base ronde jaune flamme surmont�e d'un triangle bleu, rouge, vert plut�t translucide""). Le d�placement avec une l�g�re ascendance est marqu� par une trajectoire en petits zigzags en direction de l'Est. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a probablement observ� un passage de ballons lumineux � LED gonfl�s � l'h�lium. Le d�placement est compatible avec le sens du vent globalement d'Ouest vers Est (voir sur le site Infoclimat). Le d�placement en l�ger zigzag autour d'un axe principal est �galement compatible d'un objet port� par le vent.
Les ballons LED peuvent �tre assembl�s en grappe pouvant donner des formes diverses et des assemblages de couleurs, comme ce qui a �t� observ� ici (forme ronde plus triangle). Voir par exemple les ballons LED r�utilisables � vie.
L'aspect de flamme peut r�sulter du clignotement de certains des ballons de la grappe, pendant que d'autres peuvent �tre � �clairage fixe. L'extinction partielle et progressive constat�e du PAN r�sulte de la fin de vie des LED.
Par ailleurs, il s'agit d'une nuit de week-end propice � un �v�nement festif de ce type. En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en B : probable ballon LED.";"Observation du d�placement d'un objet tr�s lumineux de base ronde jaune flamme sumont�e d'un triangle de couleurs vari�es : probable observation de ballons � LED.
";O;;;;;;;;;2018-06-14;;;0.30;0.00;;;0.65;;0.70;;0.46;0.00;B;B;2016-11-09584
2254;"SAINT-MALO (35) 14.07.2008";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2008;07;14;"Un t�moin rapporte son observation faite dans la nuit du dimanche au lundi 14 juillet 2008 (entre minuit et 0h05) dans le ciel d�gag� et clair. Il a observ� au-dessus de chez lui le passage silencieux SO-NE d'une grande forme triangulaire sombre d�limit�e � chaque extr�mit� par des lumi�res rondes non clignotantes, de grande taille et jaune-orang�. Le t�moin sort dans la rue mais le PAN a disparu. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs suivants :
beau temps, bonne visibilit�, nuit noire.
vent faible, trajectoire du/des PAN compatible avec la direction du vent local.
observation de courte dur�e.
plusieurs lumi�res de grande taille aper�ues par le t�moin avec perception d'un seul objet.
couleur orange fonc�e, intensit� lumineuse plut�t mod�r�e du PAN.
observation effectu�e lors d'un week-end de 3 jours qui correspond � une f�te nationale.
Il y a lieu de conclure que le t�moin a tr�s probablement observ� plusieurs lanternes tha�landaises (ou ballons festifs lumineux) port�es ensemble par le vent et donnant l'impression d'un seul et m�me objet, lanternes lanc�es soit depuis Saint-Malo m�me, soit depuis Dinard ou l'une de ses plages un dimanche soir d'�t�, veille de f�te nationale.
Le GEIPAN classe le cas en A: observation de lanternes tha�landaises.
";"Courte observation d'une grande forme triangulaire allong�e et sombre d�limit�e par des lumi�res jaune-orang� non clignotantes : observation de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2018-02-28;;;0.20;0.00;;;0.75;;0.50;;0.38;0.00;A;A;2008-07-02216
2260;"(DPT) HERAULT (34) 27.07.2008";H�rault;34;"(D) D�partement";2008;07;27;"Le 23 avril 2009 un maire d'une petite commune d�pose � la gendarmerie un cd et une lettre adress�s � la mairie de son village. Le cd contient deux photographies prises le 27 juillet 2008 par un vacancier de passage dans la r�gion. Il est constat� la pr�sence dans le paysage d'une t�che noire sur une des photos. Aucun administr� de la commune n'a signal� d'observation particuli�re ce jour l�. L'auteur des photographies se pr�sentera � la gendarmerie le 11 ao�t 2009 pour raconter une observation faite lors de ses vacances le 27 juillet 2008 � 10h45 et la d�couverte d'une sph�re et d'un disque sur des photographies prises � cette date. Le t�moin pr�cise qu'il n'a rien remarqu� de particulier en prenant ses photos ce jour l�. Sans visuel direct lors de la prise de vue et sans aucun autre t�moignage d'observation et information, toute enqu�te sur ce ph�nom�ne est difficile voir impossible.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux et de formes circulaires pr�sentes sur des photographies mais sans visuel.";O;3;;;;;;;;2010-03-15;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-07-02388
2261;"BARRET-DE-LIOURE (26) 08.07.2008";Dr�me;26;"(D) D�partement";2008;07;08;"Le 8 juillet 2008 � 21h25 depuis le sommet de la montagne de Bergi�s, des t�moins sont intrigu�s par un point lumineux de forte magnitude qui apparait et disparait plusieurs fois dans le ciel.
Les t�moins le localisent � l'aide du chercheur d'une lunette astronomique. Chacun leur tour ils regarderont dans ce chercheur et d�crivent un objet ovoide d'une couleur gris acier,se d�pla�ant lentement (avec un mouvement pendulaire pour un des deux t�moins). L'objet se d�place en direction du Sud avant de disparaitre.
Ce cas est d'�tranget� �lev�e de part la forme de l'objet observ� � travers le chercheur 9x50 d'une lunette astronomique. Il est �galement de bonne consistance, les t�moins �tant qualifi�s et rompus � l'observation intensive de jour comme de nuit.
L'enqu�teur d�p�ch� sur place par le GEIPAN n'a rien relev� d'anormal et confirme le t�moignage et la bonne foi de Monsieur A (Monsieur B n'�tant pas pr�sent lors de sa visite un mois apr�s l'observation).
Ce cas est class� D1, observation inexpliqu�e, moyennement �trange, de bonne consistance.";"Observation d'un point brillant vu avec le chercheur d'une lunette astronomique.";O;1;;;;;;;;2013-01-24;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2008-07-02443
2273;"ABLIS (78) 30.08.2008";Yvelines;78;"(D) D�partement";2008;08;30;"Le 30 ao�t 2008 vers 19h50 un t�moin observe un objet volant qu'il ne peut identifier. Il prend une s�rie de photographies et r�alise un film de l'�volution de cet objet. (Le film n'a jamais �t� adress� au GEIPAN).
Suite � une enqu�te de voisinage, l'enqu�te de gendarmerie conclut � un cerf-volant. Il y a en effet r�guli�rement sur le stade de la commune d'ABLIS, des amateurs de cerf-volants qui pratiquent cette activit�. Celle-ci est confirm�e pour ce jour-l� par plusieurs t�moins, dont un fait part d'un cerf volant particuli�rement haut dans le ciel.";"Observation du vol d'un cerf-volant.";O;1;;;;;;;;2010-11-24;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-08-02061
2274;"NOUZONVILLE (08) 30.08.2008";Ardennes;08;"(D) D�partement";2008;08;30;"Le samedi 30 ao�t 2008 � 23h45, un t�moin est en train de regarder les �toiles � l'il nu lorsque son attention est rapidement attir�e par la pr�sence � la verticale l�g�rement sur la gauche d'une boule de couleur jaune entour�e de paillettes de toutes les couleurs. Il l'observe aux jumelles et constate qu'il s'agit d'une boule de couleur jaune avec des lumi�res de toutes les couleurs qui se trouvent dans la boule sur sa partie interne. Au d�but de son observation cette boule est fixe. Cela dure deux � trois secondes. Elle se d�place ensuite tout doucement pour prendre de la vitesse. Elle �volue dans un premier temps � l'horizontale puis amorce une descente en diagonale jusqu'� ce qu'il la perde de vue car face � son domicile se trouve la for�t de Montcy-Notre-Dame. Il s'absente dix secondes pour se rendre aux toilettes. Son amie qui est pr�sente l'appelle pour le pr�venir que la boule est revenue � son point de d�part d'origine au moment de sa premi�re apparition. Elle reproduit exactement le m�me trajet puis disparait derri�re le massif forestier.
L'observation du t�moin (boule jaune), le d�placement coh�rent avec le l�ger vent dominant (ouest) relev� ce jour-l� sur M�t�ociel, l'heure et le jour de la semaine (samedi soir) et la pr�sence d'un festival � proximit� (Le cabaret vert) sont compatibles avec l'observation de plusieurs lanternes tha�landaises. En effet, les couleurs observ�es ainsi que les paillettes peuvent s'expliquer par l'observation du br�leur (scintillement) et de l'enveloppe de la lanterne qui sont de couleurs diff�rentes, l'impression que la boule soit revenue au m�me endroit suite � l'interruption de l'observation est probablement due � la pr�sence d'une deuxi�me lanterne suivant le m�me courant a�rien.
De plus, � cette �poque les lanternes �taient moins r�pandues, l'ann�e 2008 marque le d�but des observations (voir cas LANTERNES 03.05.2008 sur le site du GEIPAN).
En conclusion, probable observation de lanternes tha�landaises. ";"Observation des �volutions dans le ciel nocturne d'une boule de couleur jaune : probable observation d'une lanterne tha�landaise.";O;;1;;;;;;;2018-04-25;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;B;B;2008-08-02106
2275;"FECHAIN (59) 15.08.2008";Nord;59;"(D) D�partement";2008;08;15;"Un t�moin contact par mail le GEIPAN au sujet d'une observation d'un objet dans le ciel de F�chain le vendredi 15 aout 2008 vers 18h30. Il joint trois photographies mais ne produira aucun autre document pour pr�ciser son observation.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Ce cas d'observation est en tous points compatible avec l'observation d'un ballon.
Le GEIPAN le classe donc en B comme observation probable d'un ballon, et non en A faute de pouvoir prouver exactement son origine.";"Observation d'un objet dans le ciel et photographies du PAN : probable observation d'un ballon.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-08-02183
2276;"SAINT-NAZAIRE (44) 15.08.2008";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2008;08;15;"Par un appel t�l�phonique, le geipan est inform� que de nombreuses personnes observent depuis fin-ao�t en fin d'apr�s midi une tache noire stationnaire sur le soleil. Aucun autre t�moignage ou informations ne seront re�us pour compl�ter l'appel t�l�phonique. Par manque d'information suppl�mentaire � ce jour, ce ph�nom�ne est class� C.";"Observations d'une tache noire fixe sur le soleil.";O;1;;;;;;;;2010-04-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-08-02184
2280;"PRESEAU (59) 10.08.2008";Nord;59;"(D) D�partement";2008;08;10;"Le 10 ao�t 2008 le GEIPAN est contact� par t�l�phone par un t�moin qui raconte une observation faite en pr�sence d'autres personnes dont des gendarmes. Entre 23h et 2h17 dans la nuit du 10 au 11 ao�t 2008 deux points lumineux, ressemblant � des �toiles font l'objet d'une observation � l'oeil nu puis aux jumelles. Le ph�nom�ne est stationnaire puis se d�place lentement. Une observation similaire dans la m�me direction mais un peu plus basse sur l'horizon a lieu le 22 ao�t � 22h35. L'enqu�te d�montrera que les t�moins ont fait une observation astronomique d'Arcturus et Capella particuli�rement visibles en cette p�riode de l'ann�e.";"Observation astronomique.";O;1;;;;;;;;2010-04-15;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-08-02218
2285;"GOUVIEUX (60) 20.09.2008";Oise;60;"(D) D�partement";2008;09;20;"Du 20 au 21 septembre 2008 un t�moin a observ� une dizaine de boules orang�es dans le ciel nocturne se d�pla�ant entre les communes de Gouvieux et de Precy-sur-Oise. Ces boules lumineuses ""�clair�es de l'int�rieur ainsi que sur tous les cot�s"" ont disparu au niveau de la commune de Precy-sur-Oise. Le d�placement silencieux des objets �taient en file indienne � basse altitude. Un seul t�moignage sera recueilli au GEIPAN. La gendarmerie recevra deux autres appels cette nuit l� concernant la pr�sence de lumi�res dans le ciel.
L'observation du t�moin est caract�ristique d'une observation d'un l�cher de lanternes thailandaises, tant par les couleurs, les formes, le type de trajectoire. La survenue une nuit de WE, favorable � des �v�nements festifs, renforce cette hypoth�se. La direction g�n�rale Est-Ouest du d�placement est compatible avec le sens du vent mesur�. Par ailleurs, le PV de la gendarmerie locale rapporte des signalements � la m�me heure �galement caract�ristiques de lanternes thailandaises.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B observation de lanternes thailandaises.";"Observations du d�placement d'une dizaine de boules lumineuses orang�es dans le ciel : observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-01-27;;;0.10;0.00;;;0.80;;0.60;;0.48;0.00;B;A;2008-09-02045
2287;"SOSPEL (06) 05.09.2008";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2008;09;05;"Le 5 ou 6 septembre 2008 entre 22h30 et 23h plusieurs personnes observent en direction du col de Braus les d�placements de ph�nom�nes lumineux dans le ciel. Un t�moignage (impr�cis sur la date du jour) rapporte les apparitions successives de boules lumineuses de couleurs dont certaines semblent tourner entre elles. Deux autres boules se d�placent parall�lement et � grande vitesse. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation.
Cette observation est la succession de 3 ph�nom�nes que nous estimerons ind�pendants : un point lumineux � l'horizon Ouest, orang�, disparaissant lentement apr�s 30 minutes : on peut penser � l'�toile Arcturus � son coucher (voir cartes astro � 22h30 et 23h) tr�s brillante, proche de la direction indiqu�e par l'observateur.
Des boules blanches lumineuses s'agitant de fa�on d�sordonn�e sur le fond nuageux : cette description correspond tout � fait � l'aspect d'un laser de discoth�que, bien que l'observateur ne voit pas le rayon ascendant (c'est toujours le cas, hormis une atmosph�re tr�s humide).
Enfin le passage rectiligne tr�s rapide de deux points lumineux : ce ph�nom�ne fait clairement penser � une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de (m�t�orite fragment�e) ou de d�bris spatial.
Etant donn�e l'incertitude sur la date, et le manque de preuves sur ces hypoth�ses, le GEIPAN classe pour l'instant ce cas peu �trange en ""C"" par manque d'informations. L'�tranget� du cas vient surtout de la succession de ces trois ph�nom�nes.";"Observations de ph�nom�nes lumineux diff�rents apparaissant successivement. Manque d'information.";O;1;;;;;;;;2012-06-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-09-02047
2290;"DEBRIS LANCEUR RUSSE (975) 25.09.2008";France;FR;"(N) National";2008;09;25;"Le 25 septembre 2008 vers 23h, de nombreux t�moins situ�s en Bretagne Sud, ou dans le Sud de la France ont vu un spectaculaire ph�nom�ne lumineux traverser le ciel du Nord-Est vers le Sud-Ouest.
Nombre d'entre eux signaleront leur observation � la presse, au GEIPAN par t�l�phone (5), par courrier �lectronique (5) ou par questionnaire (3) ; certains iront faire une d�position � la gendarmerie qui transmettra ensuite 3 t�moignages au GEIPAN.
Les multiples t�moins d�crivent un ph�nom�ne lumineux tr�s puissant ayant travers� le ciel en 1 � 4 minutes (pour la plupart) se dirigeant vers le Sud ou Sud-Ouest (voir le compte rendu d'enqu�te).
Nous avons rassembl� sur un tableau unique (ci-joint) les �l�ments essentiels des observations. On peut constater une grande variabilit� dans ces �l�ments, autant sur la couleur du ph�nom�ne (blanc, jaune, orange, rouge ) que sur la forme (boule, point, avion-fus�e et m�me rectangle) la distance estim�e (300m � 8 km) sur la direction de d�placement (majorit� de Nord vers Sud, ou Nord-Ouest vers Sud-Est, Ouest vers Est) et sur la dur�e d'observation (majoritairement inf�rieure � 1 mn, quelques cas de plus de 2mn).
N�anmoins, la simultan�it� du ph�nom�ne, et quelques caract�ristiques communes comme la fragmentation en plus de 10 �l�ments laissent peu de doute sur l'unicit� de l'origine du ph�nom�ne (sauf pour le cas de Pontoise �ventuellement).
L'exp�rience montre qu'une telle variabilit� est fr�quente pour toutes les observations massives ; il faut aussi bien prendre en compte le fait que tous les t�moins, �loign�s les uns des autres, n'ont pas vu le ph�nom�ne sous le m�me angle, et sur une m�me dur�e : ceci induit une variabilit� tout � fait explicable dans les r�cits des t�moins.
Dans ce genre de cas, c'est la multiplicit� des t�moins au m�me instant et leur �loignement g�ographique important qui prouve que le ph�nom�ne �tait tr�s puissant et � haute altitude : l'hypoth�se de rentr�e atmosph�rique devient certaine. La nature de l'objet rentrant est plus difficile � prouver : dans ce cas, du fait de l'orientation vers le Sud-Est du ph�nom�ne, et de sa dur�e inf�rieure sup�rieure � une minute, l'hypoth�se de la rentr�e dans l'atmosph�re d'un d�bris de satellite est bien plus probable que celle d'une rentr�e de m�t�oro�de naturel. Les informations de la surveillance spatiale am�ricaine ont confirm� cette hypoth�se.
Ce cas est donc class� � A � : rentr�e atmosph�rique d'un 3�me �tage de lanceur PROTON.";"Observations multiples en France du passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel nocturne : observation de la rentr�e atmosph�rique d'un 3�me �tage de lanceur PROTON.";O;6;;;;;;;;2017-04-20;;;0.20;0.00;;;;;;;0.57;0.00;A;A;2008-09-02065
2291;"BOLLENE (84) 08.09.2008";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2008;09;08;"Le 7 septembre 2008 � 0h20 un t�moin photographie depuis son jardin le passage d'objets lumineux dans le ciel.
Le t�moin a depuis consult� des photos r�centes de cas av�r�s de passage de lanternes thailandaises et reconna�t la similitude de l'observation.
Ce cas est class� A : forte probabbilit� de lanternes thanlandaises.";"Observation du d�placement d'une trentaine d'objets lumineux dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-09-02170
2302;"PARIS (75) 28.09.2008";Paris;75;"(D) D�partement";2008;09;28;"T�moignage r�cent (19 avril 2010) d'une observation ancienne. Le 28 septembre 2008 un t�moin observe dans le ciel durant 15 minutes environ deux points lumineux rouges. Un des deux points se d�place lentement puis acc�l�re avant de dispara�tre. La lumi�re immobile d�crite pourrait correspondre � la plan�te V�nus observable � l'il nu � l'Ouest au soleil couchant (lumi�re rouge orang�e) avec une magnitude de -4,2.La ""plan�te rouge"" Mars n'�tait elle pas observable � l'il nu (magnitude apparente de +1,5, trop basse sur l'horizon). La 2�me lumi�re mobile rouge pourrait �tre un a�ronef. N�ammoins, s'agissant d'une observation ancienne rapport�e plusieurs mois plus tard, toute v�rification et enqu�te sont impossibles. Le cas est class� C par manque d'informations.";"Observation de deux points lumineux rouges.";O;1;;;;;;;;2010-05-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-09-02553
2303;"BRUGES (33) 21.09.2008";Gironde;33;"(D) D�partement";2008;09;21;"Un t�moin rapporte ses observations successives le 21 septembre 2008 et le 10 juillet 2009 de sph�res lumineuses se d�pla�ant sans bruit. Un ensemble de photographies faites par le t�moin sont jointes � sa description.
Ce cas concerne des observations faites par le m�me t�moin � plusieurs dates sans proc�s verbal de gendarmerie. Ces observations sont d�crites comme des points lumineux uniques ou moins lumineux et structur�s en paires dans le questionnaire renvoy� par le t�moin au GEIPAN. Devant la multiplicit� des observations, le GEIPAN a mandat� un IPN qui s'est concentr� sur la premi�re observation du 21 septembre 2008. Les �l�ments rapport�s refl�tent une probable observation de la Station Spatiale Internationale ISS. La description de ""sph�res"" et de ""noyau central"" �tant d�e � l'utilisation d'appareils optiques ( jumelles).
Ce cas est class� B.";"Probables observations successives de l'ISS";O;1;;;;;;;;2011-01-28;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-09-02699
2320;"JURIGNAC (16) --.--.2008";Charente;16;"(D) D�partement";2008;--;--;"T�moignage, sans aucune pr�cision sur l'observation, du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux (aucune date pr�cis�e : nous datons le cas � la date du t�moignage c'est-�-dire au 29/10/2008) . Aucune autre information ne sera rapport�e sur ce ph�nom�ne par le t�moin malgr� nos demandes.";"observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-04-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-01-02230
2321;"BUC (78) 02.10.2008";Yvelines;78;"(D) D�partement";2008;10;02;"Suite � l'acquisition d'un nouveau camescope, un particulier fait des essais en filmant un h�licopt�re. Au visionnage, il constate alors la pr�sence d'une sph�re grise tout au long de la prise de vue.
Malheureusement, le t�moin n'a pas souhait� que son film soit diffus� bien que ce document soit un exellent exemple du genre. Cette vid�o montre, de fa�on quasi certaine, un tout petit objet qui passe tout pr�s de l'objectif, sans �tre n�cessairement remarqu� par l'op�rateur, tr�s probablement un insecte ou un oiseau. Ce genre de document (photo ou vid�o) se rencontre assez souvent, depuis l'apparition des appareils num�riques et notamment des compacts, dont la tr�s courte distance focale fait que de tels petits objets ne sont pas totalement flou�s et donc ""dilu�s"" dans le paysage, comme ils le seraient en photographie argentique ou en vid�o classique.""";"Pr�sence d'un objet inconnu dans une vid�o amateur.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-10-02305
2323;"PALAU-DEL-VIDRE (66) --.10.2008";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2008;10;--;"T�moignages recueillis en novembre 2009 sur une observation ancienne faite en octobre 2008 (le t�moin ne se souvient plus de la date exacte mais indique la fin du mois d'octobre).
Vers 6h du matin, deux t�moins, embarquent � bord de leur v�hicule utilitaire et entament leur tourn�e. Ils remarquent, dans un premier temps, un ph�nom�ne tr�s lumineux comme une �toile puis dans un second temps ils apercoivent au-dessus des maisons du village qu'ils traversent un �norme triangle noir avec une lumi�re rouge au milieu.
Cette observation comprend deux ph�nom�nes qui ne sont pas forc�ment li�s :
-Le point lumineux blanc, a priori trop brillant pour pouvoir penser que c'est Saturne, qui est pourtant dans une direction proche.
-Le triangle noir avec une lumi�re rouge : on pourrait penser � un avion, mais le t�moin aurait signal� l'un des feux de position et surtout le clignotement des feux anti-collision.
On note que le d�placement de cet objet serait compatible avec celui d'un a�ronef classique : c'est la forme et la signalisation lumineuse qui en font l'�tranget�.
La date tardive du t�moignage n'a pas permis de faire des v�rification aupr�s des autorit�s a�riennes.
Ce cas d'observation est d'�tranget� moyenne � �lev�e, et l'enqu�te men�e a permis d'en renforcer consid�rablement la consistance. Aucune des hypoth�ses usuelles ne permet d'expliquer correctement l'observation de l'objet triangulaire d�crit par les t�moins.
Ce cas est class� ""D1"" comme inexpliqu�.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux puis d'un triangle noir passant lentement au-dessus des toits.";O;1;;;;;;;;2013-01-24;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2008-10-02513
2331;"BOIS-GUILLAUME (76) 07.11.2008";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2008;11;07;"Le vendredi 7 novembre 2008, � 18h25, un t�moin attend sa compagne pour aller au spectacle. Il sort de chez lui pour observer le ciel et aper�oit deux points lumineux fixes et inhabituels situ�s � l'Est. Alors que son amie arrive, les points s'�teignent lentement. L'observation aura dur� quelques minutes.
Deux ballons sondes � haute altitude pourraient tout � fait donner cet aspect : l'observation a lieu environ une heure apr�s le coucher du soleil : en altitude, les ballons sont encore au soleil ; leur extinction simultan�e, avec l'entr�e dans l'ombre, est tout � fait logique. Cette hypoth�se, tout � fait plausible, n'a toutefois pas pu �tre confirm�e par le GEIPAN, trop longtemps apr�s les faits.
Ce cas est class� B : observation probable de deux ballons sondes.";"Observation par un t�moin de deux points fixes lumineux dans le ciel avant leur extinction simultan�e : probable observation de ballons sondes.";O;1;;;;;;;;2013-02-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-11-01897
2335;"CARSPACH (68) 12.11.2008";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2008;11;12;"Le 12 novembre 2008 � environ 22h40 un automobiliste observe le passage en courbe descendante d'une lumi�re verte suivi d'une train�e en forme de c�ne. L'observation n'a dur� que quelques secondes.
Le t�moignage est consistant et le ph�nom�ne est corrobor� par deux autres t�moins ind�pendants (retrouv�s sur un forum) et tr�s �loign�s, voire par un enregistrement radio (voir le compte rendu d'enqu�te).
Cette observation correspond bien, comme le pressentait le t�moin apr�s quelques recherches, � la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�ore. En r�alit� il provient de l'essaim des Taurides ""Nord"" qui produit de beaux bolides assez lents. Le jour correspond d'ailleurs au maximum d'activit� de cet essaim qui, observ� par ailleurs, se montrait actif � cette heure-l�. Deux t�moignages �manant de la r�gion de Bordeaux, compatibles en heure, description et trajectoire confirment, au vu de la distance s�parant Bordeaux de Carspach, que le PAN �tait obligatoirement � haute altitude. Ceci renforce encore l'hypoth�se retenue.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : rentr�e de m�t�oro�de.";"Courte observation par un automobiliste du passage en courbe descendante d'une lumi�re verte avec une train�e en forme de c�ne : probable rentr�e atmosph�rique";O;;1;;;;;;;2018-04-30;;;0.05;0.00;;;0.80;;0.90;;0.80;0.00;A;A;2008-11-01901
2341;"PONT-SUR-YONNE (89) 04.11.2008";Yonne;89;"(D) D�partement";2008;11;04;"Le 4 novembre 2008 � 19h52 un automobiliste observe durant 5 � 10 secondes le lent passage d'un objet triangulaire noir avec deux lumi�res blanches sur deux des sommets.
Cette observation fait penser � un avion � basse altitude, mais cela para�t bien peu probable � cet endroit l�.
Ce cas d'observation est de faible �tranget� (lumi�res blanches se d�pla�ant lentement) et de faible consistance (incoh�rence m�t�o et tr�s courte dur�e d'observation pour un t�moin en mouvement dans son v�hicule).
Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation 5 � 10 secondes du d�placement lent d'un triangle noir avec lumi�res blanches sur les sommets : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-02-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-11-01933
2351;"SAINT-PIERRE (974) 14.12.2008";"La R�union";974;"(D) D�partement";2008;12;14;"Le 14 d�cembre 2008 vers 21h plusieurs t�moins observent durant 20 secondes le passage silencieux d'un objet sph�rique de couleur orange. Le d�placement se fait d'Est au Nord-Ouest sur une trajectoire rectiligne sans aucune train�e. L'objet disparaitra apr�s un vacillement de sa luminosit�. Un des t�moins affirme que des boules similaires ont �t� aper�ues la semaine pr�c�dente. L'observatoire des Makes contact� � ce sujet fait r�f�rence � des ""lanternes � vux"" du m�me type que les lanternes tha�landaises. Cette hypoth�se sera confirm�e par le t�moin principal qui en observera de nouveau le soir de No�l.";"Observation du passage d'une lanterne tha�landaise.";O;1;;;;;;;;2010-04-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-12-01930
2352;"SAINT-JOSEPH (97) 19.12.2008";"La R�union";974;"(D) D�partement";2008;12;19;"Le 19 d�cembre 2008 le GEIPAN re�oit un mail concernant une photographie jointe : une semaine avant No�l, un t�moin a observ� et pris en photo le d�placement rapide et en zig-zag d'un ph�nom�ne lumineux. La date de la photographie extraite des donn�es exif de la photo indique que celle-ci a �t� prise le 19 d�cembre 2008 � 21h24 Des cas d'observation � la R�union du d�placement de lanternes tha�landaise ont �t� rapport� au GEIPAN les 14 et 16 d�cembre 2008. Aucune autre pr�cision ne sera donn�e par le t�moin. Aucun autre t�moignage d'observation de ce ph�nom�ne ce soir l� ne sera rapport�.";"Photographie du d�placement en zig zag d'un objet lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-04-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-12-01931
2354;"STRASBOURG (67) 06.12.2008";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2008;12;06;"Le samedi 6 d�cembre � 22h18 un t�moin observe trois points lumineux de couleur rouge orang�e qui se d�placent silencieusement et de conserve dans le ciel selon une trajectoire Nord Ouest vers le Sud Est. Le t�moin a juste le temps de prendre trois clich�s avant que le ph�nom�ne ne soit occult� par la toiture de l'immeuble. Il observera un quatri�me objet de m�me caract�ristiques et se d�pla�ant selon la m�me trajectoire. L'observation aura dur� une quinzaine de minutes en totalit�.
Les caract�ristiques relev�es (couleur rouge orang�e, d�placement lent et rectiligne compatible avec le vent relev� � quelques degr�s pr�s) sugg�re tr�s fortement une m�prise avec un vol de lanternes festives (dites lanternes Tha� ou chinoises). L'heure et le jour (samedi apr�s 22h, jour de la Saint Nicolas, tr�s f�t�e en Alsace) sont parfaitement compatibles avec cette hypoth�se.
Ce cas d'observation est un classique des m�prises avec les lanternes festives.
Ce cas est class� B comme tr�s probable observation de lanternes festives.";"Observation du d�placement lent de trois points lumineux. Formation en triangle : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-12-01944
2355;"SAINT-PIERRE-QUIBERON (56) 21.12.2008";Morbihan;56;"(D) D�partement";2008;12;21;"Le 21 d�cembre 2008 � 19h46, un automobiliste et son passager constate la pr�sence dans le ciel d'un ph�nom�ne qui les intrigue. Stationnant la voiture, les t�moins observent plusieurs minutes trois cercles de lumi�re de couleur jaune-orang� qui se d�placent en silence.
La description du ph�nom�ne : 3 boules orang�es se d�pla�ant pendant quelques minutes dans le sens du vent (l�ger vent d'ouest ce soir l�, voir relev� m�t�o) correspond tout � fait aux caract�ristiques des lanternes tha�landaises ; le r�cit des t�moins donne des d�tails qui renforcent cette hypoth�se : ""pourvues d'un anneau"", ""couleur jaune-orang�, comme une flamme de briquet"". L'heure (19h46) et le jour(dimanche) ne sont pas habituels, mais il pouvait s'agir d'un essai en vue d'un plus grand l�cher pr�vu pour les f�tes de fin d'ann�e.
Bien que le t�moin n'approuve pas cette hypoth�se, ce cas est class� ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observations des d�placements silencieux de trois boules lumineuses couleur jaune-orang�. Probable lanternes thailandaises.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-12-01960
2356;"RENTREE ATMOSPHERIQUE (975) 23.12.2008";France;FR;"(N) National";2008;12;23;"Le 23 d�cembre 2008 plusieurs t�moins situ�s dans diff�rents d�partements de France observent le passage bref d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel nocturne. Quatre t�moignages sont recueillis.
Les 4 t�moignages de ce jour-l� (Labarthe-Inard (31), Aureil (87), Roquelaure (32), Le Vigean (86)) vont dans le sens d'une observation de bolide (aspect visuel, bri�vet� de 1 � quelques secondes).
Les informations disponibles d'azimut et d'�l�vation (de pr�cision variable selon les t�moignages) permettent de d�finir une zone de recouvrement situ�e a priori dans le nord de l'Espagne (voir le doc powerpoint de repr�sentation des 4 t�moignages et le document de synth�se bolide).
Le seul aspect non coh�rent se situe au niveau de l'information concernant le cap (c'est � dire la direction de d�placement). Le t�moin au Vigean indique Nord-Sud alors que les 3 autres indiquent Est-Ouest. Mais cela est assez fr�quent en mati�re d'observation de bolide av�r� d'avoir des non-correspondances en Cap en raison de la bri�vet� de l'observation (encore compatible avec un bon relev� de position dans le ciel mais moins de son cap).
On peut aussi signaler que 3 observateurs situent l'observation proche de 22H quand l'un d'eux (Aureil (87)) mentionne 21H. Il est difficile 7 ans apr�s de faire lever cette discordance par un nouvel appel au t�moin.
Le GEIPAN classe ce cas B : observation probable de bolide.";"Observations multiples du passage rapide d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel nocturne : probables observations d'une rentr�e atmosph�rique.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.10;0.00;;;0.88;;0.70;;0.61;0.00;B;A;2008-12-01964
2357;"MACON (71) 26.12.2008";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";2008;12;26;"Un automobiliste et son passager sur l'autoroute A6 sont surpris de constater � deux reprises, la pr�sence dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux stationnaire � environ 30� au-dessus de l'horizon. Le ph�nom�ne dispara�t subitement sans laisser de traces.
D'�tranget� faible, mais relativement pr�cis, ce cas d'observation est class� comme probable observation de reflet du soleil sur des avions � haute altitude.
Ce cas est class� B.";"Observations successives de deux ph�nom�nes lumineux dans le ciel avec disparition soudaine : probable observations de reflets sur A�ronefs.";O;1;;;;;;;;2013-05-03;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-12-01973
2361;"CHARTRETTES (77) 18.12.2008";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2008;12;18;"Le 18 d�cembre 2008 entre 5h 58 et 6h05 un t�moin est intrigu� par un bruit et des lumi�res bleut�es dans le ciel et sur son jardin. L'observation dure une minute. Le t�moin pense que quelque chose survole lentement sa maison. Apeur�e cette personne pr�vient son �poux, alors au rez de chauss�, mais les lumi�res auront disparu entre-temps.
Aucun autre t�moignage dans le secteur ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne et trop peu de pr�cisions sont fournies par le t�moin pour �tayer toute hypoyh�se.
Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation de lumi�res bleut�es.";O;1;;;;;;;;2013-01-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-12-01988
2368;"SAINT-PIERRE (974) 16.12.2008";"La R�union";974;"(D) D�partement";2008;12;16;"Dans la soir�e du 16 d�cembre 2008 entre 20h 45 et 21h deux t�moins observent les d�placements rapides d'un ph�nom�ne lumineux. Une lueur rouge tr�s brillante se d�place silencieusement et selon une trajectoire al�atoire au-dessus de la ville de Saint-Pierre. L'objet est parfois cach� par les nuages. Aucun autre t�moignage ne sera enregistr� sur ce ph�nom�ne ce soir l�. Cependant, dans la m�me p�riode des d�placements de lanternes tha�landaises seront observ�s par de nombreux t�moins � diff�rents endroits de l'�le. Les t�moins ont probablement fait une observation d'une lanterne tha�landaise appel�e �galement � La R�union ""lanterne de vux ou montgolfi�re chinoise"".";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-04-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2008-12-02308
2370;"GRASSE (06) 03.01.2009";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2009;01;03;"Le 3 janvier 2009 � 20h10 un automobiliste et son passager observent la chute rapide d'un point lumineux jaune tr�s clair sans aucune train�e � l'arri�re du ph�nom�ne. Celui-ci dispara�t rapidement derri�re une colline. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu.
Une hypoth�se envisageable serait l'observation d'une rentr�e atmosph�rique, mais en l'absence de retour d'informations plus pr�cises (notamment � le demande de PV), cette observation manque d'informations pour permettre une enqu�te. Le cas est class� ""C"".";"Observation de la chute rapide d'un point lumineux.";O;1;;;;;;;;2012-02-28;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-01-01940
2371;"ERMONT (95) 11.01.2009";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2009;01;11;"Le 11 janvier 2009 � 20h 55 une photographie avec un t�l�phone portable est prise depuis un balcon. D'apr�s le t�moin, la lune est visible sur la partie sup�rieure ainsi qu' un �clairage public sur la partie inf�rieure gauche de la photographie. Par contre un objet inconnu orang� appara�t � droite. Aucune autre information sur l'observation n'a �t� recueillie.";"Objet lumineux orang� sur photographie.";O;1;;;;;;;;2010-04-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-01-01942
2372;"MONTREUX (CH.VD) 01.01.2009";"Savoie (Haute)";VD;"(D) D�partement";2009;01;01;"Le 1er janvier 2009 � 20h plusieurs personnes observent depuis leur balcon les d�placements de lumi�res blanches. Ces lumi�res inhabituelles de l'autre cot� du Lac Leman intriguent les t�moins qui les prennent en photo et les regardent avec une longue vue. � 21h 45 ces lumi�res disparaissent. � la lumi�re du jour et gr�ce aux photographies, les t�moins localisent pr�cis�ment l'endroit de leur observation : il s'agit du PIC de Bor� et pr�cis�ment � l'endroit o� se trouve un remonte pente. La premi�re hypoth�se pos�e par le GEIPAN est que ces lumi�res blanches ont pu �tre confondues avec les phares d'une dameuse en action ce soir l�. Les t�moins donneront par la suite l'explication probable du ph�nom�ne : des ballons lumineux ont �t� utilis�s pour �clairer la piste dans la soir�e de ce 1er janvier 2009. Bien que ce cas d'observation se soit d�roul� en dehors du territoire fran�ais, la proximit� de la fronti�re fran�aise (d�partement Haute-Savoie) et le questionnaire bien document� nous incite � publier ce t�moignage pour information.";"Observation probable de ballons lumineux �clairant une piste de ski.";O;1;;;;;;;;2010-03-31;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-01-01943
2375;"SAINT-GIRONS (09) 15.01.2009";Ari�ge;09;"(D) D�partement";2009;01;15;"Un t�moin observe le 15 janvier 2009 � 10h15, le lent d�placement NE-SE d'un ph�nom�ne blanc de forme lenticulaire.
L'une des hypoth�ses envisag�e �tait celle d'un nuage lenticulaire. Mais aucune enqu�te n'a pu �tre r�alis�e par manque d'informations fournies par le t�moin, malgr� la demande du GEIPAN.
Ce cas est class� ""C"" par manque d'information.";"Observation du lent d�placement d'un objet blanc de forme lenticulaire: manque d'information.";O;1;;;;;;;;2013-01-16;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-01-01947
2376;"REALVILLE (82) 13.01.2009";Tarn-et-Garonne;82;"(D) D�partement";2009;01;13;"Le 13 janvier 2009 � 6h42 un automobiliste sur L'autoroute A20 au niveau de R�aville voit � travers son pare-brise un objet qui passe rapidement � une hauteur de 50 m environ. L'objet a la taille d'un pamplemousse, il est de couleur jaune orang�. Aucun bruit n'est entendu. L'objet s'�teint et aucune train�e n'est remarqu�e.
Malgr� notre demande aupr�s du t�moin, aucun proc�s verbal de gendarmerie ne nous sera adress�.
Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation du passage rapide et silencieux d'un objet jaune-orang�. Il s'�teint et dispara�t.";O;1;;;;;;;;2012-03-26;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-01-01949
2378;"RENTREE ATMOSPHERIQUE (975) 17.01.2009";France;FR;"(N) National";2009;01;" 1";"De nombreux t�moignages pour cette rentr�e atmosph�rique du 17 janvier 2009 vers 17h49 TU sont parvenus au GEIPAN et sur diff�rents sites Internet (voir le fichier du r�seau REFORME Rentr�e Atm 17.01.2009-18h49locales.pdf ).";"Rentr�e atmosph�rique.";O;16;;;;;;;;2011-06-08;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-01-01961
2379;"RENTREE ATMOSPHERIQUE (975) 25.01.2009";France;FR;"(N) National";2009;01;25;"De nombreux t�moignages pour cette rentr�e atmosph�rique d'un m�t�orite (bolide de magnitude -10) du 25 janvier 2009 vers 21h22 TU (22h 22 heure locale) sont parvenus au GEIPAN et sur diff�rents sites internet (voir le fichier du r�seau REFORME : Bolide 25janvier2009_21h22TU.pdf).";"Rentr�e atmosph�rique d'un m�t�orite.";O;3;3;;;;;;;2011-04-15;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-01-01962
2380;"REIMS (51) 25.01.2009";Marne;51;"(D) D�partement";2009;01;25;"Un t�moin rapporte des observations successives (entre le 23 janvier et le le 2 f�vrier 2009) de points lumineux.
Le t�moin a fourni plusieurs dizaines de photos sur lequel s'appuie son t�moignage. Ces photos de nuit sont prises au flash. Aucune d'entre elles ne montre une quelconque �tranget�, mais des orbes (poussi�res �clair�s par le flash) sont visibles sur une grande majorit� d'entre elles. Le t�moin a probablement exag�r� la description et l'interpr�tation de ses observations. Voir un exemple d'orbes et une explication sur /index.php?id=374 Le GEIPAN classe ce cas ""A"": ph�nom�ne parfaitement identifi�.";"Observations de ph�nom�nes lumineux photographi�s : artefacts photographiques.";O;1;;;;;;;;2012-10-23;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-01-01963
2383;"SAINT-QUANTIN-DE-RANCANNE (17) 09.01.2009";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2009;01;09;"Deux t�moins observent le 09 janvier 2009 � 21h29, un objet rond qui semble immobile dans le ciel en direction du S-SE. Un des t�moin constate un changement de couleur.
Un seul t�moignage par mail est enregistr� au GEIPAN. La photo mentionn�e n'est pas jointe au mail.
L'observation pourrait correspondre � l'�toile SIRIUS, observable plein Sud-Est, dont les changements de couleur sont caract�ristiques.
N�anmoins, le manque d'informations recueillies aupr�s du t�moin ne permet pas de valider compl�tement cette hypoth�se.
Ce cas est class� en cat�gorie C : manque d'information.";"Observation d'un objet rond immobile, avec un changement de couleurs : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2013-02-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-01-01968
2386;"STRASBOURG (67) 01.01.2009";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2009;01;01;"Le 1er janvier 2009 aux alentours de 0h40 un t�moin aper�oit derri�re la fen�tre de sa chambre le d�placement d'un ph�nom�ne lumineux. Le t�moin rapporte qu'un point lumineux rouge traverse la couche nuageuse puis descend lentement en courbe et suit une trajectoire horizontale avant de s'immobiliser. Il diminue ensuite d'intensit�, semble remonter dans la couverture nuageuse et disparait. Aucun autre t�moignage ne sera rapport�.
Le GEIPAN a �mis l'hypoth�se que cette observation corresponde au lancement d'une ou 2 fus�es de d�tresse lanc�es � l'occasion de la nouvelle ann�e. Cette hypoth�se est plausible et assez bien compatible avec l'observation et la date d'observation, mais il est hasardeux de la confirmer, faute de photos, vid�os ou de t�moignages suppl�mentaires.
Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation du d�placement particulier d'un ph�nom�ne lumineux rouge dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-01-01990
2388;"MARSEILLE (13) 11.01.2009";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2009;01;11;"Souhaitant envoyer une photographie de Marseille sous la neige � sa petie fille, un t�moin observe sur la photographie un objet circulaire lumineux qu'elle n'avait pas constat� lors de la prise de vue le 11 janvier 2009 entre 16h et 17h.
Il s'agit en fait du reflet du n�on de la cuisine.";"Reflet d'un luminaire sur une photographie.";O;1;;;;;;;;2012-05-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-01-02214
2391;"THIANT (59) 06.01.2009";Nord;59;"(D) D�partement";2009;01;06;"Le 6 janvier 2009 entre 7h35 et 7h39 un t�moin constate une lumi�re vive sur le cot� d'un avion passant � faible altitude. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Du fait de l'absence de date pr�cise des premi�res observations, de l'absence d'autres t�moignages, de l'absence de questionnaire rempli de fa�on pr�cise, de l'absence de contact t�l�phonique, le GEIPAN n'a pu investiguer correctement ce cas. De plus, le d�p�t tardif du t�moignage (quatre mois apr�s les faits) rend impossible la v�rification a�ronautique.
En l'attente d'autres t�moignages �ventuels, ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux pr�s d'un petit avion � faible altitude : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-01-02324
2392;"CHARS (95) 19.01.2009";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2009;01;19;"Le 19 janvier 2009 � 18h46 un t�moin est intrigu� par une clart� jaune clair se d�pla�ant dans le ciel et qui se s�pare en plusieurs lueurs jaune/rouge distinctes. Le ph�nom�ne s'�teint rapidement. L'observation a dur� entre 10 et 15 secondes.
Les caract�ristiques rapport�es par le t�moin laissent peu de doute quant � la nature du ph�nom�ne, conforme � la seconde intuition du t�moin, � savoir l'observation d'un bolide, d� � une probable chute de m�t�oro�de, ou de d�bris spatial.
Ce cas est class� B comme l'observation probable d'un bolide (chute de m�toro�de, ou de d�bris spatial) .";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux qui se scindent en plusieurs lueurs : probable observation d'un bolide (chute de m�toro�de ou de d�bris spatial).";O;1;;;;;;;;2012-10-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-01-02353
2393;"ALBIAS (82) 17.01.2009";Tarn-et-Garonne;82;"(D) D�partement";2009;01;17;"Une personne rapporte l'observations de deux ph�nom�nes, qu'elle ne s'explique pas, vus la m�me nuit.
Le premier ph�nom�ne observ� (0h30 locale) corespond probablement � l'observation de la Lune visible � l'Est, �clair�e � 60% dans une phase gibbeuse d�croissante d�crit comme un ""demi-cercle de couleur orang�e sur l'horizon"". La configuration du ciel � ce moment-l� montre bien la Lune dans le secteur du ciel observ�.
Ce cas est class� A comme l'observation de la Lune.
La deuxi�me observation (1h23 locale) est ind�pendante et les caract�ristiques du ph�nom�ne �voquent probablement une observation de lanterne volante.";"Observation de la Lune et probable observation d'une lanterne volante.";O;1;;;;;;;;2011-03-31;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-01-02730
2394;"SAINT-FELIX (74) 25.01.2009";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2009;01;25;"Un t�moin observe le 25 janvier 2009 � 18h30 un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Une lumi�re d'une grande clart� se d�place tr�s vite selon une trajectoire irr�guli�re.
Cette personne a probablement fait une observation d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'une probable rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2011-04-14;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-01-02738
2395;"PORTIRAGNES (34) 25.01.2009";H�rault;34;"(D) D�partement";2009;01;25;"Un automobiliste observe le 25 janvier 2009 vers 18h30 le passage d'un ph�nom�ne rouge avec une longue train�e qui illumine le ciel. Aucun bruit n'est entendu. Le t�moin se dirige vers la plage o� d'autres t�moins comme lui semble avoir vu l'objet tomber dans la mer.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. Toutes ces personnes ont probablement �t� t�moins d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation d'une probable rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2011-04-15;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-01-02739
2396;"GRASSE (06) 17.01.2009";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2009;01;17;"Le 17 janvier 2009 � 21h05, un t�moin observe depuis chez lui le lent et silencieux d�placement d'une lumi�re rouge vive au-dessus de Grasse. Le ph�nom�ne lumineux fait ensuite une ascension rapide avant de disparaitre dans le ciel.
Ce cas d'observation, de faible �tranget� mais tr�s exhaustivement d�crit par le t�moin, pr�sente toutes les caract�ristiques d'une lanterne Tha� : couleur rouge, halo, d�placement selon le vent, dur�e de quelques minutes, un samedi (proche du nouvel an chinois).
Ce cas est class� ""B"" observation probable de lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement silencieux d'un ph�nom�ne lumineux rouge vif : probable observation du passage d'une lanterne thailandaise";O;1;;;;;;;;2013-03-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-01-02740
2397;"ISTRES (13) 25.01.2009";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2009;01;25;"Le 25 f�vrier 2009 vers 19h plusieurs personnes observent depuis leur domicile un ph�nom�ne lumineux dans le ciel qui les intrigue. Un des t�moin filmera le ph�nom�ne qui appara�t lors des zooms comme une boule lumineuse avec un halo bleu et d�crivant des mouvements circulaires. Le t�moin principal indiquera le renouvellement du ph�nom�ne en d�but de nuit les jours suivants.
Le ph�nom�ne observ� (plusieurs jours d'affil�e) et film� (pendant plusieurs minutes) n'est autre que la Plan�te V�nus, conclusion figurant dans le PV de gendarmerie et reconnue par le t�moin principal. La plan�te V�nus tr�s lumineuse (magnitude -4.5) �tait bien dans le secteur du ciel observ� et film� par le t�moin.";"Observation astronomique de V�nus.";O;1;;;;;;;;2011-04-29;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-01-02741
2398;"SAINT-NICOLAS-LEZ-ARRAS (62) 06.01.2009";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2009;01;06;"Le 06 janvier 2009 � 20 heures et � son domicile, un t�moin observe dans le ciel le d�placement � vitesse rapide de deux ronds, de couleur jaune-orang� qui se dirigent en direction de Cambrais.
Le t�moin rapporte son observation au t�l�phone au GEIPAN ; il refusera de se rendre � la gendarmerie.
De part les informations succinctes donn�es par le t�moin aucune hypoth�se ne peut �tre envisag�e.
Ce cas est class� en cat�gorie C : manque d'information.";"Observation dans le ciel du passage rapide de deux ronds de couleur jaune-orang� : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2013-01-24;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-01-08361
2402;"BLAGNAC (31) 06.02.2009";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2009;02;06;"Un t�moin rapporte succinctement une observation de 3 � 4 minutes d'un point lumineux alternant du jaune au rouge dans le ciel de Blagnac. Disparition progresive au-dessus de la for�t de Bouconne.
Le t�moin n'a pas donn� suite � la demande de PV, ce qui a rendu toute enqu�te significative impossible.";"Observation du passage rapide d'un point lumineux alternant du jaune au rouge. Vitesse tr�s rapide.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-02-01981
2403;"CLERMONT-L'HERAULT (34) 05.02.2009";H�rault;34;"(D) D�partement";2009;02;05;"Un t�moin observe le 11 f�vrier 2009 � 10h une boule de feu en trajectoire descendante dans le ciel couvert.
La gendarmerie avertie ne constatera aucun incendie ou d�bris de mat�riaux sur la zone de chute d�finie. Aucune atteinte aux biens ou aux personnes n'a �t� rapport�e dans la zone concern�e et aucun autre ph�nom�ne de ce type n'a �t� recens� le jour m�me.
Le t�moignage succint d�crit une ""boule de feu ,sans couleur ni brillance qui descendait comme un parachute"". Ces caract�ristiques correpondent � l'observation probable d'une rentr�e atmosph�rique.";"Probable observation d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2011-03-31;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-02-01983
2404;"MARSEILLE (13) 04.02.2009";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2009;02;04;"Un t�moin rapporte deux observations faites depuis sa cuisine au 9eme �tage en direction du Nord-Ouest.
Le 4 f�vrier 2009 � 2h45, le t�moin observe les d�placements particuliers de formes de couleur qui disparaissent rapidement � l'horizon. Le 8 f�vrier 2009 � 6h45, le t�moin et son fils constatent le d�placement ascendant puis descendant d'une sph�re rouge orang�.
Le premier PAN observ�, de couleur rouge orang�e, traverse le champs de vision du t�moin du Sud Est vers le Nord Ouest, soit dans la direction du vent : une lanterne festive (dite ""lanterne Tha�"") peut �ventuellement expliquer cette observation. Le deuxi�me PAN observ� se d�voile exactement dans la direction de la Lune, laquelle n'a pas �t� mentionn�e par le t�moin. L'aspect rouge et changeant aura confondu le t�moin, � cette heure avanc�e de la nuit. Pour l'observation principale (PAN n�2), le GEIPAN classe cas � A � : observation de la Lune � son coucher, partiellement occult�e par des nuages. Pour les autres observations, ce seraient des classements � C � par manque d'informations.";"Observations successives de d�placements de formes de couleur rouge orang� et lumineuses.";O;1;;;;;;;;2012-11-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-02-01985
2405;"[N88] de RODEZ (12) vers ALBI (81) 20.02.2009";Aveyron;12;"(D) D�partement";2009;02;20;"Le vendredi 20 f�vrier 2009 aux alentours de 7h du matin un automobiliste observe dans le ciel le passage NO-SE d'un ph�nom�ne lumineux de couleur bleu/vert.
Il ne nous a pas �t� possible de recouper ce t�moignage avec la base de donn�e des observateurs amateurs de m�t�ores, ni dans celle du r�seau fran�ais des d'observation de m�t�ores. N�anmoins les caract�ristiques rapport�es par le t�moins sont en tous points conformes � une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de.
Ce cas est class� B comme l'observation probable d'un bolide (chute de m�t�oro�de).";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux de couleur : probable observation d'un bolide (chute de m�t�oro�de).";O;1;;;;;;;;2012-10-11;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-02-01995
2406;"RENNES (35) 15.02.2009";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2009;02;15;"Le dimanche 15 f�vrier 2009 vers 20h, deux personnes en voiture aper�oivent dans le ciel un ph�nom�ne lumineux en forme de boule orange se d�pla�ant assez rapidement. L'observation dure quelques secondes avant que le ph�nom�ne ne disparaisse.
Ce cas aurait pu �tre rapproch� de Hautefort le m�me jour, quasiment � la m�me heure (30 minutes avant), mais le t�moin n'a pas rempli de questionnaire et nous n'avons aucun d�tail pour conclure quoique ce soit.
Le t�moigange �voque une probable rentr�e de bolide (chute de m�t�orite) mais nous n'avons pas la direction de la trajectoire suivie par le ph�nom�ne.
Ce cas est class� ""C"" par manque d'informations.";"Observation du d�placement rapide d'une boule lumineuse orang�e : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-03-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-02-01996
2407;"BASSE-HAM (57) 28.02.2009";Moselle;57;"(D) D�partement";2009;02;28;"Le 28 f�vrier vers 21h45 un t�moin regarde le ciel et voit soudain une boule de feu suivie d'une flamme jaune traverser horizontalement le ciel d'Ouest en Est. L'observation dure deux � trois secondes.
Malgr� le manque d'informations, les caract�ristiques d�crites correspondent � une probable rentr�e atmosph�rique.";"Probable observation d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2012-02-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-02-02205
2409;"MUREAUX (LES) (78) 27.02.2009";Yvelines;78;"(D) D�partement";2009;02;27;"Un t�moin observe dans le ciel, le 27 f�vrier 2009 vers 20h48 les d�placements silencieux de deux lumi�res rouges �voluant en cercle puis s'�loignant en direction du Sud.
Le t�moin rapportera une autre observation faite le 15 ao�t 2009.
L'observation d�crite par le t�moin est tout � fait compatible avec l'aspect de deux avions militaires volant en formation.
Ce cas est class� B comme l'observation probable d'une patrouille d'avions militaires.";"Observation du d�placement particulier et silencieux d'un ph�nom�ne lumineux rouge : probable observation d'avions en formation.";O;1;;;;;;;;2012-10-15;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-02-02207
2410;"SAINT-CYPRIEN (66) 11.02.2009";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2009;02;11;"Le 11 f�vrier 2009 vers 20h20 un t�moin observe plein Ouest une �toile particuli�rement brillante. Vu aux jumelles puis au zoom du camescope, l'objet intrigue le t�moin. A quelques jours d'intervalle et dans un autre lieu, le t�moin fera une observation similaire. Le t�moin a observ� � l'il nu puis avec son camescope la plan�te V�nus particuli�rement visible en cette p�riode de l'ann�e.";"Observation astronomique de V�nus.";O;1;;;;;;;;2010-06-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-02-02234
2412;"HAUTEFORT (24) 15.02.2009";Dordogne;24;"(D) D�partement";2009;02;15;"Le 15 f�vrier 2009 vers 19h30 un t�moin observe le passage rapide d'un ph�nom�ne blanc et lumineux � basse altitude. Le ph�nom�ne disparait cach� par le paysage. Aucun bruit particulier n' a �t� entendu durant l'observation de moins de cinq secondes.
Nous interpr�tons la description donn�e par le t�moin d'une lumi�re en forme de t�tard comme un objet brillant suivi d'une tra�n�e. La tr�s courte dur�e d'observation associ�e � une trajectoire lin�aire indique une tr�s probable observation de rentr�e atmosph�rique de bolide.
Ce cas de faible �tranget� et de faible consistance, est class� ""B"" : probable m�prise avec une rentr�e de m�t�oro�de.";"Observation du passage rapide d'une lumi�re blanche tr�s lumineuse : probable observation d'une rentr�e de m�t�oroide.";O;1;;;;;;;;2013-02-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-02-02257
2413;"VILLEDIEU-DU-CLAIN (LA) (86) 15.02.2009";Vienne;86;"(D) D�partement";2009;02;15;"Le 15 f�vrier 2009 entre 22h20 et 22h30, une personne est intrigu�e par un bruit strident aigu qui s'arr�te brutalement. Rejoint par son mari, le couple observe alors par la fen�tre, le passage rectiligne dans le ciel d'un objet incandescent rouge puis orang�. L'objet prend une trajectoire descendante et sera rapidement cach� par la v�g�tation.
La gendarmerie menera une enqu�te aupr�s de diff�rents organismes de surveillance du ciel : aucun incident ou perte brutale d'altitude n'ont �t� constat�s la nuits des faits.
Ce cas pr�sente une certaine �tranget� mais il est diffcile d'aller au-del� de l'enqu�te men�e par la Gendarmerie.
La dur�e d'observation semble trop longue pour un bolide r�sultat d'une chute de m�t�oro�de, et une rentr�e atmosph�rique de d�bris spatial d'Est en Ouest est tr�s improbable. Le bruit entendu de l'int�rieur d'une maison est l'�l�ment le plus troublant et que nous ne pouvons rapprocher d'aucune hypoth�se habituelle.
Ce cas est class� ""C"" par manque d'information.";"Observation du passage d'un objet incandescent dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-03-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-02-02283
2414;"BRIENNE-LE-CHATEAU (10) 05.02.2009";Aube;10;"(D) D�partement";2009;02;05;"Le 5 f�vrier 2009 entre 20h45 et 21h00, un automobiliste observe une lueur intense dans le ciel. Intrigu�, il se gare et prend des clich�s du PAN avec son appareil photo. L'observation dure entre 10 � 12 minutes pendant lesquelles le PAN semble stationnaire. L'observation du PAN fera l'objet d'articles de presse dans les journaux L'Est Eclair et Lib�ration Champagne.
D'�tranget� faible, mais de consistance suffisante (nombreux d�tails coh�rents et pr�cis permettant de cr�dibiliser le cas, photos), ce cas s'av�re �tre une m�prise classique avec un objet astronomique parfaitement connu : la plan�te V�nus.
De plus, V�nus �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e alors que le t�moin n'en fait pas mention, et elle �tait particuli�rement brillante.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (�tonnement, conduite de nuit).
Ce cas est class� A, m�prise avec la plan�te V�nus.";"Longue observation d'une lueur tr�s brillante et stationnaire : m�prise avec la plan�te V�nus.";O;1;;;;;;;;2014-11-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-02-02285
2415;"PEINTURES (LES) (33) 28.02.2009";Gironde;33;"(D) D�partement";2009;02;28;"Un t�moin rapporte plusieurs observations de ph�nom�nes lumineux ovoides se d�pla�ant en va et vient dans le ciel. Toutes ces observations ont lieu entre 2h15 et 3h50 du matin.
La r�ception tr�s tardive du PV de gendarmerie ne rend plus l'enqu�te possible entre autre pour la recherche d'avions ou d'h�licopt�res �ventuellement pr�sents � cet instant sur zone.";"Observations multiples de d�placements rapides de ph�nom�nes lumineux dans le ciel. Manque d'information.";O;1;;;;;;;;2012-05-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-02-02407
2416;"MEYZIEU (69) 03.02.2009";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2009;02;03;"Le GEIPAN est contact� par mail le 7 juillet 2010 par le t�moin qui d�crit bri�vement un cas d'observation ancien, survenu le 3 f�vrier 2009 entre 19h et 19h15. Le t�moin marchant dans une rue est intrigu� par le passage de plusieurs lumi�res ovoides et de couleur orange qui se d�placent silencieusement en formant un triangle. Le t�moin perd de vue le ph�nom�ne qui s'�loigne progressivement.
D'�tranget� assez faible en premi�re lecture (on pense imm�diatement � un l�cher de lanternes Tha� lors de festivit�s cons�cutives au nouvel an chinois d�marr� le 29 janvier), ce cas d'observation s'av�re plus complexe puisque les lumi�res observ�es se d�placent contre le vent.
La consistance du t�moignage reste toutefois faible en raison des multiples impr�cisions du t�moignage et de l'important �cart temporel entre le d�p�t de ce dernier et les faits (17 mois), ce qui interdit toute requ�te aupr�s du contr�le a�rien.
Ce cas est class� C faute d'informations compl�mentaires.";"Observation du passage silencieux de plusieurs lumi�res oranges formant un triangle : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-02-02596
2417;"AUSSOIS (73) 28.02.2009";Savoie;73;"(D) D�partement";2009;02;28;"Le 28 f�vrier 2009 entre 18h30 et 19h35 des personnes dans une station de ski constatent, depuis diff�rents endroits, la pr�sence de deux lumi�res de forme sph�rique mais de tailles diff�rentes. Les observations se font � distance importante mais les t�moins constatent le d�placement de ces sph�res brillantes dans le massif montagneux. De nombreuses photos et vid�os du ph�nom�ne ont �t� faites avant que les lumi�res ne disparaissent.
Cette observation a �t� rapport�e tr�s tardivement au GEIPAN (04 mars 2011) � travers un questionnaire et un nombre de photos tr�s important. Sans mener une enqu�te approfondie, la reconstitution de l'observation � partir de 2 des photos (IMG_0114 et IMG_0105) situe le ph�nom�ne (""2 boules lumineuses"") sur le versant de la montagne au niveau des pistes de ski. La p�riode d'observation correspond � la pleine saison de ski.
L'hypoth�se de l'observation des phares/projecteurs (une des 2 boules) d'un engin d'entretien des pistes de ski (dameuse) et d' un ballon �clairant gonflable (technique couramment utilis�e) est probable.";"Observation de deux objets lumineux dans un massif montagneux.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-02-02717
2418;"SAINT-NAZAIRE (44) 05.02.2009";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2009;02;05;"Le 5 f�vrier 2009 vers 19h00, deux personnes en voiture observent au-dessus de la 4 voies, trois lumi�res bleu, blanc, rouge qui forment un triangle flottant � 30 ou 40 m de haut et qui se d�pla�ent lentement. Le Geipan r�ceptionne un seul t�moignage par mail.
L'observation a �t� faite � travers un pare-brise de voiture en d�placement.
Les conditions m�t�o ""il pleuvait des cordes"" ne permettent pas d'�carter l'hypoth�se de ""reflets"". Aucun retour n'a �t� fait par le t�moin sur les demandes d'informations compl�mentaires GEIPAN (notamment de PV).
Toute enqu�te est donc impossible : manque d'informations.";"Observations d'un d�placement tr�s lent, de trois lumi�res bleu, blanc et rouge, chaque couleur formant un triangle : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2012-11-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-02-08354
2419;"SAINT-MARTIN-L'ARS (86) 17.03.2009";Vienne;86;"(D) D�partement";2009;03;17;"Le 17 mars 2009 vers 20h10 un t�moin observe le d�placement EST/NORD-EST de deux disques lumineux blancs qui semblent reli�s par une masse.
Le jour, � l'heure de l'observation, la navette spatiale �tait en phase d'approche de la Station Spatiale Internationale (ISS). Le t�moignage est coh�rent avec l'observation de cet ""attelage"".
Ce cas est class� ""A"" : observation de la navette approchant de l'ISS.";"Observation de la navette spatiale am�ricaine approchant l'ISS.";O;1;1;;1;;;;;2012-04-30;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-03-02235
2420;"SAVIGNE-SUR-LATHAN (37) 17.03.2009";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2009;03;17;"Le 1er jour, � l'heure de l'observation, la navette spatiale �tait en phase d'approche de la station internationale.
Le lendemain, la navette avait rejoint l'ISS. Le t�moignage est coh�rent avec l'observation de cet ""attelage"", si ce n'est que le t�moin d�crit un changement de direction : comme ce changement de direction a eu lieu derri�re un masque (chemin�e), on peut penser � une mauvaise estimation de la direction du d�placement. Les changements de luminosit� et d'aspect sont normaux : la r�flexion du soleil varie lors du passage, et l'approche de l'horizon rougit l'aspect de tous les objets lumineux.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable de la navette spatiale et de l' ISS.";"Observation du passage de deux points lumineux : probable observation de la navette spatiale et de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2012-04-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-03-02236
2422;"SAINT-EGREVE (38) 17.03.2009";Is�re;38;"(D) D�partement";2009;03;17;"Le 17 mars 2009 un t�moin � 2h20 observe un point lumineux pr�s de la Lune qui l'intrigue. A son travail et avec des coll�gues il fait encore plusieurs cette observation. L'intensit� du point lumineux disparait avec le lever du jour. La position du point et son d�placement intriguent les t�moins.
La configuration astronomique montre clairement que les t�moins ont observ� l'�toile ANTARES. Cette �toile ""suit"" la Lune et semble tourner autour de celle-ci comme d�crit par un des t�moins. Ce mouvement apparent naturel est simplement d� � l'�loignement respectif de l'�toile et de la Lune et au mouvement de rotation de la Terre.";"Longues observations d'un point lumineux semblant suivre la Lune : observations astronomiques d'Antares.";O;2;;;;;;;;2017-08-30;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-03-02238
2423;"SAINT-PAUL (974) 21.03.2009";"La R�union";974;"(D) D�partement";2009;03;21;"Le 21 mars 2009 au soir dans un ciel d�gag� et sans nuage, un t�moin se fait prendre en photo. En visionnant la photo num�rique, le t�moin est intrigu� par une t�che blanche dans le ciel sur la photographie.
Du fait qu'il n'y a pas eu d'observation directe lors de la prise de vue, l'hypoth�se privil�gi�e est le passage d'un insecte voir d'un petit oiseau proche du sujet au moment de la prise de vue avec flash. L'insecte aura �t� violemment �clair� par le flash.
Ce cas est class� en ""B"" : probable passage d'insecte dans le champ de vue de l'appareil photographique.";"Constatation d'une t�che lumineuse blanche sur photographie sans observation directe : probable passage d'insecte.";O;1;;;;;;;;2013-02-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-03-02239
2426;"MACON (71) 18.03.2009";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";2009;03;18;"Un t�moin observe vers 20h45 le 18 mars 2009 une dizaine de boules lumineuses traversant le ciel direction Sud/Nord suivant la Sa�ne.
Les caract�ristiques de l'observation (10 boules lumineuses) correspondent au ph�nom�ne connu des lanternes volantes.
En l'absence d'informations compl�mentaires demand�es, cette hypoth�se ne peut �tre valid�e.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'une dizaine de boules lumineuses dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-03-02248
2427;"ESCHBACH (67) 30.03.2009";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2009;03;30;"Le 30 mars 2009 � 11h 50, un t�moin observe la pr�sence dans le ciel d'avions de chasse. Soudain un bruit m�tallique sourd se fait entendre. Le t�moin aper�oit alors une sph�re de couleur gris-blanc m�tallique stationnaire dans le ciel. La taille est plus importante que les avions. Cette sph�re dispara�t pour r�apparaitre quelques secondes plutard. Le t�moin effray� rentre alors chez lui.
Cette observation de 2009 peu document�e a �t� soumise tardivement � l'analyse du coll�ge d'experts travaillant avec le GEIPAN.
La corr�lation entre le bruit �voqu� par le t�moin et l'observation n'est pas �vidente. Les donn�es de navigation a�rienne ne sont pas disponibles (manuvres militaires? Mouvements a�riens?...) bien que l'observation ait �t� effectu�e dans l'axe de la piste de la base a�rienne proche et qu'il est fr�quent que des avions militaires sortent 'v�rifier' des objets volants dans leur espace a�rien.
En l'absence d'enqu�te pouss�e, ce cas, peu consistant et sans caract�re d'�tranget�, est class� en cat�gorie ""C"".";"Observation d'une sph�re immobile dans le ciel. Bruit sourd m�tallique entendu juste avant l'observation.";O;1;;;;;;;;2012-02-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-03-02249
2428;"AOUSTE-SUR-SYE (26) 14.03.2009";Dr�me;26;"(D) D�partement";2009;03;14;"Le samedi 14 mars 2009 entre 22h et 22h05, une personne sur sa terrasse est intrigu�e par le d�placement r�gulier S-N d'un groupe de lumi�res d�limitant une ""forme en V"". L'observation est tr�s rapide et le t�moin ne remarque aucun bruit particulier.
L'hypoth�se la plus acceptable (avion � basse altitude, ou formation d'avions militaires) convient mal (aspect, silence) ; le GEIPAN n'a pu faire � temps les demandes de v�rification aupr�s du contr�le a�rien. Une enqu�te de terrain men�e plusieurs ann�es apr�s ne ram�nerait que tr�s peu d'informations fiables.
Faute de ces v�rifications, ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation du d�placement silencieux S-N de lumi�res d�limitant une ""forme en V"" : manque d'informations";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-03-02250
2429;"ILE-D'YEU (L') (85) 17.03.2009";Vend�e;85;"(D) D�partement";2009;03;17;"Un t�moin rapporte l'observation du lent passage de deux points lumineux dans le ciel. Ils se d�pla�ent en direction du Sud, en parall�le et conservant la m�me distance entre eux. Aucun bruit n'est entendu durant la courte observation avant que les objets ne disparaissent.
Le jour et � l'heure de l'observation, la navette spatiale �tait en phase d'approche de la station internationale. Le t�moignage est coh�rent avec l'observation de cet ""attelage"". On note toutefois que la direction d�crite par le t�moin (vers le Sud) n'est pas coh�rente avec la direction ""Pointe des corbeaux"" qu'il indique aussi, et qui est E-SE, conforme � la trajectoire de l'ISS (voir carte). Ce cas est class� ""A"" : observation de la navette spatiale + ISS";"Observation de la navette spatiale et de la station spatiale internationale (ISS)";O;1;;;;;;;;2012-05-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-03-02252
2430;"SAINT-REMEZE (07) 25.03.2009";Ard�che;07;"(D) D�partement";2009;03;25;"Le 25 mars 2009 entre 8h43 et 8h44 deux promeneurs observent le d�placement � basse altitude d'une boule blanche de grande taille et qui disparait derri�re le massif montagneux de la Dent de Rez.
Le t�moin pr�cise par courrier du 3/4/2009 que ce qu'il a pris en photo est bien une boule de signalisation, mais qu'il a vu autre chose : ceci pourrait �tre V�nus, pr�sente pr�s de l'horizon Est ce jour l�. Une r�elle mesure du d�placement par alignement sur des objets fixes aurait permis de lever ce doute. Mais comme le point d'observation n'est pas connu pr�cis�ment, cette hypoth�se ne peut �tre confirm�e.";"Observation du d�placement d'une boule blanche.";O;1;;;;;;;;2011-09-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-03-02254
2432;"VIANNE (47) 03.03.2009";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";2009;03;03;"Le 3 mars 2009 aux alentours de 20h30 quatre personnes en voiture sur une route de campagne, sont intrigu�es par le lent d�placement de trois lumi�res clignotantes et de couleurs dans le ciel d�limitant un objet triangulaire. L'objet � basse altitude disparait derri�re une colline ; aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation. Un seul t�moignage est rapport�.
Du fait de son d�placement lin�aire, et de son aspect en partie semblable � un avion (feux clignotants et feu rouge), le ph�nom�ne est consid�r� peu �trange. Il est possible que la forme de triangle �voqu�e par le t�moin ne soit que la forme minimale qui englobe les 3 points lumineux. Comme le t�moignage est arriv� plus d'un mois apr�s les faits, les archives de traces radar de l'aviation civile ou militaire ne sont plus accessibles.
L'impr�cision du t�moignage quant � l'orientation de la trajectoire et la taille du ph�nom�ne par rapport � des rep�res connus ne permet pas de conclure quant � sa nature exacte.
Pour ces diverses raisons,ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation du lent et silencieux d�placement d'un objet triangulaire noir d�limit� par des lumi�res de couleur et clignotantes : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-03-02258
2433;"SAVIGNAC-LES-EGLISES (24) 15.03.2009";Dordogne;24;"(D) D�partement";2009;03;15;"Le 15 mars 2009 vers 22h15 un t�moin est intrigu� par la vue d'un cercle tr�s lumineux ionis� immobile au-dessus du fa�tage du toit de sa maison. Cet objet dispara�t apr�s une r�duction rapide. Aucun bruit n'est entendu durant cette observation d'environ 4 secondes.
Aucun autre t�moignage ni activit� festive sur la commune n'a �t� signal�.
On remarque que la plan�te Saturne est tr�s proche de la direction indiqu�e, et qu'elle �tait particuli�rement brillante � cette p�riode (magnitude 0,64, c'est-�-dire un peu plus brillante que les �toiles de la Grande 0urse). Toutefois, le t�moin d�crit un disque, alors que Saturne appara�t ponctuel � l'il nu, pour un t�moin qui a une tr�s bonne vue. La disparition pose aussi question, mais on voit sur la photo du lieu d'observation qu'il y a un arbre entre l'observateur et le ciel, un d�placement du t�moin ou d'une branche ont pu cr�er une occultation de la plan�te. Ces deux interrogations font que ce cas est class� en C.";"Observation rapide d'un disque lumineux. Aucun bruit.";O;1;;;;;;;;2012-05-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-03-02273
2434;"HAYANGE (57) 22.03.2009";Moselle;57;"(D) D�partement";2009;03;22;"Le 22 mars 2009 vers 20h45, deux personnes sont intrigu�es par une boule jaune passant silencieusement et � basse altitude dans le ciel. Les t�moins observent le ph�nom�ne qui commence � zigzaguer lat�ralement et rapidement par �-coups, devenir orange puis disparait rapidement. Un seul t�moignage sera recueilli.
Hormis les changements de direction, le t�moignage ressemble fortement � l'observation d'une rentr�e atmosph�rique de d�bris de satellite ou de m�t�oro�de, ou de lanterne festive.
Nous avons ici une observation d'un niveau d'�tranget� moyen, mais la consistance de l'ensemble ne permet pas une classification D1.
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupement.";"Observation du d�placement silencieux d'une boule lumineuse jaune-orang� et disparition brutale : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-03-02277
2435;"MARSEILLE (13) 30.03.2009";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2009;03;30;"Une personne t�moigne et d�pose en gendarmerie deux vid�os prises par une station automatique d'enregistrement vid�o le 30 mars 2009 � 14h38. Sur la premi�re s�quence film�e � 14h34 (vid�o M20090330_123414_LINER) on voit les traces de passage d'un appareil de ligne et sur la deuxi�me (vid�o M20090330_123824_PAN) on constate le passage d'un objet scintillant inconnu.
Ce rare cas d'enregistrement vid�o (M20090330_123824_PAN) d'une tra�n�e lumineuse de jour fait penser � un m�t�ore.
On note toutefois que sa vitesse apparente (vitesse angulaire) para�t lente pour un m�t�ore, compar�e � la vitesse angulaire de celle de l'avion de ligne prise avec le m�me appareil.
On peut expliquer cette relative lenteur ainsi : comme il fait jour et que le ciel est partiellement couvert, on ne peut observer que la partie la plus lumineuse de la trajectoire, qui est la fin de la trajectoire d'un m�t�ore, lorsque l'objet est le plus ralenti par l'atmosph�re. Autre incertitude sur cette hypoth�se de m�t�ore : elle n'est acceptable que si l'on consid�re la couverture nuageuse suffisamment transparente car le ph�nom�ne lumineux li� � un m�t�ore se situe physiquement au-de l� de 10km d'altitude ; la vid�o de la tra�n�e de l'avion (probablement � plus de 3000 m) semble confirmer cette hypoth�se, mais sans certitude.
Le t�moin enverra au GEIPAN une autre vid�o prise le 4 mai 2009 : elle montre le d�placement selon une trajectoire ascendante d'une boule de lumi�re et pour laquellle le GEIPAN n'a pas pour l'instant d'explications (vid�o M20090504_162251).";"Observation d'un PAN film� par une station automatique d'enregistrements vid�os : probable rentr�e atmosph�rique.";O;2;;;;;;;;2011-12-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-03-02292
2436;"TAURIGNAN-VIEUX (09) 28.03.2009";Ari�ge;09;"(D) D�partement";2009;03;28;"Le 28 mars 2009 � 20h une personne observe dans le ciel (direction Nord) le passage d'un ph�nom�ne lumineux. Elle d�crit une �toile tr�s brillante se d�pla�ant lentement d'Ouest en Est avec une trajectoire courb�e. Ce t�moin a utilis� des jumelles lors de son observation. Aucune autre pr�cision n'a donn�e par le t�moin sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-04-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-03-02293
2437;"JOIGNY (89) 30.03.2009";Yonne;89;"(D) D�partement";2009;03;30;"Le 30 mars 2009 � 17h10 une famille en voiture est intrigu�e par le passage rapide et silencieux d'un ph�nom�ne lumineux qui suit une trajectoire rectiligne dans le ciel. De forme ovo�de, de couleur vert clair et tr�s brillant, le ph�nom�ne est suivi d'une train�e argent�e.
Ce cas d'observation a les caract�ristiques d'un bolide (rentr�e d'un m�t�oro�de dans l'atmosph�re). H�las l'absence d'autres t�moignages ne permet pas de certifier cette hypoth�se.
Ce cas est class� B : observation de bolide, probablement d� � une rentr�e de m�t�oro�de (m�t�orite).";"Observation du passage rapide d'un ph�nom�ne lumineux avec train�e. Disparition subite : probable observation d'un bolide.";O;2;;;;;;;;2012-12-20;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-03-02448
2438;"NOISIEL (77) 13.03.2009";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2009;03;13;"Ce cas correspond � une observation du 13.03.2009 rapport�e au GEIPAN sous forme d'un questionnaire le 06.01.2010, soit 10 mois plus tard. Le 13 mars 2009 vers 19h un t�moin observe le d�placement de trois points lumineux blancs-orang�s qui se d�placent ensemble pour former un triangle �quilat�ral. Un des points lumineux clignote. Durant l'observation aucun bruit particulier n'est entendu. L'ensemble dispara�t rapidement dans les nuages. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne et malheureusement toute recherche de trace radar n'a pu �tre lanc�e du fait du t�moignage tardif. La description du ph�nom�ne (3 points lumineux se d�pla�ant ensemble dont 1 ""clignotant'), la trajectoire d�crite par le t�moin (point 1 et point 2 en bout de piste de l'a�rodrome de Lognes-Emerainville) qui correspond au couloir d'atterrissage � vue de cet a�rodrome, laissent fortement penser � l'observation probable d'un a�ronef en approche de l'a�rodrome.";"Observation du d�placement de trois points lumineux formant un triangle.";O;1;;;;;;;;2010-06-16;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-03-02503
2440;"MILLAS (66) 17.03.2009";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2009;03;17;"Un t�moin rapporte son observation faite le 17 mars 2009 entre 20h10 et 20h15. Il observe en direction du Nord le passage de deux points lumineux blancs se d�placant � vitesse constante d'Ouest en Est et selon une trajectoire rectiligne.
Le jour et � l'heure de l'observation, la navette spatiale �tait en phase d'approche de la station internationale. Le t�moignage est coh�rent avec l'observation de cet ""attelage"". Ce cas est class� ""A"" : observation de la navette spatiale et de l'ISS.";"Observation du passage de la navette spatiale et de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2012-05-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-03-08235
2441;"SAINT-DENIS (93) 04.04.2009";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";2009;04;04;"Le 4 avril 2009 � 11h, deux pi�tons observent dans un ciel nuageux, un objet imposant gris, de forme ovale qui oscille sur son axe. L'observation dure 5 minutes puis les t�moins voient l'objet se d�placer sans entendre le moindre bruit : aucune tra�n�e n'est remarqu�e. L'objet dispara�tra progressivement plein Est.
Le 10 avril, le geipan re�oit un mail d'un journaliste ayant en sa possession une photo anonyme d'un PAN prise d'apr�s lui le 4 avril vers 12 h � Roissy et qu'il cherche � d�crypter.
L'analyse de la photographie montrera que la photo date effectivement du 4 avril 2009 et qu'elle a �t� prise � 9h22. Cependant, une autre enqu�te permettra d'�tablir que la photo n'a pas �t� prise depuis Roissy mais aux environs des taxiways W2, F3 ou V2 du Bourget. En effet, un agrandissement de la photographie permet de voir le logo d'une entreprise qui poss�de un hangar au Bourget.
Enfin l'enqu�te de gendarmerie �tablira que le 4 avril 2009 � 11h, la tour de contr�le de l'a�roport du Bourget a fait �tat de la pr�sence d'un ballon gonflable en forme de soucoupe volante au nord du terrain hors zone a�roportuaire.
L'engin neutralis� et pris en charge par la police nationale territoriale s'av�re �tre un ballon de 20m de diam�tre pr�vu pour une animation lors d'une manifestation sportive au Stade de France.";"Observation du passage d'un ballon ovo�de gonfl� � l'h�lium.";O;2;;;;;;;;2011-05-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-04-02259
2442;"NOYERS-SUR-JABRON (04) 15.01.2009";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";2009;01;15;"Le 15 janvier 2009 � 20h30, un t�moin observe dans le ciel un point tr�s lumineux.
Aucune enqu�te n'a pu �tre men�e car le t�moin n'a pas r�pondu aux demandes du GEIPAN.
Ce cas est class� en cat�gorie C pour manque d'information.";"Observation d'un point lumineux : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2016-12-14;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-01-01945
2444;"PONTARLIER (25) 09.04.2009";Doubs;25;"(D) D�partement";2009;04;09;"Le 9 avril 2009 en d�but d'apr�s midi, quatre t�moins sur un a�rodrome observent le lent d�placement d'objets blancs et de forme sph�riques dans le ciel. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. Le ph�nom�ne est progressivement perdu de vue.
Suite au t�moignage de deux personnes et � l'enqu�te, il n'a pas �t� trouv� d'explication formelle � cette observation, mais la piste des ballons scientifiques est privil�gi�e malgr� l'absence de confirmation des services m�t�o et laboratoires suisses.
Le cas est class� ""B"".";"Observation par plusieurs t�moins du d�placement d'objets blancs dans le ciel.";O;2;;;;;;;;2011-11-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.59;0.41;B;B;2009-04-02274
2445;"DIEBLING (57) 01.04.2009";Moselle;57;"(D) D�partement";2009;04;01;"Plusieurs t�moins observent le 1er avril 2009 vers 22h23 le d�placement rectiligne de deux objets sph�riques de couleur rouge vif. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation. Les objets dispara�tont progressivement au loin. Les caract�ristiques d�crites par les t�moins de plusieurs points lumineux se d�pla�ant suivant la m�me trajectoire, en suivant la direction du vent, � faible altitude et � vitesse mod�r�e ( 20km) favorise l' hypoth�se de ballons lumineux volants style lanternes thailandaise. N�anmoins en l'absence de d�position � la gendarmerie et donc de proc�s verbal une enqu�te approfondie n'est pas possible. Ces observations sont donc class�es C par manque d'informations suffisantes.";"Observation du d�placement de deux objets de forme circulaire dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2012-05-16;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-04-02275
2446;"TROIS-ILETS (LES) (972) 20.04.2009";Martinique;972;"(D) D�partement";2009;04;20;"Un t�moin rapporte ses observations successives, au lever du soleil, de la pr�sence d'une lumi�re brillante plein Est dans le ciel. Le t�moin envoie deux photographies.
Apr�s v�rification astronomique, il s'av�re que ce cas d'observation correspond � la plan�te V�nus. Ce cas est donc class� ""A"" comme parfaitement identifi�.";"Observations successives d'une lumi�re tr�s brillante dans le ciel : observation astronomique de la plan�te V�nus";O;1;;;;;;;;2012-10-18;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-04-02298
2447;"CHARTRETTES (77) 22.04.2009";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2009;04;22;"Le 22 avril 2009 � 4h45 du matin un astronome amateur est intrigu� par un objet fixe dans le ciel avec de fortes variations de couleurs (vert, rouge, bleu) et une magnitude variable (forte augmentation puis diminution). L'action a dur� 15 secondes d'apr�s le t�moin.
Cette observation fait nettement penser � un reflet temporaire sur un satellite : flash de satellite Iridium, ou reflet sur un satellite en rotation.
Malgr� ses demandes le GEIPAN n'a pas re�u plus de pr�cisions et ne peut v�rifier cette hypoth�se trop longtemps apr�s les faits.
Ce cas peu �trange est class� ""C"" par manque d'information.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux par un astronome amateur : variations de couleurs et de magnitude. Manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-01-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-04-02299
2448;"RUMILLY (74) 25.04.2009";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2009;04;25;"Un t�moin observe le 25 avril 2009 � 5h10 le passage silencieux SO-NE d'une boule tr�s lumineuse dans le ciel. La trajectoire est rectiligne et la vitesse rapide et r�guli�re. Malheureusement les photographies prises sont inexploitables.
Apr�s v�rification avec les bulletins d'orbite de la station (Space-track), ce cas d'observation correspond sans aucun doute � un passage de la station spatiale internationale (ISS).";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux : observation du passage de la Station Spatiale Internationale (ISS)";O;1;;;;;;;;2012-10-18;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-04-02300
2449;"ROUHE (25) 01.04.2009";Doubs;25;"(D) D�partement";2009;04;01;"Une personne rapporte en octobre 2010 son observation faite le 1er avril 2009.
A 6h45, un t�moin, depuis une fen�tre ouverte, observe dans une trou�e du ciel nuageux et sombre, le passage O-E � trois secondes d'intervalle de trois ph�nom�nes blancs, circulaires identiques en dimensions, vitesse et trajectoire. Une forme rouge fonc� apparait ensuite donnant � penser au t�moin qu'il voit du feu. Le ciel s'�claircit ensuite tr�s rapidement. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu durant l'observation continue d'une vingtaine de secondes. Un seul t�moignage sera recueilli.
L'�tranget� de ce cas est difficile � �valuer compte tenu de la description particuli�re du ph�nom�ne observ�. Sa consistance reste faible en l'absence de recoupements et de t�moignages ind�pendants. N�anmoins, la zone d'observation se situant dans un couloir a�rien militaire tr�s fr�quent�, l'hypoth�se d'a�ronefs militaires est probable mais certains �l�ments restent difficiles � expliquer (absence totale de bruit, fine ligne rouge derri�re le ph�nom�ne). Malheureusement le manque de donn�es disponibles apr�s 3 ans concernant une �ventuelle activit� ne permet pas de conclure avec certitude cette piste.
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Observation dans une trou�e de nuages sombres du passage successifs de trois disques blanc tr�s lumineux puis d'un ph�nom�ne rouge fonc� : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-04-02662
2451;"TEMPLE-SUR-LOT (LE) (47) 17.05.2009";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";2009;05;17;"Le 17 mai 2009 vers 1heure du matin deux personnes constatent dans le ciel la pr�sence d'une dizaine de points lumineux orang�s. Ils semblent venir d'un m�me endroit et prennent tous silencieusement la direction de Grange-sur-Lot. Ils disparaissent � l'horizon. Le t�moin fournira plusieurs photographies de reconstitution et de positionnement. L'enregistrement vid�o n'a malheureusement pas �t� transmis au GEIPAN. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
D'�tranget� relativement faible mais de tr�s bonne consistance gr�ce au t�moignage d�taill�, ce cas d'observation a toutes les caract�ristiques d'une m�prise avec un l�cher de lanternes tha�. L'absence de donn�es m�t�o pr�cises sur le lieu d'observation et les relev�s de la r�gion s'opposent � une conclusion ferme.
Ce cas est class� C : manque d'informations m�t�o pr�cises et de recoupements pour valider l'hypoth�se de lanternes tha�.";"Observation du lent d�placement silencieux de boules lumineuses orang�es : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-08-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-05-02301
2452;"CHALIFERT (77) 02.05.2009";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2009;05;02;"Le 2 mai 2009 entre 23h et minuit, un t�moin dans son jardin observe le passage rapide d' appareils volant � tr�s basse altitude et affichant des lumi�res blanches et rouges.
Aucun autre document ne sera produit malgr� une demande de Questionnaire Terrestre et de d�p�t du t�moignage en Gendarmerie.
Il est tr�s difficile de conclure sur une aussi faible quantit� d'informations. L'�tranget� du cas est relativement faible, de m�me que sa consistance (un seul t�moin, pas de questionnaire d�taill�, pas de photos ni vid�os).
Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation du passage rapide d'appareils volant � tr�s basse altitude et affichant des lumi�res blanches et rouges : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2012-11-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-05-02302
2453;"MAGNY-EN-VEXIN (95) 10.05.2009";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2009;05;10;"Le 10 mai 2009 � 2h58, deux personnes dans un v�hicule observent le passage rapide d'une sph�re blanche entour�e d'un l�ger halo. Le ph�nom�ne se d�place selon une trajectoire rectiligne SO-NE avant de disparaitre compl�tement. L'observation a dur� quelques secondes.
De faible �tranget� et de tr�s bonne consistance, ce cas d'observation a toutes les caract�ristiques d'une rentr�e de m�t�oro�de. L'absence d'autres t�moignages emp�che toutefois une conclusion ferme.
Ce cas est class� B : observation probable d'un bolide (rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de).";"Observations du passage rapide d'une boule lumineuse blanche : trajectoire rectiligne SO-NE. Probable observation d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de.";O;1;;;;;;;;2013-01-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-05-02307
2454;"MONTAIGU (85) 22.05.2009";Vend�e;85;"(D) D�partement";2009;05;22;"Le vendredi 22 mai 2009 vers 23h30 deux t�moins sont intrigu�s par le passage Ouest-Est d'un ph�nom�ne lumineux blanc avec une vitesse r�guli�re. Un des t�moin observera un zig-zag fait par le ph�nom�ne avant que celui-ci ne s'estompe rapidement.
Les t�moins ont selon toute vraisemblance observ� un passage de la Station Spatiale Internationale (ISS) au moment o� elle p�n�trait dans l'ombre de la Terre. Le bref zigzag per�u par un des t�moins au cours de l'observation peut-�tre d� � un ph�nom�ne autocin�tique : concentr� sur le point lumineux qui traverse le ciel, le cerveau a momentan�ment perdu ses rep�res et interpr�t� les mouvements naturels des globes oculaires comme un d�placement du point lumineux lui-m�me.
Ce cas est class� A, observation d'un passage de la Station Spatiale Internationale.";"Observation du d�placement rectiligne Ouest-Est d'un ph�nom�ne lumineux, bref zig-zag avant disparition : passage ISS.";O;2;;;;;;;;2012-12-17;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-05-02309
2455;"SAINT-AVERTIN (37) 30.05.2009";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2009;05;30;"Le samedi 30 mai 2009 vers 2h50 du matin, un t�moin sur sa terrasse observe durant 3 secondes le passage rapide et silencieux d'un objet compos� de trois points lumineux oranges formant un triangle �quilat�ral. Le t�moin distingue entre ces points un halo orange mais de plus faible intensit�. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Ce cas est faiblement �trange compte tenu de sa tr�s courte dur�e et sa trajectoire rectiligne, mais le t�moignage est en revanche tr�s consistant : le t�moin est un observateur exp�riment�, tr�s pr�cis quand il peut l'�tre (direction, vitesse du vent) et s'abstient lorsqu'il ne le peut.
Le t�moignage a plusieurs caract�ristiques des t�moignages de bolides, mais pas suffisamment pour pouvoir affirmer que c'en �tait un. Aucune confirmation au sein de la base BOAM n'a �t� apport�e.
Ce cas est class� C faute d'autres t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Observation du passage � grande vitesse et sans bruit d'un objet form� par trois points lumineux orang�s : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-05-02318
2456;"SEUILLET (03) 03.05.2009";Allier;03;"(D) D�partement";2009;05;03;"Le 3 mai 2009 vers 22h15 un t�moin est intrigu� par le passage silencieux au-dessus de son domicile d'un objet. Des lumi�res blanches cligotantes � chaque coins d�limitent pour le t�moin une forme triangulaire sombre et une lumi�re rouge fixe est �galement aper�ue. Le t�moin appelle alors son conjoint qui ne distinguera que deux lumi�res blanches et une rouge non clignotantes s'�loignant dans le ciel. Le premier t�moin suivra l'objet du regard durant 4 � 5 minutes environ.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. Aucun vol d'avion civil n'est indiqu� sur l'espace a�rien des communes cit�es par le t�moin.
Apr�s enqu�te, au vu du PV de gendarmerie, des �l�ments recueillis, des d�placements effectu�s sur le terrain, de l'audition du t�moin et des recherches faites, ce cas s'av�re d'une part complexe, car on distingue trois phases d'observation pas n�cessairement li�es, et d'autre part s'av�re peu consistant puisque le t�moin, unique, fait un r�cit qi n'est pas toujours coh�rent (le long d�lai de l'enqu�te est bien s�r un facteur important de ce probl�me). On note toutefois le t�moignage de l'�poux, mais qui ne concerne que la fin de l'observation, la moins �trange.
Il est troublant que le t�moin ne mentionne pas la lune, qui �tait pourtant exactement dans son champ d'observation : il est quasi certain que cet astre a particip� � une partie du ph�nom�ne, sans que l'on puisse nettement dire comment. Mais ceci ne peut pas expliquer la lumi�re rouge fixe rep�r�e par les deux t�moins. Un scenario complexe de feu d'artifice, suivi d'une m�prise avec la lune � travers les nuages co�ncidant avec un passage d'avion pourrait s'envisager, mais plusieurs caract�res ne conviennent pas.
Devant ces diverses incertitudes, et sans pouvoir m�me �tablir que ce ph�nom�ne est vraiment �trange, le GEIPAN classe ce cas � C � par manque d'informations fiables.";"Observation du passage silencieux d'un engin volant triangulaire : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-10-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-05-02319
2457;"CUFFIES (02) 19.05.2009";Aisne;02;"(D) D�partement";2009;05;19;"Un t�moin rapporte tr�s succinctement plusieurs observations faites les 13,19 et 22 mai 2009 vers minuit. Il filmera les d�placements d'un ph�nom�ne lumineux. Aucun bruit particulier n'est entendu.
Le GEIPAN a demand� deux fois au t�moin des informations compl�mentaires sur ce cas (lieu pr�cis d'observation en particulier). Ces demandes sont rest�es sans r�ponse.
Faute d'informations pr�cises sur ce cas, le GEIPAN classe ce cas ""C"" : manque d'information.";"Multiples observations de d�placements silencieux de ph�nom�nes lumineux : manque d'informations.";O;1;1;;1;;;;;2012-11-12;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-05-02322
2459;"QUILLAN (11) 28.05.2009";Aude;11;"(D) D�partement";2009;05;28;"Le 28 mai 2009 entre 4h25 et 4h 50 deux t�moins observent un point statique et particuli�rement lumineux dans le ciel. Des photos sont prises du ph�nom�ne dont la luminosit� s'affaiblit avec le lever du jour.
Ces t�moins ont probablement fait une observation astronomique de Jupiter particuli�rement visible en cette p�riode de l'ann�e (magnitude apparente environ -2,5 et diam�tre angulaire environ 40"").";"Probable observation astronomique de Jupiter.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-05-02413
2460;"MENGLON (26) 23.05.2009";Dr�me;26;"(D) D�partement";2009;05;23;"Le GEIPAN est contact� par le t�moin par email le dimanche 28 f�vrier 2010, suite � la diffusion la veille d'une �mission sur TF1. L'observation remonte au samedi 23 mai 2009. Alors en vacances, le t�moin et sa famille ont vu un objet rectangulaire noir �voluer dans leur champ de vision avant de dispara�tre par �loignement en altitude. Le t�moin fera parvenir le Questionnaire Terrestre le 12 mai 2009, soit presque un an apr�s les faits, accompagn� d'un plan de situation incluant la trajectoire de l'objet ainsi qu'un dessin de la forme.
Les caract�ristiques de ce cas d'observation sont peu �tranges, et peu consistantes (un seul rapport d'observation, sans photo).
Le ph�nom�ne observ� est probablement un ballon, mais d'une forme tr�s inhabituelle. De ce fait , et comme l'absence de donn�es m�t�o fiables emp�che de v�rifier que le mouvement du ballon est bien coh�rent avec le vent, le GEIPAN classe ce cas � C � : manque d'informations.";"Observation d'une forme rectangulaire tournant sur elle-m�me et prenant de l'altitude : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-05-02565
2461;"MONETEAU (89) 13.05.2009";Yonne;89;"(D) D�partement";2009;05;13;"T�moignage r�cent (15/03/2011) d'une observation ancienne faite le 13 mai 2009 � 2h du matin durant 5 � 6 secondes.
Un t�moin observe le ciel devant chez lui et voit passer tr�s rapidement un objet silencieux de couleur orange sombre, en forme de V. L'objet n'�met aucun clignotement apparent et disparait rapidement. Le t�moin fera une observation similaire en septembre mais il observera alors deux objets semblables volant ensemble et toujours silencieusement.
Ce cas d'observation est relativement �trange, mais la courte dur�e d'observation, le manque de d�tails d� � un d�p�t tr�s tardif ainsi que l'absence de t�moignages ind�pendants rend sa consistance tr�s faible et interdit toute conclusion.
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"T�moignage r�cent d'une observation ancienne et fugace d'un passage silencieux d'une forme triangulaire de couleur orange sombre dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-05-02721
2462;"CHEMILLE (49) 15.06.2009";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";2009;06;15;"Durant une patrouille le 15 juin 2009 � 22h40, deux militaires aper�oivent le passage silencieux d'une boule verte en trajectoire descendante. Le ph�nom�ne dispara�t brusquement � l'horizon.
Cette observation d'une boule verte tr�s lumineuse se d�pla�ant en ligne droite pendant 5 � 6 secondes correspond au t�moignage classique d'un bolide.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable de la rentr�e d'un m�t�oro�de (m�t�orite) dans l'atmosph�re.";"Observation du passage rapide et silencieux d'une boule verte en trajectoire descendante : probable observation d'une rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de.";O;1;;;;;;;;2012-07-31;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-06-02317
2463;"HURBACHE (88) 01.06.2009";Vosges;88;"(D) D�partement";2009;06;01;"Un t�moin constate sur une de ses photos un point brillant dans le ciel. Aucune observation directe de ce point n'a �t� faite lors de la prise du clich�. Aucun autre t�moignage n'a �t� rapport� sur l'observation du ph�nom�ne.
La tra�n�e verticale est tr�s probablement un artefact de la photo et du traitement dans l'appareil : La photo originale 5512 a subi d�j� un fort traitement dans l'appareil (nettet� augment�e, et fort taux de compression); la photo nomm�e 2009-06-01-Hurbache-01.JPG semble en �tre une version agrandie, o� les d�fauts sont augment�s. Le point lumineux peut venir d'un reflet du soleil sur un avion, un satellite ou un ballon.
Le GEIPAN classe ce cas en B.";"Pr�sence d'une t�che lumineuse sur photographie sans observation directe lors de la prise de vue : probable observation d'un reflet.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-06-02321
2464;"FRANCONVILLE (95) 27.06.2009";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2009;06;27;"Un t�moin rapporte par t�l�phone qu'il a observ� dans la nuit du 27 juin 2009 entre 11h55 et minuit le passage d'une cinquantaine de boules lumineuses orang�es. D'autres t�moins dans son immeuble ont fait, d'apr�s lui, la m�me observation.
Bien que la description de l'observation d'un grand nombre de boules lumineuses couleur orang�e fasse penser � des lanternes lumineuses volantes, une enqu�te est impossible par manque d'informations suppl�mentaires (pas de questionnaire rempli, ni PV) malgr� les relances faites au t�moin.";"Observation du d�placement d'une cinquantaine de boules lumineuses orang�es.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-06-02327
2465;"ELANCOURT (78) 28.06.2009";Yvelines;78;"(D) D�partement";2009;06;28;"T�moignage par mail d'une observation par plusieurs t�moins de plusieurs lumi�res (environ 7 � 8) � 1h15 dans la nuit d'un samedi � dimanche.
Le t�moin principal ne souhaite pas remplir le questionnaire propos� par le Geipan, ni m�me aller faire une d�claration en gendarmerie.
Toute enqu�te est impossible par manque d'informations plus pr�cises. Observation class�e C par manque d'informations.";"Observation de lumi�res dans la nuit.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-06-02328
2466;"ORGON (13) 18.06.2009";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2009;06;18;"Le 18 juin 2009 entre 23h59 et 00h13 un astronome amateur photographie l'amas d'�toiles M13. Il est ensuite �tonn� de constater sur plusieurs de ses photographies un point avec un trait rouge qui semble indiquer le mouvement d'un objet. Le t�moin n'a pas fait d'observation directe. Il transmettra les photos brutes originales mais celles-ci ont malheureusement �t� perdues suite � une panne informatique.
Ce cas d'observation astronomique est peu commun. Le d�placement observ� sur une quinzaine de minutes semble exclure les satellites habituels en orbite basse et au mouvement relatif tr�s rapide. Le satellite Amazns BrzTank (un gros d�bris probablement) pourrait �tre un bon candidat ; sa luminosit� peut varier s'il est en rotation, comme la plupart des satellites hors contr�le.
Mais sa vitesse angulaire de 1.89'/s le ferait se d�placer d'environ 28� durant les 15 minutes de la s�quence photo, ce qui n'est pas le cas, puisqu'il reste dans le champ de vue du t�lescope.
Il peut s'agir aussi d'un ast�ro�de passant pr�s de la Terre ; cette derni�re hypoth�se para�t peu probable, d'autant plus que la zone observ�e est loin de l'�cliptique o� orbitent la majorit� de ces objets.
Le GEIPAN n'a pas eu les photos brutes pour cette analyse. On peut aussi envisager un artefact optique ou photographique (reflets parasites internes ou externes).
Le GEIPAN classe ce cas � C � par manque d'informations.";"Observation de l'amas globulaire M13 et constatation � post�riori sur des photos d'un point et d'un trait rouge : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;C;A;2009-06-02329
2468;"HYERES (83) 26.06.2009";Var;83;"(D) D�partement";2009;06;26;"Le 26 juin 2009 vers 23h30 deux t�moins observent depuis leur domicile le passage d'un ph�nom�ne tr�s lumineux qui les intrigue. Le t�moin nous transmet une photographie tir�e d'un film qui a �t� pris durant l'observation.
La description de la trajectoire montante depuis le sol et sans bruit, la dur�e de l'observation ainsi que la luminosit� t�moignent d'une observation 'r�elle' qui aurait m�rit� d'�tre enrichie par d'autres �l�ments.
Malheureusement, aucune information suppl�mentaire n'est parvenue malgr� les diff�rentes relances, rendant toute enqu�te impossible.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-06-02333
2469;"MARSEILLE (13) 12.06.2009";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2009;06;12;"Le 12 juin 2009 � 23h10 un t�moin remarque au-dessus d'elle, des lumi�res qui d�limitent une importante masse triangulaire noire qui se d�place selon une trajectoire N-S sans qu'aucun bruit ne soit entendu.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueuilli.
Le t�moin a d�crit des alignements de lumi�res, semblables � des �toiles, formant un triangle noir. Ce triangle s'est d�plac� lentement en direction de la mer.
Il se peut que le triangle noir ne soit qu'une illusion d'optique cr�� par l'alignement des points lumineux, lesquels pourraient �tre les lanternes tha�landaises. Le d�placement des points peut n'�tre d� qu'au vent (faible, de NO).
La description des lumi�res et celle du d�placement est insuffisamment pr�cise pour que le GEIPAN puisse confirmer cette hypoth�se. Ce cas est class� ""C"" : �l�ments insuffisants pour conclure.";"Observation du d�placement silencieux d'une forme triangulaire sombre d�limit�e par des lumi�res.";O;1;;;;;;;;2012-02-09;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-06-02338
2470;"SAINT-PIERRE (974) 20.06.2009";"La R�union";974;"(D) D�partement";2009;06;20;"Le 20 juin 2009 vers19h20 un t�moin filme un ph�nom�ne qui l'intrigue : un point lumineux se d�place silencieusement dans le ciel.
Le visionnage de la vid�o montre une m�prise certaine avec un avion au d�part ou � l'approche de l'a�roport de Saint-Pierre Pierrefonds (La R�union) : feux de position verts, feux anticollision clignotants.
Ce cas est class� ""A"" : observation d'avion.";"Observation du d�placement silencieux d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : observation d'un a�ronef.";O;1;;;;;;;;2013-02-01;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-06-02341
2471;"COMPIEGNE (60) 30.06.2009";Oise;60;"(D) D�partement";2009;06;30;"Un automobiliste rapporte par t�l�phone qu'il a vu � hauteur de Compi�gne le d�placement d'une ""plaque"" sombre volante effectuant un virage et qui dispara�t en direction de Lille. Aucun bruit n'a �t� entendu par le t�moin.
Malgr� des relances, aucune information suppl�mentaire sur le lieu pr�cis, la position, la dur�e ou des compl�ments sur les caract�ristiques, ni PV n'est parvenu au GEIPAN.
Le cas est class� C par manque d'informations.";"Observation d'une ""plaque ""volante sombre. Virage soudain � 45�.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-06-02355
2472;"TARBES (65) 03.06.2009";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";2009;06;03;"Le 3 juin 2009, un t�moin observe la chute d'un objet qui percute un sapin et roule sur le sol. L'objet mesure 4,5 x 7,5 centim�tres et p�se environ 300 grammes. Il suppose qu'il s'agit d'un morceau de m�t�orite.
L'analyse de l'expert en min�ralogie attach� au laboratoire d'�tudes des m�canismes de transfert en G�ologie de l'OMP Toulouse conclut � l'identification certaine d'une h�matite, plus connue sous le nom commun de minerai de fer et en aucun cas d'un corps c�leste.
Aucune trace d'impact n'a �t� retrouv� � l'endroit indiqu� de la chute de l'objet et il n'y a pas d'autre t�moin de cette observation.";"Chute de pierre.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-06-02368
2473;"NARBONNE (11) 28.06.2009";Aude;11;"(D) D�partement";2009;06;28;"Le 28 juin 2009 � environ 4h30 du matin des campeurs sont intrigu�s par les d�placements de ph�nom�nes lumineux dans le ciel. Un seul t�moignage est envoy� au GEIPAN.
Les �volutions d�crites par les objets sont difficilement rapprochables des sources usuelles de m�prises, exception faite des projecteurs de discoth�ques, mais ces derniers sont surtout remarqu�s par temps couvert et non par ciel d�gag�. Dans tous les cas, il est rare que leur fonctionnement soit limit� � quelques dizaines de secondes.
Ce cas d'observation pr�sente un haut niveau d'�tranget� et m�riterait une investigation pouss�e afin d'en affirmer la consistance. Le GEIPAN a tent� activement de reprendre contact avec le t�moin sans succ�s.
Ce cas �trange reste peu consistant du fait de l'unicit� du t�moignage, et de l'absence d'enqu�te. Ce cas est provisoirement class� C, dans l'attente d'hypoth�tiques informations compl�mentaires.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux avec changement vitesse et disparition soudaine : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-06-02408
2474;"SEYSSES (31) 03.06.2009";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2009;06;03;"Vers 19h dans la soir�e du 3 ou 4 juin 2009 (le t�moin ne se souvient pas de la date exacte) un amateur de photographie prend un clich� du ciel o� l'on peut voir la Lune et une train�e blanche d'un avion. En visionnant son clich� deux jours plus tard il remarque quelque chose d'insolite sur la photographie sans l'avoir vu lors de la prise de vue.
Cette personne a photographi� un avion de ligne se d�pla�ant d'o� l'impression de ""barres parrall�les"" d�crites par le t�moin. En comparaison, les train�es des r�acteurs sont des objets qui paraissent immobiles.";"Photographie de train�es lumineuses laiss�es par un avion.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-06-02535
2475;"NICE (06) 07.06.2009";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2009;06;07;"Le t�moin fait plusieurs photos le 7 juin 2009 � 13h39 sur le plateau de Caussol. C'est � posterioiri qu'il remarque sur l'angle gauche d'une photographie une forme annulaire, de couleur argent�e.
L'objet suspect, situ� en haut et � gauche de la photo, n'a pas �t� vu par le t�moin. La forme floue fait clairement penser � un insecte en vol (corps et ailes visibles), probablement tr�s pr�s de l'objectif. Le paysage et la saison sont propices aux insectes.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" :photographie probable d'un petit insecte en vol.";"Constatation � post�riori d'une forme annulaire sur photographie : pas d'observation directe.";O;1;;;;;;;;2012-11-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-06-02537
2476;"BORDEAUX (33) 12.05.2009";Gironde;33;"(D) D�partement";2009;05;12;"Un t�moin contacte le GEIPAN le 10 janvier 2010 au sujet d'une photographie prise le 12 mai 2009 et comportant 7 points noirs que le t�moin ne peut identifier.
De faible �tranget� et peu consistant, ce cas d'observation sans observation directe lors de la prise de vue, a toutes les caract�ristiques d'une m�prise avec un vol d'insectes ou �ventuellement d'oiseaux.
La v�rification du trafic a�rien civil et militaire ne para�t donc pas de mise, elle est de toutes fa�ons difficile plus d'un mois apr�s les faits.
Ce cas est class� B : t�ches d'insectes ou d'oiseaux sur photographie.";"Observation de t�ches noires sur des photographies sans observation directe lors de la prise de vue : probable photographie d'insectes ou d'oiseaux.";O;1;;;;;;;;2017-12-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-06-02542
2477;"FONTENAY-SOUS-BOIS (94) 07.06.2009";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2009;06;07;"Cette observation de juin 2009 est rapport�e tardivement au GEIPAN en f�vrier 2011.
M�me si le r�cit du t�moignage n'est pas remis en cause (1 t�moin principal et sa famille) et rapporte l'observation ""d'une sph�re lumineuse d'aspect m�tallique"", toute v�rification � post�riori d'un ph�nom�ne lent (""10km/h comme un ballon m�t�o ou autre) est impossible.
Aucun autre �l�ment de type proc�s verbal ou visuel (photo ou autre) ne vient compl�ter le dossier. Le cas est class� C car toute enqu�te est impossible.";"Observation du passage silencieux d'une sph�re d'aspect m�tallique.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-06-02705
2478;"PLAISANCE-DU-TOUCH (31) 04.07.2009";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2009;07;04;"Le samedi 4 juillet 2009 vers 23h40 depuis son domicile, un t�moin observe 2 � 3 secondes le passage silencieux d'un disque lumineux dans le ciel. Le d�placement est rectiligne et � tr�s grande vitesse selon une trajectoire Bordeaux-Perpignan.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Ce cas d'observation d'un disque tr�s lumineux traversant le ciel en quelques secondes fait penser � une rentr�e atmosph�rique de m�t�orite. N�anmoins le t�moin ne note pas de tra�n�e verte ou jaune comme attendue dans ces cas l�. On peut penser que l'acuit� visuelle nocturne du t�moin n'est pas tr�s bonne vu son �ge. Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de (m�t�orite)";"Observation du passage d'un disque lumineux � vitesse rapide et constante et sans aucun bruit. Probable rentr�e atmosph�rique de m�t�oride.";O;1;;;;;;;;2012-07-20;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-07-02339
2479;"HAUTMONT (59) 04.07.2009";Nord;59;"(D) D�partement";2009;07;04;"Le 4 juillet 2009 entre 0h30 et 0h43 environ, un t�moin sur un parking observe durant 2 � 3 minutes un ph�nom�ne lumineux au-dessus de l'immeuble voisin. Le ciel est d�gag� et le t�moin d�crit des boules de feu de couleur blanch�tre. Le ph�nom�ne se d�place silencieusement selon une trajectoire S-N puis s'immobilise et change de direction avant de dispara�tre rapidement vers l' Est . Le t�moin filme la sc�ne sur son t�l�phone portable.
Malheureusement, les vid�os de ce cas sont inexploitables et les deux photographies extraites par le t�moin de la vid�o le sont �galement. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli au GEIPAN concernant l'observation de ce ph�nom�ne.
Le GEIPAN classe ce cas en ""C"" par manque d'informations.";"Observation de ph�nom�nes lumineux qui se d�placent et changent de direction : manque d'informations";O;1;;;;;;;;2012-04-13;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-07-02340
2480;"SARCELLES (95) 04.07.2009";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2009;07;04;"Le 04 juillet 2009 vers 1h du matin, quatre personnes observent dans le ciel le d�placement deux grandes lumi�res blanches qui disparaissent rapidement suivies de 3 autres plus petites qui partent dans des directions dff�rentes. Un t�moin rapporte que ces trois lumi�res constituent une forme triangulaire dans le ciel. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation de 15 mn. Le t�moin se rendra en gendarmerie. Le Geipan ne recevra cependant qu'un seul t�moignage par mail.
L'observation s'est d�roul�e dans la nuit du vendredi au samedi vers 1h00 du matin.
Les caract�ristiques d�crites de 2 lumi�res blanches suivies de 3 autres lumi�res plus petites avec des trajectoires fluctuantes, se d�pla�ant sans bruit pourraient conduire � l'hypoth�se envisageable de lanternes lumineuses volantes.
N�ammoins la date d'observation ancienne et le manque d'informations (malgr� la bonne volont� du t�moin) ne permettent pas de mener plus d'investigations.
Ce cas est class� en cat�gorie C : manque d'information.";"Observations de l'apparition successive et du d�placement de lumi�res blanches dans le ciel : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2012-11-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-07-02342
2484;"BAGNEUX (92) 22.07.2009";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2009;07;22;"Le mercredi 22 juillet � 0h45 un t�moin observe depuis son domicile, le d�placement de quatre lumi�res de couleur jaune p�le en direction de Paris. Il part chercher son appareil photo et n'en aper�oit plus qu'une � son retour qu'il photographie avant qu'elle ne disparaisse � son tour.
La description correspond aux observations de lanternes volantes (dites lanternes Tha�), la direction du vent relev� � Paris � l'heure de l'observation renfor�ant cette hypoth�se.
Ce cas d'observation, de faible �tranget� et de consistance moyenne �tant donn� le peu de d�tails du questionnaire et les quelques divergences entre celui-ci et les �l�ments transmis par t�l�phone, se r�sume tr�s probablement � une m�prise avec des lanternes Tha�landaises.
Ce cas est class� B : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";"Observation du d�placement lent de quatre lumi�res jaune p�le : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-03-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-07-02347
2485;"DAREIZE (69) 21.07.2009";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2009;07;21;"Le 21 juillet 2009 deux personnes constatent dans le ciel le d�placement silencieux Ouest-Est d'un point lumineux blanc qui disparait � l'horizon. Un des deux t�moin prend des photographies et s'adresse au GEIPAN pour relater par t�l�phone son observation. Il envoie ensuite son t�moignage direct avec les photos jointes
Ce cas est class� ""A"" : Le t�moin a observ� le passage de la Station Spatiale Internationale (ISS).";"Observation du d�placement silencieux O-E d'un point lumineux blanc : passage ISS";O;1;;;;;;;;2012-12-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-07-02348
2486;"MONTROUGE (92) 21.07.2009";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2009;07;21;"Le 21 juillet 2009 aux alentours de minuit quarante, un t�moin observe depuis chez lui le passage N-S de quatre lumi�res rouges dans le ciel. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation qui dure environ deux minutes.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Les �l�ments transmis �voquent un probable passage de lanternes thailandaises. Pas de photos ni de film, mais la description relatant une fois de plus des lumi�res rouge-orang�, un d�placement silencieux, une altitude basse, une extinction soudaine et la multiplication de l'observation de ce type de ph�nom�ne conduisent � un classement de cas probablement identifi�.";"Observation du d�placement de quatre lumi�res : probable lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2011-12-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-07-02349
2487;"CAZERES (31) 19.07.2009";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2009;07;19;"Entre le 19 et le 21 juillet 2009 un t�moin observe quelques secondes depuis son domicile des ph�nom�nes lumineux qui l'intrigue. Des sph�res lumineuses apparaissent de nuit entre 22h50 et 23h15. Aucun son n'est entendu lors du d�placement rectiligne des objets qui s'estompent rapidement et disparaissent.
Le t�moin nous adressera des photos montage de ses observations successives.
Les caract�ristiques d�crites ( plusieurs lumi�res, la trajectoire rectiligne ) sont � relier � l'observation probable de lanternes volantes.
Des l�chers de lanternes volantes tr�s en vogue depuis quelques temps ont fait l'objet d'une actualit� sur notre site.";"Probables observations successives de lanternes volantes.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-07-02350
2488;"CREON (33) 18.07.2009";Gironde;33;"(D) D�partement";2009;07;18;"Le 18 juillet 2009 vers 22h40 un t�moin observe au-dessus de ligne d'horizon une vingtaine de boules lumineuses orang�es qui se d�placent horizontalement et ensemble. Aucun bruit n'est entendu. Les boules disparaissent de la vue du t�moin � cause du paysage.
Les caract�ristiques de l'observation d�crite, une vingtaine de boules lumineuses non �blouissantes se d�pla�ant lentement et en m�me temps, cr�dibilisent fortement l'observation en formation de lanternes volantes.";"Observation probable de lanternes volantes.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-07-02352
2490;"PIRIAC-SUR-MER (44) 14.07.2009";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2009;07;14;"Le 14 juillet 2009 � 23h10 sur la plage, un t�moin observe dans le ciel d�gag� le d�placement silencieux O-E d'un ph�nom�ne lumineux rouge-orang� tr�s brillant. Celui-ci disparait � l'horizon.
La description du ph�nom�ne, de couleur rouge orang�, de vitesse lente (dur�e d'observation de 10 min) et de trajectoire lin�aire orient�e selon un axe compatible avec le vent ce soir l�, pointe fortement vers l'hypoth�se d'un passage d'une lanterne a�rienne festive (dites lanterne ""Tha�""). Contact� au sujet de l'emplacement exact de lieu d'observation, le t�moin d�clare : � j'ai r�alis� par la suite que cet objet volant non identifi� �tait en fait une (sorte) de lanterne chinoise qui dans la nuit n'�tait pas identifiable. � Suite � la confirmation du t�moin, Ce cas est class� A comme observation d'une lanterne Tha�, classique un 14 juillet.";"Observation du d�placement silencieux O-E d'un ph�nom�ne lumineux rouge-orang� tr�s brillant : observation d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2012-10-31;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-07-02358
2491;"PLOUGASNOU (29) 17.07.2009";Finist�re;29;"(D) D�partement";2009;07;17;"Le 17 juillet 2009 aux environ de minuit, un couple est intrigu� par le passage rapide au-dessus d'eux d'un ph�nom�ne blanc fortement lumineux. Un des t�moin rapporte son observation qui a dur� 30 secondes. Le ph�nom�ne se d�place � une vitesse r�guli�re et selon une trajectoire rectiligne avant de disparaitre. Aucun bruit particulier n'a �t� remarqu� durant l'observation.
Ce cas d'observation, de faible �tranget� mais d'une description pr�cise, correspond en tout point avec une observation du passage de la Station Spatiale Internationale (ISS). Ce cas est class� A.";"Observation du d�placement rapide d'un ph�nom�ne lumineux blanc dans le ciel : passage de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2012-12-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-07-02359
2492;"CHERENG (59) --.07.2003";Nord;59;"(D) D�partement";2003;07;--;"Un t�moin rapporte en ao�t 2009 une observation faite en juillet 2003. Vers 14h, plusieurs personnes dans un jardin observent le passage silencieux de vingt � trente boules dans le ciel bleu. Ces boules viennent du NE et se dirigent vers le SO. l'observation dure 10 minutes environ. Un seul t�moignage est recueilli.
Il s'agit d'un t�moignage non exploitable par le GEIPAN. En effet, il s'agit d'un t�moignage 6 ans apr�s l'observation, qui ne pr�cise pas la date (juillet 2003..c'est tout). Ce qui est d�crit n'est pas tr�s �trange car est compatible d'un l�cher de ballons de baudruche. Aucun moyen sans date de consolider l'hypoth�se avec le sens du vent.
Le GEIPAN classe en C : Manque d'information.";"Observation du passage d'un ensemble de boules lumineuses venant de Belgique : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.30;0.25;;;0.50;;0.30;;0.25;0.00;C;C;2003-07-09668
2493;"RIXHEIM (68) 26.07.2009";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2009;07;26;"Le 26 juillet 2009 vers 22h20, un t�moin install� sur sa terrasse observe le ciel �toil�. Il suit durant 7 � 8 secondes le d�placement lin�aire S-N d'un point lumineux blanc � une �l�vation de 25� � 35�qu'il assimile au d�placement d'un satellite.
Quittant une � deux secondes ce point lumineux du regard, le t�moin est �tonn� de ne plus l'apercevoir sur sa trajectoire.
Cependant, il retrouve un point lumineux amorcant un virage vers l'Ouest d'une dur�e de 2 � 3 secondes (en direction de l'a�rodrome d'Habsheim).
Ce point lumineux prend ensuite une trajectoire lin�aire � grande vitesse passant � la verticale du t�moin.
Aucun bruit particulier ne sera entendu durant l'observation de 10 � 12 secondes et qui s'ach�ve � 23h48.
Le t�moin reste intrigu� par la trajectoire globale du point lumineux incluant un changement de direction et l'acc�l�ration importante du ph�nom�ne sans qu'aucun bruit ne soit entendu.
M�me si rien ne permet d'affirmer qu'il s'agit de la trajectoire d'un unique point lumineux, diff�rentes hypoth�ses sont invalid�es : passages d'avions (aucune trace radar dans le secteur de Rixsheim dans le cr�neau horaire 23h30-00h00, pr�sence d'astres (Jupiter trop basse sur l'horizon) et passage d'un satellite (passage de COSMOS 1151-Rocket mais � 57� d'�l�vation).
Le ph�nom�ne, bien que peu �trange, reste inexpliqu�. Le classement D1 se justifie par l'unicit� du t�moignage et l'impossibilit� d'estimer la distance du ph�nom�ne.";"Observation du d�placement d'un point lumineux blanc avec changement de direction et acc�l�ration.";O;1;;;;;;;;2011-10-18;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2009-07-02361
2495;"ROCHE-SUR-YON (LA) (85) 02.07.2009";Vend�e;85;"(D) D�partement";2009;07;02;"Un t�moin et son �pouse, habitant dans une maison en campagne, observent depuis plusieurs ann�es des ph�nom�nes ponctuels ou r�currents � proximit� de leur habitation : boules lumineuses en d�placements plus ou moins grosses, lointaines ou quelques fois proches.
Suite aux constatations des experts envoy�s aupr�s des t�moins, il appara�t clairement que les boules lumineuses qu'ils observent tous les soirs sont des �toiles ou plan�tes. La plus lumineuse est Jupiter qui, fin octobre 2011, se l�ve � l'Est vers 19h30.
Pour ce qui est des autres observations suppos�es au-dessus de leur champ, aucun �l�ment n'a permis d'infirmer ou de confirmer les dires du t�moin.
Le GEIPAN classe en A les observations r�currentes (Jupiter et �toiles) et classe en C les autres observations.
Le dossier est donc globalement class� � C �.";"Observations r�curentes de ph�nom�nes lumineux.";O;1;;;;;;;;2011-11-17;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-07-02364
2496;"VIREUX-WALLERAND (08) 20.07.2009";Ardennes;08;"(D) D�partement";2009;07;20;"Les cas inexpliqu�s sont porteurs d'enjeu potentiel de connaissance scientifique, encore faut-il que le caract�re inexpliqu� reste valid� au cours du temps. Aussi ces cas subissent une revisite. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D1 et anciennement nomm� GIVET (08) 20.07.2009 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 20 juillet 2009 vers midi une personne occup�e � jardiner constate soudain la pr�sence d'un objet brillant en forme de cigare muni d'un petit aileron. L'objet est silencieux et reste stationnaire au-dessus des maisons de son quartier. L'avant de l'objet est dirig� vers le N-E mais le reste de l'objet est difficile � distinguer. Le t�moin d�crit ""une sorte d'agitation"" au-dessus de l'objet. L'observation durera une dizaine de minutes puis le t�moin effray� rentrera chez lui. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne. Aucun incident de vol n'a �t� signal� � la gendarmerie.
L'observation est tr�s �trange, par les �l�ments d�crits et par la taille angulaire (20 m de large � 10 m de distance) de l'ensemble d�crit (voir le compte rendu d'enqu�te). La confirmation du deuxi�me point lors d'une deuxi�me rencontre avec le t�moin interdit toute hypoth�se explicative et rend l'observation encore plus �trange. En effet la taille angulaire conjointement � la position angulaire (qui n'est pas � la verticale mais dans un champ de vue sans lever la t�te) rend inenvisageable que ce PAN n'ait pas �t� remarqu� (et signal�) par le voisinage de plein jour (� Midi) en zone urbaine (une enqu�te de voisinage a �t� faite).
La consistance du t�moignage n'est pas suffisante pour valider un caract�re inexpliqu� ou inexplicable de cette observation. Il aurait fallu pour cela plusieurs t�moins ind�pendants ou des traces ou photos. Ici le t�moin unique interroge par son comportement face � une telle �tranget�, en particulier il arr�te l'observation pour aller manger alors que le PAN est toujours l� � � 10 m�tres de lui et 20 m�tres de large �, alors qu'il dispose d'un appareil photo.
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en C : t�moignage inexploitable.";"Longue observation d'un objet silencieux,de forme oblong et stationnaire au-dessus des maisons : t�moignage inexploitable.";O;1;1;;1;;;;;2018-10-12;;;0.80;0.13;;;0.30;;0.60;;0.20;0.00;C;C;2009-07-02365
2497;"MESSIGNY-ET-VANTOUX (21) 19.07.2009";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";2009;07;19;"Le 19 juillet 2009 entre 23h et 23h15 un t�moin observe le passage NO-SE d'une lumi�re blanche d'un �clat tr�s important dans le ciel. Aucun bruit n'a �t� entendu lors du lent d�placement du ph�nom�ne. Aucune fum�e ni trace au sol n'ont �t� constat�es par le t�moin.
Cette personne a �t� t�moin du passage de la station spatiale internationale (ISS) particuli�rement brillante (magnitude -3,3).";"Observation du passage de l' ISS.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-07-02369
2498;"LOURDES (65) 23.07.2009";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";2009;07;23;"La vid�o associ�e � l'observation ne laisse aucun doute sur l'origine du ph�nom�ne : lanternes volantes (connues aussi sous le nom de lanternes thailandaises).";"Observation film�e de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2010-07-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-07-02376
2499;"SAINT-ESTEVE (66) 31.07.2009";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2009;07;31;"Un t�moin rapporte par t�l�phone qu'il a observ� le 31 juillet 2009 vers 20h47, le passage sud-Nord d'une masse sombre plus grosse qu'une �toile. Il dit avoir pris plusieurs photographies durant l'observation qui a dur� 8 minutes.
Malheureusement aucune information compl�mentaire ne sera recueillie et toute enqu�te sera impossible.";"Observation du d�placement d'une masse sombre.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-07-02395
2500;"PLOBSHEIM (67) 05.07.2009";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2009;07;05;"Dans la nuit du 4 au 5 juillet 2009 plusieurs personnes observent, depuis un jardin, des lumi�res dans le ciel. Celles-ci se d�placent lentement et sans bruit en formation en V. Ces lumi�res disparaissent brusquement.
L'enqu�te de gendarmerie d�terminera que ces lumi�res proviennent de lanternes chinoises (environ une cinquantaine) lanc�es � l'occasion d'un mariage depuis un terrain de golf voisin.";"Observation du passage de lanternes volantes.";O;3;;;;;;;;2011-05-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-07-02431
2501;"CHAUNY (02) 14.07.2009";Aisne;02;"(D) D�partement";2009;07;14;"Le 14 juillet 2009 vers 23h 45 un t�moin observe dans le ciel des lueurs rouges qui se d�placent � vitesse constante � 150 du sol. Aucun bruit n'est entendu durant les 10 secondes d'observation. Ces lueurs qui forment un V ont disparu dans un nuage.
De nombreuses observations similaires ont �t� relat�es dans la presse locale.
Ce t�moin a probablement fait une observation de lanternes volantes tr�s en vogue actuellement surtout lors d'�v�nements festifs.";"Probable observation de lanternes volantes.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-07-02441
2502;"PIRIAC-SUR-MER (44) 19.07.2009";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2009;07;19;"Le 19 juillet 2009 vers 22h 40, plusieurs personnes constatent la pr�sence silencieuse dans le ciel d'une forme brillante rouge-orang�e. Malgr� quelques oscillations perceptibles, l'objet reste stationnaire. Leur observation durera environ 15 min : l'objet sera ensuite masqu� par des nuages. Un seul t�moignage nous est rapport�.
Un ballon captif lumineux ou �clair� par des projecteurs depuis le sol (ballon publicitaire ou festif) aurait pu donner la m�me impression. Un ballon sonde en altitude, encore �clair� par le soleil une heure apr�s son coucher, pourrait aussi donner cet aspect. Il est bien difficile de v�rifier l'une de ces hypoth�ses 3 ans apr�s l'observation.
Ce cas d'observation ne doit sa faible �tranget� qu'� la position statique du ph�nom�ne observ�, et l'unique t�moignage, malgr� une description pr�cise, ne permet pas d'en relever la consistance. Bien que les hypoth�ses de ballons soient plausibles, ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements permettant de valider une hypoth�se.";"Observation d'une forme brillante rouge orang�e stationnaire dans le ciel : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2012-11-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-07-02449
2503;"SAINT-JUST-SAINT-RAMBERT (42) 25.07.2009";Loire;42;"(D) D�partement";2009;07;25;"Le 25 juillet 2009 vers 19h plusieurs t�moins observent le passage d'un objet volant blanc. Un des t�moins intrigu� d�crit une boule blanche se d�pla�ant sans buit dans la vall�e dans le sens Nord-Sud avec une vitesse et une hauteur r�guli�re. L'objet prend soudain de l'altitude en acc�l�rant et disparait aussit�t dans le ciel.
Le d�placement lent d'une boule blanche, sans bruit, les dimensions de l'objet, la trajectoire dans la vall�e puis l'acc�l�ration d�e vraisemblablement � la prise au vent font penser � l'observation probable d'un ballon (de type ballon sonde comme d�crit par le t�moin).";"Probable observation du d�placement d'un ballon.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-07-02490
2504;"CHAMPIGNY-SUR-MARNE (94) 15.07.2009";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2009;07;15;"Le 15 juillet 2009 de 0h26 � 0h28 un t�moin observe et photographie depuis un balcon au 4eme �tage, un ph�nom�ne lumineux tr�s clair dans le ciel nuageux. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
L'enqu�teur notera une incoh�rence dans le t�moignage sur l'heure de l'�v�nement : le t�moin �crit � � de 0h26 � 0h28 comme not� et comme indiqu� sur les photos �, alors que les photos mentionnent 23h28 : l'observation aurait donc eu lieu le 14 juillet 2009.
Si l'heure de la prise de vue est 23h28, il s'agit exactement de l'heure du grand feu d'artifice donn� depuis la Tour Eiffel � l'occasion de son 120�me anniversaire. La dur�e de 2 minutes de l'observation peut correspondre au bouquet final (voir le lein donn� dans le compte rendu d'enqu�te).
S'il s'agit vraiment de 0h26, on peut penser � une autre animation lumineuse, mais non d�termin�e.
Ce cas est class� B : observation probable du reflet sur les nuages des animations lumineuses du 14 Juillet 2009. L'incertitude sur l'heure de l'observation ne permet pas d'affirmer si c'est le feu d'artifice ou une autre animation lumineuse.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : probable observation de reflets d'animation lumineuse.";O;1;;;;;;;;2013-04-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-07-02679
2505;"SAINT-SAMSON-DE-BONFOSSE (50) --.07.2009";Manche;50;"(D) D�partement";2009;07;--;"Un t�moin rapporte que durant une soir�e (vers 23h) du mois de juillet 2009, alors qu'il est sur sa terrasse, il entend un bruit de moteur et voit passer au-dessus de lui une forme carr�e sombre avec quatre points lumineux aux extr�mit�s. Appeur� il rentre dans sa maison mais suit des yeux le lent d�placement vers le Sud de l'objet avant que celui-ci ne disparaisse cach� par la maison voisine.
Le questionnaire r�cent (du 19 janvier 2011) sur cette observation ancienne nous donne peu de d�tails et rend toute enqu�te impossible.
Aucun autre t�moignage de ce type et dans ce secteur ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations (pas de pr�cision sur la date du jour de l'observation qui est dat�e arbitrairement au premier jour du mois).";"Observation du lent d�placement d'une forme carr�e avec des points lumineux aux extr�mit�s.";O;1;;;;;;;;2011-02-16;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-07-02707
2506;"PUISIEUX (62) 14.07.2009";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2009;07;14;"T�moignage r�cent (le 19/12/2011) d'une observation ancienne du 14 juillet 2009 vers 1h30 du matin : au travers d'une fen�tre de toit, une personne observe longuement le d�placement al�atoire d'un ph�nom�ne de forme sph�rique et de couleur blanche, tr�s lumineux dans le ciel. Aucun bruit particulier n'est entendu par le t�moin. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
D'�tranget� moyenne mais de consistance insuffisante (descritpion sommaire, un seul t�moin), ce cas d'observation est difficile � conclure.
Ce cas est class� ""C"" par manque d'informations.";"Observation du d�placement al�atoire d'un ph�nom�ne blanc lumineux et sph�rique dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-07-08337
2507;"CROIGNON (33) 23.07.2009";Gironde;33;"(D) D�partement";2009;07;23;"T�moignage r�cent (7 juillet 2013) d'un cas ancien du 23 juillet 2009.
A 23h le 23 juillet 2009, une personne allong�e sur une chaise longue pour regarder les �toiles filantes est surprise par l'apparition derri�re un hangard d'une boule tr�s lumineuse. Celle-ci se d�place silencieusement en montant et en descendant alternativement � environ 2m50 du sol. La boule passe ensuite au-dessus du t�moin toujours allong� dans sa chaise longue. La boule de couleur blanc et jaune p�le est de la grosseur d'un ballon d'enfant. Le ph�nom�ne disparait derri�re des arbres.
Le ph�nom�ne brille comme un soleil, �met des rayons lumineux. La description faite par le t�moin �voque la foudre en boule. Le t�moin ne mentionne pas d'�pisode orageux, mais il faisait chaud, et il y avait eu de l'orage le matin.
Le t�moignage a �t� soumis � un sp�cialiste de la foudre (Laboratoire de la foudre :laboratoire de la foudre) qui a reconnu sans ambiguit� un ph�nom�ne de foudre en boule ; les relev�s d'impact de foudre en Aquitaine �taient nombreux ce soir l�, ce qui renforce cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de foudre en boule.";"Observation du d�placement silencieux d'une boule tr�s lumineuse � environ 2,50 m du sol : observation de la foudre en boule.";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-07-08438
2508;"CASTANET-TOLOSAN (31) 18.08.2009";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2009;08;18;"Le 18 ao�t 2009 une personne observe depuis la terrasse de son domicile, le passage d'un ph�nom�ne lumineux. Durant l'observation qui dure 7 secondes environ, le t�moin aper�oit une boule de couleur jaune orang� suivie d'une train�e qui se d�place du NO vers le Sud. Le ph�nom�ne dispara�t progressivement dans une trajectoire descendante.
Bien que la description succinte de l'observation fasse penser � une probable rentr�e atmosph�rique, l'enqu�te n'a pu �tre faite par manque d'informations malgr� nos relances.";"Observation du passage d'une boule de feu.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02370
2509;"PEROLS (34) 20.08.2009";H�rault;34;"(D) D�partement";2009;08;20;"Une personne observe le 20 ao�t 2009 � 21h37 deux boules de couleur jaune orang� qui se d�placent d'Est en Ouest sans qu'aucun bruit ne soit entendu. Le ph�nom�ne dispara�t rapidement du champs de vision du t�moin.
Malgr� plusieurs relances aupr�s du t�moin pour avoir un compl�ment d'information, aucune pr�cision ne sera recueillie sur cette observation. Toute enqu�te est alors impossible.";"Observation du passage silencieux de deux boules de couleur jaune orang�.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02371
2510;"RAUCOURT-ET-FLABA (08) 08.08.2009";Ardennes;08;"(D) D�partement";2009;08;08;"Le 8 aout 2009 vers 23h - 23h30 une conductrice observe 2 ou 3 secondes un objet en forme de disque mais l�g�rement ovale et de couleur argent� au-dessus d'une �oli�nne. Son passager n'a pas le temps de voir le ph�nom�ne, celui-ci ayant tr�s rapidement disparu.
Ce cas soumis tardivement � l'analyse du coll�ge d'experts qui travaille avec le GEIPAN a �t� soumis � une pr�-enqu�te IPN non conclusive. Il faut remarquer le fort �tat �motionnel du t�moin principal. L'analyse montre que la taille du PAN observ� de 4� correspond � la taille du reflet possible de la Lune sur la pale de l'�olienne ( reflet �voqu� par le t�moin principal).
A part cette hypoth�se envisageable, l'observation pr�sente un faible degr� d'�tranget� et n'a �t� observ�e que par un t�moin unique depuis l'int�rieur d'une automobile. Le deuxi�me t�moin n'a pas fait d'observation directe.
Le cas est class� ""C"" comme un cas inexpliqu� peu consistant sans caract�re d'�tranget�.";"Observation d'un objet en forme de disque et blanc-argent� au-dessus d'une �olienne.";O;1;;;;;;;;2012-03-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02372
2511;"ORLEANS (45) 07.08.2009";Loiret;45;"(D) D�partement";2009;08;07;"Dans la nuit du 7 ao�t 2009 vers 1h du matin plusieurs personnes observent deux ph�nom�nes lumineux compos�s de deux formes sph�riques rouge�tres. Celles-ci se d�placent sans bruit.
Un seul t�moin sur une dizaine d'observateurs t�moignera.
La description des trajectoires parall�les des deux ph�nom�nes lumineux � vitesse lente comme en ""sustentation"" dont un s'�teint lentement, t�moigne d'un probable passage de lanternes thailandaises.";"Observation probable du d�placement de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-08-02373
2512;"JUSSY (02) 23.08.2009";Aisne;02;"(D) D�partement";2009;08;23;"Un t�moin observe le d�placement rapide et sans bruit de deux boules de couleur gris argent�.
Les caract�ristiques d�crites de l'observation correspondent � celles connues de ballons ( boules d'aspect m�talliques se d�pla�ant sans bruit, trajectoires 'au gr� du vent' s'�loignant du t�moin). L'observation a �t� faite un dimanche en d�but d'apr�s-midi (14h15 locales) en direction d'une zone urbaine fortement habit�e.
La consistance du cas est faible (t�moin unique, compte rendu d'observation succinct et peu d�taill�). L'hypoth�se envisageable de ballons ou autres objets volants ne pas �tre v�rifi�e faute d'informations et du peu de consistance du cas.";"Observation de deux objets de couleur m�tallique.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02374
2513;"[D840] de VALADY (12) vers NUCES (12) 12.08.2009";Aveyron;12;"(D) D�partement";2009;08;12;"Le 12 aout 2009 vers 17h05 un automobiliste observe bri�vement devant lui � 20� au-dessus d'une colline la pr�sence d'un objet gris clair argent un peu brillant et de forme ovale. L'objet disparait tr�s rapidement derri�re la colline. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Ce cas d'observation, remarquablement bien d�crit et situ� gr�ce � l'exp�rience d'observations astronomiques du t�moin, est consistant mais h�las trop court pour en mesurer convenablement l'�tranget�. Des hypoth�ses de ballons ou d'a�ronefs sont envisageables, mais pas v�rifiables avec les �l�ments apport�s.
Ce cas est class� C faute de donn�es sur l'objet, de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Br�ve observation dans le ciel d'un objet de forme ovale et de couleur gris clair par un automobiliste : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02375
2515;"SAINT-GERMAIN-DU-PUY (18) 23.08.2009";Cher;18;"(D) D�partement";2009;08;23;"Le 23 ao�t 2009 entre 18h15 et 18h30, des personnes observent tr�s haut dans le ciel, le d�placement de quatre points lumineux. Ceux-ci forment des figures g�om�triques intriguant les observateurs. Un seul t�moin contactera le GEIPAN.
Ce t�moignage est en fait peu �trange, et la description trop sommaire pour une �tude s�rieuse.
Il peut s'agir tout simplement de quatre ballons gonfl�s � l'h�lium, et r�fl�chissant le soleil. Les formes g�om�triques ne seraient que le r�sultat des d�placements selon le vent. Le GEIPAN n'a toutefois pas d'�l�ment concret pour �tayer cette hypoth�se.
Ce cas n'a malheureusement �t� trait� qu'en 2012, trop tard pour rechercher des lancements de ballons scientifiques ou amateurs.
Faute de donn�es pr�cises, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.";"Observations dans le ciel du d�placement de quatre points lumineux cr�ant diff�rentes formes g�om�triques : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2013-02-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02378
2517;"MORZINE (74) 14.08.2009";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2009;08;14;"Le 14 aout 2009 vers 22h55, un t�moin est intrigu� par le passage SE/NO et tr�s rapide dans le ciel d'un objet rond de couleur rouge -orange. Aucune train�e n'a �t� remarqu�e durant les 2 � 3 secondes d'observation. A 23h 10 le t�moin fait une deuxi�me observation d'une seconde du passage SE/NO d'un autre objet.
Ce cas �voque l'observation d'un bolide (chute de m�t�orite) mais l'absence de tra�n�e est �tonnante, et le GEIPAN n'a pas trouv� de confirmation d'autres observations. D'�tranget� moyenne du fait d'un d�placement lin�aire, ce cas d'observation souffre d'une trop grande impr�cision et donc d'une consistance trop faible en l'�tat. Une enqu�te de terrain ne ram�nerait que peu d'informations plus de 4 ans apr�s les faits.
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Observation du passage silencieux et rapide SO-NE d'un objet de couleur orang� : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-12-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02380
2518;"VALLAURIS (06) 07.08.2009";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2009;08;07;"Un t�moin rapporte une observation faite le 7 ao�t 2009 � 21h20 � Golf-Juan, station baln�aire de la commune de Vallauris (06) : son fils observe dans le ciel le d�placement et le changement de direction d'un objet orang� en forme de sph�re qui l'intrigue. Le t�moin principal arrive sur le balcon du premier �tage et constate effectivement � haute altitude le d�placement silencieux et � vitesse constante d'une boule orang�e. Une photographie est prise. L'objet s'�loigne puis s'�teint en devenant gris avant de dispara�tre compl�tement cach� par une colline.
La description de l'objet volant correspond � celle d'une lanterne tha�landaise : la vitesse de d�placement est compatible avec des conditions m�t�o locale (peu de vent, brises thermiques variables), la dur�e de l'observation (3 minutes)aussi, ainsi que la description de la disparition de l'objet. Le t�moin interpr�te cet objet comme lointain et tr�s gros, confusion fr�quente car il est impossible d'estimer une distance d'un objet inconnu. Le Geipan classe ""B"" ce cas : probable passage d'une lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement d'une boule orang�e : probable observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2017-11-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-08-02383
2520;"ANGOULEME (16) 15.08.2009";Charente;16;"(D) D�partement";2009;08;15;"Un t�moin rapporte une observation qui a eu lieu le 15 ao�t 2009 � 13h15 depuis le jardin de son domicile. Il a vu passer dans le ciel et selon une trajectoire rectiligne, une forme ovo�de de couleur marron mat. Le ph�nom�ne se d�pla�ait d'Est en Ouest en direction de Cognac. Aucun bruit n'a �t� entendu durant l'observation.
Aucun autre t�moignage n'a �t� rapport� sur ce ph�nom�ne.
Les hypoth�ses d'un passage d'avion ou d'h�licopt�re ont �t� exclues par le t�moin et n'ont pu �tre v�rifi�es aupr�s du contr�le a�rien du fait de la r�ception tardive au GEIPAN du PV de gendarmerie.
Plusieurs autres hypoth�ses ont �t� envisag�es pour ce cas atypique m�me l'hypoth�se d'objets tr�s proches : ballon de rugby, ball-trap, frisbee, a�romod�lisme mais celles-ci ne correspondent pas au t�moignage (le ph�nom�ne �tant pass� nettement au-dessus des toits).
L'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique d'une m�t�orite a �t� �galement envisag�e (p�riode de forte activit� m�t�oritique, pic des Pers�ides) mais impossible � v�rifier sans autre t�moignage recueilli.
En l'absence d'hypoth�se consolid�e, ce cas est class� D1 : cas inexpliqu� moyennement consistant (un seul t�moin) avec un caract�re d'�tranget� marqu�.";"Observation du passage E-O d'un objet ovoide marron. Trajectoire rectiligne.";O;1;;;;;;;;2011-12-07;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2009-08-02385
2521;"PONT-DE-CHERUY (38) 12.08.2009";Is�re;38;"(D) D�partement";2009;08;12;"Le 12 ao�t 2009 vers 23h10 un t�moin dans son jardin observe le passage S-N de deux objets de forme ovoide qui se suivent. De couleur orange , ils se situent assez haut dans le ciel et se d�placent selon une trajectoire rectiligne. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation qui a dur� 30 secondes.
Le t�moin unique, qui a t�moign� spontan�ment en gendarmerie, semble conna�tre les caract�ristiques visuelles d'�toiles filantes qu'il voulait observer, ainsi que celles d'a�ronefs du trafic li� � la proximit� de l'a�roport de Lyon-St Exup�ry. Ces deux hypoth�ses peuvent �tre �cart�es.
Les caract�ristiques de l'observation d'une dur�e de 30 secondes d�crite par le t�moin (deux lumi�res pas trop vives ovales de couleur orange p�le se suivant ne volant pas tr�s haut suivant une trajectoire rectiligne, une des lumi�res oscillant et aucun bruit) conduisent � envisager l'hypoth�se de lanternes lumineuses de type tha�landaise. L'absence de vent r�gulier n'est pas en contradiction avec un probable l�cher de lanternes depuis le sud du lieu d'observation (zone du stade de la commune ).
Le t�moignage unique donne peu de consistance � cette observation. Le niveau d'�tranget� est faible et une forte proportion de caract�ristiques d�crites correspondent � celles d'un vol de lanternes volantes lumineuses. Ce cas est class� B comme l'observation probable de lanternes volantes lumineuses.";"Probable observation de lanternes volantes lumineuses.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-08-02387
2523;"AZERAILLES (54) 28.08.2009";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2009;08;28;"Le vendredi 28 ao�t 2009 vers 21h un automobiliste observe dans le ciel le lent d�placement c�te � c�te de plusieurs lumi�res de couleur rouge-orang�. D'autres t�moins regardent le ph�nom�ne. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Cette observation pr�sente un faible degr� d'�tranget�. Ce cas est class� B : probable observation du passage de lanterne thailandaises.";"Observation du d�placement de plusieurs ph�nom�nes lumineux rouge -orang� dans le ciel : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-10-05;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-08-02390
2524;"FONTAINEBLEAU (77) 22.08.2009";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2009;08;22;"Un promeneur dans la for�t de Fontainebleau raconte avoir observ� le 22 ao�t 2009 vers 22h15 un point lumineux rouge � 30� au-dessus de l'horizon. Le t�moin a ensuite constat� le d�placement de l'objet avant qu'il ne disparaisse. L'observation a dur� environ 6 minutes.
Le t�moin n'a pas r�pondu aux diff�rents courriers qui lui ont �t� adress�s et n'a donc pas communiqu� suffisamment d'�l�ments pour permettre au GEIPAN de mener une enqu�te.
Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation d'un point rouge en mouvement.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02393
2525;"MENTON (06) 15.08.2009";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2009;08;15;"Le 15 ao�t 2009 entre 23h15 et 23h25 un pi�ton sur la promenade � Menton observe dans le ciel � la droite de l'�toile du Berger, la pr�sence d'un ph�nom�ne lumineux stationnaire. Apr�s trois minutes d'observation, l'intensit� de la lumi�re diminue. Le ph�nom�ne fait alors rapidement une ascension verticale et disparait en deux secondes en direction de l'Italie. Ceci s'est d�roul� au-dessus de la M�diterran�e
Plusieurs hypoth�ses ont �t� analys�es (fus�e �clairante, ballon pyrotechnique, avion, satellite) et restent possibles, mais n'ont pu �tre valid�es. (voir rapport d'enqu�te).
Ce cas est class� ""C"" par manque d'informations permettant de valider ou d'infirmer totalement l'une de ces hypoth�ses.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : manque d'informations pour valider des hypoth�ses.";O;1;;;;;;;;2012-10-16;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02394
4647;"NANCAY (18) 21.01.1980";Cher;18;"(D) D�partement";1980;01;21;"Le 22 f�vrier 1980 � la lecture de l'hebdomadaire ""SPECIAL DERNIERE"" N� 572 du 15 au 21 f�vrier 1980, les gendarmes apprennent que l'�poux d'une restauratrice aurait �t� victime d'un enl�vement par des extraterrestres. Les fait se seraient produits le 21 janvier 1980 vers 9h du matin dans la for�t de Vierzon.
Tr�s rapidement l'enqu�te de gendarmerie aboutira au canular mont� de toutes pi�ces reconnu par le t�moin.";"Canular d'enl�vement d'un t�moin par des extraterrestres mont� � des fins publicitaires.";O;;;;;;;;;2018-03-20;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;1980-01-50498
2528;"PORNICHET (44) 15.08.2009";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2009;08;15;"Dans la nuit du 15 au 16 aout 2009 des personnes observent des boules oranges dans le ciel. Une vid�o a �t� r�alis�e.
La vid�o disponible sur YouTube montre un tr�s probable vol de lanternes tha�landaises.";"Probable observation d'un vol de lanternes tha�landaises.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-08-02398
2529;"PLOUHARNEL (56) 07.08.2009";Morbihan;56;"(D) D�partement";2009;08;07;"Le 7 ao�t 2009 entre 23h10 et 23h15, deux t�moins observent le passage silencieux d'une boule tr�s brillante. Celle-ci se d�place lentement sur un axe Nord-sud.
En d�pit de plusieurs relances, trop peu de renseignements seront recueillis aupr�s des t�moins.
Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation du passage d'une boule lumineuse.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02399
2530;"ILE-DE-BREHAT (22) 16.08.2009";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2009;08;16;"Le 16 ao�t 2009 vers 22h30 deux promeneurs observent durant 4 min dans le ciel deux objets stationnaires particuli�rement lumineux. Ces objets se d�placent ensuite sans bruit alors que l'intensit� lumineuse diminue. Les objets finissent par dispara�tre cach�s par de la brume.
La description faite par un des t�moins et les photographies prises sont explicites quand � une probable observation de lanternes c�lestes.";"Probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-08-02404
2531;"LARMOR-BADEN (56) 25.08.2009";Morbihan;56;"(D) D�partement";2009;08;25;"Le 25 a�t 2009 vers 23h deux promeneurs observent juste au-dessus des arbres, deux boules rouges-orang�es stationnaires. Durant l'observation qui dure 5 minutes aucun bruit n'est entendu. Quelques minutes plutard un des t�moins, de retour � son domicile, constate que les boules ont disparu.
Les caract�ristiques des deux boules lumineuses fixes couleur rouge-orang� d�crivent l'observation probable de lanternes thailandaises.
Un autre t�moignage paru dans la presse locale fait �tat d'une observation semblable � Arzon le m�me soir : les trajectoires donn�es dans les deux cas ainsi que les descriptions confirment la similitude entre les diff�rentes observations probable de lanternes volantes.";"Probables observations de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-08-02406
2532;"TROISSEREUX (60) 15.08.2009";Oise;60;"(D) D�partement";2009;08;15;"Le 15 aout 2009 � 22h un t�moin observe durant environ 40 secondes le d�placement d'un ph�nom�ne lumineux. Il �tait de couleur vert luminescent et de forme longiligne. Aucun bruit n'a �t� entendu.
Le t�moin a observ� une rentr�e atmosph�rique d'une m�t�orite : la couleur verte vient de la ionisation dans la haute atmosph�re.
Cette m�t�orite a �t� observ�e de B�le en Suisse jusqu'� l'extr�me sud de la Grande Bretagne.";"Rentr�e atmoph�rique d'une m�t�orite.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-08-02409
2533;"SAN-MARTINO-DI-LOTA (20) 30.08.2009";Haute-Corse;2B;"(D) D�partement";2009;08;30;"Un t�moin rapporte une observation faite de nuit le 30 ou 31 ao�t 2009 depuis la terrasse de son domicile. Un couple de lumi�res clignotantes et statiques apparait au-dessus de la mer. Aux jumelles, le t�moin constate que ces lumi�res sont reli�es entre-elles par ""une embase plate et allong�e comme un trait"". Apr�s vingt � trente minutes d'observation, l'objet finit par s'�loigner vers l'Est. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. Sur une ancienne photographie qu'il nous fait parvenir, le t�moin dessine son observation.
L'heure donn�e (environ) 2h 30 ne sera pas valid�e par l'enqu�teur (voir compte rendu enqu�te). Les hypoth�ses (scintillation des astres, �toiles et m�me plan�tes comme des possibles lumi�res de bateaux ou de lumi�res sur l'�le de Pianosa) sont peu probables.
Ce cas d'observation est en fait peu �trange, mais la faible consistance du t�moignage et l'impossibilit� de valider l'hypoth�se de feux sur la mer n'autorise pas de conclusion nette.
Ce cas est class� C en raison des incoh�rences relev�es.";"Observation d'un couple de lumi�res au-dessus de la mer : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02410
2534;"GRENOBLE (38) 06.08.2009";Is�re;38;"(D) D�partement";2009;08;06;"Le 6 ao�t 2009 vers 4h25 un t�moin observe tr�s bri�vement un point lumineux fixe (3 secondes) dans le ciel � l'Est de l'�toile polaire. Il s'�teindra de fa�on progressive.
Aucune information compl�mentaire ne sera communiqu�e par le t�moin sur ce ph�nom�ne.";"Observation d'un point lumineux.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02411
2535;"HAVRE (LE) (76) 31.08.2009";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2009;08;31;"Un chasseur observe le 31 ao�t 2009 vers 5h du matin le passage d'une forme cylindrique de couleur orang� dans le ciel. Observ� aux jumelles, le t�moin d�crit une couleur uniforme et brillante, presque fluorescente. D'abord immobile, l'objet commence � s'�lever dans un mouvement de balancier, pendant une dizaine de minutes. Puis il redescend de la m�me fa�on avant de dispara�tre. La sc�ne se d�roule au-dessus de la Manche � plusieurs kilom�tres de la c�te.
Plusieurs hypothh�ses ont �t� envisag�es (Fus�es �clairantes,Torch�re,Bateau, H�licopt�re, Avion) mais aucune ne convient.
Cette observation assez �trange m�riterait une enqu�te de terrain : mais le GEIPAN n'a pas r�ussi � joindre le t�moin ; de plus, plus de 3 ans apr�s les faits, les v�rifications seraient hasardeuses.
Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation du d�placement d'une forme cylindrique orange et lumineuse : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-03-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02424
2536;"CANET-EN-ROUSSILLON (66) 11.08.2009";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2009;08;11;"Le 11 aout 2009 entre 4h45 et 5h20 deux personnes observent au-dessus de la mer un point lumineux blanc dont le coutour est de couleur verd�tre. Aucun bruit n'est entendu durant les �volutions � vitesse variable et le d�part � grande vitesse de l'objet vers le large. Les t�moins constatent que deux bateaux de plaisance �taient dans le environs proches des �volutions du ph�nom�ne.
L'observation � Canet-en-Roussillon s'est d�roul�e pendant une campagne publicitaire effectu�e par l'agence Buzzman pour la cha�ne SyFy en nocturne dans la nuit du 10 au 11 ao�t 2009 entre Canet et Argel�s (voir le compte rendu d'enqu�te). Le th�me � Rencontre du 3e type � et les effets sp�ciaux utilis�s pour cette campagne concordent avec l'observation insolite des 2 t�moins. L'heure tr�s matinale de cette animation (4h45) correspond � la fin de l'animation commenc�e le soir dans la ville voisine d'Argel�s.
Ce cas est parfaitement expliqu� et donc class� � A � comme animation lumineuse pour une campagne de publicit�.";"Observation des �volutions silencieuses d'une sph�re lumineuse au-dessus de la mer : animation lumineuse li�e � une campagne publicitaire.";O;2;;;;;;;;2013-10-07;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-08-02425
2537;"SEDAN (08) 21.08.2009";Ardennes;08;"(D) D�partement";2009;08;21;"Le 21 ao�t 2009 � 21h49 un t�moin observe durant trois minutes dans le ciel un objet de forme ovale et �quip� d'un puissant phare lumineux blanc ainsi que de petites lumi�res. D'abord stationnaire l'objet part ensuite en ligne droite sans qu'aucun bruit ne soit entendu. La femme du t�moin observera �galement le ph�nom�ne et prendra des photographies.
Ce cas d'observation est assorti de plusieurs photos fournies par le t�moin. Ces photos s'av�rent d'une part mal correspondre � l'observation, et sont de toute �vidence issue d'un traitement infographique. Devant cette constatation, les photos sont consid�r�es comme inexploitables.
Reste l'observation du ph�nom�ne qui se r�v�le moyennement �trange du fait de son d�placement rectiligne, �ventuellement explicable par l'observation d'un avion � basse altitude.
Etant donn� les conclusions sur l'analyse de la photo, Le GEIPAN classe ce cas � C � par manque d'informations fiables.";"Observation de la pr�sence puis du d�placement dans le ciel d'un ph�nom�ne ovale avec des lumi�res : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02427
2538;"AUDUN-LE-TICHE (57) 05.08.2009";Moselle;57;"(D) D�partement";2009;08;05;"Dans la nuit du 5 ao�t 2009 vers 2h du matin deux personnes observent depuis leur domicile un objet circulaire particuli�rement lumineux. C'est en filmant le ph�nom�ne que le t�moin principal constate un tr�s lent d�placement horizontal de l'objet.
La configuration astronomique et un appel aux t�moins confirment que l'observation a �t� faite un soir de pleine lune. Le ""ph�nom�ne"" �tait � la gauche de la pleine lune. La configuration astronomique montre une tr�s probable observation de la plan�te jupiter particuli�rement visible en cette p�riode de l'ann�e (magnitude apparente -2,8 avec son diam�tre angulaire maximum de 48 arc seconde).";"Probable observation de Jupiter.";O;2;;;;;;;;2011-12-16;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-08-02450
2539;"[AERO AFR] PARIS (75) 13.08.2009";Paris;75;"(D) D�partement";2009;08;13;"Un passager observe peu apr�s le d�collage un point sombre et statique qui dispara�t subitement. Quelques minutes plutard un autre objet de m�me type appara�t. Le t�moin fait deux vid�os de ses observations
Les vid�os de mauvaises qualit�s montrant peut �tre un ballon � faible altitude juste apr�s le d�collage sont malheureusement inexploitables ce qui rend toute enqu�te et v�rification impossibles.";"Observation film�e depuis un avion de l'apparition d'un point sombre.";O;1;;;;;;;;2011-10-14;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02465
2541;"RANGEN (67) 24.08.2009";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2009;08;24;"Un t�moin rapporte ses observations successives du 23 et 24 aout 2009 durant lesquelles, il observe le d�placement de ph�nom�nes lumineux rouges dans le ciel. D'autres t�moignages seront recueillis.
La description d�taill�e du t�moin correspond tout � fait � des lanternes tha�landaises.
M�me si le t�moin signale que leur vitesse de d�placement n'est pas conforme au vent de ce jour l�, on peut expliquer ce d�placement rapide par des mouvements tr�s locaux de l'atmosph�re : celle-ci peut �tre perturb�e lors des nuits d'�t� par diverses causes, en particulier des ascensions thermiques au-dessus de certains b�timents ou champs.";"Probable observations du passage de lanternes tha�landaises.";O;3;;;;;;;;2012-01-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-08-02468
2543;"VILLIERS-CHARLEMAGNE (53) --.08.2009";Mayenne;53;"(D) D�partement";2009;08;--;"T�moignage r�cent (le 26 novembre 2011) d'une observation ancienne et sans date pr�cise du jour d'observation (25 ou 26 ao�t 2009 dans le mail du 26/05/2011).
Un t�moin rapporte une observation de d�placements particuliers d'une forme lumineuse ronde et blanche dans le ciel. Aucun clignotement et aucun bruit ne sont remarqu�s.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Les hypoth�ses suivantes ont �t� envisag�es : un h�licopt�re scrutant une zone d'observation, ou un engin de chantier dans la carri�re proche, (Carri�re de la Fosse) situ�e au Nord Ouest du point d'observation.
L'absence de date pr�cise, la date relativement ancienne de l'observation, sa faible �tranget� ne permettent pas de lancer une enqu�te.
Le cas est class� ""C"" par manque d'information, en attente d'�ventuels �l�ments compl�mentaires.";"D�placements particuliers d'une forme lumineuse ronde et blanche dans le ciel. Aucun clignotement et aucun bruit : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-08-02757
2545;"MAUBOURGUET (65) 22.08.2009";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";2009;08;22;"Plusieurs personnes observent le 22 ao�t 2009 vers 21h30 le passage d'une boule lumineuse orange. Celle-ci se d�place sur une trajectoire rectiligne dans le sens Ouest-Est : aucun bruit n'est entendu durant l'observation. La boule s'immobilise avant de dispara�tre � tr�s grande vitesse vers le sud. Le GEIPAN recevra ult�rieurement les t�moignages par mail de deux autres t�moins.
L'observation a les caract�ristiques des lanternes tha�landaises : couleur orange, d�placement coh�rent avec le vent (vent faible varible, de dominante Ouest), f�te locale � proximit� (Rencontres de Maubourguet). L'immobilit� temporaire apparente de l'objet peut s'expliquer par un d�placement face aux observateurs, la disparition de l'objet correspond � l'extinction de la flamme.
Le GEIPAN classe ce cas 'B' : observation probable de lanterne tha�landaise.";"Observations du passage silencieux d'une boule orange dans le ciel : probable passage d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2012-07-31;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-08-08221
2546;"COURTRY (77) 29.08.2009";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2009;08;29;"Il s'agit d'une observation de 2009 t�moign�e 3 ans plus tard. Le t�moin pr�cise ""une grande majorit� des gens auxquels j'ai rapport� ces faits se sont moqu� de moi.Je veux quand m�me aujourd'hui apr�s mures r�flexions croire que votre organisme officiel se doit de prendre en compte mes observations et mes photos"".
Lors d'une soir�e festive en terrasse � 23h, un point lumineux rouge orang� suivi d'une dizaine d'autres points sont aper�us en d�placement dans le ciel �toil�. l'ensemble s'arr�te durant 30 secondes puis chacun des points disparait un par un. Aucun bruit n'est entendu.
Quinze personnes ont observ� le ph�nom�ne. Seul le t�moin fait un t�moignage accompagn� de photographies.
L'observation a de nombreuses caract�ristiques des lanternes tha�landaises, en particulier les couleurs, le d�placement en formation et l'extinction une � une des lumi�res. Les photos fournies sont �galement conformes � cette hypoth�se.
Le d�placement puis l'arr�t sont compatibles de la m�t�o indiquant un vent avec petites rafales Infoclimat.
L'extinction subite de la flamme est souvent interpr�t�e comme un d�part � vitesse vertigineuse. Ce t�moignage illustre bien l'�motion que peut susciter cette interpr�tation, le t�moin pr�cise ""Il s'agit tout simplement d'OVNI, car la technologie actuelle sur terre ne permet pas une telle vitesse d'acc�l�ration vers l'espace"".
En 2008 les lanternes tha�landaises sont d�j� en vente. On est un soir de weekend d'�t� propice � des �v�nements festifs.
Le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation de l'arriv�e successive puis du d�placement d'une dizaine de points lumineux rouge orange dans le ciel nocturne et disparition rapide : observation probable de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2018-02-28;;;0.30;0.13;;;0.60;;0.60;;0.40;0.00;B;B;2009-08-08376
2548;"NANCY (54) 06.09.2009";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2009;09;06;"Le dimanche 6 septembre 2009 deux t�moins observent depuis leur domicile le passage O-E de plusieurs boules oranges, toutes �quidistantes les unes des autres. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation.
La presse locale indiquera les jours suivants que de nombreuses personnes ont fait une observation similaire cette nuit l� et que des photos et films ont �t� pris.
Un l�cher d'une centaine de lanternes thailandaises lors des festivit�s d'un mariage est � l'origine de ces observations.";"Observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-12-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-09-02392
2549;"MARTRES-TOLOSANE (31) 06.09.2009";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2009;09;06;"Le dimanche 6 septembre � 0h24 un t�moin observe depuis la terrasse de son domicile le passage de 12 boules lumineuses jaunes orang�es dans le ciel. Le d�placement se fait silencieusement sur une trajectoire ascendante. La lumi�re de ces boules s'att�nue progressivement.
Une des photographie (DSC 03903) fournie par le t�moin permet de situer la Lune par rapport aux boules, puis de recaler la direction d'observation indiqu�e par t�moin, qui s'av�re incorrecte.
Les boules flotteraient dans une direction Sud-Est ce qui est compatible avec la direction des vents. La dur�e du ph�nom�ne n'exc�dant pas 5 minutes avec extinction progressive des lueurs, la trajectoire lente et la variation des positions relatives entre les boules, le moment de l'observation (dans la nuit d'un samedi au dimanche),la couleur jaune-orang�e. Tout cela confirme l'hypoth�se des lanternes tha�landaises.
Faute d'avoir trouv� l'origine de ces lanternes, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes Tha�landaises.";"Observation du passage de boules lumineuses dans le ciel : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-10-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-09-02400
2550;"SAINTE-GENEVIEVE-DES-BOIS (91) 05.09.2009";Essonne;91;"(D) D�partement";2009;09;05;"Lors d'un repas de rue le 5 septembre 2009 vers 22h, plusieurs personnes observent le passage silencieux d'un objet lumineux dans le ciel. Un t�moin rapporte son observation d'une boule de couleur orang�e se d�pla�ant lentement pour soudain partir en direction du Sud � vive allure et toujours sans bruit.
Les caract�ristiques de l'observation semblent indiquer un ph�nom�ne bien connu et souvent rapport� au GEIPAN : le passage d'une lanterne volante lumineuse. La pr�sence d'un feu d'artifice � proximit� et donc d'une activit� festive renforce tr�s sensiblement cette hypoth�se. Ce cas est class� B comme l'observation probable d'une lanterne lumineuse volante.";"Observation du passage silencieux d'un objet lumineux orang� : probable observation du d�placement d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2012-09-13;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-09-02401
2551;"PARIS (75) 07.09.2009";Paris;75;"(D) D�partement";2009;09;07;"Le 7 septembre 2009 vers 18h10 - 18h15 un t�moin constate dans le O-NO du ciel parisien la pr�sence d'une ""boule brillante � forts �clats intermitents"".
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Le t�moin ne souhaitant pas remplir un questionnaire d'observation standard, toute investigation est impossible par manque d'informations pr�cises.
Le cas est class� ""C"".";"Observation d'une boule brillante � forts �clats intermitents.";O;1;;;;;;;;2012-03-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-09-02402
2552;"TAILLAN-MEDOC (LE) (33) 08.09.2009";Gironde;33;"(D) D�partement";2009;09;08;"Le 08 septembre 2009 � 21heure14, un t�moin observe dans le ciel une lumi�re vive et sans clignotement qui se d�place � une allure rapide d'Ouest en Est sur une trajectoire rectiligne.
Ce t�moignage est tr�s peu �trange, et la description sommaire pour une �tude s�rieuse. Il s'agit tr�s probablement d'un passage de la station spatiale internationale ISS qui passait d'Ouest en Est au dessus de l'horizon Sud de 21h07 � 21h14 (voir relev� Calsky).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation de la station internationale ISS.";"Observation du d�placement rapide d'une lumi�re vive et sans clignotement : probable passage ISS.";O;1;;;;;;;;2014-01-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-09-02403
2553;"BOURDIC (30) 04.09.2009";Gard;30;"(D) D�partement";2009;09;04;"Un t�moin rapporte une observation faite depuis un v�hicule : circulant entre Nimes et Russan dans le Gard, elle a vu plusieurs fois un objet blanc, ressemblant � une montgolfi�re ou � un ballon m�t�o, se d�placer dans le ciel le vendredi 4 septembre 2009 entre 8h et 8h30 du matin.
Bien qu'une photographie ait �t� prise par le t�moin et malgr� nos relances, aucune pr�cision ne sera donn�e rendant toute enqu�te impossible par manque d'informations.";"Observation du passage d'un objet volant ressemblant � un ballon m�t�o : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-03-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-09-02405
2554;"POISSY (78) 27.09.2009";Yvelines;78;"(D) D�partement";2009;09;27;"Le 27 septembre 2009 vers 23h05, un t�moin observe durant 2 mn dans le ciel le d�placement de trois points lumineux l�g�rement orang�s formant un triangle. Un des points lumineux se divise en deux, le t�moin observe alors deux ph�nom�nes. L'ensemble disparait silencieusement en direction de la for�t de Saint Germain en Laye.
Le t�moignage est trop succinct pour qu'une enqu�te soit men�e : le t�moin rappel� 18 mois apr�s l'observation ne souhaite pas donner plus de renseignements.
Ce cas est class� en cat�gorie C : Manque d'information.";"Observation du d�placement de points l�g�rement orang�s formant un triangle : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-09-02414
2555;"MEROUX (90) 26.09.2009";"Territoire de Belfort";90;"(D) D�partement";2009;09;26;"Un t�moin observe le 26 septembre 2009 � 11h11une boule tr�s lumineuse de couleur argent� qui bouge tr�s lentement � l'horizontale dans le ciel. Elle dispara�t instantan�ment.
Cette observation est probablement celle d'un ballon �clair� par le soleil. Le vent �tant nul, il peut s'agir d'un ballon d'enfant ou de foire relativement proche et qui �clate soudainement ou d'un ballon m�t�o �loign� et haut dans le ciel.
Ce cas est class� B comme l'observation probable d'un ballon �clair� par le soleil.";"Observation d'une boule argent�e dans le ciel et disparition instantan�e : probable observation d'un ballon.";O;1;;;;;;;;2012-09-13;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-09-02415
2556;"FABREGUES (34) 27.09.2009";H�rault;34;"(D) D�partement";2009;09;27;"Le 27 septembre 2009 un t�moin raconte par mail avoir vu durant la nuit � 2h25 du matin un ph�nom�ne lumineux particulier. Il a observ� par l'entrebaillement d'un volet, des lumi�res au-dessus de sa maison. Aucun bruit n'a �t� entendu durant l'observation. Ces lumi�res rouges puis vertes ont rapidement disparu.
Le t�moin de souhaitant pas fournir davantage d'explications, il est impossible d'investiguer plus avant. Le cas est donc class� C par manque d'information.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-09-02416
2557;"ROCHE-SUR-YON (LA) (85) 21.09.2009";Vend�e;85;"(D) D�partement";2009;09;21;"Un automobiliste observe � deux reprises le 21 septembre 2009 le d�placement d'un point lumineux de couleur jaune dans le ciel.
Le questionnaire de cette observation du 21 septembre 2009 n'est parvenu au GEIPAN qu'en f�vrier 2011.
En l'absence de PV et de pr�-enqu�te, il est impossible de porter des conclusions sur ce t�moignage unique et pas tr�s d�taill� dans le questionnaire (ph�nom�nes tr�s brefs, conduite de nuit, observation � travers la vitre du v�hicule roulant, altitude tr�s basse au niveau de la route peut �voquer l'hypoth�se de reflet de phares de v�hicule, de lampadaire, ).
Ce t�moignage est peu consistant et ne pr�sente pas de caract�re d'�tranget�. Le cas inexpliqu� est class� C par manque d'informations et enqu�te impossible.";"Observations du d�placement de points lumineux dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2011-02-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-09-02417
2559;"HEROUVILLE-SAINT-CLAIR (14) 16.09.2009";Calvados;14;"(D) D�partement";2009;09;16;"Le GEIPAN a re�u le t�moignage succinct d'une observation particuli�re faite le 16 septembre 2009.Un t�moin unique a observ� le passage rapide en direction du Nord d'un ph�nom�ne lumineux changeant plusieurs fois de trajectoire. Le ph�nom�ne a disparu en direction du N-O.
Malgr� nos relances aucune autre information ne sera recueillie sur ce ph�nom�ne rendant toute enqu�te impossible.";"Observation d'une lumi�re avec changement de trajectoire.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-09-02419
2561;"SAINT-OUEN (93) 29.09.2009";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";2009;09;29;"Le 29 septembre 2009 � 8h27 un t�moin dans son jardin observe durant 30 � 50 secondes le passage silencieux N-NE d'un ph�nom�ne blanc lumineux en forme de goutte d'eau irradiant une lumi�re l�g�rement bleut�e.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
La faible �tranget� du ph�nom�ne observ� et l'inconsistance du t�moignage ne permettent pas de conclure � un bolide avec certitude, bien que le dessin fait par le t�moin soit typique d'un bolide.
Ce cas est class� � B � : observation probable d'un bolide.";"Observation du passage silencieux N-NE d'un ph�nom�ne lumineux en forme de goutte d'eau : probable observation de bolide.";O;1;;;;;;;;2013-02-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-09-02429
2562;"(CAN) CHASSENEUIL-DU-POITOU (86) 24.09.2009";Vienne;86;"(D) D�partement";2009;09;24;"Le GEIPAN est contact� par t�l�phone 24 ao�t 2009, au sujet d'une observation de plusieurs boules de lumi�res observ�es l'avant veille (dans la nuit du 22 au 23 septembre 2009). Recontact� un mois plus tard afin d'obtenir le Questionnaire Terrestre relatif � cette observation, le t�moin se d�siste, ayant entretemps d�couvert qu'il s'agissait de lanternes tha�landaises.
Il saisit cependant l'occasion pour faire part d'un ph�nom�ne �trange observ� par son fils de 7 ans le jeudi 24 septembre 2009 aux environs de 19h. Un questionnaire et un dessin par fax sont adress�s au GEIPAN en octobre 2009.
Ce soir l� l'enfant qui s'amuse dans le jardin a son attention attir�e par le bruit d'un avion venant du SO. L'enfant est ensuite intrigu� par un objet parall�l�pip�de blanc opaque derri�re l'avion. L'objet s'incline pour passer sous l'avion puis chute brutalement pour se stabiliser en-dessous d'une ligne � haute tension. Il progresse ensuite en direction de l'antenne TV de la maison du voisin (� 10m), remonte � tr�s grande vitesse pour s'arr�ter brutalement et repartir verticalement pour disparaitre dans le ciel.
Lors de l'observation qui a dur� entre 20 et 30 secondes le ciel �tait clair et sans nuages. Aucun autre t�moignage n'est rapport� au GEIPAN.
Un vent �tabli � 17 Km/h de moyenne souffle du Nord Nord Est, l'objet, en forme de parall�l�pip�de blanc opaque, se pr�sente en altitude par le Sud-Ouest du lieu d'observation, c'est-�-dire contre le vent. Il chute brutalement pour se stabiliser � hauteur des toits, progresse silencieusement sous la ligne � haute tension, toujours contre le vent, avant de repartir � la verticale et de dispara�tre dans le ciel.
Aucune hypoth�se usuelle ne permet de r�pondre � ces crit�res.
Ce cas r�sulte du t�moignage d'un enfant de 7 ans, t�moignage indirect car rapport� par son p�re. Le GEIPAN n'a pas alors jug� souhaitable d'approfondir le t�moignage d'un enfant de cet �ge. La sinc�rit� n'a pas particuli�rement lieu d'�tre mise en cause mais un enfant de cet �ge peut �tre plus facilement influenc�, y compris inconsciemment, par des discussions ou situations dans son environnement proche, influence pouvant conduire � exag�rer ou sur-interpr�ter des �l�ments observ�s qui peut-�tre �taient banals � la base. Notons que le papa avait d�j� fait un premier t�moignage au GEIPAN un mois plus t�t, cette autre observation avait trouv� une explication rapidement (lanternes thailandaises) mais a pu cr�er chez l'enfant ce facteur d'influence ou d'inqui�tude en relation avec la possible �tranget� du ciel.
En cons�quence GEIPAN classe le cas C: manque d'information fiable.";"Observation des d�placements rapides et arr�ts brusques d'un parall�lipip�de rectangle blanc dans le ciel : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2017-04-27;;;0.70;0.13;;;0.50;;0.60;;0.30;0.00;C;C;2009-09-02430
2563;"CHATEAUBRIANT (44) 24.09.2009";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2009;09;24;"Un t�moin rapporte deux observations.
En vacances dans l'Aude vers le 22 juillet 2009 et vers 23h (le t�moin ne se souvient plus de la date exacte), il observe dans le ciel le d�placement d'Ouest en Est d'une sph�re tr�s lumineuses et l�g�rement ovale. Changeant brusquement de trajectoire, le ph�nom�ne dispara�t dans l'espace.
Les hypoth�ses envisageables de foudre en boule, m�t�ores n'ont pu �tre v�rifi�es du fait des incertitudes sur la date et l'heure exacte de l'observation. Une activit� 'm�t�ores' a eu lieu le 25/07/2009 vers 23h45 locales mais ne semble pas correspondre � l'observation.
Le 24 septembre 2009 � 7h55� son domicile, ce t�moin aper�oit le d�placement N-S d'un objet volant dans le ciel qui l'intrigue. L'objet dispara�t rapidement.
Une probable hyphoth�se serait l'observation d'un avion �clair� par le soleil levant. Ces cas d'observations sont class�s ""C"" par manque de pr�cisions et d'informations.";"Observations tr�s br�ves de ph�nom�nes dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2012-02-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-09-02436
2564;"SAINTE-SUZANNE (974) 29.09.2009";"La R�union";974;"(D) D�partement";2009;09;29;"Deux t�moins rapportent que plusieurs soirs, ils ont vu entre 22h et minuit une lumi�re verte florescente montant verticalement dans le ciel.
Un gendarme confirme avoir vu �galement cette luminosit� dans le ciel et aux m�mes horaires.
L'enqu�te de la gendarmerie d�montrera que le laboratoire d'�tudes de l'atmosph�re et des cyclones de la Facult� des Sciences de Saint-Denis utilise r�guli�rement un ""lazer"" pour �tudier de nuit des ph�nom�nes m�t�orologiques. La description de la lumi�re verte florescente, fixe, correspond en tout point avec les dires des t�moins.";"Rayon laser utilis� dans le cadre de recherches en m�t�orologie par la Facult� de Sciences de Saint-Denis.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-09-02437
2565;"POITIERS (86) 06.09.2009";Vienne;86;"(D) D�partement";2009;09;06;"Un t�moin observe entre minuit et minuit quinze depuis les fen�tres de son domicile, le d�placement silencieux et rectiligne de trois boules lumineuse orang�es. Apr�s un changement de direction, celles-ci disparaissent en s'�levant dans le ciel.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
La description du t�moin correspond parfaitement � des lanternes tha�landaises.";"Probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2011-12-01;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-09-02438
2566;"POITIERS (86) 05.09.2009";Vienne;86;"(D) D�partement";2009;09;05;"Le 05 septembre 2009 aux alentours de minuit dix, deux t�moins � leur domicile observent le d�placement N-S de quatre lumi�res intenses de couleur orange vif. Aucun bruit ne sera entendu durant l'observation de 5 minutes. Elles dispara�tront en direction de l'Ouest dans une trajectoire ascendante.
La description correspond parfaitement � des lanternes tha�landaises.";"Probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2011-12-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-09-02439
2567;"PARIS (75) 09.09.2009";Paris;75;"(D) D�partement";2009;09;09;"Ce cas peu �trange pr�sente des caract�ristiques de lanternes tha� : couleur orange, aspect de feu, d�but du d�placement selon le vent de NE (19 � 50km/h).
Le dossier d'observation est tr�s succinct ne mentionne pas le point pr�cis ni les directions d'observation. Le d�placement erratique observ� peut �ventuellement s'expliquer par des rafales de vent, sans pouvoir les justifier.
Ce dossier est class� ""C"" : manque d'information pour conclure : dossier incomplet, incapacit� � mod�liser les rafales de vent en ville.";"Observation du d�placement avec changement de direction d'une boule lumineuse orang� : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2012-08-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-09-02440
2568;"FLEIX (86) 15.09.2009";Tarn;81;"(D) D�partement";2009;09;15;"Le 16 septembre 2009 � 4h26 un t�moin observe dans le ciel un ph�nom�ne qu'il ne s'explique pas. Il rapporte � la gendarmerie avoir observ� une forme mat�rielle � l'extr�mit� d'un nuage. L'objet �tait rond avec trois ou quatre fen�tres �clair�es. Sous cet objet, il a �galement constat� la pr�sence d'une barre elle-m�me surmont�e d'une lumi�re ovoide se d�placant lat�ralement de gauche � droite. Le ph�nom�ne �tait fixe, � faible altitude et a �t� visible pendant plus de cinq minutes.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne et aucune autre information ne sera apport�e lors de l'enqu�te de gendarmerie.
Malgr� la demande du GEIPAN, le t�moin n'a pas communiqu� d'informations compl�mentaires, ce qui ne permet aucune investigation pr�cise. Le cas est class� C par manque d'informations.";"Observation d'une forme mat�rielle � l'extr�mit� d'un nuage : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2012-05-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-09-02451
2569;"CHAHAIGNES (72) 13.09.2009";Sarthe;72;"(D) D�partement";2009;09;13;"Le 13 septembre 2009 entre 21h30 et 22h, deux gendarmes en patrouille observent une masse immobile et sombre stationnaire au-dessus de la mairie de Chahaignes. De forme allong�e, avec deux sortes d'ailes et deux lumi�res de couleur rouge clignotant de mani�re asynchrone, l'objet se d�place ensuite lentement. Un l�ger vrombissement est entendu provenant de l'objet. Sortant du village, la patrouille observera de nouveau cette masse qui est � tr�s basse altitude au-dessus des champs et semble suivre le relief. La partouille continuant sa ronde laisse derri�re elle l'objet qui aura disparu � leur retour sur le secteur. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Cette observation a une tr�s bonne consistance, du fait de deux t�moins de qualit� avec un rapport tr�s d�taill� en gendarmerie.
L'�tranget� est moyenne du fait que l'objet observ� a de nombreuses caract�ristiques d'un petit dirigeable civil : taille, forme, �clairage, dynamique de vol.
Ce qui fait l'�tranget� de ce cas, c'est qu'il fait nuit, que cet engin vole tr�s bas, prenant des risques importants, en infraction r�glementaire, et qu'il n'en a �t� retrouv� aucune trace dans la r�gion sur les sites o� ce genre d'engins est connu.
Le GEIPAN classe ce cas � B � : observation probable d'un petit dirigeable, peut-�tre t�l�command�, probablement � propulsion �lectrique.
";"Observations d'une masse sombre avec deux feux clignotant ; l�ger vrombissement et d�placement lent de l'objet : probable observation d'un petit dirigeable, peut-�tre t�l�command�, probablement � propulsion �lectrique.";O;2;;;;;;;;2014-09-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-09-02522
2570;"MARSEILLE (13) --.09.2009";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2009;09;--;"Un t�moin nous adresse un clich� photographique sur lequel est constat� la pr�sence d'un objet que le t�moin n'a pas vu lors de la prise de la photographie. Aucune date pr�cise n'est indiqu�e par le t�moin (le t�moin parlant d'un we de septembre 2009)
Une analyse de photo � post�riori, ne faisant pas l'objet d'une observation directe, est souvent compliqu�e.
L'objet non identifi� sur la photo 100_0726 semble �tre un oiseau dont on peut percevoir le dessous des ailes sombres, dans l'ombre. ";"Pr�sence d'un objet sur photographie sans observation directe lors de la prise de vue : probable oiseau.";O;1;;;;;;;;2018-03-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-09-02525
2572;"THONES (74) 26.09.2009";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2009;09;26;"Le GEIPAN est contact� par un t�moin au sujet d'un objet singulier observ� dans le ciel de Th�nes (74) lors de la foire agricole de la Saint-Maurice le 26 septembre 2009. L'objet semble tourner sur lui-m�me. Le t�moin joindra � son mail deux photographies de l'objet, mais ne remplira pas de questionnaire terrestre, ni ne r�pondra aux demandes de d�tails. Il ne pr�cise pas si d'autres t�moins ont vu le ph�nom�ne.
Ce cas est �trange seulement par la forme de l'objet : son d�placement semble �tre celui d'un ballon, donc d'un objet ""plus l�ger que l'air"". Le t�moignage est malheureusement trop peu consistant pour permettre une conclusion solide, sauf � obtenir des d�tails suppl�mentaires quant � l'observation.
Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Longue observation du vol d'un objet dans le ciel semblant tourner sur lui-m�me : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-09-08636
2573;"RAINCY (LE) (93) 31.10.2009";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";2009;10;31;"Le 31 octobre 2009 vers 3h30, un t�moin observe dans le ciel un ballet de plusieurs boules lumineuses se t�lescopant plusieurs fois. Il finit par r�veiller sa compagne qui constate la m�me chose. Ceci durera plusieurs heures. Le t�moin finit par retrourner se coucher vers 5h du matin alors que le ph�nom�ne se d�roule toujours.
Le ph�nom�ne observ� dans la nuit du 31 octobre 2009 au RAINCY (93) est probablement d� � la rotation de deux sky trackers (voir compte rendu d'enqu�te). Le lieu de l'animation n'a pu �tre trouv� et confirm�.
Ce cas d'observation au niveau d'�tranget� faible est class� en B : probable observation d'une animation lumineuse par faisceaux laser.";"Observations du ballet d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : probable observation d'une animation par faisceaux laser.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-10-02434
2574;"PARIS (75) 18.10.2009";Paris;75;"(D) D�partement";2009;10;18;"Le 18 octobre en fin d'apr�s midi, un t�moin observe tr�s haut dans le ciel plusieurs dizaines de points lumineux blancs. Ils se d�placent d'Est en Ouest tr�s lentement. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations m�me si il fait penser � une observation ""caract�ristique"" de lanternes thailandaises.";"Observation du lent d�placement de plusieurs dizaines de points lumineux.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-10-02435
2575;"ELEMENTS DE FUSEE - NATIONAL (FR) 18.10.2009 �ETAGE CENTAUR-FUSEE ATLAS�";France;FR;"(N) National";2009;10;18;"Le GEIPAN a re�u de nombreux t�moignages sur des observations faites le dimanche 18 octobre 2009 autour de 21h15 (heure locale) concernant le passage Sud Nord-Ouest de deux points lumineux dans le ciel.
Les observations ont �t� faites sur l'ensemble du territoire national. Elles d�crivent tr�s souvent un � deux points lumineux brillants suivis d'un halo blanc (comme une tra�n�e de com�te). Aucun bruit n'a �t� entendu.
Ces observations correspondent � la phase du largage du carburant de l'�tage Centaur d'un satellite m�t�o militaire am�ricain DSMP F18 lanc� par une fus�e Atlas depuis la base de lancement de Vanderberg en Californie (USA).
Ce cas fait l'objet d'une actualit� sur le site du GEIPAN.
De nouveaux t�moignages sont rajout�s r�guli�rement dans ce cas.";"Rentr�e atmosph�rique de l'�tage Centaur de la fus�e Atlas.";O;20;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-10-02442
2576;"ETOGES (51) 04.10.2009";Marne;51;"(D) D�partement";2009;10;04;"Un agriculteur observe, � une distance importante, le passage un objet de la grosseur d'un semi-remorque avec de nombreuses lumi�res. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. Le t�moin ne portait pas ses lunettes au moment de l'observation. N�ammoins, sa premi�re impression lui fait penser � une moissonneuse batteuse roulant avec ses feux de travail allum�s (tr�s probable dans une zone de champs agricoles). Sa vue sans lunettes ne lui a pas permis de voir en d�tail l'engin, qui circulait sur la route. La vitesse estim�e de 80 km/h para�t �videment trop importante pour une moissonneuse batteuse, mais pas anormale pour un gros convoi exceptionnel transportant ce type d'engin. L'absence de bruit est explicable par la direction du vent (voir situation m�t�o) qui portait le bruit dans la direction oppos�e au t�moin.
Ce cas est class� B comme l'observation tr�s probable d'un v�hicule terrestre de dimensions importantes circulant sur la route.";"Probable observation du d�placement d'un v�hicule terrestre.";O;1;;;;;;;;2011-03-14;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-10-02452
2577;"ILLE-SUR-TET (66) 14.10.2009";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2009;10;14;"Deux t�moins rapportent une observation faite le 14 octobre 2009 vers 21h : regardant vers le Sud le t�moin principal voit dans le ciel �toil� une forme de taille importante et de couleur grise qui se d�place silencieusement vers le Nord. A l'int�rieur de la forme une boule �tincelante est aper�ue. Le second t�moin confirme la pr�sence d'un grand cercle blanc ayant la consistance d'une fum�e.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Les descriptions des t�moins sont trop peu pr�cises pour pouvoir �mettre une hypoth�se. Le cas est class� C.";"Observations par deux t�moins du d�placement d'une forme gigantesque avec une boule �tincelante : manque d'informations.";O;2;;;;;;;;2016-12-13;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-10-02464
2578;"LANVAUDAN (56) 17.10.2009";Morbihan;56;"(D) D�partement";2009;10;17;"Le 17 octobre 2009 � 23h30 un t�moin r�alise une vid�o d'une dizaine d'objets volants � 30 m�tres du sol. Durant l'observation de 15 minutes, les objets se d�placent de fa�on coordonn�e et sans bruit en direction du Sud Sud-Ouest. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne dans le secteur. Ce t�moin a probablement observ� le passage de lanternes volantes.";"Probable observation de lanternes volantes.";O;1;;;;;;;;2010-04-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-10-02477
2579;"COULOUNIEIX-CHAMIERS (24) 27.10.2009";Dordogne;24;"(D) D�partement";2009;10;27;"Un t�moin nous rapporte ses observations film�es.
Il s'agit de deux observations (le 27/10/2009 et le 13/11/2009 ) faites par le m�me t�moin du m�me endroit. Les deux observations d�crivent des fils blancs dans le ciel (tra�n�es d'avion et/ou tra�n�es atmosph�riques) et l'observation de 'boules noires' traversant le ciel � grande vitesse (vols d'oiseaux ou d'insectes au premier plan du film envoy� par le t�moin au Geipan).
En l'absence de PV de gendarmerie et d'autres �l�ments d'enqu�te, ces deux cas sont class�s B comme l'observation probable de ph�nom�nes tout � fait naturels.";"Probables observations de ph�nom�nes naturels.";O;1;;;;;;;;2011-02-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-10-02505
2580;"NIEUIL-L'ESPOIR (86) 03.10.2009";Vienne;86;"(D) D�partement";2009;10;03;"Le 3 octobre 2009 vers 21h30 une famille (t�moins 1 et 2) observe dans le ciel le passage, par groupes, d'objets volants et brillants dans le ciel. Ces objets ronds se d�placent horizontalement et rapidement. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation qui dure entre 6 et 7 minutes. La lueur de ces objets s'att�nue avant de dispara�tre compl�tement. L'enqu�te de gendarmerie d�terminera qu'il s'agissait de lanternes chinoises lanc�es lors d'un anniversaire. Le responsable du l�cher (t�moin3) a remis quelques photographies prises � cette occasion. La description de l'observation par les t�moins 1et 2 vers 21h30 correspond � l'observation probable de lanternes thailandaises. Le lancement de lanternes volante d�clar� en gendarmerie (lancement vers 23h00) par le t�moin 3 ne correspond pas � l'heure d'observation. Les donn�es contenues dans les photos envoy�es par le t�moin 3 confirment pourtant cette heure de lancement vers 23h00.";"Probable observation de lanternes volantes.";O;3;;;;;;;;2010-03-15;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-10-02519
2582;"JEANTES (02) 15.11.2009";Aisne;02;"(D) D�partement";2009;11;15;"Les 14 et 15 novembre 2009, des t�moins font des observations successives de d�placement d'une lumi�re bleue dans le ciel .
La premi�re observation du 14 novembre a �t� m�diatis�e et d'autres personnes se sont manifest�es pour le m�me type d'observation sur des communes plus au Nord � Buironfosse(02) et � Beaurieux(59). Les t�moins d�crivent une lumi�re bleue dans le ciel de forme arrondie allant lentement de droite � gauche dans le ciel (m�me s'ils ne sont pas d'accord sur la distance et l'origine du ph�nom�ne).
Une 3�me observation du 21novembre est identifi�e par les gendarmes comme un projecteur d'une des discoth�ques de la r�gion. Cette hypoth�se envisageable explique probablement les observations du 14 et 15 novembre 2009.";"Observations successives d'un ph�nom�ne lumineux.";O;2;;;;;;;;2011-05-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-11-02455
2585;"THEMINES (46) 26.11.2009";Lot;46;"(D) D�partement";2009;11;26;"Une personne t�moigne par t�l�phone de l'observation durant trente secondes d'une �toile qui grossit puis du passage silencieux � vitesse r�guli�re de trois points lumineux formant un triangle. Le ph�nom�ne a rapidement disparu en direction de Figeac.
L'observation d'une ""�toile"" qui grossit (se rapproche) et de 3 points lumineux en triangle pourrait correspondre � un avion (couloir a�rien), mais malgr� les relances du GEIPAN, aucune information (ni questionnaire, ni PV) n'est transmise par le t�moin. Toute enqu�te est impossible.";"Observation de trois points lumineux formant un triangle.";O;1;;;;;;;;2011-03-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-11-02459
2586;"BRETIGNY-SUR-ORGE (91) 18.11.2009";Essonne;91;"(D) D�partement";2009;11;18;"Un temoin observe le 18 novembre 2009 entre 20h et 23h une dizaine d'objets aux lumi�res clignotantes. L'observation dure entre 20 et 30 minutes. L'ensemble se d�place sans aucun bruit. Le t�moin n'a pas r�pondu aux relances du GEIPAN lui demandant des informations compl�mentaires n�cessaires � l'enqu�te. Le cas est class� C par manque d'informations.";"Observation de ph�nom�nes lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-05-25;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-11-02460
2587;"SAINT-VARENT (79) 10.11.2009";Deux-S�vres;79;"(D) D�partement";2009;11;10;"En fermant les volets de sa maison � 18h15, un t�moin observe le passage d'une grosse lueur orange et jaune venant du S-E. Durant l'observation qui dure une minute aucun bruit n'est entendu. Cette lueur se dirige ensuite vers le Nord et dispara�t de sa vue. Suite � l'enqu�te de gendarmerie, le t�moin identifiera formellement la photo du PAN comme �tant un ballon lumineux de type lanterne tha�landaise.";"Observation du passage d'une lanterne volante.";O;2;;;;;;;;2010-03-16;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-11-02462
2589;"CHANGE (72) 12.11.2009";Sarthe;72;"(D) D�partement";2009;11;12;"Le 12 novembre 2009, un t�moin constate qu'une pi�ce de son domicile est �clair�e et que la source semble venir d'un objet de forme ovale qui flotte dans les airs dans l'alignement de pyl�nes �lectriques. L' observation dure 20 secondes et aucun bruit n'est entendu.
Aucun autre t�moignage ne sera rapport�.
Les compl�ments d'enqu�te apport�s par l'IPN mandat� relatent des travaux effectu�s en novembre 2009 sur le pyl�ne EDF dans la direction de l'observation et la pr�sence � proximit� d'un ballon militaire avec un �clairage puissant.
Ces �l�ments permettent de trouver une explication rationelle � cette observation, de conclure l'enqu�te et classer le cas.
Ce cas, qui au d�part semblait pr�senter un certain niveau d'�tranget�, est probablement expliqu� par l'observation d'un ballon utilis� par les militaires, ballon qui �tait � puissament � �clair� au moment de l'observation.";"Probable observation d'un ballon militaire dot� d'un �clairage puissant.";O;1;;;;;;;;2011-04-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-11-02474
2590;"MONTLUEL (01) 10.11.2009";Ain;01;"(D) D�partement";2009;11;10;"Le 10 novembre 2009 vers 20h30 un t�moin observe une lumi�re circulaire de grande taille dans les nuages. Un avion semble bifurquer pour �viter la lumi�re qui dispara�t subitement. Le t�moin ne souhaite pas apporter des informations compl�mentaires en allant t�moigner en gendarmerie. Le mouvement de l'avion observ� suit s�rement un couloir a�rien normal (proximit� de l'a�roport). Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne pour lequel nous manquons d'informations.";"Observation d'une lumi�re circulaire dans les nuages.";O;1;;;;;;;;2010-04-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-11-02476
2591;"CRETEIL (94) 18.11.2009";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2009;11;18;"Un t�moin nous fait part d'une observation faite le mercredi 18 novembre 2009 � 7h01. Il a vu le d�placement d'une lumi�re orang�e. La vitesse de d�placement �tait variable avec des acc�l�rations et des ralentissements sur une trajectoire irr�guli�re. La description d'une lumi�re orang�e peu lumineuse se d�pla�ant en zig zag � une altitude faible et ayant des changements de direction et vitesse 'au gr� du vent' fait immanquablement penser � l'observation d'une lanterne volante de type tha�landaise. Le cas est class� B : observation problable d'une lanterne volante.";"Observation du d�placement d'une lumi�re orang�e dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2010-06-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-11-02486
2592;"BUIRONFOSSE (02) 19.11.2009";Aisne;02;"(D) D�partement";2009;11;19;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te. Ce cas d'observation fait partie de cas class�s �B � en 2011 par le GEIPAN.
Le 17 d�cembre 2009, le GEIPAN re�oit le t�moignage direct d'une personne, faisant part de l'observation d'une lumi�re en mouvement de l'Ouest vers l'Est le 19 novembre 2009 � 17h30. Le PAN est silencieux et l'observation a dur� environ 3 minutes. Le cas s'inscrit dans une vague d'observations au niveau local. Par rapprochement avec d'autres cas, le GEIPAN conclura en premier lieu � une probable observation d'un projecteur de discoth�que.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente cependant beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur, trajectoire) avec un objet astronautique parfaitement connu : l'ISS (station spatiale internationale). De plus, l'ISS �tait bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e alors que le t�moin n'en fait pas mention. Enfin, la description fournie par le t�moin de Buironfosse rejoint une autre observation enregistr�e � la m�me heure, parfaitement identifi�e comme un passage de l'ISS.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (�tonnement, fatigue).
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e � une m�prise avec l'ISS.";"Observation du lent passage O-E d'un point lumineux dans le ciel : observation du passage de la station spatiale internationale.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-11-02487
2593;"SAINT-MICHEL (02) 15.11.2009";Aisne;02;"(D) D�partement";2009;11;15;"Le dimanche 15 novembre 2009 vers 21h, deux personnes en promenade sont intrigu�es par les d�placements particuliers d'un faisceau lumineux bleut� venant du ciel. Le faisceau balaye le ciel en ondulant et oscillant donnant l'impression de suivre le couple. Le ph�nom�ne dure 35 min, aucun bruit ne provient du faisceau.
Ce cas est � rapprocher de celui de Jeantes (02) du 14.11.2009 qui fait �galement �tat d'une observation le 15 novembre � 20h55 et pour laquelle la brigade de Gendarmerie d'Hirson a identifi� le ph�nom�ne observ� comme �tant un projecteur de discoth�que.
L'heure co�ncidant pour les deux observations, et la r�gion disposant de plusieurs lieux possibles pour ce type de projecteur, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : confusion tr�s probable avec un projecteur de discoth�que.";"Observation de d�placements particuliers d'un faisceau lumineux bleut� : probable animation par laser.";O;1;;;;;;;;2012-10-31;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-11-02488
2594;"DORMANS (51) 19.11.2009";Marne;51;"(D) D�partement";2009;11;19;"Le 19 novembre 2009 vers 17h35 plusieurs personnes observent le passage O-E dans le ciel d'un objet qui les intrigue. Une lumi�re vive de couleur blanche se d�place lentement selon une trajectoire rectiligne. L'observation dure de 4 � 10 minutes selon les t�moins.
Ces personnes comme d'autres t�moins ont observ� le passage de l'ISS.
Un film a �t� r�alis� par un autre t�moin : (Geipan.mp4).";"Observations du passage de l'ISS.";O;3;;;;;;;;2011-06-17;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-11-02492
2595;"MONACO (MC.98) 30.11.2009";Alpes-Maritimes;98;"(D) D�partement";2009;11;30;"Le 30 novembre 2009 entre 8h30 et 10h00 trois t�moins observent dans un ciel d�gag� et clair les d�placements de trois points blancs. Le GEIPAN ne recevra qu'un seul t�moignage qui rapporte une tr�s longue observation discontinue de d�placements de plusieurs points lumineux dans le ciel.
L'observation rapport�e 1 mois apr�s au Geipan et la demande de PV non suivie par le t�moin n'a pas permis de mener une enqu�te.
Les caract�ristiques de l'observation (tr�s longue = 1h30, mouvements lents) pourraient correspondre � celles de ballons, de mouettes (pr�sentes dans le champ de vision du t�moin) comme le sugg�re le t�moin ou tout autre hypoth�se imaginable sans que ces hypoth�ses envisageables ne puissent �tre v�rifi�es.
Le niveau d'�tranget� est faible et le t�moignage unique.
Ce cas est class� en cat�gorie C pour manque d'information.";"Observation de d�placements de plusieurs points blancs lumineux : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-11-02494
2596;"CASTRES-GIRONDE (33) 26.11.2009";Gironde;33;"(D) D�partement";2009;11;26;"Le 26 novembe 2009 � 18h 35 un t�moin observe dans le ciel le passage de deux gros points lumineux qui l'intrigue. Durant 6 � 7 minutes le t�moin remarque une intensit� lumineuse particuli�re et l'absence de feux clignotants et de tout bruit li� � ce passage. Les points se suivent � vitesse lente et constante. Aucun autre t�moignage d'observation similaire ne sera recueilli. Apr�s v�rification, il est fort probable que l'observation faite par le t�moin soit celle de la station spatiale internationale ISS suivie de la navette spatiale Atlantis lors de la mission STS-129.";"Probale observation du passage de l'ISS suivi de la navette Alantis.";O;2;;;;;;;;2010-03-15;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-11-02511
2597;"PAITA (988) 09.11.2009";Nouvelle-Cal�donie;988;"(D) D�partement";2009;11;09;"Le 9 novembre 2009 un t�moin observe � 800 m�tres environ et durant moins d'une minute le passage entre deux montagnes d'un ph�nom�ne lumineux. De couleur rouge et de forme ronde suivi de flammes, cet objet se d�place en direction du Nord vers Tontouta. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne qui ressemble � une rentr�e atmosph�rique mais pour lequel nous manquons d'informations.";"observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2010-03-15;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-11-02514
2598;"PESSAC (33) 22.11.2009";Gironde;33;"(D) D�partement";2009;11;22;"Dimanche 22 novembre 2009 vers 19h : observation de 7 � 8 lumi�res rouges se suivant dans la m�me direction et sans bruit. Le t�moin ne souhaite pas t�moigner en gendarmerie. Elle fournit une photographie qui n'est pas tr�s exploitable mais qui ressemble � d'autres photographies d'observations de lanternes volantes.";"Observation de lumi�res rouges.";O;1;;;;;;;;2010-04-16;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-11-02527
2599;"MUNDOLSHEIM (67) --.11.2009";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2009;11;--;"Un jour de novembre 2009 (le t�moin ne donne pas la date exacte du jour et l'heure), en faisant une visite virtuelle sur Google Map, un t�moin observe une dizaine de t�ches claires ainsi qu'une t�che plus sombre. Ces t�ches sont des artefacts photographiques c'est-�-dire des � d�fauts � qui appara�ssent sur la photo, et dont les causes peuvent �tre vari�es (t�ches, poussi�res, reflets).";"Observation de t�ches sur photographies.";O;1;;;;;;;;2010-04-09;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-11-02528
2600;"VILLEFRANCHE-SUR-MER (06) 16.11.2009";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2009;11;16;"Le t�moignage a �t� fait un an apr�s l'observation et a �t� d�clench� par une �mission de t�l�vision. Le 16 novembre 2009 vers 19h45 lors d'un trajet en voiture en direction de Villefranche-sur-Mer (06), deux personnes observent le d�placement d'une lumi�re rouge flamboyante dans le ciel nocturne. Le PAN change de trajectoire puis est perdu de vue par le t�moin. Ce dernier a le temps de prendre une photographie et d'appeler un parent domicili� dans la direction de disparition du PAN. Le t�moin rapporte que ses proches ont vu un objet rouge�tre se poser sur les contrebas de la colline de Mont Boron puis remonter et disparaitre rapidement dans un flash blanc. Un seul t�moignage sera recueilli.
La trajectoire per�ue par le t�moin est une arriv�e du PAN depuis l'EST (Monaco), puis � la verticale de son lieu d'observation (Villefranche-sur-mer) il y a changement de trajectoire vers Nice. Le changement est de fait assez faible, de l'ordre de 30� pour prendre une composante vers Sud-Ouest (vers Nice) � partir d'une arriv�e depuis l'Est et s'associe d'une perception de descente (� en piqu� �) vers Nice.
On note que le t�moin pense � une lanterne tha�landaise au d�part (une esp�ce de lumi�re rouge flamboyante tr�s proche d'une lanterne tha�landaise) puis parait rejeter cette hypoth�se en raison de la vitesse principalement. Pour autant le vent mesur� est compatible avec la trajectoire. Au plus pr�s du point d'observation (� 3 km � Saint-Jean-Cap-Ferrat) le vent souffle vers le Sud-Ouest. � l'a�roport de Nice (9 Km) ce vent est changeant � cette heure-l� en passant de vers SO � vers SE, ce qui indique que dans un tel environnement de relief et de mer le vent peut �tre tr�s variable d'un point et d'un instant � l'autre, avec probablement aussi des filets de vent horizontaux et soudainement � en piqu� �. Le vent n'est pas faible, 10 km/h avec rafales jusqu'� 30 Km/h. L'�tranget� per�ue en terme de vitesse peut r�sulter de l'impossibilit� d'appr�cier la distance correctement.
La photo n'apprend rien qui validerait ou invaliderait l'hypoth�se de lanterne.
La suite de l'observation ne provient plus du t�moin mais de sa m�re et est rapport�e par le t�moin. Ce que voit la m�re au d�but est compatible de l'hypoth�se lanterne puisqu'elle voit se poser � un objet rouge�tre � sur les collines. On n'est plus dans le �rouge flamboyant � vu par le t�moin principal, mais sur un rouge�tre compatible de la phase d'extinction de la lanterne. Notons que le vent tr�s changeant a pu aussi rabattre la lanterne vers la colline alors qu'elle �tait encore bien allum�e. Par contre la phase finale n'est plus compatible : le relev� lent peut l'�tre encore si la lanterne �tait encore allum�e et a pu se relever apr�s avoir �t� plaqu�e au sol par le vent, mais pas la disparition finale dans un flash blanc en moins d'une seconde.
On ne sait pas si la m�re a observ� de mani�re continue le PAN (elle a rappel� son fils pour lui faire part de cette fin) ou si elle a pu confondre avec un autre ph�nom�ne voisin. Jusqu'� ce dernier �l�ment, l'observation est compatible d'un vol de lanterne tha�landaise.
L'�tranget� de cette observation (par rapport � une hypoth�se thailandaise qui sinon serait retenue) porte uniquement sur des �l�ments qui n'ont pas �t� rapport�s directement au GEIPAN, malgr� la demande de t�moignage faite par le GEIPAN � la m�re via le t�moin.
Le t�moignage est donc non consistant. En cons�quence le GEIPAN le classe en C : manque d'informations fiables.";"Rapport tardif d'une observation par un t�moin du d�placement dans le ciel nocturne d'une lumi�re rouge avec changement de trajectoire ; fin d'observation rapport�e indirectement : manque d'informations. ";O;;;;;;;;;2018-02-28;;;0.70;0.13;;;0.50;;0.70;;0.35;0.00;C;C;2009-11-02692
2601;"NAVES (59) 19.11.2009";Nord;59;"(D) D�partement";2009;11;19;"Le 19 novembre un t�moin depuis son domicile observe durant 10 min un ph�nom�ne lumineux qu'il ne s'explique pas. De forme cylindrique la lumi�re est jaune tr�s brillant et le PAN est stationnaire puis se d�place lentement sur une trajectoire rectiligne pr�s de l'horizon.
D'�tranget� faible et de consistance moyenne (t�moignage unique, date incertaine, mais documents fournis tr�s pr�cis), ce cas n'est malheureusement pas identifiable, du fait d'un trop long intervalle entre l'observation et la publication du t�moignage, rendant impossible toute enqu�te sur le terrain. L'hypoth�se de la m�prise avec un phare ou d'un projecteur mont�s sur un v�hicule quelconque (a priori terrestre) ne peut malheureusement pas �tre formellement valid�e (voir le compte rendu d'enqu�te).
Ce cas est class� C, du fait d'un trop long intervalle entre la date d'observation et l'envoi du t�moignage (pr�s de 4 ans). De plus, la date de l'observation est incertaine.";"Longue observation d'une lumi�re cylindrique jaune tr�s proche de l'horizon stationnaire puis en d�placement lent : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-11-08555
2602;"MONTPELLIER (34) 11.12.2009";H�rault;34;"(D) D�partement";2009;12;11;"Le 11 d�cembre 2009 un t�moin observe durant 2 � 3 secondes un ph�nom�ne lumineux traverser le ciel d'Est en Ouest et suivi d'une train�e lumineuse bleue turquoise. Comme elle le pensait � juste titre, cette personne a probablement �t� t�moin d'une rentr�e atmosph�rique d'une m�t�orite.";"Probable rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2010-04-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-12-02471
2603;"ANGOULEME (16) 11.12.2009";Charente;16;"(D) D�partement";2009;12;11;"Le 11 d�cembre 2009 vers 20h une personne observe dans le ciel d�gag� une lumi�re blanche qui l'intrigue. Ce ph�nom�ne stationnaire apr�s une trajectoire montante est observ� durant 10 minutes par le t�moin qui prendra une photographie. Malheureusement celle-ci reste inexploitable. Aucun autre t�moignage ne viendra corr�ler cette observation pour laquelle nous manquons d'informations et de pr�cisions.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2010-04-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-12-02472
2604;"PEROY-LES-GOMBRIES (60) 03.12.2009";Oise;60;"(D) D�partement";2009;12;03;"Un automobiliste observe le 3 d�cembre 2009 vers 22h30, le passage tr�s rapide d'un ph�nom�ne lumineux tr�s bas dans le ciel. Le t�moin d�crit deux halos de lumi�re tr�s intense.
Aucun autre t�moignage ne sera rapport� sur ce ph�nom�ne.
L'observation est tout � fait compatible avec un ph�nom�ne de m�t�ore ou de rentr�e atmosph�rique de d�bris spatial : forte luminosit�, grande vitesse, trajectoire rectiligne. L'�ventuelle double tra�n�e correspond probablement � la fragmenation de l'objet en rentrant dans l'atmosph�re, ce qui est un ph�nom�ne fr�quent.";"Probable observation d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2011-12-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-12-02473
2605;"SAINT-LEU (974) 19.12.2009";"La R�union";974;"(D) D�partement";2009;12;19;"Le 19 d�cembre 2009 entre 20h30 et 21h 30 plusieurs t�moins observent les d�placements de lumi�res rouges intenses au-dessus de l'oc�an. Le t�moin principal fait �tat de 5 s�quences d'observations durant lesquelles il aurait vu la m�me lumi�re. Le t�moin ne se rendra pas � la gendarmerie du secteur et aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne. Par courrier du 09 juin 2010, le t�moin principal informe le GEIPAN que son observation �tait une observation d'une lanterne tha�landaise.";"D�placement al�atoire de lumi�res rouges au-dessus de l'oc�an.";O;1;;;;;;;;2010-06-11;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-12-02485
2606;"MORSANG-SUR-ORGE (91) 27.12.2009";Essonne;91;"(D) D�partement";2009;12;27;"Le 27 d�cembre 2009 � une heure du matin, un t�moin observe depuis sa fen�tre le passage rapide S-NE d'une lumi�re verte intense et continue. Aucun bruit n'a �t� remarqu� durant l'observation de quelques secondes.
Cette observation a toutes les caract�ristiques d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oride (m�t�orite), appel�e aussi bolide : travers�e rectiligne du ciel en quelques secondes, couleur verte. Cet �v�nement n'a pas �t� not� par le r�seau d'observateurs REFORME.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de rentr�e atmosph�rique de m�t�oride (chute de m�t�orite).";"Observaqtion du passage rapide d'une lumi�re verte : probable observation d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oride.";O;1;;;;;;;;2012-06-15;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-12-02495
2607;"TOULOUSE (31) 13.12.2009";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2009;12;13;"Le 13 d�cembre 2009 vers 23h, deux personnes observent longuement depuis leur cuisine au deuxi�me �tage, le ballet de plusieurs halos de lumi�res bleut�es dans le ciel couvert.
Les t�moins ont manifestement observ� les faisceaux d'un projecteur de type ""Sky Tracer"" � faisceaux multiples, dont l'�l�gante et inhabituelle chor�graphie aura tromp� leur vigilance.
Ce cas est class� B comme probable observation d'un projecteur multi faisceaux.";"Observations d'un ballet de 5 � 6 halos de lumi�res bleut�es dans le ciel couvert : probable observation de rayons lumineux produit par un projecteur multi faisceaux.";O;2;;;;;;;;2012-11-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-12-02497
2608;"RUMEGIES (59) 25.12.2009";Nord;59;"(D) D�partement";2009;12;25;"Le 25 d�cembre 2009 � 20h30 un t�moin observe deux rang�es de lumi�res de couleur jaune qui se d�placent. Aucun bruit particulier n'est remarqu� durant l'observation d'une dizaine de minutes. Ces lumi�res traversent rapidement le ciel et disparaissent vers le NE avant que le t�moin n'ai eu le temps de prendre des photographies. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli. D'apr�s la description donn�e, le t�moin a problement observ� le passage de lanternes thailandaises.";"Probable observation de lanternes volantes.";O;3;;;;;;;;2010-04-13;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-12-02500
2609;"MAMOUDZOU (976) 31.12.2009";Mayotte;976;"(D) D�partement";2009;12;31;"Un t�moignage par questionnaire rapporte l'observation d'un point lumineux fixe tr�s brillant � l'Est le 31 d�cembre 2009 vers 21h (heure locale).
Le d�placement apparent tr�s rapide et � haute altitude initialement d�crit par le t�moin correspond en fait au d�placement des nuages. La dur�e de l'observation (10 minutes) d'un point fixe tr�s brillant changeant de couleur �voque l'observation de l'�toile la plus brillante de notre ciel : Sirius. La configuration astronomique du ciel montre effectivement la pr�sence de Sirius dans la portion de ciel observ�e (Est) au moment de l'observation.
Le cas est class� A comme l'observation de l'�toile Sirius.";"Observation astronomique de Sirius.";O;1;;;;;;;;2011-03-07;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2009-12-02501
2610;"VIESSOIX (14) 08.12.2009";Calvados;14;"(D) D�partement";2009;12;08;"Le 08 d�cembre 2009 entre 7h20 et 7h30 un t�moin observe durant 10 � 20 secondes dans le ciel le passage d'une boule lumineuse. Son d�placement est horizontal sur une trajectoire Ouest-Est. Cette boule se d�sint�gre en se fractionnant en deux ou trois morceaux avant de dispara�tre. Le ph�nom�ne d�crit se d�pla�ant horizontalement avec une vitesse rapide et se s�parant (""en explosant"") en plusieurs morceaux semble correspondre aux caract�ristiques d'une rentr�e atmosph�rique.";"Probable observation d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2010-04-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-12-02504
2612;"MELUN (77) 31.12.2009";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2009;12;31;"Le 31 d�cembre 2009 vers minuit deux groupes de personnes observent dans le ciel de Contamines-Montjoie (Haute-Savoie) le d�placement de lumi�res qui disparaissent rapidement. De retour de vacances, un des t�moin intrigu� par son observation contacte le GEIPAN et fera une d�position de son observation � la gendarmerie. Il d�taillera �galement dans le questionnaire les caract�ristiques des objets observ�s par tous les t�moins. Celles-ci s'apparentent aux caract�ristiques de lanternes thailandaises lanc�es lors de festivit�s. Le cas est class� B comme une observation probable de lanternes volantes (voir le compte rendu d'enqu�te GEIPAN).";"Probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2010-04-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-12-02523
2613;"MARIGNE-LAILLE (72) 03.12.2009";Sarthe;72;"(D) D�partement";2009;12;03;"Le 03 d�cembre 2009 � 07h16, deux lyc�ens observent dans le ciel trois lumi�res rondes et jaunes formant un triangle, qui se d�pla�ent sans bruit et assez vite, pour dispara�tre subitement. Le Geipan r�ceptionne un seul questionnaire.
Pas de r�ponse du t�moin � une demande de dessin.
L'explication textuelle est insuffisante pour permettre au GEIPAN d'investiguer : manque d'informations.";"Observation du passage � vitesse rapide et sans bruit de trois lumi�res rondes et jaunes dans le ciel formant un triangle.";O;1;;;;;;;;2012-11-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-12-08355
2615;"TAVERNY (95) 04.01.2010";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2010;01;04;"Le 4 janvier 2010 vers 19h45 un t�moin en promenade est intrigu� par le d�placement Est-Ouest d'une grande forme triangulaire sombre avec des cercles lumineux de faible intensit� et de couleur jaune-orang� � chaque extr�mit�. La vitesse est constante et aucun bruit particulier n'est entendu durant les 10 � 15 secondes d'observation. Aucun autre t�moignage d'observation ne sera recueilli.
L'enqu�te a permis de confirmer le contenu du t�moignage, de le pr�ciser, et de donner du cr�dit � la d�claration du t�moin.
Cette observation �trange, ne ressemblant pas aux m�prises classiques, n'est pas non plus compatible avec l'observation du passage d'un avion de ligne, d'autant que le t�moin est tr�s habitu� aux observations d'avions.
Le t�moignage serait compatible avec un mod�le r�duit ou dr�ne de taille de 2.5 m volant � 150 m d'altitude � environ 35-150km/h en-dessous du c�ne radar du contr�le a�rien (CDG) ; il para�t toutefois tr�s peu probable que ce type d'engin vole en milieu urbain, de nuit, un soir d'hiver ; cette hypoth�se, bien que pouvant �tre conforme � l'observation, n'a pas �t� retenue faute d'autres �l�ments probants.
Cette observation �trange n'a �t� relat�e que par un seul t�moin, sans photo ni vid�o ; malgr� la qualit� du t�moignage, ce cas reste de consistance moyenne.
Le GEIPAN classe ce cas �trange et moyennement consistant en cat�gorie D1, comme ph�nom�ne inexpliqu�.";"Observation du passage d'une masse sombre triangulaire d�limit�e par des lumi�res jaune-orang� � chaque extr�mit� : ph�nom�ne inexpliqu�.";O;1;;;;;;;;2014-11-06;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2010-01-02498
2616;"[A4] de STRASBOURG (67) vers HAGUENAU (67) 06.01.2010";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2010;01;06;"Un t�moin nous rapporte par t�l�phone une observation faite le 6 janvier 2010 � 20h40. Durant quelques secondes cet automobiliste et sa passag�re ont observ� un ph�nom�ne lumineux stationnaire constitu� de 3 lumi�res (jaune clair) formant un triangle dont la taille est compar�e � celle d'un avion. En d�pit de plusieurs relances, le t�moin n'a pas donn� d'informations suffisantes pour permettre au GEIPAN de mener une enqu�te. Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation de trois lumi�res formant un triangle.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-01-02499
2617;"[N2] de SAINTE-MARIE (974) vers SAINT-DENIS (974) 06.01.2010";"La R�union";974;"(D) D�partement";2010;01;06;"Le mercredi 6 janvier 2010 vers 19h30, un automobiliste et ses passagers constatent la pr�sence dans le ciel d'une lueur orang�e qui se d�place lentement dans le ciel.
De faible �tranget� et de faible consistance, ce cas d'observation a toutes les caract�ristiques d'une m�prise avec une lanterne tha�landaise, avec toutefois une incertitude sur les positions et directions.
Ce cas est class� B : observation probable de lanterne tha�landaise.";"Observations du passsage d'un ph�nom�ne lumineux orang� dans le ciel : probable observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;1;1;;1;;;;;2013-03-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-01-02502
2618;"LAHAS (32) 20.01.2010";Gers;32;"(D) D�partement";2010;01;20;"Le 20 janvier 2010 vers22h30, une personne observe depuis le pas de sa porte, le rapide d�placement d'une lumi�re. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu lors du d�placement Est-Ouest du ph�nom�ne.
Les informations contenues dans le questionnaire sont trop succinctes pour permettre une enqu�te. Malgr� les relances du GEIPAN invitant le t�moin � t�moigner en gendarmerie de mani�re � d�clencher une pr� enqu�te, aucune information suppl�mentaire ne permet d'avancer sur ce cas qui ne pr�sente pas de degr� d'�tranget� ( lumi�re scintillante lointaine?). La consistance du cas (1 seul t�moin et questionnaire succinct) est faible.
Ce cas est class� C par manque d'informations et enqu�te impossible (notament la v�rification de trafic a�rien).";"Observation du d�placement rapide d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2011-05-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-01-02518
2619;"EYSINES (33) 13.01.2010";Gironde;33;"(D) D�partement";2010;01;13;"Le 13 janvier 2010 � 18h35 un automobiliste aper�oit durant 6 � 7 secondes un ph�nom�ne lumineux intense qui l'intrigue. Une boule de feu avec une trajectoire SO-N traverse tr�s rapidement le ciel avant de dispara�tre � l'horizon. Un autre t�moin de ce ph�nom�ne s'exprimera � ce sujet sur un site internet. Une rentr�e atmosph�rique d'un bolide ou m�t�ore a �t� enregistr� par le R�seau Fran�ais d'Observation des M�t�rores ce jour l� � 17h35 temps universel, ce qui correspond � 18h35 heure fran�aise. Il �tait particuli�rement visible en Gironde.";"Rentr�e atmosph�rique d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2010-04-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-01-02520
2620;"ILE D'OLERON (17) 01.01.2010";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2010;01;01;"Le 1er janvier 2010 vers 20h10, de nombreuses personnes sont t�moins du passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel.
Huit t�moignages nous sont parvenus par la gendarmerie : deux t�moignages (T4 et T5 sur le PV de gendarmerie) correspondent probablement � l'observation sur le continent d'une lanterne (vu depuis Fouras et St Augustin) mais ne sont pas � relier avec l'objet vu sur l'�le par les 6 autres t�moins.
L'auteur du l�cher de Saint-Pierre D'Ol�ron est venu spontan�ment � la gendarmerie d�clarer avoir lanc� le premier janvier 2010 entre 20h et 20h15 un 'ballon � souhait' traditionnellement utilis� dans les f�tes et anniversaires en Hollande.
Le cas est class� A.";"Observations du passage d'une lanterne thailandaise.";O;8;;;;;;;;2018-03-07;;;0.19;0.13;;;;;;;0.56;0.44;A;A;2010-01-02529
2621;"LORIENT (56) 03.01.2010";Morbihan;56;"(D) D�partement";2010;01;03;"Le 3 janvier 2010 un t�moin observe depuis son jardin le passage de trois lumi�res rondes juste au-dessus de lui. Aucun bruit n'est entendu. Elles disparaissent instantan�ment. Les caract�ristiques d�crites de l'observation (3 lumi�res rondes � faible altitude se d�pla�ant ensemble puis 'disparaissant' du fait de l'extinction du carburant) ainsi que la forte pr�somption des premiers �l�ments de l'enqu�te de gendarmerie, correspondent � l'observation probable de lanternes volantes.";"Probable observation de lanternes thailandaises.";O;2;;;;;;;;2010-09-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-01-02534
2623;"[N524] de EAUZE (32) vers CAZAUBON (32) 21.01.2010";Gers;32;"(D) D�partement";2010;01;21;"Un t�moin rapporte son observation faite le 21 janvier 2010 vers 17h15. Circulant sur la nationale 524 en direction d'Eauze, il aper�oit au-dessus d'une colline un objet sph�rique d'apparence m�tallique de couleur gris fonc� qui semble constitu� d'hexagones. L'objet para�t stationnaire mais est anim� d'oscillations de droite � gauche. Il dispara�t instantan�ment apr�s 10 � 15 secondes d'observation. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Ce cas est d'�tranget� moyenne � �lev�e en raison de l'aspect singulier de l'objet et de sa disparition instantan�e. Cependant, �tant donn� l'impr�cision du lieu exact d'observation, la tr�s courte dur�e d'observation et l'unicit� du t�moignage ce cas se r�v�le de consistance moyenne voir faible.
Ce cas est class� C par manque d'informations et de recoupement.";"Observation dans le ciel nuageux d'une importante sph�re grise avec des tubulures : manque d'informations";O;1;;;;;;;;2018-09-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-01-02559
2624;"SAINT-FRANCOIS-LONGCHAMP (73) 21.01.2010";Savoie;73;"(D) D�partement";2010;01;21;"Un t�moin rapporte une observation faite le 21 janvier entre 7h42 et 7h45 : entre les pics de la Grosse T�te et du Grand Miceau, un groupe de lumi�res blanches et clignotantes se d�place lentement. L'ensemble disparaitra cach� par le paysage.
L'enqu�te a montr� qu'un radiosondage par ballons a �t� l�ch� pr�s de l'a�roport de St Exup�ry 1h40 avant l'observation. L'hypoth�se d'observation de ces ballons �clair�s par le soleil levant reste la plus plausible.
Ce cas est class� B : obervation probable d'un train de ballons m�t�o.";"Observation du lent d�placement de lumi�res blanches clignotantes : probable observation d'un train de ballons m�t�o.";O;1;;;;;;;;2013-01-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-01-02567
2625;"SAINT-GERMAIN-DU-PUCH (33) 01.01.2010";Gironde;33;"(D) D�partement";2010;01;01;"Dans la nuit du 31 d�cembre 2009 au premier janvier 2010 � minuit trente, un t�moin est intrigu� par le lent d�placement O-N dans le ciel d'une boule rouge au contour jaune. Le ph�nom�ne est observ� environ trois minutes avant de faire un brusque ""d�part"".
Faiblement �trange et tr�s peu consistant, ce cas d'observation est une probable m�prise avec une lanterne tha�landaise.
Ce cas est class� B : observation probable d'une lanterne tha�landaise.";"Observation du lent d�placement d'une boule rouge dans le ciel : probable observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2013-03-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-01-02571
2626;"[A4] de REICHSTETT (67) vers STRASBOURG (67) 16.01.2010";Ardennes;08;"(D) D�partement";2010;01;16;"Durant un trajet sur l'autoroute A4 en direction de Strasbourg, un t�moin observe pendant quelques minutes une lumi�re comparable � V�nus qui semble accompagner le v�hicule. La lumi�re garde une altitude et une vitesse apparente constante de Vendenheim � Strasbourg, o� le t�moin la perd de vue cach�e par des b�timents.
Ce cas d'observation est faiblement �trange et correspond tr�s probablement � une m�prise avec les feux d'approche d'un avion de ligne, l'avion �tant observ� de face.
Ce cas est class� B : observation probable d'un a�ronef.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux suivant le t�moin en voiture : probable observation d'un a�ronef.";O;1;;;;;;;;2013-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-01-02585
2627;"FORT-DE-FRANCE (972) 07.02.2010";Martinique;972;"(D) D�partement";2010;02;07;"Le 7 F�vrier 2010 � 4h33 du matin un tautomobiliste sur la route nationale A1 dans le sens Lamentin- Fort-de- France (Martinique). Il est � doubl� � sur une distance de 300 m�tres par ce qu'il appelle � une �toile � non scintillante. Le ph�nom�ne est � une altitude estim�e d'au moins 700 m�tres. Cette � lumi�re � dispara�t instantan�ment � l'extr�mit� de la ligne droite. Aucun bruit particulier n'est entendu lors de l'observation de 10 secondes.
Parmi les hypoth�ses envisag�es (plasma sur ligne �lectrique, reflet, m�t�ore, fatigue visuelle), aucune n'a pu �tre confirm�e, ni nettement �cart�e.
Devant cette incertitude, et devant la faible �tranget� de ce cas (il ne s'agit finalement que d'un lointain point lumineux en d�placement rectiligne), le GEIPAN classe ce cas � C � : Manque d'�l�ments pour conclure.
Il se peut que de nouveaux �l�ments viennent confirmer ou infirmer l'une ou l'autre de ces hypoth�ses.";"Observation du d�placement rectiligne d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2012-02-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-02-02524
2628;"LANTERNES (56) 14.02.2010";Morbihan;56;"(D) D�partement";2010;02;14;"Dans la nuit du 14 f�vrier 2010 vers minuit de nombreux t�moins situ�s aux alentours de Lorient observent le passage de boules lumineuses. Aucun bruit n'est entendu lors des observations qui intriguent les t�moins. Plusieurs t�moignages concordants ont �t� rapport�s � un grand quotidien de l'Ouest de la France et au Geipan. Suite � la parution dans la Presse de ces t�moignages, un propri�taire d'un restaurant vietnamien rapporte avoir l�ch�, pour f�ter avec ses h�tes le nouvel an chinois, une trentaine de lanternes volantes � minuit dans la nuit du 13 au 14 f�vrier 2010. L'heure, le lieu de lancement et la direction de d�placement de l'�v�nement qui a �t� film� correspondent parfaitement aux t�moignages rapport�s au Geipan.";"Observation de lanternes volantes.";O;4;;;;;;;;2013-02-19;;;0.29;0.13;;;;;;;0.61;0.39;A;B;2010-02-02526
2629;"COULOUNIEIX-CHAMIERS (24) 22.02.2010";Dordogne;24;"(D) D�partement";2010;02;22;"Le 22 f�vrier 2010 � 1h55 un t�moin observe depuis le jardin un point lumineux stationnaire qui l'intrigue. En l'observant plus attentivement il voit que la lumi�re �mise par ce point est de diff�rentes couleurs. Impressionn�e, la personne appelle son fr�re qui confirme l'observation.
La dur�e de l'observation sup�rieure � 20 minutes fait �videmment penser � l'observation d'un ph�nom�ne c�leste. La configuration du ciel � la date de l'observation montre l'�toile Sirius dans la zone de ciel observ�e.Cette �toile, la plus brillante de notre ciel, pr�sente des aspects lumineux variables (comme d�crits par le t�moin). Le cas est class� A comme l'observation de l'�toile Sirius.";"Observation astronomique de l'�toile Sirius.";O;1;;;;;;;;2010-12-15;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-02-02533
2630;"BAUD (56) 11.02.2010";Morbihan;56;"(D) D�partement";2010;02;11;"Depuis sa voiture, un t�mion observe le 11 f�vrier 2010 � 20h15 un ph�nom�ne lumineux consistant en trois lumi�res blanches tournant dans le ciel, apparaissant et disparaissant successivement. Le ph�nom�ne dispara�t brusquement.
L'observation de trois lumi�res blanches tournant dans le ciel est faite par un t�moin unique qui compare lui-m�me ces lumi�res � des ronds laser de discoth�que.
La direction d'observation correspond bien � celle d'un 'night club' o� devait de d�rouler une 'fluo night partie' le 12 f�vrier. Un courrier concernant de possibles essais de fonctionnement des lasers ou une animation laser le 11 f�vrier 2010 a �t� envoy�. En l'absence de r�ponse du 'night club' � cette question, cette observation sans PV de gendarmerie pourrait �tre class� C par manque d'informations. Mais la profonde conviction du t�moin sur l'observation d'un 'ph�nom�ne lumineux de type laser', sans que l'on puisse apporter la preuve formelle de cette hypoth�se permet de classer ce cas en B, comme l'observation probable de ronds laser.";"Probable observation d'effets lumineux d�s � des lasers.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-02-02539
2631;"MILLERY (54) 27.02.2010";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2010;02;27;"Le 27 f�vrier 2010 � 13h58 un t�moin constate un ph�nom�ne lumineux qui l'intrigue en direction du S-SO. Une lueur ronde aux couleurs de l'arc-en-ciel ainsi qu'une autre lueur blanche sont observ�es durant 2 minutes. Aucun bruit n'est entendu. Le t�moin prend des photographies.
Les caract�ristiques de l'observation d�crite dans le PV ainsi que les 2 photographies prises par le t�moin, ne font ressortir aucun degr� d'�tranget�.
Elles pr�sentent des nuages s�par�s de type cirrus bien connu des m�t�orologues, en forme de filaments en majeure partie de couleur blanche. Ces nuages ont un aspect fibreux et un �clat soyeux. Les 'objets volants' d�crits et photographi�s par le t�moin correspondent � la direction SUD du soleil � travers la couche nuageuse, d'o� la lumi�re arc-en-ciel du 'deuxi�me objet' correspondant au spectre visible de la lumi�re solaire.";"Observation du soleil.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-02-02547
2632;"ELNE (66) 28.02.2010";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2010;02;28;"Deux personnes dans leur cuisine observent durant deux minutes vers 2h40 le 28 f�vrier 2010, le passage silencieux d'une sph�re scintillante orange-vif sans clignotement. L'objet, � basse altitude, se d�place selon une trajectoire rectiligne puis dispara�t � la verticale.
Ce cas d'observation ne soul�ve aucun doute sur l'authenticit� des t�moignages, bien que diff�rents au d�but de l'enqu�te. Le r�cit des t�moins fait fortement penser au passage d'une lanterne tha�landaise. L'impression de disparition vers le haut est assez commune lors de l'extinction de la flamme de la lanterne. La direction estim�e de l'objet (NNE) n'est pas tout � fait conforme � la direction du vent (vers NNO) mais d'une part, le vent relev� au sol � Rivesaltes n'est pas le m�me qu'� 200 ou 300 m d'altitude � Bages, d'autre part l'estimation de direction faite par les t�moins est forc�ment impr�cise. Le jour et l'heure (nuit de samedi � dimanche) sont assez communs pour les l�chers de lanternes, assez r�pandus dans la r�gion.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable de lanterne tha�.";"Observations par deux personnes du passage silencieux d'un objet volant orang� : probable observation de lanterne thailandaise.";O;2;;;;;;;;2012-07-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.59;0.41;B;B;2010-02-02548
2634;"SATILLIEU (07) 03.02.2010";Ard�che;07;"(D) D�partement";2010;02;03;"Un t�moin rapporte aupr�s de la gendarmerie et du GEIPAN une observation d'un ph�nom�ne lumineux faite depuis son domicile le mercredi 3 f�vrier 2010 autour de 16h.
La direction et l'�l�vation d'apr�s la premi�re photographie de reconstitution correspond exactement � la position du Soleil. Il est donc naturel que l'objet soit �blouissant malgr� les lunettes de soleil, qu'il change de forme et de couleur, et que les �clairages d'int�rieur paraissent faibles et de couleur rose ou orang�e (QT p.2 � 4). Le ph�nom�ne dispara�t de plus avec le coucher du Soleil (QT p.15) derri�re les montagnes.
Dans ce contexte, le deuxi�me objet d�crit, dont la position est donn�e par la 2e photographie, peut simplement �tre une cons�quence de l'observation prolong�e du Soleil, � savoir un ph�nom�ne de persistance r�tinienne.
Le t�moin cite son voisin, qu'il a joint par t�l�phone au cours de l'observation. Les propos de ce dernier, reproduits par le t�moin, sont �quivoques : il est tant�t question d'un � spoutnik �, ou d'une boule de feu, selon que l'on consulte le PV d'audition ou le questionnaire Terrestre.
Les astres tr�s bas sur l'horizon, sont quelquefois interpr�t�s par les t�moins comme beaucoup plus proches et � faible altitude.
Ce cas est class� B comme probable confusion avec le Soleil, suivi d'un �blouissement cons�cutif � son observation.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne sombre puis lumineux : probable confusion avec le soleil.";O;1;;;;;;;;2013-03-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-02-02591
2635;"CARQUEIRANNE (83) 17.02.2012";Var;83;"(D) D�partement";2012;02;17;"Le 17 f�vrier 2012 vers 8h20 une automobiliste et sa fille sont intrigu�es par la pr�sence d'un objet blanc argent� et lumineux dans le ciel. L'intensit� lumineuse est si importante qu'il est difficile pour le t�moin d'indiquer pr�cis�ment la forme (plut�t rectangulaire et assez plat ) et la taille importante de l'objet. L'observation du PAN stationnaire et silencieux dure une vingtaine de secondes. Afin de manuvrer le t�moin le quitte des yeux durant 3 secondes. Le t�moin n'a plus retrouv� l'objet dans le ciel. Aucun autre t�moignage n'a �t� re�u au GEIPAN sur le ph�nom�ne.
Le GEIPAN a mandat� un enqu�teur sur ce cas : des dizaines de personnes ont �t� interrog�es, aucune ne confirme les faits. Et pourtant ce matin l� 8h30, il y avait du monde qui emmenait les enfants � l'�cole.
L'entretien cognitif n'a rien donn� de plus que le premier rapport du t�moin.
Ce cas d'observation br�ve, en voiture, sans recoupement possible, s'av�re insuffisamment consistant. Etant donn� que le t�moin circulait face au soleil, l'observation pourrait venir du reflet d'un objet brillant dans le pare-brise de la voiture ou du reflet du soleil sur un h�licopt�re en vol, mais cette hypoth�se n'a pu �tre confirm�e.
Faute d'autres t�moignages, ou d'�l�ments compl�mentaires, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information et de recoupements";"Observation d'un objet stationnaire tr�s lumineux dans le ciel ; disparition subite : manque d'informations et de recoupements.";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.40;0.00;;;0.40;;0.60;;0.24;0.00;C;C;2012-02-09419
2636;"[D115] de PIERRE-CHATEL (38) vers MOTTE-D'AVEILLANS (LA) (38) 06.03.2010";Is�re;38;"(D) D�partement";2010;03;06;"Le 6 mars 2010 vers 23h 05 un automobiliste et ses passagers observent le d�placement silencieux d'une quinzaine de boules rouges orang�es. Une vid�o sur un t�l�phone portable a �t� prise durant l'observation qui a dur� plus de cinq minutes avant la disparition progressive des boules lumineuses. La description pr�cise faite par l'automobiliste s'apparente fortement � celle de lanternes thailandaises lanc�es lors de festivit�s. Suite � la publication d'un article d'un journal local concernant cette observation, une personne � l'origine d'un l�cher de 13 lanternes thailandaises s'est fait conna�tre. L'enqu�te de gendarmerie concluera �galement � un l�cher de lanternes thailandaises lors d'une f�te priv�e situ�e � 2,5km du lieu de l'observation des t�moins.";"observation du d�placement de boules orang�es.";O;2;;;;;;;;2010-04-23;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-03-02536
2637;"[D8] de VALENTINE (31) vers MARTRES-DE-RIVIERE (31) 17.03.2010";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2010;03;17;"Le 17 mars 2010 � environ 20h40 un automobiliste observe un ph�nom�ne lumineux orang� qui l'intrigue juste au-dessus de l'horizon. Il s'arr�te et prend des photographies en direction de l'Ouest juste avant que le ph�nom�ne alors en forme d'un croissant de Lune ne disparaisse. Les �ph�m�rides du 17 mars 2010 (et 16 mars) montrent � 18h40 TU, soit 20h40 locales la derni�re phase de la nouvelle lune juste au dessus de l'horizon encore �clair�e par le soleil et visible sous la forme d'un faible croissant orang� (comme photographi� et d�crit par le t�moin).";"Observation de la Lune.";O;1;;;;;;;;2010-04-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;A;C;2010-03-02540
2638;"[D613] de MEZE (34) vers BOUZIGUES (34) 11.03.2010";H�rault;34;"(D) D�partement";2010;03;11;"En longeant l'�tang de Thau (34), un automobiliste observe le 11 mars 2010 entre 22h45 et 23h deux lumi�res rondes qui passent au-dessus de lui. Il distingue alors une masse importante en forme de cigare qui se d�place rapidement mais sans aucun bruit � 100m d'altitude.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli par la gendarmerie.
Le t�moin rapporte �galement qu'il a d�j� �t� t�moin dans le pass� de diverses observations impressionnates.
Le niveau d'�tranget� de l'observation est faible (deux lumi�res se d�pla�ant � une vitesse pas tr�s �lev�e). Les �l�ments de l'enqu�te ne permettent pas de valider ou de r�futer une interpr�tation possible et le cas reste insuffisament consistant. Le t�moignage unique n'a pu �tre corrobor� avec d'autres �l�ments et la localisation pr�cise du ph�nom�ne n'a pas �t� possible du fait de la non disponibilit� du t�moin.
Ce cas reste inexpliqu� et peu consistant, sans caract�re d'�tranget�, il est class� C.";"Observation du d�placement de lumi�res et d'une forme cylindrique.";O;3;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-03-02541
2639;"FAMECK (57) 31.03.2010";Moselle;57;"(D) D�partement";2010;03;31;"Le 31 mars 2010 � 18h20 une personne observe depuis son balcon un objet de couleur sombre sans forme d�finissable qui �volue dans le ciel. Le t�moin a le temps de prendre des photographies et appelle son �pouse. Un seul t�moignage sera recueilli.
Ce cas d'observation d'un objet lointain (estim� � 2 � 3km), au d�placement d�sordonn� (voir reconstitution d'apr�s photos), pr�sente un degr� d'�tranget� moyen. Du fait des photographies, la consistance de ce cas est bonne.
L'objet photographi� peut correspondre � de nombreuses possibilit�s de corps �voluant en l'air entre le t�moin et la centrale nucl�aire : le plus probablement un gros oiseau, comme l'a per�u la femme du t�moin initialement (voir PV), ballon captif, cerf volant, maquette radio command�e ... Un ballon captif pourrait avoir un tel comportement, d� au vent, soutenu ce jour l� (env 25 km/h), par contre la disparition de l'objet dans les nuages ne correspond pas, � moins que les nuages l'aient masqu�.
On peut aussi penser � un h�licopt�re, du fait du fort trafic dans cette zone (voir PV) mais la forme photographi�e correspond mal.
Le comportement dynamique de l'objet ne pr�sente pas de caract�re d'�tranget� : il peut correspondre � un oiseau ou un cerf volant comme l'ont pens� initialement les t�moins, ou un ballon captif ou un h�licopt�re. Les v�rifications de ces multiples hypoth�ses ne sont plus possibles.
Ce cas, consistant mais peu �trange, est class� ""C"" par manque d'informations compl�mentaires et de recoupements.";"Observation du d�placement d'un objet sombre dans le ciel : manque d'informations et de recoupements.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-03-02545
2640;"ROSHEIM (67) 04.03.2010";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2010;03;04;"Le 4 mars 2010 vers 20h30 une automobiliste aper�oit des lumi�res ""suspectes"" dans le ciel qu'elle ne s'explique pas. Elle les reverra plusieurs fois par la suite toujours au m�me endroit. Il est probable que ces lumi�res soient des projecteurs qui �clairent les nombreux ch�teaux se trouvant sur les hauteurs des montagnes se trouvant plein Est, en For�t Noire de l'autre cot� de la fronti�re franco-allemande. La p�riode de l'observation est une p�riode festive en France mais aussi en Allemagne ou des f�tes tr�s color�es (f�tes carnavalesques) se d�roulent � cette �poque de l'ann�e (Kappensitzung). Les Allemands sont tr�s friands de ces f�tes.";"Observation probable de lumi�res li�es � des festivit�s en Allemagne.";O;1;;;;;;;;2010-09-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-03-02546
2641;"BERRIAS-ET-CASTELJAU (07) 30.03.2010";Ard�che;07;"(D) D�partement";2010;03;30;"Le 30 mars 2010 vers 23h30, un t�moin observe depuis son domicile, le lent et silencieux d�placement N-E d'un ph�nom�ne lumineux sous les nuages. Le t�moin aper�oit trois boules lumineuses avec une train�e � l'arri�re du ph�nom�ne.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
De faible �tranget� et de consistance faible en raison de l'unicit� du t�moignage, ce cas d'observation reste inexpliqu� par manque d'information. Une enqu�te de terrain plus de 2 ans apr�s les faits ne ram�nerait que peu d'informations compl�mentaires.
Ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux avec train�e : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2013-06-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-03-02554
2642;"CHECY (45) 15.03.2010";Loiret;45;"(D) D�partement";2010;03;15;"Le 15 mars 2010 entre 21h30 et 21h45 un t�moin observe le passage dans le ciel d'une dizaine de boules lumineuses.
Les caract�ristiques de la formation d�crite par le t�moin (boules lumineuses de couleur orang� se d�pla�ant en vague de fa�on uniforme pandant plusieurs minutes avant de dispara�tre) d�crivent un ph�nom�ne connu sans aucun niveau d'�tranget�.
Le cas est class� PAN B comme l'observation probable de lanternes volantes.";"Probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;2;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-03-02558
2643;"FORGES (LES) (88) 27.03.2010";Vosges;88;"(D) D�partement";2010;03;27;"Le 27 mars 2010 � 22h30 deux personnes observent depuis leur domicile le passage d'une vingtaine de boules lumineuses qui se regroupent puis suivent une trajectoire Ouest-Est. Aucun bruit n'est entendu par les t�moins.
Les caract�ristiques de l'observation (une vingtaine de boules lumineuses de couleur jaune orang�e se d�pla�ant suivant la m�me trajectoire pendant plusieurs minutes ) ainsi que les photographies prises par un t�moin correspondent � l'observation (bien connue maintenant) d'un vol de lanternes lumineuses de type tha�landais. La date (samedi soir) est �galement fr�quente pour ce type d'observations (f�te, mariage, fin week end). Le cas est class� B";"Probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;2;;;;;;;;2010-10-08;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-03-02580
2645;"ESCOURCE (40) 14.04.2010";Landes;40;"(D) D�partement";2010;04;14;"Le 14 avril 2010 un t�moin constate dans le ciel un ph�nom�ne qui l'intrigue. Entre 22h et minuit en direction du Sud, il observe un objet lumineux avec des variations de couleurs. Il filme une partie de son observation. Aucun bruit particulier n'est entendu.
L'enqu�te d�terminera que le t�moin a fait une observation astronomique de l'�toile Sirius (voir le compte rendu de l'enqu�te).";"Observation de l'�toile Sirius.";O;2;;;;;;;;2011-05-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-04-02551
2646;"BORDEAUX (33) 05.04.2010";Gironde;33;"(D) D�partement";2010;04;05;"Le 5 avril 2010 � 3h49 ou 5h 49 du matin un t�moin depuis son balcon observe une tr�s forte lumi�re blanche tr�s allong�e et immobile. Puis il constate que 3 boules lumineuses de couleur jaune et rouge se s�parent de la lumi�re et partent dans des directions diff�rentes. La lumi�re principale disparait subitement. Un seul t�moignage sera recueilli.
La description (aspect des points lumineux, nuit de week-end) pourrait correspondre � des lanternes thailandaises. A cot� de cela l'�l�ment cigare est plus difficile � expliquer avec les seuls �l�ments fournis. La recherche et l'approfondissement des possibilit�s (par exemple nuages pour cigares, position dans le ciel, conformit� au vent pour ballons) aurait n�cessiter des compl�ments d'information que le t�moin n'a jamais fournies malgr� plusieurs relances.
En cons�quence le GEIPAN classe en C: manque d'information.";"Observation de 3 boules lumineuses rouge orang� se d�tachant d'une lumi�re allong�e intense ; disparition soudaine : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.40;0.25;;;0.50;;0.50;;0.25;0.00;C;C;2010-04-02552
2647;"ORTAFFA (66) 09.04.2010";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2010;04;09;"Le 9 avril 2010 vers 22h08 un t�moin observe le passage O-E tr�s rapide et � haute altitude d'un objet avec une lumi�re rouge d'intensit� d�croissante au fur et � mesure de l'�loignement. L'objet sera rapidement cach� par le paysage.
Le t�moin n'a pas r�pondu aux diff�rentes relances du Geipan pour avoir des informations compl�mentaires. Sans proc�s verbal de gendarmerie, ni informations compl�mentaires, toute enqu�te est impossible.
Le cas est class� C par manque d'informations.";"Observation du passsage � haute altitude d'un objet avec une lumi�re rouge.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-04-02555
2648;"NICE (06) 14.04.2010";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2010;04;14;"Un t�moin rapporte une observation d'un point lumineux rouge se d�pla�ant lentement le 14 avril 2010 entre 21h50 et 21h56.
Les caract�ristiques de l'observation d'un point lumineux rouge en mouvement ascendant lent, devenant statique puis disparaissant �voquent le l�cher (maintenant bien connu) d'une lanterne volante de type tha�landais.
Malheureusement, les compl�ments d'informations demand�s par le GEIPAN au t�moin principal (proc�s-verbal de gendarmerie qui aurait permis une enqu�te pr�liminaire) n'ont pas eu de suite.
Le cas est class� C par manque d'informations";"Observation du mouvement lent d'un point lumineux rouge.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-04-02556
2650;"BOURG-EN-BRESSE (01) 17.04.2010";Ain;01;"(D) D�partement";2010;04;17;"Dans la nuit du 16 au 17 avril 2010 � 1h10 du matin aux alentours de Bourg-en -Bresse, une automobiliste et sa fille observent le passage tr�s rapide dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux. Lors de sa trajectoire descendante une boule verte se scinde en deux puis dispara�t.
D'apr�s les informations re�ues (questionnaire, dessin et photo de l'angle de vue dans la voiture), ces personnes ont probablement observ� la rentr�e atmosph�rique d'un m�t�ore.
Ce bolide a �t� observ� et photographi� par la station amateur de Chaligny (sud de Nancy) du r�seau BOAM ( Base de donn�es d'Observation Amateur de Meteores).
La description (date et heure pr�cise de l'observation, direction, lumi�re verte caract�ristique de l'ionisation de l'atmosph�re, le d�placement et la trajectoire � haute altitude semblant ""parall�lle' � l'horizon, distance sup�rieure � 100 kms) et les dessins de l'observation par le t�moin correspondent bien � l'enregistrement du bolide faite par la station du BOAM.";"Probable observation d'une rentr�e atmosph�rique d'un bolide.";O;2;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-04-02560
2651;"[AERO 2xRYR, RAM, EIN] BORDEAUX (33) 14.04.2010";Gironde;33;"(D) D�partement";2010;04;14;"Le 14 avril 2010 � 22h44 un total de cinq �quipages de vols commerciaux observent un point lumineux de couleur variable dans le ciel en direction de l'Ouest-NO.
L'analyse men�e et les hypoth�ses propos�es nous am�nent � s�parer la conclusion selon deux groupes :
- pour les vols RYR57ZB et RAM697, �voluant sensiblement au Nord des trois autres (grossi�rement entre La Rochelle et Limoges), l'observation semble tr�s consistante avec une m�prise due � V�nus, visible largement sur leur c�t�.
- pour les vols RYR8CW, RYR7CT et EIN577, �voluant � l'Est de Bordeaux, la question de la visibilit� de V�nus se pose compte tenu d'une possible obstruction par le nez de l'appareil. La pr�sence d'une courte trace radar � l'interpr�tation d�licate, pourrait amener une conclusion d'un objet inconnu, mais la consistance reste trop faible en l'absence de t�moignages d�taill�s de la part des diff�rents �quipages.
Le scintillement observ� dans plusieurs couleurs est d� � la dispersion de la lumi�re de V�nus traversant les diff�rentes couches de l'atmosph�re et vatiant selon les fluctuations de celles-ci et le d�placement rapide des avions en vol de croisi�re conjugu� � la rotation de la terre.
Ce cas a un degr� d'�tranget� initialement �lev�e, mais qui se r�v�le finalement moyenne. Sa consistance est tr�s bonne, du fait de la multiplicit� des t�moignages, malheureusement tr�s succincts.
Le GEIPAN classe ce cas � B � : observations tr�s probables de la plan�te V�nus � l'horizon.";"Observations par plusieurs �quipages en vol de la pr�sence d'une lumi�re avec des variation de couleurs : observations tr�s probables de la plan�te V�nus � l'horizon.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-04-02561
2652;"ROUFFACH (68) 10.04.2010";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2010;04;10;"Le samedi 10 avril 2010 entre 21h et 23h plusieurs personnes constatent le d�placement silencieux de deux lumi�res rouge vif dans le ciel � basse altitude et sur une trajectoire rectiligne Nord-Sud.
Ces observations ont toutes les caract�ristiques d'un passage de lanternes tha�landaises : couleur, dur�e, d�placement selon le vent.
Ce cas est class� B, tr�s probable cas d'observation de lanternes tha�landaises.";"Observations du d�placement silencieux de lumi�res rouge vif � basse altitude : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-03-25;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-04-02563
2653;"OUESSANT (29) 29.04.2010";Finist�re;29;"(D) D�partement";2010;04;29;"Le 29 avril 2010 � 23h00, trois personnes au cours de leurs activit�s professionnelles de surveillance maritime observent le d�placement d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. L'observation est effectu�e face � la mer depuis la passerelle d'une tour dominant l'oc�an. Des photographies seront prises notamment � travers une lunette d'observation.
La majorit� des caract�ristiques d�crites du ph�nom�ne correspondent � celles connues d'un mouvement plan�taire ( trajectoire, vitesse, dur�e) et d'une luminosit� forte d'un point unique proche d'un �clairage artificiel comme la plan�te V�nus. L'�tranget� du ph�nom�ne observ� est faible.
La confirmation par trois t�moins de la dur�e du ph�nom�ne, de sa description et trajectoire, de sa pr�sence dans un secteur du ciel tr�s pr�cis donne une consistance tr�s forte du cas.
La v�rification de la pr�sence de la plan�te V�nus dans la zone d'observation pendant toute la dur�e de l'observation est une hypoth�se certaine et bien v�rifi�e.";"Observation de V�nus.";O;3;;;;;;;;2011-05-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-04-02566
2654;"SAINT-ALBAN-LEYSSE (73) 24.04.2010";Savoie;73;"(D) D�partement";2010;04;24;"Le 24 avril 2010 vers 23h30 deux personnes observent dans le ciel le passage d'une trentaine de lumi�res qui se d�placent dans la m�me direction sans qu'aucun bruit ne soit entendu. Leur nombre diminue au fil des minutes et elles finissent par dispara�tre totalement. Le t�moin, qui a film� son observation, a conclut apr�s quelques recherches au passage de lanternes thailandaises.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur le passage ou l'origine de ces lanternes volantes.
D'apr�s la description donn�e, ces personnes ont probablement observ� le passage de lanternes thailandaisses.";"Probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2011-11-28;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-04-02616
2656;"GAREIN (40) 07.04.2010";Landes;40;"(D) D�partement";2010;04;07;"Un t�moin observe le 7 et 9 avril 2010 entre 21h30 et 22h30 un point lumineux dans le ciel. Il filme ce point dont la couleur est variable.
La configuration astronomique du ciel � la date et heure de l'observation montre la plan�te V�nus (de magnitude -3.9 facilement observable � l'il nu) dans le secteur du ciel observ� ( au 280� � 21H30 locales). L'observation a �t� faite plusieurs jours d'affil�e et le t�moin se rappelle avoir observ� le m�me ph�nom�ne � la m�me �poque l'ann�e pr�c�dente.
Les changements de couleur d�crits par le t�moin sont d�s aux effets optiques (variations de luminosit�) pendant la prise de vue de la video avec l'appareil photo du t�moin.";"Observations de V�nus.";O;1;;;;;;;;2011-05-18;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-04-02719
2657;"MENTON (06) 10.04.2010";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2010;04;10;"Un t�moin rapporte le 15 novembre 2011, une observation faite le 10 avril 2010 � 6h23 du passage d'une sph�re lumineuse blanche /jaune au-dessus de la r�sidence voisine. Au bout de 5 secondes, le t�moin constate que la sph�re se d�place lentement et de fa�on rectiligne vers une autre r�sidence avant de dispara�tre rapidement en s'�levant sans bruit dans le ciel.
La description du t�moin fait penser � un avion vu de face, avec son projecteur de piste allum�, mais l'objet observ� �tait silencieux et le t�moin, qui a l'habitude de regarder le ciel � cette heure du jour, n'a pas reconnu un avion.
Ce cas avait �t� class� C par manque d'informations.
Suite au signalement d'un internaute qui a propos� l'hypoth�se d'un passage de l'ISS, le GEIPAN a confirm� cette hypoth�se : la station internationale ISS passait exactement sur cette trajectoire � cette heure l� (voir dans les �l�ments d'enqu�te, la copie �cran Calsky).
Le dossier est class� ""A"" : observation de l'ISS.";"Observation du d�placement d'une sph�re blanche /jaune lumineuse dans le ciel : passage de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2012-06-14;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-04-02831
2658;"FAVIERES (54) 02.05.2010";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2010;05;02;"Un t�moin observe, quelques secondes, le 2 mai 2010 � 3h 20 une sph�re tr�s lumineuse circulant rapidement en direction du Sud-Est puis disparaissant subitement. Quelques secondes plus tard, une deuxi�me sph�re appara�t puis dispara�t en ex�cutant une boucle de 180� vers le bas.
La description de l'observation d'une sph�re lumineuse disparaissant subitement, suivie d'une deuxi�me sph�re lumineuse disparaissant � son tour (extinction par �puisement du combustible) �voque l'observation de lanternes volantes lumineuses, et ce d'autant plus que l'observation est faite dans la nuit de samedi � dimanche.
N�anmoins, malgr� les relances du Geipan, aucune information suppl�mentaire n'a permis de mener une enqu�te plus approfondie.
Le cas est class� B comme observation probable de lanternes.";"Probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-05-02562
2659;"COURONNE (LA) (16) 06.05.2010";Charente;16;"(D) D�partement";2010;05;06;"Le t�moin observe, dans le ciel �toil�, un point lumineux accompagn� par un point rouge, sur sa droite, sous lequel se trouvait un point vert. Ces points lumineux bougent ensemble et font penser � un avion jusqu'� ce qu'ils se s�parent et partent dans des directions oppos�es.
Le d�but de l'observation (un point lumineux au-dessus de l'horizon, avec des points rouges et verts) est tout � fait conforme � la perception d'une �toile ou plan�te avec le scintillement d� � l'atmosph�re. La deuxi�me partie du t�moignage (""les deux points se sont s�par�s en partant chacun vers une direction oppos�e"") ne correspond � aucun ph�nom�ne connu, si ce n'est une illusion d'optique, suite � la disparition de l'objet.
D'�tranget� faible pour le d�but de l'observation et moyenne pour la fin, et de faible consistance (t�moin unique, incoh�rences et impr�cision du t�moignage), ce cas d'observation ne peut �tre conclu faute d'informations fiables ou de recoupements.
Ce cas est class� C.";"Observation des d�placements de points lumineux dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2016-12-13;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-05-02564
2660;"SALLANCHES (74) 01.05.2010";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2010;05;01;"Le 1 mai 2010 � 17h, plusieurs personnes observent depuis un appartement la pr�sence d'un point noir dans le ciel. D'abord stationnaire le point se d�place sans qu'aucun bruit ne soit entendu. Le point noir est film� par un des t�moins.
Le t�moignage fait nettement penser � un ""plus l�ger que l'air"" suivant plus ou moins le vent local (apparu � l'Ouest, disparu vers le Sud). A noter que le r�gime des vents ce jour l� semble perturb� et complexe : vent de Nord � Lyon, pas de vent � Grenoble, vent d'Ouest � Gen�ve. La direction pr�cise du vent � Sallanches n'a pu �tre �tablie.
Une association locale faisant des vols en montgolfi�re a �t� consult�e : pas de vol � ce moment. Il peut s'agir d'un ballon � helium lanc�, ou perdu, par un particulier, voire d'un dirigeable exp�rimental.
Le GEIPAN n'a pas vu dans la vid�o de reflets verts sur l'objet.
Ce cas, finalement peu �trange, est class� ""B"" : observation probable d'un ballon (ballon non identifi� par le GEIPAN)";"Observation d'un point noir dans le ciel : probable observation d'un ballon.";O;4;;;;;;;;2012-07-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-05-02568
2661;"MONCEAUX-SUR-DORDOGNE (19) 22.05.2010";Corr�ze;19;"(D) D�partement";2010;05;22;"Le 22 mai 2010 � 13h54 une personne prend des photos d'un enfant. Il constate � post�riori sur une des photographie, la pr�sence d'un objet �trange non remarqu� lors de la prise de vue.
Le t�moin a effectu� une d�marche de proc�s verbal en gendarmerie, PV re�u tardivement au Geipan. La pr� enqu�te de gendarmerie et les investigations effectu�es sur la circulation a�rienne et sur le voisinage ne permet pas de conclure sur la nature de l'objet que seul le t�moin a photographi�.
Finalement, une analyse de la photographie envoy�e par le t�moin a convaincu le Geipan qu'il s'agit d'un insecte tr�s proche de l'objectif, ce qui est compatible avec la vitesse d'obturation et la mise au point sur le sujet le plus proche (l'enfant � la moto). Pour �tre aussi flou dans les conditions de prise de vue, l'objet devait se trouver � une distance inf�rieure � l'hyperfocale, donc bien inf�rieure � 1 m. Or, compte tenu des caract�ristiques de l'appareil et des r�glages, on v�rifie que si l'objet mesurait 1 cm, il devait se trouver � 13 cm de l'objectif, ce qui est coh�rent comme ordre de grandeur avec un insecte ail�. L'�clairage de cet ""engin insectiforme"" est par ailleurs coh�rent avec l'�clairage du soleil.
Ce cas rentre dans la cat�gorie des observations faites sur l'un des nombreux supports (photo ou film) qui parviennent au GEIPAN : sans correspondre � une observation visuelle directe lors de la prise de vue, l'observation est faite lors de la visualisation � post�riori sur un �cran d'ordinateur.
Le cas est class� B comme la prise de vue probable d'un insecte se trouvant tr�s proche de l'appareil photo.";"Probable trace du passage d'un insecte lors de la prise d'une photographie.";O;2;;;;;;;;2011-09-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-05-02572
2662;"MARESCHES (59) 31.05.2010";Nord;59;"(D) D�partement";2010;05;31;"Le 30 mai 2010 deux personnes observent � 22h50 le passage au-dessus de leur habitation d'une vingtaine de boules orang�es. Celles-ci se d�placent sans faire de bruit dans la m�me direction.
Le t�moin n'a pas r�pondu aux diff�rentes relances du Geipan pour avoir des informations compl�mentaires.
Sans proc�s verbal de gendarmerie, ni informations compl�mentaires, toute enqu�te est impossible.
M�me si les caract�ristiques (plusieurs boules oranges ayant une trajectoire simultan�e transversale), �voquent le ph�nom�ne connu de vol en formation de lanternes volantes, ce cas est class� C par manque d'information.";"Observation du d�placement d'une vingtaine de boules oranges dans la m�me direction.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-05-02576
2663;"PARIS (75) 23.05.2010";Paris;75;"(D) D�partement";2010;05;23;"Le dimanche 23 mai 2010 vers 22h35, un t�moin sur son balcon au 6eme �tage est intrigu� par un objet inhabituel dans le ciel parisien. L'objet ""virevolte"" sans bruit ni lumi�res et sera de nouveau aper�u � 22h41. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
La forme virevoltante d�crite par le t�moin peut difficilement �tre un ballon ; un d�faut de vision (phosph�ne, corps flottant) reste envisageable mais impossible � prouver.
D'�tranget� faible voire moyenne, mais d'une consistance insuffisante en raison des incoh�rences m�t�orologiques relev�es, ce cas d'observation ne peut �tre conclu en l'absence de donn�es suppl�mentaires.
Ce cas est class� ""C"" faute de t�moiganges ind�pendants ou de recoupements";"Observations successives le m�me soir du d�placement silencieux d'un objet oblongue dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-12-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-05-02582
2664;"BEYNES (78) 24.05.2010";Yvelines;78;"(D) D�partement";2010;05;24;"Le lundi 24 mai 2010 � 22h 30, un t�moin observe un point tr�s lumineux jaune et statique depuis le premier �tage d'une habitation. Il pr�vient ses parents qui observent la m�me chose. Deux photographies seront prises � l'aide d'un appareil photo num�rique. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation qui durera 45 minutes avant que le t�moin d�cide d'aller se coucher.
Le t�moin est intrigu� car il rapporte �galement d'autres observations de ph�nom�nes lumineux faites depuis cette habitation, sans donner de dates pr�cises et dans un autre secteur g�ographique d'observation.
Aucun autre t�moignage sur ce ph�nom�ne ne sera recueilli.
L'observation du 24 mai 2010 est certainement celle de V�nus.
Les autres observations r�p�titives sont probablement des observations d'autres astres (Mars et Sirius), tr�s visibles en avril au Sud-Ouest (voir carte c�leste du mois d'avril 2010). Les 3 points lumineux observ�s aux jumelles sont probablement une aberration optique ou un effet de la turbulence atmosph�rique : cet effet est tr�s commun pour les observations d'astres tr�s lumineux.
Les t�moins ont aussi pu observer de jour ou en d�but de nuit des ballons m�t�o l�ch�s r�guli�rement depuis le centre de M�t�o France de Trappes (� 12km au S-E du lieu d'observation). Ces ballons sont parfois l�ch�s en � trains �, et sont susceptibles de � s'�teindre � subitement lorsque, � haute altitude, le soleil dispara�t derri�re l'horizon.
Ce cas du 24 mai 2010 est class� ""A"" : observation astronomique de V�nus.";"Observation dans le ciel d'un point tr�s lumineux jaune : observation astronomique de V�nus.";O;1;;;;;;;;2013-02-11;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-05-02583
2666;"AUBERVILLE-LA-RENAULT (76) 23.05.2010";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2010;05;23;"Le 23 mai 2010 vers 22h45 plusieurs personnes observent dans le ciel les �volutions d'un objet lumineux orang�. Celui-ci se d�place horizontalement puis stationne avant de repartir verticalement et de dispara�tre � l'horizon. Aucun bruit ne sera entendu durant l'observation qui dure 5 minutes.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne. Ces personnes ont probablement �t� t�moin du passage d'une lanterne thailandaise.";"Probable observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2011-05-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-05-02615
2667;"NANCY (54) 21.05.2010";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2010;05;21;"Deux t�moins observent plusieurs soirs de suite un ph�nom�ne lumineux dans le ciel en direction de l'Ouest-Nord-Ouest. Cette lumi�re fixe se couche lentement. Ils prennent des photographies.
Ce cas d'observation doit son �tranget� non pas au ph�nom�ne observ� mais � l'interpr�tation que les t�moins en ont fait, du fait de la forme de ligne vue par les t�moins, et de la photo prise depuis le bas de l'immeuble.
En effet l'objet observ� dans le ciel a toutes les caract�ristiques de la plan�te V�nus.
La photographie prise du sol est effectivement �trange � premi�re vue ; mais le t�moin a photographi� un lampadaire, et non V�nus : une fois descendu au rez-de-chauss�e, V�nus �tait cach�e par la colline bois�e, et seule la lumi�re de l'�clairage public lui parvient � travers le feuillage.
Ce cas est class� A : observations r�p�t�es de la plan�te V�nus, et m�prise photographique avec un lampadaire � travers du feuillage.";"Observations successives d'une barre scintillante avec des spots : observation astronomique de V�nus.";O;1;;;;;;;;2012-12-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-05-02625
2668;"CLAIRVAUX-LES-LACS (39) 17.05.2010";Jura;39;"(D) D�partement";2010;05;17;"Le 17 mai 2010 vers 21h45 un couple observe dans le ciel la chute lente d'un objet triangulaire en feu. Le t�moin principal pense � la chute d'un ULM en flamme. De cet objet se d�tache un autre objet formant une torche. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Etant donn�e l'amplitude des recherches men�es par la gendarmerie, l'hypoth�se de chute d'ULM peut �tre exclue.
On peut alors penser � une m�prise avec une chute de d�bris spatial (l'aspect et la dur�e de l'observation peuvent correspondre). Un d�bris r�portori� est rentr� dans l'atmosph�re ce jour l� (29569 DELTA 4 DEB), mais l'inclinaison de son orbite de 98� ne correspond pas � l'observation (vers E-NE) ; cette hypoth�se ne peut �tre confirm�e.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" : manque d'information pour conclure.";"Observations de la chute d'un objet en feu. Manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2012-06-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-05-02672
2670;"MONTPELLIER (34) 04.06.2010";H�rault;34;"(D) D�partement";2010;06;04;"Le 4 juin 2010 � 23h15 un t�moin observe durant deux � trois minutes dans le ciel trois points lumineux. Stationnaires et de m�me taille, ils disparaissent tous en m�me temps.
Le t�moin ne souhaite pas t�moigner en gendarmerie et aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
La description du ph�nom�ne (apparition successive de 1 puis 3 points lumineux) fait penser encore une fois � l'observation de lanternes lumineuses apparaissant successivement dans le ciel puis s'�teignant ('disparaissant' pour le t�moin).
La m�t�o � 00h de la station de Montpellier indique un l�ger vent de Nord compatible avec la trajectoire d'un 'objet' l�ger d�crite par le t�moin.
Le ph�nom�ne observ� a un faible degr� d'�tranget�. l'hypoth�se de l'observation de lanternes volantes est la plus probable.";"Probable observation de lanternes volantes.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-06-02577
2671;"FONTENAY-SOUS-BOIS (94) 03.06.2010";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2010;06;03;"Le 3 juin 2010 � 7h28 un t�moin observe durant une dizaine de secondes le passage d'une sph�re blanche dans le ciel. De petite taille et volant au-dessus des immeubles, cet objet dispara�t rapidement cach� par le paysage urbain. Aucun bruit n'a �t� entendu durant l'observation. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Le t�moin ne souhaite pas d�poser en gendarmerie.
La description de l'observation, bien d�taill�e dans le questionnaire renvoy� au GEIPAN par le t�moin principal, fait �videmment penser � l'observation d 'un objet plus l�ger que l'air (ballon m�t�o ou autre). La situation m�t�o de Roissy indique au moment de l'observation un vent faible Nord (entre 360� et 10�) compatible avec la trajectoire 'Nord-Sud' d�crite par le t�moin.";"Probable observation du d�placement d'un ballon (m�t�o ou autre).";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-06-02578
2672;"TOURNAN-EN-BRIE (77) 05.06.2010";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2010;06;05;"Le 5 juin 2010 vers 23h55 de nombreux t�moins observent le d�placement d'une colonne de boules oranges.
La lecture de l'unique questionnaire et les caract�ristiques de l'observation d�crites ont orient� l'enqu�te vers l'observation de lanternes tha�landaises.
Contact� par le GEIPAN, le Service Communication de la mairie de Tournan-en-Brie conforte cette conviction en pr�cisant qu'un mariage a eu lieu sur leur commune avec un l�cher de lanternes tha�landaises le samedi 05 juin � minuit.";"Observation du d�placement de lanternes volantes.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-06-02579
2673;"SAINT-JULIEN-EN-GENEVOIS (74) 06.06.2010";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2010;06;06;"Le samedi 5 juin 2010 aux environs de minuit un t�moin observe durant 5 � 6 secondes le passage sans bruit d'une boule lumineuse jaune entour�e d'un halo orang�. La trajectoire est S-N.
Le ph�nom�ne d�crit ressemble tr�s fortement � une lanterne tha�landaise, que l'on peut trouver dans le commerce en diverses couleurs. Le feu d'artifice observ� par le t�moin laisse penser aussi que cette nuit l� est pr�texte � diverses festivit�s. La trajectoire lin�aire est caract�ristique de ce type d'observation ; mais le vent souffle du Nord � minuit (relev� � l'a�roport) ce qui ne permet pas de confirmer l'hypoth�se lanterne. N�anmoins, en zone montagne, par vent faible, les brises locales peuvent �tre orient�es diff�remment d'une vall�e � l'autre.
De faible �tranget� mais de bonne consistance gr�ce � une bonne restitution des faits, ce cas d'observation a beaucoup de caract�ristiques d'une lanterne tha�, mais l'absence de relev� du vent local ne permet pas de confirmer cette hypoth�se.
Ce cas est class� C faute de relev� m�t�o tr�s pr�cis, de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Observation du passage silencieux d'une boule lumineuse jaune dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-12-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-06-02581
2674;"TOULOUSE (31) 12.06.2010";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2010;06;12;"Le 12 juin 2010 entre 14h et 14h30, plusieurs personnes r�unies autour d'un barbecue constatent dans le ciel la pr�sence � haute altitude d'un objet noir de forme triangulaire. L'objet semble immobile puis prend une trajectoire ascendante avant de disparaitre derri�re un nuage.
Il y avait ce jour l� un vent de N/NO. Le t�moin observait dans la direction N/NO, c'est-�-dire face au vent : un ballon en phase ascensionnelle suivant le vent apparait donc peu mobile � l'observateur. La forme triangulaire de l'objet fait penser � un ballon t�tra�drique, noir car vu � contrejour par le soleil au zenith.
Ce ballon peut �tre un ballon m�t�o lanc� de Blagnac ou de Meteo-France, ou aussi un ballon jouet l�ch� du centre ville (nombreuses f�tes de fin d'ann�e ce jour l� � Toulouse). Le d�placement, la couleur, la forme de l'objet sont compatibles d'un ballon gonfl� � l'hydrog�ne ou � l'helium port� par le vent.
Ce cas est class� ""B"" observation probable d'un ballon.";"Pr�sence d'un objet noir triangulaire � haute altitude : probable observation d'un ballon (m�t�o ou jouent d'enfant).";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-06-02584
2675;"PARIS (75) 05.06.2010";Paris;75;"(D) D�partement";2010;06;05;"Un t�moin observe quelques secondes vers 23h le d�placement silencieux et rectiligne vers le N-O d'un ph�nom�ne lumineux compos� de cinq halos lumineux de couleur blanc et jaune. Suite au classement et � la publication du cas de Tournan-en Brie (77) de la m�me date, le t�moin a contact� le GEIPAN et pense que son observation pourrait correspondre au m�me ph�nom�ne : un l�cher de lanternes. Un autre t�moignage a �t� recueilli sur une observation sililaire faite depuis l'Ile Saint-Louis entre 22h50 et 23h13 toujours le 5 juin 2010. Le cas est class� en cat�gorie A.";"Observations du d�placement de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-08-23;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-06-02586
2676;"MONTAT (LE) (46) 06.06.2010";Lot;46;"(D) D�partement";2010;06;06;"Dans la nuit du samedi 5 au dimanche 6 juin 2010, plusieurs t�moins sont intrigu�s par le passage rapide d'une lumi�re blanche. La trajectoire est basse et de l'Est vers le Sud. L'observation dure entre 5 � 10 secondes.
Un gros satellite aurait pu donner cet aspect (hormis la forme visible, laquelle peut �tre une sorte d'illusion optique). Certains satellites sont sur des orbites l�g�rement r�trogrades (inclinaison de l'ordre de 100�) qui pourraient suivre une trajectoire Est vers Sud. Lorsque le GEIPAN a fait cette enqu�te (en 2012), les simulations n'�taient plus possibles pour une date en 2010.
Il ne nous est pas possible de conclure fermement ce cas d'observation, d'�tranget� relativement faible (un point lumineux se d�pla�ant en ligne droite) et de bonne consistance (t�moignage pr�cis).
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Observation du d�placement � tr�s grande vitesse d'un point lumineux sur une trajectoire rectiligne : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-12-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-06-02587
2677;"USSAC (19) 25.06.2010";Corr�ze;19;"(D) D�partement";2010;06;25;"Le vendredi 25 juin 2010 � 0h 50, un t�moin observe, depuis la terrasse de son domicile, un ph�nom�ne lumineux qui l'intrigue. Durant une � deux minutes, cette personne suit le d�placement silencieux d'une lueur blanche, sph�rique et tr�s lumineuse.
L'enqu�te confi�e � un IPN permettra d'�tablir que le t�moin a probablement suivi le passage de la Station Spatiale Internationale.";"Probable observation du passage de l'ISS (Station Spatiale Internationale).";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-06-02588
2678;"CHAULGNES (58) 25.06.2010";Ni�vre;58;"(D) D�partement";2010;06;25;"Le 25 juin 2010 � 23h40 un t�moin observe dans le ciel, le passage d'un objet sph�rique lumineux qui l'intrigue. L'objet se d�place d'Ouest en Est passant au-dessus de son habitation.
Le t�moin a certainement observ� la station spatiale internationale qui a travers� le ciel de l'Ouest Sud Ouest vers l'Est en passant pratiquement � la verticale du lieu d'observation entre 23h34 � 23h38.
Ce cas est class� A : observation de l'ISS.";"Observation du d�placement d'un objet sph�rique lumineux : passage de l' ISS.";O;1;;;;;;;;2013-01-24;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-06-02589
2679;"CONFLANS-SAINTE-HONORINE (78) 13.06.2010";Yvelines;78;"(D) D�partement";2010;06;13;"Le 13 juin 2010 � une heure du matin, un t�moin voit surgir progressivement dans le ciel des boules lumineuses orang�es. Le t�moin comptera entre 15 et 20 boules se d�pla�ant rapidement et silencieusement avant de s'�teindre en s'�levant dans les airs.
La description de t�moin correspond en tous points � l'observation d'un l�cher de lanternes tha� : couleur orange, d�placement en douceur et en silence selon le vent (de Nord Est, vers le Sud Ouest, voir relev� m�t�o), et disparition au bout de quelques minutes. De plus, l'heure et le jour (� 1h du matin un dimanche de juin) sont fr�quents pour ce genre d'�v�nement.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observation du d�placement silencieux de plusieurs boules lumineuses orang�es : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-08-01;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-06-02590
2680;"PARIS (75) 26.06.2010";Paris;75;"(D) D�partement";2010;06;26;"Dans la nuit du vendredi 25 au samedi 26 juin 2010 aux alentours de 1h du matin, huit personnes observent dans le ciel parisien le d�placement silencieux � basse altitude et � vitesse constante d'une boule orange tr�s lumineuse qui soudain fait une chute brutale d'altitude et d'intensit� lumineuse. Un seul t�moignage sera rapport� au GEIPAN.
De faible �tranget� et de faible consistance (�tant donn� l'absence de t�moignage ind�pendants), ce cas d'observation ne peut �tre conclu bien qu'une forte pr�somption de lanterne volante reste � l'esprit.
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements permettant de valider ou non l'hypoth�se de lanterne volante.";"Observation du d�placement d'un objet lumineux orang� et perte brutale d'altitude et de luminosit� : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-06-02593
2681;"NANTES (44) 07.06.2010";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2010;06;07;"Un t�moin observe, le 7 juin 2010 vers minuit trente, un objet circulaire lumineux et stationnaire dans l'espace a�rien. L'observation dure environ 15 secondes avant que l'objet ne disparaisse rapidement sans aucun bruit.
Suite aux informations compl�mentaires re�us de la SNA-Ouest le 07/12/2010, cette observation correspond probablement � la phase d'approche/atterissage d'un avion � l'a�roport de Nantes (vol commercial qui s'est pos� � 0h37mn locales). Le projecteur avant d'atterrissage �tant d�crit comme une ""boule lumineuse blanche �clatante"" "" cern�e d'�clats' (feux clignotants d'ailes).";"Probable observation du passage d'un a�ronef.";O;1;;;;;;;;2011-02-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-06-02598
2682;"MORDELLES (35) 03.06.2010";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2010;06;03;"Un t�moin observe dans le ciel le 3 juin 2010 vers 0h45 une boule de lumi�re qui l'intrigue. Cet objet fixe perd de sa luminosit� et le t�moin le perd de vue. Aucun bruit n'est remarqu� durant l'observation de 15 � 20 secondes.
Suite � la publication de cas en ""C"", un internaute a signal� au GEIPAN la possibilit� d'un flash iridium. Le GEIPAN a v�rifi� cette hypoth�se.
La description du t�moin correspond bien � l'observation d'un flash d'un satellite Iridium, ph�nom�ne rare et spectaculaire qui a eu lieu � ce moment l�, visible en ce lieu, et n'a pas pu �chapper � l'observateur qui regardait dans cette direction. Il reste toutefois une absence d'information donn�e par le t�moin sur l'�l�vation (site) du ph�nom�ne dans le ciel.
L'observation de ce PAN est class� � A �, comme flash Iridium.";"Observation d'une boule de lumi�re : flash irridium.";O;1;;;;;;;;2012-09-13;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-06-02599
2683;"VERGENNE (LA) (70) 02.06.2010";Haute-Sa�ne;70;"(D) D�partement";2010;06;02;"Le 02 juin 2010 aux environs de 20h30-20h45 un t�moin observe tr�s bri�vement le passage d'un objet de forme ovoide et de couleur vert p�le fluorescent. Cet objet lumineux vient du Sud et se dirige Nord-Nord-Est selon une trajectoire rectiligne et � vitesse rapide. Aucun bruit n'est entendu et aucune train�e n'est aper�ue � la suite de cet objet.
L'observation d�crit un ph�nom�ne lumineux pendant un temps tr�s court (1 � 2 sec), tr�s rapide, de forme semblable � une com�te (ce qui laisse � penser � une rentr�e atmosph�rique), de couleur vert p�le fluo (�galement caract�ristique d'une rentr�e dans l'atmosph�re).
Ce cas est class� B comme une probable rentr�e atmosph�rique d'un m�t�ore.";"Probable rentr�e atmosph�rique d'un m�t�ore.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-06-02600
2684;"SAINT-MAUR-DES-FOSSES (94) 30.06.2010";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2010;06;30;"Le mercredi 30 juin 2010 vers 17h15 un t�moin est intrigu� par la pr�sence d'un gros point noir stationnaire dans le ciel. Ce point se d�place ensuite et disparait derri�re un nuage.
D'�tranget� moyenne et de bonne consistance malgr� un d�faut d'orientation, ce cas d'observation d'un gros point noir ne peut �tre conclu en l'�tat ; les v�rifications des diverses hypoth�ses ne peuvent plus �tre faites. Malheureusement, le d�lai d'un mois apr�s lequel est parvenu le questionnaire ne permet plus d'obtenir les enregistrements radar.
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Observation de la pr�sence stationnaire puis du d�placement d'un point noir dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-06-02611
2685;"MONTFORT-SUR-MEU (35) 27.06.2010";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2010;06;27;"Le 26 juin 2010 aux environ de minuit dix, un t�moin observe le passage de deux points lumineux jaunes-orang�s. Ils traversent le ciel d'Est en Ouest � une allure constante. Ils disparaissent cach� par le paysage urbain.
Deux autres personnes auraient vu ce ph�nom�ne mais aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
D'apr�s la description donn�e par le t�moin, celui-ci a probablement observ� le passage de lanternes thailandaises.";"Probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-06-02612
2686;"ISIGNY-LE-BUAT (50) 19.06.2010";Manche;50;"(D) D�partement";2010;06;19;"Le samedi 19 juin 2010 aux environs de 23h30, un t�moin � proximit� d'une f�te de village est intrigu� par une lumi�re rouge variant d'intensit� et par un objet avec des lumi�res blanches que le t�moin ne reconnait pas. L'observation dure entre 5 � 10 minutes.
Le t�moin a pens� � un ou plusieurs h�licopt�res, les lumi�res observ�es �tant rest�es statiques tout au long de l'observation, mais l'absence de bruit et le clignotement lent et atypique des lumi�res ne cadrent pas avec cette hypoth�se.
Un ballon captif muni d'�clairages pourrait �galement expliquer l'observation, notamment s'il participe au spectacle pyrotechnique �galement observ�. Il ne nous a malheureusement pas �t� possible de v�rifier cette deuxi�me hypoth�se.
Quelques ballons en altitude, �clair�s par les derniers rayons du soleil, couch� depuis un peu plus d'une heure, auraient pu donner un spectacle similaire.
D'�tranget� moyenne de part le cot� statique et le rythme de pulsation lumineuse du PAN, et de bonne consistance gr�ce une description pr�cise de la part du t�moin, ce cas d'observation ne peut malheureusement �tre fermement conclu en l'absence d'investigations suppl�mentaires.
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Observation longue d'une lumi�re rouge et d'un objet lumineux dans la nuit : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-06-02613
2687;"CALAIS (62) 12.06.2010";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2010;06;12;"Le 12 juin 2010 � partir de 23h30 plusieurs calaisiens observent depuis diff�rents lieux, une dizaine de boules lumineuses oranges et blanches dans le ciel. Elles semblent venir du m�me endroit et se d�placent lentement et sans bruit selon une trajectoire ascendante avant de dispara�tre.
Un article du 17 ao�t 2010 du journal local fait �tat d'un t�moin qui aurait vu un l�cher de lanternes devant le lyc�e du D�troit mais aucun t�moignage n'a �t� recueilli par la gendarmerie.
Ces personnes ont probablement observ� le passage de lanternes thailandaises.";"Probable observations du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2011-11-28;;;0.25;0.00;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-06-02614
2689;"SALLANCHES (74) 10.06.2010";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2010;06;10;"Le 10 juin 2010 entre 22h30 et 23hy, un t�moin observe depuis la terrasse de son domicile un point lumineux qui l'intrigue ; celui-ci est stationnaire au SE environ 15 minutes avant de se d�placer vers le NE et de dispara�tre cach� par le paysage.
Suite au PV de gendarmerie, les investigations men�es par la Gendarmerie n'ont pas permis ni de recontacter le t�moin principal, ni les autres t�moins d�sign�s. Aucune voie de communication rapide (t�l�phone, adresse �lectronique) ne permette de rentrer en contact avec le t�moin. Le temps �coul� depuis l'observation et les informations contenues dans le PV ne permettent pas d'aller plus loin dans les investigations, ni de mener une enqu�te. La dur�e (non v�rifiable) et la description succinte par un t�moin unique du ph�nom�ne laissent la porte ouverte � toutes les hypoth�ses (avion en circuit d'attente?, ballon avec sa charge utile dessous ('forme circulaire avec un panache en dessous?), autre?).
Le cas est class� C par manque d'informations.";"Observation d'un point lumineux.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-06-02640
2690;"PLESSIS-GRAMMOIRE (LE) (49) 20.06.2010";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";2010;06;20;"Le 20 juin 2010 vers minuit trente, des t�moins constatent la pr�sence dans le ciel de trois sph�res lumineuses de couleur rouge-orang�. Celles-ci se d�placent en direction du N-O.
Les caract�ristiques de l'observation faites par 3 t�moins (nuit de samedi � dimanche autour de minuit, trois sph�res orang�es se d�pla�ant dans la m�me direction, sans bruit et � faible altitude) correspondent � un vol de lanternes tha�landaises. Cette hypoth�se est d'ailleurs envisag�e par un des t�moin. La direction du vent Nord-Nord Ouest correspond �galement au sens de d�placement d�crit dans l'observation.";"Observation du passage de lanternes thailandaises.";O;3;;;;;;;;2010-10-04;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-06-02643
2691;"GROSSETO-PRUGNA (20) 06.06.2010";"Corse du Sud";20;"(D) D�partement";2010;06;06;"Un t�moin observe depuis son balcon un ph�nom�ne insolite dans la nuit du 5 au 6 juin 2010 � minuit trente sept. Une lumi�re blanche, en forme de rectangle et venant des montagnes au-dessus d'Ajaccio, traverse la baie � tr�s grande vitesse, sans faire aucun bruit et selon une trajectoire rectiligne.
Les caract�ristiques de l'observation (nuit du samedi/dimanche un peu apr�s minuit, lumi�re blanche non �blouissante, aucun bruit, trajectoire compatible avec la direction du vent) �voquent un ballon lumineux de type lanterne tha�landaise.";"Probable observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-06-02658
2692;"GOURIN (56) 04.06.2010";Morbihan;56;"(D) D�partement";2010;06;04;"Le 4 juin 2010 � 23h12 un t�moin filme le passage dans le ciel d'une lumi�re orange. Un deuxi�me t�moin, qui a pris des photographies mais ne pourra les fournir aux enqu�teurs, d�crit le ph�nom�ne comme un ""esp�ce de ballon contenant une sorte de lampion � l'int�rieur"".
Le t�moin principal est auditionn� par la gendarmerie 4 mois apr�s l'observation. La video jointe au proc�s verbal de gendarmerie montre effectivement sans ambiguit� un vol de lanterne de type tha�landaise.
L'origine et le lieu de lancement n'ont pas �t� determin�s.";"Probable observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-06-02671
2694;"[AERO AFR] GUAM (GU) 27.06.2010";Guyane;GU;"(D) D�partement";2010;06;27;"Le 27 juin 2010 � 18h 05 un pilote et son copilote en vol Noum�a-S�oul sur un Airbus 330 se trouvant � 40000 pieds (12500 m�tres) aper�oivent un point lumineux tr�s brillant ""� 1h"" qui se d�place rapidement selon une trajectoire rectiligne orient�e vers le SE. Aucune fum�e ou trace de combustion ne sont remarqu�es. La vitesse est estim�e � Mach 6 pour une altitude d'au moins 80000 pieds (env 25000 m�tres). Alors que le point lumineux arrive sur ses 3 heures (� 90� � droite), le pilote prend contact avec le contr�le a�rien de la zone bas� � Guam, sans lui donner de position ni de cap pr�cis. Le contr�leur, d'abord �tonn�, lui r�pond par la n�gative avant de contacter une minute plus tard un vol American Airlines qui est dans le secteur pour lui demander confirmation d'un �ventuel trafic a�rien non signal�. L'�quipage du vol American Airlines confirme l'observation. L'observation se termine au bout de 5 minutes, lorsque le point lumineux passe dans l'angle mort de l'�quipage du vol en cours. Un seul t�moignage sera recueilli.
Cette observation a toutes les caract�ristiques de l'observation d'un satellite, l'hypoth�se la plus probable est l'observation de la station spatiale internationale ISS.
Les indications de position dans le ciel, date, heure et dur�e de l'observation sont conformes � l'hypoth�se propos�e.
Comme toujours dans ces cas-l�, l'estimation de distance et de vitesse faite par le t�moin, m�me pilote exp�riment�, ne peut pas �tre juste. Sans rep�res, Il est absolument impossible pour un t�moin d'estimer la distance, la taille et la vitesse d'un objet qu'il ne conna�t pas. Seule la vitesse angulaire du d�placement du ph�nom�ne est � consid�rer pr�cis�ment. Comme l'ISS est beaucoup plus brillante que les autres satellites, les �quipages l'auront per�ue plus proche et a plus basse altitude.
Les indications de position dans le ciel, date, heure et dur�e de l'observation ont �t� prises en compte avec pr�cision, et sont conformes � l'hypoth�se propos�e (voir le rapport d'enqu�te d�taill�).
Le GEIPAN classe ce cas � A � : observation de la station spatiale internationale (ISS).";"Observation par un pilote du d�placement rectiligne d'un point tr�s lumineux vers le Sud : aucune trace de fum�e ou combustible : observation de la station spatiale internationale (ISS).";O;1;;;;;;;;2016-02-24;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2010-06-08927
2695;"CERGY (95) 01.07.2010";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2010;07;01;"Le 1er juillet 2010 vers minuit un t�moin constate dans le ciel le d�placement particulier en ""chevron"" d'un point lumineux .
L'�tranget� de ce cas r�side uniquement dans cette forme en chevron du d�placement. Le t�moin indique une fr�quence d'environ 2 secondes sur ce d�placement en chevron.
En faisant le parall�le avec la photo en pose longue d'un avion de ligne (ci jointe), o� l'on aper�oit une alternance des feux rouge et blanc le long de l'axe de d�placement, allum�s chaque seconde, le GEIPAN �met l'hypoth�se que ce clignotement ait pu �tre interpr�t� par le t�moin comme un d�placement en chevron.
Le GEIPAN classe donc ce cas en ""B"" : observation probable d'un avion.";"Probable observation d'un a�ronef.";O;1;;;;;;;;2012-02-01;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-07-02592
2696;"PETIT-COURONNE (76) 03.07.2010";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2010;07;03;"Un t�moin observe le 3 juillet 2010 � partir de 23h50 les d�placements d'un point lumineux blanc dans le ciel qui l'intrigue. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation film�e.
De faible �tranget� et de consistance moyenne (t�moin unique), ce cas d'observation correspond tout � fait � l'observation de la station spatiale internationale (ISS) pour sa premi�re partie.
Pour les 2e et 3e parties relat�es, c'est une probable observation de satellites non d�termin�s.
Ce cas est class� A : observation de la station spatiale internationale ISS";"Observation des d�placements d'un point lumineux blanc dans le ciel : passage de l'ISS et probables satellites.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-07-02594
2697;"SAINT-REMY-LA-VARENNE (49) 06.07.2010";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";2010;07;06;"Un t�moin intrigu� rapporte son observation : le 6 juillet 2010 vers 23h40, il observe durant moins de 2 minutes une forte luminosit� qui se d�place rapidement en direction de l'Est. La trajectoire est rectiligne.
De faible �tranget� et de bonne consistance gr�ce � une description pr�cise de la part du t�moin, ce cas d'observation est certainement d� au passage de l'ISS.
Ce cas est class� A.";"Observation du d�placement rectiligne d'une forte lumi�re dans le ciel : passage de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2013-01-24;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-07-02597
2698;"PARTHENAY-DE-BRETAGNE (35) 01.07.2010";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2010;07;01;"Le 1er juillet 2010 aux alentours de 23h un t�moin observe le passage d'Ouest en Est d'un ph�nom�ne lumineux. Le d�placement est lent et � vitesse constante sans bruit particulier.
Les pr�visions de passage de la Station Spatiale Internationale avaient �t� calcul�es pour faire une actualit� du ciel d'�t� 2010 sur le site internet du Geipan ( /geipan/actualites/01072010-Ciel-dete-Attention-aux-meprises-.html ). Ces pr�visions montrent que le t�moin a probablement observ� le passage de L'ISS.";"Probable observation du passage de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2011-06-01;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-07-02601
2699;"NOIRETABLE (42) 05.07.2010";Loire;42;"(D) D�partement";2010;07;05;"Durant la nuit du 4 au 5 juillet 2010 aux environs de 0h15, un t�moin observe depuis la fen�tre de sa chambre le passage rectiligne O-E d'une lumi�re tr�s brillante. L'objet disparait masqu� par le toit.
Bien que l'ISS n'ait �t� visible du lieu d'observation qu'� partir de 0h23 (l�gale), nous consid�rons comme acceptable la marge d'erreur de 7 minutes par rapport � l'horaire communiqu�e par le t�moin, sachant que lui-m�me indique � +/- 0h15 �.
Ce cas est class� B comme tr�s probable observation de la station spatiale internationale.";"Observation par un t�moin du passage rectiligne O-E d'une lumi�re : probable observation du passage de la station spatiale internationale.";O;1;;;;;;;;2013-02-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-07-02602
2700;"BRION (89) 03.07.2010";Yonne;89;"(D) D�partement";2010;07;03;"Le 3 juillet 2010 � 3h13 un t�moin constate la pr�sence entre deux nuages d'un objet de couleur rouge flamme. L'objet tout d'abord immobile se d�place ensuite sans bruit en direction du Sud avant de disparaitre.
Les caract�ristiques de l'observation ressemblent � celles d'un ph�nom�ne connu et tr�s souvent observ� de lanternes tha�landaises (p�riode festive de l'observation au mois de juillet, nuit de Samedi � dimanche, proximit� de lieu festif avec l'observation comme un ch�teau organisant des mariages et chambres d'h�tes, flamme orang�e).
D'apr�s les documents m�teo (relev�s m�t�o Auxerre), le vent est faible et instable.
La forme en h�lice d�crite par le t�moin peut �tre expliqu�e par l'observation "" vue par-dessous"" d'une lanterne volante (voir image comparaison).
L'observation ne pr�sente aucune �tranget�. La consistance du cas est faible du fait du t�moignage unique et du peu d'informations contenues dans le PV d'audition de gendarmerie.
L'hypoth�se envisageable de l'observation d'une lanterne de type tha�landaise est retenue et ce cas de niveau d'�tranget� faible est class� B comme tr�s probablement expliqu�.";"Observation du passage silencieux dans le ciel d'un objet lumineux orang�.";O;1;;;;;;;;2012-03-05;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-07-02603
2702;"FORT-MAHON-PLAGE (80) 04.07.2010";Somme;80;"(D) D�partement";2010;07;04;"Le 4 juillet 2010 un t�moin filme une plage depuis son v�hicule stationn� face � la mer. Le lendemain il d�couvre sur son film des d�tails qu'il n'a pas vu lors de la prise de vue la veille. Le t�moin ne souhaite pas que son film soit mis en ligne.
La video et les photos transmises m�langent beaucoup de d�tails standards (vid�o de mauvaise qualit� prise avec un t�l�phone mobile en partie � travers un pare brise de voiture face au soleil d'o� de multiples reflets et artefacts, t�che tr�s floue sombre pouvant �tre d�e classiquement � un insecte proche de l'objectif, diverses traces de postcombustion d'avions).
De plus le t�moin n'a rien vu sur place et ne d�crit pas de ph�nom�ne particulier � analyser mais plusieurs ph�nom�nes et trajectoires 'suppos�s' � post�riori. Ces 'observations' sans aucun degr� d'�tranget� sont class�es C car inexploitables.";"Observation � post�rieori sur un film de d�tails non remarqu�s lors de la prise de vue.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-07-02605
2703;"LABASTIDE-SAINT-SERNIN (31) 25.07.2010";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2010;07;25;"Vers 1h30 du matin le 25 juillet 2010 deux personnes observent depuis leur domicile le d�placement de nombreux objets volants dans le ciel. De forme triangulaires ou rondes (selon les t�moignages) et de couleur bicolore, ces objets passent au-dessus de leur maison dans une trajectoire rectiligne. Aucun bruit n'est entendu durant les observations.
Apr�s v�rification aupr�s de la mairie du village des t�moins, la nuit du 24 au 25 juillet a donn� lieu � des festivit�s sur la commune, dont le point d'orgue a consist� en un l�cher de lanternes thailandaises, � l'heure sp�cifi�e par les t�moins (ainsi que par d'autres personnes ayant appel� la mairie).";"Observation du d�placement de lanternes thailandaises.";O;2;;;;;;;;2011-05-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-07-02609
2705;"BERTANGLES (80) 11.07.2010";Somme;80;"(D) D�partement";2010;07;11;"Le 10 juillet 2010 � 2h30 du matin, un t�moin et sa femme observent entre 15 et 20 boules lumineuses de couleur orange dans le ciel. Elles se d�placent sans bruit selon une trajectoire Sud-Nord. L'observation durera un quart d'heure durant laquelle le t�moin prend des photographies.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli par la gendarmerie.
Les photos du t�moin ne laissent aucune ambiguit� sur l'observation tr�s probable de lanternes volantes.";"Probable observation du passage du lanternes thailandaises.";O;2;;;;;;;;2010-12-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-07-02617
2707;"APT (84) 02.07.2010";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2010;07;02;"Le 2 juillet 2010 � partir de 22h45 et durant trente minutes, trois t�moins observent depuis un balcon les d�placements avec changements rapides de direction de ph�nom�nes lumineux dans le ciel passant au-dessus de l'agglom�ration. Un grand bruit de propulsion est entendu durant l'observation.
Comme tous les premiers vendredi de Juillet, la Patrouille de France fait un vol de nuit dans la r�gion (information confirm�e par le CNOA). Le t�moignage correspond assez bien avec cet �v�nement.";"Observation dans le ciel du passage avec brusque changement de direction de ph�nom�nes lumineux : vol de la Patrouille de France.";O;1;;;;;;;;2011-11-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-07-02620
2708;"VALLAURIS (06) 30.07.2010";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2010;07;30;"Le 30 juillet 2010 vers 21h sur la plage de Golfe-Juan, plusieurs personnes observent le passage rapide et silencieux dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux de couleur blanche opaque. Un seul t�moignage sera recueilli.
Les caract�ristiques de l'objet donn�es dans le t�moignage (boule fortement lumineuse se d�placant � tr�s grande vitesse pendant une seconde et demie puis disparaissant) correspondent tout � fait � l'aspect d'un m�t�ore et dans ce cas d'une ""grosse"" �toile filante.
Ce cas est class� B probable observation d'un m�t�ore.";"Probable observation d'un m�t�ore.";O;1;;;;;;;;2012-01-11;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-07-02626
2709;"ALBI (81) 18.07.2010";Tarn;81;"(D) D�partement";2010;07;18;"Le 18 juillet 2010 � partir de 17h un t�moin fait plusieurs observations successives du d�placement dans le ciel albigeois d'une dizaine d'objets de forme circulaire et de couleur blanc opaque. Aucun bruit particulier n'est entendu, aucune train�e ou halo n'est visible. La distance au ph�nom�ne est estim�e � environ 1500 m�tres au minimum. L'observation durera environ 40 minutes. Deux enfants ont �galement �t� t�moin de ce ph�nom�ne.
Les caract�ristiques de l'observation ressemblent � celles d'un ph�nom�ne connu et souvent observ� du d�placement de ballons festifs (observation diurne, p�riode festive de l'observation au mois de juillet, temps d'observation long de 45 minutes, observations successives des m�mes ph�nom�nes pendant plusieurs p�riodes, objets sph�riques opaques de couleur blanche, abscence de bruit, objets se d�pla�ant lin�airement dans la m�me direction, direction du vent Nord-Ouest Sud-Est � peu pr�s compatible avec l'observation, dimensions des objets 't�te �pingle').
L'observation ne pr�sente aucune �tranget�. La consistance du cas est faible du fait du t�moignage unique ( malgr� la forte population qui devait �tre dehors � ce moment l�). L'hypoth�se envisageable de l'observation de ballons festifs (ballons de baudruche) est retenue et ce cas de niveau d'�tranget� faible est class� B comme tr�s probablement expliqu�.";"Observation du d�placement d'une dizaine d'objets circulaires blancs et opaques dans le ciel : probable observation de ballons de baudruche.";O;1;;;;;;;;2012-03-13;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-07-02627
2710;"AIX-EN-PROVENCE (13) 15.07.2010";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2010;07;15;"Un t�moin rapporte ses observations les 15, 16, 17 juillet 2010 d'un ph�nom�ne lumineux qui appara�t vers 22h et dispara�t vers 23h10. D'autres personnes pr�sentes n'ont pas t�moign�. Le t�moin principal a fait des photographies du ph�nom�ne.
La reconstitution de la direction de l'observation montre un c�ne centr� vers l'Ouest. Les caract�ristiques d�crites par le t�moin (point lumineux tr�s puissant dans le ciel, observ� pendant plusieurs jours cons�cutifs au m�me endroit pendant de longues minutes ( jusqu'� 60 min), descendant vers l'horizon) ne laissent aucune ambigu�t� sur l'observation d'un objet c�leste. La plan�te V�nus, de forte magnitude de -4,1, se trouvait dans la portion de ciel observ�.
Le cas est class� A comme l'observation de la plan�te V�nus.";"Observations successives de V�nus.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-07-02628
2711;"HUTTENHEIM (67) 16.07.2010";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2010;07;16;"Dans la soir�e du 16 juillet 2010 � 23h30, deux personnes observent le passage de deux ph�nom�nes lumineux dans le ciel. Un seul t�moin rapportera avoir vu une lueur blanche tr�s lumineuse semblable � une grosse �toile et qui se d�place rapidement vers le Nord-Ouest. Au bout d'une minute, celle-ci s'estompe et finit par disparaitre. Intrigu�, ce t�moin d�cide d'aller chercher des jumelles et � son retour, il observe de nouveau le d�placement d'un ph�nom�ne lumineux de forme circulaire. Des acc�l�rations et oscillations sont observ�es alors que l'objet s'�loigne et disparait.
D'�tranget� relativement faible, ce cas d'observation a beaucoup de caract�ristiques d'un passage de satellites. Cependant par manque d'informations pr�cises (heure pr�cise, archives du bulletin de passage des satellites pour 2010) permettant de valider cette hypoth�se, ce cas est class� C.";"Observation par un t�moin du d�placement d'une lueur blanche dans le ciel puis d'un autre objet lumineux : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-06-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-07-02629
2713;"TREPT (38) 30.07.2010";Is�re;38;"(D) D�partement";2010;07;30;"Le 30 juillet 2010 vers 22h 10 un automobiliste observe quelques secondes le passage, plus bas que les avions, d'un objet triangulaire avec deux d�mes sur le dessus et qui cr�� une train�e argent�e et lumineuse dans le ciel. Aucun bruit particulier n'est entendu lors de l'observation. L'objet dispara�t rapidement du champ de vision du t�moin.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Le PV de gendarmerie n'apporte pas d'information particuli�re, et le t�moin n'a pas r�pondu aux demandes de compl�ment d'information qui lui ont �t� adress�es et renouvel�es (9 septembre (mail) et 17 novembre 2010 (t�l�phone) puis 16 d�cembre 2010 (t�l�phone).
Le cas est class� C par manque d'informations.";"Observation rapide du passage silencieux d'un objet de forme triangulaire. Pr�sence d'une train�e : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-03-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-07-02634
2714;"HERMITES (LES) (37) 17.07.2010";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2010;07;17;"Le samedi 17 juillet 2010 vers 20h45 plusieurs personnes d'une m�me famille aper�oivent dans le ciel en direction du SE deux formes circulaires qui se tournent autour. Un des t�moin muni de jumelles d�crit deux formes ovales de couleur gris m�tallis� avec une s�rie de lumi�res bleues dispos�es en cercle au-dessous de chaque objet. Gagnant de l'altitude les deux objets se dirigent ensuite vers le SE et disparaissent rapidement.
Plut�t �trange et atypique, ce cas d'observation ne peut �tre fermement conclu de part sa trop faible consistance, qui tient essentiellement au t�moignage succinct effectu� aupr�s de la Gendarmerie Nationale. Cette derni�re n'a d'ailleurs pas pu approfondir son enqu�te.
Une enqu�te de terrain am�nerait peu d'�l�ments nouveaux, plus de deux ans apr�s les faits.
Ce cas est class� C.";"Observations du d�placement de deux objets de forme ovale de couleur gris metallis� : manque d'informations.";O;3;;;;;;;;2013-02-28;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-07-02641
2715;"BOHALLE (LA) (49) 11.07.2010";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";2010;07;11;"Un t�moin rapporte une observation de traits puis de plusieurs disques rouges-orang�s en d�placement silencieux dans le ciel le 11 juillet 2010 vers 02h20. Le t�moin prendra des clich�s photographiques durant son observation de 15 � 20 minutes environ.
Les ""disques rouges"" photographi�s par le t�moin correspondent au zoom photo effectu� lors de la prise de vue.
Les caract�ristiques d�crites (plusieurs vagues de lumi�res rouge orang�es se d�pla�ant dans la m�me direction) correspondent dans leur grande majorit� � celles de ph�nom�nes connus de type lanternes volantes.
Cette hypoth�se est valid�e par la d�couverte par le maire du village de lampions en partie incendi�s sur le parking de la mairie. Ce cas est class� A comme l'observation de lanternes thailandaises.";"Observation du d�placement de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-01-04;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-07-02642
2716;"SAINT-JEAN-CAP-FERRAT (06) 13.07.2010";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2010;07;13;"Le 13 juillet 2010 � 23h27 un t�moin observe dans le ciel � environ 150m, trois points lumineux de couleur orange dispos�s en triangle et d�limitant une masse sombre. D'abord stationnaire, l'ensemble se d�place ensuite lentement dans un mouvement lin�aire et sans aucun bruit.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Les caract�ristiques de l'observation ressemblent � celles d'un ph�nom�ne connu et tr�s souvent observ� de passage de lanternes tha�landaises (p�riode festive de l'observation au mois de juillet, nuit du 13 au 14 juillet, observation de 3 points lumineux oranges, abscence de bruit, objets se d�pla�ant lin�airement dans la m�me direction,direction du vent � peu pr�s compatible avec l'observation sachant que celle-ci est faite en bord de mer avec des vents locaux changeant avec le relief). La forme triangulaire sombre entre les 3 points lumineux d�crite par le t�moin est un 'ph�nom�ne' connu sugg�r� par le cerveau humain.
L'observation ne pr�sente aucune �tranget�.La consistance du cas est faible du fait du t�moignage unique ( malgr� la forte population qui devait �tre dehors � ce moment l�) et du peu d'informations contenues dans le PV d'audition de gendarmerie.
L'hypoth�se envisageable de l'observation du passage de lanternes tha�landaises est retenue et ce cas de niveau d'�tranget� faible est class� B comme tr�s probablement expliqu�.";"Probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-02-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-07-02644
2717;"ROSNY-SOUS-BOIS (93) 01.07.2010";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";2010;07;--;"Entre le 1er et le 12 juillet 2010 vers 11h du matin, un t�moin observe durant quelques secondes dans le ciel, le passage rapide d'un objet rectangulaire de couleur aluminium. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Ce cas d'observation est tr�s �trange, mais le t�moignage est tr�s peu consistant : un seul t�moin malgr� une zone tr�s peupl�e, une observation tr�s courte de quelques secondes, pas de date pr�cise. La sinc�rit� du t�moin n'est pas en cause, mais on ne peut pas exclure un probl�me temporaire de vision (�blouissement).
Il n'est pas possible de mener une enqu�te pr�cise sur ce cas.
Le GEIPAN classe cas ""C"" par manque d'informations fiables.";"07.2010. Observation du passage rapide d'un objet rectangulaire de couleur aluminium � tr�s haute altitude : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2013-04-25;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-07-02655
2718;"CANTELEU (76) 18.07.2010";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2010;07;18;"Le t�moignage par questionnaire d�crit l'observation de plusieurs points lumineux (� la jumelle puis � l'il nu) de forme oblongue et de couleur sombre.
Les caract�ristiques de l'observation ainsi que la date (dimanche matin de juillet) �voquent une formation de ballons de baudruche �clair�s par le soleil. La direction prise par le premier objet (sur la gauche du t�moin qui observe vers le sud, donc direction vers l'Est) puis par les autres objets est compatible avec la direction du vent au moment de l'observation. L'impression de ""train�e grise"" d�crite par le t�moin �tant s�rement d�e � la persistance visuelle.
Le cas est class� B comme l'observation probable de ballons.";"Probable observation du passage de ballons.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-07-02680
2719;"CAMBOULIT (46) 28.07.2010";Lot;46;"(D) D�partement";2010;07;28;"Le 28 juillet 2010 vers 22h15 plusieurs personnes observent le passage d'objets lumineux en forme de montgolfi�re. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation qui dure 5 minutes. Un seul t�moin rapportera son observation.
Les recherches effectu�es par la gendarmerie concluent � une observation probable de lanternes tha�landaises.";"Probable observations de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-07-02682
2721;"MONTELIMAR (26) 09.07.2010";Dr�me;26;"(D) D�partement";2010;07;09;"Deux t�moins observent le 09/07/2010 dans le ciel vers 22h00 une boule de forme ovale blanche lumineuse qui vole � vitesse rapide sur une trajectoire rectiligne. Aucun bruit n'est entendu : l'objet dispara�t vers le Nord. La personne qui a t�moign� a pris une photographie et contactera la presse locale.
Diverses hypoth�ses ont �t� envisag�es pour ce ph�nom�ne moyennement �trange de tache lumineuse se d�pla�ant en ligne droite du Sud vers le Nord.
Un bolide aurait �t� beaucoup plus vite,et aurait produit une tra�n�e, la station ISS, pr�sente ce soir l� dans le ciel fran�ais, ne se d�pla�ait pas dans cette direction, et appara�t comme un point tr�s brillant, pas comme une ""assiette"".
Le passage d'un ballon festif m�tallis� volant au gr� du vent (10� 20km/h), encore expos� au soleil car plus haut (soleil couch� � 21h20) pourrait expliquer cette observation mais sa vitesse apparente aurait �t� plus faible (� moins de vents d'altitude bien plus forts).
Devant cette incertitude, le GEIPAN classe ce cas ""C"" ce cas moyennenement �trange de consistance moyenne.";"Observation du d�placement rapide, rectiligne et silencieux d'une boule ovale blanche brillante : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2012-10-31;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-07-08217
2722;"CIVRAY (86) 19.08.2010";Vienne;86;"(D) D�partement";2010;08;19;"Le jeudi 19 aout 2010 vers 2h30 un t�moin et ses proches sont intrigu�s par la pr�sence dans le ciel d'objets (nomm�s 1 et 2 dans le t�moignage) lumineux et silencieux, fixes ou en d�placement. Le t�moin fera une autre observation le 21 aout 2010 entre 6h et 6h30 (objets nomm�s 3 et 4).
Les objets 1 et 3 sont tr�s probablement Jupiter et l'objet 4 est indubitablement la station spatiale internationale (ISS).
L'objet 2, �galement fixe et situ� � l'Est le 19 ao�t pourrait �tre l'�toile Capella (az. 47 et 24� d'�l�vation et magnitude 0.05). Une marge d'erreur d'orientation d'environ 45� est couramment constat�e dans les t�moignages.
De faible �tranget� et de consistance moyenne, ce cas d'observation est le fruit de plusieurs m�prises astronomiques et astronautiques.";"Observations de plusieurs objets lumineux dans le ciel : m�prises astonomiques et astronautiques.";O;1;;;;;;;;2013-03-29;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;B;A;2010-08-02621
2723;"SAINT-JEAN-DE-MONTS (85) 05.08.2010";Vend�e;85;"(D) D�partement";2010;08;05;"Le 5 aout 2010 � 22h55, au cours d'une promenade estivale, le t�moin aper�oit une boule lumineuse jaune se d�pla�ant selon une trajectoire N-S au-dessus de la ville � vitesse mod�r�e.
Ce cas peu �trange (un point lumineux se d�pla�ant en ligne droite) est de faible consistance en raison des impr�cisions d'orientation et de description du ph�nom�ne proprement dit (taille apparente vague). L'hypoth�se de l'observation d'un gros satellite reste la plus probable, mais non d�montr�e.
Ce cas est class� C par manque d'informations et en raison des impr�cisions relev�es.";"Observation du d�placement N-S d'un ph�nom�ne lumineux : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2013-04-25;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-08-02622
2725;"SAINTE-TERRE (33) 08.08.2010";Gironde;36130;"(D) D�partement";2010;08;08;"Le t�moin observe, plusieurs jours de suite, un ph�nom�ne plus lumineux qu'une �toile. Celui-ci se trouve au m�me emplacement chaque matin dans le ciel en direction du Sud.
V�ritable cas d'�cole de la m�prise astronomique, ce cas d'observation a toutes les caract�ristiques d'une observation de Jupiter, tout particuli�rement le caract�re r�p�t� d'un jour � l'autre, et la brillance propre aux plan�tes proches. Ce cas est class� A, parfaitement identifi� comme observation de Jupiter.";"Observations r�guli�res d'un ph�nom�ne lumineux et fixe dans le ciel : observation astronomique de Jupiter.";O;1;;;;;;;;2012-12-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-08-02624
2726;"GARENNE-COLOMBES (LA) (92) 21.08.2010";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2010;08;21;"Le 21 aout 2010 � 23h30, trois t�moins observent depuis la terrasse de leur appartement, les d�placements rapides de trois boules de lumi�res dans le ciel nuageux. Le ph�nom�ne disparait brusquement.
De faible �tranget� et de consistance insuffisante en raison de l'absence de toutes indications de direction et d'�l�vation, nous ne pouvons identifier avec certitude l'origine de ce qui �tait tr�s probablement un �clairage de discoth�que � faisceaux multiples.";"Observations d'un ballet de boules lumineuses sur un ciel nuageux : probable observation d'une animation lumineuse � faisceaux multiples.";O;1;;;;;;;;2013-04-25;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-08-02632
2727;"PERPIGNAN (66) 13.08.2010";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2010;08;13;"Vers 20h, un t�moin observe, durant trois minutes et depuis son balcon situ� au 5eme �tage, un ph�nom�ne qui l'intrigue : au-dessus d'un nuage en forme de cercle, il constate dans le ciel la pr�sence de deux groupes d'objets compos�s pour l'un de sph�res argent�es blanches et pour l'autre de deux sph�res rouges. Le d�placement Nord-Sud de ces groupes est silencieux. Le t�moin prend des photographies.
Les caract�ristiques de l'observation �voquent un vol de ballons. Les photos parvenues au GEIPAN sont de mauvaise qualit� et ne permettent que de distinguer les 2 sph�res rouges d�crites par le t�moin (fichier zoom photoIMGP0422).
On peut remarquer qu' � 21h00 avait lieu au stade Aim� Guiral de Perpignan le match de rugby USAP-ASM avant lequel par exemple auraient pu �tre lach�s des ballons (le rouge est une des couleurs des ""sang et or"" ). La dur�e de l'observation de 3 minutes est compatible avec la distance s�parant le stade du lieu d'observation(environ 2 kms) et la vitesse ( 33 km/h avec des rafales � 57 km/h) et la direction du vent (vent de NO) donn�s par le bulletin m�t�o du jour.
Le cas est class� B comme l'observation probable de ballons l�ch�s � environ 2 kms du lieu d'observation.";"Probable observation du passage de ballons festifs.";O;2;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-08-02633
2728;"ANGLET (64) 22.08.2010";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2010;08;22;"Le 22 ao�t 2010 vers 20h un t�moin observe durant 5 min un objet lumineux rond qui se rapproche puis dispara�t � tr�s grande vistesse vers l'Est. Le ph�nom�ne r�apparait exactement au m�me endroit une minute plus tard puis dispara�t dans la direction N-O tr�s rapidement.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne. Le questionnaire incomplet rend ce t�moignage inexploitable. Ce cas est class� en C par manque d'informations.";"Observation du d�placement d'un objet rond lumineux .";O;1;;;;;;;;2010-10-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-08-02636
2729;"AIX-LES-BAINS (73) 31.08.2010";Savoie;73;"(D) D�partement";2010;08;31;"Le 31 aout 2010 vers 23h10 un t�moin observe une lueur rouge clignotante qui se d�place � vitesse constante selon une trajectoire lin�aire dans le ciel. Le clignotement particuli�rement long et progressif intrigue le t�moin.
De faible �tranget� et de bonne consistance du fait de la pr�cision du t�moignage, ce cas d'observation ne peut �tre conclu faute d'informations suppl�mentaires. L'hypoth�se d'un a�ronef dot� d'un �clairage particulier pourrait convenir, mais n'a pu �tre confirm�e (voir le compte rendu d'enquete).
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Observation du clignotement d'une lumi�re rouge qui se d�place dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-08-02637
2730;"BAILLEVAL (60) 24.08.2010";Oise;60;"(D) D�partement";2010;08;24;"Un t�moin observe le 24 ao�t 2010 � 1h30 du matin un ph�nom�ne lumineux dans le ciel qui l'intrigue.
Les caract�ristiques d�crites correspondent � celles d'un ph�nom�ne connu (observation d'une plan�te) et l'observation ne pr�sente aucune �tranget�.
La pr�sence de la plan�te Jupiter dans la zone de ciel � la date et heure de l'observation, les photos caract�ristiques valident de fa�on certaine cette hypoth�se.
Bien que le t�moignage soit unique, il est de bonne qualit�, bien d�taill�, prenant en compte diff�rentes hypoth�ses et donne une bonne consistance au cas.
Le cas est class� A comme expliqu� par l'observation de la plan�te Jupiter.";"Observation de Jupiter.";O;1;;;;;;;;2012-01-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-08-02638
2731;"CHAPELLE-SAINT-AUBIN (LA) (72) 28.08.2010";Sarthe;72;"(D) D�partement";2010;08;28;"Le 28 aout 2010 vers 22h20 un automobiliste et son passager aper�oivent huit boules de couleur orange qui se d�placent dans le ciel en quinconce � une altitude d'environ 500m et selon une trajectoire Nord Sud-Est. Le ph�nom�ne dure envion 4 minutes : aucun bruit et odeur n'ont �t� per�us.
Suite � la r�ception du PV de gendarmerie le 1410/2010, la situation m�t�o �tablie pour le lieu, la date et heure de l'observation montre un vent venant du NNO, compatible avec le sens de d�placement du Nord vers le Sud-Est d'objets volants plus l�ger que l'air comme des ballons ou lanternes volantes ('""8 boules de couleur orange"").
La description de ""8 boules orang�es"" se d�pla�ant selon ""une trajectoire r�guli�re"" ensemble � basse altitude (500 m�tres), le jour (Samedi soir, mariage, f�te) vers 22h30 locales cr�dibilisent un peu plus l'observation d'un probable passage de lanternes thailandaises.";"Observation du d�placement de huit boules orang�es dans le ciel : probablement des lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-08-02659
2732;"MOTTIER (38) 26.08.2010";Is�re;38;"(D) D�partement";2010;08;26;"Le 26 ao�t 2010 deux personnes observent au-dessus de leur demeure vers 21h20 un objet en flamme qui soudain se disloque en 4 morceaux distincts. Juste avant de s'emflammer il avait une trajectoire rectiligne dans le sens Nord-Sud et oscillait verticalement. Aucun bruit n'est entendu lors du d�placement ou de la dislocation de l'objet.
Le PV de gendarmerie ainsi qu'un compl�ment de renseignement administratif sont re�us au GEIPAN le 15 novembre 2010.
Le compl�ment d'enqu�te effectu� montre que le t�moin a probablement observ� une lanterne thailandaise provenant d'un essai pr�liminaire � un l�cher important de lanternes thailandaises qui devait avoir lieu au cours d'une f�te communale pour le week-end du 28 au 29 ao�t 2010.";"Probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-08-02678
2733;"VENDIN-LES-BETHUNE (62) 22.08.2010";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2010;08;22;"Le 22 ao�t 2010 � 2h40 du matin plusieurs personnes observent depuis leur domicile le passage silencieux de boules lumineuses de couleur orang�es formant un triangle et se d�pla�ant toutes dans la m�me direction S-NE sur une trajectoire rectiligne. Ces boules finissent par dispara�tre apr�s avoir pris une couleur plus rouge vif. Un des t�moin filmera une partie de l'observation.
Suite � la d�position en gendarmerie d'une personne ayant lu un article � ce sujet dans la presse et conform�ment aux informations apport�es par le PV de gendarmerie, il s'agit d'un cas av�r� de l�cher de lanternes lors d'une f�te priv�e dans la commune voisine.";"Observation du passage de lanternes thalandaises.";O;3;;;;;;;;2011-01-07;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-08-02686
2734;"NEVEZ (29) 19.08.2010";Finist�re;29;"(D) D�partement";2010;08;19;"Le 19 ao�t 2010 � 22h05 un couple observe durant 30 secondes environ le lent et silencieux d�placement d'une boule orange de tr�s grande taille dans le ciel. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Cette observation d'une boule orange se d�pla�ant � l'horizontale dans le ciel �voque une lanterne tha�landaise. Mais comme le t�moin n'a pas fourni le film de la vid�o qu'il a pris, qu'il n'indique pas la direction du d�placement, le GEIPAN n' a pas pu faire de v�rification concernant cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'informations et de recoupements.";"Observation du d�placement silencieux et lent d'une boule orange : manque d'informations et de recoupements.";O;1;2;;5;;;;;2014-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-08-02691
2735;"NOTRE-DAME-DU-PRE (73) 21.08.2010";Savoie;73;"(D) D�partement";2010;08;21;"Les caract�ristiques de l'observation ('boule de feu' coleur orang�e comportant plusieurs pics � l'int�rieur (flammes du combustible), stationnaire ou se d�pla�ant lentement, s'�teignantd'un seul coup (fin du combustible), moment de l'observation (samedi soi vers minuit...) �voquent en proportion importante les caract�ristiques de l'observation de lanterne volante.
L'observation pr�sente un faible degr� d'�tranget�. La consistance du cas reste faible (un seul t�moin rapportant par un PV et un questionnaire pour 5 t�moins) les autres t�moins n'ayant pas t�moign� directement. La localisation du ph�nom�ne est assez pr�cise et permet d'envisager un l�cher sur les hauteurs face au lieu d'observation (route existante).
Le cas est class� B comme l'observation probable d'une lanterne tha�landaise.";"Probable observation d'une lanterne volante.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-08-02713
2736;"TENTELING (57) 29.08.2010";Moselle;57;"(D) D�partement";2010;08;29;"Un t�moin rapporte son observation faite le dimanche 29 ao�t 2010 vers minuit vingt. Il observe, depuis le premier �tage de son habitation, une trentaine de ""navettes"" volant sous la couche nuageuse. Toutes se d�placent lentement depuis l'horizon et passeront au zenith avant de dispara�tre cach�es par le paysage urbain. Un film est pris avec un t�l�phone portable. Malheureusement la vid�o d��oit beaucoup le t�moin ne rendant pas correctement compte de son observation. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu durant l'observation si ce n'est un l�ger grondement au loin et par moment. Un seul t�moignage est recueilli par la gendarmerie (regroupement du Proc�s Verbal 703 avec le questionnaire et du Proc�s Verbal 1073 avec un dossier compl�mentaire du t�moin) et par le GEIPAN.
La vid�o envoy�e par le t�moin est tr�s semblable aux nombreuses vid�os semblables re�ues au GEIPAN et illustrant des cas d'observation de lanternes tha�landaises. Les caract�ristiques de l'observation correspondent �galement : dur�e, vitesse apparente, sens du d�placement conforme au vent local.
Le dessin r�alis� par le t�moin est tout � fait surprenant vis � vis de cette hypoth�se ; ce n'est qu'une interpr�tation tr�s libre d'un spectacle constitu� seulement d'un ensemble de points lumineux.
Un enqu�teur priv� appel� directement par le t�moin a men� une enqu�te sur place et conclut : ""Il s'agit sans aucune contestation possible d'un l�ch� de lanternes tha�landaises effectu� lors de la f�te d'un mariage qui �tait organis� dans la salle des f�tes de Tenteling. Les mari�s m'ont d�clar� avoir lanc� 60 lanternes. Tout confirme la r�alit� de ce lanc�.""
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de lanternes tha�landaises l�ch�es � l'occasion d'un mariage.";"Observation du d�placement d'une trentaine de ""navettes"" dans le ciel : observation de lanternes tha�landaises l�ch�es � l'occasion d'un mariage.";O;3;;;;;;;;2017-06-08;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.90;;0.72;0.00;A;A;2010-08-02737
2737;"BRACQUEMONT (76) 29.08.2010";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2010;08;29;"Le 29 aout 2010 vers 4h20 du matin, plusieurs personnes observent le passage lent et silencieux de deux points lumineux orang�s dans le ciel.
La presse signalera des faits similaires le m�me jour mais � 21h50.
La description du ph�nom�ne (sph�res couleur rouge orang�, se d�pla�ant sans bruit, � basse altitude) rejoint celles d�crites dans des cas d'observations de lanternes thailandaises. Le manoir de Sauchay organise fr�quemment des c�r�monies de mariage, le moment de l'observation (nuit de samedi � dimanche), concourrent � la forte probabilit� d'un passage de lanternes.";"Probables observations du passage de lanternes thailandaises.";O;2;;;;;;;;2011-10-03;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-08-02748
2738;"VIGNEUX-SUR-SEINE (91) 31.08.2010";Essonne;91;"(D) D�partement";2010;08;31;"Le mardi 31 ao�t 2010, vers 21h, un t�moin attabl� en train de d�ner, aper�oit un point lumineux tr�s brillant � travers la fen�tre ouverte de sa salle � manger. Intrigu� de ce qu'il nomme ""un petit soleil"", il filmera son observation. Il fera d'autres observations similaires.
De faible �tranget� mais de bonne consistance du fait des vid�os, nous pouvons classer sans ambiguit� ce cas d'observation en A comme m�prise avec la plan�te V�nus.";"Observation du d�placement d'une boule blanche : observation astronomique de V�nus.";O;1;;;;;;;;2013-02-28;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-08-02759
2740;"SAINT-JORIOZ (74) 10.09.2010";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2010;09;10;"Le 10 septembre 2010 vers 22h30, un t�moin observe durant 40 minutes les �volutions d'un objet tr�s brillant � tr�s haute altitude dans le ciel.
Les caract�ristiques de l'observation (objet tr�s brillant dans la nuit, dur�e de l'observation de 40 minutes interrompue par le t�moin alors que le ph�nom�ne se trouvait toujours dans le ciel) �voquent l'observation d'un objet c�leste.
La configuration du ciel montre la pr�sence de la plan�te Jupiter de magnitude -2,9 (observable � l'il nu) dans le secteur Sud-Est du lieu de l'observation.
Le cas est class� A comme l'observation de la plan�te Jupiter.";"Observation de Jupiter.";O;1;;;;;;;;2011-03-17;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-09-02645
2741;"SARGE-LES-LE-MANS (72) 24.09.2010";Sarthe;72;"(D) D�partement";2010;09;24;"Le 24 septembre 2010 des automobilistes circulant sur l'A11 (direction Le Mans-Paris) remarquent dans le ciel un objet stationnaire qui les intrigue. Les t�moins, arriv�s � l'aire de repos de Sarg�-l�s-Le-Mans photographient une structure proche d'un appareil de type dirigeable, gris fonc�, sans point d'amarrage, semblant immobile durant tout le temps de l'observation. Reprenant leur route ils perdont de vue le ballon.
La d�claration d'un autre t�moin montre qu'il s'agit d'un ballon captif (reli� par un long c�ble), au dessus du camp militaire d'Auvours, situ� � Champagn� (72).";"Observation d'un ballon captif de la forme d'un dirigeable.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-09-02646
2742;"ANTIBES (06) 11.09.2010";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2010;09;11;"Le 11 septembre 2010 � 17h30, plusieurs personnes observent dans le ciel le lent d�placement d'une dizaine de points blancs lumineux. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation qui dure 10 minutes.
La photographie prise par le t�moin a imm�diatement conduit vers un vol possible de ballons. Une recherche sur internet montre qu'un d�fil� de mode a eu lieu dans le sud-Sud Ouest du lieu d'observation (information reprise dans un article de presse locale). Ce d�fil� a �t� cl�tur� par un l�cher de ballons (information confirm�e par l'organisateur contact� par le GEIPAN) vers 17h30. Les conditions m�t�o avec un vent faible de secteur Sud-Sud Ouest ont amen� ces ballons � survoler la plage du lieu d'observation.
Ce cas est class� A comme une observation de ballons.";"Observation du d�placement de ballons publicitaires dans le ciel.";O;2;;;;;;;;2011-12-16;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-09-02647
2743;"PRADET (LE) (83) 02.09.2010";Var;83;"(D) D�partement";2010;09;02;"Le 2 septembre 2010 entre 3h30 et 4h du matin un t�moin observe dans le ciel plusieurs lumi�res jaunes, identiques et align�es qui se d�placent selon une trajectoire Nord-Sud. Aucun bruit n'est entendu.
Le t�moin n'a pas r�pondu aux diff�rentes relances du GEIPAN pour avoir des compl�ments d'informations.
Sans PV et par manque d'information, le cas est class� C.";"Observation du d�placement de lumi�res.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-09-02649
2744;"EYBENS (38) 10.09.2010";Is�re;38;"(D) D�partement";2010;09;10;"Le 10 septembre 2010 � 20h49 un t�moin depuis son domicile est intrigu� par le d�placement silencieux d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel.
D'�tranget� moyenne par la possible succession de m�prises d'origines diff�rentes, et de bonne consistance gr�ce � des rep�res g�ographiques pr�cis sur le croquis en 4.1, ce cas d'observation s'explique pour sa premi�re partie par une m�prise avec le passage de la station spatiale internationale (ISS), d'o� une classification partielle sugg�r�e en A.
Pour la seconde partie de l'observation, il est n�cessaire d'introduire de nouvelles hypoth�ses, � savoir un possible avion ayant ses phares d'approche allum�s, ou une illusion de perception (Perception de 2 segments de droite au lieu d'un arc de cercle). Ces hypoth�ses, ne pouvant pas �tre confirm�es, resteront faibles.
Ce cas est consistant (un t�moin oculaire, avec un t�moignage de qualit�), et son �tranget� faible, puisqu'assez bien explicable avec des ph�nom�nes connus.
Etant donn� l'incertitude sur la deuxi�me partie de l'observation, ce cas est class� � B � : observation probable de la station spatiale internationale (ISS).";"Observations de d�placements de ph�nom�nes lumineux dans le ciel : probable observation du passage de la station spatiale internationale (ISS).";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.30;0.00;;;;;;;0.75;0.00;B;B;2010-09-02650
2745;"COMMERCY (55) 01.09.2010";Meuse;55;"(D) D�partement";2010;09;01;"Un t�moin dans son jardin, observe le 1septembre 2010 � 21h58 un objet de couleur rouge sombre qui passe tr�s rapidement au-dessus de lui. Le d�placement N-S de l'objet a �t� vu durant trois secondes. Aucun bruit n'est entendu.
Le niveau d'�tranget� de l'observation est faible. La consistance de l'observation est �galement faible (1 t�moin unique en attente ""d'essayer d'observer ce genre de ph�nom�ne"", l'observation tr�s courte d'un ph�nom�ne tr�s furtif dont le t�moin a du mal � d�crire la forme ).
Ce t�moignage n'�tant pas confort� par un proc�s verbal de gendarmerie (demand� par le GEIPAN), toute enqu�te est impossible par manque d'informations. Ce cas est class� C.";"Observation du passage furtif d'un objet rouge dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-09-02651
2746;"DOLE (39) 19.09.2010";Jura;39;"(D) D�partement";2010;09;19;"Le 19 septembre 2010 plusieurs personnes observent vers 16h30 cinq � sept points blancs lumineux qui les intriguent. Aucune train�e et aucun bruit ne sont remarqu�s durant le lent d�placement Nord-Est des objets. Durant l''observation de quarante minutes, des photographies ont �t� prises. Une seule personne t�moigne et nous envoie les photographies originales et comment�es.
Les caract�ristiques de l'observation (2 puis plusieurs points blancs d�rivant assez lentement""comme port�s par le vent"") ainsi que les photos P1070304 et P1070306 montrent tr�s probablement un vol de ballons. Le t�moin �voque lui-m�me l'hypoth�se de ""ballons sonde m�t�o"". La date de l'observation (dimanche apr�s-midi) peut correspondre � un vol de petits ballons festifs.
Ce cas pr�sente un niveau d'�tranget� faible. Il est tr�s probablement expliqu� par un vol de ballons.";"Probable observation du vol de ballons.";O;2;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-09-02652
2748;"PARIS (75) 19.09.2010";Paris;75;"(D) D�partement";2010;09;19;"Le 19 septembre 2010 � 19h45 un t�moin observe depuis son domicile, la pr�sence et le d�placement silencieux O-E d'un objet volant rond et noir. Le t�moin prend des photographies de l'objet. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Les photographies de l'objet �voquent immanquablement un ballon festif � h�lium assorti de rubans, ou d'une forme un peu complexe.
Bien que fabriqu�s � partir de mat�riaux r�fl�chissants tels que le Mylar, la couleur sombre s'explique par le fait que les clich�s ont �t� pris � contrejour, en direction de l'Ouest Sud Ouest au moment du coucher du Soleil. Le d�placement de l'objet, lent et rectiligne, est compatible avec le vent relev�, et provient tr�s vraisemblablement des multiples points de vente diss�min�s autour des lieux touristiques parisiens.
De faible �tranget� et de consistance moyenne, ce cas d'observation r�sulte tr�s vraisemblablement d'une m�prise avec un ballon festif � h�lium qui aura �chapp� au contr�le de son propri�taire.
Ce cas est class� B.";"Observation du d�placement silencieux O-E d'un objet noir et rond dans le ciel : probable observation d'un ballon festif.";O;1;;;;;;;;2013-06-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-09-02664
2749;"FONTENAY-EN-PARISIS (95) 05.09.2010";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2010;09;05;"Une famille t�moigne de l'observation du passage silencieux de 3 sph�res lumineuses le 5 septembre 2010 entre 1h10 et 1h30 du matin. Un des t�moin prend des photographies avec un t�l�phone portable.
Les caract�ristiques des t�moignages de l'observation (nuit du samedi/dimanche apr�s minuit, lumi�re jaune orang�e non �blouissante suivie par d'autres lumi�res du m�me type, aucun bruit, trajectoire � vitesse constante compatible avec la direction du vent) �voquent un l�cher de lanternes thailandaises. La salle des f�tes du village �tait lou�e pour la m�me p�riode (mariage, f�te ?..). Les contacts avec la mairie du village pour demander des compl�ments d'informations n'ayant eu aucun retour, le cas est class� B comme l'observation probable de lanternes tha�landaises.";"Probables observations du passage de lanternes thailandaises.";O;4;;;;;;;;2011-03-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-09-02673
2751;"SAINT-JACQUES-SUR-DARNETAL (76) 10.09.2010";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2010;09;10;"Le 10 septembre 2010 aux alentours de 21h, un automobiliste est intrigu� par une boule lumineuse orange-rouge qui se d�place lentement, change de couleur avant de dispara�tre subitement.
Les caract�ristiques de l'observation (lumi�re jaune blanche d'une tr�s grosse �toile virant au jaune orang�, forme ovo�de paraissant immobile, disparition (extinction), trajectoire compatible avec la direction du vent) �voquent un ballon lumineux de type lanterne tha�landaise.";"Probable observation de l'�volution d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2012-04-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-09-02683
2752;"FREJUS (83) 25.09.2010";Var;83;"(D) D�partement";2010;09;25;"Le 25 septembre 2010 vers 23h30 un t�moin observe depuis son jardin le passage silencieux de 8 boules orang�es.
Les caract�ristiques de l'observation (plusieurs boules orang�es volant sans bruit dans une m�me direction, aper�ues par rafales successives puis disparaissant, observation sur une dur�e de 15-20 minutes) ainsi que la date et heure (nuit du samedi au dimanche vers minuit) et la reconstitution/dessins faits par le t�moin principal correspondent � un ph�nom�ne connu de vol de lanternes volantes. Le vent NO:310� correspond au sens de d�placement d�crit par le t�moin ('venant de l'Ouest et se dirigeant vers l'Est').
Le niveau d'�tranget� de l'observation est faible et l'hypoth�se probable d'un vol de lanternes de type tha�landaises est fortement probable. Le cas est class� B";"Probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2010-12-13;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-09-02684
2753;"VAILLY-SUR-SAULDRE (18) 10.09.2010";Cher;18;"(D) D�partement";2010;09;10;"Un t�moin fait des observations successives du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Il filme ses observations.
L'ensemble des documents vid�o correspond � une m�prise avec la plan�te V�nus. Le lent d�placement per�u par rapport aux arbres est du au fort grossissement utilis� (le zoom est probablement au maximum) qui trahit la rotation de la Terre, imperceptible � l'il nu.
De faible �tranget� et de bonne consistance gr�ce aux multiples extraits vid�o, ce cas d'observation correspond � de multiples m�prises avec la plan�te V�nus pour ce qui concerne les prises de vue de jour au coucher du Soleil, et avec la plan�te Jupiter ou l'ISS pour les prises de vue de nuit.
Ce cas est class� A.";"Observations successives du d�placement de ph�nom�nes lumineux dans le ciel : m�prises astronomiques.";O;1;;;;;;;;2013-04-16;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-09-02697
2755;"GOLFECH (82) 06.10.2010";Tarn-et-Garonne;82;"(D) D�partement";2010;10;06;"Le 6 octobre 2010 � 20h17 deux personnes observent depuis l'ext�rieur d'un b�timent de la centrale nucl�aire de Golfech un ph�nom�ne survolant la centrale. Ce dernier est d�crit comme un triangle noir avec des lumi�res clignotantes blanches aux extr�mit�s et une lumi�re rouge clignotante au centre. Le ph�nom�ne vole � basse altitude dans un ciel sombre et nuageux. Aucun bruit n'est entendu. Un film est r�alis� par un des t�moin (T2) � partir de son t�l�phone portable avant la disparition progressive de l'objet en direction de Saint Loup.
une premi�re enqu�te permet au GEIPAN de conclure le 22 novembre 2012 � une probable observation du passage d'un a�ronef.
une nouvelle enqu�te a �t� men�e en octobre 2013 du fait de la possibilit� d'acc�der au site de la centrale de Golfech.
Plusieurs hypoth�ses (appareil de maintenance EDF, avion, drone, canular, PAN D) seront envisag�es (voir le compte rendu d'enqu�te).
Ce cas d'observation complexe a pos� au GEIPAN un probl�me de m�thode, du fait des �l�ments suivants qui affaiblissent notablement le dossier :
-Les deux t�moins interpr�tent tr�s diff�remment le ph�nom�ne.
-T2 tient un discours d�favorable au t�moin dans son rapport aux gendarmes.
-La vid�o, consid�r�e comme preuve par T1, s'av�re �tre une vid�o de lampadaires. En dehors du fait que ce n'est �videmment pas une preuve, cette vid�o a pu influencer le t�moignage a posteriori, si le t�moin a inconsciemment rapproch� son r�cit de la vid�o au d�triment du souvenir de sa propre vision du ph�nom�ne.
-T2 s'av�re facilement influen�able si l'on compare sa d�position en gendarmerie et l'interview accord� � C Albiero. Dans ces conditions, on ne sait pas quelle valeur accorder � ses d�clarations, tout en ne pouvant pas non plus ignorer son t�moignage.
De ce fait, le GEIPAN a affect� la valeur de 0,6 � la consistance de ce cas, c'est-�-dire une valeur plus faible que celle affect�e � un t�moin unique (0,7) ordinaire.
D'un autre c�t�, l'hypoth�se de l'avion, propos�e dans un premier temps par le GEIPAN, souffre de plusieurs incoh�rences (voir le compte rendu d'enqu�te) ; elle ne serait acceptable qu'� condition d'envisager � la fois de fortes distorsions des t�moignages, et l'existence d'un avion � basse altitude non d�tect� par les radars ni par la surveillance de la centrale.
Le GEIPAN consid�re comme certain le fait qu'il y a eu un passage de 3 points lumineux clignotants dispos�s en triangle autour d'un point lumineux clignotant rouge.
Le triangle noir cit� par les t�moins est probablement le r�sultat de l'illusion fr�quente dite � de contour � ou � de forme � : l'objet r�el peut aussi bien �tre un ensemble de 4 sources lumineuses ind�pendantes, qu'un engin bien plus grand que le triangle d�crit par les t�moins (hypoth�se de l'avion ou autre).
L'altitude est ind�terminable comme dans tous les cas d'observation de points lumineux de nuit : les t�moins estiment ici des altitudes tr�s diff�rentes, ce qui est tout � fait normal ; il est tr�s probable que la vraie altitude du ph�nom�ne lumineux soit encore diff�rente.
L'�tranget� du ph�nom�ne a �t� jug�e comme moyenne � �lev�e (0, 55) puisque l'hypoth�se la plus proche (avion) souffre de plusieurs �l�ments non conformes avec l'observation.
Nous nous trouvons devant un cas d'une consistance et d'une �tranget� moyenne, aux confins des 3 cat�gories B,C, et D : un l�ger �cart de notation sur l'�tranget� ou la consistance permettrait de basculer dans les classes voisines.
Du fait de cette sensibilit�, le GEIPAN a demand� son avis au coll�ge d'experts du GEIPAN r�uni le 12 avril 2016 � Paris. Les avis ont �t� partag�s ainsi :
4 experts ont vot� pour un classement en D1, consid�rant que le ph�nom�ne lumineux ayant survol� la centrale �tait inexpliqu�.
8 experts ont vot� pour un classement en C, consid�rant que les �l�ments du dossier contenaient trop d'incoh�rences pour pouvoir donner un avis consolid�.
Par cons�quent, le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie C du fait d'informations insuffisamment fiables.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne triangulaire sombre avec des lumi�res clignotantes blanches aux extr�mit�s et une lumi�re rouge clignotante au centre : manque d'information.";O;2;;;;;;;;2016-05-17;;;0.60;0.00;;;0.70;;0.80;;0.56;0.00;C;D1-;2010-10-02663
2756;"ANGOULEME (16) 09.10.2010";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2010;10;09;"T�moignage r�cent (11/10/2012) d'une observation ancienne.
Un t�moin observe aux jumelles le 9 octobre 2010 � 1h20 un objet lumineux dans le ciel . Le t�moin est �tonn� de l'intensit� lumineuse et l'observation de points lumineux de couleur.
La carte astronomique, orient�e selon la direction d'observation du t�moin (S-SO), montre la pr�sence de la plan�te Jupiter, de magnitude -2,9, c'est-�-dire plus brillante que toutes les �toiles du ciel. De 1h20 � 2h20, elle se d�place vers l'Ouest de l'azimuth 193� � 220�, et s'abaisse de 40� � 36� d'�l�vation. Le t�moin indique l'objet au SO (Sud + 45� Ouest: 225�), tr�s brillante, surtout par comparaison avec les �toiles qui ne l'�taient qu'� peine. On note un vent de Sud-Est, assez humide, qui �claircit le fond du ciel, masque les �toiles les moins brillantes, et provoque un fort scintillement : ceci explique probablement les changements de couleur vert/blanc/rouge observ�s par le t�moin.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de Jupiter. Les �carts de l'ordre de 20� entre les indications de l'observateur et la position astronomique laissent une incertitude qui ne permet pas de classer ce cas A.";"Observation d'un point particuli�rement lumineux et de la pr�sence de points de plusieurs couleurs dans le ciel : probable observation astronomique de Jupiter.";O;1;;;;;;;;2012-10-31;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-10-08345
2757;"ESSEY-LES-NANCY (54) 16.11.2010";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2010;11;16;"Le 16 novembre 2010 � 6h40 un automobiliste observe durant deux � trois minutes dans le ciel � une distante importante (plusieurs kilom�tres) un ph�nom�ne fixe et lumineux en forme de soucoupe dont le pourtour est garni d'une trentaine de lumi�res blanches et vertes. Il sort de son v�hicule pour prendre une photo avec son t�l�phone portable mais la sensibilit� est insuffisante. Il range son t�l�phone et relevant la t�te en direction du PAN, ce dernier a disparu. Aucun autre t�moignage ne sera receuilli.
L'�tranget� de ce cas d'observation d�pend essentiellement de l'interpr�tation que le t�moin a faite sur le ph�nom�ne observ� : si l'on tient compte de la description du PAN en forme de soucoupe, l'�tranget� devient tr�s importante ; si l'on consid�re que l'objet �tait trop lointain pour que cette interpr�tation soit pertinente, l'�tranget� du cas devient faible et laisse la porte ouverte � une hypoth�se simple de confusion avec une �toile (cette confusion est fr�quente pour les �toiles ou plan�tes observ�es bas sur l'horizon).
D'autre part, ce cas est de consistance moyenne voire faible en raison de l'impr�cision de position et de direction d'observation, et de l'absence de photo.
Le GEIPAN classe ce cas � C � par manque de recoupements.";"Observation dans le ciel � une distance importante d'un ph�nom�ne lumineux en forme de soucoupe : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-11-02681
2759;"[A26] de MAILLY-LE-CAMP (10) vers TROYES (10) 01.11.2010";Aube;10;"(D) D�partement";2010;11;01;"Le t�moin roulant dans son v�hicule � vive allure (130km/h) observe un halo blanc intense virevoltant dans le ciel.
Les informations donn�es dans le questionnaire (pas de proc�s verbal de gendarmerie) ne pr�cisent ni le lieu exact, ni la dur�e exacte de l'observation. N�anmoins le v�hicule roulait dans le sens Nord-Sud et le conducteur observait le Sud � travers son pare-brise. A l'heure de l'observation, SIRIUS, l'�toile la plus brillante de notre ciel, se trouvait dans la direction d'observation. Le caract�re variable, scintillant associ� � la fatigue visuelle de conduite peut expliquer l'impression virevoltante de l'observation.
Une v�rification pr�cise n'est pas possible mais l'observation probable de l'�toile Sirius peut expliquer l'observation.";"Probable observation de l'�toile Sirius.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-11-02688
2760;"HEROUVILLE-SAINT-CLAIR (14) 10.11.2010";Calvados;14;"(D) D�partement";2010;11;10;"Le soir du mardi 9 novembre 2010 � minuit, le t�moin dans la cuisine de son appartement, observe les �toiles lorsqu'il aper�oit un groupe de trois lumi�res jaun�tres en d�placement et formant un triangle. L'observation s'interrompt brutalement par la disparition des trois points lumineux et a dur� � peine deux secondes.
Quelques jours plus tard la m�me observation se reproduit (date, heure, dur�e et circonstances non pr�cis�es).
L'hypoth�se de satellites ne convient pas � cette heure de la nuit. La couleur jaun�tre et le d�placement compatible avec la direction du vent peuvent �voquer un cas de m�prise avec des lanternes tha�landaises vues au moment de leur extinction. Ces derni�res sont g�n�ralement l�ch�es � l'occasion de festivit�s, le plus souvent pendant les week-ends. La trop courte dur�e d'observation ne permet pas de valider cette hypoth�se, qui reste toutefois possible.
Enfin, le t�moin ne pr�cise pas si l'observation se d�roule vitre ouverte ou ferm�e. On peut donc �galement envisager un possible reflet d'un luminaire de la cuisine o� se tient le t�moin.
De faible consistance et d'�tranget� difficile � �valuer en raison de la tr�s courte dur�e d'observation, ce cas ne peut �tre conclu.
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Observations � deux jours d'intervalle du d�placement de trois lumi�res qui forment un triangle, disparitions subites : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-11-02693
2762;"MANS (LE) (72) 21.11.2010";Sarthe;72;"(D) D�partement";2010;11;21;"Le 21 novembre 2010 � 17h55 une personne ouvrant la fen�tre de sa cuisine au 9eme �tage de son appartement est intrigu�e par la pr�sence inhabituelle d'un ph�nom�ne lumineux en direction de l'Est. Dans le ciel nuageux, le t�moin constate le d�placement de trois lumi�res (une rouge et deux bleues) dispos�es en triangle et qui se rapprochent rapidement de son b�timent. Le t�moin observe alors une forme plus sombre triangulaire d�limit�e par ces lumi�res et entend un froissement de l'air. Le ph�nom�ne disparait en passant au-dessus de son immeuble. L'observation a dur� entre 10 et 15 secondes. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueuilli.
Ce t�moignage est de bonne consistance gr�ce � un questionnaire tr�s bien rempli et une enqu�te de terrain qui a confirm� les �l�ments de l'observation. Il reste que c'est un t�moignage unique avec toutes les incertitudes qui en d�coulent.
Cette observation est d'�tranget� �lev�e : le ph�nom�ne ne ressemble pas aux m�prises les plus connues. On note toutefois que, bien qu'il ne ressemble � aucun objet volant connu, le d�placement du ph�nom�ne reste dans la dynamique des objets volants actuels.
Du fait de sa bonne consistance et de son �tranget� �lev�e, ce cas est class� D1, comme inexpliqu�.";"Observation du passage de trois lumi�res de couleur d�limitant une forme triangulaire sombre. Bruit de froissement d'air entendu : ph�nom�ne inexpliqu�.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2010-11-02702
2763;"SAINT-THIBERY (34) 17.11.2010";H�rault;34;"(D) D�partement";2010;11;17;"Le 17 novembre 2010 � 9h 38, un automobiliste prend des photographies avec son t�l�phone portable � travers la vitre de son v�hicule en d�placement et constate trois mois plus tard des objets lumineux inconnus sur ses photographies. Lors de la prisse de vue, le ciel �tait d�gag� avec un soleil matinal intense (cf une des photos t�moins).
En l'abscence de PV et de t�moignage d�taill�, ces photos montrent tr�s probablement les reflets sur la vitre du v�hicule d'un ou plusieurs objets se trouvant � l'int�rieur du v�hicule.
Le proc�s verbal de gendarmerie est arriv� au GEIPAN le 8 mars 2011. Le t�moin confirme ses constations faites auparavant. L'enqu�te de la gendarmerie n'a pu apporter aucun autre t�moignage .";"Objets inconnus sur photographies sans observation directe lors de la prise de vue : probablement des reflets sur la vitre du v�hicule.";O;2;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-11-02704
2764;"MENTON (06) 14.11.2010";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2010;11;14;"Le 14 novembre 2011entre 15h50 et 16h, un t�moin filme les �volutions d'un point noir dans le ciel nuageux : en zoomant fortement avec son camescope un objet sombre apparait.
Le visionnage du film fait fortement penser au d�placement d'un ballon � h�lium. La direction de d�placement observ�e est compatible avec le vent du Sud Est.
De faible �tranget� et de consistance moyenne, ce cas d'observation est certainement le fruit d'une confusion avec un ballon festif gonfl� � l'h�lium.
Ce cas est class� A.";"Observation d'un point noir se d�pla�ant dans le ciel : observation d'un ballon festif � h�lium.";O;1;;;;;;;;2013-04-25;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-11-02718
2765;"CHATEAU-THEBAUD (44) --.11.2010";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2010;11;--;"Une personne t�moigne tardivement (PV du 14 avril 2011) d""une observation faite entre 14h40 et 15h10 au d�but du mois de novembre 2010 (le 2 ou 8 ou 9 ou 10 novembre 2010).
En promenade avec son chien sur une route de campagne, un t�moin est fascin� durant une dizaines de secondes, par un objet qu'il ne peut identifier. Volant � environ 2m 50 au-dessus du sol, un objet de couleur bleu se d�place � vitesse r�guli�re selon une trajectoire rectiligne. Le t�moin d�crit une forme cubique et deux ronds blancs de chaque c�t� reli�s entre eux par des faisceaux lumineux.
L'objet traverse la route devant le t�moin et dispara�t brusquement pr�s d'un arbre. Aucune trace de l'objet dans les branches de l'arbre n'est retrouv�e par le t�moin.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne et aucune trace particuli�re ne sera retrouv�e sur les lieux par la gendarmerie inform�e tardivement.
L'hypoth�se envisag�e dans l'enqu�te IPN d'un objet volant pilot� � distance ou d'un dr�ne type � quadri copter � pourrait correspondre � la description.
Ces engins se multiplient, sont en vente partout, � tous les prix, de toutes les tailles et de toutes les couleurs (certains sont pilotables par un Iphone). Les caract�ristiques de 'flou' autour du corps ('cube aux angles arrondis') d�crites par le t�moin pourraient correspondre � la rotation des ailes associ�es, l'accuit� visuelle du t�moin ne lui permettant pas de distinguer les d�tails d'un objet, ni d'appr�cier correctement les distances.
Cette observation pr�sente un degr� d'�tranget� faible, sans date pr�cise d'observation. La majorit� des caract�ristiques d�crites correpondent � celles d'objets connus (objet t�l�command�, drone..).
Ce cas est class� B comme l'observation probable d'un objet pilot� � distance ( jouet, drone)";"Probable observation d'un objet volant pilot� � distance.";O;1;;;;;;;;2012-04-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-11-02735
2766;"MIRANDE (32) 26.11.2010";Gers;32;"(D) D�partement";2010;11;26;"Le 26 novembre 2010 entre 23h30 et minuit, deux t�moins observent dans le ciel cinq � six points lumineux de m�me taille et de couleur jaune orang� qui se d�placent, sans bruit, en faisant des courbes d�sordonn�es et rapides autour d'un autre point lumineux fixe. Les points s'�teignent brusquement, les t�moins remarquent que le point fixe lui, s'�teint progressivement.
. Le GEIPAN a envisag� plusieurs hypoth�ses pour cette observation : d'abord des lanternes tha�landaises, mais un des t�moin affirme que les mouvements des lumi�res �taient bien trop rapides et centr�s sur un point fixe. On peut penser � un dispositif pyrotechnique ou �lectrique mis en place pour une f�te mais il ne semble pas y avoir eu de f�te importante � Mirande ce jour l�. Une cause ""naturelle"" est exclue, vue la complexit� des mouvements observ�s.
Comme les faits sont trop anciens pour rechercher d'autres t�moins et lancer une enqu�te, ce cas est class� en cat�gorie ""C"" pour manque d'informations.";"Observations des d�placements rapides de 5 � 6 points lumineux jaune-orang�s et d'un point lumineux fixe : manque d'information.";O;2;;;;;;;;2013-02-28;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-11-02743
2768;"PARIS (75) 05.12.2010";Paris;75;"(D) D�partement";2010;12;05;"Le 5 d�cembre 2010 vers 23h45, un automobiliste et sa passag�re observent dans le ciel un objet qu'ils ne s'expliquent pas. Un objet en forme de cylindre, lumineux � l'avant et � l'arri�re traverse le ciel.
Comme indiqu� par le t�moin lui-m�me dans le questionnaire, ce t�moignage correspond � l'observation probable des 2 projecteurs d'approche d'un a�ronef � travers un ciel brumeux et pollu� de l'agglom�ration parisienne.
Le questionnaire n'est pas tr�s d�taill� et ne permet pas d'aller plus en d�tail dans cette interpr�tation.";"Probable observation du passage d'un a�ronef.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-12-02687
2769;"GENESTON (44) 27.12.2010";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2010;12;27;"Le 27 d�cembre 2010 � 18h45 un automobiliste est intrigu� par un ph�nom�ne sur le cot� gauche de la D937 au niveau du lieu-dit de la Boule d'Or � Geneston (44). Il voit une masse noire avec en-dessous deux lumi�res jaunes. Le t�moin d�crit ces lumi�res en mouvement de rotation faisant apparaitre une dizaine d'autres lumi�res jaunes. L'observation dure entre 5 � 6 secondes. L'automobiliste se range sur le bas c�t� mais ne retrouve pas le ph�nom�ne. Continuant sa route il voit de nouveau le PAN qui passe au-dessus de lui mais l'obscurit� et une brume l'emp�che de distinguer clairement les contours l'objet. Le PAN fait un bruit de moteur assez sourd et grave ; un faisceau � l'avant et un gyrophare rouge sont aper�us. L'automobiliste verra une derni�re fois le PAN en altitude un peu plus loin sur la route. Un seul t�moignage sera recueilli.
Il y a tout lieu de penser que le t�moin a vu un a�ronef (et probablement un h�licopt�re). Le t�moin lui-m�me formule cette hypoth�se vers la fin de son observation ""Je me souviens avoir pens� cette fois-ci � un avion car l'a�roport de Nantes se trouve dans cette direction"". Surtout, le t�moin n'introduit pas d'�tranget� qu'il opposerait explicitement � cette hypoth�se d'a�ronef et les �l�ments descriptifs (""succession de lumi�res jaunes comme des hublots"", ""forme ovale,"" ""bruit de moteur, assez sourd et grave comme celui d'une soufflerie"", ""phare � l'avant dont le faisceau �tait mobile, agit� de mouvement obliques tr�s rapides mais sans une grande port�e, car il �clairait seulement les nuages quelques m�tres � l'avant de l' appareil"", ""gyrophare rouge tr�s puissant et de l'autre c�t� un gyrophare identique mais de couleurs bleue, de la m�me teinte que celui des v�hicules de secours"") sont compatibles d'un a�ronef, et plus probablement d'un h�licopt�re compte tenu des �clairages particuliers de ces derniers (y compris des spots tournants), de la proximit� d'h�pitaux et du d�placement plut�t lent.
Le t�moin mentionne la pr�sence de beaucoup de trafic routier et l'absence de r�action, ce qui accr�dite le fait que cela a �t� per�u comme un a�ronef sans �tranget� notable.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : probable observation d'h�licopt�re.";"Observation � plusieurs reprises d'une masse noire avec des lumi�res jaunes et gyrophare rouge ; bruit sourd et grave de moteur : probable observation d'h�licopt�re.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.25;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;B;B;2010-12-02694
2770;"SENNEVILLE-SUR-FECAMP (76) 30.12.2010";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2010;12;30;"Le 30 d�cembre 2010 � 18h30 un t�moin observe, dans le ciel peu nuageux, les �volutions de plusieurs anneaux ovo�des blancs et de points lumineux. L'observation dure 45 min.
La description du PAN, constitu� d'une multitude de t�ches lumineuses blanches anim�es de mouvements p�riodiques nous fait penser � l'observation d'une animation lumineuse provenant d'un projecteur multifaisceaux de type Skyrose. Ces projecteurs sont fr�quemment source de confusion, de part le ballet original qu'ils projettent sur les nuages, et dont les faisceaux ne sont pas forc�ment visibles lorsque l'atmosph�re est de bonne transparence, comme apr�s la pluie.
Mais dans le cas pr�sent, le t�moin fait �tat d'un ciel noir, peu �toil� mais �galement � peu charg� de nuages � (cf. QT p.5/8). Si la transparence du ciel devait �tre bonne �tant donn� le vent relev� tout au long de la journ�e, les donn�es m�t�o d�taill�es au point 3.1 font �tat de brouillards et de bruine au Havre, � Dieppe et � Rouen, et les images satellite, incompl�tes, ne permettent pas de conna�tre la couverture nuageuse � l'heure de l'observation. Sur cette base (brouillard), l'�tat de l'atmosph�re ne semble pas compatible avec l'observation de t�ches projet�es sur la couverture nuageuse, car le brouillard aurait du r�v�ler les faisceaux et donc la direction du projecteur. D'autre part, il ne semble plus avoir de discoth�que � Senneville, mais l'annonce d'une soir�e r�veillon exceptionnelle a pu motiver un organisateur de f�te.
De faible �tranget� et de consistance moyenne, ce cas d'observation ne peut �tre fermement conclu bien que l'hypoth�se d'un projecteur de type Skyrose, tout � fait compatible au rapport d'observation, paraisse vraisemblable � la veille de la Saint Sylvestre.
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Longue observation des �volutions d'anneaux et de points lumineux dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-12-02695
2771;"(DPT) HAUT-RHIN (68) 03.12.2010";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2010;12;03;"Le vendredi 3 d�cembre 2010 � 19h17, un automobiliste et sa passag�re constatent la pr�sence dans le ciel d'un groupe de points lumineux de couleur blanche aux reflets violac�s. Le ph�nom�ne dispara�t progressivement.
L'Intervenant Premier Niveau charg� d'une investigation compl�mentaire obtient la confirmation, aupr�s de la mairie de Riedisheim, que ce soir l�, une association humanitaire a organis� un l�cher de ""ballons lumineux"".
Des ""b�tons"" pyrotechniques (de type Blinklanzen provenant de Suisse) ont �t� attach�s � des ballons gonfl�s � l'h�lium. Aucune photo n'a �t� r�alis�e mais la confirmation de la mairie et les �l�ments d�livr�s ne laissent aucun doute sur l'�v�nement en question.
Le cas est donc parfaitement identifi�.";"Observation de plusieurs points lumineux dans le ciel provenant de lances pyrotechniques attach�es � des lanternes thailandaises .";O;2;;;;;;;;2017-12-11;;;0.13;0.06;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-12-02701
2772;"PIERREVERT (04) 31.12.2010";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";2010;12;31;"Le 31 d�cembre 2010 vers 23h30 un t�moin observe le d�placement d'une tache rouge intense. Aucun bruit particulier n'est entendu par le t�moin alors que la tache se rapproche puis change brusquement de direction et s'�loigne rapidement dans une trajectoire ascendante.
Le t�moin, apr�s avoir vu le film et les photos qui figurent sur le site internet du GEIPAN, a reconnu avoir assist� au passage d'une lanterne thailandaise.";"Observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2011-02-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-12-02703
2774;"SEDAN (08) 09.01.2011";Ardennes;08;"(D) D�partement";2011;01;09;"Le dimanche 9 janvier 2011 vers 18h50 un t�moin observe, � basse altitude, plusieurs lumi�res orang�es qui apparaissent successivement et se d�placent silencieusement et lentement dans le ciel. Le t�moin filmera son observation d�s l'apparition du trois�me PAN.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
La description du ph�nom�ne ressemble fort � des passages successifs de lanternes tha�landaises (couleur, vitesse de d�placement, basse altitude, apparitions successives venues du m�me endroit). Cependant dans cette zone peu peupl�e, l'origine et le lieux du l�cher n'ont pas pu �tre d�termin�s par l'enqu�te de proximit� et certains �l�ments semblent contradictoires (passage derri�re des nuages alors que l'objet vole assez bas).
L'hypoth�se d'images d�es � un projecteur laser a �galement �t� envisag�e mais aucun faisceau n'a �t� vu ou film�.
Devant toutes ces incertitudes, le GEIPAN classe ce cas ""C"".";"Observation d'apparitions successives de ph�nom�nes lumineux orang�s dans le ciel : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2013-02-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-01-02700
2776;"FOA (LA) (988) 09.01.2011";Nouvelle-Cal�donie;988;"(D) D�partement";2011;01;09;"Le 9 janvier 2011 � 6h50 deux personnes observent et filment la pr�sence d'un objet sph�rique, brillant et stationnaire � la verticale d'un terrain d'aviation. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation.
Lors du visionnage du film, d'autres objets sont remarqu�s sans qu'il y ait eu d'observation directe lors de la prise de vue.
Deux ph�nom�nes sont d�crits dans ce t�moignage (voir le compte rendu d'enqu�te) : d'abord, un objet brillant de couleur m�tallique et de forme sph�rique, dont la description fait penser � un ballon scientifique (ce n'est pas un ballon de Meteo-France).
Et des objets fonc�s traversant � grande vitesse le champ de vision de la cam�ra : ce sont sans doute des insectes volants � environ un m�tre de la cam�ra.";"Longue observation film�e d'un objet sph�rique,brillant et stationnaire puis constatation de la pr�sence d'objets sur le film sans observation directe lors de la prise de vue.";O;1;;;;;;;;2011-11-28;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-01-02711
2777;"MARCORIGNAN (11) 27.01.2011";Aude;11;"(D) D�partement";2011;01;27;"Une personne prend des photographies d'un arc en ciel et constate, le lendemain, sur une photographie trois t�ches sph�riques et grises qu'elle ne s'explique pas.
Sans observation directe lors de la prise de vue, il est tr�s difficile d'expliquer la nature des t�ches qui apparaissent sur des photos.
Le(s) petit(s) point(s) noir(s) ne peu(ven)t pas s'expliquer par un (des) insecte(s) volant tout pr�s de l'objectif : la forme sph�rique et la saison (hiver) ne concordent pas.
La luminance de l' ""objet"" principal est comparable � celle du fil �lectrique, ce qui indique que probablement la distance entre l'objet et l'objectif �tait de l'ordre de la distance s�parant les fils �lectriques de l'objectif de l'appareil photographique.
L'explication qui vient � l'esprit est la pr�sence de ballons : petits ballons gonfl�s � l'helium qui se seront d�plac�s ou partis dans les nuages avant la photo suivante. Du fait de l'absence d'une observation directe, Il n'a pas �t� fait de recherches sur l'origine de ces ballons.";"Observation � post�riori de t�ches rondes et grises sur une photographie.";O;1;;;;;;;;2011-11-28;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-01-02751
2779;"HYERES (83) 02.02.2011";Var;83;"(D) D�partement";2011;02;02;"Le 2 f�vrier 2011 � partir de 6h15, deux t�moins observent depuis le s�jour de leur appartement un cercle sombre dans lequel des lumi�res brillantes scintillent. De la taille �quivalente � la pleine lune, ce ph�nom�ne est stationnaire durant une quinzaine de minutes puis diminue et s'�loigne pour devenir en quelques secondes un point tr�s lumineux. L'observation se termine � 6h45.
. La premi�re hypoth�se �tudi�e est celle de l'observation astronomique de la plan�te V�nus, particuli�rement visible en cette p�riode de l'ann�e (magnitude -3,9, donc tr�s brillante) au Sud-Est (135�) � 10� au-dessus de l'horizon (voir carte c�leste). Cependant cette hypoth�se n'explique pas l'observation d'un cercle sombre et des lumi�res brillantes ni la vitesse de disparition de l'objet.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne.
De part le ph�nom�ne observ�, une enqu�te approfondie est difficile � mener. Le cas est class� ""C"" par manque d'informations.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-02-02712
2780;"NIEUL-SUR-L'AUTISE (85) 26.02.2011";Vend�e;85;"(D) D�partement";2011;02;26;"Le 26 f�vrier 2011 � 19h45, un t�moin est intrigu� par la pr�sence dans le ciel d'un objet tr�s lumineux blanc. Cet objet se d�place sur un axe E-O mais en effectuant des d�placements montant et descendant. L'observation dure trois minutes avant que l'objet en trajectoire descendante ne se fonde dans la nuit.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Le ph�nom�ne observ� pr�sente un certain degr� d'�tranget� du fait des d�placements complexes du point observ�. L'hypoth�se d'un h�licopt�re ou d'un avion militaire peut �tre envisag�e, mais le GEIPAN a trait� ce dossier trop tardivement pour pouvoir le v�rifier.
Faute d'informations et de part l'unicit� de ce t�moignage, ce dossier est class� ""C"".";"Observation de d�placements complexes d'un objet lumineux blanc : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2012-04-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-02-02715
2781;"LOUVECIENNES (78) 26.02.2011";Yvelines;78;"(D) D�partement";2011;02;26;"Un t�moin rapporte une observation faite en famille le 26 f�vrier 2011 vers 21h45 : tous observent le d�placement d'une boule lumineuse de couleur orange avec changement brusque de direction et disparition dans une trajectoire ascensionnelle et � une vitesse ""fulgurante"".
Cette observation pr�sente un faible degr� d'�tranget� dans la mesure o� une forte proportion de caract�ristiques d�crites correspondent � celles de ph�nom�nes connus tr�s souvent observ�s et rapport�s au GEIPAN : observation d'une lanterne volante lumineuse (voir le compte rendu d'enqu�te).";"Probable observation du passage d'une lanterne volante.";O;1;;;;;;;;2011-03-31;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-02-02716
2782;"PERPIGNAN (66) 03.02.2011";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2011;02;03;"Le 3 f�vrier 2011 entre 7h20 et 7h24, un t�moin sur un parking observe le passage rectiligne et rapide avec changement de direction d'une lumi�re blanche non clignotante dans le ciel. Aucun bruit n'a �t� entendu durant l'observation et aucune train�e n'a �t� aper�ue.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne par la gendarmerie.
Ce cas d'observation a d'abord �t� class� � D1 � en 2011 par le GEIPAN, puis �tudi� de nouveau en 2013 avec une nouvelle hypoth�se �mise par un internaute.
Ce cas est moyennement consistant (un seul t�moin oculaire, pas d'enregistrement), la description du PAN observ� est tr�s pr�cise. Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur, trajectoire) avec un objet astronautique parfaitement connu : la station spatiale internationale (ISS), bien pr�sente dans la zone du ciel observ�e, alors que le t�moin n'en fait pas mention.
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN B, observation probable de la station spatiale internationale.";"Observation dans le ciel du d�placement rapide d'une lumi�re blanche avec changement de direction : probable Station spatiale internationale.";O;1;1;;1;;;;;2014-01-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-02-02723
2783;"[N13] de EVREUX (27) vers PARIS (75) 20.02.2011";Eure;27;"(D) D�partement";2011;02;20;"Le 20 f�vrier 2011 � 21h05, un automobiliste observe le d�placement d'une lueur verte ""fluo"" qui traverse le ciel et se divise en trois sph�res avant de dispara�tre.
L'observation d�crite ressemble � un m�t�ore assez classique : lumi�re verte, trajectoire rectiligne, train�e, dur�e de quelques secondes. On note ici une fragmentation qui n'est pas syst�matique. L'objet cause de ce ph�nom�ne peut �tre un petit d�bris de satellite, mais plus probablement d'origine naturelle (m�t�orite).";"Probable observation du passage d'un m�t�ore.";O;1;;;;;;;;2012-01-05;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-02-02725
2784;"FORCALQUIER (04) 26.02.2011";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";2011;02;26;"Un t�moin rapporte son observation du 26 f�vrier 2011 � 23h pr�cise, concernant les �volutions de halos de lumi�re blanche et de forme ovo�de.
L'enqu�te de gendarmerie permet de recouper ce t�moignage avec ceux d'autres personnes.
L'ensemble de ces observations, pr�cises quant au lieu concern�, conduit la gendarmerie � conclure qu'il s'agit de faisceaux lumineux utilis�s ce soir-l� par une discoth�que locale.";"Probables observations de faisceaux lumineux de discoth�que.";O;1;;;;;;;;2011-06-20;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-02-02731
2785;"[A62] de AGEN (47) vers BORDEAUX (33) 15.02.2011";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";2011;02;15;"Le 15 f�vrier 2011 une automobiliste observe un objet qu'elle ne reconna�t pas. Elle d�crit un objet statique, de forme triangulaire aux trois angles arrondis, plut�t plat et de couleur verd�tre (entre le gis et le vert). Continuant sa route, l'observation durera quelques secondes.
Aucun autre t�moignage ne sera rapport� sur ce ph�nom�ne.
Le t�moin, contact� par t�l�phone, passe r�guli�rement � cet endroit et n'a jamais revu un tel ph�nom�ne. Le r�cit du t�moin est relativement pr�cis, mais il est surprenant qu'il n'y ait pas eu d'autre t�moignage, ce qui en fait un cas �trange, mais peu consistant, car t�moignage unique et sans enregistrement (photo, vid�o). L'objet d�crit, en vol stationnaire, ne ressemble � aucun objet connu, si ce n'est �ventuellement un cerf volant ou deltaplane, incongru � cet endroit.";"Automobiliste observant quelques secondes un objet statique plut�t plat,de forme triangulaire aux angles arrondis.";O;1;;;;;;;;2011-12-12;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2011-02-02732
2786;"RENTREE ATMOSPHERIQUE (91,93) 18.02.2011";France;FR;"(N) National";2011;02;18;"Le GEIPAN a re�u plusieurs t�moignages rapportant le passage rapide d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Les observations ont �t� faites � Peypin (13), sur la RN 568 entre Arles et Fos-sur-Mer (13) et depuis un h�licopt�re en vol au-dessus d'une station des Pyr�n�es 2000 (l'indication 91 et 93 dans le nom du cas fait r�f�rence au code r�gion).
Les descriptions rassemblent les caract�ristiques (forme, trajectoire, mouvement angulaire rapide) d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oroide ou de d�bris spatial.
De plus, le rapprochement, du fait de l'aspect, la direction g�n�rale Nord vers Sud, et surtout de l'heure, avec d'autres signalements (hors GEIPAN) faits en des endroits assez distants, permet de poser avec une bonne probabilit� l'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique visible par des t�moins distants car se r�alisant � haute altitude (50 � 150 km). Voir l'article de canalblog.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : probable rentr�e atmosph�rique.";"Multiples observations du passage rapide sur une trajectoire descendante d'une boule de feu dans le ciel : probables observations d'une rentr�e atmosph�rique.";O;;;;;;;;;2017-01-25;;;0.30;0.00;;;0.50;;0.20;;0.51;0.00;B;B;2011-02-08558
2787;"[D940] DE LAMARQUE-PONTACQ (65) VERS LOURDES (65) 13.02.2011";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";2011;02;13;"Le dimanche 13 f�vrier 2011 � 6h07 un automobiliste, sur la D940 entre Lamarque-Pontarcq (65) et Lourdes (65), est intrigu� par les lents d�placements d'une boule orange au raz de l'horizon. Le t�moin rep�re une luminosit� irr�guli�re. Arriv� chez lui, il utilise le zoom de son appareil photo pour continuer son observation. Celle-ci dure en tout une trentaine de minutes. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Le calcul des directions d'observation du ph�nom�ne montre que, d'apr�s le profil de la route emprunt� par le t�moin (voir sch�mas carto 1 et 2), la direction d'observation du ph�nom�ne est toujours sensiblement la m�me, de l'ordre de 130� d'azimut. Une v�rification astronomique montre que la plan�te V�nus est visible dans cette direction, extr�mement brillante. Cette confusion est fr�quente : comme la plan�te est basse sur l'horizon, les t�moins la per�oivent proche, survolant le paysage. Les changements de couleur et d�tails apport�s sont le r�sultat du scintillement provoqu� par l'atmosph�re ; ces effets sont tr�s forts et variables au ras de l'horizon (idem au coucher du soleil).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de la plan�te V�nus.";"Observation par un automobiliste d'une boule lumineuse en d�placement au raz de l'horizon avec des changements de couleur : observation de V�nus.";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.10;0.13;;;;;;;0.80;0.00;A;A;2011-02-08605
2788;"[AERO LOC] VERNOUILLET (28) 20.03.2011";Eure-et-Loir;28;"(D) D�partement";2011;03;20;"Le dimanche 20 mars 2011 � 15h30 un t�moin pilotant son avion, situ� alors l�g�rement � la verticale de l'a�rodrome de Dreux, fait une manuvre d'�vitement d'un objet en forme de polygone � nombreuses facettes noires et pour quelques une vertes. Cet objet d'une taille estim�e entre 2 � 3 m�tres de diam�tre semblait statique ou en tr�s lent d�placement. Le temps pour le pilote de faire demi-tour, l'objet avait disparu.
L'objet rencontr� est probablement un ballon thermique (ou ballon solaire), lanc� par des amateurs. La couleur noire, l'absence ""apparente"" de nacelle, la taille sont compatibles avec cette hypoth�se. Nous n'avons pas trouv� d'autre exemples de ballon thermique de cette forme. On peut � la rigueur expliquer la disparition du ballon par les turbulences de l'avion qui l'auraient d�stabilis� et fait descendre rapidement.
Le cas est class� B dans le compte rendu d'enqu�te associ�.";"Manoeuvre d'�vitement d'un pilote apr�s avoir vu un objet de forme sph�rique � facettes.";O;2;;;;;;;;2011-10-14;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-03-02724
2789;"MEYRIGNAC-L'EGLISE (19) 23.03.2011";Corr�ze;19;"(D) D�partement";2011;03;23;"Un t�moin rapporte une observation tr�s rapide d'une boule blanche tr�s lumineuse semblant venir vers elle et disparaissant en remontant dans le ciel. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
La description du ph�nom�ne fait penser � une reflexion du soleil sur un satellite Iridium (voir /index.php?id=299).
Le Geipan classe ce cas ""B"" :observation probable d'un flash Iridium.";"Probable observation d'un flash d'Iridium.";O;1;;;;;;;;2012-03-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-03-02726
2790;"VERFEIL (31) 23.03.2011";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2011;03;23;"Le 23 mars 2011 vers 23h30 un automobiliste remarque dans le ciel une grosse boule d'une couleur tirant vers le rouge. Il s'arr�te et prend en photo cette boule juste avant qu'elle ne disparaisse subitement.
La description faite par le t�moin correspond � l'observation de face d'un avion venant de l'Est (Peut-�tre l'avion Nice -Toulouse qui atterrit � Blagnac vers 21h55) : face � l'avion, l'observateur voit le projecteur avant de l'avion comme un point immobile (on ne voit pas les feux clignotants, car le projecteur avant aveugle), si l'avion change un peu sa route, par exemple pour aller rejoindre l'axe de la piste de Blagnac, le point lumineux se d�place lat�ralement, puis dispara�t car le t�moin n'est plus dans l'axe des projecteurs.
C'est cette hypoth�se qui est retenue par le GEIPAN, pour ce cas class� ""B"" : observation probable d'un avion de face.";"Observation d'un boule rouge avec disparition subite : probable observation du projecteur avant d'un avion vu de face.";O;1;;;;;;;;2012-07-31;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-03-02727
2791;"LIEUSAINT (77) 21.03.2011";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2011;03;21;"Le 21 mars 2011� 5h03 du matin, un t�moin observe durant quelques secondes le passage silencieux d'une train�e de couleur jaune-orang�e selon une trajectoire descendante E-NE.
Cette personne a probablement assist� � une rentr�e atmosph�rique : la description du ph�nom�ne est totalement conforme � l'apparence d'une chute de m�t�orite.";"Probable observation du passage d'une m�t�orite.";O;1;;;;;;;;2011-07-25;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-03-02728
2792;"CHATILLON SUR INDRE (36) 06.03.2011";Indre;36;"(D) D�partement";2011;03;06;"Le 6 mars 2011 vers 22h15 deux t�moins observent dans le ciel le passage rectiligne de plusieurs objets lumineux de couleur rouge-orang� apparaissant par intervalles. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation qui sera film�e. Des photographies seront �galement prises.
La description du ph�nom�ne �voque un passage de lanternes thailandaises. Les films transmis par le t�moin montrent le passage d'un objet rouge-orang� tr�s similaire � d'autres films rapport�s au GEIPAN et montrant de fa�on formelle un passage de lanternes chinoises.
Cette possibilit� n'a d'ailleurs pas �t� exclue par le t�moin lui-m�me (courrier du 25 mars 2011) et apr�s examen de tous les �l�ments, l'hypoth�se retenue par le GEIPAN est celle d'une probable observation de passage de lanternes thailandaises.";"Probables observations du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2011-06-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-03-02729
2793;"LAVELANET (09) 11.03.2011";Ari�ge;09;"(D) D�partement";2011;03;11;"Un t�moin observe et filme ses observations multiples d'une lumi�re blanche dans le ciel (les 9 f�vrier, 6 et 11 mars 2011).
Les caract�ristiques de l'observation d�crites par le t�moin (ph�nom�ne observ�""plusieurs matins en me levant"", ""de couleur blanche"", disparaissant quand il fait jour, dur�e d'observation d'un ph�nom�ne immobile pendant une p�riode tr�s longue de 45 minutes ..) �voquent un ph�nom�ne astronomique.
La v�rification de la direction d'observation vers le sud sud-est (direction Lavelanet-Belesta) et la configuration astromique du ciel ces jours-l� et en particulier le 11 mars 2011 autour de 7h00 locales ne laissent aucun doute sur l'observation de la plan�te V�nus pr�sente ces jours-l� dans le secteur de ciel observ� et bien visible � l'il nu.
L'impression classique de scintillement d�crit par le t�moin est d�e aux pertubations atmosph�riques (diff�rence de temp�rature et d'indice de r�fraction des couches travers�es).
Le cas est class� A comme l'observation de la plan�te V�nus.";"Observations sucessives de V�nus.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-03-02747
2794;"VILLAINES-LES-ROCHERS (37) 20.03.2011";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2011;03;20;"Le dimanche 20 mars 2011 entre 21h45 et 22h plusieurs personnes d'une m�me famille observent le ciel et sont intrigu�s par la pr�sence de deux �toiles particuli�rement lumineuses et en mouvement. Un des t�moin observe alors aux jumelles deux formes triangulaires avec des lumi�res clignotantes orang�es. Les deux objets se d�placent � vitesse constante dans le ciel et selon une trajectoire rectiligne du Nord vers l'Est. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation.
Aucun autre t�moignage ne sera rapport� sur ce ph�nom�ne.
L'enqu�te de gendarmerie met en avant la th�se d'une op�ration de ravitaillement en vol d'avions militaires qui ont op�r� dans la zone d�crite par le t�moin.";"Observation aux jumelles de deux formes triangulaires avec des lumi�res clignotantes.";O;2;;;;;;;;2011-09-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-03-02752
2795;"CHARDOGNE (55) 20.03.2011";Meuse;55;"(D) D�partement";2011;03;20;"le 20 mars 2011 vers 20h30 une automobiliste observe dans le ciel une lumi�re qui l'intrigue et l'effraye.
L'objet qu'observe le t�moin s'av�re �tre finalement toujours dans la m�me direction. Comme il est tr�s lointain, il para�t suivre l'observateur.Les d�placements verticaux sont une illusion, car per�us par rapport � l'horizon du paysage, qui est bien s�r variable le long du trajet.
Le changement de couleur d'un point lumineux sur l'horizon est d� aux turbulences atmosph�riques.
La direction indiqu�e par le t�moin, � gauche de sa direction de route E/NE, donne le N/NE. A cet endroit du ciel, brillait l'�toile Deneb, une des plus brillantes �toiles du ciel (une des 3 du triangle d'�t�).
Ce cas est class� ""A"" : Confusion avec l'�toile Deneb.";"Observation du d�placement d'une lumi�re : observation astronomique de l'�toile Deneb.";O;1;;;;;;;;2012-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-03-08210
2796;"BESANCON (25) 02.04.2011";Doubs;25;"(D) D�partement";2011;04;02;"Plusieurs personnes rapportent avoir vu le 02 avril 2011 vers 23h le d�placement group� et silencieux dans le ciel de nombreuses boules orang�es au-dessus de la ville;celles-ci disparaissent instantan�ment.
La description des t�moins correspond tout � fait aux lanternes tha�landaises (lumi�res orang�es se d�pla�ant selon le vent, d'une dur�e de moins de 20 minutes).
Un nouveau l�cher a eu lieu une semaine apr�s (voir article de l'Est R�publicain du 11 avril 2011dans le proc�s verbal).
Ce cas est donc class� ""B"", l'identification est tr�s probable, mais les auteurs du l�cher n'ont pas �t� trouv�s.";"Observation du passage de boules lumineuses : probable observation de lanternes thailandaises.";O;3;;;;;;;;2012-06-05;;;0.38;0.06;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-04-02734
2797;"FRANCONVILLE (95) 08.04.2011";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2011;04;08;"Un t�moin rapporte son observation du 8 avril 2011 vers 8h : durant 3 minutes environ, il observe le passage dans le ciel parfaitement d�gag� d'un objet inhabituel. La forme de l'objet est rapidement identifi�e comme �tant un cheval cabr�. Des photographies sont prises.
Le cas est produit enti�rement par le t�moin qui identifie parfaitement un grand ballon repr�sentant PEGASE.";"Observation du passage d'un ballon d'enfant en forme de cheval.";O;1;;;;;;;;2011-05-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-04-02736
2798;"GIF-SUR-YVETTE (91) 09.04.2011";Essonne;91;"(D) D�partement";2011;04;09;"Le 9 avril 2011 vers 22h45, deux t�moins en voiture aper�oivent tr�s rapidement des lumi�res blanches semblant �mises par un objet sombre qui se d�place � proximit� imm�diate du toit d'une maison voisine. Le groupe de lumi�res para�t proche et se d�place tr�s lentement, sans bruit perceptible de l'habitacle du v�hicule. Les lumi�res disparaissent derri�re le toit. Les t�moins sortis de la voiture tentent de le retrouver, en vain.
Nombreuses sont les hypoth�ses compatibles avec ce cas d'observation : avions, h�licopt�res, lanternes tha�landaises (bien que plut�t connues de couleur jaune, orange ou rouge) seules la rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de ou d'un d�bris spatial, ainsi qu'un passage de satellite peuvent �tre �cart�es.
De faible consistance et d'�tranget� faible, ce cas d'observation ne peut �tre conclu nettement. L'hypoth�se de lanternes tha�landaises pourrait bien convenir si le t�moin avait not� des lumi�res jaunes ou orange.
Ce cas est class� C en raison des impr�cisions du t�moignage.";"Observations de fortes lumi�res blanches semblant �mises par un objet en lent d�placement : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-04-02742
2799;"RICHEBOURG (62) 17.04.2011";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2011;04;17;"Le 17 avril 2011 � 0h05 un t�moin a son attention attir�e par deux points rouges vifs l�g�rement d�cal�s dans le ciel, se d�placant � une vitesse rapide et identique et selon une trajectoire ascendante.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
La vitesse des ph�nom�nes, l'aspect ascendant des points lumineux orientent vers une probable observation de fus�es type ""fus�es de d�tresse"".
Le manque d'informations re�ues ne permet pas de corroborer cette hypoth�se, et ne permet pas d'aller plus loin dans les investigations.";"Observation du d�placement tr�s rapide de deux points rouges parall�les : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2012-05-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-04-02746
2800;"LOURDES (65) 29.04.2011";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";2011;04;29;"Un t�moin rapporte son observation du 29 avril 2011 � 21h50 : en fermant les volets de sa chambre , il aper�oit une lueur orang� vif dans le ciel. Les changements de direction intrigue l'observateur.
La description du t�moin correspond � l'aspect d'une lanterne tah�landaise sous un vent faible dans un environnement urbain assez turbulent qui provoque ces changements de direction subits. La couleur, la luminosit�, la dur�e correspondent bien � une lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement d'une lueur orange vif avec changements de directions : probable observation du d�placement d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2012-01-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-04-02749
2801;"COUDEKERQUE (59) 21.04.2011";Nord;59;"(D) D�partement";2011;04;21;"Le jeudi 21 avril 2011 plusieurs personnes observent le passage silencieux par vague de ph�nom�nes lumineux orang�s dans le ciel.
Les photos transmises sont semblables � celles de nombreux autres cas ayant abouti � des observations de lanternes chinoises. Les vents tournants pr�sents ce soir-l� peuvent expliquer la trajectoire �voqu�e par le t�moin.
M�me si aucun t�moignage formel ne vient corroborer un l�cher de lanternes, le Geipan retient cette hypoth�se comme hautement probable.";"Observations du d�placement silencieux d'une dizaine de points lumineux.";O;1;;;;;;;;2011-09-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-04-02753
2802;"PARIS (75) 07.04.2011";Paris;75;"(D) D�partement";2011;04;07;"Le 7 avril 2011 � 23h06 un t�moin habitant au 7�me �tage d'un immeuble constate dans le ciel un ph�nom�ne lumineuxqui l'intrigue. Le t�moin d�crit comme un ensemble form� de deux parties plut�t ovales tr�s proches passant du blanc � l'orange pour ensuite prendre une couleur rouge et dispara�tre sans aucun bruit particulier.
Le ph�nom�ne observ� fait penser � deux lanternes tha�landaises, s'�loignant de l'observateur. La couleur passant du blanc � l'orange puis au rouge, le d�placement selon le vent d'une drection proche de la direction de vis�e, conforte cette hypoth�se. On peut penser que ces lanternes ont �t� lanc�es des bords de Seine non loin de l'observateur, et ont ensuite suivi le vent, � peu pr�s du Nord vers le Sud.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux passant du blanc � l'orange puis au rouge : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-07-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-04-02754
2803;"ROCHEJEAN (25) 19.04.2011";Doubs;25;"(D) D�partement";2011;04;19;"Le 19 avril 2011 � 21h37 deux personnes observent depuis la terrasse d'une habitation, le lent passage rectiligne d'une sph�re lumineuse blanche au-dessus de la cr�te montagneuse du massif du Risoux.
Le t�moin principal prendra un film de son observation. Malheureusement la qualit� du film ne permettra pas � la gendarmerie de faire une intr�pr�tation particuli�re et ne rend pas compte de l'observation faite par le t�moin (fort boug� d� au zoom maximum et artefacts).
Les directions et heures d'observation correspondent exactement � un passage de la Station Spatiale Internationale ISS : ce cas est class� ""A"" : parfaitement identifi�.";"Observation du d�placement SO-NE d'une lumi�re blanche : passage de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2012-11-12;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-04-02767
2804;"[D50] de COTIGNAC (83) vers ENTRECASTEAUX (83) 05.04.2011";Var;83;"(D) D�partement";2011;04;05;"Le 5 avril 2011 � 5h21, un automobiliste a son regard attir� par une lumi�re qui arrive en plein ciel. Il d�crit une boule bleut�e tr�s lumineuse qui traverse tr�s rapidement le ciel selon une trajectoire rectiligne. Le ph�nom�ne change ensuite de couleur pour devenir orange et semble s'immobiliser avant de disparaitre. Le passager avant fera la m�me observation. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Ce cas d'observation d'�tranget� faible et de consistance faible � moyenne nous semble avoir toutes les caract�ristiques d'une rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de. Une classification A est toutefois exclue en l'absence de sources ind�pendantes.
Ce cas est class� B comme probable bolide : rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de.";"Observation du passage rectiligne dans le ciel d'une boule bleut�e tr�s lumineuse qui change de couleur avant de disparaitre : probable observation d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-04-02769
2805;"LEDRINGHEM (59) 17.04.2011";Nord;59;"(D) D�partement";2011;04;17;"Le 17 avril 2011 vers 20h30 un t�moin entend un bruit sourd de turbine venant du ciel et aper�oit dans les airs un objet circulant � grande vitessse et passant au ras de la faiti�re de la toiture de son domicile dans une trajectoire rectiligne. L'objet d�crit est de forme cylindrique d'une longueur de 80 cm et de 20 � 30 cm de largeur. Sa couleur est noire et aucune odeur et lumi�re ne sont remarqu�es. L'objet s'�loigne en direction du village.
L'enqu�te faite par un IPN n'a pas trouv� d'hypoth�se coh�rente, bien que l'objet ressemble � un dr�ne, mais d'un mod�le inconnu.
Le t�moin a d�crit � la Gendarmerie et � l'IPN et ce, � plusieurs reprises, sans en d�former le r�cit, ce qui pourrait �tre consid�r� comme un PAN. Ce cas est class� D1 : non identifi�. On notera toutefois d'une part la relative faiblesse du dossier : t�moignage unique, observation tr�s br�ve, sans photo ni vid�o et d'autre part des performances de l'engin pas tr�s �loign�es des engins connus.";"Observation du passage d'un objet cylindrique noir au-dessus de la maison : trajectoire rectiligne.";O;1;;;;;;;;2011-11-24;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2011-04-02778
2806;"SAINT-PIERRE-QUIBERON (56) 17.04.2011";Morbihan;56;"(D) D�partement";2011;04;17;"Deux t�moins rapportent leur observation du d�placement silencieux de lumi�res au-dessus de l'oc�an le dimanche 17 avril 2011 entre 21h50 et 22h10.
La description du ph�nom�ne ressemble en tous points � celle des lanternes tha�landaises. La direction du vent (Est, NE) est coh�rente avec le d�placement constat�. On notera simplement que l'obseravtion a eu lieu un dimanche, ce qui n'est pas le jour habituel des l�chers de lanternes ; mais c'est la p�riode des vacances scolaires.";"Observations du d�placement silencieux de lumi�res dans le ciel.";O;2;;;;;;;;2018-07-20;;;0.38;0.06;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-04-02796
2807;"[N537] DE TREILLIERES (44) VERS NANTES (44) 16.04.2011";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2011;04;16;"Le 16 avril 2011 vers 2h20 un automobiliste et sa passag�re sont intrigu�s par le d�placement horizontal d'une dizaine de boules lumineuses de couleur orange. Celles-ci se d�placent sans bruit du Nord-Est vers le Sud-Ouest avant de dispara�tre progressivement.
Le r�cit des t�moins (lumi�res orang�es en d�placement, extinction au bout de quelques minutes) et la direction du vent (de NE) sont en tous points conformes � l'observation de lanternes tha�landaises. Le jour et l'heure (fin de soir�e de week end) sont aussi classiques pour un l�cher de lanternes � l'issue d'une f�te. Ce cas est class� ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Probable observations du passage de lanternes thailandaises.";O;3;;;;;;;;2012-01-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-04-02849
2808;"TOULOUSE (31) 24.04.2011";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2011;04;24;"Un temoin observe depuis son balcon le d�placement de pollens provenant des arbres alentours. Soudain un point lumieux traverse rapidement le ciel entre deux nuages. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation et le point dispara�t dans le ciel nuageux.
Le t�moin observe, de jour et presque face au soleil, une boule blanche traversant le ciel bleu, entre deux nuages. Le t�moin a remarqu� qu'il y avait de nombreux pollens volant dans l'air. C'est probablement un de ces pollens cotonneux (pollen ou graine ?) qui, face au soleil, est devenu argent�. Le d�placement dans le sens du vent (Vent d'Est de 15 � 31 km/h, vent d'autan) confirme cette hypoth�se. (Pour information, l'enqu�teur a observ� plusieurs fois ce ph�nom�ne depuis son domicile, en mai les jours de vent d'autan).
Ce cas est donc class� ""B"" : observation probable de pollen ou graine d'arbre (platane ?).";"Probable observation du passage de pollen.";O;1;;;;;;;;2012-01-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-04-08165
2809;"REIMS (51) 14.04.2011";Marne;51;"(D) D�partement";2011;04;14;"Le 14 avril 2011 vers 21h45 un t�moin observe quelques minutes les d�placements rapides d'une lumi�re. Celle-ci d�crit des ""huit"" dans le ciel nuageux.
La description que fait le t�moin correspond tout � fait � l'aspect que donnent les projecteurs laser utilis�s pour des animations festives (bo�tes de nuit, foires, �v�ment particulier ). La pr�sence de nuages bas a rendu le ph�nom�ne tr�s visible. On note que ce jour l� il y avait la f�te foraine � Reims, c'est probablement l'origine du ph�nom�ne.";"Probable observation d'animations lumineuses faites avec un projecteur laser.";O;1;;;;;;;;2012-01-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-04-08166
2810;"CHOMERAC (07) 08.04.2011";Ard�che;07;"(D) D�partement";2011;04;08;"Le 8 avril 2011 vers 23h30 un t�moin en voiture, observe une lumi�re vive dans le ciel. Il s'arr�te et ouvre sa fen�tre et constate alors un engin immense muni de lumi�res blanches aveuglantes et stationn� � environ 50m au-dessus d'une maison. Aucun bruit n'est entendu. Les lumi�res s'�teignent, l'engin tourne sur lui-m�me pour partir : le t�moin peut alors voir que l'engin a une forme triangulaire.
Du fait de l'�tranget� du cas, le GEIPAN a souhait� faire une enqu�te de terrain, mais qui n'a �t� demand� qu'en 2014. Comme le t�moin habite relativement loin du lieu de l'observation, et reste peu disponible, cet entretien n'a pu �tre organis�. Le d�lai de plus de 3 ans depuis l'observation a paru aussi trop long au t�moin.
D'�tranget� �lev�e, la consistance de ce cas d'observation est trop faible en l'�tat pour permettre une classification D inexpliqu�e : t�moignage unique tr�s succinct avec beaucoup d'impr�cissions, r�dig� un an apr�s les faits. En l'absence de donn�es compl�mentaires, le GEIPAN classe ce cas en C.";"Observation d'une lumi�re blanche provenant d'un engin non reconnu et silencieux : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;C;B;2011-04-08244
2812;"PARIS (75) 13.05.2011";Paris;75;"(D) D�partement";2011;05;13;"Le 13 mai 2011 � minuit trente cinq, plusieurs personnes observent un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Un t�moin rapporte avoir vu les d�placements de 7 boules oranges tr�s brillantes.
La description faite par le t�moin correspond aux caract�ristiques des lanternes tha�landaises pour la couleur, le nombre, l'altitude. Les mouvements circulaires et erratiques peuvent surprendre, mais en milieu urbain, les sources de turbulences atmosph�riques locales sont nombreuses : trafic automobile, ventilation forc�e des immeubles, chauffage ou climatisation. D'autres t�moignages indiquent des mouvements d�sordonn�s des lanternes au dessus des villes.
M�me si le l�cher de lanternes tha�landaises est interdit en ville, il s'av�re que cette interdiction n'est pas toujours respect�e, peut �tre par ignorance des auteurs.
Ce cas est donc class� ""B"" : probables lanternes tha�landaises.";"Probable observations du d�placement de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-01-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-05-02756
2813;"MONTMERLE-SUR-SAONE (01) 13.05.2011";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2011;05;13;"Le 13 mai 2011 vers 23h30 un t�moin observe depuis la cour de son domicile un point blanc lumineux dans le ciel qui l'intrigue. Durant l'observation qui dure moins de trois minutes, le t�moin constatera le d�placement N-O de l'objet sans qu'aucun bruit ne soit entendu.
Aucun autre t�moignage ne sera re�u sur ce ph�nom�ne.
Le t�moin a vu un point tr�s lumineux, apparemment fixe pendant quelques secondes, qui s'est ensuite d�plac� en s'amenuisant durant quelques secondes. Une cause possible peut �tre un avion qui, faisant route face au t�moin para�t fixe ; ses projecteurs avant sont alors dans la direction du t�moin qui per�oit alors un �clat maximal. L'avion aurait alors chang� de cap, le faisceau du projecteur s'�loigne de la direction du t�moin qui le per�oit de moins en moins ; vu du t�moin, le point se d�place lat�ralement, jusqu'� s'eteindre lorsque l'axe de l'avion est trop �loign� de la direction avion-t�moin.
Vue la relative faible �tranget� du ph�nom�ne, le GEIPAN n'a pas fait les recherches pour retrouver quel avion ce pouvait �tre.
De ce fait ce cas reste class� ""C"" manque d'information.";"Observation par un t�moin d'un point blanc lumineux dans le ciel : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2013-02-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-05-02758
2814;"LILLE (59) 21.05.2011";Nord;59;"(D) D�partement";2011;05;21;"Un t�moin rapporte son observation faite le 21 mai 2011 � 1h55 du matin : dans le ciel un groupe de 7 boules lumineuse rouge-orang�es se d�placent � vitesse lente dans une direction Sud-Nord. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation avant que ces lueurs ne disparaissent derri�re les nuages.
La description correspond tout � fait au t�moignage classique des lanternes tha�landaises : couleur, �clat, nombre, d�placement selon le vent. Le t�moin signale que Lille c�l�brait ce soir l� son doubl� en football, ce qui peut �tre une occasion de faire un l�cher de lanternes. Ce cas est class� ""B"", observation probable de lanternes tha�landaises.";"Probable observation du d�placement de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-05-02760
2815;"NICE (06) 29.05.2011";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2011;05;29;"Un t�moin rapporte son observation faite aux jumelles le 29 mai 2011 entre 22h410 et 22h45. Il observe le faible d�placement al�atoire Est-Sud d'une centaine de points lumineux blancs.
Etant donn� le faible d�placement de l'ensemble, sans coh�sion, � corr�ler avec le faible vent � ce moment l�, le GEIPAN �met l'hypoth�se que ces points blancs soient des ballons de baudruche l�ch�s � l'occasion d'une f�te, faiblement �clair�s par les lumi�res de la ville (pas de Lune visible � ce moment).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"", observation probable de ballons de baudruche.";"Observation de nombreux points blancs dans le ciel � tr�s haute altitude: probable observation de ballons de baudruche.";O;1;;;;;;;;2012-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-05-02765
2816;"NEUVILLE-AUX-BOIS (45) 25.05.2011";Loiret;45;"(D) D�partement";2011;05;25;"Un t�moin rapporte son observation faite le 25 mai 2011 � 2h09 : par une fen�tre, le t�moin constate au Nord la pr�sence d'une lumi�re blanche de forte intensit�. Le ph�nom�ne suit une trajectoire rectiligne en direction du Sud avant de tourner vers l'Est-Sud-Est. L'observation dure cinq secondes avant que la lumi�re ne disparaisse soudainement. Aucun bruit n'a �t� entendu durant le passage du ph�nom�ne.
L' hypoth�se privil�gi�e est l'observation de face d'un avion venant du Nord, et s'appr�tant � atterrir � Orl�ans ou � Orly, phare d'aterrissage allum�.
Lorsque l'observateur fait face � l'avion, ce dernier appara�t comme un point quasi immobile (on ne voit pas les feux clignotants, car le projecteur avant aveugle), dont on ne peut estimer la distance. Ces phares d'atterrisage sont visibles � plus de 10km dans leur axe. Si l'avion change sa route, le point lumineux se d�place lat�ralement, change d'�clat puis para�t dispara�tre car l'observateur n'est plus dans l'axe des projecteurs. Si l'avion n'est pas trop loin, on peut alors voir les feux clignotants. Le ph�nom�ne doit se reproduire de temps � autre, lorsque les conditions m�t�o sont semblables.
L'absence de bruit n'est pas �tonnante si l'on suppose que l'estimation de distance faite par le t�moin est incorrecte, estimation impossible � faire de nuit � partir d'un point lumineux.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable d'un avion.";"Observation du d�placement d'une lumi�re blanche : probable observation d'un a�ronef.";O;1;;;;;;;;2012-01-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-05-02766
2818;"TOULOUSE (31) 24.05.2011";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2011;05;24;"Un t�moin nous adresse une photographie sur laquelle il constate, � l'avant de l'avion photographi�, un objet qui l'intrigue.
Ce t�moin n'a pas fait d'observation directe lors de la prise de vue.
L'objet flou sur fond de ciel est tr�s probablement un insecte ou un oiseau en vol, dont le flou et la forme allong�e auront �t� provoqu�s par le d�placement de l'animal pendant la pose de 1/100 s. D'autre part, le t�moin n'a rien remarqu� au moment de la prise de vue, il ne s'agit donc pas d'une observation directe.";"Tache sur photographie sans visuel direct lors de la prise de vue.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-05-02783
2819;"[AERO EZY] de GATWICK (GB.WSX) vers NICE (06) 21.05.2011";A�rien;WSX;"(D) D�partement";2011;05;21;"Une personne rapporte les faits suivants qu'il ne s'explique pas : passager � bord d'un avion de ligne le 21 mai 2011, l'avion traverse une zone de turbulences alors que le ciel est bien bleu avec une couche nuageuse en-dessous.
Le t�moin constate ensuite une grosse train�e marron horizontale et parrall�le � l'avion et, en contre bas de l'aile de l'avion, il voit une sph�re blanche de la taille d'une pi�ce de un centime tenue � bout de bras. Il prend alors des photographies. L'observation a dur� une quinzaine de minutes entre 19h55 et 20h10.
La tra�n�e grise est l'ombre port�e de la tra�n�e de l'avion sur la couche nuageuse, la boule brillante est un ph�nom�ne d'optique atmosh�rique (semblable au spectre du Brocken) : r�trodiffusion de la lumi�re dans les gouttes de brume, en direction de l'observateur situ� dans la direction du soleil.
Cette explication consid�re que les vibrations ressenties par les t�moins sont ind�pendantes de ce ph�nom�ne. La disparition de la boule brillante est probablement d�e � l'interruption de la couche nuageuse.";"Longue observation depuis un avion d'un sph�re blanche aux pourtours tr�s flous.";O;1;;;;;;;;2017-06-08;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-05-02785
2823;"ANNECY-LE-VIEUX (74) 13.06.2011";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2011;06;13;"Le 13 juin 2011 apr�s 23h un t�moin observe depuis son domicile, le d�placement rapide d'un point lumineux dans le ciel. Ce point se d�place selon une trajectoire descendante, perd de l'intensit� puis dispara�t derri�re un nuage. Aucun bruit particulier n'est entendu durant cette observation.
Le fichier de passage de la Station Spatiale Internationale ainsi que sa trace au sol sont compatibles avec l'observation du t�moin. Le v�hicule ATV2 �tait � cette date l� 'dock�' � la station et la magnitude pour ce passage �tait de -3,5, c'est � dire tr�s lumineuse et visible � l'il nu.
Comme le t�moin n'a pas vu le d�but du passage au z�nith de la station, il a interpr�t� comme une ""descente"" la fin du passage.
Ce cas est class� A comme l'observation de l'ISS.";"Observation du passage de la Station Spatiale Internationale.";O;2;;;;;;;;2011-07-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-06-02771
2824;"[D912] de AGDE (34) vers BEZIERS (34) 13.06.2011";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2011;06;13;"Un automobiliste et ses passagers observent dans le ciel les d�placements rapides et al�atoires d'une forme ovale et lumineuse. De couleur bleut�e, celle-ci se d�place sur le plafond nuageux. Un seul t�moignage a �t� envoy� au GEIPAN.
Les caract�ristiques d�crites (t�che lumineuse bleue 'sur' les nuages, impression d''une grosse torche �lectrique', mouvements al�atoires en direction et hauteur, dur�e de l'observation de 30 minutes, observation � 2h00 du matin d'un week-end prolong� 'festif') �voquent immanquablement l'observation d'une animation lumineuse d'une des nombreuses discoth�ques de la r�gion Agde-B�ziers.
Ce type de t�ches mobiles sur plafond nuageux sont fr�quemment source de m�prises et selon les conditions m�t�orologiques les faisceaux peuvent ne pas �tre visibles.
La localisation et la recherche pr�cise de la discoth�que concern�e n'apporterait rien de plus au faible degr� d'�tranget� d'une observation dont la majorit� des caract�ristiques sont celles d'un ph�nom�ne connu.
Le cas est class� B comme l'observation probable d'une animation lumineuse de discoth�que.";"Probables observations d'une animation lumineuse dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-06-02772
2825;"PUNAAIUA (987) 12.06.2011";"Polyn�sie fran�aise";987;"(D) D�partement";2011;06;12;"Le 12 juin 2011 � 18h36 plusieurs personnes sur la plage de la baie de Punaaiua (Tahiti) obervent le passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Une lumi�re rouge tr�s forte se d�place � grande vitesse puis s'arr�te et disparait � la verticale dans la nuit. Un seul t�moignage est rapport� accompagn� de photographies
D'�tranget� moyenne et de bonne consistance, ce cas fait penser � une lanterne tha� sous de nombreux aspects. Mais, du fait de l'arr�t brutal du ph�nom�ne, cette hypoth�se est trop fragile pour �tre adopt�e, faut de pouvoir conna�tre ou mod�liser le vent local.
Ce cas est provisoirement class� C, en l'attente d'autres t�moignages.";"Observation des d�placements d'une lumi�re rouge dans le ciel tahitien : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-06-02773
2826;"LAURET (34) 15.06.2011";H�rault;34;"(D) D�partement";2011;06;15;"Le 15 aout 2011 entre 23h30 et 23h45 deux t�moins sont intigu�s par le passage rapide dans le ciel d'une lumi�re blanche tr�s intense et clignotante. Le ph�nom�ne traverse tout le ciel.
D'�tranget� moyenne, mais insuffisamment pr�cis (directions, heure), ce cas d'observation �voque des ph�nom�nes li�s � des reflets du soleil sur un satellite non r�pertori�, (ou � un ph�nom�ne de type rentr�e atmosph�rique, selon un sc�nario tout � fait exceptionnel).
Le GEIPAN n'ayant pu confirmer cette hypoth�se, ce cas est class� C faute d'informations plus pr�cises.";"Observation du passage rapide d'une lumi�re intense blanche et clignotante parmi les �toiles : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-06-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-06-02775
2827;"FOURG (25) 14.06.2011";Doubs;25;"(D) D�partement";2011;06;14;"Plusieurs t�moins observent le passage r�gulier sur la m�me trajectoire d'un point lumineux.
En consid�rant les horaires donn�es par le t�moin, l'observation correspond au passage de la station ISS (� laquelle �tait amarr� le cargo ATV2). Le t�moin observait vers le sud une lumi�re se d�pla�ant sur un axe sud-ouest est, compatible avec la trajectoire de l'ISS, dont la magnitude de -3,0 en faisait un objet lumineux facilement observable � l'il nu.
Les horaires de passage � post�riori relev�s sur le site Heavens Above sont l�g�rement d�cal�s du fait de la correction de la trajectoire de la station (toutes les semaines).
Le cas est class� A comme l'observation de la station spatiale internationale (ISS).";"Observations sucessives du passage de la station spatiale internationale (ISS).";O;1;;;;;;;;2011-06-24;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-06-02776
2828;"BAGNOLET (93) 10.05.2011";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";2011;05;10;"Un t�moin observe r�guli�rement depuis son domicile le d�placement d'un point lumineux dans le ciel. Ce point grossit puis diminue avant de dispara�tre � l'horizon.
Le t�moin est presque dans l'axe d'une des pistes de l'a�rodrome d'Orly. Par vent de Nord, les avions d�collent donc face au t�moin. Les phares avant des avions sont tr�s directionnels et tr�s puissants, le t�moin ne peut distinguer les feux clignotants rouge, bien moins puissants. Lorsque l'avion d�vie de l'axe d'observation, la lumi�re re�ue par le t�moin diminue fortement. La r�p�titivit� de l'observation conforte cette hypoth�se , le t�moin pourrait v�rifier que cela arrive par vent de secteur Nord.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'avions d�collant d'Orly.";"Observations r�guli�res du d�placement d'un point lumineux : probable observation d'a�ronefs.";O;1;;;;;;;;2012-08-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-06-02777
2829;"PEYNIER (13) 14.06.2011";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2011;06;14;"Le 14 juin 2011 vers 22h30 deux personnes sont intrigu�es par les d�placements silencieux et � vitesse variable d'un objet lumineux dans le ciel. L'observation dure entre 5 et 10 minutes. Le 16 juin ces deux personnes retournant sur les lieux d�couvrent une zone circulaire de 1,5m d'herbes couch�es au milieu d'herbes hautes.
La description du ph�nom�ne est double. Il est d'abord question d'une puissante lumi�re blanche, se d�pla�ant deux � trois fois plus vite qu'un avion, accompagn�e d'une lueur rouge lorsque l'objet traverse un nuage : ceci correspond nettement � l'observation de la station spatiale internationale (ISS).
Ensuite, le deuxi�me ph�nom�ne, qui est ind�pendant du premier, changeant rapidement de trajectoire et de vitesse, fait penser � un h�licopt�re, mais le GEIPAN n'a pu v�rifier cette hypoth�se, et le t�moignage n'est pas assez pr�cis pour justifier cette explication.
D'�tranget� moyenne, ce cas d'observation serait class� � A � pour la premi�re partie, � C � pour la deuxi�me, et sans objet pour les traces dans les herbes.
Ce cas est globalement class� C, faute d'informations d�taill�es sur la deuxi�me partie de l'observation.";"Observations des d�placements d'un objet lumineux et trace circulaire d'herbes couch�es : manque d'informations.";O;2;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-06-02779
2830;"CHOZEAU (38) 15.06.2011";Is�re;38;"(D) D�partement";2011;06;15;"Le t�moin filme une �clipse de lune le 15 juin 2011 et constate la pr�sence de trois ph�nom�nes lumineux qui l'intrigue. Le t�moin constate �galement � post�riori sur le film de sa vid�o un quatri�me ph�nom�ne.
Les vid�os et photos ne concordent pas avec le t�moignage de fa�on �vidente. La premi�re apparition du ph�nom�ne � 3'48 correpond � un ""d�-zoom"" qui fait appara�tre dans le champ un point lumineux qui n'y �tait pas en mode ""champ �troit"". On observe ensuite la ""redescente"" du point lumineux lorsque le facteur de zoom augmente � nouveau. Il s'agit probablement d'une source lumineuse proche du sol (ex : lampadaire de rue proche ).
A 4'02, on voit un autre point lumineux appara�tre en-dessous de la Lune : c'est nettement un lampadaire dont on voit une partie du pied. (Les �ph�m�rides ci-jointes indiquent bien que la Lune �tait � seulement 15� d'�l�vation, donc assez basse sur l'horizon, environ 2 heures apr�s son lever).
Le t�moin semble n'avoir observ� ces ph�nom�nes qu'� travers le viseur du camescope, puis a posteriori au montage vid�o ; les op�rations de zoom/d�zoom l'auront tromp�.
La photo repr�sentant deux ""L"" lumineux correspond � la photo en pose longue (boug� de l'op�rateur) de 2 points lumineux, probablement les 2 m�mes sources qui ont impressionn� la vid�o.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation indirecte, via vid�o et photo, de lampadaires au sol.";"Observation de ph�nom�nes lumineux dans la nuit : observation indirecte, via vid�o et photo, de lampadaires au sol.";O;1;;;;;;;;2015-01-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-06-02780
2831;"CAPELLE-ET-MASMOLENE (LA) (30) 26.06.2011";Gard;30;"(D) D�partement";2011;06;26;"Le dimanche 26 juin 2011 vers 23h10 un t�moin est intrigu� par l'observation du d�placement d'une source lumineuse de forte intensit� . Lors du passage au-dessus de son habitation, le t�moin distingue trois points lumineux blancs/oranges dispos�s en triangle. Aucun bruit n'est entendu lors du lent passage et de l'observation qui a dur� quatre minutes. Un autre t�moin sur place observera le ph�nom�ne mais ne rapportera pas son observation. En l'absence d'hypoth�se valid�e (voir le compte rendu d'enqu�te), ce cas est class� � C � par manque d'informations.";"Observations du d�placement silencieux d'un ph�nom�ne lumineux constitu� de trois points dispos�s en triangle : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2012-09-13;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-06-02781
2832;"SAINT-ANDRE-DE-DOUBLE (24) 26.06.2011";Dordogne;24;"(D) D�partement";2011;06;26;"Un t�moin relate deux observations dont une faite le 26 juin 2010 vers minuit. A cette date, il observe au-dessus de son domicile le passage rectiligne d'une lumi�res forte et blanche qui arrive du NO et dispara�t rapidement en direction du SE. En passant au-dessus du t�moin, celui-ci constate la pr�sence de trois lumi�res blanches deux � l'avant une � l'arri�re d�finissant une forme triangulaire. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation.
Un autre t�moignage sur ce ph�nom�ne sera recueilli.
Cette observation poss�de quelques �l�ments caract�ristiques d'avions � basse altitude, mais certains �l�ments ne correspondent pas (ex: silence, signalisation). Le GEIPAN a recherch� aupr�s de l'aviation civile et de l'Arm�e de l'air des traces radars d'appareils en vol (voir document traces radar) : seuls des vols � haute altitude sont signal�s. Il faut noter que les radars ne couvrent pas les vols � basse altitude et que ce secteur est connu de l'Arm�e de l'air car c'est une de leurs zone d'exercice � basse altitude.
Devant ce manque d'informations pr�cises, le GEIPAN classe ce cas ""C"".";"Observation du d�placement rapide et silencieux de lumi�res.";O;2;;;;;;;;2012-02-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-06-02782
2833;"MEZENS (81) 20.06.2011";Tarn;81;"(D) D�partement";2011;06;20;"Le 20 juin 2011� 23h dans un champ, deux personnes observent au-dessus d'eux le passage silencieux d'une boule lumineuse jaune orange. Apr�s avoir effectu� un virage au-dessus de la cime des arbres, une forme triangulaire leur appara�t. Tr�s effray�s, ils quittent l'endroit mais un des t�moin aura film� l'observation.
Les t�moins ont probablement observ� le passage d'un a�ronef car au vu de la video, l'objet est conforme � l'aspect d'un avion, avec son �clairage nocturne r�glementaire, phares de piste allum�s. Il n'a pas �t� men� d'enqu�te pour identifier quel avion survolait ce site.";"Probable observation du passage d'un a�ronef";O;1;;;;;;;;2011-07-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-06-02784
2834;"VENIZEL (02) 30.06.2011";Aisne;02;"(D) D�partement";2011;06;30;"En roulant � bord de leur v�hicule une personne et son mari constatent � plusieurs reprises la pr�sence dans le ciel d'un objet volant qui se d�place. Les feux clignotants et la basse altitude de l'objet les intrigue. Aucun bruit particulier n'est entendu lors de l'observation.
L'observation d�crite par le t�moin est compatible avec l'aspect d'un h�licopt�re en vol de nuit. Les nouveaux h�licopt�res sont infiniment moins bruyants que les h�licopt�res classiques.
La Section A�rienne de Gendarmerie d'AMIENS, �quip�e de ces nouveaux h�licopt�res, a confirm� �tre en vol dans ce secteur ce jour l�, mais ils ne peuvent plus pr�ciser le parcours exact fait cette nuit l�.
Ce cas est donc class� ""B"" : probable observation d'un h�licopt�re.";"Probable observation d'un h�licopt�re.";O;1;;;;;;;;2012-02-01;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-06-02786
2835;"MAISONS-ALFORT (94) 27.06.2011";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2011;06;27;"Deux personnes observent le 27 juin 2011 en soir�e le passage en ligne droite et au-dessus d'eux d'un ph�nom�ne lumineux orang�. Aucun bruit n'est per�u durant l'observation qui dure une minute.
L'hypoth�se de lanterne tha�landaise est privil�gi�e : apparence rouge-orang�, forme, d�placement selon le vent (de Nord ou Nord-Ouest). Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanterne tha�landaise.";"Probable observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2012-02-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-06-02787
2836;"GOURBIT (09) 28.06.2011";Ari�ge;09;"(D) D�partement";2011;06;28;"Un t�moin nous adresse une s�rie de clich�s photographiques sur lesquels elle d�couvre des ""�l�ments bizarres"".
Aucune observation n'a �t� faite lors de la prise de vue. Bien d�cid�e � comprendre le ph�nom�ne, le t�moin prendra une photographie dans les m�mes conditions le lendemain. Le m�me ph�nom�ne appara�t de nouveau.
Ce cas illustre tr�s bien une cat�gorie d'explications techniques pour des clich�s a priori bien �tranges : il s'agit de r�flexions dans l'optique de l'appareil, apparaissant sous la forme de ""caustiques"" (famille de surfaces en optique).
Les conditions de prise de vue des 5 clich�s pris en Ari�ge sont parfaites pour l'apparition de tels effets optiques dans certains appareils photo (car cela d�pend de la configuration des blocs optiques) : paysage sombre avec quelques sources de lumi�re vive, donnant un fort contraste, encore renforc� par une longue dur�e d'exposition (entre 23 et 35 secondes).
La qualit� des photos fournies permet au GEIPAN d'ouvrir ce cas afin d'illustrer de fa�on concr�te un cas de m�prise li� � un ph�nom�ne optique essentiellement d� � l'utilisation d'un appareil photo num�rique dans des conditions particuli�res (Voir l'analyse photographique).
Le cas est class� A.";"M�prise li�e � un ph�nom�ne optique : r�flexion dans l'optique de l'appareil photographique.";O;1;;;;;;;;2011-09-08;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-06-02790
2837;"ALBAS (11) 02.06.2011";Aude;11;"(D) D�partement";2011;06;02;"Durant une promenade dans les Corbi�res le 2 juin 2011 � 18h15, un t�moin observe, au-dessus de la vall�e d'Albas (11), trois objets blancs m�talliques tournoyant rapidement sur eux-m�me. Les trois objets disparaissent dans les nuages au bout d'une minute.
D'�tranget� moyenne mais de faible consistance �tant donn� l'impr�cision de la position du t�moin et des directions de d�placement du ph�nom�ne observ�, ce cas d'observation ne peut �tre fermement conclu.
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Observation de trois objets tournant sur eux-m�me dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-06-02798
2838;"AIGLEMONT (08) 15.06.2011";Ardennes;08;"(D) D�partement";2011;06;15;"Un t�moin rapporte que le 15 juin 2011 peu apr�s 23h30, il a observ� le passage silencieux et rectiligne d'une boule blanche tr�s lumineuse dans le ciel. Il ne s'explique pas le ph�nom�ne observ�
Un passage de la station spatiale internationale (ISS) a eu lieu entre 23h08 et 23h18 passant d'Ouest en Est en visibilit� d'Aiglemont. Bien que le t�moin ait indiqu� qu'il a fait des recherches sur Internet et d�duit que l'ISS n'�tait pas en visibilit� ce soir l� (N.B. ces recherches peuvent �tre inexactes a posteriori), et que l'heure ne corresponde pas exactement � celle indiqu�e par le t�moin, c'est l'hypoth�se ISS qui est retenue, car la trajectoire et la luminosit� correspondent tout � fait � un passage ISS.";"Probable observation du passage de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2011-09-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-06-02801
2839;"VALENCIENNES (59) 24.06.2011";Nord;59;"(D) D�partement";2011;06;24;"Le 24 juin 2011 � 22h30, un t�moin est intrigu� par la pr�sence d'un ph�nom�ne lumineux rouge violet dans son quartier. Il observe ce ph�nom�ne silencieux une quinzaine de secondes depuis une f�n�tre de son appartement. Cette lumi�re se d�place lentement puis disparait instantan�ment. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Le r�sultat de l'audition du t�moin par les enqu�teurs montre un r�cit fragile, ce qui affecte nettement la consistance du t�moignage. Les informations factuelles collect�es sur place n'ont pas permis ni de progresser dans la connaissance de l'�v�nement, ni de consolider le t�moignage. L'unicit� du t�moignage est �tonnante en zone urbaine pour un ph�nom�ne aussi �trange.
D'�tranget� �lev�e mais de consistance insuffisante, ce cas d'observation est class� � C � par manque d'informations fiables.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux qui disparait instantan�ment : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-06-02806
2840;"WIWERSHEIM (67) 12.06.2011";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2011;06;12;"Le dimanche 12 juin 2011 vers 1h26, deux t�moins sont �tonn�s de voir passer � vive allure dans le ciel une boule de couleur jaune-rouge fortement lumineuse. Aucun bruit particulier n'est entendu durant le passage de l'objet sur une trajectoire rectiligne. L'observation dure environ trois minutes.
De faible �tranget� mais de bonne consistance malgr� l'absence de donn�es d'�l�vation (probablement due � une confusion sur la question ""hauteur dans le ciel""), ce cas d'observation comporte toutes les caract�ristiques d'une m�prise due � une lanterne tha�landaise.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : probable observation de lanterne thailandaise.";"Observations du passage silencieux et rapide d'une boule lumineuse de couleur rouge-jaune vif : probable observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;2;;;;;;;;2014-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-06-02816
2841;"PLAISIR (78) 26.06.2011";Yvelines;78;"(D) D�partement";2011;06;26;"Le 26 juin 2011 � 2h30 du matin, une personne regarde les �toiles. Il est intrigu� par un point lumineux qui se d�place suivi rapidement par plusieurs autres points lumineux (entre 5 et 7) . Ces points se d�placent lentement et sans bruit, align�s dans une formation en V et se dirigent en direction de l'Ouest.
La description des points orang�s en formation en V fait penser � des lanternes volantes. Cette hypoth�se est r�fut�e par le t�moin, et le d�placement selon le vent n'a pu �tre confirm� car le vent �tait tr�s instable cette nuit l�.
Du fait qu'il ne voyait pas d'�toiles au milieu du triangle, le t�moin interpr�te l'ensemble des points comme le p�rim�tre d'un objet, mais il a pu �tre �bloui par les points lumineux. L'hypoth�se de vol en formation d'avions se rendant au salon du Bourget n'a pu �tre v�rifi�e, car l'enqu�te �tait trop tardive.
Devant ces �l�ments douteux ou contradictoires, le GEIPAN classe ce cas ""C"".";"Observation du d�placement silencieux de plusieurs points lumineux formant un V : manque d'informations;";O;1;;;;;;;;2012-09-14;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-06-02851
2842;"VALENCIENNES (59) 14.07.2011";Nord;59;"(D) D�partement";2011;07;14;"Un t�moin rapporte l'observation faite en compagnie de son �pouse : le 14 juillet 2011 � 23h49, ces personnes ont observ� dans le ciel, le passage silencieux d'une lueur vive de couleur orang�e. L'objet se d�pla�ait � vitesse constante selon une trajectoire rectiligne. Un film pris � partir d'un t�l�phone portable a �t� fait pendant les derni�res 43 secondes o� l'objet a �t� visible. (le t�moin a d�pos� son film sur Internet.
La description faite correspond aux caract�ristiques d'une lanterne tha�landaise : taille, lumi�re, d�placement, date et heure. Toutefois, l'origine du l�cher n'a pas �t� recherch� et le cas est class� B. Le PV de la gendarmerie, re�u le 4 novembre 2011, donne � penser que le ph�nom�ne pourrait �tre une aile volante dont la luminosit� s'explique par la pr�sence de diodes reli�s � une batterie.";"Observation du d�placement silencieux d'une lueur orang�e : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2016-12-13;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-07-02788
2843;"CHAMALIERES (63) 03.07.2011";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";2011;07;03;"Le matin du dimanche 3 juillet 2011 vers 8h30, le t�moin, occup� � son ordinateur personnel, d�cide d'aller fumer une cigarette sur la terrasse de sa r�sidence, orient�e au Sud Sud-Ouest. Il aper�oit alors 3 boules lumineuses blanches dans le ciel en direction du Sud Sud-Ouest. Deux d'entre elles se rapprochent et l'ensemble des 3 objets se met en mouvement selon une trajectoire rectiligne orient�e du Sud-Ouest vers le Nord-Ouest, sans bruit ni condensation typiques des avions de ligne � haute altitude, et avec une vitesse apparente sup�rieure � ceux-ci. Le t�moin interrompt alors son observation pour chercher son cam�scope, puis se ravise au profit de son t�l�phone portable. Le ph�nom�ne a disparu lorsqu'il revient sur la terrasse quelques instants plus tard et le t�moin ne parvient pas � le retrouver � travers ses fen�tres orient�es � l'Ouest. L'observation a dur� environ 60 secondes.
Ce cas d'observation de 3 boules lumineuses traversant une partie du ciel s'av�re d'�tranget� moyenne car d'aspect similaire � des ballons ; comme le vent mesur� � 7 km est contraire au d�placement observ�, cette hypoth�se ne peut �tre ni retenue, ni formellement exclue.
Ce cas d'observation souffre d'une trop faible consistance en l'�tat : t�moignage unique, pas de photo, incertitude sur le vent.
Sans autre �l�ments permettant de valider ou exclure l'une de ces hypoth�ses, le GEIPAN classe ce cas en � C �.";"Observation du d�placement silencieux de trois boules lumineuses sur une trajectoire rectiligne : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-05;;;0.65;0.00;;;;;;;0.70;0.00;C;D1-;2011-07-02789
2844;"LIMOUX (11) 23.07.2011";Aude;11;"(D) D�partement";2011;07;23;"A 23h30, plusieurs personnes observent depuis la terrasse de leur domicile surplombant la ville de Limoux, les apparitions successives de plusieurs boules rouges dans le ciel � quelques minutes d'intervalles. Aucun bruit n'est entendu lors du lent passage sous les nuages de ces 7 boules au total.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
La description du ph�nom�ne correspond tout � fait � des lanternes tha�landaises. La date et l'heure (samedi en fin de soir�e), la direction du vent (d'Ouest en Est) qui permet d'amener vers l'observateur des lanternes lanc�es pr�s de Limoux, sont autant d'�l�ments renfor�ant cette hypoth�se.
remarque : le t�moin constate que les nuages viennent de l'Est : si ce sont des nuages d'altitude, ceci n'est pas contradictoire avec un vent au sol de direction Ouest-Est.";"Observations du passage silencieux de 7 boules rouges dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2011-09-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-07-02793
2845;"CAGNES-SUR-MER (06) 22.07.2011";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2011;07;22;"Le 22 juillet 2011 � partir 22h 15 un t�moin constate, � 10 minutes d'intervalle, le d�placement silencieux dans le ciel d'objets lumineux rouge-orang�. Les objets disparaitront en direction du Sud-Sud-Est. Chacune des observation durera 3 minutes.
De faible �tranget� et de consistance moyenne � faible en raison de l'unicit� du t�moignage, ce cas d'observation a toutes les caract�ristiques d' une m�prise d'observation du passage de lanternes tha�.
Ce cas est class� B, observation de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placements successifs de deux ph�nom�nes lumineux rouge-orang� dans le ciel : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-03-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-07-02795
2846;"TANNERON (83) 18.07.2011";Var;83;"(D) D�partement";2011;07;18;"Le 18 juillet 2011 vers 21h15, un t�moin est intrigu� par la pr�sence, au-dessus d'une colline du massif du Tanneron, de plusieurs boules lumineuses oranges et de flashes lumineux blancs. Le t�moin constate tr�s vite la disparition de certaines boules puis l'apparition soudaine d'autres sph�res. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. Le t�moin, depuis son domicile, prendra de nombreuses photographies.
D'�tranget� faible et de bonne consistance, ce cas d'observation, pour sa partie photographique est une m�prise certaine avec les a�ronefs circulant autour de l'a�roport de Nice, inhabituellement configur�s ce soir l� en raison du fort vent d'Ouest. Les autres �l�ments cit�s par le t�moin �voquent �galement des a�ronefs civils bien que l'impr�cision du t�moignage ne permettent de l'affirmer.
Ce cas est class� B : probable observation d'avions proches de leur atterrissage.";"Observation de l'apparition et disparition de plusieurs sph�res oranges avec des flashes lumineux blancs : probable observation d'avions proches de leur atterrissage.";O;1;;;;;;;;2013-10-15;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-07-02797
2847;"BERGUES (59) 02.07.2011";Nord;59;"(D) D�partement";2011;07;02;"Le samedi 2 juillet 2011 vers 22h30 deux personnes observent le passage silencieux d'un objet sph�rique orang� volant en trajectoire descendante dans le ciel. Des flammes sont aper�ues � la base de l'objet. La sph�re dispara�tra rapidement en montant dans le ciel.
La description faite par le t�moin correspond � celle d'une lanterne tha�landaise, son d�placement est coh�rent avec le vent de ce jour l� (vent de Nord).
On peut penser que cette lanterne a �t� l�ch�e � la fin de la f�te m�di�vale qui s'est d�roul�e ce jour l� � Bergues, mais le Geipan n'a pas r�ussi � joindre l'organisateur de la f�te pour confirmer cette hypoth�se.
Ce cas est class� B : probable lanterne tha�landaise.
Un nouveau t�moin a contact� le GEIPAN en d�cembre 2012 pour confirmer qu'il s'agit d'une lanterne (voir courrier et photo IMG 5081) et permet de reclasser ce cas en ""A"".";"Observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-07-02800
2848;"CAUSSADE (82) 31.07.2011";Tarn-et-Garonne;82;"(D) D�partement";2011;07;31;"Un t�moin rapporte une observation faite le 31 juillet 2011 vers 19h30 environ du passage tr�s rapide d'un ph�nom�ne dans le ciel.
De forme ovale et de couleur blanche, le ph�nom�ne se d�place sans qu'aucun bruit ne soit entendu. Il a disparu rapidement vers l'horizon.
La vitesse de l'objet, son �clat font penser � une rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de, ou d'un d�bris spatial. La date de l'observation correspopnd � la p�riode de nombreux essaims de m�t�ores, la direction de la trajectoire est compatible avec une Pers��de. Le dossier a �t� transmis pour information aux scientifiques sp�cialistes de m�t�orites (IMCCE et Mus�um National d'histoire naturelle).";"Observation d'une probable rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2011-10-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-07-02802
2849;"CHATEAUFORT (78) 10.07.2011";Yvelines;78;"(D) D�partement";2011;07;10;"Le dimanche 10 juillet 2011 entre 0h30 et 0h45 des personnes observent le passage d'une dizaine de points lumineux orang�s formant dans le ciel un ensemble important. Le t�moin principal a un tr�s bon r�flexe en filmant l'observation avec son appareil photographique tout en t�l�phonant � la gendarmerie.
Le vendredi 15 juillet 2011 � 23h22, une autre observation d'un ph�nom�ne similaire sera faite par le t�moin.
Le film de la premi�re observation confi� par le t�moin � la gendarmerie est typique d'une observation de passage de lanternes thailandaises.
Le Geipan souligne ici l'enqu�te exemplaire men�e par la gendarmerie, au terme de laquelle celle-ci conclut � un passage de lanternes thailandaises. M�me si la preuve formelle n'est pas apport�e, le t�moin accr�dite la conclusion et le GEIPAN l'ent�rine totalement.";"Observation film�e du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2011-11-28;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-07-02825
2850;"ILES-DES-PINS (988) 10.07.2011 ";Nouvelle-Cal�donie;988;"(D) D�partement";2011;07;10;"Plusieurs personnes de l'�le des Pins (Nouvelle Cal�donie) rapportent ce qu'ils ont observ� le 10 juillet 2011 aux alentours de 17h30 : un objet de forme ronde a travers� le ciel en diagonale dans une trajectoire descendante vers la mer. Plusieurs couleurs et une train�e ont �t� remarqu�es. Aucun bruit n'a �t� entendu. Un flash de couleur blanc a �t� vu avant la disparition totale du ph�nom�ne.
Les t�moins ont tr�s probablement observ� un bolide, provoqu� par la chute d'un m�t�orite ou d'un d�bris spatial. Les t�moignages, bien que variables, correspondent bien � ce ph�nom�ne.
Comme il n'y pas de preuve de l'origine de l'objet, ce cas est class� � B � : chute probable de m�t�orite.";"Observations d'un objet traversant le ciel dans une trajectoire descendante vers la mer. Pr�sence d'une train�e visible derri�re cette boule.";O;2;;;;;;;;2012-01-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-07-02844
2851;"PIERREFONDS (60) 23.07.2011";Oise;60;"(D) D�partement";2011;07;23;"Le 23 juillet 2011 vers 23h30 deux personnes observent le d�placement en groupe de points lumineux orang�s dans le ciel. Ils disparaissent progressivement vers l'horizon.
Le r�cit des t�moins, la vid�o, les photos (en particulier la DSC03604.JPG), la direction du vent (de NO) sont en tous points conformes � l'observation de lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es en for�t de Compi�gne. Le jour et l'heure (un samedi en fin de soir�e) sont aussi classiques pour un l�cher de lanternes � l'issue d'une f�te. Du fait de la photo qui permet de discerner la lanterne, ce cas est class� ""A""";"Observations du passage de lanternes thailandaises.";O;2;;;;;;;;2012-01-04;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-07-02848
2853;"[A.BOLIDE] TOULOUSE (31) 02.08.2011";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2011;08;02;"Le mardi 2 ao�t 2011, entre 3h27 et 3h35 du matin, plusieurs dizaines de t�moins ont observ� un ciel subitement �clair� comme en plein jour, suivi d'un objet, souvent d�crit de couleur vert/bleu faisant un passage de 4 � 5 secondes. Certains d'entre-eux ont �galement entendu une ou deux explosions, quelques secondes apr�s le passage du ph�nom�ne. Quelques-uns relatent une fragmentation.
La cinquantaine de t�moins localis�s sur une grande r�gion sud (Ari�ge, Aveyron, Aude, Gironde, Haute Garonne, Tarn, Tarn et Garonne) qui ont contact� le GEIPAN ont fourni des indications pr�cises sur cette observation.
Les donn�es pr�liminaires ainsi recueillies indiquent une trajectoire orient�e Nord Sud, avec un d�calage l�ger d'Est en Ouest.
Le bolide semble avoir termin� sa course dans une zone triangulaire Andorre/Carcassonne/Perpignan. (voir sur le site du GEIPAN l'actualit� ""un bolide le 2 ao�t dans le ciel du sud de la France et la cartographie en fichier .kmz).
Les scientifiques de l'IMCCE (Institut de M�canique C�leste et de Calcul des Eph�m�rides) ont identifi� ce ph�nom�ne comme bolide. Voir http://www.reforme-meteor.net et le rapport de synth�se du GEIPAN.";"Observation de la rentr�e atmosph�rique d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2011-11-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-08-02791
2854;"SARE (64) 02.08.2011";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2011;08;02;"Le 2 ao�t 2011, alors qu'elle filme le paysage, une personne est interloqu�e de voir passer tr�s rapidement devant son objectif un ph�nom�ne qu'elle n'identifie pas. Aucun bruit n'est entendu. Elle remet ses clich�s photographiques � la gendarmerie.
La vid�o permet de voir nettement, lors des deux derni�res secondes, un insecte traversant le champ de vision.
Le ph�nom�ne tr�s fugitif qui appara�t � la 5eme seconde est tr�s probablement aussi un insecte jaune qui passe encore plus pr�s de l'objectif que celui de la fin du film.";"Observation lors d'une prise de vue vid�o d'un ph�nom�ne dans le ciel.";O;1;;;;;;;;2011-09-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-08-02792
2855;"LANGON (33) 02.08.2011";Gironde;33;"(D) D�partement";2011;08;02;"Le 2 aout 2011 vers 20h15 une automobiliste et son fils observent dans le ciel une lueur vive blanche immobile au-dessus des toits du centre ville de Langon. Poursuivant leur route, les t�moins perdent de vue le ph�nom�ne. Seul le t�moignage de l'automobiliste est rapport�.
Du fait de la g�om�trie de l'observation (observation � l'oppos� du soleil, peu avant son coucher),on peut envisager plusieurs sources compatibles avec les caract�ristiques de cette observation : un reflet du Soleil sur le fuselage d'un avion au loin, un reflet sur un ballon m�t�o l�ch� depuis Bordeaux M�rignac, un reflet sur un ballon d'enfant (ballon m�tallis�) l�ch� depuis Langon ou encore un reflet temporaire sur un satellite.
Dans tous les cas, il ne nous a pas �t� possible d'identifier avec certitude la source de cette possible m�prise.
Faiblement �trange et de consistance moyenne, ce cas ne peut �tre conclu en l'�tat, mais est tr�s probablement un reflet du soleil sur un objet volant banal.
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux immobile dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-08-02794
2856;"CANNET (LE) (06) 01.08.2011";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2011;08;01;"Le 1 ao�t 2011 vers 12h25 un automobiliste et sa passag�re ont leur attention attir�e par un objet lumineux dans le ciel. L'objet semble stationnaire puis dispara�t subitement. Le ph�nom�ne a �t� observ� durant 4 � 5 secondes.
Les cas d'observation de points lumineux temporaires en plein jour s'expliquent g�n�ralement par des flash des satellites Iridium ou par des avions � l'approche observ�s de face.
Dans notre cas, le Service de Navigation A�rienne indique un Falcon 900 � l'approche de l'a�roport de Cannes exactement o� l'a vu le t�moin et � l'heure dite. Il est possible que la lumi�re observ�e, outre le projecteur de l'avion, soit aussi un reflet du soleil sur l'avion. Lorsque l'avion a vir� pour prendre l'axe de la piste, le t�moin n'a plus �t� dans l'axe des projecteurs et la lumi�re a paru dispara�tre.
Lorsqu'un point lumineux dispara�t du ciel (cas des satellites qui passent dans l'ombre de la terre), les t�moins interpr�tent souvent sa disparition comme un d�part fulgurant.
Du fait de l'identification de l'avion origine du ph�nom�ne lumineux, ce cas est class� ""A"" : parfa�tement identifi�.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : a�ronef en approche de l'a�roport de Cannes.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-08-02799
2857;"TOULOUSE (31) 24.08.2011";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2011;08;24;"Le mercredi 24 ao�t 2011 aux environs de 3h32 un t�moin observe depuis son domicile le passage silencieux d'un engin volant. La forme triangulaire et l'�clairage sous l'engin surprenne le t�moin. Le ph�nom�ne sera rapidement cach� par le paysage urbain.
Apr�s v�rification aupr�s de l'aviation civile et du CNOA de l'absence de trace radar, le Geipan est all� interroger le t�moin sur cette observation. L'entretien a confirm� la cr�dibilit� du t�moignage, mais sans trouver ni preuve ni �l�ment nouveau.
Du fait de l'absence d'hypoth�se convaincante, le Geipan classe ce cas D1 : Ph�nom�ne non Identifi� mais de consistance faible : un seul t�moin, pas de trace enregistr�e.";"Observation du d�placement silencieux d'un engin volant.";O;1;;;;;;;;2011-12-01;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2011-08-02803
2859;"CUGNAUX (31) 04.08.2011";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2011;08;04;"Le 4 ao�t 2011 � 22h59 un t�moin observe le passage S-N dans le ciel d'un point lumineux. Il est intrigu� par les d�placements en zig-zag de l'objet et les variations d'intensit�. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. L'objet disparait du champ de vue du t�moin.
La description du t�moin : un point lumineux blanc traversant le ciel du Sud vers le Nord fait penser au passage d'un satellite : sur cette trajectoire, et � l'heure dite, on rel�ve le passage du satellite IGS1B, de magnitude 2 (comme l'�toile polaire). Sa luminosit� �volue au cours du passage, selon son exposition au soleil.
Bien s�r, vu du sol, un satellite avance strictement en ligne droite (ou l�g�rement courbe), ce qui ne correspond pas au t�moignage. Les zig zags d�crits par le t�moin peuvent venir d'une illusion d'optique, d'origine physiologique, appel�e illusion autocin�tique, qui se produit lorsque l'il suit un point lumineux sur un fond totalement noir. Voir page 26 et 30 du document : /typo3conf/ext/dam_frontend/pushfile.php?docID=9932
Ce cas est class� B : probable observation du passage d'un satellite avec illusion autocin�tique.";"Observation du passage d'un point lumineux dans le ciel et du d�placement particulier en zig-zag : observation du passage d'un satellite et illusion autocin�tique.";O;1;;;;;;;;2012-10-05;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-08-02805
2860;"TROUVILLE (76) 24.08.2011";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2011;08;24;"Deux personnes observent depuis chez eux et sur plusieurs dates des ph�nom�nes lumineux dans le ciel et le d�placement d'une masse sombre et d'un faisceaux lumineux �clairant le sol.
Aucun autre t�moignage concernant ces ph�nom�nes pour les dates indiqu�es n'a �t� recueilli.
Une partie des ph�nom�nes lumineux sont explicables par le passage d'avion et de satellites, et surtout par l'observation de l'�toile Arcturus affect�e ces jours l� par un fort scintillement, ce cas pourrait �tre class� totalement expliqu� (classe A).
Par contre la lumi�re blanche qui �clairait le sol avec un faisceau, ainsi que � l'objet � sombre et la lumi�re blanche et mauve dirig�e vers le t�moin restent pour l'instant inexpliqu�s, avec trop peu d'�l�ments concrets permettant de poursuivre l'enqu�te.";"Observation de ph�nom�nes lumineux dans le ciel et du passsage d'une masse sombre et d'un faisceau lumineux vers le sol.";O;1;;;;;;;;2012-07-20;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-08-02807
2862;"MARTIEL (12) 19.08.2011";Aveyron;12;"(D) D�partement";2011;08;19;"Le 19 aout 2011 lors d'une promenade en soir�e ( entre 22h45 et 23h), un t�moin est intrigu� par une ""tr�s grosse �toile"" : d'abord stationnaire , elle monte rapidement au z�nith avant de dispara�tre. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation qui a dur� environ 10 secondes.
Un point tr�s lumineux dans le ciel nocturne, en d�but de nuit, et qui dispara�t subitement, fait penser � un satellite qui rentre dans l'ombre de la terre. La station ISS �tait visible ce soir l�. Le manque de pr�cision du t�moignage ne permet pas de v�rifier pr�cis�ment que c'est bien l'ISS qui a �t� vue. La perception de la disparition au z�nith est probablement une illusion d'optique, fr�quente sur les disparitions subites de points lumineux.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" : manque d'information pour une enqu�te pr�cise.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux : d�placement rapide d'une ""�toile"". Manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2012-06-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-08-02809
2863;"AUTRECHE (37) 28.08.2011";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2011;08;28;"Le 28 aout 2011 vers 0h35 un automobiliste et sa femme constatent dans le ciel le d�placement NNO-E silencieux de points oranges. Les t�moins distingueront ensuite 7 triangles qui semblent �quilat�raux et qui poss�dent tous une forme arrondie � l'int�rieur de l'un des sommets. L'observation dure une minute environ avant que le ph�nom�ne ne disparaisse en diminuant rapidement plein Est.
La description du ph�nom�ne (objets en nombre, couleur, vitesse) correspond tout � fait � des lanternes tha�landaises. La date et l'heure (nuit de samedi � dimanche), la direction du vent d'Ouest renforce cette hypoth�se.";"Observation du d�placement silencieux de ph�nom�nes lumineux orang�s";O;1;;;;;;;;2011-09-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-08-02810
2864;"SEYNE-SUR-MER (LA) (83) 26.08.2011";Var;83;"(D) D�partement";2011;08;26;"Un t�moin constate sur des photographies la pr�sence de quatre lumi�res non remarqu�es lors de la prise de vue.
Les 4 points brillants dans le ciel sont des images parasites des lampadaires produites par des r�flexions internes dans l'objectif de l'appareil de photo. Preuve en est que les lignes joignant chacun des 4 premiers lampadaires en partant de la gauche aux 4 lumi�res dans le ciel en partant de la droite se coupent exactement en un m�me point.
Les autres lampadaires ne donnent pas lieu � image parasites car ils sont plus �loign�s du centre optique.";"Pr�sence de lumi�res sur photographie sans visuel direct lors de la prise de vue : r�flexions internes dans l'optique de l'appareil photographique.";O;1;;;;;;;;2012-06-29;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-08-02812
2866;"RAMBOUILLET (78) 10.08.2011";Yvelines;78;"(D) D�partement";2011;08;10;"Le 11 aout 2011 vers 23h un t�moin observe depuis chez lui, le lent d�placement rectiligne d'un point lumineux. Il filme le ph�nom�ne avant que celui-ci ne disparaisse derri�re des arbres. Ce t�moin avait d�j� constat� ce m�me ph�nom�ne au mois de juin 2011.
De faible �tranget� et de bonne consistance, ce cas d'observation ressemble en tous points � une m�prise avec un avion en phase d'atterrissage. L'�loignement relatif du lieu d'observation des principaux a�roports d'Ile de France, dont l'approche se fait tr�s probablement par l'Est ce soir-l�, nous emp�che toutefois une classification en A.
Ce cas est class� B.";"Observation du lent d�placement d'un point lumineux dans le ciel : probable observation d'un avion en phase d'atterrissage.";O;1;;;;;;;;2013-06-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-08-02818
2867;"[MER] LAT 42.67, LON 9.60 (2A) 20.08.2011";Corse-du-Sud;2A;"(D) D�partement";2011;08;20;"Apr�s une plong�e sous-marine � 10h du matin le 20 ao�t 2011 sur le site de ""Punta d'Arco"" dans la r�gion bastiaise, des t�moins sont surpris de constater durant cinq minutes dans le ciel un ph�nom�ne lumineux immobile qui dispara�t subitement puis r�apparait avec une forme diff�rente et accompagn� d'une petite lumi�re sur sa droite. Le ph�nom�ne dispara�t ensuite d�finitivement.
L'enqu�te a montr� que ce jour l�, il y avait un trafic a�rien intense sur la zone observ�e. Les t�moins, qui �taient face au soleil, ont vu probablement passer successivement plusieurs avions, lesquels n'auront �t� visibles que le temps qu'ils refl�tent le soleil, ou bien que leur phare d'atterrissage soit orient� vers les t�moins.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'avions.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux qui dispara�t puis r�apparait dans le ciel : probable observation d'a�ronef.";O;1;;;;;;;;2012-06-20;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-08-02820
2868;"LANDE-DE-FRONSAC (LA) (33) 03.08.2011";Gironde;33;"(D) D�partement";2011;08;03;"Un t�moin observe � deux reprises deux ph�nom�nes distincts dans le ciel bordelais. D'abord le soir du 3 Ao�t 2011 � partir de 21h puis dans la nuit du 6 au 7 Ao�t 2011 � 3h15 du matin.
La deuxi�me observation, qui correspond en tous points � une m�prise avec des lanternes tha�, ne sera pas trait�e dans le pr�sent compte rendu.
En ce qui concerne la premi�re observation, si le d�placement du PAN semble compatible avec le vent (sous r�serve d'interpr�tation correcte des positions et directions), son apparence n'�voque rien de particulier. Une montgolfi�re, aussi originale soit-elle, aurait du �tre reconnaissable, particuli�rement au coucher du Soleil et en l'absence de nuages.
Notre meilleure hypoth�se reste une possible observation d'un nuage lenticulaire, ph�nom�ne rare et donc surprenant par nature. Mais l� encore, le coucher du Soleil aurait du r�v�ler sa nature, sauf � consid�rer que l'horizon �tait bouch� de nuages.
D'�tranget� moyenne, mais de trop faible consistance en l'�tat, ce cas est provisoirement class� C en attente de nouveaux �l�ments.";"Observations du d�placement dans le ciel de plusieurs ph�nom�nes :manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-06-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-08-02835
2869;"MAREUIL-LE-PORT (51) 26.08.2011";Marne;51;"(D) D�partement";2011;08;26;"Le 26 aout 2011 vers 6h du matin un t�moin et son �pouse sont intrigu�s par le lent d�placement d'un ph�nom�ne lumineux en trajectoire descendante dans le ciel.
Les caract�ristiques de cette observation et sa dur�e de deux minutes �voquent la possibilit� d'une rentr�e atmosph�rique d'un satellite ou de d�bris spatiaux. Un tel ph�nom�ne aurait cependant du �tre observ� par un grand nombre de t�moins r�partis sur une large zone (Nord de la France, Belgique, Pays-Bas), or nous n'en trouvons nulle trace � cette date, ce qui sugg�re un ph�nom�ne tr�s local.
Le d�placement compatible avec le vent peut sugg�rer un groupe d'a�rostats, mais de forme, couleur et intensit�s lumineuses vari�es, ce qui ne facilite pas l'identification du type exact d'a�ronef passif. De plus, tous les objets observ�s ne semblent pas avoir la m�me vitesse, ni suivre la m�me trajectoire, en particulier le dernier point lumineux traversant le champ de vision du t�moin � une vitesse tr�s sup�rieure � tous les autres.
Enfin, l'hypoth�se d'un exercice a�rien civil ou militaire se d�roulant � la verticale de la BA112, � une quarantaine de kilom�tres au Nord Est du lieu d'observation (et donc � 20� de la direction d'observation) ne peut �tre exclue, mais il ne nous a pas �t� possible de la v�rifier.
Ce cas d'observation pr�sente une �tranget� certaine de prime abord, mais souffre d'un manque de pr�cision emp�chant toute conclusion ferme. Une enqu�te de terrain visant � mieux appr�cier les trajectoires et orientations permettrait d'en savoir plus.
Ce cas est provisoirement class� C, en attente d'informations compl�mentaires.";"Observations du d�placement de ph�nom�nes lumineux dans le ciel en trajectoire descendante : manque d'informations.";O;2;;;;;;;;2013-08-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-08-02839
2870;"MEES (LES) (04) 25.08.2011";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";2011;08;25;"Le 1er mars 2012 le GEIPAN re�oit par email un questionnaire terrestre (QT) de la part d'un t�moin d'une observation de plusieurs lumi�res le soir du jeudi 25 ao�t 2011, soit un peu plus de 5 mois apr�s les faits. Ces diff�rentes lumi�res ne formeront plus qu'un seul point lumineux fixe avant de disparaitre.
D'�tranget� moyenne et de bonne consistance, ce cas d'observation laisse deux hypoth�ses � la fois possibles, mais peu probables : a�romod�lisme et lanternes tha�. (voir compte-rendu d'enqu�te). Une investigation sur place permettrait �ventuellement de trouver d'autres t�moins du ph�nom�ne.
Ce cas est provisoirement class� C dans l'attente d'autres t�moignages simultan�s.";"Observation du d�placement de deux ou trois lumi�res de couleur orang� dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-08-08201
2872;"CHARDOGNE (55) 28.08.2011";Meuse;55;"(D) D�partement";2011;08;28;"Deux personnes regardent depuis chez eux, le paysage et les �clairs d'un orage sec. Ils sont intrigu�s par la pr�sence d'un objet cylindrique gris clair entre les nuages et les toits des maisons. L'objet stationnaire dispara�t subitement. L'observation aura dur� moins d'une minute.
Ce cas d'observation est peu document�, l'observation est courte, et d�clar�e tardivement.
Deux hypoth�ses peuvent �tre cependant envisag�es : un ballon cylindrique qui aurait �clat� subitement, ou un ph�nom�ne atmosph�rique complexe li� � l'orage (plasma). Le GEIPAN ne peut confirmer aucune de ces hypoth�ses.
Faute d'information, le GEIPAN classe cas ""C"", cas ne pr�sentant pas un grand caract�re �trange.";"T�moignage r�cent d'une observation ancienne dun objet cylindrique gris clair vu par temps orangeux : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2012-08-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-08-08266
2873;"SAINT-BRICE-COURCELLES (51) 10.09.2011";Marne;51;"(D) D�partement";2011;09;10;"Le samedi 10 d�cembre 2011 vers 23h45, plusieurs personnes aper�oivent le passage de lueurs dans le ciel qui les intriguent.
Le rapport des t�moins est totalement coh�rent avec l'observation de lanternes tha�landaises : objet volant dans le sens du vent, de couleur jaune orang�, avec le centre plus brillant. L'heure et le jour (pr�s de minuit, un samedi soir) sont habituels pour ce genre de manifestation.
L'identification de la personne qui a fait le l�cher de ces lanternes permettrait de classer ce cas ""A"". Mais sans cette information, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Probables observations du passage de lanternes thailandaises.";O;2;;;;;;;;2012-04-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-09-02817
2874;"CARCANS (33) 27.09.2011";Gironde;33;"(D) D�partement";2011;09;27;"Le 27 septembre 2011 � 22h10 un t�moin observe depuis sa terrasse un point lumineux fixe en direction de l'Est. Dix minutes plus tard, il est intrigu� par une lumi�re qui surgit � la c�me des arbres et s'�l�ve dans le ciel dans une trajectoire oblique et � une vitesse r�guli�re.
De faible �tranget� et de consistance moyenne voire faible, ce cas d'observation ne trouve pas d'explication certaine parmi les hypoth�ses usuelles, bien que certaines de ces hypoth�ses soient compatibles.
Ce cas est class� C par manque d'informations permettant de consolider les hypoth�ses envisag�es.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-09-02819
2875;"CESNY-BOIS-HALBOUT (14) 30.09.2011";Calvados;14;"(D) D�partement";2011;09;30;"Le 30 septembre 2011 vers 22h un t�moin observe un point lumineux immobile assez bas sur l'horizon. 45 minutes plus tard le t�moin voit le ph�nom�ne se mettre en mouvement et partir vers le Nord en traversant la moiti� du ciel en une minute environ.
La premi�re partie de l'observation, concernant un objet statique, pourrait �tre compatible avec l'�toile Arcturus dans la constellation du Bouvier.
La deuxi�me partie, o� le point lumineux clignotant blanc et rouge se met en mouvement vers le Nord et dispara�t en environ une minute, est plus difficile � expliquer. L'hypoth�se d'une m�prise astronomique �tant �cart�e, et la m�prise avec un avion de ligne �tant peu probable �tant donn� ses feux caract�ristiques, il reste la possibilit� d'un satellite non r�pertori� (militaire), que nous n'avons pas pu v�rifier.
De faible �tranget� et de bonne consistance, ce cas d'observation peut �tre class� B comme probable m�prise avec l'�toile Arcturus pour la premi�re partie, et C pour la deuxi�me observation.
Ce cas est globalement class� C par manque d'information et de recoupements.";"Observation de ph�nom�nes lumineux dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-09-02822
2877;"BOUSCAT (LE) (33) 17.09.2011";Gironde;33;"(D) D�partement";2011;09;17;"Le samedi 17 septembre 2011 vers 23h un t�moin depuis son balcon est intrigu� par le passage d'un un objet qu'il prend d'abord pour un avion en flamme se dirigeant vers l'a�roport de Bordeaux-M�rignac (du Sud vers le Nord), � une �l�vation d'environ 40�. L'observation dure environ 1 minute et 15 secondes.
Ce cas d'observation de lumi�res rouges se d�pla�ant en silence ressemble � plusieurs ph�nom�nes connus, mais certaines caract�ristiques de l'observation ne conviennent pas : une rentr�e atmosph�rique d'un satellite ou d�bris spatial ne cadre pas avec l'arr�t momentan� et le changement de trajectoire observ� ; les hypoth�ses astronomiques ou atmosph�riques ne semblent pas non plus convenir ; bien que les couleurs d�crites (rouge, orange, jaune) �voquent des flammes et que l'heure et le jour soient compatibles avec un �v�nement festif, l'hypoth�se d'une lanterne tha� (lanterne volante) convient mal : forme inadapt�e, changement de direction, changement d'aspect.
L'hypoth�se d'un a�rostat ou dirigeable motoris� et �clair� � vocation festive ou commerciale semble compatible avec l'observation et ne peut �tre totalement exclue �tant donn� que l'observation se d�roule un samedi soir. Nous n'avons cependant pas retrouv� la trace d'une telle manifestation.
Ce cas peu consistant (un seul t�moin), et moyennement �trange est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux orang� que le t�moin prend pour un avion en flamme : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-09-02829
2878;"PARIS (75) 24.09.2011";Paris;75;"(D) D�partement";2011;09;24;"Le 24 septembre 2011 � 3h35 un chauffeur de taxi parisien aper�oit depuis son v�hicule, le d�placement silencieux et horizontal d'un c�ne vert fluo ferm� d'une une ligne rouge. L'objet traverse son champ de vision et disparait rapidement. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
De bonne consistance et d'�tranget� faible voire moyenne, ce cas d'observation a les caract�ristiques d'un bolide (rentr�e dans l'atmosph�re de m�t�oro�de (m�t�orite)) : ph�nom�ne lumineux vert avec tra�n�e, se d�pla�ant lin�airement en quelques secondes.
Du fait de l'enregistrement probable du ph�nom�ne par une seule des cam�ras du r�seau BOAM (r�seau d'observateurs de m�t�ores), alors qu'on aurait d� en avoir au moins deux, une conclusion ferme et d�finitive n'est cependant pas rigoureusement possible.
Ce cas est class� B : observation probable de bolide (rentr�e dans l'atmosph�re de m�t�oro�de).";"Observation du d�placement horizontal d'un ph�nom�ne lumineux vert fluo et rouge : probable observation du passage d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2013-06-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-09-02830
2879;"FERRASSIERES (26) 28.09.2011";Dr�me;26;"(D) D�partement";2011;09;28;"Le 28 septembre 2011 vers 20h25 un automobiliste et sa passag�re observent rapidement la pr�sence plusieurs lumi�res dans le ciel.
Ce cas d'observation d'�tranget� moyenne, et de consistance moyenne (t�moignage pr�cis, deux t�moins non ind�pendants) ne permet de proposer que l'hypoth�se de ballons lumineux, mais cette hypoth�se n'a pu �tre �tay�e par d'autres informations compl�mentaires. (voir compte-rendu enqu�te).
Le GEIPAN classe ce cas C faute de recoupements.";"Observation de trois points lumineux dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-09-02842
2880;"CHANOUSSE (05) 13.09.2011";Hautes-Alpes;05;"(D) D�partement";2011;09;13;"Le 13 septembre 2011 � 23h15 la gendarmerie est contact�e par des personnes qui ont aper�u un objet volant non identifi�. La gendarmerie se transporte sur les lieux et les t�moins rapportent l'observation dans le ciel d'un objet ovo�de avec trois lumi�res diff�rentes tout d'abord immobile puis se d�pla�ant lentement vers le Nord.
Le t�moin lui-m�me a trouv� une explication en indiquant qu'il avait vu l'�toile Mira Ceti (constellation de la Baleine). Mais cette �toile s'av�re �tre visible � l'Est � cette heure l�, alors que le t�moin indique avoir observ� � l'Ouest, en direction de Rosans. De plus, le t�moin indique avoir vu l'�toile dispara�tre : une �toile visible � l'Est s'�l�ve dans le ciel au cours de la nuit. (Voir le document ""carte celeste Est"").
L'�toile observ�e �tait donc Arcturus, �toile tr�s brillante (Magnitude 0), qui se couche effectivement vers 23h30 � l'Ouest, en glissant vers le Nord. Comme toutes les �toiles brillantes, sa couleur vire vers l'orange lors du couchant, et elle scintille particuli�rement. (Voir le document ""carte celeste Ouest"").
Ce cas est class� A : identifi�.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux : observation astronomique d'Acturus.";O;1;;;;;;;;2012-01-03;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-09-02850
2881;"ARRAS (62) 25.09.2011";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2011;09;25;"Le 4 d�cembre 2011 le GEIPAN re�oit par email un Questionnaire Terrestre (QT) de la part d'un t�moin d'une observation d'une lumi�re orange en forme de soucoupe la nuit du samedi 24 au dimanche 25 septembre 2011. Le t�moin nous contactant pr�s de quatre mois apr�s les faits, le d�p�t du t�moignage aupr�s de la Gendarmerie n'�tait plus possible. L'observation a dur� entre 10 et 15 minutes, et s'est d�roul�e en pr�sence d'un autre t�moin dans un premier temps, puis de trois autres personnes qui ont pu voir la fin de l'observation alors que l'objet s'�loignait. Aucun des autres t�moins n'a cependant transmis de t�moignage au GEIPAN.
Bien que l'hypoth�se de lanterne tha� soit privil�gi�e, les indices habituels permettant de conforter cette hypoth�se ne sont pas assez forts : la direction du vent est impr�cise, et la description de l'�loignement laisse un doute sur son interpr�tation. L'h�licopt�re, d�collant probablement de l'hopital, n'a fait qu'attirer l'attention du t�moin vers le ciel.
Peu �trange, et peu consistant (un seul t�moin, t�moignage pas tr�s pr�cis), ce cas est class� � C � par manque d'informations, ou d'autres t�moignages.";"Observation dans le ciel du d�placement d'un objet large et plat de couleur orange pr�s d'un h�licopt�re : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-09-08156
2882;"JUVISY-SUR-ORGE (91) 03.09.2011";Essonne;91;"(D) D�partement";2011;09;03;"Le t�moin observe le 3 setembre 2011 vers 22h50, depuis son balcon qui offre une vue panoramique sur la Seine, une formation d'une douzaine de boules formant une pyramide. Cette formation se d�place silencieusement en trajectoire inverse des avions habituels descendant vers ORLY. Pendant que le t�moin saisit son cam�cope, une partie des objets dispara�t et il n'en reste que deux qui disparaissent rapidement en montant vers un gros nuage.
Ce cas d'observation est assez typique des observations de l�chers de lanternes tha�landaises. La couleur rouge de l'enveloppe, le d�placement en groupe, le d�placement ascensionnel et/ou au gr� du vent (l�ger vent d'est ce soir l�), la disparition (extinction) au bout de quelques minutes, le jour et l'heure (samedi en soir�e) de l'observation, sont autant d'indices en faveur de cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes Tha�";"Observation du d�placement silencieux d'une douzaine d'objets volant : probable lanternes thailandaises";O;1;;;;;;;;2012-08-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-09-08181
2883;"BAR-LE-DUC (55) 01.09.2011";Meuse;55;"(D) D�partement";2011;09;01;"Un t�moin rapporte son observation faite le 1er septembre 2011 � 22h35 : alors qu'il est sur sa terrasse il observe le passage Est-Ouest, rapide et silencieux de trois lumi�res jaun�tres. Ces lumi�res disparaissent derri�re un nuage. L'observation de ces points jaun�tres traversant le ciel dans le sens du vent (voir meteo Lorraine) est tout � fait conforme � l'observation de lanternes tha�landaises, lanc�es � l'Est de Bar le Duc (du c�t� du stade peut-�tre).
Le Geipan classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observation du passage rapide et silencieux de trois lumi�res jaun�tres dans le ciel : probable observation du d�placement de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-03-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-09-08198
2885;"CESSON-SEVIGNE (35) 03.09.2011";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2011;09;03;"Le samedi 3 septembre 2011 aux environs de 23h15 ou 23h30, un t�moin et son �pouse constatent dans le ciel au-dessus de l'horizon S-O le d�placement silencieux de plusieurs points lumineux orang�s. Durant l'observation d' environ 2 minutes, plusieurs autres points lumineux orang�s apparaitront avec les m�mes caract�ristiques de vol.
De faible �tranget� et de tr�s bonne consistance gr�ce � un questionnaire particuli�rement d�taill�, ce cas d'observation correspond tr�s vraisemblablement � une observation de plusieurs lanternes tha� en phase d'extinction. Le t�moin, inform� de cette hypoth�se, a visionn� des photos et vid�os de lanternes et a parfaitement reconnu cet objet.
Ce cas est class� A : observation de lanternes tha�.";"Observation du d�placement silencieux de plusieurs points lumineux orang�s dans le ciel : observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-03-29;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-09-08237
2886;"CARRIERES-SOUS-POISSY (78) 01.10.2011";Yvelines;78;"(D) D�partement";2011;10;01;"Le 1er Octobre 2011 vers 17h, quatre personnes install�es dans le jardin d'une maison � Carri�res-Sous- Poissy (78) sont effray�es par la vue d'un objet de forme ovale tombant du ciel rapidement.
De la forme d'une � g�lule �, l'objet se pr�sente � l'horizontale, oscille et tourne sur lui-m�me. Il est de couleur grise, d'aspect m�tallique.
Les t�moins ayant peur d'�tre �cras�s sortent du jardin et fuient en voiture. Ils alertent des passants qui ne voient rien, le ciel �tant alors cach� par des arbres. Les t�moins s'arr�tent pr�s d'un stade � quelques centaines de m�tres, regardent derri�re eux, mais ne distinguent plus rien. Une autre personne rencontr�e par le t�moin principal indiquera avoir vu l'engin partir en direction de Triel-Sur Seine (78) en direction du Nord-Nord Ouest. Les t�moins fort intrigu�s rentrent chez eux.
Etant donn� que l'objet se d�pla�e dans le sens du vent (voir compte rendu d'enqu�te), l'hypoth�se d'un ballon plus l�ger que l'air est privil�gi�e. La forme en tube est connue par quelques amateurs.
Le d�placement, tournoyant et selon le vent, est coh�rent avec cette hypoth�se. Le film plastique gris utilis� pour ces ballons donne un aspect m�tallique une fois gonfl� et expos� au soleil. La taille et la distance de l'objet n'a pu �tre estim�e pr�cis�ment par les t�moins qui n'avaient jamais vu ce genre d'objet. Cette taille � modeste � (de l'ordre de 3m) explique aussi pourquoi si peu de t�moins l'ont remarqu�.
Le GEIPAN classe ce cas � B � : observation probable d'un ballon thermique tubulaire.";"Observations par plusieurs personnes de la chute d'un objet gris de forme tubulaire : observation probable d'un ballon thermique tubulaire.";O;1;;;;;;;;2013-06-03;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-10-02823
2887;"BLOIS (41) 01.10.2011";Loir-et-Cher;41;"(D) D�partement";2011;10;01;"Le 1er octobre 2011 � 20h33 un t�moin observe durant 30 secondes le passage silencieux dans le ciel d'un objet circulaire lumineux.
La direction du d�placement observ�, orient�e de l'Est Sud Est vers l'Ouest Nord Ouest est compatible avec l'orientation du vent. Toutefois, la description du PAN, en forme de disque parfait de couleur brun�tre avec un cercle l�g�rement lumineux ou plus clair en son centre ne r�pond � aucun des a�rostats couramment observ�s (lanternes tha� ou ballons). Enfin la relative rapidit� du d�placement (observation de 30 secondes avant que le PAN ne soit occult� par les b�timents) nous incite � penser que l'objet se d�pla�ait plus vite que le vent (dans des conditions semblables, les observations de lanternes tha� durent au moins une minute).
D'�tranget� moyenne �tant donn� l'originalit� de l'objet observ�, et de consistance relativement bonne, ce cas d'observation est provisoirement class� C par manque de recoupements.
Ce type d'observation laisse peu de pistes � investiguer, une enqu�te sur place ne ram�nerait que peu d'informations.";"Observation du d�placement rapide d'un objet circulaire lumineux dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-10-02824
2888;"COUERON (44) 07.10.2011";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2011;10;07;"Le 7 octobre 2011 aux environs de 22h 15, un t�moin observe 15 secondes un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Un groupe de trois objets triangulaires lumineux blanc p�le, eux-m�me dispos�s en triangle se d�place N.E/S.O. Il est accompagn� d'un quatri�me objet, dissoci� du groupe, plus � l'ouest, se d�pla�ant � la m�me vitesse et dans la m�me direction. L'ensemble se d�pla�ait silencieusement sous les nuages pr�sents ce soir-l� et a fini par dispara�tre dans les nuages.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne.
La description que fait le t�moin de 4 points lumineux se d�pla�ant lentement en ligne droite fait penser � des lanternes tha�landaises.
Mais la forme triangulaire, le d�placement perpendiculaire au vent (d'apr�s les relev�s de Nantes et St Nazaire fournis par M�t�ociel) ne permettent pas de confirmer cette hypoth�se ; le t�moin ne reconna�t pas non plus ces lanternes. L'hypoth�se d'avions convient aussi assez mal : forme triangulaire des lumi�res, silence.
Devant ces �l�ments, le GEIPAN classe ce cas ""C"" : non identifiables par manque de donn�es.";"Observation du d�placement silencieux d'un groupe d'objets lumineux dans le ciel : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2012-07-25;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-10-02826
2889;"OS-MARSILLON (64) 17.10.2011";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2011;10;17;"Le soir du lundi 17 octobre 2011 vers 20h40, le t�moin se trouve devant la porte d'entr�e de son domicile lorsqu'il aper�oit un groupe de trois points lumineux blancs, d'une taille apparente �gale � cinq fois celle des �toiles, traverser le ciel du Sud vers l'Ouest. Les trois lumi�res progressent de mani�re group�e, en triangle, et semblent s'�carter les unes des autres avant de se regrouper et de dispara�tre � l'horizon Ouest. La vitesse de d�placement de l'ensemble �tait comparable � celle des �toiles filantes, l'observation a dur� moins de 5 secondes.
De bonne consistance et d'�tranget� faible voire moyenne, ce cas d'observation fait penser � deux ph�nom�nes assez fr�quents : des lanternes tha�, mais la dur�e d'observation est bien courte, (� moins que le t�moin ait mal �valu� la dur�e d'observation) ou une rentr�e atmosph�rique (bolide, chute de m�t�orite) plus conforme � la dur�e d'observation, mais la multiplicit� des objets est rare.
Faute d'une investigation plus pouss�e permettant de trancher entre les deux hypoth�se, ce cas est provisoirement class� C.";"Observation rapide du d�placement S-O de trois points lumineux blancs dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-10-02827
2891;"LORIOL-SUR-DROME (26) 26.10.2011";Dr�me;26;"(D) D�partement";2011;10;26;"Le 26 octobre 2011 vers 20h30 un t�moin observe dans le ciel (r�gion de la constellation du Verseau) une �toile extr�ment brillante. Le t�moin s'�tonne de constater que l'intensit� lumineuse diminue progressivement pour finir en un tout petit point dans le ciel.
L'observation fait penser � un avion vu de face, phare allum�, vu � une distance de plus de 10 km (qui rend les feux vert et rouge invisibles) et qui aurait chang� de direction (voir carte). Cette hypoth�se, non v�rifi�e, a �t� soumise au t�moin qui n'a pas r�pondu.
Ce cas est class� ""B"" par le GEIPAN : observation probable d'un avion de face, phare allum�.";"Observation d'un ph�nom�ne tr�s lumineux baissant progressivement d'intensit�: probable observation d'un avion.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-10-02836
2892;"BLANQUEFORT (33) 30.10.2011";Gironde;33;"(D) D�partement";2011;10;30;"Le 30 octobre 2011 entre 15h10 et 15h20 une personne rep�re dans le ciel un point lumineux qui scintille. L'objet semble stationnaire ou se d�pla�e tr�s lentement. Aucun bruit n'est entendu durant cette observation.
Les photos prises par le t�moin font penser � un ballon, semblable � ceux utilis�s par M�t�o-France qui proc�de quotidiennement sur le territoire m�tropolitain � plusieurs l�chers de ballons de radiosondage.
M�t�o-France lance tous les jours un ballon m�t�o depuis Bordeaux-M�rignac aux alentours de 12h UTC (14h civile ce jour l�).
Il est fort probable que le t�moin ait observ� un de ces ballons.
Ce cas est class� ""B"" Cause probable : ballon m�t�o";"Probable observation d'un ballon m�t�o.";O;1;;;;;;;;2012-02-01;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-10-02837
2893;"LAMNAY (72) 26.10.2011";Sarthe;72;"(D) D�partement";2011;10;26;"Le 26 octobre 2011 entre 21h30 et 23h un t�moin aper�oit au-dessus des arbres, � environ 200 m de distance de sa maison et dans le ciel d�gag�, plusieurs lumi�res de couleur bleu, rose et jaune dans un unique nuage �pais. Ces lumi�res s'allument puis s'�teignent. Elle r�veillera son ami qui verra �galement le ph�nom�ne mais retournera rapidement se coucher. Le t�moin observera le ph�nom�ne plusieurs fois durant plus d'une heure par diverses fen�tres de la maison. Aucun bruit particulier ne sera entendu. Finalement le t�moin effray� ira se coucher. Aucune photographie n'a �t� prise. Aucune trace au sol ne sera vue par le t�moin et son mari dans les jours suivants dans la zone d'observation. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Aucune des hypoth�ses envisag�es (a�ronefs, laser, ph�nom�ne d'ionisation de l'air) n'ont �t� jug�es assez convaincantes pour �tre retenues (voir le compte rendu d'enqu�te). Le GEIPAN classe donc ce cas � D1 � du fait de son �tranget�, et du fait de l'unicit� du t�moignage et de l'absence d'enregistrement ou de trace.";"Longue observation de ph�nom�nes lumineux de couleur dans un nuage �pais ; aucun bruit : ph�nom�ne non identifi� �trange.";O;;;;;;;;;2015-02-23;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2011-10-02840
2894;"[D465] DE BENESSE (40) VERS ANGRESSE (40)10.10.2011";Landes;40;"(D) D�partement";2011;10;10;"Le 10 octobre 2011 vers 6h20 un automobiliste aper�oit dans le ciel le d�placement d'une boule orang�e. Le t�moin photographie le ph�nom�ne lumineux qui suit alternativement une trajectoire montante puis descendante. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Le t�moin, apr�s avoir re�u une information au sujet des lanternes thailandaises (vid�os, photos, articles) accr�dite la probabilit� de cette hypoth�se. M�me si l'heure matinale est inhabituelle dans ce genre d'observation, cette probabilit� est �galement retenue par le GEIPAN. Les conditions m�t�o (vent tr�s faible, instable) sont compatibles avec l'observation.
Ce cas est class� ""B"" observation probable du passage d'une lanterne tha�landaise.";"Observation par un automobiliste du d�placement d'une boule orang�e dans le ciel : probable lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2013-04-25;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-10-02841
2895;"SAINT-JEAN-D'ANGELY (17) 21.10.2011";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2011;10;21;"Le 21 octobre 2011 � 21h05 un automobiliste sur L'A 10 est intrigu� par le passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel puis par la pr�sence de ronds lumineux et un nuage de poussi�re dans un champ.
Apr�s l'observation fortuite d'un bolide (chute de m�t�orite) tout en conduisant sa voiture, le t�moin observe pr�s de la route, au-dessus d'un champ des lumi�res blanches et des lumi�res clignotantes ainsi qu'un nuage de poussi�re.
La description fait nettement penser � une moissoneuse-batteuse, probablement sur du ma�s. Les engins agricoles sont obligatoirement �quip�s d'un gyrophare orange, lequel a pu �tre laiss� en fonctionnement bien que l'engin ne soit pas sur la route.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'une moissonneuse batteuse (voir exemples de moissonneuses vues de nuit en photos).";"Observation d'une rentr�e atmosph�rique puis de lumi�res dans un champ : probable observation d'une moissonneuse.";O;1;;;;;;;;2012-04-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-10-02843
2896;"VAL-DE-REUIL (27) 23.10.2011";Eure;27;"(D) D�partement";2011;10;23;"Le 23 octobre 2011 aux alentours de 4h45 une automobiliste et son passager sont intrigu�s par la pr�sence dans le ciel � basse altitude d'un ph�nom�ne lumineux de couleurs vari�es (bleu, rouge) et vu avec des formes particuli�res. Ce ph�nom�ne reste statique et aucun bruit n'est entendu durant l'observation qui dure 3/4 d'heure. Ensuite le t�moin d�cide de poursuivre sa route. Un seul t�moignage sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
L'�tranget� du ph�nom�ne observ�, statique pendant plus de 30 minutes, est faible, c'est la description du t�moin (triangles, fils lumineux ) qui le rend �trange.
La consistance du cas est faible puisque malheureusement un seul t�moin a bien voulu nous contacter. Du fait que le t�moin reconna�t d'abord une �toile, puis y voit des d�tails apr�s l'avoir observ� attentivement, le GEIPAN privil�gie cette hypoth�se d'�toile : Sirius basse sur l'horizon, est un bon candidat ; elle est souvent l'objet de m�prise de ce type dans ces conditions d'observation qui induisent une forte scintillation (couleurs multiples changeantes).
On note toutefois un �cart notable de position entre Sirius et la direction d'observation relev�e par l'enqu�teur a posteriori, mais 18 mois apr�s. Ce cas est class� B : probable observation astronomique de Sirius.";"Longue observation d'un ph�nom�ne lumineux de couleurs, statique et silencieux dans le ciel : probable observation astronomique de Sirius.";O;1;;;;;;;;2013-11-28;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-10-02845
2897;"MAIZIERES-LES-METZ (57) 01.10.2011";Moselle;57;"(D) D�partement";2011;10;01;"Le 01 octobre 2011 vers 22h30 des t�moins observent le d�placement silencieux dans le ciel de plusieurs boules lumineuses jaune-orang�e. Un des t�moin prend une vid�o depuis son t�l�phone portable.
Apr�s analyse de la vid�o, il s'av�re que les points lumineux se d�placent l�g�rement les uns par rapport aux autres. La m�t�o du jour indique un vent tr�s l�ger dont la direction change d'heure en heure : il n'est pas possible de v�rifier si le d�placement est coh�rent avec le vent.
L'aspect g�n�ral de la vid�o, le compte rendu des t�moins, l'heure et la date (samedi soir) font privil�gier l'hypoth�se de lanternes tha�landaises. Il n'a pas �t� fait de recherche du lieu possible de lancement : il y a trop de possibilit�s en zone p�ri-urbaine.
Ce cas est donc class� ""B"" : probable passage de lanternes tha�landaises.";"Observations d'un probable passage de lanternes thailandaises.";O;2;;;;;;;;2012-01-31;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-10-02846
2898;"BOIS-GUILLAUME (76) 22.10.2011";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2011;10;22;"Le 22 octobre 2011 entre 21h20 et 21h30, un t�moin depuis son domicile observe le lent passage silencieux � basse altitude d'une lueur orang� qu'il compare � un �clairage de voierie. Une seconde lueur arrive quelques secondes apr�s. Les ph�nom�nes disparaissent dans les nuages. Le t�moin r�fute la possibilit� de lanternes thailandaises car il en a d�j� vu de pr�s. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
La description que fait le t�moin est tout � fait coh�rente avec l'hypoth�se de deux lanternes tha�landaises : couleur orange, d�placement dans le sens du vent ( 20 � 30 km/h SE ->NO), pas de bruit, nuit du samedi soir. Cependant, le t�moin, qui dit avoir d�j� vu des lanternes de loin, r�fute cette hypoth�se.
Le GEIPAN n'ayant pas d'autres �l�ments d'enqu�te classe le cas ""C"" (manque de donn�es pour conclure), tout en privil�geant nettement l'hypoth�se de lanternes volantes.";"Observation de passsages successifs de lueurs orang�es � basse altitude. D�placements lents et silencieux : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-10-02853
2899;"RENTREE ATMOSPHERIQUE (975) 21.10.2011";Yvelines;78;"(D) D�partement";2011;10;21;"De tr�s nombreuses personnes font �tat d'une observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel le 21 octobre 2011 vers 20h. Les t�moins sont situ�s dans diff�rents d�partements de France.
Les descriptions correspondent tout � fait � un bolide : forte lumi�re avec train�e verte, trajectoire rectiligne, dur�e de quelques secondes.
On appelle bolide le ph�nom�ne produit par la rentr�e dans la haute l'atmosph�re d'une � grosse � m�t�orite (de plus de 100 grammes, c'est-�-dire de quelques centim�tres � 1m).
Du fait que cette observation a aussi �t� enregistr�e sur le r�seau REFORME (observateurs de m�t�ores) au m�me instant (� deux minutes pr�s) et par plusieurs observateurs dans le nord de la France, la r�alit� du ph�nom�ne ne fait pas de doute. REFORME note la magnitude � -6, ce qui en fait un objet moyen.
Il peut aussi s'agir d'une rentr�e atmosph�rique de d�bris spatial non r�pertori�.
Ce cas est class� ""B"" : probable rentr�e de m�t�orite ou d�bris spatial.";"Observation sur toute la France du passage d'un ph�nom�ne lumineux :probable rentr�e atmosph�rique d'une m�t�orite ou d'un d�bris spatial.";O;2;;;;;;;;2013-02-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-10-02854
2900;"FLEURY-MEROGIS (91) 20.10.2011";Essonne;91;"(D) D�partement";2011;10;20;"Le 20 octobre 2011 vers 21h10 un astronome amateur observe le lent d�placement Ouest-Est d'un point lumineux.
De faible �tranget� et de bonne consistance, ce cas d'observation relate un point lumineux particuli�rement brillant, se d�pla�ant d'Ouest en Est qui s'�l�ve vers la vo�te c�leste et dispara�t en quelques secondes. Ceci correspond tout � fait � l'aspect de l'ISS disparaissant dans l'ombre terrestre. On note un l�ger d�calage entre l'heure de disparition (21h03) fournie par le simulateur et l'heure d'observation (21h10) et de l'�l�vation maximale inf�rieure au relev� du t�moin (50� contre 60/70�) : les bulletins d'orbite de l'ISS �voluent notablement d'un jour � l'autre � cette p�riode l�, probablement � cause de manuvres ; il est tr�s difficile d'avoir un bulletin d'orbite tr�s pr�cis dans ces situations.
Ce cas est class� B : observation probable de la station spatiale internationale ISS.";"Observation du lent d�placement O-E d'un point lumineux blanc dans le ciel et disparition subite : probable observation du passage de l'ISS disparaissant dans l'ombre de la terre.";O;1;;;;;;;;2013-06-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-10-08238
2901;"JOUARS-PONTCHARTRAIN (78) 26.10.2011";Yvelines;78;"(D) D�partement";2011;10;26;"Sur la RN12 entre Jouars-Ponchartrain (78) et Garches (92), le 26 octobre 2011 vers 19h un automobiliste et son fils sont intrigu�s par la pr�sence dans le ciel de points lumineux immobiles ou en mouvement. Un engin triangulaire est ensuite aper�u.
Il nous semble que le point de d�part de l'observation (points lumineux fixes et align�s alors que le t�moin circule vers l'Est sur la RN12) peut facilement s'expliquer par une m�prise avec des avions due � l'importante circulation a�rienne en Ile de France.
La suite est revanche plus compliqu�e, d'autant que la description reste vague : un � engin triangulaire clignotant rouge et blanc �, puis un point lumineux avec des � clignotements verticaux uniquement blancs � traversant une portion de ciel 80� en deux secondes n'�voquent aucune explication usuelle et constituent les seuls �l�ments v�ritablement �tranges de ce cas d'observation pour lequel nous aurions appr�ci� plus de d�tails. Nous n'avons par ailleurs re�u aucun autre t�moignage semblable pour ce 26 octobre 2011 en r�gion parisienne.
D'�tranget� faible � moyenne, ce cas d'observation est trop peu consistant pour �tre fermement conclu.
Ce cas est class� C faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Observations de plusieurs points lumineux dans le ciel fixes ou en mouvement : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-10-08627
2903;"VILLE-DU-BOIS (LA) (91) 06.11.2011";Essonne;91;"(D) D�partement";2011;11;06;"Le 6 novembre 2011 vers 13h un t�moin remarque dans le ciel la pr�sence d'une boule qu'il d�crit de la taille d'une t�te d'�pingle de couleur orange mais terne. Elle semble stationnaire � une haute altitude mais qui reste difficile � �valuer. Le t�moin porte un instant son regard ailleurs et ne retrouvera plus l'objet dans le ciel. L'observation aura dur� 10 secondes. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'hypoth�se d'un ballon de baudruche orange volant � environ 500m semble expliquer cette observation. Son apparente immobilit� peut s'expliquer d'une part par le fait que, m�me si le ballon va � la vitesse du vent au sol (30km/h), cela fait � 500 m une vitesse apparente de d�placement angulaire de l'ordre de 1�/s, vitesse difficilement appr�ciable par l'il humain sur un fond de ciel uniforme pr�s du z�nith, d'autre part le vent � 500m n'est pas toujours le m�me qu'au sol.
Comme les ballons de baudruche gonfl�s � l'h�lium explosent g�n�ralement assez vite lors de leur mont�e en altitude, la disparition subite de ce ballon est bien normale.
Ce cas est donc class� ""B"" : probable ballon.";"Observation d'une boule de la taille d'une t�te d'�pingle orange dans le ciel : probable observation d'un ballon.";O;1;;;;;;;;2013-11-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-11-02838
2904;"NOYAREY (38) 19.11.2011";Is�re;38;"(D) D�partement";2011;11;19;"Un t�moin rapporte son observation faite le 19 novembre 2011 � 22h08 au-dessus de son habitation. Plusieurs points lumineux de couleur jaune-orang� se d�placent selon une trajectoire rectiligne SE-NO. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. Les points ont disparu en prenant de la hauteur et � tr�s grande vitesse.
La description faite par le t�moin fait imm�diatement penser � des lanternes tha�landaises. La direction du vent indiqu�e par la m�t�o (SE->NO) est conforme � l'observation. L'heure et le jour (un samedi soir) sont aussi les indices habituels des l�chers de lanternes. Il n' a pas �t� fait de recherche du point possible de l�cher (mariage, f�te )";"Probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-01-05;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-11-02847
2905;"HAVRE (LE) (76) 26.11.2011";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2011;11;26;"Le 26 novembre 2011 � 4h53 un t�moin observe le passage d'un point lumineux avec une train�e verte.
La description que fait le t�moin correspond tout � fait � un bolide : forte lumi�re avec train�e verte, trajectoire rectiligne, dur�e de quelques secondes.
On appelle bolide le ph�nom�ne produit par la rentr�e dans la haute l'atmosph�re d'une � grosse � m�t�orite (de plus de 100 grammes, c'est-�-dire de quelques centim�tres � 1m).
Du fait que cette observation a aussi �t� enregistr� sur le r�seau REFORME (observateurs de m�t�ores) au m�me instant (� une minute pr�s) par plusieurs observateurs, l'origine m�t�oritique du ph�nom�ne ne fait pas de doute. REFORME note la magnitude � -10, ce qui en fait un objet exceptionnel.
Pour voir la vid�o sur internet : (bolide du 26 novembre 2011).";"Observation d'une rentr�e atmosph�rique d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2012-01-03;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-11-02852
2906;"SAINT-GATIEN-DES-BOIS (14) 27.11.2011";Calvados;14;"(D) D�partement";2011;11;27;"Le 27 novembre 2011 � 18h50, une automobiliste et ses enfants sont intrigu�s par la pr�sence d'un ph�nom�ne lumineux stationnaire au-dessus de l'�glise du village de Saint-Gatien-des-Bois (Calvados en r�gion Basse-Normandie). Un cinqui�me t�moin apportera �galement son t�moignage ult�rieurement.
Les 4 t�moins de la m�me famille ont observ� et d�crivent le m�me PAN et les t�moignages concordent. Leur t�moignage est renforc� par un cinqui�me t�moin, un jeune gar�on de 10 ans qui a �galement observ� le PAN, ce qui fait de ce cas un cas tr�s consistant. La r�alit� du ph�nom�ne ne fait aucun doute. On note toutefois que l'observation a �t� courte pour T1 � T4 (de l'ordre de 2 minutes), voire tr�s courte pour T5 (quelques secondes).
L'�tranget� du cas est plus difficile � qualifier : en effet, la mat�rialit� du ph�nom�ne n'est pas confirm�e : les premi�res d�clarations des t�moins d�crivent un objet portant des phares, mais � la reflexion, les t�moins ne sont plus certains d'avoir vraiment vu l'objet, mais seulement les phares. Or, si ce ph�nom�ne est seulement lumineux, il n'est pas tr�s �trange ; s'il est mat�riel, il le devient vraiment.
Comme inexpliqu� malgr� une enqu�te pouss�e, le GEIPAN classe ce cas D. Comme cas consistant mais moyennement �trange, car probablement pas mat�riel, ce cas est class� D1.";"Observations par plusieurs t�moins d'un ph�nom�ne stationnaire dans le ciel, fortement lumineux et blanc. Aucun bruit entendu.";O;1;;;;;;;;2013-03-29;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2011-11-02855
2907;"[D33] DE COSNE SUR LOIRE (58) VERS SAINT-PERE (58) 09.11.2011";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2011;11;09;"Le mercredi 9 novembre 2011 � 21h05 plusieurs personnes en voiture sont intrigu�es par une vision rapide d'un ph�nom�ne bleu (d�crit comme un flash, un �clair, un demi cercle). Arrivant � son domicile et sortant du v�hicule un des passager observe de nouveau entre 5 � 7 secondes un ph�nom�ne particulier dans le ciel : le t�moin d�crit une grande roue immobile de couleur orange et d'un diam�tre important. Celle-ci disparait instantan�ment. Aucun des autres t�moins n'a vu ce deuxi�me ph�nom�ne � ce moment l�.
L'hypoth�se de Sky Tracker allum� temporairement (peut-�tre accidentellement : l'observation n'a dur� que 5 � 10 secondes), et rendu particuli�rement spectaculaire � cause du brouillard, para�t plausible ; mais cette hypoth�se n'a pu �tre confirm�e par le responsable de la discoth�que, et a �t� totalement r�fut�e par le t�moin.
Devant ces contradictions, et devant la bri�vet� de l'observation, le GEIPAN classe ce cas � C � : manque d'informations fiables.";"Observation d'une sorte d'arc en ciel de couleur bleue puis d'une grande roue de couleur orange d'un diam�tre important, disparition instantann�e : manque d'informations.";O;2;;;;;;;;2017-12-18;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-11-02856
2908;"OUROUER-LES-BOURDELINS (18) 20.11.2011";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2011;11;20;"Le 20 novembre 2011 � 15h20 un t�moin constate dans le ciel d�gag� le d�placement rapide d'un objet sph�rique de couleur blanche qui semble ""foncer sur un avion de ligne"". Le t�moin observe l'objet jusqu'� sa disparition � l'horizon 2 � 3 minutes plus tard. Aucun autre t�moignage ne sera rapport�.
Les traces radars demand�es au contr�le a�rien ne mentionnent, entre autres, que les avions de ligne signal�s par le t�moin. Nous avons recherch� si le t�moin avait pu observer un flash de satellite Iridium de forte intensit�, qui est parfois observable de jour. Mais aucun ph�nom�ne de ce type ne s'est produit cet apr�s-midi du 20 novembre 2011 � Ourouer-les-Bourdelins.
Aucune autre hypoth�se habituellement source de m�prise ne nous para�t correspondre � l'observation.
De faible �tranget� et de faible consistance en raison de l'absence d'indications concernant la trajectoire suivie par le PAN, ce cas d'observation ne peut �tre conclu autrement qu'en ""C"" faute de t�moignages ind�pendants et de recoupements.";"Observation du d�placement rapide d'un objet sph�rique et blanc dans le ciel d�gag� : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-11-02857
2909;"MONTGRAS (31) 20.11.2011";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2011;11;20;"Dans la nuit du dimanche 20 novembre 2011vers 4h du matin, un jeune scout dans une salle municipale est intrigu� par un point lumineux de plusieurs couleurs qu'il observe � travers une fen�tre. Il constate que le point se d�place lentement puis s'arr�te. Aucun bruit particulier n'est per�u par l'enfant durant son observation d'un vingtaine de minutes.
Un enqu�teur a �t� mandat� pour aller v�rifier sur les lieux les directions de vis�e correspondant � l'observation. La direction constat�e correspond avec la position de la tr�s brillante �toile Sirius. Le t�moignage ne correspond toutefois pas exactement � l'aspect d'une �toile fixe. Mais �tant donn� le contexte de la sc�ne (Enfant de 9 ans, au milieu de son sommeil, dans un lieu inconnu), cette relative incoh�rence n'est pas �tonnante.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de Sirius.";"Observation du lent d�placement d'un point lumineux de plusieurs couleurs dans le ciel : m�prise astronomique avec Sirius";O;1;;;;;;;;2013-03-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-11-08157
2910;"SAINT-BRIEUC (22) 26.11.2011";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2011;11;26;"Le 26 novembre 2011 � 21h05 un t�moin observe durant cinq minutes le d�placement silencieux de quatre boules lumineuses.
Le t�moignage correspond aux caract�ristiques des lanternes tha�landaises : points lumineux en groupe, �voluant dans le sens du vent (de Sud ouest), et durant quelques minutes. L'heure et le jour (samedi soir) sont assez communs pour ce genre d'�v�nements festifs. On notera toutefois que le t�moin indique des lumi�res blanches : m�me les lanternes blanches �mettent plutot une lumi�re jaune-orang�.br> Ce cas est class� ""B"" : probables lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement horizontal de quatre boules blanches : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-01-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-11-08161
2911;"FLORANGE (57) 12.11.2011";Moselle;57;"(D) D�partement";2011;11;12;"Le t�moin observe, en banlieue sud de Thionville, une boule lumineuse orange volant � basse altitude du Nord vers le Sud.
La description et le d�placement selon le vent (voir relev� m�t�o) sont en tous points conformes � l'aspect d'une lanterne tha�landaise.
Le GEIPAN classe ""B"" ce cas : probable lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement d'une boule lumineuse orang�e: probable passage de lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2012-01-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-11-08164
2913;"FROISSY (60) 10.12.2011";Oise;60;"(D) D�partement";2011;12;10;"Le 10 d�cembre 2011 � 16h10 un automobiliste sur l'A16 en provenance de Paris et � hauteur de Froissy constate la pr�sence dans le ciel orageux de ""nombreux feux tr�s puissants au-dessus de l'horizon"". L'ensemble de ces feux semble provenir d'une forme triangulaire montant rapidement dans les nuages noirs avant de r�apparaitre puis de disparaitre rapidement plein Nord. Selon le t�moin, plusieurs autres v�hicules ont ralenti lors de l'observation. Le GEIPAN n'a cependant re�u aucun autre t�moignage.
D'�tranget� moyenne, de consistance faible en l'�tat (un seul t�moin, lieu d'observation et directions de vis�e incertains), les hypoth�ses consid�r�es (rentr�e de d�bris spatial, lanternes tha�) ne sont pas assez coh�rentes avec le rapport d'observation pour qu'elles puissent �tre retenues. Dans l'attente d'autres t�moignages �ventuels, ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation de la pr�sence dans le ciel de feux puissants semblant provenir d'une forme triangulaire : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-12-08158
2914;"MAZAN (84) 25.12.2011";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2011;12;25;"Le t�moin observe pendant une ou 2 minutes un point lumineux orange se d�pla�ant de l'Est vers le Nord � environ 45� d'�l�vation (voir simulation sur carte du ciel, d'apr�s le r�cit du t�moin) � vitesse r�guli�re, et dispara�t brusquement.
Un proc�s verbal de gendarmerie nous sera retransmis en mars 2012.
Les caract�ristiques d�crites sont compatibles avec celles d'une lanterne tha�landaise ; la m�t�o du jour indique un vent l�ger instable, de direction Sud vers Nord � 20h et 22h (mais du N ->S � 21h !) qui peut expliquer le d�placement dans ce sens, mais sans certitude.
Etant donn� la p�riode des f�tes, un l�cher de lanterne ce soir l� ne surprend pas. C'est cette hypoth�se que le GEIPAN retient : ce cas est class� ""B"" : probable lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux orang� : probable lanterne thailandaise.";O;2;;;;;;;;2012-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-12-08162
2915;"CLAMART (92) 26.12.2011";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2011;12;26;"Le t�moin observe, en banlieue Sud-Sud-est de Paris, une boule lumineuse orange volant � basse altitude vers Paris.
La description et le d�placement selon le vent de Sud (voir relev� m�t�o) sont en tous points conformes � l'aspect d'une lanterne tha�landaise. Cette p�riode des f�tes est propice au l�cher de ces lanternes.
Le GEIPAN classe ""B"" ce cas : probable lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement d'une boule lumineuse orang�e : probable lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2012-01-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-12-08163
2917;"PARIS (75) 02.12.2011";Paris;75;"(D) D�partement";2011;12;02;"Le 02 d�cembre 2011 entre 21h15 et 21h30 un t�moin � sa fen�tre observe le passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel parisien. Un point lumineux se d�place rapidement sur une trajectoire rectiligne. Apr�s 5 � 6 secondes ce point s'enflamme et le t�moin voit apparaitre un objet de forme ovoide et de couleur orang�. Aucune train�e ou halo ne sont remarqu�s. L'objet se met alors � tourner, stationne puis zigzague au bout de trois tours pour repartir � vitesse lente. Il est malheureusement cach� par un immeuble. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu. L'observation a dur� 20 secondes environ. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Cette observation commence comme une banale rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de (bolide), mais se termine de fa�on tout � fait insolite en spirale, selon un scenario tout � fait impossible pour un corps c�leste.
A cette heure-ci, en cette saison, tr�s peu de satellites sont visibles ; la premi�re partie de l'observation pourrait correspondre � observation d'un satellite qui r�fl�chit directement le lumi�re du soleil temporairement (flare) mais la fin de l'observation ne correspond pas du tout � cette hypoth�se.
On peut aussi envisager que ce soit deux ph�nom�nes ind�pendants, mais l� encore, les objets lumineux se d�pla�ant en spirale sont rarissimes, surtout � cette vitesse.
Etant donn�e l'unicit� du t�moin en zone tr�s urbanis�e, la consistance de ce cas est insuffisante pour caract�riser un ph�nom�ne aussi insolite.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque de recoupements.";"Observation des �volutions silencieuses dans le ciel d�gag� d'un ph�nom�ne lumineux de forme ovoide et de couleur orang� : manque de recoupements.";O;;;;;;;;;2016-09-09;;;0.70;0.00;;;0.60;;0.80;;0.48;0.00;C;C;2011-12-08170
2918;"DIAMANT (LE) (972) 10.12.2011";Martinique;972;"(D) D�partement";2011;12;10;"Un t�moin rapporte ses observations faites le 10 d�cembre 2011 vers 20h30 depuis son domicile.(voir le compte rendu d'enqu�te).
Ce ph�nom�ne est finalement peu �trange du fait de la vitesse et du d�placement assez commun de ces points lumineux.
L'hypoth�se d'a�ronefs militaires �trangers ayant survol� la zone sans contact et sans r�pondeur radar reste la plus plausible, mais sans que le GEIPAN puisse l'�tayer faute d'informations radar.
Ce cas reste donc pour l'instant class� � C � par manque d'�l�ments de preuve.";"Observation du d�placement de deux lumi�res jaunes avec changement de direction : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-03-26;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-12-08176
2919;"RIVIERE-SALEE (972) 25.12.2011";Martinique;972;"(D) D�partement";2011;12;25;"Un automobiliste et sa passag�re constatent le 25 d�cembre 2011 entre 18h35 et 18h40 la pr�sence dans ciel d'une lumi�re vive stationnaire effectuant des mouvements de balancier. Pensant tout d'abord � un feu d'artifice le t�moin continue sa route puis s'arr�te pour prendre des photographies. Arriv� � son domicile il constate alors la pr�sence de 3 masses lumineuses de couleur se suivant en file indienne tout en prenant de l'altitude. Les objets disparaissent tr�s rapidement. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation de plusieurs minutes.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne par la gendarmerie.
L'hypoth�se des lanternes tha� reste la plus probable, elle est compatible avec le vent et les photographies et fort plausible pour la date de l'observation. Il faut toutefois remarquer que le d�placement irr�gulier des lanternes pose question : il faudrait admettre l'hypoth�se de courants ascendants sur le parcours.
Ce cas est class� � B � observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement de ph�nom�nes lumineux orang�s : probables lanternes thai.";O;1;;;;;;;;2012-06-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-12-08177
2920;"PARIS (75) 20.12.2011";Paris;75;"(D) D�partement";2011;12;20;"Le 20 d�cembre 2011 vers 22h05 un t�moin observe dans le ciel le d�placement rectiligne et silencieux d'un objet rouge, comportant des lumi�res en son centre.
Ce t�moignage indique les caract�ristiques des lanternes tha� : boules rouge-orang� se d�pla�ant selon le vent (vent d'ouest, voir relev� m�t�o). La p�riode des f�tes de fin d'ann�e a pu �tre la raison de ce modeste l�cher de lanterne. Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement rectiligne et silencieux d'un objet rouge comportant deux ou trois lumi�res jaunes en son centre : probable observation du passage de lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2012-10-15;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-12-08335
2923;"CLAYES-SOUS-BOIS (LES) (78) 02.01.2012";Yvelines;78;"(D) D�partement";2012;01;02;"Le 2 janvier 2012 un t�moin observe � partir de 16h30 un objet triangulaire, muni de lumi�res rouges et jaunes scintillantes. L'objet semble tourner sur lui-m�me par moment et reste stationnaire. Le t�moin alerte le service de navigation a�rienne � Chavenay qui constate �galement le ph�nom�ne. L'observation durera trois heures. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Le GEIPAN a appel� ce service � Chavenay, le correspondant a indiqu� qu'il avait bien vu un point lumineux tr�s brillant. Apr�s une analyse rapide, cette observation pourrait n'�tre que la plan�te V�nus, et ne pas �tre l'objet signal� par le t�moin. On note aussi ce soir l� la plan�te Jupiter pr�s de la Lune (voir carte astro ci jointe). Comme V�nus est assez basse sur l'horizon, la scintillation en fait beaucoup varier les couleurs.
Le t�moin, recontact�, a pr�cis� qu'il avait bien identifi� V�nus, que cet objet lumineux �tait proche de la direction de V�nus, mais fixe durant 2 heures, sans toutefois en indiquer pr�cis�ment la direction ni la hauteur apparente sur l'horizon. La direction d'observation correspond au Ch�teau de Plaisir (Les Saussaies) : un ballon captif lumineux aurait pu donner la m�me impression visuelle. Le GEIPAN n' a pas pu v�rifer cette hypoth�se.
Etant donn� l'impr�cision du t�moignage concernant la direction d'observation, et la faible �tranget� du cas (objet fixe pendant 2 heures), l'absence de photos malgr� la longueur de l'observation, l'absence d'autres t�moignages, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'informations.";"Observation d'un objet triangulaire stationnaire mais semblant tourner sur lui-m�me avec des lumi�res rouges et jaunes : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-01-08168
2924;"DOUNOUX (88) 01.01.2012";Vosges;88;"(D) D�partement";2012;01;01;"Le premier janvier 2012 � 1h35 du matin, deux t�moins dans une voiture observent dans le ciel le d�placement O-E et silencieux d'un engin qu'ils n'identifient pas. Les t�moins ne sont pas d'accord sur la forme mais constatent une lueur jaune orange enveloppant l'objet. Les t�moins perdent de vue l'objet cach� par la for�t.
La description et le d�placement selon le vent (voir relev� m�t�o) sont conformes � l'aspect d'une lanterne tha�landaise. On note toutefois qu'un des t�moins d�crit une forme triangulaire, et l'autre une forme circulaire.
Il y a eu de tr�s nombreux l�chers de lanternes lors de cette nuit du 1er janvier 2012.
Le GEIPAN classe ""B"" ce cas : probable observation du d�placement d'une lanterne tha�landaise.";"Observations du d�placement d'un objet envelopp� d'une lueur jaune orange.";O;1;;;;;;;;2012-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-01-08174
2925;"SAINT-QUENTIN (02) 14.01.2012";Gers;32;"(D) D�partement";2012;01;14;"Le 14 janvier 2012 vers 21h35, un t�moin, sur son balcon au cinqui�me �tage, est intrigu� par 3 petits points lumineux blancs d�limitant une masse sombre triangulaire. Aucun bruit n'est entendu lors du passage Sud-Nord tr�s rapide.
L'observation fait penser � un avion, avec ses phares d'approche allum�s. La trace radar (primaire) des avions ayant survol� la zone � ce moment ne donne qu'un avion de ligne � haute altitude � 21h48 (7 mn avant l'heure estim�e de l'observation, � quelques kmm � l'Ouest de la verticale de Saint-Quentin), mais cette trace est du Nord vers le Sud, alors que l'observation est l'inverse. L'observation ne correspond donc pas � l'avion rep�r� par radar.
Du fait de l'unicit� du t�moignage ce cas est estim� faiblement consistant ; du fait du d�placement r�gulier et lin�aire des trois points lumineux de l'objet ce cas est consid�r� peu �trange ; il est class� ""C"" par manque d'information. Une enqu�te plus pouss�e ram�nerait difficilement des informations compl�mentaires.";"Observation du d�placement silencieux de trois points lumineux formant une masse triangulaire sombre : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2012-09-13;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-01-08175
2926;"MONTAGNE (LA) (44) 09.01.2012";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2012;01;09;"Le lundi 9 janvier 2012 � 7h02 du matin, un automobiliste est surpris et intrigu� par les �volutions dans le ciel nuageux de deux cercles concentriques lumineux eux-m�mes constitu�s d'�l�ments arrondis discontinus. Cet ensemble est vu durant pr�s d'un kilom�tre. Apr�s deux minutes d'observation, arrivant sur une voie rapide l'automobiliste ne peut plus voir ce ph�nom�ne. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
La similarit� quasi parfaite du ph�nom�ne d�crit par le t�moin avec l'effet produit par certains types de projecteurs d'animation oriente nettement vers ce type d'origine pour cette observation (voir les notes d'enqu�te).
Le jour de la semaine est surprenant pour ce type d'animation, et il n'y a a priori pas de discoth�que � proximit� mais il a pu s'agir d'un test avec du mat�riel lou�. Par contre le ph�nom�ne ressemble �trangement � l'effet produit par ce type de projecteur : voir la vid�o Wedding Searchlight Hire Nottingham.
Le GEIPAN classe ce cas � B � : observation probable d'une animation lumineuse produite par un sky-tracer � faisceau tournant.";"Observation des �volutions d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel nuageux compos� de deux cercles cylindriques comportant des �l�ments ronds lumineux : observation probable d'une animation lumineuse produite par un sky-tracer � faisceau tournant.";O;;;;;;;;;2017-12-12;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;B;2012-01-08178
2927;"SAULCE (LA) (05) 20.01.2012";Hautes-Alpes;05;"(D) D�partement";2012;01;20;"Le 20 janvier 2012 vers 8h25 un t�moin et sa fille constatent, dans le ciel d�gag� au-dessus du col de Blaux, la pr�sence d'un ph�nom�ne a�rospatial qui les intrigue. Le t�moin prend des photos d'une fum�e blanche dont l'extr�mit� gauche devient noire pour disparaitre derri�re la montagne du cot� de la vall�e du Caire (04). Le t�moin pense � la chute de quelque chose qui se serait �cras� au sol mais n'a pas vu d'appareil ou entendu de bruit particulier. Elle t�moigne en gendarmerie. L'enqu�te de gendarmerie ne trouvera aucune trace au sol, aucun autre t�moignage aupr�s des habitants de la vall�e ne sera recueilli, aucun signe d'�cobuage ou de feu dans le secteur. L'hypoth�se d'un passage d'avion militaire ne peut �tre confirm�e. Les gendarmes pr�cisent qu'en cette p�riode et dans ce cr�neau horaire le lev� de soleil est rasant et �blouissant ce qui pourrait expliquer notamment le changement de couleur de la fum�e. Cette observation a fait l'objet de plusieurs articles de presse ou internet.
Au vu des �l�ments de l'enqu�te trois hypoth�se ont �t� envisag�es : chute d'a�ronef, fum�e venant du sol, train�e de condensation d'avion (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation tr�s probable d'une tra�n�e de condensation d'avion persistante qui a �t� d�form�e par les cisaillements de vents auxquels elle a �t� soumise depuis sa cr�ation.La partie grise est effectivement une partie non encore �clair�e (lever du soleil).";"Observation dans le ciel d'un filet blanc dont l'extr�mit� gauche devient noire : observation tr�s probable d'une tra�n�e de condensation d'avion d�form�e par les cisaillements de vents et dont une partie est non �clair�e par le soleil levant.";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.35;0.00;;;0.90;;0.85;;0.75;0.00;B;B;2012-01-08179
2928;"RIBIERS (05) 24.01.2012";Hautes-Alpes;05;"(D) D�partement";2012;01;24;"Le 24 janvier 2012 vers 19h45 un automobiliste circule sur un chemin de campagne lorsqu'il aper�oit un objet cylindrique lumineux blanc tr�s intense et stationnaire � basse altitude. Le t�moin arr�te son v�hicule et fait des signes. Aucun bruit n'est entendu. L'automobiliste reprend sa route et constate alors que l'objet semble le suivre. Rentr� dans son village il se rend dans son jardin et constate que les lumi�res sont devenues rouge orang�. Il raconte ensuite son observation � sa femme et appelle alors les gendarmes.
La gendarmerie sur place le soir m�me ne constatera aucune lumi�re et dans l'enqu�te de voisinage aucun autre t�moignage n'est recueilli.
L'observation d'un point lumineux bas sur l'horizon qui semble suivre le t�moin et s'arr�te quand il s'arr�te, �voque celle d'un astre, dont la direction d'observation reste constante (en azimuth).
Dans la direction indiqu�e par le t�moin au d�but de l'observation (vers 250�, au SO) (Voir sur la carte, les 2 fl�ches � droite) se trouve effectivement la plan�te V�nus tr�s brillante (magnitude -3,5) � basse �l�vation (10�) (voir carte Stellarium).
Dans la deuxi�me partie de l'observation (voir la carte, fl�che de gauche), le t�moin observe vers le Sud Est : c'est un autre astre brillant qui est bien visible : l'�toile Sirius, la plus brillante du ciel (Mag -1,45) mais moins brillante que V�nus, elle appara�t logiquement plus lointaine au t�moin.
Etant donn� l'incertitude sur les directions d'observation, le GEIPAN classe ce cas en ""B"" : observation probable de la plan�te V�nus et de l'�toile Sirius";"Observation d'un ph�nom�ne tr�s lumineux � basse altitude et qui semble suivre le t�moin dans ses d�placements en voiture : observation probable de la plan�te V�nus et de l'�toile Sirius";O;;;;;;;;;2016-06-28;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;A;2012-01-08180
2929;"[A13] DE PARIS (75) VERS CAEN (14) 27.01.2012";Paris;75;"(D) D�partement";2012;01;27;"Le 21 janvier 2012, un automobiliste et sa passag�re roulent sur l'autoroute A13 en direction de Caen. Ils observent dans le ciel entre 16h30 et 17h15 un objet silencieux de forme cylindrique argent� et brillant, tout d'abord immobile puis se d�pla�ant tr�s rapidement sur une trajectoire Est-Ouest. L'objet dispara�t en laissant un panache de nuage.
Un seul t�moignage sera re�u au GEIPAN.
Plusieurs hypoth�ses ont �t� envisag�es pour ce cas d'observation : un avion ou un ballon thermique de forme cylindrique, (gris ou transparent) qui aurait temporairement refl�t� le soleil.
Le GEIPAN pour v�rifier l'une ou l'autre des hypoth�ses a demand� des traces radars � l'Arm�e de l'air : une seule trace dont la qualit� s'est av�r�e inexploitable a �t� relev�e dans la zone et ne correspond pas au t�moignage.
D'autre part, le t�moin indique dans le questionnaire que l'objet "" venait de l'Est allant vers l'Ouest"" puis dans des �changes ult�rieurs par mail le 22.03.2012, il indique que l'objet venait du Nord-Ouest.
L'heure du ph�nom�ne n'est connue qu'avec une pr�cision de l'ordre d'une demi-heure ce qui est beaucoup pour corr�ler avec des passages d'avion, le lieu de l'observation au cours d'un voyage sur l'autoroute est �galement aussi impr�cis.
Les avions observ�s n'apparaissent pas sur les radars et la seule trace radar produite s'av�re inexploitable, il ne reste aucun �l�ment solide pour confirmer ou infirmer toute hypoth�se. Le GEIPAN classe ce cas ""C"" : pas de d�cision par manque d'informations fiables.";"Observation du d�placement d'un objet silencieux de forme cylindrique argent� et brillant : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-01-08182
2930;"TEMPLE-SUR-LOT (LE) (47) 30.01.2012";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";2012;01;30;"A 7h35 le 30 janvier 2012 un t�moin observe ce qu'il prend tout d'abord pour une �toile. L'objet est sph�rique, de la taille d'une pi�ce de 5 centimes, de couleur blanche, bleut� au centre. Soudain, l'objet bouge et se retrouve au z�nith du t�moin puis zig zag de droite � gauche, part tr�s vite, zig zag � nouveau et prend la direction Sud jusqu'� dispara�tre.
On constate qu'exactement au m�me instant, dans des directions tr�s proches de celles indiqu�es par le t�moin, la station spatiale internationale (ISS) traversait le ciel du Nord-Ouest au Sud-Est, et �tait extr�mement brillante (magnitude -4, comme V�nus).
La decription de l'objet est bien conforme � l'ISS, mais le r�cit de son d�placement ne l'est �videmment pas, puisque l'ISS avance lin�airement. Comme le t�moin n'a pas pu manquer l'observation de l'ISS, nous concluons que le t�moin a �t� victime des classiques illusions de la perception : autokin�sie et autostase (La perception d'un point lumineux dans le ciel), illusions fr�quentes lorsqu'on observe sur un fond uni ; du fait que le voile nuageux cachait les �toiles moins brillantes : l'ISS �tait le seul point lumineux visible sur le fond de ciel.
Du fait du ciel partiellement couvert, il subsiste un l�ger doute sur la visibilt� de l'ISS. Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de la station spatiale internationale.
Le t�moin fait une deuxi�me observation le 22 janvier, mais n'en pr�cise pas les d�tails. On remarque ce jour l� un passage de l'ISS de 7h06 � 7h13 au dessus de l'horizon Nord.
Le t�moin fait une troisi�me observation le vendredi 24 f�vrier � 21h20 � 21H20 de "" deux sph�res ressemblant a mon dernier t�moignage, mais de couleur rouge vive qui se suivaient de mani�re parfaite"". On constate � cet instant pr�cis le passage de deux satellites espions am�ricains NOSS proche de l'horizon Nord : toutefois, ces satellies sont le plus souventt insuffisamment lumineux pour �tre vus � l'il nu.";"Observation du d�placement en zig zag d'un ph�nom�ne lumineux sph�rique dans le ciel : observation probable de la station spatiale internationale (ISS).";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-01-08190
2931;"RENTREE ATMOSPHERIQUE (975) 24.01.2012";Manche;50;"(D) D�partement";2012;01;24;"Le GEIPAN a re�u de nombreux t�moignages d'observations du passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel du 24 janvier 2012 vers 7h50 au-dessus de la r�gion Lorraine.
L'ensemble de ces t�moignages correspond clairement � l'observation un bolide : rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de d'origine naturelle (petit ast�ro�de).
Le r�seau reforme-meteor identifie aussi cet �v�nement comme bolide d'origine naturelle.
Ce cas est class� ""A"".";"Observations de la rentr�e atmosph�rique d'un bolide.";O;1;1;;1;;;;;2017-12-12;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-01-08192
2932;"TESTE-DE-BUCH (LA) (33) 18.01.2012";Gironde;33;"(D) D�partement";2012;01;18;"Le 18 janvier 2012 vers 22h45 et le 19 janvier vers 0h15 un couple observe les passages silencieux � vitesse constante de deux ensembles de boules de feu oranges.
La description de boules orange volant en silence � vitesse constante fait imm�diatement penser � des lanternes tha�. Ce type d'observation est plus souvent le week end, mais il faut noter que le nouvel an chinois le 23 janvier a pu donner lieu � de multiples f�tes � cette p�riode. La m�t�o de Bordeaux indique un vent de Sud alors que les t�moins indiquent un d�placement vers Bordeaux, donc plutot un vent de Sud-ouest. Les lanternes ont pu �tre lanc�es depuis l'une des nombreuses villas ou restaurants au Sud-Ouest de la Teste.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observations de d�placements de formes oranges : probable observation de passages de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-04-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-01-08200
2933;"RENTREE ATMOSPHERIQUE 31.01.2012";Occitanie;OCC;"(R) R�gion";2012;01;31;"Le 31 janvier 2012 vers 22h plusieurs t�moins observent le passage rapide d'un ph�nom�ne lumineux et color� dans le ciel. Des t�moins sur Calmont (31) et Castelnaudary (11) ont rapport� plus pr�cis�ment leurs observations. Le t�moignage du t�moin de Calmont fait l'objet d'une enqu�te particuli�re.
Ce ph�nom�ne ne correspond � aucun objet spatial (d�bris) r�pertori� qui aurait pu rentrer dans l'atmosph�re.
Le r�seau REFORME (observateurs de m�t�ores ) a recens� ce m�t�ore, qui est tr�s probablement un m�t�oro�de naturel : en effet, la dur�e d'observation, inf�rieure � 10 secondes, laisse estimer une vitesse largement sup�rieure � 7 km/s, qui est la vitesse de rentr�e des d�bris de lanceurs ou satellites.
Ce cas est class� � B � : probable rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de naturel.";"Multiples observations du passage rapide d'un ph�nom�ne lumineux et multicolore dans le ciel : probable observation de la rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de naturel.";O;2;;;;;;;;2013-03-08;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-01-08224
2935;"LEGUEVIN (31) 01.01.2012";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2012;01;01;"T�moignage r�cent (12/04/2014) d'une observation ancienne. Le t�moin attend le feu d'artifice local lorsqu'il aper�oit une forme cylindrique avec une lumi�re rouge en son centre, passant au-dessus de lui, sous les nuages bas. Le t�moin perd l'objet de vue le temps d'aller chercher son appareil photo. Son fils prend le relais pour suivre l'objet qui disparait puis r�apparait plus loin. D'apr�s l'enfant l'objet a disparu en laissant une train�e rouge derri�re lui. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Le relev� METEOCIEL sur Blagnac indique un ciel tr�s nuageux et un vent d'ouest soutenu : 20 � 30km/h.
L'objet d�crit a des caract�ristiques des lanternes tha�landaises (couleur, dur�e, vitesse de d�placement) mais son d�placement n'est a prioiri pas coh�rent avec le vent d'Ouest, puisqu'il est d'abord observ� au Nord-Est est puis au nord-ouest. Mais il faut noter que l'observation n'est pas continue : il peut s'agir de deux objets successifs, semblables, venant de l'Ouest. L'hypoth�se d'un objet lumineux port� par le vent (lanterne tha�) devient acceptable, et m�me hautement probable si l'on sait que ces l�chers sont tr�s fr�quents durant cette nuit du nouvel an.
L'aspect d�crit par le t�moin est inhabituel pour une lanterne tha�, explicable du fait que les observations sont faites � travers un voile nuageux.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage silencieux dans le ciel d'une forme cylindrique rouge : observation probable de lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-01-08692
2937;"TOUSSUS-LE-NOBLE (78) 04.02.2012";Yvelines;78;"(D) D�partement";2012;02;04;"Le 4 f�vrier 2012 vers 23h15, des personnes situ�s dans les Yvelines et dans l'Aube observent dans le ciel le d�placement silencieux d'un ph�nom�ne lumineux de couleur bleu-vert et orange. La trajectoire est rectiligne.
Les t�moignages correspondent bien aux caract�ristiques d'une observation de rentr�e atmosph�rique.
La direction vers l'Ouest-Sud-Ouest et la dur�e de seulement quelques secondes, �liminent l'hypoth�se d'une rentr�e de d�bris spatial.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : probable rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de (chute de m�t�orite).";"Probable observations d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de.";O;1;;;;;;;;2012-03-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-02-08189
2938;"[AERO CTL] LAMENTIN (971) 11.02.2012";Guadeloupe;971;"(D) D�partement";2012;02;11;"Un controleur a�rien de la tour de contr�le de l'a�roport international Martinique Aim� C�saire rapporte une observation faite par plusieurs personnes le 11 f�vrier 2012 vers 23h10. Un ph�nom�ne lumineux de couleur vert a travers� rapidement le ciel antillais d'Est en Ouest. Les contr�leurs de Guadeloupe, des gendarmes au sol ainsi que les pilotes de l'AFR 3570 (Paris-Martinique) l'ont vu �galement.
Le ph�nom�ne d'une boule tr�s brillante verte traversant le ciel en quelques secondes fait imm�diatement penser � un bolide, rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de (m�t�orite) ou d�bris spatial. Les d�bris spatiaux entrent dans l'atmosph�re � environ 7 km/s et traversent le ciel sur une dur�e de 20 secondes � quelques minutes.
Etant donn� l'aspect constat� et la dur�e du ph�nom�ne, c'est l'hypoth�se de la rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de (m�t�orite) qui a �t� retenu pour ce cas class� � B �";"Observation du d�placement rapide d'Est en Ouest d'une lumi�re verte dans le ciel des Antilles: probable rentr�e atmosph�rique de m�t�oroide.";O;1;;;;;;;;2017-12-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-02-08191
2939;"ARES (33) 19.02.2012";Gironde;33;"(D) D�partement";2012;02;19;"Un t�moin rapporte son observation de quelques secondes faite le 19 f�vrier 2012 � 9h15. En ouvrant un v�lux, le t�moin constate dans le ciel la pr�sence d'un objet gris aluminium, de forme sph�rique qui passe au-dessus de sa maison. Celui-ci se d�place en direction du S-SO sans bruit et sans laisser de train�e. Il dispara�t dans les nuages.
L'objet observ�, se d�pla�ant dans le sens du vent, est certainement un ballon gonfl� � l'h�lium ou l'hydrog�ne. On peut penser � un ballon-sonde, peut-�tre lanc� de M�rignac une heure avant, et arriv� � Ar�s par le jeu des vents qui ont largement chang� durant l'heure pr�c�dente (voir relev�s M�t�o sur Bordeaux et Biscarosse), ou plus probablement un ballon de foire l�ch� de L�ge Cap Ferret, ou encore un ballon Pilot lanc� pour pr�parer des vols de montgolfi�res. Ce cas est class� ""B"" observation probable de ballon.";"Probale observation du passage d'un ballon.";O;1;;;;;;;;2012-05-03;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-02-08194
2940;"LONRAI (61) 02.02.2012";Orne;61;"(D) D�partement";2012;02;02;"Le 2 f�vrier 2012 � 0h45 plusieurs personnes sont intrigu�es par un grand bruit sourd qui semble provenir d'une masse sombre sans aucun �clairage qui se d�place lentement et � faible altitude dans le ciel.
Le t�moignage principal s'av�re correspondre avec l'observation d'un engin volant motoris� relativement classique, mais non �clair�, peut-�tre un vol non autoris� (dirigeable, ULM, ou �ventuellement h�licopt�re) ou un exercice militaire. (voir compte rendu d'enqu�te)
Ce cas est class� ""B"" : observation probable d'un a�ronef non �clair�.";"Observations du d�placement d'une masse sombre dans le ciel pr�c�d�e d'un grand bruit sourd : probable observation du vol d'un a�ronef non �clair�.";O;1;;;;;;;;2013-05-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-02-08196
2941;"BELMONT-SUR-RANCE (12) 20.02.2012";Aveyron;12;"(D) D�partement";2012;02;20;"Deux t�moins rapportent leurs longues observations d'un ph�nom�ne tr�s lumineux dans le ciel. Les 20 et 21 f�vrier 2012 aux environs de 20h 20 un t�moin dans l'Aveyron observe en direction de l'Ouest le lent d�placement d'un point particuli�rement lumineux. Le t�moin utilisera un appareil photo et une cam�ra pour voir et filmer le ph�nom�ne.
Un autre t�moin situ� dans le Tarn observe ""une esp�ce d'�toile tr�s tr�s brillante"".
. Le point lumineux observ� par les t�moins correspond � la plan�te V�nus (voir carte du ciel), particuli�rement visible � cette p�riode et tr�s scintillante dans le couchant. Ce cas est class� ""A"".";"Observations successives de nuit du lent d�placement d'un point lumineux : observations astronomiques de V�nus.";O;2;;;;;;;;2012-06-18;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-02-08199
2942;"BONNIERES (60) 18.02.2012";Oise;60;"(D) D�partement";2012;02;18;"Le samedi 18 f�vrier 2012 vers 20h un t�moin observe dans le ciel un ph�nom�ne lumineux qui l'intrigue : une lueur blanche oblongue apparait stationnaire au-dessus des b�timents du corps de ferme. Elle disparait subitement mais r�apparait quelques secondes plutard au m�me endroit et effectue une figure g�om�trique (un demi Z) � toute allure avant de disparaitre rapidement. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
De faible �tranget� et de faible consistance par manque d'orientation pr�cise, ce cas d'observation semble correspondre � une m�prise avec les �volutions du faisceau lumineux issu d'un projecteur de type SkyTracer.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'une animation lumineuse.";"Observation des d�placements rapides d'une lumi�re blanche dans le brouillard : probable observation d'une animation lumineuse de type Sky Tracer.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.40;0.00;;;;;;;0.60;0.00;B;B;2012-02-08212
2943;"LIBOURNE (33) 04.03.2012";Gironde;33;"(D) D�partement";2012;03;04;"Le 4 mars 2012 aux alentours de 20h une conductrice et son passager font une observation qui les intrigue. Arr�t�s � un stop, ils voient passer de droite � gauche 4 lumi�res blanches formant les quatres coins d'un rectangle � plusieurs m�tres du sol. Ces lumi�res disparaissent � hauteur de la cime des arbres. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu.
Le GEIPAN a d'abord envisag� un objet lumineux port� par le vent, mais la direction du vent (Ouest) ne correspond pas au d�placement de l'objet (Sud -> Nord). L' investigation aupr�s du contr�le a�rien militaire, pour rechercher d'�ventuels a�ronefs, n'a apport� qu'un r�sultat n�gatif.
Un enqu�teur du GEIPAN s'est rendu sur place, de nuit, et a constat� puis enregistr� en vid�o un ph�nom�ne lumineux pouvant tout � fait expliquer l'observation : en effet, les phares des voitures arrivant en face de l'observateur se refl�tent sur les cat�naires de la voie de chemin de fer ; les reflets se d�placent de droite � gauche, puis disparaissent, comme l'ont indiqu� les t�moins. Il est fort probable que ce soit le m�me ph�nom�ne que celui observ� par les t�moins. Le t�moin n'a pas souhait� rencontrer l'enqu�teur pour affiner l'enqu�te.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : probable observation de reflets de phares de voitures sur les cat�naires du chemin de fer.";"Observations du passage de quatre lumi�res blanches formant les quatre coins d'un rectangle : probable observations de reflets lumineux de phares de voiture sur les cat�naires de chemin de fer.";O;1;;;;;;;;2013-06-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-03-08202
2944;"RIBERAC (24) 13.03.2012";Dordogne;24;"(D) D�partement";2012;03;13;"Un t�moin observe le 13 mars 2012 � 20h35 , le passage rapide de cinq points lumineux �voluant en formation selon une trajectoire descendante. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation.
Un autre t�moignage quasi simultan� d'aspect tr�s semblable a �t� signal� au GEIPAN, vu depuis Saint- Mathieu de Treviers (34) le m�me soir et vu du c�t� Ouest pour ce t�moin. Il est fort probable qu'il s'agit du m�me ph�nom�ne.
L'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique de met�oro�de (m�t�orite) ou de d�bris spatial est donc fort probable.
Devant ces informations, le GEIPAN classe cette observation en cat�gorie B, observation probable de rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�des (m�t�orite).";"Observation du passage rapide d'une formation de cinq points lumineux et d'intensit� moyenne : probable observation d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�des.";O;1;;;;;;;;2012-07-26;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-03-08203
2945;"AUENHEIM (67) 12.03.2012";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2012;03;12;"Le 12 mars 2012 � 20h un t�moin sort sur sa terrasse et regarde le ciel lorsqu'il aper�oit dans le ciel d�gag� 3 objets de couleur rouge bordeau en forme de croix. Ces objets traversent le ciel d'Ouest vers le Nord. L'observation ne dure que quelques secondes. � 22h50 le t�moin sort � nouveau sur sa terrasse avec sa compagne et tous les deux aper�oivent alors 5 objets dans le ciel se d�pla�ant du Nord vers l'Est. Ils seront cach�s rapidement par le paysage (arbres et maisons du lotissement). Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation d'objets volants rouge se d�pla�ant en groupe dans le ciel �voque des lanternes tha�landaises l�ch�es � l'occasion d'une f�te.
Le relev� M�t�ociel � Strasbourg � 40 km Indique un vent faible variable NE, N, NO. Dans ce cas-ci, ce d�placement d�crit vers le Nord-Est correspond mal au vent local ; mais ce vent �tait faible et variable, et nous n'avons pas de relev� m�t�o tr�s proche. Nous ne pouvons pas exclure formellement cette hypoth�se.
Le jour de la semaine (lundi) est rarement un jour pour les f�tes, ce qui n'est pas non plus en faveur de cette hypoth�se, de m�me que la forme en croix d�crite par le t�moin.
Le trafic a�rien ne mentionne aucun a�ronef pouvant correspondre � l'observation.
Le GEIPAN n'a re�u aucun autre signalement de ph�nom�ne ce jour-l� dans la r�gion. Par manque d'information m�t�o pr�cise, et manque de recoupements, le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie C.";"Observations successives courtes dans la m�me soir�e du passages d'objets rouge-bordeau dans le ciel d�gag� : manque d'informations et de recoupements.";O;;;;;;;;;2016-09-09;;;0.40;0.00;;;0.60;;0.60;;0.36;0.00;C;B-;2012-03-08204
2946;"SAINTE-JULIE (01) 01.03.2012";Ain;01;"(D) D�partement";2012;03;01;"Le jeudi premier mars 2012 � 22h25 un automobiliste constate dans le ciel une lueur qui l'intrigue. Il observe le passage d'une �norme ""�toile filante"" de couleur jaune et bordure blanc bleue suivi d'une train�e bleue. La taille impressionne le t�moin.
L'aspect du ph�nom�ne (trajectoire rectiligne, d�placement tr�s rapide, forte lumi�re) caract�rise nettement un bolide : rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de ou de d�bris spatial. Du fait que le t�moin indique une dur�e de l'ordre de la seconde, et qu'il n'y a pas de rentr�e de d�bris spatial r�pertori� ce jour l�, l'hypoth�se d'une chute de m�t�orite est privil�gi�e. Le r�seau REFORME d'observateurs de m�t�ores ne relate pas (pas encore ?) ce ph�nom�ne.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"".";"Probable observation d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de ou de d�bris spatial.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-03-08205
2947;"SAINT-MATHIEU-DE-TREVIERS (34) 13.03.2012";H�rault;34;"(D) D�partement";2012;03;13;"Le 13 mars 2012 vers 20h30, un t�moin observe, depuis sa terrasse, le passage silencieux d'une formation triangulaire constitu�e de plusieurs lumi�res de couleur verte-orang�e passant � vive allure et � basse altitude.
Un autre t�moignage sera recueilli sur un ph�nom�ne d'aspect tr�s semblable s'�tant produit �galement ce soir l�.
Suite � une enqu�te confi�e � un IPN et devant les informations r�cues, le GEIPAN classe cette observation en B, probable observation d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�des (voir compte rendu d'enqu�te).";"Observation du passage silencieux d'une formation triangulaire constitu�e de plusieurs lumi�res verte-orang�e : probable rentr�e atmosph�rique de m�t�or�des.";O;1;;;;;;;;2012-07-25;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-03-08206
2949;"SAINTE-SIGOLENE (43) 01.03.2012";Haute-Loire;43;"(D) D�partement";2012;03;01;"Le 1 mars 2012 vers 19h05 un t�moin observe le passage d'un objet sph�rique et lumineux dans le ciel. Le d�placement est rectiligne � allure constante sans changement de direction.
L'observation d�crite correspond exactement � un passage de ""gros"" satellite. La station internationale ISS survolait la France ce soir l� du Nord-Ouest vers Sud-Est de 19h00 � 19h03.
Malgr� l'�cart de 2 minutes entre le t�moignage et la restitution du passage (d� probablement � l'impr�cision de la montre du t�moin, ou du mod�le d'orbite utilis� pour la restitution), le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de la station internationale ISS.";"Observation du d�placement silencieux d'un objet sph�rique et lumineux : passage de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2012-04-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-03-08213
2950;"PLOEREN (56) 26.03.2012";Morbihan;56;"(D) D�partement";2012;03;26;"Le 26 mars 2012 vers minuit un t�moin � Ploeren (56) observe depuis sa terrasse les �volutions d'un objet lumineux dans le ciel en direction du sud. Intrigu� il appelle la gendarmerie et une patrouille est envoy�e sur place et confirme l'observation du t�moin. La patrouille se d�place � Baden et observe encore le ph�nom�ne. Une autre unit� de gendarmerie confirmera depuis le s�maphore de la barre d'Etel la pr�sence dans le SO � une �l�vation de 20� d'un point lumineux scintillant entre 0h45 et 1h05. Une derni�re observation se fera depuis le GERBAM de G�vres. Le Pan disparait en s'�levant � 1h50
Cette observation est d'une part complexe car elle provient de plusieurs t�moins situ�s � des endroits diff�rents ; elle est d'autre part pas assez pr�cise, concernant les azimuts et �l�vation du ph�nom�ne selon la phase d'observation.
Les r�cits descriptifs de l'objet observ� ont toutes les caract�ristiques d'�toiles tr�s brillantes observ�es pr�s de l'horizon (changement de couleur, apparents d�placements lat�raux et avant arri�re).
Il est par contre difficile de d�terminer sans doute l'astre observ�, et on peut envisager que 2 ou 3 astres aient �t� remarqu�s successivement : Sirius, Procyon et Betelgeuse, du fait d'un masquage temporaire par le voile nuageux qui a succ�d� � la pluie de l'apr�s-midi.
Notons aussi qu'aucun des t�moins ne mentionne Sirius ou une autre �toile, ce qui aurait permis de localiser le ph�nom�ne en relatif par rapport � ces astres, et d'exclure cette hypoth�se.
Dans tous les cas, du fait de l'absence de ph�nom�ne remarqu� par l'avion en patrouille, et sur les radars, on peut affirmer que le ph�nom�ne �tait tr�s lointain.
Avec tous ces �l�ments, le GEIPAN conclut sur l'observation probable de Sirius, suivi de Procyon et/ou Betelgeuse.";"Observations multiples � diff�rents endroits de points lumineux de couleur paraissant stationnaires puis en d�placement : observation probable de Sirius, suivi de Procyon et/ou Betelgeuse.";O;1;;;;;;;;2016-05-02;;;0.35;0.00;;;0.90;;0.80;;0.75;0.00;B;B;2012-03-08214
2951;"MADELEINE (LA) (59) 31.03.2012";Nord;59;"(D) D�partement";2012;03;31;"Le 31 mars 2012 vers 21h15, un t�moin observe dans le ciel en direction du N-O, le passage silencieux N-S de plusieurs points lumineux orang�s non clignotants. Un deuxi�me t�moin observera une partie du ph�nom�ne (mais il ne t�moignera pas). L'observation s'est termin�e par l'extinction progressive des points lumineux.
Cette observation a toutes les caract�ristiques du passage de lanternes tha�landaises : le d�placement est coh�rent avec le vent relativement fort de Nord-Est (17 � 39 km/h), la couleur orange, la dur�e de l'observation et le nombre d'objets. Le samedi est le jour des f�tes en soir�e, et par cons�quent celui o� les l�chers de lanternes sont fr�quents. Le GEIPAN n'a pas fait de recherches pour d�terminer l'auteur du l�cher de ces lanternes volantes.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observations du passage silencieux N-S de plusieurs points lumineux orang�s non clignotants : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-10-05;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-03-08215
2952;"VALRAS-PLAGE (34) 24.03.2012";H�rault;34;"(D) D�partement";2012;03;24;"Le 24 mars 2012vers 20h20, un t�moin constate dans le ciel le d�placement silencieux et tr�s rapide d'un groupe de quatre lumi�res blanches. Le t�moin astronome amateur indique que les lumi�res s'allument � hauteur de Capella pour s'�teindre lorsqu'elles arrivent � la constellation de la Grande Ourse.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Il est fortement probable que ce soit le m�me ph�nom�ne qui ait �t� observ� � Valras et � Brant�me : une rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de, avec fragmentation, ou bien d'un d�bris spatial non repertori� (voir le compte rendu d'enqu�te et la v�rification faite sur SpaceTrack).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de ou d�bris spatial.";"Observation du d�placement silencieux et rapide d'un goupe de 4 lumi�res : probable rentr�e atmosph�rique.";O;2;;;;;;;;2012-07-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-03-08216
2953;"HEILIGENBERG (67) 07.03.2012";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2012;03;07;"Le 7 mars 2012 aux environs de midi, un t�moin est intrigu� par le passage dans le ciel d'un avion de ligne suivi par trois objets formant un triangle. Les objets sont tr�s pr�s de la queue de l'avion et ils interchangent leur place derri�re l'avion de ligne.
L'observateur a �t� t�moin d'une manuvre exceptionnelle d'avions militaires. L'explication d�taill�e est donn�e dans le document joint (trace radar).
Ce cas est class� ""A"" : observation de manuvres militaires a�riennes.";"Observation du passage d'un avion suivi de trois objets formant un triangle : manoeuvres militaires a�riennes.";O;1;;;;;;;;2012-07-31;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-03-08223
2955;"PARIS (75) 23.03.2012";Paris;75;"(D) D�partement";2012;03;23;"Le 23 mars 2012 � 23h, un t�moin est intrigu� par le d�placement silencieux de deux lumi�res rouges au-dessus des immeubles parisiens. Elles disparaissent cach�es par le paysage urbain.
Ce cas d'observation a toutes les caract�ristiques des lanternes tha�landaises : d�placement de lumi�res rouges, silencieux et homog�ne, selon le vent (vent relev� de Nord Ouest � Nord, de 6 � 15 km/h) , durant quelques minutes, lors d'une soir�e de week-end ou f�te. Les l�chers en pleine ville ne sont effectivement pas recommand�s, mais il y en a en fait assez souvent !
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observation du d�placement silencieux de deux boules rouges dans le ciel parisien : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-05-31;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-03-08444
2956;"SAINT-LO (50) 04.04.2012";Manche;50;"(D) D�partement";2012;04;04;"Le mercredi 4 avril 2012 � 20h15, un t�moin est intrigu� par les �volutions dans le ciel de deux points lumineux jaunes ou blancs qui traversent le ciel de l'Est vers le Nord � une vitesse importante. Le premier point a une trajectoire rectiligne et uniforme mais c'est le second qui captive l'attention du t�moin, car il �volue sans cesse autour du premier, d�crivant des ellipses, des bifurcations brusques en angle aigu, allant au contact puis reprenant sa position en arri�re de fa�on tr�s rapide. L'observation se termine au bout d'une quinzaine de secondes, alors que les deux points lumineux disparaissent � travers ou derri�re un nuage.
Apr�s une enqu�te de terrain qui a permis de pr�ciser les azimuts, et un entretien cognitif qui n'a pas apport� de nouveaux �l�ments significatifs, ce cas d'observation reste d'une �tranget� �lev�e compte tenu des �volutions du deuxi�me PAN autour du premier ; ce cas d'observation r�siste aux hypoth�ses usuelles de m�prise.
Du fait de l'unicit� du t�moignage et de sa bri�vet�, il reste l'hypoth�se d'une illusion visuelle temporaire (migraine ophtalmique, phosph�nes), mais le t�moin semble jouir d'une vue et sant� parfaite et n'a pas signal� avoir �t� victime d'effets similaires : faute d'�l�ments confortant cette hypoth�se, elle a �t� rejet�e.
La consistance du cas est �valu�e � 0,7 car le t�moin est unique, sans r�serve.
L'�tranget� du cas est �valu�e � 0,6 du fait de l'objet � d�placement non lin�aire, mais lointain.
Par cons�quent, ce cas d'observation est class� � D1 � comme inexpliqu�.";"Observation des �volutions de deux points lumineux dans le ciel. Le second point �volue autour du premier qui a une trajectoire rectiligne : ce cas d'observation est class� � D1 � comme inexpliqu�.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2012-04-08222
2957;"RIXHEIM (68) 15.04.2012";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2012;04;15;"Le 15 avril 2012 vers minuit un t�moin observe le d�placement silencieux d'une boule ronde de couleur orange qui semble en feu. L'objet se d�place sur une trajectoire descendante vers l'Est puis vire sur un cap Sud. Un deuxi�me ph�nom�ne semblant identique (en feu et orange) est aper�u et semble �tre rejoint par le premier : les deux PANs se d�placent ensemble suivant le m�me cap. L'intensit� lumineuse des deux PANs diminue progressivement puis ils s'�teignent au m�me moment. Un seul questionnaire est recueilli.
On peut conclure des descriptions qu'il s'agit de deux objets port�s par le vent, car ils suivent la m�me trajectoire, d'ailleurs le t�moin arrive aussi � cette conclusion. (""l'apparence et le comportement du ph�nom�ne me faisait penser qu'il �tait tr�s l�ger et � port� par le vent �""). Le vent mesur� (au sol) � l'a�roport est de N-N0 (15 Km /h), ce qui n'exclut pas, � plus haute altitude (avec l'influence de la ville, des collines ou for�ts), des filets de vent sinueux pouvant expliquer un sens d'�volution depuis Ouest puis ensuite depuis Nord. Les deux PANs se suivent sur la m�me trajectoire avec un d�calage, la sensation de ralliement d'un PAN par l'autre est subjective car elle intervient quand les PANs sont vus sous la m�me direction et donc avec des �carts de distance difficiles � appr�cier.
La couleur orang�e et l'extinction finale (en vol) des deux PANs sont caract�ristiques de lanternes thailandaises et une nuit week-end est propice � de tels �v�nements festifs. La description de flammes � l'arri�re du PAN est �trange pour des lanternes thailandaises qui peuvent certes s'enflammer mais tombent assez vite ensuite. Toutefois la perception de flammes est souvent subjective, elle peut �tre induite par la vacillation de la lumi�re d'une lanterne pour qui n'est pas habitu� � l'ensemble des aspects lumineux d'une lanterne, ou plus encore ici par les turbulences atmosph�riques et les conditions de bruine ou pluie fine. Ceci n'enl�ve rien � la qualit� de pr�cision du t�moin qui est pilote de ligne. L'enqu�te b�n�ficie d'une reconstitution soigneuse de la trajectoire que le t�moin a d� fid�lement �tablir depuis sa perception angulaire (car un t�moin ne dispose que de cela). Or il situe sur son dessin l'apparition du 2eme PAN 5 � 6 fois plus loin que le passage au plus pr�s du premier et donc � partir d'une perception angulaire a priori 5 ou 6 fois plus petite. Pour autant la m�me perception de feu lui vient pour ce PAN 5 ou 6 fois plus petit et pas plus gros qu'un 1/10 de lune (d'apr�s les r�f�rences angulaires donn�es par le t�moin), ce qui renforce le caract�re subjectif de l'aspect ""flammes"".
L'aspect ""flammes arri�res"" constitue le seul �l�ment d'�tranget� dans un ensemble o� tout oriente vers des objets port�s par le vent et en particulier des lanternes thailandaises. Mais il est tout � fait possible que cet aspect r�sulte d'une difficult� de perception (ou erreur d'interpr�tation) favoris�e par des conditions atmosph�riques loin d'�tre optimales.
En cons�quence le GEIPAN conclut que l'observation a probablement port� sur des lanternes thailandaises.";"Observation du d�placement silencieux de deux ph�nom�ne lumineux orange-feu et qui s'�teignent simultan�ment : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-06-08;;;0.35;0.00;;;0.70;;0.80;;0.56;0.00;B;B;2012-04-08225
2958;"PLEURTUIT (35) 12.04.2012";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2012;04;12;"Un t�moin rapporte son observation faite le 12 avril 2012 vers 22h30. Depuis son balcon, il suit durant 2 minutes le d�placement S-N d'une source lumineuse blanche. Aucune train�e et aucun bruit particulier ne sont entendus durant l'observation.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli par la gendarmerie. Aucun vol connu n'a �t� signal� par le contr�le a�rien sur l'espace a�rien de Dinard au moment des faits. La description du t�moin correspond tout � fait � l'observation du passage de la station internationale ISS qui survolait la Bretagne ce soir l� : voir le trac� du d�placement de l'ISS sur fond de ciel (l'heure indiqu�e sur le trac� n'est pr�cise qu'� quelques minutes pr�s). Ce cas est class� ""A"" : observation de la station spatiale internationale ISS.";"Observation du d�placement d'une lumi�re blanche : passage de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2012-05-03;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-04-08226
2959;"MEULAN (78) 15.04.2012";Yvelines;78;"(D) D�partement";2012;04;15;"Le 15 avril 2012 � 22h31 un t�moin observe la pr�sence dans le ciel d�gag� d'un objet stationnaire puis en d�placement d'Ouest vers l'Est � basse altitude. Un bruit sourd est entendu. L'objet passe au-dessus de l'immeuble et le t�moin le perd de vue. L'observation courte permet cependant au t�moin de temps de prendre une vid�o avec son t�l�phone portable. Aucun autre t�moignage ne sera rapport�.
Selon toute vraisemblance, ce t�moignage semble �tre le fruit d'une m�prise avec le passage d'un avion de ligne en approche de l'a�roport de Roissy. Le plus �trange dans ce cas d'observation �tant la confusion du t�moin : r�sidant sur l'axe des pistes de Roissy, ce dernier doit �tre coutumier de l'important trafic a�rien � destination de cet a�roport international, bien que seule une partie de ce trafic survole son lieu d'habitation, �loign� de 50 Km du seuil des pistes.
Les documents photo et vid�o auraient pu aider � approfondir, le t�moin ne les a pas transmises directement mais les a partag�es via des services en ligne. Ces documents ne sont aujourd'hui plus accessibles et n'ont pu �tre exploit�s.
En cons�quence GEIPAN classe le cas en C par manque d'information, � la limite d'un cas B Avion";"Observation du passage Ouest-Est d'un objet dans le ciel nocturne : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-04-05;;;0.45;0.00;;;;;;;0.40;0.00;C;B-;2012-04-08227
2960;"LANDEVANT (56) 13.04.2012";Morbihan;56;"(D) D�partement";2012;04;13;"Le 13 avril 2012 vers 21h34 un t�moin est intrigu� par le passage silencieux d'un objet lumineux dans le ciel qu'il ne reconnait pas.
De faible �tranget� et de bonne consistance malgr� une erreur d'orientation, corrig�e par la suite, ce cas d'observation correspond avec certitude avec le passage de la station Spatiale internationale (ISS). Il ne fait aucun doute que le t�moin a observ� l'ISS le soir du 13 avril entre 21h34 et 21h37. La trajectoire � courbe � d�crite par le t�moin provient d'une perception erron�e de l'orbite pourtant quasi circulaire, mais seuls les satellites passant au z�nith laissent une perception de trajectoire lin�aire.
Le GEIPAN classe ce cas en � A � comme observation certaine de la station spatiale internationale.";"Observation du passage d'un objet lumineux blanc dans le ciel : observation du passage de la station spatiale internationale.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.10;0.00;;;;;;;0.75;0.00;A;A;2012-04-08228
2961;"ANNEMASSE (74) 08.04.2012";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2012;04;08;"Un t�moin rapporte ses observations du ciel faites le 8 avril 2012 d'abord aux alentours de 22h puis vers 23h 30. Le t�moin filme sa derni�re observation.
La direction indiqu�e par le t�moin (les monts du Jura) � un azimuth de l'ordre de 290� co�ncide tout � fait avec la position de la plan�te V�nus, que le t�moin ne mentionne pourtant pas.
La plan�te V�nus, particuli�rement visible � cette �poque, �tonne de nombreux t�moins lorsqu'elle est bas sur l'horizon : elle est alors interpr�t�e comme un objet survolant la terre. Le m�me astre, observ� par le t�moin 1h30 plus t�t, �tait alors en plein ciel ; elle n'a pas �t� interpr�t� par le t�moin comme un objet �trange.
A propos du film : un point lumineux sur fond noir film� par une cam�ra vid�o avec le zoom � fond produit nombre d'artefacts optiques et �lectroniques : la forme en losange est le r�sultat de la forme du diaphragme de la cam�ra, qui appara�t lorsque la mise au point est incorrecte (de nuit, beaucoup de cam�ras en mode autofocus cherchent en vain � faire la mise au point, et alternent images floues et nettes) ; les couleurs sont plus d�es au bruit et parasites �lectroniques et aux aberrations optiques (m�me avec une cam�ra de tr�s bonne qualit�) qu'� l'image de l'objet film�. Le film ne nous apporte donc pas beaucoup d'information sur l'objet observ�.
Ce cas est class� ""A"" : observation de la plan�te V�nus.";"Observation d'une �toile scintillante : observation astronomique de V�nus.";O;2;;;;;;;;2013-08-08;;;0.13;0.13;;;;;;;0.80;0.00;A;A;2012-04-08229
2962;"SAINT-JEAN-DE-LIVERSAY (17) 12.04.2012";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2012;04;12;"Le 12 avril 2012 vers 21h40 l'attention d'un t�moin est attir�e par une lueur rouge assez forte apparaissant subitement derri�re les vitres de sa fen�tre au premier �tage. L'observation dure plusieurs minutes avant que la lumi�re ne change de couleur et d'intensit� pour diminuer et disparaitre. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
D'�tranget� faible � moyenne, et de consistance de m�me niveau, ce cas d'observation reste difficile � conclure : un point lumineux apparemment fixe, de couleur rouge orang�e de vive intensit� et virant au blanc en faiblissant �voque un avion vu de face, mais pas de fa�on certaine en l'absence de relev� de trafic a�rien. (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le GEIPAN classe ce cas en � C � en l'absence d'autres �l�ments objectifs.";"Observation d'une lueur fixe et rouge dans le ciel ; changement de couleur et disparition subite : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-04-08231
2963;"CHAULGNES (58) 19.04.2012";Ni�vre;58;"(D) D�partement";2012;04;19;"Le 19 avril 2012 aux environs de 22h40 un t�moin aper�oit dans le ciel un point tr�s lumineux en direction du N-NO. Ce point d'abord fixe semble ensuite se d�placer.
La direction indiqu�e par l'observateur (O/NO) correspond � la position de la plan�te Venus dans le ciel, � 15� d'�l�vation au dessus de l'horizon. Les d�placements de l'objet indiqu�s par l'observateur sont �videmment incoh�rents avec cette hypoth�se ; L'hypoth�se d'un avion a �t� envisag�e, mais les traces radars n'ont pas pu �tre obtenues � temps.
Devant ces informations insuffisantes, le GEIPAN classe ce cas peu �trange en ""C"" par manque d'information.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne tr�s lumineux : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2012-08-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-04-08232
2964;"GRIESHEIM-PRES-MOLSHEIM (67) 30.04.2012";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2012;04;30;"Le 30 avril 2012 vers 21h30 un t�moin observe dans le ciel le d�placement d'un point lumineux orang� suivi de trois autres points. Ceux-ci se d�placent sur une trajectoire continue montante avant de dispara�tre progressivement dans le ciel. Le t�moin prend des vid�os.
D'une �tranget� faible et de bonne consistance, gr�ce aux vid�os, malgr� certaines impr�cisions de directions somme toute courantes, ce cas d'observation a toutes les caract�ristiques d'une m�prise due � un groupe de lanternes tha�landaises l�ch�es � l'occasion de festivit�s � la veille du 1er Mai.
La direction du vent local ne pouvant �tre affirm�e avec certitude malgr� une tendance g�n�rale compatible avant l'orage autour du lieu d'observation, la v�rification de la conformit� du vent local avec le d�placement des objets est insuffisante. On note aussi que la pluie convient mal au l�cher de lanternes. Le GEIPAN n'a pas recherch� les auteurs du l�cher.
Devant ce constat, le GEIPAN classe ce cas en B, comme observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observations succesives du passage de deux groupes de points lumineux orang�s dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.30;0.00;;;;;;;0.80;0.00;B;B;2012-04-08239
2965;"MAUGUIO (34) 27.04.2012";H�rault;34;"(D) D�partement";2012;04;27;"Un t�moin rapporte son observation faite le 27 avril 2012 � minuit vingt au-dessus des �tangs du Grec et de P�rols � Carnon Plage. Le ph�nom�ne lumineux jaune est en forme de croissant de Lune quasi statique avant des d�placements en va et vient. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation de 40 minutes.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
La direction du ph�nom�ne indiqu�e par le t�moin (voir croquis du t�moin) est tr�s proche de la position de la Lune dans le ciel (Azimut de 290�, voir carte astro sur le ciel d'Ouest). La vid�o montre que l'objet observ� est bien la Lune, occult�e de temps en temps par des nuages. Les mouvements apparents de l'objet vers l'Ouest sont une illusion d'optique d�e au d�placement du fond nuageux qui se d�pla�ait vers l'Est (voir relev� m�t�o).
Ce cas est class� ""A"" : observation de la Lune avec illusion d'optique pour son d�placement.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux jaune avec d�placements : observation de la Lune avec illusion d'optique pour son d�placement.";O;1;;;;;;;;2017-12-12;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-04-08241
2966;"MOULINS-LES-METZ (57) 29.04.2012";Moselle;57;"(D) D�partement";2012;04;29;"Le dimanche 29 avril 2012 vers 16h15 un t�moin observe le passage d'une forme sph�rique grise en-dessous des nuages. Le t�moin intrigu� filme l'objet qui se d�place selon une trajectoire rectiligne. Un panache de fum�es blanches ou de flammes est aper�u par le t�moin sous l'objet. Il dispara�t cach� par l'immeuble voisin.
Le d�placement quasi lin�aire de l'objet conforme au sens du vent (S � SO), lequel �tait soutenu ce jour l�, fait nettement penser � un ballon. Du fait qu'il est vu � contre jour, il para�t sombre. Il ne doit pas �tre sph�rique, de ce fait, en tournant, il r�fl�chit quelquefois la lumi�re du soleil provoquant des flash temporaires. La relative nettet� de l'objet fait penser qu'il est relativement proche (moins d'1 km) et donc de taille modeste (moins d'un m�tre). Les petits points blancs tournoyants peuvent �tre des pollens, fr�quents � cette p�riode de l'ann�e lors de ces premi�res douces journ�es de printemps, tr�s brillants s'ils sont vus � contre-jour.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'un ballon festif, l�ch� probablement d'Ars sur Moselle voire plus au sud.";"Observation du passage d'un objet gris dans le ciel : probable ballon.";O;1;;;;;;;;2012-06-14;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-04-08242
2967;"VILLERS-SOUS-SAINT-LEU (60) 02.04.2012";Oise;60;"(D) D�partement";2012;04;02;"Une personne t�moigne d'observations successives d'un point lumineux dans le ciel en avril 2012. Le 2 avril le t�moin fait une observation � l'il nu puis aux jumelles.
Le t�moin indique, que plusieurs jours de suite, il a observ� en soir�e un objet tr�s lumineux qui baisse doucement vers l'horizon pour dispara�tre vers 0h30. Cette vitesse de d�placement �voque indubitablement un astre, qui se couche comme le soleil. A cette �poque l�, on note dans le ciel du soir la pr�sence de V�nus, particuli�rement brillante (magnitude -5,2).
Les formes de l'objet relat�es par le t�moin sont probablement le r�sultat d'une interpr�tation excessive de d�fauts de vision ou d'optique mis en relief par l'observation nocturne d'un point tr�s brillant.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" observation de la plan�te V�nus particuli�rement lumineuse ces nuits-l�.";"Observations successives sur plusieurs soir�es du d�placement d'un point lumineux : observation astronomique de V�nus.";O;1;;;;;;;;2013-08-08;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-04-08252
2968;"SALLEBOEUF (33) 07.04.2012";Gironde;33;"(D) D�partement";2012;04;07;"Le 7 avril 2012 vers 23h30 deux personnes constatent le d�placement silencieux d'une centaines de points lumineux ros�s dans le ciel nuageux. Deux groupes successifs ainsi que d'autres points lumineux qui se suivent � la queue leu leu sont distingu�s � basse altitude. Tous les points arrivent du NNE et virent plein Est. L'observation dure 30minutes. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation d'une suite de boules blanches et roses, une nuit de week-end, fait nettement penser � un l�cher de lanternes, probablement issu d'une f�te priv�e. Le d�placement ordonn�, y compris dans un changement de trajectoire, est fr�quent avec des lanternes, car il r�sulte du suivi commun d'un m�me filet de vent, pas forcement uniforme pr�s du sol. Les lanternes blanches et roses sont tr�s pris�es pour les f�tes de mariage.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : probables lanternes thailandaises.";"Observation du d�placement lent et silencieux d'une centaine de points lumineux ros�s dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-11-04;;;0.10;0.00;;;0.60;;;;0.65;0.35;B;A;2012-04-08344
2969;"PAU (64) 06.05.2012";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2012;05;06;"Le 6 mai 2012 � 22h11 un t�moin est intrigu� par ce qu'il voit dans le ciel : trois lueurs orang�es se d�placent dans le ciel selon une trajectoire N-S. Deux des lueurs disparaissent brusquement alors que la troisi�me chute vers le sol et sera perdue de vue derri�re des immeubles.
L'aspect des lumi�res (boules oranges), la dur�e de quelques minutes, le d�placement lent et silencieux font nettement penser � des lanternes tha�. Deux heures apr�s le r�sultat des �l�ctions pr�sidentielles, certains ont pu vouloir f�ter l'�v�nement par un l�cher de lanternes.
Le vent faible et instable peut expliquer le d�calage entre les arriv�es des lueurs dans le ciel (ceci renforc� par un effet de perpective) ; la luminosit� de la flamme fait que m�me � courte distance (100m) on ne distingue plus les d�tails de l'objet. De plus il semblerait que pour l'une des lanternes, une partie du bloc de paraffine enflamm� se soit d�tach� pour tomber au sol.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observation du passage de trois lueurs orang�es : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-05-15;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-05-08240
2970;"TOURLAVILLE (50) 06.05.2012";Manche;50;"(D) D�partement";2012;05;06;"Des t�moins rapportent leurs observations du 6 mai 2012 entre 23h et 23h30 du d�placement silencieux de plusieurs points lumineux orang�s. Le ph�nom�ne semble s'�teindre et dispara�t apr�s plusieurs minutes d'observation.
L'aspect des lumi�res (boules oranges), leur d�placement selon le vent d'Est, la dur�e de quelques minutes et le d�placement lent et silencieux, font nettement penser � des lanternes tha�, probablement lanc�es par quelque �lecteur heureux de l'issue du scrutin pr�sidentiel.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observations du d�placement de ph�nom�nes lumineux orang�s : probable passage de lanternes thailandaises.";O;2;;;;;;;;2012-05-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-05-08243
2971;"DOUDEAUVILLE (76) 28.05.2012";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2012;05;28;"Un astronome amateur observe le ciel en direction de Mars le lundi 28 mai 2012 � 1h10 et remarque soudain le passage d'une train�e blanche puis une boule de feu de couleur rouge orange. Le ph�nom�ne disparait ensuite cach� par le toit de l'�glise vers le NO. Une d�tonation sourde se fait entendre. Le lendemain malgr� ses recherches aux alentours de son habitation aucune trace au sol du ph�nom�ne ne sera retrouv�e.
Compte tenu des �l�ments objectifs d�finis dans le compte rendu d'enqu�te ,(� savoir la forme, la couleur et le comportement de l'objet ; la pr�sence d'une train�e blanche et de bruits caract�ristiques ; l'existence d'autres t�moignages et d'enregistrements vid�o montrant le m�me ph�nom�ne dans la m�me tranche horaire et la disparition du ph�nom�ne au nord-ouest, confirm�e par un des enregistrements vid�o, nous pouvons conclure que le ph�nom�ne pr�sente toutes les caract�ristiques d'un bolide (chute de m�t�oro�de, couramment appel� m�t�orite), observ� depuis la Normandie et la r�gion parisienne.
Ce cas est class� en � A� comme observation certaine d'un bolide.";"Observation dans le ciel de la chute d'un ph�nom�ne lumineux : observation certaine d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.20;0.00;;;;;;;0.70;0.00;A;A;2012-05-08245
2972;"DIEPPE (76) 24.05.2012";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2012;05;24;"Le 24 mai 2012 � 23h55 deux t�moins, situ�s dans la zone portuaire de Dieppe (76), observent le d�placement d'un objet lumineux volant � basse altitude dans le ciel clair et �toil�. L'objet est de forme allong�e et de couleur blanche. Il passe devant le ch�teau, se dirige ensuite au-dessus de la plage puis lentement vers la mer et le large. La trajectoire est rectiligne. L'observation a dur� au total 30 minutes sans qu'aucun bruit particulier ne soit remarqu�. Un seul t�moignage sera recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis (voir le compte rendu d'enqu�te), � savoir :
- Objet en survol lent � tr�s basse altitude au-dessus de l'agglom�ration dieppoise.
- Vent nul � faible et contraire au sens de d�placement de l'objet.
- Quelques �l�ments factuels font penser � un possible drone.
L'hypoth�se d'un h�licopt�re a �t� envisag�e, sans pouvoir la confirmer.
Nous pouvons conclure que le PAN observ� par les t�moins n'est pas explicable avec les �l�ments disponibles, mais pr�sente des caract�ristiques compatibles avec les hypoth�ses plausibles envisag�es.
Ce t�moignage est d'une consistance moyenne : pr�cis mais peu d�taill� et sans photo, venant d'un t�moin unique. On pourra regretter l'absence de t�moignage du t�moin n�2, et surtout l'absence de r�ponse � une demande d'entretien.
L'observation est �trange car il s'agit d'un objet pr�sentant des caract�ristiques ne se conformant pas totalement aux objets volants connus, mais ne pr�sentant pas non plus des caract�ristiques de vol extraordinaires.
Faute d'informations pouvant conforter l'une ou l'autre des hypoth�ses, notamment l'absence du deuxi�me t�moignage et de l'audition du t�moin, le GEIPAN classe ce cas � C � par manque d'information.";"Longue observation du passage silencieux d'un objet lumineux � basse altitude dans le ciel dieppois : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-02-22;;;0.60;0.00;;;;;;;0.65;0.00;C;D1;2012-05-08246
2973;"AWALA-YALIMAPO (973) 05.05.2012";Doubs;25;"(D) D�partement";2012;05;05;"Le 5 mai 2012 vers 22h sur la plage des Hattes pr�s de Mana en Guyanne Fran�aise, un t�moin observe des ph�nom�nes lumineux qui l'intrigue. Plusieurs sph�res rouges se d�placent lentement et sans bruit dans le ciel.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis (couleur rouge des objets observ�s et photographi�s, d�placement lent et simultan� des objets sur une trajectoire ascendante, vent nul ou tr�s faible et jour de la semaine propices aux lancers de lanternes, existence d'un revendeur de lanternes depuis peu dans le d�partement), nous pouvons conclure que les trois objets observ�s et photographi�s par le t�moin n�1 ne sont probablement que des lanternes c�lestes, aussi appel�es �lanternes tha�landaises �.
Ce cas est � classer en � B � comme observation tr�s probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du lent et silencieux d�placement de boules rouges dans le ciel : probable lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.30;0.00;;;;;;;0.90;0.00;B;B;2012-05-08247
2974;"SAINT-MAIXENT-SUR-VIE (85) 12.05.2012";Vend�e;85;"(D) D�partement";2012;05;12;"Le t�moin rapporte de multiples observations dans le ciel depuis 2011. Les derniers ph�nom�nes observ�s se sont pass�s le samedi 12 mai 2012 vers 23 heures 05, le mardi 15 mai 2012 vers 23 heures 53 et le mardi 5 juin 2012 � 00 heures 19. A chaque fois il s'agit de boules lumineuses, brillantes comme des �toiles, se d�pla�ant dans le ciel en zigzaguant, pouvant acc�l�rer, descendre et monter tr�s rapidement et sans aucun bruit.
Les observations mentionn�es correspondent pr�cis�ment � des �clats lumineux sur les satellites Iridium et Metop (voir les relev�s Calsky). D'autres observations correspondent probablement � d'autres satellites : l'impression de l�ger zig-zags selon les trajectoires de points lumineux observ�s sur fond noir est fr�quente, c'est une illusion, nomm�e autocin�tique, d�e aux micromouvements que fait l'il pour suivre le point dans le ciel. L'impression d'�loignement et de rapprochement vient des variations de luminosit� des objets : un objet dont la luminosit� baisse est interpr�t� comme s'�loignant.
Ce cas d'observation est class� ""A"" : observation de reflets du soleil sur des satellites.";"Observations multiples du d�placement silencieux et en zig zag de boules lumineuses dans le ciel : observation de reflets du soleil sur des satellites.";O;1;;;;;;;;2013-10-07;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-05-08249
2975;"COULAINES (72) 30.05.2012";Sarthe;72;"(D) D�partement";2012;05;30;"Le 30 mai 2012 � partir de 21h, un t�moin observe, depuis son balcon, un objet sombre et fixe � altitude peu �lev�e. L'objet �met de fa�on irr�guli�re des clignotements. L'objet reste au m�me endroit jusqu'au coucher du t�moin, qui prendra le temps de faire une vid�o avec son t�l�phone portable.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis, � savoir :
- une m�t�orologie propice � la pratique du ballon captif : vent nul � faible.
- un balisage lumineux conforme � la r�glementation dans le cadre de l'utilisation d'a�ronefs captifs.
- des terrains propices pour l'utilisation d'un a�ronef captif, � l'azimut o� l'objet est visible.
Nous pouvons conclure que l'objet observ� est tr�s probablement un ballon captif.
Ce t�moignage est d'une bonne consistance du fait de la vid�o mais il manque des donn�es essentielles (azimut, estimations de taille et de hauteur) qui ont toutefois pu �tre reconstitu�es partiellement gr�ce � la vid�o. L'observation est peu �trange car il s'agit d'un objet ayant un comportement finalement banal.
Ce cas est class� en � B � comme observation probable d'un ballon captif.";"Observation d'un objet sombre et fixe clignotant de fa�on irr�guli�re. Altitude peu �lev�e : probable ballon captif.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.30;0.00;;;;;;;0.75;0.00;B;B;2012-05-08250
2976;"VILLENEUVE-LES-AVIGNON (30) 18.05.2012";Gard;30;"(D) D�partement";2012;05;18;"Le 18 mai 2012 entre 17h30 et 18h, deux personnes sont intrigu�es par un ph�nom�ne dans le ciel d�gag�. Un des t�moin filme le d�placement d'un objet qui s'illumine parfois dans le ciel. Le document vid�o de qualit� m�diocre ne permet pas une exploitation pour d'�ventuelles mesures de dimensions, de distance et de vitesse de l'objet.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis, � savoir la pr�sence d'un a�rodrome d�di� au vol � voile � proximit�, des planeurs recouverts de peinture blanche favorisant la r�flexion de la luminosit� solaire, de l'�volution de l'objet conforme � celles d'un planeur �voluant en vol thermique et de la m�t�orologie propice � la pratique du vol � voile, nous pouvons conclure que l'objet observ� par les t�moins �tait probablement un planeur en provenance de l'a�rodrome d'Avignon-Pujaut, effectuant des spirales en vol thermique, et dont les ailes et/ou la carlingue refl�taient par intermittence les rayons lumineux solaires.
Ce cas est � classer en � B � comme probable observation d'un planeur voltigeant � proximit� de l'a�rodrome d'Avignon-Pujaut, ses �l�ments constitutifs refl�tant la lumi�re solaire par intermittence.";"Observation par intermitence d'un objet lumineux dans le ciel : probable observation des reflets du soleil sur un planeur en vol.";O;1;;;;;;;;2013-12-11;;;0.30;0.00;;;;;;;0.70;0.00;B;B;2012-05-08251
2977;"PAYNS (10) 19.05.2012";Aube;10;"(D) D�partement";2012;05;19;"Le 19 mai 2012 � 23h20 plusieurs personnes d'une m�me famille constatent le passage dans le ciel de centaines de lumi�res associ�es � des formes qui les effrayent. Aucun bruit n'est entendu durant le passage des PAN au-dessus de leur propri�t�.
La Gendarmerie a fait une enqu�te de proximit� et a identifi� un l�cher de 100 lanternes chinoises lors d'un mariage, � quelques centaines de m�tres des t�moins.
Le GEIPAN a v�rifi� la compatibilit� du ph�nom�ne avec le vent local.
Le GEIPAN confirme les conclusions de l'enqu�te de la Gendarmerie, et classe ce cas ""A"", parfaitement identifi�, comme l�cher de lanternes tha�landaises. L'interpr�tation par les t�moins de ce ph�nom�ne de grande ampleur aura �t� fortement influenc�e par la surprise et la peur.";"Observations du passage de plus de cent lumi�res associ�es � des formes effrayantes dans le ciel : l�cher de lanternes thailandaises � l'occasion d'un mariage.";O;3;;;;;;;;2012-06-29;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-05-08253
2978;"SEZANNE (51) 30.05.2012";Marne;51;"(D) D�partement";2012;05;30;"Le 30 mai 2012, un t�moin constate sur une parcelle de bois qui lui appartient, qu'un ph�nom�ne d'herbes couch�es est apparu. Sur un diam�tre d'environ 4 m�tres, les herbes sont couch�es et l�g�rement jaunies et aucune trace alentour ne permet de penser qu'un animal ou un v�hicule aurait pu le provoquer.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis, � savoir :
- Une seule photographie prise par le t�moin.
- Pas de relev�s ni d'inspection minutieuse de la trace et de ses alentours.
L'hypoth�se d'un vortex cr�� par un ph�nom�ne venteux local reste la moins improbable, mais n'a pu �tre consolid�e par des relev�s m�t�o pertinents ni par l'observation d'autres perturbations locales. Nous pouvons conclure que, malgr� les nombreuses hypoth�ses �labor�es, aucune n'est satisfaisante au regard des donn�es quantifiables et exploitables fournies par l'examen de la photographie et du t�moignage.
Ce t�moignage est d'une consistance plut�t moyenne: assez pr�cis, mais venant d'un t�moin unique, avec une seule photographie et sans examen des lieux. L'observation est assez �trange car il s'agit d'un ph�nom�ne semblant a priori peu banal.
Ce cas est class� en � C � comme ph�nom�ne non identifiable en l'�tat, le manque d'�l�ments ne permettant pas d'�tablir un avis solide.";"Constatation au sol d'herbes couch�es dans un diam�tre de plusieurs m�tres : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2015-09-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-05-08267
2979;"SAINT-JUST-EN-CHAUSSEE (60) 12.05.2012";Oise;60;"(D) D�partement";2012;05;12;"Le t�moin observe un gros point lumineux en forme de disque, projetant une lumi�re blanche tr�s vive. Le d�placement tr�s rapide se fait sur une trajectoire NO-SE, rectiligne et d'altitude toujours �gale.
Ce disque tr�s brillant traversant le ciel en 8 � 10 secondes �voque nettement une rentr�e dans l'atmosph�re d'un d�bris de satellite ou plus probablement d'un m�t�oro�de (m�t�orite). Ce ph�nom�ne nomm� bolide est tr�s spectaculaire.
Le r�seau BOAM n'a pas enregistr� cet �v�nement pr�cis, mais fait �tat de nombreux �v�nements similaires la m�me nuit ; c'est la p�riode de plusieurs essaims m�t�oritiques, en particulier Eta Aquarides qui est le plus intense de cette p�riode de l'ann�e.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'un bolide, provoqu� par une rentr�e atmosph�rique d'un objet naturel.";"Observation du d�placement rapide et rectiligne d'un point lumineux projetant une lumi�re vive : probable observation d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-05-08274
2980;"CHOISY-LE-ROI (94) 21.05.2012";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2012;05;21;"Le 21 mai 2012 (la date pr�cise du jour a �t� valid�e lors de l'enqu�te) � 22h12, un automobiliste remarque, dans le ciel couvert le passage N-S d'un ph�nom�ne lumineux qui l'intrigue. Lors d'un arr�t � un feu rouge il remarque une forme cylindrique ""ressemblant � une ic�ne dont la pointe est vers le sol"". Sortant de son v�hicule il constate que l'objet est stationnaire et qu'une puissante lumi�re sort de petits hublots. Autour de l'objet une sph�re lumineuse de couleur orange est remarqu�e. L'objet prend ensuite une trajectoire ascendante et change de forme (V invers�) et de couleur (blanche) et disparait dans la couche nuageuse. L'observation a dur� 15 secondes au total. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs d�finis dans le compte rendu d'enqu�te, � savoir :
- Objet de forme inhabituelle et muni de � hublots � lumineux.
- Arr�t au-dessus de la route face au t�moin.
- D�part au bout de quelques secondes en changeant de forme.
Nous pouvons conclure que le PAN observ� par les t�moins n'est pas explicable et pr�sente de nombreuses caract�ristiques difficilement compatibles avec la seule hypoth�se plausible envisag�e, celle du ballon festif.
Ce cas est � classer en � D1 � comme observation d'un objet de nature inconnue.
Ce t�moignage est d'une bonne consistance : tr�s pr�cis, mais venant d'un t�moin unique et sans photo. On peut s'�tonner qu'en pleine ville, personne d'autre n'ait remarqu� le ph�nom�ne.
L'observation est �trange car il s'agit d'un objet dont les caract�ristiques physiques et dynamiques sont peu communes et ne se conforment pas de fa�on stricte � aucun objet volant connu.
";"Observation d'un objet volant silencieux stationnaire puis en ascension ; changement de forme et de couleur : cas class� en � D1 � comme observation d'un objet de nature inconnue.";O;;;;;;;;;2016-06-21;;;0.60;0.00;;;;;;;0.70;0.00;D1;D1;2012-05-08357
2982;"DOMMARTIN (69) 24.06.2012";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2012;06;24;"Le dimanche 24 juin 2012 � minuit 20, un t�moin et son �poux observent dans le ciel d�gag� une dizaine de points lumineux jaune-blanc. Le t�moin constate que ces points qui semblent statiques se mettent ensuite en mouvement, prennent de l'altitude et partent vers l'horizon � grande vitesse. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation de 5 minutes. Un seul t�moignage est recueilli mais une photographie est prise.
L'observation de boules ou disques oranges dans le ciel, une nuit de week-end fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Ce qui est d�crit, ainsi que la photo, se retrouvent dans de nombreuses observations de lanternes. La Gendarmerie arrive � la m�me conclusion.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : probable lanterne.";"Observation du d�placement silencieux de neuf taches lumineuses jaune-blanc dans le ciel nocturne et d�gag� : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.10;0.00;;;0.60;;;;0.65;0.35;B;A;2012-06-08255
2983;"MAFFLIERS (95) 29.06.2012";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2012;06;29;"Le 29 juin 2012 vers 6h06 (pr�cision sur l'heure voir le compte-rendu d'enqu�te) un promeneur, alert� par son chien, est intrigu� par la pr�sence d'un objet lumineux blanc, stationnaire � basse altitude au-dessus d'un champ en lisi�re de for�t. L'observation qui dure moins de vingt secondes, permet cependant au t�moin de d�clarer que l'objet avait de grandes dimensions, une forme plate en-dessous et concave au-dessus. Alors qu'il se met � pleuvoir, l'objet s'�l�ve un peu, s'incline et part � grande vitesse en direction du ciel nuageux. Aucun bruit particulier, aucune fum�e ne sont constat�s durant l'observation par le t�moin apeur�. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne.
Ce cas pr�sente la particularit� d'�tre extr�mement semblable et synchrone avec un ph�nom�ne naturel bien classique : l'observation du soleil au levant entre deux couches nuageuses.
Mais plusieurs �l�ments importants ne conviennent pas :
-Principalement la direction d'observation : 54� d'�cart par rapport au soleil, cet �cart est impossible � affecter � une incertitude.
-L'inclinaison du ph�nom�ne avant sa disparition : ce deuxi�me �l�ment pourrait s'expliquer par une illusion de la perception due � l'intensit� lumineuse du ph�nom�ne, ou bien par analogie � des observations de PAN m�diatis�es.
-La taille apparente du ph�nom�ne : presque 10 fois plus grande que l'image du soleil : la surestimation du diam�tre apparent de la Lune ou du Soleil � son lever est tr�s fr�quente, mais rarement dans ces proportions.
Les enqu�teurs du GEIPAN sont all�s sur place une premi�re fois pour v�rifier le lieu et les directions d'observation indiqu�es par le t�moin et ont exclu l'erreur involontaire d'estimation de direction par le t�moin. Une deuxi�me fois pour �tudier la possibilit� d'une r�flexion complexe du soleil permettant de l'observer dans une autre direction. Ils n'ont pas pu mettre en �vidence d'hypoth�se satisfaisante ; mais il faut noter aussi que les conditions m�t�orologiques de ce matin-l� �taient tr�s particuli�res, et bien s�r non reproductibles : grosse chaleur et grosse pluie la veille, et forte couverture nuageuse le matin m�me.
Son �tranget� est moyenne, puisque le ph�nom�ne est semblable � un ph�nom�ne naturel bien classique, mais avec au moins une caract�ristique importante non-conforme.
Le GEIPAN classe ce cas � D1 � comme inexpliqu� et de consistance moyenne.";"T�moignage unique d'une observation d'un objet lumineux blanc gigantesque flottant au-dessus d'un champ. Inclinaison et d�part rapide et silencieux vers les nuages : ph�nom�ne non identifi�.";O;1;;;;;;;;2014-09-05;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2012-06-08256
2984;"SAINTE-LUCE-SUR-LOIRE (44) 30.06.2012";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2012;06;30;"Le 30 juin 2012 � 23h25 deux t�moins observent depuis leur terrasse le passage successif de trois lueurs de couleur rouge-orang�. Toutes se dirigent silencieusement dans la m�me direction.
Le comportement d�crit du ph�nom�ne, les photographies et la vid�o, l'horaire, le silence, la date (un samedi soir) �voquent sans aucun doute des lanternes thailandaises. Le vent d'Ouest pr�sent ce jour l� (voir relev�) est coh�rent avec le d�placement vers l'Est des objets.
Ce cas est class� ""A"".";"observation du passage silencieux d'une serie de boules rouge-orang� : lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-07-19;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-06-08257
2985;"PARIS (75) 20.06.2012";Paris;75;"(D) D�partement";2012;06;20;"Le 20 juin 2012 aux alentours de 22h50 un t�moin est intrigu� par le passage silencieux dans le ciel d'un point lumineux. Il filme son observation.
Apr�s avoir analys� l'hypoth�se d'un avion vu de face pr�parant son atterrissage � Roissy, et celle du passage d'une lanterne tha�landaise (le vent est contraire), le GEIPAN a finalement retenu l'hypoth�se de l'ISS : temps clair, et passage de la Station Spatiale Internationale, tr�s bien visible � Paris (voir relev� Calsky), se levant � 22h46 juste dans la direction indiqu�e par le t�moin, culminant � 22h51, heure indiqu�e par le t�moin.
Ce cas est class� ""A"" : Observation de l'ISS parfaitement identifi�.";"Observation du passage d'un point lumineux dans le ciel : observation du passage de la Station Spatiale Internationale.";O;1;;;;;;;;2012-08-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-06-08264
2986;"MANCIEULLES (54) 17.06.2012";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2012;06;17;"Le 17 juin 2012 � minuit vingt cinq, un couple observe le passage silencieux d'un ph�nom�ne lumineux constitu� de boules rouges. Les t�moins filment leur observation.
Ce cas est typique de lanternes tha�landaises : boules oranges ou rouges en d�placement erratique selon le vent local (Sud Ouest vers Nord Est), lanc�es dans la nuit de samedi au dimanche.
La vid�o confirme cette hypoth�se (la vid�o montre des objets blancs, probablement � cause de la balance des blancs du cam�scope qui devait �tre en mode automatique). Le t�moin qui assiste � un lancement de lanternes pense qu'elles ne se d�placent que verticalement, et n'a pas accept� cette hypoth�se.
Un article de presse du R�publicain Lorrain du 30 ao�t 2012 rapporte que l'auteur de ce l�cher de lanternes s'est signal�.
Le cas est class� A : observation de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage d'une dizaine de boules volantes oranges ou rouges : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2018-06-04;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-06-08268
2988;"COLLE-SUR-LOUP (LA) (06) 17.06.2012";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2012;06;17;"Le 17 aout 2012 aux alentours d'une heure du matin un couple rentre chez eux en voiture, lorsque la passag�re remarque dans le ciel d�gag� la pr�sence de plusieurs boules lumineuses orang�es non clignotantes. Ces lumi�res sont � basse altitude. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de boules oranges dans le ciel, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. Le fait qu'elles aient disparu au bout de quelques minutes est aussi typique des lanternes (dur�es de fonctionnement de leurs bruleurs).
Le t�moin est surpris par l'observation (ce qui arrive aussi pour des lanternes), par contre il signale la pr�sence d'autres observateurs de ces ph�nom�nes et ces derniers n'ont pas fait de t�moignages, ni au GEIPAN, ni en gendarmerie.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : probable lanternes thailandaises.";"Observation de plusieurs boules lumineuses orang�es dans le ciel nocturne d�gag� : probable lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.10;0.00;;;0.70;;;;0.65;0.35;B;A;2012-06-08272
2989;"SOUCHEZ (62) 17.06.2012";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2012;06;17;"Un t�moin observe depuis son domicile le lent d�placement silencieux et rectiligne d'une dizaine de lumi�res rouges dans le ciel.
La description faite par le t�moin, les vid�os, le d�placement dans selon le vent de Sud-Ouest, l'heure dans la semaine, correspondent en tous points � l'observation de lanternes tha�landaises, probablement lanc�es � la fin d'une f�te.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" :observation probable de lanternes tha�.";"Un t�moin observe le d�placement lent et silencieux d'une dizaine de lumi�res rouges : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-10-31;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-06-08314
2990;"LAMBERSART (59) 17.06.2012";Nord;59;"(D) D�partement";2012;06;17;"Le 17 juin 2012 � 4h du matin un t�moin sur sa terrasse observe durant 15 secondes le passage silencieux de plusieurs (10/15) sph�res transparentes qui volent dans le ciel d�gag�. L'ensemble s'�loigne rapidement vers le Nord en direction d'une formation nuageuse dans laquelle tout disparait. Un seul t�moignage est receuilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs d�finis dans le compte rendu d'enqu�te, � savoir : - des objets transparents, de forme sph�rique, se d�pla�ant silencieusement � une altitude comprise entre 1460 m et 2000 m. - l'absence de bruit. Nous pouvons conclure que les PANs observ�s par le t�moin pr�sentent des caract�ristiques, en particulier physiques, qui ne s'apparentent � aucun objet naturel ou manufactur� connu. Ce cas est � classer en � D1 � comme observation d'objets de nature inconnue. Ce t�moignage est d'une bonne consistance : pr�cis, mais venant d'un t�moin unique et sans photo. L'observation est �trange car il s'agit d'objets ayant une apparence peu banale, bien que leur comportement ne pr�sente pas d'aspects hors du commun.";"Observation du vol silencieux en formation de tr�s nombreuses ""sph�res transparentes""; trajectoire Sud Nord : ph�nom�ne non identifi� �trange.";O;;;;;;;;;2016-02-24;;;0.60;0.00;;;0.85;;0.80;;0.70;0.00;D1;D1;2012-06-08317
2991;"REMUZAT (26) 05.07.2012";Dr�me;26;"(D) D�partement";2012;07;05;"Le 5 juillet 2012 � 22h22 un t�moin (T1) et son �pouse dans leur salon entendent le bruit du passage d'avion � r�action. Le T1 se rend � l'ext�rieur de son habitation. Il est surpris par la pr�sence dans le ciel de deux lumi�res blanches suivies � distances par trois avions de ""chasse"" volant � base altitude. Les PANs sont perdus de vue masqu�s par le paysage. D'autres t�moignages sont recueillis sur le passage des avions (voir le compte rendu d'enqu�te). Un t�moin (T3) fera une d�position en gendarmerie.
Compte tenu des �l�ments recueillis dans le rapport d'enqu�te ci joint, la seule hypoth�se envisag�e est la confusion avec les feux de position arri�re d'avions de chasse augment�e par les mauvaises conditions d'observation et �ventuellement de plusieurs passages des m�mes avions, dont les deux premiers n'auraient pas encore allum�s leurs feux d'atterrissage.
Ce t�moignage est de tr�s bonne qualit� (concis, tr�s pr�cis, neutre, et r�dig� tr�s vite apr�s l'observation), et de bonne consistance car, bien que venant d'un t�moin unique et sans photo, nous avons pu nous appuyer sur un second t�moignage d�pos� aupr�s de la Gendarmerie pour �tudier l'hypoth�se.
L'observation est finalement peu �trange car les PANs sont, apr�s enqu�te, facilement caract�risables.
L'�tranget� �tait au premier abord surtout cr��e par le fait que le t�moin n�1 n'avait pas observ� les premiers avions lors de leur phase initiale d'approche, leur feux d'atterrissage �tant possiblement �teints et les conditions d'observation �tant d�favorables.
Le GEIPAN classe ce cas en � B � comme confusion probable avec les feux de navigation d'avions de chasse.";"Observation de deux lumi�res blanches suivies � distances par trois avions de ""chasse"" : probable confusion avec les feux de navigation d'avions de chasse.";O;;;;;;;;;2016-06-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-07-08258
2992;"AUTHEZAT (63) 04.07.2012";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";2012;07;04;"Le 4 juillet 2012 � 7h20 un automobiliste circulant sur l'A75 � la hauteur de la commune d'Authezat (63) est intrigu� par la pr�sence dans le ciel d'un objet de couleur sombre et de forme ronde � ovale. Il est immobile en direction du Sancy. Six minutes plus tard circulant sur la D2013 entre Saint-Amand-Tallende et Aydat � hauteur de Saint-Saturnin, l'automobiliste voit de nouveau l'objet et constate 5 autres formes qui se d�placent � vitesse r�duite et � basse altitude. Le t�moin pense � des avions de chasse. Prenant la direction de Chadrat l'automobiliste perd de vue les divers �l�ments. L'observation a dur� 8 minutes. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Ce t�moignage est d'une consistance moyenne car peu pr�cis, venant d'un t�moin unique et sans photo. L'observation est peu �trange car il pourrait s'agir d'un objet tout � fait banal.
Les hypoth�ses retenues (voir rapport ci-joint) sont celles un a�rostat, d'un ballon captif ou encore d'un engin de vol libre (ULM, parapente...).
Cependant compte tenu des �l�ments recueillis dans l'enqu�te, � savoir :
- l'analyse de trois hypoth�ses convenant mal � l'observation
- l'absence d'informations (mesures angulaires) ne permettant pas de mieux v�rifier les estimations de la taille, de la distance et de l'altitude du PAN
ce cas est class� C par manque d'informations.";"Observation par un automobiliste d'un objet de couleur sombre et de forme ronde � ovale dans le ciel. Cinq autres formes en d�placement sont �galement observ�es : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.40;0.00;;;0.70;;0.60;;0.40;0.00;C;B-;2012-07-08260
2993;"SAINT-JULIEN-DU-SAULT (89) 08.07.2012";Yonne;89;"(D) D�partement";2012;07;08;"Depuis son jardin, un t�moin observe � l'il nu le 8 juillet 2012 vers 23h30, un point lumineux dans un ciel clair et d�gag�. La trajectoire du point, d'abord rectiligne, continue en zig zag orient� Nord Sud, pendant plusieurs minutes.
Aucun autre t�moignage ne sera recuelli sur ce ph�nom�ne.
La description du t�moin, pour la partie rectiligne de la trajectoire, fait nettement penser � un satellite, nombreux � passer � cette heure l� (voir liste Calsky).
Le zigzag en fin de trajectoire n'est pas banal, mais pe�t etre la cons�quence du ph�nom�ne physiologique d'autocin�tique (voir page 26 et 27 du document ""Aids to identification of flying objects"" disponible sur le site du GEIPAN actuellement via les actualit�s).
Plusieurs satellites sont candidats selon le site Calsky, IGS 1A semble le mieux correspondre (voir document passage satellite).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de satellite, per�u sur une partie de sa trajectoire avec un ph�nom�ne d'autocin�tique.";"Observation ddu passage rectiligne puis en zig zag d'un point lumineux dans le ciel : observation probable de satellite.";O;1;;;;;;;;2012-07-25;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-07-08261
2994;"SAINT-MAUR-DES-FOSSES (94) 09.07.2012";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2012;07;09;"Le 9 juillet 2012 entre 21h30 et 21h50, un t�moin est intrigu� par l'observation d'un objet dans le ciel. Une forme d�crite comme � la fois arrondie et triangulaire se d�place sans bruit avant de dispara�tre dans un nuage.
Le d�placement vertical de l'objet (vent local faible : voir m�t�o), son reflet, sa forme (voir exemple de ballon en annexe) font nettement penser � un ballon festif gonfl� � l'helium.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'un ballon festif.";"Observation du d�placement silencieux d'une forme � la fois triangulaire et arrondie sur laquelle le soleil se refl�te : probable observation d'un ballon festif.";O;1;;;;;;;;2012-08-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-07-08262
2995;"ORAISON (04) 06.07.2012";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";2012;07;06;"Le 6 juillet 2012 � partir de 21h50 plusieurs personnes sont intigu�es par l'observation de ph�nom�nes lumineux dans le ciel apparaissant de nombreuses fois (13 fois) dans la soir�e.
Un des t�moin rapporte son observation au GEIPAN et � la gendarmerie.
Cette observation par plusieurs t�moins d�crit un ph�nom�ne d'apparence �trange bien difficile � identifier si l'on n'a pas �t� inform� auparavant.
Le premiers vendredi de juillet, la nouvelle promotion de la Patrouille de France effectue une d�monstration nocturne peu apr�s le coucher du soleil, sur la r�gion de Salon de Provence. Les Alphajets sont �quip�s d'un puissant phare dans le nez de l'avion, visible � plusieurs dizaines de km, si et seulement si l'observateur est dans l'axe de l'avion. Lors des acrobaties en vol, l'observateur lointain voit appra�tre et dispara�tre un ensemble de points lumineux. (Voir le cas VAUCLUSE (84) 02.07.2008 et APT (84) 02.07.2010 http://www.patrouilledefrance.fr/calendrier/2012-07-05-220000/d-fil-et-pr-sentation-salon-de-provence).
Ce cas est class� ""A"" : observation de la patrouille de France.";"Observations successives de ph�nom�nes lumineux jaunes : vol de la partouille de France.";O;2;;;;;;;;2012-10-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-07-08263
2996;"LIVRON-SUR-DROME (26) 11.07.2012";Dr�me;26;"(D) D�partement";2012;07;11;"Trois personnes observent le 11 juillet 2012 � 21h30 le lent passage O-E d'une boule brillante de couleur jaune vif qui se scinde en deux avant de dispara�tre. Aucun bruit n'est entendu durant le passage.
Apr�s avoir rejet� l'hypoth�se de lanternes tha� (d�placement vers l'Est non coh�rent avec le vent du Nord-Ouest, s�paration en deux objets), l'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique d'un d�bris spatial est privil�gi�e :la description du t�moin, la fragmentation, la dur�e, le d�placement vers l'Est sont compatibles. Le catalogue Calsky des rentr�es atmosph�riques mentionne deux rentr�es ce jour l�, mais ils ne correspondent a priori pas � cet �v�nement (orbites quasi polaires). Le catalogue du BOAM (observateurs de m�t�ores) ne mentionne rien � cette heure l�. Ce cas est class� ""B"" : observation probale de rentr�e dans l'atmosph�re de d�bris spatiaux.";"Observation du passage d'une boule brillante se s�parant en deux : probable rentr�e atmosph�rique de d�bris spatiaux.";O;1;;;;;;;;2012-07-20;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-07-08265
2997;"MONTPELLIER (34) 17.07.2012";H�rault;34;"(D) D�partement";2012;07;17;"Un t�moin rapporte une observation faite le 17 juillet 2012 � 4h03 : depuis sa terrasse il observe en direction de l'Est-SEst deux points particuli�rement lumineux dans le ciel. Il filme son observation et d�couvre en regardant sa vid�o un troisi�me point. Cet ensemble lui appara�t alors comme un triangle. Il fera la m�me observation deux jours plus tard.
L'observation de deux points lumineux fixes tr�s brillants oriente vers l'hypoth�se d'origine astronomique : la carte du ciel de ce jour indique la pr�sence simultan�e de V�nus et Jupiter ce matin l�, en direction de Est/NEst (voir carte astro). La vid�o du t�moin est conforme � la disposition de ces astres dans le ciel. Le troisi�me point lumineux, moins brillant, est Aldebaran, une �toile tr�s brillante (magnitude -0,6).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" comme parfaitement identifi� : observation des plan�tes V�nus et Jupiter,et de l'�toile Aldebaran.";"Observation de trois points lumineux dans le ciel : observation astronomique des plan�tes V2nus et Jupiter et de l'�toile Aldebaran.";O;1;;;;;;;;2012-08-24;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-07-08269
2998;"CONFLANS-SAINTE-HONORINE (78) 01.07.2012";Yvelines;78;"(D) D�partement";2012;07;01;"Le 1er juillet 2012 aux environs de 23h un t�moin observe le passage silencieux de plusieurs lumi�res oranges qui se d�placent sur une trajectoire l�g�rement courbe vers l' Est. Ces lumi�res changent de direction brusquement pour prendre la direction du Nord avant de disparaitre rapidement.
La description du t�moin correspond en tous points � l'observation d'un passage de lanternes tha�landaises : couleur orange, d�placement en douceur et en silence selon le vent (de Sud Ouest vers le Nord Est, variable faible s'affaiblissant, voir relev� m�t�o), et disparition au bout de quelques minutes.
Le GEIPAN n'a pas recherch� le lieu possible du l�cher. (Peut-�tre le Parc du prieur�, � la fin du B� Festival ?) Ce cas est class� ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement silencieux de six boules lumineuses oranges : probable observation de lanternes thailandaises";O;1;;;;;;;;2012-10-05;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-07-08270
2999;"COURBEVOIE (92) 27.07.2012";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2012;07;27;"Le 27 juillet 2012 � 8h23 un t�moin observe dans le ciel le d�placement silencieux � vitesse constante d'un objet de grande taille et de couleur sombre.
L'enqu�te d�montre que la vitesse et sens de d�placement de l'objet peut �tre compatible avec le vent soufflant au jour et � l'heure de l'observation. De plus aucun autre t�moignage, malgr� le survol par l'objet d'une zone dens�ment peupl�e � une heure � de pointe �, n'a �t� recueilli. L'objet observ� par le t�moin n'est sans doute qu'un d�bris port� par le vent.
Ce t�moignage est d'une bonne consistance : pr�cis, mais venant d'un t�moin unique et sans photo. L'observation est moyennement �trange. L'objet observ� pr�sente quelques caract�ristiques dynamiques compatibles avec celles d'un objet passif port� par le vent ; il pourrait s'agir d'un objet ayant un comportement banal.
Ce cas est class� en � B � comme observation probable d'un d�bris volant port� par le vent.";"Observation du d�placement silencieux dans le ciel d'un objet sombre en zone urbaine : observation probable d'un d�bris volant port� par le vent.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.50;0.00;;;;;;;0.70;0.00;B;D1;2012-07-08273
3000;"PARISOT (81) 26.07.2012";Tarn;81;"(D) D�partement";2012;07;26;"Vers le 26 juillet 2012 vers 22h deux t�moins sont intrigu�s par l'observation de trois lumi�res (deux blanches et une bleue � la pointe d'un triangle gris qui passe au-dessus d'eux.
Cette observation de trois points lumineux traversant le ciel en ligne droite est moyennement �trange, car pouvant �tre attribu�e � un passage simultan� de 3 satellites ; cependant les t�moins affirment bien avoir per�u un triangle sombre entre ces points, ce qui rendrait le ph�nom�ne plus �trange. Le GEIPAN n'a pas pu corr�ler nettement l'observation avec des satellites connus, malgr� deux satellites candidats envisag�s.
Le t�moignage est moyennement consistant puisque les deux t�moins ne sont pas ind�pendants, et qu'il n'y a pas de photo/video. La date de l'observation reste un peu incertaine.
Devant ces incertitudes, ce cas est class� � C � par manque d'informations.";"Observation de lumi�res et d'un triangle gris passant dans le ciel dans une trajectoire rectiligne SSO-NNE : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.50;0.00;;;;;;;0.50;0.00;C;D1-;2012-07-08275
3001;"TOURY (28) 27.07.2012";Eure-et-Loir;28;"(D) D�partement";2012;07;27;"Un t�moin rapporte une observation faite le 27 juillet 2013 vers 3h30 du matin : le t�moin a observ� deux fois le passage rapide et silencieux dans le ciel de lumi�res orang�es composant une forme triangulaire. Le premier passage avait une trajectoire O-E et le second E-O. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Compte tenu des �l�ments suivants :
- Pas d'information sur l'azimut exact d'apparition et de disparition.
- Pas d'information non plus sur les hauteurs angulaires d'apparition et de disparition.
- Nombre d'objets dans chaque formation non pr�cis�.
- Position relative des objets les uns avec les autres au sein des formations non pr�cis�.
- Absence de mesures angulaires, � la fois pour les dimensions des formations et pour les objets individuels.
Ce t�moignage est d'une consistance assez faible : il manque des �l�ments importants d'appr�ciation, venant d'un t�moin unique et sans photo. L'observation est moyennement �trange : les formes ne sont pas banales, mais le d�placement est lin�aire, et le ph�nom�ne lointain. Le manque d'information ne permet pas de conclure en faveur d'une hypoth�se.
Ce cas est � classer en � C � comme observation d'un ph�nom�ne non identifiable en l'�tat, le manque d'�l�ments ne permettant pas d'�tablir un avis solide.";"Observation de passages de lumi�res orang�es dans le ciel composant une forme triangulaire : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-07-08278
3002;"CHAVEROCHE (19) 27.07.2012";Corr�ze;19;"(D) D�partement";2012;07;27;"Le 27 juillet 2012 entre 4h20 et 4h25 un t�moin est intrigu� par le passage silencieux dans le ciel d'une lumi�re blanche laiteuse, de forme ovale. L'observation dure environ 45 secondes avant qu'un deuxi�me ph�nom�ne lumineux orang� apparaisse, calquant sa trajectoire "" � la perfection"" sur le premier ph�nom�ne lumineux. Ces lumi�res se d�placent � �cart et vitesse constants sur une trajectoire rectiligne. Le ph�nom�ne dispara�t cach� par le paysage.
Le t�moin a eu la chance d'observer un passage de l'ISS (magnitude -3, comme V�nus) et du cargo spatial japonais HTV (magnitude 3) quelques heures avant son amarrage � la station spatiale internationale ISS (voir relev� Calsky et page web de l'Agence spatiale canadienne)), sur la m�me orbite, � quelques degr�s l'un de l'autre.
Ce cas est class� ""A"" parfaitement identifi� comme observation d'un tr�s rare passage ISS + HTV.
On notera que le t�moin a d�crit l'objet gros comme la Lune, et pour une observation d''une dur�e de 45 secondes : ce type d'erreur d'appr�ciation n'est pas rare pour des ph�nom�nes surprenants.";"Observation du d�placement dans le ciel d'une premi�re lumi�re suivi d'une seconde sur une m�me trajectoire et � vitesse et �cart constants : rare observation du passage de l'ISS et du cargo spatial japonais HTV.";O;1;;;;;;;;2012-09-17;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-07-08293
3003;"NIEDERMODERN (67) 07.07.2012";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2012;07;07;"Un t�moin rapporte une observation faite le samedi 7 juillet 2012 vers 22h40. Il observe le passage silencieux Est-Ouest de plusieurs boules de couleurs jaune-orang� toutes align�es et � �quidistance les unes derri�res les autres.
La description du t�moin fait imm�diatement � des lanternes tha� : passage horizontal de boules de feu, par groupe, sans bruit, d'Est en Ouest. A Strasbourg, le l�ger vent soufflait de Nord � 23h, mais de Sud � 20h ; il est difficile d'affirmer que le vent soufflait d'Est � Niedermodern, mais c'est envisageable.
Les f�tes priv�es sont nombreuses les samedis soirs d'�t�, et beaucoup se terminent par un l�cher de lanternes tha�.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�";"Observation par un t�moin du d�placement silencieux de 8 � 10 boules de couleur touge-orang� : probable observation du passage de lanternes thailandaises..";O;1;;;;;;;;2012-10-05;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-07-08296
3004;"MONTCHABOUD (38) 26.07.2012";Is�re;38;"(D) D�partement";2012;07;26;"Le 26 juillet 2012 � 22h20 un t�moin sur son balcon est intrigu� par le passage rapide et silencieux d'une boule peu lumineuse et vaporeuse dans le ciel d�gag�. Lors du d�placement S-N de l'objet, le t�moin constate des points lumineux en-dessous de l'objet ainsi que plusieurs petits jets de train�e � l'arri�re. L'observation a dur� 6 secondes avant que l'objet ne soit cach� par par le toit de la maison. Aucun autre t�moignage n'a �t� rapport�.
Nous sommes en pr�sence d'un cas de ph�nom�ne se d�pla�ant en ligne droite, donc d'une �tranget� a priori moyenne, mais l'aspect tout � fait inhabituel du ph�nom�ne le rend plus �trange. On constate un relativement grand nombre d'hypoth�ses � consid�rer, car le ph�nom�ne se rapproche de diverses causes (voir compte rendu d'enqu�te), mais aucune ne convient bien.
La consistance du cas est bonne, avec un t�moignage de grande qualit�, tr�s pr�cis, bien document�, r�dig� par le t�moin aussit�t la fin de l'observation. Mais ceci reste un t�moignage unique, sans photo ni vid�o.
Le GEIPAN, n'ayant pu confirmer aucune des hypoth�ses envisag�es, classe ce cas � D1 � comme inexpliqu�.";"Observation du passage rapide et silencieux sur une trajectoire rectiligne d'une boule vaporeuse avec train�e : ph�nom�ne inexpliqu�.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.60;0.00;;;;;;;0.75;0.00;D1;D1;2012-07-08299
3005;"FONTENAY-PRES-VEZELAY (89) 26.07.2012";Yonne;89;"(D) D�partement";2012;07;26;"Un t�moin observe le 26 juillet 2012 � 5h10 le passage d'un point lumineux blanc, se d�pla�ant lentement Sud-Ouest Nord-Est, en silence.
Le t�moin a observ� le passage de la station spatiale internationale (ISS)( voir la carte du ciel extraite du site Heavens-above avec la trace de l'ISS. Attention regarder la carte ""t�te en l'air"" avec l'Est � gauche).
Le cas est class� A : observation du passage de l'ISS.";"Observation d'un point lumineux mobile et blanc, se d�pla�ant lentement Sud-Ouest Nord-Est : passage de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2012-09-13;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-07-08302
3006;"LACHELLE (60) 03.07.2012";Oise;60;"(D) D�partement";2012;07;03;"Le 3 juillet 2012 vers 21h15, un automobiliste observe un ph�nom�ne qui l'intrigue : deux sph�res s�par�es par quelque chose �voquant une h�lice en rotation se d�placent sous le ciel nuageux. Le ph�nom�ne est de couleur gris mat et n'est pas �quip� de feux de position. Depuis son v�hicule, le t�moin, ancien pilote, ne reconnait pas l'objet. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Apr�s une enqu�te approfondie, aucune hypoth�se satisfaisante n'a �t� retenue (voir le compte rendu d'enqu�te).
En conclusion, bien que le t�moin fasse preuve d'une grande cr�dibilit�, une audition et reconstitution sans faille, ce cas d'observation manque d'informations et de t�moignages suppl�mentaires ; il reste de consistance moyenne.
L'�tranget� du cas est aussi moyenne puisqu'on peut trouver des hypoth�ses plausibles, mais qui n'ont pu �tre ni valid�es ni infirm�es .
Le GEIPAN classe ce cas � C � par manque d'informations et de recoupement.";"Observation de deux sph�res s�par�es par quelque chose �voquant une h�lice en rotation : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2015-01-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-07-08320
3007;"LACHELLE (60) 14.07.2012";Oise;60;"(D) D�partement";2012;07;14;"Le 14 juillet 2012 � 22h50, lors de festivit�s communales et avant que le feu d'artifice ne commence, un t�moin est intrigu� par le passage silencieux d'Est en Ouest d'une lumi�re orange.
L'aspect de l'objet (halo de lumi�re orange), son mode de d�placement selon le vent d'Ouest soutenu (voir relev� Meteociel), sa courte dur�e, et l'observation le jour de la f�te nationale sont en tous points compatibles avec le passage d'une lanterne tha�landaise. Le t�moin, ne connaissant pas ce genre d'objet, n'a pu en estimer la distance r�elle ni la taille.
Le GEIPAN n'a pas men� les recherches pour retrouver les auteurs du l�cher.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable du passage d'une lanterne tha�landaise.";"Observation du passage silencieux E-O d'une lumi�re orange dans le ciel : probable observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2012-09-20;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-07-08321
3009;"SAINT-ANDRE (66) 14.07.2012";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2012;07;14;"Le 14 juillet 2012 vers minuit, une automobiliste est intrigu�e par le d�placement silencieux dans le ciel de trois lumi�res blanches tr�s vite cach�es par le paysage. Le t�moin rapporte en 2013 cette observation ainsi qu'une autre observation faite sept ans auparavant.
Le t�moin relate 2 observations sur le m�me questionnaire. La premi�re, trop impr�cise, n'est pas prise en compte.
Pour la deuxi�me observation, le fait qu'elle se d�roule le 14 juillet au soir oriente vers 3 objets festifs port�s par le vent : ballons lumineux ou lanternes tha�landaises. La tr�s courte dur�e de l'observation ne permet pas de d�duire le sens de d�placement des objets, et de le corr�ler �ventuellement avec le vent (fort vent de NO : tramontane). La variation des lumi�res fait plut�t penser � une lanterne, mais elles sont g�n�ralement per�ues comme jaunes ou orang�s.
Ce cas ne pr�sente pas toutes les caract�ristiques de lanternes tha�, mais est certainement li� � 3 objets lumineux port�s par le vent. Le GEIPAN classe cas ""B"" : observation de ballons lumineux ou lanternes tha�.";"Observation du d�placement silencieux de trois objets lumineux dans le ciel : probable observation de ballons lumineux ou lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-06-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-07-08432
3010;"MARSEILLAN (34) 23.07.2012";H�rault;34;"(D) D�partement";2012;07;23;"Le 23 juillet 2012 � 22h45 deux t�moins sur une plage font successivement des observations de ph�nom�nes qui les intriguent. Trois ph�nom�nes distincts sont rapport�s succintement par les deux t�moins. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Ce cas pr�sente un assez fort degr� d'�tranget�, mais est d'une consistance plut�t faible : en effet, il y a bien deux t�moins mais pas ind�pendants, et il est �tonnant, � une heure o� il y a encore de nombreux promeneurs sur la plage qu'aucun autre t�moin ne se soit signal�.
On note aussi que l'observation a �t� tr�s courte.
L'enqu�te n'a pas relev� de similitudes avec les m�prises classiques.
Par manque de recoupements, ce cas est class� � C �";"Observations successives de ph�nom�nes diff�rents dans le ciel : manque d'informations";O;2;;;;;;;;2013-06-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-07-50026
3011;"BOIS-GUILLAUME (76) 12.08.2012";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2012;08;12;"Dans la nuit du 11 au 12 ao�t 2012 vers 0h25, un t�moin regarde le ciel et sous Cassiop�e il remarque un objet se dirigeant � basse altitude vers l'ouest. Se rapprochant du toit de l'immeuble, l'objet est davantage visible et le t�moin le d�crit comme �tant sombre avec � trois extr�mit�s formant les pointes d'un triangle, des cercles lumineux de couleur clair, blanche. L'objet se d�place sans bruit et passe au-dessus du toit ne permettant plus au t�moin de le voir. Un seul t�moignage est recueilli.
Les lumi�res blanches, prises isolement, font nettement penser � des lanternes thailandaises port�es par le vent :
- le sens de d�placement indiqu� par le t�moin est celui du vent ce soir l� (voir le site Infoclimat.
- le fait que cela se passe une nuit de weekend (au mois d'Aout !) propice � �v�nement festifs (l�cher de lanternes) conforte cette hypoth�se.
- le t�moin d�crit une particularit� moins connue de ces lumi�res de lanternes: sous la verticale, la lumi�re n'est pas pleine car le dessous du br�leur est un disque sombre ou noir (voir cette vid�o) et ceci est conforme avec la description (""Le p�rim�tre de ces trois cercles �tait lumineux ...tandis que le centre �tait fonc�, quasiment aussi sombre que la couleur de l'objet"".
Le t�moin �crit avoir vu un objet triangulaire mais tout en pr�cisant ceci : ""Couleur sombre se d�tachant � peine de celle du ciel nocturne. Peu de contraste entre l'objet et le ciel car il faisait nuit"". Il d�crit aussi les lumi�res plac�es aux extr�mit�s du triangle ""Sous l'objet triangulaire, une forme ronde (un cercle) se trouvait � chacune des trois extr�mit�s (pointes du triangle).""
On est tr�s probablement dans la m�prise classique (nombreux t�moignages GEIPAN de triangles et polygones occasionn�s par des lanternes thailandaises) dite de fausse perception de forme. L'il rempli l'espace entre les points lumineux isol�s par une forme usuelle qu'il croit voir (Psychologie de la forme). Un fois ce sch�ma mental en place, ce triangle peut aussi �tre per�u avec une certaine �paisseur (""Ses bords semblaient assez larges, �pais""), tout simplement parce que les lumi�res des lanternes thailandaises disposent aussi d'une certaine �paisseur en hauteur (objets cylindrique ).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B: lanternes thailandaises.";"Observation du passage silencieux � basse altitude d'un objet sombre avec trois cercles lumineux � chaque extr�mit� : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-01-27;;;0.35;0.00;;;0.70;;0.75;;0.53;0.00;B;B;2012-08-08276
3012;"VALENCE (82) 02.08.2012";Tarn-et-Garonne;82;"(D) D�partement";2012;08;02;"Le 2 aout 2012 � minuit huit, deux personnes sont intrigu�es par le passage rapide et silencieux dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux suivi d'une train�e.
Ce t�moignage a toutes les caract�ristiques de l'observation d'un bolide (chute de m�t�orite). La base de donn�es BOAM rel�ve cette nuit l� de nombreuses observations de bolides, mais pas celui-l� (� noter que le Sud de la France est peu pourvu en cam� ras). Le forum forum de webastro indique d'autres t�moins simultan�s du m�me ph�nom�ne, � prioiri identifi� comme tel par un astronome amateur.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de.";"Br�ve observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux avec train�e : probable observation d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2013-06-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08277
3013;"ISTRES (13) 07.08.2012";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2012;08;07;"Un t�moin, astronome amateur habitant � proximit� de la base a�rienne d'Istres et rompu aux observations d'avions tr�s divers, observe le 7 aout 2012 � 22h25 le passage d'une lumi�re puissante gardant un cap constant et une altitude estim�e entre 1000 et 2000 m�tres. Le ph�nom�ne, venant du Sud-Ouest passe au Nord-Est en 5 minutes environ puis dispara�t.
La description du t�moin et l'heure de passage sont tout � fait conformes � l'observation d'un passage de la station spatiale internationale (ISS) : voir le relev� Calsky.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de la station spatiale internationale ISS.";"Observation du passage d'un point lumineux : passage de l' ISS.";O;1;;;;;;;;2012-09-13;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-08-08279
3014;"BARBERAZ (73) 08.08.2012";Savoie;73;"(D) D�partement";2012;08;08;"Cette observation tr�s courte (une seconde) relatant un ph�nom�ne peu �trange (lumi�re vive pr�s de l'horizon, � 6h 15 au lever du soleil) peut avoir de multiples origines : reflets du soleil sur un satellite ou un avion, bolide (chute de m�t�orite).
Le GEIPAN clase ce cas ""C"" par manque d'informations.";"Observation d'une seconde du passage d'une lumi�re vert p�le et d'un triangle jaune/blanc : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-08-08280
3015;"PARIS (75) 08.08.2012";Paris;75;"(D) D�partement";2012;08;08;"Le mercredi 8 ao�t 2012 vers 21h30, un t�moin est intrigu� par la pr�sence d'une source lumineuse orang�e dans le ciel. Celle-ci disparait soudain et le t�moin observe alors un objet circulaire sombre qui change brusquement de trajectoire. L'objet disparait dans le paysage urbain.
L'observation dans le ciel d'un objet lumineux orange 10 minutes apr�s le coucher du soleil (21h17) �voque nettement le reflet du soleil sur un avion (voir exemple GEIPAN ci-joint). Les avions sont nombreux en r�gion parisienne � cette heure l�. L'extinction de la lumi�re correspond au passage de l'avion dans l'ombre.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable du reflet du soleil sur un avion.";"Longue observation d'un objet d'abord lumineux et orange puis circulaire et sombre dans le ciel : observation probable du reflet du soleil sur un avion.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08281
3016;"MORTEMART (87) 08.08.2012";Haute-Vienne;87;"(D) D�partement";2012;08;08;"Le 8 aout 2012 � 11h45 un t�moin et son entourage observent durant 15 secondes le passage rectiligne et � vitesse constante d'un point de couleur blanc-gris dans le ciel. Aucune train�e n'est aper�ue. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Le t�moin, qui observe vers le sud, voit passer un objet de sa gauche vers sa droite, c'est-�-dire d'Est en Ouest. Il voit la taille apparente de cet objet r�tr�cir au cours de son passage. Ce t�moignage �voque le passage d'un ballon, de forme mal d�termin�e, probablement � tr�s basse altitude car sa taille apparente diminue vite. Le relev� m�t�o de Limoges indique un vent d'Est � Nord Ouest � ce moment l�, ce qui est coh�rent avec cette hypoh�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'un ballon ludique, ballon thermique ou gonfl� � l'h�lium.";"Observation du d�placement rectiligne d'un point lumineux blanc-gris dans le ciel : probable observation d'un ballon.";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08282
3017;"TILLY-SUR-SEULLES (14) 08.08.2012";Calvados;14;"(D) D�partement";2012;08;08;"Le mercredi 8 aout 2014 vers 14h40 plusieurs personnes observent dans le ciel d�gag� le d�placement de nombreuses formes noires qui semblent flotter et tomber. Un des t�moins a le temps de prendre des photographies et deux vid�os des objets qui apparaissent par moment effiloch�s. L'observation durera 5 minutes sans qu'aucun bruit particulier ne soit entendu. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce t�moignage est d'une tr�s bonne consistance : pr�cis et accompagn� de documents photographiques et vid�o, mais venant d'un t�moin unique. Compte tenu des �l�ments objectifs pr�sent�s par le rapport d'enqu�te, et en particulier le d�placement des PANs dans le sens g�n�ral du vent ainsi que leur aspect, il est tr�s probable que ces objets ne sont que des d�bris provenant d'un ballon ayant �clat� en vol ou plus probablement de d�bris de combustion d'un feu � proximit�.
Nous pouvons conclure que ce cas est � classer en � B � comme observation probable de d�bris l�gers et disparates port�s par le vent.";"Observation dans le ciel de plusieurs formes noires semblant tomber en flottant : observation probable de d�bris l�gers et disparates port�s par le vent.";O;;;;;;;;;2015-02-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08283
3018;"VOLX (04) 08.08.2012";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";2012;08;08;"Le 08 ao�t 2012 un t�moin allong� sur une terrasse regarde le ciel �toil� lorsqu'il suit durant 5 secondes le d�placement rectiligne d'un objet qu'il ne reconna�t pas. Ce dernier a la forme d'une ""navette de tisserand"" de couleur brun-vert, aux bords diffus. Au centre de l'objet, une forme ronde rouge sombre est aper�ue. L'ensemble semble donc tr�s flou mais reste cependant identifiable sur le fond du ciel qu'elle occulte. Aucun bruit n'est entendu durant le d�placement rectiligne du NE au SO. Cet objet se d�place avec son grand axe orient� perpendiculairement au sens du mouvement. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis durant l'enqu�te (voir le compte rendu d'enqu�te), � savoir :
- Forme et apparence du PAN.
- Vitesse et trajectoire non conformes � un objet passif pouss� par le vent pr�sent au jour et � l'heure de l'observation.
- Vitesse et/ou altitude et/ou taille estim�es non conformes � celles un engin manufactur� motoris� (pas de bruit per�u).
Nous pouvons conclure que le PAN observ� par le t�moin ne ressemble � aucun objet ou ph�nom�ne connu.
Ce cas est � classer en � D1 � comme observation d'un ph�nom�ne non identifi�.
Ce t�moignage est d'une bonne consistance : pr�cis et comportant de nombreux d�tails, mais observ� de loin, par un t�moin unique, et sans photo.
L'observation est �trange car il s'agit d'un PAN ayant une apparence peu commune difficilement comparable � quoi que ce soit de connu.
";"Observation du passage silencieux et rectiligne d'un objet volant en forme de navette de tisserand : ph�nom�ne non identifi� �trange.";O;;;;;;;;;2016-06-21;;;0.65;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;D1;D1;2012-08-08284
3019;"MONTCRESSON (45) 19.08.2012";Loiret;45;"(D) D�partement";2012;08;19;"Le 19 ao�t 2012 entre 01h10 (qt) et 01h21(mail) un t�moin observe dans le ciel un ph�nom�ne lumineux de couleur qui l'intrigue. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
D'�tranget� moyenne mais de consistance faible (t�moin unique, t�moignage succinct, contradictions, observation courte, interpr�tation excessive), ce cas s'av�re trop incomplet pour pouvoir �tre identifi�. Ainsi, il n'est pas clair que le PAN soit observ� pr�s de l'horizon ou en plein ciel. La dur�e des phases de l'observation est �galement soumise � caution, car elles sont tant�t d�crites comme durant plusieurs minutes, tant�t comme espac�es de quelques secondes seulement (voir le compte rendu d'enqu�te). La description de l'observation est donc trop incompl�te pour pouvoir �tre analys�e correctement.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information et de recoupements.";"Observation dans le ciel de l'apparition subite d'un ph�nom�ne lumineux de couleur : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-08-08285
3020;"SOUSTONS (40) 13.08.2012";Landes;40;"(D) D�partement";2012;08;13;"Le 13 aout 2012 � 5 heures du matin, un t�moin sortant de chez lui est intrigu� par la vue des �volutions d'un ph�nom�ne lumineux blanc dans la couche nuageuse. Un grand cercle form� par des cercles plus petits apparait cycliquement et tourne en changeant de sens. Aucun bruit n'est entendu. L'observation dure 20 minutes sur place puis le t�moin prend son v�hicule et observera encore le ph�nom�ne tout en conduisant.
Le ph�nom�ne observ� par le t�moin �voque une animation lumineuse de ce genre : animation laser (le faisceau ""montant"" est ici visible car l'observateur est proche du projecteur : un observateur lointain ne voit que les disques lumineux sur les nuages).
Cette animation n'est pas surprenante dans cette zone en pleine p�riode touristique, m�me � cette heure matinale o� les discoth�ques sont encore ouvertes. On note la pr�sence de la discoth�que ""l'Asiana"" dans la direction d'observation du t�moin (Ouest).
Les conditions m�t�o (ciel couvert 8/8, voir relev�) sont tout � fait favorables � l'utilisation de ces dispositifs.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'une animation lumineuse.";"Longue observation des �volutions de disques lumineux dans le ciel nuageux : probable observation d'une animation lumineuse.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08287
3021;"THORIGNE-D'ANJOU (49) 15.08.2012";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";2012;08;15;"Le 15 aout 2012 vers 22h, un t�moin sur une terrasse regarde les �toiles. Il est intrigu� par le d�placement inhabituel de deux puis trois lumi�res de couleur clignotantes. Le t�moin change de lieu d'observation. Passant en revue diff�rentes hypoth�ses de ph�nom�nes connus, aucune ne le satisfait. Son observation est confirm�e par deux autres membres de la famille qui pensent soit � un h�licopt�re soit un satellite. Durant l'observation de 15 minutes aucun bruit n'est entendu. Le PAN quitte le champ de vision du t�moin. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Compte tenu des �l�ments recueillis dans l'enqu�te, � savoir l'analyse de six hypoth�ses dont deux conviennent tr�s bien � l'observation, en termes de caract�ristiques physiques et dynamiques (voir le compte rendu d'enqu�te), le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie � B � comme observation probable d'un h�licopt�re ou d'un avion de tourisme en vol VFR nuit en direction de l'a�roport de Nantes, de l'a�rodrome d'Ancenis ou de la base DAG de Saint-Nazaire.
Ce t�moignage est d'une qualit� moyenne et �galement de consistance moyenne car, bien que trois t�moins aient �t� pr�sents, seul un a compl�t� le questionnaire, les deux autres n'ayant r�pondu que de mani�re tr�s concise aux gendarmes. Par ailleurs, le t�moignage ne s'accompagne pas de photographies.
L'observation est finalement peu �trange car le PAN est facilement caract�risable, aussi bien dans son apparence que dans son comportement.";"Observation de 3 lumi�res de couleur et clignotantes en d�placement dans le ciel nocturne : observation probable d'un h�licopt�re ou d'un avion de tourisme en vol VFR nuit.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.35;0.08;;;0.80;;0.90;;0.67;0.23;B;B;2012-08-08288
3023;"CHATENAY-MALABRY (92) 19.08.2012";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2012;08;19;"Le dimanche 19 ao�t 2012 � 20h30 un t�moin est intrigu� par les d�placements de deux points lumineux dans le ciel.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis lors de l'enqu�te, � savoir que le comportement initial des PANs s'apparente � celui d'avions observ�s se d�pla�ant dans l'axe de vision du t�moin, que la couleur et la luminosit� des PANs s'apparentent � celle des feux d'atterrissage des avions de ligne et que la zone survol�e est fr�quemment emprunt�e par toutes sortes d'a�ronefs civils et militaires, et se trouve �tre � proximit� d'a�roports, le t�moin a probablement observ� un avion.
En revanche, le comportement final du premier PAN, en � angle droit � est, dans le cadre d'une observation au z�nith, a priori incompatible avec celui de tels a�ronefs, mais c'est une illusion de perception fr�quente sur tous les points lumineux en mouvement qui s'�teignent dans la nuit.
Au moment auquel a �t� faite l'enqu�te, le GEIPAN n'a plus pu acc�der aux donn�es a�ronautiques permettant de v�rifier formellement cette hypoth�se.
Ce cas est class� � B � : observation probable d'un avion.";"Observation de points lumineux dans le ciel en d�placement : observation probable d'avion.";O;;;;;;;;;2015-07-31;;;0.40;0.00;;;;;;;0.70;0.00;B;B;2012-08-08290
3024;"ATTENSCHWILLER (68) 20.08.2012";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2012;08;20;"Le 20 ao�t 2012 entre 22h et 23h, deux t�moins observent dans le ciel, le passage silencieux N-S d'un objet tr�s lumineux de couleur orange. De l'objet vu aux jumelles, les t�moins distinguent un halo et une l�g�re train�e. L'observation a dur� moins d'une minute avant que la luminosit� de l'objet ne faiblisse et qu'il soit cach� par une maison voisine. Un seul t�moin nous rapporte son observation.
Le vent relev� � B�le soufflait l�g�rement de secteur Sud � Ouest, ce qui rend incompatible un objet port� par le vent (ex : lanterne tha�).
La dur�e de l'observation (une minute), la tra�n�e observ�e aux jumelles, la baisse d'�clat, le passage vers le blanc sont compatibles avec l'observation d'une chute de d�bris de satellite. Le site Space-Track mentionne 3 chutes de d�bris ce jour l�, mais les orbites ne correspondent pas � l'observation. L'�valuation de la distance de ce genre de ph�nom�ne est impossible pour un t�moin.
Devant la pr�cision du t�moignage, malgr� l'absence de preuve, le GEIPAN classe ce cas peu �trange ""B"" : observation probable de rentr�e atmosph�rique : m�t�oro�de naurel ou plus probablement d�bris de satellite.";"Observations du passage silencieux et parall�le � l'horizon d'un objet lumineux de couleur orange avec halo et l�g�re train�e : probable observations d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2012-10-05;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08291
3025;"ARCHAMPS (74) 04.08.2012";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2012;08;04;"Le 4 ao�t 2012 aux environs de 23h, un t�moin observe le lent passage silencieux dans le ciel de cinq formes ovales de couleur orang�e. Le t�moin constate que les formes se rassemblent avant de commencer une lente ascension. Le t�moin perd de vue les formes, leur luminosit� s'affaiblissant progressivement.
Ce cas d'observation correspond tout � fait � l'observation du passage de lanternes tha�. Le l�cher de lanternes volantes est tr�s fr�quent les samedis soir d'�t� : nombreuses f�tes locales ou mariages. Comme les vents locaux en montagne sont tr�s complexes, surtout l'�t� en fin de journ�e, le vent observ� par la station m�t�o proche ( Gen�ve) ne correspond pas tout � fait au d�placement observ�.
Le GEIPAN n'a pas fait d'enqu�te locale pour rechercher les auteurs de ce l�cher. Le t�moin est r�ticent � cette hypoth�se pr�sentant des arguments auxquels le GEIPAN a r�pondu (voir courriers).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observation du passage silencieux de plusieurs formes lumineuses de couleur orang�e : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-10-05;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08292
3027;"SAINT-HILAIRE (11) 26.08.2012";Aude;11;"(D) D�partement";2012;08;26;"Le dimanche 26 aout 2012 � 22h07 un t�moin est intrigu� par le passage rapide et silencieux d'un ph�nom�ne lumineux blanc dans le ciel. Un seul questionnaire est re�u mais d'autres t�moins dans le Sud-Ouest adressent des mails au GEIPAN.
Cette observation tr�s courte d'une boule lumineuse traversant une partie du ciel en 1 seconde �voque une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de naturel, ph�nom�ne appel� bolide.
Le GEIPAN a re�u 3 autres t�moignages simultan�s dans le Sud-Ouest de la France : � Agen (47), � Toulouse (31), � Martel (46). Le site Futura-Sciences a recens� aussi plusieurs observations du bolide : Futura-sciences.
Rappelons que ces ph�nom�nes se produisent � tr�s haute altitude (de 80km � 30 km) et sont donc visibles du sol sur une zone de 500 km de diam�tre environ. Ils sont toujours per�us comme proches par les t�moins (voir Un bolide?).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation d'un bolide : rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de naturel.";"Courte observation du d�placement rapide et silencieux d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : observation de la rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de naturel (bolide).";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2012-08-08295
3028;"CAPENS (31) 14.08.2012";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2012;08;14;"Le 14 aout 2012 � 12h un automobiliste constate dans le ciel la pr�sence d'un objet lumineux qui l'intrigue. L'objet, d'apr�s le t�moin, semble avoir des ailes articul�es et des lumi�res clignotantes. Il filme le ph�nom�ne et appelle sa femme qui constate �galement la pr�sence de l'objet dans le ciel. Un troisi�me t�moin voit �galement le PAN.
Le t�moignage de T1 est tr�s pr�cis et de qualit�. La dur�e de l'observation est d'environ 3 minutes. Les trois t�moins ne d�crivent pas exactement la m�me chose, ce qui peut para�tre tout � fait normal pour les t�moins T2 et T3 qui voient le PAN assez �loign� et � des moments diff�rents.
Il n'y a donc aucun doute sur la r�alit� de ce ph�nom�ne qui a toutes les cract�ristiques d'un ballon festif gonfl� � l'h�lium, qui aura peut-�tre �chapp� � son propri�taire.
Le GEIPAN classe ce cas � B � observation probable d'un ballon festif gonfl� � l'h�lium.";"Observation du lent d�placement d'un objet lumineux : probable observation d'un ballon festif.";O;1;;;;;;;;2013-06-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08297
3029;"AOUSTE-SUR-SYE (26) 26.08.2012";Dr�me;26;"(D) D�partement";2012;08;26;"Le 26 ao�t 2012 vers 0h40 un t�moin observe et prend en photo un ph�nom�ne lumineux dans le ciel qui l'intrigue : plusieurs dizaines d'objets de couleurs rouge, non clignotant, se d�placent sans bruit selon une trajectoire N-S. Tous se suivent � une distance r�guli�re et � vitesse constante. L'observation dure environ 5 minutes.
La description du t�moin fait imm�diatement penser � des lanternes tha�landaises : passage horizontal de boules rouges, par groupe, sans bruit. Le vent soufflait de Nord � 23h, puis de Nord-Est � 0h, ce qui est compatible avec le d�placement Nord-Sud observ�.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable du passage de lanternes tha�landaises.";"Observation par un t�moin du d�placement silencieux dans le ciel de plusieurs dizaines d'objets rouges sur une trajectoire N-S et � vitesse constante : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-10-05;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08298
3031;"RIOUX (17) 09.08.2012";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2012;08;09;"Un t�moin est intrigu� par les d�placements lents d'un ph�nom�ne tr�s lumineux dans le ciel. Il fait ces observations les soirs des 8 et 9 aout 2012.
La description du t�moin et les heures de passages sont tout � fait compatibles avec l'observation de passages de la station spatiale internationale (ISS) les soir�es des 8 et 9 ao�t 2012 (voir les relev�s Calsky passages ISS le 8 aout 21h31 � 21h40 puis de 23h06 � 23h15 et le 9 aout de 22h13 � 22h24 puis 23h50 � 23h57), � comparer aux dates et heures d'observation (vers 22h30 et 23h30).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation deux soirs de suite, des deux passages successifs de la station spatiale internationale (ISS)";"Observations successives du d�placement lent d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : passage de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2012-09-13;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-08-08301
3032;"CLARET (04) 22.08.2012";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";2012;08;22;"Un t�moin est intrigu� par une observation faite le 22 aout 2012 � 22h19. Il a observ� le passage d'un point lumineux qui, apr�s un d�but de trajectoire rectiligne, fait des mouvements saccad�s de droite � gauche avant de dispara�tre.
La description faite par le t�moin correspond (aspect, et direction de d�placement) � une minute pr�s, � l'observation du passage de la station spatiale internationale. L'extinction temporaire correspond aux variations des reflets du soleil sur la station au cours de sa rotation.
Les mouvements saccad�s de droite et de gauche sont une illusion de perception nomm�e ""illusion autocin�tique"". (voir page 26 et 30 dans /typo3conf/ext/dam_frontend/pushfile.php?docID=9932 ; cette illusion se produit lorsque le point lumineux que l'on suit n'est plus environn� de rep�res fixes, par exemple lorsqu'il traverse une zone du ciel sans �toiles tr�s brillantes.
Ce cas est class� ""A"" : observation de la station spatiale internationale ISS, avec illusion autocin�tique.";"Observation du passage d'un point lumineux selon une trajectoire rectiligne puis avec des mouvements saccad�s : observation du passage de L'ISS avec illusion autocin�tique.";O;1;;;;;;;;2012-09-13;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-08-08303
3033;"METHAMIS (84) 14.08.2012";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2012;08;14;"Le 14 Ao�t 2012 entre 23h30 et 23h35, un t�moin voit appara�tre dans le ciel, une lumi�re orang�e, de forme arrondie, vaguement triangulaire. Il constate un d�placement silencieux : la trajectoire est parfaitement rectiligne, constante et horizontale. Trois autres t�moins ont vu le ph�nom�ne sans apporter leur t�moignage. L'observation a dur� environ 2 minutes.
Etant donn�e la description du t�moin, et le fait qu'il s'agit d'un jour traditionnel pour les f�tes, l'hypoth�se de lanterne tha�landaise a �t� privil�gi�e. Mais le relev� m�t�o d'Avignon fait �tat d'un l�ger vent de Sud, a priori incompatible avec un flux de Nord-Est dans la vall�e de Methamis. Cette hypoth�se n'a donc pas �t� retenue.
L'hypoth�se d'une rentr�e atmosph�rique de d�bris de satellite est exclue du fait du d�placement vers l'Ouest.< br> La vitesse apparente de l'objet est jug�e trop lente pour un bolide (rentr�e de m�t�orite) d�crit comme peu lumineux. L'aspect d�crit n'est pas coh�rent non plus avec celui d'un a�ronef.
Devant ces diverses incertitudes, le GEIPAN classe ce cas ""C"" : manque d'information.";"Observation du d�placement silencieux d'une lumi�re orang�e : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2012-10-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-08-08304
3034;"GAGNY (93) 13.08.2012";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";2012;08;13;"Le 13 ao�t 2012 � 0h09 un t�moin observe depuis sa fen�tre le passage silencieux dans le ciel d'une boule lumineuse de couleur rouge-orang� qui disparait derri�re les nuages apr�s une trajectoire particuli�re.
Comme le t�moin indique tr�s pr�cis�ment sa direction d'observation, la reconstitution cartographique est pr�cise (voir carte). La direction d'observation SO se trouve �tre, � peu pr�s, la direction du faible vent de NE : le t�moin a donc le vent dans le dos. Un objet volant port� par le vent semble alors se d�placer tr�s peu lat�ralement ; c'est cette hypoth�se qui a �t� retenue.
La couleur de l'objet d�crit ressemble � une lanterne tha�, qui a pu �tre lanc� � la fin d'une petite f�te priv�e, fr�quente lors de ces soir�es d'�t�. Toutefois, la dur�e d'observation, estim�e � 20 ou 30 secondes para�t courte.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable du passage d'une lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement silencieux d'une boule rouge-orang� : probable observation du lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2012-10-05;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08306
3035;"BOURGOIN-JALLIEU (38) 24.08.2012";Is�re;38;"(D) D�partement";2012;08;24;"Le 24 ao�t 2012 � 23h45 un t�moin observe un point lumineux ovale tournant en cercle dans le ciel nuageux durant au moins 30 minutes.
Cette observation, un samedi soir, fait penser � un projecteur utilis� pour les animations des discoth�ques. Toutefois, une discoth�que de Bourgoin-Jallieu a affirm� ne pas utiliser ce type de dispositif. On peut aussi s'�tonner d'une utilisation de ces syst�mes � seulement 20 km de l'a�roport de Lyon Satolas.
Malgr� ces r�serves, sachant qu'il existe des projecteurs de type qui sont mobiles (en location), et qu'ils se voient � plus de 10 km, cette hypoth�se reste privil�gi�e.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'une animation lumineuse.";"Observation des �volutions circulaires durant trente minutes d'une lueur ovale dans le ciel nuageux : observation probable d'une animation lumineuse.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08307
3036;"GRASSE (06) 29.08.2012";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2012;08;29;"Un t�moin regarde le ciel et plus particuli�rement la constellation d'Orion le 29 aout 2012 � 6h du matin. Il voit durant environ 5 secondes, une lumi�re vive traverser la partie haute d'Orion puis continuer dans une trajectoire rectiligne avant de disparaitre progressivement vers le Nord-Est.
Une v�rification des passages de satellites (voir relev� Calsky) montre � ce moment l� le passage de la station spatiale chinoise Tiangong1 se dirigeant d'Ouest en Est, tr�s brillante, et peu en-dessus d'Orion (voir carte du ciel). Le t�moin indiquant une trajectoire Sud-Ouest vers Nord Est, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de la station spatiale chinoise Tiangong1.";"Observation du passage d'une lumi�re vive dans la constellation d'Orion : probable observation de la station spatiale chinoise Tiangong1.";O;1;;;;;;;;2012-11-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08309
3037;"LYON (69) 23.08.2012";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2012;08;23;"Le 23 ao�t 2012 � 23h un t�moin est intrigu� par la pr�sence d'un point lumineux particulier dans le ciel. Le t�moin constate ensuite le lent d�placement horizontal de cette lueur jaune. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation. Le point disparaitra cach� par le paysage urbain.
Apr�s plusieurs �changes avec le t�moin, la direction d'observation a pu �tre d�termin�e pr�cis�ment. Cette direction correspond exactement � un passage de la station spatiale internationale ISS au-dessus de l'horizon Sud-Ouest, � la m�me heure (voir relev� Calsky, magnitude -1,6).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de la station spatiale internationale (ISS).";"Observation du lent d�placement horizontal d'une lueur jaune dans le ciel : observation de l' ISS.";O;1;;;;;;;;2013-06-03;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-08-08311
3038;"DRAGUIGNAN (83) 22.08.2012";Var;83;"(D) D�partement";2012;08;22;"Le 22 aout 2012 � 22h18 toute une famille regarde le ciel �toil�. Ces personnes sont intrigu�es par le lent et silencieux passage d'une boule lumineuse dont l'intensit� diminue avant de dispara�tre.
La description des t�moins est en tous points conforme � l'observation de la Station Spatiale Internationale ISS (Voir document Calsky - passage du l'ISS).
Dans le deuxi�me document (Calsky-carte du ciel) les boules blanches repr�sentent les positions successives de l' ISS sur fond d'�toiles ; les boules sont d'autant plus grosses que l'ISS parait brillante. On constate que au d�but du passage le d�placement apparent de l' ISS est faible et que, passant vers l'Est, la station est rentr�e dans l'ombre de la Terre. Elle n'est plus illumin�e par le soleil et devient invisible des observateurs).
Ce cas est class� ""A"" : observation du passage de la station spatiale internationale (ISS).";"Observations du lent et silencieux passage d'une grosse boule lumineuse : passage de l'ISS.";O;2;;;;;;;;2012-09-17;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-08-08312
3039;"TOULON (83) 23.08.2012";Var;83;"(D) D�partement";2012;08;23;"Le 23 aout 2012 vers 21h15 trois personnes constatent dans le ciel au-dessus des maisons la pr�sence d'un objet rectangulaire sombre qui se d�place lentement du Sud vers le Nord. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation qui dure environ 3 minutes.
Aucun autre t�moignage ne sera rapport� au GEIPAN concernant ce ph�nom�ne.
D'apr�s l'enqu�te pouss�e dont le compte rendu ci-joint fait �tat, l'hypoth�se retenue est que ces personnes ont probablement vu un cerf volant. Le propri�taire et son cerf-volant n'ont pas �t� retrouv�s � ce jour.
Ce cas est class� ""B"".";"Observation du d�placement silencieux Sud-Nord d'un objet rectangulaire au-dessus des maisons : probable observation d'un cerf-volant.";O;1;;;;;;;;2013-01-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08313
3040;"ARLES (13) 11.08.2012";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2012;08;11;"Deux personnes sur un lieu de p�che habituel, sont intrigu�es par la pr�sence dans le ciel d�gag� d'�l�ments brillants fixes ou en d�placements rapides et silencieux suivi de train�es. Une personne filme et photographie les ph�nom�nes ; il rapporte ensuite son observation.
Les photos et vid�os font clairement penser � des tra�n�es d'avions. On remarque que, ce matin l�, avec un air surement tr�s sec, et dans les lumi�res du levant, ces tra�n�es paraissent tr�s lumineuses, et donnent une impression particuli�re de vitesse.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de tra�n�es de condensation d'avions.";"Observation du d�placement rapide d'�l�ments brillants dans le ciel avec train�es : probable observation d'a�ronefs et de train�es de condensation.";O;1;;;;;;;;2013-04-25;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-08-08315
3041;"MENTON (06) 07.08.2012";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2012;08;07;"Un t�moin observe le 7 ao�t 2012 vers 21h31 le d�placement O-E dans le ciel d'une sph�re lumineuse de forte intensit�.
Le r�cit de l'observation fait nettement penser au passage d'un gros satellite en orbite basse (300 � 400 km). Une v�rification � partir de la base de donn�es mondiale des satellites ne montre pourtant aucune corr�lation avec cette observation. Il peut s'agir d'un objet non repertori� (satellite militaire).
En l'absence d'information pr�cise, le GEIPAN classe ce cas peu �trange ""C""";"Observation du d�placement O-E d'une sph�re lumineuse de forte intensit� : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2012-10-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-08-08319
3042;"SAINT-FRANCOIS (97) 26.08.2012";Guadeloupe;971;"(D) D�partement";2012;08;26;"Un t�moin rapporte une observation faite par plusieurs personnes le 26 ao�t 2012 � 21h30 : 12 objets se d�placent silencieusement en direction de l'Ouest. Ces objets apparaissent par vagues de plusieurs objets. Ils sont d�crits comme ayant une forme ovoide avec un pourtour rouge, un int�rieur orang� et 3 boules jaunes bien visibles � l'int�rieur des objets.
Le t�moin a d�pos� son t�moignage en gendarmerie qui m�nera son enqu�te. La presse locale sera �galement contact�e.
La couleur des objets, le d�placement lent selon le l�ger vent d'est (voir carte et relev� m�t�o), l'envoi par s�ries, sont les caract�ristiques de l�cher de lanternes volantes. Une analyse photographique pouss�e a montr� que la lumi�re �mise par les objets �taient tout � fait semblable � celle �mise par les lanternes tha� (voir analyse photographique). Mais ces objets ne sont pas circulaires ou elliptiques comme des lanternes ordinaires, mais compos�s de 3 points jaunes dans une enveloppe rouge orang�. Trois lanternes tha�landaises attach�es ensemble auraient le m�me aspect. Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probables de lanternes tha�, attach�es ensemble par trois.";"Observations de plusieurs vagues d'objets lumineux dans le ciel se d�pla�ant silencieusement : probables observations de passages de lanternes thailandaises.";O;2;;;;;;;;2012-10-31;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08322
3043;"CHALLANS (85) 08.08.2012";Vend�e;85;"(D) D�partement";2012;08;08;"Le 8 ao�t 2012 � 23h10 un t�moin observe durant une minute le passage S-N en parall�le de deux objets tr�s brillants � tr�s haute altitude. Son t�moignage est tr�s succinct et aucun autre t�moignage n'est rapport�.
En lisant le relev� des passages de satellites �labor� par Calsky, on constate � ce moment (23h10) plusieurs passages de satellites : tout d'abord la station spatiale internationale (ISS), extr�mement brillante (magnitude -4,3) � laquelle sont amarr�s le cargo russe Progress, et le cargo japonais HTV-3. Sa trajectoire apparente est du Sud Ouest vers le Nord Est.
On constate � peu pr�s au m�me instant deux autres satellites bien moins brillants (IGS5 H2A Rocket et Alos, de magnitude 2,7 et 3), sur une trajectoire du Sud vers le Nord, se succ�dant � environ 80� d'�cart.
Si le t�moin a difficilement pu manquer le spectaculaire passage de l'ISS, il est �tonnant qu'il d�crive un passage Sud vers Nord, et il n'y a qu'un point tr�s lumineux visible. Si c'est les 2 autres satellites qu'il a vu, ils n'�taient pas tr�s brillants.
Du fait de cette incertitude et de l'impr�cision du t�moignage, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de satellites, sans pouvoir d�terminer pr�cis�ment lesquels.";"Observation du passage � haute altitude de deux objets brillants volant en parall�le : probable passage de satellites.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08331
3044;"MEZE (34) 20.08.2012";H�rault;34;"(D) D�partement";2012;08;20;"Le 20 ao�t 2012 vers 22h30 deux t�moins observent les d�placements particuliers et silencieux d'un objet rond lumineux dans le ciel. Il disparait rapidement.
Le relev� m�t�o de Beziers Cap d'Agde, (tr�s proche de M�ze), pour cette soir�e montre un vent l�ger tr�s instable, d'Ouest, puis passant au Nord : les mouvements de l'objet observ� par les t�moins sont nettement les mouvements d'un objet port� par le vent ;
Du fait du feu d'artifice de cette soir�e, on peut penser � un objet comme une lanterne tha�landaise ou autre ballon lumineux lanc� � l'occasion de ces festivit�s. Le t�moin note une lumi�re blanche, alors que les t�moins de lanternes tha�landaise parlent le plus souvent de lumi�res orange-rouge.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable d'un ballon lumineux (ballon � led)";"Observations des d�placements particuliers et silencieux d'un objet rond lumineux dans le ciel : probable observation du passage d'un ballon lumineux.";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08346
3045;"MONTSALVY (15) 27.08.2012";Cantal;15;"(D) D�partement";2012;08;27;"Le 27ao�t 2012 � 22h un automobiliste et ses passagers sont intrigu�s par la pr�sence dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux blanc et vert en d�placement. Un seul t�moignage est rapport�.
Ce t�moignage tr�s succinct, d'un ph�nom�ne vert tr�s rapide a certaines caract�ristiques d'un bolide (chute de m�t�orite).Toutefois, le t�moignage est trop peu pr�cis, malgr� une demande d'information du GEIPAN, pour pouvoir confirmer cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque de consistance du t�moignage.";"Observation des d�placements d'un ph�nom�ne lumineux blanc et vert dans le ciel : manque d'iformations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-08-08377
3047;"EZE (06) 05.08.2012";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2012;08;05;"Le Dimanche 5 aout 2012 peu apr�s 22h00, un jeune couple rentrant de NICE pour rejoindre son domicile, emprunte la D2564 et sont surpris de voir en roulant puis arr�t� au bord de la route le d�placement silencieux de 5 � 6 formes de couleurs vari�es et clignotant rapidement. Ces formes se d�placent vers l'Ouest dans une trajectoire descendante et sont tr�s vite cach�es par une colline. L'observation dure moins d'une minute. Un seul t�moignage est recueilli.
La non-connaissance par les t�moins de l'existence de ballons luminescents est sans aucun doute la cause de l'�tranget� et l'origine du d�p�t de ce t�moignage. Apr�s �tude (voir le compte rendu d'enqu�te), le ph�nom�ne observ� serait compos� de diff�rents ballons luminescents dont les couleurs vives et changeantes seraient imputables � des leds situ�es � l'int�rieur.
Ces ballons, gonfl�s � l'h�lium, seraient ainsi port�s par le vent d'Est soufflant ce soir l� : la vitesse et la trajectoire seraient coh�rentes pour une distance PAN/T�moins de 300 maximum environ ; cela expliquerait aussi l'absence de bruit.
La pr�sence de 2 routes sans issues et � tr�s faible circulation au-dessus du lieu de l'observation pourrait raisonnablement avoir �t� le terrain de jeu de cette � ballon party �. Enfin on est un soir d'�t� et de week-end, propice � des �v�nements festifs de la sorte.
Le GEIPAN classe ce cas en B (ph�nom�ne probablement identifi�) : ballons LED ; observation de ballons luminescents dont l'auteur du l�cher n'a pu �tre retrouv�.";"Observation du d�placement silencieux � basse altitude de plusieurs formes de couleurs vari�es et clignotant rapidement : probable ballons leds.";O;;;;;;;;;2017-01-30;;;0.30;0.00;;;0.85;;0.85;;0.72;0.00;B;B;2012-08-08426
3050;"NARNHAC (15) 17.08.2012";Cantal;15;"(D) D�partement";2012;08;17;"Le 17 aout 2012 � 23h35 une personne, alors qu'elle observe le ciel avec des jumelles, voit un point lumineux se d�pla�ant en zigzaguant et en clignotant irr�guli�rement. Le t�moignage est recueilli en novembre 2013.
Une v�rification astronautique indique deux satellites ayant emprunt� une trajectoire proche : Cosmos 2322 et 2360 : mais ils sont d'une luminosit� faible.
Les clignotants �voquent bien s�r un avion, mais le trajet en zig zag semble incoh�rent avec cette hypoth�se. Cette zone est fr�quemment survol�e par des avions de ligne sur un axe Nord/Sud : la probabilit� d'avoir un avion sur cette trajectoire est tr�s �lev�e.
Le trajet en zigzag est bien s�r surprenant, mais cette illusion n'est pas rare : pour les avions, si les feux anticollision sont synchronis�s en opposition, le t�moin interpr�te l'allumage alternatif de deux feux �loign�s comme un zigzag. De plus, peut s'ajouter � cet effet, l'illusion auto-cin�tique (voir : La perception du mouvement d'un point lumineux dans le ciel).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'un avion, avec une illusion perceptive (feux clignotants et autokin�sie).";"Observation aux jumelles du d�placement en zigzag d'un point lumineux dans le ciel : observation probable d'un avion, avec une illusion perceptive (feux clignotants et autokin�sie).";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-08-08608
3051;"BRUE-AURIAC (83) 22.08.2012";Var;83;"(D) D�partement";2012;08;22;"Le 22 aout 2012 en soir�e, des t�moins depuis leur terrasse observnt un point tr�s lumineux se d�pla�ant dans le ciel. L'objet part de fa�on �trange � toute vitesse dans le ciel. Il venait de l'Ouest et a disparu vers l'Est.
Le site Calsky indique un passage de la station spatiale internationale (ISS), extr�mement brillante, visible de Brue-Auriac de 22h11� l'ouest � 22h17 au Sud-Est (voir ci-joint). L'aspect de l'ISS est conforme au r�cit des t�moins. Sa disparition en plein ciel correspond � son entr�e dans l'ombre de la Terre.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de l'ISS.";"Observation du d�placement puis du d�part rapide d'un point blanc tr�s lumineux dans le ciel : observation du passage de la Station Spatiale Internationale.";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-08-08686
3053;"GENSAC-SUR-GARONNE (31) 02.09.2012";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2012;09;02;"Le 2 septembre 2012 � 4h du matin, plusieurs personnes observent dans le ciel nuageux une forme circulaire, d'un diam�tre estim� entre 50 et 100m, �voluant silencieusement � basse altitude et dans laquelle se trouvent une quinzaine de lumi�res fixes. L'objet tourne sur lui-m�me. Les lumi�res s'�teignent brusquement et la forme disparait. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce rapport d'observation de lumi�res circulaires en train de tourner (voir dessin du t�moin) �voque nettement les animations lumineuses de discoth�que. Une discoth�que de Caz�res (31) ou Martres (31) utilise souvent ce genre de dispositif. Ce qui a �tonn� le t�moin est l'absence de faisceau montant, mais celui-ci n'est visible que par temps humide : la m�t�o de ce jour (� Toulouse-Blagnac) rel�ve un air relativement sec (50% humidit�) et un plafond nuageux total (8/8), ce qui donne les conditions id�ales pour le meilleur effet de ce type de projecteur.
La fin de l'observation, dimanche vers 4h20, correspond bien � l'heure de fermeture des discoth�ques.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable d'animation lumineuse type Skyrose.";"Observation des �volutions d'un ensemble de lumi�res fixes d�limitant une forme circulaire : observation probable d'animation lumineuse type Skyrose.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-09-08308
3054;"NOTRE-DAME-DE-LONDRES (34) 09.09.2012";H�rault;34;"(D) D�partement";2012;09;09;"Le 9 septembre 2012 vers minuit, un groupe de trois amis observent les �toiles filantes et sont intrigu�s par une �toile � forte luminosit� qui semblent se d�placer assez rapidement dans toutes les directions suivie par une autre lumi�re de plus faible intensit�. Un seul t�moignage est recueilli.
La carte du ciel montre la plan�te Jupiter et l'�toile Ald�baran � la position d�crite par les t�moins.
Les mouvements de ces points lumineux d�crits par les t�moins ne sont �videmment pas conformes � l'hypoth�se d'observation d'astres fixes. L'hypoth�se d'une illusion autocin�tique est avanc�e pour expliquer ce t�moignage : on voit que cette zone du ciel est peu peupl�e d'autres �toiles brillantes, ce qui rend cette hypoth�se plausible.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation de Jupiter et Aldebaran, probablement observ�s avec une illusion autocin�tique.";"Plusieurs t�moins observent les d�placements al�atoires de deux lumi�res d'intensit�s diff�rentes : observations astronomiques de Jupiter et Aldebaran avec illusion autocin�tique.";O;1;;;;;;;;2012-10-05;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-09-08316
3055;"CHARVIEU-CHAVAGNEUX (38) 08.09.2012";Is�re;38;"(D) D�partement";2012;09;08;"Deux personnes observent le 8 septembre 2012 � 23h le passage lent et silencieux de deux objets lumineux rond de couleur rouge. Un des deux objet prend une direction diff�rente du premier et disparait soudainement.
La description du ph�nom�ne et la photo font nettement penser � des lanternes tha�landaises : boules rouge-orang� se d�pla�ant lentement pendant quelques minutes.Le d�placement du Sud vers le Nord ou Nord-Ouest n'est pas contradictoire avec le vent tr�s faible, instable, plutot de secteur Sud. Les soir�es du samedi sont les moments privil�gi�s pour les l�chers de lanternes. La disparition des objets correspond simplement � l'extinction de la flamme par �puisement de la parafine.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observation du d�placement lent et silencieux de deux points lumineux rouges de forte intensit� : probable observation de lanternes thailandaises";O;1;;;;;;;;2007-03-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-09-08318
3056;"VERTUS (51) 07.09.2012";Marne;51;"(D) D�partement";2012;09;07;"Le 7 septembre 2012 � 21h, un groupe de 4 personnes observent dans le ciel sombre la pr�sence d'un point lumineux venant lentement et sans bruit dans leur direction. En changeant de trajectoire les t�moins observent une forme arrondie et sombre. Un seul t�moignage est recueilli.
Cette observation d'un point lumineux bas sur l'horizon �voque un a�ronef � basse altitude. Une investigation a �t� demand�e au contr�le a�rien militaire : les traces radar (ci-jointes) indiquent un trafic a�rien � basse altitude entre 21h23 et 21h25 (les heures indiqu�es sur le relev� radar sont en temps universel) dans la direction d'observation du t�moin entre Morangis et Brugny, venant de l'Ouest, dans une zone sans a�rodrome. La basse altitude et le trajet sinueux montrent que c'est un h�licopt�re qui circulait � cet endroit.
Mais le t�moin a observ� entre 21h00 et 21h10, et l'objet observ� partait vers l'Ouest, alors que les traces radar indiquent un trajet en provenance de l'Ouest. Ces traces ne correspondent donc pas � l'observation, mais prouvent une activit� a�rienne dans cette zone. On peut poser l'hypoth�se qu'une activit� semblable a eu lieu 20 minutes avant (rotation) mais � trop basse altitude pour �tre d�tect�e par les radars. Les traces radar commencent � 21h00. Si l'observation a eu lieu un peu avant 21h00, l'activit� a�rienne n'aura pas �t� enregistr�e � ce moment.
Le silence constat� pendant l'observation n'est pas surprenant pour un h�licopt�re observ� � 10 km.
Devant ces informations et ces incertitudes, le GEIPAN classe ce cas peu �trange en cat�gorie B comme observation probable d'un h�licopt�re. La faible �tranget� du ph�nom�ne ne justifie pas une enqu�te de terrain.";"Observation du passage lent et silencieux d'un objet dans le ciel : probable h�licopt�re � basse altitude.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-09-08323
3057;"MEURSANGES (21) 10.09.2012";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";2012;09;10;"Le 10 septembre 2012 vers 20h20 deux t�moins observent le lent passage � tr�s haute altitude d'un ph�nom�ne lumineux orange avec une longue queue. La trajectoire est rectiligne. Il disparait en direction du Sud cach� par un nuage. Un seul t�moin rapporte succinctement son observation.
Ce cas d'observation lointaine peu �trange est tr�s peu document� et peu pr�cis ; la description fait penser � une tra�n�e d'avion visible � travers des nuages bas. La couleur orange est fr�quente pour les tra�n�es situ�es vers l'Ouest lors du coucher du soleil (� 20h13 ce jour l� � cet endroit). N�anmoins, le GEIPAN n'a pas assez d'�l�ments concrets pour �tayer cette hypoth�se.
Ce cas est class� ""C"" par manque d'information.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux orang� avec une longue queue � tr�s haute altitude : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2012-10-05;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-09-08324
3058;"MISON (04) 10.09.2012";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";2012;09;10;"Le 10 septembre 2012 � 22h25 un t�moin observe rapidement dans le ciel un ph�nom�ne tr�s lumineux blanc orang�. Cette lumi�re intense disparait brusquement. Aucun bruit n'est remarqu� par le t�moin. Un seul t�moignage est recueilli sur ce ph�nom�ne.
Compte tenu des �l�ments objectifs d�finis dans le compte rendu d'enqu�te (voir le document), � savoir la dur�e de l'observation compatible avec celle de flashes de satellites (environ 20 secondes), l'aspect d'un flash tr�s lumineux, la forme allong�e en lent d�placement horizontal et la position dans le ciel (azimutale et en hauteur) compatible avec celle du satellite � ISIS 1 � recens� et visible � la date et � l'heure de l'observation, nous pouvons conclure que ce cas concerne probablement l'observation d'un flash du satellite � ISIS 1 � lors de sa sortie du c�ne d'ombre de la Terre.
Ce cas est � classer en � B � comme observation probable d'un flash du satellite � ISIS 1 �. Il subsiste une incertitude sur l'identit� du satellite origine du ph�nom�ne.";"Courte observation d'une lumi�re intense blanc-orang� dans le ciel : observation probable d'un flash du satellite � ISIS 1 �.";O;;;;;;;;;2015-02-23;;;0.30;0.00;;;;;;;0.70;0.00;B;B;2012-09-08325
3059;"TAMPON (LE) (974) 16.09.2012";"La R�union";974;"(D) D�partement";2012;09;16;"Le 16 septembre 2012 � 22h16, un t�moin observe un objet jaune tr�s brillant venant du Sud Ouest, se dirigeant rapidement vers la montagne, au-dessus de l'horizon. L'objet, tr�s brillant, se fragmente en deux morceaux qui disparaissent derri�re l'horizon au Nord Est.
La description faite par le t�moin est parfaitement conforme � l'observation d'un bolide avec fragmentation, provoqu� tr�s probablement par la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de.
Ce cas est class� ""B"".";"Observation du passage SO-NE d'un objet jaune tr�s brillant, lumineux, se fragmentant en deux morceaux, trajectoire descendante : probable rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oroide.";O;1;1;;1;;;;;2017-12-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-09-08326
3060;"BAZIEGE (31) 14.09.2012";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2012;09;14;"Le 14 septembre 2012 � environ 6h25 un t�moin observe durant 5 secondes dans le ciel d�gag� un objet de couleur bleu et de forme triangulaire avec des points brillants tout autour. L'objet stationnaire semble soudain tomber et s'�teint brusquement dans le ciel. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Cette observation ne ressemble pas aux m�prises les plus communes :
- la carte du ciel ne r�v�le aucun astre notable vers l'Ouest, qui auraient pu provoquer une illusion.
- l'hypoth�se d'un satellite ou d'un ensemble de satellites a aussi �t� exclue du fait de l'absence d'objets correspondants r�pertori�s par le site Calsky.
- A cette heure tr�s matinale, l'hypoth�se de drone ou d'engins de loisirs semble infiniment peu probable.
- la description du ph�nom�ne est tr�s �loign�e de l'aspect d'un avion, bien qu'il soit possible qu'un avion ait �t� dans le champ de vision du t�moin � cette heure l� dans cette direction.
Le relev� M�t�ociel sur Toulouse-Blagnac indique un bon vent d'Ouest.
C'est en-dessus de Montgiscard que les avions s'appr�tant � atterrir � Blagnac s'alignent dans l'axe Nord Ouest de la piste de Blagnac : un avion de face, avant son virage vers le NO, aurait pu se pr�senter comme un ensemble de points lumineux, uniquement visibles avant le virage vers le NO (voir carto).
Cette derni�re hypoth�se, � la limite de l'acceptable, trop fragile, n'est pas retenue car non confirm�e par d'autres recoupements (relev� de trafic a�rien, photos, autre t�moin).
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque de recoupements.";"Observation d'un objet fixe de forme triangulaire, de couleur bleu entour� de points brillants ; dispararition subite dans le ciel : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.40;0.00;;;0.70;;0.80;;0.56;0.00;C;B;2012-09-08327
3061;"CLERMONT-FERRAND (63) 17.09.2012";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";2012;09;17;"Le 17 septembre 2012 de 6h50 � 7h20, un t�moin est intrigu� par la pr�sence de deux ph�nom�nes lumineux dans le ciel. Le t�moin prend deux photographies : une en direction de l'Est et la deuxi�me en direction du Sud.
Le t�moin a sans aucun doute observ� au Sud la plan�te Jupiter, de magnitude -2,5 (c'est-�-dire beaucoup plus lumineuse que les �toiles de la Grande Ourse, de magnitude 1,7) et il a vu � l'Est la plan�te V�nus de magnitude -4,7(c'est-�-dire encore plus lumineuse) qui est devenue invisible au lever du Soleil. (Voir les cartes du ciel correspondantes.)
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de V�nus et Jupiter";"Observation de deux ph�nom�nes lumineux fixes : observation astronomique de V�nus et Jupiter.";O;1;;;;;;;;2012-10-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-09-08328
3062;"RENTREE ATMOSPHERIQUE (975) 21.09.2012";France;FR;"(N) National";2012;09;20;"Plusieurs t�moignages de pilotes en vol et d'un t�moin au sol d�crivent le lent passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel vers minuit dans la nuit du 21 au 22 septembre 2012.
Un seul compte rendu d'observation, envoy� par le CRNA ESTde Reims, consigne les 4 t�moignages des pilotes : tous indiquent des observations directes par ciel clair d'un ph�nom�ne lumineux, aucun �cho radar de bord et aucune anomalie sur le fonctionnement des instruments de vol. Un des pilotes pr�cise avoir vu une lumi�re bleue.
Le t�moin au sol d�crit une boule vert fluo avec une train�e s'effectuant sur une trajectoire descendante.
Ce ph�nom�ne, observ� dans le Nord de la France par 4 pilotes en vol et un t�moin au sol � Laon, a aussi �t� massivement observ� depuis l'Angleterre, comme se d�pla�ant d'Est en Ouest, et plus lentement que les bolides habituels.
J�r�mie Vaubaillon, sp�cialiste des m�t�ores � l'Institut de M�canique C�leste et de Calcul des �ph�m�rides a �t� consult� sur ce cas : � Nous avons de grandes raisons de penser que cet objet est tr�s int�ressant. Il pourrait s'agir d'un petit ast�ro�de temporairement captur� par la Terre. � Etant donn� l'angle de vue vers le Nord qu'avaient les pilotes et que ce type de ph�nom�ne se produit entre 100 et 60 km d'altitude, c'est bien le m�me ph�nom�ne qui a �t� observ� par les 4 pilotes, le t�moin de Laon, et par les t�moins en Angleterre.
Le GEIPAN classe ce cas 'A' : observation de bolide : rentr�e de m�t�oro�de";"Observations du passage lent d'un ph�nom�ne lumineux : rentr�e atmosph�rique d'un bolide.";O;5;;;;;;;;2007-03-22;;;0.22;0.13;;;;;;;0.57;0.43;A;A;2012-09-08329
3064;"FRESSE-SUR-MOSELLE (88) 01.09.2012";Vosges;88;"(D) D�partement";2012;09;01;"Le premier septembre 2012 un t�moin est intrigu� par les �volutions horizontales et silencieuses d'un cercle lumineux jaune dans le ciel nuageux. L'observation a dur� pr�s d'une demi-heure. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
La description du ph�nom�ne (cercle jaune apparaissant ou disparaissant dans les nuages) fait penser � un projecteur de discoth�que ; le samedi soir est un moment opportun pour ce genre d'animation. L'enqu�te de gendarmerie n'a pas relev� d'�tablissement proche ayant pu faire ce genre d'animation, mais c'est quelquefois visible � plus de 10 km.
Le GEIPAN classe ce cas peu �trange en cat�gorie ""B"" : observation probable d'une animation lumineuse.";"Longue bservation des d�placements silencieux d'un cercle lumineux jaune dans le ciel nuageux : probable observation d'une animation laser.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-09-08332
3065;"VERN-SUR-SEICHE (35) 17.09.2012";Marne;51;"(D) D�partement";2012;09;17;"Le 17 septembre 2012 � 14h20 , un t�moin remarque dans le ciel une boule noire qui semble stationnaire.
Le t�moin a observ� dans le ciel cet objet noir semblant immobile, assez bas sur l'horizon. Il en fait le tour, sur un quart de tour, ce qui prouve la faible distance et altitude de l'objet. Le vent de Nord de 10 � 20 km/h (voir relev�) semble faible pour faire voler un cerf volant. La forme sph�rique �voque plutot un ballon. Le couvert nuageux semble inadapt� � un essai de ballon thermique (chauff� au soleil). Il s'agit probablement d'un ballon festif gonfl� � l'h�lium, tenu par un fil (bien s�r invisible � plus de 100m) ou volant dans le faible vent de ce jour.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de ballon.";"Observation de la pr�sence d'une boule noire dans le ciel : probable observation d'un ballon.";O;1;;;;;;;;2012-10-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-09-08333
3066;"YERRES (91) 15.09.2012";Essonne;91;"(D) D�partement";2012;09;15;"Le samedi 15 septembre 2012 vers 23h, plusieurs personnes observent dans le ciel le d�placement silencieux de plusieurs points lumineux jaunes-orang�s qui s'�teignent progressivement. Une seule personne t�moigne.
La description du t�moin (points jaunes, s'�teignant progressivement en devenant une forme noire, lent d�placement horizontal) est tout � fait caract�ristique de l'observation de lanterne tha�. La co�ncidence avec le feu d'artifice, un samedi soir, est aussi un �l�ment favorable. Le tr�s l�ger vent, plutot de Sud-Ouest, n'est pas incompatible avec cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha� (lanternes volantes).";"Observation du d�placement silencieux de plusieurs points lumineux jaune-orang� : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2012-10-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-09-08334
3067;"AVION (62) 24.09.2012";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2012;09;24;"Le 24 septembre vers 0h45 un t�moin constate dans le ciel un ensemble de ph�nom�nes lumineux sous forme de flashes blancs �clatant derri�re un grand nuage blanc. Ces ph�nom�nes viennent du Sud et de l'Est et le t�moin filme durant 8 minutes ces flashes lumineux avec un ""stylo espion"". Aucun bruit n'est entendu. Lorsque le t�moin regarde sa vid�o, il est surpris de voir des boules lumineuses qu'il n'avait pas observ� en direct. L'�pouse du t�moin observera le ph�nom�ne mais un seul t�moignage est recueilli.
Le relev�s des impacts de foudre montre une forte activit� orageuse sur le Nord Pas-de-Calais en milieu de nuit (voir M�t�ociel). Le t�moin confirme d'ailleurs avoir eu de l'orage apr�s 2h du matin. Les flashs observ�s derri�re les nuages sont issus de cette activit� orageuse.
La vid�o, prise avec un petit ""stylo espion"" ne montre pas ces flashs lumineux, mais des points lumineux fixes. Ce type de cam�ra est tr�s peu sensible en faible lumi�re, ceci peut expliquer que des flashs d'�clairs lointains derri�re les nuages aient �t� trop peu lumineux pour impressionner le capteur.
Les points lumineux qui apparaissent sur la vid�o sont tr�s probablement des lumi�res fixes : lampadaires de rue ou autre. Le t�moin ne les a pas vues � l'oeil nu. Comme ces cam�ras espions n'ont pas de viseur, le t�moin ne peut pas comparer ce qu'il filme et ce qu'il voit.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation d'�clairs lointains avant un orage.
Les lumi�res film�es par la vid�os semblent �tre l'�clairage urbain.";"Observation de ph�nom�nes lumineux sous forme de flashes blancs derri�re un nuage et d�couverte de boules lumineuses sur le film pris lors de l'observation : observation d'�clairs lointains avant un orage.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.35;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;A;B;2012-09-08339
3069;"BOULOGNE-BILLANCOURT (92) 29.09.2012";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2012;09;29;"Le 29 septembre 2009 �15h, un t�moin constate par la fen�tre le clignotement d'une petite forme lumineuse blanche � haute altitude. Au bout d'une minute, le point lumineux s'immobilise puis reprend sa trajectoire mais sans aucun clignotement.
D'apr�s des informations recueillies par t�l�phone aupr�s du t�moin, celui-ci regardait vers le Sud, et l'objet se d�pla�ait vers l'Est (Voir carte). Les relev�s m�t�o au sol mentionnent � 14h un vent de Nord-Ouest puis de Nord � 15h. L'observation ne correspond donc pas avec un objet port� par le vent � basse altitude.
Par contre M�t�o-France fait des l�chers de ballons sondes quotidiens depuis Trappes vers 12h TU, soit � 14h locales, c'est-�-dire une heure avant l'observation (voir le relev� qui indique que le vent au sol est du NW assez faible (5 kt) � 14h,qu'il passe ensuite � W plus fort (25 kt) � partir de 2800 M, pour repasser au NW plus haut). Comme les vents en altitude soufflaient vers l'Est, ce ballon expliquerait bien l'observation, environ une heure apr�s le l�cher. Les clignotements correspondent � la rotation du ballon ou de r�flecteurs.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" comme identifi� par l'observation d'un ballon sonde de M�t�o France lanc� de Trappes � 14h .";"Observation du d�placement d'un point lumineux et clignotant : observation d'un ballon sonde m�t�o.";O;1;;;;;;;;2012-10-31;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-09-08342
3070;"BONS-EN-CHABLAIS (74) 16.09.2012";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2012;09;16;"Le 16 septembre 2012 � 20h24 un t�moin sur son balcon a son attention attir�e par le d�placement silencieux d'un point lumineux blanc. La trajectoire est E-O et le ph�nom�ne disparait derri�re les montagnes du Jura. Aucun bruit n'a �t� entendu durant l'observation de 4 secondes. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
D'�tranget� moyenne et de bonne consistance (t�moin unique, mais avec un t�moignage tr�s pr�cis), ce cas s'av�re �tre une m�prise possible avec une rentr�e atmosph�rique naturelle (bolide, appel� aussi m�t�ore). Bien que la description du PAN soit tout � fait caract�ristique de celle d'un bolide, aucun autre t�moin n'a pu �tre trouv� pour expliquer formellement le cas.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (observation de courte dur�e dans un ciel cr�pusculaire).
Ce cas est class� B, probable observation d'un bolide.";"Courte observation du d�placement silencieux d'un point lumineux dans le ciel : observation probable d'un bolide.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;B;2012-09-08343
3071;"VILLEURBANNE (69) 15.09.2012";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2012;09;15;"Le 15 septembre 2012 un t�moin observe � 22h30, depuis la fen�tre ouverte de sa salle de bains, de multiples points lumineux multicolores, formant une sorte de trap�ze. Les points ne clignotent pas. La forme semble immobile, de la taille d'un grand immeuble. La hauteur est compar�e � celle d'un vol d'h�licopt�re. Le t�moin prend quelques photos. Le Pan dispara�t alors que le t�moin l'a quitt� des yeux.
L'�tranget� du ph�nom�ne peut �tre consid�r�e comme faible (ph�nom�ne statique, durable, peu lumineux) avec une hypoth�se possible d'explication mais sans confirmation.
Le t�moignage est de consistance moyenne : t�moin unique et pas de correspondance entre ce qui est visible sur les photographies et la description du ph�nom�ne par le t�moin. De plus, l'enqu�te a eu lieu longtemps apr�s l'observation.
Le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie � C � par manque d'information de recoupements (autres t�moins, photographie de bonne qualit�, avis d'animations). L'hypoth�se la plus probable, l'observation d'une manifestation de type projection lumineuse, n'a pu �tre confirm�e.";"Observation de multiples points multicolores formant un trap�ze immobile dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-09-08350
3073;"SAUSSENAC (81) 12.09.2012";Tarn;81;"(D) D�partement";2012;09;12;"Le 12 septembre 2012 vers 21h30 une automobiliste est intrigu�e la pr�sence dans le ciel et � basse altitude de trois lumi�res de couleur (rouge, bleue, blanche) qui clignotent et d�limitent une forme triangulaire. Aucun bruit particulier n'est entendu durant le d�placement du ph�nom�ne qui change de cap et disparait en direction de Saussenac. L'observation a dur� 2 minutes. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
D'�tranget� moyenne et de consistance faible (t�moin unique, observation de courte dur�e), ce cas s'av�re �tre une m�prise possible avec un a�ronef (voir la note d'enqu�te).
Cependant, malgr� une description assez typique, la faible qualit� du t�moignage et le long d�lai de traitement du dossier emp�chent l'identification formelle d'un �ventuel avion.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (fatigue, conduite de nuit).
Ce cas est class� B, probable observation d'un a�ronef.";"Observation par une automobiliste de trois lumi�res clignotantes �voluant � faible altitude et formant un triangle : observation probable d'un a�ronef.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.80;;0.56;0.00;B;B;2012-09-08356
3075;"ILE-D'YEU (L') (85) 11.09.2012";Vend�e;85;"(D) D�partement";2012;09;11;"Le 11 septembre 2012 entre minuit et 2h du matin, deux personnes � bord d'un voilier � l'approche du port de l'Ile d'Yeu observent la pr�sence de trois lumi�res rouges, align�es et inclin�es au-dessus de l'oc�an, � droite de la balise verte � l'entr�e du port.
Le ph�nom�ne reste stationnaire plusieurs minutes et n'�met aucun bruit : il dispara�t brusquement. Les deux t�moins poursuivent ensuite leurs manuvres pour rentrer dans le port.
L'observation de 3 boules rouges � basse altitude quasi stationnaires pendant 3 � 4 minutes fait penser � des lanternes tha�landaises.
Le vent local relev� � St Sauveur (cf relev� m�t�o) indique un l�ger vent de Sud-Ouest : les t�moins auraient d� voir un l�ger d�placement vers leur droite ; mais les t�moins �taient eux-m�mes en d�placement et le port de Joinville (c�te Nord Ouest de l'�le) est abrit� des vents de Sud-Ouest.
Les lanternes tha�landaises sont le plus souvent l�ch�es � l'issue des f�tes le samedi soir ; l'observation �tait un mardi vers 1h, mais sur une zone tr�s touristique. L'extinction simultan�e des 3 lumi�res est tr�s peu probable pour des lanternes.
Devant ces 3 facteurs d�favorables � l'hypoth�se lanternes tha�landaises, le GEIPAN classe ce cas ""C"", par manque d'informations et de recoupements. Le t�moignage a �t� soumis trop tard au GEIPAN pour qu'une recherche puisse �tre faite aupr�s du contr�le a�rien.";"Observations depuis un bateau de trois lumi�res rouges align�es et inclin�es ; extinction soudaine : manque d'informations.";O;2;;;;;;;;2013-06-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-09-08366
3076;"GRASSE (06) 15.09.2012";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2012;09;15;"Le 15 septembre 2012 � environ 13h35, un t�moin est intrigu� par le d�placement silencieux SSE-NNE d'un objet allong� de couleur dans le ciel. Photographe amateur, il a le r�flexe de prendre deux clich�s photograpiques.
Par vent mod�r� de Sud Est � Est (voir relev� Meteociel sur Nice), le t�moin, observe et photographie au Sud-Est un objet volant de forme complexe, de couleur violet-bleu.
Le d�placement de l'objet s'av�re compatible avec le sens du vent, son aspect �voque un ballon festif argent� (Mylar) gonfl� � l'h�lium. Le t�moin, �tant face au vent sur son balcon, il ne peut estimer correctement la direction du vent.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : probable observation de ballon festif.";"Observation dans le ciel du d�placement d'un objet allong� de couleur bleu/violet : probable observation d'un ballon festif.";O;1;;;;;;;;2013-06-03;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-09-08367
3077;"[D996] DE SAUXILLANGES (63) VERS COLLANGES (63) 23.09.2012";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";2012;09;23;"Le 23 septembre 2012 � 17h05 un automobiliste et sa compagne observent plusieurs objets ronds lumineux qui apparaissent et disparaissent dans les nuages. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Les t�moins roulaient en direction du Sud Sud-Ouest (voir carte), la m�t�o (voir relev� Meteociel) indique � Clermont-Ferrand un fort vent de Sud, et un ciel assez couvert. Les objets lumineux que voient les t�moins peuvent �tre des ballons m�tallis�s refl�tant le soleil. Le vent soufflant en sens inverse des t�moins, ils semblent quasi stationnaires. Le jour et l'heure de l'observation sont compatibles avec un l�cher � l'issue d'une f�te ou d'une rencontre sportive. M�me si cette hypoth�se est coh�rente avec les d�clarations des t�moins, le GEIPAN n'a pu la confirmer par d'autres recoupements.
Ce cas est class� ""C"" par manque d'informations permettant de valider cette hypoth�se de ballons.";"Observations de plusieurs objets ronds et lumineux apparaissant et disparaissant dans le ciel nuageux : manque d'informations.";O;2;2;;;;;;;2013-10-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-09-08372
3079;"GONDRECOURT-LE-CHATEAU (55) 16.09.2012";Meuse;55;"(D) D�partement";2012;09;16;"Le 16 septembre 2012 � 16h40, un promeneur observe une boule blanche ayant l'aspect d'un nuage et se dirigeant vers lui, tout en restant haut dans le ciel. Pendant son approche, l'objet estim� � un centim�tre, grossit d'environ trois fois son volume.Le t�moin prend une photographie. Le GEIPAN a re�u son t�moignage en mai 2013.
Le GEIPAN a analys� l'hypoth�se d'un objet port� par le vent. Il n'y a malheureusement pas de station m�t�o proche de Gondrecourt. Les relev�s m�t�o � Saint-Dizier (52) � 45 km, � Nancy Essey (� 55km) montrent respectivement un vent extr�mement variable, autant en direction (NE, SO, S, SE ), qu'en vitesse (4 � 25 km/h). Il est donc impossible d'affirmer que cet objet �tait port� par le vent, bien que ce soit hautement probable.
Le changement de luminosit� de l'objet depuis le z�nith, o� il appara�t blanc sur la photo, jusqu'� l'horizon o� il appara�t gris, oriente plut�t vers l'hypoth�se d'un objet assez bas, que vers l'hypoth�se d'un nuage. De plus, le t�moin voit nettement grossir l'objet au long de l'observation, ce qui favorise l'hypoth�se d'un objet � tr�s basse altitude. Si l'objet �tait � 100m d'altitude, un vent de 12km/h lui aurait fait traverser la moiti� du ciel (90�) en une minute, en parcourant 200m.
La forme d�crite peut �tre compatible avec une boule de duvet, peut-�tre emport�e d'un nid, ou d'un nuage d'insectes. Ceci ne sont que des hypoth�ses ne pouvant �tre confirm�es.
Faute de relev� du vent local, et sans possibilit� d'estimer l'altitude de l'objet, le GEIPAN classe ce cas ""C"" : manque d'informations pr�cises pour donner un avis consolid�.";"Observation du d�placement dans le ciel d'une boule blanche ayant l'aspect d'un nuage : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-09-08453
3080;"ATHIS-MONS (91) 16.09.2012";Essonne;91;"(D) D�partement";2012;09;16;"T�moignage r�cent d'une observation ancienne.
En mai 2015, le GEIPAN re�oit un t�moignage d'une observation faite le 16 septembre 2012. Ce soir l�, vers 23h30 un t�moin observe le passage silencieux de plusieurs points lumineux blancs dans le ciel. Le t�moin constate cela � trois reprises, les points lumineux ayant toujours le m�me trajet. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
L'observation de boules lumineuses traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� lors d'une f�te priv�e. La vid�o du t�moin montre aussi des disparitions successives de lanternes, ce qui est �galement typique (fin de vie du bruleur).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : probables lanternes thailandaises.";"Observations de passages successifs et silencieux de points lumineux blancs dans le ciel nocturne : probable observations de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.20;0.00;;;0.70;;;;0.65;0.35;B;A;2012-09-08702
3083;"TAMPON (LE) (974) 01.10.2012";"La R�union";974;"(D) D�partement";2012;10;01;"Le 1er octobre 2012 � 19h35 plusieurs t�moins constatent dans le ciel le passage rapide d'une boule avec une train�e blanche qui semble descendre vers l'oc�an. Une coupure g�n�rale d'�lectricit� intervient tr�s rapidement apr�s le passage de la boule. Un seul t�moignage sera recueilli.
Les caract�ristiques de l'observation sont conformes en tout point avec celles d'un bolide. Le t�moin a v�cu une �tranget� en associant l'observation et la coupure de courant, ce qui n'�tait qu'une co�ncidence (coupures non rares dans l'�le, d'ailleurs pr�vues cette semaine l� par EDF).
Le bolide n'a pas pu �tre confirm� dans les relev�s (jamais exhaustifs, surtout hors continent), mais cela est l'hypoth�se la plus probable.
Le GEIPAN classe le cas en B : bolide";"Observation du passage d'une boule blanche avec train�e blanche dans le ciel r�unionnais; trajectoire descendante : observation du passage d'un bolide.";O;;;;;;;;;2016-12-08;;;0.28;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;B;B;2012-10-08338
3084;"DAMMARTIN-EN-GOELE (77) 05.10.2012";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2012;10;05;"Le 5 octobre 2012 � 23h26 un t�moin observe durant une minute dans le ciel le d�placement silencieux d'un objet lumineux de couleur orange de forme ovale avec des ailes de chaque c�t�. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Compte tenu des �l�ments recueillis lors de l'enqu�te, � savoir :
- Pas d'information sur l'azimut ""exact"" d'apparition et de disparition.
- Pas d'information non plus sur les hauteurs angulaires d'apparition et de disparition.
- Absence de mesures angulaires.
- Pas davantage de pr�cisions sur les estimations d'altitude, de distance et de taille de l'objet.
Nous pouvons conclure que le manque de pr�cisions ne permet pas de trancher en faveur d'une quelconque hypoth�se. Ce cas est � classer en � C � comme observation d'un ph�nom�ne non identifiable en l'�tat, le manque d'�l�ments ne permettant pas d'�tablir un avis solide.
Ce t�moignage est d'une faible consistance : peu pr�cis et d�taill� et manquant par ailleurs de donn�es primordiales et n�cessaires pour la suite de l'�tude. T�moin oculaire unique et pas de documents photo ou vid�o.
L'observation est peu �trange car il pourrait s'agir d'un objet tout � fait banal (ex : oiseau de nuit �clair� par l'�clairage urbain par exemple, avion militaire feux �teints ), de ce fait le GEIPAN n'a pas jug� n�cessaire d'enqu�te de terrain pour enrichir le dossier.";"Observation du d�placement silencieux d'un objet lumineux orange dans le ciel : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-12-13;;;0.40;0.00;;;;;;;0.30;0.00;C;C;2012-10-08341
3085;"LIEU-SAINT-AMAND (59) 09.10.2012";Nord;59;"(D) D�partement";2012;10;09;"Le 9 octobre 2012 � 23h32 deux personnes observent, dans le ciel noir �toil�, le d�placement rapide d'un point lumineux blanc. Un seul t�moignage est rapport�.
L'observation d'un point blanc traversant le ciel en quelques secondes d'Est en Ouest �voque un bolide (grosse �toile filante), c'est-�-dire la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de (m�t�orite). L'absence de tra�n�e n'est pas banale.
Cet �v�nement n'a pas �t� enregistr� sur la BOAM (base de donn�es des observateurs de m�t�ores). Les �l�ments fournis ne sont pas suffisants pour pouvoir valider cette hypoth�se de bolide, qui reste pourtant vraisemblable (Pic d'activit� des m�t�ores Delta aurigides le 10 octobre).
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.
On note le m�me jour 20 minutes avant une observation semblable � Limoges.";"Observation du passage rapide E-O d'un point lumineux blanc dans le ciel : manque d'infromations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-10-08347
3086;"LIMOGES (87) 09.10.2012";Haute-Vienne;87;"(D) D�partement";2012;10;09;"Le 9 octobre 2012 entre 23h00 et 23h30 un t�moin dans son jardin observe dans le ciel peu nuageux le d�placement rapide d'une lueur blanche avec petit halo bleut�. Cinq minutes plutard, le t�moin reconnait le passage d'une �toile filante.
L'observation d'un point blanc traversant le ciel en quelques secondes �voque un bolide (grosse �toile filante), c'est-�-dire la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de (m�t�orite). L'absence de tra�n�e n'est pas banale.
Cet �v�nement n'a pas �t� enregistr� sur la BOAM (base de donn�es des observateurs de m�t�ores). Les �l�ments fournis ne sont pas suffisants pour pouvoir valider cette hypoth�se de bolide, qui reste pourtant vraisemblable (Pic d'activit�s des m�t�ores Delta aurigides le 10 octobre).
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.
On note le m�me jour 20 minutes apr�s une observation semblable � Lieu-Saint-Amand (59).";"Observation du d�placement rapide d'une lueur blanche avec petit halo bleut� dans le ciel nocturne : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-10-08348
3087;"FITOU (11) 13.10.2012";Aude;11;"(D) D�partement";2012;10;13;"Le 13 octobre 2012 aux environs de 2h05 du matin, un t�moin observe dans un laps de temps tr�s court (8 � 10 secondes), vers l'ouest, � une bonne dizaine � d'objets ayant l'apparence d'�toiles filantes de couleurs bleue p�le, tr�s peu lumineuses et suivant une trajectoire courte en se croisant � dans toutes les directions � et en s'�teignant rapidement. Ces PANs se trouvent � une hauteur estim�e � � 4 ou 5 doigts au-dessus des collines et toits du village �.
Imm�diatement apr�s le t�moin fait une deuxieme observation, au z�nith et pendant 15 � 20 secondes il observe un point lumineux rouge qui se d�place comme un satellite vers l'Ouest. Mais cet objet stoppe net pendant 3 ou 4 secondes pendant que sa luminosit� cro�t rapidement, lui donnant un aspect sph�rique entour� d'un halo lumineux rouge flou. Puis il se d�place ensuite en faisant une s�rie de zigzags tr�s rapides constitu�s de virages tr�s nets et anguleux, sans �-coups ou acc�l�rations/d�c�l�rations, pour finir par repartir sur sa trajectoire initiale, stopper une seconde fois, �mettre une s�rie de vibrations, puis stopper une troisi�me fois avant de disparaitre d�finitivement � au niveau des �oliennes � � une tr�s grande vitesse. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
La conclusion du compte rendu d'enqu�te (voir le document) indique que deux observations sont rapport�es :
- les PANs observ�s dans un premier temps ont un comportement qui ne peut �tre assimil� � celui d'�toiles filantes.
- puis l'observation d'un autre PAN dont le comportement ne s'assimile � aucun objet manufactur� ou naturel connu.
- Rejet de l'hypoth�se de spots laser en l'absence d'�cran nuageux ou brumeux.
- Impossibilit� d'expliquer la trajectoire en zigzag par un ph�nom�ne de perception micro-nystagmus.
Ce cas d'observation n'est pas explicable avec les �l�ments dont dispose l'enqu�te. C'est donc pour compl�ter ou pr�ciser ces observations que le GEIPAN a demand� � rencontrer le t�moin sur le lieu d'observation pour un entretien et une reconstitution. M�me deux ans apr�s, cette rencontre aurait pu �tre d�terminante. Malgr� plusieurs relances par t�l�phone, r�pondeur, SMS et mail, le t�moin n'a pas �t� joignable pour une prise de rendez-vous. Une derni�re tentative plus r�cente n'a pas abouti. Il n'a donc pas �t� possible de progresser en explication, ni m�me de consolider la consistance et la fiabilit� du t�moignage, lesquelles restent donc insuffisantes eu �gard au niveau d'�tranget� des observations d�crites dans le questionnaire. En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en C: informations insuffisantes.";"Observations succesives de d�placement de ph�nom�nes lumineux de couleur dans le ciel nocturne : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-01-27;;;0.70;0.00;;;0.60;;0.60;;0.36;0.00;C;C;2012-10-08349
3089;"MARSEILLE (13) 28.10.2012";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2012;10;28;"Le 28 octobre 2012 vers 10h un t�moin observe un ph�nom�ne lumineux dans le ciel d�gag�. Depuis son balcon et en direction de l'Ouest le t�moin suit des yeux le lent d�placement d'un ph�nom�ne de forme cylindrique brillant et de couleur argent� avec un petit halo rouge sur la gauche. Le t�moin rentre dans l'appartement chercher son appareil photo mais lorsqu'elle revient au bout de 15 secondes tout a disparu. Aucun bruit, aucune fum�e n'ont �t� remarqu�s. Un seul t�moignage est recueilli.
Le feu rouge continu (halo rouge) � gauche du ""cigare"" et le soleil dans le dos du t�moin est compatible avec un a�ronef �clair� par le soleil. Selon le dessin du t�moin, l'angle de vue d'un fuselage (sur la tranche) pourrait expliquer l'absence visible d'ailes. La longueur de l'observation (3 minutes) parait exag�r�e. Le point de vue du t�moin (portion de 35� environ) semble restreint pour une si grande dur�e. Le ciel au-dessus du t�moin est parcouru par de nombreuses lignes a�riennes dans tous les sens (le ciel de google street est plein de train�es de condensation � cet endroit).
Ce qui fait l'�tranget� pour le t�moin est l'absence d'ailes, la rapidit� de la disparition. Ce qui abaisse le niveau d'�tranget� est l'absence d'autres t�moins et l'interruption de l'observation.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : Avion.";"Observation du passage d'un objet cylindrique brillant dans le ciel avec un halo rouge sur un cot� ; disparition rapide : observation du passage d'un a�ronef �clair� par le soleil.";O;;;;;;;;;2016-12-08;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-10-08362
3090;"POISAT (38) 24.10.2012";Is�re;38;"(D) D�partement";2012;10;24;"Le 24 octobre 2012 � 19h50 une automobiliste a son attention attir�e par le passage rapide d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Le t�moin d�crit une lumi�re blanche brillante qui, sur une trajectoire descendante, disparait au bout de quelques secondes. Le t�moin discerne ensuite une forme puis la lumi�re r�apparait progressivement sur une trajectoire montante avant de disparaitre d�finitivement derri�re la colline. Aucun bruit n'a �t� entendu. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
En premier lieu, et pour tenter de r�pondre � l'une des questions pos�es par le t�moin (�Je souhaiterais savoir si d'autres personnes vous ont rapport� ce ph�nom�ne �), nous avons recherch� s'il existait des rapports similaires � la date et � l'heure de l'observation dans la r�gion de Grenoble. Sans succ�s malheureusement.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis dans le rapport d'enqu�te ci-joint, � savoir que les caract�ristiques physiques et dynamiques du PAN cadrent mal avec celles d'un avion, d'un h�licopt�re, d'un drone, ou d'un bolide, mais qu'un reflet dans le pare-brise pourrait avoir occasionn� la m�me sc�ne, nous ne pouvons pas conclure sur la nature du PAN observ�, faute de recoupements, d'autres t�moignages ou de photographies.
Ce t�moignage est d'une consistance moyenne : pr�cis, mais bref (observation de 10 � 15s), venant d'un t�moin unique circulant en voiture, et sans photo.
L'observation est moyennement �trange car il s'agit d'un objet ayant un comportement et une apparence peu banals, mais pouvant �tre expliqu� par des ph�nom�nes conventionnels.
Ce cas est class� � C � par manque d'informations.";"Observation par une automobiliste au travers de son pare-brise d'un ph�nom�ne lumineux blanc et de ses d�placements : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.50;0.00;;;0.80;;0.70;;0.50;0.00;C;D1-;2012-10-08368
3091;"MAZERES (33) 09.10.2012";Gironde;33;"(D) D�partement";2012;10;09;"Le mardi 9 octobre 2012 vers 22h40 un t�moin observe depuis son jardin la pr�sence dans le ciel de deux points lumineux jaune fonc�. Ces points semblent immobiles puis se d�placent rapidement en direction du Sud-Ouest. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation qui dure trois minutes. Le t�moin perd de vue ces points lumineux.
Apr�s enqu�te sur place avec le t�moin, et apr�s investigations aupr�s des autorit�s militaires, il s'av�re que l'observation co�ncide parfaitement avec des manuvres militaires d'envergure. Cependant les autorit�s ne pr�cisent pas le type d'a�ronef concern� (h�licopt�re, avion, ballon �clairant). D'autre part, nous ne disposons pas d'une autre observation du m�me ph�nom�ne pour confirmer qu'il s'est bien d�roul� au-dessus d'une base a�rienne. En conclusion, nous disposons d'une hypoth�se s�rieuse et �tay�e, mais pas de preuve formelle.
Le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie B, observation tr�s probable de deux a�ronefs lors de manuvres militaires.";"Observation de deux points lumineux immobiles dans le ciel puis en d�placement rapide : observation tr�s probable de deux a�ronefs lors de manuvres militaires.";O;1;;;;;;;;2013-10-17;;;0.38;0.13;;;;;;;0.53;0.48;B;B;2012-10-08385
3095;"BUGUE (LE) (24) 05.11.2012";Dordogne;24;"(D) D�partement";2012;11;05;"Le 5 novembre 2012 aux environs de 19h30 deux t�moins observent durant 1minute dans le ciel, un objet lumineux rouge avec deux lumi�res blanches cligotantes de forme hexagonale.
Compte tenu des �l�ments objectifs pr�sent�s dans le rapport d'enqu�te � savoir la signalisation lumineuse observ�e et le bruit conforment � celle d'un avion, la trajectoire dans l'axe de deux a�rodromes � proximit� dans le cadre d'un atterrissage ou d'un d�collage proche d'un avion de tourisme et l'existence d'un a�rodrome abritant un a�roclub poss�dant des avions de tourisme agr��s pour le vol de nuit, nous pouvons conclure que le PAN observ� par les t�moins est probablement un avion de tourisme.
Ce cas est class� en � B � comme observation probable d'un avion de tourisme peu apr�s son d�collage ou peu avant son atterrissage depuis ou vers un a�rodrome se trouvant � proximit�.";"Observation du d�placement d'un objet avec des lumi�res rouge et blanches clignotantes : observation probable d'un avion de tourisme.";O;;;;;;;;;2015-07-31;;;0.30;0.00;;;;;;;0.70;0.00;B;B;2012-11-08360
3096;"MONACO (98) 02.11.2012";Autre;98;"(D) D�partement";2012;11;02;"Le 02 novembre 2012 vers 23h, trois personnes sont intrigu�es par le passage dans le ciel � cinq minutes d'intervalle de deux boules de lumi�re rouge. Celles-ci se d�placent lentement en direction de la mer et disparaissent dans une trajectoire ascendante.
Cette observation a toutes les caract�ristiques des lanternes tha�landaises : lumi�res rouges orang�es se d�pla�ant silencieusement � basse altitude selon le vent (Voir relev� M�t�ociel : l�ger vent de Nord Ouest), un soir de week-end. L'aspect brumeux en-dessus des lanternes peut correspondre � de la vapeur �mise par l'enveloppe humide et chauff�e, ou � de la fum�e produite par le br�leur.
Bien que le t�moin ne valide pas cette hypoth�se, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de deux lanternes tha�.";"Observations de deux boules lumineuses rouge orang�e apparaissant successivement dans le ciel et se d�pla�ant en direction de la mer : probable observations du passage de deux lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-08-08;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-11-08363
3097;"AVIGNON (84) 12.11.2012";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2012;11;12;"Le 12 novembre 2012 � 2h43 du matin un t�moin observe durant 20 secondes le passage dans le ciel d'un ph�nom�ne qu'il ne reconnait pas. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Le t�moin d�crit un objet volant comme une ""sorte de voiture volante, �clair�e de vert et �quip�e de feux rouges � l'arri�re"" se d�pla�ant � basse altitude au-dessus de la ville. Le trajet de l'engin et les feux rouges et verts �voquent un h�licopt�re, mais le t�moin ne mentionne pas de feux clignotants ni de bruit.
Le t�moignage est peu d�taill� ; le GEIPAN a propos� plusieurs fois au t�moin un rendez-vous sur place avec un enqu�teur, mais le t�moin n'a pu se rendre disponible.
Devant ces informations insuffisantes, ce cas est class� ""C"".";"Observation du passage d'un ph�nom�ne �clair� d'une lumi�re verte et de deux feux rouges � l'arri�re : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-11-08364
3098;"SIX-FOURS-LES-PLAGES (83) 25.11.2012";Var;83;"(D) D�partement";2012;11;25;"Le 25 novembre 2012 deux t�moins observent depuis la corniche du Fort de la Coll�giale, la pr�sence d'un point lumineux entre la presqu'�le du Gaou et l'�le des Embiez. Intrigu�s, ils observeront ce ph�nom�ne durant environ 3 heures.
Lors de l'enqu�te, l'aide pr�cieuse d'un employ� du service ""Marine Traffic"" fut capitale. Il a permis d'identifier clairement la pr�sence du ""Mol Marvel"" un porte container faisant route au sud de Toulon. C'est bien ce bateau qui a �t� aper�u par les t�moins � la date et � l'heure correspondant � son passage dans la direction indiqu�e. Sa taille, sa vitesse, sa distance par rapport � la c�te, sont tout � fait compatibles avec les t�moignages et les photos r�alis�es (voir le document ""notes d'enquete"").
Le GEIPAN classe ce cas en A (ph�nom�ne parfaitement identifi�) : observation de l'�clairage d'un bateau.";"Longues observations d'un ph�nom�ne lumineux au-dessus de la mer : observation de l'�clairage d'un bateau.";O;2;;;;;;;;2007-03-22;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-11-08369
3100;"MONTIVILLIERS (76) 22.11.2012";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2012;11;22;"Le 22 novembre 2012 vers 21h15 un t�moin est intrigu� par la pr�sence dans le ciel couvert d'une lumi�re vive et fixe. Puis vers 21h24 il s'aper�oit que la lumi�re bouge lentement et horizontalement en direction de Fontenay. La m�re du t�moin a �galement vu la lumi�re fixe ""genre projecteur"" mais n'a vu aucun feu clignotant. La lumi�re disparait cach�e par les toits d'habitations. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
La gendarmerie a fait une enqu�te pouss�e aupr�s du contr�le a�rien militaire, de commissariats de police voisins, de l'a�roport d'OCTEVILLE de METEOFRANCE et opte pour la possibilit� d'observation d'un avion venant de Lyon pour se poser � Le Havre-OCTEVILLE en abordant la piste par le Nord-Est , 3/4 face au vent de Sud.
Les traces radar ne font pourtant pas �tat de cet avion, mais ces traces ne sont donn�es que sur une zone de moins de 10 km vers l'Ouest de Montivilliers ; l'avion venant du Sud Est doit passer par le rep�re a�ronautique LHO, situ� � Mannevillette (LHO IAF 49�35'51.1 N - 000�10'51.8 E), bien au nord de cette zone de trac� : il aura contourn�, par l'Est puis par le nord, la zone s�lectionn�e pour la trace radar (voir carte ci jointe).
Un avion de face � basse altitude est visible d�s 20 km, voire 30 km et plus selon les conditions m�t�o ; il a l'aspect d'un seul point lumineux, car les feux de position et feux clignotants, bien moins puissants que les phares d'atterrissage � faisceau �troit, ne sont pas visibles � cette distance.
On note ce jour l� une grande visibilit� horizontale de 60km, malgr� la forte couverture nuageuse. M�t�ociel.
Ces conditions m�t�o rares peuvent expliquer que les t�moins ne remarquent pas habituellement cet avion de ligne r�guli�re. Il est aussi possible que le pilote ait choisi ce jour l� une route ou une altitude particuli�re. Le m�me avion, vu de c�t�, pr�sente alors ses feux de position (rouge ou vert selon le c�t�), et ses feux clignotants (rouge et/ou blancs selon la phase de vol), et les feux d'atterrissage, orient�s vers l'avant de l'avion, ne sont presque plus visibles."">M�t�ociel.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation tr�s probable d'un avion vu de face, en approche de Le Havre-Octeville.";"Observations d'une lumi�re vive et fixe dans le ciel ; puis en d�placement : observations tr�s probable d'un avion vu de face, en approche de Le Havre-Octeville.";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.25;0.00;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-11-08392
3101;"DOUARNENEZ (29) 18.11.2012";Finist�re;29;"(D) D�partement";2012;11;18;"Le 18 novembre 2012 vers 20h30 un t�moin constate � l'il nu puis aux jumelles la pr�sence d'une lumi�re dans le ciel. Cette lueur est stationnaire et scintille (scintillements verts et rouges) ; son centre est noir et son intensit� lumineuse varie. Le t�moin se d�place, fait constater la lueur � plusieurs autres personnes de son entourage puis contacte la gendarmerie. Une patrouille est envoy�e sur place et constate �galement le ph�nom�ne. Les gendarmes alertent le Centre en route de la navigation a�rienne Ouest (CRNA-O) pr�s de Brest et le contr�leur a�rien r�digera un rapport indiquant qu'un �quipage en vol en approche de Quimper et lui-m�me n'ont fait aucune observation particuli�re � cette date. Il indique �galement que les militaires n'�taient pas en service dans le secteur ce soir l� et que les radars primaires de Lanv�oc et Landivisiau n'ont rien vu de particulier. Malgr� une enqu�te de voisinage, un seul t�moignage est recueilli sur ce ph�nom�ne.
Le t�moin observe longuement dans le ciel une lueur stationnaire, changeant de couleur, en direction du Sud-Est : une lumi�re fixe dans le ciel �voque un ph�nom�ne astronomique, le changement de couleur peut �tre d� � la scintillation. On note ce jour l� un l�ger vent d'Ouest, et une atmosph�re tr�s humide. Mais il n'y a pas d'astre tr�s lumineux dans cette direction du ciel ; on note par contre la plan�te Jupiter plein Est.
Le proc�s verbal du CNRA apporte des �l�ments compl�mentaires, tels que la hauteur sur l'horizon du PAN ainsi que la non d�tection visuelle/radar par l'�quipage d'un avion en approche sur Quimper et par les radars primaires de Lanv�oc et de Landivisiau. Le rapport indique �galement l'absence d'activit� militaire dans le secteur.
Compte tenu des �l�ments objectifs d�finis dans les chapitres pr�c�dents, nous pouvons conclure que ce cas est � classer en � B � comme confusion probable avec un h�licopt�re. Le ph�nom�ne a toutes les caract�ristique d'un h�licopt�re observ� de nuit, � une distance importante; possiblement un h�licopt�re de la S�curit� Civile en mission VFRn � proximit� de l'a�roport de Quimper Pluguffan correspondant � l'azimut de l'observation.
Ce t�moignage est de qualit� moyenne (trop concis, peu pr�cis, et manquant de donn�es essentielles), et de consistance plut�t faible car venant d'un t�moin unique et sans photo. L'observation est peu �trange car le PAN est facilement caract�risable, aussi bien dans son apparence que dans son comportement.
Le GEIPAN classe ce cas en � B � : observation probable d'un h�licopt�re de la S�curit� civile en approche de l'a�roport de Quimper Pluguffan.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux avec scintillements de couleurs (vert et rouge) dans le ciel nocturne : probable observation d'un h�licopt�re de la S�curit� Civile.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.40;0.00;;;0.60;;0.70;;0.40;0.00;B;B-;2012-11-08403
3102;"ROHAIRE (28) 29.11.2012";Eure-et-Loir;28;"(D) D�partement";2012;11;29;"T�moignage en 2014 d'une observation ancienne.
Le 29 novembre 2012 � 18h40 un t�moin observe au loin, en direction de l'Est-Sud-Est, les �volutions particuli�res et rapides (montante, descendante, avec changement de direction, avec division) d'une lumi�re intense, rouge et blanche, � basse altitude dans le ciel nuageux. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Ce t�moignage fait l'objet de peu d'information, le questionnaire n'est que partiellement rempli (ex dur�e et vitesse non signal�es, une seule position de PAN alors qu'il est mentionn� un d�placement) et les photos mentionn�es n'ont jamais �t� communiqu�es malgr� relance du GEIPAN. Le t�moignage porte sur une observation ant�rieure de 2 ans.
Dans l'�tat il n'est pas permis de r�pondre � ce t�moignage. En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en C: manque d'information.";"T�moignage en 2014 d'une observation faite en 2012 des �volutions rapides d'un ph�nom�ne lumineux intense blanc et rouge � basse altitude : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-06-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.10;0.00;C;C;2012-11-08711
3104;"SARTROUVILLE (78) 02.12.2012";Yvelines;78;"(D) D�partement";2012;12;02;"Dans la nuit du samedi au dimanche 2 d�cembre � 0h03, un couple observe depuis son domicile une dizaine d'objets lumineux rouges se suivant � intervalles r�guliers et disparaissant les uns apr�s les autres dans le ciel nuageux.
La description du t�moin correspond � l'aspect de lanternes tha� (on note toutefois la description de reflets bleut�s, rares sur les lanternes, � moins qu'elles ne soient bleues).
Le vent local, tel que relev� � Verneuil, est faible et instable (voir relev�s) de secteur ouest, compatible avec le d�placement de ces objets. Ils ont peut-�tre �t� l�ch�s en bord de Seine, � la fin d'une soir�e festive.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement de lumi�res de couleur rouge dans le ciel : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2017-12-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-12-08371
3105;"[AERO LOC] PERPIGNAN (66) 12.12.2012";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2012;12;12;"Le 12 d�cembre 2012 � 19h20 (UTC) un pilote et un contr�leur sont intrigu�s par la pr�sence dans le ciel d'une lumi�re jaune-orang�e de forte magnitude. Une photographie a pu �tre prise depuis l'avion.
Le ph�nom�ne a aussi �t� vu par un observateur au sol � ESPIRA de l'AGLY (66) le m�me jour.
L'enqu�te locale aupr�s de la base militaire voisine a permis de trouver que des entrainements avaient eu lieu deux soirs de suite avec des fus�es �clairantes.
Ce cas parfaitement caract�ris� est donc class� ""A"".";"Observations d'un ph�nom�ne lumineux jaune-orang� dans le ciel : fus�e �clairante utilis�e lors d'un entrainement militaire.";O;2;;;;;;;;2013-02-04;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2012-12-08373
3106;"[AERO RYR, BIE] TOULOUSE (31) 13.12.2012";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2012;12;13;"Un pilote rapporte son observation faite en vol : le 13 d�cembre 2012 � 16h48 (TU), il observe (dans le 030� Toulouse) le passage Est-Ouest d'une m�t�orite verte � une altitude estim�e entre 45000 et 60000 ft.
La description succincte �voque une rentr�e de m�t�oro�de dans l'atmosph�re (chute de m�t�orite). Cette p�riode de l'ann�e correspond au pic des m�t�orites G�minides (venant de l'horizon Nord Est � cette heure l�); De tr�s nombreuses observations ont eu lieu les 12 et 13 d�cembre, par des cam�ras automatiques ou des observateurs. N�anmoins, le GEIPAN n'a pas re�u d'autre t�moignage simultan� � celui l�.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de chute de m�t�oro�de.";"Observation par un pilote du passage Est-Ouest d'un ph�nom�ne vert : probable chute de m�t�oro�de.";O;1;;;;;;;;2017-12-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-12-08374
3107;"CARBONNE (31) 12.12.2012";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2012;12;12;"Vers 7h du matin le 12 d�cembre 2012 un t�moin est intrigu� par un bruit sourd puis observe un ph�nom�ne lumineux suivi du passage rapide d'une boule de couleur bleu ou jaune. Aucune train�e n'est aper�ue.
Le r�cit de l'observation �voque nettement l'aspect d'un gros bolide : puissant ph�nom�ne lumineux de quelques secondes, accompagn� d'un bruit.
La date de l'�v�nement est tr�s proche du pic de l'esaim d'�toiles filantes des G�minides. Le BOAM (http://www.boam.fr) signale l'enregistrement de nombreux �v�nements de ce type � ce moment l� (les cam�ras sont install�es dans le Nord de la France, et n'ont probablement pas captur� ce bolide l�, situ� au sud de Toulouse).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation d'un bolide, probablement issu de l'essaim des G�minides.";"Observation du d�placement d'une boule lumineuse dans le ciel pr�c�d�e d'un bruit sourd : probable observation d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2013-02-01;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-12-08375
3110;"SAINT-MARTIN-DE-SEIGNANX (40) 24.12.2012";Landes;40;"(D) D�partement";2012;12;24;"Le 24 d�cembre 2012 � environ 21h45 une famille observe durant 5 minutes les d�placements silencieux de 6 � 8 points lumineux de couleur rouge � jaune orang�. Ils apparaissent successivement � la m�me fr�quence et semblent se suivre � distance �gale dans le ciel. Tous ont une trajectoire ascendante. Certains disparaissent instantan�ment. Un t�moin fait une vid�o.
L'observation des t�moins est caract�ristique d'une observation d'un l�cher de lanternes thailandaises, tant par les couleurs, les formes, le type de trajectoire, y compris l'extinction en vol ( disparition par fin de combustion du br�leur). Le sens de d�placement rapide de Sud vers Nord correspond au vent mesur� � Biarritz (relev� de vent de sud assez fort sur infoclimat.
Les deux premiers PANs se diff�rencient par un sens de d�placement diff�rent (Est vers Ouest) mais ces indications de directions sont rapport�es au t�moin et ne sont pas celles du t�moin, elles ne b�n�ficient pas du surcroit d'attention ou pr�cision attach� au remplissage d'un questionnaire ou PV de t�moignage, et par ailleurs � proximit� d'oc�an le vent peut �tre instable. Enfin la date et l'heure un soir de 24 d�cembre confortent l'hypoth�se de lanternes thailandaises car elles sont propices � un �v�nement festif de l�cher de ballons.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B: lanternes thailandaises.";"Observation du d�placement silencieux rectiligne et ascendant de ph�nom�nes lumineux de couleur rouge orang� ; extinction instantan�e de certains : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-06-08;;;0.10;0.00;;;0.60;;0.60;;0.36;0.00;B;A;2012-12-08380
3111;"TOULOUSE (31) 28.12.2012";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2012;12;28;"Le 28 d�cembre 2012 � 21h45, un t�moin, qui roule sur l'autoroute A61 � hauteur de l'air de repos de Toulouse-sud, observe durant 20 � 30 secondes un ph�nom�ne lumineux stationnaire tr�s proche qui l'intrigue. il voit deux lumi�res blanches horizontales � tr�s basse altitude, puis un phare blanc central �clairant le sol. Ces lumi�res s'�teignent et laissent place � 6 � 8 spots lumineux rectangulaires qui clignotement successivement en jaune et orange. Le t�moin s'arr�te � une station-service mais les arbres lui cache la vue sur le ph�nom�ne. Malgr� la fr�quentation �lev�e ce soir-l� sur l'autoroute, aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
La difficult� de ce cas est l'unicit� du t�moignage dans un environnement pourtant tr�s fr�quent�, mais qui ne permet pas de bien cerner le ph�nom�ne. La recherche d'autres t�moins s'est av�r�e n�gative, alors que le ph�nom�ne est pourtant assez spectaculaire (voir le compte rendu d'enqu�te). L'observation est tr�s courte et se passe dans une voiture roulant de nuit sur une autoroute tr�s encombr�e. Le t�moin est sinc�re et a �t� impressionn� par ce qu'il a vu au point de retourner sur les lieux le lendemain, de se rendre � la gendarmerie de Muret et d'envoyer un courrier au GEIPAN. Son t�moignage est relativement pr�cis mais unique.
L'hypoth�se de � reflets � alli�e � une mauvaise perception ou interpr�tation semble la plus probable mais ne remet pas en cause la cr�dibilit� du t�moin.
Ce cas est class� B : observation probable de reflets de phares sur les vitres de la voiture.";"Observation de plusieurs ph�nom�nes lumineux � tr�s basse altitude dont 8 spots rectangulaires clignotant : probable observation de reflets de phares sur les vitres de la voiture.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-12-08381
3112;"CRANVES-SALES (74) 17.12.2012";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2012;12;17;"Le 17 d�cembre 2012 � 23h30 un t�moin voit soudain depuis chez lui le ciel s'illuminer d'un bleu profond durant 3 secondes.
Ce t�moignage est tr�s succinct, le t�moin n'a vu qu'une puissante lueur indirectement. La couleur et la dur�e du ph�nom�ne sont compatibles avec un bolide (rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de (m�t�orite)) li� probablement � l'essaim m�t�oritique des Geminides qui a �t� particuli�rement remarqu� cette ann�e (voir http://clubregulus.free.fr/geminides.html).
On peut aussi penser � un �clair d'origine �lectrique (poste � soudure �lectrique, gros court circuit sur une ligne �lectrique) cependant le t�moin ne signale pas le clignotement habituel sur les �clairs d'origine �lectrique mais un �clairement complet du ciel (qui �tait couvert), ce qui correspond bien � un ph�nom�ne � haute altitude.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable de bolide.";"Observation durant trois secondes d'un ph�nom�ne lumineux illuminant le ciel : probable rentr�e atmosph�rique d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2013-02-28;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-12-08382
3113;"TAVEL (30) 29.12.2012";Gard;30;"(D) D�partement";2012;12;29;"Le 29 d�cembre 2012 � 13h05 deux personnes dans une automobile sont intrigu�es par la pr�sence de 8 � 10 ph�nom�nes lumineux blancs vus � travers le pare-brise dans le ciel d�gag�. Aucun bruit n'est entendu durant toute l'observation. Un seul t�moignage est recueilli et le t�moin adresse au GEIPAN un ensemble de photogrphies prises avec son t�l�phone portable.
Les photos montrent diverses formes plus ou moins lumineuses : le t�moin ne pr�cise pas, parmi tous ces artefacts, quels sont ceux qu'il voyait � l'oeil nu. En effet, la photo comment�e montre divers reflets sur l'optique photo ou sur le pare brise ; � l'oeil nu, le t�moin a d� constater les reflets sur le pare-brise, mais il a probablement d�couvert ensuite des effets encore plus surprenants sur les photos.
Etant donn�es les conditions d'observation, en voiture face au sud, � l'heure du z�nith, proche du solstice d'hiver, les conditions sont id�ales pour observer de multiples reflets du soleil sur les vitres ou optiques.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation de reflets du soleil � travers le pare-brise.";"Longue observation en voiture de 8 � 10 ph�nom�nes lumineux blancs photographi�s : observation de reflets du soleil � travers le pare-brise.";O;1;;;;;;;;2016-06-21;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;B;2012-12-08395
3116;"ROCHELLE (LA) (17) 05.12.2012";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2012;12;05;"Le 5 d�cembre 2012 vers 21h45, un t�moin depuis son domicile au 6eme �tage constate la pr�sence dans le ciel d�gag� d'un ph�nom�ne tr�s lumineux masquant un ""engin"" de couleur sombre. Cet objet reste stationnaire une dizaine de minutes sans qu'aucun bruit ne soit entendu avant de disparaitre.
Aucun autre t�moignage sur ce ph�nom�ne n'a �t� recueilli.
D'une part cette observation est tout � fait �trange, d'autre part il est tr�s �tonnant que cette observation n'ait �t� rapport�e que par une seule personne, malgr� la forte densit� de population de la ville.
A la suite de l'enqu�te de gendarmerie, qui a soigneusement fait les v�rifications aupr�s des autorit�s a�riennes et de de s�curit�, le GEIPAN a souhait� diligenter une enqu�te sur place aupr�s du t�moin, mais celui-ci a refus� cette opportunit�.
Du fait de l'impossibilit� de faire cette enqu�te, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux stationnaire et silencieux dans le ciel : manque d'information.";O;1;;;;;;;;2013-04-24;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2012-12-08425
3117;"ROCHELLE (LA) (17) 12.12.2012";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2012;12;12;"Le 12 d�cembre 2012 � 20h10 un t�moin observe durant 10 secondes le passage silencieux d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel.
Le r�cit de l'observation �voque nettement l'aspect d'un gros bolide : puissant ph�nom�ne lumineux, bleu dans ce cas, de quelques secondes, provoqu� par la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de (ast�ro�de) ou un d�bris de satellite.
La date de l'�v�nement est tr�s proche du pic de l'essaim d'�toiles filantes des G�minides. Le BOAM (http://www.boam.fr) signale l'enregistrement de nombreux �v�nements de ce type � cette p�riode l�, mais pas � cette heure-l�.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation d'un bolide, probablement issu de l'essaim des G�minides.";"Observation du d�placement d'un puissant ph�nom�ne lumineux de couleur dans le ciel : probable observation d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2013-05-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-12-08429
3119;"SAINTE-ANNE (971) 14.12.2012";Guadeloupe;971;"(D) D�partement";2012;12;14;"Cas ancien (2012) d�clar� en ao�t 2014. Un enqu�teur contactera le t�moin par t�l�phone puis le rencontrera en d�cembre 2014 ce qui permet au t�moin de compl�ter son t�moignage.
Le 14 d�cembre 2012 vers 17h un t�moin est intrigu� par une ombre qui obscurcit la fen�tre du salon. Se rendant sur sa terrasse, la personne constate la pr�sence au-dessus de son habitation d'un engin noir en mouvement. Le t�moin d�crit un objet triangulaire muni de panneaux lat�raux superpos�s et d'une forme circulaire en son centre. De l'objet s'�chappe de la vapeur. Durant l'observation de 2 � 4 minutes des bruits de bourdonnement et de ""claps"" sont entendus. Le t�moin fait un signe en direction de l'objet et aussit�t ce dernier disparait rapidement vers le NO. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Apr�s enqu�te, ce cas tr�s �trange d'observation rapproch� d'un engin inconnu, mais relat� par un t�moin unique seulement et 20 mois apr�s les faits, s'av�re insuffisamment consistant pour pouvoir donner un avis scientifique consolid� (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le cas est class� en cat�gorie C par manque d'information suffisante en rapport avec l'�tranget� du cas.";"Observation du d�placement d'un engin triangulaire sombre au-dessus d'une habitation ; bruit de bourdonnement et de claquement et disparition rapide : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-02-22;;;0.85;0.00;;;;;;;0.60;0.00;C;C;2012-12-08960
3120;"PARIS (75) 01.12.2012";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2012;12;01;"Le 1er d�cembre 2012 � 17h un t�moin observe dans le ciel parisien la pr�sence d'un objet gris stationnaire. Le t�moin d�crit l'objet comme triangulaire mais �galement comme une toupie avec ""un pic pointu au nez et une forme de croix au centre"". Aucun bruit, aucune fum�e ne sont remarqu�s. L'objet se d�place ensuite lentement comme port� par le vent toujours � la m�me altitude. Le t�moin voit ensuite plusieurs phares rouges clignotants align�s au centre de l'appareil. Durant son observation il prend une photographie. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis (voir le compte rendu d'enqu�te), � savoir :
- Objet se d�pla�ant dans le sens du vent.
- Forme et couleur compatible avec des mod�les existants de ballons fantaisies.
- Estimations de taille et de distance compatibles.
Nous pouvons conclure que le PAN observ� et photographi� par le t�moin peut �tre un mod�le de ballon fantaisie en forme d'avion de chasse, se d�pla�ant dans le vent.
Ce cas est � classer en � B � comme observation probable d'un ballon fantaisie �quip� de LEDs.";"Observation dans le ciel parisien du vol stationnaire puis du lent d�placement rectiligne d'un objet triangulaire gris avec des lumi�res rouges clignotantes : observation probable d'un ballon g�ant fantaisie �quip� de LEDs.";O;1;;;;;;;;2016-02-23;;;0.50;0.00;;;0.90;;0.90;;0.80;0.00;B;D1;2012-12-50053
3121;"NEULLIAC (56) 02.01.2013";Morbihan;56;"(D) D�partement";2013;01;02;"Le 2 janvier 2013 entre 21h10 et 21h30, un automobiliste est intrigu� par la pr�sence de plusieurs boules oranges dans le ciel.
La decription du t�moin est typique d'une observation de lanternes tha� : boules orang�es se d�pla�ant lentement, sur une dur�e de quelques minutes. La p�riode des f�tes de fin d'ann�e est propice aux l�chers de lanternes. Le vent relev� � Vannes est un l�ger vent d'Ouest. Dans les terres, il est probablement plus faible, et plus orient� Sud (voir le vent de Sud � Rennes), ce qui rend compatible le d�placement des boules observ� du Sud vers le Nord (vers Neuillac, voir carte).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du lent d�placement de boules orang�es : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-02-28;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-01-08383
3122;"[AERO ARA] BLANGY-LE-CHATEAU (14) 07.01.2013";Calvados;14;"(D) D�partement";2013;01;07;"Le 07 Janvier 2013, vers 22h50 UTC (23h50 heure locale), le pilote d'un Airbus A340 rapporte avoir vu ce qu'il pense �tre unre rentr�e dans l'atmosph�re de d�bris spatiaux. L'observation a eu lieu aux environs de 22h46', aux environs du 049�10'54''/000�18'53'', ce qui correspond aux environs du survol de Deauville.
Ce t�moignage est � rapprocher du cas d'observation simultan� en Ard�che au Col de L'escrinet (07) � la m�me date"".
D'autres t�moignages de ce type apparaitront dans la presse en janvier 2013.
Etant donn� les r�cits des t�moins, le ph�nom�ne observ� est tr�s probablement la rentr�e dans l'atmosph�re d'un d�bris de satellite, peut �tre issu du satellite Iridium 33.
Ce cas est class� � B � : probable observation d'une rentr�e atmosph�rique.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux par un pilote : probable observation d'une rentr�e atmosph�rique de d�bris spatiaux.";O;1;;;;;;;;2013-04-25;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-01-08384
3123;"[D268] de PORT-SAINT-LOUIS-DU-RHONE (13) vers FOS-SUR-MER (13) 17.01.2013";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2013;01;17;"Le 17 janvier 2013 � 5h30, une automobiliste a son attention attir�e par la pr�sence au-dessus de la route d'un objet volumineux rectangulaire avec des lumi�res vertes et rouges. Le t�moin ralentit et prend une photographie avec son t�l�phone portable. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Suite � une enqu�te approfondie et bien document�e, il s'av�re qu'un avion de transport militaire a d�coll� d'Istres vers le Nord-Ouest juste avant l'observation du t�moin, il a ensuite vir� au Sud pour croiser la route du t�moin, � relativement basse altitude. Les avions C17 sont souvent �quip�s de r�flecteurs verts sur les c�t�s ou sur les ailerons : ce sont ces dispositifs qu'a pu remarquer et photographier le t�moin.
le GEIPAN classe cas � B � : observation probable d'un avion de transport militaire au d�collage de la base d'Istres. Certains �l�ments du t�moignage ne sont pas totalement coh�rent avec cette hypoth�se, ce qui emp�che le classement en A.";"Observation d'un objet volant de forme rectangulaire et de spots verts et rouges : observation probable d'un avion de transport militaire au d�collage de la base d'Istres.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.40;0.00;;;;;;;0.80;0.00;B;B;2013-01-08387
3124;"ANNECY (74) 16.01.2013";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2013;01;16;"Le t�moin sur un t�l�si�ge (versant Bauge) remarque au zenith, le lent d�placement dans le ciel d'un objet en forme de cigare de couleur gris mat et suivant une trajectoire rectiligne NO-SO. Cette m�me observation est faite � deux reprises et durant un laps de temps de 30 minutes. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Nous avons l� deux observations faites en une demi-heure et dans des conditions strictement identiques. La pr�sence d'un avion de ligne peut correspondre � l'observation globale pour deux raisons majeures :
1-Le t�moin dit ne pas avoir vu cet avion, alors qu'il �tait parfaitement dans son champ de vision.
2-La description concorde en tous points : forme, couleur, d�placement.
Cependant, la seconde observation n'a pas pu �tre caract�ris�e. Si l'on se r�f�re aux donn�es horaires du t�moin, l'airbus A-320 �tait en toute logique pass�, et ne pouvait �tre au m�me endroit que le pr�c�dent ; il peut s'agir d'un deuxi�me avion, peut-�tre militaire (donc non trac� par Flightradar24) sur la m�me voie a�rienne.
Apr�s enqu�te, au vu des �l�ments recueillis, des d�placements effectu�s sur le terrain, de l'audition du t�moin, de la recherche d'autres t�moins via presse, ce cas est class� B : observations probables d'avions.";"Observations � deux reprises du lent d�placement d'un objet en forme de cigare gris mat dans le ciel : probables observations d'a�ronefs.";O;;;;;;;;;2017-01-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-01-08388
3126;"SAINT-ETIENNE-DE-BOULOGNE (07) 07.01.2013";Ard�che;07;"(D) D�partement";2013;01;07;"Le t�moin se trouve au point culminant du Col de l'Escrinet en Ard�che lorsqu'elle aper�oit dans le ciel un ph�nom�ne lumineux couleur feu avec une train�e jaune et large qui traverse le ciel d'Ouest en Est dans une trajectoire horizontale.
Ce cas est � rapprocher du cas d'observation simultan� Aero ARA 102 (001) 07.01.2013 fait par un pilote d'avion de ligne.
D'autres t�moignages apparaitront dans la presse.
Etant donn� les r�cits des t�moins, le ph�nom�ne observ� est tr�s probablement la rentr�e dans l'atmosph�re d'un d�bris de satellite, peut �tre issu du satellite Iridium 33.
Ce cas est class� � B �.";"Observation du passage O-E d'un ph�nom�ne lumineux : probable observation d'une rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2013-04-25;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-01-08390
3128;"PARIS (75) 01.01.2013";Paris;75;"(D) D�partement";2013;01;01;"Le 1 janvier 2013 entre 16h et 16h30 un t�moin observe le passage Ouest -Est d'un premier groupe de lumi�res suivi d'un autre groupe suivant toujours la m�me trajectoire. Les objets se d�placent sans aucun bruit et disparaissent � l'horizon.
La description du t�moin (multiples points lumineux, en deux groupes), la date de l'observation (jour de f�te), la direction du vent (l�ger vent d'Ouest), sont tout � fait conformes � une observation de lanternes tha�landaises.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation de lanternes tha�.";"Observation du passage silencieux O-E de deux groupes de boules lumineuses : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-03-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-01-08400
3129;"TRIEMBACH-AU-VAL (67) 07.01.2013";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2013;01;07;"Le 07 janvier 2013 � 4h13 un automobiliste observe durant 3 secondes un flash dans le ciel suivi d'une boule de laquelle se d�tachent plusieurs �clats.Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
La description du t�moin correspond tout � fait � l'aspect d'un bolide (rentr�e dans l'atmosph�re de m�t�oro�de). Le 07 Janvier correspond � la fin de l'essaim d'�toiles filantes des Quadrantides. Au moment de l'observation, le ciel �tait tr�s couvert sur l'ensemble de la France, sauf au Sud-Est ; le ciel �tait un peu moins charg� en Allemagne, dans la direction o� le t�moin observait. L'heure tr�s matinale explique probablement l'unicit� du t�moignage. Ce ph�nom�ne a eu plus d'opportunit� d'�tre observ� en Allemagne qu'en France.
Il n'y a pas d'enregistrement dans la base BOAM, probablement du fait de la couverture nuageuse. On note le m�me jour, mais � 23h45, un gros bolide sur le centre de la France (voir le cas SAINT-ETIENNE-DE-BOULOGNE (07) 07.01.2013).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'un bolide (rentr�e dans l'atmosph�re de m�t�oro�de).";"Observation durant 3 secondes d'un flash dans le ciel suivi d'une boule de laquelle se d�tachent plusieurs morceaux : probable observation d'une rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de.";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-01-08663
3130;"PIRMIL (72) 02.02.2013";Sarthe;72;"(D) D�partement";2013;02;02;"Des t�moins observent plusieurs traces dans le ciel nuageux qui finissent par dispara�tre les unes derri�re les autres. Un enfant prend des photographies avec son t�l�phone portable. Le questionnaire puis le proc�s verbal de gendarmerie rapporteront les t�moignages.
La photographie de ce ph�nom�ne, (prise au 1/125s, tr�s nette), �voque nettement des tra�n�es de condensation d'avion. A cause du vent du Nord, sec (65% humidit�, source M�t�ociel) ces tra�n�es sont courtes ; du fait des conditions d'observation (coucher du soleil � 18h01 au Mans) elles sont encore en plein soleil, alors que le bleu du ciel commence � s'assombrir : le contraste est alors tr�s fort, les tra�n�es ressemblent � des flammes. Lorsque l'ombre de la Terre atteint ces tra�n�es, elles ne sont plus illumin�es, et ne sont alors plus visibles car elles sont bien moins lumineuses que le bleu du ciel.
Ce cas est class� ""A"" : observation de tra�n�es d'avion.";"Observations de plusieurs traces immobiles dans le ciel nuageux : observation de train�es de condensation d'a�ronefs.";O;3;;;;;;;;2013-12-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-02-08396
3131;"BASTIA (20) 07.02.2013";Corse;20;"(D) D�partement";2013;02;07;"Le 7 f�vrier 2013 vers 21h45 un t�moin et sa femme observent le lent d�placement d'un objet qui les intrigue.
La description que fait le t�moin a toutes les caract�ristiques d'un avion en approche : forme lumineuse lente, puis forme cylindrique noire.
L'heure qu'il mentionne, 21h45, coincide avec l'arriv�e du vol air CORSICA MARSEILLE-BASTIA qui part � 21h05 de MARSEILLE et atterrit en principe � BASTIA � 21h55; cela peut correspondre avec ce qu'il a vu. L'a�roport de BASTIA PORETTA se situe � 3 ou 4 kms � vol d'oiseau du lieu d'observation, au Nord-ouest. Voir en annexe les trajectoires d'approche de l'a�rodrome de Bastia : en rouge la voie utilis�e par vent de sud ouest, comme ce jour l� (voir rapport m�t�o).
Ce qui est �tonnant, c'est la surprise du t�moin, qui d�clare le ph�nom�ne deux fois plus bas que les avions habituels ; on note que le t�moin n'�tait pas � son domicile, il avait alors un point de vue diff�rent de son point de vue habituel. On peut aussi penser que le pilote a ce jour l� utilis� une altitude d'approche plus basse que d'habitude, pour des raisons qui lui sont propres.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation du vol Marseille-Bastia en approche d'atterrissage.";"Observation du d�placement dans le ciel d'un objet lumineux qui prend, lors d'un changement de direction, une forme cylindrique de couleur noire : observation du vol Marseille-Bastia en approche d'atterrissage.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-02-08401
3133;"VILLEMOMBLE (93) 11.02.2013";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";2013;02;11;"Le t�moin observe r�guli�rement des lumi�res jaunes au Sud Est, qui apparaissent, se d�placent l�g�rement et disparaissent.
La direction d'observation du t�moin correspond � la zone o�, par vent d'Ouest ou Nord-Ouest, les avions venant du Sud s'alignent sur la piste de l'a�rodrome d'Orly (voir carte). Le t�moin voit seulement les phares d'atterrissage de ces avions, qui sont tr�s directionnels : il ne les voit donc que lorsque l'avion est de face. L'avion est trop loin (20km) pour que l'on distingue ses feux de position rouge-vert ou m�me ses feux clignotants.
Le t�moin a observ� le ph�nom�ne de nombreuses fois en janvier et d�but f�vrier, alors que les vents �taient de secteur Ouest ou Nors-Ouest ; il ne les a pas vus les 12 et 13 car, le vent soufflant de Nord-Est ou Sud, l'approche d'Orly se fait alors par l'Ouest.
Le t�moin pourra identifier en temps r�el les avions qu'ils observent en consultant :traffic a�rien
Ce cas est class� ""B"" : observations probables d'avions de ligne avant atterrissage.";"Observations r�currentes de d�placements d'un objet pourvu de lumi�res jaunes : probables observations d'a�ronefs";O;1;;;;;;;;2013-03-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-02-08405
3134;"ELEMENTS DE FUSEE - REGIONAL (67, 08) 13.02.2013";"Grand Est";GES;"(R) R�gion";2013;02;13;"Le 13 f�vrier 2013 vers 21h15, des t�moins en Alsace et en Lorraine (dont 6 personnes dans la tour de contr�le de Strasbourg-Entzheim), ont observ� dans le ciel le passage silencieux d'un ph�nom�ne lumineux suivi d'une train�e. Le ph�nom�ne s'est d�plac� sur une trajectoire horizontale. D'autres t�moignages seront recueillis ult�rieurement.
Ces t�moignages relatent le passage d'un bolide identifi� comme une rentr�e atmosph�rique d'un �tage du lanceur Soyouz SL-4 R/B, (r�pertori� 39083, ou 2013-007B), lanc� le 11 f�vrier pour mettre en orbite un vaisseau-cargo Progress � destination de la station spatiale internationale (voir le graphe de la projection au sol de la trajectoire mod�lis�e de l'objet).
On note que ce soir l�, seule l'Alsace et le Sud-Est de la France avaient un ciel clair ; ceci explique que ce ph�nom�ne, pourtant tr�s spectaculaire, ait �t� assez peu remarqu� en France.
Ce cas est class� ""A"" comme parfaitement identifi� comme rentr�e atmosph�rique de (gros) d�bris spatial.";"Observations du passage rectiligne et silencieux d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : rentr�e atmosph�rique d'un �tage du lanceur Soyouz SL-4 R/B.";O;2;;;;;;;;2015-01-30;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-02-08406
3135;"HAM (80) 17.02.2013";Somme;80;"(D) D�partement";2013;02;17;"Le 17 f�vrier 2013 vers 19h50 un t�moin et son �pouse observent 4 points lumineux rouge-orang� align�s au-dessus du village de Ham. Ceux-ci �voluent lentement et silencieusement en direction des t�moins. D'autres points lumineux identiques apparaissent durant l'observation qui dure environ 10 minutes.
Le GEIPAN a contact� le t�moin au t�l�phone pour faire pr�ciser la direction de d�placement du ph�nom�ne : il arrivait � ""13h"" face au t�moin qui rentrait dans HAM, en direction de l'Est. Les boules ont travers� la route presque � la verticale du t�moin et ont �t� cach�es par les batiments de la sucrerie au Nord de la route. Les boules allaient donc du E/SE vers l' O/NO (le t�moin donne une indication diff�rente dans le d�tail du t�moignage).
Comme le vent (relev� � Albert) � ce moment l� �tait de Sud Est, le d�placement des objets est conforme au vent. L'aspect rouge orange des boules, leur groupement, l'identit� des trajectoires sont autant d'indices orientant vers un passage de lanternes tha�landaises.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage de points lumineux rouge-orang� dans le ciel : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-03-08;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-02-08407
3136;"VERFEIL (31) 17.02.2013";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2013;02;17;"Le 17 f�vrier 2013 � 10h04, plusieurs personnes en voiture sont intrigu�es par la pr�sence dans le ciel d�gag�, d'un ph�nom�ne ressemblant � des train�es blanches. Deux photographies sont jointes au t�moignage.
L'aspect �trange de cette observation r�side dans deux facteurs : d'une part certaines tra�n�es ne sont pas droites, et d'autre part, il y en a beaucoup. Ceci peut s'expliquer par les conditions m�t�o particuli�res de ce jour : le vent d'autant naissant, qui est corr�l� avec de fort vents en altitude, qui d�forme tr�s vite les tra�n�es d'avion, et des conditions de temp�rature et d'humidit� particuli�res qui font persister les tra�n�es assez longtemps.
Ce cas est class� ""B"" : observation tr�s probable de train�es d'avion, nombreuses et d�form�es suite au vent d'autan (r�gime de baisse de pression, forts vents d'altitude).";"Observations d'un ph�nom�ne dans le ciel : probables train�es d'avion.";O;1;;;;;;;;2013-03-11;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-02-08408
3137;"BREST (29) 17.02.2013";Finist�re;29;"(D) D�partement";2013;02;17;"Un t�moin observe, � quinze jours d'intervalle et � la m�me heure, le m�me ph�nom�ne dans le ciel nocturne : un point lumineux de forte intensit� passe au-dessus de chez lui puis disparait subitement.
Le relev� Calsky des satellites visibles de Brest ce soir l� montre que l'objet ""Cosmos 2297 Rocket"" (23405 1994-077-B lanc� depuis Baikonur le 24 novembre 1994) rentre dans l'ombre de la Terre � 20h04, heure pr�cise de l'observation (et disparition) du ph�nom�ne observ�. Chaque soir, � cette heure-ci et en cette saison, de nombreux satellites, plus ou moins brillants, sont bien visibles (voir relev� Calsky). Les conditions m�t�o ne sont par contre pas toujours favorables � l'observation.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation du 3eme �tage du lanceur Zenit-2 du satellite Cosmos 2297 lui aussi toujours en orbite.";"Observations r�curentes du passage d'un point lumineux dans le ciel : observations des passages d'un satellite.";O;1;;;;;;;;2013-03-12;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-02-08409
3139;"MOISSIEU-SUR-DOLON (38) 16.02.2013";Is�re;38;"(D) D�partement";2013;02;16;"Le 16 f�vrier 2013 � 19h32, un t�moin observe, � travers une porte fen�tre, le passage tr�s rapide et silencieux d'une boule orange dans une trajectoire rectiligne.
Une boule orange traversant environ 45� du ciel d'Est en Ouest en 3 secondes �voque une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de (m�t�orite). L'absence de tra�n�e et les spirales d�crites par le t�moin ne sont pas incompatibles avec cette hypoth�se, mais sont a priori rares. Le r�seau de cam�ras du BOAM ne mentionne pas d'�v�nement � cette heure l�, mais il n'y pas de cam�ra couvrant le sud des Alpes. Le GEIPAN n'a pas re�u d'autre rapport d'observation ce jour l�.
Malgr� quelques caract�ristiques �tonnantes, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de bolide (rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de).";"Observation du passage E-O tr�s rapide d'un ph�nom�ne lumineux orang� : probable rentr�e atmosph�rique.";O;1;;;;;;;;2013-05-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-02-08415
3140;"SAINTE-LUCE (972) 15.02.2013";Martinique;972;"(D) D�partement";2013;02;15;"Un t�moin rapporte une observation faite le 15 f�vrier 2013 � 18h (heure locale en Martinique) : durant environ une demi heure, cette personne observe le lent passage dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux de couleur feu. Aucun bruit particulier n'est entendu par le t�moin qui a eu le temps de prendre deux photographies du ph�nom�ne.
Cette observation a �t� partag�e par de nombreux t�moins en Martinique, tr�s attentifs au ciel suite � la co�ncidence entre le passage de l'ast�ro�de 2012DA14 et le bolide tomb� en Oural le matin m�me. Il a fait l'objet d'un reportage sur la cha�ne ATV
Les tra�n�es d'avion au coucher (ou au lever du soleil) sont souvent oranges, tr�s lumineuses, et contrast�es sur le ciel peu lumineux du cr�puscule. Certaines conditions m�t�o, en particulier pr�s des tropiques, donnent des tra�n�es spectaculaires voir http://contrailscience.com/short-sunlit-contrails-look-like-ufos
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de la tra�n�e de condensation d'un avion.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux couleur feu dans le ciel : observation de la tra�n�e de condensation d'un avion.";O;1;;;;;;;;2013-05-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-02-08417
3142;"CURGIES (59) 17.02.2013";Nord;59;"(D) D�partement";2013;02;17;"Le dimanche 17 f�vrier 2013 vers 19h deux t�moins observent depuis leur v�hicule des lumi�res rouges align�es qui semblent �tre stationnaires dans le ciel.
La description faite par les t�moins est compatible avec l'observation de lanternes tha� : plusieurs lumi�res rouges dans le ciel, apparemment � basse altitude, un soir de week end. Comme le vent soufflait l�g�rement de l'Est (voir relev� Meteociel), ces lanternes ont pu �tre l�ch�es de Curgies, probablement � l'issue d'une f�te. Comme le vent �tait l�ger et d'Est, les t�moins, qui les voyaient en r�alit� s'�loigner l�g�rement, n'ont pas pu per�evoir nettement leur d�placement.
Ce cas est class� ""B"" : probable observation de lanternes thailandaises.";"Observations de la pr�sence de plusieurs lumi�res rouges dans le ciel : probables observations de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-10-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-02-08471
3143;"REMIRE-MONTJOLY (973) 07.02.2013";Guyane;97;"(D) D�partement";2013;02;07;"Le 7 f�vrier 2013 � 18h40 lors d'un lancement Ariane en Guyanne, un t�moin et ses enfants aper�oivent et filment 3 lignes parall�les se d�tachant nettement sur le bas de l'horizon. Les lignes se dissipent peu apr�s.
Compte tenu des �l�ments apport�s par l'enqu�te (voir rapport ci-joint), � savoir :
- Aspect des PANs identique � celui d'ombres port�es rectilignes.
- Autres exemples existants semblables.
- Position du soleil.
Ce cas est � classer en � A � comme observation certaine d'ombres cr��es par le soleil frappant des zones denses de la train�e de condensation de la fus�e Ariane, au cr�puscule.";"Observations de trois bandes parall�les sombres dans le ciel lors d'un lancement d'Ariane : observation certaine d'ombres cr��es par le soleil frappant des zones denses de la train�e de condensation de la fus�e Ariane, au cr�puscule.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-02-08710
3145;"HALLUIN (59) 03.02.2013";Nord;59;"(D) D�partement";2013;02;03;"Le samedi 2 mars 2013 � 19h, deux personnes sont fortement intrigu�es par le passage au-dessus de leur domicile d'objets lumineux ronds l�g�rement applatis et de couleur orange. Les objets apparaissent en deux temps � 5 minutes d'intervalles et l'observation durera 10 minutes en tout. Ces objets se d�placent silencieusement du SE vers le NE avant de disparaitre en altitude. Aucune photographie ne seront prises par les t�moins durant leur observation.
Le r�cit du t�moin : forme ronde, aplatie, lumineuse, orange, se d�pla�ant seule puis par groupe de 3, � basse altitude (ciel couvert), un samedi soir, �voque nettement les lanternes tha�. L'impression de grande taille estim�e par le t�moin est d�e � la courte distance des objets. Le relev� Meteociel � Lille indique un vent variable de Nord est � Est, pas exactement dans l'axe de d�placement des objets : le l�ger relief (Mont d' Halluin 30m au-dessus de la plaine peut �ventuellement expliquer la d�viation des objets volants.
Ces indices sont jug�s suffisants pour classer ce cas ""B"" : observation probable du passage de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement silencieux d'objets ronds lumineux et de couleur orange : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-07-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-03-08416
3146;"CHESSY (77) 15.03.2013";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2013;03;15;"Le 15 mars 2013 � 19h38 un t�moin et son fils sont intrigu�s par le d�placement silencieux en zig zag d'un objet rond de couleur dor� dans le ciel.
La description du t�moin (boule dor�e avan�ant lentement) fait penser � une lanterne tha�. La direction du vent, de Sud (voir relev� Meteociel), est coh�rente avec le d�but de l'observation. On note que le t�moin est situ� au Nord du parc Disneyland (voir carte), qui peut �tre � l'origine du l�cher. Le trajet en zig-zag peut �tre d� aux turbulences provoqu�es par l'environnement urbain. L'impression de d�part rapide vers le haut est d� � l'extinction progressive du br�leur : la baisse de luminosit� est interpr�t�e comme un �loignement.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable de lanterne tha�.";"Observation du d�placement silencieux et en zig zag d'un objet rond dor� dans le ciel : probable observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2013-07-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-03-08421
3147;"SAINT-GELY-DU-FESC (34) 09.03.2013";H�rault;34;"(D) D�partement";2013;03;09;"Le 9 mars 2013 vers 20h20 un t�moin observe le passage DDO-N et silencieux d'une quinzaine de points lumineux blancs dans le ciel. Ils disparaissent cach�s par le paysage.
Le comportement de cette s�rie d'objets volants lumineux est tout � fait conforme au vent local, de secteur Sud-Ouest � Ouest, variable (Voir relev� Meteociel. Les relev�s de stations proches : St Jean de Vedas, Aniane donnent des directions un peu diff�rentes, mais toujours avec vent faible). La couleur blanche indiqu�e par le t�moin �voque plus les ballons lumineux que les lanternes tha�. Les ballons lumineux sont des ballons gonfl�s � l'h�lium et contenant une petite lampe aliment�e par une tr�s petite pile.
Le GEIPAN n'a pas fait de recherches pour trouver l'auteur de ce l�cher de ballons ou lanternes ; on constate que la grande zone r�sidentielle situ�e au Sud-Ouest de l'observateur doit �tre l'origine du l�cher.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de ballons lumineux ou lanternes volantes.";"Observation du d�placement silencieux d'une quinzaine de points lumineux blancs dans le ciel : probable observation de ballons lumineux ou de lanternes volantes.";O;1;;;;;;;;2013-06-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-03-08422
3148;"RIEDISHEIM (68) 09.03.2013";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2013;03;09;"Le 9 mars 2013 � 23h15, un t�moin sur sa terrase est intrigu� par le passage silencieux dans le ciel de plusieurs boules lumineuses jaunes.
Ce rapport d'observation a toutes les cract�ristiques de l'observation de lanternes tha� : objets lumineux, jaunes (plus souvent d�crits comme jaune-orang�s), se d�pla�ant en groupes plus ou moins organis�s, se d�pla�ant selon le vent local (Sud ouest � ouest : voir relev� Infoclimat), traversant le ciel en quelques minutes, un samedi en soir�e en zone urbaine.
Etant donn� la faible �tranget� de ce cas, et vue la densit� d'habitations dans le voisinage, il n'a pas �t� jug� raisonnable de rechercher l'auteur du l�cher.
Bien que le t�moin n'ait pas confirm� cette hypoth�se, le GEIPAN ne voit aucun �l�ment du t�moignage contraire � cette hypoth�se, et classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�.";"Observation du passage silencieux de plusieurs boules lumineuses jaunes dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-06-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-03-08423
3149;"NICE (06) 19.03.2013";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2013;03;19;"Le 19 mars 2013 � 20h30, un habitant de NICE (06) observe depuis chez lui le passage de trois points lumineux se suivant en file indienne dans le ciel. L'observation a dur� environ 10 secondes, avant que le PAN ne disparaisse de la vue du t�moin, masqu� par un arbre.
D'�tranget� et de consistance moyennes (t�moignage unique assez complet, avec cependant une faible coh�rence au niveau de la m�t�o), ce cas manque de donn�es externes pour pouvoir �tre identifi� formellement.
Le PAN pr�sente en effet des caract�ristiques communes � plusieurs types d'hypoth�ses. Si une m�prise avec une formation satellitaire ou un avion peut �tre a priori exclue, l'observation peut n�anmoins s'expliquer par la pr�sence d'un m�t�ore fragment� ou d'un objet port� par le vent. La courte dur�e de l'observation ne permet cependant pas d'exclure l'une de ces deux hypoth�ses. Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (�tonnement, observation de courte dur�e).
Ce cas est class� C, par manque d'information.";"Observation du passage de trois points lumineux se suivant en file indienne dans le ciel nocturne : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-03-08427
3150;"SIDIAILLES (18) 03.03.2013";Cher;18;"(D) D�partement";2013;03;03;"Le 3 mars 2013 vers 23h00, un automobiliste, aper�oit dans le ciel une sorte de croix blanche parmi les �toiles puis il constate, un peu plus loin, les mouvements d'un ph�nom�ne lumineux de couleurdans le ciel. Son observation durera une heure et demie. Les gendarmes appel�s sur les lieux constateront et filmeront les oscillations du ph�nom�ne.
Les t�moignages et la vid�o relatent un point lunimeux globalement fixe, mais changeant de couleur et oscillant l�g�rement et al�atoirement.
L'�toile Sirius (magnitude -1,44) est dans la direction d'observation du t�moin (� l'azimuth 225�, pour 212� environ relev� par les gendarmes), � seulement 15� au-dessus de l'horizon th�orique. Les conditions m�t�o (voir le relev� Meteociel) peuvent favoriser une scintillation extr�me : la pression atmosph�rique, en baisse qui perdure le lendemain, est indicatrice de forts vents en altitude, qui provoquent une forte scintillation. scintillation d'�toile. La basse temp�rature peut provoquer des ph�nom�nes particuliers d'optique atmosph�rique s'il y a des cristaux de glace dans l'air : halos, croix.
L'illusion autocin�tique (cf illusion autocin�tique) a pu aussi intervenir.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de l'�toile Sirius avec une forte scintillation d�e aux conditions m�t�o particuli�res.";"Observation des oscillations d'un ph�nom�ne lumineux de couleur : observation astronomique de Sirius avec une forte scintillation d�e aux conditions m�t�o particuli�res.";O;1;;;;;;;;2013-06-26;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-03-08428
3151;"CARBON-BLANC (33) 08.03.2013";Gironde;33;"(D) D�partement";2013;03;08;"Le 8 mars 2013 vers 19h une automobiliste est intrigu�e par une lumi�re intense dans le ciel provenant d'une forme ronde qui se d�place vers le nord et disparait en une fraction de secondes. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
D'�tranget� moyenne et de consistance faible (t�moin unique, observation de courte dur�e), ce cas peut �tre une m�prise possible avec un ballon, volant dans le sens du vent, ou un reflet de phare de voiture sur une ligne �lectrique (voir Comte rendu enqu�te).
Cependant, la faible qualit� du t�moignage et quelques d�tails contradictoires (m�t�o, diff�rence entre les deux croquis du PAN) emp�chent l'identification formelle du PAN.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (�tonnement, observation de courte dur�e).
Ce cas est class� C, par manque de donn�es, bien que des hypoth�ses conviennent.";"Courte observation d'une forme ronde tr�s lumineuse dans le ciel et d'une dispariton rapide : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-03-08431
3152;"MARSEILLE (13) 31.03.2013";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2013;03;31;"Le 31 Mars 2013 � Marseille vers 21h20, trois personnes aper�oivent dans le ciel le d�placement silencieux d'un objet de couleur orang� et intens�ment lumineux. L'objet vient de l'Ouest et passe au-dessus du domicile des t�moins, puis vire sur la droite et dispara�t vers le Sud-Est.
Un seul t�moignage sur les trois sera recueilli.
On constate que la direction de d�placement indiqu�e par le t�moin (Salon de Provence vers Aubagne-Cassis, c'est-�-dire Nord Ouest et vers Sud Est) est la m�me que celle du vent relev� � Marignane ce soir l�.
Cette observation a les caract�ristiques d'une lanterne tha�landaise (lampion volant) : d�placement lin�aire durant quelques minutes, silencieux, selon le sens du vent, couleur orang�, un soir de jour f�ri�. Du fait de la faible �tranget� de ce cas, le GEIPAN n'a pas fait de recherches pour trouver l'auteur du l�cher.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanterne tha�.";"Observation du d�placement silencieux d'un objet de couleur orang� et tr�s lumineux : probable lanterne tha�landaise.";O;1;;;;;;;;2013-06-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-03-08433
3153;"BRIANCON (05) 10.03.2013";Hautes-Alpes;05;"(D) D�partement";2013;03;10;"Le dimanche 10 mars 2013 � 0h30 un t�moin est intrigu� par la pr�sence au-dessus du fort de l'Infernet d'une lumi�re rouge vive qui se d�place lentement sans qu'aucun bruit particulier ne soit entendu. Le ph�nom�ne disparaitra en s'�loignant vers l'Est o� le t�moin rep�re une �toile tr�s brillante.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
La v�rification astronomique montre que c'est probablement l'�toile V�ga que le t�moin, regardant vers l'Est, voyait se lever au Nord-Est.
Le service Meteociel n'indique pas de relev� m�t�o ce soir l�. Celui de Bourg St Maurice indique un vent tr�s faible instable : on peut penser au m�me type de m�t�o � Brian�on.
La description du ph�nom�ne, bien d�taill�e et pr�cise, correspond tout � fait � l'aspect d'une lanterne tha�. La partie jaune brillante correspond au br�leur en paraffine. Ce br�leur br�le 3 � 10 minutes, exceptionnellement 20. L'heure et le jour de l'observation (nuit du samedi au dimanche) est commune pour ce genre d'observation.
Le d�placement de l'objet n'est pas conforme au vent ressenti : ceci peut facilement s'expliquer par le fait que les vents au sol et � faible altitude peuvent �tre diff�rents, surtout par vent faible et dans les vall�es de montagne. La disparition temporaire de l'objet s'explique probablement par le fait que la lanterne a pu passer derri�re un b�timent ou un poteau, et sa disparition finale par l'extinction du br�leur.
Ce cas est class� ""B"" observation probable de lanterne tha�.";"Observation du d�placement silencieux d'un ph�nom�ne lumineux roug vif dans le ciel : probable observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2013-04-17;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-03-08437
3154;"TROUVILLE-SUR-MER (14) 14.03.2013";Calvados;14;"(D) D�partement";2013;03;14;"Le 14 mars 2013 � 19h16 un t�moin est intrigu� par la vue d'un ph�nom�ne lumineux jaune-orang� dans le ciel et qu'il filme quelques secondes. Se tournant un instant, le ph�nom�ne aura disparu lorsque le t�moin regardera � nouveau le ciel.
L'analyse photographique des photos et de la vid�o (vue en ligne sur Internet) laisse peu de doute sur l'origine du ph�nom�ne.
Cette observation est similaire � celle faite par de nombreux t�moins en Martinique le 15 f�vrier (Voir cas d'observation Sainte-Luce (972) 15.02.2013).
Les tra�n�es d'avion au coucher (ou au lever du soleil) sont souvent oranges, tr�s lumineuses car �clair�es par le soleil couchant, et contrast�es sur le ciel peu lumineux du cr�puscule. Certaines conditions m�t�o donnent des tra�n�es spectaculaires.
L'avion vient de l'horizon NO en direction du t�moin donc la train�e est orient�e vers l'horizon et donne l'impression d'�tre verticale. La train�e est en fait parall�le � la Terre, mais vue par en dessous, avec un faible angle d'incidence elle parait verticale. L'objet parait quasi fixe puisqu'il avance en direction du t�moin, tout en �tant tr�s loin (au moins 30 km) . De plus, il n'y pas de rep�re fixe dans le ciel pour juger pr�cis�ment de son d�placement. Lorsque l'avion, qui avance donc vers le Sud-Est, va rentrer dans l'ombre de la Terre, la tra�n�e ne sera plus illumin�e, et deviendra moins lumineuse que le bleu-blanc du ciel, et sera donc invisible. Le t�moin devrait pouvoir assister de temps � autre au m�me ""spectacle"", mais il faut des conditions m�t�o particuli�res : ciel clair bien s�r, mais aussi des conditions d'humidit� et de temp�rature particuli�res � l'altitude de l'avion. On note qu' il passe de nombreux avions de ligne dans cette direction (Londres-Barcelone, Londres-Toulouse), l'identification pr�cise de l'avion pr�senterait peu d'int�r�t. Ce cas est class� ""A"" : observation de tra�n�e d'avion �clair�e par le soleil couchant.";"Observation rapide d'un ph�nom�ne lumineux jaune-orang� dans le ciel : observation de tra�n�e d'avion �clair�e par le soleil couchant.";O;1;;;;;;;;2013-04-24;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-03-08441
3155;"HERRIN (59) 31.03.2013";Nord;59;"(D) D�partement";2013;03;31;"Le 31 mars 2013 � 17h54, un t�moin, alors qu'il roule en voiture, observe au-dessus d'un champ un objet de couleur noire, en forme de losange � facettes et tournant sur lui-m�me. Aucun vent n'est perceptible, et le ciel est couvert. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Une enqu�te de terrain a �t� men�e avec le t�moin. En conclusion, bien que le t�moin fasse preuve d'une grande sinc�rit�, une audition et reconstitution appliqu�es comme il se doit, cette observation manque de consistance du fait du manque de recoupements ou de t�moignages suppl�mentaires. L'�tranget� du cas est moyenne � faible puisqu'on peut avancer des hypoth�ses plausibles, mais qui n'ont pu �tre ni confirm�es, ni invalid�es.
Le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie C du fait du manque d'informations fiables.";"Observation d'une forme en losange noire et tournant sur elle-m�me au-dessus d'un champ : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-03-08442
3156;"DOMONT (95) 18.03.2013";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2013;03;18;"Un t�moin observe pendant plus d'une heure 5 points lumineux au-dessus d'un immeuble en face de chez lui. Ayant observ� le PAN aux jumelles, il d�crit une orange en feu. Il appelle les gendarmes et leur fait constater le ph�nom�ne, voyant appara�tre et dispara�tre les boules observ�es. Le t�moin fait plusieurs photographies.
La s�rie de photos mise en ligne par le t�moin �voque tr�s nettement des avions � l'atterrissage vus de face.
V�rifions cette hypoth�se (voir la repr�sentation dans Google-Earth : DOMONT (95) 18.03. 2013 triangulation.kmz) :
- par analyse de la photo IMG_0873.jpg et comparaison avec Google earth, on trouve 86.28� comme direction de la source lumineuse lointaine avec la plus grande hauteur angulaire ce qui am�ne � un azimut de 86�+180 = 266�.
- sur les cartes a�ronautiques, l'approche r�f�renc� 27R se fait par azimut 266�, (document AIP France CDG, page AD2 LFPG IAC 13, page 36 de 1306_AD-2.LFPG Charles de Gaulle.pdf).
- de plus toujours dans l'image Img_0873_FNA27R.jpg et dans Google-Earth, si on tire une ligne entre le point d'atterrissage sur 27R et le t�moin, cette ligne passe pile au milieu entre les deux immeubles.
- tout comme dans d'image IMG0873, si on tire une ligne entre les 3 points lumineux, et fait l'intersection avec l'horizon, on tombe pile au milieu entre les deux b�timents.
L'identification est donc compl�te : ce sont bien des avions en approche de Roissy que le t�moin a vus et photographi�s.
Les images IMG_0546, 547, 549, montrent de la m�me fa�on un d�part de la piste 09R/27L ; les images IMG_0688, 689, 690, montre de la m�me fa�on un d�part de 08L/26R, en m�me temps qu'un d�collage de 09R/27L (avion l�ger qui d�colle nettement avant d'arriver en bout de piste).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" observation de plusieurs avions de ligne en approche ou d�collage de Roissy-CDG.
Compl�ments d'information sur le trafic a�rien � PARIS CDG :
Pour garantir la meilleure capacit� de l'a�roport, les pistes de PARIS CDG sont exploit�es de la mani�re suivante :
- pistes ext�rieures (08R/26L et 09L/27R) de mani�re pr�f�rentielle pour les arriv�es.
- pistes int�rieures (08L/26R et 09R/27L) de mani�re pr�f�rentielle pour les d�parts.
- mouvements parall�les sur pistes sp�cialis�es : les mouvements simultan�s sur pistes aux instruments parall�les ou quasi parall�les, aux cours desquels une piste sert exclusivement aux approches et l'autre piste exclusivement aux d�parts.
- choix de pistes en service parall�les : deux pistes en service parall�les peuvent �tre choisies afin d'effectuer des mouvements simultan�s : atterrissages simultan�s sur les deux pistes ; d�collages simultan�s sur les deux pistes ; atterrissage sur l'une des pistes et d�collage simultan� sur l'autre.
Le GEIPAN classe ce cas A : observation d'avions.";"Observation de 5 points lumineux orange et blanc qui apparaissent et disparaissent dans le ciel : observation de plusieurs avions de ligne en approche ou d�collage de Roissy-CDG.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-03-08445
3158;"FONTAINE-LES-DIJON (21) 26.03.2013";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";2013;03;26;"Le 26 mars 2013 � minuit 10, un automobiliste est intrigu� par le d�placement rapide E/O d'un point lumineux de couleur orang� encadr� par des points blancs.
D'�tranget� et de consistance faibles (deux t�moins, mais un seul t�moignage ; photographies inexploitables), ce cas s'av�re �tre une m�prise probable avec un avion.
Il est � noter que la restitution radar faite � la demande du GEIPAN a permis de trouver un vol d'avion dont la trajectoire et l'horaire sont coh�rents avec celui de l'observation. Malheureusement, le t�moignage manque de pr�cision et le t�moin laisse trop de part � son interpr�tation personnelle. Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (�tonnement, fatigue, conduite de nuit).
Ce cas est class� B, m�prise probable avec l'observation d'un avion.";"Observation du d�placement rapide E/O d'un point lumineux de couleur orang� encadr� par des points blancs : probable observation d'un avion.";O;;;;;;;;;2015-02-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-03-50062
3160;"PLAISIR (78) 14.04.2013";Yvelines;78;"(D) D�partement";2013;04;14;"Le 14 avril 2013 vers 20h un t�moin observe le d�placement d'une quinzaine de points tr�s lumineux dans le ciel. Ils �voluent dans la m�me direction. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation d'une vingtaine de secondes.
Quatre minutes avant le coucher du soleil, le t�moin observe vers l'Est une quinzaine de points lumineux d�sordonn�s, se d�pla�ant vers le Sud Est, et semblant ""flasher"".
Cette observation peut correspondre � des ballons m�tallis�s (Mylar) se d�pla�ant dans le vent : le vent au sol est de Sud, mais les sondages faits � Trappes nous indiquent que le vent souffle de Nord Ouest en altitude, ce qui est compatible avec l'observation. Ce type de ballon, gonfl�s � l'h�lium, peut monter tr�s haut, et durer plusieurs heures. Leur origine est bien difficile � trouver.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de ballons festifs gonfl�s � l'h�lium.";"Observation du d�placement d'une quinzaine de points tr�s lumineux dans le ciel : probable observation du passage de ballons festifs gonfl�s � l'h�lium.";O;1;;;;;;;;2013-10-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-04-08440
3161;"SAINT-CYR-SUR-LOIRE (37) 23.04.2013";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2013;04;23;"Le 23 avril 2013 � 21h42, un t�moin observe un point lumineux situ� � proximit� de la Lune qui se d�place verticalement, � vitesse constante, jusqu'� sa disparition � environ 300m du sol.
Ce t�moignage �voque nettement un passage de la station spatiale internationale (ISS). Une v�rification aupr�s des sites sp�cialis�s (Calsky, Heavens-above) confirme le passage de la station, mais 5 minutes plus t�t. Questionn� sur cet �cart, le t�moin a confirm� par courriel que son horloge avan�ait de 5 minutes.
Ce cas est donc class� ""A"" : observation de la station spatiale internationale ISS. Voir en annexe les pr�visions Calsky pour ce soir l�, et la simulation du passage de la station dans le ciel, du point de vue du t�moin.";"Observation du d�placement d'un point lumineux dans le ciel : passage de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2013-06-03;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-04-08443
3162;"ARTONNE (63) 01.04.2013";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";2013;04;01;"Le 1er avril 2013 vers 21h15, deux personnes depuis leur domicile sont intrigu�es par le d�placement lent et silencieux d'une boule lumineuse orang�e qui s'�loigne ensuite plus rapidement et disparait instantan�ment.
Le r�cit bien d�taill� de cette observation ""une boule jaune orang�, sans aucune tra�n�e"", se d�pla�ant selon le sens du vent de Nord (voir relev� Meteociel sur Vichy) �voque nettement le d�placement d'une lanterne tha�landaise (lampion volant), probablement lanc�e lors d'une f�te � l'occasion de ce jour f�ri� (Lundi de P�ques).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'une lanterne tha�.";"Observation du passage lent et silencieux d'une boule orang� dans le ciel : probable observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;2;;;;;;;;2013-06-03;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-04-08454
3164;"[N1019] de GRANDVILLARS (90) vers DELLE (90) 14.04.2013";"Territoire de Belfort";90;"(D) D�partement";2013;04;14;"Le 14 avril 2013 vers 1h30 du matin, une automobiliste aper�oit durant quelques secondes, le passage rectiligne d'une sph�re noire qui disparait derri�re les arbres. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Cette observation de boule noire ne peut s'expliquer par les m�prises classiques. Cependant, l'�loignement relatif et le d�placement lin�aire du ph�nom�ne en font une observation relativement peu �trange. Le fait que le t�moin ait �t� seul � l'avoir vu, pendant seulement quelques secondes, apr�s une tr�s longue journ�e, rend ce t�moignage peu consistant : on ne peut exclure une illusion, une m�prise avec un oiseau de nuit, ou un probl�me de vision d� � la fatigue. La relative faible �tranget� du cas ne justifie pas une enqu�te approfondie.
A ce jour, le proc�s verbal de gendarmerie n'a pas encore �t� re�u par le GEIPAN. Pour l'instant, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'informations et de recoupements.";"Observation du d�placement rectiligne d'une sph�re noire qui disparait dans le paysage : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-08-08;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-04-08491
3165;"GARDANNE (13) 13.04.2013";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2013;04;13;"En rentrant � leur domicile le 13 avril 2013 � 0h43, un couple observe dans le ciel d�gag� le passage silencieux de trois points lumineux blancs orang�s. Le t�moin a le temps de faire deux vid�os. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Le passage de points lumineux en formation, en ligne droite durant quelques minutes, lors d'une nuit de week-end �voque des lanternes tha�landaises. Cette hypoth�se ne peut �tre v�rifi�e par la seule comparaison avec le sens du vent puisqu'il �tait tr�s variable � ce moment l�. On peut toutefois noter qu'il �tait faible, et compatible avec la dur�e relativement longue de l'observation (3 minutes) et une vitesse de passage assez lente, qui a permis au t�moin de filmer le ph�nom�ne : la vid�o a tout � fait l'aspect habituel de ce ph�nom�ne : on voit un centre tr�s lumineux et une couronne rouge orang�e. Le relev� m�t�o � Marignane indique en vent d'Ouest faiblissant � 23h le 12 avril : m�t�o.
Le 13 avril entre 0h et 2 h : vent faible tr�s instable, de Nord � 1h du matin : m�t�o.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage lent et silencieux de points lumineux en formation : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-04-08614
3166;"PARIS (75) 07.05.2013";Paris;75;"(D) D�partement";2013;05;07;"Le 7 mai 2013 en soir�e, des t�moins observent le passage de nombreux points lumineux dans le ciel, volant par deux. Les objets sont de couleur rouge/orang�, sans train�e.
L'observation relate 6 � 8 points lumineux se d�pla�ant de part et d'autre de la tour Montparnasse dans une direction approximative de Sud Ouest vers Nord Est (voir carte).
La m�t�o de Paris Montsouris (situ�e tr�s pr�s des t�moins), indique, selon Meteociel, un l�ger vent de Sud Ouest � 19 et 22h mais de NE et SE � 20h et 21h. La m�t�o d'Orly est plus stable, et ne varie pas du Sud Ouest durant cette p�riode. Les t�moins n'indiquent pas d'heure pr�cise d'observation, si ce n'est ""apero-D�ner"".
Avec l'hypoth�se d'un vent de Sud Ouest, les objets lumineux se d�pla�aient selon le vent ; leur aspect et d�placement est tout � fait compatible avec des lanternes tha�. Le l�cher de lanternes tha� est fr�quent les soirs de f�te, m�me en ville, bien que vivement d�conseill� en environnement urbain.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�.";"Observation du d�placement de points lumineux orang�s dans le ciel parisisen : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-07-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-05-08449
3167;"NICE (06) 03.05.2013";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2013;05;03;"Le 03 mai 2013 vers 16h45 un t�moin sur le parvis de l'�cole est intrigu� par des sources de lumi�res dispos�es en triangle dans le ciel. Elles se d�placent lentement vers l'Est. Le t�moin (T1) interpelle une autre personne qui observera �galement ces objets. Ces deux personnes observeront longuement (30 � 40 minutes) le ph�nom�ne tout en rentrant � leurs domiciles respectifs. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Compte tenu des �l�ments d�finis dans le compte rendu d'enqu�te (voir doc joint), � savoir en particulier la forme, l'aspect et la luminosit� comparables � ceux d'un amas de ballons en Mylar flottant au gr� du vent � haut altitude mais aussi le d�placement lent dans une atmosph�re calme, ce cas est class� en � B � comme observation probable de groupe de ballons en Mylar.
Ce t�moignage est d'une bonne consistance, pr�cis et bien d�taill�. Pr�sence de deux t�moins oculaires, ayant t�moign�, mais absence de photographies (bien qu'une ait �t� prise) et de vid�os.
L'observation est peu �trange, car il s'agit d'objets finalement tout � fait banals, mais pouvant prendre une apparence inhabituelle dans certaines conditions. Ce cas est class� B : observation probable d'un groupe de ballons en Mylar.";"Observations d'un groupe d'objets lumineux se d�pla�ant lentement dans le ciel : observation probable de groupe de ballons en Mylar.";O;;;;;;;;;2018-11-08;;;0.38;0.06;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-05-08450
3168;"RIVE-DE-GIER (42) 11.05.2013";Loire;42;"(D) D�partement";2013;05;11;"Le 11 mai 2013 vers 22h30, un t�moin voit appara�tre au Nord Est de la ville 5 points lumineux jaunes-orang�s se d�pla�ant lentement. L'intensit� de ces points diminue progressivement et ils disparaissent.
Cette observation, un samedi soir, est tout � fait compatible avec l'observation de lanternes tha� l�ch�es lors d'une f�te, et se d�pla�ant au gr� du vent, tr�s faible � ce moment-l�, et variable (voir relev� M�t�ociel de St Etienne).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observation du passage de points lumineux orang�s dans le ciel : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-07-03;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-05-08451
3169;"NEMOURS (77) 10.05.2013";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2013;05;10;"Le 10 Mai 2013 � Nemours, trois personnes observent � 22h30 depuis leur terrasse le d�placement d'une lumi�re de couleur orang� fonc� fluo entour�e de rouge.
L'un des t�moins photographie et filme le ph�nom�ne avec un t�l�phone portable durant quarante secondes alors que l'objet s'�loigne.
Sept � huit minutes plus tard, les t�moins aper�oivent une seconde lumi�re venant de la m�me direction et qui disparait exactement au m�me endroit que la premi�re. Le t�moin filme �galement cette deuxi�me observation pendant environ une minute.
L'unique t�moignage recueilli rapporte dans le d�tail cette observation de ""lumi�re orang� fonc� fluo entour� de rouge, sans aucune tra�n�e"" et �voque nettement des lanternes tha� (lampions volants) probablement lanc�es � l'occasion d'une f�te.
Les vid�os du t�moin confirment cette hypoth�se (voir liens Youtube dans le questionnaire du t�moin).
Le d�placement constat� de Sud-Ouest vers le Nord-Est est compatible avec le vent de Sud-Ouest � Sud relev� sur Melun (voir relev� m�t�o).
Les lanternes ont une dimension entre 50 cm et 1m, et volent entre 50 et 300 m d'altitude.
Ce cas est class� B : probable observation de passages de lanternes tha�landaises.";"Observation par trois personnes du d�placement de deux lumi�res couleur orang�e sur la m�me trajectoire � huit minutes d'intervalle : probable lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-06-03;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-05-08452
3170;"EVREUX (27) 19.05.2013";Eure;27;"(D) D�partement";2013;05;19;"Le 19 mai 2013 aux environs de minuit trente, plusieurs personnes observent depuis un balcon au premier �tage, le passage silencieux depuis l'horizon vers le Sud de 6 � 8 boules lumineuses jaunes orang�es.
Le t�moin, orient� vers le Nord, observe des objets lumineux au Nord Ouest et les voit s'�loigner vers le Sud. Le relev� Meteociel indique pour Rouen : ciel nuageux, vent de Nord-Est, apr�s une pluie sous vent de Nord.
Ce t�moignage est en tous points conforme � l'observation de lanternes tha� : aspect, dur�e, d�placement selon le vent, heure et jour de la semaine coh�rent avec une fin de f�te. Le temps l�g�rement pluvieux est effectivement peu favorable aux lanternes volantes, mais �a fonctionne quand m�me sous quelques gouttes de pluie.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage silencieux de 6 � 8 boules lumineuses orang�es : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-10-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-05-08456
3172;"LAFITTE-VIGORDANE (31) 25.05.2013";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2013;05;25;"Le samedi 25 mai 2013 � 23h05, un t�moin observe dans le ciel le lent d�placement d'une lumi�re clignotante de couleur avec un halo rouge. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation qui dure 2 minutes. La lumi�re s'�l�ve dans le ciel pour disparaitre dans un nuage.
Le t�moin d�crit une lumi�re clignotante de couleur blanche, rouge et jaune, qui se d�place lentement depuis l'Ouest, et s'�l�ve dans le ciel jusqu'� dipara�tre. La vid�o montre une lumi�re jaune entour�e de rouge. On constate que le vent �tait face au t�moin (voir le relev� meteo).
L'observation est tout � fait compatible avec un celle d'une lanterne tha� l�ch�e dans l'axe d'observation du t�moin, � un ou 2 km de l�. Le jour et l'heure d'observation (samedi soir) est habituel pour le l�cher de ce genre de lanternes lors de f�tes priv�es.
Le clignotement per�u correspond probablement � une combustion imparfaite du br�leur. Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanterne tha�.";"Observation du lent d�placement d'une lumi�re clignotante dans le ciel : probable observation du passage d'une lanterne thailandaise avec une combustion imparfaite du br�leur.";O;1;;;;;;;;2013-08-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-05-08458
3173;"MENIL-HUBERT-SUR-ORNE (61) 29.05.2013";Orne;61;"(D) D�partement";2013;05;29;"Le 29 mai 2013 (et non le 30 mai comme indiqu� par le t�moin dans son questionnaire) � 23h45, un automobiliste observe � plusieurs dizaines de m�tres du sol la pr�sence d'un ph�nom�ne noir en forme de galet avec deux lumi�res rouges � l'avant et � l'arri�re. Le ph�nom�ne se d�place vers le N-O et disparait derri�re une haie. Un bruit de bourdonnement aigu est entendu durant la minute de l'observation.
Cette observation est d'un degr� d'�tranget� moyenne car elle ne correspond pas aux m�prises classiques. La forme en galet signal�e par le t�moin est inhabituelle dans les signalements de PAN. Le d�placement du ph�nom�ne est toutefois assez lent et lin�aire.
Il n'y a aucune raison de douter de la sinc�rit� du t�moin, mais il faut noter qu'il est seul � avoir d�clar� l'observation du ph�nom�ne, et qu'il n'y a pas de photo ou vid�o : ce qui rend le cas moyennement consistant, d'autant plus que la description faite par le t�moin est sommaire.
D'autres t�moignages �ventuels permettraient de mieux caract�riser le cas, soit en l'expliquant, soit en lui donnant plus de consistance.
Cette observation �trange, moyennement consistante est class�e D1 comme ph�nom�ne inexpliqu�.";"Observation de la pr�sence puis du d�placement d'un ph�nom�ne sombre en forme de galet avec deux lumi�res rouges � l'avant et � l'arri�re et pr�sence d'un bourdonnement aigu.";O;1;;;;;;;;2013-10-07;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2013-05-08459
3174;"FRANCHEVILLE (69) 18.05.2013";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2013;05;18;"Le 18 mai 2013 vers 22h un t�moin observe, depuis le premier �tage de son domicile, le lent d�placement d'un disque lumineux qui brusquement s'�loigne et disparait.
Cette observation plongeante d'un disque lumineux, gros comme un demi lampadaire boule oriente vers un objet assez petit, port� par le vent. Le relev� Meteociel mentionne un vent de Sud : le t�moin observe depuis son domicile au premier �tage, orient� au Nord : on peut penser � des turbulences dans la rue abrit�e du vent.
Ce long week end de Pentec�te a �t� propice � de nombreuses f�tes, qui ont pu donner lieu � des l�chers de lanternes tha�. La forme de disque d�crite par le t�moin correspond � la forme d'un cylindre vu par en-dessus.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : probable observation par en-dessus de lanterne tha�.";"Observation du lent d�placement d'un disque lumineux : probable observation par en-dessus d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2013-10-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-05-08463
3175;"DOMANCY (74) 11.05.2013";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2013;05;11;"Le samedi 11 mai 2013 � 23h45, un automobiliste et son fils apre�oivent dans le ciel une quarantaine de boules rouges se d�placant silencieusement dans le ciel.
Le r�cit du t�moin fait penser � des lanternes tha�, � une date et heure habituelles pour ces objets. L'estimation de distance et de taille des objets, est, comme tr�s souvent, tr�s incorrecte.
Suite � la parution de l'�v�nement dans le journal, une personne s'est d�clar�e en gendarmerie comme ayant l�ch� des lanternes tha� dans le ciel de Domancy ce soir l�, lors de la f�te donn�e pour son mariage.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" comme parfaitement identifi� : observation de lanternes tha�.";"Observation du d�placement silencieux d'une quarantaine de boules rouges dans le ciel : observation du passage de lanternes thailandaises lanc�es lors d'une f�te priv�e.";O;1;;;;;;;;2013-06-27;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-05-08472
3176;"MENTON (06) 20.05.2013";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2013;05;20;"Le lundi 20 mai 2013 � 16h05 environ, une personne allong�e sur la plage de Menton est intrigu�e par un ph�nom�ne observ� au large au-dessus de la mer. Le t�moin voit un objet blanc au centre d'une aur�ole concentrique translucide dans le ciel d�gag�. Le ph�nom�ne avance beaucoup plus rapidement qu'un avion de l'Ouest vers l'Est-Sud-Est et le t�moin n'entend aucun bruit. L'observation dure 10 � 15 secondes avant que le ph�nom�ne ne disparaisse dans le lointain. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin observe depuis la plage de Menton (cf carte) un objet blanc allong�, entour� d'une aur�ole bien ronde, qui survole la mer � une distance qu'il ne peut estimer.
Le t�moin indique un ciel clair, mais la m�t�o locale (cf relev� M�t�ociel) indique un ciel partiellement nuageux (ciel voil� ?).
Cette description �voque un avion observ� au milieu d'un halo lumineux provoqu� par le reflet du soleil sur le fuselage, selon un ph�nom�ne d'optique atmosph�rique nomm� spectre de Brocken (Voir les ph�nom�nes d'optiques atmosph�riques mais il est difficile avec les informations disponibles de confirmer cette hypoth�se. De plus le t�moin estime que la vitesse du ph�nom�ne n'est pas compatible avec celle d'un avion.
Sans photographie ni recoupement avec d'autres t�moignages ou mesures, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.";"Observation du d�placement d'un objet blanc au centre d'une aur�ole concentrique translucide au-dessus de la mer dans le lointain : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.40;0.00;;;0.80;;0.70;;0.56;0.00;C;B;2013-05-08476
3177;"CHATELET (LE) (18) 11.05.2013";Cher;18;"(D) D�partement";2013;05;11;"Le 11 mai 2013 aux environs de minuit, un automobiliste aper�oit le d�placement silencieux de plusieurs boules oranges lumineuses se succ�dant dans le ciel. Le t�moin indique un passage � basse altitude, sous les nuages, selon une trajectoire rectiligne en direction de Marcais, au NE de Le Chatelet. Le t�moin a pris des photographies mais les originaux ne nous ont pas �t� transmis. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
D'apr�s Meteociel, le vent relev� � Chateauroux soufflait d'O-SO en r�gime bien �tabli (relev� semblable � Bourges).
L'hypoth�se, propos�e par les gendarmes, que ces ph�nom�nes soient des lanternes tha� est tout � fait compatible avec l'observation, et avec le vent local. Les soirs des longs week ends de mai sont tr�s propices � tous types de f�tes, occasions de lancer ce type de lanternes volantes.
Ce cas est class� B : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";"Observation du d�placement silencieux de plusieurs boules oranges lumineuses se succ�dant dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-10-17;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-05-08540
3178;"SAINT-MAX (54) 06.06.2013";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2013;06;06;"Le 6 juin 2013 � 22h50, plusieurs t�moins observent depuis leur domicile le d�placement S-NE et silencieux d'un ph�nom�ne lumineux blanc dans le ciel. L'objet est ensuite cach� par le paysage.
Les �l�ments transmis par le t�moin permettent de d�montrer, � l'appui des relev�s Calsky, qu'il s'agit l� du passage de la station spatiale internationale, en visibilit� ce soir l� au-dessus de la ville du t�moin.
La trajectoire g�n�rale (du Sud vers NE, culminant � 60�) correspond bien au relev� Calsky (voir document). La luminosit� per�ue par le t�moin 2 fois comme V�nus, correspond aussi � la magnitude calcul�e de -4,2 de l'ISS dans ces conditions.
Le t�moin d�crit un d�placement non lin�aire du point lumineux : ""comme un ver de terre"" : il s'agit d'une illusion d'optique fr�quente lorsqu'on suit un point tr�s lumineux sur fond noir : la perception du mouvement d'un point lumineux dans le ciel On note toutefois un �cart de l'ordre de 5 minutes entre l'heure indiqu�e par le t�moin et le bulletin ISS. Le GEIPAN a envoy� au t�moin les pr�visions de passages ISS les 8 et 9 juin, le t�moin a confirm� que c'�tait bien cela qu'il avait vu.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de la station spatiale internationale (ISS).";"Observaton du d�placement S-NE d'un objet lumineux blanc : observation du passage de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2013-11-20;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-06-08460
3179;"POUSSAN (34) 07.06.2013";H�rault;34;"(D) D�partement";2013;06;07;"Le 7 juin 2013 � 1heure du matin, un t�moin est intrigu� par la pr�sence dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux blanc fixe. Il d�crit un point lumineux blanc avec une train�e lumineuse horizontale et en-dessous une forme incurv�e de couleur ros�e. Aucun bruit particulier n'est entendu. Il fait la m�me observation la nuit suivante.
Le GEIPAN a mandat� une personne pour observer les alentours du village de nuit afin de rep�rer un �ventuel feu fixe, sans succ�s.
Finalement, c'est le t�moin lui-m�me qui, avec un voisin, a observ� finement le ph�nom�ne et a rep�r� que c'�tait un reflet de l'�clairage public sur une antenne.
Voir les photos : l'une assez sombre (6730) correspond � peu pr�s � ce que voyait le t�moin � l'il nu, et l'autre (6738), en pose plus longue, r�v�le l'origine du ph�nom�ne.
Ce cas peu �trange est donc class� ""A"" comme parfaitement identifi�.";"Observations deux nuits successives d'un ph�nom�ne lumineux blanc fixe : reflet d'un �clairage public sur une antenne.";O;1;;;;;;;;2013-10-07;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-06-08461
3180;"MOTTE-SERVOLEX (LA) (73) 06.06.2013";Savoie;73;"(D) D�partement";2013;06;06;"Le 6 juin 2013 � 8h50 tout en marchant dans la rue, un t�moin constate la pr�sence dans le ciel ensoleill� d'un objet ovale beige et gris qui tourne sur lui-m�me. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation de l'objet qui reste stationnaire. Une autre personne fait aussi l'observation. Un seul t�moignage sera recueilli.
Le t�moin observe dans le ciel durant 6 minutes une forme immobile mais tournant sur elle-m�me. Cette description �voque nettement un ballon captif gonfl� � l'h�lium, probablement un ballon fantaisie ou ballon publicitaire.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'un ballon fantaisie captif.";"Observation d'un objet ovale beige et noir qui tourne sur lui-m�me et reste stationnaire dans le ciel : observation probable d'un ballon fantaisie captif.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;B;B;2013-06-08462
3181;"ASSEVILLERS (80) 03.06.2013";Somme;80;"(D) D�partement";2013;06;03;"Le 3 juin 2013 un t�moin observe le d�placement S-E d'un ph�nom�ne lumineux qui l'intrigue (plusieurs heures diff�rentes seront donn�es : le 6 juin sur le questionnaire il d�clare 23h18 et entre 23h15 et 0h00 ; et par mail il d�clare le ph�nom�ne � 22h48 (cf doc courrier) ; le 2 aout sur le PV il d�clare vers 23h30). Le 5 juin ce t�moin observera le m�me ph�nom�ne � 23h45 exactement.
Le t�moin observe une lumi�re tr�s blanche, environ 4 fois plus grosse qu'une �toile. Le ph�nom�ne avance pr�s du domicile du t�moin. Le ph�nom�ne effectue une trajectoire en zig zag tr�s rapides (voir le croquis du t�moin sur document joint) avant de dispara�tre du champ de vision du t�moin.
Apr�s v�rifications sur Calsky l'observation du 5 juin 2013 a �t� celle de l'ISS avec certitude.
Pour la date du 3 juin, les horaires indiqu�s manquent de pr�cision pour affirmer que le t�moin a vu �galement l'ISS (voir le doc Calsky joint).
Les changements de direction d�crits par le t�moin sont bien s�r en contradiction avec l'hypoth�se ISS : mais cette illusion de la perception dite illusion autocin�tique est fr�quente lors des observations d'ISS.
Le GEIPAN classe ce cas B : observation probable de l'ISS (l'heure d'observation peu pr�cise laisse un l�ger doute).";"Observation du d�placement S-E d'un ph�nom�ne lumineux blanc dans le ciel avec une trajectoire en zig-zag : probable observation de l' ISS.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-06-08464
3182;"SAINT-JEAN-DE-MARUEJOLS-ET-AVEJAN (30) 05.06.2013";Gard;30;"(D) D�partement";2013;06;05;"Le 05 juin 2013 � 0h34 un t�moin observe dans le ciel d�gag� le passage d'un ph�nom�ne jaune orang� tr�s lumineux. Il filme son observation avec son t�l�phone portable.
Cette observation d'un point lumineux tr�s brillant, se d�pla�ant d'Ouest vers le Nord-Est en quelques minutes, s'explique par le passage de la station spatiale internationale (ISS) : le relev� produit par Calsky (voir document) est parfaitement coh�rent avec l'observation : heure et direction. L'apparition de la station s'est fait au S-O � 0h32. La culmination �tait � une hauteur de 32� au N-NO � 0:37. La station a progressivement disparu � 0h42 au N-NE. Les changements de directions d�crits par le t�moin s'expliquent par le fait que la trajectoire apparente de la station dans le ciel est une courbe et que le t�moin, sans rep�re dans le ciel noir, r�ajuste la trajectoire per�ue en une succession de droites. La luminosit� de la station baisse progressivement depuis la culmination jusqu'� l'horizon ; cette baisse de luminosit� est interpr�t�e comme un �loignement de la plupart des observateurs.
Le t�moin prend une vid�o avec son t�l�phone portable sans le stabiliser durant la prise ce qui rend le document vid�o inexploitable. Le t�moin regardait dans la bonne direction pour voir l'ISS, assez brillante pour �tre remarqu�e par tout observateur : si un autre ph�nom�ne �tait apparu il aurait d�crit simultan�ment les deux ph�nom�nes parfaitement visibles dans le ciel d�gag� � cette date.
Ce cas est class� ""A"" : observation de la station spatiale internationale.";"Observation du passage vers d'un ph�nom�ne lumineux jaune orang� dans le ciel d�gag� : observation du passage de la Station Spatiale Internationale (ISS).";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-06-08465
3183;"LOON-PLAGE (59) 01.06.2013";Nord;59;"(D) D�partement";2013;06;01;"Le 1er juin 2013 � 0h02 plusieurs personnes observent le passage silencieux d'une douzaine de boules lumineuses jaune orang� qui apparaissent successivement dans le ciel.
La decription du t�moin (boules jaune-orang� tr�s brillantes se d�pla�ant lentement dans le ciel) correspond tout � fait � des lanternes tha�landaises. Le t�moin au vu des vid�os et photos de lanternes tha�landaises, a reconnu le ph�nom�ne, qu'il n'avait jamais vu auparavant. Ces lanternes auraient pu �tre lanc�es lors d'un mariage qui a eu lieu � 600m de l�.
Le relev� M�t�ociel du vent local indique un l�ger vent d'Ouest � Nord Ouest qui n'est pas coh�rent avec le d�placement constat�, (plut�t vers l'Est). Mais on constate un vent de Nord Est � Boulogne ; les vents c�tiers sont souvent complexes, et de direction diff�rente selon les altitudes.
Devant l'ensemble de ces �l�ments, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises. La faible �tranget� du cas ne n�cessite pas d'enqu�te de terrain.";"Observation du d�placement d'une douzaine de boules lumineuses jaunes orang�s : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-10-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-06-08466
3184;"BETHUNE (62) 02.06.2013";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2013;06;02;"Le 2 juin 2013 � 0h09 quatre personnes dans le s�jour d'un appartement observent le passage silencieux N-SSE de 6 formes lumineuses dans le ciel. L'observation dure au moins une minute. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de formes lumineuses traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. Le d�placement est observ� du Nord vers le Sud-Sud-ouest, ce qui est compatible avec le vent de Nord relev� � Lille ( M�t�ociel.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�.
Le t�moin, inform� de cette hypoth�se, ne l'a pas retenue.";"Observation du passage silencieux de six �l�ments lumineux dans le ciel nocturne : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-06-08467
3185;"SAINT-LAURS (79) 12.06.2013";Deux-S�vres;79;"(D) D�partement";2013;06;12;"Le 12 juin 2013 � 8h40 un t�moin et son fils sur leur terrasse entendent une succession de d�tonations et voient dans le ciel un objet ovale sombre dont l'arri�re devient brillant � chaque d�tonation. Cet objet survole le village de fa�on rectiligne. Le Pan est perdu de vue derri�re un batiment agricole. Un seul t�moignage est recueilli.
Les donn�es m�t�orologiques recueillies montrent un temps couvert, au plafond g�n�ralement bas, avec un vent faible soufflant globalement du sud et une visibilit� moyenne (voir le compte rendu d'enqu�te).
Ce t�moignage est d'une faible consistance : peu pr�cis et d�taill� et manquant par ailleurs de donn�es primordiales et n�cessaires pour la suite de l'�tude. T�moin oculaire unique ayant t�moign� et pas de documents photo ou vid�o. L'observation pourrait �tre �trange, cependant, trop d'impr�cisions et de lacunes dans le t�moignage emp�chent de juger de fa�on v�ritablement valide son �tranget�.
Apr�s avoir analys� l'hypoth�se d'un h�licopt�re, avanc�e par les gendarmes, compte tenu des �l�ments recueillis dans l'enqu�te men�e � distance et du manque d'informations angulaires sur la taille du PAN, aucune hypoth�se ne peut �tre nettement confirm�e.
Le GEIPAN n'a malheureusement pas trait� assez vite ce dossier pour pouvoir v�rifier � temps le trafic a�rien.
Ce cas est class� en cat�gorie � C � par manque d'informations, le manque important d'�l�ments et de recoupements ne permettent pas d'�tablir un avis solide.";"Succession de d�tonations et observation d'un objet ovale sombre dont l'arri�re devient brillant � chaque d�tonation : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.40;0.00;;;0.60;;0.70;;0.40;0.00;C;B-;2013-06-08468
3186;"PONT-AUDEMER (27) 12.06.2013";Eure;27;"(D) D�partement";2013;06;12;"Le 12 juin 2013 � 22h59 un t�moin observe le d�placement silencieux d'un disque lumineux orang� dans le ciel. L'objet disparait dans les nuages.
L'aspect et le d�placement du point lumineux �voque nettement une lanterne tha�. Le t�moin indique qu'il en a vu d'autres fois en nombre, formant une constellation.
Il est rare d'observer des lanternes tha� en semaine. Par contre, de l'avis d'une personne louant une salle de r�ception dans la r�gion, les l�chers de lanternes sont tr�s fr�quents lors des mariages et des essais de l�cher en semaine sont r�alis�s. Cette lanterne unique est peut �tre un essai.
Le vent de Sud (relev� Meteociel � Rouen) n'est pas tout � fait coh�rent avec le d�placement vers le Nord Ouest constat� par le t�moin, mais le relief particulier (la rivi�re La Risle coule le long d'une c�te abrupte, voir carte) peut provoquer des vents locaux � basse altitude.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanterne tha�landaise.";"Observation du passage d'un disque lumineux orang� dans le ciel : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2013-08-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-06-08470
3187;"GRENADE (31) 14.06.2013";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2013;06;14;"Le 14 juin 2013 � 23h un t�moin dans sa cour est intrigu� par le passage successif de deux ph�nom�nes lumineux orang�.
La descritpion de points rouges se d�pla�ant lentement et silencieusement dans le ciel un soir de week end �voque les lanternes tha�.
Le relev� M�t�ociel de Blagnac indique un l�ger vent de Nord Ouest : comme le t�moin les voit appara�tre au Nord, elles sont logiquement emport�es vers l'Est.
Le relev� Calsky des satellites visibles indique le passage de la station ISS peu avant 23h00, sur une trajectoire tr�s proche de celle indiqu�e par le t�moin, mais l'heure ne convient a priori pas. L'ISS est per�ue g�n�ralement comme un point blanc ou jaune, rarement orange. De plus, il n'y aurait pas d'explication pour le deuxi�me objet similaire juste apr�s.
On peut aussi penser � des avions d�collant de Toulouse- Blagnac (les atterrissages se font par le Sud de Toulouse par vent de NO) : mais les feux clignotants auraient �t� remarqu�s. Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observation du passage successif de deux ph�nom�nes lumineux dans le ciel sur une trajectoire rectiligne : probable observation du passage de lanternes thailadaises.";O;1;;;;;;;;2013-10-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-06-08473
3188;"PARIS (75) 16.06.2013";Paris;75;"(D) D�partement";2013;06;16;"Le 16 juin 2013 vers 13h30 un t�moin constate qu'en mettant ses lunettes de soleil, il voit des lumi�res bleues et roses dans le ciel qu'il photographie aussit�t. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Le t�moin observe � Paris des reflets iris�s dans le ciel, mais seulement lorsqu'il observe cela � travers ses lunettes de soleil ; une photo r�v�le aussi le ph�nom�ne.
L'aspect du ph�nom�ne fait penser � des nuages iridescents, mais, d'apr�s un expert de M�t�o-France, ce type de ph�nom�ne ne se pr�sente qu'autour de nuages tr�s �lev�s (Cirrus), ce qui n'est pas le cas ici (stratocumulus �lev� ou altocumulus).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : ph�nom�ne optique caus� probablement par la r�flexion du soleil sur les lunettes de soleil et sur l'objectif de l'appareil photo.";"Observation de lumi�res iris�es au travers de lunettes de soleil : probable reflexion du soleil sur les lunettes et l'objectif de l'appareil photographique.";O;1;;;;;;;;2013-10-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-06-08474
3189;"[A64] de TOULOUSE (31) vers TARBES (65) 09.06.2013";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2013;06;09;"Dans la nuit du 8 au 9 juin 2013 vers une heure du matin, un automobiliste observe durant plusieurs minutes les d�placements silencieux d'effets lumineux clair dans le ciel nocturne nuageux. Un seul t�moignage est recueilli.
La description du ph�nom�ne �voque nettement une animation lumineuse (laser ?) utilis�e fr�quemment par les discoth�ques pour se signaler. Ce ph�nom�ne a aussi �t� observ� au m�me endroit dans la nuit du 22 au 23 par un autre t�moin. Les nuits du samedi au dimanche sont bien s�r priv�l�gi�es pour ces animations. La m�t�o nuageuse (voir le relev� M�t�ociel) est propice � un effet tr�s fort de ce type de projecteurs.
La description du t�moin fait penser � l'effet produit par un projecteur multifaisceaux similaire � celui sur cette vid�o Wedding searchlight hire Nottingham.
Le GEIPAN n'a pas men� les recherches d'identification de la source de cette animation ce soir l�, mais la boite de nuit ""Le Coyote"" � Saint-Elix-Le-Ch�teau utilise souvent ce dispositif : il est fort probable qu'elle en soit la source.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation tr�s probable d'animation lumineuse de type projecteur multifaisceaux.";"Observation des mouvements d'effets lumineux dans le ciel nocturne nuageux : observation tr�s probable d'animation lumineuse de type projecteur multifaisceaux.";O;;;;;;;;;2016-03-09;;;0.38;0.13;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;B;2013-06-08475
3190;"CRAMPAGNA (09) 09.06.2013";Ari�ge;09;"(D) D�partement";2013;06;09;"Un t�moin observe le 9 juin 2013 � environ 0h45 la pr�sence puis le d�placement N-S d'un objet tr�s lumineux de couleur rouge orang�. L'objet disparait derri�re une colline. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation de 4 � 5 minutes.
Cette observation d'une forte lumi�re rouge-orang� dans la soir�e du week-end, se d�pla�ant lentement dans le ciel, correspond vraisemblablement � une lanterne tha� l�ch�e de Saint-Jean-de-Verges � l'issue d'une f�te. Les relev�s m�t�o de Saint-Girons (Cf document m�t�o) font �tat d'un vent l�ger tr�s instable durant la nuit : mais le vent � Crampagna ne peut pas �tre d�termin� pr�cis�ment, surtout du fait que l'on est en zone de petite montagne.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanterne tha�.";"Observation de la pr�sence puis du d�placement lent et silencieux d'un objet tr�s lumineux rouge orang� dans le ciel : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2013-08-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-06-08477
3191;"[D822] de VILLEFRANCHE-DE-ROUERGUE (12) vers FIGEAC (46) 06.06.2013";Aveyron;12;"(D) D�partement";2013;06;06;"Le 06 juin 2013 � 22h10 l'attention d'un automobiliste est attir�e par deux lumi�res dans le ciel qui semblent stationnaires. Continuant sa route il s'arr�te et observe ensuite deux formes distinctes. Aucun bruit particulier n'est remarqu� durant l'observation et la disparition vers le NN-O des lumi�res. Deux photographies sont prises par le t�moin avec un t�l�phone portable. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Une enqu�te indique que le Soleil est � 8� sous l'horizon (l'observation a eu lieu environ 30 mn apr�s le coucher du soleil). A l'Est, on remarque l'�toile VEGA, tr�s brillante (Azimut = 65 �Hauteur = 32 �) et d'apr�s Meteociel et le relev� � Souillac : le ciel �tait clair, et le vent quasi nul.
Pour cette observation le GEIPAN a envisag� plusieurs hypoth�ses comme celle d' avions �clair�s par le soleil mais 30 minutes apr�s le coucher du soleil, les avions � 10000 m d'altitude ne sont plus �clair�s par le soleil ainsi que l'observation d'�toiles ou de plan�tes, observ�es � travers un voile nuageux mais on ne trouve pas de paires d'�toiles correspondant � l'observation.
Le passage de ballons lumineux ou de lanternes tha�landaises reste possible bien que peu probable en semaine, et la description d�taill�e du t�moin ne correspond pas bien aux r�cits usuels de lanternes tha�landaises.
Ce cas peu �trange de lumi�res lointaines semblant bouger l�g�rement reste inexpliqu� faute d'informations ou d'autres t�moignages rapport�s : le cas est class� C. La faible �tranget� du cas ne justifie pas d'enqu�te plus approfondie.";"Observation par un automobiliste de deux ph�nom�nes lumineux dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-06-08478
3192;"SCIENTRIER (74) 22.06.2013";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2013;06;22;"Le 22 juin 2013 � 22h30 deux t�moins constatent une s�rie de points parfaitement align�s de couleur rouge et jaune orang�, qui semblent pulser ou clignoter dans la direction du sommet de Sous-Dine (Plein Sud, voir carte). Le ph�nom�ne, d'abord statique, dispara�t rapidement en se fondant en une masse orang�e. Un seul t�moignage est recueilli accompagn� de photographies.
Le t�moin pense observer au sud-est, mais la montagne de Sous-Dine est plein sud. Le t�moin pense observer des objets au-dessus de cette montagne ; il est fort probable que ces objets sont bien plus pr�s, mais l'alignement au-dessus du sommet de la montagne est trompeur. Dans l'hypoth�se de lanternes tha�, une analyse sommaire des photos montre que ces objets seraient � une distance de 5 � 10 km du t�moin, c'est-�-dire entre La Roche-sur-Foron et la montagne, � une altitude de 500m � 1000m plus haut que le t�moin (qui est � 450m d'altitude).
Les relev�s m�t�o (Meteociel) des villes voisines de Gen�ve et Annecy montrent ce soir l� un vent faible, tr�s instable : il est impossible de d�terminer la direction du vent � basse altitude vers La Roche-sur-Foron ce soir l�.
L'office du Tourisme de La Roche-sur-Foron nous a indiqu� que le 22 juin, avaient lieu la F�te de la musique, et l'arriv�e du Rallye des Bornes, mais aucun l�cher de lanternes tha�landaises n'a �t� signal� (ni m�me � la Gendarmerie).
Faute de v�rification possible du vent avec un relev� m�t�o pr�cis, et faute de confirmation par les autorit�s locales, le GEIPAN ne peut confirmer l'hypoth�se de lanternes tha� blanche et rouge (apparaissant jaunes et rouges) pourtant tout � fait compatible avec les photos et le t�moignage.
En l'attente de nouvelles informations, ce cas est class� ""C""";"Observation d'une s�rie de points parfaitement align�s de couleur rouge et jaune orang� au-dessus d'un massif montagneux : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-06-08479
3194;"MASSAC-SERAN (81) 21.06.2013";Tarn;81;"(D) D�partement";2013;06;21;"Le 21 juin 2013 un t�moin constate et photographie un objet fixe de plusieurs couleurs changeantes et clignotantes dans le ciel nocturne en direction de l'ouest. Les photographies sont faites entre 04h23 et 04h30 ; le t�moin a la bonne id�e de nous envoyer �galement deux photographies prises de jour du m�me endroit et dans la m�me direction.
Compte tenu des �l�ments d�finis dans le compte rendu d'enqu�te (voir le document), � savoir en particulier la couleur du PAN, l'effet de scintillement tr�s prononc�et la position en hauteur et en azimut, ce cas est class� en � A � comme observation certaine de l'�toile Arcturus, se trouvant bas sur l'horizon et soumise aux effets du scintillement.";"Observation d'un objet fixe de plusieurs couleurs changeantes et clignotantes dans le ciel nocturne en direction de l'ouest : observation astronomique d'Arcturus.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-06-08481
3195;"[D940] DE AUBIGNY-SUR-NERE (18) VERS CHAPELLE-D'ANGILLON (LA) (18) 30.06.2013";Cher;18;"(D) D�partement";2013;06;30;"Le 30 juin 2013 � 10h33 un t�moin � l'arri�re droit d'une voiture constate la pr�sence dans le ciel d'un triangle blanc et gris � travers la vitre lat�rale. Il prend une photographie avec son smartphone quelques secondes plus tard au moment o� la voiture longe une s�rie d'arbres bordant la route. Un seul t�moignage est recueilli.
L'�tranget� de ce cas est faible. L'hypoth�se d'un ph�nom�ne de r�flexion optique a �t� �mise d�s le d�but de l'enqu�te et il a �t� montr� qu'elle �tait probable (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le t�moignage est moyennement consistant, avec relativement peu de donn�es fournies par le t�moin et exploitables, mais ceci est peut-�tre � la fois caus� par la bri�vet� de l'observation et par le jeune �ge du t�moin. Il existe cependant une photographie qui a pu �tre exploit�e et permet d'asseoir l'hypoth�se avec une relative certitude.
Ce cas est � classer en �A�, comme ph�nom�ne de reflet optique dans une vitre de voiture.
";"Observation au travers de la vitre lat�rale d'une voiture d'un triangle blanc et gris dans le ciel : ph�nom�ne de reflet optique dans une vitre de voiture. ";O;;1;;;;;;;2018-04-19;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;A;A;2013-06-08482
3196;"PIGNANS (83) 03.06.2013";Var;83;"(D) D�partement";2013;06;03;"Le 3 juin 2013 � environ 23h30, un t�moin et sa femme observent des lumi�res fixes formant un triangle et pense � un avion, mais les lumi�res s'approchent et le t�moin distingue entre elles une forme sombre et plate. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce cas a �t� jug� suffisamment �trange par le GEIPAN pour qu'un enqu�teur soit mandat� pour une enqu�te de terrain.
Ce cas d'observation s'av�re d'une tr�s bonne consistance, avec deux t�moins non ind�pendants et une vid�o de qualit� m�diocre, ne laissant aucun doute sur la r�alit� du ph�nom�ne, et avec une bonne estimation de sa trajectoire apparente. L'�tranget� du cas s'av�re faible puisque conforme au comportement de divers engins volants bien connus.
Malgr� quelques points inexpliqu�s (voir le compte-rendu d'enqu�te), l'aspect constat� est conforme � celui d'un groupe d'h�licopt�res.";"Observation de nuit de lumi�res fixes puis en d�placement dans le ciel : probable observation d'un groupe d'h�licopt�res.";O;1;;;;;;;;2014-11-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-06-08485
3197;"LYON (69) 28.06.2013";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2013;06;28;"Le 28 juin 2013 � 22h58 un t�moin observe des ph�nom�nes lumineux en d�placement rectiligne au-dessus des immeubles lyonnais : trois points lumineux orange d�limitant un premier triangle sont suivis de trois autres points orang�s d�limitant �galement un triangle plus grand. Enfin un point lumineux seul apparait. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation discontinue de plusieurs minutes. Les points lumineux disparaissent cach�s par le paysage urbain.
Le t�moin a observ� et film� deux passages de points lumineux orange volants en formation. Cette observation a fait l'objet d'articles dans la presse locale : article du Progres.
Le t�moin indique un d�placement d'Ouest en Est, mais une analyse de la carte des lieux et de la vid�o montre un d�placement du Nord vers le Sud, ou Nord- Nord-ouest vers Sud-Sud-Est. Les objets venaient donc du Nord, ce qui est compatible avec des objets port�s par le vent (Vent de Nord relev� � Bron selon Meteociel).
Dans un autre article du Progr�s du 03/07/2013, un l�cher de lanternes � l'occasion d'une f�te priv�e �tait relat�. Toujours d'apr�s le relev� M�t�o, il n'est pas possible que ce soient ces lanternes lanc�es dans le quartier de La Confluence (au Sud de Lyon) qui aient �t� vues ce soir l� par ce t�moin.
Les caract�ristiques des objets observ�s : boules oranges se d�pla�ant selon le vent, orientent vers l'hypoth�se du passage de lanternes tha�landaises. La formation stable en triangle est commune pour un l�cher de lanternes par 3 ; il est tout � fait normal que les 3 lanternes restent � distance �gale si le vent est stable (ce qui n'est pas toujours le cas). Ces lanternes ont pu �tre lanc�es quelques minutes avant, au Nord Ouest du t�moin, probablement depuis le quartier de la Croix-Rousse, lors d'une des multiples f�tes priv�es ou publiques qui ont lieu ces derniers vendredis de juin.
Le Geipan n'a pas fait les recherches pour retrouver les auteurs potentiels du l�cher.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observation du d�placement de ph�nom�nes lumineux orang� dans le ciel : probable lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-07-19;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-06-08487
3198;"EYBENS (38) 22.06.2013";Is�re;38;"(D) D�partement";2013;06;22;"Le 22 juin 2013 apr�s 22h30 deux personnes sont �tonn�es devant le passage silencieux et rectiligne d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel.
La description de ce ph�nom�ne peu �trange (point tr�s brillant traversant lentement le ciel) �voque nettement la station spatiale internationale (ISS).
Le site Calsky indique un passage de l'ISS de 22h45 � 22h52 de l'Ouest vers le Sud (voir relev� Calsky ci-joint, et simulation du point de vue du t�moin).
On note toutefois une correspondance imparfaite entre l'heure indiqu�e par le t�moin : ""22h30 peut �tre plus"" et l'heure simul�e, de m�me l'�l�vation maximum indiqu�e par le t�moin (90�) n'est pas celle indiqu�e par la simulation (17,5�) : on peut envisager une impr�cision dans les param�tres de la simulation.
Le GEIPAN classe ce cas ""B "" : observation probable du passage de l'ISS avec une certaine incertitude.";"Observation du passage silencieux et rectiligne d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : probable passage ISS.";O;1;;;;;;;;2013-10-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-06-08492
3199;"QUINCY-SOUS-SENART (91) 09.06.2013";Essonne;91;"(D) D�partement";2013;06;09;"Le 9 juin 2013 � 20h09, plusieurs personnes observent le d�placement simultan� et silencieux de deux objets dans le ciel nuageux. De forme polygonale, ces deux objets toujours � �gale distance s'�l�vent dans le ciel et disparaissent progressivement dans les nuages.
La maison du t�moin a sa fa�ade sur la rue orient�e E-SE, la fen�tre du salon, orient�e sur la jardin est orient�e O-NO. L'objet volant a �t� observ� allant de droite � gauche depuis cette fen�tre, en direction de la for�t de Senart qui est � gauche, au sud ouest. L'objet volait donc dans une direction N ou NE, vers S ou SO.
Le t�moin indique une direction d'Est en Ouest : si c'�tait le cas, l'objet aurait survol� sa maison.
Le vent relev� � Orly souflait de Nord � 20h et de NE � 21h. Ce vent semble compatible avec le d�placement constat� des objets que l'on peut supposer gonfl�s � l'h�lium et port�s par le vent.
Les formes �voqu�s sont compatibles avec les divers mod�les de ballons vendus lors des foires et kermesses, fr�quentes les dimanche de juin.
La faible �tranget� du cas ne justifie pas une enqu�te approfondie pour retrouver l'auteur du l�cher de ces probables ballons festifs.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de ballons festifs";"Observation du d�placement simultan� et silencieux sur une trajectoire ascendante de deux formes polygonales : probable passage de ballons festifs.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-06-08507
3200;"JAUNAY-CLAN (86) 27.06.2013";Vienne;86;"(D) D�partement";2013;06;27;"Le 27 juin 2013 (confirmation par mail) � 23h45 un t�moin observe durant 3 � 4 secondes, le d�placement silencieux de trois ph�nom�nes lumineux dans le ciel d�gag�. Deux ph�nom�nes en forme de rectangle sont de couleur vert et le troisi�me est de couleur blanc.
Des points lumineux blancs ou verts traversant l'horizon en quelques secondes en ligne droite peuvent provenir de la rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de, apr�s fragmentation en rentrant dans l'atmosph�re. Pour v�rifier cette hypoth�se, le GEIPAN a recherch� d'autres t�moignages ou enregistrements vid�os sur la Base des Observateurs Amateurs de M�t�ores ( BOAM) mais rien ne correspond bien � cet �v�nement.
Faute de recoupements permettant de conforter cette hypoth�se, le GEIPAN classe ce cas ""C"".";"Observation du passage rapide, rectiligne et silencieux de trois ph�nom�nes lumineux vert et blanc : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-06-08518
3201;"BIEVILLE-BEUVILLE (14) 02.06.2013";Calvados;14;"(D) D�partement";2013;06;02;"Le dimanche 2 juin 2013 � 22h59, un t�moin est intrigu� par le passage silencieux dans le ciel d'une boule orange. Il prend une photographie.
La description de boule orange se d�pla�ant en ligne droite en fin de soir�e de week end �voque une lanterne tha�landaise. Les photos du t�moins sont parfaitement coh�rentes avec cette hypoth�se.
M�t�ociel indique un l�ger vent de Nord meteo Le t�moin indique un d�placement de l'objet du Nord Est vers le Sud Ouest : cet �cart de direction peut s'expliquer par des conditions g�ographiques locales.
Le t�moin, joint au t�l�phone, a vu des lanternes tha�landaises depuis son observation, le 14 juillet, et a reconnu le m�me genre d'objet.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation du passage d'une lanterne tha�landaise.";"Observation du passage silencieux et rectiligne d'une boule orange dans le ciel : observation d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-06-08520
3202;"SCHILTIGHEIM (67) 13.06.2013";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2013;06;13;"Le 13 juin 2013 � minuit trente, un cycliste observe une lumi�re brillante qu'il prend d'abord pour Saturne ou Jupiter. Arriv� chez lui, le t�moin est surpris de constater que la lumi�re bleut�e passe au-dessus de lui sans aucun bruit. La trajectoire est rectiligne mais la boule semble par moments faire des zigzags. Elle finit par dispara�tre progressivement au loin. Aucun autre t�moignage n' a �t� recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis, � savoir que l'objet se d�pla�ait en ligne droite, affect�e de petits zigzags, avec une luminosit� et une trajectoire compatible avec le passage de l'ISS (station spatiale internationale), l'�tranget� du ph�nom�ne peut �tre consid�r�e comme faible avec deux hypoth�ses possibles d'explication, dont une tr�s probable : avion ou ISS. (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le t�moignage est de consistance moyenne � faible : on note une contradiction interne sur les directions de d�placement, et une absence de sch�ma ou photo.
Devant ces �l�ments, ce cas est class� � B � comme observation tr�s probable de l'ISS, le t�moin ayant probablement �t� victime de l'illusion autocin�tique.";"Observation du d�placement silencieux d'une boule bleut�e tr�s lumineuse dans le ciel : probable observation du passage de la station spatiale internatonale (ISS).";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-06-08530
3203;"NOTRE-DAME-D'OE (37) 05.07.2013";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2013;07;05;"Le vendredi 5 juillet � 20h45 un t�moin sur sa terrasse a son regard attir� par le d�placement silencieux dans le ciel d'un objet noir. Il pense d'abord � un oiseau noir avec des ailes blanches mais il remarque un ""effet"" qui l'intrigue. L'observation dure 15 secondes environ avant que l'objet soit cach� par le toit d'une habitation. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Le t�moin d�crit ce qu'il pense d'abord �tre un oiseau avec un corps noir et des ailes blanches, mais il se rend compte que cet effet blanc �tait d� � une lumi�re, comme un balayage du haut vers le bas. C'est cette seule caract�ristique qui lui fait abandonner l'hypoth�se d'un oiseau, et penser que cet objet volant est �trange.
Au coucher du soleil, les rayons lumineux sont rasants sur les ailes des oiseaux, et peuvent provoquer des reflets brillants, m�me sur des ailes noires.
Comme le d�placement rapport� par le t�moin est tout � fait semblable � celui d'un oiseau, l'�tranget� de ce cas r�side exclusivement dans ces reflets clairs sur des ailes noires, ce qui n'est pas tr�s surprenant. Voir par exemple les images d'un cormoran et d'un grand corbeau.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable d'un oiseau noir �clair� au soleil couchant.";"Observation du d�placement silencieux d'un objet noir et blanc dans le ciel : observation probable d'un oiseau noir �clair� au soleil couchant.";O;;;;;;;;;2016-06-21;;;0.30;0.00;;;0.50;;0.70;;0.35;0.00;B;B;2013-07-08483
3204;"CHAGNY (71) 11.07.2013";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";2013;07;11;"Un t�moin rapporte son observation faite le 11 juillet 2013 � 22h30 : dans le ciel, il suit l'apparition de trois points lumineux orange vif qui se d�placent NE-SO silencieusement puis disparaissent successivement apr�s un changement de direction vers l'Ouest. Malheureusement sur les vid�os prises, on distingue � peine les points lumineux. Cependant le t�moin joint une photographie d'�cran � son questionnaire. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Cette observation tr�s peu �trange de quelques points lumineux orange vif sur des trajectoires semblables �voque immanquablement les lanternes tha�. Par contre, le d�placement constat� (NE vers SO, puis O) ne correspond pas exactement au vent de N relev� � Dijon (50 km) ou M�con (� 60 km) , mais plus � celui relev� � Paray le monial ( 70 km) (vent de NE). Le changement de direction peut s'expliquer par des effets des reliefs locaux, ou par une l�g�re impr�cision ou illusion sur la perception de la direction des lumi�res par le t�moin.
En l'absence de donn�es tr�s locales sur le vent, le GEIPAN classe ce cas peu �trange ""C"".";"Observation du d�placement de trois points lumineux orange vif : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-10-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-07-08484
3205;"TESTE-DE-BUCH (LA) (33) 13.07.2013";Gironde;33;"(D) D�partement";2013;07;13;"Le 13 juillet 2013 entre 23h30 et 23h40 un t�moin est intrigu� par le passage successif et silencieux de plusieurs boules lumineuses orang�es dans le ciel.
Le r�cit du t�moin et les photos ont toutes les caract�ristiques d'un t�moignage d'observation du passage de lanternes tha� : boules oranges se d�pla�ant au gr� du vent (vent de NE relev� au Cap Ferret). L'heure et le jour de l'ann�e sont aussi tr�s propices � ce genre de manifestations.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observation du passage silencieux et successif de boules lumineuses orang�es dans le ciel : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-08-08;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08486
3206;"TOULOUSE (31) 14.07.2013";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2013;07;14;"Le 14 juillet 2013 vers 23h45, un t�moin observe les �volutions dans le ciel toulousain de 5 sources lumineuses orange. Le t�moin fait ensuite une deuxi�me observation du d�placement d'un ph�nom�ne ovoide l�g�rement opalescent et transparent se d�tachant sur le fond sombre du ciel.
Le d�but de l'observation (sources lumineuses orange se d�pla�ant en ligne droite) correspond tr�s bien � l'observation de lanternes tha�, volant d'Ouest en Est au gr� du l�ger vent d'Ouest (Voir relev� Meteociel). La date du 14 juillet est bien s�r propice � ce genre de manifestations.
Le 2�me ph�nom�ne �voque plutot un reflet du soleil sur un satellite. Le site Calsky indique bien � cet instant m�me un reflet de ce type sur le satellite Iridium 70, mais observable au Nord Est, assez bas sur l'horizon, ce qui ne correspond pas bien au t�moignage. Il peut s'agir aussi d'un reflet sur un autre satellite non repertori�.
La co�ncidence entre ces deux �v�nements ind�pendants est �videmment �tonnante, mais pas impossible.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha� , puis d'un reflet sur un satellite.";"Observation du d�placement de cinq sources lumineuses oranges puis d'un ph�nom�ne ovoide l�g�rement opalescent et transparent : observation probable de lanternes tha� puis du reflet sur un satellite.";O;1;;;;;;;;2013-10-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08488
3207;"VILLENEUVE (04) 05.07.2013";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";2013;07;05;"Le 5 juillet 2013 � 22h20 plusieurs personnes sont intrigu�es par les �volutions silencieuses de 9 lumi�res orang�es dispos�es en losange dans le ciel.
Les vols de nuit de la Patrouille de France donnent chaque ann�e lieu � quelques t�moignages. La confirmation officielle de la Patrouille de France (Voir le document �l�ment enqu�te) permet ici de classer en A, parfaitement identifi�, ce cas d'observation de vol nocturne de la P.A.F. (Patrouille de France).";"Observations des �volutions silencieuses de neuf lumi�res orang�es dans le ciel : observations d'une escadrille en vol nocturne (Patrouille de France).";O;1;;;;;;;;2013-08-08;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-07-08489
3208;"ESCADRILLE-PROVENCE-ALPES-COTE-D'AZUR (U) 03.07.2013";Provence-Alpes-C�te-d'Azur;;"(R) R�gion";2013;07;03;"Le 3 juillet 2013 entre 22h et minuit, plusieurs personnes sur Apt et Aix-en-Provence sont intrigu�es par les d�placements rapides et silencieux de ph�nom�nes lumineux dans le ciel.
Les vols de nuit de la Patrouille de France donnent chaque ann�e lieu � quelques t�moignages. L'enqu�te de gendarmerie, tr�s rapide, et la confirmation officielle de la BTA APT permet ici de classer en A, parfaitement identifi�, ce vol nocturne.
Une autre observation de ce type sera faite le 5 juillet 2013 � 22h22 sur Villeneuve dans les Alpes-de-Haute- Provence.";"Observations multiples de d�placements rapides et silencieux de ph�nom�nes lumineux dans le ciel : observations du vol nocturne de la Patrouille de France.";O;2;;;;;;;;2013-08-09;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-07-08490
3209;"GRENOBLE (38) 03.07.2013";Is�re;38;"(D) D�partement";2013;07;03;"Le mercredi 3 juillet 2013 vers 22h un t�moin, fermant ses volets, observe des objets lumineux se d�placer dans le ciel par vagues, durant 15 minutes. Il prend des photographies.
Le d�placement constat� vers le Sud-Ouest, s'av�re coh�rent avec le vent local (voir relev�). La r�p�tivit� des trajectoires confirme bien cette hypoth�se d'objets port�s par le vent.
L'aspect des objets n'�voque pas directement les lanternes tha�landaises tr�s r�pandues, car la lumi�re d�crite et photographi�e est plutot blanche (comme la Lune, dit le t�moin). Il pourrait plut�t s'agir de ballons lumineux (led) et gonfl�s � l'h�lium maintenant facilement disponible � la vente.
A noter que l'observation au cr�puscule modifie la perception des couleurs par rapport aux observations nocturnes habituelles et que le mercredi est moins sujet aux l�chers festifs que les samedis.
Le GEIPAN classe cette observation atypique ""B"" : observation probable de ballons lumineux gonfl�s � l'h�lium.";"Observation et photographies du passage par vagues d'objets lumineux dans le ciel nocturne : probable observation de ballons lumineux gonfl�s � l'h�lium.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08493
3210;"AGEN (47) 16.07.2013";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";2013;07;16;"Le 16 juillet 2013 � 22h45 un t�moin allong� sur sa terrasse regarde les �toiles. Il est intrigu� par le passage silencieux et rapide de trois ""pastilles"" de couleur blanch�tre en triangle dans le ciel brumeux. Un l�ger halo est aper�u. Les objets disparaissent � l'horizon au bout de 30 secondes. Un seul t�moignage est recueilli.
Le ciel est couvert sur Agen. Le trafic a�rien est assez charg� � haute altitude (7000 � 12000m) mais ne peut expliquer le ph�nom�ne observ�.
Le GEIPAN a envisag� plusieurs hypoth�ses sur cette observation :
- Un laser de discoth�que : le temps d'observation semble court, et le t�moin qui a envisag� cette hypoth�se la r�fute.
- Des oiseaux (go�lands) �clair�s par les lumi�res de la ville, mais immerg�s dans des nuages bas : il para�t �tonnant que des oiseaux restent �clair�s en montant en altitude. La taille apparente (2/3 Lune) et la forme circulaire conviennent mal � cette hypoth�se. Le t�moin qui a envisag� cette hypoth�se la r�fute. Ceci dit, la dynamique du ph�nom�ne est assez compatible avec celle des oiseaux. Le t�moin mentionne que les go�lands ont sembl� r�agir au ph�nom�ne.
- Un probl�me visuel (ophtalmique) du t�moin ou une migraine ophtalmique a pu provoquer des phosph�nes). Les contours flous et l'impression de lumi�res plates sont compatibles avec cette hypoth�se. Il para�t difficile de v�rifier cette hypoth�se a posteriori par un examen m�dical.
Comme aucune de ces hypoth�se ne peut �tre confirm�e, et qu'il s'agit d'un ph�nom�ne assez lointain et flou, le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie ""C"" par manque d'informations ou de recoupements.";"Observation du passage rapide et silencieux de trois ""pastilles"" blanch�tres dans le ciel brumeux : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.50;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;C;D1;2013-07-08494
3211;"SAINT-GERMAIN-SUR-ILLE (35) 17.07.2013";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2013;07;17;"Le 17 juillet 2013 � 23h45 environ, un t�moin observe le passage d'une boule de feu suivi d'une train�e sur une trajectoire oblique descendante.
La description d'une ""boule de feu"" durant 2 � 3 secondes"" correspond parfaitement � un bolide (rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de). Le t�moin l'a vu � l'Est, se dirigeant du Nord vers le Sud. Il n'y a pas eu d'enregistrement par des cam�ras automatiques, mais un autre t�moignage semblable a �t� re�u au GEIPAN, � un heure d�clar�e tr�s proche : � Plaisir (78) observ� au Sud-Ouest Ouest, se d�pla�ant vers l'horizon (de 60� d'�l�vation vers 45�).
L'ondulation constat�e peut �tre une illusion physiologique de la vision nomm�e : illusion autocin�tique (voir : illusion cin�tique).
On rappelle que ces ph�nom�nes de bolides, per�us souvent comme tr�s proches par les t�moins, se produisent en fait de 100 � 50 km d'altitude, et sont donc visibles du sol sur une zone d'environ 200 km de diam�tre.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de bolide.";"Observation du passage d'une boule de feu suivi d'une train�e sur une trajectoire oblique descendante : observation probable d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08495
3212;"PLAISIR (78) 17.07.2013";Yvelines;78;"(D) D�partement";2013;07;17;"Le 17 juillet 2013 � 23h58 un t�moin observe depuis sa fen�tre le passage dans le ciel d�gag� d'un bolide sur une trajectoire descendante.
La description d'un ""Objet incandescent d'une lumi�re blanche sans train�e, tr�s rapide"" correspond parfaitement � un bolide (rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de).
Il n'y a pas eu d'enregistrement par des cam�ras automatiques, mais un autre t�moignage semblable a �t� re�u au GEIPAN, � un heure d�clar�e tr�s proche : � Saint-Germain-Sur-Ille (35) � 23h45 observ� � l'Est, se d�pla�ant du Nord vers le Sud.
On rappelle que ces ph�nom�nes de bolides, per�us comme souvent tr�s proches par les t�moins, se produisent de 100 � 50 km d'altitude, et sont donc visibles sur une zone d'environ 200 km de diam�tre.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de bolide.";"Observation du passage rapide dans le ciel d'un objet incandescent blanc sans train�e : observation probable de bolide.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08496
3214;"GUERIGNY (58) 20.07.2013";Ni�vre;58;"(D) D�partement";2013;07;20;"Le 20 juillet 2013 vers 23h30-23h45 deux t�moins constatent la pr�sence de deux lueurs intenses dans le ciel. La premi�re lueur a une couleur orange et la deuxi�me est rouge violet. Aucun bruit n'accompagne les d�placements et leur disparition dans des directions diff�rentes. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce cas do'bservation de boules lumineuses �voque nettement les lanternes tha�, avec toutefois quelques originalit�s : d'une part la couleur rouge-violette, assez rare, et surtout le d�placement diff�rents des deux lumi�res.
Le relev� M�t�ociel sur Nevers, indique un vent instable � ce moment l�, pouvant �ventuellement expliquer que les deux objets n'aient pas suivi la m�me trajectoire.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement silencieux de deux lueurs de couleur dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08498
3215;"MONTPELLIER (34) 22.07.2013";H�rault;34;"(D) D�partement";2013;07;22;"Le lundi 22 juillet 2013 vers 18h15 un t�moin observe le d�placement d'un objet brillant, filant dans le ciel, sans bruit et � tr�s grande vitesse. Cette personne d�crit un objet argent�, de forme renfl�e, genre ""canotier"". La trajectoire approximative donn�e est SE-NO dans une zone du traffic des avions de l'a�roport de Montpellier-Fr�jorgues.
Cette observation tr�s courte (2 � 3 secondes) d'un objet brillant dans le ciel, par un t�moin unique est peu document�e (pas de sch�ma).
L'�tranget� de cette observation r�side dans la vitesse de d�placement de l'objet. Si l'on consid�re que l'objet a parcouru un champ de vue de 60� en 3 secondes, et qu'il �tait � 200m, cela correspond d�j� � une vitesse de l'ordre de 270km/h. Il peut s'agir d'un petit objet port� par le vent � 15 ou 20m, mais il s'agirait alors d'une forte illusion sur l'estimation de la distance de l'objet par le t�moin. Le relev� m�t�o indique un vent de Sud � Sud-Ouest de 18km/h environ, faiblissant, ce qui peut � la rigueur convenir avec cette derni�re hypoth�se.
Une enqu�te plus pouss�e ne ram�nerait que peu d'information suppl�mentaire. Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information pr�cise et manque de recoupements.";"Courte observation du d�placement rapide et silencieux d'un objet de la forme d'un canotier : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-07-08499
3216;"GISORS (27) 21.07.2013";Eure;27;"(D) D�partement";2013;07;21;"Le 21 juillet 2013 vers 4h du matin, un t�moin est intrigu� par la pr�sence fixe d'une lumi�re rouge fonc�e dans le ciel nuageux.
La direction d'observation du t�moin (Courcelles) correspond � l'azimut 230�. Le t�moin indique un objet rond et rouge 4 fois plus gros que la Lune, � une hauteur de 25�, et pr�cise que le ciel �tait nuageux, sans astre visible.
On constate que la Lune est pr�cis�ment � l'azimut 231�, � une hauteur de 4,6�.
Il est fort probable que le t�moin a �t� victime de la classique illusion de la Lune qui para�t toujours tr�s grosse � son lever ou � son coucher. La Lune, partiellement occult�e par un voile nuageux, ne laissait pas appara�tre les d�tails de sa surface qui aurait permis au t�moin de l'identifier. Apr�s un r�veil en pleine nuit, il est fr�quent que les ph�nom�nes rares surprennent beaucoup les t�moins.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de la Lune (l'�cart notable sur la hauteur du ph�nom�ne dans le ciel justifie que ce cas ne soit pas class� ""A"").";"Observation d'une lumi�re rouge fonc�e fixe dans le ciel nuageux : probable m�prise astronomique avec la Lune.";O;1;;;;;;;;2016-02-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08500
3217;"BACHANT (59) 24.07.2013";Nord;59;"(D) D�partement";2013;07;24;"Le 24 juillet 2013 vers minuit plusieurs personnes observent durant quelques secondes le d�placement silencieux d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel.
L'observation d'une longue tra�n�e tr�s lumineuse pendant quelques secondes �voque nettement un bolide (rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de, qui deviendra m�t�orite s'il arrive au sol).
Le GEIPAN et d'autres organismes (IMCCE, Ciel des hommes, BOAM) ont re�u de nombreux t�moignages similaires la nuit pr�c�dente, cette nuit l�, et les suivantes, preuve que le Terre traverse � cette p�riode de l'ann�e une zone de l'espace assez charg�e de petits corps (essaims m�t�oritiques).
N�anmoins, cet �v�nement pr�cis n'a pas �t� parfaitement caract�ris�.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" comme observation probable de bolide.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : probable observation du passage d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2013-08-08;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08501
3218;"GONNEVILLE-LA-MALLET (76) 24.07.2013";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2013;07;24;"Le 24 juillet 2013 � minuit un t�moin observe plus de 10 objets volants en l'espace de 30 minutes, de formes et de comportements diff�rents. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Ce t�moignage atypique relate de nombreux ph�nom�nes apparemment spectaculaires, et de comportements vari�s.
�tant donn� l'ampleur du ph�nom�ne, il est �tonnant que le t�moin soit unique, � moins que ce ne soient que des lumi�res assez faibles : on peut alors penser � des satellites ou des �toiles filantes, tr�s nombreux � �tre visibles � cette heure de la nuit, � cette p�riode de l'ann�e (voir relev� Calsky). On note aussi deux flashes des satellites Iridium, assez spectaculaires.
Le m�me jour, le GEIPAN a re�u un cas d'observation de bolide (BACHANT (59) 24.07.2013) et de nombreux t�moins ont signal� de nombreuses grosses �toiles filantes. Cette p�riode de l'ann�e est un pic de divers essaims m�t�oritiques.
Faute de donn�es d'observation pr�cises de la part du t�moin, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'informations pr�cises de position dans le ciel et de direction de d�placement, ou de photos. L'observation est probablement un ensemble de ph�nom�nes d'origines diff�rentes.";"Observation de plus de 10 objets volants en l'espace de 30 minutes, de formes et de comportements vari�s : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-07-08502
3219;"CAMPAN (65) 23.07.2013";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";2013;07;23;"Le t�moin observe le 23 juillet 2013 au petit matin une sph�re lumineuse se d�pla�ant lentement et silencieusement au-dessus de la cr�te d'une montagne proche de son habitation.
Une v�rification astronomique et plusieurs �changes de mails apportant des compl�ments d'information permettent d'aboutir � la conclusion qu'il s'agit d'une m�prise avec la Lune. Le lendemain, une heure plus tard environ, le t�moin observera presque le m�me spectacle.
Ce type de m�prise est assez fr�quent lorsque le ciel est un peu nuageux. Une lumi�re au ras de l'horizon est fr�quemment interpr�t�e comme un objet survolant le paysage, plut�t qu'assimil�e � un astre.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de la pleine Lune � son coucher.";"Observation du lent d�placement d'une sph�re lumineuse survolant le paysage : m�prise avec la pleine Lune � son coucher.";O;1;;;;;;;;2013-08-08;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-07-08503
3220;"CAUDRY (59) 26.07.2013";Nord;59;"(D) D�partement";2013;07;26;"Le vendredi 26 juillet 2013 vers 23h, un t�moin observe vers le Sud une boule orange, qui dispara�tra vers l'Est, puis il fait une autre observation similaire 15 minutes plus tard.
Le t�moin signale la Lune visible en arri�re plan sur une photo : mais � 23h, la Lune n'est pas encore lev�e, de plus, elle n'est qu'au 3/4 pleine (lever � l'Est vers 23h15). Le cercle gris sur la photo est plus probablement le reflet du flash de l'appareil sur une poussi�re. Les photos fournies au GEIPAN ne sont pas au format des photos originales.
Le vent relev� par Meteociel � Cambrai est tr�s faible, oscillant autour de la direction Nord au cours de la soir�e.
La description que fait le t�moin est compatible de l'observation de deux lanternes tha�landaises l�ch�es � moins d'un kilom�tre au Sud du t�moin : le tr�s faible vent aura peu �loign� la lanterne qui se sera �teinte apr�s quelques minutes.";"Observation de la pr�sence et du d�placement de boules orang�es dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08504
3221;"NICE (06) 27.07.2013";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2013;07;27;"Le 27 juillet 2013 � 23h47 un couple observe le passage d'un objet lumineux clignotant dans le ciel d�gag�. Vu aux jumelles l'objet est d�crit comme �tant de forme ronde, aux clignotememts r�guliers et de couleur ambr�. Aucun bruit n'est entendu. Arriv� par le Sud de Nice, l'objet se d�place vers le Nord puis entame un virage souple et lin�aire vers l'Ouest de la ville et le Var. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
La description du t�moin a toutes les caract�ristiques d'un avion : les multiples feux clignotants (anticollision et strobes � 1 Hz) non synchronis�s donnent souvent l'illusion d'un clignotement 2 fois par seconde. La trajectoire du ph�nom�ne est compatible de celle d'un avion.
Le GEIPAN a trait� ce dossier trop tard pour pouvoir v�rifier cette hypoth�se avec les traces radars.
De ce fait, et comme le t�moin r�fute visiblement cette hypoth�se d'avion, Le GEIPAN classe ce cas � C � par manque d'information.";"Observation du passage silencieux d'un objet volant clignotant dans le ciel nocturne : trajectoire rectiligne puis en courbe : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.30;0.00;;;0.50;;0.60;;0.30;0.00;C;B-;2013-07-08505
3222;"SAINT-MALO (35) 25.07.2013";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2013;07;25;"Le 25 juillet 2013 � 0h05 un t�moin constate dans le ciel le d�placement silencieux de trois points lumineux de couleur blanche formant un triangle �quilat�ral.
Une simulation des passages de satellites avec le site Calsky.com nous indique que le triplet de satellites YAOGAN9 est en vue du t�moin lors de son observation. Ces satellites apparaissent comme trois points lumineux dispos�s en triangle �quilat�ral, �loign�s les uns des autres d'une distance angulaire de l'ordre de 1�, c'est-�-dire 2 fois le diam�tre apparent de la pleine Lune.
Ces satellites peuvent refl�ter le soleil durant quelques secondes (flare). Voir des exemples, avec des champs de vue tr�s diff�rents, sur :Yaogan Satellite Triplet Flare et � la 40eme seconde sur la droite de la vid�o NOSS Yaogan Triplet Flare?
Le fait que le t�moin ne voit plus les �toiles au centre du triangle est probablement une illusion de perception classique lors de l'observation de points lumineux group�s.
Le t�moin indique dans son questionnaire que la taille apparente du triangle correspond � 6cm � bout de bras (environ 5� 6�) puis par message s�par� que, le 5/12/13 � 2h40 ""le triangle que forme l'etoile du milieu de la ceinture avec les 2 pieds est identique en proportion, au m�me cap et hauteur"": Ce triangle fait de l'ordre de 8� de c�t�.
Le GEIPAN n' a pas les moyens de v�rifier que le reflet du soleil sur le satellite a bien eu lieu � cet instant pr�cis. La diff�rence importante entre la taille du triplet Yaogan (1�) et la taille restitu�e par le t�moin (entre 5 et 8�) est importante, et laisse un doute sur cette hypoth�se.
Du fait de la co�ncidence quasi parfaite en temps et position avec le passage de ces satellites, malgr� certaines incoh�rences avec le t�moignage, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de reflets du soleil sur le triplet de satellites YAOGAN9.";"Observation de trois points lumineux blancs formant un triangle �quilat�ral : observation probable de reflets du soleil sur le triplet de satellites YAOGAN9.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08508
3223;"UTELLE (06) 31.07.2013";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2013;07;31;"Le 31 juillet 2013 � partir de minuit, un t�moin, sur le plateau de la Madonne d'Utelle, est intrigu� par le d�placement lent � haute altitude d'une boule lumineuse �mettant des flashes � intervalles r�guliers.
Parmi les nombreux satellites passant en visibilit� les soirs d'�t�, il semblerait que le 3�me �tage de la fus�e qui a lanc� le satellite am�ricain LAGEOS en 1963 puisse correspondre � cette observation.
Dans le document Calsky, la carte du ciel orient�e au Nord-Ouest, avec la Grande Ourse � droite indique une trace blanche qui correspond au trajet de l'objet dans le ciel durant 30 minutes. Ce type d'objet est presque toujours en rotation : un �l�ment r�fl�chissant de cet objet peut p�riodiquement r�fl�chir puissamment le soleil et cr�er un flash. L'impr�cision sur la position du ph�nom�ne dans le ciel ne permet pas cependant de certifier cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'un satellite (d�bris) � haute altitude, dont la rotation cr�e des flash p�riodiques.";"Observation du d�placement lent d'une boule lumineuse �mettant des flashes � intervalles r�guliers : observation probable d'un satellite (d�bris) � haute altitude, dont la rotation cr�e des flash p�riodiques.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08509
3224;"CHEVEUGES (08) 28.07.2013";Ardennes;08;"(D) D�partement";2013;07;28;"Le 28 juillet 2013 � 3h20 du matin, deux t�moins observent depuis le premier �tage de leur domicile deux ph�nom�nes lumineux rouge-orang� de forme circulaire et aplatis. Ils se d�placent dans le ciel selon une trajectoire l�g�rement ascendante et rectiligne. L'observation dure une � deux minutes sans qu'aucun bruit particulier ne soit entendu. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
L'observation de plusieurs lumi�res rouge orang� se d�pla�ant ensemble en ligne droite, une nuit d'�t� de samedi � dimanche, durant 2 minutes, �voque nettement l'observation de lanternes tha�, probablement l�ch�es � l'issue d'une f�te (il y a plus de 400 000 lanternes tha� vendues par an en France).
Le relev� m�t�o � Charleville indique un vent faible et instable : meteo Le relev� m�t�o montre un vent tr�s variable � ce moment, ceci ne permet pas de valider totalement cette hypoth�se, laquelle reste pour l'instant compatible avec l'observation.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanterne tha�.";"Observation du passage sur une trajectoire rectiligne et l�g�rement ascendante de deux ph�nom�nes lumineux rouge-orang� : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08514
3225;"GAUCHY (02) 20.07.2013";Aisne;02;"(D) D�partement";2013;07;20;"Le 20 juillet 2013 � minuit un t�moin et sa femme constent que le r�verb�re de la rue est �teint. Ils observent ensuite le passage silencieux d'un engin comportant en-dessous 5 lumi�res de couleur rouge orange et blanche qui tournent dans le sens des aiguilles d'une montre. Sa trajectoire SO-NE est � basse altitude, � vitesse r�guli�re et lente. Le lampadaire s'est rallum� lorsque l'engin s'est �loign�. L'observation a dur� 10 minutes. Un seul t�moignage sera recueilli.
L'ensemble des lumi�res d�crites par le t�moin et le d�placement �voque un avion en approche d'atterrissage, souvent peu bruyant. Les avions ont de multiples feux clignotants (feux anticollision rouges, strobes clignotants blancs, feux fixes blancs, verts et rouges). Mais il n'y a pas d'a�rodrome important � proximit�.
Le GEIPAN n'a pas trait� assez vite ce t�moignage pour avoir les traces radars des avions survolant cette zone : cette hypoth�se ne peut �tre v�rifi�e.
Le vent de N � NE relev� sur M�t�ociel est contraire au d�placement observ� : il ne peut pas s'agir d'un objet port� par le vent.
La corr�lation entre l'extinction des lampadaires et le ph�nom�ne est intrigante, mais non av�r�e.
Faute d'�l�ments tr�s pr�cis, hormis le t�moignage, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.";"Observation du passage silencieux, rectiligne et � basse altitude d'un engin avec 5 lumi�res de couleur (rouge orange blanche) en dessous : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-07-08519
3226;"REHON (54) 27.07.2013";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2013;07;27;"Le samedi 27 juillet 2013 � 22h, deux promeneurs sont intrigu�s par le d�placement rectiligne et silencieux dans le ciel d'un point lumineux orang�. L'observation dure deux � trois minutes avant que l'objet ne disparaisse � l'horizon. Le lendemain les t�moins d�couvriront d'autres personnes ayant vu le ph�nom�ne dans le secteur mais aucun autre t�moignage ne sera rcueilli au GEIPAN.
Ce t�moignage d'un gros point lumineux orange est extr�mement bien d�crit ; il est peu �trange.
La couleur, le d�placement lin�aire, l'heure et le jour de l'observation sont compatibles avec une lanterne tha�.
La coh�rence du d�placement avec le vent local est incertaine : les relev�s m�t�o disponibles � Luxembourg et Metz font �tat respectivement de vent de Sud ou Sud-ouest, mais tr�s variable, pouvant �ventuellement expliquer le changement de direction de l'objet.
Les lanternes tha�landaises uniques ne sont pas rares. La vitesse ""radiale"" apparente des lanternes tha�landaises par vent moyen est du m�me ordre que celles des avions. La taille apparente et la forte luminosit� relat�es par le t�moin sont difficiles � comparer par rapport aux lanternes, �tant donn� la vari�t� des mod�les d'une part, et des conditions d'observation d'autre part.
Cette observation est compatible d'une lanterne tha�, mais tous les indices permettant de le confirmer (vent, l�cher en nombre) ne sont pas pr�sents. On note un mariage � Rehon � 16h ce jour l�.
Avec ces indices et incertitudes, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement rectiligne et silencieux d'un point lumineux orang� dans le ciel : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08523
3228;"PLOUHARNEL (56) 31.07.2013";Morbihan;56;"(D) D�partement";2013;07;31;"Le 31 juillet 2013 vers 23h, une famille observe les d�placements silencieux d'une paire de lumi�res vive jaune -orang� dans le ciel. Les lumi�res prennent soudain une trajectoire montante rectiligne.
Le t�moin observe depuis un petit village pr�s de la presqu'�le de Quiberon, pr�s de la c�te, mais observe en direction du Sud Est � Sud, juste en-dessus de l'entr�e de la presqu'�le, c�t� Carnac.
Le relev� m�t�o indique ce jour l� un vent de Sud jusqu'� 15h, faiblissant, tr�s variable jusqu'� 23h (Sud puis Nord), puis au Nord Est � 23h, puis s'�tablissant vers l'Est apr�s minuit. (Source meteo L'heure et le lieu sont tr�s propices au l�cher de lanternes tha�, souvent lanc�es par groupes. Le vent relev� � Vannes est conforme � la direction de d�placement du ph�nom�ne observ� qui part vers l'Ouest en s'�levant.
On note dans l'axe d'observation du t�moin l'a�roport de tourisme de Quiberon. Le ph�nom�ne d�crit par le t�moin peut aussi correspondre � un avion vu de face ; mais il serait tr�s �tonnant qu'il y ait eu de l'activit� de nuit sur ce petit a�roport de tourisme. Une fois les phares de l'avion �teints, le t�moin aurait d� apercevoir les feux clignotants de l'avion.
L'hypoth�se des lanternes reste bien plus probable. La phase d'immobilit� du ph�nom�ne peut correspondre � un d�placement vers le t�moin selon une brise tr�s locale. La mont�e rapide de lanternes dans le ciel est normale, la baisse de luminosit� est souvent interpr�t�e comme un �loignement, la dur�e d'observation de quelques minutes est habituelle pour une lanterne. Leur trajet au d�collage a pu �tre masqu� par des b�timents ou la v�g�tation.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement d'une paire de lumi�res jaune-orang� : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08597
3229;"BAULNE-EN-BRIE (02) 07.07.2013";Aisne;02;"(D) D�partement";2013;07;07;"Le 7 juillet 2013 un t�moin participe � une veill�e d'observation du ciel nocturne. � la fin de la veill�e � 03h10 le t�moin observe dans le ciel �toil� au-dessus de Montchevret, le d�placement d'un point lumineux blanc. La trajectoire de ce point intrigue le t�moin car le PAN juste au-dessus de sa position, effectue un virage � 90� en moins de 3 secondes pour prendre la direction du hameau de Romandie. Le point est perdu de vue � cause du relief. Aucune train�e aucun bruit ne sont remarqu�s. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Le texte du t�moignage porte en apparence une certaine �tranget�, puisqu'il s'agit d'un point lumineux dans le ciel qui change d'un coup de trajectoire .. et il ne s'agit pas d'avion.
En r�alit� il est possible d'avoir une trajectoire lumineuse de satellite qui s'arr�te, lorsque le satellite sort de la zone d'�clairement par le soleil, juste au voisinage de l'endroit o� commence la trajectoire lumineuse d'un autre satellite qui lui rentre dans la zone d'�clairement solaire. Ces deux trajectoires n'�tant pas en continuit�, l'observateur peut avoir l'impression d'un seul et m�me objet ayant chang� de trajectoire.
Il n'a pas �t� possible d'aller plus en avant dans ce type d'analyse car le t�moin n'a pas �t� coop�ratif dans les demandes d'information (r�ponses incompl�tes ou non-r�ponses aux questions, malgr� relances).
L'observation a �t� obtenue lors d'une veill�e d'observation de nuit organis�e par un groupe ufologique. C'est un contexte qui, pour certains participants, peut biaiser l'objectivit� de l'observation (�mulation entre participants, qu�te d'�tranget�) y compris � l'insu du t�moin.
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en C: manque d'informations fiables.";"Observation du d�placement d'un point lumineux avec virage tr�s rapide � 90� : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-01-27;;;0.40;0.00;;;0.10;;0.50;;0.05;0.00;C;C;2013-07-08662
3230;"JAUNAY-CLAN (86) 11.07.2013";Vienne;86;"(D) D�partement";2013;07;11;"Le jeudi 11 juillet 2013 vers 23h45, un t�moin est intrigu� par le passage silencieux de plusieurs ph�nom�nes lumineux � l'horizon. Les objets rectangulaires aux bords arrondis se d�placent du Nord au Sud sur une trajectoire rectiligne.
Du fait du d�placement lin�aire des objets, le GEIPAN a envisag� des objets port�s par le vent, et temporairement masqu�s par des arbres (voir l'animation produite par le t�moin). Le relev� M�t�ociel fait �tat d'un vent de NE qui correspond grossi�rement au d�placement constat� (le t�moin peut ne pas percevoir le d�placement de l'Est vers l'Ouest, qui est un l�ger rapprochement de son point de vue).
Jaunay-Clan est mitoyen du parc du Futuroscope o� sont donn�es de nombreuses animations nocturnes en �t�, mais ce parc n'est pas dans le champ de vision du t�moin. On note ce soir l� (11 juillet) l'ouverture des soir�es de l'�t� � Jaunay-Clan qui a pu donner lieu � des festivit�s. Mais la direction d'origine des lumi�res fait plut�t penser � un l�cher au bord du Clain au Nord de Jaunay-Clan.
La description du ph�nom�ne �voque l''observation de lanternes tha�, blanches ou rouges. Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observation du passage silencieux de plusieurs ph�nom�nes lumineux rectangulaires aux bords arrondis : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08664
3231;"JAUNAY-CLAN (86) 17.07.2013";Vienne;86;"(D) D�partement";2013;07;17;"Le 17 juillet 2013 vers 23h50 un t�moin observe depuis chez lui un ph�nom�ne blanc lumineux et stationnaire. L'observation dure une minute avant que le ph�nom�ne ne s'�teigne puis se rallume 30 secondes avant de dispara�tre d�finitivement. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Le GEIPAN a envisag� plusieurs hypoth�ses pour ce cas :
- hypoth�se astronomique : une plan�te, cach�e temporairement par des nuages, aurait pu donner cette impression mais la carte du ciel ne r�v�le pas d'astre brillant au Sud-Est.
- hypoth�se d'un reflet du soleil sur un satellite : l'effet aurait �t� � peu pr�s le m�me, mais plus court, et pas fixe durant une minute. Une v�rification avec le site Calsky montre plusieurs satellites passant dans le champ de vue du t�moin � l'heure indiqu�e, ainsi que deux flashes (flares) de satellites Iridium � 23h45 et 23h54, mais dans une direction oppos�e � celle indiqu�e par le t�moin.
- hypoth�se a�ronautique : un avion vue de face, phare d'atterrissage allum�, peut tout � fait donner cette impression d'un point fixe : il semble dispara�tre s'il change de cap, alors que le t�moin n'est plus dans l'axe du faisceau du projecteur. Cette hypoth�se n'a pu �tre confirm�e � temps aupr�s du trafic a�rien.
Ce cas d'observation peu �trange, d'une consistance moyenne du fait de l'unicit� du t�moignage et de l'absence de photo est class� ""C"" faute de recoupements d'informations.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux blanc dor� stationnaire dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-07-08665
3233;"CERGY (95) 25.07.2013";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2013;07;25;"Le 25 juillet 2013 � 3h41 un ouvrier en pause � l'ext�rieur d'un b�timent est intrigu� par la pr�sence dans le ciel d�gag� de trois lumi�res qui se d�placent � vitesse constante et semblent former un triangle sombre. Un b�timent g�nant son observation, le t�moin se d�place, fait deux allers et venues entre deux points de vue mais les points lumineux ont disparu. L'observation a dur� environ deux minutes.
Il y a plusieurs explications possibles pour l'observation d'un triplet de points lumineux dans le ciel. Ce qui fait l'�tranget� de ce cas est essentiellement la faible probabilit� de l'alignement entre le t�moin, les sites d'extinction des sources de lumi�re et le disque lunaire.
Apr�s une enqu�te de terrain, il s'av�re que cette observation de trois points lumineux se d�pla�ant de concert selon la direction du vent est compatible avec l'observation de lanternes tha�landaises.
Le GEIPAN n'a pas pu trouver les auteurs du l�cher. Ce cas est class� � B � : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement de trois points lumineux dans le ciel d�gag� : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-04-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-50065
4029;"[A34] de NOVY-CHEVRIERES (08) vers CHARLEVILLE-MEZIERES (08) 29.03.2016";Ardennes;08;"(D) D�partement";2016;03;29;"Le 29 mars 2017 � 7h19 un automobiliste sur la A34 en direction de Charleville-Mezi�res observe un ph�nom�ne particulier dans le ciel d�gag�. Le t�moin est surpris par un point lumineux, puis quelques temps apr�s, il observe une forme noire qui pourrait correspondre � un avion. L'objet parait statique et semble d�verser une mati�re, qui pourrait �tre un m�lange de fum�e et d'eau. Le t�moin arrive sous l'engin observ� et fait des photos et une vid�o. Il constate alors une forme triangulaire et deux grandes ailes. Une lumi�re rouge est pr�sente au centre de l'objet, qui finit par disparaitre de la vue du t�moin.
L'objet observ� a �t� identifi� comme �tant un A380 observ� dans des conditions particuli�res (Flight Number : SQ336 -SQ336 9V-SKF-Call Sign : SIA336-Airbus A380-841-De Singapour � CDG) : voir le compte-rendu d'enqu�te joint.
L'�tranget� engendr�e par la stabilit� ou faible vitesse du PAN (au moins sur une partie de l'observation) r�sulte d'un effet pivot : comme le t�moin et l'avion �voluent dans des directions � composantes contraires, l'axe de vis�e entre le t�moin et le PAN tend � pivoter au voisinage d'un point fixe o� le t�moin, qui ne peut appr�cier l'�volution de distance, croit voir quasi-stationn� le PAN.
Le t�moin a pens� que de la mati�re se d�versait du PAN alors qu'en r�alit� il s'agissait des train�es de condensation intermittentes car l'avion �voluait en altitude et rencontrait des conditions variables de formation de train�es. Nous vous invitons � d�couvrir les vid�os de train�es d'un A380 en suivant les liens internet mis en page 18 du compte-rendu d'enqu�te.
Une autre �tranget� r�sultait des brillances variables en intensit� et couleur du PAN. L'avion r�fl�chit vers le t�moin l'�clairement du soleil (qui lui n'est pas visible du t�moin). Ce reflet est variable voire intermittent en fonction de l'�volution g�om�trique (c'est telle ou telle partie de l'avion qui fait le reflet). Comme l'avion descend, le soleil vu de l'avion se rapproche de l'horizon et devient rouge�tre (couch� de soleil rapide vu de l'avion) et le reflet sur l'avion se colore aussi. Tous ces ph�nom�nes de reflet ont pu �tre reconstitu�s par simulation.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation d'un avion de ligne.";"Automobiliste observant dans le ciel un point lumineux puis une forme noire semblant d�verser de la mati�re : observation d'un avion de ligne et des train�es de condensation intermittentes .";O;;;;;;;;;2017-06-01;;;0.05;0.00;;;0.80;;0.80;;0.70;0.00;A;A;2016-03-09433
4030;"PLOUESCAT (29) 03.04.2016";Finist�re;29;"(D) D�partement";2016;04;03;"Le 3 avril 2016 � 22h10 un t�moin, sur le pas de sa porte, est intrigu� par un ph�nom�ne fortement lumineux vu � droite du clocher de l'�glise de son village. Le ph�nom�ne �met des lumi�res de couleurs (bleu puis rouge). Aucun bruit n'est entendu. Le ph�nom�ne finit par �tre perdu de vue � 22h45. Le t�moin fait deux photographies. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a vu Sirius. A �l�vation basse et selon certaines conditions atmosph�riques, les lueurs de SIrius peuvent �tre variables en couleur et trompeuses.
La reconstitution g�om�trique � partir de la photo du t�moin et du lieu estim� de la prise de vue permet en effet de retrouver � 1 ou 2 degr�s une co�ncidence entre Sirius et le PAN. Par ailleurs la trajectoire du PAN (sens et vitesse) telle que d�crite par le t�moin est tout � fait en ligne avec celle de Sirius.
La possibilit� alternative d'une lanterne, qui aurait pu tr�s bien �tre lanc�e en soir�e dominicale, est � �liminer. En effet, cela aurait voulu dire que le t�moin n'a pas vu Sirius et que ce dernier est cach� par un nuage alors que t�moignage indique un ciel clair. Le vent ce jour l� (infoclimat) est compatible du sens de d�placement mais avec une intensit� (10 km/h) donnant une vitesse angulaire de d�placement � 200 m d'altitude et � 600 m de distance (calcul�e d'apr�s l'�l�vation) beaucoup plus grande et sans commune mesure avec l'observation (quand bien m�me le vent serait 10 fois moins intense que ce que donne la station m�t�o � quelques km de l�).
En cons�quence le GEIPAN classe cette observation en A : Sirius.";"Longue observation de nuit d'un ph�nom�ne lumineux de couleurs dans le ciel d�gag� : m�prise astronomique avec Sirius.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.83;;0.58;0.00;A;A;2016-04-09430
3235;"METZ (57) 01.08.2013";Moselle;57;"(D) D�partement";2013;08;01;"Le 1er ao�t 2013 � 0h40 deux personnes sont intrigu�es par la pr�sence au-dessus d'un arbre d'une boule orange clignotante qui s'�l�ve ensuite dans le ciel d�gag� et sera cach�e par un immeuble voisin. Aucun bruit particulier n'est entendu. Un seul t�moignage est recueilli.
La description du t�moin est tout � fait conforme � l'observation d'une lanterne tha�, assez banale les nuits d'�t� en ville : boule orange traversant le ciel d'Ouest en Est de fa�on continue, et baissant d'�clat � la fin.
Mais la direction du vent, de Nord, donc perpendiculaire au trajet observ�, ne permet pas de valider cette hypoth�se. Le vent est tr�s faible (1 � 4 km/h), on peut alors penser � une brise locale orient�e diff�remment.
Faute d'information m�t�orologique tr�s locale, ce cas est class� ""C"" par manque d'informations.";"Observation du passage silencieux dans le ciel d'une boule orang� : manque d'inforamtions.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-08-08513
3236;"SAINT-LEGER-AUX-BOIS (76) 31.08.2013";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2013;08;31;"Le 31 ao�t 2013 vers 23h30, un t�moin observe depuis le seuil de sa porte un point tr�s brillant blanc parmi les �toiles. Durant l'observation le t�moin constate que l'intensit� lumineuse varie (augmentation puis diminution) et que l'objet se d�place en ligne droite montante pour disparaitre de sa vue. Un seul t�moignage est recueilli.
D'�tranget� faible et de consistance moyenne (t�moin unique mais t�moignage assez pr�cis), ce cas s'av�re �tre l'observation d'un ph�nom�ne astronautique rare mais parfaitement connu : un reflet du soleil sur le satellite Iridium 95, appel� flash ou flare (voir la note d'enqu�te et Flash des satellites Iridium ?).
Ce cas est class� A, m�prise avec un flash du satellite Iridium 95.";"Observation d'un point tr�s brillant dans le ciel avec variation d'intensit� et d�placement : m�prise avec un flash du satellite Iridium 95.";O;;;;;;;;;2016-06-21;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;A;A;2013-08-08515
3237;"CHANOS-CURSON (26) 29.08.2013";Dr�me;26;"(D) D�partement";2013;08;29;"Le 29 ao�t 2013 � 19h45 un automobiliste est surpris de constater deux ph�nom�nes lumineux non loin du soleil couchant. Il prend le temps de s'arr�ter pour photographier le ph�nom�ne.
Ce t�moignage est d'une tr�s bonne consistance: pr�cis et avec 5 photos exploitables.
Compte tenu des �l�ments de l'enqu�te, � savoir :
- aspect, couleur des PANs.
- soleil bas sur l'horizon et PANs � la m�me hauteur.
- pr�sence de nuages propices � la formation de parh�lie, nous pouvons conclure que le PAN observ� par les t�moins est tr�s certainement un ph�nom�ne de parh�lie. L'observation est finalement tr�s peu �trange car les objets sont facilement explicables et leur pr�sence d�montrable.
Ce cas est � classer en � A � comme observation certaine d'un parh�lie.";"Observation de deux boules lumineuses � proximit� du soleil couchant : observation certaine d'un parh�lie.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.10;0.00;;;;;;;0.90;0.00;A;A;2013-08-08517
3238;"VINCELLES (71) 02.08.2013";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";2013;08;02;"Le vendredi 2 aout 2013 vers minuit une famille en voiture est intrigu�e par le d�placement silencieux et rapide d'une boule orange vif dans le ciel d�gag�. L'objet disparaitra cach� par le paysage.
L'observation d'une boule orange se d�pla�ant lin�airement un soir de week end fait penser � une lanterne tha�landaise. On note � ce moment l� � M�con un Vent de Sud 4 � 19km/h : m�t�o.
Le t�moin est surpris de la vitesse du ph�nom�ne : si une lanterne vole r�ellement � 19km/h en ligne doite, il peut �tre difficile de la suivre en voiture.
Le cas est class� ""B"" : probable observation d'une lanterne thailandaise.";"Observation du d�placement silencieux et rapide d'une boule de couleur orang� dans le ciel : probable observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-08-08521
3239;"VIRE (14) 10.08.2013";Calvados;14;"(D) D�partement";2013;08;10;"Le samedi 10 ao�t 2013 vers 19h30 plusieurs personnes sont intrigu�es par le passage sans bruit d'un objet sombre en forme de cigare dans le ciel. Il vole dans le vent et se d�place assez vite juste en-dessous des nuages. L'observation discontinue dure de 15 � 20 secondes.
Les t�moignages sont tr�s pr�cis, et les t�moins tr�s fiables. L'�tranget� du ph�nom�ne est moyenne. En effet, si aucune hypoth�se ne parvient � l'expliquer en tenant compte des �l�ments pr�cis relat�s par les t�moins, le ph�nom�ne pourrait correspondre � un avion ou � un drone si les conditions d'observation ont emp�ch� les t�moins d'en apercevoir certains �l�ments caract�ristiques, ou bien � un objet port� par le vent (ballon en forme d'avion).
Les �l�ments collect�s lors de l'enqu�te n'ont pas permis d'aboutir � une identification certaine ni approximative du ph�nom�ne, qui reste moyennement �trange. Dans l'�tat actuel des informations disponibles, ce cas est class� en cat�gorie C, par manque d'informations pr�cises sur l'estimation de distance et du vent.";"Observations dans le ciel des d�placements rapides d'un objet allong� de couleur m�tallique et aux ailes sombres : manque d'informations.";O;3;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-08-08522
3240;"NOTRE-DAME-DES-LANDES (44) 05.08.2013";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2013;08;05;"Le 05 ao�t 2013 � 23h14 un couple observent le passage d'un point tr�s brillant dans le ciel.
Cette observation d'un point tr�s lumineux traversant le ciel d'Ouest en Est en d�but de nuit a toutes les caract�ristiques de l'observation d'un gros satellite : on note ce soir-l� le passage de la station spatiale internationale (ISS) pr�cis�ment � cette heure-l� : de 23h11 � 23h16 (voir le relev� Calsky). Le fait que le t�moin indique que la lumi�re ""par moment semblait d�vier de sa trajectoire"" est probablement la cons�quence d'une illusion de perception visuelle : voir perception du mouvement d'un point lumineux dans le ciel
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation du passage de l'ISS.";"Observation du d�placement O-E d'un point lumineux dans le ciel : observation du passage de l'ISS.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-08-08524
3241;"COMPIEGNE (60) 09.08.2013";Oise;60;"(D) D�partement";2013;08;09;"Le 9 aout 2013 � minuit plusieurs personnes regardent les �toiles filantes et sont �tonn�es de voir un objet triangulaire de couleur gris clair se d�placer NE-SO � basse altitude et sans bruit. Un seul t�moignage succinct est recueilli.
Ce t�moignage est d'une tr�s faible consistance : peu pr�cis et d�taill� et manquant par ailleurs de donn�es primordiales et n�cessaires pour la suite de l'�tude. Le t�moin oculaire est unique et sans documents photo ou vid�o. L'observation pourrait �tre moyennement �trange, cependant, trop d'impr�cisions et de lacunes dans le t�moignage emp�chent de juger de fa�on v�ritablement valide son �tranget�.
Compte tenu des �l�ments d�finis dans le compte rendu d'enqu�te ci-joint, le GEIPAN classe ce cas C par manque d'information.";"Observation du passage dans le ciel d'un objet gris clair triangulaire : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.50;0.00;;;;;;;0.30;0.00;C;C;2013-08-08525
3242;"CHATEAUNEUF-DU-FAOU (29) 11.08.2013";Finist�re;29;"(D) D�partement";2013;08;11;"Le 11 aout 2013 vers minuit un t�moin observe dans le ciel d�gag� plusieurs objets de couleur orang� se distinguant des �toiles. Leur d�placement E-SE est lent et le t�moin fait plusieurs photographies.
La description du t�moin est tout � fait conforme � l'observation de lanternes tha�landaises, assez banales les nuits d'�t� en ville : lumi�res rondes orang�es volant de fa�on continue. Les objets partent vers l'Est Sud-Est : le relev� m�t�o de Quimper indique un l�ger vent d'Ouest, globalement compatible avec le d�placement des obbjets port�s par le vent. m�t�o.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du lent passage de plusieurs lumi�res orang�es dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-08-08526
3243;"METZ (57) 05.08.2013";Moselle;57;"(D) D�partement";2013;08;05;"Le 5 aout 2013 entre 23h et 23h20, un t�moin observe dans le ciel orageux le d�placement de 5 lumi�res de couleur jaun�tre, semblant vaciller. Leur d�placement est rapide. Les lumi�res virent vers la gauche, et disparaissent de la vue du t�moin. Quelques secondes plus tard, une nouvelle lumi�re appara�t et suit le m�me parcours.
Ce t�moignage est de grande qualit�, d�crivant au mieux les positions des objets observ�s. La description du t�moin est tout � fait conforme � l'observation de lanternes tha�landaises, assez banales les nuits d'�t� en ville : boules orange volant de fa�on continue. Les objets, observ�s au Sud-Sud-Est partent vers l'Est. Mais la direction du vent, de Nord-Ouest, n'est pas exactement conforme au trajet observ� ; on peut penser � des pertubations locales d�es � la Moselle, tr�s proche, et � la coline de Plappeville juste � l'Ouest du t�moin. Vent relev� � Metz : de Nord Ouest 16 � 30 km/h : m�t�o.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage de plusieurs lumi�res jaun�tres group�es dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-08-08527
3244;"SAINT-DENIS (97) 25.08.2013";"La R�union";974;"(D) D�partement";2013;08;25;"Le dimanche 25 aout 2013 entre 19h30 et 19h45 un t�moin observe depuis son balcon deux ph�nom�nes lumineux successifs dans le ciel qu'il ne reconnait pas.
L'observation d'une grosse lumi�re rouge dans le ciel pendant 2 minutes, se d�pla�ant lentement, peut �tre l'observation d'une lanterne tha� se d�pla�ant dans le vent vers le t�moin (vent d'Est dominant sur l'�le de la R�union).
La forte lumi�re blanche vent de la mer peut �tre un satellite : les pr�visions Calsky (jointes) indique le passage du satellite ""USA 217/STPSat-2"" sur une trajectoire compatible � l'heure donn�e : toutefois la luminosit� indiqu�e par le t�moin n'est pas coh�rente avec la faible luminosit� pr�dite par le mod�le Calsky (Magnitude entre 5 et 8) mais un reflet n'est pas exclu. Il peut aussi s'agir d'un autre satellite militaire non repertori�, plus lumineux.
Ces deux hypoth�ses, bien que plausibles, ne sont pas assez consolid�es pour que le GEIPAN les adopte comme tr�s probables.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" cette observation peu �trange, faute d'informations pour consolider ces hypoth�ses.";"Observation du d�placement de deux ph�nom�nes lumineux dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-12-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-08-08529
3245;"NICE (06) 21.08.2013";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2013;08;21;"Le mercredi 21 ao�t 2013 � 9h46, un promeneur est intrigu� par une lumi�re de forte intensit� dans le ciel d�gag� au-dessus de la mer. La luminosit� diminue progressivement avant de disparaitre. L'observation aura dur� entre 20 et 25 minutes. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne brillant et silencieux.
Condition astronomique : Soleil : azimuth : 104� �l�vation 32�. Conditions atmosph�riques : Vent de NO soutenu : de 19 � 28 km/h, et ciel d�gag�
L'observation en d�but ou fin de journ�e, pendant 20 minutes, d'un point lumineux presque immobile dans le ciel, �voque nettement un ballon � haute altitude.
Le GEIPAN n'a pas pu v�rifier cette hypoth�se, qui correspond pourtant bien � l'observation. Il n'y a pas de l�cher r�gulier de ballon m�t�o depuis Nice ou les environs, mais plusieurs instituts scientifiques sont susceptibles d'en l�cher dans la r�gion Sud-Est ou en Italie. Il est extr�mement complexe de mod�liser le d�placement d'un ballon � haute altitude car les vents � haute alttitude, souvent tr�s puissants, sont diff�rents des vents au sol.
Le GEIPAN classe ce cas d'observation peu �trange ""B"" comme �tant probablement un ballon sonde.";"Longue observation de la pr�sence silencieuse d'une boule lumineuse dans le ciel : probable observation d'un ballon sonde.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-08-08533
3246;"GAUDE (LA) (06) 16.08.2013";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2013;08;16;"Le 16 ao�t 2013 � 13h33 trois personnes sont intrigu�es par le passage silencieux d'un objet gris- m�tal dans le ciel. Un seul t�moignage est recueilli.
D'apr�s les d�clarations du t�moin qui observe en direction du ""Baou"" (le sommet Baou des blancs) situ� � l'ouest de La Gaude, il voit l'objet voler de sa gauche vers sa droite, donc du Sud vers le Nord ; il le voit s'�lever. L'observation dure environ 4 minutes.
Cette direction de d�placement est compatible avec le vent de Sud qui souffle � environ 18 km/h. Si c'est un objet port� par le vent, il aura parcouru un peu plus d'1 km. Si l'on prend l'hypoth�se d'un ballon de 2 m�tres (ex : ballon solaire artisanal Vol de ballons solaires), l'analyse g�om�trique de la photo le positionne � environ 700m (cf schema). Il peut aussi faire 4m et �tre � 1,4 km. L'origine de ce ballon n'a pas pu �tre d�termin�e par le GEIPAN : pas de f�tes notables dans l'environnement Sud du t�moin. Il peut s'agir d'un objet exp�rimental fait par un amateur, ou d'un objet festif (on peut imaginer la forme d'un ""1"").
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'un ballon d'origine inconnue.";"Observation du d�placement silencieux d'un objet gris-m�tal dans le ciel : observation probable d'un ballon d'origine inconnue.";O;1;;;;;;;;2014-09-01;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-08-08534
3247;"WAVRIN (59) 02.08.2013";Nord;59;"(D) D�partement";2013;08;02;"Le 2 Aout 2013 � 23h08, un t�moin et sa femme, qui roulent en voiture (voir carte), observent dans le ciel d�gag�, quatre points lumineux rouge-orange, qui finissent par s'�teindre les uns derri�re les autres.
Le relev� Meteociel indique un l�ger vent d'ouest m�t�o.
L'observation de points lumineux dans le ciel durant quelques minutes un samedi soir �voque nettement des lanternes tha�landaises. Etant donn� la configuration des lieux, les objets s'�loignaient lentement des t�moins vers l'Est.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation en voiture de la pr�sence de quatre lumi�res rouge-orange dans le ciel d�gag� ; extinction successive des lumi�res : probable observation de lanternes thailandaises.";O;2;;;;;;;;2014-05-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-08-08535
3248;"BEAULIEU (38) 20.08.2013";Is�re;38;"(D) D�partement";2013;08;20;"Le 20 aout 2013 � 22h40, trois personnes observent le passage silencieux dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux orang�.
L'observation d'une boule orange se d�pla�ant silencieusement dans le ciel fait penser � une lanterne tha�landaise. Les relev�s m�t�o de Grenoble et Lyon indiquent un vent soutenu de Nord meteo Ce vent est coh�rent avec le d�placement observ� du Nord-Ouest vers le Sud-Est.
La vid�o est tout � fait conforme � cette hypoth�se. Ces lanternes sont plus souvent lanc�es les week-end, mais les f�tes en semaine l'�t� ne sont pas rares (mardi dans ce cas-ci).
Cette observation, tr�s peu �trange, est class�e ""B"" comme probable observation de lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux orang� dans le ciel : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-08-08536
3249;"[A62] de VALENCE-D'AGEN (82) vers TOULOUSE (31) 11.08.2013";Tarn-et-Garonne;82;"(D) D�partement";2013;08;11;"Sur l'autoroute A62 entre Agen et Toulouse, le 11 ao�t 2013 vers 7h, un automobiliste et son passager observent durant une vingtaine de minutes la pr�sence d'un point lumineux blanc qui semble statique, suivi de deux train�es blanches formant un triangle sans base au nord-est dans le ciel. La voiture d�passe finalement le ph�nom�ne et les t�moins perdent de vue le PAN. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce t�moignage est d'une bonne consistance: pr�cis mais sans photographies ni vid�os. L'observation est tr�s peu �trange ; il s'agit d'un objet ayant un comportement et une apparence finalement banals. Compte tenu des �l�ments d�finis dans le compte rendu d'enqu�te (voir le document), � savoir la m�t�orologie propice � la formation ou � l'absence de formation de condensation en haute altitude ainsi qu'� l'apparence conforme � celle de cas photographi�s similaires et se produisant dans les m�mes conditions, ce cas est class� en � A �. C'est une observation certaine d'un avion de ligne avec de courtes tra�n�es de condensations.";"Longue observation de la pr�sence d'un point lumineux blanc qui semble statique, suivi de deux train�es blanches formant un triangle sans base : observation certaine d'un avion de ligne avec de courtes tra�n�es de condensations.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-08-08537
3250;"PONT-AUDEMER (27) 13.08.2013";Eure;27;"(D) D�partement";2013;08;13;"Ce t�moignage fait �tat de points lumineux fixes pr�sents chaque soir dans le ciel, sans autre pr�cision. Mais aussi d'un ph�nom�ne lumineux bref ce 13 ao�t 2013 ; seul ce dernier ph�nom�ne a �t� consid�r�, faute d'informations pr�cises pour les premiers ph�nom�nes, tr�s probablement li�s aux �toiles.
Une forte lumi�re se d�pla�ant � grande vitesse dans le ciel pendant 2 secondes �voque nettement un bolide, c'est-�-dire la rentr�e dans l'atmosph�re d'un d'un fragment d'ast�ro�de (m�t�oro�de) ou d'un d�bris de satellite.
Une cam�ra automatique du r�seau des observateurs de m�t�ores BOAM est situ�e � May-sur-Orne, � environ 65 km du lieu de cette observation. Elle a enregistr� de nombreux bolides durant cette nuit l�, en pleine p�riode de l'essaim m�t�oritique des Pers�ides. On trouve 3 bolides correspondant approximativement � l'observation dans une tranche de 5 minutes autour de l'heure d'observation d�clar�e (2h35 locales).
Le GEIPAN classe cette observation ""A"" : bolide, c'est-�-dire la rentr�e dans l'atmosph�re d'un fragment d'ast�ro�de (m�t�oro�de) ou d'un d�bris de satellite.";"Observation du d�placement rectiligne d'une forte lumi�re dans le ciel : rentr�e dans l'atmosph�re d'un fragment d'ast�ro�de (m�t�oro�de) ou d'un d�bris de satellite.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-08-08539
3251;"[AERO SNA-SE] METZ (57) 21.08.2013";Moselle;57;"(D) D�partement";2013;08;21;"Le t�moin, pilote d'un CESSNA150, volant au SO de Metz, (vol de Colmar � Li�ge), observe un objet de petite taille de forme ovo�de et de couleur jaune se d�pla�ant � haute vitesse au Nord-Ouest, � m�me altitude, du Nord vers le Sud. La dur�e de l'observation n'est pas pr�cis�e.
Comme la distance d'un objet inconnu ne peut �tre estim�e, l'altitude estim�e par l'observateur est incertaine : il peut s'agir d'un objet tr�s lumineux et tr�s lointain, � plus haute altitude : ce serait alors une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de (m�t�orite) ou de d�bris spatial. Les catalogues de rentr�es de d�bris spatiaux (Space-Track) ne mentionne pas de rentr�e ce jour l�.
Comme l'observation a eu lieu de jour, on peut aussi envisager un reflet du soleil sur un autre a�ronef. Faute d'informations permettant de consolider l'une de ces hypoth�ses, le GEIPAN classe ce cas ""C"".";"Observation en vol d'un objet ovo�de et de couleur jaune se d�pla�ant � grande vitesse : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;B;C;2013-08-08541
3252;"VILLERUPT (54) 13.08.2013";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2013;08;13;"Le 13 aout 2013 aux environs de 20h un t�moin aper�oit un point brillant dans le ciel qui se d�place selon une trajectoire rectiligne. La vitesse est faible et la magnitude constante. L'objet se met a briller avec une forte intensit�.
D'�tranget� moyenne, mais de consistance suffisante (nombreux d�tails coh�rents et pr�cis permettant de cr�dibiliser le cas), ce cas s'av�re �tre une m�prise classique avec un ph�nom�ne de type reflet satellitaire. Une recherche plus pouss�e a permis de d�terminer le satellite qui est tr�s probablement � la source de cette m�prise : le satellite militaire russe COSMOS 2268 de type Strela3, hors-contr�le. Apr�s recherche, le t�moin lui-m�me a d'ailleurs valid� et confirm� cette hypoth�se.
Ce cas est class� A : ph�nom�ne de reflet satellitaire, impliquant l'ancien satellite Cosmos 2268.";"Observation du passage d'un point brillant dans le ciel d'intensit� variable : ph�nom�ne de reflet satellitaire, impliquant l'ancien satellite Cosmos 2268.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-08-08542
3253;"BIARRITZ (64) 12.08.2013";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2013;08;12;"Le 12 aout 2013 � 0h08 toute une famille observe le d�placement silencieux de trois boules tr�s lumineuses : les deux premi�res suivent une trajectoire lin�aire puis montent vers le ciel d�gag�, la troisi�me se d�place au-dessus des maisons en changeant de couleur. Les trois ph�nom�nes disparaissent en m�me temps.
Ce t�moignage de boules lumineuses orange ou de couleur, se d�pla�ant lentement dans le ciel, correspond nettement � l'observation de lanternes tha�landaises. Le relev� m�t�o du jour indique un vent faible variable, plut�t orient� du Sud ouest au moment de l'observation, ce qui correspond au d�placement global constat� vers l'Est. Le d�placement irr�gulier n'est pas surprenant par vent faible en zone urbaine bord de mer, du fait de la complexit� des divers courants a�riens d'origine urbaine, thermique ou marine. La vid�o post�e quelques temps sur You Tube �tait absolument conforme � cette hypoth�se.
Le lieu touristique, la p�riode de l'�t�, et l'heure sont tout � fait propices au l�cher de lanternes lors des f�tes. Le t�moin n'est pas convaincu de cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de lanternes tha�landaises.";"Observation des d�placements de trois boules lumineuses dans le ciel d�gag� : observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-08-08543
3255;"BARBASTE (47) 08.08.2013";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";2013;08;08;"Le 8 ao�t 2013, un t�moin en colonie de vacances fait avec un ami des observations astronomiques. Il relate une de ses observations durant laquelle aux environs de 22h30 il a aper�u dans le ciel deux points lumineux se d�pla�ant sur une trajectoire rectiligne en cligotant.
Ce rapport d'observation tr�s bien renseign� �voque nettement l'observation de satellites.
Une consultation du site Calsky permet d'envisager deux hypoth�ses :
-Le passage de l'ISS � 22h27 : mais la station internationale est bien plus brillante que les �toiles, et ceci explique difficilement les 2 points lumineux. L'ISS est pass�e au Sud de l'�toile polaire, alors que le t�moin d�crit les objets au Nord.
-Le passage des deux satellites militaires NOSS 2-1B et 1C � 22h37, moins lumineux, mais susceptibles de renvoyer irr�guli�rement la lumi�re du soleil et de produire l'effet d�crit par le t�moin. Leur trajectoire correspond tr�s bien � l'observation du t�moin.
C'est cette hypoth�se que le GEIPAN retient, malgr� un �cart de 7 mn par rapport au t�moignage.";"Observation du d�placement de deux points lumineux clignotant : probable observation du passage de deux satellites militaires.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-08-08545
3259;"CHALMAZEL (42) 31.08.2013";Loire;42;"(D) D�partement";2013;08;31;"Le 31 aout 2013 entre 22h40 et 23h un astronome amateur, observant le ciel avec deux amis depuis CHALMAZEL (42), remarque des sursauts d'une lumi�re blanche dans la constellation de P�gase. Deux autres personnes ont �t� t�moin du PAN, mais n'ont pu �tre interrog�es.
D'�tranget� faible et de consistance moyenne (plusieurs t�moins, mais un seul t�moignage), ce cas s'av�re �tre une m�prise probable avec un satellite � tr�s haute altitude en rotation rapide (voir les notes d'enqu�te).
De plus, au moins 7 satellites � tr�s haute altitude sont pr�sents dans le secteur d'observation, dans l'intervalle de temps donn� par le t�moin.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (�tonnement, observation de seulement 4 flashs de courte dur�e).
Ce cas est class� B, m�prise probable avec un satellite � tr�s haute altitude en rotation rapide.";"Observation de sursauts d'une lumi�re blanche dans la constellation de P�gase : m�prise probable avec un satellite � tr�s haute altitude en rotation rapide.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;A;2013-08-08552
3260;"PONTARLIER (25) 17.08.2013";Doubs;25;"(D) D�partement";2013;08;17;"Le 17 aout 2013 vers 23h deux personnes sont intrigu�es par la pr�sence d'une lumi�re tr�s brillante qui se d�place silencieusement dans le ciel selon une trajectoire rectiligne.
La description du ph�nom�ne correspond tout � fait � l'observation de la Station spatiale internationale.
Le relev� des passages de cette station (source Calsky.com) indique qu'elle �tait bien visible ce soir l� depuis Pontarlier � 23h15, ce qui correspond � l'heure indiqu�e par le t�moin (heure approximative, selon le t�moin).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de l'ISS.";"Observation du d�placement silencieux et rectiligne d'une lumi�re dans le ciel : observation du passage de la Station Spatiale Internationale (ISS).";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-08-08562
3261;"STRASBOURG (67) 30.08.2013";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2013;08;30;"Le 30 aout 2013 aux environs de 22h30 un t�moin observe une dizaine de secondes le d�placement silencieux d'un point bleu, de la taille d'une balle de tennis, descendant du ciel avec une trajectoire en S. Pendant la descente, les couleurs passent du bleu, au rouge, au vert puis au jaune. La lumi�re s'�teint soudainement.
Compte tenu des �l�ments recueillis, en particulier :
- pas d'informations pr�cises sur la trajectoire du PAN.
- pas d'informations pr�cises non plus sur les caract�ristiques lumineuses, colorim�triques du PAN.
- absence de mesures angulaires.
Nous pouvons conclure que le manque d'information ne permet pas de trancher en faveur d'une quelconque hypoth�se.
Ce cas est class� en � C � comme observation d'un ph�nom�ne non identifiable en l'�tat, le manque important d'�l�ments ne permettant pas d'�tablir un avis solide.
Ce t�moignage est d'une faible consistance : bien qu'un croquis existe, il reste peu pr�cis et d�taill� et manque par ailleurs de donn�es primordiales et n�cessaires pour la suite de l'�tude. T�moin oculaire unique ayant t�moign� et pas de documents photo ou vid�o.
L'observation pourrait �tre moyennement �trange, cependant, trop d'impr�cisions et de lacunes dans le t�moignage emp�chent de juger de fa�on v�ritablement valide son �tranget�.";"Observation du d�placement en S d'un point multicolore dans le ciel nocturne : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.50;0.00;;;;;;;0.50;0.00;C;D1-;2013-08-08563
3262;"BOULOU (LE) (66) 24.08.2013";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2013;08;24;"Le samedi 24 ao�t 2013 � 22h en prenant des photographies des t�moins sont intrigu�s par la pr�sence d'une sph�re � gauche de la Lune. Le t�moin prend une photo sur laquelle il constate a post�riori une deuxi�me sph�re.
Sur la photo du t�moin, on observe bien la Lune : petit disque blanc ""gibbeux"" (voir carte Stellarium).
Les deux gros disques lumineux � gauche sont des artefacts photographiques, appel�s quelquefois ""orbes"", cr��s par des poussi�res ou gouttes d'eau tr�s proches de l'objectif, et �clair�s par le flash.
Ceci n'explique donc pas la deuxi�me grosse boule lumineuse observ�e de ses yeux par le t�moin � gauche de la Lune : halo lunaire ? Lampadaire du stade (voir photo Google) ? Autre ph�nom�ne ? Du fait de ce doute, et de l'absence de preuve apport�e par la photo, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.";"Observation de sph�res dans la nuit et sur une photographie : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-08-08569
3263;"BASTIA (20) 05.08.2013";Corse;20;"(D) D�partement";2013;08;05;"Le 5 aout 2013 vers 23h50 plusieurs t�moins sont intrigu�s par les d�placements N-S et silencieux de cinq points lumineux � l'horizon au-dessus de la mer.
Suite � l'enqu�te � l'aviation civile, il a �t� envisag� une seule hypoth�se : le passage d'un avion de ligne long courrier, le vol PARIS-BASTIA de AIR CORSICA, vol 514 AT. Cet avion avait un tr�s gros retard puisqu'il aurait d� atterrir � 23h00, or il a atterri exactement � 00h02 � l'a�roport de BASTIA-PORETTA situ� au sud de BASTIA (donc passage au large de BASTIA entre 23h40 et 23h55). Les 5 lumi�res blanches vues par les t�moins peuvent �tre les feux de position et les phares d'ailes de cet Airbus A 320, lesquelles lumi�res ont �volu� dans leur position lorsque l'avion a tourn� et entam� sa descente pour se placer par rapport � la piste d'atterrissage. Il peut �tre possible alors qu'il y ait eu allumage en approche de l'a�roport des phares d'atterrissage, ce qui a pu modifier la vision des t�moins sur la � g�om�trie � des lumi�res.
Si le ph�nom�ne observ� n'�tait pas le vol AT 514, il aurait attir� l'attention du contr�le a�rien de l'a�roport qui �tait sur le qui-vive, vu que le vol AT 514 �tait le dernier en approche de l'a�roport de Bastia-Poretta.
La gendarmerie des transports a�riens n'a rien remarqu� d'anormal et n'a rien signal�. Aucun article n'est paru dans la presse locale les jours suivants. Nous n'avons pu trouver aucun autre t�moin de ce ph�nom�ne.
En conclusion, le GEIPAN classe ce cas � A � : observation du vol AT514 en phase d'atterrissage.
Le t�moin aura �t� surpris du fait des conditions tout � fait particuli�res d'observation, sur le toit d'un immeuble, � quelques kilom�tres de la trajectoire de l'avion s'appr�tant � atterrir.";"Observation du d�placement particulier de lumi�res sur l'horizon : observation du vol AT514 en phase d'atterrissage.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-08-08571
3264;"SAINT-ANDRE (66) 04.08.2013";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2013;08;04;"Le 4 aout 2013 par une nuit tr�s chaude, un t�moin (heure estim�e � 3 ou 4h du matin) prend une photo des orages au loin avant de se coucher (photo DSCN5593). Plus tard dans son sommeil, une lumi�re violente le r�veille ainsi que son �poux : tous les deux pensent � l'orage. Le t�moin sort sur le balcon et prend une deuxi�me photographie. C'est alors qu'il constate par un chapelet de traits lumineux blanc-jaune pr�sents sur la photographie (photo DSCN5594) et reste intrigu�.
Ce qui est vu par les t�moins ne cr�e pas d'�tranget� particuli�re. ""Mon �pouse a dit: ""les �clairs arrivent ici"". Nous avons constat� des traits lumineux interpr�t�s comme de la foudre""(voir le questionnaire).
L'�tranget� et objet du t�moignage semblent venir de ce qui est vu sur la photo DSCN5594. L'analyse de cette photo indique une pr�sence d'artefacts photographiques probablement caus�s par la dur�e de l'exposition (8 secondes) et le d�placement de l'appareil photo dans le champ de lumi�res, m�me d'intensit� mod�r�e, pr�sentes � proximit� avant la fin de l'exposition.
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en A : m�prise avec un artefact photographique.";"Observation d'un ciel orageux et constatation sur photographie de traits lumineux de couleur : m�prise avec un artefact photographique.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.20;0.00;;;0.60;;;;0.53;0.48;A;A;2013-08-08587
3265;"VALLOIRE (73) 12.08.2013";Savoie;73;"(D) D�partement";2013;08;12;"Le 12 ao�t 2013 entre environ 23h15 et 23h33 un t�moin observe une forte lumi�re scintillant lentement et irr�guli�rement � flanc de montagne. Elle se trouve � proximit� d'un endroit d'acc�s tr�s difficile, ce qui �tonne le t�moin. Le ph�nom�ne baisse d'intensit� et disparait.
Compte tenu des �l�ments du dossier d'enqu�te, � savoir que la zone d'observation est une zone d'activit�s humaines (acc�s aux t�l�si�ges de Valmenier) et que la couleur et l'apparence du PAN sont typiques de l'utilisation d'une lampe torche, nous pouvons conclure que le PAN observ� par le t�moin est tr�s probablement une puissante lampe utilis�e par une ou des personne(s) se trouvant sur place, pr�s des installations du t�l�si�ge.
Ce cas est class� en � B � comme observation tr�s probable d'une puissante lampe torche.";"Observation de nuit d'une forte lumi�re � flanc de montagne : observation tr�s probable d'une puissante lampe torche.";O;;;;;;;;;2015-07-31;;;0.20;0.00;;;;;;;0.90;0.00;B;A;2013-08-08592
3266;"PARAY-LE-MONIAL (71) 30.08.2013";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";2013;08;30;"Le t�moin, voulant faire un fil� d'�toile, r�gle son appareil photo en cons�quence. Le lendemain, il voit qu'il a ainsi captur� un objet lumineux rest� stable, contrairement aux autres �toiles, qui ont fil� pendant les 5 mn de temps de pose s�parant les prises de vue.
Un point lumineux sur une photo d'astronomie en pose longue r�v�le plus probablement un �v�nement lumineux bref, qu'un ph�nom�ne fixe durant les 5 minutes de la pose. Ce point lumineux s'av�re d'ailleurs �tre un petit trait, r�v�lateur d'un mouvement partiel durant les 5 minutes de pose.
L'hypoth�se privil�gi�e est le reflet du soleil sur un satellite : le rapport ""Calsky"" ci-joint indique que les satellites NOSS 3-3A et 3C passaient � ce moment dans le champ de vue de l'appareil photo, culminant � 27� au-dessus de l'horizon (il semblerait que le point sur la photo soit un peu plus haut). Il semble que le satellite NOSS 3 -3C (28541) voir :Satflare NOSS3-3Cpuisse avoir un �clat plus puissant et plus variable que NOSS3-3A (28537) voir : Satflare NOSS3-3A.
Le petit trait noir observ� sous le trait blanc en zoomant sur la photo est probablement un effet secondaire de la compression jpeg (""rebond"" de la ligne blanche : il est effectivement dommage que les photos ne soit pas faites en ""raw"".
Sur la photo des Pleiades ci-jointe, fortement agrandie on voit que chaque image d'�toile est entour�e d'une ligne noire : c'est le m�me artefact de compression.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : photographie probable d'un flare de satellite. (Il subsiste une incertitude sur le satellite origine du flare).";"Pr�sence d'un objet sur une photographie sans observation directe : photographie probable d'un flare de satellite.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-08-08975
3267;"CHAMPIGNY (89) 02.09.2013";Yonne;89;"(D) D�partement";2013;09;02;"Le 2 septembre 2013 � 12h45 un t�moin est intrigu� par le d�placement silencieux d'un objet dans le ciel. Il effectue quelques amorces de virages et appara�t rond et de forme oblongue selon l'angle de vision lors de ces amorces.
Compte tenu des �l�ments disponibles dans le rapport d'enqu�te, � savoir la pr�sence � proximit� d'un a�rodrome proposant des vols en autogyre, l'absence de signalisation lumineuse non obligatoire sur les autogyres, la forme et couleur compatibles et les d�placements et vitesses en grande partie compatibles, nous pouvons conclure que le PAN observ� par le t�moin est probablement un autogyre en phase ascensionnelle.
Ce t�moignage est d'une consistance moyenne : assez peu pr�cis avec de nombreuses impr�cisions, venant d'un t�moin unique et sans photo. L'observation est peu �trange car il pourrait s'agir d'un objet somme toute banal.
Ce cas est class� en � B � comme observation probable d'un autogyre.";"Observation du d�placement silencieux d'un objet rond ou oblong (selon les angles) de couleur fonc� mat dans le ciel : observation probable d'un autogyre.";O;;;;;;;;;2015-07-31;;;0.30;0.00;;;;;;;0.60;0.00;B;B;2013-09-08516
3268;"VILLOTRAN (60) 04.09.2013";Oise;60;"(D) D�partement";2013;09;04;"Le 4 septembre 2013 � partir de 23h45 deux t�moins observant le ciel sont intrigu�s par des ph�nom�nes lumineux ronds de couleurs vari�es qu'ils ne s'expliquent pas. Au total entre 2 et 30 ph�nom�nes sont aper�us. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce t�moignage complexe manque de pr�cisions, �tant donn� la longue s�quence d'observation (1heure environ).
Le t�moin, contact� au t�l�phone le 24 f�vrier 2014, a annonc� que l'autre t�moin enverrait aussi son rapport d'observation, mais le GEIPAN ne l'a toujours pas re�u en novembre 2014.
Ce dossier est class� ""C"" par manque d'information, en attente d'autres t�moignages.";"Observations successives dans la m�me soir�e de ph�nom�nes lumineux dans le ciel : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-09-08528
3269;"PIAN-MEDOC (LE) (33) 06.09.2013";Gironde;33;"(D) D�partement";2013;09;06;"Le 9 septembre 2013 � 22h02 ou � 22h03 un t�moin observe durant 5 secondes les �volutions de plusieurs ph�nom�nes lumineux blancs qui se d�placent silencieusement dans le ciel nuageux de fa�on lin�aire puis en tournant dans le sens inverse des aiguilles d'une montre et qui finissent par disparaitre. Un seul t�moignage est recueilli.
Des ronds blancs semblant projet�s sur les nuages et tournant en cercle, �voquent un projecteur d'animation qu'utilisent les discoth�ques. Le vendredi soir � 22H00 est habituel pour ce genre de promotion ; mais il ne semble pas y avoir de discoth�que � moins de 10 km du lieu d'observation (il y en a en proche banlieue de Bordeaux � 12 km, ou vers Blaye � 18 km, ce qui est loin pour que les projections soient bien visibles).
Malgr� la forte similitude avec l'effet d'un projecteur de type 'skyrose', mais faute d'avoir re�u d'autre t�moignage, et par manque de recoupements, le GEIPAN classe ce cas C : manque d'informations.";"Tr�s courte observation des �volutions de plusieurs ph�nom�nes lumineux blancs dans le ciel nuageux : manque d'informations.";O;1;1;;;;;;;2018-04-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-09-08532
3270;"SAINT-LOUBES (33) 08.09.2013";Finist�re;29;"(D) D�partement";2013;09;08;"Dans la nuit du 7 au 8 septembre 2013 � 1h25, un couple constate dans le ciel le d�placement Est-Ouest d'une trentaine de points lumineux de couleur blanch�tre. La vitesse est constante, aucun bruit, aucune train�e ni feux clignotants ne sont remarqu�s.
L'observation de dizaines de point lumineux volant ensemble en ligne droite la nuit du samedi au dimanche est assez commune, et �voque nettement des lanternes tha�landaises, probablement lanc�es � l'issue d'un mariage. On note que le t�moin observe � 800m du ch�teau Saint-Aignan, qui a organis� un repas de mariage ce soir l�.
Il n'est pas possible de corr�ler la direction de d�placement avec le vent relev� � Bordeaux-M�rignac � ce moment l� car le vent, tr�s faible, a chang� de direction au moins toutes les heures, et la proximit� de la Dordogne peut provoquer des brises locales.
Le GEIPAN classe ce cas 'B' : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement en groupe de nombreux points lumineux dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2018-02-22;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-09-08547
3271;"POISSY (78) 07.09.2013";Yvelines;78;"(D) D�partement";2013;09;07;"Le samedi 7 septembre 2013, (entre 13h10 et 13h40), un automobiliste roulant en direction du Nord-Est vers Poissy (78), observe un long cylindre blanc � 15� au-dessus de l'horizon. Il voit ce cylindre s'�loigner sur une trajectoire rectiligne puis disparaitre en direction de Poissy (78). Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Le relev� M�t�ociel indique un vent de Sud ouest � Toussus le Noble (au Sud Est de Poissy) et un vent d'ouest � Pontoise. On peut estimer un vent de SO � O � Poissy.
L'observation est compatible d'un ballon cylindrique port� par le vent : la forme cylindrique �voque un ballon thermique (ballon solaire) l�ch� d'Orgeval ou de Feucherolles, voire de bien plus loin, puisque ces ballons peuvent voler des heures. (On note le Forum des associations � Orgeval et � Feucherolles ce jour l�). Ces ballons sont souvent gris sombre ou transparents ; la couleur blanche peut �tre le produit d'un reflet du soleil, presque au zenith, sur l'objet.
Le GEIPAN classe ""B"" cette observation finalement peu �trange, comme �tant probablement celle d'un ballon. La faible �tranget� du cas ne justifie pas d'enqu�te de terrain, trop al�atoire en zone urbaine pour ce genre de ph�nom�ne.";"Observation du d�placement rectiligne dans le ciel d'un objet blanc de forme cylindrique : probable observation d'un ballon.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-09-08551
4573;"SOPPE-LE-BAS (68) 20.07.2013";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2013;07;20;"Le samedi 20 juillet 2013 � 1h 30 du matin, un t�moin est intrigu� par le passage silencieux dans le ciel de groupes de boules rouge fonc�. Le t�moin prend des photographies.
Ce t�moignage de boules rouge orang� se d�pla�ant en file indienne lors des nuits de week-end �voque nettement les lanternes thailandaises. Il est difficile de corr�ler leur d�placement, estim� d'Est en Ouest, avec le vent local, tr�s faible et variable d'une part, et par cons�quent incertain (vent relev� de Nord � Colmar, de Sud � B�le (voir meteo ceci peut expliquer le changement de direction.
Le t�moin, qui ignorait l'existence de ce type d'objet, s'est document� et a reconnu qu'il pouvait s'agir de lanternes.
Malgr� l'incertitude sur le vent local, le GEIPAN classe ce cas ""B"": observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage silencieux de groupes de boules lumineuses rouge fonc� : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-12-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-07-08553
4575;"PLOMBIERES-LES-BAINS (88) 08.09.2013";Vosges;88;"(D) D�partement";2013;09;08;"Le dimanche 8 septembre 2013 � 4h19, deux personnes sont intrigu�es par l'arriv�e successive dans le ciel de plusieurs lumi�res rouges tr�s brillantes qui se d�placent silencieusement dans la m�me direction. Un t�moin filme son observation et la diffuse sur un site internet d�di�.
Ce cas d'observation a fait l'objet d'une enqu�te de terrain par des enqu�teurs mandat�s par le GEIPAN.
L'horaire, la vid�o, le sens du vent, les t�moignages, les mesures, montrent qu'il s'agit bien de lanternes c�lestes. Le lieu du l�cher a �t� retrouv�, non sans mal. (voir le compte rendu d'enqu�te). Les t�moins sont de bonne foi mais se sont m�pris dans l'interpr�tation puisqu'ils ont d'abord �cart� l'explication des lanternes en se r�f�rant � leurs recherches sur Internet.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" parfaitement expliqu� par l'observation de lanternes tha�landaises l�ch�es lors d'une f�te priv�e.";"Observation du d�placement silencieux de cinq lumi�res rouges dans le ciel : observation de lanternes tha�landaises l�ch�es lors d'une f�te priv�e.";O;;;;;;;;;2013-10-07;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-09-08560
3274;"RAZES (87) 23.09.2013";Haute-Vienne;87;"(D) D�partement";2013;09;23;"Une automobiliste est intrigu�e par trois observations successives faites le 23 septembre vers 20h30. A la sortie de l'autoroute A20 le t�moin d�crit une grosse forme triangulaire avec trois lumi�res (rouge, jaune et bleue) � chaque extr�mit�. Un peu plus loin elle observe une autre forme similaire plus �loign�e. Et enfin au d�tour d'un virage elle apercevra une masse lumineuse ""patatoidale"" qui vole bas et lentement et autour de laquelle se trouve de petits triangles. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Ce cas repose sur 3 observations d'un t�moin isol�, durant un trajet d'une dizaine de kilom�tres en voiture. Le stress du t�moin augmente visiblement durant son r�cit. Les 2e et 3e observations peuvent donc avoir �t� influenc�es par l'observation du premier PAN qui a fortement impressionn� le t�moin.
Ces trois observations peuvent toutes faire l'objet d'hypoth�ses d'explications plausibles, mais aucune d'entre elles n'a pu �tre prouv�e (voir le compte rendu d'enqu�te). L'�tranget� de ce cas peut donc �tre estim�e � 0.5. La consistance du r�cit est faible : l'observatrice est isol�e au moment de son r�cit, m�me si elle croise d'autres v�hicules qui ne paraissent pas surpris par le PAN, ce qui �tonne d'ailleurs le t�moin. Elle a �t� tr�s �mue par ces observations lors de l'entretien, ce qui a pu perturber la pr�cision du r�cit. D'autre part, certaines incoh�rences du r�cit (pr�sence de la Lune) affaiblissent la consistance du PAN, �valu�e � 0.5.
En conclusion, � partir de ces �l�ments le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie C, par manque d'informations v�rifiables et de recoupements.";"Trois observations successives du d�placement de formes avec des lumi�res de couleur non clignotantes : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-09-08561
3275;"SAINT-GERMAIN-SUR-AY (50) 23.09.2013";Manche;50;"(D) D�partement";2013;09;23;"Le 23 septembre 2013 entre 20h10 et 20h25 une automobiliste sur la D650 entre Les Mezi�res et Saint-Germain-Sur-Ay (plage) est intrigu�e par deux points brillants dans le ciel : un point en particulier semble suivre une trajectoire rectiligne et s'�loigne � vistesse constante vers le NO. Le t�moin identifie parfaitement un avion avec sa train�e de condensation qui traverse son champs de vision. Le t�moin s'arr�te � deux endroits pour prendre plusieurs photographies du point lumineux.
Le t�moignage et les photos, de tr�s bonne qualit�, �voquent nettement l'observation d'une tra�n�e d'avion, lointaine, s'�loignant du t�moin. En zoomant les derni�res photos, le point lumineux s'av�re avoir une forme de flamme, qui est une vision en perspective d'une tra�n�e d'avion vivement �clair�e par le soleil couchant (couch� � 19h54).
On constate sur les restitutions r�alis�es avec FLightradar24 (ci jointes) que l'on peut trouver un et m�me deux avions candidats pouvant avoir provoqu� ces tra�n�es. (N.B. : l'estimation de direction d'observation du t�moin n'est pas assez pr�cise pour que l'on puisse �tre s�r que ce sont ces avions. D'autre part, FlightRadar24 n'indique que les avions civils �quip�s d'un certain type d'�quipements.) Voir d'autre cas similaires sur des trainees d'avions .
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation tr�s probable de tra�n�es de condensation d'avion, au soleil couchant.";"Observation du d�placement d'un point brillant dans le ciel : m�prise avec une train�e d'avion.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-09-08564
3276;"LEZIGNAN-LA-CEBE (34) 14.09.2013";H�rault;34;"(D) D�partement";2013;09;14;"Le samedi 14 septembre 2013 entre 23h45 et minuit deux t�moins sont intrigu�s par des ballets successifs de ronds lumineux blancs dans le ciel. Aucun bruit n'est entendu durant les observations.
L'aspect du ph�nom�ne fait nettement penser � un ""sky tracer"", syst�me de projection lumineuse utilis� pour les �v�nements festifs et les discoth�ques. Une discoth�que de P�zenas a confirm� avoir utilis� un de ces syst�mes exceptionnellement ce soir l� pour un �v�nement particulier.
On note que les t�moins ont vu le ph�nom�ne vers le Sud, et que le relev� de m�t�o de Montpellier indique pour ce soir l� un ciel nuageux, propice � de beaux effets de ce syst�me.
Ce cas est class� ""A"" : observation certaine d'une animation lumineuse de type"" sky tracer""";"Observations successives de ballets de ronds blancs lumineux dans le ciel : observation d'une animation lumineuse de type ""sky tracer"".";O;2;;;;;;;;2013-10-07;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-09-08566
3277;"SAINT-OUEN-L'AUMONE (95) 05.09.2013";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2013;09;05;"Le 5 septembre 2013 � 4h 29, un t�moin lors d'une pause sur son lieu de travail s'assoit � l'ext�rieur d'un b�timent. Il est alors surpris par une succession de cinq flashs blancs et puissants qu'il observe en direction d'une antenne relais GMS proche de lui. Aucun bruit particulier n'est entendu. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Apr�s une enqu�te de terrain avec le t�moin, l'enqu�teur du GEIPAN a analys� soigneusement plusieurs hypoth�ses : l'�clairement de la couche nuageuse par des flashs produits par le(s) pantographe(s) d'un train de passage sur la voie ferr�e courb�e situ�e � 2500m dans l'axe de vis�e de l'observateur semble rendre compte de la quasi-totalit� des caract�ristiques d�crites par le t�moin.
Le GEIPAN classe ce cas � B � : observation probable de flashs issus d'une locomotive �lectrique.";"Observation d'une succession de flashes lumineux blancs : probable observation de flashes issus d'une locomotive �lectrique.";O;1;;;;;;;;2014-11-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-09-08567
3278;"GOUVIEUX (60) 24.09.2013";Oise;60;"(D) D�partement";2013;09;24;"Le 24 septembre 2013 un t�moin qui d�jeune en famille observe une boule tr�s lumineuse, passant silencieusement au-dessus d'un rideau d'arbres en trajectoire rectiligne, puis semblant zigzaguer tr�s vite et changer de trajectoire.
Compte tenu des �l�ments d�finis dans le compte rendu d'enqu�te, � savoir une boule tr�s lumineuse brillante, en d�placement rectiligne en d�but et en fin de trajectoire, compatible avec un objet port� par le vent et avec un changement de direction de l'objet compatible avec des vents variables dans la zone mais �galement la possibilit� d'une activit� orageuse pouvant produire des ph�nom�nes de foudre en boule, nous avons deux hypoth�ses envisageables, mais toutefois assez peu probables.
Les informations fournies par les t�moins ne permettent ni de confirmer ni d'�liminer ces hypoth�ses. Ce cas est class� en � C � par manque d'information et de recoupements.";"Observation du passage rectiligne et rapide d'une boule lumineuse puis avec un changement de trajectoire : manque d'information et de recoupements.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-09-08568
3279;"MONTREUIL-SUR-ILLE (35) 27.09.2013";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2013;09;27;"Le vendredi 27 septembre 2013 entre 22h15 et 22h30, un t�moin depuis son domicile constate les passages successifs dans le ciel nuageux d'une boule orange. L'objet se d�place toujours silencieusement d'Est en Ouest.
La description de l'observation a toutes les caract�ristiques des lanternes tha� : boules oranges se succ�dant sur la m�me trajectoire horizontale, selon le vent local (vent d'Est �tabli d'environ 15km/h selon www.meteociel.fr), un soir de week end. Les photographies, d'assez mauvaise qualit�, n'apportent que peu d'information.
Le GEIPAN classe ce cas peu �trange en cat�gorie ""B"" : observation de deux lanternes tha� successives.";"Observations successives du d�placement silencieux et rectiligne d'une boule orange : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-09-08570
3280;"LOCMINE (56) 22.09.2013";Morbihan;56;"(D) D�partement";2013;09;22;"Le dimanche 22 septembre 2013 � 18h45 plusieurs personnes en voiture sont intigu�es par la vue d'un ph�nom�ne dans le ciel qu'ils ne s'expliquent pas. Le t�moin, en voiture, d�crit une forme sph�rique argent�e devenant une forme blanche brillante allong�e, apparemment immobile, puis se d�doublant et disparaissant.
Le relev� radar (voir schema) met bien en �vidence l'avion � haute altitude (trace noire) que d�crit le t�moin, et aussi, � basse altitude (donc sans tra�n�e), un avion s'�loignant du t�moin (trace rouge). L'avion, s'�loignant du t�moin quasiment dans l'axe d'observation a sembl� immobile. Lorsque l'avion a chang� de direction � 18h50 (voir en haut � droite du schema, changement de cap � gauche de 18h48 � 51), le reflet s'est modifi� et a disparu, laissant penser � la disparition de l'objet lui-m�me. (Nota : les heures indiqu�es le long des traces d'avion sont en temps universel).
La premi�re intuition du t�moin : reflet du soleil sur un avion s'av�re finalement la bonne explication.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : parfaitement expliqu� par le reflet du soleil sur un avion.";"Observation d'une forme sph�rique argent�e devenant blanche, brillante et allong�e, apparemment immobile, puis se d�doublant et disparaissant instantan�ment : observation du reflet du soleil sur un avion.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-09-08572
3281;"CAEN (14) 28.09.2013";Calvados;14;"(D) D�partement";2013;09;28;"Le 28 septembre 2013 vers 21h un t�moin observe le passage de huit objets rouge vif traversant le ciel d'est en ouest sur la m�me trajectoire.
L'observation de plusieurs formes rouges se d�pla�ant sur la m�me trajectoire dans la m�me direction que le vent (de Sud-Est) un samedi soir �voque nettement un l�cher de lanternes tha�landaises ( lanternes volantes).
Le GEIPAN classe ce cas peu �trange en cat�gorie ""B"", comme probable observation de lanbternes tha�landaises.";"Observation du passage silencieux de huit objets rouges dans le ciel sur la m�me trajectoire : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-09-08578
3283;"LOURDES (65) 22.09.2013";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";2013;09;22;"Un t�moin rapporte ses observations successives de boules lumineuses silencieuses dans le ciel entre les 22 et 28 septembre 2013 en soir�e. Ce t�moignage d'observations d'une boule tr�s brillante proche de l'horizon, visible longuement et plusieurs jours de suite et semblant suivre l'observateur est une m�prise bien classique, appel�e quelquefois ""boule suiveuse"". Son origine est �videmment astronomique : dans ce cas-ci il s'agit de la plan�te V�nus, �clatante cet automne en d�but de soir�e (Magnitude = -4.7). La direction indiqu�e par le t�moin sur son dessin correspond � un azimut approximatif de 241�, alors que V�nus est � la m�me heure � un azimut de 235�. Les photos sont tout � fait coh�rentes avec cette hypoth�se, et le t�moin signale une autre boule orang�e, moins lumineuse, un peu en dessus et � droite, qui est la plan�te Saturne (voir carte astronomique).
Le t�moin signale un autre ph�nom�ne bien diff�rent le 23 septembre 2013 : observation de quelques secondes du passage tr�s rapide d'une boule orang�e. Ce ph�nom�ne beaucoup plus rare, nomm� bolide, correspond tr�s probablement � la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de (m�t�orite).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de V�nus, et d'un bolide.";"Observations successives de ph�nom�nes lumineux dans le ciel : observations astronomiques de V�nus et du passage d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-09-08606
3284;"MONS (34) 24.09.2013";H�rault;34;"(D) D�partement";2013;09;24;"Le mardi 24 septembre 2013 entre 22h ou 23h deux personnes constatent dans le ciel les �volutions rapides d'un ph�nom�ne lumineux. D'autres observations du m�me type seront faites ult�rieurement depuis le hameau. A chaque fois aucun bruit particulier n'est entendu et les observations dureront une heure ou plus.
La description du ph�nom�ne lumineux par le t�moin, et la confirmation de l'observation par les gendarmes, orientent sans aucun doute vers l'hypoth�se du faisceau d'un projecteur venant du sol. Bien qu'il n'y ait pas de discoth�que dans la direction de l'observation, les gendarmes informent que la zone montagneuse et tr�s peu peupl�e est souvent l'occasion de f�tes informelles (raves).
La photo prise par t�moin, qui contient un cercle clair ne montre en fait rien du ph�nom�ne observ� : ce cercle clair en haut de l'image est une ""orbe"" provoqu�e par le flash de l'appareil photo sur une poussi�re tr�s proche de l'objectif. Voir : Les taches claires circulaires ou orbes.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'animation lumineuse.
Le GEIPAN n'a pas fait les recherches pour trouver la source du projecteur, recherche extr�mement difficile du fait que ces installations sont provisoires et souvent clandestines.";"Longues observations successives des �volutions d'un ph�nom�ne lumineux et silencieux dans le ciel : probable observations d'animations lumineuses.";O;1;;;;;;;;2016-12-13;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-09-08609
3285;"CABRIERES (34) 15.09.2013";H�rault;34;"(D) D�partement";2013;09;15;"Le 15 septembre 2013 � 4h du matin, une automobiliste observe de fa�on discontinue une lumi�re dans le ciel puis le passage d'une masse sombre ovale avec des ""petits disques lumineux int�gr�s"" au-dessus de son v�hicule. Aucun autre t�moignage n'est recueilli. Le t�moin rapporte son observation en mai 2014.
Compte tenu des �l�ments du dossier :
- Apparence peu compatible � celle d'un h�licopt�re.
- Apparence a priori compatible avec des lasers de discoth�que (date du samedi au dimanche), mais il n'existe pas d'�l�ments permettant de confirmer l'hypoth�se.
Nous pouvons conclure que le PAN observ� par le t�moin est de nature et d'origine inconnue.
Ce cas est � classer en � C � par manque d'information permettant de v�rifier des hypoth�ses assez compatibles avec l'observation.
Ce t�moignage est d'une bonne consistance: assez pr�cis mais venant d'un t�moin unique et sans photo.
L'observation est �trange car il s'agit d'un ph�nom�ne ayant une apparence peu banale, bien que son d�placement en lui-m�me soit commun.
";"Observation d'une lumi�re puis du passage d'une masse sombre au-dessus du v�hicule : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.65;0.00;;;;;;;0.70;0.00;C;D1-;2013-09-08705
3286;"TOULOUSE (31) 22.09.2013";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2013;09;22;"T�moignage r�cent d'une observation ancienne. Le t�moin a observ� plusieurs boules orange se d�pla�ant � basse altitude dans le ciel et qui se sont �teintes les unes derri�re les autres.
L'observation de boules oranges se d�pla�ant lentement dans le ciel durant quelques minutes, lors d'une nuit de samedi � dimanche, �voque nettement des lanternes tha�, probablement l�ch�es � l'issue d'une f�te.
Le GEIPAN n'a pa pu v�rifier que ces boules se d�pla�aient bien selon le vent, le t�moignage �tant trop impr�cis.
Le GEIPAN classe ce t�moigne peu �trange en cat�gorie ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observation du d�placement de plusieurs boules lumineuses orange : observation probable de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-09-08958
3288;"GROISY (74) 01.10.2013";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2013;10;01;"Le 1er octobre 2013 vers 21h30, un t�moin observe depuis chez elle une lumi�re � l'horizon. En compagnie de son conjoint, elle observe la disparition du PAN puis le passage rapide de trois lumi�res clignotantes. Ce passage �tait accompagn� d'un bruit r�sonnant, ressemblant � celui d'un avion.
D'�tranget� moyenne et de consistance faible (t�moin unique, observation de courte dur�e), ce cas peut �tre une m�prise avec l'�toile Arcturus puis une formation d'avions.
Cependant, le manque de pr�cision du t�moignage (diff�rence de direction entre le r�cit et les croquis), et d'informations sur le trafic a�rien emp�chent l'identification formelle du PAN.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (�tonnement, observation nocturne).
Ce cas est class� C, par manque d'informations permettant de v�rifier les hypoth�ses avanc�es.";"Observation d'une lumi�re � l'horizon puis du passage de lumi�res clignotantes dans le ciel nocturne : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-10-08573
3289;"SCHILTIGHEIM (67) 01.10.2013";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2013;10;01;"Le 1er octobre 2013 entre 23h15 et 23h25 un t�moin observe depuis chez lui les d�placements de deux lumi�res blanches bleut�es �voluant ensemble de mani�re al�atoire et qui passent � travers les nuages. Dix minutes plus tard, les ph�nom�nes disparaissent. Deux heures apr�s, des lumi�res identiques font leur apparition et disparaissent subitement. Le t�moin a pris quelques photos.
La description que fait le t�moin de lumi�res blanches bleut�es �voluant ensemble de mani�re al�atoire dont la lumi�re passe � travers les nuages fait tr�s nettement penser � une animation lumineuse telle que l'utilisent les discoth�ques. Les photos du t�moin montrent bien que les taches lumineuses ne sont visibles que sur les nuages, preuve d'une projection lumineuse depuis le sol. On note toutefois que le mercredi soir est un jour inhabituel pour ce type d'animation.
Du fait de la faible �tranget� de ce ph�nom�ne le GEIPAN n'a pas men� d'enqu�te approfondie pour retrouver pr�cis�ment l'origine du ph�nom�ne.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'une animation lumineuse, type skyrose.";"Observations des �volutions dans un ciel nuageux de lumi�res blanches bleut�es : probable observation d'une animation lumineuse provenant d'un projecteur de type Skyrose.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-10-08574
3290;"MONTCHEUTIN (08) 03.10.2013";Ardennes;08;"(D) D�partement";2013;10;03;"Le 3 octobre 2013 vers 22h05 un t�moin est intrigu� par la pr�sence � basse altitude dans le ciel d'une sorte de demi-cercle orang� vif. L'observation dure 5 minutes.
Plus d'un an apr�s les faits, et apr�s avoir �tudi� diverses possibilit�s de m�prise, le GEIPAN a propos� au t�moin en enqu�te sur place ; ce dernier a r�pondu qu'il avait trouv� lui-m�me l'origine du ph�nom�ne : un lampadaire lointain.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation d'un lampadaire.";"Observation d'une lumi�re orange vif statique � basse altitude : observation d'un lampadaire.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-10-08575
3291;"PLELO (22) 03.10.2013";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2013;10;03;"Un t�moin observe, le jeudi 3 octobre 2013 � 19h40, deux points fixes lumineux avan�ant silencieusement de fa�on sym�trique et � la m�me vitesse.
L'observation de deux points lumineux semblables � des �toiles, traversant le ciel continuement en ligne droite, �voque nettement un passage de deux satellites. Une v�rification avec le site Calsky.com montre le passage, � la m�me heure sur une trajectoire correspondant � l'observation, du triplet de satellites d'observation chinois Yaogan17, lanc� le 1er septembre 2013. Ces satellites sont r�put�s r�fl�chir le soleil assez peu (magnitude 5 � 6), mais peuvent probablement �tre orient�s de telle fa�on qu'ils deviennent alors plus lumineux. Voir une vid�o d'autres satellites de la s�rie Yaogan satellites Yaogan.
Ceci pourrait expliquer pourquoi le t�moin en voit 2 et non 3.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation tr�s probable de satellites Yaogan.";"Observation du d�placement de deux points lumineux avan�ant de fa�on sym�trique � la m�me vitesse : probable observation de satellites Yaogan.";O;1;;;;;;;;2014-01-16;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-10-08576
3293;"[A63] de BORDEAUX (33) VERS BAYONNE (64) 07.10.2013";Gironde;33;"(D) D�partement";2013;10;07;"Le lundi 7 octobre 2013 aux alentours de 18h30, un automobiliste sur l'A 63 est intrigu� par le d�placement d'un point blanc dans le ciel. Le t�moin le voit s'�loigner vers le sud, disparaitre puis semble remonter ensuite vers le nord. Aucun clignotement de couleur indiquant un avion n'est visible.
A 18h30, le soleil couchant est � l'Azimut 251� et � une Hauteur de 9� 55 '. Il �claire lat�ralement les avions ; les ailes, non �clair�es par-dessus ni dessous, paraissent invisibles. Les avions ne font pas tous des tra�n�es de condensation dans le ciel : ceux qui volent � moins de 7000 m (environ) n'en font pas.
D'apr�s le site Flightradar24, on constate de nombreux vols sur cet axe, la plupart � plus de 10000 m, mais certains � moins haute altitude (voir relev� ci-joint). A 18h52 (heure civile) deux avions se croisent dans le secteur d'observation.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de deux avions, volant � une altitude moyenne et �clair�s par le soleil couchant.";"Observation du d�placement particulier d'un point blanc dans le ciel : probable observation de deux avions se croisant, volant � une altitude moyenne et �clair�s par le soleil couchant.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-10-08579
3294;"ALLONNE (60) 09.10.2013";Oise;60;"(D) D�partement";2013;10;09;"Le 9 octobre 2013 vers 17h45 deux t�moins constatent dans le ciel la pr�sence d'un objet sombre volant dont la partie sup�rieure est de forme ovo�dale, et la partie inf�rieure de forme cylindrique. Il se trouve � environ 50 m de haut et se d�place lentement, sans bruit.
L'observation d'un objet � basse altitude se d�pla�ant r�guli�rement et silencieusement selon le vent (Vent d'ouest ce jour l� d'environ 15 km/h selon Meteociel) �voque nettement un ballon gonfl� � l'h�lium, peut-�tre un ballon d'enfant. Ces objets ont des formes tr�s vari�es, et observ�es dans le ciel � contre-jour, apparaissent g�n�ralement noirs.
Le GEIPAN classe ce cas peu �trange en cat�gorie ""B"" : observation probable d'un ballon gonfl� � l'h�lium";"Observation du passage silencieux d'un objet sombre dans le ciel : probable observation du passage d'un ballon gonfl� � h�lium.";O;1;;;;;;;;2013-11-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-10-08580
3296;"[AERO HOP,KLM,LGL,BEL] NANCY (54) 13.10.2013";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2013;10;13;"Le 13 octobre 2013 quatre pilotes (voir les positions estim�es des 4 avions sur le questionnaire a�ronautique) ont observ� un puissant ph�nom�ne lumineux dans l'Est de la France, ph�nom�ne observ� aussi au sol (voir article de presse), et par la cam�ra de Chaligny (pr�s Nancy) du r�seau BOAM.
Ce ph�nom�ne, nomm� bolide, a �t� caract�ris� comme une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de (chute de m�t�orite).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"".";"Multiples observations par des pilotes et des t�moins au sol du passage rapide d'un ph�nom�ne lumineux de couleur bleu-verd�tre dans l'Est de la France : observation d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-10-08583
3297;"NANTES (44) 20.10.2013";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2013;10;20;"Le 20 octobre 2013 entre minuit et une heure du matin, deux personnes marchant ensemble sont intrigu�es par la pr�sence dans le ciel d'un ensemble de lumi�res �quidistantes formant un triangle. Un seul t�moignage est recueilli.
D'�tranget� et de consistance moyennes, ce cas s'av�re �tre une m�prise certaine avec l'amas d'�toiles des Hyades. De plus, les Hyades �taient parfaitement visibles dans l'axe indiqu� par le t�moin, et la position des lumi�res composant le PAN s'accorde parfaitement avec celle des �toiles de l'amas. Le PAN ne pr�sente qu'une seule lumi�re orang�e, tout comme peut l'�tre l'�toile Ald�baran, voisine des Hyades.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (�tonnement, fatigue, d�placement � pied de nuit, pr�sence de nuages pouvant donner une illusion de mouvement au PAN).
Ce cas est class� A, m�prise certaine avec l'amas des Hyades.";"Observation d'un ensemble de lumi�res �quidistantes formant un triangle : m�prise astronomique certaine avec l'amas des Hyades.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-10-08585
3298;"VIENNE-EN-ARTHIES (95) 16.10.2013";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2013;10;16;"Le 16 octobre 2013 � 18h un t�moin en scooter rentrant � Vienne-en-Arthies (95) s'arr�te et oberve au-dessus des arbres un objet de forme ovale d'abord statique puis en lent d�placement. Le t�moin a le temps de prendre des photographies avant que l'objet ne disparaisse subitement.
Etant donn�e la certitude que la photo de r�f�rence de ce t�moignage n'est pas authentique (voir rapport d�taill�), la cr�dibilit� et la consistance de ce cas est tr�s tr�s faible, malgr� un rapport d'observation apparemment sinc�re.
Suite � ce constat sur la photographie, le GEIPAN n'a pas jug� utile de poursuivre l'investigation de ce cas.
Le GEIPAN classe ce cas � B � : probable canular : l'observation est peut-�tre r�elle, mais la photo n'est certainement pas authentique.";"Observation d'un objet ovale et sombre au-dessus des arbres : probable canular : l'observation est peut-�tre r�elle, mais la photo n'est certainement pas authentique.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-10-08586
3299;"PUJAUT (30) 11.10.2013";Gard;30;"(D) D�partement";2013;10;11;"Le 11 octobre 2013 vers 22h plusieurs personnes observent un ph�nom�ne lumineux jaune vif dans le ciel nuageux. Le ph�nom�ne scintille puis s'�teint instantan�ment. Un seul t�moignage est rapport�.
Le GEIPAN a �tudi� plusieurs hypoth�ses pour cette observation d'un point lumineux jaune fixe durant 2 minutes :
-�toile ou plan�te : le t�moin indique un ciel tr�s nuageux, les relev�s m�t�o de Nimes et d'Avignon aussi. De plus, dans la direction proche de celle indiqu�e par le t�moin (Sud-Est), il n'y a pas d'astre tr�s brillant, susceptible d'�tre visible � travers une mince couche nuageuse.
-reflet du soleil sur un satellite g�ostationnaire : pas d'�v�nement de ce type relev� pour cette heure l� (ce serait vers 20h), et la couverture nuageuse doit occulter ce ph�nom�ne.
-lanterne tha� : la lumi�re telle que d�crite par le t�moin, pourrait correspondre � une lanterne tha�. La soir�e d'un vendredi est assez propice � ce genre de l�cher. Pour �tre vue immobile, il faudrait un vent de dos (NO) ou de face � l'observateur(SE), ce qui n'est pas exactement le cas car c'est un vent de Nord. Cette hypoth�se reste toutefois � consid�rer.
-avion : la lumi�re telle que d�crite par le t�moin, pourrait correspondre � des projecteurs d'atterrissage d'un avion, s'approchant ou d�collant d'Avignon. Le site Flightradar24 qui r�pertorie les avions civils �quip�s de balises �mettrices ne mentionne pas d'avion dans cette zone � cette heure l� mais un avion militaire, vu de face, reste une hypoth�se possible.
Le GEIPAN n'a pas les informations permettant de confirmer l'une ou l'autre des deux derni�res hypoth�ses, qui restent elles-m�mes fragiles.
Le GEIPAN classe ce cas peu �trange en cat�gorie ""C"" par manque d'informations.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2013-12-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-10-08588
3300;"MUNSTER (68) 22.10.2013";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2013;10;22;"Le 22 octobre 2013 � 22h40, un t�moin regardant le ciel d�gag� est intrigu� par le passage S-N d'un objet sombre en forme de demi-coupole avec des excroissances pendantes. L'observation tr�s courte (moins de 10 secondes) ne permet pas au t�moin de prendre une photographie. L'objet silencieux disparait dans le noir du ciel nocturne.
Selon les �l�ments collect�s par le questionnaire et l'entretien avec le t�moin, le GEIPAN classe ce cas � B � comme �tant probablement un ballon festif gonfl� � l'h�lium, de type � coccinelle �, qui aurait �chapp� � son propri�taire.";"Observation du d�placement silencieux S-N d'un objet sombre de la forme d'une demi-coupole avec des excroissantes pendantes : probable observation du passage d'un ballon festif.";O;1;;;;;;;;2014-05-19;;;0.40;0.00;;;;;;;0.70;0.00;B;B;2013-10-08589
3301;"CALLAC (22) 23.10.2013";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2013;10;23;"Le 23 octobre 2013 � 7h30 du matin, un t�moin est surpris par la vue d'une dizaine de points lumineux qui se d�placent silencieusement dans le ciel, en trois vagues successives. Il exclut totalement la possibilit� qu'il puisse s'agir de lanternes thailandaises, d'avions de chasse ou de r�flexion quelconque d'une lumi�re. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
L'explication probable est celle d'un groupe d'oiseaux migrateurs. A cette �poque de l'ann�e, de nombreux oiseaux migrent du Nord vers le Sud en empruntant les principaux couloirs de migration. L'un de ces couloirs passe � l'Est de Callac.
En r�gle g�n�rale, les oiseaux migrateurs volent entre 100m et 400m d'altitude. Cependant, par vent contraire ce qui est le cas ici les oiseaux diminuent leur altitude de vol, ce qui les rend plus visibles au cr�puscule ou � l'aube. En particulier, les Bernaches Cravant (oies) migrent � cette p�riode, du Nord vers le Golfe du Morbihan. Leur plumage est essentiellement marron, noir, et blanc. De nuit, �clair� par la Lune, seule la partie blanche reste visible, et la couleur jaun�tre �voqu�e par le t�moin correspond � la couleur de la lumi�re refl�t�e par la Lune. Les ailes, sombres, ne sont pas visibles dans l'obscurit�.
L'observation est donc peu �trange. La seule l�g�re �tranget� provient de la derni�re lumi�re, plus intense que les autres (mais on note que ce point n'�tait pas pr�sent au moment de l'observation et du questionnaire et a �t� mentionn� par le t�moin lors de l'enqu�te, ce qui peut aussi r�sulter d'un ph�nom�ne de faux souvenir 3 ans plus tard).
Cette observation est d'une consistance moyenne au d�part (un seul t�moin, pas de photos ou vid�os) et renforc�e par un entretien cognitif.
Le GEIPAN classe donc le cas en B, probable observation d'oiseaux (plusieurs groupes de Bernaches Cravant ou autres oiseaux en migration).";"Observation du d�placement silencieux d'une dizaine de points blancs dans le ciel matinal : probable observation d'oiseaux.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.40;0.00;;;0.70;;0.80;;0.75;0.00;B;B;2013-10-08590
3302;"ODOS (65) 25.10.2013";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";2013;10;25;"Le 25 octobre 2013 � 20h deux personnes constatent la pr�sence dans le ciel d'un point blanc lumineux et fixe dans le ciel.
Dans la direction Sud-Ouest � l'heure de l'observation, on constate la plan�te V�nus, particuli�rement brillante � cette �poque (magnitude -5, son maximum), associ�e � un ciel tr�s transparent (visibilit� 35 km) malgr� des nuages (Voir relev� Meteociel). Ceci a provoqu� des conditions exceptionnelles pour rendre remarquable l'observation de cette plan�te. Un passage nuageux aura ensuite cach� la plan�te aux t�moins.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de V�nus.
Nota : Le t�moin indique une hauteur sur l'horizon de 45�, alors que la photo montre une �l�vation bien plus faible, compatible avec les 8�30' de l'�l�vation r�elle de l'astre.";"Observation d'un point blanc tr�s lumineux et fixe dans le ciel : observation de V�nus.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-10-08591
3303;"COLLOBRIERES (83) 27.10.2013";Var;83;"(D) D�partement";2013;10;27;"Le t�moin pendant une foire le 27 octobre 2013 observe et photographie un objet noir se d�pla�ant tr�s lentement sous les nuages. Plusieurs personnes observeront ensuite le ph�nom�ne mais un seul t�moignage sera recueilli.
L'aspect de l'objet d�vrit par le t�moin : objet noir � gris, ovo�de, changeant de forme, �voque un ballon de forme complexe tournant au gr� du vent. Du fait qu'il est observ� sur fond de ciel clair, il appara�t forc�ment tr�s sombre, quel que soit sa couleur r�elle.
Le vent relev� au Luc-Cannet des Maures (Source : Meteociel) est variable, faible, orient� d'Est le matin, du Nord � midi, d'Ouest en fin d'apr�s midi ; ceci n'est pas vraiment conforme au d�placement observ�, mais il est extr�mement difficile d'estimer le vent en zone montagneuse par vent faible.
Malgr� cette incertitude, devant la similarit� de l'objet avec un ballon, probablement en rapport avec la f�te locale, le GEIPAN classe ce cas peu �trange en cat�gorie ""B"" : observation probable d'un ballon festif gonfl� � l'h�lium.";"Observation lors d'une foire du d�placement d'un objet sombre sous la couche nuageuse : probable observation du d�placement d'un ballon festif gonfl� � l'h�lium.";O;1;;;;;;;;2014-01-10;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-10-08594
3304;"AILLY-SUR-NOYE (80) 22.10.2013";Somme;80;"(D) D�partement";2013;10;22;"Le mardi 22 octobre 2013 vers 19h50 un automobiliste est intrigu� par un objet dans le ciel. Le t�moin d�crit un objet de forme triangulaire, compos� de trois points lumineux rouge, vert et bleu. L'objet est stationnaire puis se d�place lentement et silencieusement. Les lumi�res deviennent blanche et il dispara�t. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis dans le rapport d'enqu�te ci-joint, � savoir la pr�sence tr�s probable d'un vol r�gulier � l'heure et � l'azimut consid�r�s, la d�limitation de la forme triangulaire par des lumi�res identiques aux feux de navigation de l'avion concern�, le d�placement du PAN identique � celui du vol consid�r�, dans l'axe d'observation du t�moin et la disparition du PAN derri�re des nuages, de fa�on temporaire, puis d�finitive, de la m�me mani�re qu'un avion volant � haute altitude est masqu� par des couches nuageuses parcellaires, nous pouvons conclure que le cas concerne l'observation probable d'un avion de ligne observ� dans des conditions particuli�res.
Ce cas est � classer en � B � comme observation probable d'un avion de ligne effectuant la liaison r�guli�re Venise/Londres, �clair� par ses feux de navigation, et temporairement masqu� par les couches nuageuses. C'est l'incertitude sur l'horaire pr�cis de l'avion, et le doute sur les couleurs des feux rapport�es par le t�moin qui emp�chent de classer ce cas en A.";"Observation dans le ciel de points lumineux de couleur d�limitant une forme triangulaire : probable observation d'un avion de ligne.";O;;;;;;;;;2015-02-23;;;0.30;0.00;;;;;;;0.60;0.00;B;B;2013-10-08598
3305;"SABLE-SUR-SARTHE (72) 30.10.2013";Sarthe;72;"(D) D�partement";2013;10;30;"Le 30 octobre 2013 � 23h38 un t�moin observe trois objets lumineux volant � la m�me hauteur en silence et � grande vitesse. Les objets disparaissent au-dessus des toits.
L'observation de points lumineux se d�pla�ant tr�s rapidement en ligne droite durant quelques secondes �voque des �toiles filantes ou bolides. Cette observation est remarquable par le fait qu'il y a 3 objets se d�pla�ant en parall�le. Ce peut �tre un m�t�oro�de qui s'est fragment� en 3 lors de sa rentr�e. Le petit mouvement lat�ral de l'un d'entre eux peut �tre une illusion de perception nomm�e autokin�sie (voir La perception du mouvement d'un point lumineux dans le ciel).
Le r�seau BOAM (voir : BOAM a enregistr� de nombreux bolides cette nuit l�, dont un pr�cis�ment � 22H38 TU, mais ils ont �t� observ�s � l'Est, depuis l'Est de la France ; ce n'est donc pas le m�me �v�nement. Ce r�seau n'a pas de cam�ra proche de Sabl�- sur-Sarthe (72). Mais la fr�quence des �v�nements cette nuit l� indique seulement une probabilit� notable d'observation de bolides. Cependant, �tant donn�s la bri�vet� de l'observation, l'unicit� du t�moignage, le fait qu'il y a 3 objets, cette hypoth�se d'observation de bolide est bien fragile.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" en attente de recoupements �ventuels.";"Observation du d�placement tr�s rapide et silencieux de trois objets lumineux dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-10-08600
3306;"WALBACH (68) 02.10.2013";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2013;10;02;"Le 2 octobre 2013 deux adolescents observent vers 22h la chute d'un objet lumineux rond avec des train�es vertes en direction de la commune de Rantswiller. Ce cas a �t� trait� par la gendarmerie de Sierentz (68) qui a collect� les �l�ments essentiels avec pr�cision et a men� une enqu�te exemplaire aupr�s des services comp�tents.
Au-del� de ces �l�ments, nous pouvons ajouter que la base de donn�es www.boam.fr indique une capture de bolide observ�e au sud-ouest par une camera situ�e � Chaligny (54) pr�s de Nancy ce jour l� � 21h57. On remarque aussi (voir document joint) que plusieurs autres gros bolides ont �t� observ�s cette nuit-l�.
L'�v�nement a �t� remarqu� par plusieurs observateurs en r�gion parisienne qui t�moignent sur le site ""Ciel des hommes"" m�t�orite Paris
On note une certaine dispersion des t�moignages concernant l'heure du ph�nom�ne ""vers 22h"" jusqu'� 22h15. Le t�moin de Walbach a indiqu� ""vers 22h15"", mais il a t�l�phon� � sa marraine � 22h03, juste apr�s l'observation : cette indication pr�cise, recueilli avec pertinence par les gendarmes, permet de corr�ler de fa�on certaine cette observation avec le bolide enregistr� sur la cam�ra de Chaligny � 21h57.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation certaine d'un bolide caus� par la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de (m�t�orite naturel).";"Observations de la chute d'un objet lumineux, rond et avec des train�es vertes : rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-10-08603
3307;"GRAND-VILLAGE-PLAGE (LE) (17) 30.10.2013";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2013;10;30;"Le 30 octobre 2013 ebtre 18:50 et 20h30 trois t�moins observent un ph�nom�ne lumineux rouge dans le ciel, qui apparait puis semble stationner au-dessus d'une for�t proche. Le ph�nom�ne dispara�t pour r�apparaitre plus tard, toujours fixe dans le ciel. Le ph�nom�ne finit par s'�teindre comme une lampe halog�ne. Deux personnes t�moignent.
L'observation de sph�res orange dans le ciel durant quelques minutes fait penser � des lanternes tha�, mais ce cas est toutefois particulier sur plusieurs points :
- ce n'est pas un samedi soir. Mais c'est la f�te d'Halloween, qui a pu �tre l'occasion d'un l�cher.
- les objets semblent stationnaires : le t�moin, interrog� au t�l�phone, regardait vers le Nord-Ouest (voir carte), c'est-�-dire dos au l�ger vent de Sud-Est (voir le relev� m�t�o � l'Ile d'Ol�ron et a vu un objet port� par le vent s'�loigne doucement du t�moin, et semble immobile.
- un deuxi�me objet appara�t � la m�me place 15 minutes plus tard : on peut penser, comme souvent dans ces cas-l�, qu'il y a eu plusieurs l�chers de lanternes, qui auront suivi strictement la m�me trajectoire.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observations sucessives le m�me soir de ph�nom�nes lumineux de couleur rouge dans le ciel : observations probables de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-10-08604
3309;"ROMAGNIEU (38) 20.10.2013";Is�re;38;"(D) D�partement";2013;10;20;"Le t�moin, r�veill� par la pluie, sort dans sa cour et observe un triangle silencieux, de couleur sombre, au pourtour lumineux. L'objet prend de l'altitude et se fond dans les nuages.
L'observation d�crite ne correspond � aucun ph�nom�ne connu. Comme cette observation n'�voque aucune des m�prises habituelles, le GEIPAN a mandat� un enqu�teur pour aller auditionner le t�moin sur place, mais le t�moin n'a pas donn� suite � cette proposition d'enqu�te.
Du fait que l'observation est courte et qu'elle a eu lieu en pleine nuit, au r�veil du t�moin, une explication envisageable pourrait �tre une hallucination "" hypnopompique"" (qui a lieu au r�veil) ; voir en fin de page de l'article : Hallucination). Mais le t�moin indique que, avant de se lever, il �tait d�j� bien r�veill�.
On peut penser aussi � un ph�nom�ne de persistence r�tinienne si le t�moin a allum� la lumi�re (tubes n�on?) entre sa chambre et la cour.
L'enqu�te aurait pu confirmer ou non l'une ou l'autre de ces hypoth�ses, ou ouvrir d'autres hypoth�ses. En l'attente d'information compl�mentaire ou de recoupement, ce cas reste class� ""C""";"Observation de la pr�sence et du d�placement d'un triangle silencieux, de couleur sombre, au pourtour lumineux : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-10-08644
3310;"MASSY (91) 04.11.2013";Essonne;91;"(D) D�partement";2013;11;04;"Un t�moin observe une lumi�re intense dans le ciel, longiligne, de couleur claire l�g�rement orange, imitant le reflet du coucher de soleil sur la carlingue d'un avion. Le point lumineux est longtemps visible.
L'observation d'une forme lumineuse orang�e plein Ouest peu apr�s le coucher du soleil, �voque nettement un objet en altitude illumin� par le soleil couchant. La plan�te V�nus est situ�e plus au Sud que la direction indiqu�e par le t�moin, et devrait para�tre circulaire et blanche, plut�t que longiligne et orang�.
Une tra�n�e d'avion lointaine (entre 40 et 80 km) d'un avion volant � 12000m � 50 km de Paris, du Sud au Nord a pu donner cette impression. Du fait de la distance, ces tra�n�es apparaissent tr�s petites, et semblent quasi immobiles. Lorsque le soleil s'�loigne sous l'horizon, ces tra�n�es deviennent alors invisibles.
Voir � ce sujet Des tra�n�es d'avion �tranges.
Ce cas est class� ""B"" observation probable de tra�n�e d'avion.";"Longue observation d'une lumi�re intense orang�e dans le ciel : observation probable de tra�n�e d'avion.";O;1;;;;;;;;2014-11-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-11-08595
3311;"SAINT-BENOIT-DES-ONDES (35) 03.11.2013";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2013;11;03;"Le t�moin, qui fait du cerf-volant, observe tr�s haut dans le ciel un objet gris m�tallique de forme ovale, muni de deux ailes rondes. Sa trajectoire est tr�s droite et sa vitesse particuli�rement rapide.
Le t�moin, du fait de son activit�, est plus ou moins dos au vent, regardant vers l'Est ou le Nord-Est (vent d'Ouest � Nord Ouest). Le t�moin a vu passer l'objet au-dessus du cerf-volant, et dispara�tre vers le Nord (selon le questionnaire) ou l'Est (selon le sch�ma du t�moin nomm� : stbenoit.jpg).
L'objet a le comportement d'un objet port� par le vent (vent soutenu de 26 � 44km/h), volant probablement assez bas (100 � 200m) pour qu'il apparaisse tr�s rapide au t�moin. La forme dessin�e par le t�moin se rapproche de la silhouette d'un ballon mickey (Voir ballon Mickey).
Le t�moin per�oit la trajectoire de l'objet � 45� de la direction du vent : cet �cart peut s'expliquer d'une part par l'incertitude de l'estimation, d'autre part par la variabilit� du vent selon le temps (voir relev� m�t�o) et selon l' altitude.
Cette observation est peu �trange : l'objet se d�place en ligne droite, et tr�s probablement selon le vent. Ce t�moignage oculaire, tr�s court, d'un t�moin unique est d'une consistance moyenne (une photo ou un deuxi�me t�moignage aurait permis de confirmer ou non l'hypoth�se �mise).
Le GEIPAN classe cette observation en ""B"" comme observation probable d'un ballon d'enfant.";"Courte observation du d�placement rectiligne et rapide d'un objet de forme ovale avec deux ailes rondes : observation probable d'un ballon d'enfant.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-11-08596
3312;"LESCAR (64) 06.11.2013";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2013;11;06;"Le mercredi0 6 novembre 2013 � 18h plusieurs personnes sont intrigu�es par la pr�sence dans le ciel d'une sorte de boule de feu dans le ciel, suivie de traces obliques de la m�me couleur (orange flamb�). Le t�moin filme la sc�ne. Un seul t�moignage sera recueilli.
L'observation de tra�n�es orange brillantes dans le ciel du couchant �voque nettement des tra�n�es d'avions lointains illumin�es par le soleil d�j� sous l'horizon.
La vid�o confirme bien cette hypoth�se, de m�me que le relev� ""Casperflights"" des avions de ligne, tr�s nombreux dans cette zone � ce moment-l� (trafic Europe du Nord / Espagne-Portugal-Maroc). La premi�re vid�o (tra�n�e verticale descendante) correspond � un avion qui s'�loigne des t�moins, alors que les autres tra�n�es horizontales correspondent � des avions qui circulent du Nord vers le Sud, � une cinquantaine de km � l'Ouest de Pau.
Des conditions m�t�orologiques exceptionnelles auront rendu ce spectacle particuli�rement remarquable ce soir l�.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de tra�n�es d'avion.";"Observation film�e d'un ph�nom�ne lumineux orang� et de nombreuses traces obliques �galement de couleur orang� dans le ciel : observation de tra�n�es d'avion.";O;1;;;;;;;;2018-07-24;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-11-08599
3313;"THUEYTS (07) 08.11.2013";Ard�che;07;"(D) D�partement";2013;11;08;"Le 8 novembre 2013 � 5h40 un t�moin couch� dans son lit observe par la fen�tre le tr�s lent passage dans le ciel d�gag� d'une forme allong�e avec un clignotement lumineux. Le PAN se dirige vers le SE. Aucun bruit n'est entendu durant les 15 minutes d'observation ; le ph�nom�ne disparait progressivement. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce rapport d'observation est vraiment succinct : le t�moin ne d�crit ni la forme ni la couleur, ni l'�clairage de ce qu'il voit.
L'�tranget� du ph�nom�ne est assez faible puisque le t�moin pense d'abord voir un avion ; ce n'est que la lenteur apparente du ph�nom�ne qui le rend �trange : un angle relatif de d�placement par rapport au t�moin pourrait �ventuellement expliquer cet effet surprenant.
Ce cas peu �trange et peu consistant est class� ""C"" par manque d'information.";"Observation du lent d�placement dans le ciel d'une forme allong�e avec cligotement : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.40;0.00;;;0.50;;0.60;;0.30;0.00;C;C;2013-11-08601
3314;"SCEAUX (92) 10.11.2013";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2013;11;10;"Le 10 novembre 2013 entre 16h59 et 17h00, un t�moin remarque durant 10 minutes la pr�sence d'une intensit� lumineuse impossible � regarder directement. Prenant des photographies du parc de Sceaux, le t�moin constate ensuite sur les photos la pr�sence d'une train�e lumineuse blanche puis rouge au-dessus de l'horizon qu'il ne s'explique pas.
L'observation de ph�nom�nes lumineux au coucher du soleil oriente les hypoth�ses en relation avec ce dernier. L'angle entre le soleil et le ph�nom�ne est de l'ordre de 22�, angle propice au ph�nom�ne de parh�lie. parh�lie. Ce ph�nom�ne se produit en pr�sence de nuages de glace � haute altitude, ce qui pourrait �tre possible lorsqu'on voit le ciel charg� de cirrus et un rapport m�t�o qui indique un temps froid et sec ; il peut aussi se produire sur les tra�n�es de condensation des avions : la forme observ�e, et le fort trafic a�rien rend aussi cette origine possible.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de parh�lie.
NB: les taches vertes observ�es sur les photos sont des effets de reflets internes dans l'optique de l'appareil photo (lense flare).";"Observation d'une lumi�re intense et constatation de la pr�sence d'une intensit� lumineuse sur photographies : observation de parh�lie.";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-11-08607
3315;"TREMBLADE (LA) (17) 22.11.2013";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2013;11;22;"Un t�moin rapporte une longue observation d'une lumi�re blanche dans le ciel d�gag� qui semble scintiller par moments dans une couleur bleue. Aucun bruit n'est entendu. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Cette observation longue et r�p�titive d'un point lumineux tr�s brillant proche du Sud-Ouest en d�but de soir�e a toutes les caract�ristiques de l'observation de la plan�te V�nus particuli�rement visible � cette p�riode (Magnitude -4,6). La variabilit� de la luminosit� vient de la variabilit� de l'atmosph�re, probablement � cause de la proximit� de l'oc�an.
Les directions d'observation indiqu�es correspondent � la position de la plan�te (voir carte t�moin et carte GEIPAN) avec toutefois quelques incoh�rences : le t�moin indique une �l�vation de l'ordre de 45� (alors que V�nus �tait aux alentours de 10�), et le t�moin observe un d�placement notable du ph�nom�ne dans le ciel : ces incoh�rences sont probablement � expliquer par le manque de rep�res pr�cis pendant l'observation, et par la multitude des lieux d'observations. (Le t�moin mentionne la lune, absente � cette heure l� le 22/11, mais pr�cise par message s�par� que c'est le mardi 19 qu'il a vu la Lune).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : probable observation de la plan�te V�nus.";"Observation d'une lumi�re blanche scintillante dans le ciel : probable observation de V�nus.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-11-08610
3316;"PAU (64) 16.11.2013";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2013;11;16;"Le samedi 16 novembre 2013 � 23h35 un t�moin observe dans le ciel nuageux une lumi�re immobile au-dessus d'un stade, subsistant apr�s l'extinction des lumi�res de ce stade. Ce Palois qui regarde en direction de Juran�on, pense � un laser mais n'identifie pas sa provenance.
Il y avait ce soir l� un festival ""Cultures �lectroniques-Soleils num�riques"" avec une installation laser vert sur le Coteau de Guindalos � Gelos, au sud de Pau. Le programme est sur festival Acces(s).
Le cas est class� A : observation d'une animation laser";"Observation d'une lueur verte immobile dans le ciel nuageux : animation laser.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-11-08611
3317;"DOMERAT (03) 27.11.2013";Allier;03;"(D) D�partement";2013;11;27;"Le 27 novembre 2013 � 18h, deux personnes observent de fa�on discontinue un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. L'observation durera 1h30.
Cette observation se d�roule en 3 phases :
- une observation d'un point lumineux au Nord-Est (2 gros phares jaunes avec une lumi�re rouge au milieu) d'abord immobile, puis disparissant derri�re un b�timent : ceci �voque tout � fait un avion ou h�licopt�re vu de face, projecteurs allum�s.
- l'observation par le fils du t�moin qui voit passer un point lumineux au-dessus de la maison qui "" tanguait"". On note � 18h02 et 18h05 deux avions survolant les lieux � haute altitude (voir les relev�s Flightradar, et trace radar militaire sur la carte Geoportail, en heure TU) : on note aussi l'activit� d'un h�licopt�re � ce moment l�, entre 18h12 et 18h30 au-dessus de la ligne haute tension situ�e entre Quinssaines et Nouhant, � 7 km au sud-Ouest du lieu d'observation. La description du t�moin n'est pas assez pr�cise pour d�terminer quel a�ronef a �t� r�ellement observ�.
- pour la fin de l'observation, un point tr�s lumineux au sud-Ouest, presque fixe pendant plus d'une heure : il s'agit sans aucun doute de la plan�te V�nus, particuli�rement lumineuse en ce moment (Magnitude -4,7). La vari�t� d'aspect des photos prises par le t�moin s'explique par des r�glages de mise au point non homog�nes, et des boug�s � la prise de vue.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de V�nus pour la fin de l'observation, et observation probable d'avions et/ou d'h�licopt�res pour le d�but de l'observation.";"Observation discontinue d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel d�gag� : observation de V�nus et d'a�ronefs.";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-11-08612
3318;"SAINT-VIGOR-LE-GRAND (14) 28.11.2013";Calvados;14;"(D) D�partement";2013;11;28;"Le 28 novembre 2013 � 12h10 une automobiliste entend une d�flagration et observe imm�diatement dans le ciel au-dessus d'un champ un grand �clat de feu jaune et tout autour de la fum�e noire. Le ph�nom�ne disparait rapidement. Une autre personne, sur une route jouxtant celle o� se trouvait le t�moin, semble avoir regard� dans la m�me direction du ciel � ce moment l�. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
La description de l'observation, en particulier l'enchainement (d�flagration puis lueur vive couleur feu accompagn�e de nuage noir), le tout sur un dur�e courte (< 1mn) est compatible d'un lancement d'une fus�e d�tonante et/ou �clairante (voir la vid�o d'une fus�e d�tonante pour pistolet � blanc).
L'origine du lancement ne peut �tre d�termin�, mais il se peut que ce soit l'automobiliste qui �tait sur la route en parall�le de celle o� �tait le t�moin (et qui regardait aussi le ciel).
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en B : fus�e �clairante.";"Courte observation d'un feu jaune et d'une fum�e noire dans le ciel pr�c�d�s par une forte d�flagration : observation probable d'une fus�e �clairante.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.30;0.00;;;0.60;;;;0.65;0.35;B;B;2013-11-08616
3319;"LAGUIOLE (12) 23.11.2013";Aveyron;12;"(D) D�partement";2013;11;23;"Le 23 novembre 2013 � 18h45 une personne observe durant 15 secondes le passage silencieux et rectiligne dans le ciel nuageux d'une forme ronde tr�s lumineuse de couleur jaune orang�. Avec une trajectoire Ouest/Sud Ouest, le ph�nom�ne est rapidement cach� par l'angle de la maison.
L'observation d'une boule jaune orang� se d�pla�ant horizontalement un samedi en soir�e fait penser � une lanterne tha�landaise lanc�e au d�but d'une f�te. Mais le t�moin observe dans une zone d'habitation tr�s peu dense, et on ne voit pas d'o� aurait pu avoir �t� l�ch�e cette lanterne, port�e par le vent de Nord-Ouest. La m�t�o relev�e � Rodez indique bien un vent de N-O soutenu et un ciel nuageux. (voir : m�t�o.
Etant donn� la bri�vet� de l'observation (15 secondes), il est difficile de confirmer ou infirmer cette hypoth�se. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
On peut penser aussi � un ph�nom�ne de foudre en boule, mais tr�s peu probable en cette saison. On remarque toutefois une m�t�o tr�s perturb�e ce jour l�.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'informations.";"Observation du passage silencieux sous les nuages d'un ph�nom�ne rond, tr�s lumineux et de couleur jaune orang� : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-11-08628
3320;"BRON (69) 26.11.2013";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2013;11;26;"Le mardi 26 novembre 2013 vers 17h30 un t�moin est intrigu� par la pr�sence dans le ciel de lumi�res ayant une forme particuli�re.
Le ph�nom�ne de forme oblongues, apparemment immobiles dans le ciel du couchant (voir photo du t�moin) �voque nettement des tra�n�es d'avion �clair�es par le soleil qui vient de se coucher (le soleil s'est couch� � 17h � l'azimuth 240� au SO-O). Voir le relev� Flightradar qui montre un avion candidat pour cette tra�n�e.
Voir : Des train�es �tranges Ces tra�n�es sont visibles � pr�s de 80 km par temps clair : � cette distance, le d�placement angulaire de l'avion para�t tr�s faible, surtout s'il s'�loigne ou se rapproche du t�moin. Lorsque le soleil est trop loin sous l'horizon, les tra�n�es qui ne sont plus �clair�es deviennent invisibles.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" observation de tra�n�es d'avion.";"Observation dans le ciel de quatre formes lumineuses oblongues stationnaires : observation de train�es d'avion au soleil couchant.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-11-08647
4064;"ERQUY (22) 20.04.2016";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2016;04;20;"Le 20 avril 2016 vers 2h50 du matin un automobiliste sur le D786 avant La Couture (commune d'Erquy (22)) est surpris par un flash dans le ciel d�gag� puis observe une grosse train�e blanche avec � son extr�mit� une mati�re verte. L'observation de l'objet qui se dirige vers la mer dure trois secondes. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Comme l'a envisag� le t�moin, il s'agit bien d'une observation de m�t�ore, observation report�e � plusieurs endroits en Normandie et � Paris. Voir le site IMO (International Meteor Organization).
Le GEIPAN classe ce cas en A : observation d'un m�t�ore.";"Observation d'un flash suivi d'une train�e blanche avec de la mati�re verte � son extr�mit� dans le ciel nocturne et d�gag�; d�placement vers la mer : observation d'un m�t�ore.";O;;;;;;;;;2016-09-09;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;A;A;2016-04-09465
3322;"LARAGNE-MONTEGLIN (05) 12.11.2013";Hautes-Alpes;05;"(D) D�partement";2013;11;12;"Le mardi 12 novembre 2013 de 6h55 � 7h15 un t�moin observe une lumi�re multicolore, d'abord fixe puis se d�pla�ant en ligne droite puis en courbe � la vitesse d'une montgolfi�re. Le ph�nom�ne lumineux est vu comme un b�tonnet vertical. Aucun bruit particulier n'est entendu. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Compte tenu des �l�ments recueillis :
- Zone propice aux vols de petits engins motor�s
- Comportement semblable au d�placement de tels engs
-R�glementation du vol nocturne respect�e
Mais �galement
- Balisage lumineux semblable non trouv�
- Nature et comportement d'une partie du PAN inconnu
- Aucun �v�nement li� � l'utilisation d'ULMs ou h�licopt�res rapport� au jour de l'observation
Ce cas est class� en � C �, par manque d'information permettant de valider l'une ou l'autre des hypoth�ses, une confusion avec un ULM ou un h�licopt�re restant possible, sous certaines conditions. Il est possible qu'une autre origine soit en jeu.
Ce t�moignage est d'une bonne consistance: tr�s pr�cis mais sans photographies ni vid�os. L'observation est �trange car plut�t inhabituelle, car bien que, de par son d�placement et sa situation g�ographique, le PAN puisse �tre assimilable � un engin motoris� : h�licopt�re, ULM ou drone, les feux observ�s ainsi que certaines de ses caract�ristiques physiques d�crites dans le t�moignage ne correspondent pas � ce qui est connu de tels engins ; on pourrait �ventuellement expliquer ces couleurs vari�es par du scintillement atmosph�rique.
Du fait de l'�tranget� seulement moyenne de ce cas d'observation, le GEIPAN n'a pas jug� n�cessaire de mener une enqu�te plus approfondie. Des �l�ments apport�s ult�rieurement par d'autres t�moins pourraient faire �voluer cette conclusion.";"Observation du d�placement rectiligne puis en courbe d'une lumi�re multicolore dans le ciel : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-11-50071
3323;"BANDOL (83) 01.12.2013";Var;83;"(D) D�partement";2013;12;01;"Le 1er d�cembre 2013 vers 17h des personnes marchant sur le sentier des douaniers � Bandol sont intrigu�es par la pr�sence dans le ciel d'une lueur vive � l'Ouest du soleil. La lueur persiste apr�s le coucher du soleil et permet de voir deux points lumineux visibles � l'il nu, couleur jaune orang�, fixes. Ils s'estompent au bout de 15 mn. Un seul t�moignage est recueilli.
Des tra�n�es rouge-orang�es au coucher du soleil �voquent nettement des tra�n�es d'avion rendues �clatantes par le contre jour. Voir :des train�es d'avions �tranges.
Le relev� du site ""flightradar24"" ci-joint indique les avions en visibilit� ce jour l�. Les tra�n�es d'avion sont visibles jusqu'� 120 km dans ces excellentes conditions de visibilit�. Du fait de la distance et de la direction de l'avion qui s'�loigne, la tra�n�e appara�t sous un tr�s faible angle de vue, en donnant une perspective �cras�e du ph�nom�ne. Pour les m�mes raisons, la vitesse angulaire de d�placement du ph�nom�ne para�t faible.
Le GEIPAN classe ce cas A, comme parfaitement identifi�.";"Observations d'une lueur vive dans le ciel : observations d'une train�e d'avion.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-12-08613
3324;"CAMARET-SUR-AIGUES (84) 10.12.2013";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2013;12;10;"Un t�moin rapporte une observation de 30 minutes faite le 10 d�cembre 2013 vers 1h du matin. Cette observation longue d'un point lumineux fixe correspond � une probable m�prise avec Sirius au Sud-Sud-Est : Magnitude -1,44, avec scintillement.
La m�t�o du jour m�t�o indique un fort mistral avec une atmosph�re � la fois tr�s claire et turbulente, tr�s propice � un fort scintillement des �toiles.
Le t�moin a aussi remarqu� un point lumineux en direction d'Orange (Sud Ouest) mi d�cembre entre 18h et 19h qui est la plan�te V�nus.
Les photos, prises avec un temps de pose de 4 secondes, montre des zig-zags lumineux produits par les mouvements de l'op�rateur.
Lors d'�changes par courriel avec le GEIPAN, le t�moin signale aussi des points lumineux pr�s du sol, dans l'axe de la la base a�rienne 115 (Aerodrome d'Orange Caritat), qui peuvent �tre le r�sultat d'activit�s sur la base. Le GEIPAN a eu du mal � faire pr�ciser au t�moin les directions d'observation pr�cises des points lumineux observ�s, et par cons�quent de confirmer absolument l'hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de l'�toile Sirius";"Longue observation d'un point lumineux fixe et de couleur dans le ciel : observation probable de l'�toile Sirius.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-12-08615
3325;"SAINT-GATIEN-DES-BOIS (14) 11.12.2013";Calvados;14;"(D) D�partement";2013;12;11;"Ce t�moignage d'un coll�gien est peu consistant : l'adolescent observe � travers les vitres d'un autobus qui circule, un ph�nom�ne d'une taille apparente tr�s petite (""deux boules noires reli�es l'une � l'autre par une barre noire"" de la taille apparente de ""un oiseau � 1 km"").
Une enqu�te plus approfondie n'apporterait que tr�s peu d'information compl�mentaire.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'informations d�taill�es et de recoupements.";"Observation, depuis l'int�rieur d'un bus qui circule, de deux petites boules reli�es par une barre dans le ciel : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-12-08618
3326;"BAUME-LES-DAMES (25) 17.12.2013";Doubs;25;"(D) D�partement";2013;12;17;"Le 17 d�cembre 2013 vers 19h15 un t�moin, depuis un balcon, regarde le ciel pour montrer la position des �toiles � ses parents avec une nouvelle application astronomique pour smartphone. Le t�moin est intrigu� par un point lumineux non r�f�renc� sur l'application : prenant des jumelles, il observe un point rond blanc lumineux qui restera statique durant 15 minutes environ. Le t�moin prend des photographies du PAN (n�2 et 3 dans le dossier photos) puis retourne � l'int�rieur pour se r�chauffer. Au retour sur le balcon 5 minutes plus tard l'objet aura disparu. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Ce cas d'observation d'un point lumineux blanc statique a toutes les caract�ristiques d'une observation d'un astre, mais les v�rifications s'av�rent n�gatives : d'une part le t�moin lui-m�me, qui est en train d'utiliser un logiciel d'astronomie, ne peut identifier ce point lumineux parmi les astres.
Une v�rification par un autre logiciel (Stellarium, voir document joint) ne montre dans le champ de vue que l'�toile Fomalhaut, pas si brillante (magnitude 1) et surtout trop basse, et trop au sud par rapport � la direction indiqu�e. La plan�te V�nus est tout juste couch�e, et Jupiter (mag -2,7) est au NE.
Le GEIPAN a analys� d'autres hypoth�ses :
-Avion : l'objet observ� est trop longtemps immobile pour �tre un avion.
-Ballon : le soleil se couche � 16h44, � cette heure ci, seuls les satellites sont au soleil.
-Un projecteur temporaire au sommet de la colline voisine (moto, voiture, intervention) : on constate qu'il existe des chemins au sommet de la colline (voir carto) sur lesquels un v�hicule aurait pu stationner. Mais le t�moin parle d'une �l�vation de 45�, largement sup�rieure au 5� d'angle sous lequel appara�t la colline depuis Baume les dames.
-Lanterne tha� : La couleur restitu�e sur la photo correspond bien � celle d'une lanterne tha� (voir illustration ""espace couleur lanterne"") ; on constate dans l'axe de l'observation plusieurs sites de l�cher possibles : centre de loisirs, g�te d'�tape, maison de retraite ; les l�chers de lanternes ont lieu le plus souvent les week-ends et jour de f�te mais l'observation a lieu un mardi, proche de No�l il est vrai. Mais cette hypoth�se convient mal : les lanternes tha� durent entre 5 et 10mn, celle-ci serait en limite de dur�e. L'aspect ponctuel aux jumelles convient aussi assez mal : le t�moin aurait d� distinguer une boule ou une ellipse ; Les lanternes se d�placent au gr� du vent ; s'il est vrai que la m�t�o de Besan�on (voir document ci-joint) indique un vent nul, il est quand m�me �tonnant de constater une lanterne tha� immobilit� totale.
L'hypoth�se qui pourrait convenir � la rigueur reste celle d'une lanterne tha�, mais avec des caract�ristiques en limite pour ce genre de ph�nom�ne. Le GEIPAN ne peut confirmer clairement cette hypoth�se. Ce cas reste en cat�gorie ""C"", par manque de donn�es pr�cises sur la position dans le ciel, et par manque de recoupements.";"Longue observation d'un point lumineux blanc dans le ciel nocturne ; aucun bruit; photographies : manque d'information et de recoupement.";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.50;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;C;D1;2013-12-08619
3328;"TAILLAN-MEDOC (LE) (33) 15.12.2013";Sarthe;72;"(D) D�partement";2013;12;15;"Le dimanche 15 d�cembre 2013 � 18h30, un t�moin est intrigu� par un point lumineux orange plus gros qu'un avion, silencieux, et immobile dans le ciel d�gag�. Au bout de quelques minutes, l'objet s'�loigne et dispara�t rapidement dans une trajectoire ascendante.
Le GEIPAN a analys� deux hypoth�ses pour ce point lumineux orange se d�pla�ant peu, proche de l'horizon :
-Un avion vu de face, � basse altitude, ou � l'approche d'un a�roport (Bordeaux M�rignac, dans ce cas). Le t�moin aurait vu se rapprocher l'avion et aper�u ses feux clignotants. Les traces radars du contr�le a�rien militaire montrent une forte activit� a�rienne � ce moment l� dans la zone (voir relev�, malheureusement tr�s peu lisible qui ne permet pas de corr�ler nettement l'observation).
Dans le secteur d�limit� au Nord-Ouest du Taillan par Sainte-H�l�ne et au Nord-Est par Cubzac, on peut voir les trajectoires suivantes correspondantes � des avions civils :
-GE 751 cap 200 FL 380 (altitude 12000m)
-GE 962 en mont�e passant le FL110 (altitude 3300m) au cap 020 apr�s un virage au sud de ST Jean d'ILLAC et une route initialle 220.
-GA474 au cap 020 FL380 (altitude 12000m).
- 2 trajectoires superpos�es correspondant � un avion au cap 220 en descente passant 3500' (altitude 1200m) � 17h13 et un appareil au cap 040 � 17h46 en mont�e passant 2000'.
- GE 743 au cap 160 � 3800' (altitude 1300m).
-Une lanterne tha�landaise : la couleur et l'aspect correspondent bien, ainsi que la dur�e et l'�l�vation ; mais le l�ger vent d'Est aurait du pousser la lanterne vers la gauche de l'observateur, ce que le t�moin ne mentionne pas. On peut penser aussi � un vent local, un peu diff�rent de celui relev� � M�rignac.
Etant donn� l'heure de l'observation, au cr�puscule, il peut aussi s'agir d'un reflet du soleil sur un ballon sonde, lanc� de M�rignac.
On note aussi ce soir l� � des instants tr�s proches deux ph�nom�nes de puissants points lumineux dans le ciel :
- le passage de la station internationale ISS de 18h07 � 18h16, du SO au NE (La direction d'observation correspond mal � celle indiqu�e par le t�moin).
- et un flash de quelques secondes d'un satellite Iridium � 18h25 plein Sud, peu au-dessus de l'horizon.
De multiples hypoth�ses peuvent expliquer cette observation tr�s peu �trange, mais aucune ne convient parfaitement au t�moignage.
Le GEIPAN classe ce cas C par manque d'informations et de recoupements.";"Observation d'un point lumineux orang� dans le ciel et disparition rapide : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-12-08621
3329;"SAINTE-EULALIE (33) 14.12.2013";Gironde;33;"(D) D�partement";2013;12;14;"Le 14 d�cembre 2013 � 3h du matin, un automobiliste observe le passage tr�s rapide dans le ciel d'une boule de feu argent�e qui disparait vers le N-E. Aucun autre t�moignage n' est rapport�.
L'observation d'une boule de feu tr�s claire, traversant le ciel en moins d'une seconde �voque un bolide (grosse �toile filante) ph�nom�ne provoqu� par la rentr�e dans l'atmosph�re d'un fragment de com�te, ou d'ast�ro�de. Le 14 d�cembre est une date du pic d'activit� de l'essaim m�t�oritique des G�minides : le r�seau d'observateurs BOAM en a enregistr� des dizaines cette nuit l�.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'un bolide, de l'essaim des G�minides.";"Observation du passage rapide d'une boule de feu argent�e dans le ciel : probable observation d'un bolide (grosse �toile filante).";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-12-08622
3332;"STEINBACH (68) 29.12.2013";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2013;12;29;"Le 29 d�cembre 2013 vers 5h45 un t�moin sur la terrasse de son domicile est intrigu� par la pr�sence dans le ciel d'une lueur qui apparait entre des nuages puis d'un disque scintillant. L'objet statique disparait rapidement derri�re les nuages. Aucun autre t�moignage n'a �t� rapport�.
Le t�moin d�crit un ""disque l�g�rement inclin� scintillant de couleur jaune clair"" observ� 2 secondes par une trou�e dans les nuages ; il indique une direction d'observation ""au-dessus de Cernay, vu depuis Steinbach direction Mulhouse, donc sud"" : la carte montre que la direction Cernay et Mulhouse est au sud Est (azimut approximatif : 125�).
La carte du ciel indique � 129� d'azimut et � 9� d'�l�vation la pr�sence de la Lune, � son dernier quartier (fin croissant tr�s inclin�).
Il est fort probable que le t�moin n'a pas reconnu la Lune du fait des nuages et de la bri�vet� de l'observation.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de la Lune. Du fait de la diff�rence d'estimation d'�l�vation entre le rapport du t�moin (20�) et celle de la Lune (9�), il subsiste un l�ger doute sur l'hypothh�se pr�sent�e.";"Observation de l'apparition d'une lueur puis d'un objet disco�de dans le ciel : observation probable de la Lune.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-12-08626
3333;"ESPERAZA (11) 22.12.2013";Aude;11;"(D) D�partement";2013;12;22;"Le 22 d�cembre 2013 � 1h30 un t�moin observe depuis le pas de sa porte, le passage S-N et silencieux de deux boules orange vif tr�s lumineuses avan�ant de fa�on rectiligne. Une troisi�me boule identique passe ensuite au-dessus de sa maison puis s'�l�ve rapidement. Le t�moin part sur les hauteurs de son village pour observer le ph�nom�ne qu'il ne reverra pas.
L'observation de boules oranges lumineuses traversant le ciel dans le sens du vent (de Sud : voir relev� : m�t�o une nuit du samedi au dimanche �voque nettement des lanternes tha�landaises, probablement lanc�es � l'issue d'une f�te dans le quartier Sud d'Esperaza.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement de trois boules lumineuses orange vif dans le ciel : probable observation de lanternes thalandaises.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-12-08629
3334;"XIROCOURT (54) 27.12.2013";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2013;12;27;"Le 27 d�cembre 2012 vers 23h - 23h30 un t�moin observe les d�placements rapides OUEST-NORD EST de trois boules lumineuses jaunes dans le ciel. Les objets disparaissent rapidement � l'horizon.
L'observation de trois boules jaunes volant durant une minute en formation selon le vent (vent de Sud de 20 km/h : m�t�o) un soir de week-end fait penser � des lanternes tha�landaises.
Le t�moin d�crit ""un halo triangulaire"" a priori peu compatible avec les lanternes tha�landaises classiques : mais le dessin fait par le t�moin (ovni5) correspond assez bien � une photo de lanterne (Voir GEIPAN photo). Le t�moin indique un changement de trajectoire, peu compatible avec un d�placement selon le vent, (d�placement a priori lin�aire) : il peut s'agir d'une rafale locale, ou aussi d'une illusion dans l'estimation de la distance. La vitesse apparente constat�e par le t�moin est compatible avec des objets volant � 20km/h � une altitude d'une centaine de m�tres.
Bien que le t�moin r�fute cette hypoth�se, le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises, du fait de la forte similarit� avec ces objets, de la date et heure d'observation compatible avec la fin d'une f�te priv�e.";"Observation du d�placement silencieux de trois boules lumineuses jaunes : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-12-08631
3335;"SAINT-MICHEL-SUR-MEURTHE (88) 31.12.2013";Vosges;88;"(D) D�partement";2013;12;31;"Le t�moin, regardant vers le Nord Nord-Est � 17h30, a ""observ� depuis un v�hicule en mouvement une lumi�re orange au-dessus de l'horizon. La lumi�re semblait fixe, ce n'�tait ni une �toile, ni la Lune, ni un lampadaire.""
Effectivement, il n'y a pas d'�toile tr�s brillante dans cette direction, ni bien s�r la Lune, et c'est trop haut dans le ciel pour un lampadaire.
Etant donnn� que l'observation a lieu peu apr�s le coucher du soleil, on peut envisager le reflet temporaire du soleil sur un avion ou un satellite. Le t�moin dit que la lumi�re semblait fixe, mais comme il �tait en d�placement, on ne peut consid�rer cette affirmation comme rigoureuse.
Le GEIPAN n'a pas trouv� sur ""Flightradar24"" d'avion de ligne pouvant avoir provoqu� ce reflet, mais rien n'exclut un avion militaire. Le relev� du ciel Calsky donne plusieurs candidats de satellites : les satellites NOSS qui passaient dans la direction d'observation du t�moin � ce moment l�, en particulier le d�bris de lanceur : 3-4 Rocket. Ces objets, en g�n�ral peu lumineux (magnitude 4 � 6) sont r�put�s pouvoir ""flasher"" quelquefois.
Ces hypoth�ses, bien que convenables, n'ont pas pu �tre suffisamment consolid�es pour que le GEIPAN les adoptent. Le GEIPAN classe ce cas peu �trange en cat�gorie ""C"" : manque d'informations.";"Observation d'une lumi�re orange fixe au-dessus de l'horizon : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-12-08633
3336;"PARIS (75) 15.12.2013";Paris;75;"(D) D�partement";2013;12;15;"Le 15 d�cembre 2013 � 23h un t�moin observe le ciel d�gag� depuis sa terrasse. Il voit un ph�nom�ne lumineux de couleur et stationnaire. L'observation dure plusieurs heures � l'il nu et aux jumelles. Aucun bruit particulier n'est entendu. Un seul t�moignage sera recueilli.
Cette observation d'un point lumineux fixe dans le ciel correspond � la plan�te Jupiter, �clatante dans le ciel du soir, � l'Est. Les changements de couleur observ�s par le t�moin aux jumelles sont d�es pour partie aux turbulences de l'atmosph�re (scintillement), pour partie � l'optique des jumelles (un point lumineux blanc appara�t g�n�ralement comme iris�).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" comme observation de la plan�te Jupiter.";"Tr�s longue observation d'un ph�nom�ne lumineux de couleur et stationnaire dans le ciel : observation de Jupiter.";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-12-08635
3337;"TART-LE-BAS (21) 08.12.2013";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";2013;12;08;"Le 8 d�cembre 2013 � partir de 17h15 plusieurs personnes observent, dans le ciel au S-SO, un ph�nom�ne unique et sph�rique qui les intrigue. Tr�s lumineux, le ph�nom�ne semble stationnaire dans le ciel d�gag�. Le ph�nom�ne sera observ� jusqu'aux environs de 20h.
Le point lumineux tr�s brillant qu'a longuement observ� le t�moin au Sud-Ouest en d�but de soir�e est sans aucun doute la plan�te V�nus, particuli�rement brillante � ce moment l�. De tr�s bonnes conditions m�t�o auront rendu le spectacle surprenant pour le t�moin.
Le t�moin classe ce cas ""A"" : observation de la plan�te V�nus.";"Longue observation d'un ph�nom�ne lumineux et stationnaire dans le ciel : observation de V�nus.";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-12-08649
3338;"ROMAINVILLE (93) 09.12.2013";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";2013;12;09;"Le 9 d�cembre 2013 � 17h15, un t�moin observe dans le ciel d�gag�, le passage de deux boules compactes d'un rouge vif lumineux, suivies par deux autres. Il prend plusieurs photos. Les boules se comportent comme une escadrille. Elles disparaissent en prenant de l'altitude.
L'analyse des images successives montrent des boules lumineuses arrivant de la gauche du champ de vue du t�moin, et s'�loignant face au t�moin. Comme le t�moin regarde vers le sud-ouest et que le vent souffle de sud-ouest (voir relev�), l'hypoth�se d'objets port�s par le vent convient bien : il est normal que tous les objets suivent la m�me trajectoire.
Ces boules lumineuses port�es par le vent �voquent bien s�r les lanternes tha�landaises. Il est toutefois �tonnant de voir ce type de ph�nom�ne en semaine en fin d'apr�s midi : on peut penser � une f�te anticip�e de No�l ou de Saint Nicolas avec des enfants. Le GEIPAN n'a pas recherch� les auteurs potentiels de ce l�cher.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage de quatre boules lumineuses d'un rouge vif dans le ciel : probable observation de passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-04-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-12-08650
3339;"MAINCY (77) 10.12.2013";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2013;12;10;"Le 10 d�cembre 2013 entre 22h06 et 22h13, un automobiliste observe ""3 grosses lumi�res orange formant un triangle, au dessus d'une petite for�t"". Il observe ""entre ces 3 lumi�res, une masse sombre"". Les lumi�res s'�teignent les unes apr�s les autres, le t�moin d�crit que ""L'OVNI diminuait aussi"". Une autre automobiliste sera prise � t�moin mais un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de lumi�res orange durant quelques minutes �voque nettement les lanternes tha�landaises. Le fait que le t�moin voit un objet sombre entre les lumi�res est une illusion fr�quente de la perception visuelle (th�orie de la Gestalt). On remarquera que le t�moin voit cette forme noire dispara�tre au fur et � mesure que les lumi�res s'�teignent : ceci confirme cette illusion de la perception.
Le GEIPAN s'est renseign� aupr�s de la gendarmerie, de la Mairie, du Chateau de Vaux le Vicomte, afin d'identifier �ventuellement les auteurs de ce l�cher de lanternes ; mais aucune f�te n'�tait r�pertori�e ce soir l� dans le voisinage. On notera que les lumi�res �taient situ�es au-dessus d'un grand parc priv� ; le GEIPAN n'en a pas recherch� les propri�taires de ce parc ; mais le l�cher a d� avoir lieu plus � l'Est. Le vent soufflait tr�s l�g�rement d'Est (cf relev� Meteociel), ce qui fait que le t�moin avait le vent dans son dos, et voyait l�g�rement s'�loigner les objets, quasi stationnaires.
Bien que les l�chers de lanternes soient assez rares en semaine, et que le GEIPAN n'ait pas trouv� l'auteur de ce l�cher, le r�cit des t�moins reste conforme � cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.
Le t�moin n'a pas approuv� cette hypoth�se.";"Observation dans la nuit de trois lumi�res oranges dans le ciel d�limitant une masse triangulaire sombre : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-04-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-12-08653
3342;"LYON (69) 15.12.2013";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2013;12;15;"Le t�moin prend l'air � sa fen�tre � 18h30 lorsqu'il voit et filme un point noir avec deux train�es orange qui se d�place dans le ciel. Le ph�nom�ne dispara�t � l'horizon. Le t�moin poste sa vid�o sur Internet.
L'observation de tra�n�es orange au cr�puscule par temps tr�s clair �voque des tra�n�es de condensation d'avion � haute altitude, � une distance de 20 � 100km.
La vid�o ne laisse aucun doute sur ce ph�nom�ne facile � observer par beau temps � l'Ouest. Voir � ce sujet : des train�es d'avion �tranges.
Le GEIPAN classe ce cas A : observation certaine de tra�n�es de condensation.";"Observation du d�placement d'un point noir avec deux train�es orange dans le ciel : observation certaine de tra�n�es de condensation d'avion.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-12-08714
3344;"OSTWALD (67) 01.01.2014";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2014;01;01;"Le premier janvier 2014 vers 0h08 un t�moin sur son balcon observe dans le ciel le d�placement silencieux de nombreux objets lumineux de couleur rouge qui progressent de fa�on rectiligne dans le ciel nuageux.
Cette observation de 23 points lumineux rouges volant lin�airement selon la m�me trajectoire a toutes les caract�ristiques des lanternes tha�landaises, tr�s couramment lanc�es � l'issue des f�tes. L'occasion du nouvel an renforce cette hypoth�se.
Le relev� m�t�o note un l�ger vent de Sud (Sud ouest � 23h, Sud � 0h, SE � 1h) voir :m�t�o.
Bien que le t�moin r�fute la possibilit� qu'il s'agisse de lanternes volantes, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.
La faible �tranget� de ce type d'observation un 1er janvier � 0h ne justifie pas d'enqu�te de terrain.";"Observation du passage rectiligne et silencieux d'une vingtaine de points lumineux rouges dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-01-08632
3345;"SOLRE-LE-CHATEAU (59) 03.01.2014";Nord;59;"(D) D�partement";2014;01;03;"Le 3 janvier 2014 vers 15h10 un automobiliste et sa passag�re sont intrigu�s par le lent passage, dans une trou�e d'�pais nuages, de deux objets en forme de cigare de couleur gris anthracite. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte tenu des �l�ments recueillis lors de l'enqu�te (voir document d'enqu�te), il s'av�re que l'altitude, la hauteur, les azimuts et la distance aux t�moins des PANs sont compatibles avec ceux d'avions suspect�s d'�tre � l'origine de l'observation. Nous pouvons conclure que les PANs observ�s par le t�moin ne sont probablement que deux avions de ligne observ�s dans des conditions particuli�res. Ces deux avions sont ceux des vols AFR1263 et AFR1471.
Ce t�moignage est d'une bonne consistance : assez pr�cis, mais sans photographies et provenant d'un t�moin unique. Un sch�ma r�capitulatif fait par le t�moin a �t� utile dans ce cas.
L'observation est assez �trange car il s'agit d'objets ayant un comportement en apparence peu banal.
Mais du fait de l'incertitude sur l'heure de passage des avions et de la taille angulaire des objets signal�s par les t�moins, ce cas est class� � B � comme observation tr�s probable de deux avions de ligne.";"Observation du lent d�placement de deux objets cynlindrique gris anthracite dans une trou�e nuageuse : probable observation du passage de deux avions de ligne dans une trou�e de nuages.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.30;0.00;;;;;;;0.70;0.00;B;B;2014-01-08634
3346;"TROUVILLE-SUR-MER (14) 11.01.2014";Calvados;14;"(D) D�partement";2014;01;11;"Cette observation faite le 11 janvier 2014 � 16h50 et la photographie associ�e a toutes les caract�ristiques d'une tra�n�e d'avion observ�e au soleil couchant. Voir � ce sujet une information du GEIPAN :train�es d'avion. Le relev� du site FlightRadar montre une intense activit� a�rienne dans le champ de vue du t�moin : plusieurs avions sont candidats pour avoir produit cette tra�n�e de condensation. Le relev� m�t�o m�t�o. indique un vent de Nord avec une visibilit� importante de 60 km. La tra�n�e observ�e est probablement � 100 ou 120 km, visible du fait de son altitude (10000 m) et surtout des conditions d'�clairage par le soleil couchant. C'est probablement du fait de ces conditions m�t�o excellentes, et d'un point de vue inhabituel que le t�moin a �t� surpris par ce ph�nom�ne plut�t banal.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation d'une tra�n�e de condensation d'avion.
Pour information : les com�tes sont visibles seulement de nuit, car leur tra�n�e est peu lumineuse.";"Observation d'une train�e color�e dans le ciel : observation d'une train�e de condensation d'avion.";O;1;;;;;;;;2014-06-17;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-01-08637
3347;"PONTOISE (95) 01.01.2014";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2014;01;01;"Le 1er janvier 2014 vers 1h10 du matin un t�moin dans une rue constate la pr�sence dans le ciel nuageux du passage successif de cinq boules lumineuses de couleur jaune orang�. L'observation dure environ une vingtaine de minutes avant que les boules ne disparaissent les unes apr�s les autres. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Ce t�moignage tr�s pr�cis et largement document�, d�crit le passage de cinq boules lumineuses d'une lueur jaune orang�. La trajectoire horizontale est rectiligne et les objets �voluent sous la couche nuageuses. Le vent relev� � Pontoise-Cormeilles est de SudOuest m�t�o. Le relev� Infoclimat � Saint-Ouen-L'aum�ne indique SSO.
Le t�moin regarde vers le sud est, et voit les boules passer de sa droite vers sa gauche en s'�levant. Il a l'impression d'un rapprochement de ces boules, rapprochement r�el ou d� � l'augmentation de leur luminosit�. Les vid�os, exag�rement zoom�es et d�focalis�es (flou de mise au point) ne montrent pas les d�tails de l'objet, juste sa couleur orang�e, et divers artefacts optiques et num�riques.
La trajectoire des lumi�res telle que propos�e dans le dossier �labor� par le t�moin n'est pas justifi�e.
Ce t�moignage a toutes les caract�ristiques de l'observation de lanternes tha�landaises : boules lumineuses orange se succ�dant sur la m�me trajectoire � peu pr�s lin�aire, selon le vent local, lors d'une nuit de festivit�s. Les objets sont probablement bien plus proches que ce que le t�moin estime : probablement entre 1 et 2 km.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises. Le t�moin r�fute cette hypoth�se.";"Observation du passage de plusieurs boules lumineuses de couleur orange dans le ciel : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-01-08638
3348;"WASQUEHAL (59) 19.01.2014";Nord;59;"(D) D�partement";2014;01;19;"Le 19 janvier 2014 � 20h30 un automobiliste sur une voie rapide observe dans le ciel trois formes lumineuses de couleur orang� �voluant lentement sous lesquelles il va passer. Il voit alors un triangle aigu.
On rel�ve un vent tr�s faible, variable de Sud � Est : m�t�o. Le comportement des objets est compatible avec des objets port�s par le vent. La couleur orange �voque la couleur des flammes des lanternes tha�landaises. Mais la forme triangulaire d�crite par le t�moin ne semble pas compatible de cette hypoth�se. (Voir la photo GEIPAN DSC7031 de trois lanternes tha�landaises qui pourraient ressembler � ce qu'a vu le t�moin).
Ce t�moignage est d'une consistance moyenne � faible : le t�moin conduit sa voiture et observe � travers le pare-brise ; il est tr�s difficle d'estimer le d�placement r�el des objets, du fait que le t�moin se d�place lui-m�me ; le GEIPAN n'a pas re�u d'autre t�moignage de ce ph�nom�ne alors que la zone est tr�s peupl�e.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque de recoupements permettant d'infirmer ou confirmer l'hypoth�se de lanternes tha�landaises.";"Observation par un automobiliste du lent d�placement de trois formes lumineuses de couleur orang�e formant un triangle : manque d'informations.";O;1;;;;;;;;2014-07-31;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-01-08639
3349;"PONT-SAINT-PIERRE (27) 11.01.2014";Eure;27;"(D) D�partement";2014;01;11;"Le 11 janvier 2014 vers 16h25 un t�moin observe la lune dans le ciel nuageux lorsqu'il aper�oit jusqu'� 8 lumi�res d'un blanc lumineux appara�tre en tournoyant silencieusement, et dispara�tre de sa vue au bout de quelques minutes dans une trajectoire rectiligne. L'observation dure 15 secondes. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs d�finis dans le compte rendu d'enqu�te � savoir la pr�sence d'un ciel clair et lumineux et d'une bonne visibilit�, la position du soleil, bas sur l'horizon et l'effet de contraste, les PANs se trouvant dans une configuration spatiale favorable pour leur visibilit� par le t�moin (forte r�flexion de la lumi�re solaire) et la forme visible des PANs, nous pouvons conclure que toutes les conditions �taient r�unies pour que le t�moin puisse observer de simples oiseaux blancs en vol � haute altitude, refl�tant fortement la lumi�re solaire vers lui.
Ce cas est � classer en � B � comme observation probable d'oiseaux en vol � haute altitude.";"Observation rapide du passage silencieux de 8 formes lumineuses apparues successivement dans le ciel : observation probable d'oiseaux en vol � haute altitude.";O;;;;;;;;;2015-02-23;;;0.40;0.00;;;;;;;0.70;0.00;B;B;2014-01-08641
3350;"LIMEIL-BREVANNES (94) 07.01.2014";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2014;01;07;"Dans la soir�e du 7 janvier 2014 entre 20h et 23h, une personne aper�oit successivement depuis chez elle des ph�nom�nes lumineux diffus et en mouvement dans le ciel nuageux au-dessus de Paris. Le ph�nom�ne se d�place en arc de cercle, de longueur variable avec parfois des arr�ts d'une seconde. Un seul t�moignage est recueilli et deux photos sont jointes au questionnaire.
Compte tenu des �l�ments objectifs d�finis dans le compte rendu d'enqu�te, � savoir le d�placement, la couleur, la forme et l'aspect diffus des PANs, l'absence de faisceau tout � fait plausible et explicable et la pr�sence d'installations se trouvant le long de l'azimut de l'observation susceptibles d'utiliser de tels �quipements, nous pouvons conclure que les PANs observ�s ne sont probablement que des impacts de laser sur la couche nuageuse dense inf�rieure.
Ce cas est class� � B � comme observation probable de l'impact de faisceaux laser utilis�s dans le cadre d'une manifestation locale sur la couche nuageuse.";"Observation de plusieurs ph�nom�nes lumineux diffus en mouvement dans les nuages au-dessus de Paris : observation probable de l'impact de faisceaux laser sur la couche nuageuse.";O;;;;;;;;;2015-02-23;;;0.30;0.00;;;;;;;0.80;0.00;B;B;2014-01-08642
3351;"SAINT-BONNET-DU-GARD (30) 17.01.2014";Gard;30;"(D) D�partement";2014;01;17;"Le 17 janvier 20147 � 19h05 un automobiliste sur la D 6036 en direction de Saint-Bonnet-du-Gard ( 30) est surpris de voir durant quelques secondes le passage dans le ciel d'une lumi�re puissante provenant d'une boule blanche suivie d'une train�e. Aucun bruit particulier n'est entendu. Aucun autre t�moignage ne sera rapport� au GEIPAN.
Ce ph�nom�ne tr�s lumineux a �t� observ� simultan�ment dans une bonne partie de la moiti� Est de la France, surtout au Nord-Est (Alsace, Lorraine, Vosges) par de nombreux t�moins et au moins 4 cam�ras automatiques situ�es � Chaligny, � Bollwiller, au Val d'Ajol, � l'Obervatoire de Paris) (voir les pi�ces jointes).
La trajectoire d'Est en Ouest est bien d�crite par tous les t�moins. Comme souvent, les t�moins ont l'impression d'un ph�nom�ne tr�s proche, alors que ces bolides se produisent de 100 � 40 ou 30 km d'altitude.
Les caract�ristiques de ce bolide (dur�e, trajectoire vers l'Ouest) sont celles d'une rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de, petit corps pierreux, probablement issu de la ceinture d'ast�ro�des. Les param�tres enregistr�s par les cam�ras du r�seau BOAM dans le Nord-Est de la France ont permis d'�tablir les caract�ristiques suivantes du bolide :
AllSkyCamFrance
""La trajectoire ""unifi�e"" donn�e par le logiciel UFOorbit s'apparente � celle la plus au Nord (soit de Verdun a Reims) :
Vg(vitesse) : 14 km/s, dur�e : 6.1 s, magnitude maximale (depuis Chaligny) : -7, magnitude absolue : -5.5, d�but > hauteur : 87 km , latitude : 49.08�N , longitude : 5.49�E ; fin > hauteur : 38 km , latitude : 49.20�N , longitude : 4.09�E, inclinaison : 25�, distance parcourue : 115 km"".
Le bolide est apparu au t�moin direction N - NE, � une �l�vation (au-dessus de l'horizon) calcul�e de l'ordre de 5� � 2 � (en tenant compte de la rotondit� de la Terre), ce qui correspond bien au sch�ma produit par le t�moin.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de la rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de. Cet objet a peut-�tre �t� assez gros pour donner lieu � une m�t�orite au sol dans l'Ouest de la France.";"Observation rapide du passage d'une lumi�re intense provenant d'une boule blanche et suivi d'une train�e : observation d'une rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de.";O;1;;;;;;;;2014-02-11;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-01-08643
3352;"GRAND-BORNAND (LE) (74) 07.01.2014";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2014;01;07;"Un t�moin relate l'observation d'une quinzaine de lumi�res bleues ou blanches dans le ciel, en regardant vers le sud du Grand-Bornand (en direction de La Clusaz, situ� derri�re la montagne du Danay) le 7 janvier 2014 vers 22 heures.
La discoth�que ""le bal"" � la Clusaz a un laser et l'utilise tous les soirs, m�me en semaine. Cet �tablissement est situ� � environ 4 km au sud du point d'observation. Le laser utilis� projette un spot blanc qui d�crit rapidement des cercles dans le ciel. Du fait que l'observation s'arr�te lorsque le ciel devient clair renforce l'hypoth�se que ce soit ce laser, projet� sur les nuages, que le t�moin ait observ�.
Le t�moin, habitu� des lieux, estime que ce qu'il a vu n'est pas un laser de discoth�que. Le rapport de gendarmerie note que le t�moin avait pris ce jour l� du IXPRIM, un antalgique qui contient du Tramadol, connu pour pouvoir provoquer rarement des hallucinations (entre 1/100 et 1/100). Le t�moin a pu avoir sa perception perturb�e par un m�dicament.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de projection sur les nuages d'un laser de discoth�que.";"Observation des �volutions rapides et silencieuses d'une quinzaine de lumi�res bleues ou blanches dans le ciel : probable observation d'une animation laser.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-01-08645
3353;"VOUZAILLES (86) 14.01.2014";Vienne;86;"(D) D�partement";2014;01;14;"A travers la baie vitr�e de leur salle de s�jour, les t�moins voient passer en 2 secondes une boule lumineuse tr�s brillante. Cette seule description �voque d�j� l'observation d'un bolide, c'est-�-dire la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de. La boule lumineuse est dot�e d'une l�g�re tra�n�e.
Le GEIPAN n'a pas re�u d'autres t�moignages, et le site BOAM (Base de donn�es des observateurs de m�t�ores) n'a pas enregistr� ce type d'�v�nement � ce moment l�.
Ce t�moignage est tr�s consistant du fait des deux t�moins et de la pr�cision de la description de la trajectoire du ph�nom�ne.
L'estimation d'altitude (100m) faite de fa�on intuitive est tr�s probablement fausse, comme dans tous les ph�nom�nes inconnus : dans ce cas, comme le ph�nom�ne �tait tr�s brillant, le t�moin l'a interpr�t� comme tr�s proche, mais sans rep�res objectifs. Le ciel tr�s clair a permis au ph�nom�ne d'�tre tr�s visible, et per�u d'autant plus proche.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de bolide. N.B. Du fait que le t�moin a observ� le ph�nom�ne � travers une vitre, Le GEIPAN a envisag� aussi l'hypoth�se d'une lumi�re artificielle (phare de moto, torche �lectrique) venant derri�re les t�moins, mais les champs de vue ne semblent pas convenir aux directions d'observation.";"Observation du passage rapide et silencieux d'une boule lumineuse blanche dans le ciel : observation probable de bolide.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-01-08651
3355;"PARIS (75) 09.01.2014";Paris;75;"(D) D�partement";2014;01;09;"Le 9 janvier 2014 � 9h35 un t�moin, au volant de sa voiture, aper�oit pendant 3/4 seconde un objet brillant blanc �clatant dans le ciel, entre les nuages.
Le t�moin, sur l'autoroute A6, dans le sens province Paris, regarde donc plein Nord. Le relev� Casperflights des vols commerciaux indique dans cette direction � 9h37 le vol AF620 JL (Airbus A321) en mont�e entre 2500 et 3000m apr�s son d�collage de Roissy. Cet avion a l'orientation id�ale pour que son fuselage r�flechisse le soleil levant vers l'observateur. Les ailes, sur un plan horizontal ne reflechissent pas le soleil, et sont donc tr�s peu visibles.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation du reflet du soleil sur un avion.";"Observation rapide entre deux nuages d'un objet lumineux blanc : observation du reflet du soleil sur un a�ronef.";O;1;;;;;;;;2014-03-21;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-01-08655
3356;"RABATELIERE (LA) (85) 01.01.2014";Vend�e;85;"(D) D�partement";2014;01;01;"Le 1er janvier 2014 � 0h15 plusieurs personnes sont intrigu�es par les d�placements silencieux d'une lumi�re dans le ciel. Une photographie est prise.
L'observation d'une lumi�re rouge-orang� se d�pla�ant lentement une nuit de f�te �voque une lanterne tha�landaise.
Meteociel uindique unl �ger vent de sud :m�t�o pas incompatible avec le d�placement Sud-Ouest vers Nord est indiqu� par le t�moin.
La photo fournie, tr�s agrandie, et probablement sujette � un flou de boug�, est coh�rente avec cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanterne tha�landaise.";"Observations du d�placement silencieux d'une lumi�re rouge-orang� dans le ciel : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-01-08657
3357;"THEY-SOUS-MONTFORT (88) 28.01.2014";Vosges;88;"(D) D�partement";2014;01;28;"Le 28 janvier 2014 aux alentours de 22h15 un t�moin � l'ext�rieur observe durant 2 � 3 minutes le d�placement d'un PAN lumineux en forme de halo puis de boule tr�s lumineuse rouge avec une petite queue bleue. La trajectoire est complexe (rectiligne, puis arr�t, suivi d'un demi-tour avec l�g�re d�viation, de nouveau trajectoire rectiligne en sens contraire et � la m�me hauteur, d�placement en diagonale vers la gauche pour dispara�tre presque aussit�t dans le ciel). L'objet est d'abord per�u � 500m puis proche du t�moin (env 15m) avant de s'�loigner de nouveau. Un seul t�moignage est recueilli. Un enqu�teur rencontrera le t�moin (voir le compte rendu de l'enqu�te).
Du fait du caract�re insolite mais tr�s coh�rent des descriptions fournies par le t�moin et de la situation spatio-temporelle du ph�nom�ne rendant tr�s improbable toute activit� humaine susceptible de rendre compte du ph�nom�ne d�crit, il semble logique d'admettre l'impossibilit� actuelle de donner une explication prosa�que argument�e.
Seule l'explication par un ph�nom�ne de foudre globulaire, certes tr�s mal connu mais dont les multiples fac�ties semblent s'affirmer au travers des tr�s nombreux t�moignages recueillis depuis plus d'un si�cle, pourrait �ventuellement s'accorder avec le comportement complexe du ph�nom�ne.
Il y a effectivement quelques similitudes avec certains t�moignages li�s � la foudre (forme, dimensions, couleur, luminosit�, d�placement lent, souple et proche du sol, disparition soudaine) qui peuvent inciter � classer ce cas dans cette cat�gorie. Mais il n'y a aucun �l�ment factuel permettant de consolider cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas comme inexpliqu� (cat�gorie D1), car la description est d�taill�e, l'observation plut�t �trange et faite dans de bonnes conditions.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux rouge avec une petite queue bleue � proximit� du t�moin : ph�nom�ne non identifi� �trange.";O;;;;;;;;;2016-02-24;;;0.65;0.00;;;0.90;;0.80;;0.70;0.00;D1;D1-;2014-01-08689
3358;"MARQUETTE-LEZ-LILLE (59) 22.02.2014";Nord;59;"(D) D�partement";2014;02;22;"Le 22 f�vrier 2014 vers 19h45, une habitante de MARQUETTE-LEZ-LILLE (59) rentre � son domicile apr�s avoir �t� faire les courses. Alors qu'elle se gare devant son domicile, elle aper�oit dans le ciel un point lumineux se d�pla�ant vers la gauche. Apr�s une phase d'observation d'environ deux minutes, le PAN dispara�t du champ de vision du t�moin, qui se dirige alors vers son jardin. Elle revoit alors le PAN, et constate la pr�sence d'un deuxi�me PAN se d�pla�ant en sens inverse. Les deux PAN se croisent. Alors que le premier continue de s'�loigner, le deuxi�me s'arr�te et reste fixe dans le ciel jusqu'� l'arriv�e des nuages qui couvrent le ciel, entre 10 minutes et une heure apr�s le d�but de l'observation. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
D'�tranget� moyenne, mais de consistance suffisante (nombreux d�tails coh�rents et pr�cis permettant de cr�dibiliser le cas), ce cas s'av�re �tre une m�prise avec un objet astronautique parfaitement connu, la station spatiale internationale (ISS), croisant durant sa trajectoire un astre particuli�rement remarquable, l'�toile Sirius.
L'ISS �tait visible � un horaire tr�s proche de celui donn� par le t�moin, sur une trajectoire parfaitement coh�rente avec celle du PAN. Le fort rapprochement durant sa trajectoire avec l'�toile Sirius a pu donner l'illusion, durant une courte p�riode de temps, d'un d�placement inverse de cette �toile.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (fatigue, �tonnement, observation en plusieurs phases).
Ce cas est class� A, m�prise avec l'ISS croisant durant sa trajectoire l'�toile Sirius.";"Observation de deux ph�nom�nes lumineux se croisant : m�prise avec l'ISS croisant durant sa trajectoire l'�toile Sirius.";O;;;;;;;;;2017-04-05;;;0.15;0.25;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;A;A;2014-02-08656
3360;"MALLEMORT (13) 22.02.2014";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2014;02;22;"Le t�moin a observ� une tr�s forte lumi�re, de couleur verte, suivie d'une tra�n�e orange, qui a travers� le ciel en 3 � 4 secondes le 22 f�vrier 2014 � 20h10.
Ce ph�nom�ne, appel� bolide, a tr�s probablement �t� provoqu� par la chute dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de.
La presse a relat� l'�v�nement : ils ont vu la m�t�orite dans le cielmais aucun autre t�moin n'a d�clar� l'observation au GEIPAN.
Rien n'est signal� sur le site BOAM (cam�ras), mais la France �tait sous une couverture nuageuse sauf sud-Est.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation de rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de (chute de m�t�orite)";"Observation du passage rapide d'une lumi�re suivie d'une train�e : probable observation d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de (chute de m�t�orite).";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-02-08659
3362;"DOUAI (59) 02.02.2014";Nord;59;"(D) D�partement";2014;02;02;"Le 2 janvier 2014 � 18h30 deux personnes observent le lent passage silencieux de plusieurs lumi�res orange dans le ciel. Un seul t�moignage est rapport�.
Des boules orange se d�pla�ant lentement dans le ciel, dans le sens du vent (Vent de Sud 11� 19 km/h relev� � Lille) une soir�e de week end �voque nettement des lanternes tha�landaises (lampions volants). Voir m�t�o.
Le t�moin r�fute cette hypoth�se.
Comme le rapport d'observation est totalement compatible avec cette hypoth�se, et que les l�chers de lanternes sont tr�s fr�quents, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.
On note que le 2 f�vrier est le jour de la f�te de la Chandeleur, f�t�e traditionnellement avec des torches ou bougies. Le GEIPAN, apr�s une recherche rapide sur Internet, n'a pas trouv� les auteurs du l�cher.";"Observations du passage silencieux et lent de plusieurs lumi�res oranges dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-02-08667
3363;"BEAUMONT-EN-VERON (37) 23.02.2014";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2014;02;23;"Le 23 f�vrier 2014 � 22h10 un couple observe � travers une baie vitr�e le passage silencieux et rectiligne d'une lumi�re tr�s vive. Soudain le ph�nom�ne fait plusieurs fois des mouvements ascendants puis descendants et la lumi�re devient rouge avant de disparaitre en direction de l'Ouest. L'observation aura dur� entre 2 et 3 minutes dans le ciel d�gag�.
L'observation d'une lumi�re incandescante, aux reflets rouges, se d�pla�ant horizontalement dans le ciel durant quelques minutes, anim�e de petits mouvements ascendants ou descendants, �voque une lanterne tha�landaise port�e par le vent, probablement l�ch�e � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Meteociel indique pour Tours une forte couverture nuageuse (7/8) et un vent d'Est de 17 � 28 km/h (voir la m�t�o. Le sens du vent est compatible avec cette hypoth�se. On note toutefois que les l�ch�s de lanternes sont plus fr�quents les samedis soirs que les dimanches.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'une lanterne tha�landaise.";"Observation du passage silencieux d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel nocturne ; le ph�nom�ne fera des mouvements ascendants et descendants avant de disparaitre : probable observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;2;;;;;;;;2017-06-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-02-50072
3364;"FLOIRAC (33) 11.02.2014";Gironde;33;"(D) D�partement";2014;02;11;"Le 06 f�vrier 2014 � 21h15 un t�moin fermant ses volets aper�oit plusieurs objets lumineux qui se d�placent silencieusement dans le ciel.
L'observation d'objets brillants se succ�dant dans le ciel, dans le sens du vent, �voque les lanternes tha�landaises. Le t�moin observe les objets volant du nord vers le sud. Le relev� M�t�ociel � Bordeaux donne un vent de Nord Ouest 22 � 33 km/h, peu nuageux (5/8) m�t�o.
Etant donn�e la direction du vent, ces lanternes ont pu �tre lanc�es depuis le quai des Chartrons. La f�te du T�t a �t� c�l�br�e � Bordeaux le 8 f�vrier.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observations du d�placement silencieux de plusieurs points lumineux dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-03-50073
3365;"CLONAS-SUR-VAREZE (38) 02.03.2014";Is�re;38;"(D) D�partement";2014;03;02;"Un t�moin rapporte une observation faite le 2 mars 2014 � 19h40 concernant de nombreux ph�nom�nes lumineux blancs ou jaunes orang�s pr�sents dans le ciel. Le t�moin qui se d�place en voiture afin de poursuivre son observation prendra une vid�o et des photographies avec son t�l�phone portable. Un seul t�moignage sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Le t�moin aper�oit plusieurs points lumineux apparamment immobiles dans le ciel, le plus proche �tant bleu-orange. L'un d'eux plus haut que les autres dispara�t derri�re les nuages.
Ce jour l�, les relev�s d'Infoclimat notent un l�ger vent de Nord, s'orientant au Sud vers 19h � Lyon, et vers 21h � Valence. Il est difficile d'estimer quel vent soufflait � 19h20, � Clonas, situ� entre les deux stations. Voir meteo Bourg-Les-Valence et meteo Lyon.
Les photos et vid�os sont tout � fait similaires aux photos et vid�os de lanternes tha�landaises.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation de nombreux points lumineux de couleurs dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-04-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-03-08668
3366;"GUETHARY (64) 10.03.2014";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2014;03;10;"Le 10 mars 2014 entre 19h30 et 1945, un automobiliste roulant � 110km/h sur L'A63 est intrigu� par le d�placement d'un objet tubulaire de couleur noir se d�tachant sur le bleu du ciel. Le Pan poss�de des proportions d'un ""stylo plume assez �pais"". Le t�moin observe une petite lumi�re verte sous l'objet qui semble l'accompagner durant son parcours rectiligne. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation continue de moins de trois secondes. L'objet est sorti du champ de vision du t�moin masqu� par les �l�ments du paysage. L'observation dure 1 � 2 secondes. Aucun autre t�moignage n'a �t� rapport�.
Compte tenu des �l�ments recueillis dans le dossier, � savoir :
- PAN se d�pla�ant contre le sens du vent dominant.
- Aspect compatible d'un avion vu de profil.
- Pr�sence d'un feu vert fixe non conforme au sens de d�placement d'un avion.
Nous pouvons seulement conclure que le PAN observ� par le t�moin ne peut �tre caract�ris� simplement.
Du fait de la similarit� avec un avion et de sa trajectoire rectiligne, l'�tranget� de cette observation est relativement faible ; la bri�vet� de l'observation, l'unicit� du t�moignage, et le fait que le t�moin conduisait sa voiture affaiblissent la consistance de ce cas.
Ce cas est class� � C � par manque de recoupements permettant de conforter ou d'infirmer une des hypoth�ses (voir le compte rendu d'enqu�te).";"Observation courte par un automobiliste du passage dans le ciel d'un objet tubulaire sombre avec une lumi�re verte : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-01-27;;;0.75;0.00;;;;;;;0.65;0.00;C;C;2014-03-08669
4261;"ANCINNES (72) 21.01.2017";Sarthe;72;"(D) D�partement";2017;01;21;"La photo des t�moins est caract�ristique d'une forme de train�e avion en fer � cheval. Cette forme particuli�re est caus�e par les �jections qui s'�cartent du fuselage de l'avion avant de se rejoindre dans son sillage. La direction de l'avion en �loignement du t�moin (et non en d�placement transversal) permet une vision s�par�e durable des deux train�es.
La particularit� de la trace dans le cas du t�moin provient de la condition d'�clairement. Tr�s souvent ces train�es sont lumineuses car directement �clair�es par le soleil. Ici, la train�e n'est pas �clair�e directement �par le soleil� (masque de la terre) mais l'arri�re-plan dans la vis�e du t�moin est constitu� par une partie haute de ciel encore �clair�e par le soleil et qui permet donc � la train�e de se d�tacher sur un fond plus lumineux . D'ailleurs on voit bien une luminosit� croissant vers le haut dans la photo du t�moin.
Flightradar montre plusieurs avions possibles dans la direction indiqu�e par les t�moins ( Sud Est de Ancinnes � cot� de Alen�on) et � l'heure indiqu�e (apr�s 18H10 local, 17H10 TU). Une piste correspond tr�s probablement au PAN car il l'avion est vu du t�moin de ��dessous derri�re�� ce qui conf�re l'orientation vers le haut du fer � cheval de la train�e. D'autre part cette piste est bien dans la zone qui n'est plus �clair�e par le soleil.
Le document joint ""reconstitution"" d�taille ces explications.
Les t�moins indiquent une dur�e de l'ordre de 10 minutes. Ceci n'est pas conforme � une trace d'avion qui �volue beaucoup dans le ciel sur cette dur�e. L'observation a �t� plus courte et la sur estimation de dur�e est une erreur classique. D'ailleurs les deux photos des t�moins dat�es d'une minute d'�cart ne reportent pas la m�me trace.
En cons�quence GEIPAN classe le cas en A: observation de Train�es avion
";"Observation par trois t�moins d'un objet fixe gris�tre dans le ciel : observations de train�es d'avion.
";O;;;;1;;;;;2017-04-05;0.10;;0.10;0.00;0.70;;;0.90;;0.63;0.63;0.00;A;A;2017-01-09623
4263;"THOR (LE) (84) 17.12.2016";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2016;12;17;"Le samedi 17 d�cembre 2016 vers 20h45 un t�moin est intrigu� par le d�placement silencieux d'une lumi�re rouge orang� tr�s brillante dans le ciel. La lumi�re disparait rapidement mais le t�moin aura eu le temps de prendre une photo. Un seul t�moignage sera recueilli.
Le t�moin a probablement observ� une lanterne thailandaise. La description qu'il fait de ce qu'il voit � l'oeil nu est conforme. Par ailleurs, on est un soir de week-end toujours plus propice � un �v�nement festif de l�cher de lanterne.
Le vent mesur� sur Infoclimat est faible et conforme � l'impression de faible �volution du PAN.
L'�tranget� relev�e par le t�moin et probablement � l'origine de son t�moignage (d'ailleurs r�fl�chi car tardif plus d'un mois apr�s) : elle d�coule de l'observation de sa photo qui montre une arabesque orange. Cette derni�re est classique et r�sulte d'un effet de bouger. La photo est prise en pause longue ( 4 sec) et le t�moin a boug� avant la fin. Il y a sur la photo un point lumineux central fort correspondant au temps de stabilit� de la prise de vue suivi de l'effet de bouger engendrant une intensit� lumineuse inversement proportionnelle � la vitesse de bouger (plus la lanterne passe vite devant les pixels d�tecteurs, moins ces derniers sont"" impressionn�s""). Le fait que ce bouger n'apparaisse pas sur les autres points lumineux de la photo (probables �toiles) s'explique par le fait que ces points sont bien moins lumineux � la base et n'arrivent � ""impressionner"" les pixels d�tecteurs que lors de la p�riode stable et passent trop vite devant les autres pixels d�tecteurs pendant la phase de bouger.
Le fait que la lanterne ne soit plus pr�sente dans le ciel apr�s la photo est un pure co�ncidence, la lanterne s'est �teinte. Le fait que le t�moin d�crive l'�volution du PAN dans son viseur incite � penser qu'il a ensuite pris un peu de temps pour regarder la photo finalis�e sur son viseur avant de regarder de nouveau dans le ciel, la quasi-simultan�it� entre photo et disparition n'est peut �tre pas aussi nette bien qu'elle soit par ailleurs possible.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : lanterne thailandaise.";"Observation du passage silencieux d'une lumi�re rouge orang� dans le ciel nocturne d'un week-end ; photographie : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.80;;0.50;0.00;B;B;2016-12-09624
4268;"[D160] de FERRIERE (LA) (85) vers ROCHE-SUR-YON (LA) (85) 13.01.2017";Vend�e;85;"(D) D�partement";2017;01;13;"Le vendredi 13 janvier 2017 � 17h45 un automobiliste a son attention attir�e par une lumi�re intense blanche dans le ciel ciel d�gag�. La lueur disparait durant 15 � 20 secondes puis r�apparait plus intense que la premi�re fois. L'observation recommence un peu plus loin sur le trajet. Un seul t�moignage est recueilli.
Il s'agit tr�s probablement de la r�flexion du soleil sur des avions. Le t�moin �met lui m�me cette hypoth�se mais est �tonn� du faible mouvement dans le ciel tout en admettant qu'il lui est difficile d'�valuer le d�placement. Il �crit � ce propos ""bien que ceux-ci �taient immobiles, mais bon avec la distance... on per�oit peut �tre mal les d�placements"" et on peut aussi ajouter que le t�moin �tait au volant. Il y a effectivement une bonne condition g�om�trique d'effet miroir du soleil sur des avions.
Il y a, ce soir l�, une succession d'avions volant selon la m�me direction que le t�moin et avec un cap face au soleil (~240�). Autrement dit, les avions, le soleil et le t�moin sont quasiment dans le m�me plan, et comme le soleil est � l'horizon il peut y avoir un effet miroir soleil -> avion -> t�moin cr�e par le dessous de la carlingue et plus encore celui des ailes des avions. Le ph�nom�ne est sensible � la g�om�trie, dont l'�volution avec le d�placement des avions peut expliquer l'apparition et la disparition. Il est probable que l'interruption pendant 20 secondes correspondait � la fin du ph�nom�ne sur un avion et l'apparition du ph�nom�ne sur un autre avion, si bien que la l'observation cumul�e de plusieurs minutes n'a probablement pas d�pass� une dur�e de une minute, voire deux, continue sur un (ou des) m�me avion. Un avion observ� au d�part � 30� d'incidence (donn�e t�moin) descend jusqu'� une �l�vation de 20� en une minute et 15� en 2 minutes. Cette �volution angulaire reste faible et a pu ne pas �tre not�e par le t�moin. La reconstitution jointe permet de retrouver la phase finale de l'observation avec deux avions, dont un situ� plus loin et plus au Sud que l'autre, ce qui correspond bien pour le t�moin � un PAN plus bas et plus � gauche.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation d'avions.";"Observations successives de lumi�res intenses dans le ciel par un automobiliste : observations des reflets du soleil sur des avions.
";O;;;;;;;;;2017-06-01;;;0.20;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;A;A;2017-01-09625
3367;"SAINT-REMY-LES-CHEVREUSE (78) 09.03.2014";Yvelines;78;"(D) D�partement";2014;03;09;"Le 9 mars 2014 � 19h50, un t�moin depuis son domicile observe durant quelques secondes le passage d'un ph�nom�ne faiblement lumineux suivi d'une train�e longue et blanche dans le ciel.
Cette observation d'une boule lumineuse suivie d'une tra�n�e, traversant le ciel en ligne droite en 2 ou 3 secondes a toute les caract�ristiques d'un bolide (voir ce terme : bolide). Le r�seau amateur de cam�ras automatiques BOAM (voir R�seau BOAM) n'a pas enregistr� ce ph�nom�ne, peut-�tre pas assez lumineux. On note toutefois deux enregistrements de bolide dans la m�me soir�e, � 21h03 et 23h28 par des cam�ras situ�es dans l'Est de la France.
Le GEIPAN a re�u un t�moignage direct d'une observation faite � Saint-Andr�-de-Cubzac (33), pr�s de Bordeaux, le m�me jour entre 19h30 et 19h45 qui peut correspondre � ce ph�nom�ne : les directions de d�placement du ph�nom�ne sont compatibles mais les heures d'observation rapport�es ne co�ncident pas exactement.
Faute de confirmations, ce cas est pour l'instant class� ""B"" : observation probable d'un bolide. On note globalement de nombreuses observations de bolides en f�vier et mars.";"Observation durant trois secondes du passage rectiligne d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel suivi d'une train�e longue et blanche : probable observation d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;B;C;2014-03-08670
3368;"SAINTE-CLOTILDE (974) 11.03.2014";R�union;974;"(D) D�partement";2014;03;11;"Depuis sa fen�tre orient�e au Sud, un t�moin observe, le 11 mars 2014 � 3h05 sur sa gauche, donc vers l'Est, un point tr�s lumineux, s'�levant lentement dans le ciel durant 40 minutes. Le sch�ma �labor� par le t�moin place le ph�nom�ne � un azimut de 109�.
La carte du ciel montre la plan�te V�nus, �clatante dans le ciel du matin � l'Azimut 107� � son lever (voir les 2 cartes produites par le logiciel Winstars � 3h05 et 3h40, dans la direction indiqu�e par le t�moin (109� ).
Le GEIPAN classe ce cas 'A' : observation de la plan�te V�nus.
Le t�moin n'a pas reconnu V�nus, peut-�tre parce qu'un astre � l'horizon n'est souvent pas reconnu comme un astre, mais comme un objet survolant le paysage, mais aussi parce qu'il y avait cette nuit l� des conditions m�t�orologiques particuli�res : Infoclimat indique une humidit� de seulement 66%, donc une clart� du ciel exceptionnelle, rare dans cette r�gion (voir relev� m�t�o du 10 au 11 mars. Les autres relev�s de la semaine indiquent au moins 76% d'humidit�).
S'il s'�tait agi d'un autre ph�nom�ne que V�nus, du fait que le t�moin regardait exactement dans la direction de cette plan�te, le t�moin aurait d� voir dans le ciel le ph�nom�ne ET V�nus.";"Observation du d�placement tr�s lent et ascendant d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : observation astronomique de V�nus.";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-03-08671
3370;"BOURG-EN-BRESSE (01) 18.03.2014";Ain;01;"(D) D�partement";2014;03;18;"Le mardi 18 mars 2014 vers 20h30 un couple de promeneurs est surpris d'observer dans le ciel d�gag� quatre feux constants de couleur orange p�le �voquant une forme trap�zoidale sombre. Ces lumi�res se d�placent silencieusement � vitesse constante sur une trajectoire rectiligne. Le t�moin d�tourne son regard mais l'objet aura disparu lorsqu'il cherchera � le revoir. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
L'observation de feux oranges volant silencieusement, horizontalement, dans la m�me direction que le vent, �voque nettement des lanternes tha�landaises probablement l�ch�es � l'issue d'une f�te. Il est fr�quent de percevoir une forme sombre lorsqu'on observe plusieurs lumi�res se d�pla�ant ensemble (Effet Gestalt).
Le t�moin voir partir l'objet vers l'Est ou Nord Est : le vent relev� � Lyon-Satolas est un l�ger vent de sud-Ouest, compatible avec le d�placement observ� :m�t�o
. Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises. Le GEIPAN n'a pas recherch� l'auteur du l�cher.";"Observation de quatre feux constants de couleur orange �voquant une forme trap�zoidale sombre : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-03-08673
3371;"TALENCE (33) 09.03.2014";Gironde;33;"(D) D�partement";2014;03;09;"Le dimanche 09 mars 2014 � 0h28 un t�moin observe depuis la terrasse de son appartement le passage silencieux d'un losange orange dans le ciel ; d'apr�s le t�moin, il se d�place � la vitesse d'un avion selon une trajectoire SE-NO.
L'observation d'un objet orange volant silencieusement, horizontalement, dans la m�me direction que le vent, �voque nettement une lanterne volante (lanterne tha�landaise ou ballon Tura) probablement l�ch�e � l'issue d'une f�te.
Le t�moin voit partir l'objet vers le Nord-Ouest, le vent relev� � Bordeaux est un l�ger vent de Sud Est :meteo.
La forme en losange est inhabituelle pour les lanternes tha�es ; il peut aussi s'agir d'un ballon Tura qui fonctionne sur le m�me principe de montgolfi�re . Voir : ballon Tura.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanterne volante. Le GEIPAN n'a pas recherch� l'auteur du l�cher.";"Observation du passage silencieux d'un losange orange dans le ciel : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-03-08674
3372;"CLESSE (71) 20.03.2014";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";2014;03;20;"Le jeudi 20 mars 2014 � environ 22h45 deux personnes observent dans le ciel trois points lumineux de couleur orange. Ces points se d�placent silencieusement mais rapidement en formation avant de disparaitre successivement. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation d'objets lumineux orange traversant le ciel en quelques minutes dans le sens du l�ger vent de Sud (voir m�t�o en soir�e �voque nettement des lanternes tha�landaises.
Ces l�chers ont le plus souvent lieu le samedi ou dimanche. Cependant le printemps ou le carnaval ont pu donner l'occasion d'une f�te locale : la mairie de Cless� n'a pas eu de signalement de ce type d'�v�nement.
Le GEIPAN classe ce cas 'B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement silencieux de trois points lumineux orang�s : probable observation de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-05-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-03-08675
3373;"OSNY (95) 15.03.2014";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2014;03;15;"Le samedi 15 mars 2014 � 23h43 un t�moin observe le passage silencieux et successif de deux objets de grandes dimensions et identiques survolant le toit d'un supermarch�. Le t�moin d�crit des boules bleues de la taille d'un ballon de foot espac�es de 3 ou 4 m�tres entre elles � la base de ces objets volants. Le premier objet a une trajectoire rectiligne et le second objet a une trajectoire montante avec un changement de direction. Ils disparaissent dans des directions diff�rentes en quelques secondes. L'observation a dur� 3 minutes. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte-tenu des �l�ments recueillis dans l'enqu�te ci-jointe (voir le compte rendu d'enqu�te) � savoir :
- Nombre de PAN dans chaque formation non pr�cis�.
- Position relative des PAN les uns avec les autres au sein des formations non pr�cis�.
- Absence de mesures angulaires, � la fois pour les dimensions des formations et pour les PAN individuels.
- Attribution de la couleur des PAN impr�cise.
- Manque de pr�cisions sur le PAN en forme de � gros Boeing � par rapport aux boules bleues.
- Dans le cadre de l'hypoth�se des lasers de discoth�que, absence de donn�es sur l'utilisation �ventuelle par l'�tablissement incrimin� d'un tel �quipement lors de la soir�e du 15.03.2014.
Le manque d'information ne permet pas de conclure d�finitivement en faveur d'une hypoth�se.
Ce cas est class� en � C � comme observation d'un ph�nom�ne non identifiable en l'�tat, par manque d'�l�ments factuels et de recoupements.
Ce t�moignage est d'une faible consistance : peu pr�cis bien qu'accompagn� d'un sch�ma reproduisant l'observation, mais venant d'un t�moin unique et sans photo. L'observation est peu �trange car il pourrait s'agir d'objets tout � fait banals.";"Observation du passage dans le ciel nocturne de deux objets volant de grande dimensions dont la base est form�e par des boules bleues : manque d'information";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.50;0.00;;;0.80;;0.70;;0.55;0.00;C;D1;2014-03-08676
3374;"VILLEURBANNE (69) 06.03.2014";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2014;03;06;"Le 6 mars 2014 � 8h41 un t�moin aper�oit dans le ciel le d�placement d'un objet sombre en forme de cheval qui semble tourner sur lui-m�me. Il prend des photos et une vid�o.
Le t�moin aper�oit la forme � 300m de son lieu d'observation. L'analyse des photos et le comportement de l'objet sont totalement compatibles avec un ballon d'enfant gonfl� � l'h�lium, ballon en forme de cheval ail�, tel que l'on peut en trouver facilement :ici ou l� Ce mod�le est particuli�rement r�pandu pour cette ""ann�e du cheval"" dans le calendrier chinois. La forme est tr�s nette sur la photo, et on voit m�me le fil qui, normalement, le retient au sol.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" comme identifi� : ballon d'enfant.";"Observation du d�placement d'un objet sombre de la forme d'un cheval voant dans le ciel : observation d'une ballon d'enfant.";O;1;;;;;;;;2016-12-13;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-03-08677
3375;"POUSSAN (34) 14.03.2014";H�rault;34;"(D) D�partement";2014;03;14;"Le 14 mars 2014 � 19h30, un automobiliste et sa fille observent � travers le pare-brise le d�placement tr�s rapide d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel nuageux. Le ph�nom�ne disparait derri�re la ligne d'horizon.
L'observation d'un gros point tr�s lumineux, suivie d'une courte tra�n�e, traversant une partie du ciel en 1 seconde environ, �voque un bolide (rentr�e dans l'atmosph�re � tr�s grande vitesse d'un m�t�oro�de, petit corps rocheux).
Ce ph�nom�ne a �t� observ� par de nombreux autres t�moins qui ont �crit sur des forums :Bolide du 14 mars 2014 Voir aussi une vid�o prise en Catalogne espagnole :Bolide en Espagne. Le GEIPAN classe ce cas ""A"" identifi� comme bolide.
Voir �galement : explication : Bolide.";"Observation du d�placement rapide d'un �clat lumineux blanc suivi d'une courte train�e blanche dans le ciel : observation d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2014-06-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-03-08678
4195;"(DPT) VAUCLUSE (84) 04.07.2008";Provence-Alpes-C�te-d'Azur;;"(R) R�gion";2008;07;04;"Les 2 et 4 juillet 2008 entre 22h15 et 22h45 plusieurs t�moins dans la r�gion d'Apt dans le Vaucluse observent des d�placements particuliers de ph�nom�nes lumineux. Des lueurs �voluent en formation apparaissant ou disparaissant durant 20 minutes. Aucun bruit n'est entendu lors des observations. Un t�moin filme le ph�nom�ne le 4 juillet, un autre prend des photographies. L'enqu�te permettra d'�tablir que ces personnes ont �t� t�moins d'un vol de nuit de la Patrouille de France en exercice dans le ciel d'Apt les soirs du 02 et 04 juillet entre St Saturnin les Avignons et Fontaine de Vaucluse.
Les horaires des t�moignages sont coh�rents avec les horaires des vols (le 2 juillet, pour une r�p�tition d'une c�r�monie qui s'est d�roul�e le 4 juillet).
Les avions de la Patrouille de France sont des Alphajets qui sont �quip�s d'un phare dans le nez de l'avion, celui ci est allum� pendant les pr�sentations en vol, afin de bien voir les avions.
Ces soirs l�, la Patrouille de France a effectu� des circuits d'attente dans la r�gion concern�e en adoptant des formations � 8 avions avant la pr�sentation puis � 4 avions avant d'entamer sa proc�dure d'approche sur le terrain de Salon, ce qui confirme les observations rapport�es.
Ce cas fait l'objet d'une actualit� particuli�re sur le site.
";"Observations multiples du d�placements en formation de ph�nom�nes lumineux : vol de la patrouille de France.";O;;;;;;;;;2016-11-10;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2008-07-02290
3379;"PULNOY (54) 19.03.2014";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2014;03;19;"Le 19 mars 2014 � 22h15 une personne fermant ses volets voit plusieurs objets de forme cylindrique et lumineux dans le ciel (voir le compte rendu d'enqu�te). Le t�moin fera d'autres observations de ce type. Une voisine a �galement vu des lumi�res tr�s brillantes dans le ciel mais identiques � celles des �toiles. Un seul t�moignage est recueillli.
Suite � l'enqu�te men�e sur place, il para�t fort probable que les formes �tranges observ�es par le t�moin soit la cons�quence de probl�mes de vision (cataracte et presbytie).
Les observations se r�p�tant, elles devraient cesser apr�s l'op�ration de la cataracte du t�moin pr�vue en ao�t 2014.
Une confirmation ou infirmation devrait �galement �tre apport�e par la r�ception du questionnaire du t�moin n�2 (voisin).
Dans l'attente de l'une ou l'autre de ces informations, le GEIPAN classe ce cas � B � : observations probables d'�toiles par un t�moin ayant une vue d�ficiente.";"Observations successives de plusieurs objets fixes de forme cylindrique et lumineux dans le ciel : observations probables d'�toiles par un t�moin ayant une vue d�ficiente.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-03-50074
3380;"CONDAT-SUR-GANAVEIX (19) 02.03.2014";Corr�ze;19;"(D) D�partement";2014;03;02;"Le 2 mars 2014 entre 18h30 et 19h un t�moin en fermant ses volets observe un ph�nom�ne lumineux blanc qui se d�place lentement au-dessus des toits des maisons du lotissement. Le t�moins prends des photographies avant que le ph�nom�ne ne soit cach� par des arbres. L'observation dure une trentaine de minutes. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Le t�moin a probablement vu dehors une lumi�re qui l'a surpris ce soir-l� au point de prendre son appareil photo
Mais l'�tranget� qui sous-tend le t�moignage (et qui en est tr�s probablement � l'origine) tient au caract�re rectangulaire et chevauchant des lumi�res que le t�moin a vu sur les photos a post�riori. Or les photos du t�moin montrant ces lumi�res mettent en �vidence un cadrage au travers d'une porte vitr�e et des rectangles lumineux constitu�s par des reflets du flash rectangulaire de l'appareil Minolta utilis�.
La lumi�re � l'origine de l'observation n'est pratiquement pas d�crite par le t�moignage, ce dernier porte sur l'�tranget� rectangulaire qui r�sulte d'un artefact photo.
En cons�quence le GEIPAN conclut uniquement sur ce qui est d�crit et fait l'�tranget� v�cue par le t�moin, et classe en A : reflet photographique.";"Longue observation d'un ph�nom�ne lumineux et observation sur photos de rectangles lumineux se chevauchant : reflet photographique.";O;;;;;;;;;2017-04-05;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;A;A;2014-03-50075
3381;"ULLY-SAINT-GEORGES (60) 16.04.2014";Oise;60;"(D) D�partement";2014;04;16;"Le 16 avril 2014 vers 20h un t�moin prends des photos d'oiseaux lorsqu'il remarque une lumi�re particuli�re, au clignotement rapide. Il observe alors � travers l'appareil photo un objet noir translucide qui n'appara�t pas sur les prises de vues. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis dans le rapport d'enqu�te, � savoir des conditions favorables � la cr�ation de fortes r�flexions lumineuses de parties constituantes d'un avion de ligne en direction du t�moin, la pr�sence de feux anticollision et/ou de navigation, la vitesse et distance du PAN compatibles avec celles d'un avion de ligne, nous pouvons conclure que le cas concerne l'observation probable d'un avion de ligne dont la carlingue ou une partie est fortement �clair�e par le soleil couchant et se refl�te en direction du t�moin.
Ce cas est class� � B � comme observation probable d'un avion de ligne �clair� par le soleil couchant.";"Apparition et disparition rapide d'un objet noir illumin� lors de prise de vues photographiques : observation probable d'un avion de ligne �clair� par le soleil couchant.";O;;;;;;;;;2015-02-23;;;0.30;0.00;;;;;;;0.90;0.00;B;B;2014-04-08683
3382;"PETIT-QUEVILLY (LE) (76) 16.04.2014";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2014;04;16;"Le 16 avril 2014 vers 21h30 un t�moin observe depuis chez lui trois objets lumineux dans le ciel (entre la constellation du Bouvier et de la Vierge) avan�ant en formation avant de disparaitre. Quelques secondes plus tard, le t�moin observe un PAN ressemblant � une rentr�e atmosph�rique. La dur�e totale de l'observation est estim�e entre 30 et 50 secondes par le t�moin. Un seul t�moignage sera recueilli.
D'�tranget� et de consistance moyennes (t�moin unique, mais rapport pr�cis), ce cas d'observation complexe s'av�re �tre une m�prise avec un trio particulier de satellites : un triplet de satellites militaires chinois Yaogan 17 (voir les notes d'enqu�te).
Le PAN pr�sente en effet toutes les caract�ristiques types d'un tel triplet : luminosit�, aspect visuel, courte visibilit� due � un flash, trajectoire et horaire parfaitement coh�rents.
La derni�re partie de l'observation, peu �trange, s'explique soit par un m�t�ore, soit par le flash du satellite Iridium 40 intervenu ce soir-l� au Petit-Quevilly.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (observation d'un type particulier de satellites, simultan�it� de deux ph�nom�nes diff�rents).
Ce cas est class� A, m�prise avec le triplet de satellites Yaogan 17 A, B et C.";"Observation du passage de trois objets lumieux avancant en formation dans le ciel : m�prise avec le triplet de satellites Yaogan 17 A, B et C.";O;;1;;;;;;;2016-06-21;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2014-04-08684
3383;"SAUVAGNON (64) 23.04.2014";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2014;04;23;"Le 23 avril 2014 � 13h28 un t�moin regardant les nuages est intrigu� par le passage d'une forme sph�rique blanche suivie de plusieurs autres.
Le r�cit du t�moin de petits objets sph�riques se d�pla�ant sous le plafond nuageux fait penser � un l�cher de ballons de baudruche.
Le relev� M�t�ociel de Pau, tout pr�s du lieu d'observation, indique ce jour l� un changement de sens du vent, passant de Sud-Est � 10h, � Nord-Ouest � 14h avec une couverture nuageuse en augmentation. Le vent � 13h30 est assez incertain, plut�t de secteur N � NO. Le vent est donc tr�s variable � ce moment l�, mais plut�t orient� Nord NO au moment de l'observation, c'est-�-dire en sens inverse du d�placement observ�.
Aucune circulation d'avion n'est indiqu� dans cette zone sur Flightradar24.
L'hypoth�se des ballons n'est pas confirm�e, � moins de consid�rer une variation du vent plus fr�quente que le relev� horaire.
Dans le doute, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'informations simultan�e sur le vent local.";"Observation du passage silencieux de plusieurs formes sph�riques blanches dans le ciel : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-04-08685
3385;"SAINT-PEY-DE-CASTETS (33) 25.04.2014";Gironde;33;"(D) D�partement";2014;04;25;"Le 24 avril 2014 vers 22h40 un t�moin observe, depuis son balcon, le d�placement d'une sph�re lumineuse blanche suivie par une deuxi�me, qui a la forme d'un cigare allong� �quip� de lumi�res vertes et rouges et jalonn� dans sa longueur par des lumi�res blanches. Aucun bruit n'est entendu ce qui convainc le t�moin qu'il ne peut s'agir d'un avion. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
D'�tranget� forte, et de consistance suffisante, ce cas s'av�re �tre une m�prise avec un satellite artificiel (en particulier NOSS 3-6 Rocket) et un avion de ligne de type B737 ou A330.
La reconstitution des trajectoires de ces deux objets montrent en effet qu'elles correspondent parfaitement avec celles des PAN. De plus, la description des PAN correspond parfaitement avec ces deux objets artificiels.
Il est normal que le t�moin n'ait pas reconnu un avion lors de son observation, puisqu'un �ventuel bruit �manant de cet avion ne pouvait parvenir au t�moin, du fait de la distance entre lui et l'avion, mais �galement � cause du vent contraire � la direction PAN / t�moin. De m�me, le t�moin a exclu la piste d'un avion, car il est convaincu qu'aucun avion ne passe sur la trajectoire indiqu�e, ce qui est erron�.
L'encha�nement rapide plut�t insolite (m�me trajectoire, m�me hauteur angulaire) d'un passage satellitaire et de celui d'un avion de ligne peut parfaitement cr�er la confusion, et donc la non-identification des deux objets par le t�moin.
Ce cas est class� A : m�prise avec un satellite et un avion de ligne.";"Observation du passage N-S de deux ph�nom�nes lumineux dans le ciel (forme sph�rique pour l'un et en forme de cigare pour l'autre) : observation du passage d'un satellite et d'un avion de ligne.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.20;0.00;;;0.70;;0.80;;0.56;0.00;A;A;2014-04-08691
3386;"PONTET (LE) (84) 08.04.2014";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2014;04;08;"Le 8 avril 2014 entre 22h et 23h30 un t�moin observe, � travers une baie vitr�e entr'ouverte, le d�placement silencieux en ligne droite d'un ensemble de lumi�res vert fluorescent, reli�es entre elles par des traits et s'�tendant sur pr�s de 10 m. Le ph�nom�ne est finalement cach� par les immeubles proches. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a la perception d'objets port�s par le vent (""l'impression de ""flotter"" dans l'air."").
Le vent mesur� � Avignon est orient� du Nord vers le Sud, ce qui est compatible avec un d�placement per�u essentiellement N vers S car d�crit N N0 vers S SE.
Il s'agit probablement de lanternes thailandaises vertes (les lanternes peuvent �tre de couleurs et formes variables (voir le site lanternes thai), peut �tre attach�es entre elles (aspect de trait les points lumineux).
En g�n�ral, de tels �v�nements festifs se produisent le WE, mais la f�te est aussi possible en semaine (anniversaire ?).
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en B: lanternes thailandaises.";"Observation du d�placement silencieux de points lumineux vert fluorescent dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-06-07;;;0.30;0.00;;;0.65;;0.60;;0.40;0.00;B;B;2014-04-08693
3387;"TREUZY-LEVELAY (77) 20.04.2014";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2014;04;20;"Le 20 avril 2014 � 21h37 un t�moin observe durant 2 minutes le d�placement selon une trajectoire S-N de trois boules lumineuses de couleur jaune orang�, semblant plus grosses qu'un avion. Les boules semblent incandescentes et disparaissent en laissant une train�e. Le t�moin prend des photographies.
Ce t�moignage est typique d'observation de lanternes tha�landaises : boules oranges se d�pla�ant lentement en ligne droite � basse altitude, selon le vent, un soir de week end. Le relev� M�t�ocielsur Melin confirme bien le vent de Sud faible.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation tr�s probable de lanternes tha�.
Etant donn� la faible �tranget� de de cette observation, le GEIPAN n'a pas recherch� les auteurs de ce l�cher.";"Observation du d�placement de trois boules lumineuses de couleur jaune orang� dans le ciel : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-04-08697
3388;"FONTAINES (71) 10.04.2014";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";2014;04;10;"Le 10 avril 2014 vers 18h un t�moin constate dans le ciel un objet brillant stationnaire. L'observation dure une trentaine de secondes puis l'objet disparait instantan�ment. Un seul t�moignage est recueilli.
Un objet brillant observ� � l'Ouest en fin d'apr�s-midi �voque le reflet du soleil sur un avion ou ballon. Si c'est un avion, il faut envisager un avion lointain (� plus de 50km), faisant route dans une direction proche de celle du t�moin. La disparition subite s'explique probablement par un changement d'orientation de l'objet par rapport au soleil : c'est le reflet qui aurait alors disparu, mais pas l'objet. Ce cas peu �trange est class� ""B"" observation probable du reflet du soleil couchant sur un avion (probable EZY434P d'apr�s Gasperflights) lointain � haute altitude.";"Observation d'un objet stationnaire brillant � l'Ouest dans le ciel : probable observation du reflet du soleil couchant sur un avion.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-04-08700
3389;"VOVES (28) 04.05.2014";Eure-et-Loir;28;"(D) D�partement";2014;05;04;"L'observation du passage de lumi�res blanches (ou jaunes) dans le ciel, durant quelques minutes, une nuit de week-end fait penser � des lanternes tha�. Dans ce cas-ci, le t�moin d�crit un d�placement vers l'Ouest alors que le vent souffle du Nord vers le Sud (relev� � Chartres) ; le GEIPAN a appel� le t�moin pour faire pr�ciser le d�placement des objets : le t�moin a d�crit un d�placement dans l'axe de la rue des Fr�res Lumi�re, dans sa section NE/ SO ; les objets lumineux se d�pla�aient apparemment vers le Sud-Ouest, ce qui devient plus coh�rent avec le vent de Nord relev� � Chartres et Orl�ans.
La couleur des lanternes tha� est le plus souvent d�crite comme jaune ou orange,mais, vues de c�t�, les lanternes sont quelquefois per�ues comme blanches.
On notera qu'un autre l�cher de lanternes tha� a �t� fait � Voves le 27 juin � 22H, suite � une f�te d'�cole ; un t�moin a aussi d�crit et photographi� des lumi�res blanches. Avec tous ces �l�ments, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�";"D�placement silencieux de plusieurs points lumineux formant un triangle : observation probable de lanterne thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-05-08688
3390;"SAINTE-MARIE (974) 05.05.2014";"La R�union";974;"(D) D�partement";2014;05;05;"Le 5 mai 2014 � 18h40, un t�moin et son amie observent une lumi�re blanche clignotante traversant le ciel d'Ouest en Est en 20 secondes. Un seul t�moignage est recueilli.
Le site Calsky indique ce jour l� � 18h33 le passage du satellite ""Sinosat 2Rocket"" (3�me �tage qui a lanc� le satellite Sinosat2) sur une trajectoire d'Ouest en Est compatible avec l'observation.
Un observateur du m�me objet qui a mis son rapport d'observation sur le web indique ""La p�riode photom�trique est, � vue, comprise entre 4 et 4.5 secondes"" (voir doc Sinosat) ce qui est compatible avec le clignotement signal� par le t�moin (4 secondes �clair�, puis 2 secondes sans lumi�re).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" comme parfaitement identifi� : observation du satellite ""Sinosat 2 Rocket"".
On note toutefois que la dur�e d'observation de 20 secondes est bien plus courte que le passage complet du satellite qui a dur� 6 minutes, mais le t�moin ne l'a observ� que sur la partie la plus haute de sa trajectoire (en dessus de 75�).";"Observation d'une lumi�re blanche clignotante traversant le ciel d'Ouest en Est : observation du satellite ""Sinosat 2 Rocket.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-05-08690
3391;"EVRY (91) 12.05.2014";Essonne;91;"(D) D�partement";2014;05;12;"Le 12 mai 2014 � 22h26 une m�re et sa fille sont �tonn�es de voir une masse lumineuse et de couleur orange- feu, qui se d�place dans le ciel. Elles pensent alors � un avion ou � une montgolfi�re en feu. Mais le ph�nom�ne se d�place tranquillement vers le NE sans perdre d'altitude et disparait ensuite cach�e par des arbres. L'observation aura dur� une minute. Un seul t�moignage est recueilli.
La masse lumineuse observ�e vient de Corbeil/Mennecy (Sud d'Evry) et se dirige vers Etioles/Tigery (Est) : elle semble donc suivre une direction vers le Nord Est. Le relev� M�t�ociel indique un l�ger vent d'Ouest (� 22h) � Sud-ouest (23h), et une couverture nuageuse importante (4 � 7/8) : le d�placement de l'objet est donc conforme au vent local.
La couleur, la dur�e, le mode de d�placement sont conformes � une lanterne tha�, probablement l�ch�e par un particulier, � l'issue d'une f�te ou pour un essai.
Toutefois, la forme d�crite (avec des rayons orange) et le jour (lundi) sont inhabituels pour une lanterne.
Une autre hypoth�se possible serait un avion en approche d'Orly, s'appr�tant � aborder les pistes par l'Ouest (un avion de face appara�t comme un gros point lumineux fixe, les feux clignotants ne sont pas assez puissants pour �tre visibles dans ces conditions).
Le fait que la photographie prise par le t�moin n'ait pas donn� de r�sultat n'est pas �tonnant : l'optique de la console Nintendo DS est insuffisamment sensible aux prises de vues nocturnes.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement d'une masse lumineuse de couleur orange-feu dans le ciel nocturne : observation probable d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2016-09-13;;;0.25;0.00;;;0.60;;0.80;;0.48;0.00;B;B;2014-05-08695
3392;"[AERO RYR] (SEA) MANCHE (LA) (01.07) 13.05.2014";A�rien;01.07;"(D) D�partement";2014;05;13;"Au-dessus de La Manche le 13 mai 2014 � 17h35 (heure locale), un pilote rapporte au contr�leur a�rien une observation d'un ph�nom�ne lumineux qui l'intrigue. Sur la gauche de l'appareil, il apper�oit 1 ou 2 boules argent�es. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli � ce jour pour cette date.
Le t�moignage tr�s succinct mentionne simplement ""one or 2 silver ball on the left"" sans pr�ciser la dur�e ni la direction de d�placement du ph�nom�ne. Le soleil est � l'Azimut 255 �(SW) � la hauteur de 36�, � droite de l'avion. La m�t�o de Caen indique une couverture nuageuse notable.
Le ph�nom�ne signal� (boule argent�e) est sur la gauche de l'avion. Si le ph�nom�ne se d�pla�ait � la vitesse de l'avion, dans le m�me sens, il peut s'agir d'un ph�nom�ne de gloire (spectre de Brocken, cocarde du pilote) dans la direction oppos�e au soleil, projet�e sur la couche nuageuse.
Il peut aussi s'agir d'une rentr�e atmosph�rique de d�bris spatial ou de m�t�oro�de.
Faute de pr�cisions dans le t�moignage, le GEIPAN clsse ce cas ""C"" par manque d'information.";"Observation d'une ou deux silver ball par un pilote : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-05-08696
3393;"VILLERBON (41) 14.05.2014";Loir-et-Cher;41;"(D) D�partement";2014;05;14;"Le t�moin observe, � proximit� d'un avion de ligne, un ph�nom�ne en forme de cigare.Il exclut la possibilit� d'une ombre et pense qu'il s'agit d'un vol de conserve avion/pan.
Compte tenu des �l�ments recueillis dans le rapport d'enqu�te ci-joint, � savoir :
- Positions respectives du t�moin, de l'avion et du soleil propices � la formation d'une ombre port�e.
- Autres exemples existants semblables.
- D�placement � de concert � de l'ensemble avion/PA.
- PAN l�g�rement plus grand qu'un avion.
- Pr�sence de nuages � proximit� imm�diate
Ce cas est class� � A � comme observation certaine d'une ombre de l'avion sur une couche de microparticules non condens�es se trouvant � une altitude proche.
";"Observation pr�s d'un avion en vol d'un ph�nom�ne en forme de cigare : observation certaine d'une ombre de l'avion sur une couche de microparticules non condens�es se trouvant � une altitude proche.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.25;0.00;;;;;;;0.70;0.00;A;B;2014-05-08699
3394;"LYON (69) 15.05.2014";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2014;05;15;"Le 15 mai 2014 vers 23h la gendarmerie patrouille avec un h�licopt�re au-dessus de Lyon. Une cam�ra embarqu�e filme durant plus de 10 minutes un PAN lumineux avec une forte scintillation. L'objet lumineux fixe est visible � l'il nu durant 2h et demie.
De nombreux param�tres permettent de conclure � une confusion avec l'�toile Antar�s (voir le compte rendu d'enqu�te) :
- Observation longue, plus de deux heures �.
- Position fixe dans le ciel.
- Pr�sence d'une forte scintillation bien visible sur la vid�o, m�me lorsque le point lumineux se pr�sente sous la forme d'un artefact (� couronne tronqu�e �). A cette faible �l�vation, la scintillation des �toiles est souvent tr�s pr�sente.
- Proximit� angulaire de la Lune et du PAN, ce dernier �tant situ� dans la vid�o.
L'�tranget� de ce cas est faible : elle est surtout caus�e par l'aspect inhabituel du PAN, avec sa forte scintillation, tel que per�u par les t�moins n'ayant jamais utilis� la cam�ra auparavant pour observer le ciel.
Le t�moignage est peu consistant, avec assez peu de donn�es fournies par le t�moin, mais une vid�o a �t� faite du ph�nom�ne et a pu �tre exploit�e.
Ce cas est � classer en �A� comme confusion certaine avec l'�toile Antar�s.";"Longue observation avec une cam�ra embarqu�e d'un PAN tr�s lumineux avec scintillation : confusion certaine avec l'�toile Antar�s.";O;;;;;;;;;2017-08-31;;;0.20;0.25;;;;;;;0.60;0.00;A;A;2014-05-08703
3395;"SAINT-ESTEVE (66) 17.05.2014";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2014;05;17;"Le 17 mai 2014 (et non le 17 mars indiqu� par erreur dans son t�moignage) un t�moin et sa femme sont intrigu�s par un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. 5 � 6 boules rouges apparaissent venant du NO et se d�placent vers le SE. Une seconde vague d'une quinzaine de boules identiques est observ�e. Leur d�placement lent est silencieux.
Ce t�moignage est typique d'une observation de lanternes tha�landaises : boules oranges se d�pla�ant lentement en ligne droite � basse altitude, selon le vent un soir de week end.
Le relev� METEOCIEL sur Perpignan (m�t�o confirme bien le vent de Nord-ouest faiblissant.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation tr�s probable de lanternes tha�. Etant donn� la faible �tranget� de de cette observation, le GEIPAN n'a pas recherch� les auteurs de ce l�cher.";"Observations de deux vagues de boules lumineuses en d�placement silencieux dans le ciel : probables observations de lanternes thailandaises.";O;1;;;;;;;;2014-12-16;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-05-08704
3396;"PAUILLAC (33) 31.05.2014";Gironde;33;"(D) D�partement";2014;05;31;"L'observation vers 23h d'un groupe de boules orange, durant quelques minutes, un samedi soir �voque un l�cher de lanternes tha�landaises suite � une f�te. Comme le t�moin observe vers l'Ouest, face au vent l�ger, les objets semblent immobiles. La forme de corne d'abondance a pu �tre per�ue gr�ce � un effet de perspective des lanternes qui �taient en fait presque align�es selon la direction du vent. M�t�ociel indique � Bordeaux un l�ger vent d'ouest de l'ordre de 10km/h :M�t�o.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Ce cas est class� ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation d'un ensemble de points lumineux orange dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-05-08709
3397;"EZE (06) 16.05.2014";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2014;05;16;"Le 16 mai 2014 � 21h 15 un t�moin prend deux clich�s photographique d'un ph�nom�ne lumineux blanc de forme sph�rique. Les apparitions et disparitions du ph�nom�ne l'intriguent. L'observation durera 5 minutes. Le t�moin nous adressera deux photographies mais nous ne recevrons pas le film r�alis� �galement lors de l'observation. Aucun autre t�moignage ne sera rapport�.
Compte tenu des �l�ments receuillis lors de l'enqu�te (voir le compte rendu d'enqu�te), � savoir la mesure d'azimut du PAN recoupant la trajectoire d'approche des avions sur l'a�roport de Nice, l'altitude concordante avec celle des avions en approche et la distance d'observation ne permettant de distinguer que le ou les phare (s) d'atterrissage, le cas est class� en ""A"", observation certaine d'un avion de ligne en approche sur l'a�roport de Nice.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux blanc sph�rique dans le ciel : observation certaine d'un avion de ligne en approche sur l'a�roport de Nice.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.20;0.00;;;;;;;0.80;0.00;A;A;2014-05-08727
3398;"SAINT-HILAIRE-DE-BRETHMAS (30) 01.05.2014";Gard;30;"(D) D�partement";2014;05;01;"Le premier mai 2014 � 18h30 un t�moin ferme sa fen�tre lorsqu'il aper�oit � environ 200m de hauteur quatre ronds blancs se d�pla�ant tr�s lentement et sans bruit � travers les nuages vers le Nord. Le ph�nom�ne disparait rapidement. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Le t�moin signale, en fin de journ�e, l'observation de ronds blancs dans un nuage blanc. Il peut s'agir simplement de trou�es dans la partie sup�rieure du nuage.
Ce cas est peu �trange, et peu consistant du fait de la bri�vet� et de l'unicit� du t�moignage, sans photo.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'informations pr�cises.";"Observation de quatre ronds blancs se d�pla�ant lentement � travers les nuages : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-05-08955
3399;"MANDELIEU-LA-NAPOULE (06) 18.05.2014";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2014;05;18;"Vers21h20, le regard d'un pi�ton est attir� par un objet rouge orang� qui semble en flamme dans le ciel. Le t�moin prend sa voiture et se retrouve sous l'objet qu'il photographie. L'objet quitte sa trajectoire et dispara�t de la vue du t�moin.
Le relev� Calsky ne mentionne pas de satellite tr�s lumineux � ce moment l�.Il y eu ce jour l� une rentr�e dans l'atmosph�re du satellite TIROS2, mais en d�but de journ�e, ce qui ne correspond donc pas du tout � l'observation.
La description du t�moin ""une flamme dans le ciel"" �voque une lanterne tha�, volant vers le Sud-Ouest. Le relev� M�t�ociel de Cannes indique un l�ger vent variant de Nord et s'orientant � l' Ouest entre 21h et 22h. Le sens du d�placement de l'objet peut �tre conforme au sens du vent.
Les photos prises correspondent bien � l'aspect habituel des photos de lanternes tha�landaises.L'heure et le lieu (dimanche soir, en festival de Cannes) sont assez propices aux manifestations festives diverses.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation de lanterne tha�landaise.
Le t�moin r�fute cette hypoth�se.";"Observation du d�placement d'un objet rouge orang� dans le ciel : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-05-50077
3400;"EAUBONNE (95) 15.05.2014";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2014;05;15;"L'observation � 23h56 de boules oranges formant des figures g�om�triques, et traversant le ciel en quelques minutes, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du vers le Sud-Ouest, ce qui est compatible avec le vent de N-E relev� � Roissy :M�t�o.
Aucun autre t�moignage dans le secteur n'a �t� recueilli.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanterne tha�.";"Observation de formes g�om�triques compos�es par des points lumineux en d�placement silencieux : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-05-50080
3401;"FERE-EN-TARDENOIS (02) 01.06.2014";Aisne;02;"(D) D�partement";2014;06;01;"Le 1er juin 2014 un t�moin observe � 23h un objet traversant silencieusement le ciel � tr�s grande vitesse sous forme de trois points lumineux.
La description du PAN, typique de celle d'un bolide, laisse peu de doute sur la m�prise.
D'�tranget� et de consistance moyennes (t�moin unique), ce cas s'av�re �tre une m�prise probable avec un ph�nom�ne astronomique parfaitement connu : un m�t�ore.
Il est � noter qu'un m�t�ore a �t� enregistr� par un r�seau d'amateurs � un horaire proche de celui de l'observation, mais sa trajectoire n'est pas coh�rente. Un t�moignage ind�pendant publi� sur internet pr�sente n�anmoins de grandes ressemblances avec l'observation du PAN.
Ce cas est class� B, m�prise probable avec l'observation d'un bolide.
On note aussi � quelques minutes pr�s une observation � ETRELLES (35) : voir ce cas.";"Observation du d�placement rapide et silencieux dans le ciel de trois points lumineux : probable observation d'une rentr�e atmosph�rique d'un m�t�ore.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-06-08707
3402;"ASNIERES-SUR-SEINE (92) 07.06.2014";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2014;06;07;"L'observation d'un groupe de boules orange (une vingtaine d'apr�s le t�moin), durant quelques minutes, un vendredi soir � 23h53 �voque un l�cher de lanternes tha� suite � une f�te.
Le t�moin observe les boules quasi stationnaires, se d�pla�ant tr�s l�g�rement vers sa gauche en s'afaiblissant : les lanternes pouss�es par le vent s'�loignent du t�moin, l�g�rement vers l'Ouest. Meteociel indique � Roissy un l�ger vent d'Ouest ou Nord Ouest de 13 � 19 km/h : M�t�o.
Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Ce cas est class� ""B"" observation probable de lanternes tha�.";"Observation d'une vingtaine de lumi�res dans le ciel nocturne qui s'�teignent progressivement : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-06-08712
3403;"ANGERS (49) 12.06.2014";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";2014;06;12;"Le 12 juin 2014 � 22h15 un t�moin observe et photographie deux ph�nom�nes lumineux orang�s dans le ciel.
Les photos �voquent tr�s nettement des tra�n�es d'avion, rendues tr�s brillantes par le soleil couchant. Le soleil est � pr�s de 3� sous l'horizon, il s'est couch� � 21h57, c'est � dire moins de 20 minutes avant l'observation � 10000 m d'altitude, altitude minimale de croisi�re des vols moyen et long courriers, le soleil est encore visible. L'avion s'�loigne de l'observateur vers le Nord-Ouest, dans la direction du soleil couchant : la train�e est en fait parall�le � la Terre, mais vue par en-dessous, avec un faible angle d'incidence elle parait verticale. Voir une explication Des train�es d'avion �tranges.
Ces deux tra�n�es parall�les, qui changent ensemble de direction, font penser plut�t � deux avions militaires plut�t que deux avions de ligne. Le GEIPAN n'a pu r�cup�rer � temps les informations n�cessaires pour lever cette incertitude.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation de tra�n�es de condensation d'avions.";"Observation de ph�nom�nes lumineux orang�s dans le ciel :observation de tra�n�es de condensation d'avions au soleil couchant.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-06-08718
3404;"HANDSCHUHEIM (67) 07.06.2014";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2014;06;07;"Le 7 juin 2014 entre 2h et 4h du matin, une personne est surprise et intrigu�e par l'observation de ph�nom�nes lumineux dans le ciel nocturne.
L'observation se d�compose en 3 phases :
-Juste apr�s 2h30 : trois objets allant du Sud vers le Nord : on constate selon Calsky (voir relev�) plusieurs satellites candidats � cette heure-ci : IGS02, Cosmos 1782 Rocket, et NOS 3-6 rocket.
-Deux objets clignotants du Sud vers le Nord-Ouest, et du Nord vers le Sud :selon Calsky plusieurs satellites peuvent avoir suivi cette trajectoire. Le clignotement peut �tre expliqu� par le fait que certains satellites sont en rotation sur eux-m�mes et renvoie la lumi�re du soleil irr�guli�rement. Il peut aussi s'agir d'avions, car leurs feux anti-collisions clignotent une fois par seconde.
-Une ""gigantesque"" lumi�re apr�s 3h15 observ�e � l'Ouest et disparaissant vers le Sud. Calsky indique que l'ISS passe ce jour l�, visible de 3h16 � son lever � l'Ouest (WNW) jusqu'� 3h22 o� elle dispara�t vers le Sud (SE).
Il est toutefois �tonnant que le t�moin emploie le mot ""gigantesque"" pour une lumi�re seulement brillante comme la plan�te V�nus : le fait que l'observation ait eu lieu en pleine nuit peut �ventuellement expliquer cela.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de satellites et de la station spatiale internationale (ISS).
Le milieu de nuit est favorable � la sur-interpr�tation des ph�nom�nes c�lestes, en particulier pour les personnes �motives, ce qui semble �tre le cas de ce t�moin.";"Observation de plusieurs objets lumineux dans le ciel : probables observations de satellites et de la station spatiale internationale.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-06-08719
3406;"PLOBSHEIM (67) 14.06.2014";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2014;06;14;"L'observation de 21 boules jaune-orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. Le d�placement constat� de NE vers SO, est compatible du vent de NE relev� � Strasbourg : M�t�o.
Le t�moin relate une absence de vent, mais le vent relev� �tait assez soutenu de 20 � 30 km/h. Le t�moin devait �tre abrit� par les maisons. Le t�moin a le temps de prendre des photos et vid�os. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation d'une vingtaine de boules jaune-orang�e traversant le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-06-08721
3407;"PARIS (75) 23.06.2014";Paris;75;"(D) D�partement";2014;06;23;"Ce t�moignage de lumi�res statiques orange dans le ciel � 22h45 �voque des lanternes tha� vues dans l'axe du vent.
Le relev� m�t�o indique en effet un vent de Nord 15 � 30 km/h : M�t�o.
L'autre objet volant rejoignant ce groupe de points lumineux se d�place aussi selon le vent. On peut penser � une autre lanterne, lanc�e apr�s le premier groupe. Mais la description de cet objet par le t�moin correspond mal � une lanterne tha� ; il faut toutefois noter qu'il l'observe � travers le pare-brise de sa voiture, en conduisant, et que l'observation a �t� tr�s courte (5s).
Du fait de ces conditions d'observation assez m�diocres, de l'absence d'autres t�moignages malgr� un environnement tr�s peupl�, l'�tranget� du cas n'est pas av�r�e, et sa consistance tr�s faible (t�moin unique, observation tr�s courte de 5 secondes).
Ce cas est class� ""C"" : manque d'information et de recoupements.";"Observation tr�s courte de la pr�sence de plusieurs lumi�res oranges dans le ciel et disparition rapide : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-06-08722
3408;"SAINT-GERMAIN-SUR-MORIN (77) 08.06.2014";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2014;06;08;"Le dimanche 8 juin 2014 entre 13h et 14h, un t�moin observe et photographie un gigantesque cercle gris bleu autour du soleil.
Ce cas d'observation est typique d'un ph�nom�ne de halo, qui se produit avec des conditions atmosph�riques particuli�res.Voir : Halo solaire.
On note aussi sur la photo un petit point brillant en haut � gauche, � l'int�rieur du halo, c'est un reflet parasite du soleil produit par l'optique de l'appareil photo.
Le GEIPAN classe ce cas A : halo solaire.";"Observation d'un gigantesque cercle gris bleu autour du soleil dans la journ�e : observation d'un halo solaire.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-06-08724
3409;"CHOLET (49) 13.06.2014";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";2014;06;13;"Le 13 juin 2014 � 0h56 un t�moin observe les �toiles avec son nouveau t�lescope et d�couvre deux points brillants qui se d�placent conjointement (m�me distance entre eux). Il le perd de vue d�finitivement dans le ciel tr�s �toil�. Le t�moin rapporte son �tonnement devant les �volutions particuli�res du Pan. Un seul t�moignage est recueilli. Le t�moin fournit des croquis et une photographie.
D'�tranget� faible et de bonne consistance (t�moin unique, mais nombreux rep�res astronomiques et photo), ce cas s'av�re �tre une m�prise avec un duo particulier de satellites : un doublet de satellites militaires am�ricains NOSS-3 6. Le PAN pr�sente en effet toutes les caract�ristiques type d'un tel doublet : luminosit�, �cart angulaire, trajectoire et horaire parfaitement coh�rents (voir les notes d'enqu�te).
La photographie ne montre vraisemblablement pas le PAN, mais seulement la zone o� celui-ci a disparu. L'�toile double 16 Cygni, apparaissant ici sous la forme de deux points rapproch�s, a certainement �t� interpr�t�e par le t�moin comme �tant le PAN.
Les phases d'arr�ts du PAN peuvent s'expliquer par la discontinuit� de l'observation : disparition provisoire du PAN � cause de l'�clat de la Lune et pr�sence de nombreuses �toiles.
Ce cas est class� A, m�prise avec le duo de satellites militaires am�ricains NOSS-3 6 (A) et (B).";"Observation des �volutions conjointes de deux points lumineux blancs dans le ciel : m�prise avec un duo de satellites militaires am�ricains NOSS-3 6.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2014-06-08725
3410;"WILLGOTTHEIM (67) 25.06.2014";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2014;06;25;"L'observation d'objets luminescents orang�s traversant le ciel selon les m�mes trajectoires en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. La tra�n�e observ�e peut �tre la fum�e d�gag�e par le br�leur.
Meteociel indique un vent tr�s faible de N � NE : M�t�o.
L'observation relate deux types de d�placement, un seul est compatible avec ce vent de NE. L'autre d�placement pourrait s'expliquer par un r�gime de vent un peu diff�rent en altitude, un schema possible par vent tr�s faible, mais hypoth�tique.
Bien que ce cas ait de nombreuses caract�ristiques d'observation de lanternes tha�, ces d�placements complexes laissent un doute sur la nature du ph�nom�ne.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'informations et de recoupements.";"Observation du d�placement complexe de plusieurs objets luminescents l�g�rement orang� dans le ciel nocturne : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-06-08726
3411;"VIERZON (18) 29.06.2014";Cher;18;"(D) D�partement";2014;06;29;"Le 29 juin 2014 � partir de 21h30 un t�moin est intrigu� par le passage rectiligne dans le ciel d'un appareil blanc qu'il ne reconnait pas : le t�moin ne voit aucune train�e de condensation, aucune aile, aucune signalisation lumineuse. Mais durant tout le temps de l'observation, il entend un bruit sourd. Le t�moin prend une photo avec son t�l�phone.
Il n'est pas rare que les avions ne produisent pas de tra�n�e de condensation (ceci d�pend des conditions atmosph�riques locales : l'humidit� et la temp�rature de l'air). Au moment du coucher du soleil, un avion � haute altitude est �clair� lat�ralement : le dessous des ailes, non �clair�, est plus sombre que le fond du ciel, bleu et lumineux. Seul le fuselage �clair� est visible du sol. Vu du sol, il appara�t sous forme de cigare. De plus, les feux clignotants (anticollision) d'un avion � haute altitude ne sont jamais visibles de jour depuis le sol.
Le relev� Flightradar indique � ce moment l� un vol du Nord au Sud (Airbus A320 Paris-Toulouse AF6168) qui correspond � l'observation.
Ce cas est class� ""A"" : observation d'un avion de ligne au coucher du soleil.";"Observation du passage rectiligne d'un appareil blanc sans ailes, sans signalisation lumineuse et sans train�e de condensation dans le ciel : observation d'un avion de ligne au coucher du soleil.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-06-08728
3413;"MURET (31) 24.06.2014";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2014;06;24;"Le 24 juin 2014 � 8h40 une automobiliste en emmenant son fils � l'�cole est intrigu�e par deux objets en forme de ""barque"" de couleur gris et stationnaires c�te � c�te dans le ciel. Elle ne peut expliquer ce qu'elle voit � son fils. Les deux objets finissent par partir lentement. Sur le chemin du retour, � 9h08, elle aper�oit au m�me endroit un troisi�me objet qui prend la m�me direction que les autres c'est-�-dire le NE.
Ce que d�crit le t�moin. ""des choses en forme de barques"" r�sulte tr�s probablement de cerfs- volant.
La reconstitution ci-jointe positionne sur la photo satellite les lieux des 4 observations (reconstitu�es) du t�moin. Ces observations sous des angles diff�rents :
- permettent de localiser la zone approximative de la position des PANS
- montrent un aspect de profil (observation 1 transverse au vent mesur�) et un aspect de face ou d'arri�re (observation 3 le long du vent mesur�) des PANS qui les rend parfaitement conforme � une observation de cerfs-volants en situation de profil et de face par rapport au vent.
Bien que le t�moin (joint au t�l�phone 2 ans plus tard) r�fute cette hypoth�se, celle-ci reste pour le GEIPAN l'hypoth�se la plus probable, en raison des �l�ments d�crits et aussi parce que le GEIPAN a pu r�colter des indications quant � la pratique de cerf-volant dans une zone de loisir juste en amont (par rapport au sens du vent voir position dans reconstitution). Il a pu s'agir d'usagers de la zone qui ont de mani�re exceptionnelle (zone non accessible ce jour l� ?) d�cid� de pratiquer plus en aval dans le champ (des PANs) ou juste en amont de ce champ de sorte que le t�moin voyait les cerfs-volants (d'un cot� de la route) sans remarquer les pilotes des cerfs-volants (de l'autre cot� de la route). En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en B : observation de cerfs-volants.";"Observations successives du d�placement de plusieurs objets gris en forme de ""barque"" dans le ciel : probable observation de cerfs-volants.";O;;;;;;;;;2017-06-07;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.80;;0.56;0.00;B;B;2014-06-08730
4569;"SCHOELCHER (972) 12.11.2017";Martinique;972;"(D) D�partement";2017;11;12;"Le 12 novembre 2017 � 17h15 (heure locale) un t�moin � son domicile observe au z�nith un objet tr�s lumineux, opaque et blanc, de forme ovo�de. Le t�moin observe le PAN avec des jumelles dans le ciel d�gag� : il pense � un ballon sonde mais reste �tonn� car l'objet est quasiment immobile. Aucun bruit particulier n'est entendu. Le t�moin et la patrouille de l'unit� de gendarmerie observeront ce ph�nom�ne jusqu'� 18h15 avant qu'il ne se d�place vers l'Est. Le t�moin a pris une photographie (original non transmis au GEIPAN). Un seul t�moignage est recueilli.
Cette observation �voque pour le t�moin comme pour les gendarmes le passage d'un ""ballon sonde m�t�o"". Cette hypoth�se a fait l'objet de v�rifications aupr�s de la brigade des transports a�riens du Lamentin (972). Apr�s consultation du site ""Flight Radar"", il s'agit d'un ballon d�ploy� sur Porto Rico que les vents d'altitude ont pouss� vers la Martinique.
Ces ballons sont issus du projet Loon mis en place pour offrir un acc�s � Internet aux zones sinistr�es et/ou difficiles d'acc�s en utilisant des ballons � haute altitude. C'est suite au passage de l'ouragan Maria en septembre 2017 sur Porto Ricco qu'il a �t� d�cid� d'utiliser une flotte de ballons qui permet aux portoricains priv�s de connexion cellulaire, suite � la destruction des antennes, de pouvoir utiliser les fonctions basiques de leur t�l�phone.
Le GEIPAN classe ce cas � A � comme l'observation d'un ballon stratosph�rique venant de Porto Ricco pouss� par les vents d'altitude vers la Martinique.
";"Longue observation d'un objet ovo�de, lumineux, opaque et blanc au z�nith : d�placement vers l'Est : observation d'un ballon stratosph�rique technologique.";O;;;;;;;;;2018-02-28;;;0.10;0.00;;;;;;;0.20;0.00;A;A;2017-11-50233
3415;"CHECY (45) 03.07.2014";Loiret;45;"(D) D�partement";2014;07;03;"Le t�moin regarde au petit matin par sa fen�tre et aper�oit une lumi�re orange tr�s vive, plut�t statique, entre deux arbres. Le ph�nom�ne dispara�t au bout de deux minutes.
Il s'agit de l'observation de l'�toile Capella qui se trouve cette nuit-l� � une hauteur et direction (15�N NE) compatible avec la description d'un point lumineux (""aspect �toile"") et qui ""ne se d�place pas ou pas beaucoup"". En particulier la faible hauteur de 15� est propice � des couleurs changeantes (scintillement). Le t�moin signale la pr�sence de nuages, ce qui explique la disparition du PAN au bout de 2 minutes.
Le t�moin indique une direction Nord, mais la configuration des rues et b�timents est propice � un ""VELUX"" orient� N NE, et les seuls grands arbres entre lesquels a pu �tre vu un PAN sont situ�s en direction N NE.
En cons�quence GEIPAN classe le cas en A : observation astronomique de Capella.";"Observation d'une lumi�re orange fixe entre deux arbres : observation de l'�toile Capella.";O;;;;;;;;;2017-01-30;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.60;;0.56;0.00;A;A;2014-07-08731
3416;"SAINT-LAURENT-LE-MINIER (30) 08.07.2014";Gard;30;"(D) D�partement";2014;07;08;"Le 8 juillet 2014 � 21h33 un t�moin est intrigu� par le passage rectiligne d'une forme rectangulaire tr�s lumineuse. Durant les 6 � 8 secondes d'observation, l'objet rapide se d�place silencieusement. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Le t�moin observe un rectangle jaune avancer au-dessus de l'horizon. Le soleil est couch� depuis 8 mn. Le t�moin regarde vers le Sud-Est, et voit passer l'objet de gauche vers sa droite (voir ses dessins).
Un avion, �clair� de c�t� par le soleil couchant appara�t comme un rectangle tr�s brillant (les ailes ne recoivent pas directement les rayons du soleil, la d�rive, plane, renvoie le soleil dans une direction diff�rente que le fuselage cylindrique). Le halo gris autour de l'objet peut �tre un ph�nom�ne d'optique atmosp�rique, assez complexe � basse �l�vation, ou bien un ph�nom�ne d'aveuglement local au niveau de l'il de l'observateur.
Le relev� Flightradar indique un avion candidat pour cette observation : le vol AF Orly-Marseille en approche de Marignane.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation d'un avion au coucher du soleil.";"Observation du passage rectiligne, rapide et silencieux d'une forme rectangulaire jaune au-dessus de l'horizon : observation du passage d'un avion au coucher du soleil.";O;1;;;;;;;;2014-09-02;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-07-08732
3417;"ARGELES-SUR-MER (66) 13.07.2014";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2014;07;13;"Le 13 juillet 2014 vers 15h15 trois personnes d'une m�me famille sur la plage d'Argel�s-Sur-Mer (66) sont intrigu�es par le passage d'un disque sombre flou qui se d�place dans le ciel nuageux. Aucune train�e, aucun bruit ne sont remarqu�s durant l'observation de 3 � 4 minutes. Le Pan disparait en s'�loignant vers les terres. Un seul questionnaire est recueilli.
Un enqu�teur a �t� missionn� pour rencontrer les t�moins. Trois �l�ments de conclusion se d�gagent de cette enqu�te (voir le compte rendu d'enqu�te) :
1. Consistance : ce t�moignage est fiable, toute hallucination ou probl�me de vision est � exclure du fait de la pr�sence de plusieurs t�moins. De plus, la quantit� et la coh�rence des informations recueillies est bonne. Ce cas est donc tout � fait consistant (0,8).
2. Etranget� : l'�tranget� de ce ph�nom�ne est relativis�e par le manque de t�moignage externe � cette famille (0,45).
3. Hypoth�ses : des propositions d'explications plausibles ont pu �tre fournies mais nous n'avons pas �t� en mesure d'apporter des preuves formelles.
En conclusion, le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie B comme observation probable de ballon dirigeable ou ballon libre (dirigeable publicitaire ou de surveillance, ou ballon amateur).";"Observation du passage silencieux d'un disque sombre et flou dans le ciel nuageux du bord de mer : observation probable de ballon dirigeable ou ballon libre";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.45;0.00;;;0.90;;0.85;;0.77;0.00;B;B;2014-07-08733
3418;"PERLES-ET-CASTELET (09) 19.07.2014";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2014;07;19;"Le 19 juillet 2014 � 23h un groupe de personnes observe les �toiles en montagne. La seule personne qui t�moigne rapporte avoir remarqu� un point lumineux � la trajectoire h�sitante, puis d'autres points se d�pla�ant bizarrement. Certains se rencontrent pour fusionner.
Plusieurs indications du t�moignage orientent l'explication :
- Apparence ponctuelle de tous les PAN
- Couleur � dominante blanche.
- Trajectoire lin�aire.
- Disparition et r�apparition un peu plus loin lors du d�placement.
- D�placements erratiques selon des � courbes de petit rayon"".
- Acc�l�ration sur de courtes distances.
- Arr�ts nets.
Les quatre premiers points sont caract�ristiques des satellites observ�s de nuit. Les conditions d'observation �tant alors id�ales pour en observer un maximum : pas de Lune, altitude �lev�e, pas ou peu de pollution lumineuse, ciel estival Par ailleurs, l'heure d'observation est aussi un facteur important en ce sens que la plupart des satellites sont visibles en d�but de nuit ou au petit matin, �tant alors encore �clair�s par le soleil et par cons�quent ne se trouvant pas dans le c�ne d'ombre de la Terre.
Les trois points suivants sont li�s � un ph�nom�ne naturel physiologique de micro-mobilit� oculaire nomm� � micro-nystagmus �, mal connu du grand public, qui se produit lorsque l'on fixe des objets, particuli�rement de nuit. Il se traduit par l'impression fausse que des objets ponctuels lumineux sont affect�s de petits mouvements aberrants, tels que des zigzags ou des arr�ts brefs, lorsqu'il s'agit d'objets mobiles.
Des explications physiologiques d�taill�es sont visibles en milieu de page sur forum-ovni-ufologie.
Ce ph�nom�ne se produit plus particuli�rement lorsque le PAN croise lors de son d�placement d'autres objets lumineux ponctuels. Ainsi, l'il, en pr�sence d'une nouvelle source lumineuse, essaie d'adapter sa vision nocturne de la meilleure fa�on possible en � se concentrant � davantage sur ces nouvelles lumi�res. Les muscles oculomoteurs placent alternativement et rapidement le centre de la r�tine (fov�a) sur les sources lumineuses et � c�t�. Le cerveau interpr�te d�s lors faussement les informations envoy�es par le nerf optique depuis la r�tine comme �tant des � zigzags � ou des � arr�ts �.
Nota : le t�moignage des autres observateurs n'a pas pu �tre obtenu.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas B : observation probable de satellites.";"Observation de d�placements erratiques de points lumineux dans un ciel nocturne : probable observation de satellites et illusion visuelle (micro-nystagmus).";O;;;;;;;;;2017-06-07;;;0.35;0.00;;;0.60;;0.60;;0.60;0.00;B;B;2014-07-08734
3419;"COSNE-COURS-SUR-LOIRE (58) 05.07.2014";Ni�vre;58;"(D) D�partement";2014;07;05;"Etant donn�s la description des t�moins et les �l�ments de l'enqu�te, l'hypoth�se de l'observation de lanternes c�lestes s'av�re tr�s probable. Du fait des deux t�moignages ind�pendants, la consistance de ce cas est �lev�e (0,8) : la r�alit� du ph�nom�ne ne fait aucun doute, m�me s'il n'est pas certain que les observations aient �t� simultan�es : il peut s'agir d'une incertitude sur l'heure d'observation, ou d'un deuxi�me l�cher du m�me endroit. L'�tranget� du cas est faible (0,3) car le ph�nom�ne d�crit ressemble fort � un ph�nom�ne bien connu. Le GEIPAN classe ce cas � B � : observation tr�s probable de lanternes c�lestes, appel�es aussi lanternes tha�. Ce cas pourrait �tre class� A si les auteurs du l�cher potentiel avaient pu �tre identifi�s";"Observation du lent d�placement silencieux de lumi�res orange dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-07-08735
3420;"TOULOUSE (31) 05.07.2014";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2014;07;05;"Un t�moin observe vers 23h une lumi�re vive montant du sol vers le ciel puis filant vers l'Ouest � grande vitesse. Un deuxi�me ph�nom�ne appara�t quelques minutes plus tard et suit la m�me trajectoire.
L'observation de lumi�res vives jaunes un samedi soir, se d�pla�ant successivement dans le sens du vent (L�ger vent d'Est, relev� � Blagnac : m�t�o) �voque des lanternes tha� l�ch�es � l'issue d'une f�te.
Vue l'�tranget� relativement faible de ce cas d'observation, le GEIPAN n'a pas requis d'enqu�te sur place.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observation du d�placement silencieux de deux lumi�res vives dans le ciel sur une m�me trajectoire : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-07-08736
3421;"AIX-EN-PROVENCE (13) 05.07.2014";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2014;07;05;"Le t�moin � 22h10 regarde � la fen�tre et voit s'�loigner un point lumineux de couleur orange, silencieux, qui s'immobilise puis dispara�t en filant rapidement.
L'observation d'une boule orange un samedi soir, se d�pla�ant dans le sens du vent (L�ger vent de sud ouest � sud, relev� � Marignane : m�t�o) �voque une lanterne tha� l�ch�e � l'issue d'une f�te.
Un avion vu de face, proche de l'atterrissage, peut aussi appara�tre comme une boule jaune ou orange, mais le t�moin, bien que proche d'un a�rodrome, n'est pas dans l'axe des pistes. De plus, il conna�t bien le monde a�ronautique.
L'hypoth�se de la lanterne tha� convient mal � deux �l�ments du t�moignage : l'objet s'arr�te et repart. Cependant on note d'une part que le vent est faible, et le relief local peut cr�er des irr�gularit�s du vent. L'objet dispara�t � vitesse extraordinaire : l'extinction progressive et rapide de la flamme du br�leur de la lanterne est souvent interpr�t�e par les t�moins comme un �loignement de l'objet.
Vue l'�tranget� reltivement faible de ce cas d'observation, le GEIPAN n'a pas requis d'enqu�te sur place.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanterne tha�.";"Observation du d�placement silencieux d'un point lumineux orange avec arr�t et brusque disparition : observation probable d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-07-08737
3422;"LACS (36) 12.07.2014";Indre;36;"(D) D�partement";2014;07;12;"Le t�moin est sur son lit, tourne la t�te vers la fen�tre et voit passer une grosse boule lumineuse rouge orang�e, reli�e � une seconde, plus petite. La trajectoire est lente, silencieuse, et tr�s proche (au-dessus du toit).
Le t�moin observe 2 boules lumineuses rouge-orange qu'il estime venir de la direction de Sainte S�v�re sur Indre vers Thevet St Julien, c'est-�-dire du sud est vers le nord est. Les objets suivaient donc une trajectoire du sud vers le Nord. Le relev� m�t�o de Ch�teauroux indique un vent de sud � 1h du matin, faible et variable vers le sud ouest ou l'ouest (m�t�o).
L'objet observ� pouvait �tre port� par le vent. Les l�chers de lanternes tha�landaises sont fr�quents en �t� lors des week-end, en particulier autour du 14 juillet. Le rapport d'observation fait par le t�moin est conforme � cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises. Le t�moin fait �galement r�f�rence � une observation semblable, mais avec plusieurs boules : c'�tait probablement la m�me origine.";"Observation du lent passage silencieux de deux boules lumineuses rouge-orange : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-07-08738
3423;"LYON (69) 12.07.2014";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2014;07;12;"Le 12 juillet 2014 un t�moin observe, depuis son balcon, le lent d�placement en groupe de quatre ronds bleus. Ils se mettent � clignoter et partent ensemble, en conservant une �gale distance les uns des autres.
Compte tenu des �l�ments objectifs d�finis dans le compte rendu d'enqu�te (voir le document joint), l'hypoth�se d'un �v�nement festif sans possibilit� de confirmation rend l'�tranget� du ph�nom�ne comme moyenne � faible. Le t�moignage est de consistance moyenne : impr�cision sur d�placement, absence de sch�ma.
Le GEIPAN classe ce cas en � C � par manque d'informations ou de recoupements.";"Observation du d�placement lent et silencieux de quatre ronds bleus dans le ciel : manque d'information.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-07-08739
3424;"SELLES-SAINT-DENIS (41) 14.07.2014";Loir-et-Cher;41;"(D) D�partement";2014;07;14;"Le t�moin observe la pleine lune � 1h du matin et voit appara�tre successivement 7 boules jaune-orang� �voluant silencieusement en se suivant avant de dispara�tre.
L'observation de boules orange se succ�dant selon la m�me trajectoire �voque nettement des lanternes tha�. Le t�moin d�crit un d�placement du nord-ouest vers le sud-est, assez coh�rent avec le l�ger vent relev� � Romorantin (15 km) de secteur ouest � 1h et de nord-ouest � 2h (voir : m�t�o).
L'instant de l'observation, apr�s la finale du mondial de football, et veille du 14 juillet, est tr�s propice � tous types de c�l�brations publiques ou priv�es. Le t�moin � qui il a �t� pr�sent� divers documents, photo ou vid�o de lanternes tha� a reconnu ce type d'objets (voir mail), qu'il ne connaissait pas auparavant.
Ce cas est class� ""A"" : observation de lanternes tha�.";"Observation d'apparitions successives de boules jaune-orang� en d�placement silencieux dans le ciel nocturne : observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-07-08740
3425;"SAINT-REMY-DE-PROVENCE (13) 17.07.2014";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2014;07;17;"Le 17 juillet 2014 vers 23h un t�moin et son fils observent une s�rie de flashes venant du ciel. Le Pan reste fixe dans le ciel durant toute l'observation qui dure 40 minutes. L'intensit� des flashes �tait comparable en forme et �clat � des �toiles. Le t�moin identifie, gr�ce au plan�tarium d'Aix-En-Provence, la constellation du Scorpion. Le lendemain le t�moin avec ses enfants regardent toujours au m�me endroit dans le ciel et � 23h10 la famille verra par trois fois le flash de moindre intensit�. Un seul t�moignage est recueilli.
D'�tranget� et de consistance moyennes (plusieurs t�moins, mais un seul t�moignage), ce cas s'av�re �tre l'observation probable d'un satellite g�ostationnaire en rotation rapide.
Plusieurs satellites g�ostationnaires sont pr�sents dans le secteur indiqu� par le t�moin, et au moins l'un d'entre eux est connu pour �tre en rotation rapide sur lui-m�me.
Ce cas est class� B, observation probable d'un satellite g�ostationnaire en rotation rapide.";"Observation deux jours de suite d'une s�rie de flashes dans le ciel : observation probable d'un satellite g�ostationnaire en rotation rapide.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-07-08741
3426;"AVIGNON (84) 17.07.2014";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2014;07;17;"Le 17 juillet 2014 aux environs de 0h15 un t�moin aper�oit dans le ciel un point lumineux jaune-orange se rapprochant de la couleur des �toiles, avec une trajectoire tr�s particuli�re (ligne droite, descente, demi tour, zig-zag montante) avant de disparaitre tr�s rapidement. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs d�crits dans le rapport d'enqu�te, � savoir l'heure d'observation et la dur�e, l'azimut de d�but et de fin d'observation,la bonne visibilit� du satellite ISIS et la magnitude apparente du satellite exceptionnel ainsi que l'effet de � micro-nystagmus � (illusion autocin�tique), nous pouvons conclure que le cas concerne l'observation probable de l'�toile Arcturus, puis du satellite ISIS 1.
cependant un point important de l'observation ne correpond pas � cette hypoth�se ; il pourrait s'agir d'une confusion ou d'un faux souvenir, mais nous n'avons pas d'�l�ment probant pour adopter cette hypoth�se.
Ce cas est � classer en � C � faute de recoupement permettant de confirmer l'hypoth�se � ISIS �, ou de confirmer le d�placement complexe du point lumineux observ�.";"Observation d'un point lumineux sur une trajectoire tr�s particuli�re dans le ciel nocturne : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-07-31;;;0.55;0.00;;;;;;;0.60;0.00;C;D1-;2014-07-08742
3427;"BRUGUIERES (31) 19.07.2014";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2014;07;19;"Le t�moin est assis sur sa terrasse lorsqu'il aper�oit trois ronds oranges se d�pla�ant lentement dans le ciel. La photo du ph�nom�ne, parue dans la presse le lendemain pour un cas relat� � Gratentour, est identique � son observation.
L'observation de ronds oranges traversant le ciel en quelques minutes, selon la m�me trajectoire une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�e � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� venant du Sud-Est (Gratentour), ce qui est compatible avec le vent de Sud-Est relev� � Toulouse-Blagnac (vent de Sud � Montauban).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanterne tha�.";"Observation du passage silencieux de plusieurs ronds orange dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-07-08743
3428;"[A62] DE TOULOUSE (31) VERS MONTAUBAN (82) 19.07.2014";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2014;07;19;"L'observation de deux boules jaune-oranges durant quelques minutes, une nuit de week end ( � 22h45) , fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement observ� est tr�s faible (t�moins en voiture, venant du Sud), ce qui est compatible avec le faible vent de Sud relev� � Montauban : m�t�o.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanterne tha�.
A la m�me heure, une observation semblable a eu lieu � BRUGUIERES (31). Il peut s'agir de la m�me origine.";"Observation de deux lumi�res dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.53;0.48;B;B;2014-07-08744
3429;"LORGUES (83) 31.07.2014";Var;83;"(D) D�partement";2014;07;31;"Le 31 juillet 20474 � 20h40 un t�moin et sa famille observent un objet de couleur fonc�e et de la taille d'un avion de ligne dans le ciel d�gag�. Il se d�place sans bruit de l'Est vers l'Ouest, lentement en oscillant et semblant tourner sur lui-m�me. Des scintillements sont aper�us. Aucune train�e, aucun halo ne sont observ�s. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce t�moignage est d'une bonne consistance : pr�cis, venant de trois t�moins se connaissant et s'exprimant ind�pendamment ; aucune photo n'a �t� r�alis�e.
L'observation est �trange car il s'agit d'un objet ayant une apparence peu banale, avec un comportement peu classique. Toutefois ses caract�ristiques en termes de vitesse, de taille, de forme, de couleur, de trajectoire ne pr�sentent pas d'aspects hors du commun ne pouvant pas �tre expliqu�s. Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis dans le rapport d'enqu�te, ce cas est class� en � B � comme observation probable d'objet port� par le vent.";"Observation du passage silencieux dans le ciel d�gag� d'un objet sombre effectuant des rotations sur lui-m�me : observation probable d'objet port� par le vent.";O;;;;;;;;;2015-02-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-07-08938
3430;"COLMAR (68) 02.07.2014";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2014;07;02;"Ce t�moignage de grande qualit� d�crit l'observation � 22h59 d'un groupe de lumi�res blanches (une quinzaine environ) traversant silencieusement une partie du ciel en une minute. Le t�moin d�crit la disparition progressive du ph�nom�ne ; ce t�moignage fait penser � l'observation de ballons lumineux ou de lanternes tha� port�s par le vent, probablement l�ch�s � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� de l'Est vers l'Ouest (voir sch�ma du t�moin) Le vent relev� � Colmar � 23h est faible, de secteur Nord (Nord Est un peu plus t�t) : lam�t�o est � peu pr�s compatible avec ce d�placement ; la variabilit� du vent � basse altitude, et l'impossibilit� pour le t�moin de juger de l'�loignement ou rapprochement des lumi�res sur un temps si court peut expliquer cet �cart de direction.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : probable observation de lanternes tha� ou de ballons lumineux port�s par le vent.";"Observation du d�placement de nombreuses lumin�res blanches dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes tha� ou de ballons lumineux port�s par le vent.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-07-08939
3431;"FONTEVRAUD-L'ABBAYE (49) 20.07.2014";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";2014;07;20;"Le t�moin remarque vers minuit une lumi�re orang� se d�pla�ant silencieusement de droite � gauche,suivie de plusieurs autres, � un intervalle de quelques minutes. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'observation de lumi�res orang�es traversant le ciel en quelques minutes, se succ�dant sur la m�me trajectoire, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� vers le Nord-Est, ce qui est compatible avec le vent tr�s faible, variable, d'Ouest � Sud-Ouest relev� � Tours : m�t�o.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�.";"Observation du d�placement silencieux de lumi�res orang�es dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-07-08941
3432;"POULIGUEN (LE) (44) 09.07.2014";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2014;07;09;"Entre le 9 juillet 2014 et le 11 juillet 2014, un t�moin est intrigu� par plusieurs observations de ph�nom�nes lumineux dans le ciel.
Premi�re observation du 9 juillet 23h54 :
le t�moin d�crit une sph�re lumineuse traversant le ciel en moins d'une minute, venant du Sud-Ouest. Entre 23h45 et 0h, une patrouille de deux gendarmes, situ�e entre le Pouliguen et Gu�rande observe durant 2 � 3 secondes un ""ph�nom�ne genre �toile filante"" traversant du ciel du Sud vers le Nord, finissant par se scinder en deux parties avant de s'�teindre. La description de l'ensemble des t�moins fait penser � un bolide (rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de, ph�nom�ne appel� aussi chute de m�t�orite, ou m�t�ore, semblable � une tr�s grosse �toile filante, plus durable et plus brillante). Le site BOAM (voir document ci-joint) ne mentionne pas d'�v�nements enregistr�s de ce type mais la couverture syst�matique sur la France de ce type de ph�nom�ne n'est pas garantie.
On peut aussi penser � une rentr�e dans l'atmosph�re d'un d�bris spatial, mais ces ph�nom�nes durent g�n�ralement au moins une minute. De plus aucune rentr�e notable n'est r�pertori�e : voir : Aerospace.
Le site Space-Track (voir document ci-joint) indique plusieurs rentr�es de petits debris ce jour l�, sur des orbites tr�s inclin�es, pouvant �ventuellement correspondre � l'observation (�tude fine � poursuivre). Si des pilotes d'avions ont observ� ce m�me ph�nom�ne, ils l'auront trouv� probablement banal. En tout cas, le GEIPAN n'en a pas re�u de signalement.
Pour cette premi�re observation, du fait qu'il est tr�s probable que le t�moin et les gendarmes aient vu le m�me ph�nom�ne, le GEIPAN privil�gie l'hypoth�se de bolide : rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de.
Deuxi�me observation � 0h15 :
un point lumineux blanc clignotant avan�ant en ligne droite dans le ciel �voque nettement un avion � haute altitude : ces feux � �clats tr�s vifs restent les seuls visibles de loin : les feux de position, assez faibles ne sont pas visibles, et l'il est aveugl� par les feux � �clats.
Le GEIPAN a re�u le rapport d'observation plus d'un mois apr�s les faits, ce qui ne lui a pas permis de faire les v�rifications aupr�s du contr�le a�rien.
Troisi�me observation : 10 juillet 23h18 :
le t�moin d�crit un d�gagement lumineux tr�s puissant, progressif, durant moins de 2 secondes. Cette description �voque nettement un flash ou flare de satellite, lequel renvoie la lumi�re du soleil, comme le ferait un miroir plan. La rotation du satellite induit cet �clat progressif et temporaire. De nombreux satellites peuvent produire cet effet, en particulier les satellites Iridium.
Le site Calsky (voir document ci-joint) r�pertorie plusieurs satellites passant � la verticale du Pouliguen vers 23h08 : Helios 1A Rocket, Lacrosse5. On note aussi un flare Iridium � 23h23.
Observation de 23h15 : cette observation d'une boule lumineuse rapide entre les nuages, peut aussi correspondre � l'observation d'un satellite, nombreux � ce moment l�.
Observation de 23h55 : cette observation d'une sph�re brillante d'Ouest en Est, peut aussi correspondre � l'observation d'un satellite (Echostar 16 pourrait en �tre l'origine, voir le relev� Calsky) . L'apparente disparition du ph�nom�ne correspond � l'entr�e du satellite dans l'ombre de la Terre, en se d�pla�ant vers l'Est.
Observation de 0h02 : lumi�re blanche avec clignotements in�gaux, de Sud-Est vers Nord-Ouest. L'heure et trajectoire correspond approximativement au satellite Yaogan 12 (voir relev� Calsky). Mais la description du t�moin peut aussi correspondre � un avion.
Observation de 0h13 : Le d�placement du ph�nom�ne lumineux est d�crit dans le rapport textuel du t�moin comme d'Est en Ouest, ce qui serait est incompatible avec celui d'un satellite. Mais sur le dessin, il est not� ""Nord-Ouest"", ce qui le rend compatible avec le passage du 3eme �tage de la fus�e SJ 11-03 Rocket.
Observation de 00h32 : deux traits lumineux fulgurants et une sph�re lumineuse � l'Ouest : Ceci pourrait bien correspondre � deux �toile filantes, et au gros satellite TERRA (voir relev� Calsky)
Observation � 0h36 : Flash � la verticale : inexpliqu�.
Observation � 0h45 : 3 flashs � 5 ou 6 secondes d'intervalle : possibles reflets sur Cosmos 1300 Rocket.
En conclusion, la quasi-totalit� de ces observations, finalement peu �tranges, s'expliquent par les divers ph�nom�nes que l'on peut observer la nuit : �toiles filantes, avions et satellites : ce t�moin tr�s observateur a eu la patience et la pr�cision de tout noter et d'en faire part. Les in�vitables co�ncidences entre les nombreux avions et satellites auront ajout� de l'�tranget� au spectacle.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"", observations probables de bolides, avions et satellites.";"Multiples observations de ph�nom�nes lumineux dans le ciel nocturne : observations probables d'une rentr�e atmosph�rique (�toile filante), d'avions et de satellites.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-07-08945
3433;"JUVISY-SUR-ORGE (91) 25.07.2014";Essonne;91;"(D) D�partement";2014;07;25;"Observation vers 23h20, par un groupe de t�moins, de 5 � 7 lumi�res survolant silencieusement une for�t puis prenant de l'altitude. Les objets font une boucle avant de dispara�tre.
Ce cas d'observation est assez typique des observations de l�chers de lanternes tha�. La couleur rouge de l'enveloppe, le d�placement en groupe, le d�placement ascensionnel et/ou au gr� du vent (vent de Nord ce soir l� : m�t�o), la disparition (extinction) au bout de quelques minutes, le jour et l'heure (vendredi en soir�e) de l'observation, sont autant d'indices en faveur de cette hypoth�se. Le d�placement vers le sud (Grigny, Evry) est compatible avec le vent de Nord relev� � ce moment � Orly. Les lanternes ont probablement survol� la Seine, et subit quelques turbulences � ce moment l�.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes Tha�.";"Observation du d�placement silencieux de plusieurs lumi�res orange dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-07-08946
3434;"TOURS (37) 30.07.2014";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2014;07;30;"Le t�moin, assis dans son jardin vers 23h15, observe une lumi�re blanche tr�s intense, de forme ovale, entour�e d'un halo bleut�, se d�pla�ant, sans clignoter, � la vitesse d'un avion. L'objet prend de l'altitude puis dispara�t. D'autres points lumineux sont aper�us.
L'observation durant quelques secondes d'une lumi�re blanche tr�s intense se d�pla�ant � la vitesse (angulaire) d'un avion �voque l'observation d'un satellite durant une partie de sa trajectoire. Le relev� Calsky (voir ci-joint ) mentionne � cette heure l� le survol de nombreux satellites, plus ou moins visibles (voir l'indicateur ""magnitude"" d'autant plus petit que la muminosit� est �lev�e) indique pr�cis�ment � 23h16 un ph�nom�ne assez rare pour un lieu donn� de ""Flare Iridium"" : reflet temporaire du soleil sur une partie du satellite tr�s r�fl�chissante. Il est probable que ce soit ce ph�nom�ne que les t�moins aient observ� (le questionnaire laisse une ambiguit� sur la position du ph�nom�ne dans le ciel).
Comme ce reflet du soleil diminue progressivement au fur et � mesure que le satellite progresse sur son orbite, et modifie son attitude par rapport au soleil, les observateurs interpr�tent souvent cette baisse de luminosit� comme un �loignement, ce qui a �t� le cas ici.
La deuxi�me partie de l'observation peut correspondre � l'observation des deux satellites NOSS 3 (4A et 4C) qui volent en formation, d'une magnitude de l'ordre de 4, c'est-�-dire comme les �toiles � peine visibles � l'il nu. Leur trajectoire apparente vu du sol est un grand cercle.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de satellites.";"Observation du d�placement de lumi�res blanches dans le ciel : observation de satellites.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-07-08947
3435;"GIBERVILLE (14) 31.07.2014";Calvados;14;"(D) D�partement";2014;07;31;"Le t�moin observe, depuis son jardin, un objet inconnu form� de trois boules lumineuses plac�es en triangle. Les trois boules accroissent leur intensit� lumineuse avant de dispara�tre comme dans une forte acc�l�ration.
L'observation de boules oranges traversant rapidement le ciel fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� de l'ouest vers le Nord, ce qui est compatible avec L�ger vent de Sud ouest relev� � Caen : M�t�o.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanterne tha�.";"Observation du d�placement d'un objet triangulaire d�limit� par trois boules lumineuses : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-07-08948
3437;"GLEIZE (69) 19.07.2014";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2014;07;19;"L'observation d'un groupe de points lumineux (une vingtaine) traversant silencieusement le ciel en quelques minutes � 22h35, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. Le d�placement est observ� du Sud vers le Nord. On rel�ve � 22h un vent d'Est � Lyon-Bron : M�t�o.
Mais un vent tr�s faible de Nord � Ouest tr�s variable � Macon : M�t�o.
Comme Gleiz� est situ� entre ces deux stations m�t�o, il est bien difficile de confirmer l'hypoth�se de lanterne tha� par la direction du vent.
N�anmoins, la description du t�moin, et le nombre de lumi�res observ�es, laisse peu de doute sur l'origine du ph�nom�ne.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�.";"D�placement silencieux N-S d'un groupe de points lumineux dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-07-08969
3438;"[D135] de SAINT-PIERRE-DE-PLESGUEN (35) VERS MEILLAC (35) 25.07.2014";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2014;07;25;"L'observation par un automobiliste � 23h58 d'une sph�re rouge orang�e flamboyante dans le ciel en moins quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � une lanterne tha�, probablement l�ch�e � proximit�, � l'issue d'une f�te priv�e. Le d�placement est per�u du Sud vers le Nord, en sens contraire du d�placement d'une voiture roulant du Nord vers le Sud. Ce d�placement apparent n'est pas compatible avec le l�ger vent de Nord relev� � Dinard : M�t�o.
Il est difficile de dire si ce d�placement, per�u comme contraire au d�placement de la voiture est r�el ou est un effet de perspective, avec un objet quasi stationnaire durant la minute d'observation, per�u probablement bien plus lointain qu'il n'�tait r�ellement. Le t�moin r�fute cette hypoth�se de lanterne tha�.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Aucune rentr�e atmosph�rique de d�bris spatial ou de m�t�oro�de n'est r�pertori� � ce moment l� sur cette zone (sources : aerospace et BOAM).
Devant cette incertitude (d�placement r�el, et luminosit�), le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information pr�cise (t�moin stationnaire) ou de recoupement.";"Observation du passage rectiligne d'une sph�re rouge orang�e au-dessus de la route : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-07-08972
3439;"CERGY (95) 16.08.2014";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2014;08;16;"Le t�moin se trouve dans un bateau sur l'Oise, lorsqu'il observe le 16 ao�t 2014 � 21h55 et durant 10 � 20 secondes un objet volant noir de forme rectangulaire aux angles arrondis. L'objet disparait derri�re les arbres.
L'objet se d�place silencieusement en ligne droite, de Cergy vers Pontoise, c'est-�-dire d'Ouest en Est. C'est le d�but de la nuit (coucher du soleil � 21h03). Le relev� Meteociel indique indique un l�ger vent d'Ouest de 6 � 18 km/h (voir m�t�o.
Cette observation peut s'expliquer par un ballon d'enfant, gonfl� � l'h�lium, port� par le vent. Ces ballons ont des formes tr�s diverses, certaines peuvent ressembler � des rectangles sous certains points de vue.
Le GEIPAN n'a pas les moyens de confirmer cette hypoth�se ; la date de l'observation (fin de week end d'�t�) est compatible avec cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe cas ""B"" : observation probable de ballon festif.";"Observation du d�placement silencieux et horizontal d'un objet sombre de forme rectangulaire : probable observation d'un ballon festif.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-08-08940
3440;"SAINT-SULPICE-ET-CAMEYRAC (33) 03.08.2014";Gironde;33;"(D) D�partement";2014;08;03;"Le t�moin observe une vingtaine d'objets color�s rouge orang� de forme sph�rique. Les objets disparaissent derri�re les maisons du bourg. Le t�moin pense � des lanternes tha�landaises mais conna�t mal le ph�nom�ne.
L'observation de boules orange dans le ciel une nuit de week-end �voque des lanternes tha�landaises. La quasi absence de vent rend difficile la corr�lation du d�placement des objets avec celui du vent. L'absence d'autres t�moins ou de relev� dans la presse ou sur Internet ne permet pas de confirmer cette hypoth�se, pourtant extr�mement probable.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha� l�ch�es � l'issue d'une f�te priv�e.";"Observation du d�placement d'une vingtaine d'objets color�s rouge-orang� de forme sph�rique dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-08-08942
3441;"MARSEILLE (13) 05.08.2014";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2014;08;05;"Le t�moin observe � 23h10 une lumi�re qui se consume en laissant une train�e blanche dans le ciel, sur plusieurs centaines de m�tres. L'observation dure 5 secondes. Aucun autre t�moignage n'est recueilli. Le t�moin pense � une rentr�e atmosph�rique.
Une lumi�re qui se consume en laissant une train�e blanche dans le ciel, sur plusieurs centaines de m�tres �voque une fus�e �clairante (voir une vid�o de fus�e �clairante). La tra�n�e persistante (fum�e) est assez caract�ristique de ce type de dispositif ; la fum�e sera rest�e visible car �clair�e par les lumi�res de la ville.
Le t�moin, situ� dans la ville de Marseille, observe en direction de la mer, vers l'Ouest : dans cette direction, se situe le vieux port, le MUCEM, les �les du Frioul (Ch�teau d'If). On peut imaginer de multiples origines de tirs de ce genre de fus�e : f�tes estivales, ou tirs de fus�e de d�tresse (qui sont a priori rouges) depuis des bateaux.
Pour information, les rentr�es atmosph�riques de d�bris spatiaux ne laissent pas de tra�n�es persistantes � basse altitude.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de fus�e �clairante.";"Observation d'une lumi�re dans le ciel nocturne avec une train�e blanche sur plusieurs centaines de m�tres : observation probable de fus�e �clairante.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-08-08943
3443;"NARBONNE (11) 08.08.2014";Aude;11;"(D) D�partement";2014;08;08;"Le 8 ao�t 2014 � minuit lors d'un �posode orageux, un t�moin est intrigu� par un ph�nom�ne lumineux dans les nuages. Le t�moin voit un point lumineux blanc-bleu qui disparait pour r�appara�tre � quelques m�tres plus loin dans les nuages.
La description par le t�moin de points lumineux dans un ciel tr�s nuageux et orageux (le t�moin d�crit au moins un �clair) correspond probablement � un ph�nom�ne de foudre globulaire.
Le GEIPAN n'a pas re�u la vid�o mentionn�e par le t�moin et n'est pas en mesure de confirmer l'hypoth�se qui reste d'une bonne probabilit�.
Le GEIPAN classe ce cas en B : probable foudre en boule.";"Apparitions successives d'un point lumineux blanc-bleu dans un ciel tr�s orageux : probable observation de la foudre en boule.";O;;;;;;;;;2017-06-07;;;0.30;0.00;;;;;;;0.60;0.00;B;B;2014-08-08949
3444;"SAINT-MARTIN-DE-SEIGNANX (40) 09.08.2014";Landes;40;"(D) D�partement";2014;08;09;"Le samedi 9 ao�t 2014 � 22h40 un t�moin dans son jardin est intrigu� par le d�placement en-dessous des nuages de trois gros phares ronds blancs dispos�s en forme de V et d'un phare rouge. Le PAN survole sa maison silencieusement, puis acc�l�re et dispara�t. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Les conditions m�t�o de ce cas d'observation sont les suivantes : ciel couvert, vent de Nord, et une intense activit� orageuse sans pluie (�clairs secs) : voir carte m�t�o des impacts de foudre c-i jointe.
Pour information, au m�me moment, la station internationale ISS suivi du cargo europ�en ATV5 �taient potentiellement visibles au Nord et Nord Est assez bas sur l'horizon (voir relev� Calsky), mais le t�moin ne regardait pas dans cette direction et le ciel �tait couvert. Il n'a pas pu voir cet �v�nement assez exceptionnel.
La description faite par le t�moin ne corrrespond d'ailleurs pas du tout � ce type de ph�nom�ne. L'observation de boules lumineuses proches par temps d'orage fait penser � un ph�nom�ne de foudre globulaire (foudre en boule).
La trajectoire et le comportement du ph�nom�ne sont compatibles avec cette hypoth�se, mais Il y toutefois certains �l�ments du t�moignage qui correspondent mal : le point rouge et la position relative des boules qui semble �tre stable, �l�ments qui peuvent avoir �t� d�s � une illusion de perception. La r�alit� du triangle portant les 3 lumi�res n'est pas certaine : c'est une illusion de perception bien connue que de percevoir un objet englobant le contour de points lumineux (illusion dite ""Gestalt"").
Le GEIPAN n'a pas les moyens de confirmer ou d'infirmer cette derni�re hypoth�se (autres t�moins, photos),et de ce fait, ce cas est class� ""C"" par manque d'informations et de recoupements.";"Observation du d�placement silencieux de trois phares lumineux blancs dispos�s en V et d'un phare rouge au milieu : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-08-08950
3445;"EPINONVILLE (55) 10.08.2014";Meuse;55;"(D) D�partement";2014;08;10;"Le t�moin prom�ne ses chiens � 23h25 lorsqu'il observe durant 2 minutes deux points lumineux blancs qui se suivent dans le ciel, � grande vitesse.
La description du ph�nom�ne faite par le t�moin �voque nettement le passage de deux satellites, dont un gros.
Une v�rification sur Calsky confirme que la station spatiale internationale ISS �tait bien visible � ce moment l�, accompagn�e du cargo spatial europ�en ATV5 qui se pr�parait � son amarrage le 12 ao�t 2014.
Ce cas d'observation, parfaitement identifi�, est class� ""A"" : observation de l'ISS et du cargo ATV5.";"Observation du passage de deux points lumineux qui se suivent dans le ciel : observation de l'ISS et du cargo ATV5.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-08-08951
3446;"BERGERAC (24) 17.08.2014";Dordogne;24;"(D) D�partement";2014;08;17;"Le dimanche 17 ao�t 2014 � environ 22h40 un t�moin observe durant 5 minutes le d�placement d'un ph�nom�ne lumineux blanc dans le ciel qui l'intrigue. D'autres t�moins constatent le ph�nom�ne. Un seul t�moignage est recueilli.
La description du ph�nom�ne faite par le t�moin �voque nettement le passage d'un gros satellite. Une v�rification sur Calsky confirme que la station spatiale internationale (ISS) �tait bien visible � ce moment l�, dans la direction indiqu�e par le t�moin : du Nord-Ouest vers l'Est.
Ce cas d'observation, parfaitement identifi�, est class� ""A"" : observation de l'ISS";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux blanc dans le ciel : observation de l'ISS.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-08-08952
3447;"TOURNEFEUILLE (31) 17.08.2014";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2014;08;17;"Le 17 ao�t 2014 vers 21h10 un t�moin observe, par la fen�tre ouverte, le passage rapide d'une grosse boule de feu avec une train�e courte de couleur jaune-blanc, tr�s vive et tr�s lumineuse. Apr�s un d�placement horizontal, le ph�nom�ne dispara�t. L'observation ne dure que quelques secondes.
Le GEIPAN, situ� au CNES Toulouse, � environ 12 km du t�moin, dispose d'une cam�ra qui est pr�te en permanence � enregistrer ce type de ph�nom�ne. Cette cam�ra a enregistr� le m�me ph�nom�ne � 21h11 (Voir vid�o : ph�nom�ne visible en haut � gauche du cercle, correspondant � la direction Sud-Est). Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation certaine de bolide, enregistr� aussi sur la cam�ra GEIPAN.";"Observation du passage rapide et rectiligne d'une grosse boule de feu avec une train�e courte de couleur jaune-blanc tr�s lumineuse dans le ciel : observation d'un bolide.";O;1;;;;;;;;2014-09-05;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-08-08954
3448;"HALLES (LES) (69) 22.08.2014";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2014;08;22;"Le 22 ao�t 2014 � 13h30 deux t�moins sont intrigu�s par les d�placements de plusieurs points blancs luminueux � plusieurs kilom�tres dans le ciel. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
La carte Meteo-France ci-jointe indique un temps peu nuageux, avec un vent tr�s faible et instable (M�t�o).Dans la r�gion de l'observation (Sud-Ouest de Lyon) les conditions m�t�o �taient telles � ce moment l� que les avions ne faisaient des tra�n�es qu'entre les niveaux a�ronautiques 357 et 416 (35700 et 41600 pieds) : les multiples avions pr�sents relev�s par Flightradar24 volaient en-dessous de ces niveaux (ex: 24725 pieds), et ne faisaient donc pas de train�es de condensation.
La situation un peu particuli�re de cette accumulation d'avions � haute altitude (au moins 5, voir relev� flightradar), ne faisant pas de tra�n�e, et r�fl�chissant probablement le soleil temporairement selon leur position, aura provoqu� ce ballet lumineux qui a �tonn� le t�moin.
Le GEIPAN classe ce cas A : observation de reflets sur des avions de ligne, sans tra�n�e.";"Observation de d�placements de points blancs dans le ciel : observation de reflets sur des avions de ligne, sans tra�n�e.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-08-08956
3449;"BAYONNE (64) 24.08.2014";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2014;08;24;"Le t�moin observe douze lumi�res �tincelantes rouge orange dans le ciel, qui bougent de fa�on al�atoire. Les lumi�res diminuent pour finir par s'�teindre.
L'observation de douze lumi�res �tincelantes rouge orange dans le ciel, qui bougent de fa�on al�atoire, une nuit de samedi � dimanche, qui plus est au mois d'ao�t en zone touristique, fait penser � des lanternes tha�, souvent l�ch�es � l'issue des f�tes. Meteociel indique ce soir l� un faible vent de sud, temps couvert m�t�o. Les informations fournies par le t�moin (direction d'observation et de d�placement non pr�cis�es) ne permettent pas de confronter ce d�placement avec le vent local pour confirmer cette hypoth�se..
Le GEIPAN classe ce cas ""B"", peu �trange, observation probable de lanternes tha�.";"Observation de douze lumi�res �tincelantes rouge orange dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-08-08957
3450;"AVENIERES (LES) (38) 03.08.2014";Is�re;38;"(D) D�partement";2014;08;03;"Le 3 aout 2014 vers 22h30 un t�moin observe dans le ciel un point lumineux blanc se d�pla�ant silencieusement du SO-NE au NE � peu pr�s � la vitesse d'un avion. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation d'un point lumineux tr�s brillant traversant le ciel vers l'Est en quelques minutes moins de 2h apr�s le coucher du soleil �voque nettement un passage de la station spatiale internationale (ISS).
Le site Calsky confirme cette hypoth�se : l'ISS a ""survol�"" la zone du t�moin de 22h36 � 22h45, du Sud-Ouest vers le Nord-Est. Comme le t�moin ne signale pas l'ISS en plus de son observation, le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de la station spatiale internationale.";"Observation du d�placement silencieux SO-NE d'un point blanc lumineux dans le ciel nocturne : observation de la station spatiale internationale.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-08-08961
3454;"ZONZA (2A) 28.08.2014";Corse-du-Sud;2A;"(D) D�partement";2014;08;28;"Le 28 ao�t 2014 � 5h du matin, un t�moin observe durant 10 minutes entre deux bosquets le d�placement silencieux d'une masse circulaire sombre avec de la lumi�re en son centre et pr�c�d�e et suivie de plusieurs rang�es de groupes de masses sombres plus petites.
A l'issue de l'enqu�te, il s'av�re que cette observation ne correspond pas aux m�prises les plus fr�quentes (avions, satellites, nuages, animations lumineuses) bien que certains aspects du t�moignage puissent y faire penser. Le cas s'av�re d'une �tranget� certaine, mais les d�placements constat�s n'ont pas de caract�re intentionnel. La consistance du t�moignage est bonne, le t�moin a d�pos� son t�moignage en gendarmerie et une enqu�te de terrain a confirm� son t�moignage.
Le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie D1, inexpliqu�, de bonne consistance, et d'�tranget� moyenne � �lev�e.";"Longue observation par un t�moin unique du d�placement silencieux d'une masse circulaire sombre avec de la lumi�re en son centre et pr�c�d�e et suivie de plusieurs rang�es de groupes de masses sombres plus petites : ph�nom�ne non identifi�.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2014-08-08968
3455;"NISSAN-LEZ-ENSERUNE (34) 04.08.2013";H�rault;34;"(D) D�partement";2013;08;04;"Le 4 ao�t 2013 � 22h12 un couple observe le passage d'un point lumineux blanch�tre se d�pla�ant � la m�me vitesse qu'un avion de ligne, mais sans clignoter, sur une ligne droite, sans bruit. Le t�moin prend deux photos avec un appareil photo et est �tonn� par ce qu'il obtient en zoomant depuis son ordinateur (voir photo3). Un seul t�moignage est recueilli.
L'�tranget� � l'origine du temoignage r�sulte de ce que le t�moin a vu sur la photo et non de ce qu'il a vu de ses yeux, qu'il admet lui m�me �tre probablement un satellite. En effet, � l'heure indiqu�e sont pass�s plusieurs satellites dans un sens SO vers NE (voir Callsky).
Le GEIPAN ne traite plus (en raison des multiples artefacts photos) les �tranget�s issues des photos et non vues des yeux et ne se prononce ici que sur le visuel.
Le GEIPAN classe le cas en A : observation du passage d'un satellite.";"Observation du passage d'un point lumineux blanch�tre dans le ciel nocturne et interrogation face � la photographie zoom�e : observation du passage d'un satellite";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.10;0.00;;;0.60;;;;0.53;0.48;A;A;2013-08-09577
3456;"PORGE (LE) (33) 31.08.2014";Gironde;33;"(D) D�partement";2014;08;31;"Le t�moin ferme ses volets lorsqu'il observe dans le ciel 12 � 15 objets lumineux semblant voler silencieusement en formation.
L'observation d'un groupe d'objets lumineux traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. Le d�placement est observ� du Nord vers le Sud, ce qui est compatible avec le vent de Nord-Ouest � Nord relev� � Bordeaux : m�t�o.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du vol silencieux de 12 � 15 objets lumineux : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-08-08971
3461;"SAINT-SULPICE (81) 27.08.2014";Tarn;81;"(D) D�partement";2014;08;27;"Le t�moin observe et photographie deux lumi�res orange dans le ciel, statiques et paraissant tr�s lointaines. Les objets disparaissent pourtant au bout de quelques minutes.
L'observation de deux lumi�res oranges dans le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. Les lumi�res, observ�es vers le Sud-Est semblaient immobile, ce qui est compatible avec le vent quasi nul, variable, relev� � Albi : m�t�o.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�.";"Observation de deux lumi�res orange dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-08-08978
4225;"BEAULIEU-SOUS-LA-ROCHE (85) 01.07.2017";Vend�e;85;"(D) D�partement";2017;07;01;"Le 1er juillet 2017 � 22h14 plusieurs t�moins observent un objet laissant des train�es orange dans le ciel d�gag�. Le t�moin filme son observation. Il est ensuite �tonn� de voir d'autres objets laisser des train�es orange derri�re eux. Les trajectoires sont diff�rentes. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. Le t�moin pense � des d�bris spatiaux entrant dans l'atmosph�re. Un seul t�moignage est recueilli.
La vid�o montre sans �quivoque une trace d'avion. Ce qui �tonne le plus le t�moin est la train�e orange et courte. Elle est orange car �clair�e par le soleil couchant (qui �claire encore � l'altitude de l'avion), la longueur et persistance d�pendent de nombreux facteurs qui peuvent faire aussi que la train�e n'existe pas du tout.
A un degr� moindre, il s'�tonne de la vitesse 5 fois plus rapide qu'un avion de ligne. Un t�moin ne peut parler que de vitesse angulaire et cela est tr�s variable : plus forte � la verticale qu'� l'horizon, � basse altitude de vol qu'� haute altitude. La vid�o ne donne pas l'impression d'une vitesse exceptionnelle.
On v�rifie que beaucoup d'avions de ligne circulent dans ce ciel � cette heure l�. Le GEIPAN ne m�nera pas plus d'investigation d�s lors que l'aspect est bien celui d'un avion.
Le GEIPAN classe le cas en A : avion.";"Observation film�e d'un objet laissant des train�es orange dans le ciel vers 22h : observation d'un avion.";O;;;;;;;;;2017-10-24;;;0.10;0.00;;;0.80;;0.70;;0.60;0.00;A;A;2017-07-09694
4226;"[RN1] de SAINT-DENIS (974) vers POSSESSION (LA) (974) 11.12.2016";"La R�union";974;"(D) D�partement";2016;12;11;"Le dimanche 11 d�cembre 2016 aux environs de 18h30 -18h45 une automobiliste constate dans le ciel d�gag� un ph�nom�ne de couleur rouge-orang� de la forme de deux train�es surmont�es d'une sorte de rectangle. Le PAN semble immobile puis s'�l�ve et s'estompe lentement jusqu'� disparaitre totalement. L'observation a dur� de 3 � 5 minutes. Un seul t�moignage sera recueilli.
Le sentiment initial du t�moin (� je pense � un ph�nom�ne atmosph�rique mais je n'ai pas les connaissances suffisantes pour le v�rifier � est a priori le bon. Il s'agit probablement de nuages �clair�s par le soleil couchant. En effet dans la direction indiqu�e (� Vers l'ouest ou sud ouest de ma position �) le soleil est en train de se coucher (coucher � 18H45 azimut 250�) et a pu ne pas apparaitre auparavant au t�moin (qui conduit sa voiture). Le t�moin indique un ciel d�gag�, mais quelques traces nuageuses peuvent se trouver fortement �clair�es (en miroir) par le soleil couchant et former des configurations g�om�triques orang�es quelque fois insolites (ici des train�es surmont�es d'un rectangle) pour en final ""s'estomper"".
Venus et Mercure brillaient dans le ciel dans la direction indiqu�e pour le PAN, et surtout V�nus ( magnitude forte de -4.2) � 35� d'�l�vation. Soit le t�moin ne l'a pas remarqu�e (cela peut arriver) soit V�nus �tait cach�e par un nuage. Dans les deux cas cela veut dire que le ph�nom�ne n'a pas �t� vu � 40� d'�l�vation comme indiqu�. Les erreurs de rep�rage d'�l�vation en absolu (sans r�f�rence � un rep�re g�ographique local) sont tr�s usuelles.
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en B : observation de nuages.";"Observation d'un ph�nom�ne rouge-orang� de la forme de deux train�es surmont�es par un rectangle dans le ciel d�gag� : observation de nuages �clair�s par le soleil couchant.";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;B;A;2016-12-09608
3468;"PRESLY (18) 01.09.2014";Cher;18;"(D) D�partement";2014;09;01;"Le premier septembre 2014 � 12h55 un t�moin, attir� par le bruit d'un avion, observe le passage rectiligne d'un point lumineux dans le ciel. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
L'observation de points lumineux traversant le ciel en plein jour peut provenir de reflets du soleil soit sur des avions ou sur des satellites.
Les relev�s Flightradar (ci-joints) rel�vent de nombreux avions de ligne survolant le t�moin de NNW vers SSE, mais pas dans la direction indiqu�e de Nord Est vers Sud Ouest. On ne peut pas exclure un avion militaire � haute altitude non r�pertori� par Flightradar.
Le relev� Calsky (ci-joint) des satellites survolant la zone recense aussi un grand nombre de satellites, a priori invisibles de jour. Au moins 4 ont des trajectoires Nord Est vers Sud Ouest compatibles avec l'observation du t�moin : SPOT4, 5, ARGOS, KOMPSAT. Mais ces satellites ne sont pas r�put�s faire de ""flare"" en plein jour comme les Iridium, bien que ce ne soit pas impossible physiquement.
Devant ces diverses possibilit�s que le GEIPAN n'a pu �liminer ou confirmer, ce cas peu �trange est class� C par manque d'informations et de recoupements.";"Observation du passage rectiligne d'un point lumineux dans le ciel : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-09-08979
4265;"[A5] de CHAUFFOUR-LES-BAILLY (10) vers TROYES (10) 28.01.2017";Aube;10;"(D) D�partement";2017;01;28;"Le 28 janvier 2017 entre 5h07 et 5h10 un automobiliste est intrigu� par un ph�nom�ne lumineux dans le ciel peu nugageux. Il apper�oit 4 lumi�res blanches align�es et 2 lumi�res clignotantes de couleurs diff�rentes. Cette observation est faite � travers son pare-brise. Bien que roulant � 110km/h le t�moin filme ce qui l'intrigue avec son t�l�phone portable.
Le t�moignage traduit d'abord un sentiment de faible d'�tranget� per�ue par le t�moin. Il est par ailleurs (et cela est peut �tre li�) tr�s peu document�. La vid�o ne montre pas de PAN, mais semble indiquer que ce qui intrigue le t�moin est globalement face � lui et donc dans l'axe de sa route. Le t�moin qualifie d'ailleurs le d�placement du PAN dans son sens de d�placement.
Le PAN pourrait �tre Capella justement dans cette direction, la rang�e de lumi�re et la scintillation de couleur pourrait �tre provoqu�e par l'optique du parebrise. Le t�moin ne pr�cise pas la largeur angulaire de la rang�e de lumi�res, ni si la perception de d�placement du PAN est due � une �volution angulaire ou � l'id�e que sa trajectoire est parall�le � la sienne (l'�volution pr�t�e � une �toile quand on ne la reconnait pas comme telle est qu'elle se d�place avec vous !).
La description est trop impr�cise pour pouvoir approfondir : une rang�e de lumi�res vue au travers d'un parebrise peut avoir des explications diverses, dont la lumi�re �clat�e d'�toile ou d'avion, reflet d'un objet dans le v�hicule...
En cons�quence le GEIPAN conclut que le cas est class� en C : l'observation est peu �trange et surtout inexploitable par manque d'information.";"Observation en conduisant d'une rang�e de lumi�res de couleurs diff�rentes et certaines clignotantes : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.40;0.00;;;0.60;;0.60;;0.30;0.00;C;C;2017-01-09626
3478;"PLOEMEUR (56) 22.07.1985";Morbihan;56;"(D) D�partement";1985;07;22;"T�moignage r�cent mars 2015 d'une observation ancienne (juillet 1985).
Le 22 juillet 1985 aux environs de 14h30 un automobiliste et ses passagers sont surpris de voir surgir � tr�s basse altitude et tr�s lentement le fuselage avant d'un engin et derri�re une vitre deux individus. Arr�tant son v�hicule l'automobiliste se penche pour observer davantage mais tout a disparu. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Ce rapport d'observation tr�s �trange de 1985 puisqu'il d�crit des �tres inconnus n'a �t� soumis au GEIPAN qu'en mars 2015, c'est � dire pr�s de 30 ans apr�s les faits.
Comme pour tous les cas de ce genre, le GEIPAN a soumis le r�cit de l'observation � un laboratoire universitaire de psychologie cognitive afin d'�valuer la composante de faux souvenirs dans le r�cit. Le rapport de ce laboratoire est disponible ci-joint. Il appara�t que les �l�ments les plus �tranges du t�moignage sont suspect�s de faux souvenirs ; n�anmoins le t�moin a certainement vu un objet volant inhabituel (gros ballon solaire, ou avion � basse altitude).
Du fait de ce t�moignage perturb� par de faux souvenirs, et du manque de recoupements, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'informations fiables.";"T�moignage r�cent d'une observation ancienne du passage lent et � basse altitude d'un engin avec deux individus : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.80;0.00;;;0.20;;0.70;;0.14;0.00;C;C;1985-07-09142
3479;"SAINT-MAXIMIN-LA-SAINTE-BAUME (83) --.08.2004";Var;83;"(D) D�partement";2004;08;--;"Un t�moin nous rapporte en mars 2015 une observation faite autour du 20 au 25 ao�t 2004 alors qu'il �tait passager avant d'un v�hicule. A hauteur de la sortie pour Saint-Maximin-la sainte-Baume (83), le t�moin a observ� au travers du pare-brise le passage de neufs lumi�res blanches qui semblent d�limiter une masse sombre de taille importante. La trajectoire est rectiligne. Un seul t�moignage est recueilli.
�tant donn� la position et l'aspect de la Lune d�crit par le t�moin (Lune pleine, � droite de l'autoroute, haut dans le ciel), il s'agit d'une observation le 26, 27, 28 ou 29 ao�t (Voir cartes du ciel).
L'aspect et le comportement du ph�nom�ne d�crit par le t�moin �voque un avion � basse altitude, tous feux allum�s, se pr�parant � un atterrissage. Nous constatons que le t�moin observe tout pr�s du point de r�f�rence a�ronautique OGREN (voir carte) qui sert de rep�re comme trajectoire d'approche de l'a�rodrome de Marignane, situ� � 50 km. Il passe donc tr�s fr�quemment � cet endroit des avions � moyenne ou basse altitude, tous feux allum�s. Le t�moin, focalis� sur les feux d'atterrissage, a pu ne pas remarquer les feux clignotants, moins puissants.
Il est toutefois �tonnant que le t�moin ait pu faire une telle m�prise, ayant travaill� dans le monde a�ronautique ; mais on n'a pas les m�mes rep�res et les m�mes reflex hors du contexte professionnel.
Cette hypoth�se d'avion ne peut toutefois pas �tre v�rifi�e du fait de l'incertitude sur la date et surtout du d�lai de plus de 10 ans entre les faits et le t�moignage.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.";"Observation du passage rectiligne de neufs lumi�res blanches dans le ciel d�limitant une masse sombre ; date du jour impr�cise : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.70;;0.56;0.00;C;A;2004-08-09143
3480;"CROZON (29) 14.08.2015";Finist�re;29;"(D) D�partement";2015;08;14;"Le 14 aout 2015 vers 17h un t�moin aper�oit dans le ciel une forme triangulaire avan�ant lentement avec un mouvement de balancier. A l'aide de jumelles, il distingue une couleur bleu-roi lorsque l'objet le survole. Ce dernier reste sous les nuages et se d�place sans bruit du NNO vers le SSE. Un seul t�moignage est recueilli.
La m�t�o relev�e � Lanv�oc, � quelques kilom�tres de l�, indique un vent soutenu de NO avec un ciel couvert. A Brest la m�t�o a�ronautique est la suivante : METAR LFRB 141500Z 31010KT 280V340 9999 SCT017 BKN030 16/12 ; base de nuages fragment�s � 1700 pieds (500m), sous une couche �paisse � 3000 pieds (1000m). L'objet observ�, volant du NNO au SSE a donc les caract�ristiques d'un objet port� par le vent.
La forme d�crite peut faire penser � une montgolfi�re mais l'heure du vol est peu commune pour ce type de vol (les a�rostiers pr�f�rent voler t�t le matin ou au coucher du soleil pour �viter les courants thermiques). De plus, la zone est interdite de survol du fait de nombreux sites militaires. Enfin, comme le plafond nuageux est bas, et que l'objet para�t quasi ponctuel � l'oeil nu, il s'agit forc�ment d'un objet de relativement petite taille (si l'objet a une taille apparente de l'ordre du dizi�me de la taille de la Lune et qu'il vole � 500 m d'altitude, il mesure moins de 50 cm).
Un ballon d'enfant, peut-�tre un ballon brillant en mylar l�ch� � proximit� est bien plus probable (mod�les tr�s courants de formes diverses. On note une f�te � Roscanvel (au NO du lieu de l'observation) le 14 ao�t en soir�e. Des stands forains ont pu �tre install�s ce jour l�.
Du fait de ces informations, le GEIPAN classe ce cas en ""B"" comme observation probable d'un ballon d'enfant gonfl� � l'h�lium.";"Observation du lent et silencieux passage d'une forme triangulaire dans le ciel ; mouvement de balancier : observation d'un ballon d'enfant gonfl� � l'h�lium.";O;;;;;;;;;2016-01-29;;;0.50;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;D1;2015-08-09292
3482;"[DEBRIS ETAGE CENTAUR] HAUTE-GARONNE (31) 03.11.2015";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2015;11;03;"Le 3 novembre 2015 � 7h06 un automobiliste � hauteur de Blajan (31) observe dans le ciel le passage O-E d'un ph�nom�ne compos� de plusieurs fragments lumineux rouge�tres. Le ph�nom�ne se fragmente en deux puis quatre ou cinq morceaux et s'�teint rapidement au-dessus des Pyr�n�es. Aucun son particulier n'a �t� entendu.
Ce bolide (boule lumineuse tr�s rapide) observ� durant 15 � 20 secondes, au cours duquel il s'est fragment� en 4 ou 5 morceaux a bien les caract�ristiques d'une rentr�e atmosph�rique de gros d�bris spatial. De nombreux t�moins l'ont aussi vu en Espagne. Un autre automobiliste sur l'autoroute A64 � hauteur de Montr�jeau (31) a �galement rempli le questionnaire pour t�moigner.
Mais ce d�bris spatial n'appara�t pas dans la liste des objets r�pertori�s publi�s par le service am�ricain SpaceTrack.
Une enqu�te remarquable a �t� men�e par Ted Molczan qui a identifi� ce gros d�bris comme le 3�me �tage du lanceur Centaur ayant servi � lancer un satellite militaire am�ricain en 2002 : Voir son enqu�te : Re-entry Sightings and Debris Recovery of 2008-010B Spain-2015 Nevember 03 UTC.
Des sph�res-r�servoirs ont surv�cu � la rentr�e atmosph�rique et ont �t� retrouv�es en Espagne : voir Trois myst�rieuses boules m�talliques venues du ciel se sont �cras�es en Espagne.
Ce cas d'observation est remarquable car il cumule des observations oculaires, et des d�bris retrouv�s au sol.
Le GEIPAN classe ces observations comme parfaitement identifi�es : rentr�e atmosph�rique d'un �tage Centaur.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux rouge fragment� au-dessus des Pyr�n�es : observation de la rentr�e atmosph�rique d'un �tage Centaur.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.11;0.06;;;0.90;;0.80;;0.62;0.24;A;A;2015-11-09363
4296;"ESPEDAILLAC (46) 21.01.2017";Lot;46;"(D) D�partement";2017;01;21;"Un t�moin rapporte diff�rentes observations de ph�nom�nes lumineux de plusieurs couleurs dans le ciel nocturne des mois de janvier et f�vrier 2017.
Il y a une s�rie d'observations de PAN. Un PAN a �t� observ� par le t�moin, sa compagne et deux gendarmes venus sur les lieux.
Les informations recueillies lors du contact t�l�phonique du GEIPAN avec l'un des gendarmes, puis ensuite avec le t�moin principal permettent d'�tablir qu'il y a eu m�prise avec Arcturus pour ce qui est de l'observation faite conjointement par les t�moins et les gendarmes (0H50 � 1H40 le 24 janvier). Les indications d'�l�vation et azimut communiqu�es par t�l�phone (t�moin) correspondent effectivement, Arcturus �voluant entre 14 et 25� d'�l�vation et entre 75� et 85� Est. Il en est de m�me pour les niveaux per�us d'intensit� lumineuse par rapport aux autres �toiles.
Les sources de m�prise sont assez fr�quentes lorsque cette �toile est observ�e � faible �l�vation. L'�paisseur et la turbulence atmosph�rique perturbe les rayons lumineux (scintillation) cr�ant des �volutions des couleurs et l'impression de boug�. Une impression de boug� encore plus forte peut aussi r�sulter d'un ph�nom�ne d'autocinetique (voir l'article l'effet autocin�tique) en particulier lorsque l'on fixe tr�s attentivement un point lumineux.
Le fait que les autres observations du t�moin correspondent aussi � des �toiles connues pour cr�er ce type de m�prise, consolide cette explication. En soir�e vers 20H le PAN observ� pouvait cr�er le m�me effet � peu pr�s au m�me endroit dans le ciel mais il s'agissait alors de Procyon.
De m�me celui observ� le 27 f�vrier � 2H30 et � l'oppos� en azimut (250� depuis l'autre cot� de la maison) pouvait �tre expliqu� par Sirius (15� d'�l�vation).
En cons�quence le GEIPAN classe l'ensemble des observations comme des observations d'�toiles (pas toujours la m�me).";"Observations multiples et nocturnes d'un point lumineux dans le ciel aux couleurs vari�es ; le Pan semble bouger de fa�on al�atoire : observations d'�toiles.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.10;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;A;A;2017-01-09646
3996;"BEAUMONT-SUR-SARTHE (72) 24.01.2016";Sarthe;72;"(D) D�partement";2016;01;24;"Le dimanche 24 janvier 2016 vers 0h40 un t�moin sur sa terrasse voit une boule lumineuse verte passer et s'immobiliser au milieu des arbres. Le t�moin rentre chercher sa compagne et durant moins de deux minutes ils vont observer les �volutions silencieuses du ph�nom�ne. La boule se d�place au-dessus d'un terrain de foot puis fait un aller et retour tr�s rapide avant de se diviser en 4 boules plus petites. Elles disparaissent derri�re une haie proche pour r�apparaitre devant. Les 4 boules vertes partent vers le NNO tr�s rapidement. Les t�moins intrigu�s descendent dans la rue, ne voient aucun autre t�moin et ne reverront plus le ph�nom�ne. Un des t�moin fait une d�position � la gendarmerie. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. La gendarmerie indique qu'une discoth�que situ�e � 9km de la commune est �quip�e d'un projecteur laser : ce dernier est visible dans un rayon de 20km environ. De plus un parc �olien est implant� dans le secteur.
Les t�moins sont fiables et font le maximum pour bien relater ce qu'ils ont vu et v�cu. Suite � une enqu�te sur place des v�rifications sont faites (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Le ph�nom�ne n'est pas tr�s �trange dans la mesure o� il peut ressembler aux effets (pas toujours connus et qui peuvent donc surprendre) que produirait un petit �metteur laser vert �quip� de quelques fonctions (�mission d'un faisceau large, ou de plusieurs petits faisceaux) manipul� par un voisin.
Les �l�ments r�colt�s ne permettent pas d'identifier l'origine du laser (sans une enqu�te de voisinage), mais le laser reste n�anmoins la cause probable du ph�nom�ne.
Le GEIPAN classe le cas en B : laser ludique.";"Observations des �volutions rapides d'une boule verte qui se divise en plusieurs boules lumineuses vertes : probables observations d'effets d'un laser ludique.";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.85;;0.68;0.00;B;B;2016-01-09513
3995;"CHATEAUNEUF-VILLEVIEILLE (06) 24.01.2016";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2016;01;24;"Le dimanche 24 janvier 2016 vers 12h 45 un t�moin est intrigu� par le passage O-E d'un engin volant lumineux de forme ovoide. Le Pan disparait sous forme d'un point gris � l'horizon. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation.
Le ph�nom�ne d�crit par le t�moin �voque un a�ronef, h�licopt�re ou avion, malgr� une description de forme ovo�de a priori incompatible.
Une v�rification du trafic a�rien civil par le site Flightradar, bas� sur les informations radar dites ""secondaires"", montrent deux a�ronefs insolites sur la zone (Voir les relev�s disponibles en annexe) :
-un avion Beech 200, vol r�f�renc� OOLET qui vole vers 8000m d'altitude, en faisant de multiples cercles au dessus du col de Braus.
-un h�licopt�re Ecureuil, vol 3AMAX, que le radar ne d�tecte que par intermittence car il vole � une altitude d'environ 1000m, � une distance d'environ 10km du t�moin.
On peut constater sur le relev� de 11h57 UTC (12h57 locales) les deux a�ronefs tr�s proches comme l'indique le t�moin. L'avion effectue ensuite un net changement de direction.
Cette activit� a�ronautique sur cette zone peu habit�e n'est pas habituelle : une recherche sur les �v�nements r�gionaux nous indiquent qu'� ce moment l� se d�roulait l'�preuve sp�ciale N� 16 du Rallye automobile de Monte-Carlo (voir copie des pages web en annexe) :
-ES16 D�part 12h08 du Col de l'Orme Arriv�e Saint-Laurent (Power Stage) (Live TV) 12,07
Cette �preuve �tait retransmise en direct pour la t�l�vision. Pour cela, il est fort probable que l'h�licopt�re prenait les prises de vue, les transmettait � l'avion qui les transmettait � la r�gie TV centrale.
Le GEIPAN n'a pas men� les recherches pour identifier les divers op�rateurs du syst�me. Ce type de fonctionnement est habituel pour les grandes �preuves sportives tr�s mobiles (cf cet avion qui intrigue.
) Le relev� M�t�ociel de Nice : M�t�ociel indique un l�ger vent de NO � 12h, s'orientant plein Sud � 13h. Dans les deux cas, le vent est d�favorable � la propagation du bruit de l'h�licopt�re vers le t�moin. L'h�licopt�re est � environ 10km du t�moin, distance suffisante pour qu'on ne l'entende plus dans ces conditions.
Le t�moin qui ne discerne qu'une forme ovo�de, n'observe probablement que le reflet du soleil sur l'a�ronef, sans pouvoir distinguer les d�tails.
Le GEIPAN classe ce cas A : observation d'un h�licopt�re survolant une �preuve du rallye automobile de Monte-Carlo.";"Observation du d�placement d'un engin ovoide dans le ciel : observation d'un h�licopt�re.";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2016-01-09423
3486;"VER-SUR-LAUNETTE (60) 30.12.2014";Oise;60;"(D) D�partement";2014;12;30;"Le 30 d�cembre 2014 � 4h20 du matin un t�moin observe le passage N-S d'une boule jaune mat. Le passage est rapidement cach� par des arbres. Aucun bruit, aucune train�e ne sont remarqu�s. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte tenu des �l�ments pr�sent�s dans le rapport d'enqu�te, et en l'attente de davantage d'informations du t�moin suite � notre demande, le manque d'information ne permet pas de trancher en faveur d'une quelconque hypoth�se.
Ce t�moignage est d'une consistance moyenne : assez pr�cis et d�taill� mais ancien. T�moin oculaire unique et pas de documents photo ou vid�o.
L'observation pourrait �tre moyennement �trange, cependant l'anciennet� du t�moignage emp�chent de juger de fa�on v�ritablement valide son �tranget�.
Ce cas est class� provisoirement en � C � comme observation d'un ph�nom�ne non identifiable en l'�tat, le manque important d'�l�ments ne permettant pas d'�tablir un avis solide.
";"Observation du passage rapide et silencieux N-S d'une boule jaune mat dans le ciel nocturne d�gag� : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.50;0.00;;;0.80;;0.70;;0.50;0.00;C;D1-;2014-12-09140
3489;"MULHOUSE (68) 25.12.2014";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2014;12;25;"Le 25 d�cembre 2014 � 0h45 un t�moin regardant par des fen�tres, voit passer deux fois de suite, 2 lumi�res de couleur rouge en d�placement OuestEst. Aucun bruit particulier n'est entendu. Le t�moin suit le ph�nom�ne jusqu'� perte de vue vers la for�t noire. Aucun autre t�moignage n'est recueilli sur ce ph�nom�ne. L'observation de boules rouge traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de f�te, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� de l'Ouest vers l'Est, ce qui est compatible avec le vent d'Ouest, de 11 � 24 km/h relev� � B�le-Mulhouse � 1h du matin le 25 d�cembre (voir le relev� M�t�ociel. On note toutefois que le vent a �t� tr�s instable durant la nuit, changeant plusieurs fois de direction.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observations successives du passage silencieux O-E de deux lumi�res rouge dans le ciel nocturne : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-12-09084
3993;"SAINT-POL-SUR-TERNOISE (62) 20.07.2010";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2010;07;20;"Le 20 juillet 2010 entre minuit trente et 5 h du matin trois personnes sont intrigu�es par la pr�sence dans le ciel �toil� d'un ph�nom�ne lumineux avec une train�e et qui semble se d�placer silencieusement O-E sur une trajectoire rectiligne.
D'�tranget� moyenne, mais de tr�s bonne consistance (trois t�moins astronomes amateurs, mesures pr�cises, photo), ce cas s'av�re �tre une m�prise probable avec le faisceau d'un projecteur au sol.
De nombreuses sources possibles de spot fixe existent � proximit� du lieu d'observation (b�timents, animation commerciale estivale), et le ciel �tait voil� en altitude.
Ce n'est pas la perception visuelle des t�moins qui est en cause, mais l'interpr�tation que les t�moins font de leur observation � travers leur ressenti (�tonnement, mauvaise interpr�tation initiale du ph�nom�ne, consid�r� comme une fragmentation de com�te, fatigue).
Ce cas est class� B, m�prise probable avec le faisceau d'un projecteur fixe.";"Trois observations de la pr�sence d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel �toil� : m�prise probable avec le faisceau d'un projecteur fixe.";O;;;;;;;;;2017-12-18;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2010-07-02813
3496;"CEYRESTE (13) 31.08.2014";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2014;08;31;"T�moignage r�cent (avril 2015) d'une observation ancienne (ao�t 2014).
Le t�moin relate que le 31 ao�t 2014 entre 3h et 5h30 du matin, il a observ�, avec un ami, diff�rents ph�nom�nes lumineux dans le ciel (�toiles filantes, avions). Cependant le d�placement particulier sinusoidale d'un ph�nom�ne lumineux puis un ""flash"" les intrigue particuli�rement.
D'�tranget� et de consistance faible (t�moignage tardif avec erreur de datation, horaire peu pr�cis), ce cas s'av�re �tre une m�prise avec un ou plusieurs satellites. L'observation la plus insolite, impliquant celle d'un flash, est caract�ristique d'un ph�nom�ne de type flash Iridium. Malheureusement, le t�moignage est trop tardif et pas assez pr�cis pour pouvoir d�terminer quel satellite est responsable de l'observation.
Dans un premier temps, le t�moin n'a pas reconnu le PAN comme �tant un satellite, puisque celui-ci avait une caract�ristique tr�s insolite, � savoir une trajectoire sinuso�dale. Toutefois, le t�moin, contact� par la suite par le GEIPAN, a finalement avoir reconnu qu'il s'agissait d'un satellite, et que les oscillations constat�es �taient dues � un ph�nom�ne d'illusion d'optique (nystagmus).
Ainsi, bien que le satellite exact n'ait pas pu �tre d�termin�, le dossier est class� comme �tant une m�prise satellite.
Le cas est class� A, m�prise avec un satellite.";"Observation du d�placement particulier d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : m�prise avec un satellite.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.20;0.00;;;0.65;;0.50;;0.33;0.00;A;A;2015-08-09461
3499;"PARIS (75) 13.01.2015";Paris;75;"(D) D�partement";2015;01;13;"Le 13 mai 2015 � 8h40 un automobiliste sur le p�riph�rique parisien est intrigu� par la pr�sence dans le ciel d'un objet oblong, lumineux et blanc. A travers le pare-brise il prend trois photographies. Le PAN semble immobile puis se d�place � peine. Le t�moin le perd de vue en sortant du p�riph�rique. Un seul t�moignage est recueilli.
L'�tranget� de ce cas est faible : elle est surtout caus�e par la perception d'immobilit� du PAN.
Le t�moignage est assez consistant, avec suffisamment de donn�es fournies par le t�moin et exploitables. Plusieurs photographies du PAN ont �t� faites et ont pu �tre utilis�es pour l'analyse (voir le compte rendu d'enqu�te).
L'aspect du PAN et son d�placement lent voire � immobile � not� par le t�moin sont typiques d'avions de ligne et de leur tra�n�e de condensation observ�s en altitude au moment o� ils se trouvent d�j� �clair�s par le soleil levant ou couchant, non encore visible depuis le sol.
Les trois photographies ont �t� faites par le t�moin � 08h42'37'', 08h42'48'' et 08h42'54'', soit au moment exact du lever du soleil.
En fonction des conditions m�t�orologiques locales � l'altitude � laquelle se trouve l'avion consid�r�, la formation d'une tra�n�e de condensation a lieu ou non. Si elle est pr�sente, elle peut �galement ne pas �tre distingu�e comme telle par le t�moin, par un effet combin� d� � l'�loignement et � la perspective. Le t�moin assimile d�s lors la tra�n�e comme un objet unique, l'avion lui-m�me pouvant ne pas �tre visible. Cette train�e de condensation, peut se dissiper rapidement derri�re l'avion en certains endroits et mettre du temps dans d'autres au cours de la m�me trajectoire, ce qui explique ici la dur�e de l'observation sur plus de 10 minutes (qui n'�tait pas celle de l'avion, mais celle d'un bout de train�e plus persistante).
Ce cas est � classer en � A� comme observation d'un avion et de sa train�e de condensation.
";"Longue observation dans le ciel matinal d'un objet lumineux blanc et oblong : observation d'un avion et de sa train�e de condensation.";O;;1;;;;;;;2018-04-27;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.80;;0.65;0.00;A;A;2015-01-50252
3500;"CAMBES (33) 04.03.2015";Gironde;33;"(D) D�partement";2015;03;04;"Le 4 mars 2015 vers 20h15 un t�moin constate que dans le ciel se trouve un rond de couleur blanc cass� aussi gros et lumineux que la lune. L'objet se trouve au-dessus des arbres, entour� de deux traits fins lumineux. L'objet se d�place lentement, puis prend une forme allong�e suivie de deux lumi�res rouges et une lumi�re blanche et disparait de la vue du t�moin inquiet. Un seul t�moignage est recueilli.
Le GEIPAN a appel� le t�moin pour pr�ciser certains points du t�moignage : le t�moin observait dans la direction du Nord-Est, et avait bien remarqu� la Lune � sa droite. Il indique bien deux petits traits fins autour du disque lumineux.
Cette description correspond bien au ph�nom�ne d'optique atmosph�rique nomm� paras�l�ne, situ� � 22� et/ou 46�de la Lune, � une �l�vation proche.
Ce ph�nom�ne est une image de la Lune produite par r�flexion sur les cristaux de glace des nuages froids � haute altitude (cirrus). Voir l'article Wikipedia sur les paras�l�nes.
Le relev� m�t�o du jour est disponible sur M�t�ociel.
Le GEIPAN classe ce cas A : halo lunaire.";"Observation de deux petits traits fins autour d'un disque lumineux : observation d'un halo lunaire (paras�l�ne).";O;;;;;;;;;2015-09-17;;;0.20;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;A;A;2015-03-09153
3534;"LIEZ (85) --.08.1947";Vend�e;85;"(D) D�partement";1947;08;--;"T�moignage r�cent (d�cembre 2014) d'une observation ancienne en ao�t 1947 (le t�moin ne se souvient pas du jour ; la date du 1er ao�t est arbitraire).
Le t�moin m�ne ses vaches au pr� lorsqu'il voit, tr�s haut dans le ciel, un objet brillant se d�pla�ant d'est en ouest � tr�s grande vitesse, stoppant net pendant 30 secondes avant de repartir tr�s vite et dispara�tre.
Ce t�moignage a �t� relat� au GEIPAN en d�cembre 2014, soit plus de 67 ans apr�s les faits. Le souvenir du t�moin semble tr�s pr�cis, mais l'exp�rience montre que l'on doit craindre une alt�ration du souvenir avec le temps. L'observation relat�e ressemble � un Ph�nom�ne Lumineux Orageux Transitoire (P.L.O.T.), c'est-�-dire un ph�nom�ne semblable � la foudre en boule, possible par temps orageux (l'observation est au mois d'ao�t, souvent orageux), m�me si le ciel est clair : l'arr�t subit et le d�part � grande vitesse sont quelquefois constat�s dans ce genre de ph�nom�ne. Par contre, le t�moin d�crit un ph�nom�ne de forme cylindrique ou parall�l�pip�dique a priori incompatible avec ces ph�nom�nes g�n�ralement sph�riques.
L'anciennet� du cas, et la m�connaissance de la date pr�cise emp�chent de faire les v�rifications aupr�s ses services m�t�o.
De ce fait ce cas est class� ""C"" par manque d'informations suffisamment pr�cises (dates, m�t�o).";"Observation du d�placement, de l'arr�t et d'un nouveau d�part d'un ph�nom�ne brillant dans le ciel ; disparition rapide : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-03-26;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1947-08-09060
3535;"MORLINCOURT (60) --.08.1960";Indre;36;"(D) D�partement";1960;08;--;"T�moignage r�cent (16/02/2015) d'une observation ancienne sans date du jour (le 1er est donn� arbitrairement). Le t�moin rapporte trois observations dans le m�me document : nous traitons ici la troisi�me observation.
En aout 1960 un peu avant midi, le t�moin, alors �g� de 10 ans, observe les �clairs d'un orage violent lorsqu'il voit appara�tre au-dessus de lui une boule jaune clair tr�s brillante, qui se d�place lentement sur une trajectoire rectiligne ; elle s'immobilise au-dessus du toit d'une maison proche, revient � son point de d�part et dispara�t cach�e par les arbres.
Le rapport d'observation de ce ph�nom�ne a �t� soumis au Laboratoire de la Foudre, qui l'a identifi� comme un cas typique de foudre globulaire, comme l'a pressenti le t�moin.
La fin n'est pas si �trange que cela, la foudre globulaire suit souvent les vortex ascensionnels du cumulonimbus, et la description de l'ambiance g�n�rale est significative du passage d'un orage accompagn� d'un Arcus (il fait presque nuit, ciel tr�s bas). Il est courant d'apercevoir des ""chemin�es"" qui grimpent vers l'enclume, et souvent on aper�oit le ciel et m�me quelques rayons de soleil durant l'orage.
Ce cas est class� ""B"" : observation probable de foudre globulaire.
L'absence de date pr�cise ne permet pas de faire une v�rification formelle de cette hypoth�se.";"Observation des �volutions d'une boule lumineuse jaune clair par temps orangeux : probable observation de la foudre globulaire.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;1960-08-09109
3537;"SEILLONS-SOURCE-D'ARGENS (83) --.09.1967";Var;83;"(D) D�partement";1967;09;--;"Un t�moin rapporte en 2015 une observation faite au mois de septembre 1967 (la date du jour est inconnue) � 21h. Alors qu'il attend � l'ext�rieur un ami, il remarque un point lumineux jaune-orang� juste au-dessus des arbres qui se d�place de gauche � droite sur une courte distance. Avant chque changement de direction (il y en aura 4) le point se stabilise 2 � 3 secondes. Aucun bruit particulier n'est entendu. L'observation dure 30 secondes environ puis le point disparait au loin rapidement. Aucune train�e n'est observ�e. Aucun autre t�moignage n'est recueilli. Cette observation plut�t �trange d'une boule lumineuse se d�pla�ant tr�s vite en zigzag rappelle certains t�moignages d'observation de foudre en boule.
Ce t�moignage ancien, unique, de date pr�cise inconnue, ne permet pas (malgr� de bonnes illustrations) de pouvoir confirmer ou non cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'informations.";"Observation du d�placement en zigzag d'un point lumineux orang� au-dessus des arbres : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1967-09-09106
3544;"SAINT-HILAIRE-DE-LAVIT (48) --.07.1983";Loz�re;48;"(D) D�partement";1983;07;--;"T�moignage r�cent (04/09/2014) d'une observation ancienne dont le t�moin ne se souvient pas de la date du jour (le premier juillet est donn� arbitrairement).
Un t�moin et sa femme observent au loin les d�placements particuliers d'un ph�nom�ne lumineux. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation qui dure 5 minutes. Un seul t�moignage est recueilli.
Cette observation de boule lumineuse blanche, au comportement irr�gulier, erratique, est tr�s �trange. La seule hypoth�se envisageable � la rigueur du fait de la grosse chaleur, serait un ph�nom�ne de type foudre globulaire.
Comme la date pr�cise est inconnue, et l'observation ancienne (plus de 30 ans), une enqu�te approfondie n'est plus possible.
Ce cas �trange est class� ""C"" par manque d'informations et de recoupements.";"T�moignage r�cent d'une observation ancienne des d�placements particuliers d'un ph�nom�ne lumineux : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1983-07-08982
4535;"TOUTLEMONDE (49) 31.10.2017";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";2017;10;31;"Le 31 octobre 2017 � 0 H 55 un t�moin profite du ciel d�gag� pour regarder le ciel et les �toiles, vers l'Est (l'Ouest �tant moins visible en raison de la luminosit� de la lune et de la ville de Cholet).
En parcourant l'horizon approximativement dans la direction de Maul�vrier, il aper�oit une lumi�re blanche assez forte (Est/Sud/Est) avec des clignotements bleu et rouge. Cinq minutes plus tard, il se rend compte que l'objet n'a pas ou peu boug� Il utilise alors � partir de son smartphone l'application SkyView Free : le point lumineux n'est pas r�pertori�. En continuant l'observation de ce point lumineux, il se rend compte qu'il s'est d�plac� � la verticale. Il s'aper�oit que le point lumineux d�crit quelquefois des d�placements saccad�s et rapides en ligne droite sur de courtes distances. Il tente de prendre photos et films avec son smartphone, mais la luminosit� �tant faible, le point est difficile � voir (sur les photos). Vingt-cinq minutes plus tard, le point lumineux est toujours l�, il est nettement mont� par rapport � sa position initiale. Le clignotement bleu et rouge accompagnant la lumi�re blanche n'a pas cess� durant toute l'observation. La lumi�re blanche est nettement plus forte que celle des �toiles. Un seul t�moignage est recueilli.
Un plan de situation fourni par le t�moin nous renseigne sur la direction d'observation � un azimut proche de 120�, une reconstitution sur Stellarium de la carte du ciel montre la pr�sence de Sirius � l'Est Sud-Est � l'azimut 120� (hauteur 4�) � 0 h 55 (heure du d�but d'observation) et l'azimut 123� (hauteur 6�) � 1 h 10 (heure de prise de la photo).
L'absence de Sirius lors de l'observation du ciel via l'application peut s'expliquer par un mauvais calibrage ou un l�ger d�calage entre l'image sur le smartphone et le ciel. Une comparaison entre la photo du t�moin et la carte du ciel (voir les notes d'enqu�te) nous r�v�le clairement une position identique du PAN et de Sirius par rapport aux autres �toiles. Sirius est l'�toile la plus brillante apr�s celle du berger (V�nus) et n'est jamais tr�s �lev�e dans le ciel � nos latitudes, ses changements de couleurs sont provoqu�s par la turbulence atmosph�rique. Le d�placement ""saccad� sur de courtes distances"" est un ph�nom�ne de perception connu appel� autocin�tique l) qui se produit lors de l'observation d'un point lumineux dans l'obscurit�. Le d�placement vertical et lent observ� sur 30 minutes est bien celui de Sirius dans le ciel (caus� par la rotation de la terre).
En cons�quence, le GEIPAN classe ce cas en A : observation certaine de Sirius.
";"Observation � basse altitude d'un point lumineux blanc avec clignotements de couleur et d�placements sur de courtes distances : observation de Sirius.";O;;;;;;;;;2018-02-28;;;0.05;0.00;;;0.90;;0.90;;0.80;0.00;A;A;2017-10-09773
4536;"PRADES-LE-LEZ (34) 14.06.2017";H�rault;34;"(D) D�partement";2017;06;14;"Le mercredi 14 juin 2017 � 05 heures du matin, un t�moin est intrigu� par la pr�sence dans le ciel d'un ph�nom�ne fixe tr�s lumineux. Le t�moin d�crit un PAN blanc bilob� avec un point rouge au milieu et remarque que, mise � part la Lune, aucune �toile ne brille dans le ciel. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce qui est d�crit par le t�moin correspond probablement � l'observation de V�nus. Il est normal qu'entre 5h et 6h de matin en Juin, V�nus soit la seule �toile visible dans le ciel noir.
V�nus est en Est, le t�moin parle de SE sans conviction mais indique que la Lune est bien � droite de V�nus et selon ""une ligne verticale de 45�"", ce qui est conforme aux positions respectives.
Il est classique aussi que V�nus produise une lueur non ponctuelle (ici effet de lobes rouges) et polychrome. Cela r�sulte de l'effet atmosph�rique (rayons lumineux diffract�s).
Il n'est pas possible de confirmer fermement cette hypoth�se. En effet, le t�moignage est tr�s impr�cis, fait 6 mois apr�s l'observation. Le t�moin n'a pas �prouv� le besoin de constater la fin de l'observation (a arr�t� d'observer au bout de 5 minutes), ni m�me de prendre une photo, ce qui traduit, en compl�ment du retard � t�moigner, une perception d'�tranget� (lors de l'observation) plut�t faible.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : V�nus.
";"Observation d'un point lumineux fixe bilob� : observation de V�nus.";O;;;;;;;;;2017-11-06;;;0.25;0.00;;;0.60;;0.60;;0.35;0.00;B;B;2017-06-09774
3548;"TARASCON (13) --.04.1994";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1994;04;--;"T�moignage r�cent (06/12/2014) d'une observation ancienne sans pr�cision de la date du jour.
En avril 1994 aux environs de 22h un t�moin et son amie observent d'abord une lueur blanch�tre de forme lenticulaire dans le ciel. Un des t�moin pense qu'il s'agit d'un objet, pr�sent pendant plus d'une heure trente et estime sa hauteur � 300m. L'objet semble effectuer des mouvements de va et vient puis disparait brusquement comme aspir� vers le ciel.
Cette observation longue (1h30) d'une lueur blanch�tre bas sur l'horizon �voque tout simplement la Lune, peut-�tre partiellement cach�e par des nuages, et disparaissant ensuite derri�re un nuage. Ce type de m�prise est fr�quent.
L'absence de date pr�cise ne permet ni de v�rifier ni d'infirmer cette hypoth�se.
Ce cas est class� ""C"" par manque d'information pr�cise sur la date de l'�v�nement.";"Longue observation d'une lueur blanch�tre dans le ciel nocturne et disparition subite : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1994-04-09053
3549;"PORT-LA-NOUVELLE (11) --.08.1997";Aude;11;"(D) D�partement";1997;08;--;"Temoignage r�cent (23/02/2015) d'observations anciennes. Le GEIPAN traite l'observation faite � Port-La-Nouvelle (11).
Le 4 ou 5 aout 1997 � 23h45 (le t�moin ne se souvient plus de la date exacte), deux personnes allong�es sur des chaises longues, sont surprises de voir surgir � 10 minutes d'intervalle deux ph�nom�nes lumineux dans le ciel d�gag�. Le premier ph�nom�ne est d�crit comme des spots clignotant orang�s d�limitant un triangle de forme �quilat�rale. L'observation a dur� 3 secondes. Le d�placement silencieux NNE-SSO de ce Pan est tr�s rapide. Le second ph�nom�ne est d�crit comme deux lumi�res parfaitement rectangulaires de couleur jaune/orange se d�placant sur la m�me trajectoire que le premier PAN. les lumi�res �voluaient en parall�le et � courte distance l'une par rapport � l'autre. Un seul t�moignage est recueilli.
La premi�re observation, un triangle sombre limit� par 3 lumi�res orang�es volant � basse altitude, n�cessite une interpr�tation selon la psychologie de la perception : le t�moin a certainement bien vu les 3 lumi�res orang�es, mais la mat�rialit� du triangle n'est absolument pas certaine, et a toutes les chances d'�tre le r�sultat d'une illusion bien connue, dite illusion de contour ou illusion de forme (cf Psychologie de la forme). Le t�moin �crit d'ailleurs ""triangle de forme �quilat�rale, immat�rielle en apparence"".
D'autre part, l'estimation de distance, et donc de vitesse, n'a aucune chance d'�tre exacte puisque le t�moin n'a jamais vu ce ph�nom�ne, qu'il compare n�anmoins aux a�ronefs qu'il a pu conna�tre (cf Estimation de taille et de distance d'un ph�nom�ne inconnu.
Ce qu'a vu le t�moin objectivement, c'est un ensemble de 3 points lumineux traversant ensemble la moiti� du ciel en 3 secondes, � une altitude ind�termin�e, du NNE au SSO. Deux autres lumi�res suivront la m�me trajectoire 10 minutes plus tard.
On peut penser � des objets lumineux port�s par le vent : comme la date de l'observation est approximative, il est difficile de conna�tre la m�t�o du jour, et en particulier de corr�ler le d�placement de ces lumi�res avec la direction du vent. Pour le 4 ao�t, il y avait � Perpignan un l�ger vent d'E � NE, qui ne peut expliquer le d�placement constat�.
Du fait de la m�connaissance de la date, et de l'impossibilit� � mener une enqu�te plus de 17 ans apr�s les faits, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque de date pr�cise et manque de recoupements.";"Observation successive du d�placement rapide et silencieux de deux ph�nom�nes de diff�rentes formes dans le ciel d�gag� : manque d'information et de recoupements.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.40;0.00;;;0.60;;0.70;;0.42;0.00;C;B-;1997-08-09108
3551;"PEYRIAC-DE-MER (11) --.08.2004";Aude;11;"(D) D�partement";2004;08;--;"T�moignage r�cent (mai 2015) d'une observation ancienne.
Le t�moin rapporte une observation faite probablement juillet ou ao�t 2004 vers 13h40 sur la D6009 apr�s Prat-de Cest (11) sur la commune de Peyriac-de-mer. Tout en roulant, le t�moin voit arriver dans le coin gauche de son pare-brise un objet circulaire jaune � basse altitude. L'automobiliste s'arr�te et voit de c�t� un disque jaune traverser la D6009 pour s'avancer vers l'A9 � moins d'un m�tre au-dessus des vignes vertes sans les faire bouger. Traversant l'autoroute, l'objet part verticalement puis reprend une trajectoire horizontale pour survoler les voitures et survoler ensuite un talus. Le t�moin perd l'objet de vue cach� par le talus de l'autoroute. L'objet semble provenir des �tangs du Doule � l'Est pour partir vers l'Ouest. Aucun bruit particulier n'a �t� remarqu� durant l'observation. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Cette observation s'av�re d'une �tranget� moyenne � �lev�e, car fait �tat d'un ph�nom�ne proche, d'un comportement atypique (voir les notes d'enqu�te). La consistance de ce cas n'est pas �lev�e : il s'agit d'un t�moin unique, et de souvenirs anciens, et surtout la date pr�cise est inconnue, rendant impossible toute v�rification m�t�orologique par exemple.
La seule hypoth�se envisag�e, la foudre en boule, n'est pas assez consolid�e pour �tre retenue. Ce cas est finalement class� C par manque d'information de date et de recoupements";"T�moignage r�cent d'une observation ancienne. Br�ve observation du d�placement silencieux au-dessus des vignes et des voitures de l'autoroute A5 d'un ph�nom�ne circulaire jaune : manque d'informations et de recoupements.";O;;;;;;;;;2016-09-14;;;0.75;0.25;;;0.90;;0.70;;0.63;0.00;C;C;2004-08-09196
3559;"LANCON-PROVENCE (13) 26.10.2004";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2004;10;26;"Le 26 octobre 2004 vers 14h15 un automobiliste roulant sur l'autoroute se sent soudain observ� et tournant la t�te, il reste intrigu� par la pr�sence de formes circulaires de couleur gris dans un nuage. Ces formes s'agitent � la mani�re de pales de ventilateurs et lui font penser � ""un il"". L'observation est discontinue sur plusieurs secondes : le t�moin ne s'arr�te pas. Un seul t�moignage est recueilli. Le t�moin rapporte son observation 3 ans plus tard.
Le t�moignage manque de consistance, en effet :
- l'observation accumule beaucoup de d�tails alors qu'elle est ancienne et qu'elle s'est faite dans des conditions peu appropri�es, en conduisant � 130K/H et regardant en arri�re; L'hypoth�se d'un reflet des vitres ferm�es n'est d'ailleurs pas totalement exclue bien qu'�voqu�e et rejet�e par le t�moin.
- l'observation se fait dans un contexte �motionnel fort induit par le sentiment d'�tre observ�, sentiment pr�sent avant m�me l'observation, et qui semble conduire � retenir des d�tails ou des comparaisons en relation avec un ""il observateur"".
En cons�quence GEIPAN classe le cas en C: manque d'information fiable.
Nota le t�moin a fait une observation analogue (il suiveur sur l'autoroute) 2 semaines plus t�t. Cas AIX-EN-PROVENCE (13) 05.10.2004";"Observation discontinue d'un automobiliste de formes particuli�res dans un ciel tr�s nuageux : manque d'information.";O;;;;;;;;;2018-02-28;;;0.30;0.00;;;0.20;;0.50;;0.10;0.00;C;C;2004-10-09353
3563;"BRIENNE-LA-VIEILLE (10) 09.02.2009";Aube;10;"(D) D�partement";2009;02;09;"Le 9 f�vrier 2009 entre 20h et 22h, plusieurs personnes sont t�moins d'un ph�nom�ne lumineux qui les effraye. Un seul t�moignage est recueuilli d�crivant l'observation d'une grosse lueur de diff�rentes couleurs et stationnaire dans le ciel. Aucun bruit n'est entendu durant cette observation de deux heures. Une observation simulaire a eu lieu le 5 f�vrier 2009 �galement dans cette commune.
D'�tranget� faible, et de consistance moyenne (t�moignage succinct, photo de tr�s mauvaise qualit�), ce cas pr�sente les caract�ristiques d'une m�prise astronomique (objet lumineux statique pendant deux heures). Plusieurs d�tails concordants permettent d'�voquer la piste d'une m�prise avec la plan�te V�nus, mais le manque d'informations concr�tes, en particulier la direction d'observation, emp�che toute identification formelle du PAN.
Ce cas est class� B, probable m�prise astronomique, avec comme hypoth�se privil�gi�e celle de la plan�te V�nus.";"Longue observation d'une lumi�re intense et stationnaire dans le ciel : probable observation de V�nus.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-02-09010
3564;"TOULOUSE (31) 02.04.2009";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2009;04;02;"Le 02 avril 2009 vers 23h10, un t�moin observe dans un ciel nuageux, un ph�nom�ne de couleur blanche avec une lueur rouge�tre, en forme de t�te d'�pingle. Ce ph�nom�ne se d�place tr�s rapidement en zig zag allant du Sud vers l'Ouest en donnant l'impression de chuter vers les Pyr�n�es.
L'absence d'informations (questionnaire ou PV) ne permet pas de mener une enqu�te o� d'envisager des hypoth�ses.
Dans ce cas le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie C pour manque d'information.";"Observation du passage rapide en zig zag et du S-O d'une lumi�re blanche avec une lueur rouge�tre : manque d'information.";O;;;;;;;;;2007-03-22;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2009-04-02260
3567;"SALETTES (43) 19.06.2008";Haute-Loire;43;"(D) D�partement";2008;06;19;"Le 19 juin 2008 vers 22h30 deux personnes sur une route de campagne constatent la pr�sence d'une puissante lueur jaune et ronde dirig�e vers le sol et qui effectuement lentement des cercles dans le sens des aiguilles d'une montre. Aucun bruit particulier n'est entendu : le ph�nom�ne disparaitra � l'entr�e du village.
Ce cas d'observation est d'�tranget� moyenne � �lev�e, mais sa trop faible consistance, d�e au manque de d�tails du questionnaire simplifi� propos� en ligne par une association ufologique, mais �galement � l'absence d'autres t�moignages, rend impossible sa classification en D1.
Dans l'attente d'autres t�moiganges �ventuels, ou d'une enqu�te sur place, ce cas est class� C par faute de recoupements avec d'autres t�moignages ind�pendants.";"Observation en campagne d'une forte lueur jaune se d�pla�ant silencieusement et semblant suivre le v�hicule du t�moin : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2013-09-26;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2008-06-08565
3575;"VILLEFRANCHE-SUR-MER (06) 26.11.2009";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2009;11;26;"Le 26 novembre 2009 vers 22h45 deux personnes sont surprises de constater dans le ciel d�gag� le passage silencieux d'une douzaine d'objets de forme carr�e avec une lumi�re centrale blanche. L'observation a dur� environ une minute et demi. Un seul t�moignage est recueilli le 13 octobre 2014.
L'observation d'objets lumineux traversant le ciel en quelques minutes fait penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. La forme insolite d�crite par le t�moin (carr�, avec point lumineux central, et deux ailes ) peut �tre une interpr�tation de la forme en tonneau des lanternes tha� classiques, ou bien �tre la forme r�elle de lanternes particuli�res.
Le d�placement est observ� de l'Ouest vers l'Est, ce qui est compatible avec le vent de Nord-Ouest relev� m�t�o � Nice.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage silencieux dans le ciel nocturne d'une douzaine d'objets avec une lumi�re centrale : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2009-11-09017
3577;"AIX-LES-BAINS (73) --.07.2011";Savoie;73;"(D) D�partement";2011;07;--;"T�moignage r�cent (01/10/2014) d'une observation ancienne sans date du jour et incertitude sur celle du mois.
En juin ou juillet 2011 � 18h30 un t�moin observe une grappe de boules noires dans le ciel, � l'aspect tr�s flou. L'altitude est assez basse (pas plus de 1000m). L'objet semble tourner sur lui-m�me.
La description que fait le t�moin du ph�nom�ne reste tout � fait compatible avec une grappe de ballons, probablement �chapp�e involontairement. Seule le contour flou peut surprendre : une atmosph�re brumeuse, ou un l�ger aveuglement d� au contre jour peut provoquer cet effet.
Comme la date pr�cise est inconnue, le GEIPAN n'a pu mener les v�rifications adapt�es pour ce genre de ph�nom�ne (v�rification du d�placement par rapport au vent local, recherche des auteurs du l�cher ou d'autres t�moins).
Par manque de date pr�cise, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.";"Observation dans le ciel d'une grappe de boules noires semblant tourner sur lui-m�me : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2011-07-09011
3580;"NANCY (54) 03.02.2012";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2012;02;03;"T�moignage r�cent (14/01/2015) d'une observation ancienne.
Le 3 f�vrier 2012 � 18h04 un t�moin observe dans le ciel un ph�nom�ne lumineux, de forme oblongue, suivant lentement et sans bruit une trajectoire rectiligne. L'objet dispara�t au bout de quelques minutes. L'observation dure 2 minutes durant lesquelles le t�moin a pris le temps de faire des photos. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Le t�moin observe au Nord/ Nord-Ouest une forme oblongue jaune tr�s lumineuse se d�pla�ant lentement en ligne droite. Le soleil est couch� depuis 30 minutes environ. Ce ph�nom�ne correspond tr�s bien � une tra�n�e de condensation d'un avion lointain (> 50 km) �clair� par le soleil couchant. Il suffit d'un ciel clair pour observer ce type de ph�nom�ne dans la demi-heure suivant le coucher du soleil (ou avant son lever).
Voir une explication ""des train�es d'avions �tranges"" page 3 des actualit�s sur le site www.cnes-geipan.fr.
Le GEIPAN classe ce cas en B : observation probable d'une train�e d'avion.";"Observation au cr�puscle d'un ph�nom�ne lumineux jaun�tre, de forme oblongue, suivant lentement une trajectoire rectiligne dans le ciel : probable train�e d'avion.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-02-09079
3581;"CARENTAN (50) 28.07.2012";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2012;07;28;"D�claration r�cente (05/12/2014) d'une observation ancienne.
Le 28 juillet 2012 � 23h un t�moin observe depuis sa fen�tre un point lumineux de couleurs (rouge/jaune/vert) qui l'intrigue. Ce point est immobile. Sur les photographies prises apr�s quelques secondes d'observation, il constate la pr�sence de 3 points formant un triangle. L'objet disparait puis 4 points r�apparaissent. L'observation ne dure que quelques minutes dans le ciel d�gag�. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Le t�moin observe et photographie un ph�nom�ne lumineux ponctuel � deux reprises � quelques secondes d'intervalles.
Dans la direction indiqu�e par le t�moin Arcturus, Saturne et Mars sont visibles. En examinant attentivement la photographie N� 2 et en la comparant � l'environnement de l'�toile Arcturus, il n'y a aucun doute sur le fait que c'est bien cet astre qui a �t� photographi� (voir le compte rendu d'enqu�te). L'apparition puis la disparition de l'�toile s'explique par la pr�sence de nuages ce soir-l�. Les trois points visibles (au lieu d'une seule lumi�re pour Arcturus) sur la photographie N� 1 sont explicables par l'instabilit� de l'appareil utilis� � main lev�e. La variation des couleurs peut �tre expliqu�e par la turbulence atmosph�rique.
Le GEIPAN classe le cas en A : observation de l'�toile Arcturus.";"Observation et photographies d'un point lumineux de couleurs multiples dans le ciel : m�prise avec l'�toile Arcturus.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.80;;0.75;0.00;A;A;2012-07-09472
3582;"DE CHARTRES (28) VERS CAEN (14) 31.08.2012";Eure-et-Loir;28;"(D) D�partement";2012;08;31;"Cas d'observation de 2012 rapport� au GEIPAN en 2015.
Le 31 aout 2012 un passager d'une voiture roulant de Chartres (28) vers Caen (14) est intrigu� par la pr�sence d'un ph�nom�ne jaune-feu tr�s lumineux bas sur l'horizon qu'il ne s'explique pas. Le ph�nom�ne semble avancer tout comme les t�moins. Le t�moin prend une photographie. Un seul questionnaire est recueilli mais le conducteur a �galement vu le ph�nom�ne lumineux.
Le lieu d'observation ou la route n'est pas pr�cis�ment indiqu�e par le t�moin ni d�fini par l'enqu�te. Compte tenu des �l�ments recueillis (voir le compte rendu d'enqu�te), � savoir :
-l'aspect, la luminosit� et la couleur du PAN.
-le soleil bas sur l'horizon et le PAN � la m�me hauteur.
-la pr�sence de nuages propices � la formation de parh�lie.
-la pr�sence d'une train�e caract�ristique d'un parh�lie.
-la distance angulaire s�parant le soleil du PAN conforme � celle du petit halo d'un parh�lie.
Le GEIPAN conclut que le PAN observ� par les t�moins est tr�s certainement un ph�nom�ne de parh�lie.Le cas est class� en � A � comme observation certaine d'un parh�lie.";"Observation et photographie d'un ph�nom�ne lumineux bas sur l'horizon : observation certaine d'un parh�lie.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.90;;0.80;0.00;A;A;2012-08-09252
3594;"FEUQUIERES-EN-VIMEU (80) 10.11.2012";Somme;80;"(D) D�partement";2012;11;10;"Le 30 juin 2015, le GEIPAN re�oit un questionnaire d'une observation faite le 10 novembre 2012 � 21h30 par un seul t�moin. Ce dernier, sur sa terrasse, a observ� dans le ciel un ph�nom�ne triangulaire sombre dont les angles et le centre sont pourvus de lumi�res couleur jaune orang�. Il �volue � faible vitesse et sans bruit, puis pivote � 90� et part plein Ouest � une vitesse fulgurante.
Compte tenu des �l�ments recueillis dans le compte rendu d'enqu�te (voir le document joint), � savoir :
- Couleur jaune-orang�e identique � celle de lanternes.
- Comportement identique � celui d'objets soumis � un vent nul ou faible.
- Dur�e d'observation courte (inf�rieur � 1 minute) compatible avec la dur�e de vie des lanternes.
- Date : un samedi soir, compatible avec celle propices � l'organisation de lancers de lanternes � l'occasion de c�l�brations.
- Nombre compatible avec celui de lanternes lanc�es en quantit�.
- Illusion d'acc�l�ration et de disparition caus�e par l'extinction des lanternes.
- Virage � 90� �ventuellement caus� par un ph�nom�ne de cisaillement horizontal.
Le GEIPAN classe ce cas d'observation en � B � comme observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage dans le ciel d'un ph�nom�ne triangulaire sombre dont les angles et le centre sont marqu�s par des lumi�res de couleur orang� : observation probable de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.50;0.00;;;0.80;;0.80;;0.70;0.00;B;D1;2012-11-09213
3595;"TOURS (37) 31.10.2012";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2012;10;31;"T�moignage r�cent d'une observation ancienne.
Le 23 juillet 2015 un t�moin rapporte une observation faite le 31 octobre 2012. Ce jour l�, � 19h50, le t�moin est intrigu� par le passage silencieux S-N d'une boule orange dans le ciel. Le d�placement est assez lent et rectiligne. Il filme son observation. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
La travers�e du ciel par une boule orange en quelques minutes fait nettement penser � une lanterne thailandaise, surtout la veille d'un jour f�ri� et un jour d'Halloween. La vid�o mise un temps en public sur You Tube est compatible avec ce sc�nario.
Le Geipan classe le cas en B : probable lanterne thailandaise.";"Observation du passage silencieux et lent d'une boule orang� dans le ciel ; trajectoire rectiligne : observation probable d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2012-10-09496
3597;"SAINT-JEAN-DE-BOISEAU (44) 24.03.2013";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2013;03;24;"T�moignage en 2014 d'une observation ancienne.
Le 24 mars 2013 � 3h ou 4 heure du matin un automobiliste observe dans le ciel noir une petite lumi�re jaune ambre statique. Il informe ses deux passagers lorsque cette lumi�re change de forme et se d�place rapidement dans tous les sens en se rapprochant du v�hicule ce qui effraye le conducteur. L'observation dure 10 � 15 minutes avant que la lumi�re ne disparaisse. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
La description traduit de l'�tranget�. Cela est le cas de tous les t�moignages envoy�s au GEIPAN, l'�tranget� (selon des degr�s variables) �tant l'objet m�me d'un t�moignage au GEIPAN. Ce sont souvent les contacts ou rencontres avec le t�moin qui permettent au GEIPAN de ""lever"" l'�tranget�, c'est-�-dire d'en trouver une explication.
La particularit� ici est que le t�moin n'a pas donn� suite � la demande de RV, malgr� une relance.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C: manque d'informations fiables.";"Lumi�re jaune ambre statique dans le ciel nocture puis changement de forme et rapprochement rapide vers le v�hicule : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2017-04-05;;;0.60;0.00;;;0.50;;0.50;;0.25;0.00;C;C;2013-03-09051
3598;"JONQUIERES (11) 28.04.2013";Aude;11;"(D) D�partement";2013;04;28;"Le 28 avril 2013 � minuit une automobiliste observe les d�placements r�p�titifs et sinueux d'une lueur blanch�tre dans le ciel � basse altitude. Sa passag�re observe �galement le ph�nom�ne. Un seul questionnaire est recueilli.
L'observation s'effectue en 3 temps :
1-a) Aux alentours de 0 heure, dans la nuit du samedi � dimanche, un ph�nom�ne lumineux est aper�u par la passag�re � bord d'un v�hicule se d�pla�ant sur l'autoroute.
1-b) Ce qui entraine la conductrice � arr�ter le v�hicule � la prochaine aire de repos, de 500 � 800 m�tres apr�s la premi�re observation.
L'observation � l'arr�t se prolonge pendant 1 heure, les 2 t�moins restant dans le v�hicule. Le ph�nom�ne est vu au-dessus des arbres, avec une �l�vation estim�e par le t�moin � 30�.
1-c) Le ph�nom�ne ne disparaissant pas, le t�moin reprend la route.
La situation m�t�o relev�e � B�ziers (une cinquantaine de km au Nord-Est) le 27 avril 2013 � 23 heures sur M�t�ociel ainsi qu'aux premi�res heures du 28 avril toujours sur (M�t�ociel) fait �tat d'une couverture nuageuse de 8/8, pas de pr�cipitations (derni�res tr�s faibles, la veille � 14 h), visibilit� de 60 km, vent d'ouest d'une dizaine de km/h, avec quelques rafales. Cette m�t�o est identique � celle de Carcassonne � 60 km � l'Ouest, diam�tralement � l'oppos�.
Le ph�nom�ne est unique, lumineux (p�le lueur blanch�tre), sans forme g�om�trique, se d�pla�ant dans le ciel (au niveau de la cime des arbres), parcourant toujours la m�me trajectoire avec des sinuosit�s (""comme un oiseau qui volait""), sans bruit, ni train�e, de taille difficile � estimer, le t�moin ayant du mal � appr�cier la distance.
Lors de l'arr�t (en 1-b), le t�moin mentionne que la trajectoire est petite, passant alternativement derri�re 2 arbres �cart�s d'une vingtaine de m�tres. Lors de la premi�re observation sur l'autoroute (en 1-a), le t�moin d�clare ""nous avions l'impression que c'�tait � cot�"". De m�me, lors du d�part (en 1-c), la passag�re d�clare ""�a nous suit"". Ce dernier commentaire indique au contraire une distance importante avec le ph�nom�ne puisque le cap reste le m�me alors que le t�moin se d�place � grande vitesse.
La date est particuli�re : en effet nous sommes dans la nuit du samedi au dimanche (du 27 au 28 Avril 2013), � la veille du pont de la f�te du Travail (1er Mai), pendant les vacances scolaires de P�ques de la zone acad�mique de Montpellier, du 20 Avril au 5 Mai 2013.
L'environnement est �galement particulier : l'autoroute � quelques kilom�tres � l'Ouest de Narbonne, traverse des collines calcaires vallonn�es, non urbanis�es, pr�sentant un paysage m�diterran�en (garrigue et pin�de), parsem� de parcelles de vignes (voirla carte. On y trouve �galement des ""ch�teaux"" d'appellations viticoles, avec des chais, dont certaines sont agr�ment�es de chambres d'h�tes en pleine nature, avec piscine, court de tennis.
Le t�moin propose la projection d'un rayon lumineux sur la base des nuages. Mais s'interroge sur le rendu lumineux d'un tel ph�nom�ne (r�gularit� de la trajectoire, caract�ristique de la lueur), ainsi que de son origine d�clarant ""qu'il n'y a que de la pin�de � cet endroit"".
Tous ces �l�ments nous poussent � favoriser l'hypoth�se telle qu'envisag�e par le t�moin de la projection d'un rayon lumineux sur la base des nuages.
L'exploitation des photos transmises par le t�moin permet de situer l'emplacement des prises de vue depuis l'aire de repos de Narbonne-Jonqui�res (en 1_b), en se basant sur la d�claration du t�moin, affin�e par la vue des pins se d�tachant du fond du ciel. Ceci permet d'estimer un angle d'azimut des prises de vue (document : Azimut_serre.jpg). Par prolongement de ce secteur de vis�e (docuement : Azimut_moyen.jpg), cela permet de d�terminer la zone d'origine de ces animations lumineuses. A l'int�rieur se trouve au moins le ""Ch�teau de Jonqui�res"" � 700 m du t�moin. Les autres hypoth�ses envisag�es (manifestations � l'Abbaye de Fonfroide, �clairage du Ch�teau de Saint-Martin) sont �cart�es, �tant � l'ext�rieur de ce secteur de vis�e.
Pour confirmer cette hypoth�se par triangulation, nous utilisons la d�claration du t�moin concernant la premi�re observation (en 1-a), le v�hicule se d�pla�ant sur l'autoroute, de 500 � 800 m�tres avant l'arr�t sur l'aire de repos. En reportant cette distance sur l'autoroute en amont de l'aire de repos, nous constatons qu'avant ce point, l'autoroute se trouve en mont�e, �largie � 3 voies, dans une saign�e dans les collines avec des devers de part et d'autre masquant l'horizon. En remontant � 800 m�tres, l'autoroute est sur le plateau, l'horizon d�gag�e vers l'avant du t�moin, en visibilit� du Ch�teau de Jonqui�res, situ� � 1,35 kilom�tre. Ce ph�nom�ne � 45� � droite du v�hicule ne peut pas passer inaper�u !
El�ment de v�rification : depuis l'aire de repos en 1-b, le ph�nom�ne est vu � une �l�vation estim�e � 30� par le t�moin. A une distance de 700 m�tres d'apr�s notre hypoth�se, la hauteur du ph�nom�ne se situe � : 700 * tan (30�) ~ 400 m�tres, ce qui correspond une altitude de la couverture nuageuse.
Tous ces �l�ments nous confortent dans l'hypoth�se d'une animation lumineuse (tr�s probablement depuis le Ch�teau de Jonqui�res ou de ses d�pendances. Malheureusement, � ce jour, le propri�taire n'est pas joignable par t�l�phone pour le confirmer).
La distance de 1,3 km (en 1-a) � 700 m (en 1-b) explique plusieurs aspects not�s par le t�moin :
- la faible luminosit�,
- la forme non g�om�trique, ainsi que la trajectoire non r�guli�re, projection vue de profil sur la base vallonn�e des nuages en mouvement,
- l'impression per�ue de proximit� et de suivi du t�moin, due � la faible �volution de l'azimut du PAN par rapport au t�moin, cette faible �volution en d�pit du mouvement du v�hicule r�sulte de distance importante du PAN par rapport au t�moin.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : animation lumineuse.";"Observation des d�placements d'une lueur blanch�tre dans un ciel nocturne nuageux : observation d'une animation lumineuse.";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.15;0.00;;;0.60;;0.70;;0.45;0.00;A;A;2013-04-08469
3600;"COLOMIERS (31) 25.05.2013";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2013;05;25;"T�moignage re�u en mai 2015 d'une observation faite le 25 mai 2013.
Les soirs du 25, 26 et 27 mai 2013 (heure incertaine entre 21h et 22h) le t�moin (T1) et deux autres personnes (T2 et T3) de sa famille observent la pr�sence de 3 lumi�res de couleur (jaune orange) � basse altitude en direction de l'Ouest. Le ph�nom�ne stationnaire puis en mouvement descendant disparait cach� par le paysage urbain. Aucun bruit particulier n'est entendu. L'observation se fait � l'il nu et aux jumelles ce qui induit diff�rentes descriptions du PAN (forme, couleurs ...). Un seul questionnaire est recueilli.
D'apr�s le compte rendu d'enqu�te (ci-joint), les �l�ments d'�tranget� sont :
- les �toiles � aspect pas normal : pour T1 et T3.
- la barrette de lumi�re (vue aux jumelles) pour T1 et T3.
- le mouvement de lumi�res : d�crit pr�cis�ment par T1, sauf pour l'heure qui est certaine � plus d'une heure. Ne fait pas partie de l'observation de T3. C'est confus pour T2, au-del� des incoh�rences ou contradictions, ces d�placements ne sont pas relat�s spontan�ment et ne semblent donc pas repr�senter une �tranget� per�ue forte. Le t�moignage de T2 ne permet pas de confirmer celui de T1 concernant ces mouvements de PAN.
Seules deux hypoth�ses sont envisag�es pour cette succession 3 soirs de suite de ces 3 lumi�res fixes puis mouvantes : H�licopt�res ou drones. Mais aucune des deux ne peut �tre raisonnablement retenue (probabilit� < 30 %).
La consistance du t�moignage est faible :
- T1 est int�ress� par les OVNI depuis l'adolescence, est satisfait d�s le premier soir de voir des observations et de pouvoir les relier � des OVNI, y repense dans les journ�es qui suivent, mais ne pense pas � prendre des photos ou vid�os, ni � appeler voisins ou amis, pas m�me le 3� soir alors que l'observation s'est d�j� produite 2 soirs de suite.
- T1, bien que pr�-sensibilis� � l'�trange, a attendu deux ans pour d�clencher le t�moignage de sa propre observation �trange. On ne trouve pas chez lui la crainte ou retenue cr��e par l'effroi ou l'�tranget� et pouvant expliquer le retard � t�moigner, puisqu'il en parle publiquement sur les forums et dans la presse. Cela tendrait � r�duire la r�alit� de l'�tranget� per�ue au moment de l'observation.
- Des incoh�rences (� l'int�rieur des t�moignages) ou des contradictions (entre les t�moignages) sur des points notables.
L'observation ne trouve pas d'explication plausible. Pour autant la consistance du t�moignage est trop faible pour valider le caract�re �trange et inexpliqu� de l'observation.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C : manque d'information fiable.";"Observations de la pr�sence 3 nuits de suite de lumi�res, stationnaires puis en d�placement descendant ; aucun bruit ; disparition du PAN cach� par le paysage urbain : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-10-24;;;0.70;0.00;;;0.50;;0.70;;0.35;0.00;C;C;2013-05-09179
3601;"[D956] DE GRAMBOIS (84) VERS TOUR D'AIGUES (LA) (84) 05.07.2013";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2013;07;05;"Le 5 juillet 2013 entre 22h40 et 23h05 un automobiliste et sa compagne sont intigu�s par les �volutions silencieuses de plusieurs lumi�res blanches dans le ciel. D'autres automobilistes s'arr�tent �galement pour voir le ph�nom�ne. Un seul t�moignage est recueilli.
La description faite par le t�moin �voque tout � fait la Patrouille de France en exercice nocturne ; son t�moignage est tr�s semblable aux autres t�moignages de cet �v�nement annuel (1er vendredi de juillet). Comme beaucoup de t�moins, il a �t� surpris par le silence du ph�nom�ne, tout � fait explicable par la grande distance d'observation et parce qu'il est face aux avions ; cette mauvaise estimation de distance lui a aussi fait para�tre trop lent le d�placement des avions.
Le nombre de points lumineux que l'on peut distinguer d�pend de la g�om�trie de la formation : certains peuvent en cacher un autre.
Ce t�moignage illustre bien la mauvaise interpr�tation que l'on peut faire d'un ph�nom�ne, simplement parce qu'on estime mal la distance au ph�nom�ne ; cette estimation est quasi impossible � faire a priori, m�me pour un observateur averti. Les phares de ces Alpha jets sont tr�s puissants, et font croire � des engins plus proches que ce qu'ils sont. Un ciel tr�s clair peut aussi augmenter cette illusion de proximit�.
La patrouille de France a bien confirm� que ce jour l�, les manuvres ont eu lieu jusqu'� 23h13.
Ce cas est class� ""A"" : observation de la patrouille de France.";"Observation des �volutions silencieuses de lumi�res blanches dans le ciel : observation du vol nocturne de la Patrouille de France.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2013-07-09005
3602;"NOISY-LE-ROI (78) 08.08.2013";Yvelines;78;"(D) D�partement";2013;08;08;"Le 8 ao�t 2013 vers 23h10-15 deux personnes dans un appartement constatent un bruit assez intense et constant et observent le passage � basse altitude d'un objet de forme rectangulaire et sombre qu'elle ne reconnaissent pas. Des lumi�res rouge et blanche sont aper�ues.
Compte tenu des �l�ments recueillis, � savoir les lumi�res, la distance et la taille compatibles avec celle d'un avion cargo militaire, le bruit typique d'un tel avion, la couleur grise, la forme ind�finissable sur fond de ciel nocturne, la route a�rienne correspondante et l'avion l'ayant d�j� emprunt�, nous pouvons conclure que le PAN observ� par les t�moins est tr�s probablement un avion cargo militaire, un A400M, en approche sur l'a�rodrome de V�lizy-Villacoublay.
Ce t�moignage est d'une tr�s bonne consistance : deux t�moins ayant fait deux d�positions � la Gendarmerie et au GEIPAN, bien d�taill�es et accompagn�es d'un croquis chacun ; pas de documents photo ou vid�o cependant. L'observation est finalement peu �trange, car il s'agit d'un objet finalement banal, mais observ� dans des conditions inhabituelles, car peu fr�quent.
Ce cas est � classer en � B � comme observation tr�s probable d'un avion cargo militaire.";"Deux observations du passage d'une forme sombre et rectangulaire avec des lumi�res rouge et blanche : observation tr�s probable d'un avion cargo militaire.";O;;;;;;;;;2016-02-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-08-08511
3604;"MONTFERMEIL (93) 19.08.2013";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";2013;08;19;"Le 19 aout 2013 vers 23h un t�moin observe une �toile semblant d'abord entrer dans l'atmosph�re avant de stopper, �clairer le ciel puis partir � l'oppos� de sa premi�re trajectoire.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis (voir le compte rendu d'enqu�te), � savoir :
- la luminosit� exceptionnelle.
- la couleur identique � celle d'un satellite.
- la visibilit� depuis la position du t�moin.
- l'horaire de visibilit� concordant avec celui de la pr�sence du satellite Iridium 49,
nous pouvons conclure que l'observation faite par le t�moin est celle du flash Iridium produit par le satellite �Iridium 49�. Ce ph�nom�ne est provoqu� par la r�flexion du soleil sur l'antenne du satellite particuli�rement grande. L'�clat est tellement brillant qu'il est m�me visible en plein jour.
Ce cas est � classer en � A � comme observation du flash d'un satellite Iridium.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux soudain et intense dans le ciel : observation du flash d'un satellite Iridium.";O;;1;;1;;;;;2015-06-15;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.70;0.00;A;A;2013-08-09141
3605;"SALIES-DE-BEARN (64) 22.09.2013";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2013;09;22;"Le dimanche 22 septembre 2013 � 7h45 un t�moin marchant vers son lieu de travail est intrigu� par la pr�sence dans le ciel d'une sorte de cylindre tr�s fin et long, se d�pla�ant plus vite qu'un avion vu pr�c�demment. L'objet dispara�t dans le ciel vers le sud ouest.
Compte tenu des �l�ments d�finis dans le compte rendu, � savoir l'altitude et l'azimut du PAN conforme � ceux des avions pr�sents dans la zone au moment de l'observation, l'apparence conforme � celle d'un a�ronef �clair� par le soleil levant, nous pouvons conclure que le PAN observ� par le t�moin est probablement un avion de ligne volant � une altitude moyenne et �clair� par le soleil levant.
Ce t�moignage est d'une bonne consistance: assez pr�cis mais venant d'un t�moin unique et sans photo. L'observation est peu �trange, le PAN �tant simplement observ� dans des conditions particuli�res facilement explicables.
Ce cas est class� en � B � comme observation d'un avion de ligne au lever du soleil : le t�moignage n'est pas assez pr�cis pour pouvoir identifier exactement l'avion observ�, parmi la multiplicit� des avions � ce moment l�.";"Observation du passage d'un objet de couleur rouge en forme de cylindre dans le ciel : observation d'un avion de ligne au lever du soleil.";O;;;;;;;;;2015-07-31;;;0.30;0.00;;;;;;;0.70;0.00;B;B;2013-09-08559
3608;"MORNANT (69) 28.10.2013";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2013;10;28;"Le 28 octobre 2013 � 22h50 un t�moin, qui roule en voiture sur la D342 sur la commune de Taluyers observe dans son r�troviseur une lumi�re rouge dans le ciel d�gag�. Elle fera une deuxi�me observation � 23h03 sur la D63 au niveau du panneau de Rosseon (commune de Mornant) : un objet orang�, sph�rique avec une queue, traverse rapidement son champ de vision au travers du pare-brise de sa voiture. D'autres personnes �taient sur le trajet mais aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
D'�tranget� moyenne et de consistance faible (t�moin unique, faible qualit� du t�moignage, doute sur la date), ce cas s'av�re trop peu pr�cis sur chacune des observations pour pouvoir �tre identifi� formellement.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (�tonnement, stress, fatigue, conduite de nuit).
Ce cas est class� C, par manque de donn�es.";"Observation de deux ph�nom�nes lumineux dans le ciel nocturne : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2013-10-08617
3609;"AIGUES-MORTES (30) 11.10.2013";Gard;30;"(D) D�partement";2013;10;11;"T�moignage r�cent (18/01/2015) d'une observation ancienne.
Le 11 octobre 2013 � 10h08, un t�moin observe 9 points lumineux, de faible intensit�, formant une sorte de damier. Les points disparaissent petit � petit. Le t�moin prend des photos. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Le t�moin observe vers le Nord-Ouest (voir ses photos et la carte Google), et voit se d�placer les points l�g�rement de sa droite vers sa gauche.
Le vent relev� � Nimes-Garons est de secteur Nord, faible (voir relev�).
Des points lumineux se d�pla�ant en ligne droite dans le ciel �voquent des ballons refl�tant le soleil. Leur d�placement est compatible avec le vent de Nord ; ce jour du 10 octobre est jour de f�te � Aigues-Mortes, un l�cher de ballons n'est pas surprenant ; ces ballons port�s par le vent du Nord se rapprochent horizontalement du t�moin, mais s'en �loignent verticalement en montant en altitude, jusqu'� �clater.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de ballons festifs.
Vue la faible �tranget� du cas, et le d�lai de plus d'un an entre l'observation et son signalement, le GEIPAN n'a pas fait de recherches locales sur l'origine de ce l�cher.";"Observation de jour de 9 points lumineux dans le ciel, de faible intensit�, formant une sorte de damier et disparaissant petit � petit : probable observation de ballons festifs.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-10-09078
3611;"PREVESSIN-MOENS (01) 24.12.2013";Ain;01;"(D) D�partement";2013;12;24;"T�moignage r�cent (08/02/2015) d'une observation ancienne. Le 24 d�cembre 2014 � 20h30 un t�moin observe le passage lent et silencieux d'au moins 5 boules lumineuses orang�es.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de f�te, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'occasion de No�l. Le d�placement est observ� vers le Sud Est, alors qu'on note un vent soutenu de Sud Ouest relev� � Gen�ve (voir m�t�o).
En zone montagne, il est tr�s difficile de mod�liser le vent � basse altitude. Le d�placement constat� vers le Sud Est d'objets port�s par le vent n'est pas incompatible avec un vent relev� de Sud ouest au sol � Gen�ve.
De plus le t�moin dit qu'il observe plein sud face au Mont-Blanc, alors que le Mont Blanc est au Sud Est (Az 126�) Une incertitude de l'ordre de 45� est probable.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement de 5 boules oranges dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2013-12-09096
4309;"ROUEN (76) 01.04.2017";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2017;04;01;"Le 1er avril 2017 � 22h30 un t�moin et deux autres personnes sont intrigu�s par la pr�sence d'un point tr�s lumineux � faible altitude dans le ciel nocturne. Ce point semble clignoter de diff�rentes couleurs. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation est conforme � celle d'une �toile, d'ailleurs l'ensemble du t�moignage fait souvent r�f�rence � une �toile (""comme une �toile mais..""). Ce qui �tonne le t�moin r�sulte de la taille et lumi�re plus grande (ou ""tr�s l�g�rement plus grande"" ) et surtout du changement de couleur.
En effet, ce soir l� Jupiter est bien en SE ""au dessus du b�timent CHU"" (comme indiqu� pour le PAN). Jupiter est tr�s brillant (Magnitude = -2,45 seul V�nus serait plus brillant dans le ciel) et � basse �l�vation (entre 10� et 20�) ce qui conf�re des possibilit�s de variation de couleur en raison de la diffusion et turbulences atmosph�riques plus importantes � basse �l�vation. De nombreux t�moignages GEIPAN r�sultent de cette m�prise, voir site GEIPAN. La brume (vue par le t�moin) ou les nuages pr�sents ce soir l� ont caus� la disparition du PAN.
Notons, que la demande de t�moignage GEIPAN faite aux deux autres personnes accompagnant le t�moin n'a pas abouti, ce qui est souvent le cas quand le sentiment d'�tranget� n'est pas partag�.
En cons�quence le cas est class� A comme l'observation de la plan�te Jupiter.
";"Observation � basse altitude d'un point lumineux aux couleurs vari�es qui semble clignoter : observation de Jupiter.";O;;;;;;;;;2018-03-30;;;0.20;0.00;;;;;;;0.30;0.00;A;A;2017-04-50363
3613;"CHATELAY (39) 07.03.2014";Jura;39;"(D) D�partement";2014;03;07;"Le 7 mars 2014 entre 0h25 et 0h40, une personne et sa petite fille observent un objet jaune orange dans le ciel, en forme de croissant. Le t�moin a le reflexe de prendre des clich�s.
La photographie pr�sent�e par le t�moin est absolument conforme � la forme qu'avait la Lune ce jour l� ; premier quartier � 34%. La Lune �tait effectivement en train de se coucher, � l'Ouest-Nord-Ouest (coucher astronomique � 0h40). Il est surprenant que le t�moin ait trouv� ce spectacle anormal, et affirm� que la Lune se l�ve et se couche de l'autre c�t� de sa maison ! (NB : la Lune, comme le soleil, se l�ve toujours proche de l'Est et se couche toujours proche de l'Ouest). C'est peut-�tre la frayeur exprim�e par sa petite fille, � cette heure avanc�e de la nuit, qui a �mu le t�moin.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de la Lune � son coucher.";"Observation d'un croissant orang� dans le ciel : observation de la Lune � son coucher.";O;;;;;;;;;2017-01-30;;;0.10;0.00;;;0.80;;0.30;;0.24;0.00;A;A;2014-03-09126
3614;"MARSEILLE (13) 21.03.2014";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2014;03;21;"Le 21 mars 2014 vers 21h un t�moin observe durant 2 � 3 minutes trois points lumineux, �quidistants, de couleur jaune orang�, qui se d�placent silencieusement sur une trajectoire rectiligne et qui acc�l�rent soudainement avant de disparaitre.
L'observation de points lumineux �quidistants jaune-orang�, traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� de l'Est vers l'Ouest, ce qui est compatible avec le vent de Sud s'orientant vers l'Ouest relev� � Marignane (voir le relev� M�t�ociel du jour de l'observation).
La perception d'acc�l�ration et de disparition est probablement l'interpr�tation par le t�moin de la baisse rapide de luminosit� avant l'extinction du br�leur de la lanterne.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation de trois points lumineux, �quidistants de couleur jaune orang�, qui se d�placent silencieusement dans le ciel : observation probable de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;A;2014-03-09137
3617;"ROYAN (17) 11.06.2014";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2014;06;11;"Le 11 juin 2014 vers 19h45 un automobiliste seul en train de rouler est surpris de voir � basse altitude dans l'axe de la route (Est ou Sud-Est) un ph�nom�ne blanc ""assez gros"". Il rapproche la forme vue de celle d'une soucoupe volante plate sur le dessous. Continuant sa route il perd de vue le ph�nom�ne cach� par des arbres mais le retrouve quelques kilom�tres plus loin sous la forme d'un tout petit point dans le ciel. Un seul t�moignage est recueilli sur ce ph�nom�ne.
Le PAN est visible dans l'axe de la route c'est-�-dire vers l'Est ou le Sud-Est. Plusieurs hypoth�ses ont �t� �mises (voir les notes d'enqu�te). L'hypoth�se d'une m�prise avec la Lune � son lever a �t� �tudi�e : beau temps, PAN tr�s bas sur l'horizon et continuellement �loign� du t�moin, horaire proche de celui indiqu� pour l'observation. De plus, il est � noter qu'avec un azimut de 116�, la Lune �tait visible dans l'axe de la D25 au niveau du rond-point o� le t�moin a rep�r� le PAN. Cependant, le manque de pr�cision (absence de direction lors de la derni�re phase d'observation) emp�che de valider formellement l'hypoth�se d'une m�prise avec la Lune.
D'�tranget� moyenne et de consistance faible (t�moin unique, pas de photo, t�moignage tardif), ce cas s'av�re �tre trop peu pr�cis pour pouvoir �tre identifi�.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (�tonnement, excitation, observation au cours d'une conduite automobile).
Ce cas est class� C, par manque de pr�cisions.";"Observation discontinue d'un ph�nom�ne en forme de soucoupe blanche et plate en-dessous � basse altitude : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2016-09-14;;;0.30;0.00;;;0.40;;0.40;;0.16;0.00;C;C;2014-06-08998
3618;"NOISY-LE-GRAND (93) 22.06.2014";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";2014;06;22;"Le dimanche 22 juin 2014 � 0h55, un t�moin, sortant de sa r�sidence, observe le d�placement de deux lumi�res puissantes et de couleur orange dans le ciel nocturne. Le t�moin suivra les �volutions silencieuses des ph�nom�nes jusqu'� perte de vue. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
L'observation de lumi�re orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � une lanterne tha�, probablement l�ch�e � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e, peut -�tre � l'occasion de la f�te de la musique. La forme d�crite fait penser � 2 lanternes jointives, peut �tre attach�es ensemble. On note toutefois que le dessin du t�moin (2 cercles orang�s) ne correspond pas bien � une lanterne tha� vue de dessous : on devrait observer un point tr�s lumineux au centre.
Le d�placement est observ� du Nord Est vers l'Ouest. On observe � Neuilly-sur-Marne (� 2 km environ) un vent tr�s faible d'Ouest, instable, passant au Sud-Est � 2h (voir le relev� M�t�ociel). Le vent relev� � Roissy (� 20 km au Nord de Noisy-le-Grand) est de Nord-Est � Nord et faible (voir le relev� M�t�ociel.
La proximit� de la Marne, � 600m, et le milieu urbain peuvent expliquer le changement de direction, cons�quence de flux de vents variables.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement et des �volutions de deux ph�nom�nes lumineux orang�s dans le ciel nocturne : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-06-09090
3619;"EVANS (39) 02.06.2014";Jura;39;"(D) D�partement";2014;06;02;"Le lundi 2 juin 2014 vers 22h45 trois amis observent par la fen�tre le passage � vitesse constante d'une boule de couleur rouge-orang� dans le ciel d�gag�. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation qui dure trois � quatre minutes.
Ce rapport d'observation d'une lueur importante, semblant �tre une boule de feu, durant 3 � 4 minutes, �voque une lanterne tha�landaise, port� par le vent.
Le relev� M�t�ociel de Besan�on indique un tr�s l�ger vent de Nord. N�anmoins, les l�chers de lanternes en semaine sont rares, et le fait que cet objet lumineux soit unique ne permet pas non plus de consolider cette hypoth�se. Le vent instable et faible ne permet pas non plus de confirmer que l'objet vole avec le vent.
La faible �tranget� du cas (similarit� avec un ph�nom�ne connu), et le d�lai de plus 8 mois �coul� entre les faits et la r�ception au GEIPAN, ne permettent pas de justifier une enqu�te de terrain. Le GEIPAN classe ce cas ""C"".";"Observations du passage silenceux d'une boule lumineuse rouge orang� dans le ciel : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.50;0.50;;;;;0.00;;0.28;0.28;C;C;2014-06-09122
3621;"TRANS-EN-PROVENCE (83) 14.06.2014";Var;83;"(D) D�partement";2014;06;14;"Le 14 juin 2014 � 20h un t�moin observe un objet sph�rique sombre sortant d'un nuage r�siduel d'orage. Il se d�place lentement et sans bruit du Nord vers le Sud. Le t�moin fait une vid�o, mais elle ne montre l'objet que 2 secondes, vu de loin : on distingue effectivement un objet � peu pr�s sph�rique, sombre, refl�tant le soleil. L'objet disparait dans un autre nuage.
L'hypoth�se la plus simple serait un ballon, ballon thermique ou gonfl� � l'h�lium (petit ballon festif en baudruche, ou plus gros ballon en film plastique). Son d�placement lin�aire, assez lent, est compatible avec cette hypoth�se. V�rifions si le sens du vent est le m�me que le d�placement constat� : les relev�s m�t�orologiques r�gionaux sont les suivants � Toulon : Vent d'Ouest 11 � 30 km/h, s'orientant au Sud, faiblissant (m�t�o et � Cannes : vent faible de Sud, s'orientant au Nord (m�t�o.
Au Luc (� 20 km) apr�s un orage en fin d'apr�s midi, il souffle � 20h un vent d'Ouest faible, tournant au Nord � 21h, tr�s instable, qui change de direction toutes les heures (m�t�o.
On constate donc une m�t�o perturb�e par des foyers orageux, rendant impossible la d�termination du vent local � cet instant pr�cis, � basse altitude, d'autant plus que le relief de la r�gion est accident�.
Cette hypoth�se de ballon, bien que compatible avec l'observation, ne peut pas �tre confirm�e par le relev� m�t�o. Le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie ""C"" par manque de v�rification, et de recoupements.
Le t�moin r�fute l'hypoth�se d'un ballon.";"Observation du d�placement silencieux d'un objet sph�rique sombre dans le ciel nuageux : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-07-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-06-09258
3623;"SAINT-CYPRIEN (66) 26.07.2014";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2014;07;26;"Le 26 juillet 2014 � 23h10 un couple observe depuis leur jardin le passage silencieux de 3 points lumineux de couleur blanche. Ces trois points forment un triangle. Trois minutes plus tard le couple voit de nouveau la m�me chose dans les m�mes circonstances mais plus �loign� de leur position. Le d�placement se fait toujours en direction du S-O. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a tr�s probablement vu des lanternes thailandaises. En effet, la forme, la couleur, la configuration et trajectoire dans le ciel indiquent un l�cher de lanternes, et ce d'autant que la direction de d�placement observ�e (vers Sud-Ouest) est conforme � celle du vent enregistr�e ce soir l� dans la r�gion (voir la m�t�o).
La date en weekend et/ou pendant l'�t� est usuelle pour des �v�nements festifs de l�chers. Enfin une observation de m�me type et en faveur d'une hypoth�se de lanternes tha�landaises a �t� faite � la m�me heure � proximit� (voir ovni66).
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en B : probables lanternes thailandaises.";"Observations successives le m�me soir du d�placement silencieux de points blancs lumineux formant un triangle dans le ciel nocturne : observations probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.28;0.00;;;0.70;;0.60;;0.40;0.00;B;B;2014-07-08996
3625;"CLAYE-SOUILLY (77) 31.07.2014";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2014;07;31;"Un t�moin observe depuis son appartement un ph�nom�ne en forme de ballon de rugby applati de couleur orange vif en d�placement dans le ciel nocturne (23h45). Il refait l'observation trois fois de suite.
L'observation de boules rouge-orange traversant silencieusement le ciel en quelques minutes selon la m�me trajectoire, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. Le d�placement est observ� du Nord vers le Sud, ce qui est compatible avec le l�ger vent de Nord relev� � Roissy (voir m�t�ociel).
L'arr�t constat� en cours de trajectoire peut correspondre au survol d'une particularit� g�ographique : ce peut �tre des bois ou la colline des Fosses Malor�.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises. Les photos originales fournies sont compatibles avec cette hypoth�se.";"Observations successives du passage silencieux de ph�nom�nes en forme de ballon de rugby applati orange vif dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-07-08999
3626;"CAP-D'AIL (06) 28.07.2014";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2014;07;28;"Le 28 juillet 2014 � 21h un t�moin observe et photographie au-dessus de la mer deux objets sombres se d�pla�ant dans le ciel. Lorsqu'ils arrivent � sa verticale, il rentre dans son appartement, puis ressort faire une vid�o.
L'observation d'objets volant en ligne droite fait penser � des ballons, par exemple des ballons d'enfant gonfl�s � l'h�lium, souvent brillants (mylar) que l'on trouve dans les f�tes foraines. Le t�moin voit des objets marron, mais le t�moin est � contre jour : tout objet para�trait tr�s sombre dans ces conditions. Le d�doublement de l'objet peut correspondre � un effet de perspective de deux ballons l'un derri�re l'autre. Le point lumineux fugitif peut correspondre au reflet du soleil sur le ballon, visible seulement dans certaines positions du ballon. Une analyse de la photo indique une taille angulaire de l'ordre de 0,2�, ce qui peut correspondre � un objet de 70 cm vu � 200m, ce qui serait compatible avec un ballon d'enfant port� par le vent. M�t�ociel indique un vent faible tr�s instable (voir relev�), le vent est aussi variable le long de la c�te (voir carte) : il est impossible de confirmer que ces objets se d�pla�aient bien dans le sens du vent, m�me si leur mouvement (voir vid�o du t�moin) semble bien compatible avec cette hypoth�se. Faute de cette information, le GEIPAN classe ce cas ""C"", mais cette hypoth�se de ballon est conforme � l'observation.";"Observation du d�placement de deux objets sombres dans le ciel : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-07-30;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-07-09000
3627;"JABLINES (77) 27.07.2014";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2014;07;27;"Le dimanche 27 juillet 2014 autour de 17h30, un t�moin observe un avion de ligne, puis un disque noir, plus petit, progressant en sens oppos� de l'avion et plus lentement. Le disque devient ovale et s'applatit totalement en s'�loignant. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation � contre jour d'un objet noir traversant le ciel en ligne droite en quelques minutes fait d'abord penser � un ballon port� par le vent. Le relev� M�t�ociel indique un vent d'Ouest � Sud Ouest coh�rent avec le d�placement vers l'Est indiqu� par le t�moin.
Ce qu'a vu le t�moin doit �tre un objet motoris� : peut �tre un petit drone circulaire (genre quadricopt�re) � moins de 100m d'altitude, manipul� par quelqu'un sur la base de loisirs, Ou un h�licopt�re � relativement haute altitude, ou m�me un avion aussi gros que celui qu'a observ� le t�moin, mais 4 fois plus lointain.
La v�rification de l'une de ces hypoth�ses, pourtant compatibles avec l'observation, est toutefois quasi impossible.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" : manque d'information ou de recoupements.
N.B. Le t�moin s'est tromp� de date dans son r�cit : il �crit ""dimanche 28 juillet"", alors que le dimanche est le 27. La m�t�o du 27/7 correspond tout � fait � sa description (orage en fin de journ�e). Apr�s v�rification avec le t�moin, l'observation a bien eu lieu le dimanche 27 juillet.";"Observation d'un objet noir traversant le ciel en ligne droite en quelques minutes : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-05-29;;;0.50;0.00;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-07-09083
3628;"SAINTE-SAVINE (10) 01.07.2014";Aube;10;"(D) D�partement";2014;07;01;"Le 1er juillet 2014 � 22h, un t�moin, r�veill� par un bruit, observe par sa fen�tre un engin de forme triangulaire avec trois lumi�res blanches � chaque extr�mit� et une lumi�re rouge au centre. Un bourdonnement est entendu par le t�moin. L'objet semble fr�ler le toit de la maison voisine. Le t�moin part chercher des jumelles et un appareil photo mais le PAN dispara�t avant que le t�moin ne puisse le photographier. Un seul t�moignage est recueilli.
La premi�re id�e du t�moin a �t� qu'il s'agissait d'un drone. Le bourdonnement per�u lors de l'observation est compatible avec cette hypoth�se, ainsi que l'impression de proximit� et �ventuellement la signalisation lumineuse, non r�glement�e pour les drones civils. Il faut noter n�anmoins que le survol des villes par les drones �tant interdit, a fortiori durant la nuit, il ne fait pas de doute qu'aucune publicit� d'un tel survol n'aurait �t� faite, dans cette hypoth�se. D'ailleurs une recherche sur Internet de l'utilisation possible d'un drone dans les environ de Troyes � la date et � l'heure de l'observation n'a rien donn�.
Par ailleurs, la confusion avec un avion ou un h�licopt�re semble difficile � imaginer, les lumi�res ne correspondant pas aux feux de signalisation d'un a�ronef.
Afin d'aller plus loin dans l'analyse, il aurait �t� n�cessaire de disposer des informations suivantes, non renseign�es dans le questionnaire :
- hauteur du PAN lors de sa premi�re vision.
- mesure de la taille angulaire du PAN.
- la forme triangulaire a-t-elle �t� per�ue ou d�duite des feux ?
- les feux �taient-il fixes ou clignotants ?
- photographies de l'environnement, de jour, et en particulier depuis la position du t�moin � sa fen�tre.
Une demande de pr�cision pour chacun de ces points a �t� demand�e par mail au t�moin sans retour.
L'hypoth�se d'un drone reste envisageable mais en raison des informations manquantes, le GEIPAN classe le cas en C : manque d'informations fiables.";"Observation par un t�moin d'un ph�nom�ne avec trois lumi�res blanches � chaque extr�mit� et une lumi�re rouge au centre ; bourdonnement entendu : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.40;0.00;;;0.70;;0.50;;0.35;0.00;C;C;2014-07-09089
3629;"BERTIGNAT (63) 03.07.2014";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";2014;07;03;"Le 3 juillet 2014 vers 5h30, plusieurs t�moins observent une lumi�re tr�s brillante semblant flotter au-dessus d'une base militaire proche. La forme �voque celle d'un croissant. Un t�moin filme le ph�nom�ne.
L'observation longue d'un point lumineux se d�pla�ant lentement dans le ciel �voque un astre. La vid�o montre un point lumineux bas sur l'horizon. Une v�rification cartographique de la direction d'observation de la base militaire de Pierre-sur-Haute indique un azimut d'environ 72� (E NE). Une v�rification astronomique indique pr�cis�ment la plan�te V�nus tr�s brillante ce matin l�. La forme et les couleurs variables constat�es par les t�moins sont fr�quentes pour ce genre d'observation d'astres bas sur l'horizon, ce sont le r�sultat du scintillement, provoqu� par les turbulences de l'atmosph�re.
Le t�moin a interpr�t� cette lumi�re comme �trange du fait de sa position au-dessus de la base militaire : c'est bien s�r totalement fortuit, il s'agit que d'un alignement al�atoire, mais qui a �veill� l'attention du t�moin. C'est souvent ce genre de co�ncidence qui font percevoir �trange un ph�nom�ne qui aurait �t� per�u comme banal dans un autre contexte.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" comme parfaitement identifi� : plan�te V�nus au lever du soleil.";"Longue observation d'un point particuli�rement lumineux dans le ciel : observation de la plan�te V�nus au lever du soleil.";O;;;;;;;;;2015-08-06;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;A;A;2014-07-09121
3630;"VALLEIRY (74) 12.07.2014";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2014;07;12;"Le 12 juillet 2014 vers 23h50 un automobiliste et sa passag�re observent le passage silencieux de 7 � 8 objets lumineux dans le ciel, couleur jaune orang�. Le t�moin a le temps de prendre des photographies.
L'observation de boules jaune-orang� traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. Les photos prises par le t�moin sont tout � fait conformes � cette hypoth�se. Le d�placement est observ� du Nord vers le Sud. Le relev� m�t�o de Gen�ve indique un vent faible, instable (de Nord, � 21h, d'Ouest, � 22h, de Sud � 23h, de SO � 0h) De plus, en zone montagneuse, les vents tr�s locaux sont complexes en fin de journ�e : il n'est malheureusement pas possible de d�terminer pr�cis�ment le vent local � posteriori, afin de confirmer ou non que ces objets volants sont port�s par le vent.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises. Voir le relev� Meteociel du jour de l'observation.";"Observation du passage silencieux dans le ciel de 7 � 8 objets ronds lumineux de couleur jaune orang� : observation probable de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;A;2014-07-09178
3631;"OULLINS (69) 02.08.2014";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2014;08;02;"Les t�moins observent � 23h le passage silencieux d'une dizaine d'objets rouge dans le ciel.
L'observation de boules rouges ou oranges volant dans le ciel durant quelques minutes, un samedi en fin de soir�e, �voque nettement des lanternes tha� l�ch�es � l'issue d'une f�te.
Le relev� m�t�o de Lyon Bron (ci-joint) indique un vent tr�s faible tr�s instable : il n'est pas possible d'estimer la direction du vent � ce moment l� et de le corr�ler � l'observation. On remarque toutefois que les objets volaient lentement, ce qui est coh�rent avec un vent faible.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�";"Observation du passage silencieux d'une dizaine d'objets rouges dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-08-08983
3634;"VIEUX-BOUCAU-LES-BAINS (40) 15.08.2014";Landes;40;"(D) D�partement";2014;08;15;"Le t�moin attend le feu d'artifice lorsqu'elle observe 7 points clairs se d�pla�ant en formant une croix. Le ph�nom�ne dispara�t dans les nuages.
L'observation de points lumineux traversant le ciel en formation en moins d'une minute, une nuit de f�te, fait nettement penser � des lanternes tha� ou ballons lumineux port�s par le vent, probablement l�ch�s � proximit� dans le cadre de la f�te locale ; on peut m�me penser � de simple ballons de baudruche ou de mylar �clair�s seulement par les lumi�res de la petite ville. Le d�placement est observ� vers le Sud Ouest (direction de l'oc�an). Le vent relev� � Biarritz (37 km au Sud) est faible et de secteur Sud : m�t�o.
Le vent relev� � Biscarosse (70 km au Nord) est de secteur Nord Ouest m�t�o.
Le vent local � Vieux Boucou s'av�re bien donc difficile � d�terminer. Les soirs d'�t�, le vent local sur la c�te est plus d�pendant des brises marines ou thermiques que du r�gime g�n�ral des vents, s'ils sont faibles ; la v�rification de la conformit� du d�placement des points clairs par rapport au vent n'est donc pas possible.
Le fait que, malgr� le grand nombre de t�moins potentiels, il n'y ait eu qu'un t�moignage indique que ce ph�nom�ne n'a pas �t� jug� �trange par une grande partie de la population pr�sente.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha� ou ballons .";"Observation du d�placement de 7 points clairs dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-08-08989
3635;"BELLEVAUX (74) 30.08.2014";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2014;08;30;"Le 30 ao�t 2014 vers 23h40 plusieurs personnes observent de tr�s nombreux objets lumineux (environ 70) et scintillants se d�placer silencieusement dans le ciel nocturne. Toutes les lumi�res scintillantes suivent la m�me direction pour disparaitre au zenith. Un seul t�moignage sera recueilli. Le t�moin a tent� de prendre une photographie avec son t�l�phone portable mais sans succ�s.
T�moignage typique d'observation d'un l�cher de lanternes : ""C'�tait un peu comme si un grand nombre d'�toiles avaient d�cid� de voyager en groupe dans le ciel."" ""Leur trajectoire, tirant vers le Nord, semblait �tre dirig�e par des objets de t�te. Les autres objets suivaient, tout cela formant un ensemble coh�rent, qui ressemblait vraiment � une flottille.""
Effectivement l'ensemble suit le filet de vent qui en montagne peut �tre sinueux. La trajectoire g�n�rale est compatible du vent de Nord plut�t faible relev� � proximit� (voir la m�t�o sur M�t�ociel).
On est en �t�, nuit de weekend dans des lieux de vacances : tout cela est propice � des manifestations festives
Les lumi�res des lanternes sont vacillantes et peuvent aussi laisser penser � des ""signaux morse"".
Le GEIPAN classe le cas en B : observation de lanternes thailandaises.";"Observation du d�placement silencieux d'environ 70 objets lumineux dans le ciel nocturne sur une m�me trajectoire : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.80;;0.75;0.00;B;B;2014-08-08993
3636;"PORT-SAINTE-FOY-ET-PONCHAPT (33) 15.08.2014";Gironde;33;"(D) D�partement";2014;08;15;"Le t�moin vers minuit voit deux objets dans le ciel de couleur orang� vif, se d�pla�ant lentement et sans bruit. Elle r�veille alors son compagnon. Les objets disparaissent et sont remplac�s par trois autres qui passent devant la Lune.
L'observation d'une succession d'objets circulaires orange vif � jaune traversant le ciel en quelques minutes, une veille de f�te, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� et � l'issue d'une f�te priv�e. Le d�placement est observ� vers l'Est, conforme au vent relev� � Bergerac : faible, de secteur Sud-ouest (voir m�t�ociel).
Le GEIPAN classe ce cas B : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage silencieux d'objets de couleur orang� vif dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-06-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-08-09001
3638;"AUTUN (71) 22.08.2014";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";2014;08;22;"Le 22 out 2014 vers 1h10 un t�moin est �tonn� d'entendre deux cris dans la nuit. S'approchant d'une fen�tre de toit, il voit durant quelques secondes � sa verticale un disque de couleur m�tallique entour� de petits faisceaux lumineux rouge-ros�tres. Le t�moin suit les �volutions silencieuses du ph�nom�ne dans le ciel nuageux durant environ 20 secondes en tout. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Ce t�moignage est d'une bonne consistance : pr�cis, mais venant d'un t�moin unique et sans photo. Compte tenu des �l�ments objectifs d�finis dans le compte rendu d'enqu�te (voir en document joint), � savoir :
- Forme circulaire du PAN
- Pr�sence de faisceaux
- Vitesse tr�s rapide
- Pr�sence d'un plafond nuageux
- Absence de bruit
Nous pouvons conclure que l'observation faite par le t�moin est probablement celle d'un ensemble de lasers style � Skytrackers �, en mouvement rapide, projet�s � la base de la couche nuageuse basse. L'observation est peu �trange car il s'agit d'objets ayant un comportement finalement banal.
Ce cas est class� en � B � comme observation probable d'un ensemble de lasers impactant la couche nuageuse basse.";"Observation courte des �volutions silencieuses d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel nuageux : observation probable d'un ensemble de lasers impactant la couche nuageuse basse.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.80;;0.70;0.00;B;B;2014-08-09021
3640;"PAREMPUYRE (33) 08.01.2015";Gironde;33;"(D) D�partement";2015;01;08;"Le 8 janvier 2015 vers 19h35 un t�moin,� bord de son v�hicule, observe durant une minute, dans une trou�e de nuages, 5 points lumineux dans le ciel : 3 points parfaitement align�s, les deux autres finissant l'ensemble pour former un losange.
C'est le t�moin qui trouvera lui-m�me l'explication de son observation quelques jours plus tard, en observant le m�me spectacle dans la m�me direction par ciel d�gag� : les 3 points brillants align�s sont ""le baudrier"" de la constellation d'Orion (voir carte astronomique).
C'est le fait de voir ces �toiles isol�es au milieu des nuages, sans leur contexte stellaire, qui leur a donn� temporairement leur caract�re �trange.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation certaine de la constellation d'Orion, entre des nuages.";"Observation de 5 points lumineux dans le ciel nuageux avec 3 points parfaitement align�s et les deux autres finissant l'ensemble pour former un losange : observation certaine de la constellation d'Orion entre des nuages.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2015-01-09075
3641;"COUBLEVIE (38) 03.08.2014";Is�re;38;"(D) D�partement";2014;08;03;"Le dimanche 3 ao�t 2014 � 1h du matin, une personne est effray�e de voir par la fen�tre le passage silencieux dans le ciel d'une boule de feu. Sa trajectoire est rectiligne. L'observation du ph�nom�ne est t�s courte. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'observation durant une minute d'une boule de feu s'�loignant lentement dans le ciel, une nuit de week-end, fait penser � une lanterne tha� probablement l�ch�e � l'issue d'une f�te. Dans ce cas-ci, la proximit� d'une salle o� se f�tait un mariage rend cette hypoth�se hautement probable.
Le t�moin voit l'objet s'envoler en direction de Saint-Etienne de Crossey, vers le Nord Est. Une v�rification m�t�o sur les stations m�t�o de Grenoble-Le-Versoud et Grenoble-Saint-Geoirs indique un vent faible tr�s variable, donc ind�terminable dans cette zone de vall�e.
Malgr� cette hypoth�se de lanterne tha� tout � fait plausible, le GEIPAN, par manque de recoupements, classe ce cas ""C"" : pas d'autre t�moin, vent local ind�termin�.";"Observation rapide du passage silencieux et rectiligne d'une boule lumineuse dans le ciel : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.20;0.00;;;0.50;;0.60;;0.30;0.00;C;A;2014-08-09118
3642;"SIORAC-EN-PERIGORD (24) 17.08.2014";Dordogne;24;"(D) D�partement";2014;08;17;"Le 17 ao�t 2014 un t�moin observe un trait rectiligne lumineux, puis plusieurs autres se d�pla�ant dans le ciel. Il filme et photographie le ph�nom�ne.
L'observation de traits rectilignes au coucher du soleil pr�s de l'horizon est caract�ristique de l'observation de tra�n�es de condensation d'avion. La visibilit� excellente de ce jour-l� a permis au t�moin de voir des avions plus loin que d'habitude : du fait de cette distance, les tra�n�es paraissent plus courtes, plus lentes, et orient�es plus ou moins verticalement si l'avion a une trajectoire s'�loignant ou se rapprochant du t�moin. L'apparition ou la disparition de la tra�n�e peut d�pendre des conditions m�t�o locales � l'avion.
Les photos ne laissent aucun doute sur ce ph�nom�ne, et le t�moin regarde dans une direction o� le trafic a�rien est tr�s important, en particulier un dimanche soir d'�t�.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de train�es de condensation d'avion de ligne.";"Observation de traits rectilignes au coucher du soleil pr�s de l'horizon : observation de train�es de condensation d'avions de ligne.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-08-09123
3643;"BEDARRIDES (84) 14.08.2014";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2014;08;14;"Le 14 ao�t 2014 vers 9h20 un t�moin regardant la Lune est intrigu� par 4 objets regroup�s de forme ovale et de couleur blanche dans le ciel d�gag�. Ils semblent statiques et disparaissent un par un. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation d'une � deux minutes. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Le t�moin observe dans le ciel vers l'Ouest des objets blancs, de forme ovale, peu mobiles. La gendarmerie a fait des recherches sur les vols d'a�ronefs dans cette zone, qui se sont av�r�es n�gatives. On peut penser � des ballons : le l�ger vent de Nord-Ouest, qui �tait en train de forcir nettement (le Mistral se l�ve) les aurait alors pouss�s en direction du t�moin, les faisant appara�tre quasi immobiles.
N�anmoins, un l�cher de ballon en semaine � cette heure-l� de la journ�e para�t insolite, bien que ce soit la pleine p�riode des f�tes estivales. Faute d'informations pr�cises permettant de consolider cette hypoth�se, et faute de recoupements avec d'autres t�moignages, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.";"Observation de 4 objets ovoides, blancs et silencieux dans le ciel qui se volatilisent un par un : manque d'informations et de recoupements.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-08-09127
3644;"SAINT-GEORGES-DE-POINTINDOUX (85) 20.08.2014";Vend�e;85;"(D) D�partement";2014;08;20;"Le 20 ao�t 2014 � 23h05, un t�moin dans un champ qui se pr�pare � ranger son drone voit un ensemble de 12 lumi�res rouge-orang� dans le ciel nocturne. Les lumi�res dispos�es de mani�re g�om�trique forment un ensemble trap�zo�dal en d�placement puis s'�teignent une � une. Plusieurs autres personnes pr�sentes font cette observation. Un seul t�moignage est recueilli.
Analysons les �l�ments mis � notre disposition : une d�claration en texte libre par un t�moin qui reporte ce qu'il a vu et des �l�ments vus par d'autres t�moins. Il est difficile de distinguer ce qui est du t�moignage direct et du t�moignage indirect. Il n'y a pas de questionnaire GEIPAN. Le PV de gendarmerie fait simplement �tat de la r�ception par la gendarmerie de ce texte libre.
Le ph�nom�ne appara�t bas sur l'horizon, compos� d'une douzaine (estim� par les t�moins) de lumi�res de couleur rouge-orang�-vermillon "" dispos�es de mani�re g�om�trique formant une sorte de trap�ze formant � son extr�mit� droite un triangle rectangle"". L'objet envisag� est suppos� immense (une centaine de m�tres), d�limit� par les lumi�res. Les t�moins ne voient pas � l'int�rieur de l'objet, supposent une sorte de brume, l'un d'eux (qui n'est pas l'auteur du texte libre) signalant ""que les �toiles sont invisibles � travers la surface d�limit�e par ces points lumineux"".
La situation m�t�o relev�e � ""La-Roche-Sur-Yon"", � environ 10 km � l'Est des lieux d'observation, sur
M�t�ociel fait �tat d'un vent de Nord-Ouest de 7 km/h en moyenne.
Ces t�moins sont marqu�s par des observations pr�c�dentes, dont une m�prise avec Jupiter et des �toiles ayant donn� lieu � un rapport du GEIPAN en 2009. D'autres faits non suffisamment document�s ont �t� class�s en C.
La description du ph�nom�ne par les t�moins est compatible de l'observation d'un l�cher de lanternes lors d'une soir�e festive estivale.
La couleur rouge-orang�e, leur extinction successive sont �galement caract�ristiques. La description ne donne pas explicitement le sens du d�placement mais le trajet des t�moins pour suivre le PAN permet de le reconstituer. il est compatible avec le sens du vent (de N 0) mesur� � 10 km. Enfin, on est en soir�e estivale propice � de tels �v�nements festifs.
La consistance du t�moignage est faible. Nous ne disposons ni d'enqu�te de gendarmerie, ni de questionnaire GEIPAN, ce qui se traduit en particulier par l'absence de relev� de sens de d�placement. La description m�le un t�moignage direct (l'auteur du texte) et des t�moignages rapport�s non utilisables par le GEIPAN. N�anmoins, au vu des �l�ments typiques de lanternes, ce manque de consistance ne s'oppose pas � cette explication, l'autre option ayant pu �tre le classement du t�moignage comme inexploitable.
A noter que ce t�moignage d�crit la joie que peut procurer � des t�moins la sensation d'avoir observ� des ""OVNIs"", joie d'autant plus forte qu'elle r�pond � une attente d'en voir par soi m�me depuis des ann�es.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observations de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage et de la disparition d'une douzaine de points lumineux rouge-orang� formant un ensemble g�om�trique dans le ciel nocturne : observation de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2018-02-28;;;0.25;0.00;;;0.50;;0.60;;0.30;0.00;B;B;2014-08-09128
3645;"[A. BOLIDE] (NAT) FRANCE (FR) 07.09.2014";France;FR;"(N) National";2014;09;07;"Le 07 septembre 2014 vers 7h du matin de nombreuses personnes dans le Sud de la France observent le passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Ces observations feront l'objet d'articles dans la presse locale. Le GEIPAN a re�u plusieurs t�moignages.
Ce ph�nom�ne a toutes les caract�ristiques d'une rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de (petit corps rocheux en orbite autour du Soleil).
Le ph�nom�ne s'est d�roul� � la verticale de la Catalogne espagnole, l'inclinaison est forte (environ 65�), le ph�nom�ne s'est produit entre 60 et 25 km d'altitude.
De l'avis des astronomes, le m�t�oro�de � l'origine de ce ph�nom�ne n'�tait pas sur une trajectoire proche de l'ast�ro�de 2014RC qui a fr�l� la Terre � moins de 40 000 km le m�me jour. Les deux ph�nom�nes ne sont pas li�s.
Ce cas d'observation a la consistance maximale de 1 du fait de multiples t�moignages et des enregistrements par plusieurs cam�ras. Ce cas est tr�s peu �trange apr�s analyse.
Le GEIPAN classe donc ce cas � A � : observations d'un gros bolide, cons�quence de la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de.";"BOLIDE] (NAT) FRANCE (FR) 07.09.2014. Observations multiples du passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : observations d'un gros bolide, cons�quence de la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-09-08984
3646;"CAP-D'AIL (06) 06.09.2014";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2014;09;06;"Le t�moin observe, depuis la digue du port, deux lumi�res brillant assez fort, superpos�es � la verticale. Les lumi�res bougent de fa�on al�atoire et sont rejointes par plusieurs autres. Le t�moin pense � un l�cher de lanternes.
L'observation de lumi�res oranges dans le ciel en moins d'une minute, se succ�dant sur la m�me trajectoire, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. Les lumi�res se d�placaient du Nord vers le Sud (vers la mer). Le vent relev� � Nice est quasi nul. (voir m�t�o. Le vent local est une brise locale tr�s difficile � pr�voir.
Du fait de la description faite par le t�moin, en tous points conforme aux lanternes tha�, le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�.";"Observation de deux boules de lumi�res orange rejointes par plusieurs autres : observation probable de lanternes tha�.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-09-08986
3647;"[D231] DE PROVINS (77) VERS CHENOISE (77) 07.09.2014";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2014;09;07;"Le 7 septembre 2014 vers 19h un automobiliste aper�oit dans le ciel d�gag�, juste au-dessus de quelques train�es blanches laiss�es par les avions, un trait noir horizontal tr�s �loign�, puis un flash lumineux blanc. Le t�moin regarde sa route et perd le ph�nom�ne des yeux. Un seul t�moignage est recueilli.
La conjonction dans le ciel d'un trait noir et de train�es de condensation d'avions est caract�ristique du ph�nom�ne naturel d'�ombre volum�trique vue par la tranche� (�edge shadow � en anglais).
Ce ph�nom�ne devient visible lorsque qu'une train�e d'avion rectiligne passe devant le soleil et qu'un alignement soleil/train�e/observateur se produit. Une ombre port�e se produit d�s lors sur l'ensemble du volume d'atmosph�re contenu dans la tranche planaire contenant la train�e, l'observateur et le soleil. Cette tranche d'atmosph�re se comporte comme une vitre l�g�rement teint�e, que l'on ne remarque pas si on l'observe de face mais qui fait une raie sombre pour celui qui l'observe de profil (ou par la tranche), raie d'autant plus sombre que la longueur de la vitre est importante, c'est-�-dire ici que la part rectiligne de la train�e est longue. La raie sombre cr��e est pr�sente sur toute la hauteur de vis�e du t�moin y compris donc sur le ciel.
Ce ph�nom�ne n�cessite des conditions g�om�trique pr�cises (t�moin, train�e avion, soleil dans le m�me plan). Cela peut donc apparaitre et disparaitre d'un coup, surtout pour un t�moin en voiture comme ici.
Le flash lumineux dans le ciel est probablement un reflet du soleil sur l'avion, reflet intense et bref (l'avion fait un effet miroir du soleil) comme il en arrive souvent et que l'on remarque peu sauf lorsqu'on regarde le ciel et les avions (cas ici car le t�moin avait l'attention attir�e par le trait noir). Il n'y pas forcement de lien entre les deux ph�nom�nes, juste une co�ncidence temporelle, il y avait plusieurs avions � ce moment (plusieurs train�es) et l'avion reflet pouvait �tre celui de la train�e causant le trait noir ou un autre.
L'�tranget� � l'origine du t�moignage est le trait noir. Nous n'avons pas ici de photo. L'analyse sur un autre t�moignage (HYERES (83) 27.05.2016) disposant de photos permet d'exposer plus pr�cis�ment le ph�nom�ne avec un compte-rendu d�taill�.
Dans ce cas, il n'est pas permis de donner la preuve de l'explication mais la probabilit� est tr�s grande.
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en B : train�e d'avion (ombre volum�trique).";"Courte observation d'un trait noir dans le ciel suivi d'un flash lumineux : observation de l'ombre volum�trique vue par la tranche produite par une train�e de condensation d'avion.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.25;0.00;;;0.80;;0.60;;0.45;0.00;B;B;2014-09-08988
3650;"Thonon-les-Bains (74) 01.09.2014";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2014;09;01;"Le 1er septembre 2014 entre 23h30 et 23h40 un t�moin dans sa chambre au 5eme �tage observe quelques secondes par sa fen�tre un objet volant triangulaire compos� de 6 t�ches blanches non �blouissantes, se d�pla�ant � faible allure � moins de 50m de haut. Le t�moin a vu le PAN triangulaire de profil sans voir de ""masse"" dispara�tre de sa vue au-dessus d'un immeuble voisin. Aucun bruit n'est entendu durant cette observation ""inattendue"". Aucun autre t�moignage n'est rapport�.
Ce cas a fait l'objet d'une rencontre avec le t�moin pour une reconstitution et un entretien (ce qui a permis notamment d'affiner l'heure d'observation (entre 23h et minuit sur le questionnaire)). La description du ou des PAN (aspect planant, vitesse,configuration en V, taille, ainsi que d'autres �l�ments) milite fortement pour une observation d'un vol d'oiseaux migrateurs (oies cendr�es) se dirigeant vers la zone Est du Lac L�man (pr�sence d'une r�serve ornithologique) ou d'oiseaux locaux (cygnes) d�rang�s par les bruits de concert ce soir l�. Dans les deux cas, les lumi�res de la ville se refl�tent sur le plumage pour donner l'aspect tel que d�crit (voir le compte-rendu d'enqu�te).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : probable observation d'oiseaux.";"Courte observation du passage dans le ciel d'un objet triangulaire compos� de t�ches blanches non �blouissantes : probable observation d'oiseaux.";O;;;;;;;;;2017-06-08;;;0.40;0.00;;;;;;;0.70;0.00;B;B;2014-09-08992
3651;"[A.BOLIDE] (NAT) FRANCE (FR) 15.09.2014";"Garonne (Haute-)";31;;2014;09;15;"Ce ph�nom�ne a �t� relat� au GEIPAN par deux t�moins situ�s � Toulouse et un � Gleize (69). Il a �t� enregistr� par la cam�ra du GEIPAN � Toulouse durant plus de 10 secondes. 7 autres t�moignages sont arriv�s au GEIPAN dans les jours qui ont suivi. (voir en pi�ce jointe : "" synth�se des observations"").
De Toulouse, il a �t� vu traversant l'horizon Sud, d'Ouest en Est, � une �l�vation relativement basse (de 10� � 0� selon la cam�ra GEIPAN).
Il a �t� remarqu� par de nombreux t�moins dans la r�gion de Perpignan et relat� par la presse locale : Nouvel ast�roide dans le ciel catalan.
Ce ph�nom�ne a toutes les caract�ristiques d'une rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de (petit corps rocheux en orbite autour du Soleil).
Le ph�nom�ne s'est produit entre 60 et 25 km d'altitude environ, il a fini sa course au-dessus de la M�diterran�e. Ce bolide a dur� relativement longtemps, du fait de sa trajectoire plut�t rasante par rapport � la surface terrestre ; le bolide du 7 septembre avait au contraire une trajectoire bien plus inclin�e.
Il ne s'agit pas de rentr�e de d�bris spatial (pas de rentr�e connue, et vitesse trop grande pour un d�bris en orbite terrestre).
Ce cas d'observation est tr�s consistant du fait de multiples t�moignages et des enregistrements par cam�ras. Ce cas est tr�s peu �trange apr�s analyse.
Le GEIPAN classe ce cas � A � : observation d'un gros bolide, cons�quence de la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de.";"Observations du passage rapide d'un ph�nom�ne lumineux avec train�e dans le ciel : observation d'un gros bolide, cons�quence de la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de.";O;;;;;;;;;2014-11-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-09-08994
3652;"PELLOUAILLES-LES-VIGNES (49) 07.09.2014";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";2014;09;07;"Le t�moin vers 1h du matin observe des lumi�res rouge orang� prenant des trajectoires diff�rentes en prenant de l'altitude, puis s'�teignant.
L'observation de plusieurs lumi�res rouge-orang�s se d�pla�ant lentement durant quelques minutes, en fin de soir�e de week-end �voque nettement des lanternes tha�. Le relev� m�t�o indique un vent tr�s faible et instable � ce moment l�. Le vent local est donc ind�termin�, sujet � de multiples influences variables : ce r�gime de vent rend possible des d�placements quasi al�atoires d'objets port�s par le vent, selon des brises locales temporaires.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�.";"Observation de lumi�res rouge orang� avec des trajectoires diff�rentes en prenant de l'altitude, puis s'�teignant : observation probable de lanternes tha�.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-09-08995
3653;"MOUGINS (06) 17.09.2014";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2014;09;17;"Le t�moin observe dans le ciel, le 17 septembre 2014 vers 17h, un objet de forme ronde, rouge, semblant pivoter sur lui-m�me et lui �voquant une soucoupe.
L'observation d'un objet volant dans le ciel en ligne droite, selon le sens du vent, fait penser � un ballon port� par le vent, probablement un ballon de baudruche en latex ou en mylar.
Le vent local relev� � Nice est d'Est, conforme au d�placement de l'objet vers l'ouest (voir la : m�t�o.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de ballon d'enfant.";"Observation du d�placement dans le ciel d'un objet de forme ronde, rouge, semblant pivoter sur lui-m�me : probable observation du d�placement d'un ballon d'enfant.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-09-09002
3654;"CANNET (LE) (06) 06.09.2014";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2014;09;06;"Le t�moin observe, depuis une terrasse au 4eme �tage, un objet rouge ressemblant � une cloche, semblant muni de hublots et se d�pla�ant � vitesse et direction constantes. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce t�moignage manque d'information. La d�claration libre est succincte, et des questions cl�s sur la position dans le ciel sont r�pondues avec un point d'interrogation. La direction de d�placement n'est pas indiqu�e mais la trajectoire constante peut laisser penser � un objet l�ger non lumineux (plastique ou tissus) port� par le vent, quand bien m�me ce dernier pr�senterait un aspect de ""cloche avec des hublots en pourtour"".
Ce cas est class� C par manque d'information.";"Observation du d�placement dans le ciel d'un objet rouge en forme de cloche : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-07-27;;;0.30;0.00;;;0.30;;0.10;;0.03;0.00;C;C;2014-09-09003
3656;"YERRES (91) 19.09.2014";Essonne;91;"(D) D�partement";2014;09;19;"Le t�moin observe un objet en forme de tambour conique,d'une extraordinaire luminosit� et �voluant lentement en zig zag avant de dispara�tre � l'horizon derri�re des arbres.
L'observation d'une forme lumineuse blanche traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � une lanterne tha�, probablement l�ch�e � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. Le d�placementtr�s faible est observ� au Nord-Ouest, ce qui est compatible avec le vent quasi nul (ou tr�s l�ger de Sud) relev� � Orly : m�t�o.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanterne tha�landaise.";"Observation d'un objet en forme de tambour conique, d'une extraordinaire luminosit� et �voluant lentement en zig zag avant de dispara�tre � l'horizon derri�re des arbres : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-09-09007
3657;"DEUIL-LA-BARRE (95) 27.09.2014";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2014;09;27;"Le t�moin, voit deux lumi�res clignotantes rouge et blanc, arrivant face � elle, dans la nuit. L'objet vire � droite, et pendant que le t�moin va prendre un appareil photo, il dispara�t.
La description du t�moin d'un a�ronef avec des lumi�res clignotantes rouge et blanche �voque bien s�r un avion. Ces feux clignotants tr�s puissants sont assez aveuglants au point de rendre imperceptible les feux de position vert et rouge (fixes, assez faibles) et le fuselage de l'appareil. A l'atterrissage la cabine est peu �clair�e. On note sur le relev� Flightradar que le Vol TK1829 / Turkish Airlines Airbus A321 en approche sur Roissy a fait une boucle un peu au Nord de Deuil-la-Barre (95), probablement pour attendre son tour pour atterrir � Roissy.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation d'un avion en boucle d'attente � l'atterrissage.";"Observation du passage silencieux de deux lumi�res cligotantes rouge et blanche : observation d'un avion en boucle d'attente � l'atterrissage.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-09-09008
3658;"MONTAUBAN (82) 27.09.2014";Tarn-et-Garonne;82;"(D) D�partement";2014;09;27;"Le t�moin aper�oit une lumi�re dans le ciel, et observe alors une forme ronde de couleur jaune orange, traversant le ciel sans bruit, en deux minutes.
L'observation de boule orange traversant le ciel en quelques minutes une nuit de week-end fait nettement penser � une lanterne tha�, probablement l�ch�e � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. Le d�placement est observ� du Nord Est vers le Nord Ouest, ce qui est compatible avec le vent de Sud-est � Nord-Est relev� � Montauban : m�t�o.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanterne tha�.";"Observation d'une forme ronde de couleur jaune orange, traversant sans bruit le ciel nocturne : observation probable de lanterne tha�landaise";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-09-09009
3659;"BAYONNE (64) 17.09.2014";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2014;09;17;"Le 17 septembre 2014 � 21h03 un t�moin depuis chez lui observe et filme un ph�nom�ne lumineux multicolore qui l'intrigue. L'observation dure deux minutes environ avant que le PAN en d�placement selon une trajectoire courbe ne disparaisse. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
On note ce jour-l� une meteo tr�s perturb�e : inversion du vent entre 20 et 21H.
La vid�o montre un ph�nom�ne lumineux qui a toutes les caract�ristiques d'un h�licopt�re en manuvre : on note un clignotement blanc (strobe) une fois par seconde, caract�ristique des avions et h�licopt�res en vol de nuit. Le changement d'aspect est d� � la diversit�s des faces que pr�sente l'h�licopt�re au cours de sa manuvre, laissant appara�tre successivement, un phare, puis deux, avec son feu de position vert (� droite de l'appareil).
Le GEIPAN n'a pas fait les demandes � temps pour avoir confirmation de cette hypoth�se aupr�s du contr�le a�rien.
Le GEIPAN classe cas peu �trange en cat�gorie ""B"" : forte pr�somption d'h�licopt�re en manuvre au-dessus de Bayonne.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel avec une trajectoire courbe : forte pr�somption d'h�licopt�re en manuvre.";O;;;;;;;;;2015-01-30;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-09-09014
3661;"[D47] de MEYRUEIS (48) vers LANUEJOLS (30) 21.09.2014";Loz�re;48;"(D) D�partement";2014;09;21;"Le 21 septembre 2014 vers 21h un automobiliste et ses passagers sont intrigu�s par un ph�nom�ne lumineux de nature inconnue dans le ciel. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis (voir compte rendu d'enqu�te), � savoir d'une part :
- la couleur, le clignotement r�gulier, l'immobilit� identique aux caract�ristiques de la signalisation lumineuse nocturne r�glementaire des �oliennes.
- l'excellente visibilit� permettant leur observation � une distance importante.
- les relev�s et mesures des azimuts et des profils de d�nivel�s permettant la visibilit� des lumi�res des �oliennes depuis les positions successives des t�moins.
- la faible hauteur angulaire.
- l'illusion de d�placement accentu�e par l'absence de rep�res emp�chant une �valuation correcte des azimuts par le t�moin
et d'autre part :
- le relev� Calsky confirmant l'existence d'un puissant reflet de magnitude -7.0 sur un satellite Iridium, visible depuis la position 1 des t�moins, aux environs de l'heure de l'observation
- la disparition rapide, conforme � la courte visibilit� des flares,
Le GEIPAN conclut que le cas concerne dans un premier temps l'observation simultan�e et concomitante vers l'Ouest de la signalisation lumineuse nocturne d'un premier groupe d'�oliennes et d'un flare produit par un satellite Iridium, puis dans un second temps, vers le Sud-Ouest, de la signalisation lumineuse nocturne d'un second groupe d'�oliennes.
Ce cas est class� en � A � comme observation certaine de la signalisation lumineuse nocturne de deux groupes distincts d'�oliennes et d'un flare Iridium.";"Observation de plusieurs lumi�res de couleur � l'horizon : observation certaine de la signalisation lumineuse nocturne de deux groupes distincts d'�oliennes et d'un flare d'un satellite Iridium.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.75;;0.70;0.00;A;A;2014-09-09025
3662;"TRILBARDOU (77) 28.09.2014";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2014;09;28;"Le 28 septembre 2014 entre 21h02 et 21h08 un automobiliste observe, depuis sa voiture, le d�placement lent et silencieux d'une dizaine de lumi�res scintillantes dans le ciel nocturne. Le d�placement se fait dans la m�me direction, � basse altitude et � la m�me vitesse pour toutes les lumi�res. En s'�loignant celles-ci sont d�crites par le t�moin comme des petits halos rougeoyant. D'autres automobilistes �taient pr�sents et stationn�s sur la route. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'observation de boules orange ou rouges traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� de l'ouest vers le nord Est (voir la carte), ce qui est compatible avec le vent de Sud relev� � Roissy (voir le relev� M�t�ociel du jour de l'observation.
Du fait de la luminosit� relativement faible de ces lanternes, les t�moins les estiment g�n�ralement plus lointaines, donc plus grosses, qu'elles ne sont r�ellement.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation par un automobiliste du d�placement lent et silencieux � basse altitude d'une dizaine de halos lumineux rougeoyant dans le ciel nocturne : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;A;2014-09-09029
3663;"CHAUDEFONDS-SUR-LAYON (49) 12.09.2014";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";2014;09;12;"Le t�moin roule en voiture lorsque son regard est attir� par une source de lumi�re, sorte de 2eme soleil. Elle stoppe sa voiture et sort photographier le ph�nom�ne.
Le t�moin a constat� deux types de ph�nom�nes (voir photo comment�e) :
-de ses yeux, il a vu un ""faux"" soleil, au contour iris� : son t�moignage est typique d'un parh�liesitu� � 22� du soleil.
-sur les photos prises avec son smartphone, le t�moin a constat� a posteriori des ""cylindres"" lumineux, � l'oppos� du soleil : ce ph�nom�ne est typique du ""flare"", qui est un reflet produit � l'int�rieur de l'objectif. On peut v�rifier que ces taches lumineuses sont sym�triques du soleil par rapport au centre de l'image, ce qui explique qu'elles ne sont pas toujours situ�es au m�me endroit dans le ciel ; leur position d�pend du cadrage du soleil sur l'image.
Ce cas est class� ""A"" : observation de parh�lie en direct, et de flares sur les photos a post�riori.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel puis sur photographies : observation de parh�lie en direct, et de flares sur les photos a post�riori.";O;;;;;;;;;2015-02-23;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-09-09037
3664;"SAUSSET-LES-PINS (13) 12.09.2014";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2014;09;12;"Le 12 septembre 2014 � 19h50, un t�moin est intrigu� par un ph�nom�ne dans le ciel qu'il ne reconnait pas. Le temps est d�gag�, le soleil est en train de se coucher, le t�moin observe vers l'Ouest, comme une ""fus�e"" quasi stationnaire au d�but de l'observation, avec comme un panache de fum�e en forme de ""V"". Un seul t�moignage est recueilli.
Ce type d'observation �voque nettement une tra�n�e d'avion vue � contre-jour au coucher du soleil. Une information sp�cifique sur les train�es d'avion, publi�e le 4 juin 2013, peut �tre lue sur le site du GEIPAN dans l'onglet Actualit�s : ""Des train�es d'avion �tranges"".";"Observation d'un ph�nom�ne avec train�e dans le ciel : observation d'une train�e d'avion.";O;;;;;;;;;2015-02-23;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-09-09046
3667;"SAINT-GAUDENS (31) 18.09.2014";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2014;09;18;"Le t�moin observe une boule orang� qu'il prend d'abord pour une plan�te, mais constate qu'elle bouge Il prend une vid�o puis voit l'objet dispara�tre en suivant une trajectoire verticale.
L'observation de boule orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � une lanterne tha�, probablement l�ch�e � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. Meteociel indique un petit vent de Sud Est compatible avec le d�placement constat� : m�t�o.
Les photos ne laissent aucun doute sur la nature de l'objet (P1050985 et surtout 86, les autres sont floues de mise au point ou de boug�). Mais le t�moin r�fute cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" observation de lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement E-O et silencieux d'une boule orang� dans le ciel : observation d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2014-11-27;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-09-50082
3668;"FONTAINES-SUR-SAONE (69) 04.10.2014";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2014;10;04;"Le 4 octobre 2014 entre 23h et 23h30 un t�moin observe durant 10 minutes, depuis son balcon, une colonne de lumi�res formant un S dans le ciel, au-dessus d'une colline proche.
L'observation de boules orang� dans le ciel durant quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. Le d�placement est observ� en provenance du Sud-Ouest, ce qui est compatible avec le tr�s l�ger vent instable de Sud-Ouest relev� � Lyon-Bron ( m�t�o).
Les photos confirment cette hypoth�se : les formes complexes que l'on constate sur les photos sont la cons�quence d'un flou de boug� d� au temps de pose relativement long (1/4 s).
La forme en S �tir� verticalement correspond � la trajectoire montante des lanternes, vues dans un axe proche de l'axe du vent (la reconstitution graphique du t�moin semble mal correspondre aux photos). Les lanternes ont probablement �t� l�ch�es au-del� de la Sa�ne (� Collonges au mont d'or), et sont entre 400 et 800 m du t�moin (sur la premi�re photo). Elles mesurent de 40 � 60 cm de diam�tre.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" observation de lanternes tha�landaises.";"Observation d'une colonne de plus de dix lumi�res de couleur rouge : observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-10-09013
3669;"PERTUIS (84) 13.10.2014";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2014;10;13;"Le 13 octobre 2014 � 20h50 un t�moin qui regarde vers le Nord-Ouest observe durant 10 secondes les �volutions d'une lumi�re orang�e venant de sa droite (voir son sch�ma), qui fait un �cart de 90� vers l'Est, puis se stabilise avant de faire une ascension verticale et disparaitre. Aucun bruit n'est remarqu�, ni aucune train�e.
Le t�moin indique un vent de S-SO de 10 � 20 km/h. Le relev� m�t�o de Marignane indique un l�ger vent de Sud � Sud-Est m�t�o.
Le site Flightradar ne mentionne pas d'avion de ligne passant au Nord de Pertuis, correspondant au d�but de l'observation du t�moin.
Du fait de la lumi�re orang�e se d�pla�ant �ventuellement selon le vent (si on l'admet de Sud-Ouest), une hypoth�se envisag�e a �t� celle d'une lanterne tha�, en fin de combustion : le premier changement de direction pourrait correspondre � la baisse de puissance du br�leur, occasionnant une descente de la lanterne, l'�loignement per�u ensuite �tant en fait l'extinction de la flamme, interpr�t�e comme l'�loignement d'une source lumineuse suppos�e constante.
Etant donn�s l'incertitude sur la direction du vent (vent variable, relev� m�t�o de Marignane incoh�rent avec les indications du t�moin, proximit� du relief montagneux du Lub�ron), le jour de l'observation (lundi) inhabituel pour les l�cher de lanternes, et la trajectoire finale complexe, cette hypoth�se est trop fragile pour �tre retenue.
Faute de photos ou vid�os, ou d'un autre t�moignage, le GEIPAN manque d'�l�ments pour poursuivre l'enqu�te. Ce cas d'observation est class� ""C"" par manque d'information.";"Observation des �volutions d'une lumi�re orang�e dans le ciel : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-10-09018
3670;"(DPT) MOSELLE (57) 15.10.2014";Moselle;57;"(D) D�partement";2014;10;15;"Le 15 octobre 2014 vers 22h35/22h40 une automobiliste (T1) sur la commune de Vescheim (57) est intrigu�e par la pr�sence dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux avec des couleurs fixes. Ce PAN se rapproche tr�s rapidement et silencieusement du t�moin et l'effaye fortement. Rentr�e chez elle, elle signale son observation � ses proches et sur un r�seau social. Une deuxi�me automobiliste (T2), ind�pendamment de la premi�re, rapporte que circulant sur la commune de Vilsberg (57) vers 23h45 le 15 octobre 2014, elle a observ� la pr�sence dans le ciel de lumi�res continues et d'une forme circulaire qui l'a intrigu�e. Rapportant les faits � son entourage et sur le m�me r�seau social que le T1, les deux automobilistes entreront en contact.
Du fait du caract�re insolite mais tr�s coh�rent des descriptions fournies par 2 t�moins ind�pendants, de l'absence d�clar�e d'a�ronefs dans le secteur et des r�sultats n�gatifs des diverses recherches li�es � des ph�nom�nes lumineux produits localement par des projecteurs ou � des mod�les r�duits, il est impossible actuellement d'�tayer une explication (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le GEIPAN classe ce cas comme inexpliqu�, en cat�gorie D1 ; la grande distance d'observation, le comportement dynamique du ph�nom�ne sans caract�re exceptionnel, la dur�e limit�e de chaque observation, le fait que les t�moins soient constamment en mouvement (m�me lent) et aient pour l'essentiel observ� au-travers d'une vitre de voiture sont un ensemble de points ne permettant pas le classement en D2.
La consistance des t�moignages (information et fiabilit�) est bonne et permet de valider le caract�re �trange de l'observation.
S'il advenait que les observateurs potentiels pr�sents dans la voiture ou le camion mentionn�s par les t�moins viennent � se manifester, la classification pourrait �tre amen�e � �tre modifi�e.
Notons que l'observation recueillie suite � l'appel � t�moins (fait par un journal) renforce l'id�e que nos deux t�moins aient pu effectivement observer quelque chose d'insolite.
Note : les anomalies signal�es au niveau de la voiture de T1 n'ayant pas �t� constat�es avec suffisamment d'attention d'une part et se trouvant d�cal�es dans le temps et l'espace par rapport � la manifestation du PAN, il ne semble pas objectivement possible (sauf �l�ment compl�mentaire � venir) de les consid�rer comme li�es � l'observation.
Le GEIPAN classe ce cas comme inexpliqu� en D1.";"Observations sur des communes rapproch�es de la pr�sence dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux fixe ou en d�placement rapide : ph�nom�ne non identifi� �trange.";O;;;;;;;;;2017-07-28;0.70;;0.70;0.00;0.90;;;0.80;;0.85;0.85;0.00;D1;D1;2014-10-09019
3671;"BEAUNE (21) 03.10.2014";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";2014;10;03;"Le 03 octobre 2014 � 05h28, un t�moin est intrigu� par le passage silencieux dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux jaune-orang� (boule de feu) dans le ciel.
Compte tenu des �l�ments recueillis (voir le rapport d'enqu�te), � savoir le d�placement du PAN dans le sens du vent, la couleur dominante jaune-orang�e, l'impression d'un objet enflamm�, le d�placement r�gulier et l'absence de bruit, nous pouvons conclure que l'observation faite par le t�moin est probablement celle d'une lanterne tha�landaise se d�pla�ant avec le vent.
Ce cas est class� en � B � comme observation probable d'une lanterne tha�landaise port�e par le vent.";"Observation du passage silencieux d'un ph�nom�ne lumineux jaune-orang� dans le ciel : observation probable d'une lanterne tha�landaise port�e par le vent.";O;;;;;;;;;2015-07-31;;;0.40;0.00;;;;;;;0.90;0.00;B;B;2014-10-09023
3673;"AMBERIEU-EN-BUGEY (01) 03.10.2014";Ain;01;"(D) D�partement";2014;10;03;"Le 3 octobre 2014 aux environs de 22h40 un t�moin sort de sa maison et observe de nombreux points scintillants (une quarantaine au total), de couleur rouge orang�, se d�pla�ant silencieusement de fa�on lin�aire. Le t�moin a le temps de faire quelques photographies avant que le ph�nom�ne ne disparaisse vers l'Ouest.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis (voir le compte rendu d'enqu�te), � savoir :
- Couleur dor�e, puis jaune-orange ou rouge-orang�e identique � celle de lanternes,
- Forme ponctuelle des PANs assimilable � celle de lanternes situ�es � une altitude �lev�e,
- Comportement identique � celui d'objets soumis � un vent nul ou faible,
- Dur�e d'observation courte (+/- 1 minute) compatible avec la dur�e de vie des lanternes,
- Date : un vendredi soir, compatible avec celle propices � l'organisation de lancers de lanternes � l'occasion de c�l�brations,
- Nombre compatible avec celui de lanternes lanc�es en quantit�,
le GEIPAN ce cas en � B � comme observation tr�s probable de lanternes Tha�landaises.";"Observation d'une trentaine de points lumieux rouge-orang� en d�placement silencieux dans le ciel : observation tr�s probable de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.80;;0.70;0.00;B;B;2014-10-09027
3674;"ORLEANS (45) 19.10.2014";Loiret;45;"(D) D�partement";2014;10;19;"Le 19 octobre 2014 aux environs de 20h30 un t�moin et son beau-fr�re observent le passage silencieux d'une forme triangulaire sombre avec des lumi�res rouge � chaque extr�mit�. Ce ph�nom�ne passe au-dessus du jardin. Ces trois points se d�placent en ligne puis forment un triangle sombre. Les t�moins quittent le lieu de l'observation. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs d�finis dans le compte rendu d'enqu�te (voir document joint), � savoir :
- la possibilit� que le PAN ne soit pas un objet unique et � solide �, mais plut�t trois objets ind�pendants.
- la trajectoire rectiligne, comme celle d'un objet pouss� par un vent stable et r�gulier.
- la couleur rouge, semblable � celle des lanternes.
- l'absence de bruit.
- la dur�e de l'observation compatible avec la dur�e de vie d'une lanterne.
- la date de l'observation propice pour des l�chers de lanterne, le week-end, � l'occasion de f�tes, mariages, etc...
La confusion avec un groupe de trois lanternes tha�landaises est possible. Il nous manque cependant les donn�es azimutales de d�placement du PAN.
Ce t�moignage est d'une faible consistance : peu pr�cis et manquant de donn�es essentielles � l'analyse (sens de d�placement), venant de plus d'un t�moin unique et sans photo.
L'observation est peu �trange car il s'agit d'objets ayant un comportement et une apparence finalement banals. Le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie C par manque d'informations et de recoupements.";"Observation du d�placement silencieux de trois sph�res de couleur rouge sur une trajectoire rectiligne puis formant un triangle dans le ciel d�gag� : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.50;;0.30;0.00;C;B-;2014-10-09028
3675;"LOUVIERS (27) 19.10.2014";Eure;27;"(D) D�partement";2014;10;19;"Le 19 octobre 2014 � 22h50 un t�moin observe durant 8 � 10 secondes le passage silencieux dans le ciel de 7 � 9 lumi�res de couleur orange. L'ensemble forme un triangle se d�pla�ant sur une trajectoire Nord-Sud. Le ph�nom�ne est ensuite cach� par le paysage urbain. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Sud-Ouest vers le Nord-Est, ce qui est compatible avec le vent de Sud relev� � Roissy (� 20 km). Voir le relev� M�t�ociel du jour de l'observation.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage silencieux d'une dizaine de lumi�res orang�es dans le ciel nocturne : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.28;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;B;2014-10-09030
3676;"ROVE (LE) (13) 26.10.2014";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2014;10;26;"Le 26 octobre 2014 vers 1h30 du matin, un t�moin ouvrant le portail d'une habitation est surpris par le d�placement silencieux S-N d'un objet en forme de ""Y"" renvers�. Aucune couleur, aucun clignotement n'ont �t� remarqu�s durant les 10 secondes environ d'observation. Toute la famille pr�sente a pu constater le d�placement de ce ph�nom�ne qui a ensuite �t� perdu de vue. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis dans le dossier d'enqu�te (voir le compte rendu d'enqu�te), nous pouvons conclure que le PAN observ� par le t�moin pourrait �tre confondu avec un vol d'oiseaux en formation. Mais le manque d'information et de v�rification ne peut raisonnablement nous permettre de conclure avec certitude.
Ce t�moignage s'av�re d'une consistance assez moyenne puisque assez impr�cis et manquant de nombreux d�tails, le tout relat� par un t�moin unique (pouvant certes �tre corrobor� par 2 autres membres de sa famille) et sans photo.
L'observation est en fait assez peu �trange car il s'agit d'un PAN ayant une apparence (ou forme) certes peu commune, mais possiblement explicable, du moins plausible en terme de forme, taille, vitesse, trajectoire luminosit�.
Le GEIPAN classe ce cas en B, comme observation probable d'un vol de grands oiseaux migrateurs.";"Observation du d�placement silencieux dans le ciel nocturne d'un PAN de la forme d'un ""Y"" renvers� : observation probable d'un vol de grands oiseaux migrateurs.";O;;;;;;;;;2016-06-21;;;0.40;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;B;2014-10-09031
3677;"VAUX-LE-PENIL (77) 18.10.2014";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2014;10;18;"Le 18 octobre 2014 vers 22h25 un t�moin (T1) et sa femme (T2) sont surpris de voir passer silencieusement au-dessus d'eux en moins de 4 secondes une forme allong�e de couleur orange sur une trajectoire rectiligne. L'objet masque les �toiles que les t�moins �taient en train de regarder. Un seul questionnaire est recueilli (T1).
Le profil dessin� par le t�moin �tant exactement le profil d'une aile de parapente orange, c'est l'hypoth�se envisag�e en premier. Un paramoteur �lectrique (le seul qui permet une ressource instantan�e en cas de p�pin, moteur arr�t�), permet d'expliquer le probl�me du lancement du parapente, du vol sur des distances sup�rieures � 1km ainsi que celui du passage silencieux (le moteur peut �tre relanc� juste en final lors de l'atterrissage.)
Mais il reste qu'un atterrissage de nuit sans lune, sans le moindre �clairage, sans remise des gaz en final, dans un champ o� il y a presque tout le temps (potentiellement) des chevaux (animaux souvent terrifi�s par les ailes volantes) est consid�r� comme tout bonnement suicidaire par des parapentistes exp�riment�s.
M�me si ce sc�nario d�crit une situation extr�mement dangereuse, voire suicidaire, aucun argument solide ne l'�limine formellement et de nombreux arguments le confortent. On ne peut pas parler de certitude parce que c'est tr�s surprenant dans ce sc�nario que ni les t�moins, ni les chevaux n'aient ni vu ni entendu le parapentiste se poser � peut-�tre moins de 100/200m.
Le GEIPAN classe ce cas � B � : observation probable de l'atterrissage d'un parapente, �ventuellement motoris�.";"Observation en soir�e du passage rapide et silencieux au-dessus des t�moins d'une forme along�e et orang�e : observation probable de l'atterrissage d'un parapente, �ventuellement motoris�.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-10-09033
3678;"[AERO LOC] BAR-SUR-LOUP (LE) (06) 26.10.2014";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2014;10;26;"Le 26 octobre 2014, un pilote d'un avion d'affaires (Cessna), 3 minutes apr�s son d�collage de l'a�roport de Nice � 15h21TU, rapporte avoir crois� tr�s rapidement une tache sombre et rectangulaire pass� tr�s pr�s de son pare-brise, selon une trajectoire nord/sud au niveau de vol 115. Son passager sur sa droite a �galement aper�u l'objet mais n'a pas rapport� son observation. L'observation s'est d�roul�e au-dessus de la commune de Le Bar-Sur-Loup (06).
Compte tenu des �l�ments objectifs d�finis dans le compte rendu d'enqu�te (doc joint), � savoir :
- survol de l'avion au-dessus d'une zone prot�g�e abritant de nombreuses esp�ces d'oiseaux,
- parmi ces oiseaux, certains sont noirs, de grandes tailles, diurnes et capables de voler � une altitude identique � celle � laquelle se trouvait l'avion,
le GEIPAN classe ce cas en � B� comme observation probable d'un oiseau de grande taille (aigle, faucon, busard, milan, vautour...) chassant ou migrant.";"Observations depuis un avion du passage rapide d'une t�che sombre : observation probable d'un oiseau de grande taille (aigle, faucon, busard, milan, vautour...) chassant ou migrant.";O;;;;;;;;;2016-08-22;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.80;;0.70;0.00;B;B;2014-10-09041
3679;"COLOMBES (92) 31.10.2014";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2014;10;31;"L'observation de formes lumineuses orange traversant le ciel en moins d'une minute, une nuit de week-end, fait nettement penser � une lanterne tha�landaise, probablement l�ch�e � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e, peut-�tre en rapport avec la f�te d'Halloween. Le d�placement est observ� du sud vers le nord Est. Le vent relev� � Orly est faible (4 � 7 km/h) de secteur Sud (Sud-Est relev� � Toussus et Pontoise). Le t�moin d�crit un d�placement vers le Nord et l'Est, qui peut �tre compatible avec le vent local, difficile � estimer pr�cis�ment du fait de la proximit� de la Seine. Mais le d�placement rapide (12 secondes pour traverser une grande partie du ciel) est peu compatible avec un vent l�ger. Les instabilit�s constat�es peuvent avoir �t� provoqu�es par des vents locaux non homog�nes. La dynamique du ph�nom�ne d�crite par le t�moin convient mal � cette hypoth�se de lanterne tha�. (Voir la vid�o de reconstitution faite par le t�moin). Du fait de la m�connaissance de la m�t�o pr�cise, et du manque de recoupements, le GEIPAN classe cas ""C"".";"Observation du d�placement de formes lumineuses orange dans le ciel : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-10-09044
3680;"ALENCON (61) 27.10.2014";Orne;61;"(D) D�partement";2014;10;27;"Le 27 octobre 2014 � 19h54 un t�moin dans sa cour observe durant 2 secondes le d�placement rapide NE-SO dans le ciel d�gag� d'un objet triangulaire sombre portant des feux de signalisation fixes aux angles. Aucun bruit n'est entendu. Le t�moin prend deux photographies qui s'av�rent selon lui inexploitables. Le t�moin fera la m�me observation � 23h43 mais le trajet du PAN se fait dans le sens inverse. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Le cas est publi� le 23/02/2016 et class� C par manque d'informations consolid�es et de recoupements. Il fait aujourd'hui l'objet d'un r�examen.
La sinc�rit� du t�moin est lourdement entach�e par plusieurs points (voir le compte-rendu d'enqu�te) :
- un traitement de contraste sur les deux photos (que le t�moin attribue aux deux passages successifs du PAN du premier soir) met en �vidence la pr�sence d'une masse sombre (que l'on peut attribuer � la fa�ade d'un immeuble bien pr�sent et qui borde la cour en face de la chemin�e bien visible sur la photo) et que ce qui est d�crit comme un PAN en mouvement (et identifi� comme tel sur la photo par le t�moin) ne bouge en fait pas d'une photo � l'autre (car reste au m�me niveau par rapport � la masse sombre). Il n'est pas possible d'expliquer comment ces lumi�res fixes ont pu para�tre autant mobiles et fugitives pour le t�moin ;
- au d�part le t�moin ne trouve rien qui corresponde � son observation dans ces m�mes photos � L'appareil photo n'a pas pu prendre le d�placement malgr� son installation. Photos non exploitables. � et il les envoie ensuite au GEIPAN comme portant la pr�sence des PAN, sans aucune r�serve de sa part ;
- ni les dates, ni les heures des photos ne correspondent � celles des deux passages PAN auxquels le t�moin associe ces photos. L'hypoth�se d'un d�r�glement de date et heure de l'appareil ne peut gu�re �tre retenue car l'�cart entre les photos est de 3 minutes alors que le t�moin donne des heures de passage du PAN espac�es de pr�s de 3 heures tout en pr�cisant l'heure � la minute pr�s (19h54 et 23h43). Une telle pr�cision exclue l'hypoth�se d'une erreur de m�morisation de l'espacement des passages de PAN. La m�prise entre photos ne peut �tre gu�re retenue non plus car ces photos sont explicitement associ�es � l'observation puisque le t�moin y rep�re le PAN ;
- le t�moin ne r�pond pas � la demande du GEIPAN de pr�ciser la date des photos.
Le seul moyen d'expliquer ces incoh�rences autrement que par une action d�lib�r�e de fabrication de preuves serait que le t�moin, impressionn� par son observation visuelle et regrettant tellement de ne pas trouver trace dans les photos, finit par attribuer au PAN une �tranget� trouv�e dans les photos. Mais il faudrait alors que ces lumi�res fixes ne soient visibles que sur des photos et pas � l'il nul, ce qui est tr�s peu plausible. De toute fa�on, une telle hypoth�se mettrait �galement en �vidence un manque de sinc�rit� du t�moin par l'absence de r�serves ou interrogations qu'imposait de sa part une telle situation, sans compter l'absence de r�ponse au mail du GEIPAN demandant des pr�cisions sur les dates et sur l'environnement de la prise de photos.
Ce t�moignage est de consistance moyenne : peu pr�cis, venant d'un t�moin unique, accompagn� de deux photographies ne montrant pas le ph�nom�ne, avec des conditions de prise de vue impr�cises. Mais la consistance et suffisante pour �tablir l'hypoth�se de manque de sinc�rit� du t�moin.
En cons�quence le GEIPAN conclut que les �l�ments disponibles ne permettent aucune explication physique sur le PAN mais permettent de retenir l'hypoth�se que l'�tranget� r�sulte tr�s probablement d'un manque de sinc�rit� du t�moin, non pas sur le fait d'avoir vu quelque chose d'�trange (aucun �l�ment nous permettant de l'exclure) mais dans le t�moignage qui en est fait.
Classement A : Forte probabilit� de canular ou de non sinc�rit� du t�moin.
";"Deux courtes observations des d�placements rapides et silencieux d'un objet triangulaire sombre portant des feux fixes aux angles : forte probabilit� de canular ou de non sinc�rit� du t�moin.";O;;1;;1;;;;;2018-11-08;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.60;;0.40;0.00;A;A;2014-10-09047
3682;"LOUAN-VILLEGRUIS-FONTAINE (77) 13.10.2014";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2014;10;13;"Le 13 octobre 2014 vers 6h10 un automobiliste et sa passag�re sont surpris de voir dans le ciel un point lumineux �voluer dans le ciel dans une trajectoire en forme de virgule. Aucune train�e, aucun bruit ne sont remarqu�s. Le ph�nom�ne dispara�t soudainement. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Compte tenu des �l�ments d�finis dans le compte rendu d'enqu�te, en particulier l'absence de description faite par les services de Gendarmerie de l'engin observ� au-dessus de la centrale de Nogent, et dans l'attente d'informations en ce sens, le manque d'information ne permet pas de trancher en faveur d'une quelconque hypoth�se.
Ce cas est � classer en � C � comme observation d'un ph�nom�ne non identifiable en l'�tat, le manque important d'�l�ments ne permettant pas d'�tablir un avis solide.";"Observation des �volutions silencieuses d'un point lumineux blanc dans le ciel ; disparition soudaine : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.45;0.00;;;0.90;;0.60;;0.50;0.00;C;B;2014-10-09091
3684;"MATAFELON-GRANGES (01) 02.11.2014";Ain;01;"(D) D�partement";2014;11;02;"Le 2 novembre 2014 � 18h25 un t�moin observe le d�placement silencieux d'un point lumineux orange qui avance dans sa direction puis change de trajectoire avant de s'�loigner en montant dans le ciel d�gag�.
L'observation d'un point orange se d�pla�ant lentement dans le ciel fait penser � une lanterne tha� port�e par le vent. Dans ce cas, le d�placement non lin�aire est peu compatible de cette hypoth�se, mais pas impossible du fait du relief tr�s marqu� dans cette vall�e ; il est fr�quent dans les vall�es d'avoir un vent � tr�s basse altitude tr�s diff�rent de celui qui souffle plus haut. Il est toutefois quasi impossible de mod�liser et donc de pr�voir ce r�gime de vent selon l'altitude consid�r�e. De plus les stations m�t�o sont �loign�es du lieu d'observation : Lyon, Macon, Gen�ve, et indiquent des vents diff�rents (vent de sud soutenu � Lyon, moins fort � Macon, vent de Sud Ouest � Gen�ve) et ne permettent donc pas d'estimer le vent � Matafelon.
La photographie montre un objet ros� et bleu, mais le t�moin indique un objet orange : du fait des conditions de prise de vue (nuit, boug�), la forme qui appara�t sur la photo est plus le r�sultat des diverses imperfections de la prise de vue qu'une image fid�le de l'objet observ�.
Du fait de ces diverses incertitudes, le GEIPAN n'est pas en mesure de donner une explication justifi�e du ph�nom�ne, ce cas est class� ""C"".";"Observation des �volutions dans le ciel d'un objet circulaire de couleur orang� et lumineux : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-11-09032
3685;"FONTAINES-SUR-SAONE (69) 03.11.2014";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2014;11;03;"Observation d'un ballet silencieux de plusieurs lumi�res blanches semblant former un seul objet de grande taille dans le ciel. Le t�moin fait une vid�o.
Cette observation tout � fait exceptionnelle s'est av�r�e �tre provoqu�e par l'animation lumineuse tr�s spectaculaire mise en place pour l'inauguration du pont Schuman sur la Sa�ne � Lyon le 5 novembre 2014.(voir Le pont Shuman inaugur�.
) Le GEIPAN s'est renseign� aupr�s de la soci�t� de production de ce spectacle qui a indiqu� que le lundi soir 3 novembre, 2 jours avant l'inauguration, avait eu lieu une r�p�tition du spectacle. Les effets tr�s particuliers observ�s par les t�moins sont le r�sultat de ces projections sur les nuages bas pouss�s par le fort vent de sud.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" comme expliqu� par une animation lumineuse.";"Observation du ballet de plusieurs lumi�res blanches dans le ciel : observation d'une animation lumineuse sur des nuages bas.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-11-09034
3687;"VILLIERS-SOUS-PRASLIN (10) 01.11.2014";Aube;10;"(D) D�partement";2014;11;01;"Le 1er novembre 2014 � 21h15 un t�moin observe trois objets de forme ronde, de couleur orang� rouge, se d�pla�ant sans bruit dans le ciel. Il finit par perdre de vue les objets.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit�, � l'issue d'une f�te priv�e. Le d�placement est observ� depuis la fa�ade nord de la maison du t�moin, de l'Ouest vers l'Est. Ce d�placement ne correspond pas au l�ger vent de Sud relev� � Melun : m�t�o.
Cette hypoth�se de lanterne tha�, compatible avec la description du t�moin, ne peut donc �tre confirm�e, sinon � consid�rer une rafale de vent juste au moment de l'observation.
Le GEIPAN ne peut conclure sur ce cas, faute de relev� m�t�o pr�cis proche du lieu d'observation, et faute de recoupements. Ce cas d'observation de faible �tranget� est donc class� en cat�gorie ""C""";"Observation du d�placement silencieux de trois objets orang�s dans le ciel : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-02-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-11-09036
3688;"SAINTE-CATHERINE (62) 10.11.2014";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2014;11;10;"Le 10 novembre 2014 � 22h00, un t�moin regarde par sa fen�tre et voit un point lumineux un peu clignotant dans le ciel. Le PAN se d�place tr�s lentement vers la droite, tout en changeant de couleur tr�s rapidement. Le t�moin tente de prendre le PAN en photo, sans succ�s. L'observation cesse entre 0h45 et 1h00. Alors que le t�moin commence la r�daction d'un Questionnaire Electronique (QE) du GEIPAN vers 1h40, il regarde de nouveau par la fen�tre et voit de nouveau le PAN. Il le perd de vue vers 2h30. Un seul t�moignage sera recueilli.
La longueur du temps d'observation (environ 3 h pour la premi�re phase et 45 minutes pour la seconde) ainsi que le fait que le PAN se d�place tr�s lentement vers la droite sont tout � fait caract�ristiques d'une m�prise de type astronomique. De plus, le d�placement de l'Ouest vers le Nord accompagn� d'une diminution de la hauteur angulaire du PAN est tout � fait caract�ristique de l'observation d'un astre observ� vers le Nord-Ouest. Si cette hypoth�se est exacte, l'observation du PAN impliquerait donc deux �toiles diff�rentes, assimil�es en un unique objet par le t�moin, l'absence d'observation durant 45 minutes entre 1h00 et 1h45 du matin favorisant ce type de confusion.
Les changements de couleur rapides du PAN (rouge, vert, bleu) sont �galement tout � fait caract�ristiques de l'observation d'un astre brillant, dont la lumi�re scintille � cause des vents d'altitude.
Une reconstitution sur Stellarium pour le 10 novembre 2014 � 22h00 montre qu'un astre remarquablement brillant, l'�toile Vega (magnitude 0,0), se situe � un azimut parfaitement coh�rent avec celui du PAN (297� contre 298� estim� par le t�moin) (voir le compte rendu d'enqu�te).
D'�tranget� moyenne, mais de consistance suffisante, ce cas s'av�re �tre une m�prise certaine avec les �toiles Vega et Deneb, dont les positions correspondent exactement � celle du PAN aux horaires indiqu�s. De plus, l'arriv�e d'une perturbation pluvieuse au moment de l'observation a entrain� des vents d'altitude faisant scintiller les �toiles, correspondant aux rapides changements de couleur du PAN. Les petits mouvements apparents per�us par le t�moin sont le r�sultat de l'illusion autocin�tique.
Ce cas est class� A, m�prise avec les �toiles Vega et Deneb.";"Longue observation du lent d�placement de points lumineux dans le ciel : m�prise avec les �toiles Vega et Deneb.";O;;;;;;;;;2016-06-21;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2014-11-09038
3689;"SAINT-COME-DU-MONT (50) 12.11.2014";Manche;50;"(D) D�partement";2014;11;12;"Le t�moin roule sur la N13 de Chef-du-Pont � Carentan, en direction du sud-est. Il observe ""comme une com�te"" de couleur blanc-jaune. Le t�moin indique que le temps est d�gag�, mais les relev�s m�t�o de Meteociel indiquent de la pluie � Cherbourg, et des averses finissantes � Caen. Le soleil s'est lev� � 7h45 au E-SE (114�), c'est-�-dire un peu � gauche de l'axe de la N13 (135� environ). A 8h, le t�moin a donc le soleil levant presque en face, peut-�tre voil� par une brume matinale.
Le site Flightradar24 (voir ci-joint) indique � cette heure l� plusieurs gros avions de ligne volant � haute altitude, venant de l'Ouest en direction de l'Est : un airbus A330 id DLH425, et un Boeing 777 les train�es de ces avions sont visibles jusqu'� 120km de l'observateur environ, o� elles apparaissent avec un �l�vation sur l'horizon de l'ordre de 6�. A cette distance, le d�placement apparent est tr�s faible, la tra�n�e appara�t tr�s courte par effet de perspective, et � contre jour du soleil levant appara�t jaune, orang�e, voire rouge dans certains cas. Voir : des train�es d'avions �tranges.
Ce sont ces tra�n�es d'avion, � forme de com�te, que le t�moin a vu pr�s de l'horizon.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de tra�n�es d'avions.";"Observation de plusieurs ph�nom�nes blanc-jaune en forme de train�es : observation de tra�n�es d'avions.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-11-09040
3690;"CANCALE (35) 11.11.2014";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2014;11;11;"Le 11 novembre 2014 vers 6h du matin un t�moin, depuis son camping car au bord de la mer, observe une forme ronde lumineuse blanche avan�ant d'abord lentement, puis acc�l�rant et faisant des zig zag en longeant la c�te. L'observation dure 20 minutes. Le ph�nom�ne dispara�t � l'horizon. Un seul t�moignage est recueilli.
Apr�s l'analyse de diverses hypoth�ses (voir le compte rendu d'enqu�te) � savoir :
-un bateau en d�placement dans la baie du Mont-Saint-Michel.
-un h�licopt�re en survol � basse altitude le long de la c�te de Granville.
-un avion en approche de l'a�roport de Granville, feux d'atterrissages allum�s.
-un avion en survol de la m�me zone, feux �galement alum�s.
l'hypoth�se privil�gi�e est celle de l'h�licopt�re (s�curit� civile ou gardes-c�tes) �quip� d'un projecteur.
Le GEIPAN classe donc ce cas en � B � : observation probable d'un h�licopt�re (s�curit� civile ou gardes-c�tes) �quip� d'un projecteur en survol le long de la c�te de Granville.";"Longue observation des d�placements particuliers d'un faisceau lumineux longeant la c�te : observation probable d'un h�licopt�re (s�curit� civile ou gardes-c�tes) �quip� d'un projecteur en survol le long de la c�te de Granville.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.40;0.00;;;0.90;;0.80;;0.70;0.00;B;B;2014-11-09042
3692;"IZESTE (64) 18.11.2014";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2014;11;18;"Le t�moin observe un avion qui fait demi-tour en plein ciel, et suivi de tr�s pr�s par un objet plac� entre son aile gauche et son empenage.
Le contr�le a�rien a �t� consult� sur ce cas : c'est bien un avion que le t�moin a observ�, mais un avion particulier puisqu'il s'agit d'un Airbus A 350 d'Airbus Industrie, en vol d'essai ou de d�monstration, suivant un trajectoire atypique : deux boucles au-dessus des Pyr�n�es jusqu'� son atterrissage � Toulouse � 12h50. On note qu'Airbus pr�pare la livraison de son premier A350 dans le mois qui vient. Le point observ� par le t�moin est un avion plus petit, une Corvette, effectuant des prises de vue en vol (information obtenue aupr�s d'Airbus Industrie). On note que la position de cette escorte, au sud de l'Airbus, est bien situ�e par rapport au soleil pour des prises de vue photo et vid�o.
Au moment de l'observation, l'avion vole vers 10000 m d'altitude ; l'appareil qui l'escorte appara�t au t�moin tr�s pr�s de l'Airbus , mais il est probablement nettement plus haut que l'avion, afin de le voir de dessus. Le GEIPAN classe ce cas A : observation certaine d'un avion gros porteur en vol d'essai ou de d�monstration, accompagn� d'un avion l�ger effectuant des prises de vue.";"Observation d'un objet suivant un avion : A350 escort� par un avion prenant des prises de vues.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2014-11-09045
3693;"CALUIRE-ET-CUIRE (69) 20.11.2014";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2014;11;20;"Le 20 novembre 2014 � 21h29 un astronome amateur est surpris de constater dans l'oculaire de son t�lescope le passage d'une petite boule floue, brillante, aux tons chauds.
D'�tranget� moyenne et de bonne consistance (t�moin unique, mais avec un t�moignage tr�s pr�cis), ce cas s'av�re �tre l'observation du satellite Cosmos 1636, probablement entour� d'un nuage de gaz provenant du reste de ses r�servoirs d'ergol, lib�r� � l'occasion d'un incident ind�termin�.
La trajectoire du PAN est en effet parfaitement coh�rente avec celle du satellite Cosmos 1636, et son d�placement est tout � fait caract�ristique du d�placement d'un satellite. L'hypoth�se ne peut en revanche �tre confirm�e en l'absence d'autre t�moin pour un recoupement.
Ce n'est pas la perception visuelle du t�moin qui est en cause, mais l'interpr�tation que le t�moin fait de son observation � travers son ressenti (faible luminosit� du PAN, observation d'un ph�nom�ne rare).
Ce cas est class� B, probable observation du satellite Cosmos 1636 entour� d'un nuage de gaz.";"Observation par un astronome amateur du passage d'une boule lumineuse dans l'oculaire de son t�lescope : probable observation du satellite Cosmos 1636 entour� d'un nuage de gaz.";O;;;;;;;;;2015-07-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-11-09048
3694;"SAVIGNY-SUR-BRAYE (41) 29.11.2014";Loir-et-Cher;41;"(D) D�partement";2014;11;29;"Le samedi 29 novembre 2014 aux environs de 23h15, une personne est intrigu�e par le passage rapide et silencieux d'une forme lumineuse et de couleur jaune orang� dans le ciel. Le ph�nom�ne se d�place selon une trajectoire rectiligne. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Le passage de boule lumineuse orange un samedi soir �voque une lanterne tha�, probablement l�ch�e � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le t�moin regarde vers le Sud-Sud-ouest, l'objet va de sa gauche vers sa droite en s'�loignant. Le vent relev� au Mans est de Nord Est (Voir le relev� M�t�ociel). Ce vent est compatible avec la direction prise par l'objet lumineux.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'une lanterne tha�landaise.";"Observation du passage rapide et silencieux d'une forme lumineuse de couleur jaune orang� sur une trajectoire rectiligne: probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-11-09054
3695;"HEROUVILLE-SAINT-CLAIR (14) 29.11.2014";Calvados;14;"(D) D�partement";2014;11;29;"Le 29 novembre � environ 23h30, un t�moin observe moins de 10 secondes, depuis son balcon, 6 points lumineux traverser le ciel. Le t�moin indique que ces points, couleur gris blanc,semble former une masse sombre et unique qui cache les �toiles. Le pan dispara�t du champ de vision du t�moin. Aucun bruit n'est entendu.
Des points lumineux en formation traversant une partie du ciel en moins d'une minute, un samedi soir, �voque le passage de lanternes tha�. V�rifions si le relev� m�t�o indique un vent local coh�rent avec le d�placement constat�. Le relev� m�t�o sur Caen indique un vent faible, pasant du sud-est au nord entre 22 et 23h, puis devenant tr�s faible et instable en milieu de nuit (m�t�o.
Il est donc impossible de conna�tre pr�cis�ment le vent qui soufflait � 23h15 � H�rouville, tout proche de Caen, et donc de confirmer cette hypoth�se.
Par rapport aux autres t�moignages de lanternes, qui mentionnent le plus souvent des boules orange, le t�moin pr�cise ici des points de couleur gris-blancs.
La masse noire, plate, d�crite par le t�moin est tr�s probablement une illusion dite ""illusion de contour"" fr�quente dans les cas d'observation de groupe de lanternes ou de triplet de satellites (mais � cette heure l�, il n'y a pas de satellites visibles).
Etant donn� l'incertitude sur le vent, et du fait de la couleur blanc-gris inhabituelle, le GEIPAN n'a pas assez d'�l�ments pour confirmer cette hypoth�se de lanternes tha�, malgr� de bonnes similitudes.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.";"Observation du d�placement dans le ciel nocturne de 6 points lumineux gris blancs semblant former une masse plate : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-11-09055
3696;"MOUANS-SARTOUX (06) 23.11.2014";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2014;11;23;"En avril 2015 un t�moin rapporte son observation faite le 23 novembre 2014 � 21h40. Ce soir l� depuis la fen�tre de son appartement, le t�moin est surpris par le d�placement lent et silencieux dans le ciel de trois lumi�res, deux blanches et une rouge, formant un triangle. Le ph�nom�ne suit une trajectoire rectiligne. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte tenu des �l�ments analys�s report�s dans l'enqu�te ci jointe, � savoir :
- la signalisation lumineuse semblable � celle d'un a�ronef.
- la zone fr�quent�e par de nombreux a�ronefs � proximit� de l'a�roport de Nice.
- le d�placement conforme au vent local.
La confusion avec un a�ronef ou avec 3 ballons ou lampions lumineux est possible. Il manque cependant de nombreuses donn�es angulaires, azimutales et testimoniales.
Nous pouvons donc conclure que, consid�r� dans son ensemble et en attente de pr�cisions du t�moin relatives � l'apparence, au d�placement, � la position et � la disparition du PAN, ce cas est � classer provisoirement en � C � : observation d'un ph�nom�ne non identifiable en l'�tat, le manque important d'�l�ments ne permettant pas d'�tablir un avis solide.";"Observation du d�placement lent et silencieux dans le ciel de trois lumi�res, deux blanches et une rouge, formant un triangle : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.20;0.00;;;0.50;;0.50;;0.20;0.00;C;A-;2014-11-09157
3697;"IVRY-LE-TEMPLE (60) 11.12.2014";Oise;60;"(D) D�partement";2014;12;11;"Le 11 d�cembre 2014 � 3h35 un t�moin ferme sa fen�tre lorsqu'il observe trois points lumineux �quidistants. C'est ce point pr�cis qui intrigue le t�moin, et lui fait penser � une observation particuli�re. Apeur�e, elle ne regardera de nouveau le ciel que vers 3h50 mais les points auront disparu. Aucun autre t�moignage n'est enregistr�.
D'�tranget� et de consistance faibles, ce cas s'av�re �tre une m�prise possible avec les trois �toiles composant l'ast�risme dit de la Ceinture d'Orion. Malheureusement, le manque de donn�es (direction pr�cise d'observation, espacement angulaire entre les points du PAN) et l'�tat de peur du t�moin au moment de l'observation emp�chent toute exploitation utile du cas.
Ce cas est class� C, cas non identifiable par manque de donn�es, bien qu'une m�prise avec les �toiles de la Ceinture d'Orion soit possible.";"Observation courte de trois points lumineux align�s dans le ciel : cas non identifiable par manque de donn�es, bien qu'une m�prise avec les �toiles de la Ceinture d'Orion soit possible.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.30;0.00;;;0.40;;0.60;;0.24;0.00;C;C;2014-12-09056
3698;"CONFLANS-SAINTE-HONORINE (78) 05.12.2014";Yvelines;78;"(D) D�partement";2014;12;05;"Le vendredi 5 d�cembre 2014 entre 19h45 et 19h50, un promeneur est intrigu� par le d�placement silencieux dans le ciel nocturne de 5 lumi�res rouge-orange tr�s lumineuses. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une veille de f�te (St Nicolas), fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� de l'ouest vers l'est, ce qui est compatible avec le l�ger vent de sud-ouest � ouest relev� � Pontoise (voir le relev� M�t�ociel.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement silencieux de 5 lumi�res rouge-orang� dans le ciel nocturne : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.90;;0.72;0.00;B;A;2014-12-09057
3700;"ARCS (LES) (83) 18.12.2014";Var;83;"(D) D�partement";2014;12;18;"Le 18 d�cembre 2014 vers 21h deux t�moins sont intrigu�s par un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Observ� en zoomant avec un appraeil photo, l'objet semble de plusieurs couleurs et bouge dans tous les sens.
Le t�moin d�crit une sorte d'�toile plus grosse que la moyenne et clignotante, finalement identifi�e comme un objet lumineux tr�s mobile, comme un cerf-volant. L'observation dure une heure. Depuis un lieu proche de la gare, la direction d'observation est indiqu�e grossi�rement : ""au dessus de Draguignan"", ce qui correspond � un azimut de 335� � 360�. Il faut noter que la ville de Draguignan n'est pas directement visible depuis ce lieu : l'estimation d'azimut du t�moin est probablement approximative.
L'�toile V�ga, �toile tr�s brillante, est visible 8,4� d'�l�vation et � un azimut de 317� � 21h24. Contact�e par t�l�phone, le t�moin indiquera qu'il a vu le m�me objet lumineux plusieurs soirs de suite � peu pr�s au m�me endroit.
L'observation d'un point lumineux durant pr�s d'une heure au dessus de l'horizon, plusieurs soirs de suite �voquent tr�s nettement l'observation d'une �toile. Les changements de couleur sont d�s au scintillement provoqu� par les turbulences atmosph�riques ; les oscillations observ�es sont d�es aussi au scintillement, mais aussi � l'illusion autocin�tique ou autokin�sie, une illusion de perception fr�quente lorsqu'on observe un point lumineux dans l'obscurit� (voir la perception du mouvement d'un point lumineux dans le ciel.
). Comme la direction d'observation n'est pas connue pr�cis�ment, l'identification de l'�toile n'est pas certaine.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'une �toile au-dessus de l'horizon ; V�ga semble une bonne candidate.";"Observation d'un objet lumineux dans le ciel : observation probable d'une �toile (V�ga) au-dessus de l'horizon.";O;;;;;;;;;2015-07-31;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-12-09061
3701;"GARDE (LA) (83) 25.12.2014";Gironde;33;"(D) D�partement";2014;12;25;"Le 25 d�cembre 2014 entre 01h20 et 01h29 un t�moin observe les �volutions successives de 8 points lumineux dans le ciel d�gag�. De couleur l�g�rement rouge au centre et jaune � l'ext�rieur, ces points se d�placent tous silencieusement en direction de l'Est (vers Hyeres). Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes selon la m�me trajectoire, une nuit de grande f�te, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'occasion de No�l.
Le d�placement est observ� du Nord vers l'Est, ce qui est compatible avec le vent instable de Nord � Nord-Ouest relev� � Hy�res (voir le relev� M�t�ociel.
Le GEIPAN classe ce cas B : observation tr�s probable de lanternes tha�landaises.";"Observation des �volutions silencieuses de 8 points lumineux de couleur rouge-jaune dans le ciel nocturne d�gag� : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;A;2014-12-09062
3702;"SAINT-MAIXENT-L'ECOLE (79) 25.12.2014";Deux-S�vres;79;"(D) D�partement";2014;12;25;"Le t�moin observe, depuis son jardin, deux boules rouges lumineuses, non clignotantes, silencieuses, se d�pla�ant doucement vers l'Est avant de dispara�tre.
L'observation de boules rouge traversant une partie du ciel en quelques minutes, une nuit de f�te, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� et � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� vers l'Est, ce qui est compatible avec le vent de Nord-Ouest relev� � Niort d'apr�s le relev� m�t�o.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�.";"Observation du d�placement silencieux de deux boules lumineuses rouge dans le ciel : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-12-09063
3703;"MOUCHAMPS (85) 25.12.2014";Vend�e;85;"(D) D�partement";2014;12;25;"Le 25 d�cembre 2014 aux environs de 19h15 deux personnes sont intrigu�es par les d�placements d'une train�e incandescante dans le ciel nocturne et d�gag�. Le ph�nom�ne disparait soudain. Aucun bruit particulier n'est entendu. Une troisi�me personne dans le village fera �galement l'observation. Un seul questionnaire est recueilli.
Compte tenu des �l�ments recueillis durant l'enqu�te (voir le rapport), ce cas est � classer en � B � comme une observation probable d'un objet volant de type lanterne tha�landaise dans des conditions m�t�orologiques (vent) particuli�res.
Le GEIPAN n'a pas men� de recherches pour trouver l'auteur de ce l�cher, de ce fait, l'explication donn�e est seulement tr�s probable, mais pas certaine.";"Observation des d�placements silencieux d'un ph�nom�ne lumineux jaune-feu puis blanc-bleu dans le ciel nocturne : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2016-02-24;;;0.30;0.00;;;0.95;;0.95;;0.90;0.00;B;B;2014-12-09064
3704;"PAUILLAC (33) 29.12.2014";Gironde;33;"(D) D�partement";2014;12;29;"Le 29 d�cembre � 18h30 un t�moin est intrigu� par un disque blanc en trajectoire descendante dans le ciel. Il prend une photographie et demande des explications au GEIPAN.
Apr�s des v�rifications sur la photographie permettant d'�tablir l'heure pr�cise de prise de vue et la caract�risation des points lumineux qui apparaissent dans le ciel, il s'av�re que :
- la photo a �t� prise vers 18h05,
- ce que le t�moin indique comme une ""�toile"" dans la photo est un pixel �chaud� ou �mort� sur le capteur de l'appareil, qui appara�t syst�matiquement � la position 1774 et 883 (aspect tr�s �piqu�, vert fluo, et surtout pr�sent � la m�me position dans les photos ult�rieures (voir le document : DSC_0003_photo_test_pixel.jpg).
Ce que le t�moin indique comme ""et �a ?"" en d�signant un gros point lumineux pr�s de l'horizon est bien la plan�te V�nus (� cette heure-ci, aucun autre astre que V�nus n'�tait visible, sauf peut-�tre Mars).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de la plan�te V�nus.";"Observation d'un disque blanc lumineux en trajectoire descendante : observation de la plan�te V�nus.";O;;;;;;;;;2015-06-15;;;0.10;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;A;A;2014-12-09065
3706;"BULLY-LES-MINES (62) 31.12.2014";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2014;12;31;"Le 31 d�cembre 2014 vers 19h30 un t�moin remarque dans le ciel deux lumi�res, �quidistantes, stationnaires et silencieuses. Apr�s quelques minutes, les lumi�res passent lentement et silencieusement au-dessus des toits des maisons hors de vue du t�moin. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de boules lumineuses traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de f�te, fait penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est tr�s faible observ� vers l'ouest, ce qui peut �tre compatible avec le vent faible et instable, temporairement sud ouest, relev� � Lille par M�t�ociel.
Les directions de d�placement indiqu�es par le t�moin ne sont pas bien coh�rentes selon les divers parties du t�moignage.
Comme le t�moin signale des lumi�res blanches, mais que les lanternes tha� sont le plus souvent d�crites comme jaune orang�, et que le vent est incertain, cette hypoth�se de lanternes, bien que probable, manque d'�l�ment de confirmation.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information pr�cise sur le vent, en attente d'autres t�moignages en rapport avec celui-ci.";"Observation de deux lumi�res vives blanches d'abord fixes puis en d�placement silencieux et lent : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2014-12-09067
3707;"FISMES (51) 25.12.2014";Marne;51;"(D) D�partement";2014;12;25;"Le 25 d�cembre 2014 vers 1h du matin, un t�moin observe le d�placement de deux lumi�res orange dans le ciel. Les lumi�res suivent la m�me trajectoire, � quelques secondes d'intervalle. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de f�te, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'occasion de No�l. Le d�placement est observ� du Sud-Ouest vers l'Est, ce qui est compatible avec le vent d'Ouest de 11 � 20 km/h relev� sur M�t�ociel pris � Reims-Prunay (40 km � l'Est).
L'objet vole probablement plus bas que le t�moin l'estime, de l'ordre de 50m d'altitude, puisqu'il remarque d�j� pas mal de d�tails. Le relatif flou constat� est surtout d� � la flamme vacillante, et la vapeur ou fum�e qui s'en d�gage.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement sur une m�me trajectoire de deux lumi�res orange : observation probable de lanternes thailandaises";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-12-09068
3708;"AVIRONS (LES) (974) 21.12.2014";"La R�union";974;"(D) D�partement";2014;12;21;"Le 21 d�cembre 2014 � 21h09 un t�moin install� sur son balcon face � l'oc�an est intrigu� par un ph�nom�ne lumineux flottant au-dessus de l'oc�an. Il regarde aux jumelles cette lueur et distingue un objet sombre avec une partie basse scintillant d'une lumi�re orang�e. Le t�moin prend des photographies qui ne rendent pas compte de ce qu'il observe aux jumelles. A 22h15 l'engin a gliss� sans bruit dans la direction du SO.
Ce t�moignage est d'une bonne consistance : pr�cis et accompagn� de deux photographies originales, mais venant d'un t�moin unique.
Compte tenu des �l�ments recueillis (voir le compte rendu d'enqu�te), � savoir :
- PAN observ� proche de l'horizon.
- Apparence visuelle similaire � celle d'un navire.
- Observation du feu de navigation tribord vert.
- Observation des reflets du navire, �ventuellement des ponts, sur l'eau.
- Axe d'observation en direction d'une zone maritime fr�quent�e.
L'observation est peu �trange car le PAN est finalement banal, aussi bien dans son apparence que dans son comportement.
Le GEIPAN ce cas en � B � comme observation tr�s probable d'un bateau naviguant au large de l'ile de la R�union.";"Longue observation d'un objet sombre et d'une lueur orang�e sur l'oc�an : observation tr�s probable d'un bateau.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;B;B;2014-12-09072
3709;"ALLEVES (74) 21.12.2014";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2014;12;21;"Le 21 janvier 2015 aux environs de 18h trois personnes observent � travers la fen�tre du s�jour puis sur la terrasse un ph�nom�ne qu'ils ne s'expliquent pas. Dans un premier temps depuis l'int�rieur, le ph�nom�ne vu est en forme de goutte d'eau et de couleur jaune en d�placement dans le ciel. Les t�moins se rendent sur la terrasse et voient alors le PAN en forme circulaire et noir mat qui disparait rapidement. Les observations sont faites � l'il nu et aux jumelles. Un seul questionnaire est re�u mais une enqu�te sur place a permis d'affiner ou de corriger certaines donn�es (voir le compte rendu d'enqu�te).
Ce qui faisait l'�tranget� de l'observation �tait la juxtaposition en deux s�quences de prime abord non rattachables au m�me ph�nom�ne.
Suite au d�placement des enqu�teurs sur place et en fonction des descriptions faites par les t�moins, il apparait qu'une train�e de condensation (courte) d'un avion est vraisemblable. Les trois t�moins ont observ� de fa�on discontinue le ph�nom�ne � la tomb�e de la nuit. Dans un premier temps les rayons du soleil �clairaient la train�e, dans la deuxi�me phase de l'observation les rayons du soleil pouvaient ne plus �clairer directement la zone de ciel parcourue par l'avion. Une train�e d'avion peut ainsi passer rapidement d'une t�che lumineuse � une t�che sombre.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de train�e de condensation d'avion.";"Observation dans le ciel du d�placement d'un ph�nom�ne jaune lumineux en forme de goutte puis d'une forme circulaire noir mat : probable observation d'une courte train�e de condensation d'avion.";O;;3;;1;;;;;2017-08-30;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.90;;0.73;0.00;B;B;2014-12-09087
3710;"SAINT-NOLFF (56) 16.12.2014";Morbihan;56;"(D) D�partement";2014;12;16;"Le 16 d�cembre 2014 vers 2h-2h15 du matin un t�moin a son attention attir�e par une lumi�re forte � l'ext�rieur. Se d�pla�ant jusqu'� sa terrasse, il aper�oit un objet ovale de couleur jaune or avan�ant lentement et silencieusement au-dessus de la cime des arbres en face de chez lui. Un clich� photographique est pris durant l'observation qui dure entre 5 et 10 minutes. L'objet disparait � grande vitesse en repartant � la verticale.
L'image pr�sent�e comme la photo prise par le t�moin s'est av�r�e �tre une version recoup�e d'une photographie prise en 1981 par un photographe Mexicain nomm� Carloz Diaz, (voir la photographie int�grale sur 1981 the beginning of contact.
). Le t�moin est rest� �vasif lors des demande de renseignements, n'apportant aucune pr�cision ni aucune r�ponse claire aux questions pos�es (voir les notes d'enqu�te).
Vu les �l�ments et l'absence de r�ponses pr�cises aux questions pos�es au t�moin, nous consid�rons que nous avons � faire � un canular.
Le GEIPAN classe le cas en A : canular.";"Observation et photographie d'un ph�nom�ne ovale lumineux de couleur orang� dans le ciel : canular.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.13;0.13;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;A;A;2014-12-09160
3711;"NIZEROLLES (03) 26.12.2014";Allier;03;"(D) D�partement";2014;12;26;"Les 26 et 29 d�cembre 2014 les gendarmes sont contact�s par deux t�moins habitant un lieu-dit sur la commune de Nizerolles (03) et qui sont intrigu�s par la pr�sence de diff�rents points lumineux dans le ciel nocturne (voir le compte rendu d'enqu�te).
Compte tenu des �l�ments recueillis, � savoir :
- Existence d'essais de signalisation lumineuse r�glementaire nocturne d'�oliennes situ�es � environ 12 kms des t�moins et partiellement visibles dans l'axe d'observation, confirm�e par les gendarmes sur place. Ces feux sont de m�me couleur rouge que celle not�e par les t�moins pour deux des PANs.
- Pr�sence de la plan�te Jupiter, observ�e dans le m�me axe, se d�pla�ant et de m�me couleur qu'un des PANs.
- Eclairage public d'un lieu-dit � proximit�, confusion du t�moin n�1 not�e par les Gendarmes.
- Guirlandes de d�corations de No�l, �galement confusion du t�moin n�1 not�e par les Gendarmes.
- Existence pour un des t�moins d'un ph�nom�ne physiologique de micro-mobilit� oculaire (""micro-nystagmus"").
Nous pouvons conclure que les PANs observ�s par les t�moins sont tr�s certainement divers ph�nom�nes et objets naturels ou manufactur�s (Jupiter, feux rouges d'�oliennes, �clairage public, guirlandes de No�l...) agr�ment�s pour la plupart du ph�nom�ne de micro-nystagmus.
Ce cas est class� en � A � comme observation certaine d'�clairage nocturne d'�oliennes, de la plan�te Jupiter, d'�clairage public.";"Observations successives de points lumineux dans le ciel nocturne : observation certaine d'�clairage nocturne d'�oliennes, de la plan�te Jupiter et d'�clairage public.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2014-12-09167
3712;"TROYES (10) 02.01.2015";Aube;10;"(D) D�partement";2015;01;02;"Le 2 janvier 2015 � 1h30 du matin un t�moin regarde les �toiles depuis sa fen�tre. Il voit soudain un groupe d�sordonn� d'une dizaine de boules lumineuses survolant silencieusement la ville. L'observation dure 15 secondes avant que les objets ne soient cach�s par les toits et l'horizon. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin, contact� au t�l�phone indique finalement que sa fen�tre donne vers le Sud Ouest. La carte astronomique confirme bien qu'Orion est au Sud Ouest (et non � l'ouest comme indiqu� par le t�moin), et la Lune au O/SO ; les rep�res sur les points cardinaux sont donc � ajuster : c'est vers le Sud Sud-Est que le t�moin a vu partir les objets.
Le relev� M�t�ociel � Troyes indique un l�ger vent de Sud-Est mesur� au sol a priori incompatible avec un d�placement vers le Sud-Sud-Est des objets, en supposant qu'ils aient �t� port�s par le vent.
L'observation de boules jaunes traversant le ciel en une minute, une nuit de week-end de f�tes, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e ; la description qu'en fait le t�moin correspond tout � fait � ces objets tr�s fr�quemment lanc�s en toutes sortes d'occasion, mais le comportement de ces objets et leur sens de d�placement correspond mal au vent relev� � Troyes.
Une expertise m�t�o aupr�s de M�t�o-France a indiqu� que le vent en altitude �tait de secteur Sud-Ouest, c'est � dire perpendiculaire au vent au sol : ceci pourrait expliquer les mouvements turbulents, mais pas le d�placement vers le Sud-Sud-Est.
Cette hypoth�se de lanternes tha�landaises lanc�es pour les f�tes ne peut �tre confirm�e.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque de recoupements : photo, vid�os, ou autres t�moignages.";"Observation du d�placement silencieux d'une dizaine de boules lumineuses dans le ciel : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.60;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;C;D1-;2015-01-09069
3714;"SIX-FOURS-LES-PLAGES (83) 05.01.2015";Var;83;"(D) D�partement";2015;01;05;"Le 5 janvier 2015 � 19h41 un t�moin observe le passage d'un ph�nom�ne unique, de couleur blanc, bleu, vert, tr�s lumineux avec train�e.
Comme le pressent le t�moin, cette observation d'un point lumineux blanc-bleu-vert, suivi d'une tra�n�e, parcourant rapidement une partie du ciel en quelques secondes a toutes les caract�ristiques d'un bolide, c'est-�-dire le ph�nom�ne produit dans la haute atmosph�re par la chute d'une m�t�orite.
Le r�seau REFORME confirme cette hypoth�se (voir document ci-joint).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de.";"Observation du passage rapide d'un point lumineux blanc-bleu-vert, suivi d'une tra�n�e : observation d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de.";O;;;;;;;;;2015-02-23;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2015-01-09073
3715;"SAINT-BRANDAN (22) 04.01.2015";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2015;01;04;"Le 4 janvier 2015 � 19h20 un t�moin et sa femme observent pendant 5 minutes, depuis leur voiture, trois points lumineux fixes. Les trois points s'�teignent successivement.
L'observation de boules oranges-jaunes dans le ciel durant quelques minutes, s'�teignant l'une apr�s l'autre, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'occasion des f�tes de d�but d'ann�e.
Les boules semblent immobiles ce qui est compatible avec le vent de Sud tr�s faible (2 � 4 km/h) relev� par la m�t�o � Saint-Brieuc (22).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�.
Le GEIPAN n'a pas re�u � ce jour d'autres t�moignages en rapport avec cette observation.";"Observations de trois points lumineux orange-jaune fixes qui s'�teignent successivement : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2015-01-09074
3718;"SAINT-ZACHARIE (83) 12.01.2015";Var;83;"(D) D�partement";2015;01;12;"Le Lundi 12 janvier 2015 � 7h du matin, un t�moin est intrigu� par une lumi�re diffuse qu'il voit � travers une porte vitr�e de son domicile. Sortant sur sa terrasse il se retrouve � quelques m�tres d'un PAN venant sans bruit dans sa direction. Une lumi�re blanche non aveuglante est dispos�e � l'avant de ce dernier. Le PAN circule � allure lente entre les mobil-homes rapproch�s. Le t�moin contourne son logement et se retrouve face au flanc droit du PAN sur lequel un ""logo"" jaune et rouge est visible. Le t�moin ""perd la notion du temps"" alors que le PAN continue sa trajectoire vers le NNE, s'incline puis prend de la vitesse et de l'altitude avant de disparaitre au-dessus des arbres. Le t�moin constate alors la forme ovale du PAN. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'observation est �trange car il s'agit d'un ph�nom�ne ayant une apparence assez peu banale � une heure tr�s matinale de la nuit et dans un lieu tr�s isol� (voir le compte rendu d'enqu�te).
Ses caract�ristiques en termes de vitesse, de taille, de forme, ne pr�sentent pas d'aspects � hors du commun �, il pourrait de ce point de vue-l� s'agir d'un ballon gonflable publicitaire. Mais la trajectoire, pour le moins chanceuse car fr�lant des obstacles est �tonnante. Il aurait fallu qu'il �chappe � son propri�taire, et surtout que ferait-il l� loin de tout enjeu publicitaire ? Il n'est pas possible de valider une telle hypoth�se.
La consistance du t�moignage est bonne, bien que ne relevant que d'un seul t�moin. Cette unicit� du t�moignage et l'absence de photos placent le niveau de consistance au juste minimum pour valider le caract�re �trange et inexpliqu� de l'observation.
Le cas a �t� soumis au coll�ge d'experts du GEIPAN.
Le GEIPAN classe ce cas en D1: ph�nom�ne inexpliqu� d'�tranget� moyenne.";"Observation � courte distance du d�placement silencieux d'une masse ovale gris anthracite avec des lumi�res : cas class� D1 : ph�nom�ne inexpliqu� d'�tranget� moyenne.";O;;;;;;;;;2017-07-28;;;0.70;0.00;;;0.85;;0.85;;0.75;0.00;D1;D1;2015-01-09080
3719;"ROCHE-DES-ARNAUDS (LA) (05) 26.01.2015";Hautes-Alpes;05;"(D) D�partement";2015;01;26;"Le 26 janvier 2015 � 18h55, un t�moin observe dans le ciel une boule orange, beaucoup plus lumineuse que V�nus, et deux fois plus grosse. Lorsque le t�moin, intrigu�, veut prendre une photo 10 minutes plutard, le ph�nom�ne a disparu.
Le t�moin observe sous la Lune un astre qu'il prend pour V�nus (voir son sch�ma tr�s clair page 9 de son questionnaire), et dans l'alignement, un autre gros point bien plus brillant et rouge, qui lui semble �trange.
La carte du ciel nous montre que l'astre situ� un peu sous la Lune n'est pas V�nus mais Mars (de magnitude 1,36, c'est � dire un peu plus lumineuse que les �toiles de la grande Ourse). Plus bas, dans le m�me axe, on trouve V�nus, de magnitude 3,34 ce jour l�, c'est � dire environ 4 fois plus brillante ; comme V�nus est � son coucher, elle para�t plus rouge, comme tous les astres dans cette position : 15 minutes apr�s, V�nus, couch�e, sera devenue invisible.
Le GEIPAN classe ce cas fort bien document� en cat�gorie A : observation certaine de la plan�te V�nus � son coucher.";"Observation d'une boule orange dans le ciel puis disparition : observation certaine de la plan�te V�nus � son coucher.";O;;;;;;;;;2015-06-15;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2015-01-09081
3720;"ROMANS-SUR-ISERE (26) 01.01.2015";Dr�me;26;"(D) D�partement";2015;01;01;"Le 1er janvier 2015 � 4h25 des t�moins observent la pr�sence dans le ciel d'une vingtaine de boules lumineuses de couleur se d�pla�ant silencieusement dans le ciel. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de f�te, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e, comme c'est fr�quemment le cas la nuit du nouvel an.
Le d�placement est observ� du Nord vers le Sud, ce qui est compatible avec le vent de Nord relev� par M�t�ociel� Orange.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation tr�s probable de lanternes tha�landaises. Les vid�os faites par le t�moin ne laissent pas de doute sur cette hypoth�se.
La premi�re observation relat�e peut correspondre aussi � un objet festif port� par le vent, mais d'un mod�le moins r�pandu que les lanternes tha� classiques.";"Observation du d�placement silencieux dans le ciel d'une vingtaine de boules lumineuses : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2015-01-09082
3721;"GUJAN-MESTRAS (33) 14.01.2015";Gironde;33;"(D) D�partement";2015;01;14;"Le 14 janvier 2015, un t�moin observe � 18h25 un ph�nom�ne lumineux dans le ciel, form� de plusieurs lumi�res blanches, sans train�e ni halo. Aucun bruit n'accompagne le ph�nom�ne. Un seul t�moignage est recueilli.
Cette observation de plusieurs minutes de deux points lumineux bas sur l'horizon �voque des astres, proches de leur coucher : la carte du ciel montre que dans la direction Ouest-Sud-Ouest, c'est-�-dire la direction de la dune du Pilat, au sud d'Arcachon les plan�tes V�nus et Mercure, rarement si proches et si lumineuses, �taient bien visibles � 8� au-dessus de l'horizon (voir la carte du ciel sous Stellarium). La photo montre une prise de vue � environ 45� vers le sud par rapport � l'axe de l'all�e du pla�ot, laquelle est orient�e � l'Ouest.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation de V�nus et Mercure � leur coucher.
Comme la direction d'observation indiqu�e par le t�moin n'est pas tr�s pr�cise, cette hypoth�se n'est pas consolid�e.";"Longue observation de lumi�res blanches dans le ciel : observation de V�nus et Mercure � leur coucher.";O;;;;;;;;;2015-02-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2015-01-09085
3722;"LOUDEAC (22) 31.01.2015";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2015;01;31;"Le 31 janvier 2015 vers 17h45, deux enfants dans deux pi�ces diff�rentes de leur maison, observent par la fen�tre, un m�me ph�nom�ne inconnu : un objet gris, ovale avec des lumi�res de couleurs se d�place � basse altitude et � proximit� de la maison. Chacun rapporte son observation � quelques secondes d'intervalle � leur m�re. Un questionnaire est rempli pour les deux t�moins par leur p�re. Puis chaque enfant restitue s�par�ment son observation par un dessin. Aucun autre t�moignage n'est recueilli. Une enqu�te est men�e sur place (voir le document notes d'enqu�te).
En l'�tat actuel, l'observation semble correspondre � un drone observ� par la tranche (forme ovale et plate), �quip� de diodes multicolores, avec une erreur d'appr�ciation probable des t�moins concernant la distance et la taille de l'objet.
Les t�moignages sont tr�s courts mais jug�s fiables, et relativement ind�pendants car, bien que fr�re et sur, les t�moins �taient dans des pi�ces s�par�es lors de l'observation. L'observation est assez peu �trange.
Suite au t�moignage du pilote de drone (nomm� H1) rencontr� lors de l'enqu�te de voisinage du 25/04/2015, il est propos� de classer le cas PAN B comme tr�s probable observation de drone �clair� par des leds avec mauvaise estimation par les t�moins de la distance et des dimensions de l'objet.
Si le propri�taire avait pu confirmer le vol de son drone � la date du 31 janvier 2015, ce cas aurait �t� class� en A.";"Observations du passage � proximit� d'une maison d'un ph�nom�ne ovale, gris avec des lumi�res mulitcolores : probable observation du passage d'une drone �clair� par des leds.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.40;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;B;B;2015-01-09086
3723;"[AERO EZY] ETREPAGNY (27) 04.01.2015";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2015;01;04;"Le 4 janvier 2015 � 19h45 un t�moin, passager d'un vol r�gulier, observe un ph�nom�ne lumineux se d�pla�ant au sol � la m�me vitesse que l'avion. D'autres passagers, sollicit�s, observent le ph�nom�ne. Au moment de l'observation l'avion se situe peu avant la p�riph�rie de Paris.
Le t�moin a pr�cis� au t�l�phone que le ph�nom�ne se situait vers la gauche de l'avion, selon un angle estim� entre 50� et 70� par rapport � la verticale de l'avion. Par rapport � l'avion, le ph�nom�ne �tait situ� en avant ou en arri�re, obligeant quelquefois le t�moin � tourner la t�te vers l'arri�re.
On remarque que la Lune, pleine � 99,6% est situ�e plein Est � 90,8� � une �l�vation de 23,26�: elle est dans le champ de vision du t�moin. Il n'en fait cependant pas mention, probablement parce que son regard est focalis� vers le sol.
Comme le ph�nom�ne semble suivre l'avion, l'hypoth�se d'un ph�nom�ne optique avec un astre est imm�diatement privil�gi�e.
Le reflet (appel� sp�culaire) de la Lune sur les lacs et zones inond�es est tr�s probablement l'origine du ph�nom�ne, faisant ressortir les zones humides ou inond�es sur le noir du sol. Les filaments que d�crit le t�moin sont probablement des chemins inond�s ou de petits canaux. Les relev�s m�t�o indiquent des pluies dans la moiti� Nord de la France les 2 et 3 f�vrier.
On note que l'angle de 50� � 70� indiqu� par le t�moin est compatible pour cette hypoth�se : ce devrait �tre id�alement le compl�mentaire de 23�, c'est-�-dire 67�.
La variablit� avant/arri�re du ph�nom�ne vient du changement de cap de l'avion : le ph�nom�ne appara�t toujours plein Est ; si l'avion vole cap plein Sud, le t�moin le voit exactement sur la gauche de l'avion, si l'avion vole cap Sud-Est, le ph�nom�ne appara�t alors � l'avant gauche de l'avion.
Le GEIPAN n'a pas les informations n�cessaires pour corr�ler exactement la route de l'avion avec la position apparente du ph�nom�ne.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation tr�s probable de reflets de la Lune sur les plans d'eau et zones inond�es.";"Observation depuis un avion d'un ph�nom�ne lumineux au sol se d�pla�ant � la m�me vitesse que l'avion: observation tr�s probable de reflets de la Lune sur les plans d'eau et zones inond�es.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2015-01-09088
3724;"CARBON-BLANC (33) 30.01.2015";Gironde;33;"(D) D�partement";2015;01;30;"Le 30 janvier 2015 vers 19h un automobiliste circulant sur le p�riph�rique de Bordeaux au niveau de la commune de Carbon-Blanc (33) est soudain apeur� car une tr�s intense lumi�re bleut�e qui ""recouvre tout l'environnement dans son champ de vision"" (voir le dessin du t�moin). Aucun bruit particulier n'est entendu. Pensant � la lumi�re �mise par un gyrophare, le conducteur cherche � voir dans son r�troviseur un v�hicule particulier mais il ne voit rien de tel. Aucune information n'est donn�e � la radio. L'automobiliste continuera sa route h�b�t�. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
L'�clairement violent et subit du ciel durant 2 secondes peut avoir deux causes possibles : un �clair particuli�rement violent ou un bolide (chute de m�t�orite). Les relev�s des impacts de foudre indiquent ce jour-l� des impacts proches de la zone d'observation, mais seulement de 13 � 14h (voir les relev�s M�t�ociel 1 et M�t�ociel 2).
Sur Bordeaux-M�rignac un temps couvert et un l�ger vent d'ouest de 4 � 15 km/h, pas exactement compatible avec le r�cit du t�moin (pluie et beaucoup de vent) est indiqu� par le relev� M�t�ociel.
Le r�cit du t�moin porterait plus � la premi�re hypoth�se, mais elle n'est pas confirm�e par les relev�s m�t�o ; elle reste toutefois possible.
Aucun bolide n'a �t� enregistr� par des cam�ras automatiques ce jour-l�, mais la couverture nuageuse �tait quasi-totale sur la France � ce moment-l�.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information permettant de valider l'une ou l'autre hypoth�se.";"Observation durant 2 secondes par un automobiliste d'une intense lumi�re bleut�e recouvrant tout son envrionnement : manque d'informations et de recoupements.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2015-01-09093
3725;"COMMUNAY (69) 10.01.2015";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2015;01;10;"Le 10 janvier 2015 � 18h08 un automobiliste est intrigu� par deux points tr�s lumineux assez bas dans le ciel. Il prend une photo. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Ce t�moignage de deux points lumineux s�par�s par une masse sombre fait penser � un avion � moyenne ou basse altitude : le relev� Flight Radar (� 17:01 TU) nous indique que le vol Nantes-Lyon survolait Communay � moins de 2500 m d'altitude (voir copie d'�cran). Les changements de direction constat�s par le t�moin peuvent aussi venir de l'oservation d'un autre avion du fait du trafic assez important � cet endroit l�, m�me � moyenne et basse altitude. On note par exemple une heure plus tard 3 avions HOP se succ�dant � quelques minutes sur une trajectoire NO vers SE � moins de 2500m au m�me endroit.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable d'avions � basse altitude.";"Observation de deux points lumineux � basse altitude : observation probable d'avions � basse altitude.";O;;;;;;;;;2015-04-23;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2015-01-09102
3727;"MARSOLAN (32) 01.01.2015";Gers;32;"(D) D�partement";2015;01;01;"Le 1er janvier 2015 vers 1h du matin plusieurs personnes d'une m�me famille sont intrigu�es par les �volutions dans le ciel d�gag� de 5 sph�res lumineuses de couleur rouge vif pour l'une d'entre elle et orange vif pour les autres. Aucun bruit n'est entendu durant leur d�placement. Les objets changent de position, montent et descendent avant de dispara�tre les unes apr�s les autres en direction de l'Est. Un seul t�moignage sera recueilli.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de grande f�te, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Sud-Ouest vers l'Est, ce qui ne correspond pas bien avec le l�ger vent de Sud relev� � Auch, � 30 km (voir le relev� M�t�ociel du jour de l'observation � Auch.
On note aussi un comportement assez atypique du ph�nom�ne dont l'altitude est tr�s variable, peut -�tre en rapport avec le grand froid de cette nuit (-4�C).
Du fait de l'incertitude sur le vent local, et l'absence de photo ou d'autres t�moins, le GEIPAN classe ce cas C, par manque d'informations m�t�o et de recoupements.
";"Observation des �volutions silencieuses de 5 sph�res lumineuses de couleur rouge et orange vif dans le ciel nocturne : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-02-24;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;C;B;2015-01-09183
3729;"GUERTING (57) 11.02.2015";Moselle;57;"(D) D�partement";2015;02;11;"Un t�moin et son fils observent le 11 f�vrier 2015 vers 18h40 un point lumineux dans le ciel se d�pla�ant � une vitesse sup�rieure � celle d'un avion de ligne. Le point passe ensuite au-dessus du toit de l'immeuble et finit par dispara�tre en s'estompant.
Ce rapport d'observation est typique d'une observation de ""gros"" satellite. Le relev� ""Calsky"" nous indique bien le passage de la station spatiale internationale (ISS) exactement � cette heure, selon le sch�ma produit par le t�moin (on note toutefois une erreur sur l'azimut de d�but de l'observation, d�e � une m�prise dans le formulaire).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de la station spatiale internationale (ISS).";"Observation du passage d'un point lumineux blanc dans le ciel : observation du passage de la station spatiale internationale (ISS).";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2015-02-09098
3730;"TOULOUSE (31) 01.02.2015";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2015;02;01;"Le 1er f�vrier 2015 � 1h30 deux t�moins observent tr�s longuement en direction du Sud une lumi�re bleue fixe au-dessus des nuages. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation d'une lumi�re fixe durant plus d'une heure �voque un ph�nom�ne astronomique. La lune est particuli�rement visible ce soir l�, presque pleine. La couleur bleue indiqu�e par le t�moin �voque le clair de lune. La m�t�o est instable avec de nombreux passages nuageux, pouvant cr�er des trous ou zones denses de fa�on al�atoire.
L'hypoth�se que ce soit la lune qui ait produit ce ph�nom�ne lumineux est assez probable, mais il est bien difficile de confirmer cette hypoth�se sans photo ou autre t�moignage.
Malgr� la possibilit� de cette hypoth�se, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.";"Longue observation d'une lumi�re bleue fixe au-dessus des nuages : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2015-02-09099
3731;"[A.BOLIDE] (NAT) FRANCE (FR) 10.02.2015";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2015;02;10;"Le 10 f�vrier 2015 de nombreux t�moins situ�s dans tout le Sud de la France, depuis les Pyr�n�es Atlantique jusqu'� l'H�rault, ont observ� une boule lumineuse tr�s brillante traverser une partie du ciel. Ce ph�nom�ne a aussi �t� observ� en Espagne, du Pays basque � la Catalogne.
La cam�ra automatique du CNES � Toulouse a bien enregistr� ce ph�nom�ne � 19h22.
Le GEIPAN a re�u 3 t�moignages formels (voir tableau r�capitulatif), La D�p�che du Midi et le site Ciel des Hommes ont re�u plus de 80 t�moignages.
Une reconstitution de la trajectoire en 3 dimensions est en cours gr�ce aux autres cam�ras (Pic du midi, Espagne) ayant enregistr� le ph�nom�ne.
Ce ph�nom�ne lumineux, appel� bolide, est produit par la rentr�e dans l'atmosph�re d'un � gros � m�t�oro�de (""caillou"" de plus de 100g, c'est-�-dire de quelques centim�tres � 1m). Ce ph�nom�ne se produit entre 100 � 40 km d'altitude par l'�chauffement et l'ionisation des hautes couches de l'atmosph�re. La couleur peut varier (vert, blanc, jaune) selon l'angle d'incidence du m�t�oro�de ; des d�bris peuvent arriver au sol, nomm�s alors m�t�orites.
La haute altitude du ph�nom�ne explique qu'il ait pu �tre observ� dans un rayon de plus de 200 km. Sa forte luminosit� fait souvent croire, � tort, � un ph�nom�ne tr�s proche. Il provoque souvent de fortes illusions de proximit� alors que le ph�nom�ne se produit en r�alit� � haute altitude (d�but vers 100km et fin vers 20km).
On peut noter une variabilit� assez importante de l'instant d'observation du ph�nom�ne (de 19h15 � 19h40) assez commune dans ce genre de ph�nom�ne observ� par de nombreux t�moins.
La trajectoire du ph�nom�ne et sa vitesse sont caract�ristiques de la rentr�e d'un m�t�oro�de naturel. Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de bolide, provoqu� par la rentr�e dans l'atmosph�re d'un petit corps d'origine astronomique.";"BOLIDE] (NAT) FRANCE (FR) 10.02.2015. Nombreuses observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : observation de bolide, provoqu� par la rentr�e dans l'atmosph�re d'un petit corps d'origine astronomique.";O;;;;;;;;;2015-02-23;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2015-02-09100
3732;"BOUILLADISSE (LA) (13) 10.02.2015";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2015;02;10;"Le 10 f�vrier 2015 � 18h une automobiliste constate dans le ciel un chemtrail blanc hachur� ayant une trajectoire en spirale descendante et un autre objet sur la droite de la train�e.
Le GEIPAN a demand� au contr�le a�rien militaire une information sur le trafic a�rien � ce moment l� dans cette zone. Il appara�t qu'un avion militaire volait pr�cis�ment dans cette zone entre 18h00 et 18h05.
Toutefois, il n'a pas �t� possible de v�rifier si les tra�n�es de condensation en spirales d�crites par le t�moin correspondent exactement � la trajectoire de l'avion militaire.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de tra�n�es de condensation d'un avion militaire en manuvre.";"Observation dans le ciel d'une train�e hachur�e et ayant une trajectoire descendante en spirale : observation probable de tra�n�es de condensation d'un avion militaire en manuvre.";O;;;;;;;;;2015-06-15;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.70;;0.42;0.00;B;B;2015-02-09101
3733;"TUFFE (72) 17.02.2015";Sarthe;72;"(D) D�partement";2015;02;17;"Le 17 f�vrier vers 20h un t�moin dans son jardin observe le passage E-O d'un ph�nom�ne en forme de tube tr�s lumineux blanc avec une marque rouge � l'avant. Il s'�teint brusquement dans le ciel d�gag�. L'observation dure entre 5 � 6 secondes. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
L'aspect visuel lumineux et �tir�, ainsi que la trajectoire lin�aire et rapide dans le ciel sont caract�ristiques d'un bolide. La station BOAM de May-sur-Orne a enregistr� un bolide au m�me moment selon une trajectoire vue (de la station) situ�e dans un quadrant azimut (150� � 160�) o� se trouve justement le lieu d'observation, et un sens conf�rant bien une perception EST vers OUEST. Le passage � haute �l�vation (45 � 60�) observ� de part et d'autre est compatible avec un bolide d'altitude 50 � 100 km croisant d'Est vers l'Ouest, l'axe reliant les deux points s�par�s de 130 km. Le t�moin se trouvait � la limite Est de la visibilit� de la station et a donc pu commencer � voir le bolide avant et avec excursion plus grande dans le ciel (3/4 de ciel selon le t�moin). Le t�moin a tr�s probablement vu une rentr�e de m�teoride.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation de bolide.";"Observation du passage E-O d'un ph�nom�ne tr�s lumineux blanc avec une marque rouge � l'avant ; extinction brusque dans le ciel d�gag� : observation d'une rentr�e de m�t�oride.";O;;;;;;;;;2016-12-08;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;A;A;2015-02-09103
3734;"AUBERVILLIERS (93) 08.02.2015";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";2015;02;08;"Le 8 f�vrier 2015 entre minuit et minuit vingt, un t�moin aper�oit durant 10 secondes � peine par sa fen�tre une lueur rouge, va�illante, se d�pla�ant silencieusement horizontalement, de droite � gauche. L'objet change soudain de direction puis dispara�t tr�s vite.
L'observation de lumi�re rouge � moins de 30m traversant � altitude constante le champ de vue du t�moin en moins d'une minute, une nuit de week-end, fait nettement penser � une lanterne tha�, port�e par le vent, probablement l�ch�e � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est d�crit par le t�moin ""du Sud-Ouest vers le Sud-Est"". En fait, apr�s v�rification aupr�s du t�moin, le t�moin regardait vers le Ouest-Sud-ouest (voir photo) : le d�placement de sa droite vers sa gauche est plut�t N-NO vers S-SE, ce qui est compatible avec le vent de Nord relev� � Roissy.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanterne tha�, ou �ventuellement de ballon lumineux.
Relev� m�t�o du jour de l'observation : Meteociel � Roissy.";"Observation du d�placement silencieux d'une lueur rouge vacillante : probable observation de lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2015-02-09105
3735;"KERLOUAN (29) 22.02.2015";Finist�re;29;"(D) D�partement";2015;02;22;"Le 22 f�vrier 2015 � 3h03 du matin un t�moin remarque par une fen�tre le d�placement d'une lueur orang�e dans le ciel d�gag�. Le t�moin finit par compter 27 lueurs identiques venant du NNE et qui disparaissent vers l'Est ""d'une mani�re fulgurante"". Aucun bruit n'est entendu durant l'observation de 34 minutes. Aucune photographie n'est prise. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Une hypoth�se a �t� retenue (voir les notes d'enqu�te) : observation du d�placement de lanternes thailandaises. L'aspect coh�rent (couleur, luminosit�, dur�e), le nombre, le jour et l'heure, la trajectoire identique pour tous les objets sont autant d'�l�ments favorables � cette hypoth�se. Les auteurs du l�cher n'ont toutefois pas �t� identifi�s. La phase de disparition des ph�nom�nes � � vitesse fulgurante vers l'Est � correspond � la phase d'extinction. Comme souvent pour ce type de cas, le t�moin aura interpr�t� la baisse rapide de luminosit� de la lanterne comme un �loignement tr�s rapide.
Du fait des �l�ments analys�s au cours de l'enqu�te, le GEIPAN classe ce cas en � B � : observation probable de lanternes tha�landaises, l�ch�es � l'issue d'une f�te priv�e.";"Observation du d�placement silencieux dans le ciel nocturne et d�gag� de 27 lueurs de couleur orang� : probable lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.85;;0.77;0.00;B;B;2015-02-09110
3736;"GAP (05) 25.02.2015";Var;83;"(D) D�partement";2015;02;25;"Le 25 f�vrier 2015 � 18h10 un t�moin roule � bord de son v�hicule lorsqu'il aper�oit tr�s haut dans le ciel ph�nom�ne de couleur en direction du NO. Un avion passe � proximit�. Le ciel est tr�s d�gag�.
Un ovale jaune ou rouge, tr�s lumineux, observ� durant 5minutes � contre jour au moment du coucher du soleil, �voque une petite masse nuageuse r�tro-�clair�e par le soleil couchant. Ce pourrait �tre de la vapeur d'eau d'une tra�n�e d'avion, ou un nuage. Les tra�n�es d'avion sont d�crites sous forme de fuseau ou de V. Dans ce cas ci, la pr�sence d'un nuage est plus probable. Sa disparition en une ou 2 minutes n'est pas tr�s surprenante.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'un petit nuage au soleil couchant.";"Observation d'une masse ovale rouge orang� dans le ciel d�gag� : observation probable d'un nuage au soleil couchant.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2015-02-09111
3737;"LILLE (59) 21.02.2015";Nord;59;"(D) D�partement";2015;02;21;"Le samedi 21 f�vrier 2015 � 23h30 un automobiliste et sa passag�re sont intrigu�s par plusieurs ph�nom�nes lumineux orange qui se d�placent silencieusement dans le ciel lillois. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. On note que c'est le premier samedi apr�s le nouvel an chinois (19 f�v), une grande occasion de l�cher de lanternes volantes.
Du fait que le t�moin se d�place en voiture, et observe les objets, multiples, par intermittence, la trajectoire pr�cise des objets n'a pu �tre reconstitu�e et confront�e au sens du vent (l�ger vent d'Est) ; voir le relev� M�t�ociel.
Le GEIPAN n'a pas re�u d'autres signalements de ph�nom�ne de ce type � Lille pour ce soir l�.
Du fait de cette v�rification impossible, et malgr� la forte ressemblance avec des lanternes tha�, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.
Le t�moin r�fute cette hypoth�se de lanternes tha� qui lui a �t� pr�sent�e.";"Observation du passage silencieux dans le ciel nocturne de ph�nom�nes lumineux orang�s : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2015-02-09113
3739;"[A7] de PUGET-SUR-ARGENS (83) vers CANNES (06) 19.02.2015";Var;83;"(D) D�partement";2015;02;19;"Le jeudi 19 f�vrier 2015 aux alentours de 14h30-15h, un automobiliste observe, en roulant, un objet ressemblant � un avion de ligne, mais plus grand, et semblant voler beaucoup plus bas. L'objet est uniform�ment blanc et semble immobile. Il disparait subitement.
Cette observation courte d'une forme blanche lumineuse en X peut avoir plusieurs origines :
-un avion comme le pense le t�moin, mais dans une position fort improbable, et la disparition de l'objet reste difficile � expliquer. Il y a bien un couloir a�rien dans la direction indiqu�e par le t�moin, mais les avions volent a priori � une altitude telle que le t�moin ne l'aurait pas vu aussi gros. Le GEIPAN a trait� cette observation trop tard pour pouvoir v�rifier la pr�sence d'un avion dans le champ de vue du t�moin.
-un petit nuage temporaire, rendu tr�s lumineux par le soleil.
-un reflet d'un objet blanc ou r�fl�chissant pos� dans l'habitacle de la voiture, �clair� temporairement par le soleil selon l'orientation de la voiture. Cette derni�re hypoth�se expliquerait bien l'immobilit� puis la disparition du ph�nom�ne.
Dans l'impossibilit� de valider l'une quelconque de ces hypoth�ses, et faute de recoupements ou d'investigations envisageables, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information.
Ce cas est peu �trange car c'est un ph�nom�ne lointain, dont le comportement se rapproche de ph�nom�nes connus, il est peu consistant car bas� sur un seul t�moignage humain, bref, et sans photographie.";"Observation dans le ciel d'un objet fixe blanc de la forme d'un X : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-11-23;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.50;;0.35;0.00;C;B;2015-02-09125
3740;"HAUT-RHIN (68) 22.02.2015";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2015;02;22;"Le 22 f�vrier 2015 entre 18h45 et 18h55 plusieurs personnes � Habsheim (68) et � Eschentzwiller (68) observent dans le ciel le d�placement de points lumineux dans le ciel.
Le r�cit des t�moins et les photos fournies �voquent nettement les lanternes tha�, qui a �t� la seule hypoth�se envisag�e : le contexte est plut�t favorable � des lanternes sur les points qui suivent :
- il y avait le carnaval de Mulhouse les 20-21et 22/02
- il y avait le Carnaval de B�le qui d�butait le 23/02 � 4h du matin par la Morgenstreich (cavalcade � la lumi�re des lanternes (non volantes !))
- dans toute l'Alsace, l'Allemagne et la Suisse voisines, c'est une p�riode du Carnaval (c�l�brations dans la plupart des villages, �tal�es sur plus d'un mois).
- c'�tait encore la p�riode du nouvel an chinois (19/02).
- c'�tait un dimanche, ce qui laisse aussi la possibilit� d'une autre c�l�bration associative ou priv�e.
La situation des t�moins (fichier joint avec divers visuels) laisse � penser que le ph�nom�ne �tait assez proche et donc � relativement faible altitude. Le d�placement est lent et le vent tr�s faible. La disparition progressive et al�atoire des lumi�res correspond plut�t bien � des lanternes (ou variantes). Le vol en formation non g�om�trique aussi.
La couleur blanche pour l'un des t�moins et plus encore l'orange pour l'autre sont �galement compatibles, tout comme l'absence de bruit (l'un est descendu de la voiture, l'autre a ouvert la fen�tre).
Les deux photos sont typiques des observations de lanternes (avec ""boug�"" d� � la faible luminosit�, donc la faible vitesse d'obturation).
Aspects d�favorables � l'hypoth�se :
Le vent �tait tr�s faible et de secteur SE ce qui n'est donc pas directement compatible avec la d�claration du t�moin de Habsheim (68) qui les voit dit-il passer de droite vers la gauche (soit en direction de l'Allemagne toute proche).
Le second t�moin les d�crit plut�t immobiles ce qui n'est pas incompatible en soi mais pas franchement concordant avec le vent pr�sum�, lequel, rappelons-le, est tr�s faible (3 � 5 km/h) donc instable et soumis � des variations locales.
On ne peut donc pas affirmer que les objets volaient bien selon le vent, mais leur d�placement tr�s lent n'est pas contradictoire avec cette hypoth�se.
- aucune mention retrouv�e (pour l'instant) dans la presse ou sur le web.
- seulement deux t�moignages sur un potentiel nettement plus �lev� (villes proches + villages + autoroute).
Au vu des caract�ristiques descriptives et comportementales ainsi que du contexte tr�s festif de la r�gion ce jour l�, le GEIPAN classe ce cas en en B : observation tr�s probable de lanternes tha�landaises.";"Observation depuis deux lieux diff�rents dans le Haut-Rhin (68) du d�placement de plusieurs points lumineux dans le ciel : observation tr�s probable de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2015-06-15;;;0.34;0.06;;;0.90;;0.90;;0.73;0.18;B;B;2015-02-09131
3741;"SAINT-YRIEIX-LA-PERCHE (87) 10.02.2015";Haute-Vienne;87;"(D) D�partement";2015;02;10;"Le mardi 10 f�vrier 2015 � 21h05 un t�moin observe, durant 5 � 7 minutes, cinq boules orange semblant venir vers lui silencieusement, un halo plus clair semblant entourer les boules. Celles-ci disparaissent les unes derri�re les autres.
L'observation de boules orange dans le ciel en quelques minutes fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. Le l�ger d�placement est observ� en provenance du Nord-Est, avec un semblant de rapprochement, ce qui est compatible avec le vent de NE de 15 � 20 km/h relev� � Limoges.(voir le relev� Meteociel du jour de l'observation.
Il faut toutefois noter que les l�chers de lanternes ont plut�t lieu le week-end ; notons aussi que ce jour-l� est en p�riode de vacances scolaires et propice aux f�tes de carnaval.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation de la pr�sence silencieuse de 5 boules orange dans le ciel. Disparition rapide sur trajectoire montante : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-06-15;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.60;;0.48;0.00;B;B;2015-02-09133
3742;"VARES (47) 09.02.2015";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";2015;02;09;"Le 9 f�vrier 2015 entre 20h et 23h un t�moin observe une �toile ""bizarre"" qu'il d�crit immobile, rouge verte et bleue.
L'observation longue (une heure) d'un objet fixe dans le ciel, ayant des aspects d'une �toile, oriente vers un ph�nom�ne astronomique lointain. Le t�moin indique les direction de Clayrac (azimut ~ 165� ) ou Prayssas (azimut : 142�). On remarque sur la carte du ciel ci-jointe l'�toile Sirius, la plus brillante �toile du ciel nocturne, visible � l'azimut 143� � 21� d'�l�vation.
L'aspect d�crit par le t�moin : changements de couleur vert/rouge/bleu, oscillations verticales ou horizontales, est tout � fait conforme aux artefacts produits par le scintillement provoqu� par l'atmosph�re (voir : une �toile? et par une illusion de perception visuelle nomm�e illusion autocin�tique(Voir : la perception du mouvement d'un point lumineux dans le ciel.
) Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de l'�toile Sirius.";"Longue observation d'un point lumineux de couleur dans le ciel : observation de l'�toile Sirius.";O;;;;;;;;;2015-07-28;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.85;;0.68;0.00;A;A;2015-02-09171
3743;"LONGUEVILLE (77) 05.03.2015";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2015;03;05;"Le 5 mars 2015 � 7h13 un t�moin en gare de Longueville est intrigu� par la forme d'une train�e d'avion.
Comme l'a bien vu le t�moin, cette tra�n�e est plut�t exceptionnelle. Le GEIPAN a soumis la photographie aux experts de M�t�o-France : ""Il s'agit bien d'une tra�n�e de condensation qui, apr�s sa formation, a �t� d�form�e par la turbulence r�gnant � l'endroit o� elle a �t� cr��e. Des zones tr�s agit�es peuvent en effet exister en ciel clair (on parle de ""turbulence en air clair""). Ces zones sont redout�es par les pilotes car elles sont difficilement pr�visibles, ne sont pas visibles au radar et sont le si�ge de ph�nom�nes violents qui imposent aux �quipages de changer de niveau de vol pour sauvegarder le confort des passagers.
Un tel clich� avec des sinuosit�s aussi marqu�es est cependant une premi�re pour nous.
Ce cas rare est class� ""A"" observation d'une tra�n�e de condensation de l'Airbus A319 du vol AF7614 Marseille-Lille (voir Carte Flight Radar � 7h13 heure locale), fortement perturb�e par des turbulences atmosph�riques.
PJ : relev� Flightradar, relev� M�t�ociel au sol, � Melun.";"Observation dans le ciel d'une train�e avec une forme particuli�re en zig-zag : observation d'une train�e d'avion.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2015-03-09114
3744;"VAUX-LE-PENIL (77) 03.03.2015";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2015;03;03;"Le 3 mars 2015 � 9h30 un t�moin observe au travers d'une fen�tre de toit le passage dans le ciel d�gag� d'une sph�re translucide et d'un objet triangulaire blanc lumineux. Les deux objets disparaissent vers le Nord dans une trajectoire rectiligne. Aucun bruit particulier n'a �t� entendu. L'observation a dur� moins de 10 secondes dans un champ de vision r�duit. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne.
Ce t�moignage est tr�s bref, observ� par une fen�tre �troite, ne permettant pas d'�valuer la trajectoire du ph�nom�ne.
La sph�re translucide peut-�tre un ballon port� par le vent de Sud (voir le relev� de M�t�ociel � Melun.
Le triangle �mettant des flashs �voque un avion. Le site Flightradar indique un candidat possible (voir ci joint) en visibilit� du t�moin, mais cet avion vole haut, et n'aurait pu appara�tre comme triangle, de plus il vole vers le Sud-Est, alors que le t�moin voit partir les objets vers le Nord.
Un drone �quip� de LED clignotantes peut �tre envisag�, mais la v�rification impossible sans autre indice.
La trop grande bri�vet� de l'observation, et l'�troitesse du champ de vue ne permettent pas de donner un avis consolid� sur ce cas d'�tranget� moyenne, et de consistance faible.
le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque de recoupements.";"Br�ve observation du passage d'une sph�re et d'un objet triangulaire lumineux : manque d'informations et de recoupements.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2015-03-09119
3746;"GOUVERNES (77) 07.03.2015";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2015;03;07;"Le 7 mars 2015 � 0h05, un t�moin observe dans le ciel, alors qu'il circule en voiture, un groupe de 9 lumi�res rouges au-dessus d'une colline proche. Les lumi�res semblent se d�placer silencieusement et rapidement en formation. Le t�moin s'arr�te pour prendre des photos, puis, une fois rentr� chez lui, continue l'observation avec sa famille jusqu'� disparition du ph�nom�ne.
L'hypoth�se de lanternes tha�landaises est tout � fait conforme � l'observation : ces objets sont intrins�quement peu lumineux (�quivalent � un petit flambeau de jardin) et de ce fait souvent per�us plus lointains qu'ils ne sont vraiment, donc plus gros et plus rapides qu'ils ne sont vraiment ; le vent, bien que faible, �tait loin d'�tre nul. Il est fr�quent de ne rien ressentir au sol.
Les f�tes le vendredi soir sont bien s�r moins fr�quentes que celles du samedi, mais n�anmoins fr�quentes (souvent les f�tes � caract�re professionnel ou associatif par exemple, et c'est aussi la p�riode des carnavals).
La photo du t�moin N�1164 est tout � fait conforme � une photo de lanternes tha�.
Le vent de Sud Est : 9 � 28 km/h est conforme au d�placement observ� sur la direction de Guermentes vers Chelles. Voir le relev� m�t�o � Roissy.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.
";"Observation d'un groupe de lumi�res rouges en d�placement dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-05-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2015-03-09124
3747;"RENTREE ATMOSPHERIQUE (975) 15.03.2015";France;FR;"(N) National";2015;03;15;"Le 15 mars 2015 vers 20h45 de nombreuses personnes ont pu observer le passage dans le ciel d'un ph�nom�ne lumineux de couleur. Le GEIPAN a re�u plusieurs t�moignages dont celui d'un pilote. Ce ph�nom�ne observ� par des centaines de personnes dans le Nord Est de la France et surtout en Allemagne et Suisse, est clairement un bolide.
Un BOLIDE est un ph�nom�ne correspondant � la rentr�e dans l'atmosph�re d'un � gros � objet (de plus de 100 g, et de quelques centim�tres � 1 m de diam�tre). Cela produit une grosse tra�n�e de lumi�re capable d'illuminer le paysage pendant plusieurs secondes.
Ce bolide a aussi �t� enregistr� par plusieurs cam�ras (cf entre autres BOAM), ce qui permet d'en caract�riser parfaitement la trajectoire, et partant, l'origine naturelle : c'est un m�t�oro�de, un petit corps rocheux qui a crois� l'orbite terrestre. La taille de ce corps � l'entr�e est tr�s difficile � d�terminer, entre 100g et 10kg. Ce bolide a eu la particularit� d'�tre observable durant presque 10 secondes du fait de sa trajectoire relativement rasante.
La trajectoire du bolide allait du Nord NE au Sud SE, approximativement � la verticale de Stuttgart jusqu'� Zurich. Le GEIPAN a re�u 5 t�moignages de t�moins au sol, et deux t�moignages de pilotes en vol (voir tableau et cartes g�ographiques).
On notera que l'un des pilotes, volant vers le Nord, dit que le ph�nom�ne 'a fr�l�' l'avion, alors qu'il �tait � plus de 200 km. Cette illusion de proximit� est une constante dans tous les t�moignages de bolide, elle n'�pargne pas les pilotes ; de plus, � haute altitude, le voile atmosph�rique est inexistant, il est d'autant plus impossible d'estimer la distance d'un puissant ph�nom�ne lumineux inconnu.
Une excellente analyse de l'ensemble des observations de cet �v�nement, recens�es par l'American Meteor Association, est disponible sous :
U-Sphere.
Le GEIPAN classe ce cas 'A' : ph�nom�ne parfaitement identifi� comme bolide, provoqu� par la chute d'un m�t�oro�de naturel.";"Observation du passage d'un ph�nom�ne lumineux : observation du passage d'un bolide provoqu� par la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oroide naturel qui se fragmente.";O;;;;;;;;;2015-04-07;;;0.10;0.00;;;0.75;;0.78;;0.60;0.00;A;A;2015-03-09129
3748;"COURBEVOIE (92) 12.03.2015";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2015;03;12;"Le 12 mars 2015 � 19h45 un t�moin observe deux lumi�res, d'abord stationnaires puis la premi�re prend une direction et dispara�t derri�re les immeubles, bient�t suivi par la deuxi�me qui suit exactement la m�me trajectoire.
Le t�moin observe depuis Courbevoie, � 85� � droite de la tour Total de la D�fense (voir carte), ce qui donne une direction de Nord-Ouest. Une v�rification du trafic a�rien civil (voir relev� Flightradar) montre qu'� ce moment pr�cis, les vols AFR1159 et AF1281 en descente vers Roissy, �taient dans l'axe de vue des t�moins, puis ces vols ont ensuite l�g�rement vir� vers le Nord. La vid�o prise par le t�moin est totalement conforme � cette explication. On rappelle qu'un avion vu se pr�parant � atterrir, donc vu de face, peut �tre vu � plus de 20 km gr�ce � ses feux d'atterrissage, lesquels rendent quasi invisibles � l'oeil les feux clignotants et feux de position (vert et rouge). Lorsque l'axe de l'avion n'est plus dans la direction de l'observateur, ces puissants feux, qui ont un faisceau relativement �troit, ne sont plus visibles par l'observateur. Voir l'article avion?.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation d'avions en descente.";"Observation de deux ph�nom�nes lumineux dans le ciel et film�s par le t�moin : observation d'avions en descente.";O;;;;;;;;;2015-06-15;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;A;A;2015-03-09130
3749;"SAINGHIN-EN-MELANTOIS (59) 05.03.2015";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2015;03;05;"Le 5 mars 2015 deux t�moins circulant en voiture observent successivement dans le ciel plusieurs ph�nom�nes de formes diff�rentes qu'ils ne s'expliquent pas. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin observe en fait 3 ph�nom�nes successifs :
1- un objet allong�, masse noire et mate, constitu� de plusieurs lumi�res blanches sur des hauteurs diff�rentes. Un aileron est visible. Une v�rification du trafic a�rien civil montre un avion � basse altitude, approchant de l'a�rodrome de Lille-Lesquin, dans la direction d'observation du t�moin : vol EZY693F, dont la d�rive jaune-orang�e est d'ailleurs bien not�e par le t�moin (voir relev� Flightradar).
Ce ph�nom�ne est donc parfaitement identifi� et class� ""A"" : observation d'un avion.
2- le t�moin voit ensuite une lumi�re jaune assez haute dans le ciel, dans une direction proche de celle de la Lune. Une v�rification astronautique (voir relev� Calsky) nous indique que c'est la p�riode de l'ann�e propice aux reflets du soleil sur les satellites g�ostationnaires, exactement dans cette direction : il est toutefois difficile de certifier cette hypoth�se. Ce ph�nom�ne est probablement identifi� comme reflet sur satellite et class� ""B"".
3- sa derni�re observation concerne un objet en forme de cigare, semblable au premier, mais sans aileron. Une v�rification du trafic a�rien civil ne montre pas d'avion � basse altitude dans la direction observ�e. �tant donn� la similarit� avec le premier ph�nom�ne, qui �tait un avion, l'hypoth�se d'un avion est privil�gi�e : le fait qu'il n'apparaisse pas sur les relev�s de trafic a�rien civil fait penser que ce peut �tre un appareil militaire, par cons�quent moins illumin� qu'un appareil civil. �tant donn� la faible �tranget� du cas, le GEIPAN n'a pas fait faire de recherches sur le trafic a�rien militaire.";"Observations successives de ph�nom�ne dans le ciel : observation certaine d'un avion, puis observation probable d'un reflet sur satellite.";O;;;;;;;;;2015-06-15;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;A;B;2015-03-09132
3751;"JOUE-LES-TOURS (37) 07.03.2015";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2015;03;07;"Le 7 mars 2015 vers 1h35 du matin un automobiliste et sa passag�re sont intrigu�s par un objet lumineux en d�placement dans le ciel. Le ph�nom�ne est d'abord aper�u en roulant sur la D37 puis l'automobiliste s'arr�te sur la bande d'arr�t d'urgence et l'observation dure 3 � 4 minutes. La passag�re prend une photographie avec un appareil photo. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Le conducteur pr�cise au d�but du questionnaire qu'il a observ� le PAN sur sa gauche, lorsqu'il roulait sur une ligne droite, et que le PAN s'est mis � se d�placer (sur la droite) lorsqu'il a pris un virage (sur la gauche). Ce ph�nom�ne bien connu est une illusion perceptive cr��e par le d�placement des t�moins observant un objet immobile, �loign� et sans rep�res, particuli�rement de nuit. L'objet en fait ne se d�place pas du tout mais semble le faire en fonction des mouvements du v�hicule. Ceci se confirme lorsque les t�moins d�cident de s'arr�ter sur le bas-c�t� de la route pour mieux observer. Le PAN ""s'immobilise"" alors, puisque les t�moins ne sont plus mobiles.
Compte tenu des �l�ments recueillis dans le compte rendu d'enqu�te (document joint), � savoir :
-la forme, la couleur, la luminosit� et la taille apparente.
-l'azimut et la hauteur identique.
-l'iIlusion de d�placement av�r�e.
-l'effet de � micro-nystagmus � av�r�.
-la disparition derri�re des nuages probable.
Nous pouvons conclure que le cas concerne l'observation certaine de l'�toile Capella doubl�e d'une illusion de d�placement et d'un effet physiologique de micro-nystagmus. L'�toile dispara�t probablement masqu�e par un banc de nuages.
Ce cas est � classer en � A � comme observation de l'�toile Capella.
On pourra s'�tonner de la forte distorsion entre le r�cit des t�moins, et l'explication triviale qui est donn�e. La cl� de cette m�prise r�side dans l'estimation incorrecte de la distance du ph�nom�ne : comme il appara�t aux t�moins au-dessus du ch�teau d'eau, il est imm�diatement interpr�t� comme un objet assez pr�s du sol ; son d�placement apparent sur l'horizon est alors per�u comme un d�placement r�el. Enfin, les variations d'intensit� lumineuse, probablement d�es au voile nuageux, invisible, sont interpr�t�es comme des �loignements ou rapprochements.";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel nocturne : observation certaine de l'�toile Capella doubl�e d'une illusion de d�placement et d'un effet physiologique de micro-nystagmus.";O;;;;;;;;;2016-02-29;;;0.16;0.06;;;0.80;;0.90;;0.62;0.24;A;A;2015-03-09172
3752;"PLOUHINEC (29) 07.03.2015";Finist�re;29;"(D) D�partement";2015;03;07;"Le samedi 7 mars 2015 � 21h33 un t�moin observe tr�s rapidement de 4 lumi�res blanc p�le dans le ciel. Le ph�nom�ne se d�place lentement et silencieusement sur une trajectoire rectiligne avant de disparaitre dans un nuage. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
L'observation de boules lumineuses traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� de l'Ouest vers le Nord, ce qui est compatible avec le vent de Sud relev� � Quimper (voir le relev� M�t�ociel).
L'observation est tr�s br�ve, et les informations disponibles peu pr�cises, ce cas est peu consistant. Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation rapide du d�placement lent et silencieux de 4 lumi�res blanches et p�les dans le ciel nocturne : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-11-05;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.60;;0.48;0.00;B;A;2015-03-09197
3753;"LAPEYROUSE (63) 03.04.2015";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";2015;04;03;"Le 3 avril 2015 � 16h15 une automobiliste et ses deux passagers sont intrigu�s par le vol lent, silencieux et � basse altitude d'un a�ronef qu'ils ne reconnaissent pas.
Le GEIPAN a consult� le contr�le a�rien militaire sur cette observation ; il s'av�re qu'effectivement, ce jour l�, � 16h, un appareil militaire volait � tr�s basse altitude (� 2 100 pieds, soit 700m environ) au-dessus de Lapeyrouse, sur un cap Nord/ Nord-ouest.
Malgr� les �carts entre la d�claration des t�moins et les informations fournies par le contr�le a�rien, sur l'heure de l'�v�nement (15 minutes) et sur l'estimation d'altitude, la pr�sence exceptionnelle de cet a�ronef explique parfaitement l'observation des t�moins.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" comme observation certaine d'un avion militaire.";"Observation du vol lent et silencieux d'un a�ronef inconnu � tr�s basse altitude : observation certaine d'un avion militaire.";O;;;;;;;;;2015-06-15;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2015-04-09146
3754;"CHASSORS (16) 07.04.2015";Charente;16;"(D) D�partement";2015;04;07;"Le 7 avril 2015 � 22h30 un t�moin aper�oit plusieurs points lumineux dans le ciel, qui semblent bouger tr�s vite. Les ph�nom�nes restent visibles plus d'une heure, et le t�moin cesse l'observation. Elle a confi� sa vid�o au journal Sud-Ouest.
On note un vent de Nord-Ouest de 20 � 30 km/h relev� � Cognac : m�t�o.
Le GEIPAN s'est inform� aupr�s du contr�le a�rien militaire, qui a fourni une s�rie de traces radar d'activit�s a�riennes correspondant � des tours de ""circuit de piste"" sur la base militaire de Cognac-Chateaubernard (voir la carte repr�sentant la trajectoire des avions).
La Base a�rienne 709 (Cognac-Chateaubernard) a confirm� un trafic notable d'entrainements au vol de nuit ce soir l� (le soir m�me de l'observation, le t�moin s'�tait renseign� aupr�s de cette m�me base pour savoir s'il y avait du trafic ce soir l�, et avait eu une r�ponse n�gative : l'interlocuteur n'�tait peut �tre pas qualifi� pour r�pondre au public sur les activit�s militaires).
Le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie ""A"", comme parfaitement identifi� par une s�rie de passages d'avions militaires s'entra�nant au vol de nuit.";"Longue observation de points lumineux dans le ciel en d�placements rapides : observation d'une s�rie de passages d'avions militaires s'entra�nant au vol de nuit.";O;;;;;;;;;2015-06-15;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2015-04-09147
3755;"MONTMORILLON (86) 05.04.2015";Vienne;86;"(D) D�partement";2015;04;05;"Le 5 avril 2015 entre 21h30 et 23h un automobiliste aper�oit dans le ciel une lumi�re intense, fixe et de forme allong�e. Il s'arr�te plusieurs fois sur le chemin afin d'observer le ph�nom�ne lumineux dans le ciel d�gag�.
Cette longue observation d'un point tr�s lumineux dans le ciel, qui semble suivre l'observateur, mais qui reste toujours positionn� � l'Ouest � la m�me �l�vation, est typique de l'observation d'un astre. La plan�te V�nus est particuli�rement brillante ces jours-l�, et exactement dans la direction indiqu�e par le t�moin. Ce dernier, appel� par le GEIPAN, a v�rifi� quelques jours apr�s que V�nus �tait bien pr�sente dans cette direction du ciel.
La forme allong�e, d�crite par le t�moin dans sa premi�re observation, n'a pas �t� observ�e � nouveau lors de la v�rification sur V�nus quelques jours apr�s : pour expliquer cette forme, on peut penser � une fatigue visuelle du t�moin ou � un effet particulier de l'atmosph�re qui aurait d�form� l'image ponctuelle de la plan�te.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de la plan�te V�nus.";"Observation dans le ciel d'une lumi�re intense et fixe dans le ciel : observation de la plan�te V�nus.";O;;;;;;;;;2015-06-15;;;0.10;0.00;;;0.80;;0.70;;0.56;0.00;A;A;2015-04-09150
3756;"MEYTHET (74) 11.04.2015";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2015;04;11;"Le 11 avril 2015 � 21h41 un t�moin observe depuis la fen�tre de sa cuisine une succession de trois ph�nom�nes lumineux qui l'intriguent.
-Un gros flash blanc � 20h41, � l'Est, � une �l�vation de l'ordre de 45�. On note � cet instant plusieurs avions � haute altitude dans la direction d'observation (voir le relev� Flightradar24). Le soleil est couch� depuis une vingtaine de minutes, mais les avions qui sont � 13000m d'altitude sont encore au soleil : un reflet temporaire du soleil sur le dessous des ailes de l'avion, ou sur son fuselage peut provoquer cet effet de flash temporaire. L'avion lui-m�me, trop loin, est invisible � l'oeil nu.
-un flash orange, plus bas, mobile durant 2 secondes : la description correspond bien � un flash d'un satellite Iridium, vu � basse �l�vation (rougissement d� � l'atmosph�re) : le relev� Calsky (ci joint) indique 2 flashs Iridium, dans cette direction � une heure tr�s proche : l'un � 20h46, de magnitude -2,5, l'autre � 20h55, probablement trop bas pour �tre visible en zone montagneuse.
-un troisi�me flash tr�s court d'une demi seconde, dont l'origine peut �tre le reflet du soleil sur un des multiples satellites en visibilit� � ce moment-l�.
Cette observation est class�e ""B"" : observation tr�s probable de reflets du soleil sur un avion, et sur des satellites.";"Observations successives de trois ph�nom�nes lumineux dans le ciel : observations tr�s probables de reflets du soleil sur un avion et sur des satellites.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.20;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;B;A;2015-04-09151
3757;"CAPESTANG (34) 08.04.2015";H�rault;34;"(D) D�partement";2015;04;08;"Le 8 avril 2015 vers 19h15 un t�moin install� dans un canap� sous une fen�tre de toit observe le passage d'un objet volant blanc vif, sans logo visible. L'objet avec des ailes en V fait une courbe puis monte verticalement tr�s rapidement et prend l'aspect d'un trait blanc dans le ciel d�gag�. Il disparait ensuite de la vue du t�moin. L'observation aura dur� une minute ce qui permettra au t�moin de faire un sch�ma de l'objet observ�.
La description que fait le t�moin, la forme d�crite et le comportement, �voque un mod�le r�duit radiocommand�, de type aile volante (voir une r�alisation de ce genre, de la forme d�crite par le t�moin, sur la vid�o d'a�romodelisme aile volante radio command�e avec des performances en vol �tonnantes).
Le t�moin habite � moins de 150 m d'une zone sportive, assez propice � l'a�romod�lisme, donc � port�e d'�metteur radio, et en visibilit� ; le mercredi en fin d'apr�s-midi est une heure assez favorable.
Sans pouvoir v�rifier cette information, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de mod�le r�duit radiocommand�.";"Observation du passage et des �volutions d'un objet volant blanc avec des ailes en V dans le ciel d�gag� : observation probable de mod�le r�duit radiocommand�.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.20;0.00;;;0.60;;0.60;;0.36;0.00;B;A;2015-04-09154
3758;"ALBI (81) 13.04.2015";Tarn;81;"(D) D�partement";2015;04;13;"Le 13 avril 2015 de 22h10 � 23h30, un t�moin observe � l'oeil nu puis aux jumelles deux ph�nom�nes lumineux de couleur dans le ciel.
L'observation durant plus d'une heure d'objets lumineux dans le ciel, multicolores, se d�pla�ant lentement, selon la rotation de la Terre (15�/ heure) est typique de l'observation d'astres. Dans ce cas, les directions indiqu�es par le t�moin ne sont pas tr�s pr�cises mais semblent d�signer les �toiles Procyon et Capella, qui sont pourtant moins brillantes que Sirius, ou surtout que les plan�tes V�nus et Jupiter (voir les cartes du ciel faites avec le logiciel ""Stellarium"" pour Albi � 22h10 et 23h10).
La partie �trange de l'observation r�side dans la description de couleurs changeantes, et de forme de test (coque) d'oursin.
Le relev� Meteociel du jour nous indique de fortes temp�ratures pour la saison (27�) : voir la m�t�o.
Ces importants �carts de temp�rature induisent des turbulences dans l'atmosph�re, provoquant un fort scintillement, particuli�rement visible aux jumelles. Ce sont ces conditions atmosph�riques un peu particuli�res qui ont donn� cet aspect aux astres observ�s. Ce type de scintillement arrive aussi par fort vent, surtout s'il est chaud.
On notera aussi que le t�moin observe avec des jumelles de randonn�e (10x25) avec un fort grossissement de 10, mais une ouverture faible de 25mm, mal adapt�es � l'observation astronomique (on pr�f�re pour cela un grossissement moindre de 7 ou 8, et une plus grande ouverture de 50 mm). Ces jumelles peuvent induire des aberrations de forme et de couleur dans ces conditions particuli�res ; le fort grossissement rend tr�s difficile une vue stable, � main lev�e.
Le GEIPAN classe ce cas B : observation d'astres.
Un t�moignage plus pr�cis, positionnant les astres entre eux aurait permis d'identifier plus exactement les astres en question.";"Longue observation de deux ph�nom�nes lumineux de couleur dans le ciel : probable observation d'astres.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.70;;0.63;0.00;B;A;2015-04-09155
3759;"SAINT-JEAN-DE-MARUEJOLS-ET-AVEJAN (30) 14.04.2015";Gard;30;"(D) D�partement";2015;04;14;"Le 14 avril 2015 vers 21h50 un t�moin observe durant une minute le passage vers le SO de deux points clignotants se d�pla�ant assez vite.
Dans la direction finale d'observation (Ouest), le relev� des vols civils ""Flighradar"" montre � l'heure indiqu� par le t�moin, 3 avions situ�s � environ 80 km, dont deux tr�s proches mais � des altitudes diff�rentes qui peuvent donner l'impression d'�tre superpos�s. A cette distance, ils apparaissent au t�moin � une �l�vation d'environ 10� (20 fois le diam�tre lunaire). A cette distance, on peut voire encore nettement les tra�n�es de condensation des avions (au moment coucher du soleil), mais pas forc�ment les feux � �clats (strobe).
Mais le t�moin d�crit un d�placement du Sud vers son Ouest, � une vitesse apparente plus rapide que les avions de ligne � haute altitude (10 � 12 km). Il est plus probable qu'il ait vu deux avions militaires, � une distance de l'ordre de 4 � 8 km. La zone est une zone de manuvre fr�quente, le mardi est un jour assez favorable.
Le relev� M�t�ociel sur N�mes indique un temps tr�s clair, et un l�ger vent de Sud � Sud-ouest (voir la m�t�o).
Le silence per�u par le t�moin n'est pas incompatible d'un avion � plus de 4 km ; le bruit per�u d�pend du type d'avion, du r�gime moteur, du vent relatif et de l'ambiance sonore o� est le t�moin. La vid�o faite par le t�moin � la fin de l'observation montre clairement 2 sources de feux clignotants 1fois par seconde, typique des feux ""strobe"" (voir la vid�o de l'observation
Les feux de position vert ou rouge n'ont pas �t� vus par le t�moin : d'une part, ils ne sont pas forc�ment allum�s lors des op�rations militaires, d'autre part, au del� d'une certaine distance, ces feux peu puissants sont difficilement perceptibles � c�t� des puissants strobes.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de deux avions.";"Observation du passage rapide de deux points lumineux blancs clignotants dans le ciel : observation probable de deux avions.";O;;;;;;;;;2016-05-03;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;B;B;2015-04-09156
3761;"PLAISIR (78) 12.04.2015";Yvelines;78;"(D) D�partement";2015;04;12;"Le 12 avril 2015 entre 13h30 et 14h15 un t�moin sur une terrasse observe des avions haut dans le ciel lorsqu'il voit un objet sombre en forme de lentille aplatie se d�pla�ant tr�s rapidement � basse altitude sur une trajectoire rectiligne. L'objet disparait de la vue du t�moin cach� par le paysage. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Un relev� du trafic a�rien par radar a �t� demand� au contr�le a�rien militaire. Les traces r�sultats ont �t� superpos�es sur la carte Google Earth (avec une pr�cision de l'ordre de 500m) : on y constate effectivement un trafic a�rien assez important de petits avions volant en vol � vue (VFR), dont une trajectoire particuli�re qui semble assez bien convenir � l'observation (voir le document carte radar et enparticulier la trace rouge qui passe de l'Est vers l'Ouest de Plaisir de 12h10:48 TU (14h10 locales) � 12h12:18. Cet appareil s'�l�ve lentement de l'Est vers l'Ouest de 400m (Z12) � 500m (Z16), et vole autour de 160 km/h (89 � 75 noeuds). Le passage devant le t�moin aura dur� moins d'une minute, � comparer aux 30 secondes d'observation indiqu�es par le t�moin.
Cet appareil, probablement petit, a paru au t�moin plus lointain, et donc plus rapide qu'il ne l'�tait vraiment. Comme le t�moin regarde vers le Sud, proche de l'heure du z�nith, l'appareil en contre-jour lui para�t forc�ment noir. Du fait de la basse �l�vation angulaire, les ailes, vues sur la tranche, peuvent �tre invisibles.
Le GEIPAN classe ce cas B : observation probable d'un petit avion en vol � vue, � basse altitude, vu � contre jour.
Du fait de l'incertitude sur l'heure de l'observation, ce cas n'est pas class� en A.";"Observation du passage rapide d'un objet sombre en forme de lentille aplatie � basse altitude : observation probable d'un petit avion en vol � vue � basse altitude, vu � contre jour.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.40;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;B;2015-04-09159
3762;"MAISONS-ALFORT (94) 22.04.2015";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2015;04;22;"Le 22 avril 2015 vers 1h20/1h30 deux personnes observent tr�s rapidement le passage dans le ciel d�gag� d'un objet (de forme triangulaire ou rond) avec trois leds blanches et une lumi�re verte en son centre. Aucun bruit particulier n'est entendu. Aucune train�e ou halo ne sont vus. L'objet se d�place sur une courbe descendante. Un seul t�moignage est recueilli.
Cette observation d'un triangle form� par 3 points lumineux est atypique, mais tr�s br�ve : moins de 3 secondes.
Le GEIPAN aurait souhait� mener une enqu�te sur place pour ce cas, mais, comme le t�moin est mineur, l'autorisation des parents est n�cessaire ; le GEIPAN n'a pu l'obtenir.
Ce cas d'observation tr�s bref, qui plus est � travers une vitre, s'av�re assez pauvre en informations fiables.
Le GEIPAN a �mis les hypoth�ses d'un vol de drone, ou d'un reflet dans la vitre de la fen�tre d'une lumi�re situ�e dans la chambre, port�e par un des invit�s du t�moin. Sans enqu�te sur place, la validit� de ces hypoth�ses n'a pu �tre v�rifi�e.
Le GEIPAN classe ce cas en C faute d'information fiables et de recoupements.";"Courte observation du passage d'un objet �clair� par trois leds blanches et une lumi�re verte en son centre ; aucun bruit : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-12-13;;;0.60;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;C;C;2015-04-09162
3763;"MARNAZ (74) 21.04.2015";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2015;04;21;"Le 21 avril 2015 � 21h30 un t�moin observe dans le ciel et durant 5 minutes une lumi�re ""clignotante"" de toutes les couleurs. L'objet disparait apr�s quelques minutes, mises � profit par le t�moin pour filmer le ph�nom�ne.
Apr�s v�rification aupr�s du t�moin, il regardait au-dessus de Mont-Saxonnex (74), c'est � dire au Sud-Ouest.
Le t�moin a observ� � nouveau le ph�nom�ne 2 jours apr�s sa premi�re observation.
L'observation correspond tout � fait � l'observation de l'�toile Sirius � son coucher, avec un fort ph�nom�ne de scintillement (interaction de la lumi�re avec les particules de l'atmosph�re), fr�quent sur cette �toile la plus brillante du ciel.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de l'�toile Sirius.";"Observation d'une lumi�re de toutes les couleurs dans le ciel : observation de l'�toile Sirius.";O;;;;;;;;;2015-06-15;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;A;A;2015-04-09163
3764;"LIANCOURT (60) 18.04.2015";Oise;60;"(D) D�partement";2015;04;18;"Le samedi 18 avril 2015 � 23h45 un t�moin dans sa propri�t� observe durant deux minutes les �volutions de deux objets lumineux et de couleur blanche et rouge dans le ciel nocturne. Les deux objets semblent voler l'un derri�re l'autre. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation qui se termine � 23h53. Le t�moin rapporte par une lettre son observation � la gendarmerie. L'enqu�te �tablira qu'aucun ph�nom�ne m�t�orologique particulier n'a eu lieu ce soir- l�, aucun feu d'artifice n'a �t� organis� par des mairies dans le secteur, aucun vol militaire d'entrainement n'a eu lieu. L'enqu�te de proximit� ne permet pas de recueillir d'autres t�moignages d'observation.
L'observation de lumi�res blanches et rouges traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Nord-Ouest (Bailleval) vers l'Ouest (voir carto), ce qui est compatible avec le vent de vent de Nord-Est de 20 � 30 km relev� � Creil (voir le relev� du jour M�t�ociel).
Quelques �l�ments du rapport de l'observation conviennent toutefois mal avec l'hypoth�se d'objets port�s par le vent de NE :
-les objets s'arr�tent au-dessus du marais : ce fait impose que le vent faiblisse � cet endroit, ou change de direction : ceci reste possible �tant donn� le relief particulier de cette vall�e particuli�rement humide.
-un des objets part en hauteur vers Ars, plein ouest : cette description peut correspondre � l'extinction progressive de la lanterne ; les t�moins interpr�tent souvent cette baisse de luminosit� comme un �loignement.
-le second objet sort du cadre visuel du t�moin � vitesse tr�s �lev�e en direction de Bailleval (c'est � dire vers le Nord, donc contre le vent) : ce point est absolument contradictoire avec un objet port� par le vent, sauf � consid�rer que c'est aussi une illusion de perception lors de l'extinction de la lanterne.
-Le retour du second objet serait alors une 3eme lanterne lanc�e du m�me endroit, vers Bailleval, un peu apr�s les 2 premi�res.
En conclusion, apr�s avoir pris en compte la possibilit� d'illusions de perception lors de l'extinction des lumi�res, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement silencieux de deux ph�nom�nes lumineux color�s dans le ciel nocturne : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-11-02;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;B;B;2015-04-09164
3765;"THYEZ (74) 24.04.2015";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2015;04;24;"Le vendredi 24 avril 2015 � entre 22h30 et 23h un p�re et ses enfants sont allong�s sur la terrasse afin de contempler le ciel �toil�. Soudainement le regard du p�re est attir� par une ombre en mouvement dans le ciel. Le t�moin per�oit ""une forme de type aile de delta sombre filant � tr�s vive allure vers le sud"" sur une trajectoire rectiligne. Aucun bruit particulier n'est entendu durant l'observation de 2 � 3 secondes. le t�moin perd sa trace au loin g�n� par la pollution lumineuse. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Cette observation tr�s courte d'un objet sombre peut �tre compatible de l'observation d'un rapace nocturne (chouette, grand-duc) survolant l'observateur. Le t�moin habite en bordure de for�t, ce qui rend cette hypoth�se possible.
Le GEIPAN n'a cependant aucun �l�ment pour conforter cette hypoth�se.
Le t�moin pense � un avion furtif : ce type d'appareil est furtif vis � vis des radars mais pas particuli�rement silencieux, et vole le plus souvent � haute altitude.
Du fait du manque de recoupement et de la bri�vet� du t�moignage, le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie ""C"".";"Observation rapide du passage silencieux et rectiligne d'une forme sombre et triangulaire dans le ciel nocturne : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.50;;0.35;0.00;C;B;2015-04-09165
3766;"PARCAY-MESLAY (37) 13.04.2015";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2015;04;13;"Le 13 avril 2015 � 21h55 un t�moin, qui regarde r�guli�rement et connait le ciel �toil�, observe tout d'abord un intense et bref �clair blanc, puis trois boules rouges statiques formant un triangle. Le ph�nom�ne est silencieux. Son intensit�, d'abord forte, diminue jusqu'� disparition du ph�nom�ne. L'observation dure moins de 10 secondes. Un seul t�moignage est recueilli.
D'�tranget� et de consistance moyennes (t�moin unique, description pr�cise), ce cas s'av�re �tre une m�prise avec un triplet particulier de satellites : les satellites militaires chinois Yaogan 16A, B et C (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le PAN pr�sente en effet toutes les caract�ristiques type d'un tel triplet : luminosit�, trajectoire et horaire parfaitement coh�rents.
Ce cas est class� A, m�prise avec le triplet de satellites Yaogan 16A, B et C.";"Observation d'un �clair intense blanc puis de trois boules rouges dans le ciel �toil� : observation du triplet de satellites militaires chinois Yaogan 16A, B et C.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;B;2015-04-09170
3767;"GIEN (45) 13.04.2015";Loiret;45;"(D) D�partement";2015;04;13;"Le lundi 13 avril 2015 vers 10h45 une personne, � la terrasse d'un caf� avec des amis, observe dans le ciel d�gag� le passage silencieux d'un objet tr�s brillant. Un seul t�moignage est recueilli.
Un objet brillant dans le soleil, d'apparence m�tallique, pivotant traversant une partie du ciel en moins d'une minute �voque un ballon mylar (ballon de foire m�tallis�) �chapp� des mains de son propri�taire.
Comme le t�moin n'a pas identifi� l'objet, il ne peut en estimer correctement la distance ni la taille; Comme souvent, il y a une surestimation de ces �l�ments : un objet de 50 cm vu � 100 m�tres a strictement le m�me aspect pour l'observateur qu'un objet de m�me forme de 5 m de long vu � 1000m�tres.
Le t�moin regarde en direction du S/SO (Azimut 220�) et constate un d�placement de sa gauche vers sa droite : l'objet peut voler du SE au NO, mais aussi d'Est en Ouest. L'�loignement ne serait pas perceptible sur une observation si courte.
Le relev� M�t�ociel pour Orl�ans indique un vent variable de NE � Est (voir le relev� M�t�ociel. Bien que pas vraiment dans l'axe SE -> NO per�u par le t�moin, un vent d'Est ou m�me NE peut pousser un ballon de la gauche vers la droite de l'observateur.
La fin de l'observation (descente en spirale) peut correspondre au d�gonflage du ballon suite � une surpression, du fait de l'altitude.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'un ballon mylar.";"Courte observation du passage silencieux d'un objet tr�s brillant dans le ciel d�gag� : probable observation d'un ballon en mylar.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.80;;0.56;0.00;B;B;2015-04-09182
3768;"[D283] DE RUAUDIN (72) VERS SAINT-MARS-D'OUTILLE (72) 18.04.2015";Sarthe;72;"(D) D�partement";2015;04;18;"Le 18 avril 2015 vers 23h30 un automobiliste est alert� par son fils � l'arri�re du v�hicule sur la pr�sence d'une lumi�re rouge dans le ciel. En regardant dans le r�troviseur il aper�oit six ou sept boules rouge-orang�, lumineuses, se d�pla�ant en formation et semblant suivre le v�hicule. Le t�moin arr�te son v�hicule et observe la progression des ph�nom�nes, jusqu'� disparition compl�te � l'exception d'une boule. Il a le temps de prendre quelques photos.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Nord-Est vers le Nord-Ouest, ce qui est compatible avec le vent de Nord-Est relev� au Mans sur M�t�ociel qui indique un vent de NE soutenu.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement silencieux de 6 ou 7 boules lumineuses rouge-orang� dans le ciel nocturne : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.30;0.00;;;;;;;0.50;0.00;B;B;2015-04-09190
3769;"[A.BOLIDE] (NAT) FRANCE (FR) 09.04.2015";France;FR;"(N) National";2015;04;09;"Le ph�nom�ne observ� le Jeudi 9 avril 2015 vers 7h10 a �t� observ� simultan�ment par de nombreux t�moins r�partis dans le Sud-Ouest (Foix, Montauban, Saint-Orens...) et l'Ouest de la France (La Chapelle-sur-Erdre, Plozevet), depuis l'Ari�ge jusqu'au Finist�re. Des t�moins dans les Pyr�n�es espagnoles se sont aussi signal�s (voir le tableau r�capitulatif des t�moignages recueillis sur ce ph�nom�ne).
On appelle ce ph�nom�ne BOLIDE, un terme ancien qui veut dire � en forme de boule �, un terme utilis� plus souvent pour d�signer un v�hicule tr�s rapide, en r�f�rence � la vitesse du ph�nom�ne observ� (Voir explication g�n�rique du ph�nom�ne sur bolide).
Du fait de l'intensit� lumineuse du ph�nom�ne, la plupart des t�moins, qui voient ce genre de ph�nom�ne pour la premi�re fois, pensent que c'est un ph�nom�ne tr�s proche, � quelques kilom�tres, voire moins ; en r�alit�, ce ph�nom�ne lumineux se produit entre 80 et 20 km d'altitude, c'est pour cela que des t�moins �loign�s de plusieurs centaines de kilom�tres peuvent le voir simultan�ment (Voir le rapport sur un �v�nement similaire r�cent : Un gros bolide observ� au-dessus de la Catalogne espagnole.
Dans le cas du bolide de ce Jeudi 9 avril 2015, �tant donn� les trajectoires d�crites par les t�moins, il s'est produit probablement en-dessus de l'Oc�an Atlantique, � une centaine de kilom�tres des c�tes (approximation grossi�re). Les fragments du m�t�oro�de, d'une taille de quelques millim�tres � centim�tres, sont tr�s probablement retomb�s dans l'Oc�an Atlantique.
Le GEIPAN classe ce cas A : observation d'un bolide, r�sultat de la rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de.
Voir d'autres t�moignages sur les sites suivants : Ciel des hommes, Actucity, France bleu, La D�p�che avec image d'archive.
Et une vid�o sur Dailymotion.
";"Observations par de nombreuses personnes d'un bolide, r�sultat de la rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.14;0.00;;;0.81;;0.74;;0.61;0.00;A;A;2015-04-09149
4460;"ARRADON (56) 13.07.2017";Morbihan;56;"(D) D�partement";2017;07;13;"Le 13 juillet 2017 � 22h38 un t�moin dans la cours de sa maison observe la pr�sence stationnaire puis le lent d�placement d'une boule rouge et de trois boules vertes dans le ciel d�gag�. Le t�moin prend des photos avant que le ph�nom�ne scintillant s'�loigne jusqu'� disparition. Aucun bruit n'est entendu. Un seul t�moignage sera recueilli.
Le t�moin � probablement vu un groupe de lanternes thailandaises de diff�rentes couleurs. En effet le vent, ce soir l�, d'apr�s Infoclimat) est orient� vers le Sud-Est dans la direction de l'observation. Cela permet d'expliquer l'effet de quasi-stationnarit� du PAN en azimut. La lente disparition peut provenir de la lente extinction des br�leurs.
La date (�t� et veille de f�te nationale) est propice � des �v�nements festifs de ce type.
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en B : lanternes thailandaises.";"Observation de la pr�sence et du lent d�placement silencieux de boules de couleurs (rouge et verte) dans le ciel d�gag� : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-10-24;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.80;;0.70;0.00;B;B;2017-07-09734
3770;"EPINAY-SUR-SEINE (93) 04.05.2015";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";2015;05;04;"Le 4 mai 2015 (le t�moin confirme la date) vers 4h du matin un t�moin au reveil est intrigu� par le passage dans le ciel d'une forme triangulaire induite par la pr�sence de lumi�res sur les angles. Le Pan passe � angle droit devant sa terrasse, � hauteur d'un avion passant � basse altitude. Le t�moin entend le bruit d'un avion circulant � basse altitude. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Ce cas d'observation relate un ph�nom�ne ayant de nombreuses caract�ristiques d'un avion : lumi�res fixes blanc-jaune, et lumi�res clignotantes rouges et blanches, taille apparente et bruit.
Mais le t�moin, qui ne distingue pas de fuselage ni d'ailes, lui donne une forme triangulaire, ce qui lui fait trouver cet engin �trange.
Lorsqu'un observateur voit un ensemble de points lumineux, il est fr�quent qu'il interpr�te cet ensemble de points comme un objet simplement d�limit� par ces points lumineux. Cette illusion, nomm�e illusion de forme ou de contour, se produit sur des lumi�res ind�pendantes les unes des autres (cas des lanternes tha�) et aussi sur les avions dans les cas o� les ailes sont mal visibles : le t�moin reconstitue alors un volume noir limit� par les lumi�res visibles.
Si le t�moin n'a pas vu les ailes ou le fuselage de l'avion, ce peut �tre parce que son angle d'observation ne le permettait pas (ailes vues sur la tranche), ou plus probablement parce que l'avion lui-m�me �tait de couleur tr�s sombre, comme le sont par exemple les gros avions de transports militaires.
L'axe d'une des pistes de l'a�rodrome du Bourget passe bien par Epinay-sur-Seine (� 7,5km). Le relev� M�t�ociel note un vent de Sud Ouest relev� � Roissy : les avions d�collent donc vers l'Ouest en direction d'Epinay (voir le relev� M�t�ociel.
Le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie B : observation probable d'un avion.
Malheureusement le GEIPAN n'a pas trait� assez vite ce cas d'observation pour pouvoir v�rifier aupr�s du contr�le a�rien s'il y avait bien eu un vol � ce moment l�.";"Observation du passage dans le ciel d'une forme triangulaire d�limit�e par des lumi�res de couleur fixes ou clignotantes : probable observation du passage d'un avion.";O;;;;;;;;;2016-02-23;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;B;2015-05-09166
3771;"PARIS (75) 04.05.2015";Paris;75;"(D) D�partement";2015;05;04;"Le 4 mai 2015 � 10h05 un t�moin � son domicile observe dans le ciel le passage lent d'un objet scintillant dans le ciel. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Cet objet scintillant aux reflets changeants, en plein jour, se d�pla�ant lentement dans le ciel de Paris a toutes les caract�ristiques d'un ballon de foire (ballon m�tallis� en mylar) qui aura �chapp� � son propri�taire. Ces ballons ont des formes et couleurs tr�s vari�es (faire une recherche Google images ""ballon mylar""); une fois l�ch�s, ils tournent sur eux-m�mes produisant aspects et reflets tr�s variables, comme on le voit sur les photos du t�moin.
Le t�moignage n'est pas assez pr�cis pour que l'on puisse d�terminer la trajectoire du ballon et sa conformit� avec le vent local.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'un ballon d'enfant.";"Observation du passage lent d'un objet scintillant dans le ciel parisien en matin�e : probable observation d'un ballon d'enfant.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.90;;0.72;0.00;B;A;2015-05-09168
3772;"LASSON (14) 03.05.2015";Calvados;14;"(D) D�partement";2015;05;03;"Le dimanche 3 mai 2015 � 1h30 du matin un t�moin observe le passage silencieux de trois boules tr�s lumineuses orange vif dans le ciel nocturne. Le t�moin a le temps d'aller chercher une cam�ra pour filmer son observation mais il sera d��u par le rendu de la vid�o et ne la fournira pas au GEIPAN. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait d'abord penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� de l'Est vers l'Ouest, ce qui correspond mal avec le l�ger vent de Sud relev� � Caen (6 km), alors que le relief ne peut expliquer un si fort changement de direction � seulement 6 km. Le relev� m�t�o en fin de soir�e, � Caen indique Vent de Sud-Est soutenu avec pluie (voir le relev� M�t�ociel). La pluie a rendu l'atmosph�re tr�s claire (voir l'indicateur de visibilit� horizontale � 55km), et a ainsi pu faire para�tre les lanternes plus vives. Au moment de l'observation il y a un faible vent de Sud (voir le relev� M�t�ociel.
Le d�placement de lanternes tha�landaises suit le vent local : il est tr�s r�gulier si le vent est �tabli et si le relief est plat, plus agit� si la zone est sujette � des convections d'origines diverses.
Le t�moin est d��u par le rendu de la vid�o : la luminosit� reste faible, ce qui prouve que les objets n'�taient pas si lumineux que �a ; le t�moin, dans le noir complet, par ciel couvert, a per�u les lumi�res comme tr�s vives. La vid�o fait appara�tre les boules plus blanches, par effet de la balance des blancs automatique ; la forme en losange correspond � une image d�focalis�e (floue), le losange est en fait la forme du diaphragme de la cam�ra.
Du fait du vent non compatible avec le d�placement constat�, le GEIPAN ne peut confirmer l'hypoth�se de lanternes tha�landaises.
Ce cas est class� C par manque d'informations (vid�o, autre t�moin) et recoupements.";"Observation du passage silencieux de trois boules lumineuses orange vif : manque d'informations et de recoupements.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.40;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;C;B;2015-05-09169
3773;"TOURS (37) 07.05.2015";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";2015;05;07;"Le 7 mai 2015 � 23h15 un t�moin observe dans le ciel un objet sph�rique particuli�rement lumineux qui l'intrigue. LE PAN se d�place sur une trajectoire verticale descendante. L'observation dure une heure et cesse lorsque le PAN est cach� par des nuages ou du brouillard. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin dit observer le PAN � l'Est-Sud-Est, ""vers la basilique St-Martin"", ce qui est contradictoire. Cette basilique se trouve au Nord-Ouest de sa position (voir le compte rendu d'enqu�te).
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis, nous pouvons conclure que ce cas est � classer en � A � comme une observation certaine de la plan�te V�nus, situ�e tr�s bas sur l'horizon.";"Tr�s longue observation d'une forme sph�rique tr�s lumineuse en trajectoire descendante dans le ciel : observation certaine de la plan�te V�nus, tr�s bas sur l'horizon.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;A;A;2015-05-09173
3774;"NAVACELLES (30) 06.05.2015";Gard;30;"(D) D�partement";2015;05;06;"Le 6 mai 2015 vers 21h un t�moin est intrigu� par des train�es dans le ciel. Il prend des photographies. Un seul t�moignage est rapport�.
Compte tenu des �l�ments recueillis, � savoir l'apparence du ph�nom�ne conforme � celle de nombreux autres exemples de tra�n�es de condensation cr��es par des avions de ligne et �clair�es par le soleil couchant dans une couche atmosph�rique propice et l'effet d'optique d� � la perspective, nous pouvons conclure que les ph�nom�nes observ�s par le t�moin sont tr�s certainement des tra�n�es de condensation persistantes cr��es par des avions de ligne (voir le compte rendu d'enqu�te). Ce t�moignage est d'une tr�s bonne consistance : pr�cis et accompagn� de nombreuses photos, mais venant d'un t�moin unique. L'observation est tr�s peu �trange car les PANs sont imm�diatement caract�risables.
Ce cas est class� en � A � comme observation certaine de tra�n�es de condensation d'avions.";"Observation de nombreuses traces dans le ciel : observation certaine de tra�n�es de condensation d'avions.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;A;A;2015-05-09174
3775;"LIMEIL-BREVANNES (94) 07.05.2015";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2015;05;07;"Le t�moin observe, tr�s t�t le matin, un objet tr�s brillant se d�pla�ant sans bruit. La trajectoire �voque celle d'une �toile filante.
L'observation d'une ""chose tr�s brillante"" traversant le ciel � grande vitesse, paraissant bien plus bas qu'une �toile filante, �voque nettement un bolide.
Le r�seau BOAM (voir document joint) signale � 2h27 TU (4h27 civiles) l'enregistrement vid�o d'un ph�nom�ne a priori semblable, par une cam�ra situ�e � Gretz-Armainvilliers en Seine-et-Marne, en direction de l'Est Nord-Est � une �l�vation de l'ordre de 50�.
Cette p�riode de l'ann�e est assez propice � l'observation de ce type de ph�nom�ne (essaim des Eta-Aquarides), le GEIPAN a re�u � la m�me p�riode d'autres s�ries de t�moignages semblables.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation d'un bolide, r�sultat de la rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de probablement issu de l'essaim des Eta-Aquariides (venant de la direction de la constellation du Verseau).";"Observation du d�placement d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : observation d'un bolide, r�sultat de la rentr�e atmosph�rique d'un m�t�oro�de probablement issu de l'essaim des Eta-Aquariides.";O;;;;;;;;;2015-06-15;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;A;A;2015-05-09175
3776;"SALLE (LA) (88) 07.05.2015";Vosges;88;"(D) D�partement";2015;05;07;"Le 7 mai 2015 vers 21h45 deux personnes sont intrigu�es par un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Des lumi�res puissantes (blanche, rouge et orang�) semblent tourner autour d'un engin. Aucun bruit n'est entendu durant les d�placements.
Une v�rification du trafic a�rien dans la direction d'observation du t�moin par le site FlightRadar24 nous indique qu'un vol RyanAir en descente, � 2000m d'altitude environ, arrivait du Nord (cap Sud Est) et a effectu� � 21h40 un changement de cap � 90� vers le Nord Est pour se diriger vers l'a�roport de Strasbourg (voir les copies d'�cran FlightRadar en annexe). Apr�s ce changement de cap, il est donc apparu ""de dos"" aux observateurs, donc quasi stationnaire puisque son �loignement est difficilement perceptible. Le t�moin percevra toutefois cet �loignement en fin d'observation. Ce d�placement est absolument conforme au t�moignage :""Il est arriv� du N-E � une vitesse assez rapide et il s'est mis subitement en vol stationnaire"".
Dans cette phase de vol, les feux de l'avion sont multiples : feux d'atterrissage tr�s puissants, mais orient�s vers l'avant, feux de position fixes vert, rouge et blanc, et surtout des feux clignotants de deux types: feux anti-collision rouges, et des flashs blancs (strobe). Ces deux types de feux clignotent � peu pr�s une fois par seconde mais ne sont pas synchronis�s, donnant quelquefois l'impression d'une cha�ne de feux clignotants.
Le silence d�crit par les t�moins n'est pas surprenant : l'avion �tait � 15 ou 20 km, les moteurs sont � faible puissance dans cette phase de descente et donc peu bruyants ; de plus l'environnement du t�moin ne semble pas tr�s silencieux : la t�l�vision est allum�e et on entend un bruit de fond notable sur la vid�o.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de l'avion du vol RyanAir 5061.";"Observation de fortes lumi�res de couleur dans le ciel et d�placement silencieux : observation d'un avion.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;A;A;2015-05-09176
3777;"PARIS (75) 17.05.2015";Paris;75;"(D) D�partement";2015;05;17;"Dans la nuit du samedi au dimanche 17 mai 2015 � minuit quarante-cinq, un t�moin refermant une fen�tre est surpris d'observer 5 ou 6 boules de lumi�re de couleur passant silencieusement dans le ciel d�gag�. Ces lumi�res semblent d�limiter un engin sombre. L'observation dure tr�s peu de temps et les lumi�res se sont �teintes brusquement.
Le t�moin d�crit un engin ""gris et m�tallique"" �quip� de ""6 grosses boules de lumi�re de couleurs"".
Si l'on admet que le t�moin a pu �tre victime de la classique illusion de forme (voir l'article sur la psychologie de la forme), il est possible que les seules boules lumineuses soient r�elles, mais pas l'engin gris.
L'observation de boules lumineuses traversant le ciel en ligne droite, une nuit de week-end, fait alors penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. La disparition des boules peut correspondre � leur extinction, ou leur passage derri�re un immeuble.
Comme l'observation est tr�s courte, et que le t�moin ne d�crit pas les directions de d�placement, il n'est pas possible de v�rifier si le d�placement est compatible avec le vent. Il serait �tonnant que ce soit un drone, tr�s difficile � piloter de nuit sans risque en environnement urbain ; de plus les drones ont plut�t des trajectoires non lin�aires.
Le GEIPAN n'a pas re�u d'autre t�moignage pouvant correspondre � ce m�me ph�nom�ne.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information pr�cise et de recoupement.";"Observation du passage silencieux de 5 � 6 boules de lumi�re semblant d�limiter une forme ; extinction subite : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.50;;0.40;0.00;C;B;2015-05-09177
3778;"ALBI (81) 09.05.2015";Tarn;81;"(D) D�partement";2015;05;09;"Le samedi 9 mai 2015 vers 22h30 un t�moin observe durant 10 secondes le lent d�placement d'une sph�re orange dans le ciel nocturne. La sph�re perd de son intensit� en s'�loignant. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
L'observation de boule orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � une lanterne tha�, probablement l�ch�e � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e (Peut-�tre un l�cher depuis la base de loisirs : voir carte).
Le d�placement est observ� de l'Ouest vers le Sud-Ouest, ce qui est compatible avec le l�ger vent d'Ouest relev� � Albi (voir carte et relev� M�t�ociel).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanterne tha�landaise.";"Observation du passage lent et silencieux d'une sph�re orange dans le ciel nocturne : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;A;2015-05-09180
3779;"[D42] de GENERAC (30) vers SAINT-GILLES (30) 15.05.2015";Gard;30;"(D) D�partement";2015;05;15;"Le vendredi 15 mai 2015 � environ 22h, un automobiliste et sa passag�re observent de nombreux passages de lueurs blanches avec un l�ger voile � l'arri�re dans le ciel nocturne. L'observation se fera durant 7 minutes sur 8 kilom�tres sur des routes de campagne. Un seul t�moignage sur ce ph�nom�ne a �t� recueilli.
Cette observation (improprement consid�r�e comme un bolide par le t�moin) se d�roule environ une heure apr�s le coucher du soleil, aux derni�res lueurs du cr�puscule, � seulement 10 km des �tangs de Camargue et de ses milliers de gros oiseaux : c'est la fin de la ""pass� du soir"" o� les derniers oiseaux quittent les �tangs et rejoignent leur ""dortoir"" dans les terres.
Cette hypoth�se d'oiseaux a bien �t� envisag�e par les t�moins, mais rejet�e car ils ont pens� � des oiseaux nocturnes, ce qui n'est probablement pas le cas, surtout du fait de la multiplicit� des passages ; Toutefois, le GEIPAN n'a pas recueilli d'�l�ments concrets pour confirmer cette hypoth�se, et la description faite par les t�moins est bien succincte (lueur blanche avec un l�ger voile � l'arri�re), le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque de recoupements.";"Observation de multiples passages de lueurs blanches avec un l�ger voile � l'arri�re dans le ciel nocturne : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;C;B;2015-05-09181
3780;"ISSY-LES-MOULINEAUX (92) 25.05.2015";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2015;05;25;"Le 25 mai 2015 � 19h58 un t�moin observe dans le ciel un ph�nom�ne sombre compos� de 6 lumi�res en cercle. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce rapport d'observation est particuli�rement succinct, les rep�res g�ographiques sont peu pr�cis, le r�cit est tr�s court, et il n'y a pas de dessin ou de photo.
La forme circulaire d�crite par le t�moin n'est pas forc�ment r�elle, elle peut n'�tre que le contour abstrait des 6 lumi�res observ�es.
Ces lumi�res peuvent �tre celles d'un avion ou d'un h�licopt�re (H�liport tr�s proche).
Le GEIPAN n'a pas trait� ce cas � temps pour pouvoir obtenir la v�rification du trafic a�rien � ce moment l�. Faute de pr�cisions sur le t�moignage et le trafic a�rien, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information et de pr�cisions.";"Observation d'un ph�nom�ne sombre avec six lumi�res en cercle dans le ciel : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;C;B;2015-05-09184
3781;"SAUJON (17) 23.05.2015";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2015;05;23;"Le samedi 23 mai 2015 entre 23h et23h15 deux personnes observent durant 5 minutes environ le passage rapide et silencieux d'un objet tr�s lumineux et de couleur orange dans le ciel. Quelques minutes plus tard un deuxi�me objet ayant les m�mes caract�ristiques que le premier est aper�u. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� de l'Ouest vers l'Est, ce qui est compatible avec le vent d'Ouest relev� � Cognac (voir le relev� M�t�ociel).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage rapide et silencieux de deux objets lumineux et orang� dans le ciel nocturne: probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;A;2015-05-09185
3782;"SAINT-PABU (29) 26.05.2015";Finist�re;29;"(D) D�partement";2015;05;26;"Le 26 mai 2015 de 21h45 jusqu'� 22h un t�moin observe un ph�nom�ne d�j� vu quelques semaines auparavant et qui l'intrigue : il s'agit d'un point lumineux, ""moins lumineux que V�nus"", statique, aux couleurs changeantes (vert, rouge, jaune), visible � l'oeil nu, semblant faire de petits cercles autour d'un point fixe. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce t�moignage n'est pas tr�s pr�cis : l'heure est a priori incorrecte, car le t�moin d�crit et photographie de nuit, alors que le soleil ne se couche qu'� 22h07. Nous supposerons que l'observation a eu lieu vers 23h.
La direction d'observation indiqu�e est assez impr�cise : c'est le sch�ma du t�moin qui indique le mieux la hauteur sur l'horizon que l'on estimera de l'ordre de 20�.
Le relev� m�t�o de Brest indique effectivement un ciel majoritairement d�gag�, et un vent de Nord (voir le relev� M�t�ociel).
L'observation d'un point lumineux apparemment fixe dans le ciel fait bien s�r penser � une �toile (probablement Capella, voir carte du ciel jointe), mais le t�moin signale une lumi�re tournante rouge, vert, jaune : c'est cette caract�ristique qui semble �trange, mais qui peut �tre expliqu�e par le ph�nom�ne de scintillement (voir l'article Une �toile?).
Le scintillement et les variations plus ou moins rapides de coloration et d'aspect sont souvent observ�s et source de m�prises ; ces variations sont d'autant plus notables que l'�toile est basse dans le ciel et que l'atmosph�re est � la fois claire mais perturb�e (grosses chaleurs, vent), ce qui est le cas ce jour-l�.
La photographie, prise � main lev�e avec un appareil photo dot� d'un puissant zoom, montre une arabesque rouge�tre typique du flou de boug�.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de l'�toile Capella.";"Longue observation d'un point lumineux de couleur dans le ciel nocturne : observation probable de l'�toile Capella.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.60;;0.48;0.00;B;A;2015-05-09186
3783;"NUELLES (69) 30.05.2015";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2015;05;30;"Le 30 mai 2015 vers 23h55 un couple � l'ext�rieur est intrigu� par le passage rectiligne et lent d'un objet lumineux orang� dans le ciel nuageux. Aucun bruit particulier n'est entendu. L'objet disparait dans les nuages. Un seul t�moignage est recueilli.
Le GEIPAN a analys� plusieurs hypoth�ses pour cette observation :
-Flare (reflet) sur un satellite Iridium, visible � cet instant pr�cis (cf relev� Calsky), mais il �tait visible vers le sud ouest, et se d�pla�ait en direction du NO, de plus la luminosit� aurait d� �tre per�ue comme variable : cette hypoth�se convient mal.
-Flare sur autre satellite non r�pertori� : tr�s peu probable.
-Bolide (rentr�e de m�t�orite dans l'atmosph�re) : la luminosit�, la dur�e, et la trajectoire peuvent convenir, mais le t�moin aurait probablement per�u une luminosit� variable. Aucune autre observation n'a �t� signal�e, ni d'enregistrement sur cam�ra (mais ciel nuageux !).
-lanterne tha� : la couleur, l'heure et le jour de l'observation sont coh�rents avec cette hypoth�se , mais le vent de Nord soutenu est a priori incompatible avec le d�placement constat� vers l'Est (voir M�t�ociel).
Le GEIPAN ne retient finalement aucune de ces hypoth�ses, faute de v�rifications ou recoupements. Des informations compl�mentaires pourront �ventuellement permettre de d�terminer l'origine du ph�nom�ne observ�.";"Observation du passage rectiligne, silencieux et lent d'un objet lumineux orang� dans le ciel nuageux : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;C;B;2015-05-09187
3784;"HAVRE (LE) (76) 30.05.2015";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2015;05;30;"Le 30 mai 2015 vers 14h un t�moin observe des avions de largage de parachutistes �voluant dans le ciel lorsqu'il distingue un objet, entre deux de ces avions, descendant en zigzaguant � coup de mouvements saccad�s et rapides. L'objet s'�loigne � une vitesse ph�nom�nale.
Le GEIPAN a pris contact avec le club ""Abeille Parachutisme"" de Honfleur, qui a confirm� des rotations r�p�t�es ce jour-l� pour l�cher des parachutistes ; un responsable de ce club a indiqu� que ""Au cours de ces rotations, il arrive que des objets s'�chappent des avions de largage, et ces objets ne d�crivent jamais une trajectoire directe, mais plut�t des arabesques li�es aux courants a�riens.""
En effet, un objet l�ch� d'un avion un vol est dot� de la vitesse propre de l'avion ; il est alors soumis :
- � la gravit� qui le fait chuter,
- aux forces a�rodynamiques qui le freinent et le font tournoyer,
- au vent dominant qui le pousse dans sa propre direction,
- et aux �ventuels courants a�riens locaux, quelquefois ascendants
La somme de ces forces peut expliquer la trajectoire observ�e, tout � fait chaotique du fait que l'objet en question est certainement tr�s peu dense.
La forme d�crite par le t�moin (plane, rectangulaire) peut �tre celle d'une plaque de carton.
Le GEIPAN classe ce cas en B comme observation probable d'un objet tomb� d'un avion de largage de parachutistes.";"Observation d'un objet blanc zigzagant entre deux avions : observation probable d'un objet tomb� d'un avion de largage de parachutistes.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;B;2015-05-09188
3785;"SAINTE-COLOMBE (69) 31.05.2015";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2015;05;31;"Lors d'une soir�e festive en plein air, une vingtaine de personnes observent le lent d�placement de taches lumineuses blanches dans le ciel nocturne. Aucun bruit n'est entendu. Un t�moin rapporte son observation qu'il a pu filmer.
L'observation de boules lumineuses traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Nord vers le Sud, ce qui est compatible avec le vent de Nord relev� � Lyon Bron (voir le lien M�t�ociel).
La vid�o de bonne qualit� confirme absolument cette hypoth�se : on voit nettement les boules lumineuses se d�placer ensemble, mais sans �tre li�es ; on constate l'extinction de certaines d'entre elles.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" observation de lanternes tha�landaises.";"Observation du lent et silencieux d�placement de taches lumineuses dans le ciel nocturne ; observation film�e : observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;A;A;2015-05-09189
4163;"SAINTES (17) 13.07.2016";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2016;07;13;"Le 13 juillet 2016 vers 23h30 un t�moin observe durant 30 secondes une lumi�re blanche tr�s lumineuse stationnaire dans le Sud-Ouest du ciel nocturne d�gag�. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin est le m�me que celui du cas de SAINTES (17) 21.03.2016 (m�prise avec Jupiter proche de la Lune).
Cette fois-ci le t�moin fait une autre m�prise avec un astre, soit Mars, soit Saturne, toux deux situ�s juste � gauche de la Lune. Les trois astres sont ce soir l� � basse �l�vation.
La configuration des lieux (dessin du t�moin) est compatible avec la visibilit� d'un seul de trois astres, dans la direction indiqu�e, avec les deux autres cach�s par des obstacles (arbre � droite du PAN, b�timent � gauche). Si visible, la Lune aurait �t� a priori signal�e en premier quartier. L'extinction du PAN au bout de 30 secondes peut avoir �t� caus�e par le passage d'un nuage. L'impression de d�part avec une vitesse colossale r�sulte de l'id�e (pour le t�moin) d'un objet qui s'�teint parce qu'il s'�loigne d'un coup.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation astronomique.";"Observation dans le ciel nocturne d'une lumi�re blanche tr�s lumineuse : observation astronomique.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.10;0.00;;;0.60;;0.70;;0.42;0.00;A;A;2016-07-09552
4166;"PLOUHA (22) 22.08.2016";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2016;08;22;"Le 22 ao�t 2016 en plein apr�s midi un technicien en mission ext�rieure � Plouha (22) observe dans le ciel en direction du Nord un objet de couleur fonc�e refl�tant par moment la lumi�re du soleil. La forme de l'objet lui fait penser � une voile de parapente mais rien ne pend sous l'objet. Le t�moin suit les �volutions de l'objet dans le ciel et d�cide de le prendre en photo puis de le suivre en voiture. Le Pan se d�place lentement vers le Nord-Est en effectuant des petites rotations sur lui-m�me. Le t�moin le perd ensuite de vue. Aucun autre t�moignage ne sera rapport�.
Le t�moin fournira � l'enqu�teur la photo prise durant l'observation : malheureusement cette derni�re ne permet pas de voir le PAN (trop loin) mais confirme l'heure de l'observation (15h28).
L'observation est assez peu �trange, mais a tout de m�me suscit� chez le t�moin le besoin d'en t�moigner, pour comprendre ce qu'il a vu. Le t�moin est fiable.
L'enqu�te montre qu'il s'agit tr�s probablement d'un parapente du club de PLOUEZAILES, comme l'indique son pr�sident.
Le cas est consistant (0,7) et peu �trange (0,25). Il est class� A : probable parapente en vol.
";"Observation des �volutions dans le ciel d'un objet sombre de forme allong�e r�fl�chissant la lumi�re du soleil par moment : tr�s probable voile d'un parapentiste.
";O;;;;;;;;;2017-04-05;;;0.25;0.00;;;;;;;0.70;0.00;A;B;2016-08-09556
3788;"CHERISY (28) 31.05.2015";Eure-et-Loir;28;"(D) D�partement";2015;05;31;"Le 31 mai 2015 � 0h15 un t�moin observe un point lumineux qui se d�place du Sud vers le Nord dans le ciel. Tr�s vite le t�moin voit apparaitre plus d'une dizaine de lumi�res blanches et rouge se d�pla�ant silencieusement. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
L'observation de s�ries de formes lumineuses rouges ou blanches traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Sud vers le Nord, ce qui est compatible avec le vent de Sud � Nord relev� � Evreux (voir le relev� M�t�ociel � Evreux le jour de l'observation).
La forme triangulaire d�crite par le t�moin peut �tre la forme de la partie la plus �clair�e de la lanterne : voir photo GEIPAN ci-jointe qui montre la partie lumineuse comme approximativement triangulaire.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage silencieux d'une dizaine de points lumineux dans le ciel nocturne : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-11-02;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;A;2015-05-09204
3789;"TOULOUSE (31) 17.05.2015";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2015;05;17;"Le 17 mai 2015 vers 23h16, un t�moin qui observe le ciel nocturne, est intrigu� par l'apparition d'une succession de points lumineux (le t�moin en a compt� jusqu'� 8) et qui forment progressivement un grand V. L'ensemble vole silencieusement � basse altitude. L'un des points se d�tache de la formation et l'ensemble dispara�t. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. Le t�moin a transmis son t�moignage au GEIPAN le 16 juin 2015, par le biais du questionnaire GEIPAN. Une rencontre avec le t�moin a eu lieu le 15 D�cembre 2015 pour un entretien cognitif et une reconstitution.
L'�tranget� du cas r�sulte de la formation en V des lumi�res et de leur s�quencement d'apparition et extinction.
La formation en � V � ne se rencontre gu�re que dans deux cas de figure :
- une patrouille d'avions ou drones volant en formation ;
- un groupe d'oiseaux migrants.
S'agissant de la � patrouille d'avions ou drones �, �tonnant de nuit en milieu urbain et pourquoi les lumi�res des engins auraient suivi un tel s�quencement ?
L'hypoth�se � groupe d'oiseaux migrants � permet par contre d'expliquer ce s�quencement :
- on est un peu en dehors d'une p�riode de migration, mais les mouettes et les go�lands se d�placent parfois la nuit lorsque leur dortoir est d�rang�, par exemple, et elles volent alors � basse altitude, leur corps blanc, m�me � peine �clair� par des lumi�res urbaines, peut donner une impression lumineuse (et surtout, ""blanche""). Cela peut aussi �tre des canards qui se d�placent la nuit et forment fr�quemment des V ;
- l'entr�e de la formation dans une zone l�g�rement plus �clair�e a pu produire cette apparition imm�diate pour chaque oiseau (de l'ombre � une lumi�re suffisante) et progressive pour le V. Le s�quencement des lumi�res tel qu'observ� indiquerait que le V est rentr� par la gauche en longeant une zone plus �clair�e ;
- tout a disparu d'un coup, ce qui indiquerait que le V est sorti de la zone �clair�e en rencontrant un front d'ombre (ou moins �clair�) assez transverse � son d�placement, alors que le front plus �clair� provoquant l'apparition �tait plus align� le long du d�placement ;
- un oiseau a tr�s bien pu se d�tacher de la formation un court instant. Ceci est plus singulier mais n'est pas contradictoire, d'autant qu'on ne sait pas combien de temps se produit ce d�tachement survenu juste avant l'extinction.
Cette hypoth�se a pu �tre expliqu�e avec le concours d'un expert ornithologue.
N�anmoins, il n'a pas �t� possible de comprendre comment la configuration d'�clairage du quartier pouvait produire un contraste aussi net et lin�aire � l'altitude des oiseaux. Cela voudrait dire qu'un changement assez faible de l'�clairage peut faire appara�tre ou dispara�tre un oiseau blanc dans un ciel de nuit, ou alors qu'un �v�nement particulier ce soir-l� (on est un dimanche soir) ait conduit � des �clairages particuliers.
Le t�moignage est consistant. Il est pr�cis et a pu faire l'objet d'une reconstitution sur place.
En cons�quence le GEIPAN, classe le cas en B : observation probable d'oiseaux (migrants en formation).
L'explication d'un ph�nom�ne � oiseau � est r�cente au GEIPAN, il est possible que certaines observations pass�es non expliqu�es (ou mal expliqu�es), y compris moins �tranges (sans ce s�quencement particulier ici de lumi�res) puissent en fait relever de ce ph�nom�ne.
";"Observation du passage silencieux dans la nuit d'une formation en V de points lumineux et d�tachement de l'un de ces points : observation probable d'oiseaux (migrants en formation).";O;;1;;;;;;;2018-08-09;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.80;;0.65;0.00;B;B;2015-05-09209
3790;"PETITE-ROSSELLE (57) 10.05.2015";Moselle;57;"(D) D�partement";2015;05;10;"En aout 2015 un t�moin rapporte son observation faite dans la nuit du 9 au 10 mai 2015 � 3h40. Cette personne a observ� dans le ciel 12 � 15 objets brillants. Ces objets �taient de forme ronde et de couleur claire. L'ensemble �tait dispos� en demi cercle. Aucun bruit ne sera entendu durant l'observation qui dure 2 minutes. Un seul t�moignage sera recueilli.
Ce t�moignage donne trop peu d'information pour un traitement complet, m�me si l'observation de nombreuses boules une nuit de week-end (y compris ici selon une disposition en forme de demi cercle) fait n�anmoins penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le GEIPAN classe le cas en C : manque d'information.";"Observation dans le ciel nocturne des �volutions de 12 � 15 objets ronds brillants : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.00;0.00;;;0.20;;;;0.28;0.28;C;A;2015-05-09288
3791;"CLAMART (92) 06.06.2015";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2015;06;06;"Le 6 juin 2015 �17h30 un t�moin observe trois petits objets volant de couleur argent�, se d�pla�ant du NO vers SE, puis partant subitement � la verticale avant de dispara�tre.
Le relev� m�t�o locale indique un l�ger vent d'Ouest � 16h tournant au Nord-Ouest � 17h, puis Nord � 18h.
Le d�placement des objets est compatible avec celui du vent, ce qui fait penser � de simples petits ballons festifs, rendus argent�s par le soleil. Le d�part � la verticale et la disparition sont probablement la cons�quence de l'�clatement du ballon � une certaine altitude.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de ballons de baudruche.";"Observation de trois petits objets volant de couleur argent�, se d�pla�ant du NO vers SE, puis partant subitement � la verticale avant de dispara�tre : observation probable de ballons de baudruche.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;B;2015-06-09192
3792;"PLEUMEUR-BODOU (22) 06.06.2015";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2015;06;06;"Le samedi 6 juin 2015 � 10h10 un t�moin, pr�s d'un parc de loisir, est intrigu� par quelque chose qui tournoie dans le ciel. Le PAN effectue des petits cercles � la fa�on d'un oiseau tournant autour d'une proie ou d'un drone. Mais l'objet change soudain de trajectoire et part en direction du NO � une vitesse tr�s r�guli�re et sans bruit. L'objet est ensuite cach� par la v�g�tation. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce t�moignage traduit assez peu d'�tranget� per�ue par le t�moin car celui-ci dispose de une ou plusieurs explications possibles de son observation, oiseau fou de Bassan.. puis drone
Effectivement cela peut �tre l'un ou l'autre, bien que le drone (ludique) soit une hypoth�se plus compatible de toutes les phases de l'observation.
Nous sommes pr�s d'un parc de loisir (parc du Rad�me) en plein jour vers 10 h du matin un samedi. Il y a apriori beaucoup d'observateurs potentiels (le t�moin fait part d'autres personnes pr�sentes) du ph�nom�ne que ce soit hors du parc et � fortiori dans le parc. Pour autant nous ne disposons d'aucun autre t�moignage. Le plus probable est donc que le t�moin a assist� � quelque chose assez peu �trange et que ce peu �trange soit un drone ludique (la vid�o du t�moin ne montre rien, mais le son indique un �change o� une voix s'oppose � l'hypoth�se drone avec l'argument de la non visibilit� du pilote du drone, argument que conteste justement une autre voix).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de drone.";"Observation d'un objet tournant en cercle dans le ciel puis trajectoire rectiligne ; disparition cach� par la v�g�tation : observation probable de drone.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.45;0.00;;;0.80;;0.70;;0.55;0.00;B;B;2015-06-09193
3796;"CANNES (06) 16.06.2015";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2015;06;16;"Le mardi 16 juin 2015 vers 9h25 deux personnes sur une plage sont intrigu�es par la pr�sence dans le ciel d�gag� d'une forme d�crite comme d'abord triangulaire puis ronde compos�e de boules dont une sur deux est lumineuse et clignotante et l'autre blanche ou gris clair non clignotante. Le PAN forme ensuite une ligne droite de 6 objets distincts qui finissent par disparaitre � 10h10 en prenant de l'altitude. Aucun bruit n'est entendu durant les �volutions dans le ciel. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte tenu des �l�ments recueillis (voir le rapport d'enqu�te), � savoir :
-l'aspect, la couleur, la luminosit� et le comportement du PAN.
-les conditions m�t�o propices : soleil pr�sent et vent de transition, variable et tr�s faible, suite � la brise de terre.
-la p�riode estivale propice.
Nous pouvons conclure que le PAN observ� par les t�moins est certainement un ensemble de ballons de type ""Mylar"", li�s les uns aux autres, � haut pouvoir r�fl�chissant et ballot�s par le vent changeant.
Ce t�moignage est d'une bonne consistance : pr�cis, mais venant d'un t�moin unique et sans photo. L'observation est peu �trange car le PAN est finalement facilement caract�risable, aussi bien dans son apparence que dans son comportement.
Ce cas est � classer en � B � comme observation tr�s probable d'une grappe de ballons ""Mylar"".";"Observation des �volutions silencieuses d'un objet � la forme changeante dans le ciel d�gag� : probable observation d'une grappe de ballons ""Mylar"".";O;;;;;;;;;2016-02-24;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.85;;0.68;0.00;B;B;2015-06-09200
3798;"ORLY-SUR-MORIN (77) 14.06.2015";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2015;06;14;"Le 14 juin 2015 entre 03h28 et 03h45 un t�moin observe dans le ciel les �volutions particuli�res d'une forme ovale l�g�rement allong�e de couleur jaune-orang� de taille imposante. L'objet effectue silencieusement des d�placements et arr�ts successifs avant de disparaitre. Rejoignant une deuxi�me personne pour du co-voiturage, les deux t�moins observent de nouveau le ph�nom�ne puis l'apercevront encore sur une autre commune avant d'�tre perdu de vue. Les photos et vid�o faites par le t�moin ne sont pas exploitables. Un seul t�moignage sera recueilli.
Le ph�nom�ne observ� par les t�moins est en tout point compatible avec l'hypoth�se de la confusion avec un laser de discoth�que (� sky tracker �) utilis� une nuit de week-end (voir le compte rendu d'enqu�te).
Un tel �tablissement est pr�sent sur la commune de Jouy-sur-Morin, dans la zone th�orique de visibilit� d'un tel sky tracker. Bien que l'enqu�teur n'ait pu d�montrer l'utilisation le soir de l'observation d'un tel laser depuis cette discoth�que, l'hypoth�se explicative reste n�anmoins probable au vu des autres �l�ments testimoniaux.
Le GEIPAN rejoint l'hypoth�se formul�e par le t�moin m�me. L'objection qu'il formulait �tait l'absence de faisceaux montant du sol.
En fait, le faisceau de projection d'un laser peut �tre ou ne pas �tre visible, en fonction des conditions m�t�orologiques locales, la pollution jouant �galement tr�s certainement un r�le, ainsi que de la puissance lumineuse de ce faisceau. La pr�sence de fines particules en suspension dans l'atmosph�re est un facteur primordial et indispensable � la formation d'un faisceau lumineux. Ces particules peuvent �tre des gouttelettes d'eau, des microparticules de polluants, etc. A l'heure de l'observation, la visibilit� �tait bonne (plus de 20 km) et aucune pr�cipitation n'a �t� relev�e. Les conditions �taient donc plut�t favorables pour qu'un faisceau lumineux de laser ne soit pas visible.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en � B � : probable animation laser de Sky Tracer ou Sky Rose.";"Observation dans diff�rents lieux des �volutions silencieuses dans le ciel d'une grande forme ovale jaune-orang�e : probable observation d'animation laser d'un Sky Tracer ou Sky Rose.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.30;0.00;;;0.75;;0.80;;0.60;0.00;B;B;2015-06-09203
3799;"MENNECY (91) 13.06.2015";Essonne;91;"(D) D�partement";2015;06;13;"Le 13 juin 2015 � 23h20, plusieurs personnes en terrasse observent dans le ciel une forme de couleur orange qui se d�place silencieusement sur une trajectoire rectiligne. A 0h05 deux des t�moins verront de nouveau dans le ciel le d�placement silencieux d'une forme orange. Intrigu�s ils appelleront la gendarmerie qui d�p�chera une patrouille. Un seul t�moignage est recueilli sur ce ph�nom�ne.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� d'abord du Nord-Ouest vers le sud-Ouest, puis de l'Est vers l'Ouest, ce qui est compatible avec le l�ger vent de Nord � 23h s'orientant Nord Est vers 0h, relev� � Orly (voir le relev� M�t�ociel du jour de l'observation pour 23h et 0h ; et celui du dimanche 14 juin � 1h du matin (M�t�ociel).
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observations � 23h20 puis � 0h05 du d�placement silencieux d'une forme orange dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;A;2015-06-09205
3800;"PIERREVERT (04) 10.06.2015";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";2015;06;10;"Le 10 juin 2015 vers 00:20, une personne entend un bruit grave venant de l'ext�rieur. Depuis sa terrasse, le t�moin observe durant 3 minutes environ un engin volant �mettant un bruit �voquant un moteur de tondeuse � gazon. L'objet est circulaire, de couleur sombre, et entour� d'un halo vert fluorescent. L'objet vient de l'Ouest et se dirige vers l'Est en ligne droite avant de disparaitre dans les nuages bas en cette journ�e orageuse. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
La description d'un engin volant vert fluo faisant un bruit de tondeuse � gazon fait penser � un paramoteur (parapente � moteur) en vol de nuit, la voile �clair� par un projecteur dans le dos du pilote (Voir un exemple sur Vol de nuit avec lumi�re frontale).
Un club de paramoteur de Manosque a �t� consult� pour savoir si cette pratique �tait fr�quente dans la r�gion : il a �t� r�pondu que le vol de nuit en paramoteur n'est pas pratiqu� dans la zone � sa connaissance. Ces vols sont tr�s encadr�s, tol�r�s sur d�rogation (voir la r�glementation a�rienne du Vol Libre) par temps clair et les nuits proches de la pleine lune, autant de conditions non remplies ce jour-l� (temps nuageux, dernier quartier).
Cette hypoth�se qui correspond pourtant assez bien � la description du t�moin, ne peut donc �tre confirm�e, et s'av�re donc extr�mement peu probable, mais pas impossible.
le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information et de recoupement.";"Observation du passage d'un objet volant sombre avec un halo vert fluorescent et un bruit de tondeuse � gazon : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.70;;0.63;0.00;C;B;2015-06-09206
3801;"VIEU (01) 20.06.2015";Ain;01;"(D) D�partement";2015;06;20;"Le 20 juin 2015 vers 23h une automobiliste aper�oit trois points lumineux rouge orang� qui se d�placent silencieusement du Nord au Sud. Au m�me moment une lumi�re verte vive se d�place d'Est en Ouest.
Ce t�moignage d�crit deux ph�nom�nes distincts :
-Trois points lumineux rouge orang� se d�pla�ant lentement du Nord vers le Sud durant plusieurs minutes.
-Une lumi�re verte tr�s vive, se d�pla�ant tr�s rapidement vers l'Ouest.
Le t�moin fait naturellement le lien entre les deux ph�nom�nes, qui s'av�rent en fait fortuits. En effet, les premiers ph�nom�nes ont toutes les caract�ristiques les lanternes tha�landaises, observ�es fr�quemment les samedi soirs d'�t�, lanc�es � l'issue des mariages ou autres f�tes. Leur d�placement vers le Sud est conforme au vent de Nord relev� � Lyon-St Exupery (voir le relev� m�t�o .
Le ph�nom�ne vert a toutes les caract�ristiques d'un bolide.
Celui-ci a �t� observ� simultan�ment par plusieurs t�moins dans la r�gion : dans l'Ain , la Sa�ne et Loire, la Ni�vre, le Rh�ne. Malheureusement, le r�seau de cam�ras BOAM n'a pas enregistr� ce bolide, probablement pour cause de couverture nuageuse sur les lieux de ces cameras.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaise, simultan�ment � un bolide.";"Observations simultan�es de deux ph�nom�nes lumineux dans le ciel : observation probable de lanternes tha�landaise, simultan�ment � l'observation d'un bolide.";O;;;;;;;;;2015-09-29;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;B;2015-06-09208
3802;"PERREUX-SUR-MARNE (LE) (94) 08.06.2015";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2015;06;08;"Le 8 juin 2015 � 2h30 un t�moin observe, par une fen�tre de toit, 10 points (environ) lumineux rouge-orang� qui se d�placent silencieusement en ligne droite dans le ciel nocturne. Les points disparaissent progressivement. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de points lumineux rouges-orang�s traversant le ciel en moins d'une minute, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
L'arriv�e et disparition progressive des lumi�res est assez caract�ristique de ces objets lanc�s � la cha�ne, et d'une dur�e de vie de quelques minutes (selon le br�leur).
Le d�placement est observ� de l'Est vers le Sud, ce qui est compatible avec le vent de Nord Ouest � Nord Nord relev� � Neuilly-sur-Marne (voir le relev� Infoclimat � Roissy � 20km : on note un l�ger vent de Nord-Ouest.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage d'une dizaine de points lumineux rouge-orang� dans le ciel nocturne ; extinction rapide : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.38;0.13;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;B;2015-06-09210
3803;"NANTES (44) 25.06.2015";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2015;06;25;"Le 25 juin 2015 vers 3h15 un t�moin observe durant 10 � 15 secondes un point lumineux se d�pla�ant de fa�on rectiligne, identifi� comme un satellite. Puis il voit un autre point lumineux, plus gros, de couleur blanc et orang�, avan�ant � grande vitesse, sans clignoter et en silence. Celui-ci semble s'arr�ter pour changer brusquement de trajectoire et disparaitre.
Le relev� du simulateur de passages de satellites ""Calsky"" nous indique qu'� cette heure l�, ce jour l�, de nombreux satellites sont visibles sur des trajectoires proches de la direction N-S ou S-N. Le satellite COSMOS 2428 visible sur une trajectoire apparente N NO vers S entre 3h et 3h12 semble �tre celui qu'a vu le t�moin (sans certitude, car d'autres satellites peuvent convenir), mais c'est un autre ph�nom�ne lumineux qui retient son attention, bien plus brillant, sur une trajectoire Sud -> Nord, qui a disparu au bout de 10 � 15 secondes.
Le relev� Calsky, et aussi celui de Heavens-above, nous indiquent depuis Nantes � 3h25 la visibilit� d'un flash du satellite Iridium 52, lequel orbite sur une trajectoire S->N.
Voir une information sur les flash des satellites Iridium.
Le t�moin d�crit ensuite un virage � angle droit, une soudaine acc�l�ration avant la disparition : ce type de description est fr�quent pour les satellites qui rentre dans l'ombre de la terre, ou dont l'�clat cesse subitement du fait du changement d'orientation par rapport au soleil. La baisse subite de luminosit� est inconsciemment interpr�t�e comme un �loignement.
Le GEIPAN classe ce cas A : observation du flash du satellite Iridium 52.";"Observation du d�placement et de la disparition d'un point lumineux dans le ciel nocturne : observation du flash du satellite Iridium 52.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2015-06-09211
3805;"SAINT-LEGER-DES-VIGNES (58) 30.06.2015";Ni�vre;58;"(D) D�partement";2015;06;30;"Le 30 juin 2015 entre 23h30 et minuit un t�moin constate longuement deux lumi�res inhabituelles dans le ciel, de couleur jaune orang�, positionn�es l'une au-dessus de l'autre. Il prend plusieurs clich�s.
L'observation de points lumineux se mouvant tr�s lentement dans le ciel oriente imm�diatement vers une origine astronomique. Une v�rification sur la carte du ciel nous indique que ce soir l� les plan�tes V�nus et Jupiter �taient visibles au plus pr�s, peu au-dessus de l'horizon O/NO : ce ph�nom�ne rare de proximit� apparente s'appelle conjonction.
Les cartes du ciel ci-jointes montrent l'aspect du ph�nom�ne � 23h33, puis � 23h55 lorsque les plan�tes �taient pr�tes � dispara�tre sous l'horizon.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" comme parfaitement expliqu� : conjonction de V�nus et Jupiter.";"Longue observation de deux points lumineux se d�pla�ant tr�s lentement l'un au-dessus de l'autre : conjonction de V�nus et Jupiter.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2015-06-09214
3806;"NEUILLY-LES-DIJON (21) 14.06.2015";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";2015;06;14;"Le dimanche 14 juin 2015 � environ 5h10, un t�moin � sa fen�tre est intrigu� par le passage successif et silencieux de 7 � 8 ph�nom�nes lumineux, sph�riques et orang�s dans le ciel. L'observation durera environ 10 minutes avant qu'ils ne disparaissent dans les nuages. Le t�moin a eu le temps de prendre des photographies : malheureusement elles seront illisibles. Le t�moin se rendra en gendarmerie. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne. Aucune explication n'a �t� vue dans la presse locale les jours suivants.
L'observation de lumi�res orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Sud-Ouest vers le Nord-Ouest : si ce sont des objets port�s par le vent, ce serait alors un vent de Sud ou de Sud Est. Le relev� M�t�ociel (voir le document m�t�o), pris � l'endroit exact de l'observation (base a�rienne de Dijon) fait �tat d'un vent tr�s variable ind�termin� � 5h, faible de sud-est � 4h � Est � 6h. Ce relev� m�t�o ne permet ni de confirmer ni d'infirmer que les objets observ�s sont bien des objets port�s par le vent.
D'autre part, le GEIPAN a demand� un relev� des traces radars primaires autour de Dijon � ce moment-l� : le relev� n'indique que des avions de ligne � haute altitude.
Les photos faites par le t�moin s'av�rent inexploitables, preuve de la faiblesse des lumi�res observ�es.
Malgr� un t�moignage compatible avec les lanternes tha�, le GEIPAN n'a pas assez d'�l�ments pour confirmer cette hypoth�se, et classe ce cas ""C"" par manque d'information et de recoupements.";"Observation du passage silencieux de 7 � 8 objets sph�riques orang�s dans le ciel : manque d'information et de recoupements.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2015-06-09220
3807;"SALLES-CURAN (12) 15.06.2015";Aveyron;12;"(D) D�partement";2015;06;15;"Le 15 juin 2015 un t�moin observe et filme vers 23h15 une �toile lumineuse en direction du NO dans le ciel mais reste intrigu� par une sph�re plac�e devant l'�toile. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Ce t�moignage est d'une assez bonne consistance : bien que peu pr�cis et venant d'un t�moin unique, il est accompagn� de deux vid�os exploitables. La seule hypoth�se envisag�e est celle de la confusion avec un d�faut optique sur l'image d�focalis�e de la plan�te V�nus, captur�e avec un fort zoom (voir le compte rendu d'enqu�te).
Compte tenu des �l�ments recueillis, ce cas est class� en � A � comme observation de la plan�te V�nus avec un camescope dot� d'un fort zoom, avec une mise au point d�cal�e provoquant un artefact dans l'image.";"Observation et vid�os d'une sph�re devant une �toile : observation de la plan�te V�nus avec un camescope dot� d'un fort zoom, avec une mise au point d�cal�e provoquant un artefact dans l'image.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2015-06-09234
3808;"BRUNSTATT (68) 24.06.2015";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2015;06;24;"Le 24 juin 2015 vers 21h45 (date du 25 juin est mentionn�e par erreur sur le questionnaire par le t�moin) une personne, regardant la TV, a son regard attir� � l'ext�rieur par le d�placement d'une dizaine de lueurs vives de couleurs planant au-dessus de la colline et de la cime des arbres. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation d'une quinzaine de minutes. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de lumi�res volantes traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des ballons lumineux (ballons � LED ou lanternes tha�), probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e (F�te de la Saint-Jean ?).
Le t�moin indique dans son r�cit un d�placement vers l'Ouest, mais le dessin indique un d�placement du NNe vers SSO (voir la reconstitution cartographique). Le d�placement est observ� globalement du Nord vers le Sud, ce qui est compatible avec le vent de Nord Ouest � Nord relev� � Mulhouse-B�le (� 21h : l�ger vent de Nord de 7 � 11 km/h s'orientant � l'Ouest � 23h :M�t�ociel.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de ballons lumineux � LED ou de lanternes tha�. Les couleurs multiples et la longue dur�e du ph�nom�ne oriente plut�t vers des ballons � LED, car les lanternes tha� ont le plus souvent une dominante jaune orang�e du fait de la flamme qui est source de lumi�re.";"Observation du d�placement silencieux d'une dizaine de ph�nom�nes lumineux de couleurs dans le ciel : observation probable de ballons lumineux � LED ou de lanternes tha�.";O;;;;;;;;;2016-06-22;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.80;;0.56;0.00;B;B;2015-06-09235
3809;"AURONS (13) 05.06.2015";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2015;06;05;"Le vendredi 5 juin 2015 vers 23h15, un t�moin et sa femme observent depuis la fen�tre de leur salle de bain situ�e au Nord, le passage lent et silencieux de lumi�res de couleur rouge dans le ciel d�gag�. Les lumi�res se d�placent vers l'Est. Le t�moin rapporte son observation en gendarmerie. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Nord vers l'Est, ce qui peut �tre compatible avec le tr�s faible vent instable observ� � Salon-de-Provence � environ 10 km (voir le relev� METEOCIEL).
Du fait de la m�connaissance du vent local � l'instant pr�cis de l'observation, le GEIPAN ne peut confirmer cette hypoth�se de lanternes tha�landaises.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque de photo et manque d'information du vent local.";"Observation du d�placement lent et silencieux de lumi�res rouges : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.40;0.00;;;0.80;;0.50;;0.40;0.00;C;B-;2015-06-09255
3812;"VILLENEUVE (04) 03.07.2015";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";2015;07;03;"Le 3 juillet 2015 � 22h29 plusieurs personnes sont intrigu�es par la pr�sence dans le ciel nocturne d'un ph�nom�ne lumineux particulier. Un seul t�moin rapporte qu'elle a observ� durant 3 � 4 minutes deux rang�es de lumi�res rondes, blanches, parall�les et horizontales, sans halo. Ces lumi�res forment progressivement un triangle, sans bruit apparent et entament une courbe avant de disparaitre � l'Ouest.
L'observation r�p�t�e de lumi�res dans le ciel, organis�es selon des formes g�om�triques r�guli�res, �voque une patrouille a�rienne en exercice ou d�monstration.
Une v�rification aupr�s de la Patrouille de France, bas�e � Salon de Provence, nous indique que la patrouille a exceptionnellement vol� de nuit dans cette r�gion les 1 et 3 juillet : le 1er juillet pour r�p�ter la d�monstration qui a eu lieu le 3 pour le bapt�me des promotions sortantes. Le silence qui accompagne l'observation est tout � fait normal car le bruit d'un avion vu de face, � plus de quelques km, est tr�s faible. Les 8 Alphajets de la Patrouille de France sont �quip�s de puissants phares visibles � plus de 10 km dans l'axe de vol. Lorsque les avions virent, le faisceau du phare change de direction, et les observateurs situ�s dans l'axe initial de vol le voient ainsi brusquement dispara�tre. Ces avions, vus de c�t�, ne sont visibles que par leurs feux de position rouge ou vert, insuffisamment puissants pour �tre visibles � grande distance. Vus de face, le rapprochement n'est pas perceptible, les avions semblent immobiles, seul le d�placement lat�ral est per�u, et peut �tre faible.
Le GEIPAN a re�u aussi des rapports d'une observation de la m�me patrouille vue le 1er juillet, depuis Valensole, Lurs, Sainte-Tulle � une dizaine de km de l�. Lors des premiers jours de juillet, le GEIPAN re�oit chaque ann�e, depuis 2008, des rapports d'observation similaires en Provence dont une en particulier a �t� signal�e � Villeneuve le 5 juillet 2013.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation certaine des 8 Alphajets de la patrouille de France.
Voir une vid�o de la Patrouille de France en vol de nuit sur Paris.
";"Observation des �volutions de lumi�res dans le ciel nocturne : observation certaine des 8 Alphajets de la Patrouille de France.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2015-07-09219
4026;"ESTANDEUIL (63) 05.03.2016";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";2016;03;05;"Le 5 mars 2016 vers 23h un t�moin est intrigu� par un point lumineux qui semble stationnaire dans le ciel. Il observe le ph�nom�ne � travers une longue vue et distingue des faisceaux bleu, violet et blanc. Son �pouse pr�sente �galement pense � une �toile ou une plan�te scintillante.
Le t�moin signale le point dans un azimuth de 236� (mais mesur� indirectement sur Geoportail) et une �l�vation inf�rieure � 15�. Enfin l'�pouse du t�moin consid�re avoir vu comme une �toile, mais avec une couleur violette.
Or entre 23H et 23H30, Sirius �volue entre l'azimut 215�(SSO) � une �l�vation de 15� et l'azimut 225� (SO) � une �l�vation de 13� (voir en pi�ce jointe carte du ciel avec Stellarium).
Le PAN ne peut donc �tre que Sirius, sinon le t�moin aurait signal� �galement Sirius (ou une �toile tr�s visible en ciel d�gag�, surtout quand on regarde � longue vue!) � proximit� imm�diate du PAN.
Le t�moin principal a vu Sirius et a �t� tromp�, ce qui est classique, par les lueurs et couleurs changeantes de Sirius � basse �l�vation, et ce peut �tre plus encore du fait d'une observation au travers d'une vitre. En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation de Sirius";"Observation d'un point lumineux blanc dans le ciel avec des scintillations de couleurs dans le ciel nocturne : observation de Sirius � basse altitude.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.10;0.00;;;0.70;;;;0.53;0.48;A;A;2016-03-09428
3815;"VILLEFORT (48) 02.07.2015";Loz�re;48;"(D) D�partement";2015;07;02;"Le jeudi 2 juillet 2015 � 22h30 plusieurs personnes observent le lent d�placement silencieux N-S d'une boule lumineuse de couleur orang�e, qui disparait derri�re les nuages. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation d'une boule de feu flottant lentement dans le ciel selon une trajectoire semblant al�atoire �voque un objet enflamm� port� par le vent, par exemple une lanterne tha�landaise.
Le r�seau Infoclimat indique un l�ger vent d'ouest relev� au Mas-de-la-Barque, � 5 km.
M�t�ociel indique un vent faible instable relev� � Mende, � 35 km.
Ces �l�ments, ajout�s au fait que l'observation a eu lieu au coeur d'une vall�e relativement encaiss�e rendent impossible la d�termination du vent r�el � basse altitude. Les vents � basse altitude sont tr�s complexes en zone montagne.
Cette hypoth�se de lanterne tha�landaise, qui reste conforme � l'observation, ne peut �tre confirm�e.
Le GEIPAN a envisag� un ph�nom�ne de type plasma : mais il n'y a pas du tout de contexte orageux, ni d'environnement sismique.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque de recoupements.";"Observation du lent d�placement silencieux N-S d'une boule lumineuse de couleur orang�e ; disparition derri�re les nuages : manque d'informations et de recoupements.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2015-07-09223
3816;"COUERON (44) 03.07.2015";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2015;07;03;"Le 3 juillet 2015 vers 1h10 du matin un t�moin observe, dans la nuit noire, quatre ""�toiles"" align�es verticalement et inclin�es vers la droite, espac�es r�guli�rement. Puis le groupe se dissocie et les points �voluent diff�remment par deux. Les lumi�res finissent par s'�teindre.
Une v�rification des passages de satellites sur le site Calsky (cf relev� ci-joint) nous indique � cet instant pr�cis le passage de deux groupes de deux satellites remarquables :
-le doublet de satellites USA 62/NOSS 2-1C et USA 62/NOSS 2-1B
-le satellite ADEOS 2 H2A Rocket et le ""d�bris"" Yaogan 1 LM Rocket,(le plus brillant des 4) qui semblent ""voguer"" ensemble mais sont en fait � des altitudes tr�s diff�rentes.
Le spectacle rare que d�crit le t�moin est absolument conforme au mod�le rendu par Calsky � partir des param�tres d'orbite publi�es par le NORAD(USA).
Du fait de l'arr�te de l'�clairage public, le t�moin aura particuli�rement remarqu� ce passage coordonn� assez exceptionnel ; on note m�me qu'une autre paire de satellites �tait visible sur une trajectoire proche quelques minutes avant : Cosmos 1689 Rocket et Landsat 5.
Cette p�riode de l'ann�e est tr�s propice � l'observation d'un maximum de satellites sur des axes proches de Sud Nord ou Nord Sud.
Le GEIPAN classe ce cas A : observation de satellites.";"Observation dans le ciel d'un groupe de lumi�res qui se dissocient et �voluent ind�pendamment mais par deux : observation de satellites.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2015-07-09224
3817;"SAINT-JORIOZ (74) 04.07.2015";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2015;07;04;"Le t�moin observe chaque soir (sans pr�ciser depuis combien de temps) � partir de 21h45 un point lumineux, bient�t suivi d'un second, moins lumineux. Ces points �voluent lentement ensemble et disparaissent cach�s par le paysage.
L'observation longue et r�p�t�e de points lumineux dans le ciel fait �videmment penser � un banal ph�nom�ne astronomique : �toiles ou plan�tes.
Une v�rification avec une carte du ciel indique effectivement V�nus et Jupiter exactement dans l'axe d'observation du t�moin.
Il est regrettable que le t�moin, pourtant de haut niveau d'�tude universitaire, n'ait pas pens� tout seul � un ph�nom�ne astronomique ; il a �t� visiblement trop influenc� par les �missions TV sur la question des OVNIs.
Le GEIPAN classe ce cas A : observation de V�nus et Jupiter.";"Observations longues et r�p�t�es de deux points lumineux dans le ciel nocturne : observations de V�nus et Jupiter.";O;;;;;;;;;2015-08-03;;;0.10;0.00;;;0.80;;0.90;;0.72;0.00;A;A;2015-07-09225
3818;"DIDENHEIM (68) 05.07.2015";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2015;07;05;"Le 5 juillet 2015 � 22h30 un t�moin observe, � travers sa baie vitr�e, un point lumineux jaune venant dans sa direction. Il sort alors sur sa terrasse et voit l'objet bifurquer en clignotant rapidement, avant de disparaitre � toute vitesse. Le t�moin filme son observation : on y voit au loin des lampadaires et le point lumineux en d�placement. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Cette puissante lumi�re jaune (voir photo), dont on observe des clignotements (voir vid�o), qui se d�place lentement bas sur l'horizon, �voque un avion se pr�parant � un atterrissage.
La disparition apparente du ph�nom�ne correspond au changement de cap de l'avion qui n'est alors plus face au t�moin.
Dans cette configuration, un avion est visible � plus de 20 km. Le t�moin est situ� � 20 km de l'a�roport de B�le Mulhouse au trafic important, et � 10 km de l'a�rodrome de loisir de Mulhouse-Habsheim.
Le GEIPAN n'a pas trait� ce cas assez vite pour pouvoir d�terminer quel avion aurait �t� impliqu� dans cette observation.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'un avion s'appr�tant � atterrir. Vent de Sud Ouest � Ouest relev� � Mulhouse : voir M�t�ociel.
";"Observation de nuit du d�placement d'un point lumineux avec clignotement � basse altitude dans le ciel : probable observation d'un avion s'appr�tant � atterir.";O;;;;;;;;;2016-08-22;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;B;B;2015-07-09226
3820;"RENTREE ATMOSPHERIQUE (11) 09.07.2015";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2015;07;09;"Le 9 juillet 2015 vers 19h deux t�moins dans le d�partement de la Seine-et-Marne (77) observent le passage rapide d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Le ph�nom�ne est d�crit comme une boule lumineuse avec une train�e.
Cette observation durant quelques secondes d'une boule lumineuse suivie d'une tra�n�e est typique du ph�nom�ne de bolide. Voir l'article un bolide?.
Le GEIPAN a re�u un autre rapport d'observation simultan� et le site sp�cialis� IMO (International Meteor Organization) en a re�u 14. (voir sur le site IMO.
Le GEIPAN classe donc ce cas A : observations certaines d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de, ayant provoqu� un bolide.";"Observations du passage d'une boule lumineuse dans le ciel : observations d'une rentr�e atmosph�rique.";O;;;;;;;;;2017-01-25;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2015-07-09229
3822;"VILLENEUVE-TOLOSANE (31) 09.07.2015";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2015;07;09;"Le 9 juillet 2015 � 17h30 un t�moin dans son jardin aper�oit un objet sph�rique blanc en vol stationnaire. La sph�re avance, recule, part � droite, � gauche puis prend tr�s rapidement une trajectoire ascendante rectiligne et disparait dans le ciel. L'observation a dur� 3 minutes. Aucun bruit n'est entendu. Un seul t�moignage est rapport�.
A la lecture de ce rapport d'observation, le GEIPAN a pens� � un ballon d'enfant d'abord captif, soumis aux al�as du vent, ou � la volont� de son propri�taire, puis l�ch� volontairement ou pas. Cette hypoth�se assez insolite peut convenir � l'observation, mais ne peut �tre consolid�, en l'absence de photo vid�o ou d'autres t�moignages.
Le relev� M�t�ociel l indique � Blagnac un vent de Nord Ouest soutenu.
De ce fait, malgr� une hypoth�se convenable, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information et de recoupements.";"Observation des �volutions silencieuses d'une sph�re blanche. Disparition dans le ciel : manque d'informations et de recoupements.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.40;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;C;B;2015-07-09231
3824;"CHAMBERY (73) 06.07.2015";Savoie;73;"(D) D�partement";2015;07;06;"Le 6 juillet 2015 � 22h45 deux personnes observent le passage de multiples points lumineux dans le ciel (entre 15 et 20). Ces points de couleur rose-orang� sont en ligne et se d�placent silencieusement en direction d'Aix-Les-Bains dans le ciel d�gag�. L'observation dure eviron 10 � 15 secondes. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de boules orang�es traversant le ciel en moins d'une minute, une nuit d'�t�, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Sud vers le Nord, ce qui est compatible avec le vent de Sud relev� � Chamb�ry-Aix-Les-Bains. Le relev� de M�t�ociel du jour de l'observation indique un vent de Sud l�ger de 2 � 9 km/h relev� � Chamb�ry .
L'estimation de distance faite par le t�moin ne peut pas �tre exacte puisqu'il n'a jamais vu ce type d'objet. Du fait que les lanternes tha�landaises sont intrins�quement peu lumineuses (grosse flamme de bougie), elles sont toujours per�ues plus lointaines et donc plus grosses et plus rapides qu'elles ne sont vraiment. Voir l'article estimation de taille et de distance d'un ph�nom�ne inconnu sur le site du GEIPAN.
Le d�placement tr�s r�gulier des objets dans le ciel est tout � fait normal pour un objet port� par un l�ger vent ; si les objets survolent des zones industrielles avec de fortes ventilations ou de grosses sources de chaleur, la trajectoire est bien s�r irr�guli�re. Comme les lanternes sont souvent l�ch�es les unes apr�s les autres, apr�s le m�me d�lai correspondant au temps de l'allumage du br�leur, le r�sultat est une file tr�s organis�e de lumi�res volantes. Les vid�os mentionn�es par le t�moin semblent tout � fait correspondre � des l�chers de lanternes tha�landaises.
Le PAN pr�sente en effet toutes les caract�ristiques type d'un tel objet : clignotements brefs et intenses, observation courte, d�placement lent, aspect d'une �toile ou d'un satellite. Malheureusement, le manque de pr�cision du t�moignage concernant l'horaire emp�che l'identification formelle du satellite, bien que le satellite Iridium 73, connu pour ses clignotements r�guliers, ait effectu� un passage directement dans la zone indiqu�e par le t�moin, � un horaire tr�s proche.
Ce cas est class� B, probable m�prise avec un satellite hors-contr�le en rotation rapide sur lui-m�me.";"Observation d'une petite �toile clignotant � fr�quence r�guli�re, puis se d�pla�ant en ligne droite, clignotant � nouveau puis disparaissant dans le ciel d�gag� : probable m�prise avec un satellite hors-contr�le en rotation rapide sur lui-m�me.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.50;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;D1;2015-07-09236
3826;"GAHARD (35) 01.07.2015";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2015;07;01;"Le 1er juillet 2015 entre minuit et 0h15 un t�moin observe dans le ciel d�gag� le passage d'un point lumineux. Deux secondes plus tard le t�moin observe � nouveau le passage de deux autres points lumineux. Les trois points se suivent � la m�me vitesse, vont strictement dans la m�me direction. Aucun clignotement, aucun bruit particulier ne sont remarqu�s. Les points disparaissent du fait de la luminosit� de la Lune. L'observation dure entre 15 et 20 secondes. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
D'�tranget� et de consistance moyenne (t�moin unique, description pr�cise), ce cas s'av�re �tre une m�prise avec un triplet particulier de satellites : les satellites militaires chinois Yaogan 20A, B et C.
Le PAN pr�sente en effet toutes les caract�ristiques type d'un tel triplet : luminosit�, trajectoire et horaire parfaitement coh�rents.
Ce cas est class� A, observation de triplet de satellites Yaogan 20A, B et C.";"Observation du passage de trois points lumineux qui se suivent : observation de triplet de satellites Yaogan 20A, B et C";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2015-07-09237
3827;"ROMILLY-SUR-SEINE (10) 15.07.2015";Aube;10;"(D) D�partement";2015;07;15;"Le 15 juillet 2015 � 23h45 un t�moin regardant les �toiles observe le passage d'un satellite puis reste surpris de voir un objet volant de forme triangulaire form� par trois cercles orange de faible intensit� � chaque extr�mit�. Le ph�nom�ne est fugitif et disparait tr�s vite au NO dans le ciel d�gag�. L'observation a dur� 5 secondes. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce t�moignage est d'une consistance moyenne : peu pr�cis et venant d'un t�moin unique et sans photo. L'observation est peu �trange car le comportement et l'apparence du PAN sont finalement banals.
Consid�r� dans son ensemble et en attente de pr�cisions du t�moin relatives aux mesures angulaires du PAN, de son d�placement et de certaines conditions d'observation, ce cas est class� provisoirement en � C � : observation d'un ph�nom�ne non identifiable en l'�tat, le manque important d'�l�ments ne permettant pas d'�tablir un avis solide.";"Observation du passage rapide dans le ciel nocturne d'une forme triangulaire form�e par trois cercles orange de faible intensit� � chaque extr�mit� : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.40;0.00;;;0.80;;0.50;;0.40;0.00;C;B-;2015-07-09238
3830;"BRAINS (44) 21.07.2015";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2015;07;21;"Le 21 juillet 2015 � 2h du matin un t�moin observe les �toiles lorsqu'il voit un flash s'intensifiant puis diminuant. Il constate le m�me effet deux minutes plus tard. Un seul t�moignage est recueilli.
D'�tranget� et de consistance faibles (t�moin unique, pas de photo), ce cas s'av�re �tre une m�prise tr�s probable avec deux flashs satellitaires (voir le document Notes d'enqu�te).
Le PAN pr�sente en effet toutes les caract�ristiques type d'un tel ph�nom�ne : augmentation puis diminution de luminosit�, flash lent, position statique dans le ciel.
De plus, plusieurs satellites hors-contr�le, connus pour montrer des flashs puissants, sont pass�s dans un secteur proche de celui de l'observation du PAN. N�anmoins, le t�moignage manquant de pr�cision, il n'est pas possible d'identifier formellement le ou les satellites responsables de l'observation.
Ce cas est class� B, m�prise tr�s probable avec deux flashs satellitaires.";"Deux observations successives de deux flahes dans le ciel nocturne : m�prise tr�s probable avec deux flashs satellitaires.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.50;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;D1;2015-07-09241
3832;"TAILLAN-MEDOC (LE) (33) 19.07.2015";Gironde;33;"(D) D�partement";2015;07;19;"Le dimanche 19 juillet 2015 vers minuit et quart un t�moin observe durant 30 secondes une boule lumineuse de couleur rouge orang�, �voluant � vitesse rapide d'Ouest en Est avant de disparaitre dans les nuages. Il constate ensuite sur les photos prises des asp�rit�s lumineuses. Cinq autres personnes ont observ� le ph�nom�ne mais un seul questionnaire bien document� a �t� recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs d�finis dans le compte rendu d'enqu�te (voir document joint), � savoir :
- Couleur rouge-orang�e identique � celle de lanternes.
- Dur�e d'observation courte (environ 30 secondes) compatible avec la dur�e de vie des lanternes.
- D�placement dans le sens du vent dominant.
- Jour : un samedi soir, jour compatible avec ceux propices � l'organisation de lancers de lanternes � l'occasion de c�l�brations.
- Illusion de disparition caus�e par l'extinction de la lanterne ou de son entr�e dans la couche nuageuse.
- Absence de bruit.
Le GEIPAN classe ce cas en � B � comme observation probable d'une lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement O-E d'un ph�nom�ne lumineux orang� dans le ciel nocturne : observation probable d'une lanterne tha�landaise.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;B;2015-07-09246
3833;"SAINT-MARTIN-DE-PEILLE (06) 20.07.2015";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2015;07;20;"Le 20 juillet 2015 deux personnes � leur domicile sont intrigu�es par le d�placement lent dans le ciel d'un objet avec plusieurs lumi�res de couleurs diff�rentes. Un ronflement de moteur est entendu. Le PAN se d�place de fa�on rectiligne du Nord vers le Sud. L'observation dure entre 4 et 7 minutes. Un seul t�moignage est adress� au GEIPAN.
Compte tenu des �l�ments recueillis (voir le compte rendu d'enqu�te), � savoir :
- Observation de feux dont les couleurs sont identiques � celles des feux de navigation des a�ronefs.
- Positionnement de ces feux correct par rapport au sens de d�placement du PAN et la position des t�moins.
- Observation du faisceau d'un phare de recherche assimilable � celui �quipant les h�licopt�res de la s�curit� civile et de la Gendarmerie.
- Perception d'un bruit de moteur identique � celui d'un avion.
Le GEIPAN classe ce cas en � B � comme observation probable d'un h�licopt�re.
Etant donn� la faible �tranget� de l'observation, le GEIPAN n'a pas men� de recherches aupr�s de la gendarmerie nationale ou du contr�le a�rien.";"Observation du passage dans le ciel d'un objet compos� de plusieurs lumi�res ; bruit de ronflement de moteur entendu : observation probable d'un h�licopt�re.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.40;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;B;2015-07-09247
3834;"SAINT-REMY-DE-PROVENCE (13) 16.07.2015";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2015;07;16;"Le jeudi 16 juillet 2015 � 22h21 un t�moin est surpris de voir voler � basse altitude un objet qui lui parait en flamme. Il vole silencieusement d'Ouest en Est puis s'immobilise et change de trajectoire. Il disparait en moins de quelques secondes, � la verticale du sol avec une acc�l�ration ""surprenante"". Le t�moin a le temps de prendre une photo avec son t�l�phone et d�couvre sur la photo une ""boule de feu"" orange. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis (voir le compte rendu d'enqu�te), � savoir :
- la couleur orang�e identique � celle de lanternes.
- le comportement identique � celui d'un objet soumis � un vent nul ou faible (vitesse mod�r�e).
- le d�placement dans le sens du vent dominant.
- la dur�e d'observation courte (1 minute) compatible avec la dur�e de vie des lanternes.
- l'illusion de disparition caus�e par l'extinction de la lanterne.
- l'absence de bruit.
- la p�riode de l'ann�e et lieu propice aux f�tes.
Le GEIPAN classe ce cas en � B � comme observation probable d'une lanterne tha�landaise.";"Observation du vol silencieux d'une boule de feu et disparition subite : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2016-02-24;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;B;B;2015-07-09248
3835;"LANCON-PROVENCE (13) 03.07.2015";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2015;07;03;"Le 3 juillet 2015 vers 22h lors d'une r�union de famille, un t�moin et son fils partent au fond du jardin familial. Un bruit sourd grave et profond est alors entendu puis le t�moin observe au-dessus des arbres de la maison voisine une masse en d�placement. De nombreuses lumi�res (une centaine) non clignotantes sont vues en-dessous de la masse. Le t�moin veut alerter les autres personnes mais le bruit important l'en emp�che. Personne dans le groupe n'aura vu le ph�nom�ne mais tous ont entendu le bruit sourd. Un seul t�moignage sera recueilli.
Cette observation de multiples lampes multicolores sous une masse sombre est tout � fait atypique. Le bruit de moteur relev� par le t�moin oriente vers une hypoth�se a�ronautique. Une v�rification cartographique (voir la carte jointe) nous indique que le t�moin est dans l'axe des pistes de Salon-de-Provence, d'o� d�colle la Patrouille de France, particuli�rement active � cette p�riode de l'ann�e, pour pr�parer les d�monstrations de fin de promotion et du 14 juillet.
Une v�rification aupr�s de la Patrouille de France nous indique un d�collage � 21h49 pour un vol d'une heure environ. (voir la vid�o Entrainement de la Patrouille de France de nuit.
) On note un vent de Sud-Est relev� ce moment l� � Marignane sur M�t�ociel. La Patrouille a donc d� d�coller vers le Sud Est, face au vent, survolant presque notre t�moin. Il est donc fort probable que ce soit elle que le t�moin ait observ�, soit juste apr�s le d�collage, qui s'effectue 4 par 4 (comme ce que l'on voit sur la vid�o), soit apr�s le regroupement : focalis� sur l'ensemble des feux de navigation (au moins 4 par avion, c'est � dire au moins 32 points lumineux), le t�moin a eu l'illusion d'un unique objet sombre portant l'ensemble des lumi�res (illusion classique dite ""de forme"" ou ""de contour"").
On note toutefois que les heures ne correspondent pas exactement (22h indiqu� par le t�moin, pour un d�collage � 21h49) : s'agit-il d'un deuxi�me passage apr�s regroupement, ou d'une incertitude sur l'heure signal�e par le t�moin ?
Le t�moin signale une centaine de lumi�res, contre 32 sur les 8 avions : cette diff�rence est notable.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation de la Patrouille de France peu apr�s son d�collage. Le sc�nario pr�cis de l'observation n'a pu �tre �tabli faute d'avoir la trajectoire pr�cise des avions minute par minute. On retiendra seulement une tr�s forte co�ncidence entre les �v�nements.";"Bruit sourd et important pr�c�dant l'observation d'une masse sombre avec de nombreuses lumi�res : observation probable de la Patrouille de France en exercice de nuit.";O;;;;;;;;;2016-09-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2015-07-09249
3836;"VIELS-MAISONS (02) 19.07.2015";Aisne;02;"(D) D�partement";2015;07;19;"Le 19 juilllet 2015 aux environs de minuit deux personnes observent aux jumelles une ligne de plusieurs lumi�res orange dans le ciel. Les objets scintillent et l'ensemble �voque un vol en formation se d�placant d'Ouest en Est. Un t�moin remarque une derni�re lumi�re qui vient rejoindre les autres tr�s vite. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte tenu des �l�ments recueillis dans le compte rendu d'enqu�te (voir ci-joint) � savoir :
- la couleur orang�e identique � celle de lanternes.
- Le comportement identique � celui d'objets soumis � un vent nul ou faible (Vitesse mod�r�e).
- La dur�e d'observation courte (environ 1 minute) compatible avec la dur�e de vie des lanternes.
- La date : un dimanche soir, compatible avec celle propices � l'organisation de lancers de lanternes � l'occasion de c�l�brations.
- Le nombre compatible avec celui de lanternes lanc�es en quantit�.
- L'illusion d'acc�l�ration et de disparition caus�e par l'extinction des lanternes ou l'entr�e dans la couche nuageuse.
- L'absence de bruit.
Le GEIPAN classe ce cas en � B � comme observation tr�s probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement rectiligne d'une ligne de lumi�res orang�es dans le ciel : observation tr�s probable de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.40;0.00;;;0.80;;0.70;;0.56;0.00;B;B;2015-07-09250
3837;"AMMERSCHWIHR (68) 15.07.2015";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2015;07;15;"Le mercredi 15 juillet 2015 � 22h37 un t�moin sur un parking observe trois lumi�res de couleur rouge, tr�s lumineuses, formant un triangle et volant � basse altitude. L'objet sort de derri�re une for�t, se dirige vers l'immeuble du t�moin puis fait un angle de 45� et disparait de son champ de vision. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte tenu des �l�ments recueillis (voir le compte rendu d'enqu�te), � savoir :
- la couleur rouge identique � celle de lanternes.
- le nombre correspondant � un l�cher group� ""classique"" de lanternes.
- le d�placement simultan� des lanternes, port�es par le vent et donnant lieu � une illusion de psychologie de la forme (d�placement dans le sens du vent dominant).
- le comportement identique � celui d'objets soumis � un vent nul ou faible : vitesse mod�r�e.
- l'absence de bruit.
- la dur�e d'observation courte (10 � 15 secondes) compatible avec la dur�e de vie des lanternes.
- la pr�sence � proximit� d'installations propices aux lancers de lanternes, situ�es dans la direction d'observation et non visibles depuis la position du t�moin.
Le GEIPAN classe ce cas en � B � comme observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation de trois lumi�res rouge en d�placement silencieux dans le ciel : observation probable de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2016-02-24;;;0.50;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;D1;2015-07-09251
3839;"PAPEETE (987) 24.07.2015";"Polyn�sie fran�aise";987;"(D) D�partement";2015;07;24;"Le 27 juillet 2015 � 20h (heure de Tahiti) un t�moin observe une longue train�e incandescente avec des parties qui se d�tachent et se d�pla�ant Est-Ouest. L'observation en continue dure entre 30 et 40 secondes. Le ph�nom�ne disparait derri�re les nuages. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte tenu des �l�ments recueillis, � savoir :
- Heure de la retomb�e identique � celle de l'observation.
- Relev�s existants sur le site SATOBS.
- Caract�ristiques physiques et dynamiques de l'observation en tous points similaires � ceux d'une retomb�e de d�bris spatiaux.
Le GEIPAN classe ce cas en � A � comme observation certaine de la d�sint�gration lors de son entr�e dans l'atmosph�re d'un �tage de fus�e Soyouz catalogu� sous le num�ro ""15035B/40745"", le jour suivant son ravitaillement de l'ISS.";"Observation du passage d'une longue train�e dans le ciel : observation certaine de la d�sint�gration lors de son entr�e dans l'atmosph�re d'un �tage de fus�e Soyouz catalogu� sous le num�ro ""15035B/40745"".";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2015-07-09256
3840;"ROUEN (76) 21.07.2015";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2015;07;21;"Le mardi 21 juillet 2015 � 23h un t�moin observe durant 10 � 15 secondes un objet volant se d�pla�ant rapidement et sans bruit dans le ciel de fa�on rectiligne. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte tenu des �l�ments recueillis (voir le compte rendu d'enqu�te), � savoir :
- la couleur orange identique � celle d'une lanterne
- la forme arrondie, comme une lanterne observ�e � distance
- le d�placement dans le sens du vent dominant
- la dur�e d'observation courte (10 � 15 secondes) compatible avec la dur�e de vie des lanternes
- l'absence de bruit
Le GEIPAN classe ce cas en � B � comme observation probable d'une lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement rectiligne et silencieux d'un objet volant de couleur feu dans le ciel nocturne : observation probable d'une lanterne tha�landaise.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;B;B;2015-07-09257
3841;"NERAC (47) 20.07.2015";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";2015;07;20;"Le 20 juillet 2015 � 22h57 environ une famille observe le passage rectiligne et silencieux d'un objet rouge flamboyant dans le ciel nocturne avant de disparaitre derri�re un b�timent. Un seul t�moignage est recueilli. Une vid�o est faite un tel portable mais ne pourra �tre envoy�e.
Les indications donn�es par le t�moin du d�placement du ph�nom�ne portent � confusion quand � la fin de trajectoire (mais le t�moin ne semble pas familier des lieux). Celle-ci serait bien d'origine Nord Est mais se terminant au Sud-Ouest plut�t qu'au Sud-Est. En effet la mention ""se dirigeant vers le centre ville de N�rac"" indique une fin de trajectoire situ�e au Sud-Ouest du lieu d'observation, et non au Sud-Est. De m�me, les indications de d�placement ""de tout l'horizon visible depuis le balcon de gauche � droite"" et ""disparition de l'objet derri�re le b�timent annexe"" situ� � droite, confirme la fin d'une observation Sud-Ouest.
La situation m�t�o � Agen-La-Garenne � 23 h, situ� � 20 km au NEE indique un vent faible (6 km/h) du Nord et une visibilit� de 45 km (voir le site M�t�ociel. La trajectoire vers le Sud-Ouest est compatible d'une direction du vent de Nord mesur�e � 20Km de l�.
Ces �l�ments sont en faveur de l'observation d'une lanterne thailandaise : luminosit� importante, couleur rouge, se d�pla�ant dans le sens du vent, trajectoire rectiligne et uniforme, sans bruit. Cette hypoth�se est renforc�e par la p�riode estivale et la localisation dans un village de vacances. Des lanternes sont fr�quemment l�ch�es pendant cette p�riode ainsi qu'au r�veillon du nouvel an. Le lancement d'une seule lanterne est fr�quemment observ�.
En cons�quence GEPAN classe en B : observation du passage d'une lanterne thailandaise.";"Observation du passage silencieux et rectiligne d'un objet flamboyant rouge dans le ciel nocturne : observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;B;B;2015-07-09260
3843;"GAINNEVILLE (76) 12.07.2015";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2015;07;12;"Dans la nuit du samedi au dimanche 12 juillet 2015 � 0h45 plusieurs personnes lors d'une soir�e entre amis sont intrigu�es par le passage silencieux de plus d'une dizaine de boules orang�es dans le ciel d�gag�. La trajectoire est rectiligne. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du SSE vers l'Est, ce qui est compatible avec le vent d'Ouest relev� au Havre-Octeville (voir le relev� M�t�ociel du jour de l'observation.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage silencieux de plus d'une dizaine de boules orang�es dans le ciel nocturne : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;A;2015-07-09267
3844;"CLICHY (92) 06.07.2015";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2015;07;06;"Un t�moin rapporte plusieurs observations successives de ph�nom�nes lumineux vus dans le ciel. Il fait une vid�o des ph�nom�nes. Un seul t�moignage est recueilli.
Cette observation est assez complexe, car elle comprend deux types de ph�nom�nes :
-un ph�nom�ne fixe, que l'on voit tr�s bien sur la vid�o plein Ouest (voir carte astro) : il s'agit de la plan�te V�nus tr�s visible � la 30�me seconde dans le ciel (on distingue un peu Jupiter, un peu � droite, � la m�me hauteur dans le ciel. Leur coucher a eu lieu � 23h45 ce jour l�).
-plusieurs autres ph�nom�nes qui sont mobiles, se d�placent lentement et irr�guli�rement depuis l'Ouest vers le Sud (voir carto). Ils ont l'aspect de lumi�res jaunes, ou jaune orange ""On dirait un gros phare d'avion face � vous qui arrive de l'horizon"". Le d�doublement constat� peut correspondre � deux avions dont les trajectoires se confondent puis s'�cartent. La variation des lumi�res vient de la variation du cap de l'avion : le phare appara�t d'autant plus puissant que l'observateur est dans l'axe de l'avion.
Cette hypoth�se semble tout � fait envisageable : des avions en approche d'un a�rodrome ont effectivement cet aspect l� : � grande distance (>15 km), les feux clignotants sont bien moins visibles que les phares d'atterrissage.
Mais le GEIPAN n'a pas re�u ce t�moignage assez vite pour pouvoir confronter cette observation avec le trafic a�rien. Cette hypoth�se ne peut �tre strictement confirm�e.
Ce cas comporte l'observation de V�nus et Jupiter pour les lumi�res fixes, mais est class� C pour les lumi�res mobiles, qui semblent �tre des avions vus de face.";"Observations de deux types de ph�nom�nes lumineux dans le ciel : observation de V�nus et Jupiter pour les PANs fixes et manque d'information pour les autres.";O;;;;;;;;;2016-11-02;;;0.40;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;C;B;2015-07-09285
3845;"[A.PAF] (ALPES) (Hte-Provence) (04) 01.07.2015";Provence-Alpes-C�te-d'Azur;;"(R) R�gion";2015;07;01;"Le 1er juillet 2015 � partir de 22h30 plusieurs personnes dans le d�partement des Alpes de Haute -Provence observent le d�placement de ph�nom�nes lumineux dans le ciel. Certains t�moins �voquent des formes g�om�tiques ou une sorte de vaisseau form�s par des points lumineux. La presse locale rapporte �galement les observations (voir le dernier t�moignage).
L'observation de lumi�res dans le ciel, organis�es selon des formes g�om�triques r�guli�res, �voque une patrouille a�rienne en exercice ou d�monstration.
Une v�rification aupr�s de la Patrouille de France, bas�e � Salon de Provence, nous indique que la patrouille a exceptionnellement vol� de nuit dans cette r�gion les 1 et 3 juillet : le 1er juillet pour r�p�ter la d�monstration qui a eu lieu le 3 juillet pour le bapt�me des promotions sortantes.
Le silence qui accompagne l'observation est tout � fait normal car le bruit d'un avion vu de face, � plus de quelques kilom�tres, est tr�s faible. Les 8 Alphajets de la Patrouille de France sont �quip�s de puissants phares visibles � plus de 10 km dans l'axe de vol. Lorsque les avions virent, le faisceau du phare change de direction, et les observateurs situ�s dans l'axe initial de vol le voient ainsi brusquement dispara�tre : ces avions, vus de c�t�, ne sont visibles que par leurs feux de position rouge ou vert, insuffisamment puissants pour �tre visibles � grande distance. Vus de face, le rapprochement n'est pas perceptible, les avions semblent immobiles, seul le d�placement lat�ral est per�u, et peut �tre faible.
Le GEIPAN a re�u les rapports de plusieurs observations de la m�me patrouille : depuis Valensole (04) et Sainte-Tulle (04) le 1er juillet, et depuis Villeneuve (04), � 10km de l�, le 3 juillet.
Lors des premiers jours de juillet, le GEIPAN re�oit chaque ann�e, depuis 2008, des rapports d'observations similaires en Provence ; en particulier une a �t� signal�e � Villeneuve (04) le 5 juillet 2013.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observations certaines des 8 Alphajets de la Patrouille de France.
La vid�o du t�moin de Sainte-Tulle sera mise ult�rieurement sur le site suite � un probl�me technique momentan�.
Voir une vid�o de la Patrouille de France en vol de nuit sur Paris.
";"Observations multiples des �volutions de points lumineux dans le ciel nocturne : observations certaines des 8 Alphajets de la Patrouille de France (PAF).";O;;;;;;;;;2017-02-16;;;0.23;0.00;;;0.88;;0.73;;0.64;0.00;A;A;2015-07-09221
3847;"DARNIEULLES (88) 05.08.2015";Vosges;88;"(D) D�partement";2015;08;05;"Le 5 aout 2015 entre 22h et 22h30 deux personnes sur la m�me commune observent le passage silencieux de plusieurs boules orang�es qui scintillent dans le ciel d�gag�. L'intensit� de ces boules diminuent progressivement jusqu'� extinction.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit d'�t�, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� venant du Sud Est. Le relev� Infoclimat � Epinal (10 km environ) fait �tat d'un vent faible, tr�s variable au cours de la soir�e (Vent de Sud � 21h, de Nord � 22h relev� infoclimat du jour de l'observation). Il n'est pas possible de corr�ler ce vent avec le d�placement constat�.
Le deuxi�me t�moin indique avoir identifi� un scintillement semblable � une flamme de bougie.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observations de nuit du passage silencieux de boules orang�es scintillant dans le ciel d�gag� : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-01-12;;;0.40;0.00;;;0.80;;0.60;;0.48;0.00;B;B;2015-08-09265
3848;"LYON (69) 06.08.2015";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2015;08;06;"Le 6 aout 2015 entre 0h15 et 0h20 un t�moin regardant la t�l�vision est surpris par la soudaine pr�sence d'un rayon lumineux vert tr�s puissant qui p�n�tre dans son appartement. Le ph�nom�ne se ballade sur les murs durant quelques secondes. Le t�moin exclut la possibilit� d'un laser, �tant au 4e �tage sans vis � vis. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Un tache tr�s lumineuse verte qui se d�place tr�s rapidement et al�atoirement a tous les caract�res d'un spot de laser vert portatif manipul� � la main par un plaisantin.
Ce type de laser tr�s puissant a une port�e de plusieurs kilom�tres. A grande distance, les mouvements du spot lumineux sont bien s�r extr�mement rapides : un d�placement de la main de l'op�rateur de seulement quelques degr�s se traduit par un grand d�placement du faisceau � plus d'un kilom�tre.
Ce type de laser est interdit � la vente en France, mais malheureusement assez r�pandu. Les usagers de ces lasers sont punis s�v�rement s'ils visent les avions en vol.
Le GEIPAN n'a pas les moyens de rechercher les op�rateurs de ces appareils.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'un spot de laser vert op�r� manuellement � grande distance.";"Observation soudaine de nuit d'un rayon lumineux vert dans un appartement : observation probable d'un spot de laser vert op�r� manuellement � grande distance.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.20;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;B;A;2015-08-09266
3849;"CONDE-SUR-AISNE (02) 06.08.2015";Aisne;02;"(D) D�partement";2015;08;06;"Le 6 ao�t 2015 vers 22h un t�moin regarde tr�s rapidement par sa fen�tre de toit et voit un triangle gris immobile avec des lumi�res orange-rouge � chaque extr�mit�. Le PAN part tr�s rapidement vers l'Ouest dans une trajectoire rectiligne. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Cette observation tr�s courte d�crit un triangle gris avec une lumi�re � chaque angle. Ce type de description rel�ve souvent d'une illusion de perception nomm�e illusion de contour ou Gestalt (voir l'article sur la psychologie de la forme.
) Il est fort probable que ce qu'a vu le t�moin soit seulement un ensemble de points lumineux.
De m�me, le d�part du ph�nom�ne ""� vitesse ph�nom�nale"" peut ne correspondre qu'� l'extinction des lumi�res.
Les origines peuvent �tre diverses : lanternes tha�, avions, satellites. L'observation est trop courte, et la tranche horaire trop large pour pouvoir faire une investigation raisonnable.
Le relev� M�t�ociel indique un l�ger vent de Nord relev� � Reims.
Faute d'informations pr�cises et de recoupements, le GEIPAN classe ce cas ""C"".";"Observation tr�s courte d'un triangle gris avec des lumi�res � chaque angle : manque d'informations et de recoupements.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.70;;0.42;0.00;C;B;2015-08-09268
3850;"FONTAINE (38) 05.08.2015";Is�re;38;"(D) D�partement";2015;08;05;"Le 5 ao�t 2015 � 23h10, un t�moin est intrigu� par un point brillant blanc intense qui se d�place dans le ciel avant de disparaitre.
Ce t�moignage d'observation d'un point tr�s lumineux traversant une partie du ciel est tr�s pr�cis, autant pour la datation, que pour la position dans le ciel.
La trajectoire du ph�nom�ne correspond tout � fait � celle de la station spatiale internationale (ISS) tr�s visible ce soir l�. Le t�moin n'a observ� que la fin du passage. (voir relev� Calsky, sous format textuel et graphique sur fond de ciel).
Un d�tail de l'observation peut sembler contradictoire avec cette explication : le t�moin d�crit quelques zig-zags dans la trajectoire du ph�nom�ne : il s'agit d'une illusion de perception nomm�e illusion autocin�tique ou autokin�sie (voir l'article sur la perception du mouvement d'un point lumineux dans le ciel) qui s'applique sur les points lumineux fixes ou mobiles. Cette illusion est fr�quente lors de l'observation de l'ISS, particuli�rement lumineuse (voir le cas d'observation CLARET (04) 22.08.2012).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de la station spatiale internationale ISS";"Observation du d�placement d'un point tr�s lumineux blanc dans le ciel nocturne : observation du passage de la station spatiale internationale (ISS).";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2015-08-09269
3851;"SAINT-MICHEL-SUR-ORGE (91) 10.08.2015";Essonne;91;"(D) D�partement";2015;08;10;"Le lundi 10 ao�t 2015 entre 1h et 2h du matin, deux personnes observent un ph�nom�ne lumineux de couleur dans le ciel qui les intrigue. Un des deux t�moins prend des photographies. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation longue (1H environ) d'un point lumineux se d�pla�ant lentement dans le ciel �voque un astre. On constate que l'�toile Arcturus �tait � l'azimut 283�, et 13� d'�l�vation, soit exactement dans la direction d'observation que celle indiqu�e par le t�moin (intersection N104 / A10 � l'azimut 282�, �l�vation estim�e � 15�), donc assez proche de l'horizon ; Le t�moin a constat� le ph�nom�ne les jours suivants, mais d'un aspect quelquefois diff�rent, avec moins de couleurs. On note le soir de la premi�re observation, une m�t�o perturb�e avec des variations de pression et de vent (voir le relev� M�t�ociel.
Le scintillement des �toiles est tr�s fort � basse �l�vation, surtout si l'atmosph�re est perturb�e (vent, chaleur), ce qui �tait le cas ce soir-l� : on peut fr�quemment constater un lent clignotement multicolore en observant �toiles ou plan�tes � basse �l�vation aux jumelles.
Le t�moin ne mentionne pas d'�toile dans son champ de vue, alors qu'il devait forc�ment voir Arcturus dans cette direction.
Les photos n'apportent pas beaucoup d'information du fait du boug� important, et de la faible luminosit�.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de l'�toile Arcturus.";"Tr�s longue observation d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel en lent d�placement : observation de l'�toile Arcturus.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2015-08-09270
3854;"MOUGINS (06) 08.08.2015";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2015;08;08;"Le samedi 8 ao�t 2015 � 2h du matin une personne depuis son domicile observe le passage silencieux d'une cinquantaine de petits disques d'un blanc laiteux (puis gris �tain) dans le ciel. Le ph�nom�ne est observ� � l'il nu puis aux jumelles durant 8 � 10 minutes ; dans leur lent d�placement vacillant, sur une trajectoire rectiligne, certains disques se d�tachent progressivement � l'avant et � l'arri�re du groupe. L'ensemble disparait lentement du champ de vision du t�moin. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
L'observation d'une cinquantaine de disques lumineux traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des objets lumineux festifs port�s par le vent : ballons lumineux ou lanternes tha� probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e, anniversaire ou autre.
La couleur blanche puis grise fait plut�t penser � des ballons lumineux, �clair� par des LED, et gonfl�s � l'h�lium, d'un mod�le proche des : ballons lumineux.
A la diff�rence des lanternes tha�landaises, ces ballons lumineux ne risquent pas de cr�er des incendies.
Le d�placement est observ� du Nord Est vers le Nord, ce qui est compatible avec le vent faible de Nord - Nord-Est relev� � Cannes Mandelieu. Comme le l�ger vent est presque face au t�moin, les objets volants semblent avancer tr�s lentement (voir le relev� de METEOCIEL.
Le GEIPAN n'a pas re�u d'autre t�moignage de ce ph�nom�ne. Une enqu�te pour retrouver les auteurs du l�cher est extr�mement difficile en milieu urbanis�.
GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de ballons lumineux.";"Observation du passage lent et silencieux d'une cinquantaine de petits disques blancs dans le ciel nocturne : probable observation du passage de ballons lumineux.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.50;0.00;;;0.90;;0.70;;0.63;0.00;B;D1;2015-08-09273
3856;"EVRY (91) 07.08.2015";Essonne;91;"(D) D�partement";2015;08;07;"Le 7 aout 2015 � 3h du matin un t�moin observe au travers du feuillage 4 ph�nom�nes lumineux fixes de couleur argent brillant et scintillant fortement. Les feux sont c�te � c�te, deux par deux sur une m�me ligne horizontale. Le t�moin observe la pr�sence de ces feux jusqu'� 4h30 puis d�cide de se coucher. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Des lumi�res fixes vues au travers d'arbres � faible hauteur (depuis le premier �tage), peuvent avoir diverses origines � priori au sol.
Ici, un contact avec le t�moin a permis d'�tablir qu'il y a un stade derri�re ces arbres. Il a donc pu y avoir des travaux particuliers cette nuit l� ou alors ce sont les �clairages usuels qui sont rest�s allum�s exceptionnellement toute la nuit.
En cons�quence le GEIPAN classe B : probable �clairage sol.";"Tr�s longue observation de 4 feux fixes argent�s � faible hauteur, vus au travers de feuillages : probable observation d'�clairages sur un terrain de sport.";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.25;0.00;;;0.60;;0.60;;0.36;0.00;B;B;2015-08-09275
3857;"NARBONNE (11) 21.08.2015";Aude;11;"(D) D�partement";2015;08;21;"Le 21 aout 2015 � 23h13 un t�moin en bord de mer a son regard attir� par un mouvement dans le ciel : trois formes �toil�es lumineuses blanches forment un triangle isoc�le qui se d�place de fa�on rectiligne et sans bruit. Quittant le PAN des yeux pour appeler une autre personne, le t�moin ne retrouvera jamais plus le ph�nom�ne dans le ciel. L'observation aura dur� environ 7 secondes. Un seul t�moignage est recueilli.
D'�tranget� moyenne, mais de consistance suffisante, ce cas peut �tre une m�prise avec un vol group� d'oiseaux �clair�s par une source lumineuse locale (voir les notes d'enqu�te). La proximit� de la mer et la pr�sence d'une borne lumineuse signal�e par le t�moin sont coh�rentes avec cette hypoth�se, qui reste n�anmoins fragile, faute de v�rification possible, ou d'autres t�moins. Le cas manque n�anmoins de pr�cision, du fait de la tr�s courte dur�e d'observation.
Ce cas est class� B, possible m�prise avec des oiseaux blancs �clair�s par l'�clairage urbain.";"Observation de trois formes lumineuses blanches formant un triangle en d�placement silencieux : possible m�prise avec des oiseaux blancs �clair�s par l'�clairage urbain.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.40;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;B;2015-08-09276
3860;"MAUGUIO (34) 17.08.2015";H�rault;34;"(D) D�partement";2015;08;17;"Le 17 ao�t 2015 � 7h04 un t�moin observe durant une minute un objet tr�s lumineux blanc, ressemblant � un dirigeable qui se d�place � vitesse constante � haute altitude. Il disparait progressivement en direction du Sud. L'observation a dur� une minute. Le t�moin a film� le ph�nom�ne avec son t�l�phone portale et reste intrigu�.
La vid�o (voir la note d'enqu�te) montre bien un avion de ligne se d�pla�ant en altitude de croisi�re, dans une atmosph�re stable propice d'une part, � la non formation d'une tra�n�e de condensatn et d'autre part aux effets de la diffusion atmosph�rique amenant la disparition apparente (et confusion avec le bleu du ciel environnant) des zones � l'ombre de l'avion ou moins bien �clair�es par le soleil que ne l'est la carlingue. Ici les ailes disparaissent et ceci donne cet aspect de � dirigeable �.
Il n'a pas �t� possible (analyse trop tardive) d'acc�der aux enregistrements de vols afin de confirmer la pr�sence de l'avion et son identit�.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : m�prise probable avec un avion.";"Observation du d�placement � vitesse constante d'un objet en forme de dirigeable lumineux blanc : m�prise probable avec un avion.";O;;;;;;;;;2016-09-09;;;0.20;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;B;A;2015-08-09279
3861;"PARIS (75) 23.08.2015";Paris;75;"(D) D�partement";2015;08;23;"Dans la nuit du 23 au 24 ao�t 2015 des t�moins sont intrigu�s par la pr�sence dans le ciel parisien d'une lueur rouge intense. Ils rapportent ind�pendamment leur observation.
Le premier t�moin commence son observation le 23 ao�t 2015 � partir de 23h25 : il observe une lueur rouge tr�s brillante dans le ciel parisien en direction du Sud-Est. Cette lumi�re semble permanente (avec un changement d'intensit�) et bouge l�g�rement dans le ciel avant de revenir � sa position initiale. Tr�s intrigu�, le t�moin prend des photographies avec son smartphone et observe le ph�nom�ne jusqu'� 01h du matin avant d'aller se coucher (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Un second t�moin le 24 ao�t 2015 � 0h58 observe, durant 10 minutes, une boule de couleur rouge-feu situ�e au Nord-Ouest au-dessus des immeubles parisiens. Le t�moin a le temps de prendre trois photographies avec un t�l�phone portable. Rentr� pour r�veiller son �pouse, l'objet aura disparu lorsqu'il reviendra � la fen�tre (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Les t�moignages sont consistants, avec suffisamment de donn�es fournies par les t�moins et exploitables. Plusieurs photographies du PAN ont �t� faites et ont pu �tre utilis�es pour l'analyse aboutissant � des recoupements fructueux.
En conclusion, les caract�ristiques physiques et dynamiques du PAN observ� et photographi� par les t�moins s'apparentent � celles d'un puissant laser rouge utilis� par un particulier dans Paris, depuis un sommet d'immeuble, et dont la tache lumineuse produite par son impact sur la couche nuageuse/brumeuse basse s'apparente au PAN.
Les conditions de luminosit� ambiante environnant les t�moins lors de leur observation et de ses prises de vue emp�chent que le faisceau de ce laser soit visible, aussi bien � l'il nu que par le capteur photographique, sauf apr�s am�lioration d'une des photographies.
L'�tranget� de ce cas est finalement assez faible et est surtout caus�e par l'intensit� lumineuse du PAN et sa persistance pendant plus d'une heure trente.
Les deux t�moignages font l'objet d'une analyse ind�pendante gr�ce aux photographies et aux t�moignages consistants (voir les comptes-rendus d'enqu�tes).
Ce cas est � classer en � B� comme observation probable de la tache lumineuse sur la couverture nuageuse ou brumeuse d'un puissant laser rouge, projet� depuis le sommet d'un des immeubles du 11i�me arrondissement de Paris.
";"Observations nocturnes dans le ciel parisien d'une lueur rouge : observations probables d'une tache lumineuse provenant d'un puissant laser rouge.";O;;;;;;;;;2018-05-23;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.90;;0.80;0.00;B;B;2015-08-09304
3862;"BEUSTE (64) 23.08.2015";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2015;08;23;"Le 23 aout 2015 � 22h25 deux t�moins observent dans le ciel le d�placement d'un ph�nom�ne lumineux qui se d�place � vitesse constante. Cependant le PAN change faiblement plusieurs fois de direction (Nord puis NO puis enfin Nord) ce qui intrigue les observateurs. Un seul questionnaire est rempli.
D'�tranget� moyenne, mais de consistance suffisante (nombreux d�tails coh�rents et pr�cis permettant de cr�dibiliser le cas), ce cas s'av�re �tre une m�prise classique avec un passage satellitaire.
Une recherche plus pouss�e a permis de trouver deux satellites qui sont tr�s probablement � la source de cette m�prise : IGS 5 H2A rocket, dont la luminosit� correspond avec celle du PAN, et dont la trajectoire est tr�s proche, et Iridium 16, satellite hors-contr�le dont la trajectoire et la vitesse apparente correspondent � celle du PAN.
Le GEIPAN classe ce cas A, m�prise avec un satellite, bien qu'un doute subsiste sur l'identit� exacte de celui-ci.";"Observation du d�placement dans le ciel nocturne d'un ph�nom�ne lumineux qui se d�place � vitesse constante : m�prise avec le passage d'un satellite.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.25;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;A;B;2015-08-09281
3865;"NIMES (30) 11.08.2015";Gard;30;"(D) D�partement";2015;08;11;"Le 11 aout 2015 �13h15 un famille est intrigu�e par le passage silencieux dans le ciel de deux appareils noirs en forme de boomerang avec l'avant d'un triangle. Les appareils disparaissent rapidement cach�s par des arbres. La trajectoire du premier appareil �tait rectiligne et le second a chang� brusquement de direction. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
La m�t�o de ce jour, relev�e � Nimes Garons, est particuli�re : on observe un changement de vent passant du Nord en matin�e au Sud dans l'apr�s midi. L'instant de l'observation se situe en plein dans cette inversion, rendant impossible la d�termination du vent local � cet instant pr�cis (voir le relev� M�t�ociel.
La forme en boomerang et la trajectoire non lin�aire font penser � un cerf volant ou � un mod�le r�duit d'avion radiocommand� ou drone (Voir une vid�o d'un engin avec cette forme Les drones ou ailes volantes lumineuses).
L'environnement local (zone pavillonaire) semble tr�s peu propice � faire voler un cerf volant, qui plus est si le vent est instable.
Reste l'hypoth�se de l'aile volante radiocommand�e, qui semble compatible avec l'observation, mais que le GEIPAN n'a pas les moyens de v�rifier sans autre t�moignage, ni photo/vid�o.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque de recoupements.";"Observation du passage silencieux dans le ciel de deux appareils noirs en forme de boomerang avec l'avant d'un triangle ; changement brusque de direction pour le deuxi�me : manque d'information et de recoupements.";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.60;;0.48;0.00;C;B;2015-08-09284
3866;"DOUE-LA-FONTAINE (49) 15.08.2015";Maine-et-Loire;49;"(D) D�partement";2015;08;15;"Le samedi 15 ao�t 2015 � 22h30 deux personnes observent le passage de 7 points lumineux dans le ciel d�gag�. De forme ronde et de couleur rouge orang�, les points se d�placent silencieusement d'abord sur une trajectoire rectiligne puis semblant ascendante. Un seul t�moignage bien document� sera recueilli.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Nord-NO vers le Sud-SO, ce qui est compatible avec le vent de Nord relev� � Angers (voir le relev� M�t�ociel � Angers le jour de l'observation).
Les photos sont tout � fait compatibles avec ce genre d'objets.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage silencieux de 7 points lumineux rouge-orang� dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-12-21;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;A;2015-08-09286
3867;"NIMES (30) 15.08.2015";Gard;30;"(D) D�partement";2015;08;15;"Le 15 ao�t 2015 � 22h36, un habitant de NIMES (30) regarde les �toiles en compagnie de sa femme et de sa fille depuis son jardin quand il voit e direction du SE un point tr�s lumineux briller pendant une dizaine de secondes avant de s'�teindre. Le t�moin a cherch� � identifier le PAN gr�ce au site du GEIPAN : il pense qu'il peut s'agir d'un flash Iridium (Iridium flare).
D'�tranget� moyenne, mais de consistance suffisante, ce cas s'av�re �tre une m�prise classique avec un ph�nom�ne de type reflet satellitaire impliquant le satellite Metop A. L'horaire, la trajectoire et la position de ce satellite sont parfaitement coh�rents avec la description du t�moin (voir le compte rendu d'enqu�te).
Ce cas est class� A, m�prise avec un ph�nom�ne de reflet satellitaire, impliquant le satellite Metop A.";"Observation d'un point lumineux avec extinction soudaine : m�prise avec un ph�nom�ne de reflet satellitaire, impliquant le satellite Metop A.";O;;;;;;;;;2016-06-21;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;B;2015-08-09289
3868;"DOMBASLE-SUR-MEURTHE (54) 11.08.2015";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2015;08;11;"Le 11 ao�t 2015 vers 22h05 un t�moin sur sa terrasse est intrigu� par deux spots lumineux de couleurs diff�rentes � basse altitude qu'il voit dans le ciel d�gag�. Les lumi�res se d�placent silencieusement en ligne droite puis acc�l�rent, font un zigzag pour reprendre une trajectoire rectiligne avant de disparaitre. Les lumi�res gardent le m�me espacement entre elles durant leur d�placement. Le t�moin ajoute � son r�cit sa position GPS, l'azimut exact d'observation ainsi qu'une photographie annot�e repr�sentant son observation. Un seul t�moignage est parvenu au GEIPAN.
Compte tenu des �l�ments recueillis (voir le compte rendu d'enqu�te) � savoir :
- Absence de donn�es relatives aux couleurs du PAN.
Et bien que l'hypoth�se la plus plausible (confusion avec un drone volant de nuit) aurait pu �tre retenue, nous pouvons dire que le manque d'information ne permet pas de conclure d�finitivement en faveur de cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas en � C � comme observation d'un ph�nom�ne non identifiable en l'�tat, le manque de recoupements et d'�l�ments ne permettant pas d'�tablir un avis solide.";"Observation des d�placements de deux spots lumineux � basse altitude dans le ciel nocturne ; maintient du m�me espacement dans les �volutions : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-02-23;;;0.40;0.00;;;0.80;;0.50;;0.40;0.00;C;B-;2015-08-09290
3869;"TOULOUSE (31) 04.08.2015";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2015;08;04;"Le 4 aout 2015 aux environs de 23h/23h15 plusieurs personnes sur une terrasse observent dans le ciel deux gros ronds lumineux rouge orang�s se d�placant de fa�on rectiligne dans le ciel � la m�me vitesse et sans bruit. Les objets passent au-dessus du toit de l'habitation et sont perdus de vue. Un troisi�me objet apparait ensuite dont l'intensit� lumineuse semble diminuer. Les t�moins font le tour de la maison mais l'objet a disparu.Un seul t�moignage est recueilli.
Les descriptions du t�moin (couleurs, formes, vol group�) font nettement penser � un vol de lanternes tha�landaises. Le d�placement d�crit est � forte composante N vers S (�l�vation constante et forte 60� et azimut variant de NO � SO), ce qui est compatible avec la direction de vent principalement N vers S enregistr�e tout pr�s � Blagnac (voir la m�t�o. L'aspect diff�rent (dans sa fin d'observation) du troisi�me objet, peut s'expliquer par l'extinction (y compris lente comme d�crit) de la lanterne, la faisant ainsi passer progressivement d'une forme ronde lumineuse � une forme ronde grise. Cette derni�re est toujours distinguable quand l'environnement n'est pas trop obscur, ce qui est souvent le cas en ville (une lanterne vole � 50 ou 200 m de hauteur pas tr�s loin des �clairages urbains). La chute de la lanterne (qui peut �tre rapide une fois atteint le seuil de chaleur minimal pour sa sustentation) a pu s'op�rer juste apr�s l'observation quand celle ci devenait cach�e par la maison.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de lanternes thailandaises.";"Observation du passage silencieux dans le ciel nocturne de 3 ronds rouge orang� : observation probable du passage de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.30;0.00;;;0.70;;;;0.65;0.35;B;B;2015-08-09291
3870;"METZ (57) --.03.2015";Moselle;57;"(D) D�partement";2015;03;--;"Au d�but du mois de mars 2015 entre 17h et 17h30, un t�moin observe par la fen�tre de sa cuisine le passage de trois formes longues et plates tr�s lumineuses dans le ciel. deux autres personnes observent le ph�nom�ne. Un seul t�moignage est recueilli.
Cette observation de trois appareils �clair�s de lumi�re vive fait penser � des avions refl�tant le soleil � son coucher (� basse �l�vation, en lumi�re rasante, les ailes des avions sont quasi invisibles).
Comme la date du jour de cette observation est inconnue, il n'est pas possible de faire les v�rifications n�cessaires.
Ce cas est class� ""C"" par manque d'information de date.";"Observation du passage de trois formes longues et plates tr�s lumineuses au soleil couchant : manque d'information sur la date du jour.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.40;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;C;B-;2015-03-09298
3871;"LAVALETTE (31) 06.03.2015";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2015;03;06;"Le 06 mars 2015, le t�moin se trouvait en voiture sur la D112, � proximit� de Lavalette (31) et se rendait sur son lieu de travail. Aux environs de 8h30, alors qu'il circulait au niveau du � Grousset �, son attention a �t� attir�e par la pr�sence, face � lui et dans un ciel compl�tement d�gag� d'un objet noir de forme ovo�de, refl�tant la luminosit� du soleil et semblant se d�placer lentement. Le t�moin d�crit cet objet comme semblant se trouver � � peu pr�s au-dessus de la route � et comportant une petite train�e blanche, partant de sa base de fa�on horizontale. Une coloration orange l�g�re �tait �galement pr�sente sur un des bords du PAN. Apr�s l'avoir observ� environ deux minutes, le t�moin a voulu attraper son t�l�phone portable se trouvant sur le si�ge passager et a d�tourn� son attention pendant un court instant. Lorsqu'il a voulu observer de nouveau le PAN, celui-ci avait disparu. L'observation s'est faite � travers le pare-brise de la voiture. Apr�s la disparition du PAN, le t�moin a ralenti et a cherch� � le retrouver en regardant le ciel tout autour, sans succ�s. Un seul t�moignage sera recueilli.
Le PAN poss�de les aspects et le mouvement d'un ballon captif solaire lanc� depuis un champ situ� � droite du t�moin (voir le compte rendu d'enqu�te). L'�tranget� du cas est essentiellement caus�e par la disparition du PAN durant le temps o� le t�moin a cherch� son t�l�phone pour prendre une photo. Le ballon n'aurait pas disparu, le t�moin l'aurait reconnu (il n'aurait pas t�moign�) et aurait peut-�tre cherch� et vu son op�rateur au sol, alors qu'il n'a probablement pas vu ce dernier car il �tait occup� � rechercher le PAN dans le ciel tout en conduisant. L'�tranget� n'existait pas pour les usagers suivant ou croisant en voiture qui soit n'ont pas vu le ballon, soit l'ont vu descendre et/ou se poser (le t�moin indique la pr�sence d'autres usagers qui n'ont rien remarqu�).
Le t�moignage est consistant, avec suffisamment de donn�es fournies par le t�moin et exploitables. Il existe par ailleurs, une photographie effectu�e par le t�moin et reconstituant la sc�ne, qui a pu �tre exploit�e pour l'analyse du cas. Ceci a permis de v�rifier la conformit� d'aspect du PAN avec ce type de ballon, la possibilit� d'op�rer un ballon depuis le champ, ainsi que la possibilit� de ne pas voir l'op�rateur du ballon pour un t�moin, qui plus est quand ce dernier est surpris par la disparition et scrute le ciel plut�t que le sol.
Il y a donc ici surtout � expliquer la possibilit� de la descente du ballon de mani�re rapide sur une dur�e d'une � quelques secondes, sachant que ne compte ici que la dur�e de descente jusqu'� la cime des arbres qui ensuite l'ont cach� et que le ballon n'�tant pas forc�ment en visibilit� tr�s au-dessus des arbres au d�part.
Cette descente peut s'expliquer par la dislocation du ballon ou un rabattage au sol par effet spi (li� au vent).
Du fait de la forte conformit� d'aspect avec un ballon et d'une explication pour la descente rapide de ce dernier, le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de ballon solaire captif.";"Observation d'un objet noir de forme ovo�de, refl�tant la luminosit� du soleil et semblant se d�placer lentement ; disparition rapide : observation probable de ballon solaire captif.";O;;1;;;;;;;2018-04-19;;;0.40;0.00;;;;;;;0.55;0.00;B;B;2015-03-09293
3872;"PERONNE (80) 16.07.2015";Somme;80;"(D) D�partement";2015;07;16;"Le jeudi 16 juillet vers 23h un t�moin dans son jardin aper�oit une grosse lueur dans le ciel nocturne. Le t�moin d�crit une boule de feu de couleur orange se d�pla�ant sans bruit fr�lant la cime des arbres voisins. Sa trajectoire est lin�aire puis elle dispara�t lentement � l'horizon. Auparavant son concubin a pu prendre une photographie qui sera jointe scann�e au proc�s verbal de gendarmerie. Un seul t�moignage sera recueilli.
La description reprends des caract�ristiques type d'une lanterne tha�landaise (couleur, trajectoire) et son d�placement est conforme au sens du vent mesur� � quelques kilom�tres de E vers O (voir la m�t�o sur Infoclimat.
Le t�moin dit que cela ne ressemble pas � ce qu'il a vu une fois d'une lanterne. Mais les lanternes peuvent prendre des aspects variables en fonction de leur couleur, altitude et phase de vol.
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en B : lanterne thailandaise.";"Observation du d�placement lent d'une boule lumineuse orang�e fr�lant la cime des arbres : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2017-06-07;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.70;;0.60;0.00;B;B;2015-07-09294
3873;"VILLEFERRY (21) 12.08.2015";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";2015;08;12;"Le 12 aout 2015 entre 22h et 23h un t�moin et son petit fils en promenade observent un point particuli�rement lumineux dans le ciel et qui, au bout de quelques minutes, se met en mouvement, traverse le ciel en ligne droite et disparait cach� par une for�t. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation d'un point tr�s mumineux se d�pla�ant en ligne droite peut avoir plusieurs origines :
-Satellite : l'impression d'immobilit� du d�but peut avoir �t� une illusion du fait que les t�moins marchaient. On note ce jour l� vers 21h50 un passage de L'ISS, tr�s brillante, sur la trajectoire Nord Est vers Est, mais un peu avant le cr�neau horaire d�fini par le t�moin.
Plusieurs satellites sont pass�s sur cette trajectoire Nord Est vers Est dans le cr�neau horaire : Cosmos 2082, Rocket, Cosmos 1833 Rocket, USA 29/DMSP 5D-2/F9 mais ils sont a priori insuffisamment brillants (magnitude 3 au mieux) pour avoir donn� cette impression. On ne peut toutefois pas exclure que l'un ou l'autre ait �t� ce jour l� dans une position telle qu'il soit devenu tr�s brillant (Magnitude n�gative).
-Avion de face, cette explication est possible mais peu probable : pour avoir un tel aspect, un avion doit �tre vu assez bas sur l'horizon (moins de 30�), lorsqu'il change de direction, on aper�oit alors ses feux clignotants. La v�rification est impossible (trop tard).
-H�licopt�re : cette hypoth�se peut aussi convenir � la rigueur ; le silence per�u convient mal � cette hypoth�se, et on aurait d� apercevoir des feux clignotants.
En r�sum�, du fait de la forte similarit� du ph�nom�ne d�crit avec l'aspect de la Station Spatiale Internationale, malgr� le l�ger �cart avec le cr�neau horaire d�fini par le t�moin, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation de l'ISS.
";"Observation du d�placement d'un point particuli�rement lumineux dans le ciel nocturne : probable observation de la Station Spatiale Internationale.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.40;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;B;2015-08-09295
3874;"VALRAS-PLAGE (34) 16.08.2015";H�rault;34;"(D) D�partement";2015;08;16;"Le 16 ao�t 2015 entre minuit 40 et minuit 45, un t�moin, accompagn� d'amis, observe dans le ciel trois lumi�res blanches �quidistantes formant un triangle parfait. L'objet se d�place lentement et silencieusement, pour disparaitre subitement. Ses amis n'ont pas eu le temps de voir le ph�nom�ne. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Entre les lumi�res, le t�moin distingue un triangle noir de faible �paisseur. Ce triangle peut �tre la cons�quence d'une illusion de perception nomm�e illusion de contour ou illusion de forme (voir Psychologie de la forme).
Le d�placement est observ� vers l'Ouest ; si ce sont des lumi�res port�es par le vent, leur d�placement semble incompatible avec le vent d'Ouest relev� � B�ziers.m�t�o. Mais l'observation est tr�s courte, et une brise locale est toujours possible en bord de mer.
Ce cas pr�sente un faible niveau de consistance : observation tr�s courte, des t�moins pr�sents n'ont rien remarqu� ; si on admet l'illusion de contour, ce cas est peu �trange, et peut correspondre � des ballons lumineux (ballons � led ou lanternes tha�), fr�quemment lanc�s � l'occasion des f�tes (nous sommes le soir du 15 ao�t, en pleine zone touristique).
Le relev� du vent ne permet pas de confirmer ni d'infirmer cette hypoth�se.
Devant ces incertitudes, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information et de recoupement.";"Observation du d�placement dans le ciel de trois lumi�res blanches �quidistantes et formant un triangle : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-10-29;;;0.50;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;C;D1-;2015-08-09296
3875;"ENTRE-DEUX (974) 21.08.2015";"La R�union";974;"(D) D�partement";2015;08;21;"Le 21 ao�t 2015 � 2h du matin sur l'�le de la R�union, un t�moin photographie un ph�nom�ne dans le ciel qui l'intrigue. Le t�moin rapporte avoir vu une forme conique lumineuse bleut�e entour�e d'un halo. Un seul t�moignage est recueilli.
Cette observation d'un grand ph�nom�ne lumineux translucide se d�pla�ant lentement dans le ciel est tout � fait exceptionnelle, de plus la qualit� des photos prises par le t�moin permet de parfaitement la caract�riser.
Du fait de la ressemblance avec d'autres ph�nom�nes similaires (voir l'article sur un halo lumineux dans le ciel de l'oc�an indien le 29 sept 2013), l'enqu�te s'est rapidement orient�e vers la recherche de lancements r�cents de satellite.
En effet, apr�s investigation, la position de l'objet dans le ciel est coh�rent avec la trajectoire de l'�tage sup�rieur cryog�nique du lanceur Ariane VA225, lanc� de Kourou le 20/08 � 20h16 UTC ; cet �tage, r�pertori� N40876, a commenc� sa passivation (vidange du r�servoir) � 21h12 ; il est pass� � la verticale de l'Indon�sie � plus de 8000 km d'altitude (voir carte ci jointe). Aux alentours de 21h30 UTC (date de prise de vue), l'objet �tait bien en visibilit� de l'ile de la R�union. Comme c'est un lancement de satellite g�ostationnaire sur une orbite de transfert tr�s elliptique (environ 300km-36000 km), le lanceur est � ce moment-l� d�j� � tr�s haute altitude, donc visible depuis une tr�s large zone.
La trajectoire propre du nuage est proche de celle du lanceur, mais perturb�e par la vitesse d'�jection des gaz, laquelle est difficile � mod�liser. Le nuage de gaz d�gag� par la passivation a pu persister jusqu'� sa dilution dans l'espace.
Le halo observ� est le nuage de gaz inutilis� �ject� par le lanceur apr�s la phase de propulsion ; il est �clair� par le soleil et devient visible par les observateurs au sol qui sont dans la nuit.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" comme ph�nom�ne parfaitement identifi� : nuage de gaz issu de la passivation de l'�tage sup�rieur cryog�nique (ESC-A) du lanceur Ariane VA225.";"Observation d'une forme conique lumineuse bleut�e entour�e d'un halo : nuage de gaz issu de la passivation de l'�tage sup�rieur cryog�nique (ESC-A) du lanceur Ariane VA225.";O;;;;;;;;;2017-09-11;;;0.40;0.00;;;0.95;;0.90;;0.86;0.00;A;B;2015-08-09297
3878;"MOULINS (03) 29.08.2015";Allier;03;"(D) D�partement";2015;08;29;"Le samedi 29 aout 2015 � 21h26 un t�moin sur sa terrasse regarde les �toiles et un avion et reste surpris de voir dans le NO un ph�nom�ne lumineux augmenter puis diminuer en intensit� jusqu'� disparaitre. Un seul t�moignage est recueilli.
Les caract�ristiques du PAN ont �t� relev�es par le t�moin :
- Point lumineux immole
- Dur�e d'observation de 10 secondes
- Luminosit� semblable � celle d'une �toile
Ces donn�es sont typiques d'un flare ou flash Iridium.
Par ailleurs, les donn�es concernant l'heure et la direction de l'observation (heure exacte not�e de 21h26 et direction d'observation vers le Nord-Ouest) se retrouvent dans celles concernant le flare Iridium de l'objet Iridium 54 d'une magnitude maximale de -6.6 (voir la note d'enqu�te).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation d'un flare iridium.";"Observation de l'augmentation et la diminution progressive d'un point lumineux dans le ciel nocturne : observation d'un flare iridium.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;A;A;2015-08-09300
3879;"SAINT-GEORGES-DE-DIDONNE (17) 29.08.2015";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2015;08;29;"Le 29 aout 2015 entre 21h45 et 23h une famille observe successivement les d�placements de points lumineux orang�s ou blancs dans le ciel. Certains s'�teignent progressivement, d'autres sont perdus de vue partant dans diverses directions. Aucun bruit n'est entendu durant les observations. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de points lumineux oranges ou blanc dans le ciel, une nuit de week-end fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. La disparition successive de ces lumi�res conforte cette hypoth�se car r�sulte de la fin de l'extinction des bruleurs dans les lanternes.
Le t�moignage tr�s succinct ne permet pas de corr�ler l'observation avec le vent.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : probable lanternes thailandaises.";"Observation de passages silencieux de plusieurs points lumineux orang�s ou blancs dans le ciel entre 21h45 et 23h ; directions de d�placements diverses : probable lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-09-09;;;0.20;0.00;;;0.50;;;;0.65;0.35;B;A;2015-08-09301
3880;"CHATILLON (92) 29.08.2015";Hauts-de-Seine;92;"(D) D�partement";2015;08;29;"Le samedi 29 ao�t 2015 vers 14h un t�moin qui regarde la t�l�vision a son regard attir� par le d�placement dans le ciel de 4 objets ronds distincts jaune-orang� avec un centre rouge et qui semble composer un seul ph�nom�ne. Les objets se d�placent lentement et sans bruit passant au-dessus de l'immeuble puis sont perdus de vue. Le t�moin a eu le temps de prendre une photographie. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a probablement vu des objets port�s par le vent. Le d�placement lent en rapprochement et survol de l'immeuble (orient� NE) est conforme avec un l�ger vent d'origine NE (voir la m�t�o).
Par ailleurs les photos et la description t�moignent de forme plut�t ronde comme des ballons. L'aspect lumineux rouge ou orange peut correspondre � des lanternes thailandaises qui peuvent �tre de couleur et forme variable, mais il peut aussi s'agir de ballons � LED gonfl�s � l'helium.
En conclusion le GEIPAN classe ce cas B : probable observation de ballons.";"Observation du passage lent et silencieux de 4 objets ronds jaune-orang� avec un centre rouge et brillant dans le ciel : probable observation de ballons.";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.30;0.00;;;0.65;;0.80;;0.52;0.00;B;B;2015-08-09302
3881;"BESSAY (85) 28.08.2015";Vend�e;85;"(D) D�partement";2015;08;28;"Le vendredi 28 ao�t 2015 entre 21h et 21h15, quatre personnes dans un jardin observent dans le ciel la pr�sence de deux lumi�res orange. Une lumi�re semble fixe plein Ouest et la deuxi�me mobile vient du Nord-Ouest. Les lumi�res disparaissent l'une apr�s l'autre en direction du Sud-Ouest. Aucun bruit n'est entendu lors de l'observation d'une minute. Le t�moin a le temps de prendre 4 photographies. Un seul t�moignage est recueilli en gendarmerie.
La s�rie de photos analys�e (voir la note d'enqu�te) montre, avec une bonne probabilit�, deux lanternes tha�landaises, se d�pla�ant au gr� du vent.
L'observation s'est d�roul�e un vendredi soir, jour de la semaine propice aux festivit�s du week-end (mariages, f�tes diverses) durant lesquelles de telles lanternes peuvent �tre lanc�es.
En cons�quence le GEIPAN classe en B: probable lanternes thailandaises.";"Observation des �volutions silencieuses de deux lumi�res orange dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-09-09;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;B;B;2015-08-09303
3883;"ROQUEBRUNE-SUR-ARGENS (83) 04.09.2015";Var;83;"(D) D�partement";2015;09;04;"Dans la nuit du 4 au 5 septembre 2015 deux t�moins observent les �volutions silencieuses de lueurs dans le ciel nocturne de Roquebrune-sur-Argens. Le T1 fait son observation � 23h40 le 4 et le T2 fait son observation � 0h15. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'observation de cercles lumineux laiteux se mouvant dans les nuages bas, une nuit de week-end durant plusieurs dizaines de minutes �voquent nettement une animation lumineuse produite par une discoth�que ou autre animation pour le public. La zone touristique o� se situe l'observation est bien s�r tr�s propice � ce genre de manifestation.
Les deux t�moins ont observ� un ph�nom�ne semblable � 45 minutes d'intervalle, probablement issu de la m�me source, mais �ventuellement orient� dans des directions diff�rentes : ces projecteurs laser sont nettement visibles � plus de 10 km.
Un des t�moins a fait une s�rie de photos du ph�nom�ne, tout � fait conformes � cette explication.
Le GEIPAN n'a pas men� les recherches pour retrouver la source pr�cise de cette animation et classe ce cas en B: probable observation d'une animation lumineuse.";"Observations des �volutions silencieuses de lueurs dans le ciel nocturne dans la m�me nuit : probables observations d'une animation lumineuse.";O;;;;;;;;;2017-06-08;;;0.20;0.00;;;0.75;;0.80;;0.62;0.00;B;A;2015-09-09312
3884;"[R] de AIRVAULT (79) vers VIENNAY (79) 06.09.2015";Deux-S�vres;79;"(D) D�partement";2015;09;06;"Le 6 septembre 2015 � minuit quinze, un t�moin roule en voiture entre Airvault (79) et Viennay (79) lorsqu'il observe le d�placement silencieux de 8 � 9 lumi�res dans le ciel d�gag�. Elles forment d'abord deux figures diff�rentes, les 4 premi�res en carr�, les 3 ou 4 derni�res irr�guli�rement align�es. Le t�moin s'arr�te alors sur un parking et distingue plus particuli�rement la derni�re lumi�re, au-dessus de lui. Il voit un cercle parfait de couleur orange � jaune et prend une photo avec son t�l�phone portable. L'observation dure 8 � 9 minutes au total. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
L'observation correspond bien � une formation de lanternes thailandaises, que ce soit pour l'allure g�n�rale, la couleur dominante orang�e, l'heure une nuit de weekend, ou encore l'observation plus rapproch�e et d�taill�e de l'une d'elles passant � la verticale (""lumi�re apparaissant comme un cercle parfait dont la couleur orange ou jaune circulait � l'int�rieur""). Le point concernant l'appr�ciation de vitesse (90 Km/h) ne peut correspondre � la r�alit� vu la vitesse du vent a priori. Mais l'appr�ciation de vitesse est toujours difficile et subjective, elle n'est d'ailleurs pas coh�rente ici avec d'autres �l�ments du t�moignage qui traduisent une vitesse bien plus faible.
En cons�quence, le GEIPAN classe cette observation en B : forte probabilit� de lanternes thailandaises.";"Observation du d�placement silencieux de 8 � 9 lumi�res jaune orang�es dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-06-22;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;B;A;2015-09-09311
3885;"VIENNE-EN-VAL (45) 06.09.2015";Loiret;45;"(D) D�partement";2015;09;06;"Le 6 septembre 2015 vers 22h45, un t�moin observe depuis son jardin un point lumineux se d�pla�ant dans le ciel du Sud vers le Nord, qu'il prend d'abord pour un satellite. Le PAN s'arr�te quelques secondes, reprend sa progression puis fait une demi-boucle en sens inverse. Apr�s un nouvel arr�t, le PAN dispara�t � grande vitesse. Un seul t�moignage est recueilli.
D'�tranget� moyenne, mais de consistance faible (t�moin unique, pas de photographie, indications manquantes), ce cas s'av�re �tre une m�prise possible avec l'observation d'un satellite artificiel passant � la verticale du t�moin, suivie imm�diatement par un m�t�ore appartenant probablement � l'essaim des Kappa Cygnides. Le manque de pr�cisions du t�moin emp�che toutefois de confirmer formellement cette hypoth�se (voir le compte rendu d'enqu�te).
L'encha�nement insolite et imm�diat d'un passage satellitaire et d'un m�t�ore a pu �tre interpr�t� par le t�moin comme le d�placement d'un seul et unique objet. De plus, les arr�ts et rotations du PAN d�crits par le t�moin peuvent �tre une mauvaise interpr�tation de l'observation, provoqu�e par une position particuli�rement inconfortable de l'observation, celle-ci se d�roulant � la verticale. Ce cas est class� B, m�prise probable avec un satellite co�ncidant avec l'observation d'un m�t�ore.";"Observation des �volutions particuli�res d'un point lumineux dans le ciel : m�prise probable avec un satellite co�ncidant avec l'observation d'un m�t�ore.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.40;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;B;B;2015-09-09310
3887;"PARIS (75) 07.09.2015";Paris;75;"(D) D�partement";2015;09;07;"Le dimanche 6 septembre 2015 vers 23h30 un t�moin entend le bruit singulier d'un appareil qui survole de nuit son quartier depuis quelques mois. A minuit ce bruit recommence mais le t�moin �teint radio et lumi�re et ouvre la fen�tre de son appartement au 4eme �tage : elle observe alors trois lumi�res fixes argent�es et une lumi�re rouge clignotante. La trajectoire de l'objet est rectiligne. Il passe au-dessus de l'immeuble d'en face puis disparait cach� par le paysage urbain. L'observation se r�p�te � 0h11 et 0h35. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Cette observation ne repr�sente aucune �tranget� particuli�re :
- le t�moin lui m�me indique que le bruit ne l'�tonne pas "" je reconnais le bruit de cet appareil qui survole de nuit et de mani�re irr�guli�re notre quartier depuis plusieurs mois, je ne juge pas n�cessaire de me lever de ma chaise"".
- l'�l�ment particulier ce soir l� r�side dans le fait que le t�moin a finalement regard� l'objet � l'origine du bruit non �trange et qu'il ne reconnait pas cet objet comme un avion ou h�licopt�re tout en pr�cisant qu'il ne peut distinguer que les lumi�res et non la forme du PAN. Ce dernier passe plusieurs fois au-dessus de l'immeuble d'en face et il y a tout lieu de penser qu'il s'agit d'un h�licopt�re sachant que les h�licopt�res adoptent des �clairages de nuit variables selon leur type ou le type de leur mission.
Par ailleurs un objet bruyant et particuli�rement �trange passant et repassant au-dessus d'un quartier de Paris vers minuit en p�riode estivale aurait d� donner lieu � d'autres t�moignages.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable d'un a�ronef.";"Observations successives dans la m�me nuit des passages de 3 lumi�res argent�es et d'une lumi�re clignotante rouge ; bruit de moteur : observation probable d'un a�ronef.";O;;;;;;;;;2017-06-07;;;0.30;0.00;;;0.65;;0.80;;0.52;0.00;B;B;2015-09-09308
3888;"PETITE-VERRIERE (LA) (71) 07.09.2015";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";2015;09;07;"Le 7 septembre 2015 vers 21h43 un t�moin observe deux flashs brefs espac�s de quelques secondes dans le ciel d�gag�. Un seul t�moignage est recueilli.
D'�tranget� moyenne, mais de consistance suffisante, ce cas s'av�re �tre une m�prise avec un ph�nom�ne de type reflets satellitaires. Une recherche plus pouss�e (voir le compte rendu d'enqu�te) a permis de d�terminer le satellite qui est tr�s probablement � la source de cette m�prise, dans la mesure o� la trajectoire et l'horaire sont parfaitement coh�rents avec la description du t�moin.
Ce cas est class� A, m�prise avec un ph�nom�ne de reflets satellitaires, impliquant le satellite Globalstar 56.";"Observation de deux flashs brefs espac�s de quelques secondes dans le ciel d�gag� : m�prise avec un ph�nom�ne de reflets satellitaires, impliquant le satellite Globalstar 56.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;A;A;2015-09-09307
3890;"CROLLES (38) 09.09.2015";Is�re;38;"(D) D�partement";2015;09;09;"Le 9 septembre 2015 � 21h30 un t�moin aper�oit durant 3 secondes, au-dessus du massif montagneux de Belledone, le d�placement d'une forme rectangulaire de couleur jaune p�le, marqu�e en son milieu par une bande noire. Aucun bruit n'est entendu lors du d�placement de cette forme sur une trajectoire en ligne droite descendante. Aucun changement de cap n'est remarqu�. Un seul t�moignage est recueilli.
Le lieu d'observation du PAN est situ� � 3km seulement d'un lieu extr�mement actif de vol libre (parapente).
L'aspect d�crit est compatible d'un parapente, qui aurait effectu� un vol de nuit (la nuit a�ronautique commence 30 minutes apr�s l'heure locale de coucher du soleil).
Le vol de nuit (parapente, deltaplane) est r�glement�. L'appareil doit porter deux feux (un vert et un rouge). De plus un vol de nuit doit �tre d�clar� � la pr�fecture et ne peut avoir lieu que trois jours avant ou apr�s une pleine lune. Ce qui n'est pas le cas ici.
Ce vol de nuit �tait ill�gal, ce qui explique son absence d'�clairage r�glementaire. Le 7�me R�giment de Chasseurs Alpins (situ� � Varces) indique qu'il n'y a pas eu d'exercices militaires cette nuit-l�.
Compte tenu des �l�ments, nous pouvons conclure que cette observation concerne probablement un vol de nuit de parapente civil non autoris� (voir le compte rendu d'enqu�te joint).
Ce t�moignage est d'une consistance moyenne (quelques �carts entre les donn�es du questionnaire et celles recueillies sur place, t�moignage unique) mais suffisante au regard de l'�tranget� pour classer le cas en B : m�prise probable avec un parapente.";"Observation de 3 secondes du d�placement dans le ciel nocturne d'une forme rectangulaire de couleur noire avec une bande orang�e au milieu : m�prise avec un parapente.";O;;;;;;;;;2017-04-05;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;B;B;2015-09-09313
3891;"MORVILLE-SUR-SEILLE (54) 11.09.2015";Meurthe-et-Moselle;54;"(D) D�partement";2015;09;11;"Le 11 septembre 2015 vers 3h du matin deux personnes dans leur voiture sont intrigu�es par un ph�nom�ne lumineux blanc dans le ciel. Les t�moins s'arr�tent et l'objet change de direction en �mettant un vrombissement. Le t�moin prend trois photos. Un seul t�moignage sera recueilli.
Le cas comporte des �l�ments d'�tranget�. La boule lumineuse stable dans le ciel finit par se mouvoir et partir avec un vrombissement. Il n'y pas d'enregistrement radar.
Une hypoth�se pourrait �tre un h�licopt�re en manuvre (non vu par le radar du fait la faible altitude), m�me si cela reste �tonnant � 3 H heures du matin en rase campagne et sans connaissance de la gendarmerie locale.
Par ailleurs le cas comporte des �l�ments d'inconsistance dans le t�moignage, le premier �tant que le t�moin n'a pas donn� suite aux demandes r�it�r�es de rendez-vous pour une enqu�te sur place. Auparavant, il n'avait pas non plus r�pondu aux demandes de pr�cisions sur les positions du PAN dans le ciel, ni sur la demande de t�moignage du conjoint du t�moin pr�sent aussi dans le v�hicule. Une enqu�te sur place aurait permis de compl�ter le t�moignage et peut �tre de solutionner les �l�ments d'�tranget�.
En cons�quence, le GEIPAN classe en C : pas de r�ponse du t�moin.";"Observation d'un ph�nom�ne blanc dans le ciel et bruit de vrombissement : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.60;0.00;;;0.30;;0.30;;0.09;0.00;C;C;2015-09-09314
3892;"AUCAMVILLE (31) 13.09.2015";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2015;09;13;"Le 13 septembre 2015 de 1h15 � 1h30 du matin, un t�moin observe depuis son balcon le passage silencieux du SE vers le NO de 8 objets lumineux (apparaissant successivement), de couleur orang� vif dans le ciel d�gag�. Les objets disparaissent les uns derri�re les autres. Le t�moin prend des photographies. Un seul t�moignage sera recueilli sur ce phenom�ne.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue de la f�te locale ou d'une f�te priv�e.
Le t�moin prend quelques photos : elles s'av�rent d�focalis�es (flou de mise au point, tr�s fr�quent sur les photos de nuit dans ces conditions) et ne montre qu'un cercle flou orange . Elles prouvent toutefois la r�alit� du ph�nom�ne, et la couleur du ph�nom�ne est tout � fait coh�rente avec celle des lanternes tha�.
Le d�placement est observ� du Sud-Est vers le Nord-Ouest, ce qui est compatible avec le vent d'Est, s'orientant Sud-Est en cours de nuit, relev� � Toulouse Blagnac (relev� M�t�ociel).
Le d�placement tr�s r�gulier des objets dans le ciel est tout � fait normal pour un objet port� par un l�ger vent ; si les objets survolent des zones industrielles avec de fortes ventilations ou de grosses sources de chaleur, la trajectoire est bien s�r irr�guli�re. Comme les lanternes sont souvent l�ch�es les unes apr�s les autres, apr�s le m�me d�lai correspondant au temps de l'allumage du br�leur, le r�sultat est une file tr�s organis�e de lumi�res volantes.
Du fait de leur faible luminosit� intrins�que, les lanternes tha� sont le plus souvent interpr�t�es comme plus lointaines qu'elles ne sont vraiment, et donc plus rapides.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement silencieux de 8 objets de couleur orang� dans le ciel nocturne : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;A;2015-09-09315
3893;"NICE (06) 13.09.2015";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2015;09;13;"Le 13 septembre 2015 � 20h30 deux personnes sur un balcon sont intrigu�es par le d�placement silencieux sur une trajectoire montante dans le ciel de cinq points lumineux jaune orang�. Trois d'entre eux forment un triangle. Un seul t�moignage est recueilli.
Compte tenu des �l�ments objectifs d�finis dans le compte rendu d'enqu�te (document joint) , � savoir :
- la couleur orange ou jaune-orang�e identique � celle de lanternes.
- le nombre correspondant � un l�cher group� ""classique"" de lanternes.
- le d�placement simultan� des lanternes, port�es par le vent et donnant lieu � une illusion de psychologie de la forme.
- le d�placement dans le sens du vent dominant.
- le comportement identique � celui d'objets soumis � un vent nul ou faible : vitesse faible.
- la dur�e d'observation courte (1 � 2 minute) compatible avec la dur�e de vie des lanternes.
- la date : un dimanche soir, compatible avec celles propices � l'organisation de lancers de lanternes � l'occasion de c�l�brations.
- la disparition caus�e par l'extinction des lanternes arriv�es en fin de vie.
- l'absence de bruit.
- la pr�sence � proximit� d'installations � ciel ouvert propices aux lancers de lanternes, situ�es dans la direction d'observation.
Le GEIPAN classe ce cas en � B � comme observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement silencieux de 5 points lumineux jaune orang� dans le ciel nocturne : observation probable de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;B;B;2015-09-09321
3894;"CAZERES (31) 13.09.2015";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2015;09;13;"Le dimanche 13 septembre 2015 entre 21h05 et 21h15 un t�moin est intrigu� par l'apparition et la disparition � trois reprises d'un ph�nom�ne lumineux sph�rique et de couleur jaune p�le dans le ciel d�gag�. Le ph�nom�ne fait des mouvements erratiques et aucun bruit particulier n'est entendu. Une vid�o d'une dur�e de 1'34 a �t� faite par le t�moin. Bien qu'accompagn� par une autre personne dans son observation, un seul t�moignage sera receuilli.
Compte tenu des �l�ments recueillis dans le compte rendu d'enqu�te(voir document joint), � savoir :
- la couleur jaune et rouge-jaune identique � celle de lanternes.
- la luminosit� comparable � celle d'une �toile tr�s brillante.
- la forme d�crite comme sph�rique.
- le comportement identique � celui d'objets soumis � un vent nul ou faible : d�placement dans le sens du vent dominant et mont�e caus�e par l'air chaud.
- la dur�e d'observation compatible avec la dur�e de vie des lanternes.
- la date : un dimanche soir, compatible avec celle propices � l'organisation de lancers de lanternes � l'occasion de c�l�brations.
- le nombre compatible avec celui de lanternes lanc�es en quantit�, de fa�on successive.
- la disparition caus�e par l'extinction des lanternes.
- l'absence de bruit.
- la pr�sence � proximit� d'installations propices aux lancers de lanternes, situ�es dans la direction d'observation des t�moins.
Le GEIPAN classe ce cas en � B � comme observation probable de lanternes Tha�landaises. Le t�moin, inform� de cette hypoth�se, l'a r�fut�e : comme il en a d�j� lanc�es, il en conna�t l'aspect. Mais il faut bien se rendre compte que l'aspect d'une lanterne tha� vue de loin n'a rien � voir avec la vue que l'on a en les lan�ant.
Le GEIPAN n'a pas lanc� d'enqu�te locale pour retrouver les auteurs �ventuels de ce l�cher. Ce type d'enqu�te n'est lanc� que pour les l�chers de nombreuses lanternes � l'occasion de f�tes importantes, assez faciles � retrouver. Les petits l�chers peuvent �tre faits � l'occasion d'�v�nements mineurs priv�s (anniversaires, ou essais) tr�s difficiles � rep�rer en milieu urbain.";"Apparition et disparition � trois reprises d'un ph�nom�ne lumineux sph�rique et de couleur jaune p�le dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;B;B;2015-09-09320
3895;"PRATS-DE-CARLUX (24) 13.09.2015";Dordogne;24;"(D) D�partement";2015;09;13;"Le 13 septembre 2015 vers 0h25 un t�moin � son domicile aper�oit dans le ciel d�gag� le passage silencieux de deux boules lumineuses rougeoyantes-orange. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Sud-Est vers le Sud-Ouest, ce qui est compatible avec le vent de Sud-Est � Nord relev� � Brive-Souillac (voir le relev� M�t�ociel du jour de l'observation � Brive-Souillac.
Le t�moignage tr�s pr�cis et surtout la photo 477 permettent de confirmer cette hypoth�se : la forme en ""madeleine"", la couleur caract�ristique, le centre plus jaune ne laissent aucun doute. Les autres photos montrent le ph�nom�ne de loin, et sont plus difficiles � interpr�ter.
Le t�moin, astronome amateur, a �t� surpris par cet objet insolite, d'une nature bien diff�rente des astres qu'il connait bien. Du fait de la luminosit� intrins�que assez faible des lanternes tha�, elles sont souvent estim�es plus distantes et donc plus grosses, qu'elle ne sont r�ellement.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" observation de lanternes tha�.";"Observation du passage silencieux de deux boules lumineuses orang�es dans le ciel : observation de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;A;A;2015-09-09316
3896;"CASTRES (81) 20.09.2015";Tarn;81;"(D) D�partement";2015;09;20;"Le dimanche 20 septembre 2015 vers 20h-20h15 un t�moin sur sa terrasse assiste dans le ciel d�gag� � ""une chute verticale"" d'un objet, � grande vitesse qui disparait dans le paysage. Le t�moin pense � la ""chute d'un avion supersonique"". Quelques secondes plus tard, le t�moin voit de nouveau un objet, remontant � toute allure vers le zenith. Une partie de l'objet semble se d�tacher et redescendre � ""l'horizontale"". Le t�moin pense qu'il s'agit du seul et m�me objet pour les deux observations. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation de ces ph�nom�nes orang�s ou gris.
Compte tenu des �l�ments recueillis (voir le compte rendu d'enqu�te), � savoir :
- Absence de donn�es angulaires pr�cises.
- Absence de donn�es azimutales d'apparition et de disparition des PANs pour chacune des phases de l'observation.
- Informations incompl�tes en ce qui concerne la pr�sence de tra�n�es de condensation.
- Dur�es d'observations pour chacune des phases inconnues.
- Manque de pr�cisions sur la nature et l'amplitude des d�placements signal�s par le t�moin comme �tant en ""angle obtus"".
Et bien que la seule hypoth�se plausible retenue soit celle d'une confusion avec des tra�n�es de condensation d'avions observ�es au soleil couchant, nous pouvons conclure que le manque d'information ne permet pas de conclure d�finitivement en faveur de cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas en � C � comme observation d'un ph�nom�ne non identifiable en l'�tat, le manque d'�l�ments ne permettant pas d'�tablir un avis solide.
";"Deux observations rapproch�es du d�placement d'un objet orang� ou gris dans le ciel ; trajectoire avec angles obtus : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.40;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;C;B-;2015-09-09319
3897;"[D200] de RIVECOURT (60) vers AGEUX (LES) (60) 26.09.2015";Oise;60;"(D) D�partement";2015;09;26;"Le 26 septembre 2015 � 23h59 un t�moin observe un vingtaine de lumi�res dans le ciel, semblables � des lampadaires, mais mobiles. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Nord est vers le Sud est, ce qui est parfaitement compatible avec le vent de Nord-Est relev� � Creil (voir le relev� M�t�ociel).
Les t�moins ont bien pens� � des lanternes tha�, mais n'ont pas compris comment l'une d'entre elles peut aller plus vite. On note que cette suppos�e lanterne est la derni�re, et donc l�ch�e apr�s les autres, qui n'a pas encore atteint la m�me altitude. Il se peut que le vent en altitude ait une vitesse un peu diff�rente que le vent pr�s du sol ; il faut aussi envisager un effet de perspective : � vitesse �gale, un objet proche para�t plus rapide que son homologue plus lointain (voir sch�ma). Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage d'une vingtaine de lumi�res dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2015-09-09318
3898;"BIDART (64) 19.09.2015";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2015;09;19;"Le 19 septembre 2015 un t�moin regardant les �toiles et en particulier la Petite-Ours est surpris de constater le d�placement rectiligne de 3 spots lumineux gris fixes formant un triangle isoc�le dans le ciel. Aucune train�e, aucun halo, aucun bruit ne sont remarqu�s lors du passage conjoint des trois spots. Ces derniers s'�teignent progressivement sur une seconde. L'observation a dur� 8 secondes au total. De suite apr�s cette observation le t�moin suit le passage d'un avion traversant la trajectoire du PAN. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Le t�moin ne peut donner l'heure exacte de l'observation mais donne cependant une indication (essai en rugby des fran�ais contre les italiens) : l'enqu�teur a pu d�terminer l'heure d'observation qui est 22h31(voir le compte rendu d'enqu�te).
Des hypoth�ses a�ronautiques (passage avion), a�rospatiales (satellites ou lancement de fus�e) ont donc pu �tre �tudi�es. D'�tranget� moyenne, mais de consistance suffisante, ce cas peut �tre une m�prise possible avec un vol d'oiseaux �clair�s par une source lumineuse au sol. L'aspect non ponctuel des spots lumineux composant le PAN ainsi que sa vitesse angulaire rapide sont compatibles avec cette hypoth�se. De plus, il existe deux sources pouvant potentiellement �clairer des oiseaux par en-dessous dans la direction indiqu�e par le t�moin.
Ce cas est class� B, m�prise possible avec un vol d'oiseaux �clair�s par une source lumineuse nocturne.";"Observation du passage silencieux et conjoint de trois spots lumineux gris sur une trajectoire rectiligne : probable observation du passage d'oiseaux �clair�s par une zone lumineuse depuis le sol.";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.40;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;B;2015-09-09317
3918;"SALON-DE-PROVENCE (13) 06.08.2015";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2015;08;06;"Le 6 aout 2015 � 22h20 un t�moin aper�oit dans le ciel le passage rapide d'une forme triangulaire translucide qui l'intrigue. Aucun bruit, aucun clignotement, aucune train�e ne sont remarqu�s. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin observe le ph�nom�ne se d�placer du Sud-Ouest vers le Nord-Est sur quelques dizaines de degr�s en une seconde.
Une premi�re v�rification du contexte astronautique, par le site Calsky (cf relev� ci-joint), indique un passage de la station spatiale internationale (ISS) de 22h20 � 22h25, de l'Ouest vers l'Est, � basse �l�vation, simultan�ment � l'observation mais assez loin de la direction d'observation du t�moin qui, allong�, regarde vers le z�nith.
La rapidit� du ph�nom�ne, et la co�ncidence avec la p�riode d'observation de l'essaim des Pers�ides (�toiles filantes) oriente vers une hypoth�se de 3 �toiles filantes simultan�es (peut-�tre issues d'un m�me corps). Cette hypoth�se n'explique bien s�r pas la forme triangulaire creuse observ�e par le t�moin. Cette forme peut �tre une illusion de perception (voir le lien Illusion de forme ou de contour.
) Mais cette hypoth�se ne peut �tre confirm�e. Le t�moin, interrog� au t�l�phone, a pr�cis� que l'�clat des points lumineux ne ressemblait pas � celui d'une �toile filante.
L'observation tr�s courte, par un seul t�moin, ne permet pas de caract�riser finement le ph�nom�ne.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information et de recoupements.";"Observation d'une seconde du d�placement rapide d'une forme triangulaire translucide dans le ciel : manque d'informations et de recoupements.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.40;0.00;;;0.80;;0.70;;0.56;0.00;C;B;2015-08-09339
3900;"[D80] de PORNIC (44) vers NANTES (44) 28.12.2014";Loire-Atlantique;44;"(D) D�partement";2014;12;28;"Le 28 d�cembre 2014 � 18h20 un passager dans une voiture est intrigu� par la pr�sence de deux lumi�res fixes et parall�les dans le ciel. Lorsque les lumi�res survolent la voiture, le t�moin constate par le toit panoramique qu'il s'agit d'un triangle �quilat�ral sombre, pointe au sud. Le triangle est form� d'une lumi�re � l'int�rieur de chaque angle, et une, moins lumineuse, au centre. La trajectoire est rectiligne.
La description par le t�moin de deux puis trois points lumineux � basse altitude, volant en ligne droite vers le Sud, la mention de deux feux clignotants, orientent vers l'hypoth�se d'un avion � basse altitude, arrivant du Nord (de Grande Bretagne ?), et se pr�parant � atterrir � Nantes-Bouguenais, par le Sud, face au vent (voir le relev� de vent nord � Nantes M�t�ociel).
Bien s�r, le fait que le t�moin d�crive un triangle et non un avion semble contradictoire avec cette hypoth�se ; mais le t�moin voit essentiellement les puissants phares d'atterrissage, et, aveugl�, ne distingue pas le fuselage (voir un exemple sur photo DSC_6916_avion.jpg). C'est une illusion commune de perception, dite illusion de contour, ou illusion de forme, qui donne l'impression d'un triangle englobant les points lumineux. Du fait du d�lai important apr�s l'observation, le GEIPAN n'a pas pu acc�der aux informations a�ronautiques permettant de d�terminer quel avion a �t� vu.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'avion se pr�parant � l'atterrissage.";"Observation du passage d'une forme triangulaire sombre d�limit�e par des lumi�res : probable observation d'un avion se pr�parant � l'atterrissage.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.40;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;B;2014-12-09325
3901;"LOUPIAN (34) 28.09.2015";H�rault;34;"(D) D�partement";2015;09;28;"Le 28 septembre 2015 � 5h26 un t�moin � l'ext�rieur observe durant 5 secondes le passage silencieux dans le ciel d'une forme triangulaire rouge (extr�mit�s rondes rouges, l'objet lui-m�me �tant moins lumineux que ses extr�mit�s). Le PAN se d�place parall�lement � l'horizon, en un mouvement rectiligne et disparait instantan�ment dans le ciel profond. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin observe un triangle rouge limit� par 3 lumi�res rouge vif ; il est possible que la forme triangulaire soit une illusion de perception (illusion de contour), et que seules les 3 lumi�res soient bien r�elles.
Le relev� des passages de satellites sur Calsky indique deux satellites visibles � l'horizon Nord Est o� observe le t�moin : USA 16/NOSS 1-7A, et Lacrosse 5 Rocket.
Il y a bien un 3eme satellite sur la m�me trajectoire : NOSS 6 (D), mais il passe 10 mn plus tard.
On ne peut donc pas corr�ler directement l'observation du t�moin avec ces 3 satellites, � moins que la mod�lisation Calsky soit impr�cise. La couleur rouge serait �tonnante, mais � basse �l�vation, ce serait envisageable du fait de l'�paisseur de l'atmosph�re travers�e.
On peut aussi penser � des lanternes tha�landaises se d�pla�ant vers le Sud, pouss�es par le l�ger vent de Nord (cf M�t�ociel) mais le jour et l'heure (lundi matin) paraissent peu compatible avec cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce ph�nom�ne peu �trange en cat�gorie C par manque d'information permettant de confirmer ou d'infirmer ces hypoth�ses.";"Courte observation du passage rectiligne d'une forme triangulaire d�limit�e par des ronds rouges � chaque extr�mit� ; disparition instantan�ment dans le ciel profond : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-03-09;;;0.40;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;C;B;2015-09-09323
3903;"HAREVILLE (88) 26.09.2015";Vosges;88;"(D) D�partement";2015;09;26;"Le 26 septembre 2015 � 15h un t�moin aper�oit durant 5 minutes environ, dans un beau ciel bleu, 5 points blancs qui se rapprochent lentement, sans aucun bruit. La formation continue � voler, puis entre dans un nuage et disparait de la vue du t�moin. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de points blancs volant ensemble dans un ciel bleu, dans le m�me sens que le vent �voque nettement des ballons de baudruche, probablement l�ch�s � l'occasion d'une f�te. Les objets semblaient venir de Remoncourt, au Nord Est de l'observateur.
Le vent relev� � Nancy est bien un vent de Nord Est (voir le relev� M�t�ociel.
La date et l'heure (samedi 15h) peut correspondre � un mariage (Il y a bien eu un mariage � Remoncourt le 26/9).
Le GEIPAN n'a pas poursuivi l'enqu�te pour v�rifier cette hypoth�se. Ce cas est class� ""B"" : observation probable de ballons de baudruche.";"Observation du lent et silencieux d�placement d'une formation de 5 points blancs dans le ciel : observation probable de ballons de baudruche.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.40;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;B;2015-09-09326
3904;"FONTANES (34) 12.08.2015";H�rault;34;"(D) D�partement";2015;08;12;"Ce t�moignage complexe d�crit une encha�nement de ph�nom�nes lumineux dans le ciel, juste avant le lever du soleil le 12 ao�t 2015 � 6h38.
Le t�moin a pr�cis� lors d'une conversation t�l�phonique que sa fen�tre �tait orient�e pr�cis�ment au Sud-Ouest (225�). Le cercle lumineux observ� �tait d'une taille apparente 3 fois plus petit que la Lune.
La premi�re observation peut correspondre au flash (flare, reflet du soleil) d'un satellite Iridium.
Les autres ph�nom�nes observ�s peuvent correspondre � des reflets du soleil sur des avions, en effet la proximit� du lever du soleil est tr�s propice � ce genre de ph�nom�nes.
Comme le rapport d'observation est complexe et peu pr�cis en qui concerne les directions d'observation, et que le t�moignage est arriv� trop tard pour pouvoir faire des v�rifications avec le trafic a�rien, le GEIPAN ne peut confirmer cette derni�re hypoth�se.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli. Ce cas est class� ""C"" par manque d'information.";"Observation de plusieurs ph�nom�nes lumineux tr�s �loign�s au lever du soleil : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;C;B;2015-08-09327
3905;"BONNES (86) 30.09.2015";Vienne;86;"(D) D�partement";2015;09;30;"Le GEIPAN a �t� inform� le 1er octobre par le site OVNI66 de plusieurs observations faites le 30 septembre vers 23h50. les t�moins rapportent des observations simultan�es de boules lumineuses tr�s brillantes traversant rapidement une partie du ciel,ce qui semble �tre un bolide, sorte de m�t�ore (voir explication du ph�nom�ne dans l'article un bolide?).
""Le m�t�ore qui a travers� le ciel du Gers hier mercredi 30 septembre 2015 � 22h53 �tait visible depuis Les-Vans (07), Campome (66), Canet (66), l'Yssandon (19), Saint-Victor-en-Marche, Brissac (34), Chemill�-Melay dans le Maine-et-Loire (49), Toulouse (31) et jusqu'� Lyon (69)."" (source OVNI66).
Le GEIPAN a re�u directement un t�moignage formel d'une observation � 22h53 � BONNES(86) pr�s de Poitiers.
De nombreux t�moins se sont signal�s � Toulouse aupr�s du journal ""La D�p�che du midi"". Un membre du GEIPAN l'a aussi observ� du coin de l'oeil.
A 22h53, la cam�ra automatique ""Allsky"" du GEIPAN a aussi enregistr� le ph�nom�ne, de m�me que les cam�ras de l'observatoire du Pic du Midi et de Rochechouart (87) entre Angoul�me et Limoges (Voir les images des cam�ras).
La mod�lisation tri-dimensionnelle produite � partir des images des cam�ras permet de caract�riser parfaitement la trajectoire du ph�nom�ne lumineux, � tr�s haute altitude de l'ordre de 60 km. Lequel a �t� produit par la rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de, dont des fragments ont peut �tre atteint le sol. (Voir la modelisation Google Earth : 2015-30-09 2254.kmz)
La faible dur�e du ph�nom�ne implique une vitesse initiale sup�rieure � 8 km/s, ce qui oriente vers une origine naturelle : petit objet min�ral probablement issu de la ceinture d'ast�ro�des. Un d�bris spatial aurait produit un ph�nom�ne plus long.
Le GEIPAN a v�rifi� sur le site http://www.calsky.com qu'aucun d�bris spatial r�pertori� n'�tait tomb� ce jour-l� en visibilt� de la France.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" comme parfaitement identifi� : observation d'un bolide d'origine naturelle.";"Nombreuses observations du passage rapide dans le ciel d'un ph�nom�ne tr�s lumineux : observations d'un bolide d'origine naturelle.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.10;0.00;;;1.00;;1.00;;1.00;0.00;A;A;2015-09-09328
3906;"FOURAS (17) 03.10.2015";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2015;10;03;"Le 3 octobre 2015 aux environs de 22h15 un t�moin fermant ses volets observe trois objets de forme ogivale, au-dessus des arbres de son voisin. Les couleurs alternantes rouge, bleu et vert sont diff�rentes pour chaque objet. D'abord immobiles plusieurs minutes, ils s'�loignent ensuite vers le Sud. Le t�moin filme son observation. Son fils et sa femme partent en voiture en bordure de mer pour poursuivre l'observation aux jumelles. Aucun bruit n'est entendu durant les 10 � 15 minutes d'observation. Un seul t�moignage est recueilli.
D'apr�s le compte rendu d'enqu�te joint, un ph�nom�ne a�ronautique est possible mais peu envisageable �tant donn� cette alternance bleu vert rouge des couleurs du PAN qui ne correspond pas aux feux de position a�ronautique quel qu'en soit le type.
L'observation d'une lanterne tha�landaise est �galement peu probable du fait des 3 couleurs observ�es par alternance.
L'observation de 3 PAN distincts, d�crit par le t�moin ne peut �tre confirm�e par l'analyse de la vid�o, o� la distinction de 3 PANs n'est pas �vidente. Cette vid�o montre que le PAN s'est effectivement �loign�, et correspond � la description du t�moin donnant une phase o� le PAN semble bouger tr�s peu puis se d�placer lentement vers le Sud.
Les donn�es concernant la taille apparente et la luminosit� ne sont pas confirm�es par la vid�o. En effet, les lampadaires visibles sur la vid�o, ainsi que sur les images tir�es de la vid�o, permettent d'�valuer, par comparaison, la luminosit�. Cependant, la vid�o n'a pas �t� prise au d�but de l'observation, il est donc possible que la luminosit� observ�e au d�but �tait plus importante. Cette baisse de luminosit� confirmerait �galement un �loignement du PAN vers le Sud.
Suite � l'analyse de ces donn�es et � la visite chez le t�moin, l'hypoth�se la plus probable est le ballon � led ou un groupe de 3 ballons � led. En effet, l'alternance des 3 couleurs � intervalle r�gulier, le d�placement lent, au gr� du vent, ainsi que l'absence de son, correspondent � ce type d'objet. De plus, l'observation a �t� faite un samedi soir entre 22h et 23h, en bord de mer. Ceci augmente la probabilit� qu'un �v�nement festif ait eu lieu ce soir-l�. La comparaison avec les images tir�es issues de la vid�o du t�moin, et quelques exemples de ballon � led photographi�s va aussi dans ce sens (voir le compte rendu d'enqu�te).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : ballons LED.";"Observation de la pr�sence silencieuse dans le ciel de ph�nom�nes lumineux avec alternance de couleur puis d�placement : probable observation de ballons � Led.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.90;;0.75;0.00;B;B;2015-10-09331
3907;"PLOUMILLIAU (22) 14.09.2015";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2015;09;14;"Le t�moin a fait deux t�moignages tr�s similaires les 14 et 23 septembre 2015 depuis le m�me lieu et � la m�me heure (autour de 22h30). Chaque fois, il y a un environnement parfaitement constat� par le t�moin d'op�rations militaires a�riennes avec des descriptions en termes d'avions avec leurs bruits et train�es.
Par ailleurs le t�moin indique que cela lui a fait ""penser aux exercices tr�s r�cents (d�but septembre) d'avions Rafale en bord de mer (limite Roscoff/St-Pol-de-Leon) volant � basse altitude (exercices?) ""pendant des heures ils sont pass�s sur nos t�tes � basse altitude !"" et le t�moin pr�cise pour le 14 septembre que ""Pour moi, c'est quasi certain que le lundi 14/9, il s'agissait d'avions militaires"".
Dans cet environnement d'op�rations a�riennes, voici ce qui surprend le t�moin le 14 septembre :
- ""2 bruits tr�s forts et distincts (genre ""missile"" ou �norme p�tard de feu d'artifice sans d�tonation) m'ont pouss� � regarder � la fen�tre.""
- un PAN qui lui apparait diff�rent des avions �voluant dans le ciel car le PAN est sous forme de boule sph�rique qui � un moment a d�gag� un rideau lumineux vers le sol.
Et ce qui surprend le t�moin le 23 septembre :
- ""plusieurs (4 ou 5) ""boules lumineuses"" (beaucoup plus lumineuses que les quelques p�les �toiles qui apparaissaient) se d�pla�ant tr�s vite dans diff�rentes directions (pourrait faire penser � un ""ballet"") apparaissant et disparaissant alternativement � vive allure.
- ""deux avions (rep�rables par les tra�n�es blanches qu'ils formaient) � proximit� de ces boules lumineuses (je n'en ai vu que 2, peut-�tre y en avait-il plus, compte tenu du bruit.). Le ph�nom�ne a dur� environ 1 � 2 minutes, les ""boules lumineuses"" ont disparu rapidement, seuls les avions sont rest�s visibles et audibles"".
La zone des PANS, telle que signal�e par le t�moin par rapport � sa localisation (SO ou SE selon le jour 14 ou 23), et �galement telle que trac�e sur le plan par le t�moin) correspond � une zone de vol � basse altitude de l'arm�e (voir carte RTBA de 2015).
Le t�moin a donc assist� � deux reprises � des exercices a�riens. Dans un tel contexte ce qui a paru �trange au t�moin ne l'est a priori pas. Ces exercices peuvent par exemple donner lieu � des essais de lancers de leurre infrarouge lumineux pouvant engendrer des lueurs �tranges pour qui aurait du mal � les associer au contexte de manuvres et exercices militaires (voir l'article Les munitions �clairantes et les leurres militaires (military flares) comme g�n�rateurs d'OVNI).
Aucun autre t�moin ne s'est rapproch� du GEIPAN pour signaler des �tranget�s de ces �v�nements qui pourtant attiraient l'attention dans le ciel au moins par leur bruit (cas du pr�sent t�moignage).
En cons�quence le GEIPAN classe les cas du 14 et 23 septembre 2015 en B : avions.";"Observations successives en septembre 2015 du passage d'avions pr�c�d�s par des ph�nom�nes lumineux : probables observations d'avions en op�rations militaires.";O;;;;;;;;;2017-06-07;;;0.35;0.00;;;;;;;0.55;0.00;B;B;2015-09-09329
3908;"PLOUMILLIAU (22) 23.09.2015";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2015;09;23;"Le t�moin entend des bruits de moteurs d'avions et observe plusieurs boules lumineuses se d�pla�ant tr�s vite en plusieurs directions. Deux avions �voluent � proximit� de ces boules. Le t�moin a observ� un ph�nom�ne similaire la semaine pr�c�dente (le 14 septembre 2015), et trouve que cette nouvelle observation est dans la suite logique.
Le t�moin a fait deux t�moignages tr�s similaires les 14 et 23 septembre 2015 depuis le m�me lieu et � la m�me heure (autour de 22h30). Chaque fois, il y a un environnement parfaitement constat� par le t�moin d'op�rations militaires a�riennes avec des descriptions par le t�moin en termes d'avions avec leurs bruits et train�es.
Par ailleurs, le t�moin indique que cela lui a fait ""penser aux exercices tr�s r�cents (d�but septembre) d'avions Rafale en bord de mer (limite Roscoff/St-Pol-de-Leon) volant � basse altitude (exercices?) ""pendant des heures ils sont pass�s sur nos t�tes � basse altitude !"" et il pr�cise pour le 14 septembre que ""Pour moi, c'est quasi certain que le lundi 14/9, il s'agissait d'avions militaires"".
Dans cet environnement d'op�rations a�riennes, voici ce qui surprend le t�moin le 14 septembre :
- ""2 bruits tr�s forts et distincts (genre ""missile"" ou �norme p�tard de feu d'artifice sans d�tonation) m'ont pouss� � regarder � la fen�tre.""
- un PAN qui lui apparait diff�rent des avions �voluant dans le ciel car sous forme de boule sph�rique et qui � un moment a d�gag� un rideau lumineux vers le sol.
Et ce qui surprend le t�moin le 23 septembre :
- ""plusieurs (4 ou 5) ""boules lumineuses"" (beaucoup plus lumineuses que les quelques p�les �toiles qui apparaissaient) se d�pla�ant tr�s vite dans diff�rentes directions (pourrait faire penser � un ""ballet"") apparaissant et disparaissant alternativement � vive allure.
- ""deux avions (rep�rables par les tra�n�es blanches qu'ils formaient) � proximit� de ces boules lumineuses (je n'en ai vu que 2, peut-�tre y en avait-il plus, compte tenu du bruit). Le ph�nom�ne a dur� environ 1 � 2 minutes, les ""boules lumineuses"" ont disparu rapidement, seuls les avions sont rest�s visibles et audibles"".
La zone des PAN, telle que signal�e par le t�moin par rapport � sa localisation (SO ou SE selon le jour 14 ou 23), et �galement telle que trac�e sur le plan par le t�moin) correspond � une zone de vol � basse altitude de l'arm�e (voir carte RTBA de 2015).
Le t�moin a donc assist� � deux reprises � des exercices a�riens. Dans un tel contexte ce qui a paru �trange au t�moin ne l'est a priori pas. Ces exercices peuvent par exemple donner lieu � des essais de lancers de leurre infrarouge lumineux pouvant engendrer des lueurs �tranges pour qui aurait du mal � les associer au contexte de manuvres et exercices (voir l'article : Les munitions �clairantes et les leurres militaires (military flares) comme g�n�rateurs d'OVNI).
Aucun autre t�moin ne s'est signal� au GEIPAN pour signaler des �tranget�s de ces �v�nements qui pourtant attiraient l'attention dans le ciel au moins par leur bruit (cas du pr�sent t�moignage).
En cons�quence le GEIPAN classe les cas du 14 et 23 septembre en B : avions.";"Observations successives en septembre du passage d'avions pr�c�d�s par des ph�nom�nes lumineux : probables observations d'avions en op�rations militaires.";O;;;;;;;;;2018-06-14;;;0.35;0.00;;;;;;;0.55;0.00;B;B;2015-09-09330
3911;"SCHILTIGHEIM (67) 05.06.2015";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2015;06;05;"Le 5 juin 2015 � 21h10 un t�moin observe depuis son balcon au 4eme �tage la pr�sence de deux ph�nom�nes de forme ronde et de couleur fonc� dans le ciel d�gag�. Le premier PAN semble plut�t stable, le second �volue lentement en arc de cercle avec comme centre le premier objet. Le t�moin filme longuement le ph�nom�ne puis d�cide de prendre sa voiture pour s'approcher mais perd de vue les objets (les vid�os du t�moin seront mises ult�rieurement sur le site suite � un probl�me technique momentan�).Un seul t�moignage est recueilli.
Les formes discernables sur les vid�os font largement penser � deux montgolfi�res (voir � des ballons � gaz) dont la nacelle ne serait pas optiquement s�par�e du ballon du fait de l'�loignement. L'aspect double corps (ballon + nacelle) est confort� par une analyse radiom�trique (logiciel sp�cialis� IPACO). Les deux trajectoires partiellement reconstitu�es (� partir de la vid�o et des rep�res sol qui y apparaissent) sont assez similaires hormis une perte de hauteur angulaire d'une des deux formes. Ces trajectoires peuvent � un moment donner l'illusion (perception du t�moin) qu'une forme tourne autour de l'autre. Ces trajectoires �voquent celles d'objets port�s par le vent, avec une d�rive constante vers la gauche du t�moin. La baisse d'altitude des deux formes est coh�rente avec la n�cessit� de se poser avant la nuit (selon r�glementation). Voir le rapport d'enqu�te.
Il n'a pas �t� possible de finaliser l'identification exacte des appareils � l'origine, pour autant une grande majorit� des param�tres descriptifs issus de l'observation visuelle et issus des vid�os convergent parfaitement vers cette explication fort simple et plausible. La probabilit� d'un vol au d�part de Kehl (voire d'Offenbourg) est forte. En effet, il existe des soci�t�s de vols touristiques dans ce secteur situ� dans la direction de l'observation et � une distance compatible de la taille observ�e des montgolfi�res sur la vid�o.
L'�tranget� est donc tr�s faible et s'il n'y a qu'un seul t�moin, la consistance reste quant � elle assez forte du fait que les vid�os confirment son observation et permettent une approche tr�s objective du ph�nom�ne observ�.
En cons�quence, le GEIPAN classe cette observation en A : observation de montgolfi�res.";"Longue observation de la pr�sence de deux formes sombre dans le ciel d�gag� dont l'une semble tourner autour de l'autre : observation de montgolfi�res.";O;;;;;;;;;2017-02-16;;;0.15;0.00;;;0.70;;0.95;;0.67;0.00;A;A;2015-06-09333
3912;"[D185E1] de FABREGUES (34) vers LAVERUNE (34) 09.10.2015";H�rault;34;"(D) D�partement";2015;10;09;"Le 9 octobre 2015 � 21h un motard sur une petite route observe � 50m dans un champ, un PAN ovale de couleur sombre. Le t�moin s'arr�te pour observer : il n'entend aucun bruit et voit des personnes rentrer dans le PAN qui l�vite au-dessus du sol. Le t�moin effray� reprend sa route, s'arr�te de nouveau un peu plus loin pour voir le PAN partir vite et sur une trajectoire rectiligne. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Ce t�moignage s'av�re �tonnamment court par rapport � l'�tranget� du ph�nom�ne longuement observ� (10 minutes).
Du fait de cette �tranget�, le GEIPAN a demand� au t�moin de se rendre en gendarmerie, ce qu'il a verbalement accept� de faire. Mais, malgr� plusieurs relances par mail et t�l�phone de la part de la gendarmerie et du GEIPAN, il ne s'y est jamais rendu.
Par cons�quent, Le GEIPAN classe ce cas en cat�gorie ""C"" par manque d'information.";"Observation d'un PAN ovale et sombre en l�vitation dans un champs : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-12-14;;;0.80;0.00;;;0.10;;0.10;;0.01;0.00;C;C;2015-10-09343
3913;"PASSAGE (LE) (47) 08.10.2015";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";2015;10;08;"Le 8 octobre 2015 � 5h du matin un t�moin est intrigu� par la pr�sence dans le ciel d'une forte lumi�re dans le ciel d�gag�. Il d�cide de prendre des photographies et constate la pr�sence d'un autre objet. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Le t�moin signale un point tr�s lumineux � l'Est (une conversation t�l�phonique avec le t�moin pr�cisera qu'il observe le ph�nom�ne ""sous la Lune, � gauche"").
Les nombreuses photos montrent un flou de boug�, plus ou moins important malgr� l'usage du pied photo : le t�moin a d�clench� en appuyant sur le d�clencheur (sans t�l�commande ni retardateur) ce qui suffit � provoquer un important flou de boug�, du fait de l'usage d'une longue focale (300 mm)
On remarque sur les photos non recadr�es quelques autres point lumineux, caract�ris�s sans aucun doute comme les �toiles 31 Leo, Pi Leo, et HIP 48876 et 48734, ce qui confirme que c'est bien V�nus qui est photographi�e.
Sur les photos recadr�es (7298 � 7301) et rehauss�es, malheureusement non fournies enti�res, on constate une forme �trange de soucoupe ; si on regarde les vignettes de ces photos, avec un outils adapt� (ex : logiciel photo Xnview) qui montre le cadrage original, on constate que ces photos correspondent � un d�centrement de V�nus dans l'image ; la forme �trange est peut-�tre un artefact photographique, appel� ""flare"" ou reflet parasite, ou alors un nuage lenticulaire bien r�el (Diagnostic en cours aupr�s d'experts photo et m�t�o).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation et photographies de V�nus, avec un probable artefact photographique.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel d�gag� et d'un autre objet sur les photographies : observation et photographies de V�nus, avec un probable artefact photographique.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.20;0.00;;;1.00;;1.00;;1.00;0.00;A;A;2015-10-09336
3914;"VILLEDIEU-DU-CLAIN (LA) (86) 14.10.2015";Vienne;86;"(D) D�partement";2015;10;14;"Le 14 octobre 2015 � 23h31 un t�moin observe plusieurs flashes successifs dans le ciel, dans une partie tr�s identifi�e. Il v�rifie sur le site Heavens Above mais n'identifie aucun flash de satellite Iridium, ni passage de satellite pouvant correspondre.
D'�tranget� moyenne, mais de consistance suffisante, ce cas s'av�re �tre une m�prise probable avec un satellite hors-contr�le, en rotation relativement rapide sur lui-m�me, � tr�s haute altitude. Une reconstitution montre que dans la zone du ciel d�crite par le t�moin se situent 5 ou 6 satellites pouvant expliquer l'observation. Une surveillance des passages de ces satellites permettra de d�terminer lequel est responsable des flashs observ�s.
Ce cas est class� B, m�prise avec un ph�nom�ne de reflets satellitaires, impliquant un satellite � tr�s haute altitude.";"Observation de plusieurs flashes blancs dans une partie bien identifi�e du ciel nocturne : m�prise avec un ph�nom�ne de reflets satellitaires, impliquant un satellite � tr�s haute altitude.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.30;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;B;B;2015-10-09362
3915;"AVON-LES-ROCHES (37) 01.09.1980";Indre-et-Loire;37;"(D) D�partement";1980;09;01;"Observation ancienne (1980) mais report�e r�cemment (2015).
Lors d'un camp de vacance � th�me ""fus�es exp�rimentales"" organis� par l' ANSTJ, un t�moin observe avec des jumelles la disparition d'une fus�e nomm�e Fuch Off qui lui semble absorb�e par un objet sph�rique lui-m�me poursuivi par deux avions de chasse.
Ce rapport d'observation est tout � fait inhabituel : d'une part, il s'agit d'une observation ancienne, de 1980, d�clar�e au GEIPAN en juillet 2015, d'autre part, cette observation se rapporte � une op�ration de lancement de micro-fus�es p�dagogiques sous responsabilit� du CNES et de l'ANSTJ.
Le GEIPAN a men� une enqu�te en interne CNES pour retrouver les acteurs ou spectateurs de cet �v�nement. L'enqu�te fut bien difficile apr�s 35 ans, mais il a quand m�me �t� possible de retrouver un des responsables de cette op�ration de lancement de fus�es, qui avait encore toutes les archives des lancements de cette �poque. Il a r�dig� un compte rendu d�taill� de ce lancement (voir son compte rendu). La fus�e n'a pas �t� r�cup�r�e du fait de la v�g�tation particuli�rement dense sur le terrain. Le rapport ne cite rien concernant la sph�re que d�crit le t�moin. Le vol des avions de chasse � ce moment l� a bien eu lieu mais sans rapport avec le lancement de la fus�e Fuch Off.
Le GEIPAN n'a pas d'autre hypoth�se pour la sph�re argent�e que celle d'une m�prise �ventuelle avec un ballon pilote (ballon de petit diam�tre, dont la trajectoire, observ�e depuis le sol, indique la vitesse du vent et sa direction). La concommitence entre le lancer de la fus�e, le passage de la sph�re et celui des avions de chasse s'av�re fortuit. Du fait que le responsable des op�rations ne mentionne pas de probl�me particulier ni aucun autre signalement de cette sph�re argent�e malgr� le grand nombre de spectateurs, le GEIPAN classe en cons�quence ce cas en cat�gorie B, comme probable m�prise avec un ballon.";"Observation d'une sph�re gris m�tallique dans le ciel lors d'un lancement d'une fus�e exp�rimentale : probable observation d'un ballon.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;A;1980-09-09348
3916;"TROUVILLE-SUR-MER (14) 07.04.2013";Calvados;14;"(D) D�partement";2013;04;07;"T�moignage r�cent (14/10/2015) d'une observation ancienne.
Le dimanche 7 avril 2013 � 5h10 du matin un t�moin observe par sa fen�tre plusieurs boules orang� s'�loignant silencieusement de son immeuble vers la mer. Les lumi�res semblent incandescentes, de la taille d'un ballon de basket. Elles ne clignotent pas. Il prend une vid�o et voit alors cinq nouvelles lumi�res suivant la m�me trajectoire. Huit boules orange seront ainsi observ�es. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'observation de boules oranges ros�es traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� de l'Est vers l'Ouest, ce qui est compatible avec le vent d'Est de 7 � 11km/h relev� au Havre (voir le relev� M�t�ociel du jour de l'observation).
La vid�o du t�moin permet de confirmer cette hypoth�se sans aucun doute (voir surtout autour de la 3eme minute).
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" observation de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage silencieux O-E de nombreuses boules orange dans le ciel : observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.10;0.00;;;0.95;;0.95;;0.90;0.00;A;A;2013-04-09337
3917;"NIMES (30) 14.10.2015";Gard;30;"(D) D�partement";2015;10;14;"Le 14 octobre 2015 � 1h25 du matin environ, un t�moin est r�veill� par un bruit assourdissant � l'ext�rieur et observe par la fen�tre de la salle de bain le passage d'une sph�re lumineuse blanche, d�crivant deux cercles de grande ampleur en s'�loignant progressivement. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Le GEIPAN a demand� au contr�le a�rien militaire une v�rification du trafic a�rien pr�sent dans la zone � ce moment-l�. La trace radar (ci-jointe) montre un avion effectuant des cercles au Nord de N�mes. ""La piste dont la trajectoire est concentrique au nord de N�mes entre 23h14et 23h22 est celle d'un avion militaire �voluant au niveau de vol 105 (environ 3000m) et ayant besoin d'effectuer cette manuvre pour raison op�rationnelle avant de poursuivre son vol.""
Le t�moin, aveugl� par les projecteurs de l'avion, ne d�crit qu'une boule lumineuse : il n'a pas pu distinguer la forme du fuselage et des ailes, g�n�ralement de couleur sombre sur les avions militaires.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation d'un avion militaire parfaitement identifi�.";"Observation du passage d'une sph�re lumieuse blanche ; bruit assourdissant : observation d'un avion militaire parfaitement identifi�.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;A;B;2015-10-09338
3919;"SAUVIGNY (55) 20.10.2015";Meuse;55;"(D) D�partement";2015;10;20;"Le 20 octobre 2015 � 20h10 un t�moin � son domicile observe trois � quatre ph�nom�nes lumineux dans le ciel, de forme circulaire, couleur rouge orang�, se d�pla�ant sans bruit sur une trajectoire rectiligne Nord-Sud. L'observation dure environ 15 minutes avant que les ph�nom�nes ne disparaissent de la vue du t�moin. Ce dernier a pris plusieurs photographies. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
L'observation de boules rouges orang�es traversant le ciel en quelques minutes fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Nord vers le Sud, ce qui est compatible avec le vent de Nord relev� � Nancy (voir le relev� M�t�ociel indiquant pour le jour de l'observation un vent de Nord ; relev� � Nancy-Ochey � 22km).
Il est rare d'observer ce genre de ph�nom�nes festifs en semaine, mais on note quand m�me que c'est en p�riode de vacances scolaires. Les photos sont affect�es d'un notable flou de boug�, bien normal pour des photos de nuit prises � main lev�e ; elles montrent nettement la couleur jaune orang�e d�crite par le t�moin, et bien caract�ristique des lanternes tha�.
Le changement de direction vers l'Est en fin d'observation peut correspondre � un vent local suivant la vall�e du ruisseau de Ruppes.
Le GEIPAN a class� et publi� ce cas ""B"" probable lanterne une permi�re fois puis ayant re�u un compl�ment d'information de la gendarmerie confirmant un lacher de lanternes thailandaises suite � des obs�ques, le GEIPAN classe ce cas A : observation certaine du passage de lanternes tha�landaises.";"Observation du passage silencieux de 3 � 4 PANs rouge-orang�s dans le ciel nocturne : observation de lanternes thailandaises lach�es suite � des obs�ques.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2015-10-09340
3924;"AUDIERNE (29) 28.10.2015";Finist�re;29;"(D) D�partement";2015;10;28;"Le 28 octobre 2015 � 4h30 du matin un t�moin est intrigu� par la pr�sence au Sud-Est dans le ciel de deux points tr�s lumineux blancs. Durant l'observation d'une trentaine de minute, aucun bruit particulier n'est entendu. Les deux points se d�placent peu sur une trajectoire rectiligne montante. Le t�moins prends trois photographies. Des nuages cacheront ensuite les deux points lumineux. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Les indications du t�moin correspondent � la configuration de V�nus et Jupiter cette nuit l�, l'un au-dessus de l'autre avec quelques degr�s d'�cart, autour d'une �l�vation de 10� (V�nus dessous plus brillant comme le montre la photo du t�moin et la reconstitution Stellarium).
Le seul point d'�cart portait sur l'azimut d'observation, mais un contact avec le t�moin a permis de confirmer (� partir de rep�res g�ographiques locaux) que ce dernier regardait bien � l'Est. De m�me, l'�l�vation a �t� estim�e autour de 30� alors que la photo restitue celle-ci autour de 10�.
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en A : observation d'une conjonction d'astres (Venus et Jupiter).";"Observation longue de deux points lumineux dans le ciel : observation de la conjonction de V�nus et Jupiter.";O;;;;;;;;;2016-07-08;;;0.30;0.00;;;0.70;;;;0.53;0.48;A;B;2015-10-09345
3925;"[D139] de ECRAINVILLE (76) vers GODERVILLE (76) 06.09.2015";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2015;09;06;"Le 6 septembre 2015 � environ 10h40 une automobiliste est surprise par une ombre qui semble cacher le soleil. Tout en conduisant et en se penchant � l'avant, la conductrice aper�oit, � travers le pare-brise, une forme triangulaire l�g�rement incurv�e sur les cot�s avec un rond plus clair � chaque extr�mit�. L'ensemble est d'une couleur noir mat. Averti, le passager avant ouvre la fen�tre mais ne voit rien. L'automobiliste continue sa route. Un peu plus loin, les deux t�moins verront le ph�nom�ne s'�loigner en direction de Breteville (50). Aucun bruit n'est entendu. Aucune lumi�re n'est vue. Un seul t�moignage est recueilli.
L'hypoth�se de l'avion est la plus probable (voir le compte rendu d'enqu�te). En effet, le dimanche 06 septembre 2015, il y a eu un �v�nement � 13 kilom�tres de l� plus � l'ouest . Il s'agissait d'honorer les pilotes de la grande guerre et deux avions Rafale de l'arm�e fran�aise ont survol� la baie d'�tretat vers 10h30. Il est tout � fait possible qu'un de ces avions ait survol� exactement le lieu de l'observation et en soit l'origine. La description de l'avion par le t�moin peut faire penser � un Rafale, avec des diff�rences qui peuvent r�sulter des conditions d'observation difficiles (observation principale rapide car faite par un conducteur juste avant un rond point).
C'est l'absence de bruit qui a le plus �tonn� les deux t�moins et le fait qu'apparemment personne d'autre n'ait observ� ce ph�nom�ne � nous �tions un dimanche matin, il y a des promeneurs, d'autres v�hicules �. Mais il est possible dans certaines conditions de ne pas entendre le bruit d'un avion (voir � ce sujet l'excellente �tude de Gaelle Fedoce), et le GEIPAN sait aussi par exp�rience que la � surprise visuelle � peut masquer ou inhiber la perception sonore.
Le fait qu'il n'y a pas eu d'autres t�moignages plaide de fait en faveur de l'hypoth�se avion. Les autres personnes ont pu observer dans de meilleures conditions la m�me chose que les deux t�moins et reconnaitre un avion, dans ce cas aucun besoin de t�moigner.
Faute de disposer des donn�es radar pour cette observation et des trajectoires exactes de ces deux Rafales, nous ne pouvons pas valider d�finitivement l'hypoth�se qu'un Rafale ait pu survoler la voiture des t�moins. La deuxi�me hypoth�se, celle qu'un drone civil ou militaire se trouvait dans la zone, est moins probable (�volution angulaire trop rapide).
En cons�quence GEIPAN classe le cas en B : m�prise probable avec un avion.";"Courte observation du passage d'une forme triangulaire sombre et �loignement rapide : m�prise probable avec un avion.";O;;;;;;;;;2016-09-09;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2015-09-09346
3926;"PERPIGNAN (66) 02.02.2015";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2015;02;02;"Le 2 f�vrier 2015 � une heure du matin un t�moin dans la cour de son habitation observe durant 3 minutes une boule rouge orang� dans le ciel : le t�moin pense voir un avion.
A 1h40 le t�moin observe au-dessus des toits des immeubles voisins, un engin noir volant tr�s bas et tous feux �teints de tr�s grande taille : le t�moin d�crit l'avant de l'engin comme ayant une forme triangulaire arrondie avec des hublots rectangulaires. L'engin s'avan�ant lentement vers le t�moin, ce dernier constate, sous la base de l'engin, une grosse boule rouge orang� ressemblant � un de feu de position. L'engin, en d�placement tr�s lent, stationne ensuite, puis �met un �pais brouillard et disparait de la vue du t�moin en repartant en arri�re. Aucun bruit n'est entendu.
A1h55 environ, le t�moin observe durant 1 ou 2 minutes une grosse �toile blanche tr�s brillante qui part subitement � tr�s grande vitesse et disparait de sa vue. Le t�moin pense qu'il s'agit de l'engin vu pr�c�demment.
Un seul t�moignage a �t� recueilli avec une photographie du lieu d'observation. Depuis cette observation le t�moin observe de jour comme de nuit des PANs dans ciel de Perpignan.
Ces observations le ciel pr�sentent des particularit�s insolites, surtout du fait que le t�moin voit se r�p�ter le ph�nom�ne. De ce fait, le GEIPAN a demand� � un enqu�teur local de venir enqu�ter aupr�s du t�moin. Le 30 septembre en soir�e, malgr� le temps tr�s couvert lors de la visite, le t�moin a indiqu� � l'enqu�teur qu'il voyait passer des ph�nom�nes lumineux dans le ciel, que l'enqu�teur ne voyait pas du tout. En 25 minutes le t�moin a comment� le passage de 31 ovni sous forme de points blancs qui passent se cachent, s'arr�tent. Le t�moin a dit que les autres personnes � qui il avait essay� de montrer les ph�nom�nes ne les voyaient pas non plus.
Le t�moin informe qu'on lui a greff� des cristallins synth�tiques peu apr�s son observation de f�vrier (il portait des lunettes � ce moment l� mais �tait presque aveugle.) C'est depuis son op�ration qu'il voit des ""armadas"", des ""myriades"" d'ovnis toutes les nuits au-dessus de Perpignan.
Ce cas d'observation est de toute �vidence la cons�quence de probl�mes ophtalmiques m�me apr�s son op�ration, autant pour l'observation de f�vrier, avant l'op�ration, que pour les observations r�currentes apr�s l'op�ration. Le t�moin semble excessivement focalis� sur les OVNI au point d'exclure que ses observations soient le r�sultat d'un probl�me de vision.
Le GEIPAN classe ce cas B : vision du t�moin tr�s probablement perturb�e.";"Multiples observations de ph�nom�nes diff�rents dans le ciel ; pr�sence d'une boule rouge orang�, d�placement silencieux d'un engin noir de grande taille ; d�part tr�s rapide d'un point tr�s lumineux : vision du t�moin tr�s probablement perturb�e.";O;;;;;;;;;2016-02-23;;;0.20;0.00;;;;;0.70;;0.65;0.35;B;A;2015-02-09347
3927;"SAINT-JULIEN-EN-GENEVOIS (74) 29.08.2015";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";2015;08;29;"Le 29 ao�t 2015 � 23h02 un couple observe durant 5 minutes le passage silencieux d'une boule rouge dans le ciel nocturne. La photographie prise intrigue les t�moins (voir image2.jpg). Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Le t�moin a d'abord vu un premier PAN dans le ciel. La description (en particulier la couleur, la survenue une nuit de weekend, et le sens du vent � forte composante ""vers la suisse"") constituent des �l�ments fortement compatibles d'une lanterne thailandaise.
Le t�moin a voulu photographier le PAN. Mais la motivation de son t�moignage vient de ce qu'il croit d�celer sur la photo des personnages � l'int�rieur du PAN (� on distingue bien qu'il y a des personnages � l'int�rieur� extrait du questionnaire).
L'analyse de la photographie (voir Reconstitution PAN 2 publication.pdf) ) indique, outre une structure �vidente de boug�, que la photo n'a pas �t� prise vers le ciel, mais plut�t vers un square. L'origine de cet �cart de vis�e reste inconnu. On peut reconnaitre, par comparaison avec la photo de jour du square et ce malgr� les boug�s :
- les lumi�res de deux lampadaires, dont une d'elle a inspir� au t�moin un PAN
- la structure de jeux du square �clair�e par ces lampadaires
- et peut �tre m�me la rambarde du balcon o� a �t� prise la photo.
Une reconstitution g�om�trique montre que depuis le lieu probable de la prise de vue (en fonction du point exact sur le balcon) on retrouve l'alignement respectif des lumi�res de lampadaires et des structures de jeux.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : erreur d'interpr�tation d'une photographie par le t�moin.";"Observation du passage silencieux d'une boule rouge dans le ciel et photographie intrigante : erreur d'interpr�tation d'une photographie par le t�moin.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.20;0.00;;;0.70;;0.80;;0.56;0.00;A;A;2015-08-09351
3928;"BORDEAUX-SAINT-CLAIR (76) 01.11.2015";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2015;11;01;"Le dimanche 1er novembre 2015 vers 7h du matin un t�moin observe les �toiles et rep�re un point lumineux au hasard : il voit alors ce dernier se d�doubler. Avec son camescope il regarde et zoome et trouve curieux la forme en diamant multicolore qu'il voit. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Le point lumineux que le t�moin d�crit ""plein ouest � la hauteur de la Lune"" est Capella.
Le t�moin ne signale pas une grande �tranget� tant que l'observation est � l'il nu (""je suis rest�e sur un point lumineux au hasard""... ""A vu d'oeil j'ai pens� � un satellite""), si ce n'est peut �tre une scintillation d'�toile qui prend ici une impression de d�doublement.
Toute l'�tranget� per�ue par le t�moin et � l'origine de son t�moignage r�sulte de ce qu'il a vu dans la vid�o. On a ici, une fois de plus, une manifestation classique d'artefacts engendr�s par un appareil filmant et zoomant sur une �toile.
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en A : Capella.";"Observation au camescope d'un objet en forme de diamant et multicolore dans le ciel matinal : observation de Capella.";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;A;A;2015-11-09349
3929;"EVRON (53) 07.10.2015";Mayenne;53;"(D) D�partement";2015;10;07;"Le 7 octobre 2015 vers 20h20, un habitant d'EVRON (53) aper�oit par sa fen�tre une lumi�re aux reflets bleus dans le ciel. Il revoit le PAN 5 minutes plus tard, alors qu'il va se coucher. Il appelle alors son fils et tous les deux observent le PAN pendant 2 � 3 minutes. Il appelle ensuite son fr�re, r�sidant un hameau de la commune voisine de SAINTE-GEMMES-LE-ROBERT (53), pour lui signaler l'observation, et prend son cam�scope pour filmer le PAN.
A la fin de cette premi�re observation, le t�moin part de chez lui en compagnie de son fils vers 21h10 et arrive chez son fr�re vers 21h15. Ce dernier l'attend avec un voisin. En sortant de sa voiture, le t�moin principal revoit de nouveau le PAN. Les quatre personnes voient un nouveau PAN au-dessus d'un relief local. Le fr�re et le voisin rentrent chez eux. Le t�moin principal et son fils voient alors 5 nouveaux ph�nom�nes lumineux au-dessus du relief. Le t�moin tente de les filmer, mais son cam�scope refuse de fonctionner. L'observation cesse � 21h25.
Le t�moin signale son observation � la gendarmerie le lendemain. Le 9 octobre vers 6h00, il voit deux nouveaux PAN dans le ciel, qu'il filme. Ces vid�os ont �t� enregistr�es � l'aide d'un cam�scope Sony DSR PD150. Le t�moin a fourni deux vid�os des observations : la premi�re, qui dure 1m51s, est un r�capitulatif de l'observation du 7 octobre, et a �t� publi�e sur Youtube le 10 octobre. La seconde, qui dure 12m09s, montre l'ensemble des prises de vue du t�moin r�alis�es le 7 octobre au soir et le 9 octobre au matin.
D'�tranget� moyenne, mais de consistance suffisante (voir le compte rendu d'enqu�te), ce cas s'av�re �tre une m�prise certaine avec diff�rents objets astronomiques : Arcturus, Vega, Capella, Ald�baran, Sirius, Jupiter et Regulus. La qualit� des vid�os prises par le t�moin permet de bien situer les diff�rents PAN par rapport � des rep�res terrestres, et les zooms montrent diff�rentes �toiles moins lumineuses � proximit�. Avec ces �l�ments, une v�rification sur Stellarium permet d'identifier de fa�on certaine chacun des PAN.
Ce cas est class� A, m�prise certaine avec les objets astronomiques suivants : Arcturus, Vega, Capella, Ald�baran, Sirius, Jupiter et Regulus.";"Observations sucessives et film�es de ph�nom�nes lumineux fixes dans le ciel : m�prises certaines avec les objets astronomiques suivants : Arcturus, Vega, Capella, Ald�baran, Sirius, Jupiter et Regulus.";O;;;;;;;;;2016-08-22;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;A;A;2015-10-09352
3930;"LUANT (36) 07.11.2015";Indre;36;"(D) D�partement";2015;11;07;"Le 07 novembre 2015 � minuit vingt, un t�moin � l'ext�rieur de sa maison est intrigu� par la pr�sence dans le ciel couvert d'un ph�nom�ne lumineux de couleur et stationnaire. Le ph�nom�ne a une forte luminosit� et semble clignoter. Le t�moin constate alors que son compteur �lectrique, proche, �met un bourdonnement plus important quand le ph�nom�ne est visible. L'observation dure 20 minutes mais se fait de fa�on discontinue. Un seul t�moignage sera recueilli.
Suivant les indications donn�es par le t�moin et de part la dur�e importante de l'observation (20 minutes), l'hypoth�se d'une m�prise astronomique est envisag�e (voir le relev� m�t�o et la carte astronomique dans le document d'enqu�te). Sirius est situ� � l'azimut donn� par le t�moin (SE) et selon une �l�vation entre 5 et 10� (voir reconstitution). Le fait que le t�moin ait pu appr�cier une �l�vation plus �lev�e (20 � 30�) ne constitue pas une vraie discordance (�cart dans la tol�rance usuelle quand le t�moin ne fait pas r�f�rence � une exp�rience ou technique de mesure particuli�re).
L'observation intermittente peut r�sulter de la couverture nuageuse importante mais qui peut �tre non continue ce soir l�. De m�me, la lumi�re verte et rouge peut r�sulter de la scintillation atmosph�rique de Sirius � basse �l�vation.
L'augmentation du bruit du compteur �lectrique proche, synchrone de la pr�sence de l'observation, peut �tre li�e � la tension ou surprise cr�e par l'observation sur le t�moin ("" je n'ai rien vu de pareil, ""chose bizarre""). L'exp�rience indique en effet que la perception de bruit peut �tre alt�r�e (amplifi�e comme diminu�e) en fonction de la tension de l'observation visuelle.
Le GEIPAN consid�re qu'il s'agit tr�s probablement d'une observation de SIRIUS par ciel couvert. En cons�quence ce t�moignage est class� en B: probable observation de l'�toile Sirius.";"Longue observation de nuit d'un ph�nom�ne lumineux de couleur, clignotant et stationnaire dans le ciel couvert : probable observation de l'�toile Sirius.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.83;;0.50;0.00;B;B;2015-11-09355
3932;"SERENAC (81) 10.11.2015";Tarn;81;"(D) D�partement";2015;11;10;"Le 10 novembre 2015 � 19h un t�moin � l'ext�rieur de son habitation, a son attention attir�e par une lueur de couleur dans le ciel d�gag�. Le t�moin observe durant 2 � 3 secondes le passage rectiligne et silencieux d'un objet lumineux avec deux couleurs vives (vert fluorescent et orange pastel). L'objet � la hauteur de la cime d'un sapin au fond du jardin, passe ensuite au-dessus de sa maison et disparait de la vue du t�moin. Aucune train�e n'est remarqu�e. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation est �trange. La possibilit� d'un drone ne peut �tre exclue mais resterait �tonnante vu l'heure (obscurit�) et le caract�re isol� des quelques habitations.
D'un autre cot� le niveau d'information sur l'observation n'est pas suffisant en regard de son �tranget� et ne permet pas de correctement l'instruire (caract�re fugitif de l'observation (3 secondes), absence d'information compl�mentaire (photo, autre t�moignage)).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en cat�gorie C : manque d'information.";"Observation courte du d�placement silencieux et rectiligne d'un objet lumineux de couleurs dans le ciel : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-02-22;;;0.80;0.00;;;0.60;;;;0.28;0.28;C;C;2015-11-09357
3934;"EYGALIERES (13) 24.10.2015";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2015;10;24;"Le samedi 24 octobre 2015 � 20h30 plusieurs personnes observent dans le ciel le lent d�placement, les unes derri�re les autres, de nombreuses lumi�res rouge�tres qui apparaissent � basse altitude vers Moll�ges (13) et finissent par disparaitre � la verticale entre Saint-Sixte (13) et Le Contras (13). Le t�moin prend des photos et vid�os. D'autres personnes appel�es au t�l�phone observant �galement les lumi�res. Deux t�moignages sont recueillis.
L'observation de lumi�res rouge�tres traversant le ciel, une soir�e de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement observ� est une �l�vation angulaire dans l'axe Nord-Nord Ouest : il peut s'agir d'un d�placement vers les t�moins et/ou d'une ascension verticale.
La m�t�o locale relev�e � Salon, Marignane et Avignon indique un vent faible tr�s instable : il n'est pas possible de d�terminer la direction du vent au moment et au lieu pr�cis de l'observation.
Les deux photos analys�es r�v�lent des point lumineux �tonnamment nets, blancs sur une photo, et color�s sur l'autre. On remarque que ces points sont exactement � la m�me position dans l'image : ces deux caract�ristiques (nettet� extr�me, position fixe) sont celles de ce qu'on appelle les ""pixels morts"" ou ""pixels chauds"" ; ce sont des d�fauts courants des appareils photo num�riques, que l'on remarque seulement sur les photos de nuit.
Ces deux photos n'apportent donc aucune information, si ce n'est que les ph�nom�nes observ�s �taient peu lumineux.
Du fait du r�cit des t�moins compatible en tous points avec l'observation de lanternes tha�, et malgr� l'impossibilit� de valider l'hypoth�se avec le relev� de vent local, le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�. Relev�s Meteociel du jour de l'observation :
- m�t�o � Avignon : M�t�ociel.
- m�t�o � Salon de Provence : M�t�ociel.
- m�t�o � Marignane : M�t�ociel.
";"Longues observations dans le ciel nocturne du lent d�placement, les unes derri�re les autres, de nombreuses lumi�res rouge�tres qui finissent par disparaitre : probables observations de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.29;0.06;;;0.90;;0.80;;0.69;0.18;B;B;2015-10-09356
3936;"[D417] de MUNSTER (68) vers COLMAR (68) 13.11.2015";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2015;11;13;"Le 13 novembre 2015 vers 22h15 deux personnes en voiture sont intrigu�es par le passage � basse altitude d'un objet triangulaire dont la forme est d�limit�e par trois lumi�res rondes blanches non clignotantes. Deux lumi�res rouge sont vues au centre de l'objet. Celui-ci s'�loigne sans bruit de fa�on fluide dans le ciel nuageux. Le t�moin a servi dans l'arm�e et ne reconnait aucun avion ni h�licopt�re. Un seul t�moignage est recueilli.
Le GEIPAN a demand� au contr�le a�rien militaire (CNOA) le trafic a�rien enregistr� sur la zone � ce moment l� : l'enregistrement Radar du CNOA indique bien un a�ronef identifi�, en mission hospitali�re, � basse altitude, ce qui correspond parfaitement au t�moignage en trajectoire, lieu et heure de passage � la verticale. Cela est d�crit par la superposition des traces radar sur la carte jointe (voir Reconstitution). La trajectoire � basse altitude et accident�e (vue par trac� Radar et l'observation) est caract�ristique d'un h�licopt�re. L'enregistrement radar ne peut pas confirmer le passage en vol stationnaire � une altitude aussi basse que celle observ�e (15m) mais en est compatible. Il faut rappeler que l'estimation de distance de points lumineux dans la nuit est tr�s subjective.
L'observation d'un triangle avec lumi�res continues, une blanche � chaque sommet et deux rouges au centre est compatible de celle d'un h�licopt�re. On peut s'�tonner que le t�moin ne voit pas les couleurs rouges et verte des feux permanents de navigation, ni les feux blanc � �clat clignotant mais l'h�licopt�re qui va se poser a probablement allumer des phares blancs masquant d'autres lumi�res. Notons qu'un a�ronef peut utiliser diverses lumi�re en plus de celles r�glementaires (navigation, anti-collision, a �clat). La vid�o Hellenic Navy AB-2012 ASW (night Flight) montre un cas avec trois lumi�res rouges dont deux fixes et une troisi�me qui peut �tre per�ue comme fixe et est issue du feu rouge tournant anti-collision, et ici aussi les lumi�res rouges et vertes de navigation n'apparaissent pas.
Concernant l'absence de bruit per�u de l'objet alors que d'apr�s le radar il n'est qu'� 200m d'altitude, le t�moin indique avoir la vitre l�g�rement entre-ouverte, mais le moteur du v�hicule reste allum�, ce qui n'est pas une condition id�ale. Mais surtout, il est fr�quent dans les observations de PAN que l'attention port�e � une observation visuelle tr�s ""saisissante"" masque la perception sonore qui l'accompagne.
En cons�quence le GEIPAN classe cette observation en A comme parfaitement identifi�e : H�licopt�re.";"Observation de nuit du passage � basse altitude d'une forme triangulaire d�limit�e par des lumi�res : observation d'un h�licopt�re en vol.";O;;;;;;;;;2017-12-04;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.90;;0.63;0.00;A;A;2015-11-09359
3938;"SAINT-GERMAIN-DES-PRES (24) 21.10.2015";Dordogne;24;"(D) D�partement";2015;10;21;"Le 21 octobre 2015 vers 21h15 un automobilite et sa passag�re observent durant quelques secondes trois lumi�res fortes blanches, d�crites comme des halos diffus, fixes, � quelques dizaines de m�tres au-dessus de la cime des arbres. Le t�moin cesse d'observer, finit son parcours en voiture, puis, de son domicile, aper�oit � nouveau les ph�nom�nes. Ceux-ci sont plus �pars, plus �loign�s les uns des autres. Aucun bruit n'est perceptible. Les t�moins alertent la gendarmerie le lendemain : un dessin est fait par l'automobiliste. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli. L'enqu�te de gendarmerie indique qu'aucun dirigeable n'a survol� le secteur au moment de l'observation � cause du vent important ce soir l�.
Le t�moin observe 3 lumi�res rondes fixes, et une lumi�re rouge isol�e (voir dessin du t�moin) durant quelques secondes.
Cet aspect fait clairement penser � un avion vu de nuit, de face (3 phares + feu de position rouge � gauche). Le bruit de cet avion peut ne pas �tre per�u par les t�moins qui sont dans leur voiture, vitres ferm�es. Sous cet angle, les ailes de l'avion sont invisibles, car non �clair�es.
La pr�sence d'un avion � basse altitude � cet endroit, loin de tout a�rodrome, est insolite. Mais la carte RTBA militaire (R�seau terrestre � basse altitude. Voir la carte ci-joint) nous r�v�le que cette zone nomm�e R166 est justement une zone particuli�re r�serv�e aux exercices militaires a�rien � tr�s basse altitude, en particulier les mercredis en soir�e.
Le relev� m�t�o indique un temps couvert, vent variable faible � Bergerac � 21h(voir M�t�ociel).
La forte humidit� de l'air peut expliquer le halo per�u autour des lumi�res de l'avion.
Le GEIPAN n'a pas trait� ce cas assez vite (d�lai d'un mois) pour pouvoir v�rifier aupr�s du contr�le a�rien militaire qu'un avion �tait bien pr�sent dasn la zone � ce moment-l�.
Le GEIPAN classe ce cas B : observation probable d'un avion militaire en exercice. Les points blancs observ�s dans la deuxi�me partie de l'observation sont probablement d'autres avions participant � la manuvre.";"Observations de quelques secondes de trois lumi�res blanches fortes fixes dans le ciel nocturne et d'une lumi�re rouge : observation probable d'un avion militaire en exercice.";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;A;2015-10-09360
3939;"MONTAYRAL (47) 23.10.2015";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";2015;10;23;"Le 23 octobre 2015 en fin d'apr�s midi, un t�moin se rend � l'a�rodrome de Fumel (commune de Montayral (47)) en voiture pour � prendre l'air avec son chien �. Il longe les hangars, et gare son v�hicule sur un petit espace pr�s des balises de g�om�tre. Il ouvre la porti�re, fait sortir son chien et quand il se retourne, il aper�oit � une t�che noire dans un brouillard noir � dans le ciel. Le PAN lui appara�t avec une ""sorte d'anse"" en forme d'arc de cercle en bas � gauche et � haut et loin � : il reste parfaitement immobile, et ne produit aucun bruit. Le ciel est bleu, il n'y a pas de brume. Le t�moin n'a pas de jumelles, ni d'appareil photo pour observer le PAN. A un moment il d�tourne les yeux du ph�nom�nes quelques secondes, puis tente de revoir le PAN mais en vain, il a disparu. Etonn� par cette observation, le t�moin pense qu'il sera �voqu� dans la presse le lendemain par d'autres t�moins, ce qui ne sera vraisemblablement pas le cas. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Trois facteurs (l'immobilit� sur 20mn, la disparition soudaine, l'aspect de forme lointaine ronde avec protub�rance) s'opposent de mani�re isol�e ou combin�e aux diff�rentes hypoth�ses envisag�es : astre (aspect et disparition), avion (immobilit�), h�licopt�re (aspect, bruit, et non d�tection par le radar), probl�me ophtalmique du t�moin (immobilit�). La recherche se focalise sur un ballon, qui ne peut �tre de baudruche (trop petit), ni solaire (cause de disparition ?, peu de r�alisme � cet endroit), puis sur une hypoth�se de montgolfi�re. L'hypoth�se est r�aliste dans ce lieu et en fin d'apr�s-midi ensoleill�. La taille (10 � 20 m) conf�re la distance minimale (quelques km) pour une perception de lointain et de flou autour du ph�nom�ne. N�anmoins cette hypoth�se rencontre deux difficult�s :
- la description de protub�rance difficilement explicable par la nacelle (protub�rance non orient�e vers le bas). Mais cet �l�ment n'est pas celui le plus nettement d�tect� par le t�moin (seulement au bout de 10 minutes avec un effort important de concentration et focalisation)
- et surtout la disparition rapide. Le t�moin a d�tourn� son regard puis n'a pas plus retrouv� le ph�nom�ne. Il est difficile d'appr�cier la dur�e de non-observation, et la compatibilit� avec une descente de la montgolfi�re sur cette dur�e. Cela serait compatible � condition de prendre plusieurs inconnues (taille montgolfi�re) ou marges d'erreurs (donn�es angulaires t�moin sur la taille et l'�l�vation du PAN) dans le sens favorable, en plus bien s�r de la conjonction temporelle (avec le d�tournement de regard).
Au total l'hypoth�se de la montgolfi�re est la plus forte mais sa probabilit� est bien inf�rieure � 50% et ne peut donc �tre retenue. Les diff�rents pilotes de montgolfi�res du d�partement, contact�s pour cette enqu�te, n'ont pas r�pondu aux requ�tes, ce qui en soit ne constitue pas un argument en d�faveur de l'hypoth�se.
Il s'agit d'un t�moignage unique, et sans photographie. Il est tout � fait possible (milieu rural) que le ph�nom�ne n'ait pas �t� vu par d'autres personnes. Le t�moin est pr�cis et cr�dible, la consistance (niveau d'information et de cr�dibilit�) du t�moignage est juste suffisante (compte tenu du niveau d'�tranget�) pour valider le caract�re non expliqu� de l'observation (voir le compte rendu d'enqu�te).
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en D1 : Ph�nom�ne inexpliqu� d'�tranget� moyenne.
Nota : ce cas �t� soumis au coll�ge d'experts du GEIPAN.";"Observation d'une t�che noire dans un brouillard noir immobile dans le ciel d�gag� : ph�nom�ne inexpliqu� d'�tranget� moyenne (D1).";O;;;;;;;;;2017-07-28;;;0.70;0.00;;;0.90;;0.80;;0.75;0.00;D1;D1;2015-10-09361
3960;"[ROUTE] de NOEUX-LES-MINES (62) vers MAZINGARBE (62) 27.11.2015";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2015;11;27;"Le vendredi 27 novembre 2015 vers 15h un automobiliste circulant sur une route communale entre Noeux-les-Mines (62) et Mazingarbe (62) observe une dizaine de points lumineux blancs et un point sombre en d�placement dans le ciel nuageux. L'automobiliste s'arr�te pour filmer. Les points se d�placent � grande vitesse et disparaissent dans les nuages. Aucun bruit n'est entendu. L'observation dure une minute. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Les mouvements dans tous les sens d'une dizaine de points lumineux blancs dans le ciel ne trouvent pas � ce stade d'explication.
La vid�o du t�moin permet de voir une courte trajectoire d'un point blanc (� 0,24 secondes) et celle d'un point noir (� 0,33 seconde). La photo montre aussi un point blanc, le tout sur fond de nuages gris.
Mais au del� de cela, les informations de l'observation sont peu pr�cises. En particulier le t�moin ne donne pas le lieu exact de l'observation, ne rep�re pas sur la vid�o les multiples �v�nements qu'il a vu, ce qui ne permet pas de les retrouver sur cette vid�o. A la vue de ces quelques �l�ments la possibilit� d'oiseaux n'est pas exclue. Le faible niveau d'information ne permet pas de traiter cette observation. Le GEIPAN classe le dossier en cat�gorie C.";"Observation des d�placements silencieux d'une dizaine de points dans le ciel nuageux : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-05-17;;;0.50;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;C;D1-;2015-11-09366
3984;"ASNIERES-SUR-OISE (95) 24.12.2015";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2015;12;24;"Le 24 d�cembre 2015 � 23h48 un t�moin observe dans le ciel le d�placement silencieux d'un point rouge lumineux entour� d'un halo rouge, selon une trajectoire rectiligne sous la masse nuageuse. Le t�moin prend deux clich�s. Lorsque l'objet le survole, il estime sa taille approximative � celle d'une voiture. Le ph�nom�ne disparait derri�re les arbres, apr�s avoir parcouru le ciel en deux minutes. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation d'une boule orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de f�te, fait nettement penser � une lanterne tha�, probablement l�ch�e � proximit� � l'occasion de No�l.
Le d�placement est observ� du Sud Ouest vers le Nord Est, ce qui est compatible avec le vent de Sud-Ouest relev� � Asni�res-sur-Oise (Relev�s m�t�o : l�ger vent de Sud-Ouest conforme au d�placement : M�t�o � Asni�res-sur-Oise et vent de Sud Ouest soutenu relev� � Creil, conforme au d�placement : M�t�ociel : vent � Creil.
Vent de Sud Est soutenu � Roissy, non conforme au d�placement : M�t�ociel Roissy.
Les photographies sont conformes � cette hypoth�se : couleur ""feu"" caract�ristique.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanterne tha�landaise. Le t�moin, inform� de cette hypoth�se de lanterne tha�, n'accepte pas cette hypoth�se.
Le rapport d'observation est pourtant int�gralement conforme � l'observation de lanterne tha� : d�placement horizontal et rectiligne d'un point lumineux avec halo rouge ou orange, dans une direction identique au vent local, un soir de f�te. Comme toujours dans ce type de cas, la distance et vitesse du ph�nom�ne sont surestim�es par le t�moin du fait de la faible luminosit� intrins�que des br�leurs des lanternes, compar�e aux lumi�res des avions.";"Observation du d�placement silencieux dans le ciel nocturne d'un point rouge lumineux entour� d'un halo rouge sur une trajectoire rectiligne : observation probable de lanterne tha�landaise.";O;;;;;;;;;2016-02-23;;;0.10;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;A;2015-12-09389
3947;"[D40] de SAINT-MARCEL (08) vers HAUDRECY (08) 27.10.1954";Ardennes;08;"(D) D�partement";1954;10;27;"Le 27 octobre 1954 au retour d'un service de nuit, deux gendarmes circulant � bicyclette tous feux �teints vers 5h15 �changent quelques mots � voix haute � propos d'une t�che blanche vue dans l'herbe sur le cot� droit de la route. Ils sont alors surpris d'entendre une d�tonation puis de voir imm�diatement sur le c�t� gauche de la route, � 150 m environ, une gerbe d'�tincelles de 1 m ou 5 m de long � 1 m ou 1,5 m du sol accompagn�e d'un sifflement puis d'un ronronnement. Le bruit s'�loigne rapidement vers le Nord-Est. Aucune forme n'est vue par les gendarmes. Ils s'approchent mais ne trouvent rien d'autre que des vaches apeur�es qui beuglent.
L'enqu�te de gendarmerie de l'�poque relate que le commandant de brigade s'est rendu sur les lieux avec l'un des t�moins � 7h45 et que le commandant de section a fait de m�me avec l'autre t�moin � 13h30 ; les deux r�cits des deux t�moins ainsi recueillis ind�pendamment � ne sont nullement en contradiction �. Sur place, les gendarmes constatent que l'herbe est aplatie sur une surface de 1,6 sur 1,3 m et qu'une cl�ture situ�e � 3,5 m de cet emplacement est arrach�e sur une longueur de 25 m (4 piquets sont d�t�rior�s dont 2 cass�s au niveau du sol). Ni le propri�taire de la p�ture ni les gendarmes ne pensent que ces d�t�riorations sont dues au b�tail.
L'herbe peut avoir �t� couch�e par des vaches avant ou apr�s l'observation. Il n'est pas certain que les traces au sol soient en rapport avec le ph�nom�ne entendu.
Une d�tonation suivie d'une gerbe d'�tincelles et d'un sifflement fait �videmment penser � l'explosion d'un dispositif pyrotechnique. L'observation a lieu dans une zone g�ographique parcourue par diverses arm�es lors des diff�rentes guerres. L'autoamorcage d'un explosif militaire abandonn� aurait-il pu produire ce genre de ph�nom�ne sans produire de crat�re? il est surprenant que les gendarmes aient consid�r� les traces au sol de ce ph�nom�ne comme l'atterrissage d'un engin non identifi� alors qu'il n'ont observ� aucune forme. Cette id�e aurait-elle �t� suscit�e par l'emballement m�diatique particuli�rement intense sur les soucoupes volantes en ce mois d'octobre 1954?
Le GEIPAN classe ce cas C par manque d'information et recoupement.";"Observations d'une gerbe d'�tincelles pr�c�d�e d'une d�tonation. D�tection d'un sifflement et d'un ronronnement qui s'�loigne dans le NE : manque d'informations et de recoupements.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1954-10-00025
3951;"[AERO MIL] FAVERGES (74) 02.10.1954";Haute-Savoie;74;"(D) D�partement";1954;10;02;"Le 02 octobre 1954, un pilote exp�riment� (environ 10 000 h de vol, sp�cialiste du vol dans les Alpes), aux commandes d'un Nord 1203 vole au cap 250�, � 220 km/h et � une altitude de 2000 m. A 16h20 il observe sur sa droite un � engin � se d�pla�ant au m�me cap � une altitude d'environ 4000 m, situ� � une distance qu'il �value � environ 10 km. Sa trajectoire suit une courbe ascendante. Sa forme est celle d'un disque inclin� sur son axe de 30 � 40� dont l'ar�te arri�re pr�sente une lueur phosphorescente. Son diam�tre est estim� � 3-4 m. Il dispara�t � l'horizon au bout de 70 s. Le pilote fait un rapport succinct de son observation. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Le soleil (azimut 245�, site 18�) est dans l'axe du vol. L'avion parcourt ~4 300 m pendant la dur�e de l'observation. L'objet est vu � une �l�vation d'environ 11� dans un azimut voisin de 340� (pas de confusion astronomique rep�r�e dans cette zone, voir carte du ciel). Il suit une trajectoire ascendante puis dispara�t � l'horizon ce qui indique que le t�moin omet de d�crire la partie descendante.
Le t�moin interpr�te ce qu'il voit comme un disque inclin� de 30-40� � sur son axe � mais de quel axe s'agit-il ? On peut imaginer un disque dont l'avant est plus bas que l'arri�re (ou inversement) ou bien dont le bord gauche est plus bas que le droit (ou inversement). Dans ce dernier cas, l'objet aurait la forme d'une ellipse. Le t�moin a-t-il des raisons objectives de d�crire un � disque inclin� � ou s'agit-il d'une simple interpr�tation ? En outre la taille angulaire de l'objet est tr�s petite puisqu'un objet de 3-4 m � 10 km de distance est vu sous un angle de 1' � 1.4' (0,15 � 0,2 mm � bout de bras), ce qui est la limite de r�solution de l'il (en forts contraste et luminance).
Le pilote qui vole au cap 250 est presque face au soleil (azimut 244�, �l�vation 18�) : on ne peut pas exclure un reflet du soleil sur un petit objet bien plus proche (ballon) ou m�me un reflet du soleil sur la verri�re. Le GEIPAN classe ce cas en C par manque d'information et de recoupement.";"Observation lointaine par un pilote du d�placement d'un objet circulaire : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-11-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1954-10-00012
3950;"PREMANON (39) 27.09.1954";Jura;39;"(D) D�partement";1954;09;27;"Le 27 septembre 1954 � 20h30 trois enfants (de 12, 9 et 8 ans) observent � proximit� de leur maison un engin �trange de couleur aluminium de forme rectangulaire fendu partiellement en son milieu dans le sens de la hauteur. L'engin porte de chaque c�t� � sa base deux supports coud�s ext�rieurement. Il mesure approximativement deux m�tres de haut sur un m�tre de large. Un des enfants lance une pierre puis une fl�chette d'un jouet dont il est muni contre l'engin qui s'avance lentement et renverse l'enfant. Ce dernier effray� rentre chez lui et se couche. Deux surs verront �galement l'engin et effray�es iront se cacher. Aucun t�moin ne verra l'engin disparaitre. Les deux surs disent avoir vu �galement une lueur rouge se balancer au ras du sol pr�s de leur habitation. Les parents n'accorderont aucun cr�dit aux dires des enfants. Leur institutrice rapportera l'observation � la gendarmerie.
Lors de l'enqu�te de gendarmerie � l'�poque deux rapports sont �tablis. Le capitaine ne met par en cause la cr�dibilit� des enfants. Ces derniers vivent dans une ferme isol�e, ne lisent pas de journaux et ne vont pas au cin�ma. Des traces au sol sont retrouv�es dans la direction d'apparition de la lueur rouge : il s'agit une large couronne dans l'herbe couch�e et orient�e dans le sens des aiguilles d'une montre. Ces traces ne sont pas reconnues comme �tant celles du pi�tinement de personnes ou d'animaux. Quatre trous sont �galement retrouv�s dans cette couronne.
Le GEIPAN a eu connaissance de l'enqu�te de l'ufologue priv� Yves Bosson qui a rencontr� les t�moins dans les ann�es 1980, lesquels ont confirm� avoir mont� une blague dont les cons�quences leur ont �chapp�. Son rapport a �t� pr�sent� au Congr�s de Lyon en 1992 (""Actes des sixi�mes Rencontres europ�ennes de Lyon, 1-2-3 mai 1992"", SOS OVNI, Aix-en-Provence 1992, pp. 4-16), puis publi� dans le chapitre ""Pr�manon ou l'innocence: enqu�te sur un cas au-dessus de tout soup�on"", dans l'ouvrage ""OVNI, Vers une Anthropologie d'un Mythe Contemporain"", par Thierry Pinvidic et al., Heimdal �diteur, France, pp 123-145, 1993.
Dans l'attente d'une v�rification de ces affirmations, a priori fiables, le GEIPAN classe ce cas � C � : manque d'informations confirm�es.";"Observations par des enfants d'un engin en d�placement proche ; observation d'une lueur rouge et traces au sol : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-12-21;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1954-09-09112
3961;"[A87] de HERBIERS (LES) (85) vers CHOLET (49) 27.11.2015";Vend�e;85;"(D) D�partement";2015;11;27;"Le 27 novembre 2015 entre 7h32 et 7h37 une automobiliste circulant sur l'A87 est intrigu�e par ce qu'elle voit dans le ciel. Elle rapporte la pr�sence de faisceaux lumineux mobiles dans le ciel. Ces derniers se d�placent avec rapidit� et lui �voquent un engin circulaire muni de faisceaux dans un cercle tournoyant sur lui-m�me � grande vitesse. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce rapport d'observation de lumi�res circulaires en train de tourner �voque nettement les animations lumineuses de discoth�que ou autre lieu festif se r�fl�chissant sur la couche de nuages et/ou sur l'�cran de pluie fine (les deux �taient pr�sents ce matin l�). Les faisceaux montants ne sont pas visibles ici. Mais selon les conditions de la couche d'air, on peut voir les motifs cr��s (sur l'�cran de ciel) ou bien les faisceaux seuls sans les motifs ou les deux, un peu comme dans une salle de cin�ma en imaginant par moment de la fum�e de cigarettes (faisceaux visibles) en conjonction ou non de la pr�sence de l'�cran (motifs pr�sents ou non).
Selon les conditions atmosph�riques, la distance d'effet d'un laser est tr�s variable, et peut atteindre des dizaines de kilom�tres, ce qui peut rendre le ph�nom�ne fugitif voire exceptionnel � forte distance du lieu d'�mission.
Le GEIPAN n' a pas identifi� l'�metteur du rayon. L'hypoth�se d'un essai technique venant des installations du Puy-du-Fou est rejet�e apr�s renseignement. Certaines discoth�ques fermant tard la nuit du jeudi au vendredi, l'origine du ph�nom�ne venant d'une discoth�que est possible m�me � 7H30. Les discoth�ques voisines n'ont pas ou pu �tre jointes ou refusent de r�pondre pr�cis�ment.
D'autres cas de m�me type sont sur le site GEIPAN (utiliser les mots clefs SKYROSE ou LASER).
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en B : skyrose ou spots lumineux.";"Observation dans le ciel des �volutions rapides de faisceaux mobiles blanch�tres : probable observation d'animation lumineuses de skyrose ou spots lumineux.";O;;;;;;;;;2017-06-01;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.60;;0.36;0.00;B;B;2015-11-09365
3962;"LEGUEVIN (31) 27.11.2015";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2015;11;27;"Le 27 novembre 2015 entre 10h30 et 11h un t�moin � son domicile observe et filme le d�placement de plusieurs objets dans le ciel. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a vu plusieurs PAN (voir les deux vid�os jointes). A part l'un d'eux de forme sph�rique, ces PAN sont des avions, certains volant haut et laissant un trainage blanc et d'autres volant bien plus bas (et donc sans trainage) suite au d�collage de Blagnac. En effet, l'analyse du trafic a�rien (Flightradar) montre une situation de deux avions �voluant en sens inverse, Nord Sud pour celui volant bas et Sud Nord pour l'autre, situation exactement conforme � une des vid�os et � la description du t�moin, y compris pour l'aspect allong� et sans ailes que l'on retrouve classiquement pour des avions � altitude faible et vus selon un �clairage soleil incident et rasant (10H30 en novembre).
Le PAN de forme sph�rique est probablement un ballon ludique, sa taille angulaire est de l'ordre 0,5 dixi�me de degr�s (taille estim�e d'apr�s la taille (de quelques cm) des feuilles r�siduelles de l'arbre voisin dans le champ de la vid�o et distant de 30 m de la prise de vue) et son �l�vation est entre 15 et 20� (toujours d'apr�s l'arbre voisin). Cela peut �tre un ballon d'enfant � tr�s basse altitude ou un ballon thermique solaire (de quelques m�tres de diam�tre (voir vols de ballons solaires) � une distance de quelques km et une altitude pouvant aller jusqu'� 1 ou 3 km. Le ballon thermique est plus probable car le vent au sol (Ouest vers Est � la station de Blagnac) explique difficilement la forte composante Nord Sud de l'observation tandis que le relev� de vent � plus haute altitude est bien de Nord vers Sud. Cette situation d'inversion de vent avec l'altitude peut expliquer aussi l'inversion de trajectoire que l'on distingue � la fin de la vid�o relative au PAN sph�rique et que le t�moin d�crit comme un"" arc de cercle, le ballon se trouverait en effet dans la plage d'altitude (~1km) correspondant � l'inversion du vent (voir le document de reconstitution des trajectoires des PAN avions, de la g�om�trie de l'observation et de la vid�o du PAN sph�re, ainsi que les sens de vent au sol et � plus haute altitude).
En cons�quence, en ne consid�rant que le PAN sph�rique (les autres �tant des avions), le GEIPAN classe le cas en B : observation probable d'un ballon thermique.";"Observation du d�placement de plusieurs ph�nom�nes dans le ciel : observation d'avions et observation probable d'un ballon thermique.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.50;0.00;;;0.70;;0.83;;0.58;0.00;B;D1;2015-11-09364
3964;"GAILLAC (81) 05.12.2015";Tarn;81;"(D) D�partement";2015;12;05;"Le 5 d�cembre 2015 � 17h55 un automobiliste et son fils observent durant 1 minute un ph�nom�ne stationnaire jaune orang� et aussi brillant que V�nus dans le ciel. Aucun bruit particulier n'est entendu. Le t�moin d�tourne la t�te et lorsqu'il regarde � nouveau, le ph�nom�ne a disparu.
L'observation d'un gros point lumineux dans le ciel durant une minute peut avoir plusieurs origines :
-Le reflet du soleil sur un satellite, Iridium ou autre : une v�rification sur le site Calsky n'indique aucun satellite candidat.
-le reflet du soleil sur le fuselage ou les ailes d'un avion : � cette heure-ci, lorsque le soleil est � moins de 7� sous l'horizon, il faudrait que l'avion soit � plus de 15000 m pour �tre encore au soleil.
-un avion vu de face, phares �clair�s : une v�rification sur le site Flightradar indique qu'un avion au d�collage de Carcassonne passe juste dans l'axe d'observation des t�moins � ce moment pr�cis. Cet avion a probablement d�coll� phares allum�s, et le pilote les aura �teints une fois atteint une altitude suffisante, ou bien les t�moins sont sortis du c�ne de lumi�re des phares de l'avion.
Etant face aux t�moins, lesquels sont aussi en mouvement dans leur v�hicule, ce point lumineux a paru immobile durant une minute. Apr�s extinction des phares, ou sortie des t�moins du c�ne de lumi�re, les feux de navigation, bien moins puissants, sur un ciel encore un peu lumineux, ont pu �chapper au regard des t�moins qui cherchaient une puissante lumi�re.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation des phares du vol RYR 1761.";"Observation par un automobiliste d'un ph�nom�ne lumineux jaune dans le ciel : observation des phares du vol RYR 1761.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2015-12-09368
3965;"[D34] de MAGNY-SAINT-MEDARD (21) vers ORGEUX (21) 29.11.2015";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";2015;11;29;"Le dimanche 29 novembre 2015 (et non le 30 novembre comme indiqu� sur le proc�s verbal) un automobiliste est surpris de voir appara�tre successivement 4 lueurs orang�es dans le ciel nocturne. Toutes se d�placent lentement sur une trajectoire rectiligne et sans aucun bruit. Le t�moin filme la sc�ne avec son t�l�phone portable. Un seul t�moignage est recueilli.
L'ensemble des �l�ments et de ce que l'on peut en reconstituer est conforme � une observation de l�cher de lanternes (voir le compte-rendu d'enqu�te) :
- le d�placement est conforme au sens du vent ;
- l'aspect, la couleur, la luminosit� des PAN sont conformes ;
- le passage de plusieurs PAN � la suite les uns des autres est typique ;
- c'est une journ�e de week-end propice � un �v�nement festif.
Le seul doute porterait sur le premier point car le t�moin n'a donn� aucune pr�cision sur le sens de d�placement des PAN et sur sa perception du vent (�tait-il ou non abrit� ?). Mais l'analyse de la vid�o indique un sens probable de d�placement (de Sud vers Nord) conforme au sens du vent mesur� sur les stations avoisinantes � 15 � 20 km. Ce qui permet au vu des autres points de maintenir l'hypoth�se comme probable.
La consistance du cas est m�diocre du fait du manque d'information donn�e par le t�moin. Heureusement, la vid�o malgr� sa mauvaise qualit� permet de donner une information de sens probable de d�placement.
En cons�quence le GEIPAN classe en B : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation film�e du d�placement silencieux de 4 lueurs orang�es dans le ciel nocturne : Observation probable de lanternes tha�landaises.";O;;1;;4;;;;;2018-11-05;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;B;B;2015-11-09369
3966;"LIMEIL-BREVANNES (94) 07.12.2015";Val-de-Marne;94;"(D) D�partement";2015;12;07;"Le 7 d�cembre 2015 � 22h45 un t�moin observe trois points lumineux situ�s haut dans le ciel et formant un triangle. Les points (blanc ou rouge) semblent reli�s entre eux. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation de points lumineux traversant le ciel en quelques minutes fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Sud-Sud Ouest vers le Nord-Nord Est, ce qui est compatible avec le vent de Sud relev� � Orly (7 km) : M�t�ociel).
Du fait de leur faible luminosit� intrins�que, les lanternes tha� sont le plus souvent interpr�t�es comme plus lointaines qu'elles ne sont vraiment, et donc plus rapides.
Les l�chers de lanternes ont le plus souvent lieu le week-end ; celles-ci ont peut-�tre �t� l�ch�es pour envoyer un message au P�re No�l !
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement de plusieurs points lumineux blancs ou rouge formant un triangle dans le ciel nocturne : observation probable de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2016-01-08;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;A;2015-12-09370
3967;"VENDAYS-MONTALIVET (33) 12.12.2015";Gironde;33;"(D) D�partement";2015;12;12;"Le 12 d�cembre 2015 � 18h10, deux habitants de VENDAYS-MONTALIVET (33) sortent dehors pour observer un flash de satellite Iridium. A 18h14, ils voient un point brillant en d�placement s'�teindre puis se rallumer deux ou trois fois de suite. L'observation du PAN dure trente secondes. Un seul t�moignage est recueilli.
La description du PAN comme un point lumineux semblable � une �toile en d�placement et s'�teignant et se rallumant plusieurs fois est caract�ristique de l'observation d'un satellite artificiel en rotation tr�s rapide sur lui-m�me. La reconstitution sur Calsky des passages satellitaires montre que l'un d'eux peut correspondre � la fois au niveau de l'horaire et aussi de la trajectoire : SL-23 R/B, num�rot� selon les d�signations internationales 41107 et 2015-074-C. Il est d'ailleurs � noter que sa trajectoire du Sud-Ouest vers l'Est a culmin� � une quarantaine de degr�s angulaires, ce qui est coh�rent avec l'estimation de hauteur du PAN donn�e par le t�moin (voir le compte rendu d'enqu�te).
D'�tranget� moyenne, mais de consistance suffisante, ce cas s'av�re �tre une m�prise assez rare avec un passage d'�tage de fus�e Zenit peu de temps apr�s son lancement. La trajectoire du PAN ainsi que sa description correspondent parfaitement avec celle de l'objet SL-23 R/B, tr�s bien visible au moment de l'observation. De plus, une observation visuelle de cet objet a permis de confirmer son caract�re variable et spectaculaire. Ce cas est class� A, m�prise avec un satellite, impliquant l'�tage de fus�e SL-23 R/B num�rot� 2015-074-C.";"Observation d'un point brillant en d�placement dans le ciel et qui s'�teint puis se rallume deux ou trois fois de suite : m�prise avec un satellite, impliquant l'�tage de fus�e SL-23 R/B num�rot� 2015-074-C.";O;;;;;;;;;2016-06-21;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;A;A;2015-12-09371
3968;"BALLON (72) 20.09.2015";Sarthe;72;"(D) D�partement";2015;09;20;"Le 20 septembre 2015 � 16h52, alors qu'il visite lors de la journ�e du patrimoine le Donjon de Ballon (72), un t�moin prend quelques photos des lieux dont une du paysage � travers les carreaux d'une fen�tre, sans rien remarquer d'anormal. Mais, en visionnant ces photos une fois revenu � son domicile, il observe sur celle montrant le paysage, la pr�sence de trois points lumineux tr�s nets, se d�tachant sur le ciel bleu et qu'il d�crit de la fa�on suivante : � j'ai constat� sur l'une d'elle 3 points lumineux dans le ciel bleu. Je grossis donc la photo et � ma grande stupeur je constate une formation de trois ensembles de six points lumineux, formant chacun un hexagone sur la photo �. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
La s�rie de photos analys�e (cf notes d'enqu�te) montre les reflets, dans une vitre, d'un des groupes de luminaires � LED pr�sents et allum�s dans la salle dans laquelle se trouvait le t�moin lorsqu'il a r�alis� ses photographies. Une enqu�te sur place a confirm� l'existence de ces luminaires et a permis de reproduire en photo l'effet constat� par le t�moin (voir photos GEIPAN).
En cons�quence, le cas est class� � A �, confusion avec le reflet dans une vitre de luminaires situ�s derri�re le t�moin photographe.";"Observation � post�riori sur photographie sans visuel direct de points lumineux dans le ciel bleu : confusion avec le reflet dans une vitre de luminaires situ�s derri�re le t�moin photographe.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.20;0.00;;;0.70;;;;0.53;0.48;A;A;2015-09-09372
3970;"TOULOUSE (31) 14.12.2015";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2015;12;14;"Le 14 d�cembre 2015 � 7h15 un t�moin et sa femme,observent, � travers le brouillard, un point lumineux dans le ciel qui semble ""tanguer"" et grossir l�g�rement. Un seul t�moignage est recueilli.
Le report sur une carte g�ographique de la direction d'observation d�crite par le t�moin indique un azimut de l'ordre de 135� (Sud Est) (voir carte jointe).
La carte du ciel indique dans cette direction la plan�te V�nus � 22� d'�l�vation (contre 60� indiqu�e par le t�moin) tr�s brillante (magnitude -3,6). L'�toile Arcturus, moins brillante(Mag 0,15) est � l'azimut 117� et une �l�vation de 51�.
Le ph�nom�ne d�crit par le t�moin a toutes les caract�ristiques d'un astre tr�s brillant observ� � travers un l�ger brouillard : les autres �toiles sont occult�s, et le ph�nom�ne para�t un peu d�form�.
L'impression que cette lumi�re ""tanguait"" est caract�ristique de l'illusion autocin�tique (voir : La perception du mouvement d'un point lumineux dans le ciel.
) Le GEIPAN classe ce cas B : probable observation de la plan�te V�nus ou de l'�toile Arcturus.";"Observations d'un point lumineux dans le ciel par temps de brouillard ; impression de ""tangage"" du PAN : probable m�prise astronomique de la plan�te V�nus ou de l'�toile Arcturus.";O;;;;;;;;;2016-01-06;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;A;2015-12-09375
3971;"BIARS-SUR-CERE (46) 06.06.2014";Lot;46;"(D) D�partement";2014;06;06;"De juin 2014 � d�cembre 2015 une personne observe r�guli�rement le ciel avec ses jumelles et son t�lescope et rapporte plusieurs observations de sph�res de couleurs, seulement visibles par nuit �toil�e. Les sph�res multicolores se d�placent l�g�rement. Le t�moin fait notamment le r�cit d'une longue observation faite le 6 juin 2014. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
L'observation longue (30 mn) et r�p�t�e de points lumineux dans le ciel, se d�pla�ant lentement, d'aspect multicolore en les observant aux jumelles ou avec une lunette astronomique, oriente vers l'observation d'�toiles, particuli�rement scintillantes � basse �l�vation.
Vue la carte du ciel de l'�poque de l'observation, il peut s'agir de Capella, Vega ou Deneb.
L'effet observ� par le t�moin est peut-�tre le r�sultat d'un r�glage incorrect de la lunette astronomique.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable d'�toiles particuli�rement scintillantes � basse �l�vation.";"Observations successives de sph�res lumieuses de couleur dans le ciel �toil� avec des jumelles et une lunette astronomique : observation probable d'�toiles particuli�rement scintillantes � basse �l�vation.";O;;;;;;;;;2016-06-20;;;0.35;0.00;;;0.80;;0.70;;0.56;0.00;B;B;2014-06-09374
3972;"MARSEILLE (13) 12.09.2014";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2014;09;12;"T�moignage r�cent (18/12/2015) d'une observation ancienne faite le 12 septembre 2014 entre 6h et 7h. Ce matin l�, le regard du t�moin est attir� par un point lumineux faisant des cercles dans le ciel avant de disparaitre en ligne droite dans un nuage. L'objet est de forme ovale, de couleur gris blanc. Le t�moin a eu le temps de photographier le PAN. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
L'analyse des photos montre une forme lumineuse pr�c�dent une l�g�re tra�n�e blanche : l'hypoth�se de l'observation d'un avion a �t� privil�gi�e, avec les �l�ments suivants :
- au lever du soleil, ainsi qu'au coucher, les avions sont �clair�s lat�ralement : les plans des ailes sont dans l'ombre, moins lumineux que le fond du ciel bleu, et sont donc invisibles. Il arrive aussi que le soleil se refl�te vivement sur une partie du fuselage ou des hublots, et cr�e un point tr�s brillant. La forme r�sultante, visible � l'oeil ou en photo peut alors devenir un cigare, un ovale, un trap�ze.
- la tra�n�e blanche est caract�ristique d'un avion.
Notons que les mouvements d�crits par le t�moin sont surprenants pour un avion.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation et photographie probable d'un avion au lever du soleil.
N.B. : le t�moin d�clare avoir fait les prises de vue vers 6h du matin le 12/9/2014. L'heure not�e dans la photo est 20h16 : le t�moin pr�cisera que son appareil photo n'�tait pas � l'heure, et qu'il �tait peut �tre un peu plus tard. Etant donn�e la luminosit� du ciel, il devait �tre autour de 6h50.";"Observation des �volutions d'un objet ovale gris clair avec une l�g�re train�e blanche dans le ciel marseillais : observation et photographie probable d'un avion au lever du soleil.";O;;;;;;;;;2016-06-21;;;0.40;0.00;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2014-09-09376
3973;"[D17] de FONTVIEILLE (13) vers PARADOU (13) --.12.1978";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";1978;12;--;"T�moignage r�cent (2015) d'une observation ancienne (date du jour arbitraire).
En d�cembre 1978 (le t�moin ne se souvient pas de la date exacte du jour) vers 18h40, un conducteur de bus, observe � l'Est dans le ciel le passage silencieux N-S d'un ph�nom�ne lumineux. Le PAN est d�crit comme une lueur verte, sorte de grosse goutte d'eau accompagn�e de trois autres petite gouttes � sa suite. Les passagers observent �galement le ph�nom�ne. L'ensemble disparait � vitesse fulgurante. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce t�moignage a toutes les caract�ristiques d'une observation de rentr�e atmosph�rique de d�bris spatial : dur�e, aspect, comportement.
Le GEIPAN a recherch� d'autres faits similaires en d�cembre 1978.
Le 2 d�cembre 1978 � partir de 17h15 un ph�nom�ne lumineux particulier a �t� observ� depuis diff�rents points du territoire fran�ais. Un incident sur une fus�e militaire lanc�e depuis le centre d'essais de Biscarosse est la cause de ces observations. Cette fus�e partie en ""vrille"" au lancement, a �t� intercept�e et a explos� en vol � 10 000 m�tres d'altitude, ce qui explique la vision de cet �v�nement sur une partie de l'hexagone. En dehors de l'�cart horaire (17h15 pour 18h40 dans notre cas), l'�cart en direction d'observation ne convient pas : le t�moin regarde vers l'Est et le ph�nom�ne est observ� comme se d�pla�ant du Nord au Sud ; pour voir l'incident de Biscarosse, le t�moin aurait d� regarder vers l'Ouest. Ce n'est donc pas ce ph�nom�ne que le t�moin a pu observer.
Le t�moin cite un article du quotidien ""La Provence"" qui traite de l'observation d'une rentr�e atmosph�rique de d�bris de fus�e ou de satellite. Il se pourrait bien que ce soit ce ph�nom�ne qu'a observ� notre t�moin, mais le GEIPAN n'a pas trouv� cet article sur Internet. Une recherche aupr�s du journal pourrait lever le doute.
Le site Spacetrack (US Space command) indique de nombreuses rentr�es atmosph�riques de d�bris spatiaux en d�cembre 1978 ; l'absence de date sur ce t�moignage ne permet pas de rechercher d'�ventuelles corr�lations entre l'observation et l'une de ces rentr�es.
Malgr� la ressemblance avec une observation de rentr�e atmosph�rique de d�bris spatial, le GEIPAN ne peut confirmer cette hypoth�se faute de recoupements (L'article de ""La Provence"" pourrait �ventuellement fournir les informations n�cessaires).
Dans l'attente d'informations compl�mentaires, le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information pr�cise de date.";"Observation du passage silencieux et rapide d'une lueur verte et d'un ph�nom�ne en forme de gouttes : forte probablilit� d'observation d'une rentr�e atmosph�rique mais manque de pr�cision (date).";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.80;;0.56;0.00;C;B;1978-12-09377
3975;"VALDOIE (90) 24.12.2015";"Territoire de Belfort";90;"(D) D�partement";2015;12;24;"Le 24 d�cembre 2015 vers 19h40 un t�moin dans son jardin observe une lueur orange tr�s lumineuse, traversant silencieusement le ciel d�gag� d'Est en Ouest. La lueur r�tr�cit et disparait. Un seul t�moignage sera recueilli.
Les indications donn�es par le t�moin orientent l'enqu�te vers l'observation d'une lanterne dont on retrouve toutes les caract�ristiques : lueur orang�e, se d�pla�ant pouss�e par le vent, sans bruit, puis disparaissant en s'�teignant.
Nous allons confirmer cette hypoth�se :
Tout d'abord, le t�moin fait �tat de contradiction dans son compte-rendu. Il d�clare pr�alablement que le ph�nom�ne ""a travers� le ciel de plein Est vers plein Ouest"". Puis dans la description d�taill�e du ph�nom�ne il indique une trajectoire ""Ouest/Est"". Pour lever l'ambigu�t�, nous prendrons en compte la position du ph�nom�ne par rapport � la lune, qu'il d�crit ""� droite et en- dessous de la Lune"". Les �ph�m�rides du (calendrier lunaire) font �tat d'une phase 1 jour avant la pleine Lune, avec un lev� � 15:39 (TU) ce 24 d�cembre 2015. La Lune se positionne � l'Est (lev�e depuis 3 heures), � la gauche du t�moin qui observe vers le Sud. La position du ph�nom�ne � droite de la Lune (� l'Ouest en observant vers le Sud) conduit � une trajectoire Ouest/Est ce qui corrobore sa description d�taill�e.
La m�t�o � la station de Belfort-Dorans, � moins de 10 km au Sud relev�e sur M�t�ociel indique un ""ciel d�gag�, visibilit� � 20 km"" avec un ""vent d'Ouest de 10/20 km/h en pointe"". Un objet flottant est donc pouss� d'Ouest vers l'Est, ce qui correspond � la trajectoire du ph�nom�ne.
Le t�moin d�crit une lueur orang�e d'une taille de 1/4 � 1/3 de la pleine Lune, puis se r�duisant � un point lumineux avant de disparaitre par extinction.
Notons que c'est la nuit du r�veillon de No�l, propice � ce genre de manifestations festives.
En conclusion le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de lanterne tha�landaise.";"Observation du passage silencieux d'une lueur orang�e dans le ciel nocturne un soir de f�te : observation probable de lanterne tha�landaise.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.25;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;B;B;2015-12-09379
3977;"BANASSAC (48) 26.12.2015";Loz�re;48;"(D) D�partement";2015;12;26;"Le samedi 26 d�cembre 2015 � 20h30 un t�moin allant chercher du bois derri�re sa maison est intrigu� par la pr�sence silencieuse d'un point lumineux fixe orang�. Soudain ce point part � grande vitesse en direction du Sud et disparait derri�re une colline. Ressortant pour aller chercher d'autre b�ches de bois le t�moin constate jusqu'� 4 points lumineux qui disparaissent les uns apr�s les autres.
L'observation, relay�e par le t�moin assist� de sa femme et de sa fille majeure, est accompagn�e de photos, dont une ne pr�sentant pas de bouger lors de la prise de vue de 1/4 de seconde. Cette derni�re pr�sente toutes les caract�ristiques de l'observation de lanterne thailandaise : point lumineux de couleur orang�, pas d'�clats, pas de bruit, vol stationnaire, puis disparition (lors d'un mouvement rapide) correspondant � la fin de la bougie.
On peut �galement prendre en compte la date, un samedi soir, lendemain de No�l, propice � une r�union de famille ou d'amis qui f�tent No�l.
El�ment compl�mentaire d'analyse : la situation m�t�o donn�e par le relev� M�t�ociel pour Mende (situ� � 25 km � l'Est) � 20 h indique un ciel couvert 8/8, pas de pr�cipitation, visibilit� 20 km, vent de SE inf�rieur � 10 km/h.
La possibilit� de lanterne est �tay� par :
- le ciel couvert : pas d'�toile visible, plancher nuageux estim� par le t�moin � 1.500 m�tres : ce n'est pas un avion de ligne, pas un satellite ou la station spatiale internationale (ISS).
- un l�ger vent du SE, dans la direction des points lumineux : ce qui explique l'immobilit� apparente constat�e d'un objet flottant pouss� par le vent.
Pour la premi�re observation, la fuite soudaine et rapide, conduisant � la disparition, correspond � la fin de la combustion la bougie de la lanterne, conduisant � la chute et l'extinction. Le d�part vers le Sud interpr�t� par le t�moin est une erreur d'appr�ciation, elle correspond � la chute soudaine associ�e � la baisse de luminosit� due � l'extinction de la bougie.
Quant � la seconde observation d'un point se divisant en 3 points et 1 point s�par�, cela correspond � un nouvel envol de lanternes, 3 d'entre elles se s�parant au gr�s du vent, associ� � un effet de parallaxe avec l'observateur.
Le r�sultat de cette enqu�te conduit � proposer avec une forte probabilit� l'observation de lanternes thailandaises, lanc�es un samedi soir, lors des f�tes de No�l.
En conclusion le GEIPAN classe le cas en B: observation probable de lanternes thailandaises.";"Observations de la pr�sence de points lumineux orang�s dans le ciel nocturne puis disparition rapide : probable observations de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.25;0.00;;;0.70;;0.90;;0.65;0.00;B;B;2015-12-09381
3978;"SAINT-VALLIER-DE-THIEY (06) 27.12.2015";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2015;12;27;"Le 27 d�cmbre 2015 entre 17h05 et 17h15 un automobiliste est stup�fait de voir dans le ciel la pr�sence d'un objet orange fluo de la forme ""d'une assiette � soupe renvers�e"". L'objet, qui semble stationnaire, est entour� par un halo de couleur orange. L'objet part en direction du SO et aucun bruit n'est entendu durant le d�placement. Il disparait � l'horizon. Plusieurs automobilistes, arr�t�s au bord de la route, auraient �galement observ� le ph�nom�ne. Un seul t�moignage sera rapport�.
L'observation de boule orange dans le ciel durant quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � une lanterne tha�landaise, probablement l�ch�e depuis Saint-Vallier � l'issue d'une f�te priv�e � l'occasion des f�tes de fin d'ann�e.
Le d�placement observ� est faible, partant vers le Sud-Ouest. Le vent relev� � la station m�t�orologique de Auribeau-sur-Siagne, � 12 km, est nul (voir le relev� Infoclimat du jour de l'observation. A cette heure-ci, en zone montagneuse, au coucher du soleil, il existe des vents tr�s locaux, selon les vall�es, tr�s l�gers, difficilement pr�visibles. Ce relev� m�t�o n'apporte pas d'information d�terminante pour confirmer l'hypoth�se de lanterne tha�landaise.
L'absence de r�sultat sur la photo n'est pas surprenante : les cam�ras des t�l�phones portables sont tr�s peu performantes en lumi�re faible.
N�anmoins, malgr� le manque d'�l�ments permettant de confirmer cette hypoth�se, �tant donn� la description du ph�nom�ne et la fr�quence �lev�e de l�chers de lanternes en p�riode de fin d'ann�e, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanterne tha�landaise.";"Observation d'un objet en forme d'assiette � soupe renvers�e de couleur orange fluo, avec un d�placement silencieux dans le ciel nocturne : probable observation de lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.70;;0.56;0.00;B;A;2015-12-09382
3980;"SERVIERS-ET-LABAUME (30) 30.12.2015";Gard;30;"(D) D�partement";2015;12;30;"Le 30 d�cembre 2015 � 7h50 une automobiliste dans un rond point observe durant 30s un gros point lumineux rouge, descendant tr�s lentement du ciel tr�s d�gag� selon une trajectoire courbe tr�s douce. Le t�moin se gare mais n'aura pas le temps de sortir son t�l�phone pour prendre une photo : le ph�nom�ne aura disparu. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Le t�moin roule en direction du Nord-Ouest, peu avant le lever du soleil au Sud-Est. Un point rouge observ� dans la direction oppos�e au soleil, encore l�g�rement sous l'horizon, peut �tre le reflet du soleil sur un objet volant � haute altitude, par exemple un avion. Une v�rification sur Flightradar indique un avion � pr�s de 100 km du t�moin dans cette direction Nord-Ouest, l'avion est en descente lente. La tr�s bonne visibilit� atmosph�rique, due au vent de Nord qui soufflait l�g�rement ce jour l�, rend possible cette observation ; voir le relev� m�t�o de N�mes sur M�t�ociel.
Le GEIPAN classe ce cas B : observation probable du reflet du soleil sur un avion � haute altitude.
Etant donn� que le t�moin �tait en d�placement, la direction d'observation du ph�nom�ne n'est pas assez pr�cise pour pouvoir �tre s�r de cette explication par cet avion pr�cis. Ceci reste une hypoth�se, compatible avec le rapport d'observation.";"Tr�s courte observation par une automobiliste d'un point rouge en d�placement sur une l�g�re courbe dans le ciel tr�s d�gag� du matin : observation probable du reflet du soleil sur un avion � haute altitude.";O;;;;;;;;;2016-03-09;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;B;A;2015-12-09384
3982;"FAGET-ABBATIAL (32) 17.07.1978";Gers;32;"(D) D�partement";1978;07;17;"T�moignage r�cent (2016) d'une observation ancienne.
Le 17 juillet 1978 � 23h30 plusieurs personnes dans la cour d'une ferme observent au-dessus de la maison, un disque parfait, vert fluo, immobile. Le ph�nom�ne disparait � une vitesse fulgurante. Un seul t�moignage est recueilli.
Cette observation durant 3 secondes d'un disque vert, disparaissant � vitesse fulgurante, a certaines caract�ristiques d'un bolide (rentr�e atmosph�rique de m�t�orite). L'immobilit� du d�but de l'observation est �tonnante pour cette hypoth�se, mais si le ph�nom�ne est vu presque de face, le t�moin peut avoir l'illusion d'immobilit�. Le changement apparent de direction peut aussi �tre la cons�quence de la g�om�trie relative du ph�nom�ne par rapport au t�moin.
N�anmoins, cette observation est notablement diff�rente des autres observations de bolides : pas de tra�n�e lumineuse observ�e. De plus aucune autre observation de ce type ne semble avoir �t� r�pertori�e, ce qui est �tonnant pour un ph�nom�ne de ce type.
Le GEIPAN a re�u ce rapport d'observation en 2016 ; au del� de ces v�rifications �l�mentaires, le GEIPAN ne peur mener d'enqu�te plus approfondie.
Le GEIPAN classe ce cas ""C"" par manque d'information et de recoupements.";"Observation courte de la pr�sence et disparition fulgurante d'un disque vert fluorescent dans le ciel ; aucun bruit : manque d'information et de recoupements pour cette observation ancienne rapport�e en 2016.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.40;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;C;B;1978-07-09386
3983;"LANCON-PROVENCE (13) 19.12.2015";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2015;12;19;"Le 19 d�cembre 2015 � 20h17 un t�moin alert� par son fils observe de loin une grosse boule l�g�rement ovoide scintillant d'un orange tr�s vif . Cette boule se d�place dans le ciel vers le t�moin. Ce dernier distingue ensuite un profil en ""V"" �largi avec de petites lumi�res espac�es r�guli�rement entre elles et il prend trois photographies. L'objet passe � leur verticale sans qu'aucun bruit ne soit ententu. La trajectoire est rectiligne puis prendra une l�g�re pente ascendante en s'�loignant ; le PAN perd en intensit� lumineuse et finit par disparaitre. Le fils du t�moin a vu trois ph�nom�nes distincts. Un seul t�moignage sera recueilli.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e � l'approche des f�tes de fin d'ann�e.
Le d�placement est observ� depuis le Sud-Ouest, ce qui est compatible avec le vent de Sud-Ouest relev� � Salon de Provence : le relev� Infoclimat indique un vent de secteur 110� de 6 � 11 km/h.
La seule photo exploitable du t�moin s'av�re d�focalis�e (flou de mise au point, tr�s fr�quent sur les photos de nuit dans ces conditions) et ne montre qu'un cercle flou orange. Elle prouve toutefois la r�alit� du ph�nom�ne, et la couleur du ph�nom�ne est tout � fait coh�rente avec celle des lanternes tha�.
L'estimation de distance faite par le t�moin � partir de son exp�rience a�ronautique ne peut pas �tre exacte puisqu'il n'a jamais vu ce type d'objet. Du fait que les lanternes tha� sont intrins�quement peu lumineuses (grosse flamme de bougie), elles sont toujours per�ues bien plus lointaines qu'elles ne sont, et donc semblent bien plus grosses et plus rapides qu'elles ne sont vraiment. Voir Estimation de taille et de distance d'un ph�nom�ne inconnu.
Le d�placement tr�s r�gulier des objets dans le ciel est tout � fait normal pour un objet port� par un l�ger vent. Comme les lanternes sont souvent l�ch�es les unes apr�s les autres, apr�s le m�me d�lai correspondant au temps de l'allumage du br�leur, le r�sultat est une file organis�e de lumi�res volantes.
Du fait de leur faible luminosit� intrins�que, les lanternes tha�, intuitivement compar�es aux feux des avions, sont le plus souvent interpr�t�es par les t�moins comme bien plus lointaines qu'elles ne sont vraiment, et donc bien plus rapides.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement silencieux d'un ph�nom�ne lumineux orange dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-02-23;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.80;;0.72;0.00;B;A;2015-12-09388
3987;"MONTADY (34) 23.10.2015";H�rault;34;"(D) D�partement";2015;10;23;"Le 23 octobre 2015 � 13h50 environ un couple observe dans le ciel le passage d'un ph�nom�ne particulier qui les intrigue : trois boules rondes desquelles jaillissent des gerbes de fils de plusieurs dizaines de m�tres de long. Des boules surgissent des milliers de petites b�tes qui tournoyent et sont comme �clair�es par des diodes. Le t�moin prend des photographies. Un seul t�moignage sera recueilli.
Les fils blancs photographi�s par le t�moin ont toutes les caract�ristiques des fils d'araign�e dits ""fils de la Vierge"" ou ""cheveux d'ange"". Ces fils sont les v�hicules de minuscules jeunes araign�es qui se laissent ainsi emporter par le vent. Ce ph�nom�ne s'appelle ballooning.
Le mois d'octobre est tout � fait propice � cette observation. Il faut aussi un temps beau et sec et une l�g�re brise, ce qui est le cas ce jour l� : voir le relev� m�t�o.
Ces fils extr�mement fins ne sont visibles que s'ils sont charg�s d'humidit� et/ou � contre-jour. Il est normal qu'ils deviennent invisibles lorsqu'on les approche, du fait que l'observateur change d'angle par rapport au soleil ou parce qu'ils s�chent rapidement. Les photographies fournies correspondent bien � ce ph�nom�ne.
Les multiples boules observ�es par le t�moin peuvent �tre des agglom�ration d'araign�es (voir photo).
En conclusion, le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probables de jeunes araign�es migratrices et leur fil de soie, appel�s commun�ment ""fils de la Vierge"".";"Observation du d�placement de long fils dans le ciel et de boules d'o� surgissent des petits animaux lumineux : observation de ballooning (moyen de locomotion a�rien de certains animaux).";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.50;0.00;;;0.80;;0.70;;0.56;0.00;B;D1;2015-10-09392
3989;"VALADY (12) 08.11.2015";Aveyron;12;"(D) D�partement";2015;11;08;"Le 8 novembre 2015 entre 23h et minuit 10, deux personnes constatent dans le ciel le d�placement silencieux de plusieurs lueurs de couleur jaune-orang� qui se suivent et disparaissent en altitude.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Sud vers le Nord, ce qui est compatible avec le l�ger vent de sud-est relev� � Rodez, � 15 km : M�t�ociel.La zone �tant tr�s vallonn�e, les courants a�riens � basse altitude suivent plus les vall�es que le vent dominant.
L'enqu�te de gendarmerie pr�cise que :
- Le centre de d�tection et de contr�le de Saint-Mars-La-Pile (37), charg� du suivi des trac�s radars d'a�ronefs, ne fait �tat d'aucune anomalie dans la zone concern�e, le jour du t�moignage.
- La m�me recherche, effectu�e aupr�s du centre op�rationnel de surveillance militaire des objets spatiaux (COSMOS), de l'arm�e de l'air, ne fait �tat d'aucune trace d'un quelconque ph�nom�ne dans les donn�es observ�es.
L'un des t�moins d�crit bien l'envol successif et r�gulier de la s�rie de ces ballons � air chaud.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation tr�s probable de lanternes tha�landaises.";"Observations du d�placement silencieux de plusieurs lueurs jaune-orang� dans le ciel nocturne : observations tr�s probables de lanternes tha�landaises.";O;;;;;;;;;2016-12-08;;;0.34;0.06;;;0.90;;0.85;;0.71;0.18;B;B;2015-11-09396
3990;"TALMONT-SAINT-HILAIRE (85) 01.01.2016";Vend�e;85;"(D) D�partement";2016;01;01;"Le 1er janvier 2016 � 0h16 un t�moin observe le d�placement silencieux dans le ciel de ph�nom�nes lumineux de couleur flamme. Les objets se d�placent vers le NNE sur une trajectoire horizontale � basse altitude. L'observation dure 5 minutes. Aucun autre t�moignage dans le secteur n'est rapport�.
L'observation de boules ou disques orange traversant le ciel en quelques minutes, une nuit de week-end ou festive comme celle de la Saint-Sylvestre fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e. Le d�placement par lots de 4 ou 5 align�s horizontalement, r�sulte probablement de lancements rapproch�s en s�quences, s�par�es par un temps plus long.
Le d�placement est observ� vers le Nord-Est alors que le vent relev� dans le secteur (� 8 km) est vers le Nord- Ouest. Mais depuis le lieu d'observation, le t�moin ne peut gu�re appr�cier convenablement que la composante Sud vers Nord du d�placement.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : probable lanternes thailandaises.";"Observation du d�placement silencieux de plusieurs ph�nom�nes lumineux couleur flamme dans le ciel nocturne de la Saint-Sylvestre : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2016-01-09395
3991;"[D923] de BAILLEUL (59) vers NIEPPE (59) 01.01.2016";Nord;59;"(D) D�partement";2016;01;01;"Le 1er janvier 2016 � 0h15 un automobiliste et sa passag�re observent le lent passage S-N � basse altitude d'un objet en forme de losange et de couleur jaune-orang�, �voluant sans bruit, bient�t suivi par deux autres. Des feux d'artifice ont cours au m�me moment. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
L'observation de boules ou disques oranges dans le ciel, une nuit de week-end ou festive comme celle de la Saint-Sylvestre (le t�moin mentionne aussi des feux d'artifice) fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le vent (station d'Armentieres � 3 km) � cette heure l� est faible mais avec une forte composante Sud vers Nord compatible avec le passage des PAN transversalement � la route emprunt�e. Ensuite le t�moin signale un virage des PAN pour longer la route ; l'impression de longer la route n'exclue pas la poursuite d'une trajectoire avec une forte composante transverse � la route d'autant que le t�moin signale aussi que le PAN avan�ait lentement (dans le sens de la route) et que tout ceci est observ� en conduisant. Enfin les relev�s de vent indiquent un grande instabilit� de directions.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B: observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du lent d�placement silencieux de trois objets en forme de losange et de couleur rouge-orang� dans le ciel nocturne de la Saint-Sylvestre : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.10;0.00;;;0.60;;;;0.65;0.35;B;A;2016-01-09393
3992;"VILLEMOISSON-SUR-ORGE (91) 01.01.2016";Essonne;91;"(D) D�partement";2016;01;01;"Le 1er janvier 2016 � 1h30 du matin plusieurs personnes observent le d�placement silencieux de 3 sph�res orange dans le ciel. L'observation dure 5 minute avant qu'elles ne disparaissent dans le ciel � vive allure. Un seul t�moignage est rapport�.
L'observation de boules oranges dans le ciel, une nuit de week-end ou festive comme celle de la Saint- Sylvestre fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit�, � l'issue d'une f�te priv�e.
La similitude de trajectoire des PAN sucessifs est �galement typique de lanternes lanc�es une apr�s l'autre et suivant le m�me filet de vent. L'extinction d'une lanterne, qui peut �tre rapide (lumi�re tr�s d�croissante) sans �tre instantan�e est souvent interpr�t�e comme un �loignement fulgurant de l'objet.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : probable lanterne thailandaise.";"Observation du d�placement silencieux de trois sph�res orange dans le ciel nocturne de la Saint-Sylvestre : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.10;0.00;;;0.60;;;;0.65;0.35;B;A;2016-01-09394
3998;"BIZANOS (64) 04.07.2015";Pyr�n�es-Atlantiques;64;"(D) D�partement";2015;07;04;"Le 4 juillet 2015 vers 23h un t�moin est intrigu� par les �volutions d'une forme ronde rouge orang� lumineuse dans le ciel nocture. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. L'objet disparait subitement. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation, la nuit, de boule ou lumi�re orange avec mouvement dans le ciel en quelques minutes, puis soudaine disparition, peut s'expliquer par une lanterne tha�landaise. Le changement de trajectoire op�r� sur la dur�e d'observation est coh�rent du vent � la direction fluctuante tel que relev� dans les stations m�t�o proches ce jour l� (voir le doc joint). La probabilit� d'une lanterne tha�landaise se trouve renforc�e par la pr�sence d'une f�te ce soir l� dans le village, tel que mentionn� par le t�moin.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation probable de lanterne tha�landaise.";"Observation des �volutions d'une forme lumineuse rouge orang�e dans le ciel nocturne : observation probable de lanterne tha�landaise.";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.30;0.00;;;0.70;;;;0.65;0.35;B;B;2015-07-09400
3999;"WAVRECHAIN-SOUS-DENAIN (59) 27.12.2015";Nord;59;"(D) D�partement";2015;12;27;"Le 27 d�cembre 2015 � 18h35 un t�moin voir surgir dans le ciel d�gag� 2 formes circulaires volant l�g�rement d�cal�e l'une derri�re l'autre. La trajectoire est Sud-Nord (ou NE). Le t�moin remarque un d�tail sur la deuxi�me forme : un point lumineux rouge s'�teint au bout de deux secondes. L'observation dure moins de 10 secondes au total. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'observation de plusieurs ""formes circulaires blanches volant c�te � c�te"" fait nettement penser � des lanternes tha�landaises. Le d�placement est observ� du Sud vers le Nord, ce qui est compatible avec le sens du vent relev� � Lille comme � Cambrai (10km) (voir le doc m�t�o joint). Le d�placement angulaire parait rapide (50� en 10 sec) mais compatible avec les vitesses de vent relev�es (20 km/h), compte tenu d'une possible erreur ou incertitude d'un facteur 2 sur la vitesse r�elle du vent sur place, sur l'altitude de la lanterne (50 ou 100m) ou encore sur la dur�e d'observation (10 ou 20 secondes)
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation du d�placement silencieux de deux formes circulaires blanches dans le ciel d�gag� : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.20;0.00;;;0.70;;0.40;;0.28;0.00;B;A;2015-12-09398
4000;"SAINT-MAIME (04) 24.12.2015";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";2015;12;24;"Le 24 d�cembre 2015 � 17h50 deux personnes en promenade observent durant 8 minutes le d�placement silencieux d'une lumi�re rouge intense dans le ciel l�g�rement nuageux. Cette lumi�re a une trajectoire montante et prend une couleur plus orang�e avant de disparaitre dans les nuages. Les t�moins intrigu�es se d�placent et voient ensuite une forme noire se d�tacher des nuages et suivre silencieusement d'abord une trajectoire rectiligne puis descendante. Malheureusement elles perdent de vue la forme dont la couleur sombre se confond alors avec celle de la montagne. Un seul t�moignage a �t� recueilli. Le t�moin a fait de nombreuses recherches pour essayer de trouver d'autres t�moignages et une explication � ce qu'elle a vu.
Sur les seuls �l�ments de couleur, de forme et de luminosit�, ce que d�crit le t�moin est d�j� typique d'une observation de lanterne tha�. Les autres �l�ments qui confortent cette hypoth�se sont une date ""festive"" (24 d�cembre) et plus encore la phase finale de la trajectoire et observation. En effet il est d�crit un objet devenu sombre qui se met � descendre comme pour se poser, c'est bien ce qui se produit � la fin de combustion d'une lanterne, cette derni�re restant n�anmoins visible comme une forme grise ou noire (pas toujours ronde, ici le t�moin parle d'alv�ole) lorsque la nuit n'est pas trop sombre (le t�moin indique que la lune �clairait en clair obscur).
Le t�moin indique une absence de vent. Cependant le vent au sol n'est souvent pas ressenti par les t�moins alors qu'il y a souvent du vent � 100 ou 200 m de hauteur. Un vent l�ger de 6km/h peut d�j� occasionner une d�placement de 1km en 10 minutes et ce faisant une grande excursion angulaire dans le ciel pour un vol de lanterne � 100 m de hauteur. Malheureusement il n'est pas possible de corr�ler la trajectoire au vent, car on ne dispose pas d'enregistrement m�t�o localement.
L'absence de bruit d'un objet inconnu rajoute de l'�trange � l'observation mais reste tout a fait explicable pour un objet port� par le vent.
Le t�moin pense � un objet de grande taille (deux fois plus grand qu'un planeur). Cette estimation s'explique par le fait que lorsque que l'on ne reconnait pas un objet et que l'on ne connait pas la distance nous s�parant � celui-ci, il est tr�s difficile pour tout t�moin d'appr�cier sa taille.
Beaucoup d'indications donn�es par le t�moin corrobore l'hypoth�se de l'observation du passage d'une lanterne thailandaise lanc�e � l'occasion d'une f�te priv�e. En cons�quence le GEIPAN classe l'observation en B : observation probable d'une lanterne tha�landaise.";"Observation du d�placement silencieux d'une lumi�re rouge dans le ciel. Passage dans les nuages puis observation de la descente d'un objet noir qui se confond ensuite avec la montagne : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2016-02-22;;;0.20;0.00;;;0.70;;;;0.65;0.35;B;A;2015-12-09399
4008;"SILLY-LE-LONG (60) 31.05.2015";Oise;60;"(D) D�partement";2015;05;31;"Le 31 mai 2015 vers 0h50-0h55 deux t�moins (T1 conducteur, T2 passager � sa droite) en service dans un fourgon se trouvent sur la commune de Silly-Le-Long (60) et s'engagent sur la voie rapide Nationale 2 en direction du NE (direction de Nanteuil-Le-Haudouin (60)). La nuit est claire et la Lune est dans leur dos. Tout en roulant, ils remarquent � basse altitude des lumi�res blanche (fixes) et rouge (clignotantes) qui les intriguent. En effet, habitu�s des lieux et proches de l'a�roport de Roissy, ils ont l'habitude de voir des avions mais ce qu'ils voient leur para�t bien trop bas et semble stationnaire donc anormal. Ralentissant, ils constatent sur leur gauche la pr�sence d'un PAN massif et sombre en forme de V. Juste apr�s le passage du pont dit ""de Silly"", seul le T1 pourra voir le PAN. L'observation en roulant se fera au travers du pare- brise, de la fen�tre ou du r�troviseur ; elle durera entre 1 et moins de 4 minutes avant que le PAN ne soit cach� par le relief de la route (descente). Les t�moins rapportent leur observation dans un PV de gendarmerie, dans un questionnaire GEIPAN. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Ce cas d'observation a �t� tr�s int�ressant et a repr�sent� beaucoup de travail pour le GEIPAN : il constitue au final un cas d'�cole sur plusieurs points de vue d�taill�s ci-apr�s et dans le compte-rendu d'enqu�te joint
. Les t�moins observent au-devant de leur v�hicule, des lumi�res blanches et rouges dispos�es horizontalement. Celles-ci apparaissent stationnaires. Arriv�s � la hauteur du ph�nom�ne, les t�moins observent un objet massif, en forme de V tr�s aplati.
L'�l�ment qui fait l'essentiel de l'�tranget� de l'observation (et motivation du t�moignage) est l'aspect � l�vitation stationnaire� d'un objet de forme triangulaire (pas un avion car stationnaire et pas l'aspect d'un h�licopt�re).
L'enqu�te met en �vidence qu'un avion de tourisme passait � basse altitude (exercice Touch and Go) en sens contraire du mouvement du v�hicule des t�moins. Un travail d'enqu�te consid�rable de reconstitution sur place avec les t�moins et de simulation 3D, � partir des donn�es de navigation GPS de l'avion et de la trajectoire du v�hicule des t�moins, met en �vidence un ph�nom�ne de pivot, c'est-�-dire que l'axe reliant la position des t�moins et celle de l'avion � pivote � essentiellement sur lui-m�me, et peut ainsi donner l'impression pour les t�moins qui auraient vu l'avion que celui-ci est fixe au niveau du pivot. L'effet pivot de cet avion est surtout av�r� et coh�rent avec l'observation visuelle du PAN par les t�moins lorsque les t�moins passent au plus pr�s du PAN. Le pivot se trouve au niveau d'un pont qui enjambe la route, et c'est aussi � ce niveau qu'est vu le PAN stationnaire.
La position reconstitu�e de l'avion et celles t�moign�es du PAN sont proches angulairement sur une grande partie de l'observation. L'�cart angulaire peut atteindre 20 � 30�, surtout juste apr�s le pont, mais cela reste compatible d'une erreur de perception ou m�morisation, et ce d'autant plus qu'un �cart de m�me ordre appara�t entre les deux t�moignages. On a l� un �l�ment clef en faveur d'une m�prise des t�moins avec l'avion.
Par ailleurs, les t�moins ne distinguent pas l'avion du PAN, alors que l'avion (si il n'est pas le PAN ) ne s'en �carterait que de 20� ou 30� et �met ses lumi�res par nuit claire � quelques kilom�tres de distance (voire bien moins au pivot).
De m�me, le pilote de l'avion (interrog�) ne remarque pas d'objet imposant (tel que d�crit par les t�moins) �mettant des lumi�res (suffisamment fortes pour �tre vues � plusieurs kilom�tres par les t�moins) et situ� � proximit� imm�diate de sa trajectoire d'atterrissage.
Ces �l�ments pris seuls permettraient de classer ce cas comme une m�prise avec l'avion identifi�. Pour autant, ce cas a fait l'objet d'analyses plus approfondies en rapport avec des �carts importants entre l'observation t�moign�e et l'aspect de l'avion.
- Parmi les lumi�res t�moign�es, certaines (couleur, clignotement ou non) ne sont pas explicables par celles de l'avion. Mais l'�cart le plus important au niveau des lumi�res vient de l'un des t�moins (T1) et la mauvaise perception peut �tre invoqu�e. En particulier T1 per�oit (apr�s le passage du pont) des rectangles lumineux blancs clignotant lentement qui auraient d� �tre des flashs ponctuels (flash codes de l'avion).
- L'�cart principal � l'hypoth�se avion se situe au niveau des tailles angulaire: celle de l'avion, au point d'observation t�moign�, est de 0,7� alors que la taille t�moign�e est entre 14 et 27�, selon les t�moins et les m�thodes de restitution. Il est usuel d'avoir une surestimation des tailles angulaires d'un PAN, mais l'�cart est ici tr�s fort. On note toutefois que ces restitutions angulaires de la taille du PAN sont obtenues en absolu ou sans rep�rage fiable avec des objets au sol. On note aussi que les �carts angulaires les plus affirm�s (les lumi�res blanches diff�rent de l'avion non seulement par leur aspect rectangulaire, mais aussi par l'�cart angulaire entre elles) proviennent du seul t�moin T1 alors qu'il �tait apr�s le pont et qu'il regardait dans des conditions pour le moins peu confortables et peu favorables � la pr�cision (de nuit, vers l'arri�re tout en conduisant, en regardant en grande partie dans le r�troviseur).
Du fait de ces �carts, ce cas a �t� soumis dans sa globalit� au coll�ge d'experts du GEIPAN. Les �l�ments en faveur de la m�prise avec l'avion l'ont emport� et la majorit� des experts ont valid� l'hypoth�se d'une grosse illusion de perception, illusion consid�r�e comme explicable par la conduite de nuit, l'observation dans le r�troviseur, ainsi que la fatigue ou le stress. Ces �carts sont n�anmoins importants et justifient leur inscription � la base de donn�e GEIPAN pour alimenter les travaux en cours ou � venir sur les probl�matiques de perception ou de m�morisation (qu'elles soient sp�cifiques ou non des PAN).
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en A : m�prise avec un avion.
Une premi�re vid�o de simulation 3D comporte plusieurs fen�tres synchronis�es :
- �cran principal : simulation de la vision depuis le v�hicule du t�moin, du PAN (selon les indications t�moign�es) et de l'avion (selon les positions GPS enregistr�es dans l'avion). L'effet pivot de l'avion est manifeste, en particulier au niveau du passage du pont. Pivot rep�r� par une fl�che verticale violette.
- L'aspect visuel du PAN r�sulte principalement des descriptions du t�moin T1. On remarque l'�cart en position avec celle de l'avion, on note l'�cart de taille angulaire avant et surtout apr�s le pont (les deux mires rouges ne pointent rien de particulier mais repr�sentent entre leurs deux positions une valeur d'�cart angulaire de 20�).
-Fen�tre bas-droite : vid�o prise dans le v�hicule en reconstitution de jour.
-Fen�tre bas-gauche : zoom sur la simulation de l'avion.
L'autre vid�o de simulation 3D repr�sente la sc�ne vue du ciel. Il n'y a bien s�r pas la vision du PAN par le t�moin. Cette vid�o permet d'appr�cier l'effet pivot.";"Observation � basse altitude de lumi�res puis d'un PAN sombre en forme de V qui semble stationnaire : observation d'un avion de tourisme de nuit (effet pivot).";O;;;;;;;;;2017-04-05;0.15;;0.15;0.00;0.65;;0.68;0.90;0.90;0.60;0.61;0.00;A;A;2015-05-09194
4010;"SAINT-PRIX (03) 31.01.2016";Allier;03;"(D) D�partement";2016;01;31;"Le dimanche 31 janvier 2016 vers 18h45 un t�moin observe dans le ciel un ensemble de lumi�res blanches �voquant des lumi�res halog�nes et formant une barre immobile. Aucun bruit n'est entendu. Le ph�nom�ne disparait rapidement derri�re un nuage. Aucun autre t�moignage n'est recueilli pour ce jour l�. Le t�moin faisant des recherches d�couvre qu'un objet similaire a �t� vu � Vichy en 2012.
Certains points donnent de l'�tranget� � ce t�moignage : la forme (barre lumineuse blanche de 5� de large), la forte hauteur d'�l�vation (70�), l'immobilit� angulaire et les nuages pouvant passer au devant. Astres, avions, ballons, et lanternes semblent exclus, resterait �ventuellement un h�licopt�re de chantier porteur d'une poutre ou d'une rampe �clair�e ? La gendarmerie signale des travaux de surveillance de lignes EDF par h�licopt�re lors des jours ou semaines pr�c�dentes mais jamais le dimanche.
Le t�moin n'�tant pas all� t�moigner � la gendarmerie comme demand� par le GEIPAN et n'ayant pas donn� suite aux deux demandes de rencontre avec l'enqu�teur GEIPAN, il n'est pas possible de mieux comprendre ce t�moignage et de le traiter.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C : pas de r�ponse t�moin, manque d'information fiable.";"Observation d'une barre lumineuse blanche stationnaire dans le ciel et disparaissant dans les nuages : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2017-06-08;;;0.60;0.00;;;0.40;;0.60;;0.24;0.00;C;C;2016-01-09408
4012;"LATILLE (86) 15.01.2016";Vienne;86;"(D) D�partement";2016;01;15;"Le vendredi 15 janvier 2016 vers 18h30 un t�moin devant son garage scrute le ciel et constate un objet blanc orang� qui clignote entre les �toiles. Il exclut la possibilit� d'un flash d'iridium � cause du clignotement, ainsi qu'un passage ISS. L'objet est cach� rapidement par la maison. Un seul t�moignage est recueilli.
L'entr�e du garage est situ�e au coin Sud-Est de la maison, avec ouverture sur l'Est. En fin d'observation, le PAN disparait derri�re la maison, masqu� par le b�timent (� l'objet est pass� au dessus de la maison et je ne pouvais plus le voir �), ce qui confirme bien la direction de disparition du PAN, c'est-�-dire vers le Nord-Ouest.
D'�tranget� faible et de consistance moyenne (t�moin unique, absence de photo ou de vid�o), ce cas s'av�re �tre une m�prise probable avec un satellite en rotation rapide, peut �tre en perdition (voir le compte rendu d'enqu�te).
L'observation pr�sente en effet les caract�ristiques d'une telle m�prise (voir le compte rendu d'enqu�te). Ce type d'objet, plut�t m�connu du grand public, peut �tre une source importante de non-identification. Il est � noter que plusieurs satellites en panne ou �tage de fus�e, potentiellement en rotation rapide, sont pass�s dans le ciel, sur la trajectoire d�crite par le t�moin, au moment de l'observation. Cependant, l'absence de pr�cisions dans le t�moignage ainsi qu'un doute sur l'heure de l'observation emp�chent l'identification formelle de ce satellite.
Ce cas est class� B : m�prise probable avec un satellite.";"Observation d'un point lumineux clignotant et passant dans le ciel : probable observation d'un satellite.";O;;;;;;;;;2017-06-07;;;0.30;0.00;;;0.70;;7.00;;0.49;0.00;B;B;2016-01-09411
4015;"BALMA (31) 21.12.2013";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2013;12;21;"T�moignage r�cent (f�vrier 2016) d'une observation ancienne.
Le 21 d�cembre 2013 entre 16h29 et 16h33 un t�moin photographie un ph�nom�ne lumineux dans le ciel d�gag� qu'il ne s'explique pas. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Le ph�nom�ne observ� a toutes les caract�ristiques d'un parh�lie, partie d'un halo solaire :
Parh�lie.
Parh�lie.
M�t�france(Voir photo 6).
Du fait que les photos fournies ne sont pas les fichiers originaux, le GEIPAN n' a pu v�rifier que l'angle entre le soleil et le ph�nom�ne est exactement de 22�, mais l'aspect du ph�nom�ne, � comparer aux images des sites web ci-dessus, ne laisse aucun doute sur son origine. A l'heure de l'observation, le soleil est � une �l�vation de 6�30, ce qui est coh�rent avec cet �loignement de 22� entre le soleil et le ph�nom�ne (voir les photos).
Le relev� m�t�o de Toulouse Blagnac M�t�ociel indique un vent de sud accompagn� d'un forte baisse de pression, annon�ant donc l'arriv�e d'une perturbation, accompagn�e d'une couverture nuageuses de cirrus ou cirro-stratus � tr�s haute altitude, donc tr�s froids, propices au ph�nom�ne de parh�lie qui se produit gr�ce aux cristaux de glace de ce type de nuages.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" comme observation d'un parh�lie caract�ristique.";"Observation d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel d�gag� : observation d'un parh�lie (partie d'un halo solaire).";O;;;;;;;;;2016-05-02;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.90;;0.81;0.00;A;A;2013-12-09412
4017;"CONCHES-EN-OUCHE (27) 23.02.2016";Eure;27;"(D) D�partement";2016;02;23;"Dans la nuit du 23 au 24 f�vrier 2016 vers minuit plusieurs personnes en voiture sont intrigu�es par le passage � tr�s basse altitude d'un objet imposant avec des lumi�res de couleurs diff�rentes fixes ou clignotantes. Les t�moins d�crivent un objet circulaire ou triangulaire qui se d�place lentement dans le ciel � hauteur des cimes des arbres. Quatre t�moins font des d�positions en gendarmerie.
Il apparait que les t�moins T1 T2 et T3 du m�me v�hicule et le t�moin isol� ont observ�, un avion C130, parfaitement identifi� (trafic a�rien) qui a d�coll� de la base 105 d'Evreux en direction du Sud-Ouest puis est pass� au sud de Conches-en-Ouche � basse altitude avec un cap d'environ 210� (voir le compte rendu d'enqu�te joint).
On a ici une parfaite illustration de ce qu'un avion, en association avec d'autres facteurs, peut constituer comme effroi, �motion, et m�prise, en particulier lorsque :
- cet avion est singulier (gros avion militaire), cause d'effroi du t�moin de Conches-en-Ouche. L'avion �tait trop gros et volait trop doucement pour le t�moin. En effet on sait d�j� que des Airbus 380 et 320 passant au d�collage ou � l'atterrissage ne donnent pas du tout la m�me impression de vitesse et d'altitude, alors que tout est identique.
- Il se produit une illusion de vol stationnaire (pour let�moins roulant sur la RD830) issue d'un � effet de pivot � lorsque le t�moin et le ph�nom�ne sont tous deux en d�placement et que l'axe les rejoignant pivote autour d'un point ou d'une zone fixe que l'on prend alors pour le point stationnaire du ph�nom�ne. L'impression de pivot est favoris�e ici par la pr�sence d'un premier plan assez continu d'arbres brouillant le rep�rage.
- L'�clairage est tr�s particulier, ici la pleine Lune qui n'est pas vue directement mais qui par r�flexion sur l'avion ou diffusion dans les cimes des arbres cr�� des effets de disque, c�ne et halo de lumi�res qui peuvent effectivement contribuer � l'�tranget�.
L'analyse plus compl�te fait l'objet du document joint, notamment avec :
- la trajectoire Radar de l'avion C130.
- la reconstitution cartographique des observations avec la trajectoire de l'avion, la position des t�moins, leur direction d'observation.
Le GEIPAN classe le cas en A : m�prise avec un avion.
De mani�re plus g�n�rale, le cas illustre la richesse et la fragilit� du t�moignage humain face � un ph�nom�ne non reconnu, dans des conditions d'observation loin d'�tre id�ales, et qui plus est, en situation d'�motion caus�e par l'�tranget�. Les t�moins d'une m�me voiture estiment des distances tr�s diff�rentes (300 m � 10 km), ils voient l'avion sous une forme principalement circulaire ou ronde mais avec de fortes variantes alors que le t�moin de Conches-en-Ouche voit un triangle. Les lumi�res rouges peuvent �tre fixes ou clignotantes selon les t�moins. Le conducteur de la voiture est s�r d'avoir arr�t� le v�hicule quand les passagers assurent le contraire. On peut aussi s'interroger sur un possible effet d'influence entre t�moins ou � d'amor�age d'�tranget� � quand un t�moin d�tecte le ph�nom�ne et le montre aux autres en le qualifiant d'OVNI.";"Observations par plusieurs t�moins du passage � basse altitude d'un objet imposant : observation du passage d'un avion militaire C130.";O;;4;;;;;;;2017-01-30;;;0.10;0.00;;;0.65;;0.65;;0.50;0.00;A;A;2016-02-09429
4020;"[N118] de BORDEAUX (33) vers NANTES (44) 07.07.2007";Gironde;33;"(D) D�partement";2007;07;07;"T�moignage r�cent (2016) d'une observation ancienne (juillet 2007).
Le 7 juillet 2007 vers 3h du matin un automobiliste et son ami circulant sur la N118 dans le sens Bordeaux-Nantes sont surpris de voir un ph�nom�ne lumineux de forme sph�rique et de couleur vert incandescent avec un halo verd�tre clair se d�placer dans les airs de mani�re al�atoire avec des changements fr�quents de direction. L'observation � une distance proche dure une vingtaine de secondes avant que le PAN ne disparaisse. Le t�moin a pens� � de la foudre en boule mais rejette cette hypoth�se en l'absence de temps orageux. Il souligne la proximit� du CEA de Saclay. Un seul t�moignage est recueilli.
D'apr�s, l'expert consult�, l'observation est compatible, dans le comportement du ph�nom�ne, sa dur�e de vie et sa couleur avec un cas de foudre globulaire.
Mais le t�moignage est tardif (11 ans apr�s l'observation) et ne permet donc pas un acc�s aux donn�es m�t�orologiques (dont situation orageuse ?) susceptibles de conforter cette hypoth�se.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C (� proximit� d'un cas B : foudre globulaire).";"T�moignage r�cent d'une observation ancienne d'un ph�nom�ne lumineux sph�rique vert incandescent avec des d�placements al�atoires dans les airs : hypoth�se forte de foudre globulaire mais manque d'informations.";O;;;;;;;;;2016-12-06;;;0.40;0.00;;;0.60;;0.60;;0.36;0.00;C;B-;2007-07-09417
4021;"COGOLIN (83) --.09.2015";Var;83;"(D) D�partement";2015;09;--;"T�moignage fait en f�vrier 2016 concernant une observation faite dans la seconde quinzaine du mois de septembre 2015 (la date du jour est arbitraire).
Le t�moin se trouve � quai, dans un bateau, lorsqu'elle observe le d�placement d'un point lumineux � travers sa lucarne ouverte. Ce dernier s'arr�te soudain puis repart tr�s vite, et effectue ainsi une ascension en palier. Un seul t�moignage sera recueilli.
Ce qui est d�crit peut para�tre �trange mais se trouve d�j� rapport� au GEIPAN, et peut trouver une explication � un plusieurs ph�nom�nes en conjonction (satellites rentrant et sortant de visibilit�s, effet d'autocin�tique visuelle, ..).
En absence de date pr�cise (le t�moin ne sait pas le jour du mois) il est impossible d'approfondir.
En cons�quences le GEIPAN classe ce cas en C : manque d'information.";"Observation du d�placement en escalier d'un point lumineux � tr�s haute altitude dans le ciel : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.30;0.00;;;;;;;0.20;0.00;C;C;2015-09-09421
4042;"SALLES-LA-SOURCE (12) 17.02.2016";Aveyron;12;"(D) D�partement";2016;02;17;"Le mercredi 17 f�vrier 2016 aux alentours de 18h20 un t�moin � son domicile voit par la fen�tre le d�placement N-S d'un point lumineux sur une trajectoire descendante. L'observation dure 3 � 5 secondes. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Il s'agit d'un bolide vu par de nombreux t�moins � la m�me heure et dans le sud de la France et r�pertori� par l'IMO (International Meteor Organization). Voir le site IMOqui r�pertorie plus de 120 t�moignages sur diff�rentes r�gions fran�aises.
Le GEIPAN classe ce cas A : observation de bolide.";"Observation du passage rapide d'un point lumineux dans le ciel ; trajectoire descendante : observation d'un bolide.";O;;;;;;;;;2016-09-12;;;0.30;0.00;;;0.70;;;;0.53;0.48;A;B;2016-02-09443
4043;"SAINTES (17) 21.03.2016";Charente-Maritime;17;"(D) D�partement";2016;03;21;"Le 21 mars 2016 � 23h un t�moin observe dans le ciel en direction du Sud un objet rond blanc tr�s lumineux fixe, � gauche de la Lune. Aucun bruit particulier n'est entendu. L'observation � l'oeil nu puis aux jumelles durera pendant une heure. L'objet aura totalement disparu � 4h du matin. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
Le t�moin a �t� surpris par Jupiter. Ceci est fr�quent, l'aspect de la plan�te est bien plus lumineux qu'une �toile et n'offre pas de scintillation.
Bien que le t�moin lui pr�te une luminosit� comparable � la Lune et une taille �norme (mais toute de m�me bien inf�rieure � la Lune sur son dessin), il ne fait aucun doute qu'il s'agit de Jupiter. En effet la description, faite sur une dur�e de 5 heures, de la trajectoire du PAN dans le ciel en relatif par rapport � celle de la Lune, ainsi que le dessin du t�moin, correspondent parfaitement � la configuration c�leste cette nuit-l�.
Dans la reconstitution (voir document PPT) on retrouve la description du t�moin : le PAN est Jupiter � � gauche de la Lune � et � l'�toile � droite de la Lune � effectivement visible, est soit Alphard (magnitude 1,95 � droite au-dessous, cas du dessin), soit Regulus (magnitude 1,35 � droite en-dessus).
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en A : m�prise avec Jupiter.";"Longue observation d'un objet fixe tr�s lumineux � gauche de la Lune : m�prise astronomique avec Jupiter.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;A;A;2016-03-09442
4044;"GRAND-COURONNE (76) 17.04.2016";Seine-Maritime;76;"(D) D�partement";2016;04;17;"Le dimanche 17 avril 2016 vers 21h12 un couple est intrigu� par la pr�sence dans le ciel d�gag� d'une forme ronde et brillante avec un scintillement particulier de plusieurs couleurs. La Lune est visible � gauche du point, ainsi qu'une autre �toile tr�s brillante. Un t�moin prend une vid�o (cette vid�o est momentan�ment enlev�e de la publication pour un probl�me technique). Les t�moins regarderont de nouveau le ciel vers 22h25 mais l'objet aura disparu. Un coll�gue de travail aurait vu la m�me chose. Un seul t�moignage est recueilli.
Le cas est bien document� (photo, vid�o) et d'une �tranget� faible. La description du ph�nom�ne ""une t�te d'�pingle"" ainsi que le scintillement correspondent � celle d'une �toile.
Le t�moin a �t� surpris par Sirius, ce qui arrive souvent. Sirius (El 17�, Az 214�) se trouve dans une direction conforme � la description du t�moin avec son rep�rage par rapport au toit d'en face (photo et croquis).
Les changements de couleurs peuvent �tre expliqu�s par la turbulence atmosph�rique. Les t�moins ont remarqu� que contrairement au ph�nom�ne qui les intriguait, l'�toile � pr�s de la lune ne scintillait pas� ce qui est exact puisque c'�tait Jupiter et que l'effet de la turbulence n'est pas perceptible sur les plan�tes (voir l'article suivant : scintillation).
Les mouvements � en ligne droite de gauche � droite, d'avant en arri�re � sont assez classiques quand on observe une �toile. Il s'agit de l'effet autocin�tique. Le t�moin confirme que ces mouvements restaient de faible ampleur. La non- d�connexion � une r�f�rence visuelle (toit d'en face) r�duit les possibilit�s d'autocin�tique sans pour autant l'exclure.
Une m�prise avec l'ISS est tr�s peu probable. En effet, l'avion que le t�moin a vu au-dessus du PAN a �t� identifi� et le moment de passage dans la direction du PAN est post�rieur � celui de la disparition de la station.
L'hypoth�se d'une observation de Procyon est � �liminer. L'�cart par rapport au rep�rage du PAN au-dessus du toit est trop important et surtout l'avion est vu au-dessus du PAN alors que son �l�vation (qui peut �tre restitu�e pr�cis�ment � 20�) est inf�rieure � celle de Procyon. Sirius est effectivement visible plus bas que l'avion et attire plus le regard et les m�prises que Procyon (car bien plus lumineux, plus sujet aux effets de changements de couleur et scintillement car plus bas en �l�vation).
A 22h25, lorsqu'ils sont ressortis, les t�moins ont constat� que le ph�nom�ne n'�tait plus l�, ce qui peut s'expliquer par la pr�sence d'un nuage (pr�sents ce jour-l�) devant l'�toile, et de mani�re plus certaine encore, s'agissant de l'hypoth�se Sirius, par sa disparition derri�re le toit (�l�vation alors de 9�).
Dans cet ensemble � plusieurs hypoth�ses, Sirius se d�gage comme une hypoth�se tr�s forte. Le GEIPAN classe le cas en A : m�prise avec Sirius.";"Observation d'un objet lumineux dans le ciel nocturne d�gag� avec une scintillation particuli�re et disparition : m�prise astronomique (Sirius).";O;;;;;;;;;2017-02-16;;;0.10;0.00;;;0.60;;0.70;;0.42;0.00;A;A;2016-04-09445
4047;"CENON (33) 19.04.2016";Gironde;33;"(D) D�partement";2016;04;19;"Le 19 avril 2016 � 3h56 un t�moin observe par une fen�tre le passage SE-NO dans le ciel d�gag� d'une lueur. Passant � sa verticale, le t�moin d�crit une boule de couleur blanc orang� avec un halo orang� sur ses contours. Peu lumineuse, elle se d�place sans bruit et sans laisser de train�e derri�re elle. L'observation dure 5 secondes avant que le t�moin ne la perde de vue. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
La description du t�moin est tr�s pr�cise, surtout avec le dessin (non fourni au GEIPAN mais post� sur un site web) dans lequel le t�moin reconstitue la trajectoire sur la fen�tre de l'observation.
La description est en tous points conforme � celle d'un vol de lanterne thailandaise (couleur, forme, trajectoire selon le vent local d'Est (voir le compte rendu d'enqu�te).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de lanterne thailandaise.";"Observation du d�placement silencieux d'une faible lueur blanc orang� dans le ciel nocturne : observation probable d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2017-10-24;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.90;;0.70;0.00;B;B;2016-04-09448
4049;"ROISSY-EN-FRANCE (95) 18.04.2016";Val-d'Oise;95;"(D) D�partement";2016;04;18;"Le 18 avril 2016 vers 17h40 deux t�moins (T1 et T2) � un arr�t de bus observent le passage dans le ciel d'un objet tournant sur lui-m�me et scintillant. Les deux t�moins indiquent que le PAN �tait de forme carr�e. La trajectoire du PAN est estim�e comme �tant en ligne droite par T1 et descendante pour T2. le T1 filme son observation. L'observation a dur� environ deux minutes pour T1 et 13 minutes pour T2. Les deux t�moins pensent � un d�bris tomb� d'un avion. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
L'�tranget� de ce cas est faible et est surtout caus�e par la rotation r�guli�re du PAN sur son axe transversal (voir le compte rendu d'enqu�te).
Les t�moins ont observ� deux objets.
Les donn�es fournies par les t�moins sont nombreuses et d�taill�es mais de fiabilit� limit�e. Les t�moins expriment en effet eux-m�mes des conditions d'observation difficile (� nous �tions mal plac�s pour pouvoir en juger �, � le soleil emp�chant de distinguer clairement le PAN, qui n'�tait d�s lors visible que par le flash de lumi�re blanche qu'il renvoyait de temps en temps dans la direction �), � l'origine peut �tre aussi des �carts ou contradictions dans les descriptions de trajectoires. Heureusement, nous disposons d'une vid�o de l'objet N� 2, vid�o sur laquelle nous faisons porter l'essentiel de l'analyse, en consid�rant que rien ne s'oppose dans les d�clarations � ce que l'objet 1 soit de m�me explication.
Les caract�ristiques physiques et dynamiques du PAN observ� et film� (pour l'objet 2) par les t�moins s'apparentent � celles de d�bris l�ger, soumis aux effets combin�s de la pesanteur et d'une rotation de cause initiale non connue et/ou cr��e par le vent g�n�ral ou ses turbulences locales (on est en milieu urbain) en combinaison avec un effet de forme propice de l'objet (dissym�trie, effet h�lice, ..). La descente de l'objet cr�e par elle-m�me un vent relatif pouvant cr�er ou contribuer � cette rotation, car le dessin du t�moin indique un axe de rotation horizontal. Cette m�me rotation et les effets induits de portance et train�e au vent peuvent �tre cause de la d�viation de 20 � 40� par rapport � la trajectoire du vent.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en � B� comme observation probable d'un d�bris l�ger (origine inconnue).";"Observations du passage d'un objet polygonal et scintillant dans le ciel ; rotation sur son axe transversal : probables observations d'un d�bris l�ger (origine inconnue).";O;;;;1;;;;;2017-12-04;0.30;;0.30;0.00;0.90;;0.75;0.90;0.85;0.80;0.65;0.00;B;B;2016-04-09449
4324;"SAINT-BRIEUC (22) 12.04.2017";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2017;04;12;"Le 12 avril 2017 � 14h un t�moin est intrigu� par le lent d�placement d'une forme ronde tr�s lumineuse dans le ciel d�gag�. Il filme et fait une photo du ph�nom�ne. Un seul t�moignage sera recueilli.
Comme le t�moin l'�voque, son observation pourrait bien correspondre au passage d'un ballon radiosonde. En effet, apr�s v�rification aupr�s du centre M�t�o de Brest-Guipavas contact� le 27 juin 2017, des l�chers de ballons ont lieu 2 fois par jour � 11h00 TU et 23h15 TU. Il est tout � fait probable qu'un ballon radiosonde l�ch� � Brest-Guipavas � 11h 00 TU se retrouve � Saint- Brieuc � 13h50 heure locale. Les ballons peuvent voler � une altitude de 20km et ne sont pas assujettis par le vent au sol.
Le GEIPAN classe ce cas B comme probablement l'observation d'un ballon radiosonde de M�t�o-France l�ch� de Brest-Guipavas.";"Observation du d�placement d'une forme ronde brillante dans le ciel d�gag� : probable observation d'un ballon radiosonde de M�t�o-France l�ch� de Brest-Guipavas.";O;;;;;;;;;2017-08-31;;;0.30;0.00;;;0.75;;0.75;;0.60;0.00;B;B;2017-04-09670
4056;"LAGNIEU (01) 14.04.2016";Ain;01;"(D) D�partement";2016;04;14;"Le 14 avril 2016 un t�moin, agriculteur de profession, quitte son domicile accompagn� de son p�re afin d'entreprendre des travaux agricoles sur ses terres � proximit� du hameau de Proulieu (01). L'observation d�bute � 09h50 alors que les t�moins se d�placent dans leur v�hicule, � environ 30 km/h, sur un chemin de terre longeant l'ancienne route de Blyes (01). Le temps est au beau fixe avec un peu de vent et une temp�rature de 16�. Le p�re du t�moin est le premier � apercevoir le PAN, qu'il montre � son fils. Le PAN se pr�sente sous la forme d'un anneau statique de couleur noire, situ� selon les t�moins au-dessus d'un bois � une distance estim�e � environ 500m. Le t�moin estime qu'il se trouve vers le Sud-Ouest, en direction de la commune de Saint-Vulbas (01). Il saisi rapidement son t�l�phone portable pour filmer et photographier le PAN, depuis la fen�tre baiss�e c�t� passager, pendant environ 2 � 2 minutes 30, tout en continuant � rouler sur le chemin de terre. Le PAN fini par disparaitre, en se disloquant � comme un petit nuage �.
De l'enqu�te de la Gendarmerie il ressort que � cet �v�nement a fait l'objet d'un article dans l'�dition du journal le Progr�s �dition la C�ti�re du dimanche 18 avril 2016. Il ressort [de cette parution] que d'autres t�moins auraient vu l'�v�nement �. De plus ils notent �galement que le jour de l'observation � une soci�t� civile aurait fait des tests aux explosifs dans la journ�e sur le camp militaire de la Valbonne �. Un seul t�moignage est recueilli.
Il ne fait gu�re de doute que les t�moins ont observ� un cercle de fum�e produit par l'utilisation d'engins pyrotechniques lors d'essais d'explosif sur le camp militaire de la Valbonne (voir le compte rendu d'enqu�te). Le lieu de ces tests �tant assez �loign� de la position des t�moins, ils n'ont sans doute pas per�u le bruit des d�tonations � l'origine de la cr�ation de cet anneau noir, ou alors l'ont entendu plus tard, sans faire le rapprochement.
A noter enfin que la m�t�orologie �tait propice au maintien pendant plusieurs minutes de la structure de l'anneau, le vent �tant tr�s faible au moment de sa formation.
L'�tranget� de ce cas est faible et est surtout caus�e par l'aspect inhabituel du PAN, que les t�moins n'ont pas su rapprocher � un ph�nom�ne connu d'eux, ne l'ayant probablement jamais observ� auparavant.
Le t�moignage est consistant, avec suffisamment de donn�es fournies par le t�moin et exploitables, le proc�s-verbal de Gendarmerie est complet et bien renseign�. Il existe par ailleurs une vid�o et six photographies, qui ont pu �tre exploit�es pour l'analyse du cas.
Ce cas est � classer en �A�, comme observation certaine d'un ph�nom�ne de cercle de fum�e cr�� par des tests pyrotechniques effectu�s le jour de l'observation sur le camp militaire de la Valbonne.";"Observation d'un anneau statique de couleur noire dans le ciel : observation certaine d'un ph�nom�ne de cercle de fum�e cr�� par des tests pyrotechniques effectu�s le jour de l'observation sur le camp militaire de la Valbonne.";O;;;;;;;;;2017-10-24;;;0.10;0.00;;;0.80;;0.95;;0.80;0.00;A;A;2016-04-09455
4057;"PEYRUIS (04) 20.03.2016";Alpes-de-Haute-Provence;04;"(D) D�partement";2016;03;20;"Le t�moin est dans son lit lorsqu'une grande lueur illumine sa chambre, suivie d'un grand bruit. Il constate par la suite des traces d'herbes brul�es dans le champ d'un voisin. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
L'observation est extr�mement courte (1s) et surtout c'est uniquement celle d'une lueur et d'un bruit per�u depuis le lit de la chambre. Le t�moin n'est pas sorti de la maison, et ne peut donc faire une description d'un PAN (Ph�nom�ne a�rospatial non identifi�) avec une �ventuelle forme, position etc. La lueur peut ainsi �tre d'origine vari�e (orage, projecteur, rentr�e de m�t�orite...). Par ailleurs, le t�moin a trouv� le lendemain une trace ronde dans le sol. En l'absence d'observation d'un PAN, il n'y a pas de raison particuli�re d'investiguer de telles traces en relation avec un PAN, d'autant que des traces rondes peuvent avoir des origines �galement vari�es (exemples: champignons en rond de sorci�res, traces d'une ancienne piscine gonflable, ripage de motocycle...), traces plus ou moins anciennes qui peuvent avoir �chapp� au t�moin (elles ne sont d'ailleurs pas � proximit� imm�diate de la maison) tant qu'il n'a pas �t� en qu�te de traces.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C: donn�es d'observation insuffisantes.";"Observation courte d'une lueur suivie d'un grand bruit et d�couverte ult�rieure de traces d'herbes brul�es dans un champ : donn�es d'observation insuffisantes.";O;;;;;;;;;2018-06-14;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2016-03-09454
4061;"ORLEANS (45) 15.05.2016";Loiret;45;"(D) D�partement";2016;05;15;"Le 15 mai 2016 vers 0h30 un t�moin en promenade avec son chien aper�oit � basse altitude dans le ciel trois lumi�res oranges dispos�es en triangle, immobiles, �mettant une surbrillance une seconde sur deux. La premi�re lumi�re dispara�t, la seconde et la troisi�me montent tr�s vite et disparaissent �galement. Un seul t�moignage est recueilli.
Le passage de trois boules orange-rouge un soir de week-end �voque un l�cher de lanternes c�lestes (dites chinoises ou tha�landaises) � la suite d'un mariage ou d'une f�te priv�e (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le t�moin regarde sensiblement vers le Sud et les objets se d�placent de sa gauche vers sa droite soit du NE vers le SO ; le vent va vers le 233� (SO) donc compatible avec la direction prise par ces lumi�res (voir le relev� m�t�orologique), lumi�res dont une monte avant de dispara�tre.
La forme d�crite est coh�rente avec une lanterne chinoise, la couleur (orange puis rouge) �galement. La pr�cision donn�e par le t�moin ""surbrillance une seconde sur deux"" traduit assez bien une vacillation de flammes.
Le fait qu'une des ""boules"" monte vers les nuages est �galement compatible puisqu'� la faveur d'un courant montant, d'une absence de vent (entre les maisons), les lanternes peuvent donner l'illusion d'un d�placement incoh�rent par rapport au vent dominant comme l'attestent de tr�s nombreuses vid�os sur le net. Le fait qu'une autre boule prenne ensuite le m�me chemin atteste bien du ph�nom�ne de filet de vent.
Le Geipan conclut: observation de lanternes tha�landaises.";"Observation des �volutions dans le ciel nocturne de trois lumi�res orang�es formant un triangle : observation de lanternes tha�landaises.";O;;1;;;;;;;2018-04-26;;;0.24;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;A;A;2016-05-09460
4062;"TALLARD (05) 06.11.2013";Hautes-Alpes;05;"(D) D�partement";2013;11;06;"Dans la nuit du 6 au 7 novembr2013, un habitant (T1) de TALLARD (05) observe et filme plusieurs lumi�res dans le ciel � partir de 23h55. Il contacte par t�l�phone les services de gendarmerie et de l'aviation civile pour signaler les faits. Une patrouille est envoy�e aupr�s du t�moin et tous font de nouvelles observations entre 0h30 et 0h54 depuis Tallard. A 1h du matin un gendarme � Gap (T2) aper�oit une boule lumineuse scintillante en direction du SUD-EST. A 1h40, T1 et la patrouille de gendarmes cessent leur observation. Vers 2h00, T2 cesse � son tour d'observer. L'enregistrement vid�o r�alis� par T1 est de tr�s mauvaise qualit� : les images sont floues et zoom�es.
L'observation a eu lieu depuis deux lieux d'observation diff�rents (voir compte rendu enqu�te) dans un ciel relativement d�gag�. Les observations des diff�rents PAN pr�sentent toutes les caract�ristiques d'observations astronomiques, au vu de la description des PAN (lumi�res scintillantes) et de la longueur des temps d'observation (plus de deux heures depuis Tallard (05), environ une heure depuis Gap (05)). Les scintillements des PAN sont parfaitement coh�rents avec le scintillement des �toiles, ph�nom�ne naturel provoqu� par le vent en altitude. Le scintillement des �toiles est d'autant plus fort que les astres sont bas sur l'horizon, ce qui est effectivement le cas avec les diff�rents PAN observ�s cette nuit-l�. De plus, la pr�sence d'un relief tr�s important (Alpes) � proximit� imm�diate des lieux d'observations ne fait que renforcer les vents d'altitude responsables de ce scintillement.
La tr�s grande coh�rence entre les positions vraies des astres les plus brillants alors pr�sents dans le ciel et celles des PAN observ�s ne laisse pas de doute sur la m�prise.
D'�tranget� faible et de consistance forte (plusieurs t�moins, enregistrement vid�o), ce cas s'av�re �tre une m�prise tr�s probable avec des astres : Rigel, Jupiter, Vega, Sirius. De plus, ces diff�rents astres sont visibles directement dans les directions indiqu�es par les t�moins, et le ciel �tait d�gag�. Les scintillements des PAN et le d�placement du PAN 4 sont d'ailleurs parfaitement coh�rents avec des astres.
Ce cas est class� A, m�prise avec des astres tr�s brillants (Jupiter, Sirius, Vega, Rigel).";"Longues observation par plusieurs t�moins dans des leiux diff�rents de lumi�res avec scintillements et lent d�placement dans le ciel : m�prise avec des astres tr�s brillants (Jupiter, Sirius, Vega, Rigel).";O;;;;;;;;;2016-06-21;;;0.20;0.00;;;0.90;;0.85;;0.77;0.00;A;A;2013-11-50070
4069;"PINTERVILLE (27) 21.05.2016";Eure;27;"(D) D�partement";2016;05;21;"Le 21 mai 2016 � 23h45 un couple en voiture observe,d'abord en roulant puis stationn�, six boules lumineuses de couleur orang� �voluant lentement au-dessus d'un chateau proche. Deux boules se d�placent seules l'une � l'avant et l'autre � l'arri�re du groupe des 4 autres boules restantes formant un parall�logramme. Toutes les boules se d�placent selon une trajectoire Sud-Nord. La premi�re boule disparait progressivement derri�re un nuage et les cinq autres boules disparaissent tout � coup. Aucun bruit n'est entendu. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'observation du t�moin est caract�ristique d'un l�cher de lanternes thailandaises, tant par les couleurs, les formes, le type de trajectoire, y compris par l'extinction en fin de vie du br�leur. La survenue une nuit de WE, favorable � des �v�nements festifs, renforce cette hypoth�se. Le t�moin d�crit un mouvement de Sud vers Nord, ce qui est conforme au sens du vent mesur� sur plusieurs stations � 20 km (voir le relev� Infoclimat.
). En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en B : lanternes thailandaises.";"Observation du lent d�placement S-N de six boules lumineuses orang�es dans le ciel nocturne ; extinction brusque de 5 boules : observation du passage de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.28;0.00;;;0.70;;0.60;;0.40;0.00;B;B;2016-05-09467
4072;"COURMES (06) 28.04.2016";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2016;04;28;"Le 28 avril 2016 entre 21h06 et 21h30 puis vers minuit deux personnes bivouaquent au sommet du Puy-de-Tourettes. Install�s dans leur sac de couchage au creux d'une doline, les t�moins constatent la pr�sence d'un point lumineux clair de la taille d'une grosse �toile. Ils sont intrigu�s par les �volutions de ce point. Le t�moin fourni deux photographies malheureusement tr�s peu exploitables car avec un fort boug� (photos prises main lev�es).
D'�tranget� forte et de bonne consistance (deux t�moins, photos, mais manque de pr�cisions dans le t�moignage), ce cas s'av�re �tre une m�prise tr�s probable avec la plan�te Jupiter, associ�e � une observation pr�alable d'un satellite dans un ciel cr�pusculaire, la confusion des t�moins ayant amalgam� les deux observations en celle d'un unique objet. (voir le compte rendu d'enqu�te).
De nombreux d�tails permettent d'�tablir une m�prise avec la plan�te Jupiter : description similaire, d�calage dans le ciel au cours de la nuit, immobilit� apparente lors de l'observation pendant pr�s de 30 minutes, et surtout positionnement du PAN similaire � celui de la plan�te Jupiter. Le t�moin a d'ailleurs indiqu� que la disparition du PAN avait pu r�v�ler la position de la plan�te Jupiter, auparavant masqu�e par le PAN.
Or, il est � noter que le t�moin fait une erreur d'interpr�tation de son observation, puisqu'il indique que Jupiter n'�tait pas visible � l'il nu avant 21h30, alors que les conditions de visibilit� �taient parfaites : ciel enti�rement d�gag�, et atmosph�re plus transparente puisque le lieu d'observation est situ� en montagne. En tout �tat de cause, Jupiter �tait donc parfaitement visible en d�but de phase d'observation. Cette erreur d'interpr�tation est principalement due au fait que le t�moin a pris comme rep�re l'apparition de Jupiter dans le ciel le lendemain, dans un ciel de plaine et avec des conditions m�t�orologiques d�grad�es par rapport � la veille.
La premi�re phase de l'observation fait quant � elle fortement penser au passage d'un satellite brillant, qu'il est tr�s difficile d'identifier par manque de pr�cision du t�moignage, mais il y eu plusieurs passages de satellites � cette heure et dans cette r�gion du ciel proche de Jupiter ayant pu causer une telle m�prise.
Les diff�rents mouvements saccad�s constat�s du PAN sont tout � fait typiques d'une illusion optique provoqu�e par des mouvements incontr�l�s des yeux (nystagmus).
Le cas est class� B, m�prise tr�s probable avec un satellite et la plan�te Jupiter.";"Observations � diff�rentes reprises lors d'une m�me nuit des �volutions d'un ph�nom�ne lumineux : m�prise tr�s probable avec un satellite et la plan�te Jupiter.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.25;0.00;;;0.65;;0.80;;0.60;0.00;B;B;2016-04-09470
4075;"VIEUSSAN (34) 05.10.2014";H�rault;34;"(D) D�partement";2014;10;05;"Le 5 octobre 2014 vers 22h30 trois personnes observent la pr�sence d'un objet lumineux rouge feu dans le ciel au-dessus du hameau de Boissezon. L'objet reste stationnaire dans un premier temps puis se d�place en s'�levant et part en direction de Roquebrun. Il est ensuite perdu de vue vers le SE. Deux t�moins rapportent leur observation sur dans un proc�s verbal de gendarmerie. Aucun autre t�moignage ne sera rapport� � la gendarmerie ou � la mairie.
Compte tenu des �l�ments objectifs recueillis dans le compte rendu d'enqu�te (voir document joint), � savoir :
- le d�placement selon le vent.
- la couleur.
- la luminosit�.
- la forme.
- la dur�e d'observation.
Nous pouvons conclure que le PAN observ� par les t�moins n'est probablement qu'une lanterne c�leste, aussi appel�e �lanterne tha�landaise �.
Ce cas est � classer en � B � comme observation probable de lanterne tha�landaise.";"Observations des �volutions d'un objet lumineux rouge-feu dans le ciel nocturne : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2016-08-01;;;0.34;0.06;;;0.90;;0.90;;0.73;0.18;B;B;2014-10-09050
4078;"TOULOUSE (31) 22.06.2016";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2016;06;22;"Le mercredi 22 juin � 23h15 un t�moin est intrigu� par un bruit persistant venant du jardin. Il regarde vers le ciel et voit le passage dans le ciel d'un point de couleur rouge. Le point ne clignote pas et d�file rapidement. Le t�moin filme l'objet.
Ce t�moignage fait l'objet de peu d'information, le questionnaire n'est que tr�s partiellement rempli et la vid�o mentionn�e n'est pas communiqu�e, le tout malgr� des relances du GEIPAN.
Au vu du peu d'�l�ment, l'observation ne parait pas �trange car peut correspondre � plusieurs explications dont un l�cher de lanterne thailandaise. Mais dans l'�tat il n'est pas permis de conclure.
En cons�quence le GEIPAN classe en C: manque d'information.";"Observation du passage d'un point lumineux rouge dans le ciel nocturne : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.30;0.00;;;;;;;0.10;0.00;C;C;2016-06-09477
4081;"BLAGNAC (31) 14.06.2016";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2016;06;14;"Le 14 juin 2016 � 22h35 un t�moin dans son jardin observe le passage successif de plusieurs boules lumineuses de couleur orang�, �voluant sans bruit, avant de disparaitre vers le Sud-Est. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a probablement vu des lanternes thailandaises. La forme, la couleur, la configuration et trajectoire dans le ciel indiquent un lacher de lanternes, et ce d'autant que la direction de d�placement des boules enregistr�e ce soir l� sur les lieux est exactement celle du vent de Cap 130�-140� (voir Infoclimat.
En cons�quence GEIPAN classe en B: probable lanternes thailandaises.";"Observations successives du d�placement silencieux de boules lumineuses orang�es dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-09-09;;;1.00;0.00;;;0.60;;;;0.65;0.35;B;C;2016-06-09474
4083;"SAINT-CORNEILLE (72) 06.06.2016";Sarthe;72;"(D) D�partement";2016;06;06;"Le Lundi 6 juin 2016 vers 21h30 un t�moin observe pendant plus de 10 minutes un gros point blanc nuageux avec une train�e blanche. Observ� aux jumelles cet objet semble compos� de plusieurs dizaines d'objets. Ce point blanc finit par s'estomper pour disparaitre totalement.
La description du t�moin ne repr�sente pas a priori une grande �tranget�, elle peut correspondre � un ou plusieurs avions. C'est d'ailleurs sa premi�re interpr�tation du ph�nom�ne et il y a une conjonction rapproch�e d'avion en SSE. N�anmoins il n'est pas possible au GEIPAN d'aller plus loin sur cette hypoth�se ou sur une autre car le t�moin n'a pas r�pondu aux demandes du GEIPAN de compl�ment d'information (hauteur dans le ciel du PAN) ou de passage en gendarmerie pour remplir une d�claration dans le cadre du protocole liant la gendarmerie au GEIPAN.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C : manque d'information.";"Observation d'un gros point blanc nuageux avec une train�e blanche : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.30;0.00;;;;;;;0.25;0.00;C;B-;2016-06-09481
4086;"HYERES (83) 27.05.2016";Var;83;"(D) D�partement";2016;05;27;"Le 27 mai 2016 � 16h26 un t�moin allong� sur la plage des Salins est intrigu� par un ph�nom�ne particulier dans le ciel travers� par une train�e de condensation d'avion. Le t�moin d�crit une forme rectiligne de couleur noir ou gris tr�s fonc� ressemblant � un ""genre de rideau de fum�e"" visible du sol au ciel. Le ph�nom�ne est immobile. Le t�moin n'entend aucun bruit particulier. Il filme le ph�nom�ne. Un seul t�moignage sera recueilli.
L'analyse des �l�ments testimoniaux, des photographies et de la vid�o fournies par le t�moin indique que le caract�re �trange de l'observation r�sulte d'un ph�nom�ne naturel connu sous le nom d'� ombre volum�trique vue par la tranche� (� edge shadow � en anglais).
Ce ph�nom�ne se produit et devient visible lorsque qu'une train�e de condensation d'avion rectiligne passe devant le soleil et qu'il y a un alignement soleil/train�e/observateur. D�s lors, une ombre port�e apparait sur l'ensemble du volume d'atmosph�re contenu dans la tranche planaire d�limit�e par la train�e, l'observateur et le soleil (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Cette tranche d'atmosph�re se comporte comme une vitre l�g�rement teint�e, que l'on ne remarque pas si on l'observe de face mais qui fait une raie sombre pour celui qui l'observe de profil (ou par la tranche). Cette raie est d'autant plus sombre que la longueur de la vitre est importante, c'est-�-dire ici que la part rectiligne de la train�e est longue.
D�s que l'observateur n'est pas situ� dans cette tranche, le caract�re sombre disparait et le ph�nom�ne avec. Ce dernier n�cessite donc des conditions particuli�res qui �taient toutes r�unies ici pour le t�moin.
La raie sombre cr��e est pr�sente sur toute la hauteur de vis�e du t�moin y compris donc sur le ciel. Le t�moin qui remarque la train�e de l'avion dans le ciel peut imaginer l'ombre directe (ou classique) port�e au sol par cette train�e mais beaucoup moins une ombre sur le ciel.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : train�e d'avion, ombre volum�trique vue par la tranche.";"Observation dans le ciel d'un trait sombre partant du sol jusqu'au ciel : observation de l'ombre volum�trique vue par la tranche produite par une train�e de condensation d'avion devant le soleil.";O;;;;;;;;;2017-06-06;;;0.05;0.00;;;0.95;;0.80;;0.80;0.00;A;A;2016-05-09480
4089;"LIEVIN (62) 15.05.2016";Pas-de-Calais;62;"(D) D�partement";2016;05;15;"Le 15 mai 2016 entre 22h30 et 23h plusieurs personnes dans un jardin observent le lent passage de plusieurs boules ou sph�res lumineuses jaune orang�. Toutes les boules avancent dans le m�me sens (Est-Ouest) avec un �cart r�gulier. Aucun bruit n'est entendu tout au long de l'observation. Une vid�o et des photos sont faites. Les t�moins rapportent leurs observations en gendarmerie. Le GEIPAN ne dispose pas des photos et vid�o.
Les d�clarations des 4 t�moins sont coh�rentes et sont tr�s caract�ristiques d'une observation d'un l�cher de lanternes thailandaises, tant par les couleurs, les formes, le type de trajectoire, y compris par le mode de disparition avec l'extinction de lanternes qui peut provoquer une impression de disparition par �loignement ""flash"" ou fulgurant. La survenue une nuit de WE, favorable � des �v�nements festifs, renforce cette hypoth�se.
Nous ne disposons pas de la mesure du vent local, celui mesur� � 20 Km est faible (5Km/h) et d'orientation fluctuante. Le d�placement des lanternes peu ainsi �tre de l'ordre de 100m/minutes, elles volent en fait bien plus bas (� 100 ou 200 m) que peuvent l'imaginer les t�moins qui ne peuvent appr�cier correctement la distance � un ph�nom�ne non reconnu. Ainsi en 5 ou 10 minutes, le d�placement dans le ciel peut �tre tr�s important, comme cela a �t� rapport�, m�me avec un vent faible.
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en B : lanternes thailandaises.";"Multiples observations du passage silencieux de boules lumineuses jaune-orang� dans le ciel nocturne : probable lanternes thailandaises.";O;;4;;;;;;;2017-01-25;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;B;A;2016-05-09486
4211;"VILLERS-LE-TILLEUL (08) 04.10.1954";Ardennes;08;"(D) D�partement";1954;10;04;"Le 4 octobre 1954 entre 18h40 et 19h, une fillette de 10 ans (T1) circulant � bicyclette voit � 20 m d'elle un � engin � qu'elle prend d'abord pour une tente de camping. Aux dires de l'enfant, l'engin de forme ovale pouvait mesurer 2 m de large et 2,5-3 m de haut, avec une forme conique au-dessus, et repose au sol sur un socle rectangulaire. Quand elle s'approche de l'engin, une trappe (1 x 0,6 m) se l�ve. Un homme saute � terre et referme la trappe derri�re lui puis reste immobile. De taille normale il a une � forme carr�e � sur la t�te, des yeux per�ants, un long v�tement � poils longs brun-roux. Quand l'homme s'avance, l'enfant prise de peur s'enfuit sans se retourner.
Deux autres personnes signalent � la m�me heure et dans la direction o� se trouvait la fillette, l'un � un engin lumineux d'un rouge tr�s vif � dont il ne se pr�occupe pas, l'autre un bruit d'�cr�meuse qui la fait sortir de chez elle. Le p�re de l'enfant et un voisin se rendent sur les lieux de l'observation le m�me jour � 21h et notent que l'herbe est � quelque peu froiss�e dans un sens giratoire �.
La gendarmerie se rendra sur les lieux le 6 octobre mais ne pourra faire aucune constatation. Aucune autre pr�cision ne sera recueillie lors de l'enqu�te.
En r�sum� pour ce cas il existe quatre faits distincts :
- un t�moin unique qui voit un engin et ""un �tre humain"" pr�s de son chemin. Elle ne voit pas l'engin d�coller.
- simultan�ment un agriculteur voit dans le ciel un engin lumineux d'un rouge tr�s vif.
- une troisi�me personne entend longuement un bruit ressemblant � celui que fait une �cr�meuse.
-le p�re de l'enfant et un agriculteur trouveront � 21 h le m�me soir sur le lieu d'observation du T1,de l'herbe froiss�e dans un sens giratoire.
Aucun �l�ment probant ne garantit que ces quatre faits soient li�s. Si on consid�re qu'ils sont li�s on peut trouver une hypoth�se � consid�rer :
-plusieurs �l�ments semblent compatibles avec un h�licopt�re, peut-�tre un Bell 47, vu par l'avant (forme ovale) : le support du rotor, la trappe, le bruit, le froissement de l'herbe, le pilote. Le lieu (� sur un chemin herbeux d�bouchant dans une petite clairi�re �) pourrait se pr�ter � un atterrissage. Par contre le socle rectangulaire, la position de la trappe (si elle avait �t� sur le c�t�, le t�moin aurait-il pu noter sa largeur ?) et la lumi�re rouge-vif de l'objet sont moins ais�s � interpr�ter.
Ce cas s'av�re d'une �tranget� moyenne puisqu'une hypoth�se simple peut convenir � peu pr�s. Sa consistance est faible cas s'appuyant essentiellement sur un t�moin unique (enfant) et avec une observation courte.
Le GEIPAN classe ce cas en C par manque d'information et de recoupement.";"Observation par une enfant d'un engin au sol et d'un �tre : manque d'information.";O;;;;;;;;;2015-11-23;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1954-10-00013
4093;"LUTTENBACH-PRES-MUNSTER (68) 26.06.2016";Haut-Rhin;68;"(D) D�partement";2016;06;26;"Le 26 juin 2016 vers minuit - minuit quinze un t�moin observe depuis sa fen�tre dirig�e vers l'Ouest le passage dans le ciel d'un point lumineux de couleur rouge/orang�. Ce point avance silencieusement � faible vitesse en direction du NO puis est cach� par des arbres. L'observation a dur� entre 1 � 2 minutes. Un seul t�moignage est recueilli dans cette commune. L'enqu�te de gendarmerie indique une autre observation du passage d'une trentaine de points le m�me soir dans le m�me cr�neau horaire � Nanteuil-la-For�t (51) tr�s loin du lieu d'observation : cela confirme l'activit� de l�cher de lanternes � cette p�riode estivale dans diff�rents endroits de France.
L'observation du t�moin est caract�ristique d'une observation d'un passage de lanterne thailandaise, tant par la couleur, la forme, le type de trajectoire.
Le t�moin, qui regarde vers l'Ouest, d�crit un mouvement vers le nord, plut�t lent ""Il avan�ait � faible vitesse"", ""environ 1 � 2 minutes avant que cette lumi�re se d�place vers la droite""). Ceci est compatible avec le vent mesur� � 3 km � Hohrod (68) (voir le relev� Infoclimat), d'origine Nord et de 3 km/h.
La survenue une nuit de WE, favorable � des �v�nements festifs, renforce cette hypoth�se. Un l�cher de nombreuses lanternes de nuit est spectaculaire mais tr�s co�teux : l'utilisation d'une seule lanterne reste �galement tr�s fr�quent notamment par des particuliers. Les f�tes priv�es sont difficilement rep�rables car les auteurs de l�chers ne se d�clarent pas toujours aupr�s des autorit�s (mairie, pr�fecture).
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en B : observation du passage d'une lanterne thailandaise.";"Observation du lent et silencieux passage d'un point lumineux de couleur rouge/orang� et disparition derri�re les arbres d'une for�t : observation du passage d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.28;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;B;B;2016-06-09487
4094;"GAGNY (93) 27.06.2016";Seine-Saint-Denis;93;"(D) D�partement";2016;06;27;"Le lundi 27 juin 2016 aux environs de 21h un t�moin est intrigu� par une lueur provenant d'un objet en d�placement ascendant dans le ciel. L'objet tourne sur lui-m�me sans trajectoire r�guli�re. Le t�moin prend des photographies. L'objet finit par disparaitre dans les nuages. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moignage est consistant, avec suffisamment de donn�es fournies et exploitables. Il existe par ailleurs sept photographies, qui ont pu �tre partiellement exploit�es pour l'analyse du cas (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Une analyse approfondie couplant des donn�es m�t�orologiques (vent, nuages) et des traitements sur les photos du t�moin (analyse photo avec logiciel IPACO) a permis d'�tablir que l'observation a tr�s probablement port� sur un ballon Mylar fantaisie se d�pla�ant dans le sens du vent. Le t�moin n'a pas pu le reconnaitre, n'ayant probablement observ� rien de tel auparavant ou pas dans des conditions similaires.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en �A�, comme observation tr�s probable d'un ballon Mylar fantaisie d'une longueur de 1m � 2 m emport� par le vent.";"Observation d'une lueur provenant d'un objet tournant sur lui-m�me dans une trajectoire ascendante non r�guli�re : observation tr�s probable d'un ballon Mylar fantaisie emport� par le vent.";O;;;;;;;;;2017-10-23;;;0.20;0.00;;;0.80;;0.80;;0.65;0.00;A;A;2016-06-09488
4098;"TREIZE-SEPTIERS (85) 03.07.2016";Vend�e;85;"(D) D�partement";2016;07;03;"Le 3 juillet 2016 vers 1h du matin, un t�moin sur un parking observe l'apparition successive puis le d�placement silencieux de plusieurs points de forme ovale irr�guli�re et de couleur rouge jaune-orange particuli�rement brillants dans un ciel d�gag� et �toil�. Le t�moin est effray� par ces points qui semblent se rapprocher. Ces points disparaissent cach�s par le paysage. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a probablement observ� des lanternes tha�landaises, qu'il n'a pas su reconnaitre par manque d'exp�rience de ce type d'observation.
Le t�moignage est faiblement consistant, peu de donn�es �tant relev�es et exploitables. Il manque en particulier des pr�cisions sur le d�placement des PANs, trajectoire et orientation finale. N�anmoins l'analyse vid�o et photo permet de consolider cette hypoth�se (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Ce cas est class� � B� comme observation probable d'un groupe de trois lanternes tha�landaises se d�pla�ant au gr� du vent et lanc�es � l'occasion d'une festivit� locale.";"Observation de l'apparition successive de points lumineux rouge-orang� et jaune et de leur d�placement dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-10-23;;;0.30;0.00;;;;;;;0.40;0.00;B;B;2016-07-09490
4100;"[A.BOLIDE] (NAT) FRANCE 31.03.2014";"Grand Est";GES;"(R) R�gion";2014;03;31;"Le 31 mars 2014 vers 22h33 plusieurs personnes dans diff�rentes r�gions de France observent le passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Trois t�moignages sont recueillis relatant des observations � Strasbourg (Bas-Rhin), � Peigney (Haute-Marne) et � Rombas (Moselle).
Ce jour l� on r�pertorie sur des sites sp�cialis�s de nombreuses observations en France mais aussi en Allemagne. Les indications de direction des t�moins correspondent � la trajectoire reconstitu�e d'une rentr�e atmosph�rique. Voir le site amsmeteors.
En cons�quence le GEIPAN classe en A : rentr�e de m�t�orides.";"Multiples observations en France du passage d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel nocturne : observations d'une rentr�e atmosph�rique.";O;;;;;;;;;2017-07-27;;;0.10;0.00;;;0.63;;0.60;;0.49;0.32;A;A;2014-03-08680
4101;"BOURG-LES-VALENCE (26) 28.04.2014";Dr�me;26;"(D) D�partement";2014;04;28;"Le 28 avril 2014 � 22h un couple en voiture est intrigu� par une dizaine de points lumineux dans le ciel. Des boules jaune-orang�e se d�placent silencieusement vers le sud. L'observation dure 3 minutes avant que les boules ne disparaissent au loin. Quelques photographies sont prises avec un t�l�phone portable. Deux t�moignages sont recueillis sur ce ph�nom�ne. L'enqu�te de gendarmerie ne permettra pas de trouver des �v�nements particuliers ou d'autres t�moins dans le secteur ce soir l�.
L'observation de boules orange traversant le ciel en quelques minutes, fait nettement penser � des lanternes tha�landaises, probablement l�ch�es � proximit� � l'issue d'une f�te priv�e.
Le d�placement est observ� du Nord vers le Sud, puis Sud-Ouest, ce qui est compatible avec le vent de Nord � Nord-Est relev� � Bourg les Valence. Le relev� Infoclimat � Bourg-les-Valence indique un l�ger vent de N NE (3 � 5 km/h). Le fort relief du chateau de Crussol occasionne des perturbations dans le vent � basse altitude, pouvant expliquer le changement de direction.
Le t�moin prend quelques photos : elles s'av�rent d�focalis�es (flou de mise au point, tr�s fr�quent sur les photos de nuit dans ces conditions) ou boug�es. Elles prouvent toutefois la r�alit� du ph�nom�ne, et la couleur du ph�nom�ne est tout � fait coh�rente avec celle des lanternes tha�landaises.
L'estimation de distance faite par le t�moin ne peut pas �tre exacte puisqu'il n'a jamais vu ce type d'objet. Du fait que les lanternes tha�landaises sont intrins�quement peu lumineuses (grosse flamme de bougie), elles sont toujours per�ues plus lointaines et donc plus grosses et plus rapides qu'elles ne sont vraiment. Voir l'explication de l'estimation de taille et de distance d'un ph�nom�ne inconnu .
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" observation tr�s probable de lanternes tha�landaises.";"Observations du d�placement silencieux d'une dizaine de points lumineux jaune-orang� dans le ciel nocturne : probable observation du passage de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-12-08;;;0.33;0.06;;;0.70;;0.70;;0.58;0.18;B;B;2014-04-09039
4102;"MOUGINS (06) 25.06.2016";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2016;06;25;"Le 25 juin � 0h13 puis � 0h14 deux t�moins sur leur terrasse observent les d�placements de ph�nom�nes ronds lumineux de couleur jaune-rouge qui apparaissent successivement. Aucun bruit n'est remarqu�. Ils disparaissent rapidement dans le ciel. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moignage est fait � la gendarmerie par un seul des t�moins, lequel rapporte, en partie, des observations faites uniquement par son �pouse. Ce t�moin n'a jamais r�pondu � la demande GEIPAN de remplissage de questionnaire en particulier par son �pouse.
Relevons les �l�ments du t�moignage extraits du proc�s-verbal de Gendarmerie :
- Apparence ponctuelle des PANs.
- Couleur � dominante jaune et rouge.
- Trajectoire lin�aire.
- Immobilisation pour chacune des deux s�quences d'environ 5 secondes.
- Dur�e d'observation de 4 secondes (Note : non compatible avec la dur�e d'immobilisation not�e ci-dessus, laquelle est sup�rieure) pour la premi�re s�quence puis entre 15 et 20 secondes pour la deuxi�me.
- PAN tr�s lumineux.
-Observation vers le Sud-Est (Note : pour quelle s�quence ?).
A noter aussi la pr�sence int�gr�e dans le proc�s-verbal d'une photographie montrant un ph�nom�ne lumineux circulaire de couleur blanche, sans que ne soit mentionn� si cette image a un rapport avec l'observation.
En l'�tat, certaines de ces donn�es pourraient correspondre � plusieurs ph�nom�nes connus distincts (satellite, m�t�ore, avion ou h�licopt�re). Cependant il manque des informations pour pouvoir confirmer ou infirmer l'une ou l'autre de ces hypoth�ses, et en particulier :
- La trajectoire a-t-elle �t� en permanence lin�aire ?
- Bien que l'azimut d'observation soit connu gr�ce aux recoupements effectu�s par les Gendarmes, nous ne savons pas si cet azimut concerne l'une ou l'autre des s�quences, ou les deux.
- Les donn�es de hauteur sur l'horizon sont �galement absentes.
- Il existe enfin un doute relatif � la dur�e d'observation et d'immobilisation du PAN mentionn�e par le t�moin � deux reprises dans le proc�s-verbal se contredisant.
Le t�moignage de l'�pouse du t�moin principal aurait �t� �galement utile � verser au dossier, mais n'a jamais �t� fournis malgr� les relances du GEIPAN.
Le manque d'information et l'inconsistance (notamment en raison de beaucoup d'�l�ments de t�moignage indirect et la non r�ponse � la demande de compl�ment GEIPAN) du t�moignage ne permettent pas de l'exploiter. Le cas est class� C : manque d'information fiables.
";"Observation du d�placement silencieux de ph�nom�nes lumineux jaune-rouge dans le ciel nocturne : manque d'informations fiables.";O;;;;;;;;;2017-10-23;;;0.30;0.00;;;0.20;;0.30;;0.05;0.00;C;C;2016-06-09491
4103;"RAMBERVILLERS (88) 25.07.2016";Vosges;88;"(D) D�partement";2016;07;25;"Le 26 juillet 2016 vers 19h14 un t�moin qui se trouve sur sa terrasse ext�rieure observe le d�placement rapide et silencieux d'un objet de forme sph�rique entour� d'un anneau venant Nord-Nord-Est. L'objet refl�te le soleil. Aucune train�e n'est remarqu�e. Le t�moin est surpris car il ne reconnait pas un type d'a�ronef connu (avion, ballon sonde).
Suite aux mesures prises in situ, � l'entretien avec le t�moin, aux recherches effectu�es notamment avec le replay de Flightradar et les archives m�t�orologiques, on peut conclure qu'il s'agit d'une confusion avec un avion (voir le compte-rendu d'enqu�te).
En effet, il y a concomitance (de l'ordre de la minute) d'un avion non remarqu� par le t�moin au moment de l'observation, suivant une trajectoire entrant en coh�rence avec celle donn�e par le t�moin pour le PAN, mis � part un �cart significatif de hauteur angulaire (avion 56�, PAN estim� � 32�) mais non r�dhibitoire eu �gard au fait que l'observation a eu lieu en plein ciel et sans rep�re.
Un avion n'est pas obligatoirement accompagn� d'une train�e. L'autre �l�ment d'�tranget� portant sur l'aspect sph�rique et � l'anneau � est compatible d'un effet d'�clairage miroir du soleil non homog�ne sur toute la longueur de la carlingue, et de la vision partielle des ailes du fait de la configuration g�om�trique (et d'un effet miroir moins favorable sur les ailes). Cette �tranget� a pu conduire aussi � une perception de grosseur accrue par rapport � ce qui est per�u usuellement par le t�moin des avions de passage.
En cons�quence le GEIPAN classe en A : m�prise avec un avion de ligne.";"Observation du d�placement rapide d'un objet sph�rique entour� par un anneau et refl�tant le soleil : m�prise avec un avion de ligne.";O;;;;;;;;;2017-06-07;;;0.20;0.00;;;;;;;0.65;0.00;A;A;2016-07-09492
4107;"SENTENAC-D'OUST (09) 30.07.2016";Ari�ge;09;"(D) D�partement";2016;07;30;"Le 30 juillet 2016 � 4h15 du matin un t�moin fermant ses volets observe un gros point orange tr�s lumineux � environ 20 � 25� au-dessus de l'horizon dans le ciel nuageux. Il pense d'abord � un feu dans la for�t puis � une rentr�e atmosph�rique. Son observation dure 2 � 3 minutes avant que le ph�nom�ne disparaisse progressivement en s'�talant en longueur sous forme de ""L"" invers�. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a �t� surpris par la Lune, ce qui arrive lorsque la Lune est basse et visible partiellement entre les nuages, la forme lumineuse observ�e �tant alors celle de l'interstice entre les nuages, ici un L invers�.
La reconstitution � partir du dessin sur photo du t�moin et la carte du ciel ne laissent aucun doute.
GEIPAN classe le cas A : m�prise avec la Lune.";"Observation d'un point tr�s lumineux orang� � basse altitude dans un ciel nuageux ; �talement en longueur et sous forme de ""L"" invers� : m�prise avec la Lune.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2016-07-09501
4112;"LYON (69) 28.07.2016";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2016;07;28;"Le 28 juillet 2016 entre 1h10 et 1h14 un t�moin ouvre sa fen�tre et aper�oit quelques secondes plusieurs points lumineux d�limitant une sorte de ""V"" qui se d�placent rapidement. Il pense � des oiseaux �clair�s par le dessous, puis � des avions de chasse mais ne remarque aucun bruit. Les points de couleur blanc-jaune s'�vanouissent dans la nuit. Un seul t�moignage sera recueilli.
L'observation correspond probablement � un vol de lanternes thailandaises :
- des lueurs ""comme des �toiles"" � la diff�rence que l'on peut percevoir une grosseur qui �volue ( diminue ici, probablement parce que les lanternes s'�loignent).
- un vol en formation (les lanternes �voluent dans un m�me filet de vent).
- un cabrage et �vanouissement final : l'extinction des lanternes est souvent simultan� et peut occasionner une �volution de trajectoire.
- le vent mesur� � Lyon cette nuit l� sur Infoclimat) est d'origine Ouest. L'�volution du PAN dans le ciel traduit un d�placement vers EST (donc conforme au vent mesur�) et aussi vers le Nord car les PAN s'�loignent du t�moin regardant vers le Nord (diminution de taille angulaire et baisse d'�l�vation ou hauteur dans le ciel). On note que l'observation se tient en ville et tr�s pr�s d'un grand fleuve, �l�ments propices � des variabilit�s locales du vent par rapport � celui mesur� en station m�t�o m�me �loign�e que de quelques kilom�tres.
- l'observation se tient une nuit de d'�t�, propice � des �v�nements festifs de l�cher de lanternes.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de lanternes thailandaises.";"Observation du d�placement de nombreux points lumineux en formation en ""V"" dans le ciel nocturne : observation probable de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.30;0.00;;;;;;;0.50;0.00;B;B;2016-07-09503
4117;"AMIENS (80) 06.08.2016";Somme;80;"(D) D�partement";2016;08;06;"Le samedi 6 ao�t 2016 � 23h05 un couple dans un jardin observe le ciel et voit appara�tre, au S-S-O au-dessus d'un b�timent proche, 4 points lumineux volant sans bruit en escadron. Les PAN convergent vers un m�me point, ont un mouvement vertical ascendant puis disparaissent. L'observation est tr�s courte et seul un t�moignage est recueilli.
La description du PAN ne permet pas de retenir une des explications envisag�es avec une probabilit� suffisante (Voir le compte-rendu d'enqu�te). Elle peut ainsi faire penser � une animation lumineuse de type laser ou bien � un vol d'insectes �clair�s naturellement (lucioles) ou artificiellement (lumi�res de ville). Toutefois, le ciel �tait parfaitement d�gag�, ce qui ne s'accorde pas avec l'hypoth�se d'une animation lumineuse de type laser. L'hypoth�se d'un vol d'insectes s'accorde mal avec la disparition du PAN.
La courte dur�e de l'observation (2 ou 3 secondes) peut �galement faire penser � un m�t�ore, mais le regroupement des points lumineux entre eux et l'absence de train�e lumineuse s'accorde mal avec cette hypoth�se. Un m�t�ore a plut�t tendance � se fragmenter, et pas � s'assembler.
Le cas rev�t une certaine �tranget� mais toutefois mod�r�e car les explications envisag�es ne peuvent ni �tre retenues avec une probabilit� sup�rieure � 50%, ni �tre totalement rejet�es. On note
que la dur�e d'observation est tr�s courte (2 ou 3 secondes) et que le t�moignage manque de pr�cisions (peut-�tre du fait de la faible dur�e associ�e au fort �loignement probables des PAN) notamment au sujet de la taille angulaire du PAN.
Enfin le t�moignage est unique, alors qu'il y avait un autre t�moin (petite amie du t�moin) qui n'a fait que � confirmer � l'observation (sans t�moignage) et qui est qualifi�e par le t�moin principal � de moins intrigu�e que lui � ; et que d'autres t�moins amis �taient l� aussi pour regarder le ciel mais ne regardaient pas dans cette direction.
Le manque d'information et de recoupement ne permettent pas de valider le niveau d'�tranget� de l'observation.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C : manque d'informations fiables.
";"Observation du d�placement silencieux de 4 points lumineux dans le ciel nocturne : manque d'information.";O;;;;;;;;;2016-08-08;;;0.60;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;C;C;2016-08-09507
4121;"WISSEMBOURG (67) 09.08.2016";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2016;08;09;"Le 09 ao�t 2016 vers 0h30 (et non le 8 indiqu� sur le questionnaire) un t�moin sur la commune de Wissembourg (et non Riedseltz) observe dans le ciel deux lumi�res blanches qui semblent se suivre au-dessus des nuages dans des trajectoires circulaires et lin�aires. Les lumi�res semblent venir du dessus du nuage. Elles disparaissent instantan�ment. Un seul t�moignage est recueilli.
Une hypoth�se est privil�gi�e : l'observation d'un skytracer (Spot lumineux venant du sol et r�fl�chi par l'atmosph�re. Voir le compte rendu d'enqu�te).
De nombreux d�tails de l'observation font fortement penser � ce type de m�prise : lumi�res en poursuite, d�placements rapides, poursuite circulaire, mouvements r�p�titifs etc...(le t�moin dit � chasse circulaire et suivi lin�aire , se r�p�tant comme un � jeu � sans �tre r�ellement au m�me endroit il y avait � chaque passage un l�ger d�calage �). On peut d'ailleurs noter que le temps �tait couvert, ce qui est favorable � ce type de m�prise.
On peut rencontrer diverses configurations : visibilit� des impacts seuls, des faisceaux seuls, des deux � la fois. Ce sont les conditions m�t�orologiques qui d�terminent la visibilit� et la distance de visibilit� et cela explique le caract�re al�atoire voire fugitif des ph�nom�nes.
L'objection du t�moin � cette hypoth�se est de deux ordres :
- Le type d�placement. Ces derniers peuvent varier selon les mat�riels et th�mes. Un t�moin ne peut pas conna�tre toutes les possibilit�s.
- La lumi�re semble venir du dessus du nuage et non du sol. Il est probable que le t�moin n'a que l'exp�rience d'impacts avec des traces de faisceaux montant donnant ainsi la certitude que l'�clairage vient du sol. Lorsque les faisceaux montant ne sont pas visibles, on peut effectivement penser que la lumi�re vient de dessus des nuages. L'expression du t�moin (� ceux ci �tant illumin�s par le dessus, je veux dire qu'on voyait une partie des nuages en dessous � la diff�rence des fameux projecteurs des discoth�ques ou l'on voit bien que les nuages sont illumines par-dessous �) traduit indirectement le caract�re un peu diffus de la tache (� une partie des nuages est dessous � ) typique de ces impacts sans nettet� de faisceaux sur des nuages.
Une recherche des festivit�s ayant eu lieu dans le secteur du lieu d'observation durant la nuit du 08 au 09 ao�t 2016 montre la pr�sence de l'Acropole Open Air � Surbourg (67), fiesta ayant eu lieu sur le parking de la salle Acropole les soirs des 06, 07 et 08 ao�t 2016, qui se situe � 14 km au Sud-Ouest du lieu d'observation, c'est-�-dire dans la direction d'observation des PAN. Cette derni�re soir�e festive �tait accompagn�e d'un orchestre. Il n'a pas �t� possible de savoir si un skytracer a �t� utilis� � cette occasion.
Par cons�quent, l'hypoth�se de l'observation d'un skytracer reste seulement probable, du fait de la description caract�ristique, mais pas certaine.
Le cas est class� B, m�prise probable avec un skytracer. ";"Observation des �volutions dans le ciel nocturne couvert de deux lumi�res blanches : m�prise probable avec un skytracer.";O;;1;;;;;;;2018-04-25;;;0.40;0.00;;;0.70;;0.80;;0.55;0.00;B;B;2016-08-09511
4123;"VILLE-ES-NONAIS (LA) (35) 25.09.2008";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2008;09;25;"Cette observation, le 25 septembre 2008 � 21h, d'un gros point lumineux traversant le ciel en quelques minutes d'Ouest en Est, en d�but de nuit fait penser � l'observation du passage d'un gros satellite.
Une v�rification sur le site Calsky indique le passage de la station spatiale internationale (ISS) � quelques minutes de l'heure indiqu�e par le t�moin (voir relev�).
Le t�moin pr�cise qu'il a d�j� vu plusieurs fois le m�me ph�nom�ne les ann�es et mois pr�c�dents ; cette affirmation est coh�rente avec cette hypoth�se.
Le GEIPAN classe ce cas ""A"" : observation de la station spatiale internationale (ISS). Remarque : le m�me soir � 23h, un ph�nom�ne bien plus spectaculaire �tait visible dans la m�me r�gion : la rentr�e dans l'atmosph�re d'un 3�me �tage de lanceur russe PROTON.";"Observation du passage silencieux O-E d'un point lumineux � vitesse constante dans le ciel : observation de la station spatiale internationale (ISS).";O;;;;;;;;;2016-08-23;;;0.10;0.00;;;0.80;;0.80;;0.64;0.00;A;A;2008-09-09397
4127;"BALMA (31) 03.08.2016";Haute-Garonne;31;"(D) D�partement";2016;08;03;"Le 03 ao�t 2016 � 23h06 un t�moin et sa compagne observent le lent et silencieux d�placement de deux objets luminescents (jaunes tournesol) qui se suivent. Un des t�moins prend une photographie avec son appareil photo. Les objets s'�loignent en direction du Sud. Ils s'�teignent ne laissant voir qu'un point rouge auparavant. La photographie transf�r�e sur l'ordinateur les intrigue. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a v�cu deux �tranget�s : une premi�re avec un PAN vu de ses yeux dans le ciel, et une deuxi�me plus forte encore avec la photo.
L'observation visuelle indique parfaitement un vol de lanternes tha�landaises : il en va des caract�ristiques comme la couleur, la trajectoire (correspond � celle du vent relev� ce soir l� : de 300� alors que le t�moin situe l'arriv�e du PAN � 330�), le mode d'extinction finale, l'aspect pouvant �tre cylindrique (comme un ""tibia""), ainsi que la date un soir d'�t�.
La surprise engendr�e par la photo (repr�sentant des flagelles lumineux autour du PAN) r�sulte d'un artefact photo. L'op�rateur a tout laiss� en automatique (flash ""on"" et dur�e d'exposition de 1s), a d�clench� son appareil qui a imm�diatement flash�. Le flash s'est arr�t� tr�s vite d�s que le seuil de lumi�re n�cessaire � la capture des parties sombres du champ (les branches d'arbres) a �t� atteint, mais la prise de vue a continu� sur la seconde enti�re pour les �l�ments plus lumineux du champ (ici la lanterne) qui n'avaient pas besoin de flash pour �tre captur�s. Pensant que l'exposition �tait termin�e (la confusion est facile entre la dur�e du flash quasi-instantan�e et la dur�e d'exposition qui est plus longue), l'op�rateur a cess� de bien cadrer pour bouger, l'obturateur encore ouvert, ce qui donne ces zigzags ou flagelles de lumi�re. Dans ce long compl�ment d'exposition apr�s l'arr�t du flash, les parties sombres n'impressionnent plus le capteur et restent fig�es � l'�tat � la fin du flash, c'est pourquoi le t�moin peut penser que son appareil n'a pas boug� car les branches d'arbres sont nettes, alors qu'il a bien boug� pour ce qui concerne la capture de la lanterne.
Ce t�moignage est illustratif du caract�re potentiellement trompeur des lanternes tha�landaises et plus encore des photos. Il est �galement illustratif de l'encha�nement d'interpr�tations erron�es que peuvent d�clencher la surprise ou l'�motion. Ici le blocage de l'appareil photo et son erreur de datation sont v�cus et d�crits comme li�s au ph�nom�ne �trange dans le ciel.
L'origine du PAN est une lanterne tha�landaise, mais l'�l�ment clef de l'�tranget� v�cue par le t�moin �tant plut�t la photographie, le GEIPAN classe le cas en A : artefact photographique.";"Observation et photographie du d�placement silencieux de deux objets lumineux de couleur jaune : observation de lanternes thailandaises et d'un artefact photographique sur photographie.";O;;;;;;;;;2016-12-06;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;A;A;2016-08-09518
4128;"MONTPEZAT (30) 12.08.2016";Gard;30;"(D) D�partement";2016;08;12;"Le 12 ao�t 2016 vers 22h30 un t�moin regarde les �toiles et reste intrigu� par le passage d'une lumi�re blanche de forte intensit� qui semble zigzaguer l�g�rement. Le t�moin appelle son conjoint qui fait la m�me observation. Le ph�nom�ne traverse le ciel d'Ouest en Est puis disparait.
Le t�moin a vu la Station Spatiale Internationale (ISS). Ses indications dans le ciel correspondent bien � la trajectoire de l'ISS, sauf pour la disparition qui a �t� plus basse en �l�vation qu'indiqu�e, � moins que ce soit un nuage qui ait mis fin � cette observation. La fin de la visibilit� de l'ISS (fin de son �clairement par le soleil) peut paraitre �trange, par sa rapidit�, ou au contraire ici par sa lenteur (""m�che de bougie s'�teignant en 2 ou 3 secondes""). Les impressions d'oscillations autour de la trajectoire, conf�rant aussi de l'�tranget� car la trajectoire d'un satellite est r�guli�re, sont des ph�nom�nes bien connus de perception autocin�tique.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation du passage de l'ISS.";"Observation dans le ciel d'un ph�nom�ne tr�s lumineux qui zigzague l�g�rement ; trajectoire Ouest-Est : observation du passage de la Station Spatiale Internationale (ISS).";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.83;;0.58;0.00;A;A;2016-08-09521
4130;"SAINT-CAPRAIS-DE-BORDEAUX (33) 15.08.2016";Gironde;33;"(D) D�partement";2016;08;15;"Le 15 aout 2016 vers minuit trente environ un t�moin est �tonn�e de voir un ph�nom�ne lumineux dans le ciel d�gag� : trois lumi�res blanches en triangle et une lumi�re rouge au centre se d�placent de fa�on continue � tr�s basse altitude. Le t�moin entend un gros bourdonnement. L'observation dure 10 secondes. Le t�moin prend une photographie avec son t�l�phone portable mais qui ne restitue pas son observation. Un seul t�moignage sera recueilli.
Le t�moin est surpris, tr�s probablement par un avion passant exceptionnellement bas, peut-�tre un a�ronef militaire (avion ou h�licopt�re). Il n'est pas r�pertori� sur les sites de suivi des avions civils, et la demande aupr�s des autorit�s de d�fense a �t� faite trop tard (archives accessibles durant un mois). N�anmoins la description de 3 lumi�res blanches avec une lumi�re rouge au centre est assez typique de t�moignages portant sur des avions (car ce sont des lumi�res qui peuvent �tre pr�sentes en plus des lumi�res r�glementaires de navigation), et c'est fr�quent que les t�moins ne reconnaissent pas les lumi�res r�glementaires (vert et rouge fixe plus clignotement blanc).
Voir les cas sur site www.geipan.fr comme par exemple CONCHES-EN-OUCHE (27) 23.02.2016 ou le cas [D417] de MUNSTER (68) vers COLMAR (68) 13.11.2015.
Notons ici que le t�moin entend un bourdonnement comme de moteur d'avion.
En cons�quence le Geipan classe ce cas en A : observation d'un a�ronef.";"Observation du passage de plusieurs lumi�res blanche et rouge formant un triangle ; fort bruit de bourdonnement entendu : observation d'un a�ronef.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.25;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;A;B;2016-08-09520
4132;"PEIGNEY (52) 04.06.2012";Haute-Marne;52;"(D) D�partement";2012;06;04;"Le 17 ao�t 2016 le GEIPAN re�oit un questionnaire d'une observation faite en 2012.
Le 4 juin 2012 vers 3h du matin, un t�moin observe par la baie vitr�e de son salon, un ph�nom�ne lumineux orang� en forme de colonne qu'il situe en direction de la colline de Fourches sur la commune de Langres. Au bout de quinze secondes le ph�nom�ne s'�teint brusquement mais le t�moin voit alors deux boules lumineuses jaunes en mouvement autour du lieu de la premi�re observation. Ces deux boules lumineuses s'�teignent �galement brusquement. Le lendemain, le t�moin se rend sur les lieux pr�sum�s de l'observation mais ne constate pas d'herbe br�l�e ni de pi�tinements. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Cette observation d'un ph�nom�ne au sol � 3H du matin, sur une colline situ�e � 2 km n'est pas �trange dans la mesure o� le t�moin m�me d�crit cela comme un possible feu de camp ou flamme et mentionne le fait que la chapelle voisine peut accueillir des scouts. Il peut aussi s'agir d'un engin agricole entour� de personnes munies de lampes. Le fait que, le lendemain, le t�moin n'ait remarqu�, sur le lieu pr�sum� par le t�moin, aucune trace d'herbe brul�e ou pi�tinement ne peut exclure l'ensemble des hypoth�ses pr�c�dentes.
Le m�me t�moin a fait le m�me genre d'observation en 2016 (lueurs au sol en mouvement autour d'une lueur centrale), sur la m�me colline (quelques dizaines de m�tres d'�cart), observation �galement de faible �tranget� et probablement de m�me origine.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : lumi�res au sol de type v�hicule ou feu de camp et personnes avec des lampes torches.";"Observation de ph�nom�nes lumineux orang�s au ras du sol ; extinction brusque : probable lumi�res au sol d�es � des activit�s humaines.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;B;B;2012-06-09517
4133;"PEIGNEY (52) 17.08.2016";Haute-Marne;52;"(D) D�partement";2016;08;17;"Le 17 ao�t 2016 � 5h45, un t�moin sur sa terrasse est intrigu� par un ph�nom�ne lumineux orang� plein Ouest dans un champ au niveau du sol. Il observe, � l'il nu puis aux jumelles, une grosse forme lumineuse orang�e immobile accompagn�e de trois petites boules lumineuses align�es qui semblent effectuer une rotation autour de la grosse lueur. Le t�moin estime le ph�nom�ne � une distance de 2km. L'observation dure 2 � 3 minutes : le t�moin part chercher son appareil photo et constate � son retour la disparition du ph�nom�ne. Un seul t�moignage est recueilli.
Cette observation depuis Peigney (52) d'un ph�nom�ne au sol � 5H45, sur une colline situ�e � 2 km (commune de Langres (52)) n'est pas tr�s �trange dans la mesure o� cela peut �tre un engin agricole, ou m�me un simple v�hicule (puisqu'on est sur ou au voisinage d'un chemin) avec des personnes se d�pla�ant autour du v�hicule avec des torches (effet de rotation de lumi�res per�u par le t�moin).
Sur le proc�s verbal le t�moin rapporte le m�me genre d'observation faite le 4 juin 2012 vers 3h du matin : observation de lueurs au sol en mouvement autour d'une lueur centrale d�crite dans un premier temps comme une flamme, sur la m�me colline (quelques dizaines de m�tres d'�cart), en pr�cisant cette fois qu'il y a l� une �glise qui peut accueillir des scouts. Cela constitue donc une autre hypoth�se pour l'observation du 17 aout 2016.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : probables lumi�res au sol issues d'un v�hicule ou d'un feu de camp et de personnes munies de lampes torches ou flambeaux.";"Deux observations de ph�nom�nes lumineux orang�s au niveau du sol dans la m�me zone de campagne : probables lumi�res au sol issues d'un v�hicule ou d'activit�s humaines.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.28;0.00;;;0.70;;0.60;;0.40;0.00;B;B;2016-08-09526
4134;"NARCY (58) 23.08.2016";Ni�vre;58;"(D) D�partement";2016;08;23;"Le 23 ao�t 2016 aux environs de 10h du matin un t�moin sur son toit est interpell� par le couvreur qui lui indique alors un objet tr�s brillant dans le ciel d�gag�. Cet objet se d�place vers les t�moins lorsqu'il change de direction. Aucun bruit n'est entendu. L'objet disparait � l'horizon. Un seul t�moignage sera recueilli.
Le t�moin a une perception d'objet port� par le vent ""un peu comme un ballon au vent et � une vitesse non r�guli�re"". L'�tranget� venant du changement de direction peut s'expliquer par le vent tr�s changeant ce jour l� en particulier autour de 10 h comme l'indiquent ces relev�s infoclimat Vinon et Infoclimat La Marche.
La perception de forte vitesse de cet objet est forcement subjective puisque le t�moin ne le reconnait pas et ne peut pas appr�cier la distance d'�volution.
L'objet devrait probablement avoir une forme ronde sinon son tournoiement au vent aurait induit des scintillations de lumi�res. Il peut s'agir d'un ballon d'enfant.
En conclusion le GEIPAN classe ce cas en B : observation probable d'un objet port� par le vent (et en particulier d'un ballon d'enfant).";"Observation d'un objet tr�s brillant dans le ciel avec changement de direction : observation probable d'un objet port� par le vent (et en particulier d'un ballon d'enfant).";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.70;;0.42;0.00;B;B;2016-08-09529
4135;"BOURG-LES-VALENCE (26) 06.08.2016";Dr�me;26;"(D) D�partement";2016;08;06;"Le 6 ao�t 2016 vers 21h une automobiliste et sa passag�re observent deux ph�nom�nes lumineux stationnaires dans le ciel. La conductrice s'arr�te pour prendre deux photographies avec un appareil photo. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a vu deux PAN. Une train�e lumineuse qui ne bouge pas (IMG_0044) et une tache noire � droite d'une train�e d'avion (IMG_0045). La tache noire n'a pas �t� observ�e visuellement et n'apparait que sur la photo. Il s'agit tr�s probablement d'un insecte proche. La description visuelle et la photo du PAN1 sont caract�ristiques d'une train�e d'avion. On identifie d'ailleurs (Flightradar) parfaitement l'avion se trouvant dans la configuration typique de production de train�es tr�s lumineuses (avion plein Ouest au coucher de soleil).
L'�tranget� provenait du t�moignage d'un PAN "" immobile dans le ciel pendant 11 minutes"", ce qui ne pourrait pas correspondre � un avion (sur une telle dur�e un avion fait au moins 70� � 90� de variation dans le ciel). Le t�moin contact� par t�l�phone pr�cise les choses bien diff�remment par rapport � sa d�claration �crite.
Il a vu le PAN1 en conduisant, puis s'est arr�t� et a photographi� le PAN 1 (IMG_0044), puis a pris la photo 2 (IMG_0045). Il cherchait le PAN 1 sur le viseur de la photo 2 (il n'y �tait pas car la photo2 s'av�re tr�s zoom�e et cadr�e ailleurs) et se souvient que son amie lui a alors dit que le PAN avait disparu du ciel. Elles ont ensuite continu� � regarder le ciel, sans plus jamais voir le PAN1, et le tout a dur� 11mn � la montre. Ainsi la dur�e effective d'observation du PAN 1 est bien plus courte, disons le temps de stopper le v�hicule (� 400 m �) et de prendre l'appareil photo (le t�moin pr�cise qu'il �tait sous la main car elle venait de faire des photos), soit peut �tre 2 � 3 minutes. A l'heure de la photo 1, l'avion identifi� est � une �l�vation autour de 8�ou 9� (distance 70 km), 3 minutes plus t�t, il �tait � une �l�vation de 4� ou 5� (distance 115km), cette variation angulaire est suffisamment faible pour �tre per�ue comme de l'immobilit�, surtout quand l'observation est non permanente.
La disparition du PAN s'explique parfaitement par l'entr�e de ce dernier dans l'obscurit� (fin de son �clairement direct par le soleil couchant).
Le GEIPAN classe le cas en A : train�e de condensation d'avion. Ce t�moignage est illustratif de l'impr�cision, ou exag�ration (""immobilit� pendant 11 minutes"" ""Ces 2 ph�nom�nes, nous les avons observ� exactement 11 minutes""), qui peuvent entacher la description d'une observation, souvent � l'insu du t�moin, en particulier dans un contexte d'�motion ou excitation (""Battements de cur, excitation"").";"Observation et photographie de PAN dans le ciel au soleil couchant : train�e de condensation d'avion.";O;;;;;;;;;2016-12-08;;;0.10;0.00;;;0.50;;0.80;;0.40;0.00;A;A;2016-08-09522
4139;"HAM (80) 26.08.2016";Somme;80;"(D) D�partement";2016;08;26;"Le vendredi 26 ao�t 2016 � 4h54 du matin un t�moin sur sa terrasse observe dans le ciel d�gag� trois disques lumineux diffusant une lumi�re blanche opaque et se d�pla�ant dans le sens Nord-Sud en formation triangulaire. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation de 4 � 5 secondes. Un seul t�moignage est recueilli.
La description est en tout point compatible d'une observation d'un l�cher de lanternes (aspect, couleur). La trajectoire est celle du vent ce soir l�, vers le sud (voir le relev� Infoclimat).
Nous sommes une nuit au mois d'ao�t, propice aux �v�nements festifs de ce type. L'enqu�te de gendarmerie indiquera d'ailleurs l'observation d'un ph�nom�ne lumineux similaire aper�u dans la nuit du 27 au 28 ao�t 2016 � 1h 30 du matin. Voir sur site www.GEIPAN.fr les nombreux cas de lanternes (recherche de cas avec le mot clef : lanterne).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de lanternes thailandaises.";"Courte observation du d�placement silencieux de trois ph�nom�nes lumineux circulaires en formation triangulaire dans le ciel : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.25;0.00;;;0.70;;0.60;;0.40;0.00;B;B;2016-08-09533
4140;"VILLEFRANCHE-SUR-MER (06) 21.08.2016";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2016;08;21;"Le 21 ao�t 2016 vers 23h30 un t�moin constate un premier ph�nom�ne qui p�n�tre dans l'atmosph�re avec une combustion blanche mais avec des phases de vert et orange. Quelques minutes plus tard il remarque en-dessous de sa premi�re observation un ensemble d'une vingtaine d'objets clignotant � un rythme constant et tous group�s en ascension dans le ciel. Le ph�nom�ne traverse le ciel sans bruit. Une voisine a �galement vu le ph�nom�ne mais un seul t�moignage a �t� recueilli.
Le t�moin a vu deux ph�nom�nes. Le premier est probablement une rentr�e de petite m�t�ore.
Ce qui semble faire l'�tranget� v�cue par le t�moin et l'origine du t�moignage est le second ph�nom�ne a priori totalement diff�rent du premier.
Il s'agit probablement d'un l�cher de ballons LED depuis un bateau en mer et s'�levant dans le ciel avec un vent les rabattant vers les terres (le vent d'Est ce soir l� le permet comme le montre le relev� m�t�o) occasionnant ainsi un grand passage dans le ciel.
Les ballons LED peuvent prendre tout type de couleur, clignoter, changer de couleur, le tout de mani�re al�atoire ou pr�d�finie voire synchronis�e, tout cela est fonction du prix. Voir l'article sur les ballons LED r�utilisables (� vie).
La p�riode estivale et le lieu sont propices � de tels �v�nements festifs. Le t�moin n'�tant pas r�sident des lieux a pu voir cela pour la premi�re fois.
En conclusion le GEIPAN classe le cas en B : ballons LED.";"Deux observations nocturnes de ph�nom�nes lumineux : observation de la rentr�e d'un petit m�t�ore suivi d'une observation probable du passage de nombreux ballons LED.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.25;0.00;;;0.60;;0.60;;0.36;0.00;B;B;2016-08-09528
4141;"TERRASSON-LAVILLEDIEU (24) 23.08.2016";Dordogne;24;"(D) D�partement";2016;08;23;"Le mardi 23 ao�t 2016 vers 21h45 une famille observe le passage silencieux de plusieurs points lumineux dans le ciel. Un clignotement est aper�u avant que les arbres ne cachent le ph�nom�ne. Un seul t�moignage est recueilli.
Les t�moins ont tr�s probablement vu un passage de ballons � LED. Ces ballons gonfl�s � l'h�lium sont lumineux, de couleurs variables (y compris le long du vol), fixes ou clignotantes. La description est conforme aux caract�ristiques que l'on trouve sur les sites marchands (comme par exemple Lacheballon.
On est en p�riode de vacances estivales, propice aux �v�nements festifs, et surtout, le d�placement observ� (vers NO) correspond au sens du vent relev� cette heure l� dans le secteur sur Infoclimat.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas B : observation probable du passage de ballons � LED.";"Observation du passage silencieux de points lumineux de couleur avec cligotement pour certains : observation probable du passage de ballons � LED.";O;;;;;;;;;2016-12-08;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;B;B;2016-08-09530
4147;"CHATEAUNEUF-DE-GALAURE (26) 02.09.2016";Dr�me;26;"(D) D�partement";2016;09;02;"Le 2 septembre 2016 � 5h20 un t�moin observe une boule tr�s blanche et tr�s lumineuse immobile dans le ciel. L'observation dure 5 � 6 minutes en direction de Saint-Martin-d'Ao�t. Le t�moin part chercher une autre personne et le ph�nom�ne semble s'�teindre spontan�ment. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a �t� surpris par Sirius, ce qui arrive fr�quemment car il s'agit d'une �toile blanche tr�s lumineuse, son observation se fait g�n�ralement � proximit� de l'horizon (quand elle est visible) ce qui peut de donner une impression de boule lumineuse (effet d'optique et/ou halo conf�r� par l'atmosph�re).
Ici le t�moin regardait dans la direction de l'�toile (Saint-Martin-d'Aout est en direction Sud-Est comme Sirius) et regardait un peu au-dessus de l'horizontale (Sirius est � 5�d'�l�vation). Le temps que le t�moin parte chercher son ami, Sirius a effectivement pu disparaitre (d�placement angulaire de 3� en 10 m) derri�re un nuage (le t�moin d�crit une nuit noire) ou des �l�ments de paysage � l'Horizon.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation de Sirius.";"Observation tr�s tot le matin d'une boule blanche tr�s lumineuse et immobile tr�s bas sur l'horizon : observation de l'�toile Sirius.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;A;A;2016-09-09539
4148;"MONETEAU (89) 26.08.2016";Yonne;89;"(D) D�partement";2016;08;26;"Le vendredi 26 ao�t 2016 � 22h39 un t�moin et sa femme sont surpris de constater le passage silencieux NO-SE de trois lumi�res orang�es dans le ciel nocturne d�gag�. La taille de ces lumi�res est compar�e � celle d'une balle de golf tenue � bout de bras. Ces trois lumi�res sont positionn�es en triangle. Elles sont ensuite cach�es par les arbres du paysage. Un seul t�moignage est recueilli.
Les t�moins ont tr�s probablement vu un passage de lanternes thailandaises. En effet les l�chers sont fr�quents les soirs d'�t� et qui plus est le weekend et il est courant que cela prenne l'aspect d'un triangle de lueurs oranges comme d�crit.
Le vent, relev� � 4 km sur M�t�ociel est de nord, compatible avec un d�placement, r�el ou appr�ci� sur le lieu d'observation, de NO vers SE.
La dur�e d'observation signal�e est faible (5 sec) mais le d�placement angulaire observ� du PAN dans le ciel est aussi forcement limit� (30 ou 40 � entre la maison au Sud et la forte hauteur d'arbres situ�s au Nord � une dizaine de m�tres). Cela reste compatible d'un d�placement de lanternes � basse altitude (50 ou 100 m) sachant les al�as ou erreurs possibles dans les observations de PAN : ici probablement une sur�valuation du double (facteur 2) ou plus sur la r�alit� de la vitesse de vent (6km/H relev� � 4km ) ou sur la dur�e d'observation.
L'objection principale du t�moin � cette hypoth�se provient du sentiment d'avoir vu une surface pleine entre les 3 points lumineux. Ceci est �galement classique des observations de points lumineux ponctuels la nuit : l'il remplit le vide! Cette objection s'appuie sur le constat d'�toiles cach�es pendant le passage. Ce constat tr�s pr�cis semble difficile � assurer vu la rapidit� de l'ensemble de l'observation, et vu qu'il n'a pas paru suffisamment net et source d'�tranget� pour que le t�moin le signale d'embl�e (et non en deuxi�me temps). En cons�quence, l'explication tr�s probable est celle de lanternes thailandaises.
Le Geipan classe le cas en B : observation probable de lanternes thailandaises.";"Observation du passage silencieux de trois lumi�res orang�es dans le ciel nocturne : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.28;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;B;B;2016-08-09538
4151;"EMANVILLE (27) 22.08.2016";Eure;27;"(D) D�partement";2016;08;22;"Un t�moin rapporte que depuis le 22 ao�t, il est intrigu� par un objet lumineux stationnaire dans le ciel vu depuis plusieurs lieux diff�rents. Le t�moin voit � l'il nu un objet lumineux color� qui bouge de gauche � droite puis revient � sa place. Il distingue �galement � l'il nu et au t�lescope des couleurs rouge, bleu, vert. D'autres personnes sont t�moins du ph�nom�ne. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a vu une �toile. Dans la direction signal�e (N-NE) il s'agit de Capella, mais le t�moin signale plus tard qu'en relation avec son club d'astronomie, il arrive � la conclusion qu'il a vu Arcturus, qui est plein Ouest et est plus haut dans le ciel (30�).
Consid�rant que le t�moin connait les orientations depuis sa maison, le GEIPAN retiendrait plut�t Capella.
Cette observation est int�ressante car elle illustre une illusion typique (reconnue d'ailleurs par le t�moin) de d�placement d'une �toile quand on la fixe (""je me suis aper�u que cela bougeait de gauche � droite puis descendait puis revenait � sa place"") . En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : Capellla.";"Observations successives (� l'il nu puis au t�lescope) d'un point lumineux dans le ciel nocturne avec boug� et couleurs vari�es : observation de l'�toile Capella.";O;;;;;;;;;2016-12-07;;;0.38;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;B;B;2016-08-09542
4152;"INZINZAC-LOCHRIST (56) 09.07.2016";Morbihan;56;"(D) D�partement";2016;07;09;"Le 9 juillet 2016 aux environs de 22h45 un t�moin et son �pouse observent durant 3 minutes le d�placement silencieux sous le plafond nuageux d'un objet circulaire de couleur orange qui devient cylindrique et noir apr�s avoir chang� de direction. L'objet est observ� � l'il nu puis aux jumelles. Un seul t�moignage est recueilli.
La description fait nettement penser � un vol de lanterne thailandaise, par la couleur et l'aspect, par le type de d�placement, par la coh�rence de ce dernier avec le sens du vent dominant (vent vers NE relev� � S�n�bret � 9 km) et aussi par la phase finale d'extinction de la lanterne o� la lumi�re vive peut laisser place � la couleur sombre du corps de la lanterne. En particulier la lanterne apparaissait comme un disque orange lorsqu'elle �tait au plus pr�t puis, plus tard en vision plus de profil, comme un cylindre vertical (forme exacte d'une lanterne, ici cylindre sombre car lanterne �teinte).
L'aspect non uniforme des lueurs au sein de boule ou disque, en particulier lorsqu' observ� aux jumelles est �galement typique de lanterne.
En cons�quence le GEIPAN classe en B : observation probable d'une lanterne thailandaise.";"Observation du d�placement silencieux d'un objet circulaire de couleur orange qui change de forme et de couleur apr�s un changement de direction : observation probable d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2016-12-08;;;0.28;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;B;B;2016-07-09544
4192;"CHECY (45) 23.08.2016";Loiret;45;"(D) D�partement";2016;08;23;"Le 23 ao�t 2016 entre 21h15 et 21h30 un t�moin et son fils sur la terrasse ext�rieure de leur maison sont intrigu�s par le d�placement silencieux dans le ciel d'une sph�re orange incandescente. Le t�moin distingue des flammes sur l'objet et sa surface. Cette ""boule de feu"" d�crite ainsi par l'enfant se d�place d'Est en Ouest sans changer de direction jusqu'� ce que le t�moin la perde de vue. Aucun bruit, aucune train�e ne sont remarqu�s. L'observation dure 30 secondes. Un seul t�moignage est recueilli.
L'ensemble est parfaitement conforme � une observation de l�cher de lanternes (voir le compte-rendu d'enqu�te) :
- le d�placement est conforme au sens du vent ;
- l'aspect, la couleur, la luminosit� du PAN sont conformes ;
- c'est une nuit d'�t� propice � un �v�nement festif.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation tr�s probable de lanterne tha�landaise.";"Observation du passage silencieux Est-Ouest d'une sph�re orange incandescente dans le ciel nocturne :
observation tr�s probable de lanterne tha�landaise.
";O;;1;;1;;;;;2018-11-05;;;0.25;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;A;B;2016-08-50314
4187;"MARDIE (45) 28.08.2016";Loiret;45;"(D) D�partement";2016;08;28;"Le t�moin se trouve en compagnie d'une trentaine de convives lors d'un d�ner lorsque vers 00h02 le dimanche 28 ao�t 2016, il aper�oit dans le ciel une lueur orang�e se dirigeant du Sud vers le Nord dans un silence absolu. Apr�s quelques minutes, une seconde lueur appara�t et refait le m�me trajet que la premi�re. Le m�me ph�nom�ne va se r�p�ter entre 7 et 10 fois, toujours avec un aspect identique, une vitesse et une altitude invariables. Une photographie est prise. Un seul t�moignage est recueilli.
L'ensemble est en tout point conforme � une observation de l�cher de lanternes (voir le compte-rendu d'enqu�te :
- le d�placement est conforme au sens du vent ;
- l'aspect du PAN, sa trajectoire, sa r�p�tition sont conformes ;
- l'analyse chromatique gr�ce au logiciel IPACO indique une compatibilit� avec l'origine lanternes ;
- c'est une nuit de week-end propice � un �v�nement festif.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation tr�s probable de lanternes tha�landaises.
";"Observation des passages silencieux et successifs de lueurs orang�es dans le ciel nocturne : observation de lanternes tha�landaises.";O;;1;;7;;;;;2018-11-05;;;0.20;0.00;;;;;;;0.70;0.00;A;A;2016-08-50312
4180;"CAUFFRY (60) 29.09.2016";Oise;60;"(D) D�partement";2016;09;29;"Le 29 septembre 2016 vers 22h56 un t�moin regarde le ciel nuageux et aper�oit au-dessus du parc de Cauffry un ph�nom�ne lumineux (en forme d'�norme pale d'h�licopt�re) qui semble tourner sans bruit sur lui-m�me en restant au m�me endroit. L'observation dure entre 50 et 55 minutes puis le ph�nom�ne disparait brusquement. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation pr�sente beaucoup de points communs avec celle faite au m�me moment � 2 ou 3 km de l� (voir le cas RANTIGNY (60) 29.09.2016) ce qui conduit � reprendre les m�mes conclusions. Il s'agit tr�s probablement de rayons laser, issus d'une bo�te de nuit ou d'un �v�nement festif ou exceptionnel et se r�fl�chissant sur la couche de nuages ou sur l'�cran de pluie fine (les deux �taient pr�sents ce soir l�).
Selon les conditions atmosph�riques, la distance d'effets d'un laser est tr�s variable ; elle peut atteindre des dizaines de kilom�tres, ce qui peut rendre le ph�nom�ne fugitif voire exceptionnel � forte distance du lieu d'�mission.
Le GEIPAN n' a pas identifi� l'�metteur du rayon, mais dispose de plusieurs cas � effet similaires et identifi�s.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : probable observation d'une animation laser (sky rose ou spots lumineux).";"Longue observation dans le ciel nuageux d'un ph�nom�ne lumineux tournant sur lui-m�me : probable observation d'une animation laser (sky rose).";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.25;0.00;;;;;;;0.50;0.00;B;B;2016-09-09567
4177;"RANTIGNY (60) 29.09.2016";Oise;60;"(D) D�partement";2016;09;29;"Le 29 septembre 2016 � 20h15 un t�moin dans son jardin est intrigu� par des masses cotonneuses tournoyant rapidement et sans aucun bruit dans le ciel nuageux. Le t�moin appelle sa compagne et son voisin qui constatent la m�me chose. Le PAN tourne dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Le ph�nom�ne disparait derri�re les nuages � 23h. Il n'�tait pas assez lumineux pour �tre photographi�. Deux t�moignages sont recueillis sur ce ph�nom�ne.
Il s'agit tr�s probablement de rayons laser, issus d'une boite de nuit ou d'un �v�nement festif ou exceptionnel et se r�fl�chissant sur la couche de nuages ou sur l'�cran pluie fine (les deux �taient pr�sents ce soir l�).
Le t�moin confirme lui m�me cet origine car il voit par moment le faisceaux lumineux monter du sol vers l'endroit dans le ciel o� pouvaient se trouver auparavant les disques ""�tranges"". Des voisins des t�moins parlent de projecteurs.
En effet selon les conditions de la couche d'air, on peut voir les motifs cr��s (sur l'�cran naturel) ou bien les faisceaux seuls sans les motifs ou les deux, un peu comme dans une salle de cin�ma en imaginant par moment de la fum�e de cigarettes (faisceaux visibles) en conjonction ou non de la pr�sence de l'�cran (motifs pr�sents ou non).
Selon les conditions atmosph�riques, la distance d'effet d'un laser est tr�s variable : elle peut atteindre des dizaines de kilom�tres, ce qui peut rendre le ph�nom�ne fugitif voire exceptionnel � forte distance du lieu d'�mission.
Le GEIPAN n' a pas identifi� l'�metteur du rayon, mais dispose de plusieurs cas � effet similaires et identifi�s.
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en B: sky rose ou spots lumineux.
";"Longues observations des �volutions dans le ciel nuageux de masses tournoyant rapidement : probable observation d'animations lumineuses de sky rose ou spots lumineux.
";O;;;;;;;;;2017-06-07;;;0.18;0.00;;;0.70;;0.70;;0.49;0.00;B;A;2016-09-09566
4183;"JARCIEU (38) 07.08.2016";Is�re;38;"(D) D�partement";2016;08;07;"L'observation du ph�nom�ne s'effectue depuis le jardin du domicile du t�moin, lors d'un d�but de nuit estivale, peu avant 23 heures, le 7 Aout 2016, pour ""regarder les �toiles filantes"". Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin rapporte une ""premi�re lueur rouge/orang�e"", ""tr�s vive"" de ""forme ovale"", volant � ""45�"" d'�l�vation, mais rapport� par le t�moin de ""plut�t bas"". Une ""seconde lueur la suit"". Ces ""deux lueurs se suivent en ondulant lentement"", ""sans bruit"", ""sans train�e"", de taille apparente de ""4 cm � bout de bras"". Ces ""deux lueurs se sont faites plus petites"", ont ""tourn� vers le Sud-Ouest"". La ""sc�ne a dur� au maximum 30 secondes"". Le t�moin a fait un dessin du d�placement du PAN.
A la fin du d�placement r�gulier, les ""lueurs se sont faites plus petites"", le t�moin mentionnant un ""changement de direction en fin de parcours"" vers le ""Sud-Ouest"", ""� droite de la maison � �tage"". Le t�moin a pr�cis� ""sans bruit"", ""ni train�e"". Cette derni�re direction d�clar�e vers Sud-Ouest est contradictoire avec le dessin du t�moin faisant �tat d'une direction vers Nord-Ouest. Nous retenons l'indication par le dessin par nature plus fiable.
La situation m�t�o relev�e � Saint-Etienne-Saint-Geoirs (38), � environ 30 km � l'Est du lieu d'observation, le 7 Aout 2016 fait �tat d'un vent faible, moins de 10 km/h, de Sud � partir de 23 heures (voir le relev� M�t�ociel.
Le t�moin ""s'inqui�te"" de ne pas avoir ""lu ou entendu d'autres t�moignages"", m�me apr�s des ""recherches sur internet sur cette nuit du 7 Aout"".
Ce t�moignage rapporte les �l�ments caract�ristiques des lanternes tha�landaises. La couleur rouge/orang�e, d'un �clat vif, se d�pla�ant en se suivant en ondulant lentement, sans bruit ni train�e. Le sens de d�placement (vers Nord Ouest ) est compatible de celui du vent mesur� (vers Nord) sachant que ce dernier est mesur� � 30 km. La phase finale de lueurs se faisant plus petites peut correspondre � la fin de l'�clairage des bougies. Enfin on est un soir de weekend estival, propice � des �v�nements festifs tels qu'un l�cher de lanternes.
L'hypoth�se d'une observation de lanternes est compatible de l'observation et des plus plausibles. En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation de lanternes thailandaises.";"Observation du d�placement silencieux de 2 lueurs rouge-orang� dans le ciel nocturne : observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-10-25;;;0.30;0.00;;;;;;;0.70;0.00;B;B;2016-08-09564
4182;"TROYES (10) 02.10.2016";Aube;10;"(D) D�partement";2016;10;02;"Le dimanche 2 octobre 2016 � 21h57 un t�moin est au 4eme �tage de son appartement. Il a son regard attir� par 7 � 8 lumi�res blanches identiques � celles des avions qui se d�placent dans le ciel. Une lumi�re se d�tache de l'ensemble le tout formant un triangle ramass�. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation de 10 secondes environ. Un seul t�moignage sera recueilli.
Il est fortement probable que l'observation corresponde � un passage d'avion Falcon � relativement basse altitude (4900 m) comme le montre le document de reconstitution ci-joint montrant ce passage.
L'heure et la direction de passage correspondent exactement (le relev� est fait en heure TU, ce qui correspond bien � 21H59 en heure l�gale). L'avion passe au plus pr�t � 3800 m du t�moin et vole � 4900 m d'altitude. L'�l�vation angulaire est de 52� quand le t�moin signale 15 � 30�, mais cet �cart est dans la marge classique d'appr�ciation d'une �l�vation angulaire par un t�moin qui ne dispose pas de rep�res sol (type ""tant de fois la hauteur du toit de"").
Une �tranget� not�e par le t�moin r�side dans la description d'une s�rie de points lumineux. La longueur d'un Falcon est de 20 m. La taille angulaire de l'avion vu � cette distance (obtenue � partir de l'altitude et de la distance sol) est de 0,19 degr� soit 40 % de la taille angulaire de la Lune ( ~0,5 degr�s). La vision il nu sait distinguer de nombreux d�tails (dont crat�res et mers) au sein de la Lune et m�me d'une portion de 40 % de Lune. Il est donc tout � fait possible que le t�moin ait distingu� les hublots du Falcon, d'autant que ces derniers apparaissent en contraste plus prononc� que celui des reliefs sur la Lune. Le t�moin est plus familier des avions passant plus haut, sans possibilit� de distinguer autre chose que les une � trois lumi�res classiques sans effet d'alignement comme ici. Le t�moin contact� par l'enqu�teur valide l'ordre de grandeur angulaire de l'ensemble des lumi�res (celle de la Lune).
Une �tranget� plus difficile � expliquer est la pr�sence du point lumineux seul au-dessus de la lign�e horizontale. La forte co�ncidence sur tous les autres points permet de maintenir l'hypoth�se dans la mesure o� les avions peuvent avoir des �clairages sp�cifiques en plus de ceux r�glementaires (surtout pour des jets non commerciaux comme ici). Notons aussi que cette lumi�re suppl�mentaire peut r�sulter d'une erreur de perception ou de m�morisation du t�moin.
Le fait que le passage de l'avion soit silencieux (alors que la vitre est ouverte) peut s'expliquer par la pr�sence de vent de SO relev� sur (Infoclimat) soufflant (15 � 20 km/h) contre la propagation d'un bruit issu de NE (position de l'avion Falcon).
Les annales du GEIPAN contiennent aussi de nombreux cas o� la perception sonore du t�moin est masqu�e par l'attention ou l'�tranget� issue de la perception visuelle. La perception de bruit d'avion quelques minutes apr�s l'observation correspond probablement � l'avion suivant qui passait � l'Ouest du t�moin et b�n�ficiait d'un bruit port� par le vent (Voir reconstitution avec les deux avions).
Notons que le t�moin ne mentionne pas le passage du Falcon, qui pourtant passe au moment pr�cis de son observation et dans son champ d'observation. Ce qui accr�dite aussi l'hypoth�se Falcon pour le PAN.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation d'avion.";"Observation du d�placement silencieux et rapide de lumi�res blanches dans le ciel ; le tout formant un triangle ""ramass�"" : observation d'avion (Falcon � basse altitude).";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.15;0.00;;;0.80;;0.70;;0.60;0.00;A;A;2016-10-09569
4185;"CAMPHIN-EN-CAREMBAULT (59) 05.10.2016";Nord;59;"(D) D�partement";2016;10;05;"Le 5 octobre 2016 au lever du soleil, un t�moin observe 3 points noirs immobiles qui se rapprochent pour former une forme conique. Apr�s la disparition de cette derni�re, une autre forme allong�e de couleur blanche apparait dans le ciel et reste visible et immobile jusqu'� 11h30. Le t�moin fait des photographies. Aucun autre t�moignage n'est recueilli sur ce ph�nom�ne.
D'apr�s le compte-rendu d'enqu�te (voir document joint), l'hypoth�se retenue est celle d'une confusion avec un groupe isol� de trois oiseaux migrateurs faisant route vers le Sud-Est, mal per�u par le t�moin en raison de la mauvaise qualit� de l'optique utilis�e et de l'�loignement des oiseaux ne permettant pas de distinguer clairement leur forme.
Le t�moignage est faiblement consistant, avec peu de donn�es fournies par le t�moin et exploitables, le questionnaire n'a pas �t� compl�t� et le proc�s-verbal de Gendarmerie est tr�s succinct. Il existe cependant 15 photographies, mais seulement quelques-unes d'entre elles ont �t� fournies en version originale et ont donc pu �tre exploit�es pour l'analyse du cas.
Le traitement d'analyse des photos (en particulier l'analyse multi-temporelle avec le logiciel IPACO) permet de consolider l'hypoth�se en d�pit de la qualit� m�diocre initiale de photos.
Ce cas est class� �A�, comme observation extr�mement probable d'un groupe isol� de trois oiseaux migrateurs faisant route vers le Sud-Est ; la mauvaise qualit� de l'optique ainsi que l'�loignement des oiseaux ne permettant pas de distinguer clairement leur forme.";"Observation et photographie de trois points noirs immobiles puis formant une forme conique : observation extr�mement probable d'un groupe isol� de trois oiseaux migrateurs.";O;;;;;;;;;2017-10-24;;;0.20;0.00;;;;;;;0.40;0.00;A;A;2016-10-09571
4210;"[D137] de RIOM (63) vers PERIGNAT-LES-SARLIEVE (63) 25.11.2016";Puy-de-D�me;63;"(D) D�partement";2016;11;25;"Le 25 novembre 2016 � 18h03 un automobiliste est intrigu� par le d�placement d'une lumi�re rouge. Il pense � un v�hicule motoris� remontant une pente. Mais la lumi�re prend de l'altitude au-dessus du plateau de Gergovie avant de disparaitre. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Les �l�ments d�crits font penser � un l�cher de lanterne thailandaise.
La trajectoire est compatible du vent mesur� � Aulnat sur le relev� Infoclimat. Ce vent est tr�s variable mais oriente vers l'Ouest � 18H et donc est � m�me de faire monter la lanterne vers le plateau.
Le week-end est toujours plus propice � un tel �v�nement ludique ou festif, d�s lors qu'il fait d�j� un peu nuit. Ce qui est le cas � 18H (le t�moin d�crit d'autres lumi�res dans la nuit tombante). Peut �tre y a t il eu d'autres l�chers de lanternes plus tard que le t�moin n'a pas eu l'occasion de voir.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation d'une lanterne thailandaise.";"Observation par un automobiliste du d�placement silencieux d'une lumi�re rouge au-dessus du plateau de Gergovie : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.70;;0.42;0.00;B;B;2016-11-09592
4516;"SAINT-SULPICE-LE-DUNOIS (23) 13.10.1988";Creuse;23;"(D) D�partement";1988;10;13;"Le jeudi 13 octobre 1988 vers 20 heures 30 un t�moin observe pendant une demi heure environ une boule lumineuse jaune de la taille d'un phare de voiture et faisant des aller-retours � grande vitesse. Aucun bruit n'a �t� d�tect�. Le conjoint du t�moin a �galement �t� t�moin du ph�nom�ne. Aucune autre information n'a pu �tre recueillie.";"Observation d'une boule lumineuse faisant des allers retour � grande vitesse.";O;;;;;;;;;2009-11-04;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1988-10-01150
4287;"SAINT-ROME-DE-TARN (12) 18.12.2016";Aveyron;12;"(D) D�partement";2016;12;18;"Le dimanche 18 d�cembre 2016 � 21h05 trois personnes sur une place publique observent le d�placement silencieux d'un ph�nom�ne tr�s lumineux dans le ciel nocturne. Cette lumi�re blanche intense semble s'arr�ter au-dessus d'un b�timent puis repart rapidement. L'intensit� lumineuse diminue et le PAN dispara�t en direction du Nord cach� par le brouillard. L'observation dure une minute environ. Un seul t�moignage est recueilli en 2017.
Il est probable que le t�moin ait vu une lanterne thailandaise : les indications de forme (arrondie) lueur (blanc tr�s lumineux) sont compatibles.
Le PAN arrive du NE comme le vent dominant ce soir l� mesur� � 15 km : voir le relev� m�t�o sur Infoclimat.
Le fait que le PAN n'ait pas une trajectoire r�guli�re (arr�t, changement de trajectoire, acc�l�ration) r�sulte des caract�ristiques variables de courant de vent dans une vall�e � proximit� d'une rivi�re importante. Une nuit de weekend (de plus lors des vacances de No�l) est propice � des �v�nements festifs de type l�cher de lanternes.
En cons�quence le GEIPAN classe ce cas en B : probable observation d'une lanterne thailandaise.";"Observation des �volutions d'une lumi�re intense blanche dans le ciel nocturne : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.30;0.00;;;;;;;0.60;0.00;B;B;2016-12-09638
4331;"PARIS (75) 20.05.2017";Paris;75;"(D) D�partement";2017;05;20;"Le samedi 20 mai 2017 entre 20h et 21h un t�moin est intrigu� par un point lumineux dans le ciel parisien. Vu aux jumelles, l'�clat lumineux semble provenir d'une forme oblongue grise argent�e. L'objet semble immobile durant les 15 secondes d'observation. Un seul t�moignage est recueilli.
Il est probable que le t�moin ait vu un avion dans une condition fugitive de r�flexion miroir du soleil. Le t�moin pense en premier � un avion "" L'intensit� lumineuse �voquait l'approche d'un avion de face, phare orient� dans ma direction, mais le point lumineux semblait immobile"" ,.."" Immobile, elle semblait solide, �voquant un corps m�tallique"".
L'avion est vu sous une �l�vation de 20� ou 30� peut �tre � 20 ou 30 Km ; le ciel est effectivement d�gag�. En 15 secondes d'observation, son d�placement est d'environ 3 km, ce qui fait pour un d�placement transversal � l'axe de vis�e,un changement angulaire de 6 � 9�(selon distance), pas facilement d�tectable.
Le t�moin relate l'observation aux jumelles: ""L'�clat de lumi�re provenait d'une forme oblongue, grise argent�e. La brillance et la couleur se rapprochaient de celles que peut avoir la lune en plein jour. Certaines zones de la forme �taient plus fonc�es que d'autres, notamment une petite partie circulaire"".
Le soleil est pr�sent en Ouest-Nord-Ouest, � l'horizon. De nombreux avions �voluent en Sud-Est. Il est possible que l'un d'eux ait un cap positionnant le fuselage en miroir exact du soleil vers le t�moin. La condition g�om�trique pr�cise liant la direction soleil, la position t�moin, celle de l'avion et son cap procure une intensit� lumineuse forte (seulement un point brillant � l'il nu car l'avion est loin) et se trouve par nature fugitive : un avion particulier et un moment bref donn�. La vision aux jumelles permet de pr�ciser le contenu du point brillant (ce n'est en effet pas une �toile), la forme oblongue alors visible (""Immobile, elle semblait solide, �voquant un corps m�tallique"") provient du fuselage, et la partie circulaire plus sombre provient probablement de l'aile (vue sur la tranche cot� t�moin) et de son ancrage sur le fuselage : l'ensemble constitue un corps g�om�trique distinct du fuselage, ne r�pondant pas aux conditions de r�flexion, et surimpos� � la forme oblongue.
Ce type de m�prise avec un avion n'est pas �trange. En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en B : observation d'avion.";"Courte observation d'un �clat lumineux semblant provenir d'une forme oblongue grise dans le ciel parisien : probable observation d'un reflet du soleil sur un avion.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;B;B;2017-05-09674
4283;"MAGNY-LES-HAMEAUX (78) 06.02.2017";Yvelines;78;"(D) D�partement";2017;02;06;"Le 6 f�vrier 2017 � 19h16 un t�moin devant son garage observe au-dessus de sa maison le lent d�placement d'un triangle sombre avec 2 feux blancs. L'observation dure 30 secondes : pas assez pour que le t�moin prenne une photographie. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a probablement observ� un a�ronef � basse altitude. En effet (voir reconstitution jointe), on rel�ve le mouvement d'un a�ronef � basse altitude sur le ou au voisinage imm�diat du lieu de l'observation, tant sur le relev� du radar virtuel (Plane Finder) que sur le relev� radar national. Ce dernier a �t� malheureusement cadr� a cot� du lieu d'observation mais on per�oit la fin de la trace de l'a�ronef qui se dirige dans la direction du lieu d'observation. On note sur les deux relev�s que cet a�ronef fait ""des ronds"" ou aller- retours, ce qui rend possible son observation par le t�moin selon le cap d�crit de l'Est vers l'Ouest. Le GEIPAN n' a pas jug� n�cessaire et justifiable de rechercher l'identification de cet a�ronef qui est de toute fa�on sans ""�tranget�"" car coop�rant avec les radars nationaux.
Les caract�ristiques de cet a�ronef ne sont donc pas disponibles pour les corr�ler avec l'observation, mais cette derni�re est compatible d'une observation d'a�ronef (dans de nombreuses situations on ne voit pas depuis le sol les feux verts et rouge de navigation, les feux d'atterrissage blanc ou de rep�rage au sol (rouge) peuvent �tre pr�dominants).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable d'un a�ronef.";"Observation du lent d�placement d'un triangle sombre avec deux feux blanc : observation probable d'un a�ronef.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.30;0.00;;;;;;;0.60;0.00;B;B;2017-02-09636
4285;"[D29] de FISMES (51) vers BEAURIEUX (02) 24.02.2017";Marne;51;"(D) D�partement";2017;02;24;"Le 24 f�vrier 2017 aux environs de 19h25 un automobiliste et son fils, passager avant, roulent sur une petite route de campagne entour�e de bois. Soudain, le conducteur aper�oit sur sa droite une boule de couleur blanch�tre qui �volue en parall�le de leur trajectoire et dans la m�me direction. Ce ph�nom�ne se positionne ensuite devant la voiture et semble perdre en intensit�. Cette boule opaque est vue durant une minute et trente secondes avant de dispara�tre instantan�ment sans laisser de train�e. Aucun bruit particulier n'a �t� remarqu�.
La description de l'observation faite par les deux t�moins correspond � un cas de foudre en boule de type ""foudre globulaire"". Cette hypoth�se est tr�s coh�rente au niveau de l'apparence visuelle, de la trajectoire apparente et de son altitude.
Ce type de ph�nom�ne se produit par temps orageux, mais sans n�cessairement un orage actif sur le site.
Les t�moignages ont �t� soumis au Laboratoire de Recherche sur la Foudre qui reconna�t sans ambigu�t� un ph�nom�ne de foudre en boule.
Le GEIPAN classe ce cas en ""A"" : observation de foudre en boule de type ""foudre globulaire"".
";"Observations depuis une voiture d'une boule de lumi�re blanche opaque qui �volue dans un bois puis se place devant le v�hicule ; disparition instantan�e : observations d'une foudre en boule de type ""foudre globulaire"".";O;;;;;;;;;2018-03-01;;;0.20;0.00;;;;;;;0.30;0.00;A;A;2017-02-09637
4291;"BRON (69) 01.03.2017";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2017;03;01;"Dans la nuit du 28 f�vrier au 1er mars 2017 vers 2h du matin un t�moin est intrigu� par une lueur particuli�re dans le ciel. Il d�crit un grand engin en forme de ""boomerang"" noir mat avec des lumi�res blanches et d'autres oranges clignotantes. Ce dernier semble stationnaire et silencieux. Surpris et presque effray� le t�moin s'assoie dans le canap� du salon. Le PAN aura disparu lorsqu'il reprendra son observation. Un seul t�moignage a �t� recueilli.
Le t�moin a �t� effray� par ce qu'il a vu et de fait donne peu d'information. Il n'a pas prolong� son observation de mani�re � pouvoir indiquer un �ventuel d�placement du PAN et surtout d�crire une fin d'observation de ce PAN. Les seuls �l�ments disponibles sont compatibles d'une observation d'un groupe de lanternes de couleur oranges et blanches bien que la nuit de semaine est moins propice � ce type d'�v�nement festif (quoiqu'un anniversaire ne se f�te pas toujours un weekend) ; la perception de forme noire ne s'oppose pas � cela vu qu'il est v�rifi� que des t�moins de lanternes croient souvent voir une forme noire reliant les lumi�res (ph�nom�ne de perception), L'absence de perception de d�placement ne permet pas de corr�ler avec le sens du vent et donc de consolider l'hypoth�se de lanternes.
Aucun relev� de trafic a�ronautique civil ou militaire ne permet d'expliquer cette observation (mais les radars ne saisissent pas toujours les objets volant � basse altitude).
Le GEIPAN ne dispose pas assez d'information pour traiter une observation dont l'�tranget� est par ailleurs limit�e dans la mesure ou cela reste compatible d'un l�cher de lanternes.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C : manque d'information.";"Observation dans le ciel nocturne de la pr�sence d'un objet de la forme d'un boomerang avec des lumi�res blanches et oranges clignotantes : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.45;0.00;;;;;;;0.30;0.00;C;C;2017-03-09642
4298;"GENELARD (71) 06.01.2017";Sa�ne-et-Loire;71;"(D) D�partement";2017;01;06;"Un t�moin rapporte des observations successives les 6 et 7 janvier puis les 25 et 26 f�vrier 2017 : il observe des ph�nom�nes de couleur en d�placement dans le ciel ou pr�s du sol. Les observations sont longues (de 20h30 jusqu'au lever du jour). Les gendarmes sur place ne constatent rien. Un seul t�moignage est recueilli (par le questionnaire et des appels t�l�phoniques).
Le t�moignage fait �tat d'une grande �tranget� :
Les observations ont lieu presque toutes les nuits (avec pr�sence de nuages ou non) au ras du sol (voire au sol) comme dans le ciel, devant comme derri�re les arbres. Des lueurs principalement, mais il peut aussi y avoir comme un engin. On note aussi des bruits dans le ciel, des grincements d'arbres. Les photos � l'ordinateur peuvent aussi bouger ou r�v�ler le nom du t�moin dans les arbres.
L'�tranget� rapport�e est telle que le GEIPAN souhaite avoir le t�moignage des autres t�moins pr�sents sur les lieux. Mais l'�pouse ne veut pas t�moigner. Les amis du t�moin promettent de le faire mais ne le font pas, que ce soit celui que le GEIPAN a pu joindre au t�l�phone en pr�sence du t�moin initial, ou un autre joint s�par�ment. Ces deux amis d�crivent au t�l�phone des �l�ments d'�tranget� significatifs qui, tout en �tant de nature similaire (lueurs dans le ciel et au sol), ne se recouvrent que partiellement entre t�moins. Les gendarmes pr�sents un soir ne remarquent rien, mais le t�moin consid�re que le ph�nom�ne �tait moins fort ce soir-l� (mais �tait tout de m�me pr�sent).
Le refus de t�moigner de trois t�moins diminue fortement la consistance de ce t�moignage. Cette derni�re est trop faible pour valider le caract�re �trange de l'observation d'un t�moin unique.
En cons�quence, le t�moignage est class� inexploitable en C : manque d'informations fiables.
Le fait que la part d'observation faite par les gendarmes soit en d�saccord avec la perception du t�moin principal ne fait qu'accentuer le manque d�j� �tabli de consistance.";"Multiples observations du d�placement de ph�nom�nes de couleur dans la nuit : manque d'informations fiables.";O;;;;;;;;;2017-11-30;;;0.70;0.00;;;0.30;;0.50;;0.15;0.00;C;C;2017-01-09648
4311;"MONTMARAULT (03) 29.09.2012";Allier;03;"(D) D�partement";2012;09;29;"Le samedi 29 septembre 2012 deux t�moins observent dans le ciel nocturne le passage silencieux de trente � quarante sph�res rouge-orang� lumineuses. Elles apparaissent espac�es � une fr�quence r�guli�re et se d�placent de fa�on rectiligne sur le m�me axe N/S. Elles semblent se regrouper au-dessus de la for�t du ch�teau Charles � Montmarault. Les t�moins d�cident d'aller sur les lieux mais ils constatent la disparition des sph�res.
Les indications donn�es par les t�moins orientent l'enqu�te vers l'observation de lanternes thailandaises dont on retrouve les caract�ristiques : lueur orang�e, se d�pla�ant pouss�es par le vent, sans bruit.
La description du ph�nom�ne correspond � la physique des lanternes, �clair�es par une bougie. Celle-ci g�n�re l'air chaud permettant � la lanterne de s'�lever dans le ciel, � la mani�re d'une montgolfi�re. Vu par le t�moin, cela se pr�sente sous la forme d'une sph�re (enveloppe de la lanterne) de couleur orang�e (couleur de la lumi�re d'une bougie). La temp�rature �tant stabilis�e dans l'enveloppe de la lanterne, et en l'absence de bourrasque de vent, celle-ci se maintient � une altitude stabilis�e. Ce ph�nom�ne n'engendre aucun bruit.
La situation m�t�o dans cette r�gion d'apr�s M�t�ociel fait �tat d'un vent nord-sud, de 10 � 15 km/h, n�bulosit� 6/8, temp�rature de 12�C, pression 1020 hPa. Ces objets flottants sont donc pouss�s du Nord au Sud, ce qui correspond � la trajectoire du ph�nom�ne, d�crit par le t�moin et le PV de gendarmerie.
Toutefois, l'�valuation de la vitesse des lanternes par le t�moin qui indique 50 km/h est largement surestim�e. Ceci est d� au fait de la mauvaise appr�ciation de la distance d'un objet que l'on ne reconnait pas. Pour une m�me vitesse angulaire (seul �l�ment per�u par un t�moin), une surestimation de la distance engendre une surestimation de la vitesse.
On peut �galement prendre en compte la date du samedi soir, propice � une r�union festive de famille ou entre amis. Une soir�e de mariage est �voqu�e dans le PV de gendarmerie. Un allumage successif des lanternes correspond � la description du t�moin qui voit des lanternes suivre la m�me trajectoire (sens du vent), espac�es de 20 � 25 secondes.
Quant au regroupement de toutes ces sph�res au-dessus de la for�t au loin, cela correspond � un effet de perspective, comme les rails de train qui semblent se rejoindre � l'horizon. De m�me, la perception par le t�moin que les premi�res sph�res attendaient les suivantes, s'inscrit dans le m�me effet de perspective.
Quant � la disparition, cela correspond � la fin de la combustion de la bougie. Priv�e de source de chaleur, la lanterne devenue invisible tombe.
En cons�quence le GEIPAN classe en A : observation de lanternes thailandaises.";"Longues observations du passage silencieux de plusieurs dizaines de sph�res lumineuses dans le ciel nocturne : observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-08-29;;;0.16;0.06;;;;;;;0.56;0.24;A;A;2012-09-08358
4315;"SAINT-LOUIS (974) 05.03.2017";"La R�union";974;"(D) D�partement";2017;03;05;"Un t�moin rapporte ses diff�rentes observations de PANs dans le ciel notamment celle du 5 mars 2017 au-dessus de la mer. Ce jour-l� le t�moin observe durant 30 minutes un nuage jaune orange dans lequel apparait une boule noire ; l'ensemble change de forme durant l'observation. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce t�moignage est inexploitable pour diff�rentes raisons :
-les informations donn�es sont impr�cises et portent sans r�elle distinction sur diff�rentes observations.
- les photos/vid�os de ciel cens�es montrer les PANS et ""les envahisseurs"" dans le ciel correspondent � des �volutions de petits nuages lumineux au soleil couchant (pourtant les nuages noirs non �clair�s car dans l'ombre solaire ont des formes similaires) ou alors correspondent � des avions (ici intriguant car � ailes et queue noire...).
- le sentiment d'�tranget� v�cue par le t�moin semble d�passer largement ce que le ciel lui donne r�ellement � voir et par cela les comp�tences du GEIPAN. Par exemple le t�moin a tenu � nous fournir des vid�os assez peu intelligibles mais suffisamment pour comprendre qu'il s'agissait d'exorcisme.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en C : manque d'informations fiables.";"Multiples observations de ph�nom�nes diff�rents dans le ciel de La R�union : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2017-10-23;;;0.30;0.00;;;;;;;0.00;0.00;C;C;2017-03-09659
4336;"EMERAINVILLE (77) 05.06.2017";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2017;06;05;"Le 5 juin 2017 (et non 2015 comme indiqu� par erreur du t�moin dans le texte libre) entre 11h58 et 12h03 un t�moin observe dans le ciel d�gag� un ph�nom�ne qui l'intrigue. Le t�moin voit au Nord/Ouest � la hauteur moyenne, 2 lumi�res projet�es c�te � c�te, comme 2 faisceaux de phares. Il distingue derri�re ces deux phares une sorte de fuselage cylindrique, le tout progressant vers l'Est � l'horizontal. ""L'esp�ce de vaisseau"" progresse � vitesse d'avion � basse altitude, puis s'arr�te une 1�re fois en vol semble stationnaire, puis monte en altitude pratiquement � la verticale. Un avion commercial � altitude moyenne provient du Nord-Est et semble couper la trajectoire initiale du ""vaisseau"". L'avion continue son cap, le ""vaisseau"" reprend son vol horizontal avec son cap d'origine; puis semble s'arr�ter une 2�me fois, pour � nouveau monter en altitude quasiment verticalement, jusqu'� dispara�tre compl�tement de la vue du t�moin. Le t�moin pense avoir � faire � un vaisseau inconnu qui aurait �t� d�rang� dans sa trajectoire par l'avion moyen courrier et demande au GEIPAN d'enqu�ter. Un seul t�moignage est recueilli.
Comme l'indique le relev� de trafic a�ronautique ci-joint, le t�moin est situ� dans une zone � forte activit� (au moins � cette heure l�) avec des avions � toutes tranches d'altitude, dont des avions de tourisme faisant des rotations � basse altitude. Dans ces conditions on ne voit pas o� se situerait l'�tranget� dans la description faite par le t�moin. Un avion � basse ou moyenne altitude est distinguable par ses phares (qui peuvent �tre allum�s de jour aussi) et par sa carlingue. L'avion � basse altitude peut faire tout type de manuvres (par exemple des manuvres d'�cole) dont des r�ductions de vitesse, des changements de cap interpr�tables par le t�moin en forte r�ductions de vitesse (d�s lors que le cap passe de ""transverse � la vis�e"" � ""le long de la vis�e"") ainsi que des changements brusques d'altitude. La stationnarit� ou la mont�e en altitude � la verticale peuvent difficilement �tre appr�ci�es depuis le sol, d'ailleurs le t�moin utilise les mots "" il semble"" ou ""quasiment"".
Dans ces conditions, le plus �trange dans tout �a est bien le scenario que se fait le t�moin en imaginant que l'avion � basse altitude est un vaisseau inconnu qui modifie sa trajectoire pour �chapper � la trajectoire (ou la vision ?) de l'avion commercial.
D�s lors qu'il est v�rifi� (ici l'analyse de contexte a�ronautique suffit) que l'observation elle-m�me ne rapporte rien d'�trange, le GEIPAN ne consacre pas plus de ressource � explorer ou invalider les scenarii mis en place par le t�moin pour interpr�ter ou expliquer une �tranget� qui n'a pas lieu d'�tre.
Notons, si cela �tait n�cessaire, que l'observation est faite en plein jour, dans une zone urbanis�e, et que donc une r�elle �tranget� serait difficilement pass�e inaper�ue du grand nombre de t�moins potentiels au sol et.. en vol.
Notons enfin que le m�me t�moin a fait un t�moignage de m�me type deux mois plus tard (EMERAINVILLE (77) 04.08.2017).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : avions.";"Observation de 2 lumi�res projet�es c�te � c�te suivies d'une ""sorte"" de fuselage cylindrique progressant vers l'Est � l'horizontal : observation probable d'avions.";O;;;;;;;;;2017-10-23;;;0.10;0.00;;;;;;;0.50;0.00;A;A;2017-06-09678
4332;"AMBERIEU-EN-BUGEY (01) 22.04.2017";Ain;01;"(D) D�partement";2017;04;22;"Le 22 avril 2017 � 23h41, un t�moin observe dans le ciel la pr�sence de 3 lumi�res align�es horizontalement, avec l'arriv�e quelques minutes plus tard de 2 lumi�res suppl�mentaires en position verticale, le tout formant un � L �. Aucun mouvement, d�placement ou changement d'intensit� lumineuse ne sont remarqu�s pendant toute la dur�e de l'observation de 45 minutes. le t�moin photographie le PAN. Le t�moin a fait une observation un peu similaire le 18 avril 2017. Il a joint deux photographies r�alis�es lors de cette observation, qui peuvent aider � la compr�hension du cas du 22 avril. Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
La description du PAN pr�sente des caract�ristiques de plusieurs hypoth�ses explicatives prosa�ques, qui sont a priori � �liminer d'apr�s certains d�tails de l'observation (voir le compte rendu d'enqu�te).
Toutefois, il n'a malheureusement pas �t� possible de v�rifier ou pr�ciser certains points clefs, comme la dur�e exacte l'observation ( a-t-elle vraiment durer 45 minutes, alors qu'on ne dispose que de photos � quelques secondes d'intervalle), l'�tat ouvert ou ferm� de la fen�tre en fonction des phases de l'observation. Malgr� plusieurs relances, le t�moin n'a pas donn� suite aux questions pos�es.
De plus, la seconde phase de l'observation, avec l'arriv�e de 2 points lumineux suppl�mentaires manque cruellement de pr�cisions, alors qu'elle pr�sente un caract�re d'�tranget�.
Le cas rev�t une certaine �tranget�. Mais le t�moignage unique et surtout l'impr�cision sur des points clefs coupl�e � la non r�ponse du t�moin aux demandes de pr�cision conf�rent au t�moignage une faible consistance non � m�me de valider le caract�re �trange de l'observation.
Le cas est class� C, t�moignage non exploitable par manque de donn�es.
";"Longue observation de plusieurs lumi�res fixes dans le ciel nocturne : manque d'information.";O;;;;;;;;;2018-02-28;;;0.60;0.00;;;0.50;;0.70;;0.35;0.00;C;C;2017-04-09675
4333;"MONTAUBAN (82) 09.09.2011";Tarn-et-Garonne;82;"(D) D�partement";2011;09;09;"Le 09 septembre 2011 vers 22h10 plusieurs personnes dans le m�me quartier de Montauban, observent le passage Sud-Nord rapide et silencieux d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Deux t�moignages ind�pendants nous sont parvenus : durant l'observation br�ve (de 5 � 30 secondes) le ph�nom�ne observ� appara�t ayant une forme de ""goutte d'eau"" ou de ""haricot blanc"" se d�pla�ant rapidement et n'�clairant rien � l'ext�rieur en dehors de l'objet lui-m�me. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation de l'objet dont la taille r�tr�cit progressivement.
Ce ph�nom�ne, observ� par deux t�moins ind�pendants, relatent un objet lumineux en vol se d�pla�ant du Sud vers le Nord sur une dur�e de 7 � 30 secondes. L'enqu�te a �t� d'abord orient�e sur les lanternes tha�landaises, ou en rapport avec la f�te des 400 coups qui se d�roulait ce jour l� � Montauban. Les deux t�moins ont r�fut� totalement ces hypoth�ses. Une analyse compl�mentaire a rapproch� l'observation d'une rentr�e atmosph�rique de m�t�oro�de ou de d�bris de satellite.
Le GEIPAN classe ce cas ""B"" : observation probable de bolide.";"Observations du passage rapide et silencieux d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel : probable observation d'une rentr�e atmosph�rique.";O;;;;;;;;;2017-06-07;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2011-09-02828
4393;"ALBON (26) 25.05.2017";Dr�me;26;"(D) D�partement";2017;05;25;"Le 25 mai 2017 � 22h40 un t�moin sur sa terrasse est intrigu� par la pr�sence d'une lumi�re blanche, jaune et bleue dans le ciel � faible altitude. Aucun bruit, aucune train�e ne sont remarqu�s. Le t�moin filme son observation au cam�scope et d�couvre au visionnage un objet avec des formes particuli�res. Le t�moin termine son observation vers 01h10 l'objet �tant toujours dans le ciel vers le Nord. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
Le t�moin a observ� l'�toile Capella qui �tait effectivement aux positions indiqu�es dans le ciel au d�but de l'observation (22h40, 15� de hauteur et azimut 320� soit N.O.) pour ensuite �voluer de mani�re descendante comme d�crit par le t�moin vers le Nord en fin d'observation (01h00 , 4� de hauteur et azimut 345� soit quasi Nord).
On note que l'essentiel de l'�tranget� per�ue par le t�moin, et ce qui l'a probablement conduit � faire ce t�moignage, r�sultent de ce qu'il a vu sur le viseur ou sur l'enregistrement de la cam�ra.
A l'�vidence, la trajectoire comme l'aspect il nul (l'effet de couleur et de clignotement est classique pour une �toile vue � basse �l�vation au travers des turbulences atmosph�riques) montrent que l'objet pourchass� avec la cam�ra est bien Capella. De plus, le t�moin ne signale pas la pr�sence d'une �toile � cot� du PAN alors que le ciel est d�gag� et que Capella ne peut qu'�tre visible avec sa localisation quasi identique � celle donn�e pour le PAN.
Dans ces conditions le GEIPAN ne consacre aucune ressource suppl�mentaire � expliquer l'�tranget� engendr�e par la cam�ra (car non vue des yeux). En effet, l'exp�rience montre qu'on y arrive toujours mais moyennant des efforts qui ici seraient non justifi�s. C'est pour cette m�me raison que le GEIPAN ne prend plus en compte les t�moignages portant uniquement sur l'�tranget� per�ue au travers de la photo ou vid�o sans vision directe oculaire. Le pr�sent cas est interm�diaire du fait d'un d�but d'�tranget� (classique) per�ue � il nu qu'il convenait de renseigner.
On note en particulier sur la vid�o des lumi�res fortes de lampadaires qui d�j� peuvent �tre causes de reflets myst�rieux dans les parties sombres de l'image. On sait aussi qu'un fort zoom sur une �toile peut conduire � toutes sortes de formes en fonction du dysfonctionnement de la focalisation, de la qualit� g�om�trique et radiom�trique de l'appareil, avec probable effet d'accentuation � partir d'une cam�ra (moindre qualit� qu'un appareil photo) et en visant une �toile double (Capella). Enfin il arrive aussi que le t�moin zoome sur une lumi�re autre que celle qui au d�part l'avait intrigu�, le cadrage avec fort zoom n'�tant ais� pour personne.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A: m�prise avec Capella.";"Longue observation d'un ph�nom�ne lumineux de couleurs dans le ciel nocturne : m�prise avec Capella.";O;;;;;;;;;2017-10-24;;;0.05;0.00;;;0.80;;0.80;;0.65;0.00;A;A;2017-05-09681
4394;"BAGNERES-DE-BIGORRE (65) 22.05.2017";Hautes-Pyr�n�es;65;"(D) D�partement";2017;05;22;"Le 22 mai 2017 vers 21h45 un t�moin a sa fen�tre observe en direction de Tarbes une train�e orang�e dans le ciel. Il pense � une train�e d'avion mais l'�paisseur et surtout la courbe d�crite l'intrigue : le t�moin pense alors � un avion en difficult�. Le t�moin prend une s�rie de clich�s photographiques et contactera deux gendarmeries. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
L'analyse de la photographie et des �tranget�s relev�es par le t�moin (largeur et dur�e de dissipation de la trace) conduit � �tablir une hypoth�se d'avion proc�dant � un d�lestage de carburant (voir le compte-rendu d'enqu�te. Ces m�mes analyses permettent d'�tablir des scenarios de position et vitesse de l'avion.
L'hypoth�se d'avion de ligne ne peut �tre retenue car cet avion aurait d� �tre retrouv� dans les sites publics de suivi d'avion et surtout parce qu'une telle op�ration de d�lestage correspond � un d�routage de l'avion et aurait d� laisser une trace.
En revanche, s'agissant d'un avion militaire, il est normal qu'il n'apparaisse pas dans les relev�s publics et pas non plus dans le relev� radar du CNOA car celui-ci avait �t� fait sur une distance trop courte et ne peut plus �tre obtenu pass� un d�lai de deux mois.
Le CNOA n'a pas pu fournir de relev� op�rationnel de d�lestage, toutefois la recherche fut trop tardive (apr�s le temps n�cessaire d'enqu�te pour orienter vers hypoth�se) pour pouvoir la mener sur l'ensemble des escadrons de France. De plus, une telle op�ration n'a pas forc�ment fait l'objet d'un enregistrement car il ne s'agit pas toujours d'une op�ration critique s'agissant d'un avion militaire.
Dans ce contexte, l'absence d'enregistrement d'avion militaire et d'op�ration de d�lestage ne permet pas d'invalider l'hypoth�se qu'il y a lieu donc de retenir du fait de la forte concordance des aspects visuels (t�moin et photo) et de reconstitutions de trajectoires possibles (analyse photo).
La consistance est bonne, avec un t�moignage pr�cis et des photos qui ont pu �tre exploit�es.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable d'un d�lestage de k�ros�ne d'un avion militaire, s'effectuant � haute altitude (a priori pour limiter les impacts environnementaux sur la population).";"Observation et photographie d'une train�e orang�e et en courbe dans le ciel : observation probable d'un d�lestage de k�ros�ne d'un avion militaire, s'effectuant � haute altitude (a priori pour limiter les impacts environnementaux et sur la population).";O;;1;;1;;;;;2018-10-11;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.80;;0.60;0.00;B;B;2017-05-50381
4397;"POLIENAS (38) 10.06.2017";Is�re;38;"(D) D�partement";2017;06;10;"Le 10 juin 2017 � partir de 22h30, un couple (T1 et T2) observe depuis leur terrasse deux points lumineux et scintillants dans le ciel. L'observation aux jumelles montre une forme sph�rique et un effet gyroscopique. Les deux PAN sont �galement observ�s au t�lescope. Les t�moins observent ensuite deux autres sph�res dans une autre direction, ainsi que deux ou trois points pr�s des deux premiers. Comme la situation n'�volue pas, les t�moins cessent leur observation vers 23h15. A 23h30, les t�moins d�cident de faire une nouvelle observation, mais rien n'est visible. L'observation est refaite le lendemain � la m�me heure et dans les m�mes conditions. Le 12 juin, les t�moins renouvellent leur observation, mais plus rien n'est observable.
D'�tranget� faible et de bonne consistance (deux t�moins), ce cas s'av�re �tre une m�prise avec des �toiles des constellations du Scorpion et de l'Aigle, parfaitement visibles dans un ciel d�gag� (voir le compte-rendu d'enqu�te).
La position de ces �toiles par rapport aux �l�ments du paysage ainsi que leur configuration entre elles correspondent, en effet, parfaitement � celles des PAN. L'�tranget� pour les t�moins r�sulte essentiellement du caract�re � anormalement scintillants avec des couleurs (vert, rouge et blanche) en direction du Sud. Ces points semblaient fixes mais anim�s sur eux-m�mes �.
L'effet de scintillement est parfaitement explicable, car ces astres �taient alors proches de l'horizon. La description des �l�ments visibles aux jumelles et au t�lescope correspond quant � elle parfaitement � celle d'astres observ�s avec des appareils d�focalis�s. Le fait que les PAN soient vus deux nuits de suite, aux m�mes heures et dans les m�mes conditions, est parfaitement caract�ristique d'une m�prise astronomique, la non visibilit� le troisi�me jour peut s'expliquer par un changement de temp�rature r�duisant fortement la turbulence atmosph�rique et donc le scintillement. Les t�moins n'ont pas retrouv� cette configuration d'�toile lors de leur recherche ult�rieure sur un outil d'astronomie car ils ont m�moris� des hauteurs de PAN dans le ciel (45 � 50�) largement surestim�es par rapport � ce qu'ils avaient eux-m�mes rep�r� au voisinage des hauteurs des cimes (10 � 15�). La perception de d�placement dans le ciel des �toiles varie en fonction de leur position dans la vo�te, les t�moins ont tr�s probablement compar� le d�placement (Est-Ouest) des �toiles sources des PAN avec celui d'�toiles bien plus �lev�es dans le ciel donnant aux premi�res une impression d'immobilit�.
Toutes les �tranget�s relev�es trouvent une explication.
Le cas est class� A, m�prise avec des �toiles des constellations du Scorpion et de l'Aigle. ";"Observations � l'il nu et avec instruments de plusieurs sph�res lumineuses aux couleurs vari�es et d'intensit� variable dans le ciel nocturne : observations d'�toiles des constellations du Scorpion et de l'Aigle";O;;2;;;;;;;2018-09-05;;;0.10;0.00;;;0.80;;0.75;;0.60;0.00;A;A;2017-06-50384
4401;"AUXON (LES) (25) 19.06.2017";Doubs;25;"(D) D�partement";2017;06;19;"Le lundi 19 juin 2017 aux environs de 22h30-23h un t�moin observe l'apparition, dans le ciel, d'une lumi�re �tincelante en-dessous de V�nus. Son d�placement et sa disparition dans un halo l'intrigue. Apr�s 1/2h � 3/4h, le t�moin voit de nouveau le m�me ph�nom�ne presque � sa verticale. Une reconstitution photo sur le questionnaire est adress�e. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin donne des �l�ments tr�s pr�cis pour retrouver la trajectoire du PAN.
Le point le plus pr�cis est que cela se passe � droite et un peu plus bas que V�nus et dans la direction de vis�e donn�e par la reconstitution photo. Cette reconstitution nous permet d'�tablir que le rep�re indiqu� n'est pas V�nus mais Jupiter qui est aussi tr�s brillant ce soir l�. L'analyse des satellites visibles ce soir l� (voir document d'enqu�te -reconstitution-joint) nous permet d'en identifier un dont la trajectoire finale descendante correspond � celle d�crite par le t�moin dans sa reconstitution :
- il passe � droite de Jupiter (10 � 15� � droite).
- vers 22h50, soit dans le cr�neau horaire (peu pr�cis) donn� par le t�moin ( 22h30 23h).
Ce satellite (USA 234/FIA Radar 2) est visible mais � un niveau de luminosit� bien inf�rieur � celui indiqu� par le t�moin. Cependant, des satellites peuvent produire, en plus de leur luminosit� ""normale"", des ""flares"" c'est � dire des moments tr�s lumineux et fugitifs (quelques secondes � une minute de dur�e) r�sultant d'un effet miroir entre le soleil et un observateur au sol, effet miroir effectivement fugitif car conditionn� par l'orientation de la partie du satellite la plus plane et �tendue. Iridium est un satellite bien connu pour cela et dont les flares sont pr�dictibles car l'orientation est connue.
Le satellite ""en cause"" ici (USA 234/FIA Radar 2, d'origine militaire US et non d�taill� ; voir sur FIA-RADAR) est de ceux dont les flares ne sont pas ou peu pr�dictibles mais lui a heureusement fait l'objet de relev�s d'observation de flares de magnitude tr�s forte (plus brillant ou ""semblable � Venus"" comme note le pr�sent T�moin) :
- flash de magnitude -0,5, observ� le 02 mai 2012 en Ukraine (voir le d�tail de USA-234 (FIA RADAR2) bright flare seen.
- flash de magnitude -5 (!), observ� le 30 avril 2012 par le m�me observateur (voir les images.
- son jumeau FIA-Radar 1 flash� � la magnitude -1 et 0, le 25 mai 2015 (voir le document double flare from FIA-RADAR 1.
Le t�moin d�crit la pr�sence d'un halo gris lors de la disparition du PAN, halo qu'il est difficile d'expliquer autrement que par la conjonction de l'extinction du flare avec l'entr�e du satellite derri�re une l�g�re brume non notable par le t�moin le ciel �tant d�gag�. La correspondance entre la trajectoire du PAN et celle du satellite sujet � flare place cette explication satellite comme suffisamment probable pour �tre retenue malgr� cette �tranget� r�siduelle constitu�e par le halo.
Le t�moin d�crit un autre ph�nom�ne : ""1/2h 3/4h apr�s, presque � la verticale au-dessus de moi, j'ai vu �
nouveau ce curieux ph�nom�ne se renouveler mais avec le halo en moins"".
Nous avons bien un flare Iridium dans ce nouveau cr�neau horaire, mais il se produit � 34� de hauteur, hauteur non qualifiable de ""verticale"". Nous avons peu d'indication du t�moin pour ce deuxi�me ph�nom�ne. Plusieurs objets satellitaires passent pas loin de la verticale mais il aurait fallu plus de pr�cision sur cette ""verticale"" et aussi un sens de d�placement (qui doit exister puisque le t�moin le d�crit comme un m�me ph�nom�ne). Peut-�tre un de ces objets est susceptible de flare fugitifs. Nous n'avons pas assez d'information pour explorer sur ce deuxi�me PAN.
Il faut noter aussi qu'il est fr�quent qu'un t�moin dont la curiosit� a �t� mise en �veil apr�s un premier PAN note ult�rieurement une ou plusieurs �tranget�s en les associant � la premi�re et que l'on identifie ensuite comme n'ayant rien � voir et qui n'auraient pas �t� remarqu�es sans la r�elle �tranget� initiale.
En cons�quence le GEIPAN conclut :
- observation probable de satellite pour le premier PAN : B.
- t�moignage inexploitable par manque d'information fiable pour le deuxi�me PAN : C.";"Observations de lumi�res �tincelantes et furtives en d�placement dans le ciel nocturne : observation probable de satellite pour le premier PAN et t�moignage inexploitable par manque d'information fiable pour le deuxi�me PAN.";O;;1;;2;;;;;2018-10-11;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.80;;0.56;0.00;B;B;2017-06-50388
4407;"GIEN-SUR-CURE (58) 24.05.2017";Ni�vre;58;"(D) D�partement";2017;05;24;"Le 24 mai 2017, apr�s une soir�e pass�e avec un groupe d'astronomes pour observer Jupiter, deux t�moins sont intrigu�s par le d�placement particulier SSE-ENE d'un point tr�s lumineux dans le ciel qui s'�loigne et disparait.
Les t�moins ont tr�s probablement observ� le passage de la Station Spatiale Internationale (ISS). Cette derni�re se trouve dans les directions observ�es en d�but (SSE haut dans le ciel) comme en fin d'observation (ENE � l'horizon). L'heure indiqu�e en fin d'observation 23H45 est en d�calage de 8 min (fin de passage de ISS � 23H 37) et ce d�calage d�coule probablement d'un regard de la montre plus tard qu'� la fin de l'observation et/ou d'une avance de la montre. Compte tenu de l'intensit� de l'ISS dans le ciel (bien plus brillant que toute autre �toile) et de plus mobile, il n'est pas possible que les t�moins venus regarder un ciel �toil� et sans nuages ne l'aient pas observ�.
Le descriptif s'�carte en apparence d'un mouvement de satellite dans le ciel, car Il est fait mention de trajectoire courbe. Mais la description traduit l'erreur classique d'un t�moin consistant � interpr�ter une �volution d'intensit� lumineuse comme un rapprochement ou �loignement radial (c'est � dire en direction du t�moin) du PAN, si bien que la courbure de trajectoire n'est pas vue dans le ciel (en �volution rapide d'azimut et hauteur) mais imagin�e en direction du t�moin. Les expressions traduisent bien ce ph�nom�ne:
- T�moin 1: "" il descendait vers nous tout en grossissant"", "" la boule s'�loignait tr�s vite vers le nord/nord Est, en montant haut dans le ciel jusqu'� devenir de la taille d'une �toile, puis un petit point brillant � peine discernable, puis plus rien"".
-T�moin 2: ""un objet lumineux et mobile se dirigeant vers nous"",""arriv�e plongeante"", ""il s'�loigne droit devant nous sans descendre ni remonter pour disparaitre"".
Le dessin de reconstitution de trajectoire fourni par le t�moin 2 (voir questionnaire) pr�sente un PAN venant de ESE et de dirigeant tout droit vers les t�moins pour tourner ensuite et repartir tout droit vers ENE. Un t�moin ne peut d�tecter une �volution radiale d'un objet inconnu, il ne peut que l'interpr�ter, souvent � tort, en fonction de l'�volution concomitante de sa grosseur ou de sa luminosit�. Ici la luminosit� de ISS a pu croitre tr�s fortement vers son passage au maximum de luminosit� en position Est-Sud-Est et haut dans le ciel, cr�ant ainsi la ""phase plongeante de l'observation "" pour ensuite d�croitre en intensit� probablement plus lentement que lors de sa croissance.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A: observation de la station spatiale internationale (ISS).";"Observations du d�placement particulier d'un point lumineux dans le ciel : observations de la Station Spatiale Internationale (ISS).";O;;;;;;;;;2017-12-04;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.60;;0.45;0.00;A;A;2017-05-09692
4408;"SAUTO (66) 16.02.1978";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";1978;02;16;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque en cas de type � D � et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification explicit� dans une note d'enqu�te.
Ce cas d'observation anciennement nomm� MONT LOUIS (66) 1978 fait partie des cas D r�cemment revisit�s.
Le 26 f�vrier 1978, un t�moin fait part � la gendarmerie d'une observation d'un PAN faite le 16 f�vrier � 6h40 pendant une minute. Alors qu'il conduit son camion sur la RN 116 sur la commune de SAUTO (66), le t�moin aper�oit devant lui, au-dessus de la vall�e de la T�t, un ph�nom�ne lumineux qu'il ne s'explique pas. Il s'arr�te et descend de son v�hicule. D'abord fixe au-dessus de la vall�e, � l'horizontale du regard du t�moin le PAN part ensuite � tr�s grande vitesse vers le Nord-Nord-Est, sans bruit, en passant au-dessus du t�moin. Le PAN est alors accompagn� d'une tra�n�e lumineuse, compar�e � celle des fus�es d'artifice. Un deuxi�me PAN, de forme ovo�de et de couleur m�te fonc�e, suit le premier PAN.
L'enqu�te men�e sur place par la gendarmerie n'a pas permis de retrouver d'autre t�moin. Aucune anomalie sur le r�seau EDF n'a �t� relev�e. Aucune trace au sol ou sur la v�g�tation dans les lieux environnant n'est trouv�e.
Le ph�nom�ne d�crit pr�sente beaucoup de caract�ristiques communes (dur�e d'observation, forme, taille, couleur, trajectoire) avec un ph�nom�ne astronautique rare : une rentr�e satellitaire. De plus, il y avait effectivement une rentr�e satellitaire sur la trajectoire et � l'horaire indiqu�, le 15 f�vrier 1978 : celle de Cosmos 250 (voir les notes d'enqu�te).
Les donn�es m�t�orologiques en date du 15 f�vrier 1978 sont coh�rentes avec celles du t�moin, ce qui n'est pas le cas pour celles du 16 f�vrier, ce qui accr�dite l'erreur de date.
La position de d�part du PAN est point�e dans le rapport de gendarmerie sous l'horizon, avec une mention � d'apr�s les dires du t�moin �. Ceci ne serait pas compatible d'une rentr�e atmosph�rique. Hors le t�moin ne dit pas directement que le PAN �tait sous l'horizon mais semble le d�duire (� � l'horizontale de mon regard, donc en dessous des sommets des montagnes environnantes �) en se souvenant surtout que c'�tait � l'horizontale de son regard, ce qui est une notion peu pr�cise.
La parfaite coh�rence entre la trajectoire du PAN, son horaire et celle de la rentr�e atmosph�rique de Cosmos 250 le 15 f�vrier 1978 ne laisse pas de doute sur la m�prise.
Ce cas est moyennement consistant (un seul t�moin), la description du PAN observ� est moyennement pr�cise. La sinc�rit� et la cr�dibilit� du t�moin n'ont jamais �t� mises en doute. Celui-ci, de par son t�moignage tardif, s'est cependant tromp� de date d'observation, et a mal m�moris� la position initiale du PAN par rapport � l'horizon, ce qui est parfaitement compr�hensible.
Dans la classification actuelle du GEIPAN, ce cas d'�tranget� faible est class� comme PAN A, observation li�e avec une m�prise avec une rentr�e atmosph�rique artificielle, impliquant le satellite Cosmos 250.";"Observation du d�placement silencieux et � grande vitesse d'un objet lumineux suivi d'une train�e et d'un second objet ovoide mat ; erreur date du jour : m�prise avec une rentr�e atmosph�rique artificielle, impliquant le satellite Cosmos 250.";O;;;;;;;;;2017-07-28;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.60;;0.42;0.00;A;A;1978-02-00485
4430;"BETHONCOURT (25) 08.05.1993";Doubs;25;"(D) D�partement";1993;05;08;"Le 8 mai 1993 vers 22h30 trois t�moins observent dans le ciel une grosse boule lumineuse rouge qui se d�place silencieusement et lentement en �mettant tout autour d'elle des rayons de la m�me couleur. Au bout de 2 � 3 minutes, la boule disparait rapidement pour ne devenir qu'un petit point lumineux dans le ciel d�gag�.
Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli, aucune autre pr�cision n'a pu �tre collect�e sur ce ph�nom�ne par la gendarmerie. Le cas est class� C : manque d'information.";"Observations d'une boule rouge se d�pla�ant lentement dans le ciel : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-08-31;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;1993-05-01298
4434;"LANNION (22) 23.07.2017";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";2017;07;23;"Le dimanche 23 juillet 2017 � 23h27 un t�moin et sa compagne observent durant moins d'une minute le lent d�placement d'un point lumineux blanc sur une trajectoire Ouest-Est dans le ciel d�gag�. L'intensit� du point diminue au fur et � mesure de sa progression. Un seul t�moignage est recueilli.
L'observation du t�moin est extr�mement pr�cise en date et position dans le ciel ! Elle correspond exactement au passage de la Station Spatiale Internationale (ISS) relev� sur Calsky). L'ISS effectivement est � la plus forte intensit� lorsque qu'elle est d�couverte par le t�moin en SE vers 70� de hauteur, pour ensuite se coucher vers l'EST en d�croissant d'intensit�.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation de la Station Spatiale Internationale (ISS).";"Observation dans le ciel du d�placement d'un point lumineux blanc d'Ouest en Est avec diminution progressive de l'intensit� : observation de la Station Spatiale Internationale (ISS).";O;;;;;;;;;2017-10-23;;;0.05;0.00;;;0.80;;0.80;;0.70;0.00;A;A;2017-07-09698
4435;"DAUSSE (47) 18.01.2010";Lot-et-Garonne;47;"(D) D�partement";2010;01;18;"Deux t�moins voisins observent un ph�nom�ne lumineux de plusieurs couleurs qui les intrigue. Le ph�nom�ne lumineux est pr�sent dans la m�me zone du ciel pendant plusieurs heures.
Les caract�ristiques d�crites par les t�moins correspondent � celles bien connues de l'observation d'un ph�nom�ne astronomique. Le niveau d'�tranget� de l'observation est faible et Sirius se trouve bien dans la zone de ciel observ�.
Ce cas est totalement expliqu� et class� A comme l'observation de l'�toile Sirius.";"Observations d'un ph�nom�ne lumineux : observations astronomiques de Sirius.";O;;;;;;;;;2017-08-31;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2010-01-02550
4441;"EMERAINVILLE (77) 04.08.2017";Seine-et-Marne;77;"(D) D�partement";2017;08;04;"Le 4 aout 2017 entre 13h55 et 14h10 un t�moin est intrigu� par un objet � l'altitude des vols de croisi�re des avions de ligne. Le t�moin distingue avec ses jumelles, fixe dans le ciel, un cylindre vertical avec la partie sup�rieure (1/3 du cylindre) rouge-orang�e, la partie inf�rieure (2/3 du cylindre) blanc, jusqu'� qu'un gros nuage venant du Sud-Ouest le cache. Deux avions passent pratiquement � la verticale de l'observation, l'un venant l'Ouest allant vers l'Est, l'autre venant du Sud est allant vers le Nord-Ouest. Une fois, le nuage dissip�, l'objet observ� n'y est plus. Le t�moin pense � un drone bien que l'altitude de l'objet est haute. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
L'�tranget� per�ue par le t�moin semble r�sider dans la stationnarit� de l'objet, sa forme, sa disparition.
La stationnarit� est difficile � appr�cier. Le t�moin indique que le nuage est venu recouvrir le PAN, l'�volution relative entre nuage et avion peut tout aussi bien �tre due (pour partie au moins) au d�placement du PAN vers le nuage.
Il est classique qu'un avion de ligne apparaisse selon un cylindre ou cigare sans aile. L'�clairement du soleil trouve assez continument des conditions de reflet sur une surface cylindrique ou arrondie (carlingue, nez d'avion) alors que les reflets sur les ailes sont certes beaucoup plus forts (plus grande surface en miroir) mais extr�mement fugitifs (tout ou rien).
L'appr�ciation de verticalit� du cylindre est toute subjective, si l'avion �volue dans le plan contenant la vis�e du t�moin, la carlingue apparait en vertical. Si ce plan est transverse � la vis�e, la carlingue apparait en horizontal.
Un avion � haute altitude, sans train�e derri�re lui, peut �tre distinguable un moment du fait du reflet de l'�clairage soleil sur l'avion, et devenir invisible un peu plus tard du fait de l'�volution de ce m�me reflet. Et d�s lors qu'il disparait de l'il nul, il devient impossible de refixer des jumelles dessus.
Il convient de signaler que le t�moin est situ� dans un lieu � fort trafic a�ronautique de toute altitude (au moins � cette heure de la journ�e) et que l'observation de ce trafic dans le ciel l'a d�j� conduit � des sensations de forte �tranget� � l'origine d'un t�moignage au GEIPAN (EMERAINVILLE (77) 05.06.2017).
D�s lors qu'il est v�rifi� (ici par l'analyse du contexte a�ronautique) que l'observation elle m�me ne rapporte rien d'�trange, le GEIPAN ne consacre pas plus de ressource � identifier plus pr�cis�ment une hypoth�se avion (quel avion exactement) tellement sa probabilit� est importante.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : Avion.";"Observation d'un objet cylindrique et vertical avec des couleurs vari�es dans le ciel nuageux : observation d'un avion.";O;;;;;;;;;2017-10-23;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.60;;0.40;0.00;A;A;2017-08-09706
4447;"CANNET (LE) (06) 29.07.2017";Alpes-Maritimes;06;"(D) D�partement";2017;07;29;"Le 30 juillet 2017 vers 17h30 � LE CANNET (06) quatre personnes observent, � l'il nu puis aux jumelles, les d�placements rapides de quatre points tr�s brillants dans le ciel d�gag�. De nombreuses photos sont faites de ces objets qui intriguent fortement les t�moins. L'observation dure environ 13 minutes avant que certains objets ne disparaissent subitement ou que d'autres soient perdus de vue cach�s par des arbres. Un seul t�moignage sera recueilli.
Toutes les donn�es objectives collect�es sont coh�rentes avec l'hypoth�se de ballons festifs port�s par le vent (voir le compte-rendu d'enqu�te). Les photos permettent de clarifier la chronologie de l'observation.
Les facteurs d'�tranget� v�cue par les t�moins peuvent �tre expliqu�s par la :
- brillance du PAN : par l'�tat de surface type Mylar, qui r�fl�chit bien le soleil ;
- disparition subite : du fait de l'�tat de surface (type miroir), il suffit que l'exposition du soleil diminue (passage de nuages � l'Ouest qui cachent momentan�ment le soleil) pour que le ballon devienne moins lumineux et non distinguable compte-tenu par ailleurs de la forte brillance du fond de ciel (�blouissement rapport� par les t�moins) derri�re le ballon ;
- vitesse apparente �lev�e : les photos prises permettent d'estimer la vitesse r�elle dans le cadre de notre hypoth�se et sont dans la plage de la vitesse des rafales de vent � ce moment-l�. T1 a consid�r� (et non vu) que le PAN 1 s'�tait d�plac� sur une grande distance, mais en oubliant que ce pouvaient �tre deux PAN diff�rents (ces ballons sont souvent lanc�s � plusieurs), car il n'y a pas eu observation continue.
En cons�quence GEIPAN classe le cas en A : observation de ballons Mylar.";"Observation du d�placement de plusieurs objets tr�s lumineux et aux formes multiples volant dans le ciel d�gag� : observation de ballons Mylar.";O;;1;;4;;;;;2018-11-05;;;0.15;0.00;;;0.80;;0.80;;0.65;0.00;A;A;2017-07-50405
4458;"CAUMONT-SUR-DURANCE (84) 19.08.2017";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2017;08;19;"Le 19 aout 2017 entre 22h et 22h10 un t�moin et sa femme sur la terrasse de leur appartement au 2eme �tage observent le d�placement d'une vingtaine de points lumineux blancs �voluant en formation sur une trajectoire rectiligne dans le ciel d�gag�. Aucun bruit, aucune train�e ne sont remarqu�s durant le d�placement � vive allure. L'observation dure environ 3 � 4 minutes, le ph�nom�ne s'�loignant vers le Sud. Le t�moin contactera l'a�rodrome d'Avignon et la gendarmerie sans r�sultat. Le t�moin r�fute les hypoth�ses drone, lanternes thailandaises, avion, d�bris spatial. Un seul t�moignage sera recueilli sur ce ph�nom�ne.
La description est conforme � celle d'un vol de lanternes tha�landaises. L'objection du t�moin � cette hypoth�se tient essentiellement � la vitesse qu'il �value de l'ordre de celle d'un avion. Un t�moin ne per�oit qu'une vitesse angulaire. Ici le d�placement est du Nord au Sud sur 60� � la verticale en 4 minutes. Pour une lanterne tha�landaise �voluant � 100 m de haut, cela fait un d�placement de l'ordre de 200 m, soit une vitesse d'environ 3 km/h. Le double de ces valeurs pour une lanterne volant � 200 m d'altitude, ce qui semblerait plus le cas puisque le t�moin distingue plus des points lumineux que des formes. Hors le vent mesur� dans la station proche de quelques kilom�tres aux Cabannes sur Infoclimat est justement orient� du Nord au Sud avec une vitesse entre 3 et 6 km/h. La station t�moigne aussi de rafales � 12 Km/h compatibles d'une hypoth�se de vol � plus haute altitude (jusqu'� 500 m) o� l� effectivement l'aspect des lanternes se rapproche d'�toiles.
Notons pour parfaire l'hypoth�se que nous sommes en �t�, un soir de weekend, moment propice aux manifestations festives comme des l�chers de lanternes.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : lanternes thailandaises.";"Observation du d�placement silencieux N-S d'un groupe d'une vingtaine de points lumineux blancs : probable observation de lanternes thailandaises.";O;;;;;;;;;2017-10-24;;;0.30;0.00;;;;;;;0.60;0.00;B;B;2017-08-09722
4459;"PARIS (75) 21.08.2017";Paris;75;"(D) D�partement";2017;08;21;"Les 21 et 22 ao�t 2017 entre 21h et 23h un t�moin sur son balcon au 8eme �tage, est intrigu� par la pr�sence stationnaire et le d�placement de lumi�res qu'il filme et prend en photo. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moignage comportait une certaine �tranget� puisqu'il laissait penser que les lumi�res individuelles �taient stationnaires sur une dur�e importante. En fait le t�moin contact� au t�l�phone pr�cise bien que chacune d'elle prise individuellement ne dure qu'au plus une voire deux minutes. Le m�me contact permet de connaitre l'orientation de l'observation qui est globalement Sud depuis Paris Xeme (indications contradictoires dans le questionnaire, le t�moin indique le PAN en NE). Ces deux �l�ments conduisent naturellement � l'hypoth�se de phares d'avion en atterrissage sur Orly. En effet le trafic montre de nombreuses configurations d'avions en approche d'Orly vers le Nord et donc avec les phares vers Paris. L'altitude de vol est alors entre 1000 m et 3000 m et la distance � Paris de 20 � 60 km. Avec une vitesse de d�placement de 400 K/H, l'avion peut rester au voisinage d'un m�me cap vers Paris (et donc avec effet de quasi-stationnarit� vu de Paris) sur 20 km soit d�j� 3 minutes. Les altitudes correspondent � une hauteur dans le ciel de quelques degr�s pour un t�moin � Paris � vue d�gag�e au-dessus des toits, hauteur de PAN conforme aux photos et vid�os de l'observation.
L'hypoth�se avion ne fait aucun doute, moins encore lorsque le t�moin pr�cise au t�l�phone qu'au moins pour une des lumi�res cette �volution a conduit � percevoir et reconnaitre les lumi�res vertes et rouges d'un avion.
On peut se demander pourquoi la m�prise survient un soir pour un t�moin habitant le m�me appartement depuis plus de 10 ans.. Mais on peut tout autant se demander pourquoi le t�moin n' a pas mentionn� dans son t�moignage la pr�sence de lumi�res avion associ�es � l'un des PAN et pourquoi il situe les PANs au Nord Nord-Est pour une observation depuis un bacon donnant au Sud.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : avion.";"Observations successives de la pr�sence et du d�placement de lumi�res dans le ciel parisien : observations d'avions.";O;;;;;;;;;2017-10-23;;;0.10;0.00;;;0.50;;0.50;;0.25;0.00;A;A;2017-08-09732
4461;"METZ (57) 17.07.2015";Moselle;57;"(D) D�partement";2015;07;17;"Le 17 juillet 2015 � 22h30 cinq personnes sont intrigu�s par la pr�sence d'un objet rond de couleur orange pr�s d'un nuage orageux. Le ph�nom�ne lumineux part au bout de 10 minutes. Il revient et disparait de nouveau. Des avions de chasse sont vus � ce moment l�. Les photos prises avec des t�l�phones portables ne sont pas exploitables. Un seul t�moignage est recueilli.
L'�tranget� de ce cas est surtout cr��e par la simultan�it� de l'observation des PANS avec deux ph�nom�nes connus (orage et avions de chasse) que le t�moin associe inconsciemment, alors que rien n'indique qu'il existe un lien entre les trois ph�nom�nes � part une concomitance temporelle et spatiale (voir le compte rendu d'enqu�te).
Le t�moignage est faiblement consistant, peu de donn�es �tant relev�es et exploitables.Les conditions d'observation sont par ailleurs mauvaises, de nuit.
Bien que certains indices font penser � une confusion avec deux lanternes tha�landaises, ce cas est � classer en � C� comme observation d'un ph�nom�ne pour lequel l'absence de donn�es concr�tes et exploitables ne permet pas de conclure.";"Observation discontinue d'un ph�nom�ne lumineux orang� dans un ciel orageux : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-08-30;;;0.43;0.00;;;0.80;;0.80;;0.48;0.00;C;B-;2015-07-09239
4469;"PUYMOYEN (16) 27.08.2017";Charente;16;"(D) D�partement";2017;08;27;"Le 27 ao�t 2017 vers 22h30 deux t�moins en plein nature observent le ciel �toil�. Ils sont intrigu�s par les �volutions par saccades de ph�nom�nes lumineux dans une partie restreinte du ciel. Deux t�moignages sont recueillis.
L'observation traduit tr�s peu d'�tranget� :
- lorsqu'on fixe intens�ment une �toile (T1 dit "" je me suis mis � regarder une �toile"" T2 dit ""T1 est bloqu� sur une �toile""), il est classique d'avoir l'impression qu'elle bouge, c'est le ph�nom�ne d'autocin�tique . Par ailleurs, le mode de rep�rage du mouvement (""je prenais des rep�res dans le ciel, les nuages ou avec mon doigt sans le bouger"") est peu fiable surtout en pr�sence de vent changeant et donc de d�placement non r�gulier des nuages (la station m�t�o d'Angoul�me enregistre un changement � 90� entre 22h et 23h00 (voir sur Infoclimat.
- qu'une �toile soit accompagn�e de deux autres �toiles moins brillantes en position de triangle n'a rien d'�trange pourvu que les conditions d'observation soient bonnes et permettent de distinguer aussi les �toiles de faible intensit�. L'effet d'autocin�tique n'est pas forc�ment le m�me pour chacune des �toiles car peut d�pendre de leur intensit�.
- l'observation dure 40 minutes et le PAN �volue de NO forte �l�vation � N0 �l�vation 15� inf�rieure, ce qui correspond au mouvement des �toiles (et exclut une hypoth�se de satellites).
Le fait que T2 confirme les perceptions de T1 quant au d�placement n'objective en rien ce d�placement. L'autocin�tique donne une perception de d�placement mais dont le sens et l'intensit� est peu quantifiable et facilement sous l'influence de la perception d'autrui. En l'�tat, pour s'opposer � l'hypoth�se d'autocin�tique, il faudrait un enregistrement de photos, ou deux relev�s ind�pendants, pr�cis et chronom�tr�s montrant une concordance. Et m�me dans ce cas, l'origine ""nuages"" de ces d�placements resterait l'hypoth�se la plus probable vu le mode de rep�rage utilis�.
On peut se demander si la connaissance pr�alable d'un t�moignage en apparence bien plus �trange dans ce m�me lieu et portant aussi sur un triangle n'a pas influenc� la perception d'�tranget� de T1.
Enfin le t�moignage est de consistance moyenne dans la mesure o� ce qui fait l'�tranget� (le d�placement en saccade, la formation en triangle) est peu pr�cis en g�om�trie (pas de dessin ou valeurs de d�placement et s�parations angulaires) et s�quencement (on sait seulement que cela se tient dans une plage de 40mn).
En cons�quence, le GEIPAN classe le cas en A: observation d'�toiles.
";"Longues observations des �volutions de ph�nom�nes lumineux dans le ciel nocturne : observations d'�toiles.";O;;;;;;;;;2018-03-01;;;0.20;0.00;;;0.60;;0.70;;0.42;0.00;A;A;2017-08-09739
4463;"SAINT-PAUL (974) 24.06.2017";"La R�union";974;"(D) D�partement";2017;06;24;"Lors d'une s�ance d'astrophotographie au piton Maido sur l'ile de La R�union, un t�moin observe durant ses prises de vue un ph�nom�ne lumineux particulier. Le t�moin d�crit le trac� d'une �toile filante qui se transforme en c�ne de lumi�re blanche intense pour finir en n�bulosit� sph�rique dont la trace met plusieurs minutes � s'estomper. Le t�moin nous adresse ses photographies. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a observ� le passage puis la passivation du dernier �tage du lanceur Falcon 9 lanc� le 23 juin 2017 (voir la vid�o concernant ce lancement ici).
Le lancement a eu lieu � 19:10 (TU) en Floride soit � 23:10 en heure locale de La R�union. Le lanceur part vers l'Est le long de l'�quateur et un heure plus tard, au moment de l'observation � La R�union, il est d�j� � 8000 ou 10000 km d'altitude, �clair� par le soleil et donc visible depuis une large zone au sol et en particulier en plein Est de La R�union.
L'enregistrement photo du t�moin,reconstitu� dans le ciel d'apr�s les �toiles photographi�es (voir la carte de reconstitution), montre la trajectoire orient�e plein Est, lin�aire, et descendante vers l'horizon puisque le lanceur va prochainement passer derri�re la terre (vu de La R�union).
Le c�ne de lumi�re sur la photo correspond � une �jection de gaz de passivation du lanceur (vidange des r�servoirs) selon un volume grandissant de gaz (traduit en c�ne sur la photo du fait du temps de pose de 40 sec). La disparition du reflet du lanceur provient probablement de sa rotation (naturelle ou op�r�e au m�me moment que la passivation) changeant l'effet miroir du soleil.
Le ph�nom�ne est connu et a fait l'objet de plusieurs t�moignages, dont un depuis La R�union dans une g�om�trie similaire (il s'agissait d'un lancement Ariane depuis Kourou : voir le cas ENTRE-DEUX (974) 21.08.2015 sur le site GEIPAN). Voir aussi l'article de Ciel des Hommes : Halo lumineux dans le ciel de l'Oc�an Indien le 29 septembre 2013.
Les �l�ments et les pr�c�dents nous permettent de classer ce cas en observation de ""Fus�e"" sans devoir engager plus de ressources d'investigation GEIPAN (en particulier pour la reconstitution fine de la position dans le ciel de Falcon 9 vu du t�moin).
Le GEIPAN classe le cas en A : fus�e.";"Observation lors d'une s�ance d'astrophotographie d'un trait puis d'un c�ne lumineux dans l'espace : observation du passage puis de la passivation du dernier �tage du lanceur Falcon 9.";O;;;;;;;;;2017-10-23;;;0.15;0.00;;;0.80;;0.80;;0.70;0.00;A;A;2017-06-09735
4479;"BARCARES (LE) (66) 05.09.2017";Pyr�n�es-Orientales;66;"(D) D�partement";2017;09;05;"Alors qu'il p�che de nuit sur la plage du Barcar�s, un t�moin � 21h13 observe le d�placement rectiligne d'une boule lumineuse orange tr�s vif qui disparait rapidement dans les nuages. Un seul t�moignage est recueilli. Le t�moin r�cup�re deux photos aupr�s d'un touriste.
Le t�moin a tr�s probablement observ� une lanterne thailandaise. L'aspect est conforme de part la forme, le type de lueur qui peut �tre non homog�ne, et aussi de la grosseur qui n'est jamais trop grosse (le t�moin dit ""plus faible que la Lune"" en se trompant sur la mesure qui ne peut pas �tre 3 cm � bout de bras).
Par ailleurs le vent mesur� ce soir l� � Perpignan est parfaitement dans la direction de la trajectoire fid�lement reconstitu�e par le t�moin (voir Infoclimat).
On est d�but septembre, dans un lieu de vill�giature, le lieu et la date sont propices � des �v�nements festifs de type l�cher de lanternes.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : lanterne thailandaise.";"Observation du d�placement rectiligne et silencieux d'une boule lumineuse orange tr�s vif et disparition dans les nuages : probable observation d'une lanterne thailandaise.";O;;;;;;;;;2017-11-28;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.80;;0.60;0.00;B;B;2017-09-09744
4537;"MEURSAULT (21) 01.11.2005";C�te-d'Or;21;"(D) D�partement";2005;11;01;"Le 1er Novembre 2005 entre 18h25 et 18h 45 des t�moins aper�oivent dans le ciel un ph�nom�ne lumineux particulier sous la forme d'une boule tr�s lumineuse blanche avec deux points rouge de chaque cot�. Ce ph�nom�ne se d�place vers le Sud-Ouest tr�s lentement et sans bruit sans changer de direction. La m�me observation sera faite deux semaines plus tard par la m�me personne. La brigade de gendarmerie sur place constatera la pr�sence d'une �toile.
Le t�moin lors de sa premi�re observation � probablement fait �galement une observation astronomique.
L'examen de la carte du ciel � l'heure de l'observation montre un ensemble de conjonction entre V�nus, Mercure, Uranus et Antar�s avec V�nus particuli�rement brillante (magnitude -3). Il est donc tr�s probable que le t�moin ait observ� cet ensemble de plan�tes et �toiles qui commen�ait � briller dans le soleil couchant.
Le GEIPAN classe le cas en B : probables observations astronomiques.";"Observations successives de ph�nom�nes lumineux dans le ciel nocturne : probables observations astronomiques.";O;;2;;;;;;;2017-12-04;;;0.38;0.13;;;;;;;0.65;0.35;B;B;2005-11-01729
4465;"FREJUS (83) 25.08.2017";Var;83;"(D) D�partement";2017;08;25;"Le 25 ao�t 2017 � 02h15 (heure confirm�e par T2) deux t�moins observent dans le ciel nocturne la pr�sence de lumi�res de couleur (une rouge et une verte) qui les intrigue. D'abord per�ues comme stationnaires ces deux lumi�res se d�placent conjointement en changeant de trajectoire et sont vite cach�es par le paysage. Aucun bruit n'est entendu.
Les t�moins ont tr�s probablement observ� un a�ronef, les lumi�res rouges et vertes �tant celles des feux de navigation, en effet :
- les deux lumi�res sont toujours vues c�te � c�te ou accol�es,
- lors du d�placement final vers la droite, il n'y a plus que la lumi�re verte, comme il se doit pour un a�ronef dont le feu de position droit et vert est le seul visible quand l'avion vole transversalement � basse �l�vation (cas ici, l'avion passe dispara�t ensuite derri�re des arbres) vers la droite, le feu gauche et rouge �tant alors cach� par la carlingue.
Les arguments qui conduisent T1 � exclure un a�ronef sont l'absence de bruit et de clignotement (""Un h�licopt�re ou un avion sont aussi � proscrire, vu le silence et l'absence de clignotement des lumi�res""). Or, la perception de bruit d�pend de multiples facteurs dont la distance (les t�moins pensent peut-�tre le PAN plus proche qu'il n'est), le vent qui peut �tre contraire au bruit (c'est le cas ici avec un vent d'Est relev� sur M�t�ociel) alors que les t�moins regardent vers l'ouest et aussi de la forte attention visuelle engendr�e par l'�tranget� qui peut se faire au d�pend de l'attention ou m�morisation auditive (de nombreux exemples existent au GEIPAN).
De plus, les feux de navigation vert et rouge ne clignotent pas, le clignotement d'un avion provient des feux anti-collision blancs (""strobes""). Si les premiers sont obligatoires en toute phase de vol, ce n'est pas le cas pour les seconds. On peut aussi avoir un doute sur la perception de non clignotement, au moins pour une partie de l'observation, car T2 dit "" Puis j'avais vu clignoter aussi une lumi�re verte"".
La force des �l�ments en faveur (feux de navigation vert et rouge) et le caract�re discutable et non d�terminant des �l�ments d'objection (absence de bruit et de clignotement) conduisent � retenir l'hypoth�se d'a�ronef.
L'aspect stationnaire et oscillant du PAN plaide en faveur d'un h�licopt�re, qui se serait majoritairement pr�sent� sur son cot� gauche (feu de navigation rouge) avant de pivoter partiellement d'abord (deux lumi�res rouges et vertes) avant de partir sur la droite en pr�sentant unique son cot� droit (feu vert).
Cet a�ronef n'appara�t pas dans les relev�s de trafic commercial mais ces derniers ne sont pas d'une fiabilit� absolue et un h�licopt�re est le plus souvent non commercial. Il s'agirait donc plut�t d'un vol priv� ou de s�curit� civile ou de transport m�dical ou encore d'origine militaire. La demande de trace radar aupr�s des services de circulation a�rienne (CNOA) a �t� faite trop tardivement et le GEIPAN sait aussi par exp�rience que les vols � basse altitude (cas ici) peuvent ne pas donner de traces radar.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B et conclut : observation tr�s probable d'un a�ronef. ";"Observations de la pr�sence � basse altitude de deux lumi�res rouge et verte accol�es avec des mouvements d'oscillations et un changement de trajectoire : probable observations d'un a�ronef.";O;;2;;1;;;;;2018-11-06;;;0.25;0.00;;;0.70;;0.60;;0.45;0.00;B;B;2017-08-50415
4487;"SALIGNAC-EYVIGUES (24) 10.09.2017";Dordogne;24;"(D) D�partement";2017;09;10;"Le 10 septembre 2017 � 22h26 un t�moin sur sa terrasse aper�oit une lumi�re � basse altitude en direction de l'Ouest. Tr�s vite le t�moin constate que cette lumi�re se dirige dans sa direction et voit une forme triangulaire. Il rentre alors pr�cipitamment chez lui pour chercher des jumelles. De son observation avec cet instrument le t�moin d�crit un objet triangulaire, de couleur orang� mais avec des extr�mit�s plus lumineuses tirant sur le blanc. Le d�placement est silencieux sur une trajectoire rectiligne Ouest-Est. L'observation dure une quinzaine de secondes avant que le t�moin ne perde de vue l'objet sans pouvoir expliquer sa brusque disparition (peut-�tre cach� par un nuage). Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli.
Le t�moin a probablement observ� une lanterne tha�landaise. En effet, toutes ces caract�ristiques :
- la couleur orang�e,
- le sens de d�placement vers l'Est, conforme au vent mesur� dans l'ensemble des stations m�t�o autour (malheureusement aucune n'a des donn�es disponibles � moins de 25 km (ici celle de Gourdon � 25km prise sur Infoclimat) qui a toujours une forte composante vers l'EST � cette heure-l�,
- la date un dimanche soir d'�t�, propice aux �v�nements festifs.
sont autant d'�l�ments en faveur de cette hypoth�se.
Les objections du t�moin � cette hypoth�se r�sistent gu�re � l'exp�rience du GEIPAN en t�moignages de lanternes :
- une lanterne peut �tre unique,
- la vitesse peut �tre r�guli�re et soutenue, cela d�pend du vent � l'altitude de vol (100 � 300 m),
- on n'observe pas toujours les flammes, et pas mieux sous la verticale de la lanterne car celles-ci peuvent �tre cach�es par le br�leur,
- les lanternes peuvent avoir des formes ou sections diverses, en particulier dans leur partie haute, dont triangulaire, carr�e voire en forme de cur (voir un site marchand ),
- la couleur de la lanterne n'est pas uniforme, car le papier peut avoir des modulations de couleur, notamment si la forme est non r�guli�re.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B: lanterne tha�landaise.
";"Observation du passage silencieux d'un objet triangulaire orang� dans le ciel nocturne : observation d'une lanterne tha�landaise.";O;;;;;;;;;2018-03-01;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.60;;0.36;0.00;B;B;2017-09-50430
4488;"CHATELARD (LE) (73) 05.10.2017";Savoie;73;"(D) D�partement";2017;10;05;"Le 05 octobre 2017 � 13h30 un t�moin, allong� sur le sol lors d'un exercice sportif, est surpris par la vitesse de passage Ouest-Est d'une boule blanche opaque. Le t�moin ne remarque aucune trace dans le ciel laiss�e par le ph�nom�ne. Aucun bruit n'est entendu. L'observation dure entre 15 et 20 secondes. Un seul t�moignage pour ce ph�nom�ne a �t� recueilli.
L'observation du t�moin pourrait correspondre au passage d'un bolide (m�t�ore de grande intensit� lumineuse) bien que nous n'avons pas trouv� la trace formelle de ce passage.
Les bolides de jour sont plus difficiles � voir, certains peuvent �tre identifi�s (cam�ras ou radar) sans jamais avoir fait l'objet de t�moignages humains. La position allong�e du t�moin au calme (exercice respiratoire) a sans doute favoris� l'observation. L'aspect d�crit pourrait correspondre mais la dur�e indiqu�e para�t longue et aurait n�cessit� des pr�cisions.
Le t�moin n'a pas donn� suite notre demande de remplir notre questionnaire. De ce fait, le GEIPAN n'est pas en mesure d'explorer plus cette hypoth�se ou une autre.
Le GEIPAN classe ce cas C : manque d'information fiable.";"Observation du passage rapide Ouest-Est d'une boule blanche opaque sans trace dans le ciel : manque d'information.";O;;1;;1;;;;;2018-10-11;;;0.30;0.00;;;0.50;;0.50;;0.25;0.00;C;B-;2017-10-50431
4500;"PLERIN (22) 31.12.1994";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1994;12;31;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� PLERIN (22) 29.12.1994 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Ce cas �tait constitu� de diff�rentes observations faites entre le 28 et le 31 d�cembre 1994 en soir�e ou en d�but de journ�e dans les Cotes-d'Armor : 4 t�moins (T1, T2,T3,T4) rapportent en gendarmerie leurs observations qui seront toutes consign�es dans le m�me proc�s-verbal. La note d'enqu�te ci-jointe d�taille toutes les observations et tous les ph�nom�nes observ�s.
L'ensemble des observations est peu consistant avec des descriptions peu pr�cises.
Le r�examen conduit � distinguer 3 ph�nom�nes distincts :
- PAN 1 observ� par T1 et T2 le 29 d�cembre 1994 entre 19h00 et 19h30.
- PAN 2,3,4 vus par T3 les 29, 30 et le 31 d�cembre entre 6H et 6H45 (avec T4 le 31 d�cembre).
- PAN 5 vu par T3 et T4 le 31 d�cembre et PAN 6 par T4 le 28 d�cembre.
Le PAN1 pr�sente toutes les caract�ristiques de l'observation d'un orage. Les lueurs composant le PAN sont en effet compar�es � un ou des �clairs : � on aurait dit comme des explosions mais � des kilom�tres l'une de l'autre et toujours une � la fois �, � il y avait dans le ciel des esp�ces d'�clairs �, � ces �clairs �taient plats et tr�s longs. Je ne peux vous dire la taille de ces �clairs �, � on aurait dit comme des flashs mais beaucoup plus gros �, � un nouvel �clair est apparu �, � lorsque je vous dit avoir vu des �clairs, il y en un seul qui semblait se d�placer �.
L'hypoth�se de la m�prise avec un orage est renforc�e par le fait que le PAN est vu vers la mer. Cette direction est d'ailleurs confirm�e par les t�moins : � j'ai roul� un petit moment vers la mer �, � j'ai encore vu une vive lumi�re bleue, immense, en direction de BINIC peut-�tre au-dessus de la mer �. Or, la pr�sence d'un orage en mer, visible depuis la c�te, est av�r�e par l'enqu�te de gendarmerie en d�but de soir�e du 29 d�cembre 1994, c'est-�-dire � un horaire coh�rent avec celui de l'observation.
En cons�quence, le GEIPAN conclut pour le PAN 1 : B observation probable d'un orage.
Les PAN n�2, 3 et 4 pr�sentent des caract�ristiques tr�s similaires. Ce sont des lumi�res blanches vives, aux m�mes horaires trois jours cons�cutifs, observ�es sur de longues dur�es (plus de 40 minutes pour les PAN n�3 et 4), sans mouvement et dans la m�me direction d'un jour sur l'autre. Ces donn�es sont tout � fait caract�ristiques d'une m�prise astronomique. Une reconstitution montre la pr�sence de plan�te V�nus (tr�s forte magnitude -4,24), en direction SE (~130�) et � une dizaine de degr�s de hauteur dans le ciel.
L'hypoth�se d'une m�prise avec V�nus est renforc�e par le fait que les PAN sont vus selon une hauteur angulaire faible, au travers d'une fen�tre (celle de la cuisine de T3 et T4) orient�e en SE.
En cons�quence, GEIPAN conclut pour les PAN 2,3 et 4 : B observation probable de V�nus.
Les descriptions des PAN n�5 et 6, sont trop impr�cises (faible dur�e, peu d'information) et trop peu consistantes (non coh�rence des t�moignages) pour pouvoir �tre exploit�es : on peut ainsi imaginer des confusions avec des lueurs quelconques : phares de voiture, lueurs urbaines, dans un contexte �motionnel charg� par les observations pr�c�dentes.
En cons�quence, le GEIPAN conclut pour les PAN 5 et 6 : C Manque d'informations fiables.";"T�moignages multiples d'observations successives (entre le 28 et le 31 d�cembre 1994) ; observations rapides de lueurs le 31 d�cembre (par T3 et son fils sur le PV) : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-12-11;;;0.50;0.00;;;0.35;;0.40;;0.20;0.00;C;C;1994-12-09759
4539;"SOMMESOUS (51) 31.12.1999";Marne;51;"(D) D�partement";1999;12;31;"Le GEIPAN proc�de � des r�examens de cas anciens dans le but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � un changement de classification.
Le pr�sent r�examen porte sur deux cas d'observation pr�c�demment class�s D et nomm�s BROYES (51) 10.01.2000 et SOMMESOUS (51) le 31.12.1999.
Le 10 janvier 2000 entre 21h et 21h05 heures, un automobiliste sur la D39 � hauteur du ch�teau d'eau de Broyes (51) est soudain totalement �bloui par une lumi�re de tr�s forte intensit� qui s'infiltre dans la voiture par le toit ouvrant. Le moteur et l'autoradio s'arr�tent brutalement mais le contact reste allum�. D'apr�s le t�moin, au bout d'une minute, le ph�nom�ne se dissipe, l'autoradio se remet � fonctionner et il peut red�marrer sa voiture pour rentrer chez lui, terroris�. Suite � un appel t�l�phonique du Centre Op�rationnel de la Gendarmerie, les gendarmes se rendent imm�diatement au domicile du t�moin fortement choqu� puis sur les lieux de l'observation. Ils constatent que le ciel est clair et fortement �toil� (�toiles filantes) et que le trafic a�rien est important et visible (feux � �clats). La temp�rature est hivernale mais sans gel�e. Aucune perturbation de la ligne �lectrique le long de la route n'a �t� constat�e. Par ailleurs � cet endroit, l'�clairage public est inexistant. De source militaire aucun vol n'est signal� ce soir l�. L'enqu�te sur place du SEPRA et la reconstitution en voiture permettra d'�tablir que l'observation a dur� entre 15 et 30 secondes maximum au lieu d'une minute dans la version initiale du t�moin. Lors de l'enqu�te la gendarmerie trouvera un autre t�moin ayant observ� un ph�nom�ne similaire mais quelques jours auparavant.
Le 31 d�cembre 1999 entre 19h30 et 20h, une automobiliste roulant sur la N4 � hauteur de Sommesous (51) est aveugl�e par une lueur blanch�tre de type flash. Aucun bruit n'est entendu. Tous les voyants du tableau de bord s'allument et le moteur de la voiture s'arr�te brusquement mettant la voiture en roue libre. Le moteur se remet en marche de lui-m�me rapidement. Une v�rification par un m�canicien faite � l'initiative du t�moin sur les cosses de batterie n'a rien remont� d'anormal.
Nous avons deux cas d'observation � forte proximit� spatiale (quelques km) et temporelle (10 jours) pr�sentant une apparente forte similitude (voir le compte-rendu d'enqu�te unique pour les deux cas) :
- lumi�re (ou flash) non localis�e per�ue par le conducteur d'une voiture ;
- arr�t du moteur, perturbations sur le tableau de bord.
Le cas BROYES (51) 10.01.2000 est plus �trange dans la mesure o� la lumi�re est aveuglante et rentre dans le v�hicule. Aucune hypoth�se physique ne peut �tre envisag�e tellement la description est �trange. On peut seulement formuler l'hypoth�se d'�tranget� induite ou accentu�e par le t�moin lui-m�me, mais nous n'avons aucun �l�ment pour pond�rer cela :
- le t�moin a regard� � la t�l�vision la s�rie X-files peu de temps avant les faits, au moment o� M6 diffusait la saison 4 qui contient une sc�ne o� un PAN survole un v�hicule et l'�claire d'une lumi�re blanche �blouissante. Le t�moin a pu rencontrer une r�elle �tranget� ce soir-l� et �tre influenc�, consciemment ou inconsciemment, par la science-fiction lors de la m�morisation ou du r�cit des faits ;
- le jeune t�moin, vivant chez ses parents, a pu �tre traumatis� par un �v�nement non li� au PAN et ne pas pouvoir, pour une raison li�e � sa consommation occasionnelle de stup�fiant (d�clar�e par lui-m�me) ou pour une raison toute autre, justifier son �tat � ses parents au retour � son domicile autrement qu'en inventant une exp�rience directement inspir�e de X-File.
Pour le cas de SOMMESOUS (51) le 31.12.1999, les hypoth�ses physiques (m�t�ore, flash photographique ou �clat de feu d'artifice � quelques heures du passage � l'an 2000) ne disposent d'aucun �l�ment permettant de les pond�rer.
La consistance de ces cas d'observation est MAUVAISE.
Cas de BROYES (51) 10.01.2000 :
- en terme d'information, bien qu'une enqu�te ait �t� men�e sur place par la gendarmerie et le SEPRA (GEIPAN de l'�poque) peu de temps apr�s les faits, nous ne disposons que d'un compte-rendu succinct de cette enqu�te. Aucun enregistrement audio, vid�o ou �crit des divers entretiens et reconstitutions ayant eu lieu lors de cette enqu�te ne figure dans le dossier ;
- en terme de fiabilit�, on peut s'interroger sur l'influence �ventuelle de la science-fiction �tant donn� la similitude du r�cit avec une sc�ne de la s�rie X-Files (voir ci-dessus). On peut s'interroger aussi sur l'influence de la consommation occasionnelle de stup�fiant (voir ci-dessus).
Dans le cas de SOMMESOUS (51) le 31.12.1999 :
- en terme d'information : la gendarmerie n'a men� aucune investigation au-del� de l'audition du t�moin car le SEPRA n'a rien demand� ou investigu� et la gendarmerie n'a pas per�u de la part du SEPRA d'int�r�t suffisant pour investiguer de son propre chef;
- en terme de fiabilit� : la d�position n'est pas spontan�e. Le t�moin qui pr�alablement � son audition avait entendu le r�cit du cas de BROYES (51) a pu naturellement �tre impressionn� par ce r�cit et faire un rapprochement avec son exp�rience jusqu'� en accro�tre l'�tranget� et influencer (� son insu) certains aspects de sa d�position.
Seule une v�ritable enqu�te sur place aurait permis :
- d'explorer et peut-�tre valider une des hypoth�ses physiques (voir ci-dessus) propres � ce cas ;
- ou au contraire confirmer un champ suffisamment �tendu de similitude des deux cas pour les consid�rer comme issus d'un m�me ph�nom�ne et � partir de l� en recoupant les informations :
o poser �ventuellement des hypoth�ses pour expliquer ce ph�nom�ne ;
o au minimum augmenter la consistance de cette observation � deux t�moignages.
L'�tranget� des deux cas, bien qu'in�gale, est importante. La consistance est trop faible pour supporter un caract�re inexpliqu� � l'un comme l'autre des cas ou � l'ensemble des deux.
En cons�quence, le GEIPAN classe les deux cas en C : manque d'information fiable.";"Observations � quelques jours d'�cart par deux automobilistes d'une lumi�re vive et dysfonctionnement des v�hicules : manque d'information fiable.";O;;1;;1;;;;;2018-11-20;;;0.50;0.00;;;0.60;;0.20;;0.10;0.00;D;C;1999-12-50497
4543;"DOULLENS (80) 19.10.1954";Somme;80;"(D) D�partement";1954;10;19;"Le mardi 19 octobre 1954 entre 1h30 et 1h40 plusieurs militaires (dont un 2e classe, un caporal-chef et un sergent) d'une station radar de Doullens (le radar ne fonctionne pas ce soir-l�) observent par une nuit sombre un ph�nom�ne a�rien inhabituel situ� sous une couche nuageuse continue de stratocumulus (base estim�e � 1000 m). L'observation pr�sente 3 phases :
Phase 1 : le ph�nom�ne lumineux de couleur verte apparait � 1h34 au-dessus d'une ferme � L'Est NE (direction Mondicourt) sortant des nuages selon un angle de 45� avec la verticale puis se d�place horizontalement vers l'Est � une hauteur de 45� sur 90� (texte) ou 120� (plan) en une demi-seconde, sans bruit, en changeant de couleur (vert � orange puis rouge terne). Cette phase n'est apparemment vue que par la sentinelle dans sa gu�rite situ�e sur le terre-plein devant la station radar.
Phase 2 : le ph�nom�ne s'arr�te net au-dessus de La Bellevue (direction Est) � une hauteur angulaire de 60�(hauteur estim�e � 800 m). Ce stationnement dure 2 (sergent) � 3 (2e classe) minutes ce qui permet � la sentinelle de pr�venir ses sup�rieurs. L'objet se d�tache nettement sur la couche de nuages avec une taille angulaire d'environ 1�. Pour le sergent il a une forme de disque dont on voit la face inf�rieure mais dessine une ellipse inclin�e de 25-30� sur l'horizontale. Il �met une lumi�re qui change de couleur toutes les 5 secondes environ : � blafarde verte � passant � l'orang� puis au jaune (sergent) en gardant un fond verd�tre (2e classe). Il oscille (sergent) ou se d�place horizontalement et verticalement (2e classe).
Phase 3 : le ph�nom�ne se d�place en sens inverse de son arriv�e � grande vitesse et disparait dans les nuages durant 30 secondes, r�apparait quelques secondes (sergent) ou 2 mn (2e classe) puis disparait.
La lune, dans ce ciel nuageux, est � l'Est (azimut 84�) et pourrait �tre une source de m�prise : elle se trouve dans la direction d'observation donn�e par les t�moins (NE). De plus elle �tait ce soir l� tr�s proche de Jupiter (�cart de 2,5�environ) qui �tait particuli�rement brillante (magnitude -1,78). En outre les t�moins ne mentionnent pas la Lune dans leur champ de vision. Cependant les changements de couleur et les d�placements per�us sont difficiles � expliquer pour cette hypoth�se.
Le vol d'un avion ne para�t pas compatible avec l'arr�t de plusieurs minutes � taille angulaire constante.
On peut envisager aussi un h�licopt�re, les variations de couleurs seraient d�es � l'alternance de la visibilit� des feux de position gauche et droite (rouge et vert). Par contre les vitesses tr�s rapides constat�es correspondent mal � cette hypoth�se. Si l'altitude de 800 m (d�duite du plafond nuageux estim� � 1000 m) est correcte la distance du ph�nom�ne durant la phase 2 est de l'ordre du km et sa taille de 15-20 m (1�).
Ce cas de consistance moyenne, bien �trange quoique lointain est class� D1 : ph�nom�ne non identifi� �trange.";"Observations des �volutions d'un ph�nom�ne lumineux de couleur dans le ciel avant disparition : ph�nom�ne non identifi�.";O;;;;;;;;;2015-11-24;;;0.63;0.13;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;1954-10-09217
4556;"ETUPES (25) 22.08.2017";Doubs;25;"(D) D�partement";2017;08;22;"Le 22 ao�t 2017 � 4h30 du matin un t�moin observe depuis le premier �tage de son habitation, un ph�nom�ne lumineux fixe en direction de l'Est dans le ciel. Le t�moin prend des photos et vid�os (tablette et cam�scope) durant la demi heure d'observation. Un seul t�moignage est recueilli.
Gr�ce � une vid�o prise par le t�moin � l'ext�rieur au lever du jour montrant des �l�ments de paysages nous pouvons d�duire que le PAN se trouve � peu pr�s � l'azimut 84� � 6 h 08 le 22/08/2017; une comparaison avec Stellarium � la m�me heure montre la pr�sence de V�nus � l'azimut 84� et une magnitude apparente de -4. V�nus est le troisi�me objet naturel le plus brillant du ciel (apr�s le soleil et la lune).
Grossir une image de plan�te ou d'�toile est impossible avec ce type de mat�riel � cause de la d�focalisation c'est-�-dire que la mise au point ne peut se faire sur un objet aussi lointain, un point lumineux film� avec le zoom provoque des artefacts optiques et �lectroniques, la forme observ�e qui varie selon les mouvements est due au diaphragme, un d�faut de celui-ci peut �tre la cause de la forme vue dans toutes les vid�os zoom�es (un rond avec une pointe vers le bas, voir �l�ments d'enqu�te). Les couleurs sont des aberrations chromatiques li�es elles aussi � la d�focalisation. (Voir cas sur site www.geipan.fr Annemasse (74) 08.04.2012).
De plus le t�moin d�crit le PAN comme une grosse �toile ""sans changement"" de trajectoire et ""pas beaucoup de mouvement"". On est dans un cas o� l'�tranget� per�ue par le t�moin r�sulte surtout ce qu'il voit dans l'appareil. Il n'aurait vu qu'avec les yeux, il n'aurait peut-�tre pas fait de t�moignage.
Le GEIPAN classe ce cas en A comme observation certaine de V�nus.";"Longue observation d'un ph�nom�ne lumineux fixe dans le ciel : observation de V�nus.";O;;;;;;;;;2018-03-15;;;0.05;0.00;;;0.80;;0.90;;0.75;0.00;A;A;2017-08-50460
4560;"VERDON-SUR-MER (LE) (33) 26.10.2017";Gironde;33;"(D) D�partement";2017;10;26;"Le 26 octobre 2017 deux t�moins sur la plage de la Chambrette dans la commune du Verdon-sur-Mer (33) sont intrigu�s par des filaments blancs qui tombent du ciel d�gag�. Un t�moin se saisit de quelques filaments pour les examiner. C'est alors que les deux t�moins voient le passage rapide et silencieux de deux disques scintillants qui �voluent c�te � c�te dans le ciel. Les filaments continuent de tomber durant quelques minutes puis tout revient � la normale. Le t�moin parvient � attraper un filament.
Les t�moins d�crivent deux ph�nom�nes simultan�s :
1. des filaments
2. des disques, dont la vitesse, la forme et la couleur ne correspondent pas � des appareils
connus.
L'hypoth�se du ballooning d'araign�es r�pond � la plupart des caract�ristiques d�crites par le
t�moin.
Les fils de soie (appel�s aussi � fils de la vierge �) sont des fils cr��s par les araign�es pour se
d�placer dans l'air et par le vent. On appelle ce moyen de locomotion le � Ballooning �. Les fils
peuvent �tre roul�s en pelote, ce qui peut donner le double aspect de fils et de disques vu du sol.
Deux arguments auraient pu en apparence s'opposer � cette hypoth�se :
1. Le vent venant du sud ou l'ouest selon les archives m�t�o. Mais le t�moin d�crit
localement ""une brise de sud-est"" coh�rente avec le sens de d�placement et donc
l'hypoth�se.
2. La distance �valu�e par T1 et T2 (5000m pour T2, 10000m pour T1) mais on sait que
l'�valuation de la distance d'un objet inconnu est difficilement exploitable, hors pr�sence
d'un r�f�rentiel.
Le t�moignage est consistant, les t�moins cr�dibles avec des observations concordantes.
Apr�s une 1�re publication en mars 2018, le t�moin nous a confi� mi-septembre un �chantillon d'un filament r�cup�r� lors de l'observation (cf. � 3 du pr�sent compte rendu d'enqu�te). Il a �t� analys� par un laboratoire du CNES. Cette analyse confirme qu'il s'agit bien de fibres de soie m�lang�es � des particules, majoritairement d'oxyde de fer (cf. annexe du CR).
Ce cas avait �t� pr�c�demment class� B, ce nouvel �l�ment, qui constitue une quasi preuve de
l'hypoth�se, nous permet de le classer A et de le republier : observation de ballooning d'araign�es.
";"Observations du passage de filaments et de disques scintillants dans le ciel ; r�colte et analyse d'�chantillons : observation de ballooning d'araign�es.";O;;2;;2;;;;;2018-12-17;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.70;;0.60;0.00;A;B;2017-10-50461
4562;"[CD39] de FOUCHY (67) vers URBEIS (67) 19.11.2017 T1";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2017;11;19;"Le 19 novembre 2017 � 20h35 deux personnes, circulant dans une voiture (T1 conductrice) et (T2 passager avant), sont intrigu�es par des formes lumineuses de couleur vues � travers le pare-brise. Les t�moins se situent sur la d�partementale 39 � la sortie de Fouchy (67) en direction d'Urbeis (67). Les t�moins sont en d�saccord quand � la description du ph�nom�ne. Cependant, ils s'accordent pour dire que le ph�nom�ne �tait silencieux et stationnaire. Ils prennent des photographies avec leurs smartphones respectifs.
Les deux t�moins d�crivent le PAN de mani�re tr�s diff�rente, en particulier T2 traduit sa diff�rence de perception par rapport � T1 (Voir les notes d'enqu�te). En observant les photos fournies par les t�moins on remarque aussi que le PAN observ� par le passager T2 est net et celui vu par la conductrice T1 est flou : cela ouvre l'hypoth�se de deux observations distinctes de deux PAN. Deux cas diff�rents d'observation sont ouverts (voir les notes d'enqu�te).
Un examen du tableau de bord de la voiture des t�moins (Dacia Sand�ro) nous permet de rep�rer l'origine du PAN vu par le conducteur T1. En superposant par transparence la photo des t�moins et celle du tableau de bord nous pouvons voir qu'il s'agit d'un reflet dans le pare-brise de l'�cran ""M�dia Nav"", avec la pr�sence d'un fil ou c�ble devant ce dernier expliquant la vision de deux triangles. Le point rouge est le bouton � warning �, et le point orange est le bouton � verrouillage des portes �. Cela explique �galement le silence et l'immobilit� du ph�nom�ne.
En cons�quence le GEIPAN conclut que l'observation de T1 correspond � un reflet de planche du tableau de bord sur un �l�ment vitr�.
Le GEIPAN classe le cas A : reflet.
Voir le cas [CD39] de FOUCHY (67) vers URBEIS (67) 19.11.2017 T2 pour savoir quel ph�nom�ne a �t� vu par le T2 (passager) et quelle classification a �t� donn�e au cas.
";"Observation nocturne derri�re un parebrise d'un ph�nom�ne lumineux d�crit diff�remment par deux t�moins : observation par la conductrice (T1) d'un reflet de planche de bord sur un �l�ment vitr� de la voiture.";O;;1;;1;;;;;2018-07-11;;;0.10;0.00;;;0.80;;0.80;;0.65;0.00;A;A;2017-11-09787
4565;"ETRELLES (35) 01.06.2014";Ille-et-Vilaine;35;"(D) D�partement";2014;06;01;"Les t�moins, en voiture de service, observent rapidement dans le ciel une masse sombre, munie de deux lumi�res de petite taille, �clairant faiblement. La masse se d�place soudain � une vitesse vertigineuse et dispara�t.
Une enqu�te de terrain a confirm� les rapports d'observation des t�moins, et envisag� plusieurs hypoth�ses (voir le compte rendu d'enqu�te), mais aucune ne correspond bien aux observations.
En conclusion, il s'agit d'un ph�nom�ne non identifi� (PAN), observ� par deux t�moins de grande fiabilit�, dans des conditions d'observation id�ales et qui semble r�sister � toutes hypoth�ses, notamment � l'hypoth�se explicative du passage d'un m�t�ore (bolide).
Toutefois, l'incertitude sur la trajectoire d'apparition du PAN, son caract�re de grande bri�vet�, l'interd�pendance des deux t�moins qui ont aussit�t �chang� sur leur observation interdisent un classement en D2, en l'absence de photographie ou vid�o.
Le GEIPAN classe ce cas D1 comme cas inexpliqu�, de consistance �lev�e du fait des deux t�moignages de grande qualit�, et d'�tranget� moyenne (la mat�rialit� de l'objet est possible mais pas certaine).";"Observations dans le ciel nocturne d'une masse sombre, munie de deux lumi�res de petite taille. D�placement soudain � une vitesse vertigineuse et disparition : cas inexpliqu� d'un ph�nom�ne non identifi� �trange.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.63;0.06;;;;;;;0.78;0.23;D1;D1;2014-06-50078
4572;"PLERIN (22) 28.12.1994";C�tes-d'Armor;22;"(D) D�partement";1994;12;28;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification. Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� PLERIN (22) 29.12.1994 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Ce cas �tait constitu� de diff�rentes observations faites entre le 28 et le 31 d�cembre 1994 en soir�e ou en d�but de journ�e dans les Cotes-d'Armor : 4 t�moins (T1, T2,T3,T4) rapportent en gendarmerie leurs observations qui seront toutes consign�es dans le m�me proc�s-verbal. La note d'enqu�te ci-jointe d�taille toutes les observations et tous les ph�nom�nes observ�s.
L'ensemble des observations est peu consistant avec des descriptions peu pr�cises.
Le r�examen conduit � distinguer 3 ph�nom�nes distincts :
- PAN 1 observ� par T1 et T2 le 29 d�cembre 1994 entre 19h00 et 19h30.
- PAN 2,3,4 vus par T3 les 29, 30 et le 31 d�cembre entre 6H et 6H45 (avec T4 le 31 d�cembre).
- PAN 5 vu par T3 et T4 le 31 d�cembre et PAN 6 par T4 le 28 d�cembre.
Le PAN1 pr�sente toutes les caract�ristiques de l'observation d'un orage. Les lueurs composant le PAN sont en effet compar�es � un ou des �clairs : � on aurait dit comme des explosions mais � des kilom�tres l'une de l'autre et toujours une � la fois �, � il y avait dans le ciel des esp�ces d'�clairs �, � ces �clairs �taient plats et tr�s longs. Je ne peux vous dire la taille de ces �clairs �, � on aurait dit comme des flashs mais beaucoup plus gros �, � un nouvel �clair est apparu �, � lorsque je vous dit avoir vu des �clairs, il y en un seul qui semblait se d�placer �.
L'hypoth�se de la m�prise avec un orage est renforc�e par le fait que le PAN est vu vers la mer. Cette direction est d'ailleurs confirm�e par les t�moins : � j'ai roul� un petit moment vers la mer �, � j'ai encore vu une vive lumi�re bleue, immense, en direction de BINIC peut-�tre au-dessus de la mer �. Or, la pr�sence d'un orage en mer, visible depuis la c�te, est av�r�e par l'enqu�te de gendarmerie en d�but de soir�e du 29 d�cembre 1994, c'est-�-dire � un horaire coh�rent avec celui de l'observation.
En cons�quence, le GEIPAN conclut pour le PAN 1 : B observation probable d'un orage.
Les PAN n�2, 3 et 4 pr�sentent des caract�ristiques tr�s similaires. Ce sont des lumi�res blanches vives, aux m�mes horaires trois jours cons�cutifs, observ�es sur de longues dur�es (plus de 40 minutes pour les PAN n�3 et 4), sans mouvement et dans la m�me direction d'un jour sur l'autre. Ces donn�es sont tout � fait caract�ristiques d'une m�prise astronomique. Une reconstitution montre la pr�sence de plan�te V�nus (tr�s forte magnitude -4,24), en direction SE (~130�) et � une dizaine de degr�s de hauteur dans le ciel.
L'hypoth�se d'une m�prise avec V�nus est renforc�e par le fait que les PAN sont vus selon une hauteur angulaire faible, au travers d'une fen�tre (celle de la cuisine de T3 et T4) orient�e en SE.
En cons�quence, GEIPAN conclut pour les PAN 2,3 et 4 : B observation probable de V�nus.
Les descriptions des PAN n�5 et 6, sont trop impr�cises (faible dur�e, peu d'information) et trop peu consistantes (non coh�rence des t�moignages) pour pouvoir �tre exploit�es : on peut ainsi imaginer des confusions avec des lueurs quelconques : phares de voiture, lueurs urbaines, dans un contexte �motionnel charg� par les observations pr�c�dentes.
En cons�quence, le GEIPAN conclut pour les PAN 5 et 6 : C Manque d'informations fiables.";"T�moignages multiples d'observations successives (entre le 28 et le 31 d�cembre 1994) ; observation rapide de lueurs le 28 d�cembre vers 19h (PAN 6 vu par T4 sur le PV) : manque d'information.";O;;;;;;;;;2017-12-11;;;0.50;0.00;;;;;;;0.10;0.00;C;C;1994-12-09760
4576;"MERINDOL (84) 09.11.2017";Vaucluse;84;"(D) D�partement";2017;11;09;"Dans la soir�e du 09 novembre 2017 vers 22h25 un t�moin depuis chez lui remarque un ph�nom�ne lumineux particulier dans le ciel nocturne. Le t�moin d�crit ""un nuage ardent puis ""un faisceau"" lumineux. L'observation dure jusqu'� 23h, le ""nuage ardent"" s'�teignant progressivement. Le t�moin a le temps de prendre des photographies. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Le t�moin a observ� un ph�nom�ne optique rare appel� colonne lumineuse, ou pilier solaire ou pilier lumineux (Light pillar en anglais).
Ce ph�nom�ne naturel qui se produit lorsque la lumi�re du Soleil ou de la Lune se r�fl�chit dans les cristaux de glace en suspension dans l'atmosph�re. Il est visible quand le Soleil ou la Lune sont pr�s de l'horizon.
Il se produit �galement avec les lumi�res artificielles telles que des lampadaires. D'ailleurs, le t�moin �voque le ""reflet de lumi�re d'une ville"". Toutefois, la source lumineuse au sol doit �tre assez �loign�e, car pas directement visible. L'�clairage des rues donne des sources lumineuses qui peuvent se refl�ter dans les cristaux de glace en suspension dans l'air par temps froid (la station m�t�o de Carpentras indique 1,7� ce jour-l�) ou dans les nuages, et donne des colonnes lumineuses. Dans le cas pr�sent, c'est la combinaison d'un ph�nom�ne naturel (cristaux de glace plats situ�s plus bas que de coutume en raison d'un temps froid en altitude) et artificiel avec la pr�sence de fortes sources lumineuses au sol ponctuelles qui produit ce photom�t�ore. Les sources lumineuses peuvent �tre ici issues de la ville de Salon-de-Provence situ�e en direction Sud-Ouest comme le ph�nom�ne.
Pour plus d'information consulter l'article Colonne Lumineuse.
En cons�quence, le GEIPAN classe en A comme l'observation d'une colonne lumineuse atmosph�rique.
";"Longue observation d'un nuage particulier et d'un faisceau lumineux : observation d'une colonne lumineuse atmosph�rique.";O;;;;;;;;;2018-03-01;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.80;;0.60;0.00;A;A;2017-11-09793
4579;"SAINT-MEDARD-EN-JALLES (33) 15.12.2017";Gironde;33;"(D) D�partement";2017;12;15;"Le 15 d�cembre 2017 � 18h33 deux t�moins sont intrigu�s par le d�placement de trois points tr�s lumineux dans le ciel. Les trois points sont parfaitement align�s et se dirigent d'Ouest en Est. L'observation dure 30 secondes.
Les deux t�moins ont observ� trois objets sur la m�me orbite, � savoir le vaisseau Dragon de ravitaillement de la station spatiale internationale (ISS), accompagn� des deux �l�ments de protection de ses g�n�rateurs solaires.
Le lancement de cette mission (CRS 13) a eu lieu depuis la Floride � 16h36 (heure locale en France) et l'observation a eu lieu environ deux heures apr�s, ce qui explique que les trois objets �taient encore tr�s proches. Ces trois objets sont r�pertori�s par le US Space Command sous les num�ros 43060 � 43062 (d�signation internationale 2017-080 A � C).
Des images incluant ces trois m�mes objets plus l'�tage sup�rieur du lanceur avaient d'ailleurs �t� publi�es sur le Web lors du lancement de la mission CRS 11 ( voir la vid�o Dragon resupply Mission CRS 11).
Dans le cas pr�sent, comme l'�tage sup�rieur avait d�j� effectu� son allumage de r�-entr�e, trois objets seulement restaient visibles.
Le GEIPAN classe le cas en A : �l�ments du vaisseau Dragon de ravitaillement de la Station Spatiale Internationale (ISS).";"Observations de trois points tr�s lumineux en d�placement Ouest-Est dans le ciel d�gag� : observations d'�l�ments du vaisseau Dragon de ravitaillement de la Station Spatiale Internationale (ISS).";O;;2;;3;;;;;2018-11-05;0.00;;0.05;0.00;0.80;;0.70;0.70;0.50;0.56;0.35;0.00;A;A;2017-12-50083
4580;"LUDE (LE) (72) 03.12.2017";Sarthe;72;"(D) D�partement";2017;12;03;"Le 03 d�cembre 2017 � 00h16, lors d'une prise de vue en plein air avec un smartphone en mode cam�ra, un t�moin voit soudainement une forte lumi�re appara�tre � sa droite et entend un double claquement venant de sa gauche. Le tout a dur� deux secondes. En rentrant chez lui il constate que le PAN a �t� film� et que l'on peut entendre le son bien plus ""clair"" qu'il n'avait pu l'entendre. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Nous avons pu d�montrer au fil de l'analyse (voir le compte-rendu d'enqu�te) que le PAN vu et film� par le t�moin n'�tait qu'un petit objet se d�pla�ant rapidement tr�s pr�s de l'objectif, probablement un insecte.
Ce r�sultat s'appuie sur les points suivants :
- le d�placement rapide du PAN, coupl� au temps d'exposition de chaque trame, se traduit par une forme allong�e artificielle, qui n'est en rien repr�sentative de la forme v�ritable de ce PAN ;
- dans le m�me temps, ce d�placement est probablement non parall�le au plan focal de l'objectif, ce qui se traduit par une diminution de la longueur apparente du PAN, au fur et � mesure de son d�placement ;
- l'utilisation automatique du flash en condition nocturne �claire fortement le PAN, ce qui lui donne cette couleur blanche caract�ristique, et permet d�j� de penser qu'il se trouve non loin de l'objectif, la port�e du flash �tant tr�s limit�e ;
- la mise en �vidence de deux flous, combin�s sur le plan longitudinal : un flou anisotrope de d�placement, horizontal, et un flou isotrope de focalisation, � la fois vertical et horizontal. La pr�sence de ce dernier flou confirme l'impression du point pr�c�dent, � savoir que le PAN �tait tr�s proche de l'objectif, et par cons�quent de petite taille.
La proximit� de l'objectif et donc du flash explique que l'objet malgr� sa petite taille, ait pu appara�tre selon une forte lumi�re aux propres yeux du t�moin.
Le t�moin a per�u un bruit, l'appareil l'a enregistr� et le restitue comme un souffle synchrone du passage du PAN et donc a priori cr�� par ce dernier. Le niveau sonore est comparable � celui de la respiration du t�moin et peut correspondre au souffle de passage d'un insecte sans que celui-ci soit n�cessairement gros ou tr�s pr�s. Le souffle est plus difficile � expliquer pour un objet autre qu'un insecte car le vent cr�ant le d�placement aurait �t� enregistr�.
En cons�quence GEIPAN classe en B : observation probable d'un insecte attir� dans sa trajectoire par la lumi�re du flash.
";"Courte observation film�e du passage d'un objet lumineux blanc dans la nuit ; double bruit de claquement entendu : observation probable d'un insecte attir� dans sa trajectoire par la lumi�re du flash.";O;;1;;1;;;;;2018-11-07;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.90;;0.63;0.00;B;B;2017-12-50224
4583;"[D2] de SAINT-ANDEOL-LE-CHATEAU (69) vers GIVORS (69) 07.12.2017";Rh�ne;69;"(D) D�partement";2017;12;07;"Le 07 d�cembre 2017 � 15h12 un t�moin dans un taxi scrute et photographie les nuages avec un smartphone. Une tache circulaire de couleur verte fluorescente qui ne semble pas bouger ou va � la m�me vitesse que le taxi l'intrigue particuli�rement. Le t�moin prend plusieurs photographies puis un peu plus tard sur son trajet fait une vid�o. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin est � la recherche ""d'elementaux"" ou ""etres de la vie "" et il croit en trouver un qui le suit dans le paysage et dans les buissons le long de son d�placement en taxi.
En fait, il est manifeste que le t�moin se fait m�prendre par un reflet de soleil cr�� par son appareil photo smartphone. Sur la photo � 15:16:29 le soleil est d�cal� du centre et la tache ou PAN l�g�rement vert avec halo est le classique reflet cr�� par l'optique imparfaite qui reproduit (en moins lumineux) en sym�trie du centre de l'image tout point extr�mement lumineux, ici le soleil. Dans la photo � 15:16:42 o� le soleil n'est pas au centre non plus, le reflet existe aussi mais tombe dans une zone d�j� tr�s �clair�e de l'image (le nuage lumineux) et donc n'appara�t pas. Dans la photo � 15:16:18, le reflet tombe dans le buisson en premier plan.
On v�rifie le m�me ph�nom�ne sur la partie vid�o.
Le Geipan ne prend plus les t�moignages d'�tranget�s issues de ce qui est seulement vu dans un �cran d'appareil et non avec les yeux. On aurait pu penser que le t�moin avait v�rifi� avec les yeux puisqu'il �crit ""J'ai alors verifie en decalant mon ecran pour regarder cette curieuse tache verte dans les buissons et que la tache existait bel et bien"". L'analyse de l'ensemble du t�moignage nous conduit � ne pas accr�diter cette v�rification :
- d'une part le t�moin ne fait aucune diff�rence entre le PAN qui serait vu hors optique (avec les yeux) et celui qui existe vraiment dans l'�cran et qui est cr�� par l'optique
- d'autre part le t�moin montre une telle avidit� � trouver de l'anormal dans le paysage que l'on peut douter de son esprit critique. Peut �tre � son insu, il croit avoir retrouv� la lueur � l'oeil nu dans le buisson, de mani�re fugitive, et sans avoir cherch� � s'en assurer.
Les traces photos donn�es par ce t�moignage traduisent sans �quivoque l'observation d'un artefact.
En cons�quence le Geipan classe le cas en A : artefact photographique (soleil).";"Observation depuis un v�hicule en mouvement et � travers un smartphone d'une petite t�che circulaire de couleur verte fluorescente dans le paysage : artefact photographique.";O;;;;;;;;;2018-06-07;;;0.05;0.00;;;0.90;;1.00;;0.90;0.00;A;A;2017-12-50096
4602;"MONS (34) 21.01.2018";H�rault;34;"(D) D�partement";2018;01;21;"Le 21 janvier 2018 � 11h55 le passager d'une voiture en mouvement prend deux photos l'une apr�s l'autre. Il constate que sur la premi�re photo un objet rond et marron appara�t dans le ciel. Rien n'appara�t sur la deuxi�me photographie. Un seul t�moignage est recueilli.
Les �l�ments de t�moignage indiquent que le plus probable est que le t�moin n'a pas vu de ses propres yeux le PAN autrement qu'au travers de l'objectif de son appareil. En effet, � la question ""D'autres t�moins ont-ils vu le m�me ph�nom�ne que vous ? Si oui, combien ?, le t�moin r�pond ""Que moi-m�me dans mon objectif d'appareil photo"".
Dans ses conditions le plus probable, issu de l'exp�rience GEIPAN, est d'avoir � faire � un artefact d'appareil photo, ici probablement un insecte ou oiseau proche que l'il n'arrive pas � saisir mais qui n'�chappe pas � un appareil num�rique m�me au (1/400) s.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : probable erreur d'interpr�tation de photographie ou vid�o.
Depuis plusieurs ann�es, le GEIPAN ne traite plus les t�moignages qui ne mettent pas en �vidence que l'�tranget� a �t� constat�e par les yeux sans instrument optique. Les traces issues d'instrument optique sont appr�ci�es uniquement quand elles viennent en plus.
";"Constatation sur photographie d'un objet rond et marron : probable erreur d'interpr�tation de photographie ou vid�o.";O;;;;;;;;;2018-03-30;;;0.30;0.00;;;0.60;;0.70;;0.40;0.00;B;B;2018-01-50480
4603;"RENTREE ATMPOSPHERIQUE (975) 24.12.2011";France;FR;"(N) National";2011;12;24;"Le GEIPAN a re�u par mails plusieurs t�moignages d'observations de spectaculaires tra�n�es lumineuses dans le ciel le 24 d�cembre 2011 en fin d'apr�s midi.
De plus, quatre observations faites par des pilotes d'avions sont rapport�es au GEIPAN : tous �voquent un fort ph�nom�ne lumineux constat� � tr�s haute altitude au-dessus de la r�gion de Strasbourg - For�t-Noire.
Le site officiel am�ricain d'information sur les rentr�es de d�bris spatiaux reentrynews.aero indique que l'objet num�rot� 2011 078B est rentr� dans l'atmosph�re � 16h26 TU, donc au m�me instant que les observations. La derni�re orbite indiqu�e croise de peu les lieux d'observation.
Le d�bris concern� est identifi� comme le 4eme �tage du lanceur Soyuz-FG lanc� le 21 d�cembre 2011 � 13:16 UTC depuis le cosmodrome de Ba�konour, pour la mission TMA-03M : envoi de 3 cosmonautes sur l'ISS.
Tous les t�moins ont bien observ� la rentr�e du 4eme �tage du lanceur Soyuz-FG lanc� le 21 d�cembre 2011.";"Observations de la rentr�e atmosph�rique du 4eme �tage du lanceur Soyouz-FG.";O;;;;;;;;;2012-02-29;;;0.13;0.13;;;;;;;0.53;0.48;A;A;2011-12-08169
4645;"MONTFERRAND-LE-CHATEAU (25) 18.08.2013";Doubs;25;"(D) D�partement";2013;08;18;"Le 18 ao�t 2013 vers 2h du matin trois t�moins sont intrigu�s par le passage rectiligne et silencieux d'un ph�nom�ne lumineux dans le ciel. Jusqu'� 11 disques de couleur jaune orang�s sont compt�s et constituent une forme triangulaire en d�placement. Le ph�nom�ne s'�loigne et dispara�t dans le paysage.
Nous avons certainement affaire � une observation de lanternes, toutes les caract�ristiques sont r�unies : couleur, absence de bruit, formation caract�ristique de l�cher par grappes. De plus, la salle o� s'est tenu un mariage se situe � environ 400m du lieu d'observation, les lanternes �taient donc encore probablement � basse altitude et tr�s proche les unes des autres au moment o� les t�moins les ont vues, renfor�ant l'impression d'une structure unique. L'absence quasi totale de vent a permis � ces lanternes d'�voluer lentement au-dessus des t�moins, d'une mani�re rectiligne.
De plus, les confirmations de la mairie, puis de la personne ayant lou� la salle du mariage ne laisse aucun doute sur le l�cher de lanternes � l'heure d'observation.
Ce cas est class� � A � : observations certaines de lanternes tha�landaises.";"Observations du passage silencieux et rectiligne d'un ensemble d'une dizaines d'objets orang�s constituant un triangle lumineux dans le ciel : observations de lanternes thalaindaises.";O;;;;;;;;;2014-12-16;;;0.15;0.08;;;;;;;0.62;0.32;A;A;2013-08-08548
4611;"BARBERAZ (73) 08.07.2010";Savoie;73;"(D) D�partement";2010;07;08;"Au cours d'une r�ception en plein air le 8 juillet 2010, une vingtaine de personnes aper�oivent � 23h un ph�nom�ne lumineux de couleur rouge.
Un t�moin rapporte son observation d'une t�che rouge qui grossit de plus en plus pour ressembler � une boule rouge clignotante et entour�e d'un anneau mauve-violet. Elle se d�place silencieusement et de fa�on rectiligne, � vitesse constante.
La soudaine disparition de l'objet met fin � l'observation. Un seul t�moignage sera recueilli.
D'�tranget� moyenne mais de consistance faible �tant donn� l'absence de coordonn�es pr�cises du lieu d'observation et le peu de pr�cision quant � la direction du ph�nom�ne (relev� d'abord vers l'Ouest puis ensuite du massif des Bauges vers le Mont Granier, ce qui correspond � un axe orient� vers le Sud Sud Ouest passant difficilement � la verticale de Barberaz), nous ne pouvons confirmer l' hypoth�se de lanterne tha�landaise.";"Observation de nuit en plein air du d�placement d'une t�che rouge grossissant en forme de boule clignotante : manque d'informations.";O;;;;;;;;;2013-04-25;;;0.50;0.50;;;;;;;0.28;0.28;C;C;2010-07-02618
4622;"LAMONZIE-SAINT-MARTIN (24) 18.01.2018";Dordogne;24;"(D) D�partement";2018;01;18;"Le jeudi 18 janvier 2018 � 18h27 deux t�moins sont intrigu�s par le d�placement dans le ciel d'une forme arrondie de couleur orange braise tr�s intense qui change soudain de direction. Aucun bruit n'est entendu durant les observations. le T1 prend une photographie.
La forme ronde, la couleur orange vif et le d�placement majoritairement d'Ouest vers Est conforme au vent relev� ( voir le site Infoclimat) sont autant d'�l�ments permettant de consid�rer le vol d'une lanterne tha�landaise comme une hypoth�se de bonne probabilit�.
Les lanternes sont plut�t lanc�es en week-end, mais un �v�nement festif peut aussi se tenir un jeudi soir (anniversaire). On note que le temps �tait pluvieux mais s'�tait d�gag� une heure plus t�t.
Le d�placement observ� par T1 entre plein Ouest �l�vation 50� et Est �l�vation 30� correspondent � un d�placement du PAN de 250 � 500 m selon que sa hauteur de vol est de 100 � 200m (cas typique de lanterne tha�landaise) ; ces valeurs de d�placement sont compatibles d'un vent mesur� de l'ordre de 20 km/h et d'une dur�e d'observation t�moign�e autour d'une minute.
Le t�moin T1 indique une lueur non uniforme avec des lueurs sur ajout�es en-dessous ou en-dessus. Ceci traduit qu'il voit le PAN d'assez pr�s. En effet il lui donne la taille angulaire d'un avion alors qu'il est � 12km d'un a�roport. Une lanterne vue � 100m a une taille angulaire �quivalente � celle de la Lune et pr�sente des couleurs non uniforme, sa couleur peut varier en fonction de l'angle d'observation. Le t�moin T2 ne note pour sa part que l'orange vif. La photographie ne permet pas de donner d'indication.
Les t�moins indiquent une trajectoire droite suivie d'un virage dont il est difficile d'appr�cier l'amplitude et la direction. C'est T1 qui est le mieux plac� pour l'appr�cier car il semblerait que le PAN soit pass� proche de la verticale ; Le cap passe de SE � E. Pour T2 l'impression semble �tre d'une inflexion vers le Sud. De toute fa�on on se situe � proximit� d'une rivi�re, situation propice � des changements ou filets de vent locaux.
Le Geipan classe le cas en B : observation probable d'une Lanterne tha�landaise. ";"Observations par deux t�moin des �volutions dans le ciel d'une forme arrondie de couleur orang� ; aucun bruit entendu : probable observation d'une lanterne tha�landaise.";O;;2;;;;;;;2018-04-25;;;0.30;0.00;;;0.80;;0.70;;0.60;0.00;B;B;2018-01-50470
4623;"FONTENAY-LE-FLEURY (78) 28.01.2018";Yvelines;78;"(D) D�partement";2018;01;28;"Le 28 janvier 2018 � 02h45 le t�moin est lev� pour des soins � son �poux malade. Son attention est attir�e par une lueur tr�s intense vue quasiment plein Nord par la fen�tre du s�jour. Le t�moin voit une juxtaposition de lumi�res vertes dispos�es en rosace et un rayon lumineux vert qui se d�place dans tous les sens en balayant les environs. Le PAN s'allume et s'�teint compl�tement et se d�place plusieurs fois. Aucun bruit n'est entendu durant les d�placements du PAN mais le t�moin n'a jamais ouvert la fen�tre du s�jour. Le PAN se dirige ensuite en direction du t�moin qui apeur� se tapit contre le mur du s�jour. Lorsque le t�moin regarde � nouveau par la fen�tre, le PAN a disparu. L'observation aura dur� entre 30 et 45 secondes. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli.
La description traduisait une �tranget� encore inconnue au GEIPAN (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Il a pu �tre �tabli une hypoth�se plausible au regard de l'apparence et du comportement du PAN, � savoir l'utilisation d'un drone, muni de LED et d'un faisceau laser.
Des exemples sur Internet montrent des drones ludiques (en ligne � cette adresse) avec un faisceau laser en �volution de nuit selon un aspect correspondant bien � l'observation :
- la mobilit� du faisceau � en tous sens �,
- la couleur verte,
- l'�paisseur du faisceau ; l'observation par le t�moin d'une �paisseur de 30 cm correspond bien � un faisceau laser tandis que l'observation de petites particules � l'int�rieur de ce faisceau est caract�ristique d'un ph�nom�ne de diffraction de la lumi�re en pr�sence d'a�rosols ou de fines particules microscopiques.
Ces exemples de ces drones ludiques ne pr�sentent pas un aspect de � rosace lumineuse verte � entourant le faisceau vert. Mais, l'ajout de LED vertes (les possibilit�s modulaires sont multiples) sur diverses extr�mit�s du drone peuvent de loin cr�er un effet de ce type.
Les estimations angulaires et de distances effectu�es � l'aide du t�moignage et des photographies prises lors de l'entretien cognitif plaident pour un drone suffisamment grand (1 m) tel que ceux utilis�s de mani�re professionnelle, voire militaire.
La pr�sence de ce drone dans une zone r�sidentielle � 2h du matin peut se comprendre pour un usage ludique d�s lors qu'une telle activit� est interdite et doit rencontrer le moins de t�moins possible et que l'effet de sensation recherch� est plus fort en zone o� le faisceau peut � jouer � avec les obstacles et fa�ades.
Elle se comprend beaucoup moins pour un drone � usage professionnel ou militaire. On peut s'interroger sur la raison d'un faisceau aussi tournoyant pour l'un et l'hypoth�se d'op�rations d'entra�nement particuli�res pour l'autre qui se heurte au fait que les autorit�s du camp d'entra�nement proche (camp de Frileuse � Beynes) ont indiqu� une absence d'op�rations de toute sorte cette nuit-l�.
La pr�sence d'un drone ludique est plus vraisemblable, tandis que la taille angulaire plaide pour un drone professionnel. Toutefois, la surestimation de taille (facteur 2) par le t�moin n'est pas exclue malgr� la fiabilit� des rep�res utilis�s (espace entre deux arbres) comme il est aussi possible qu'un drone de type professionnel ait pu avoir un usage ludique.
La consistance du t�moignage est tr�s bonne, tant en termes d'information que de fiabilit�.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable d'un drone d'usage ludique.
";"Observation au-dessus des toits d'un PAN compos� d'une juxtaposition de lumi�res vertes dispos�es en rosace et d'un faisceau lumineux vert mobile dans le ciel nocturne couvert : observation probable d'un drone d'usage ludique.";O;;1;;1;;;;;2018-11-28;;;0.45;0.00;;;0.90;;0.80;;0.70;0.00;B;B;2018-01-50471
4627;"[D73] de MARLY (59) vers MARESCHES (59) 25.02.2018";Nord;59;"(D) D�partement";2018;02;25;"Le 25 f�vrier 2018 � 3h30 du matin un automobiliste constate dans le ciel une boule lumineuse blanche dans le ciel d�gag� et �toil�. Cette boule semble se d�placer et s'arr�te lorsque l'automobiliste stoppe son v�hicule. Aucun bruit n'est entendu. La passag�re filme le ph�nom�ne. Un seul t�moignage est recueilli.
Ce cas est tr�s illustratif de l'illusion de boule suiveuse que peut causer la m�prise avec un astre lorsque le t�moin est en d�placement. Ici nous disposons d'une vid�o du t�moin lors du d�placement.
L'�tranget� pour le t�moin commence par la non-reconnaissance de l'aspect de l'astre. Quand la voiture du t�moin suit un cap � peu pr�s constant, l'astre est fixe par rapport au v�hicule et d�file avec le paysage. Comme le t�moin ne voit pas l'astre mais un PAN et le consid�re � une distance proche, ce d�filement le long du paysage est per�u comme un d�placement du PAN parall�lement au v�hicule en reproduisant les marches/arr�ts. Lorsque le cap du t�moin change, la position du PAN par rapport � la route change.
La vid�o illustre bien ces �tranget�s per�ues par le t�moin.
La reconstitution jointe montre sans �quivoque qu'il s'agit de Jupiter tr�s brillant ce soir l�, reconstitution en deux points du trajet, une fois avec Jupiter dans l'axe de la route, une autre fois sur la gauche.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : Observation de Jupiter.";"Observation par un automobiliste des d�placements et arr�ts d'une boule lumineuse blanche dans le ciel d�gag� et �toil� : observation de Jupiter et illusion de la ""boule suiveuse"".";O;;;;;;;;;2018-03-30;;;0.10;0.00;;;0.90;;0.90;;0.80;0.00;A;A;2018-02-50473
4661;"LONGEVILLE-LES-METZ (57) 31.03.2018";Moselle;57;"(D) D�partement";2018;03;31;"Le samedi 31 mars 2018 � 19h37 un t�moin � sa fen�tre constate le d�placement dans le ciel d�gag� d'un objet allong� blanc. Ce dernier se d�place rapidement de fa�on rectiligne vers le Sud-Est. Le t�moin filme la sc�ne puis au bout de 50 secondes retourne � ses occupations. Un seul t�moignage est recueilli avec la vid�o.
Le t�moin a observ� un avion. La vid�o montre le PAN qui passe transversalement � la prise de vue depuis la maison orient�e SE, Il y a effectivement (voir reconstitution) un avion qui passe � ce moment l� dans une orientation de vol de S0 vers NE et donc parall�lement � la ligne d'horizon comme indiqu� par le t�moin selon une �l�vation de l'ordre de 45� conforme � l'aspect de la vid�o.
Le t�moin ne reconna�t pas l'avion alors qu'il y a un bruit d'avion dans la vid�o. Il est intrigu� par :
- l'altitude plus basse qu'un avion. Effectivement celui-ci est � une altitude de 9000m, plus faible qu'un vol de croisi�re ;
- la forme, effectivement, on voit comme un cigare. Ceci est classique. Quand le soleil est tr�s bas et �claire l'avion de mani�re fortement transversale (Soleil plein Est), la carlingue r�fl�chit fortement et la seule aile visible est �clair�e selon sa section et donc de mani�re peu ou pas r�fl�chissante ;
- l'absence de train�e, les train�es sont loin d'�tre syst�matiques et d�pendent des conditions atmosph�riques et/ou de l'altitude.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : avion.";"Observation du d�placement rapide d'un objet allong� et blanc dans le ciel : observation du passage d'un avion.";O;;1;;;;;;;2018-05-24;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.80;;0.60;0.00;A;A;2018-03-50504
4685;"GREZILLAC (33) 30.03.2018";Gironde;33;"(D) D�partement";2018;03;30;"Le vendredi 30 mars 2018 vers 22 heures un t�moin (T1) sort de sa maison et voit une lumi�re rouge�tre se d�placer dans le ciel et dispara�tre. Il voit ensuite deux autres ph�nom�nes lumineux du m�me type et prend alors une photographie avec son t�l�phone portable. Une des deux lumi�res amorce un virage pour venir en direction du t�moin qui rentre chez lui. Il ressort accompagn� de sa compagne (T2) et ensemble ils observeront jusqu'� 7 ph�nom�nes lumineux en d�placement silencieux dans le ciel nocturne. Seuls ces deux t�moignages sont recueillis.
Un des t�moins conteste la premi�re explication du GEIPAN, pourtant l'observation est probablement relative � un d�placement de lanternes tha�landaises :
- la couleur, le d�filement de plusieurs PAN un derri�re l'autre, la survenue une nuit de week-end, le d�placement dans le sens du vent mesur� ce soir l� (de SE vers NO voir le fichier joint) sont autant d'�l�ments dans le sens de cette hypoth�se.
T1 objecte surtout qu'� un moment un PAN a fait un virage dans sa direction avant de reprendre sa course normale. Cela ne va pas � l'encontre de l'hypoth�se car :
- il peut s'agir d'une erreur d'interpr�tation. Les PAN �voluent � hauteur moyenne dans le ciel, loin de la verticale. Si la lanterne a un moment donn� brill� plus fort, il est classique que cela soit compris comme un rapprochement horizontal du PAN en direction du t�moin. De m�me, une baisse d'intensit� aurait �t� per�ue comme un �loignement ;
- il est tout � fait possible qu'un vent globalement bien orient� soit localement accompagn� de perturbations (bois, urbanisme, rivi�re) et suive un filet non rectiligne. Une lanterne en �cart des autres ou l'ensemble des lanternes en file indienne peut suivre ce filet de vent.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observations probables de lanternes tha�landaises.";"Observations par deux t�moins du d�placement silencieux dans le ciel nocturne de 7 ph�nom�nes lumineux rouge�tres : observations probables de lanternes tha�landaises.";O;;2;;7;;;;;2018-06-20;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;B;B;2018-03-50517
4689;"PENNAUTIER (11) 20.10.1990";Aude;11;"(D) D�partement";1990;10;20;"Le 20 octobre 1990 entre 18h30 et 18h45 un t�moin et son �pouse se prom�nent sur le chemin des Romains � Pennautier (11) lorsqu'une boule lumineuse de couleur blanc intense apparait dans le ciel. Cette boule est suivie d'une train�e lumineuse de m�me couleur. L'ensemble suit une trajectoire courbe SO-NE et disparait rapidement derri�re les habitations bordant le chemin. Aucun bruit n'est entendu. La dur�e totale de l'observation n'est pas indiqu�e. Un seul t�moignage est recueilli.
La description du PAN ressemble � celle d'un bolide. D'�tranget� et de consistance moyennes (t�moignage unique), ce cas s'av�re �tre une m�prise probable avec un ph�nom�ne astronomique parfaitement connu : rentr�e dans l'atmosph�re d'un m�t�oro�de.
";"Observation du passage rapide d'une boule lumineuse blanche dans le ciel suivie d'une train�e lumineuse de m�me couleur : observation d'une probable rentr�e d'un m�t�oro�de.";O;;1;;;;;;;2018-04-26;;;0.25;0.00;;;;;;;0.40;0.00;B;B;1990-10-50520
4692;"HAGUENAU (67) 09.05.2018";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2018;05;09;"Le 09 mai 2018 � environ 19h30 un t�moin depuis un terrain de rugby est intrigu� par le passage dans le ciel d'une boule cylindrique tr�s brillante et d'une boule noire. Cette derni�re vient du NE et se dirige en direction du SO. Aucun bruit n'est entendu. L'observation dure environ une minute avant que le t�moin ne perde le PAN de vue. N�anmoins, le t�moin a le temps de prendre trois photographies. Aucun autre t�moignage ne sera recueilli au GEIPAN.
Le t�moin est � la fois enthousiasm� et tracass� par son observation en ce sens qu'il souhaite vraiment une explication (ou une non explication ?). Il a en effet fait d'autres observations �tranges dans le pass� (sans td�claration au GEIPAN), il est document� sur les ovnis, et cette fois l'espoir est grand car il a pris des photos.
Il sera peut-�tre d��u par une explication qui ne serait pas � la hauteur de ses attentes. En effet, la vitesse de d�placement comme l'aspect du PAN sur la photo font nettement penser � un avion de ligne. Sur la photo non zoom�e et �quivalente � l'il nu, l'avion n'est qu'un point brillant sans train�e (les train�es n'�tant pas automatiques) et classique d'un avion. L'�tranget� pour le t�moin a d� na�tre du zoom (ou d'une vision naturelle particuli�rement ac�r�e) qui fait appara�tre la forme allong�e sans ailes. De multiples exemples trait�s au GEIPAN montrent qu'il est fr�quent que seule la carlingue r�fl�chisse le soleil et que l'avion apparaisse ainsi sans aille comme un cigare. C'est le cas en particulier quand le soleil est transverse � la carlingue et ne ""voit"" que l'�paisseur de l'aile, comme ici avec un soleil � 282� d'azimut orthogonal � la trajectoire NE-SO d�crite pour ce PAN.
Et la preuve est faite, puisque nous trouvons l'avion ""en question"". Comme le montre la reconstitution jointe, � 19H29 (heure de la photo), nous avons un avion qui va de NE en SO et dont l'�volution vue du terrain de rugby est conforme au t�moignage. En particulier, la photo permet gr�ce au logiciel IPACO d'identifier la hauteur du PAN par rapport � la cime des premiers arbres bordant au sud le terrain de rugby. Ces arbres sont � une centaine de m�tres, en consid�rant que le t�moin est au milieu de la tribune. La hauteur de cime est entre 5� et 10� selon que la hauteur de l'arbre est de 5 ou 15 m (il y deux arbres de hauteurs diff�rentes sur la photo). Ceci place le PAN � une hauteur dans le ciel aux environs de 35�, quand on rajoute les hauteurs mesur�es sur la photo. Et c'est effectivement l'ordre de grandeur de la hauteur de l'avion qui est sur la capture radar � 12 km et 10,6 km d'altitude soit � 41� de hauteur dans la ciel. La diff�rence s'explique par les inconnues et erreurs sur la position du t�moin le long des tribunes, la connaissance de la hauteur des arbres ,de la synchronisation entre la photo et la capture radar de l'avion. Ce dernier s'�loignant rapidement en baissant de hauteur dans le ciel.
Les PAN noirs mentionn�s par le t�moin sont plut�t des salissures sur l'objectif, elles sont d'ailleurs nombreuses.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : avion.
";"Observation par un t�moin du passage dans le ciel d'une boule cylindrique brillante et d'une boule noire : observation du passage d'un avion.";O;;1;;;;;;;2018-05-23;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.80;;0.60;0.00;A;A;2018-05-50525
4696;"MIOS (33) 03.05.2018";Gironde;33;"(D) D�partement";2018;05;03;"Le 03 mai 2018 � 22h30 un t�moin est intrigu� par la pr�sence � basse altitude dans le ciel d�gag� d'une lumi�re fixe. Le t�moin d�crit ensuite des mouvements multiples (gauche � droite, haut en bas) et des changements de couleur. Aucun bruit n'est entendu. Il d�cide de filmer son observation qui dure 3 � 4 minutes. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a tr�s probablement observ� Jupiter.
- il y a une bonne correspondance de position dans le ciel. Jupiter est bien en SE (123�) et � une hauteur proche (9�) de celle observ�e (15�).
- l'aspect d�crit (point lumineux, lumi�re fixe) correspond bien � une �toile ou un astre.
- le changement de couleur du blanc ou jaune, "" avec par moment comme un �clatement "" correspond � l'effet de l'atmosph�re qui modifie les couleurs et peut cr�er des effets de halo, notamment en pr�sence de forte humidit�.
- la perception de l�ger d�placement (""le point lumineux s'est mis � bouger bizarrement (gauche � droite, haut en bas, s'�loignant, se rapprochant"") r�sulte de deux effets classiques dans l'observation d'�toile : le ph�nom�ne oculaire d'autocin�tique (voir l'article surRaison et psychologie) qui cr�e les perceptions de d�placement angulaires et celui induit par la fluctuation d'intensit� (caus�e par l'atmosph�re) que le t�moin interpr�te comme un d�placement radial (dans sa direction) en rapprochement ou �loignement.
- la fin de l'observation est caus�e par un passage de nuage. On v�rifie en effet que le ciel n'�tait pas totalement couvert en fin de journ�e d'apr�s les donn�es de la station de Cap-Ferret (voir reconstitution).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : observation tr�s probable de Jupiter.";"Observation d'une lumi�re fixe avec effets de mouvements et changements de couleur : observation tr�s probable de Jupiter.";O;;1;;1;;;;;2018-06-06;;;0.20;0.00;;;0.70;;0.60;;0.45;0.00;A;A;2018-05-50527
4741;"[CD39] de FOUCHY (67) vers URBEIS (67) 19.11.2017 T2";Bas-Rhin;67;"(D) D�partement";2017;11;19;"Le 19 novembre 2017 � 20h35 deux personnes, circulant dans une voiture (T1 conductrice) et (T2 passager avant), sont intrigu�es par des formes lumineuses de couleur vues � travers le pare-brise. Les t�moins se situent sur la d�partementale 39 � la sortie de Fouchy (67) en direction d'Urbeis (67). Les t�moins sont en d�saccord quand � la description du ph�nom�ne. Cependant ils s'accordent pour dire que le ph�nom�ne �tait silencieux et stationnaire. Ils prennent des photographies avec leurs smartphones respectifs.
Les deux t�moins d�crivent le PAN de mani�re tr�s diff�rente, en particulier T2 traduit sa diff�rence de perception par rapport � T1 (Voir les notes d'enqu�te). En observant les photos fournies par les t�moins on remarque aussi que le PAN observ� par le passager T2 est net et celui vu par la conductrice T1 est flou : cela ouvre l'hypoth�se de deux observations distinctes de deux PAN. Deux cas diff�rents d'observation sont ouverts (voir les notes d'enqu�te).
Le passager T2 d�crit le PAN comme 4 points lumineux en forme de croix dont un qui clignote au milieu. Cela correspond bien � l'observation d'un avion qu'il compare � un drone muni de LED blanches � ses extr�mit�s. En effet, de loin et � travers les vitres d'une voiture, il est possible de ne pas distinguer les couleurs des feux de navigation. Sur la photo on retrouve bien le double phare du Boeing 717 qui est alors en phase d'approche pour atterrir � Strasbourg, la route convergente peut donner une sensation d'immobilit� ou de faible d�placement.
Les deux t�moignages sont consistants chacun au regard de leur propre observation, et nous disposons de photos (parfaitement exploitables) pour les deux PAN ainsi qu'une trace avion pour le PAN vu par T2.
En cons�quence le GEIPAN conclut que l'observation de T2 correspond � l'observation d'un avion de ligne.
Le GEIPAN classe le cas A : avion de ligne.
Voir le cas [CD39] de FOUCHY (67) vers URBEIS (67) 19.11.2017 T1 pour connaitre quel ph�nom�ne a �t� vu par le T1 (conductrice) et quelle classification a �t� donn�e au cas.
";"Observation nocturne derri�re un parebrise d'un ph�nom�ne lumineux d�crit diff�remment par deux t�moins : observation par le passager (T2) d'un avion de ligne.";O;;1;;1;;;;;2018-07-11;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.80;;0.55;0.00;A;A;2017-11-50565
4748;"[A9] de NIMES (30) vers MONTPELLIER (34) 05.01.1984 T2";Gard;30;"(D) D�partement";1984;01;05;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� GRAND GALLARGUES (30) 1984 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Le 05 janvier 1984 vers 02h30, deux t�moins sont en d�placement � bord d'un v�hicule VSL sur l'autoroute A9 en direction de Montpellier (34). Les t�moins remarquent un PAN qui les suit le long de l'autoroute sur une distance d'une vingtaine de kilom�tres. Un second PAN est observ� uniquement par le second t�moin tr�s apeur�. Aucun bruit particulier n'est entendu durant les observations.
Il y a lieu de distinguer deux ph�nom�nes PAN 1 et PAN 2 (voir le compte rendu d'enqu�te).
Les caract�ristiques physiques et le comportement du PAN 1 (voir le cas [A9] DE N�MES (30) VERS MONTPELLIER (34) 05.01.1984 T1) observ� par les deux t�moins ne correspond � aucun ph�nom�ne connu. Cependant, en �tudiant un peu plus les t�moignages, on se rend compte que pratiquement l'ensemble des �l�ments des t�moignages, en plus des dessins, divergent sur l'aspect et le comportement du PAN 1 et que leur faiblesse quantitative et qualitative ne permet pas d'effectuer davantage de v�rifications et de recoupements qui pourraient soit expliquer, soit confirmer ou infirmer le caract�re �trange et inexplicable du ph�nom�ne. Cette faiblesse de consistance emp�che de maintenir le cas dans sa classification initiale D.
En cons�quence le GEIPAN classe le PAN 1 en C : manque d'informations fiables.
Concernant le PAN 2 uniquement observ� par T2, il s'agit d'une confusion astronomique, avec l'�toile Ald�baran, observ�e dans une configuration g�ographique temporairement propice.
Une partie de l'�tranget� caus�e � T2 r�sulte de l'illusion de la boule suiveuse, cr�e par le propre d�placement du t�moin : le PAN �loign� (ici l'astre) donne l'impression de suivre le d�placement du t�moin en se d�pla�ant par rapport � la route, alors que c'est la route qui �volue relativement � la direction fixe de l'astre.
En cons�quence le GEIPAN classe le PAN 2 en A : observation d'Ald�baran.";"Observation nocturne depuis un v�hicule par un seul des deux t�moins d'un ph�nom�ne lumineux aux couleurs vari�es (PAN 2) : m�prise astronomique de l'�toile Ald�baran.";O;;1;;1;;;;;2018-11-07;;;0.20;0.00;;;0.70;;0.60;;0.45;0.00;A;A;1984-01-50572
4760;"BOURGES (18) 28.04.2018";Cher;18;"(D) D�partement";2018;04;28;"Lors d'une soir�e entre amis � Bourges (18), plusieurs personnes observent � 23h47 le d�placement silencieux dans le ciel d'un PAN constitu� par plusieurs ""pointes lumineuses"". La forme appara�t d'abord triangulaire puis circulaire mais aucune structure n'est visible. L'objet passe au-dessus de l'immeuble et il est perdu de vue. Une seule personne du groupe t�moigne.
Les t�moins ont tr�s probablement observ� un passage de lanternes tha�landaises :
- il s'agit de lueurs potentiellement isol�es car aucune forme n'est distingu�e les reliant.
- ces lumi�res sont vives et d'aspect conforme � des lanternes tha�landaises.
- le d�placement de l'Est vers l'Ouest (vu des Nord-Est vers Nord) est conforme au vent d'origine et mesur� � Bourges � cette heure l� sur le site M�t�ociel.
- c'est une nuit de week-end pendant le "" Printemps de Bourges"", le tout �tant tr�s favorable � des �v�nements festifs de type l�chers de lanternes.
Les t�moins sont surpris par le changement de configuration des lueurs, qu'il peuvent prendre pour un changement de forme s'ils imaginent une forme entre les lueurs, alors qu'ils n'en distinguent pas. Les lanternes peuvent voler en formation proche et avoir des trajectoires non rigoureusement identiques du fait des l�g�res diff�rences de tailles et train�es au vent et des variabilit�s � petite �chelle du vent (surtout en milieu urbain � l'altitude faible de 100 � 300 m de vol des lanternes. Ainsi la formation vue du sol peut �voluer, il se trouve qu'ici elle est pass�e de quelque chose proche d'un triangle � quelque chose proche d'un cercle.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en A : lanternes tha�landaises. ";"Observations nocturnes du passage silencieux dans le ciel d'un PAN form� par des ""pointes lumineuses"" jaune p�le-blanc : observations de lanternes tha�landaises.";O;;1;;;;;;;2018-09-05;;;0.15;0.00;;;0.70;;0.60;;0.45;0.00;A;A;2018-04-50583
4767;"DREUX (28) 31.05.2018 TI1";Eure-et-Loir;28;"(D) D�partement";2018;05;31;"Le 31 mai 2018 � 22h une adolescente est intrigu�e par la couleur tr�s jaune du ciel orageux et filme le ciel avec son t�l�phone portable depuis le balcon. Quelques minutes plus tard, elle dit � sa m�re avoir film� ""un truc bizarre"". Sa maman t�moigne pour elle de son observation. Aucun autre t�moignage n'est recueilli.
Il s'agit d'un cas d'�tranget� cr��e par l'appareil photo/vid�o et donc non vue des yeux du t�moin.
Le GEIPAN ne traite plus ces cas afin de consacrer ses ressources aux �tranget�s vues dans le ciel et non sur celles cr��es par les appareils ou les �l�ments � proximit� imm�diate de l'appareil (ex insectes, reflets). Quand nous avons un fort doute, nous envoyons un message standard (voir dans document d'analyse GEIPAN) et le t�moin nous pr�cise en g�n�ral ce qu'il en est et nous pouvons soit clore, soit traiter utilement l'�tranget� r�ellement vue, et, l�, la photo/vid�o est bien s�r tr�s utile.
Le pr�sent cas a pourtant �t� �tudi� et publi�, car il illustre bien la difficult� de traiter le t�moignage d'un enfant �tabli en interaction ou relay� par ses parents. En effet, ce type de t�moignage n'est pas isol� et nous avons du mal quelquefois � obtenir la vigilance ou l'esprit critique des parents suite � nos questions ou demandes de pr�cisions. On sait bien qu'un parent n'est pas toujours le mieux plac� pour une analyse critique des d�clarations de son enfant !
En l'occurrence ici :
- le parent du t�moin mineur en r�ponse � notre message standard de probable �tranget� photo/vid�o, a assur� que son enfant a d'abord vu de ses yeux et film� ensuite. Nous avons object� la tr�s forte difficult� pour un PAN aussi rapide, de le d�tecter � l'il et d'enclencher la vid�o et le parent a r�pondu que son enfant a film� en regardant directement le ciel et en faisant tourner l'appareil dans sa main ;
- la mani�re peu usuelle de filmer, la description changeante d'une condition d'observation qui reste en contradiction avec celle relat�e dans le t�moignage initial o� l'enfant alerte ses parents parce qu'il a FILME (il ne dit pas VU) un truc bizarre sont autant d'�l�ments accr�ditant nos doutes quant � la r�alit� de la vision de l'�tranget� par les yeux ;
- le parent a continu� � r�futer notre avis et � assurer que l'�tranget� avait �t� vue, tout en trouvant exp�ditive la mani�re de classer le cas par le GEIPAN.
Nous ne sommes pas en mesure de publier le t�moignage (le questionnaire et les �changes mail au-del� de la premi�re r�ponse standard du GEIPAN) car le parent a refus�.
Nous avons men� une analyse compl�te. Nous le faisons quand l'argumentation du t�moin (sur le caract�re vraiment visuel de l'observation) est forte, ici, nous l'avons fait pour une raison illustrative comme pr�cis� ci-avant. Et une fois de plus, cela a confirm� notre exp�rience et notre besoin de vigilance avec les �tranget�s en connexion avec des photos et vid�os.
Nous avons fait plusieurs captures de la vid�o (voir document joint : 4 instants 922, 2050, 2707). Gr�ce � l'outil sp�cifique IPACO, on montre qu'� chaque fois le point lumineux � �trange � est en sym�trie (par rapport au centre de l'image) du soleil. Il s'agit bien d'un effet classique de reflet optique : une lumi�re tr�s forte (ici le soleil) est dupliqu�e (bien s�r amoindrie) par l'objectif en sym�trie du centre optique de l'objectif, ce dernier �tant en principe confondu avec celui de l'image (ou pas loin, ce qui explique le petit d�calage). Bien s�r quand la vis�e est en balayage, ce reflet balaie deux fois plus vite.
Nous confirmons qu'il s'agit d'une �tranget� per�ue sans observation visuelle directe mais sur un �cran d'appareil, et que cette �tranget� r�sulte d'un artefact photographique. Il est possible que l'enfant ait vu une �tranget� de ses propres yeux mais ce n'est certainement pas ce qui a fait l'objet du t�moignage et ce qui est rep�r� sur la vid�o.
En conclusion le GEIPAN classe le cas en A : artefact photographique.
";"Objet tr�s lumineux en d�placement rapide film� avec un t�l�phone portable : artefact photographique.";O;;1;;1;;;;;2018-10-22;;;0.05;0.00;;;0.40;;0.80;;0.30;0.00;A;A;2018-05-50594
4783;"PIGNAN (34) 07.07.2018";H�rault;34;"(D) D�partement";2018;07;07;"Le 07 juillet 2018 vers 22h45 un t�moin, dans son jardin, voit appara�tre une lumi�re rougeoyante orang�e � plusieurs kilom�tres au-dessus de l'horizon. La boule s'approchant silencieusement, le t�moin est de plus en plus intrigu� et passe en revue de nombreuses hypoth�ses explicatives. L'objet dispara�t dans un nuage puis r�appara�t. L'observation dure entre 1 � 2 minutes. Le t�moin a le temps de le prendre en photo avec son t�l�phone puis l'objet dispara�t ""sur place"". Aucun autre t�moignage n'a �t� recueilli sur ce ph�nom�ne.
Le t�moin a probablement observ� une lanterne tha�landaise arrivant depuis le Nord et s'�teignant lors du passage � son Est :
- la couleur ( ""Orang�e, tr�s brillant, compl�tement illumin�e, un peu comme la couleur de la braise incandescente"" ) ;
- la forme ( ""au loin une boule puis une forme .... difficile � d�crire car � mouvante �, voir comme un plasma en fusion plut�t allong�, un peu en forme de tube mais l'arri�re �vas�. Le contour �tait encore plus lumineux et tr�s orang� comme en feu""). Lorsque la lanterne s'approche et monte en �l�vation, le dessous du br�leur de la lanterne peut faire obstacle � la lumi�re et c'est le contour de la lanterne qui para�t plus lumineux. La combustion et son scintillement donnent un effet de feu et de fluctuation de contour de ce feu.
Certaines lanternes peuvent avoir une forme �vas�e :
- la trajectoire Nord-Sud est conforme au vent mesur� qui est de Nord (voir sur le site M�t�ociel,
- la disparition est �galement conforme. La fin de combustion peut donner l'impression de ""disparition de mati�re sur place"". La chute de la lanterne �teinte et sombre n'est pas toujours visible,
- une nuit de week-end estival est propice � un �v�nement festif de ce type.
Dans cette hypoth�se, la lanterne a travers� un nuage. La perception de t�moin est bien celle d'une lueur s'estompant sur fond de nuage, donc probablement par travers�e de la partie basse de celui-ci. Les lanternes volent rarement � plus de 300 m d'altitude mais le t�moin mentionne les quelques nuages comme �tant bas. Cette description ne s'oppose donc pas � l'hypoth�se lanterne.
L'hypoth�se satellite est � rejeter. La forme �volue trop en grosseur (comme implicitement d�duit de la description). Seule l'ISS pourrait donner une telle impression de lueur et taille importante et grossissante mais l'ISS n'est pas dans le ciel. De plus, la disparition ne peut pas se faire ainsi, en absence de couverture nuageuse soutenue. L'hypoth�se de m�t�orite est � rejeter aussi car la dur�e du ph�nom�ne est trop longue (et sa vitesse angulaire trop lente).
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable dune lanterne tha�landaise.";"Observation du passage silencieux Nord-Sud d'un objet lumineux orang� dans le ciel nocturne : probable observation d'une lanterne tha�landaise.";O;;1;;1;;;;;2018-09-05;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.60;;0.45;0.00;B;B;2018-07-50605
4799;"MARSEILLE (13) 07.08.2018";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2018;08;07;"Dans la nuit du 06 au 07 ao�t 2018 vers 01h12 du matin, un t�moin sur sa terrasse ext�rieure est surpris par la vision d'un ph�nom�ne lumineux fixe face � lui. Le t�moin d�cide d'observer ce ph�nom�ne avec ses jumelles et reste stup�fi� de voir un cercle lumineux de diff�rentes couleurs avec en son centre deux lumi�res tr�s vives rouge et jaune. Le t�moin prend contact avec la gendarmerie puis part se coucher � 01h30 troubl� par cette observation. A 5h05 du matin, il se l�ve mais le PAN a disparu. Aucun autre t�moignage sur ce ph�nom�ne ne sera recueilli.
Ce t�moignage est illustratif de l'affolement que peut cr�er une m�prise par un astre, surtout quand le t�moin prend des jumelles pour le regarder.
Les dessins pr�cis du t�moin permettent de bien reconstituer la direction d'observation qui est plein Sud. Mars (tr�s lumineux, magnitude -3,6) est l� au-dessus des montagnes comme sur le dessin. A 20� de hauteur dans le ciel, Mars se d�gage nettement des sommets des montagnes qui ne d�passent pas 5� de hauteur vu du t�moin. Ce dernier a (classiquement) surestim� la hauteur dans le ciel (45�) du PAN. Il y a aussi Saturne � 30� plus � droite (� l'Ouest), moins brillant (magnitude 0) mais tout de m�me plus que le reste des �toiles dans le secteur, le tout faisant dire au t�moin qu'il y avait deux lumi�res tr�s vives rouge (Mars) et jaune (Saturne) avec des �toiles (normalement) blanches autour.
Ensuite le t�moin prend les jumelles et les braque sur Mars. Un t�moin d�j� victime de m�prise par rapport � un astre l'est souvent encore plus quand il prend les jumelles qu'il a souvent du mal a r�gler sur l'astre (artefacts de jumelles) ou qui r�v�lent des �tranget�s pour qui regarde un astre aux jumelles la premi�re fois.
Le ciel �tait d�gag�, si le t�moin scrutait un PAN autre que Mars, il aurait tr�s probablement indiqu� la pr�sence de Mars vu la qualit� de rep�rage dont il fait preuve dans ses dessins.
En cons�quence le GEIPAN conclut en A: observation de Mars.
";"Observation � l'il nu puis aux jumelles d'un ph�nom�ne fixe et lumineux dans le ciel nocturne �toil� : observation de Mars.";O;;1;;1;;;;;2018-10-11;;;0.10;0.00;;;0.70;;0.80;;0.60;0.00;A;A;2018-08-50619
4840;"FOA (LA) (988) 05.03.1984";Nouvelle-Cal�donie;988;"(D) D�partement";1984;03;05;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� LA FOA (988) 05.03.1984 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Ce cas concerne l'observation d'un PAN par plusieurs habitants de la commune de LA FOA (988) � des dates diff�rentes (les 02 et 05 et une date de jour inconnue) au mois de mars 1984 (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Le 07 mars 1984 la gendarmerie est avis�e que plusieurs personnes d'un quartier de LA FOA en Nouvelle-Cal�donie ont fait des observations � plusieurs reprises de ph�nom�nes lumineux dans le ciel. L'enqu�te de gendarmerie rapporte sur un m�me proc�s-verbal que :
- le 05 mars 1984 entre 04h30 et 6h30 deux t�moins en voiture (T1 et T2) font une tr�s longue observation d'un ph�nom�ne particuli�rement lumineux dans le ciel.
- le 02 mars 1984 vers 20h deux t�moins chez eux (T3 et T4) ont observ� une boule de feu �mettant une lumi�re blanche.
- et � une date dont il ne se souvient pas du jour mais toujours au mois de mars 1984, un autre t�moin (T5) a fait une observation � trois reprises depuis son domicile d'une ""large bande de lumi�re"".
Un tout dernier t�moin (T6) est entendu par la gendarmerie car il est indiqu� dans la d�position de T5. Cependant ce dernier t�moin n'a fait aucune observation.
Les t�moins ou paires de t�moins observent un PAN � des dates et heures diff�rentes, les positions et mouvements des PAN �tant eux-m�me diff�rents. Il convient de rechercher une explication propre � chacune des trois observations (T1-T2, T3-T4 et T5) sans induire au d�part qu'il puisse s'agir d'un m�me ph�nom�ne.
Par ailleurs, la gendarmerie est intervenue suite � la rumeur � propos d'habitants ayant vu � plusieurs reprises des formes lumineuses dans le ciel. Aucun t�moin n'a d�clar� spontan�ment son observation. Du fait, de cette rumeur et de recoupements approximatifs op�r�s entre t�moins, il est possible que l'�tranget� rapport�e par des t�moins lors des d�positions soit plus forte que celle ressentie au moment de l'observation et que, prises isol�ment, certaines observations auraient pu passer inaper�ues.
Ce qui pr�c�de peut expliquer le caract�re anecdotique ou pour le moins non consistant de la d�position de T5 :
- le t�moin ne sait plus si c'est la veille ou l'avant-veille (� Il y a un ou deux jours �) ce qui n'est jamais le cas quand l'observation est vraiment �trange ;
- l'information disponible est impr�cise (non seulement au niveau de la date) et ne permet aucune analyse pr�cise (� comme une large bande de lumi�re, �clairant le ciel d'une fa�on intense, s'est produite, ce � trois reprises diff�rentes. On aurait dit comme le passage d'un objet tr�s lumineux qui se d�pla�ait de la droite vers la gauche au-dessus des arbres faisant face � mon habitation �) ;
- le t�moin poss�de une premi�re explication d'ordre m�t�orologique, ce qui ne supprime pas l'�tranget� per�ue mais en r�duit l'ampleur (� Un temps j'ai pens� que cela annonc� l'arriv�e de mauvais temps, tout en restant choqu� par ce ph�nom�ne. �) ;
- dans le contexte ambiant, on ne peut exclure, compte tenu du peu d'informations disponibles, qu'une configuration particuli�re de faisceaux de phares de v�hicules projet�e dans le ciel ait pu produire une premi�re �tranget� limit�e au d�part et accrue r�trospectivement.
L'observation de T5 est d'une consistance (information comme fiabilit�) tr�s faible au vu des �l�ments disponible 35 ans apr�s. Cette observation d'une �tranget� a priori plut�t faible est inexploitable (classement C) par manque d'informations fiables.
A l'oppos�, les t�moignages de T1 et T2 font �tat d'un niveau r�el d'�tranget� per�ue (m�me si celle-ci a pu cro�tre apr�s l'observation) et poss�dent un bon niveau d'information. Ces deux t�moins ont sans aucun doute fait une m�prise avec V�nus.
- L'aspect d�crit du PAN est conforme : boule lumineuse, couleur blanche et luminosit� forte, traits d�crits sous le PAN assez r�currents des m�prises avec V�nus.
- La longue dur�e de l'observation (2 heures d'apr�s T1) est caract�ristique d'une m�prise astronomique, et la disparition du PAN pendant une demi-heure apr�s le lever du Soleil est caract�ristique de V�nus.
- V�nus �tait dans la direction indiqu�e par les t�moins et aurait d� �tre au voisinage du PAN si ce dernier n'�tait pas V�nus, alors que les t�moins font �tat d'un ciel �toil� et d�gag� et ne mentionnent pas � la proximit� du PAN la plus brillante des �toiles.
Les t�moins notent un d�placement du PAN, ce qui para�t incoh�rent avec V�nus :
- il est � noter que les t�moins �taient en voiture au d�but de l'observation, ce qui a pu provoquer une illusion de mouvement du PAN dans l'environnement et horizon proche alors que c'est cet environnement qui �voluait devant V�nus du fait du profil vallonn� et tournant de la piste emprunt�e par les t�moins.
- la description de T2 pourrait laisser penser � un d�placement du PAN se produisant apr�s un arr�t du v�hicule (� il a arr�t� le v�hicule. C'est alors que le faisceau lumineux a disparu, la boule s'est stabilis�e puis est partie en direction de la montagne de Ouipoin Koind� �). Cette description conforte l'explication pr�c�dente car l'arr�t du v�hicule est suivi par une stabilisation de la boule. La description de d�placement final vers la montagne est �galement compatible de l'hypoth�se. En effet, une diminution d'intensit� de V�nus (variation du voile atmosph�rique) est logiquement interpr�t�e par le t�moin comme une augmentation en distance du PAN dans l'axe de vis�e qui correspond � la direction de la montagne en question.
T2 signale que � le faisceau lumineux a disparu � apr�s que T1 ait fait un code phare avec son v�hicule. Cette conjonction n'est pas signal�e par T1 qui signale seulement � � un certain moment la forme trap�zo�dale s'est �teinte et je ne percevais que la lueur du ballon � alors que c'est lui qui est � priori � la recherche d'une r�action du PAN en actionnant un code-phare. L'arr�t du faisceau r�sulte d'une �volution du voile atmosph�rique tandis que la m�morisation et/ou l'interpr�tation par T2 d'une conjonction ou causalit� avec le phare-code sont � mettre sur le compte de l'�tranget� v�cue, voire accrue � post�riori.
Pour l'observation de T3 et T4 : la description d'une boule lumineuse en d�placement lent peut �voquer l'observation d'un a�ronef ou d'un satellite. Mais rien ne figure dans le relev� d'op�rations a�riennes fait juste apr�s l'observation, ni dans le relev� de passages de satellites que l'on peut faire 35 ans apr�s. L'observation a donc un caract�re �trange. Par contre la consistance est faible.
- En terme d''information, nous ne disposons d'aucune indication de dur�e ou de taille angulaire du PAN.
- On peut douter de la fiabilit� : les deux t�moins T3 et T4 font tous les deux un r�cit minimal sans aucune traduction d'�tranget� v�cue, comme s'il suffisait juste de r�pondre aux questions des gendarmes qui viennent � leur rencontre suite aux d�clarations d'observation qu'ils auraient pu faire dans le voisinage. T2 a en effet rapport� aux gendarmes une observation relat�e par T3. Le court r�cit de T3 et T4 est quasiment identique avec les m�mes expressions et les m�mes mots, comme s'il y avait eu une concertation avant l'audition aupr�s des gendarmes. T3 aurait fait part � T2 de deux observations ant�rieures et similaires � celle de T2, mais ne mentionne pas aux gendarmes la seconde (3 mars � 4H00) et fait une description de la premi�re (2 mars � 19H00) qui a peu d'analogie avec celle de T2 (direction et mouvements tr�s distincts).
La consistance de l'observation de 3 et T4 n'apparait pas suffisante pour soutenir l'�tranget� qui s'en d�gage et lui donner un caract�re inexpliqu�.
En cons�quence :
Cas FOA (LA) (988) 05.03.1984 : l'observation de T1 et T2 est class�e A, observation de la plan�te V�nus.
Cas FOA (LA) (988) 02.03.1984 : l'observation de T3 et T4 est class�e C, potentiellement �trange mais non exploitable par manque d'informations fiables.
Cas FOA (LA) (988) --.03.1984 : l'observation de T5 est class�e C, potentiellement peu �trange mais non exploitable par manque d'informations fiables.
";"Tr�s longues observations (2 heures) par deux t�moins d'un ph�nom�ne circulaire tr�s lumineux dans le ciel ; disparition au lever du jour : observations de la plan�te V�nus.";O;;2;;1;;;;;2018-12-10;;;0.15;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;A;A;1984-03-50655
4842;"FOA (LA) (988) --.03.1984";Nouvelle-Cal�donie;988;"(D) D�partement";1984;03;--;"Le GEIPAN continue � publier l'ensemble de ses archives sur son site public www.geipan.fr. Dans ses publications, figurent des cas anciens class�s � l'�poque (A, B, C ou D) et qui font aujourd'hui l'objet d'un r�examen, dans le seul but d'�tre plus pertinent dans les conclusions. Gr�ce � de nouveaux moyens techniques (logiciels) et � l'exp�rience d'enqu�te acquise depuis toutes ces derni�res ann�es, ce r�examen aboutit quelquefois � de nouvelles remarques voire � un changement de classification.
Ce cas d'observation pr�c�demment class� D et nomm� LA FOA (988) 05.03.1984 fait partie d'un ensemble de cas r�examin�s r�cemment.
Ce cas concerne l'observation d'un PAN par plusieurs habitants de la commune de LA FOA (988) en Nouvelle-Cal�donie � des dates diff�rentes (les 02 et 05 et une date de jour inconnue) au mois de mars 1984 (voir le compte-rendu d'enqu�te).
Le 07 mars 1984 la Gendarmerie est avis�e que plusieurs personnes d'un quartier de LA FOA ont fait des observations � plusieurs reprises de ph�nom�nes lumineux dans le ciel. L'enqu�te de Gendarmerie rapporte sur un m�me proc�s-verbal que :
- le 05 mars 1984 entre 04h30 et 6h30 deux t�moins en voiture (T1 et T2) font une tr�s longue observation d'un ph�nom�ne particuli�rement lumineux dans le ciel ;
- le 02 mars 1984 vers 20h deux t�moins chez eux (T3 et T4) ont observ� une boule de feu �mettant une lumi�re blanche ;
- et � une date dont il ne se souvient pas du jour mais toujours au mois de mars 1984, un autre t�moin (T5) a fait une observation � trois reprises depuis son domicile d'une ""large bande de lumi�re"".
Un tout dernier t�moin (T6) est entendu par la Gendarmerie car il est indiqu� dans la d�position de T5. Cependant ce dernier t�moin n'a fait aucune observation.
Les t�moins ou paires de t�moins observent un PAN � des dates et heures diff�rentes, les positions et mouvements des PAN �tant eux m�me diff�rents. Il convient de rechercher une explication propre � chacune des trois observations (T1-T2, T3-T4 et T5) sans induire au d�part qu'il puisse s'agir d'un m�me ph�nom�ne.
Par ailleurs, la Gendarmerie est intervenue suite � la rumeur � propos d'habitants ayant vu � plusieurs reprises des formes lumineuses dans le ciel. Aucun t�moin n'a d�clar� spontan�ment son observation. Du fait, de cette rumeur et de recoupements approximatifs op�r�s entre t�moins, il est possible que l'�tranget� rapport�e par des t�moins lors des d�positions soit plus forte que celle ressentie au moment de l'observation et que, prises isol�ment, certaines observations auraient pu passer inaper�ues.
Ce qui pr�c�de peut expliquer le caract�re anecdotique ou pour le moins non consistant de la d�position de T5 :
- le t�moin ne sait plus si c'est la veille ou l'avant-veille (� Il y a un ou deux jours �) ce qui n'est jamais le cas quand l'observation est vraiment �trange ;
- l'information disponible est impr�cise (non seulement au niveau de la date) et ne permet aucune analyse pr�cise (� comme une large bande de lumi�re, �clairant le ciel d'une fa�on intense, s'est produite, ce � trois reprises diff�rentes. On aurait dit comme le passage d'un objet tr�s lumineux qui se d�pla�ait de la droite vers la gauche au-dessus des arbres faisant face � mon habitation �) ;
- le t�moin poss�de une premi�re explication d'ordre m�t�orologique, ce qui ne supprime pas l'�tranget� per�ue mais en r�duit l'ampleur (� Un temps j'ai pens� que cela annonc� l'arriv�e de mauvais temps, tout en restant choqu� par ce ph�nom�ne. �).
- dans le contexte ambiant, on ne peut exclure, compte-tenu du peu d'informations disponibles, qu'une configuration particuli�re de faisceaux de phares de v�hicules projet�e dans le ciel ait pu produire une premi�re �tranget� limit�e au d�part et accrue r�trospectivement.
L'observation de T5 est d'une consistance (information comme fiabilit�) tr�s faible au vu des �l�ments disponible 35 ans apr�s. Cette observation d'une �tranget� a priori plut�t faible est inexploitable (classement C) par manque d'informations fiables.
A l'oppos�, les t�moignages de T1 et T2 font �tat d'un niveau r�el d'�tranget� per�ue (m�me si celle-ci a pu cro�tre apr�s l'observation) et poss�dent un bon niveau d'information. Ces deux t�moins ont sans aucun doute fait une m�prise avec V�nus :
- l'aspect d�crit du PAN est conforme : boule lumineuse, couleur blanche et luminosit� forte, traits d�crits sous le PAN assez r�currents des m�prises avec V�nus ;
- la longue dur�e de l'observation (2 heures d'apr�s T1) est caract�ristique d'une m�prise astronomique, et la disparition du PAN pendant une demi-heure apr�s le lever du Soleil est caract�ristique de V�nus ;
- V�nus �tait dans la direction indiqu�e par les t�moins et aurait d� �tre au voisinage du PAN si ce dernier n'�tait pas V�nus, alors que les t�moins font �tat d'un ciel �toil� et d�gag� et ne mentionnent pas � la proximit� du PAN la plus brillante des �toiles.
Les t�moins notent un d�placement du PAN, ce qui para�t incoh�rent avec V�nus:
- il est � noter que les t�moins �taient en voiture au d�but de l'observation, ce qui a pu provoquer une illusion de mouvement du PAN dans l'environnement et horizon proche alors que c'est cet environnement qui �voluait devant V�nus du fait du profil vallonn� et tournant de la piste emprunt�e par les t�moins ;
- la description de T2 pourrait laisser penser � un d�placement du PAN se produisant apr�s un arr�t du v�hicule (� il a arr�t� le v�hicule. C'est alors que le faisceau lumineux a disparu, la boule s'est stabilis�e puis est partie en direction de la montagne de Ouipoin Koind� �). Cette description conforte l'explication pr�c�dente car l'arr�t du v�hicule est suivi par une stabilisation de la boule. La description de d�placement final vers la montagne est �galement compatible de l'hypoth�se. En effet, une diminution d'intensit� de V�nus (variation du voile atmosph�rique) est logiquement interpr�t�e par le t�moin comme une augmentation en distance du PAN dans l'axe de vis�e qui correspond � la direction de la montagne en question.
T2 signale que � le faisceau lumineux a disparu � apr�s que T1 ait fait un code phare avec son v�hicule. Cette conjonction n'est pas signal�e par T1 qui signale seulement � � un certain moment la forme trap�zo�dale s'est �teinte et je ne percevais que la lueur du ballon � alors que c'est lui qui est a priori � la recherche d'une r�action du PAN en actionnant un code-phare. L'arr�t du faisceau r�sulte d'une �volution du voile atmosph�rique tandis que la m�morisation et/ou l'interpr�tation par T2 d'une conjonction ou causalit� avec le phare-code sont � mettre sur le compte de l'�tranget� v�cue, voire accrue a post�riori.
Pour l'observation de T3 et T4 : la description d'une boule lumineuse en d�placement lent peut �voquer l'observation d'un a�ronef ou d'un satellite. Mais rien ne figure dans le relev� d'op�rations a�riennes fait juste apr�s l'observation, ni dans le relev� de passages de satellites que l'on peut faire 35 ans apr�s. L'observation a donc un caract�re �trange. Par contre la consistance est faible :
- en termes d''informations, nous ne disposons d'aucune indication de dur�e ou de taille angulaire du PAN ;
- on peut douter de la fiabilit� : les deux t�moins T3 et T4 font tous les deux un r�cit minimal sans aucune traduction d'�tranget� v�cue, comme s'il suffisait juste de r�pondre aux questions des gendarmes qui viennent � leur rencontre suite aux d�clarations d'observation qu'ils auraient pues faire dans le voisinage. T2 a, en effet, rapport� aux gendarmes une observation relat�e par T3. Le court r�cit de T3 et T4 est quasiment identique avec les m�mes expressions et les m�mes mots, comme s'il y avait eu une concertation avant l'audition aupr�s des gendarmes. T3 aurait fait part � T2 de deux observations ant�rieures et similaires � celle de T2, mais ne mentionne pas aux gendarmes la seconde (03 mars � 4h00) et fait une description de la premi�re (02 mars � 19h00) qui a peu d'analogie avec celle de T2 (direction et mouvements tr�s distincts).
La consistance de l'bservation de T3 et T4 n'appara�t pas suffisante pour soutenir l'�tranget� qui s'en d�gage et lui donner un caract�re inexpliqu�.
En cons�quence :
Cas FOA (LA) (988) 05.03.1984 : l'observation de T1 et T2 est class�e A, observation de la plan�te V�nus.
Cas FOA (LA) (988) 02.03.1984 : l'observation de T3 et T4 est class�e C, potentiellement �trange mais non exploitable par manque d'informations fiables.
Cas FOA (LA) (988) --.03.1984 : l'observation de T5 est class�e C, potentiellement peu �trange mais non exploitable par manque d'informations fiables.";"Observation � trois reprises d'une large bande de lumi�re �clairant le ciel intens�ment : manque d'information.";O;;1;;1;;;;;2018-12-10;;;0.50;0.00;;;0.50;;0.40;;0.20;0.00;C;C;1984-03-50657
4851;"MARTIGUES (13) 02.12.2018";Bouches-du-Rh�ne;13;"(D) D�partement";2018;12;02;"Le dimanche 02 d�cembre 2018 aux alentours de 19h05 un automobiliste est intrigu� par la pr�sence dans le ciel couvert de deux points lumineux rouge vif plein Sud. Arriv� � destination, le t�moin constate que les points sont toujours visibles : il prend alors deux photos et une vid�o avec un smartphone. Il voit ensuite les deux objets prendre de l'altitude en suivant le m�me axe de progression et dispara�tre dans les nuages. Aucun bruit n'est entendu durant l'observation. Un seul t�moignage est recueilli.
Le t�moin a probablement observ� des lanternes tha�landaises. L'observation est en effet compatible :
- en aspect : deux points lumineux de teinte rouge ou orange, tels que d�crits et traduits par la vid�o.
- en trajectoire : les deux points se suivent, ce qui est typique de lanternes suivant un m�me flux de vent. L'observation du d�placement est tr�s impr�cise, on peut comprendre qu'il y a un d�placement vers l'Ouest (le deuxi�me PAN initialement plus � l'Est vient rejoindre le premier) et vers le Nord (puisqu'il y a croissance d'�l�vation pour l'observateur regardant vers le Sud), mais les ampleurs de ces mouvements sont inconnues. Il y a une grande inconnue aussi sur la direction de vent portant les lanternes, la direction de vent mesur� au sol varie du tout au tout selon les stations m�t�o proches (Istres, Cap-Couronne, Marignane..) et les moments autour de 19h. Dans ces conditions, la compatibilit� de l'observation avec le vent ne peut pas �tre appr�ci�e :
- en dur�e et mode de disparition: la dur�e d'observation (10 minutes) est compatible d'une dur�e de vol de lanternes et la disparition de ces derni�res est probablement caus�e par l'extinction des br�leurs qui peut �tre progressive et qui pour un t�moin peut s'interpr�ter � tort comme l'entr�e des PAN dans les nuages alors que ces derniers sont en g�n�ral situ�s plus haut que l'altitude maximale de vol des lanternes.
On est en soir�e de week-end, ce qui est propice � des �v�nements festifs de ce type.
En cons�quence le GEIPAN classe le cas en B : observation probable de lanternes tha�landaises.";"Observation par un automobiliste de la pr�sence et du d�placement silencieux de deux points lumineux rouge vif � orange ; diminution de l'intensit� lumineuse et disparition dans les nuages : observation de lanternes tha�landaises.";O;;1;;2;;;;;2018-12-10;;;0.30;0.00;;;0.70;;0.70;;0.50;0.00;B;B;2018-12-50667